Actualités https://www.la-francaise.com/ RSS La Française Groupe fr La Française Wed, 30 Apr 2025 00:05:48 +0200 Wed, 30 Apr 2025 00:05:48 +0200 news-4038 Wed, 16 Apr 2025 16:53:48 +0200 Une BCE pragmatique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-bce-pragmatique/ Comme les marchés, nous prévoyons que la Banque centrale européenne (BCE) procèdera à une nouvelle baisse de taux d’un quart de point à l’issue de la réunion du Conseil des gouverneurs des 16 et 17 avril. Cette décision sera motivée par les craintes, globalement unanimes des membres de la BCE, sur la croissance européenne, notamment après les hausses de droits de douane, particulièrement agressives (20% de surtaxes pour l’Union européenne - UE), annoncées par Donald Trump le 2 avril mais dont une partie a été temporairement suspendu (à l’exception de la Chine). Toutefois, cette décision de la BCE devrait refléter des avis divergents entre les colombes et les faucons de l’institution sur les risques inflationnistes.

Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Le Conseil des gouverneurs de la BCE réduira de nouveau le taux de dépôt, qui fait référence, de 25 points de base (pbs) à 2,25 %, soit une zone où la politique monétaire européenne pourrait ne plus être considérée comme restrictive.
  • Lors de la conférence de presse, en raison des incertitudes économiques accrues, la présidente de la BCE, Christine Lagarde, gardera toutes les options ouvertes pour ajuster les décisions ultérieures de politique monétaire qui se feront réunion par réunion en fonction des données disponibles, des projections économiques et de l’évaluation des risques qui ont sensiblement bougé depuis le mercredi 2 avril. « Le jour de la libération » comme l’a baptisé Donald Trump, a ravivé les craintes d’un ralentissement économique prolongé en zone euro qui pourrait davantage peser sur les prix en dépit des potentielles contre-mesures tarifaires de l’UE.
  • Toutefois, la BCE jugera toujours que les risques d’inflation restent des deux côtés.
  • Bien que les taux d’intérêts soient le principal outil de politique monétaire, Christine Lagarde rappellera que la BCE dispose d’instruments ‘non conventionnels’ en cas de stress sur la stabilité financière (opérations ciblées de refinancement à plus long terme – TLTRO, instrument de Protection de la Transmission – TPI, ...)

En résumé, la BCE devrait persister dans une baisse graduelle de ses taux directeurs (-25 pbs) en avril puisque le processus de désinflation est en très bonne voie et qu’il est globalement conforme aux prévisions de l’institution. A moins d’un changement de communication de la banque centrale européenne, les réactions des marchés après ce comité devraient rester limitées.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Pre BCE signé François Rimeu

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news-4034 Thu, 10 Apr 2025 09:28:05 +0200 CM-AM CONVICTIONS USA célèbre 3 ans de TRACK RECORD & se voit distinguer 5-étoiles MORNINGSTAR<sup>1</sup> /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cm-am-convictions-usa-celebre-3-ans-de-track-record-se-voit-distinguer-5-etoiles-morningstar1/ Paris, le 10 avril 2025 : Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion de La Française, la filière de gestion d'actifs multi-spécialiste de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d’annoncer que son fonds actions américaines CM-AM Convictions USA a atteint un jalon important : trois ans d’existence et déjà plus de 670 millions d’euros en actifs sous gestion². 

CM-AM Convictions USA se distingue dans sa catégorie, comme en atteste son classement Morningstar3  cinq étoiles sur trois ans. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Fort du succès de son fonds flagship CM-AM Convictions Euro (plus d’1,3 milliards d’Euros en actifs sous gestion au 31/03/2025 et 19 ans4  de track record mené par le duo historique composé de Jean-Louis DELHAY et Jean-Luc MENARD), la société de gestion a lancé en 2022 un nouveau fonds actions : 
CM-AM Convictions USA. Celui-ci duplique à l’identique le processus d’investissement de CM-AM Convictions Euro, mais appliqué aux Etats-Unis, avec comme indice de référence le STANDARD & POOR'S 500.

CM-AM Convictions USA est géré activement et de manière discrétionnaire. Le fonds a pour objectif de générer une performance nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence STANDARD & POOR'S 500, sur la durée de placement recommandée, soit plus de cinq ans. Ainsi, l’équipe de gestion, composée de Valentin VERGNAUD et Jean-Luc MENARD, sélectionne des sociétés estimées de qualité et jugées attractives dans la zone Nord-Américaine. Au 31/03/2025, le portefeuille est investi dans 52 sociétés. CM-AM Convictions USA est classifié Article 8 selon le règlement SFDR5

L'équipe de gestion s'intéresse principalement aux entreprises positionnées sur des marchés dynamiques et soutenues par des MEGATRENDs. Elle en a notamment identifié quatre : l'innovation technologique, la recherche d'une meilleure qualité de vie, l'économie durable, et le progrès médical. Ces thématiques sont en place dans le fonds depuis son lancement et continueront à se développer, quel que soit le contexte économique.

Valentin VERGNAUD, co-gérant de CM-AM Convictions USA, conclut : « La gestion active de conviction du fonds repose sur un processus rigoureux d'analyse financière et extra-financière pour sélectionner les entreprises. La génération d'idées s'opère principalement à partir d'un scoring quantitatif, qui fait ressortir les sociétés estimées les plus intéressantes. Le fonds privilégie essentiellement des valeurs jugées de qualité, dont les perspectives de croissance et la génération de trésorerie sont estimées visibles et résilientes dans différentes phases de marché. Avec une équipe de gestion stable, nous construisons ainsi les différents portefeuilles orientés « qualité et croissance » de la gamme Convictions, proposée par Crédit Mutuel Asset Management. La progression des encours du fonds, atteignant plus de 670 millions d’euros en trois ans, témoigne de l’intérêt des investisseurs pour la stratégie. »

CM-AM CONVICTIONS USA

ClassificationActions Monde
Forme juridiqueFCP OPCVM
Code ISINFR00140077F8 (Action IC), FR00140077E1 (Action RC)
Indicateur de risque4 (sur une échelle de 1 à 7, 7 représentant le niveau de risque le plus élevé)
Durée de placement conseilléeSupérieure à 5 ans
Objectif de gestionCet OPCVM a pour objectif de gestion la recherche d’une performance annuelle nette de frais 
supérieure à celle de son indicateur de référence Standard & Poor’s 500 sur la durée de placement recommandée. La composition de l’OPCVM peut s’écarter sensiblement de la répartition de l’indicateur.
Indicateur de référenceStandard & Poor’s 500 
Affectation résultatCapitalisation
Frais de gestion et autre frais administratifs & d’exploitationRéférer au Document d’informations clés
Coûts d’entrée / coûts de sortie2 % / 0 %
Souscription initiale minimum1 action
ValorisationQuotidienne
Risques associés Risque de perte en capital, risque de marché, risque lié à l’investissement en actions de petite capitalisation, risque d’investissement sur les marchés émergents, risque de change, risque lié aux obligations convertibles, risque de taux, risque de crédit, risque lié aux investissements dans des titres spéculatifs (haut rendement), 
risque lié à l’impact des techniques telles que les produits dérivés, risque de liquidité, risque en matière de durabilité.

 

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news-4030 Thu, 03 Apr 2025 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un coliving pour seniors à Choisy-le-Roi (94) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-coliving-pour-seniors-a-choisy-le-roi-94/
Photo non contractuelle - Les investissements ne constituent pas un engagement vis-à-vis d'acquisitions futures.
 

La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE, a acquis off-market une résidence de coliving pour seniors, sise 13 avenue du Général Leclerc à Choisy-le-Roi (94) et exploitée par Chez Jeannette, en vertu d’un bail de 12 ans fermes.

L'actif se situe en centre-ville, au pied de la mairie et de son parc, dans un quartier bien desservi par les transports en commun (RER C, arrêt Choisy-le-Roi ; T9, arrêt Rouget de Lisle). L’actif est proche des infrastructures médicales : la clinique SMR de Choisy-le-Roi à 280 m, un cabinet infirmier à 400 m et une pharmacie à 350 m.  

L’acquisition porte sur une maison de maître construite à la fin du 19ème siècle. Elle est constituée d’une bâtisse principale et de deux pavillons en retour sur les ailes droite et gauche. Avec son jardin de 300 m2 exposé plein sud, la maison s’élève sur trois étages (R+3). Elle sera transformée en habitat partagé (surface totale de 538 m2 Carrez) pour seniors avec services (responsable de maison dédié à la colocation et auxiliaires de vie), qui pourra accueillir 12 colocataires (11 chambres avec salles de bains dans la bâtisse principale et 1 appartement indépendant dans l’aile gauche). Les travaux de transformation en coliving, incluent des actions permettant d’améliorer les caractéristiques durables de cet actif (par exemple, isolation thermique par l’extérieur et l’intérieur, peintures intérieures et revêtements de sols non émissifs en polluants, récupération des eaux de pluie) et d’atteindre une bonne performance énergétique. Ils sont financés par LF Avenir Santé dans le cadre de l’acquisition.

Le concept de Chez Jeannette s’inscrit pleinement parmi les nouveaux usages de prise en charge des personnes âgées, en proposant une alternative aux solutions existantes d’accompagnement des seniors en perte d’autonomie et en développant le modèle d’habitat partagé et accompagné. L'objectif de Chez Jeannette est de fournir un service d’accompagnement, de créer du lien social et de développer un cadre de vie à domicile. 

Jérôme VALADE, Directeur du Pôle Immobilier de Santé de La Française REM a conclu : « Nous sommes ravis de renouveler cette expérience de transformation en coliving aux côtés de l’exploitant Chez Jeannette avec qui nous partageons une vision commune pour la prise en charge des seniors, adaptée aux nouveaux besoins et usages. Cette réhabilitation complète d’un hôtel particulier situé en plein cœur de ville, embarquant une amélioration des performances environnementale d’un actif existant, et permettant le déploiement de l’activité d’un opérateur au service des personnes fragilisées, répond parfaitement à la stratégie d’investissement de notre fonds.

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par 14 PYRAMIDES (Me Louise Bonnet-Kinget) pour l’audit notarial, ARCHERS (Me Marlène Benoist Jaeger) pour le montage juridique, NERCO (Florence Gilg) pour l’audit technique et par les équipes de Wüest Partner pour l’audit ESG.


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LF Avenir Santé est labellisée ISR.

Risques associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.

Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.

Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.

Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)

À propos de La Française

Le groupe La Française propose une offre de gestions de conviction spécialisées alliant objectifs de performance et de durabilité sur toutes vos classes d’actifs. Notre architecture multi spécialistes permet à nos gérants de se concentrer pleinement sur ce qui les passionne chacun dans sa spécialité.

Notre actionnaire, le Crédit Mutuel Alliance Fédérale, groupe mutualiste, première banque à mission, inspire notre sincérité dans l’investissement responsable qui crée une relation de confiance autour de la gestion durable. Nos équipes ont développé un savoir-faire de pointe sur les nombreuses facettes de l’ESG qui se diffuse dans toutes nos activités et analyses.

Notre approche partenariale de la relation client alliée à la créativité de nos équipes toujours à votre écoute permet la conception de solutions et services innovants adaptés à votre situation et à vos horizons de placement.

Le groupe La Française est le pôle d’expertise de gestion d’actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Avec 157 milliards d’euros d’actifs sous gestion (31 décembre 2024), nous sommes un acteur majeur de la gestion d’actifs en France et en Europe. Avec 1 000 collaborateurs mobilisés, nous sommes présents dans 10 pays, aux côtés de nos clients et proches des marchés dans lesquels nous investissons. Nos expertises spécialisées couvrent les actifs cotés et non cotés y compris l’immobilier.

Plus d’informations sur la-francaise.com

Contact La Française :
La Française : 
Pascale Cheynet: +33 1 43 12 64 25 | pcheynet@la-francaise.com
Debbie Marty : +33 1 44 56 42 24 | debmarty@la-francaise.com

Steele and Holt pour La Française :
Manon Camescasse + 33 6 42 01 56 47 | manon@steeleandholt.com

Avertissement
Publié par La Française FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. 
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org). 
Pour toute réclamation, vous pouvez contacter par e-mail le Service Réclamations à l'adresse suivante : reclamations-clients@la-francaise.com

La politique de traitement des demandes d'informations ou des réclamations clients du Groupe La Française est disponible : Politique_de_traitement_des_reclamations.pdf (la-francaise.com)
La commercialisation de la SCPI peut être arrêtée à tout moment par la société de gestion et ou le commercialisateur.

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news-4028 Tue, 01 Apr 2025 10:21:56 +0200 La Française réorganise sa plateforme de distribution afin de mieux répondre aux exigences des investisseurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-reorganise-sa-plateforme-de-distribution-afin-de-mieux-repondre-aux-exigences-des-investisseurs/ Paris, 2 avril 2025 : Avec 157 milliards d’euros d’actifs sous gestion , La Française, filière de gestion d'actifs multi-spécialistes de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d'annoncer trois promotions, effectives en mars 2025. Ces promotions s’inscrivent dans le cadre d’une nouvelle organisation de la plateforme de distribution du groupe pour la clientèle externe (hors réseaux Crédit Mutuel Alliance Fédérale). Dorénavant, toutes les équipes de développement sont multi-expertises indépendamment de la typologie des investisseurs.

Cette évolution vise en effet à améliorer l’efficacité opérationnelle de la plateforme, renforcer son agilité et offrir à ses clients un service toujours plus optimisé. Cette organisation répond aux exigences des investisseurs, demandeurs d’allocations diversifiées pour gagner en résilience dans toutes les configurations de marché.

David Martin

Romain Gobert

Christophe Inizan

  • David MARTIN est nommé Country Head France, (Institutionnels, wholesale, retail). Fort de 23 ans d'expérience au sein du groupe, David a dirigé avec succès de nombreuses campagnes, contribuant ainsi à la croissance des actifs sous gestion et faisant preuve d'une grande expertise managériale. Soutenu par une équipe de 13 professionnels expérimentés, David sera responsable des opérations, de la stratégie et du développement commercial en France. Il est directement rattaché à Gerardo DUPLAT, Head of Business Development de La Française. En plus de ses nouvelles responsabilités, David continuera de piloter le développement commercial en Suisse.
     
  • Les responsabilités de Romain GOBERT, Directeur Commercial Retail France, sont élargies pour inclure l’ensemble de la gamme (actifs cotés et non cotés) distribuée par La Française. Sous la direction de Romain, une équipe de 6 professionnels offrira aux investisseurs retail des stratégies d’investissement plus complètes et intégrées. Romain est directement rattaché à David MARTIN.
     
  • Christophe INIZAN est nommé Directeur de la stratégie commerciale immobilière. Fort d’une solide expérience dans l’immobilier, Christophe jouera un rôle décisif dans la mise en œuvre des objectifs de développement de l’expertise immobilière en France et à l’international. Il sera responsable de la coordination, sur tous les segments de clientèle (retail, wholesale et institutionnels) et sur toutes les zones géographiques, des efforts de planification stratégique, de développement et de gestion des stratégies des fonds immobiliers ouverts. Christophe est directement rattaché à Gerardo DUPLAT.

Gerardo DUPLAT, Head of Business Development, La Française, a commenté : « Cette série de nominations marque une étape phare de la réorganisation de l’équipe de développement, dédiée à la distribution externe en France. Sous la direction de David et avec les contributions de Romain et Christophe, nous continuerons à étendre notre présence en France et renforcer notre empreinte immobilière à travers l’Europe. »

Philippe LECOMTE, Président de La Française Finance Services (la plateforme de distribution de La Française), a conclu : « Après tous les changements structurels opérés en 2024, La Française ouvre une nouvelle page. Forte d’une gamme de produits couvrant les actifs cotés et non cotés, et d’une équipe commerciale expérimentée et multi-expertises, La Française avec le soutien de son actionnaire, Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a posé les bases pour un développement commercial fructueux en France et à l’étranger. »

Parcours professionnels :

David MARTIN, Country Head France, bénéficie de trente-deux ans d’expérience sur les marchés financiers qu’il met au service des Investisseurs pour la construction et la gestion de leurs allocations (valeurs mobilières et immobilier). Il a débuté sa carrière en 1993 à Londres en tant que courtier sur le marché obligataire où il développe la clientèle institutionnelle française de CPR (Groupe Crédit Agricole). De 1996 à 2002, David s’ouvre à la gestion pour compte de tiers et intègre le siège parisien de CPR AM pour promouvoir l’ensemble des stratégies de valeurs mobilières développées sur mesure pour les Institutionnels français. En 2002, David rejoint La Française en tant que Directeur Commercial France (institutionnels, wholesale), champ d’action qu’il complètera par sa nomination en tant que Responsable du Développement Commercial Suisse en 2021.

David Martin est diplômé de NEOMA Rouen en finance d’Entreprise et de Marché.

Romain GOBERT, Directeur Commercial Retail France, possède quinze ans d’expérience dans l’industrie de la gestion d’actifs, occupant divers postes commerciaux. Après une courte initiation chez Edmond de Rothschild Asset Management en 2010, Romain intègre CM-CIC Asset Management en tant que responsable commercial, dédié aux investisseurs externes (wholesale, conseillers en gestion de patrimoine indépendants). En 2011, il rejoint La Française où il a passé la majeure partie de sa carrière, développant une expertise notamment en actifs cotés. Pendant dix ans, il a été Responsable commercial, dédié au Retail, avant d’être nommé Directeur Commercial Retail France, pour les actifs cotés.

Romain est titulaire d’un master en Corporate Finance (European Business School) et d’un master en Trading (ESLSCA).

Christophe INIZAN, Directeur de la stratégie commerciale immobilière, a près de trente ans d’expérience dans le secteur immobilier et la gestion d’actifs. Il débute sa carrière en 1994 au sein du promoteur immobilier SAGEC, en qualité de responsable de programme. Par la suite, il rejoint AXA en 1998, comme responsable de clientèle où il développe l’activité B to C auprès d'une clientèle privée. En 2001, il intègre l’Union Française de Gestion, devenue La Française, en tant que Responsable Commercial CGP, en charge du développement de l'offre assurantielle et immobilière. Son parcours au sein du groupe est marqué par une progression constante : en 2009, il est nommé Responsable Commercial - France, en charge des Relations Réseaux. En 2015, il élargit son périmètre en intégrant les actifs côtés et devient Directeur Commercial - Distribution Retail. En 2020, il est nommé Directeur Commercial en charge de l’offre immobilière pour le segment retail.

Christophe est titulaire d’une licence en droit de l’Université de Pau.

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news-4023 Tue, 25 Mar 2025 10:17:38 +0100 La souveraineté énergétique à l'ère de la concurrence industrielle : La stratégie européenne pour une énergie propre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-souverainete-energetique-a-lere-de-la-concurrence-industrielle-la-strategie-europeenne-pour-une-energie-propre-redige-le-17-mars-2025/ Par Océane BALBINOT-VIALE, Analyste pôle de recherche ESG, Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la branche de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale Pris entre une transition énergétique ambitieuse et les dures réalités de la compétitivité industrielle ainsi que des turbulences géopolitiques, l'Europe se doit de renforcer sa stratégie énergétique. Le Clean Industrial Deal (CID)1  de l’Union Européenne ne se limite pas à une simple directive climatique, il souligne que l’énergie abordable est un déterminant clé de la souveraineté énergétique et de la compétitivité industrielle. En faisant de l'énergie abordable une priorité, le CID marque un tournant vers une approche plus interventionniste. Toutefois, sa forte dépendance à l'égard des contrats à long terme d’approvisionnements en énergie propre (Power Purchase Agreements -PPAs & Contracts for Difference -CFDs) ainsi qu’aux interconnexions électriques soulève des interrogations quant à la capacité de l'Europe à se prémunir contre la volatilité des marchés et les dépendances extérieures.

Alors que le CID désigne l’énergie abordable comme un moyen de garantir la viabilité industrielle, il reconnait implicitement le désavantage structurel de l'Europe en termes de coûts énergétiques par rapport aux États-Unis ou à la Chine. Depuis plusieurs années, les prix élevés de l'énergie constituent un frein à la compétitivité de l'industrie européenne en particulier dans les secteurs à forte intensité énergétique où les coûts de production sont particulièrement sensibles aux fluctuations des prix de l’énergie2 . Si les contrats PPAs et CFDs offrent une certaine visibilité sur les prix, ils ne répondent pas à la question de savoir si l’Europe sera en mesure de produire localement suffisamment d’énergie propre à des prix compétitifs au niveau mondial et ainsi réduire son exposition aux chocs énergétiques externes. 

Les enjeux stratégiques de la politique énergétique du CID deviennent plus clairs lorsqu’on considère la dépendance de l'Europe vis à vis des matières premières critiques, indispensables à sa transition vers les énergies propres3 . Bien que le CID s’efforce d’apporter une réponse via la mise en place d'une agence centrale d'achat et de stockage (Centre européen des matières premières critiques), cette initiative ne saurait à elle seule réduire la dépendance de l'Europe à l'égard d'une sélection de fournisseurs uniques, dont la Chine4 . En conséquence, l'Europe demeure vulnérable aux éventuelles perturbations de la chaîne d'approvisionnement et aux pays non-membres de l'UE disposant d'un levier géopolitique.

Le rôle de l'énergie nucléaire dans le cadre du CID met en lumière des défis considérables quant à la quête d’une souveraineté énergétique européenne. Les coûts d’investissement élevés, les délais de mise en œuvre prolongés ainsi que les sensibilités politiques soulèvent des questions quant à sa viabilité en tant que solution à court terme pour permettre l'accès à une énergie abordable. Là encore, la dépendance de l'Europe à l'égard des fournisseurs extérieurs pour les principales composantes du cycle du combustible nucléaire5  met en évidence les vulnérabilités persistantes à atteindre une autonomie énergétique. Toutefois, l'engagement du CID en faveur de la « neutralité technologique » permet au nucléaire de jouer un rôle croissant dans la transition énergétique propre. Avec l’appui d'États membres tels que la France, l'énergie nucléaire peut venir compléter les solutions d’énergies renouvelables en fournissant une source d'énergie stable et à faibles émissions de carbone. Elle pourrait ainsi devenir un pilier essentiel de la stratégie énergétique européenne à long terme.

Le succès du CID pour renforcer le réseau électrique européen et intégrer les marchés de l'énergie à travers les différents États membres reposera, in fine, sur sa capacité à surmonter des défis majeurs. Un réseau énergétique plus interconnecté ne se traduit pas nécessairement par une réduction des coûts6 , en particulier si les capacités renouvelables domestiques ne parviennent pas à croître au rythme requis pour répondre à la demande industrielle. De plus, bien qu’une flexibilité accrue du réseau électrique puisse contribuer à contenir les fluctuations de l'offre7 , elle n'élimine pas pour autant la dépendance de l'Europe aux importations énergétiques. Cela étant, en réduisant les obstacles réglementaires pesant sur l'interconnexion et en investissant dans des infrastructures transfrontalières, le CID établit les bases d'un système énergétique plus résilient.

De même, la tentative du CID visant à limiter l’exposition de l'Europe à la volatilité des marchés du gaz par le biais d’achats groupés constitue un aspect intéressant de son approche en matière de souveraineté énergétique. En effet, la stratégie du CID comporte des risques intrinsèques : parvenir à négocier des conditions plus avantageuses suppose que l'Europe conserve un pouvoir de négociation suffisant dans un paysage énergétique de plus en plus compétitif. De plus, sans une pression simultanée en faveur du développement des alternatives renouvelables, ces mesures d'achats groupés pourraient renforcer la dépendance de l'Europe au gaz naturel plutôt que la réduire.

L'approche de CID en matière d'énergie abordable apporte un soulagement essentiel pour l’industrie, tout en posant les fondations d'un avenir plus durable et plus résilient. Il sera crucial de pallier les vulnérabilités structurelles en renforçant les engagements en faveur de la production domestique d’énergie, en adoptant une politique industrielle plus proactive et en sécurisant les chaînes d'approvisionnement critiques, afin de tirer pleinement parti du potentiel du CID. La dynamique créée par le CID offre toutefois l'opportunité à l'Europe de redéfinir son environnement énergétique, en transformant les défis en catalyseurs pour l'innovation et la sécurité à long terme, et de se positionner comme leader mondial de l'énergie propre et indépendante.

Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis.  Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources considérées comme fiables, mais le groupe La Française ne garantit pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.  


 




1Clean Industrial Deal - European Commission
2Competitiveness of European Energy - Intensive Industries
3Meeting the costs of resilience: The EU's Critical Raw Materials Strategy must go the extra kilometer
4Ibid
5Analysis of Nuclear Fuel Availability at EU Level from a Security of Supply Perspective
6Sweden open to power cable project if Germany reforms, minister say  
7Renewable Revolution: A Review of Strategic Flexibility in Future Power Systems

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news-4020 Mon, 24 Mar 2025 09:55:08 +0100 Compétitivité industrielle et sécurité énergétique européenne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/competitivite-industrielle-et-securite-energetique-europeenne/ Par Marie LASSEGNORE, CFA, Directrice de l’Analyse Financière et ESG, et membre du Comité Exécutif de Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la branche de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale Alors que la directive Omnibus, dont l’objectif est de simplifier le cadre réglementaire lié aux exigences de durabilité en Europe, est sur le devant de la scène au regard du débat ‘simplification ou dérégulation’, il convient de suivre avec attention un autre programme, également proposé par la Commission Européenne visant quant à lui à stimuler la compétitivité européenne de notre industrie. Le Clean Industrial Act1  articule ses propositions en s’adossant aux conclusions du Rapport Draghi2 , commandité par la Commission Européenne en septembre dernier. Les conclusions de ce rapport ont permis d’identifier trois leviers d’action possibles :

  • Adresser le différentiel d’innovation par rapport aux autres puissances. Cet écart se constate sous différentes formes : nos faibles investissements en Recherche & Développement en relatif à d’autres pays ainsi que l’absence de création sur les 50 dernières années d’entreprises européennes dont la capitalisation est supérieure à 100 milliards quand les Etats-Unis recensent six entreprises créées de plus de 1000 milliards sur cette même période. 
     
  • Accélérer la décarbonisation et augmenter la compétitivité : Les entreprises européennes font face à des prix de l’électricité qui sont deux à trois fois plus élevés qu’aux Etats-Unis. Les prix du gaz naturel en Europe sont quant à eux quatre à cinq fois supérieurs à ceux pratiqués aux Etats-Unis. L’explication ne réside pas uniquement dans l’absence de ressources dans nos sols mais aussi dans les taxes et frais en vigueur sur le marché de l’énergie.
     
  • Augmenter la sécurité et souveraineté de notre approvisionnement industriel et ainsi réduire nos dépendances aux matériaux critiques et aux technologies, particulièrement dans le contexte actuel d’accélération des tensions géopolitiques.  Aujourd’hui, l’Europe a une dépendance concentrée sur quelques acteurs pour son approvisionnement en matériaux, par exemple, la Chine fournit 100 % de l’approvisionnement de l’Union Européenne (UE) en terres rares, la Turquie fournit 99 % de l’approvisionnement de l’UE en bore et l’Afrique du Sud fournit 71 % des besoins de l’UE en platine3 .

Le Clean Industrial Deal vient donc proposer des mesures concrètes à mettre en œuvre pour venir apporter un soutien rapide à la fois aux entreprises des industries à forte intensité énergétique (eg. secteurs de l’acier, métaux, produits chimiques etc…) , qui ont besoin de se décarboner et s’électrifier sans concurrence déloyale ou complexité réglementaire ; ainsi qu’à celles du secteur des technologies propres (eg. énergie verte, véhicules électriques etc…), qui sont au cœur de la compétitivité future et nécessaires à la transformation industrielle, à la circularité et à la décarbonisation.

Le Clean Industrial Deal s’articule donc autour de plusieurs piliers dont deux majeurs (l’énergie abordable et la circularité) :

L‘énergie abordable4 , qui constitue le premier pilier, inclut des mesures visant à réduire les factures énergétiques des industries, des entreprises et des ménages à court terme, tout en augmentant le taux d’électrification de l’ensemble de l’économie avec pour objectif 32 % en 2030 contre 21,3% aujourd’hui.

La réduction des factures énergétiques pourra passer par un soutien à l'adoption de contrats à long terme d’approvisionnements en énergie propre (Power Purchase Agreements -PPAs & Contracts for Difference -CfDs) avec contre garanties pour les PME-ETI et industries à forte intensité énergétique. Des mesures fiscales sont également évoquées pour donner la possibilité de réduire la taxation de l'électricité à zéro pour les industries à forte intensité énergétique.

L’effort de réduction de la facture énergétique doit également s’accompagner i) d’une accélération du déploiement de l'énergie propre et de l'électrification en Europe, tout en réduisant les délais d'autorisation pour le déploiement des projets ; ii) du bon fonctionnement des marchés du gaz en épurant les taxes et frais actuels.

L’axe de la proposition autour de la circularité (second pilier du Clean Industrial Deal) s’inscrit dans l’ambition de l'UE de devenir le leader mondial de l'économie circulaire d'ici 2030. La proposition sur les matières premières critiques5  prévoit un objectif de taux de recyclage de 25 % à 2030. Cet objectif sera porté par des mesures de soutien pour favoriser le recyclage et ainsi limiter l’export des déchets afin de réduire la dépendance de l’UE à l’égard des matières premières. Ces dernières seront réutilisées, reconditionnées, recyclées et revalorisées dans l’économie. Le potentiel circulaire du marché européen du reconditionnement devrait passer de sa valeur actuelle de 31 milliards d’euros à 100 milliards d’euros d’ici 2030, créant ainsi 500 000 nouveaux emplois6

Le seul point noir à ce stade est son niveau d’ambition. En effet, seuls 480 milliards d’euros d’investissement à mobiliser ont été mentionnés jusqu’alors par la Commission Européenne tandis que le Rapport Draghi préconisait 750 à 800 milliards d’euros pour redresser la barre. Une fois n’est pas coutume pour les propositions Européennes, l’intention est bonne mais son potentiel d’action ne peut se réaliser sans coordination et ruissellement homogène au niveau national.

Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources considérées comme fiables, mais le groupe La Française ne garantit pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.


 

1The Clean Industrial Deal: A joint roadmap for competitiveness and decarbonisation
2The future of European competitiveness
3Critical raw materials - European Commission
4Affordable Energy - European Commission
5Critical Raw Materials Act - European Commission
6The Clean Industrial Deal: A joint roadmap for competitiveness and decarbonisation

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news-4018 Thu, 13 Mar 2025 16:53:09 +0100 La confirmation de taux élevés pour plus longtemps /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-confirmation-de-taux-eleves-pour-plus-longtemps/ Depuis le comité de politique monétaire (FOMC) de janvier, le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, et ses collègues ont clairement indiqué leur intention de marquer une seconde pause d’affilée des taux en mars puisque l’inflation sous-jacente « core PCE » reste supérieure à l’objectif de 2 % (à 2,6% en janvier sur un an ; Source : Bloomberg). De plus, les anticipations d’inflation des enquêtes de confiance des consommateurs et des entreprises sont orientées à la hausse en raison des hausses de droits de douane qui sont mises en place par l’administration de Donald Trump. Cet attentisme de la Fed sera accompagné de l’actualisation de son résumé des prévisions économiques (SEP) qui devrait montrer une croissance toujours résiliente, mais moins de réductions de taux cette année et l’année prochaine face à des perspectives d’inflation plus élevées. 

Ci-dessous nos attentes :

  • Conformément aux anticipations des investisseurs, le FOMC maintiendra son taux directeur inchangé dans une fourchette comprise entre 4,25 % et 4,50 %, à l’unanimité. 
     
  • Le président de la Fed, Jerome Powell, répètera que la politique monétaire actuelle de la Réserve fédérale est bien positionnée pour répondre à son double mandat, à savoir la stabilité des prix et le plein emploi.  
     
  • Dans l’environnement actuel avec un niveau d‘incertitudes plus élevé face aux réformes économiques de la nouvelle administration américaine (liées au commerce, à l’immigration, à la politique budgétaire et à la régulation), Jerome Powell répètera que l’institution préfère se montrer patiente pour de futures baisses de taux face aux risques qui pourraient pousser les prix à la hausse. 
     
  • Dans ce cadre, il soulignera la nécessité pour la Fed de s’assurer que les ménages et les entreprises continuent de s’attendre à ce que l’inflation reste bien ancrée à la cible de 2 % pour éviter que l’inflation devienne persistante.
     
  • De notre point de vue, Jerome Powell tentera toutefois de rassurer les marchés financiers en indiquant :
    i.   D’une part que le FOMC pense toujours pouvoir réduire ses taux cette année puisque la Fed s’attend à ce que l’inflation converge vers son objectif de 2 % à moyen terme tout en soulignant que ce processus parfois cahoteux pourrait prendre plus de temps que prévu. 
    ii.   D’autre part que la hausse des tarifs douaniers pourrait entraîner une augmentation unique du niveau des prix à la consommation bien que la banque centrale ait besoin de plus de visibilité en termes d’ampleur et de calendrier.
     
  • Les nouvelles prévisions individuelles des membres du FOMC (les ‘dots’) pourraient, selon nous, montrer un message plus ferme qu’en décembre 2024 en abaissant les prévisions de deux à une seule baisse de taux pour 2025 et 2026, avec un objectif des Fed Funds anticipé à 4,1 % en fin de cette année (contre 3,9 % auparavant) et 3,9 % fin 2026 (contre 3,4 %). La Fed devrait ensuite normaliser ses taux à un niveau neutre en 2027, entre 3,0 % et 3,50 %. En parallèle, nous nous attendons à ce que la prévision médiane sur le taux Fed funds de long terme qui a été relevée de 50 points de base depuis décembre 2023 à 3,0 %, soit de nouveau revue à la hausse. 
     
  • Du côté du ‘résumé des perspectives économiques’, en dépit des dernières données mitigées, nous n’attendons pas de changement notable sur les taux de croissance du PIB pour 2025 et les deux années suivantes (autour de 2 %) en raison de la solidité du marché du travail. Le taux de chômage pour 2025 à 2027 devrait se maintenir dans une fourchette étroite entre 4,2 % et 4,3 %. En ce qui concerne l’inflation, la prévision « Core PCE », basée sur les dépenses de consommation des ménages, sera probablement révisée à la hausse, en particulier pour 2025 et 2026, afin de montrer les risques haussiers sur l’inflation qui se sont déjà formés dans les anticipations d’inflation des ménages issues des enquêtes de l’Université du Michigan et du Conference board ainsi que dans les enquêtes d‘activité des entreprises (ISM, PMI) au travers de la hausse des prix payés par les fabricants américains face aux futures hausses des droits de douane. L’inflation devrait ensuite converger vers son objectif de 2 % d’ici 2027 pour souligner le caractère ‘temporaire’ de la hausse de l’inflation.
     
  • Comme suggéré dans les « minutes » du FOMC de janvier, publié le 19 février, le comité monétaire annoncera un ralentissement du rythme de son Quantitative Tightening (QT) voire une pause en attendant la résolution du problème du plafond de la dette qui a été rétabli depuis le 1ᵉʳ janvier 2025 à 36.000 milliards de dollars. (Source : Bloomberg)

En conclusion, sans surprise, la Fed devrait annoncer une pause sur ses taux directeurs en mars tout en assouplissant ou en arrêtant la réduction de la taille de son bilan. La Réserve fédérale restera déterminée à ramener l’inflation à son objectif de 2 % tout en soutenant le plein emploi. En conférence de presse, Jerome Powell répètera que l’institution doit maintenir une politique monétaire restrictive tant que la convergence de l’inflation vers l’objectif des 2 % n’est pas assurée. En conséquence, la Fed attendra d’évaluer plus clairement les répercussions économiques des réformes de Donald Trump avant d'abaisser ses taux directeurs à un niveau neutre qui se situe entre 3,0 % et 3,5 % selon les estimations (Source : Bloomberg). Dans ce cadre, le FOMC continuera à surveiller les données économiques, l’évolution des perspectives et l’équilibre des risques avant d’ajuster sa politique monétaire. Nous pensons que les marchés financiers réagiront négativement à ce comité monétaire étant donné le renforcement significatif de leurs attentes quant aux futures réductions de taux de la Fed depuis la mi-février. Sur le marché obligataire, la courbe des taux américaine devrait avoir tendance à s’aplatir.




Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. 

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news-4013 Tue, 11 Mar 2025 11:16:03 +0100 Mars 2025 : des rééquilibrages économiques en vue ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/mars-2025-des-reequilibrages-economiques-en-vue/ Après un début d’année sous tension, les marchés réagissent aux nouvelles dynamiques économiques et budgétaires. Hausse des budgets de défense en Europe
L’Allemagne et l’UE annoncent des plans ambitieux, relâchant la rigueur budgétaire pour soutenir les infrastructures et la défense.
Une volatilité persistante aux États-Unis
Les signaux de ralentissement économique se multiplient, avec des chiffres décevants sur les ventes au détail et la confiance des consommateurs.
Quelles implications pour les marchés ?
Actions chinoises en hausse, portées par l’IA et les mesures de relance.
Restructuration des taux en Europe, limitant les marges de baisse de la BCE.
Un environnement toujours favorable à l’or et au franc suisse en raison des incertitudes géopolitiques.
François Rimeu analyse ces évolutions et leurs impacts sur les stratégies d’investissement.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital.

#Marchés #Économie #Investissement #Géopolitique
 

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news-4009 Tue, 04 Mar 2025 14:32:52 +0100 Une nouvelle baisse de taux en vue mais la BCE veut agir avec prudence /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-nouvelle-baisse-de-taux-en-vue-mais-la-bce-veut-agir-avec-prudence/ Largement anticipé par les marchés financiers, la Banque centrale européenne (BCE) devrait abaisser son taux de dépôt de 25 points de base (pbs) à 2,5 %, la cinquième baisse d’affilée et la sixième baisse depuis juin 2024, pour soutenir l’économie. En parallèle, la BCE devrait confirmer ses prévisions d’inflation avec un taux annuel d’inflation dans la région qui convergera vers l’objectif des 2,0 % d’ici le courant de l’année. L’enjeu du Conseil des gouverneurs, lors de cette réunion, sera de clarifier sa position sur le degré de restriction de sa politique monétaire.

Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Le Conseil des gouverneurs de la BCE réduira les taux directeurs de 25 pbs chacun avec des risques d’inflation équilibrés. Cela amènera le taux de dépôt à 2,50 %, le taux de refinancement à 2,65 % et le taux de prêt marginal à 2,9 %.
     
  • Avec un taux de dépôt (taux directeur de référence de la banque centrale) qui s’approche étroitement du taux neutre* (entre 1,75 % et 2,25 % selon l’analyse de la BCE du 7 février), nous pensons que le Conseil modèrera ses éléments de langage en décrivant les conditions de financement comme ‘modérément’ ou ‘quelque peu’ restrictives. Nous pensons que la BCE attendra les résultats de son enquête trimestrielle de crédit (BLS) qui sera publiée le 15 avril, soit deux jours avant le prochain comité en avril, avant d’apporter un changement plus prononcé de son vocabulaire.
     
  • En conséquence, l’institution devrait poursuivre ses baisses de taux avec prudence en restant dépendantes des données entrantes et attentive à la politique tarifaire américaine. La vigilance de la BCE sur l’orientation de sa politique monétaire au-delà de ce comité pourrait, impliquer une pause en avril même si nous pensons que la BCE n’a pas beaucoup de raison de reporter un assouplissement supplémentaire de sa politique monétaire (notamment en raison de la faiblesse de la croissance dans la région). La BCE a probablement un objectif intermédiaire de 2 %.
     
  • Par rapport aux projections macroéconomiques de décembre 2024, la BCE devrait réviser ses prévisions de croissance légèrement à la baisse pour cette année (de 1,1 % à 0,9 %-1,0 % ; Source : Bloomberg) en raison d'une contribution plus faible de la demande intérieure et des risques associés à la politique commerciale américaine mais qui pourraient être en partie compensés par les espoirs de paix en Ukraine. Du côté de l’évolution des prix, elle devrait maintenir ses perspectives d’inflation inchangées, au niveau de son objectif de 2 % à moyen terme (CPI de base, hors énergie et produits alimentaires : 2025, 2,3 % ; 2026, 1,9 % ; 2027, 1,9 %). (Source : Bloomberg)

En résumé, nous n’attendons pas de changement majeur de la BCE en mars. Le conseil des gouverneurs baissera ses taux, probablement à l’unanimité, avec des ajustements mineurs dans ses perspectives économiques. Les réactions des marchés financiers devraient être limitées hormis changement drastique de la communication de la BCE qui ne jugerait plus sa politique monétaire comme restrictive, ce qui n’est pas notre scénario.

(*) Taux qui maintient l’économie au plein emploi avec une inflation stable, mais qui ne peut pas être observé directement.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. 

 

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news-4008 Wed, 19 Feb 2025 14:22:00 +0100 Géopolitique : risques et conséquences de la politique Trump pour l’Europe /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/geopolitique-risques-et-consequences-de-la-politique-trump-pour-leurope/ Par François Rimeu, Stratégiste senior, Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la branche de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Le spectre de voir les Etats-Unis se désolidariser de ses alliés historiques apparait de plus en plus réel aujourd’hui. Les dernières déclarations de l’administration Trump confirmeraient en effet la volonté des Etats-Unis de considérer l’Europe comme un partenaire commercial lambda et non plus comme un partenaire stratégique. 

Pour l’Europe et pour le monde entier, cela remet en cause l’équilibre qui datait de l’après-guerre et sur lequel le vieux continent s’était appuyé pour devenir la plus grande zone de libre-échange de la planète. Le réveil est brutal et met en lumière la dépendance européenne, sur les Etats-Unis, en matière de sécurité. Les discussions actuelles entre les principaux chefs d’Etats du continent montrent que ces derniers commencent à prendre la mesure du changement qui s’opère sous leurs yeux et des choix qui vont devoir être faits dans les mois qui viennent. L’Union européenne a historiquement été marqué par ses divergences stratégiques en fonction des intérêts économiques et géopolitiques des pays qui la composent et malheureusement rien ne dit que l’urgence actuelle changera cet état de fait.

En matière de sécurité et donc de dépenses militaires, les Etats-Unis dépensaient en 2023, 3,4 % de leur PIB, soit environ 962 milliards de dollar. La Russie de son côté y consacrait 5,9 % de son PIB, soit environ 118 milliards de dollars. (Sources : Banque Mondiale, Bloomberg, fin 2023) 

Qu’en est-il de l’Europe ?

Beaucoup de divergences évidemment comme le montre le tableau ci-dessous avec en moyenne des dépenses pour l’Union Européenne équivalentes à 1,9 % du PIB, soit $355 milliards environ, $431 milliards si on y inclut le Royaume-Uni qui participe actuellement aux discussions. A titre indicatif, la Chine a déboursé quant à elle $296 milliards en 2023, soit 1.7% de son PIB.


Source : Banque Mondiale, Bloomberg, fin 2023

L’administration Trump a depuis plusieurs mois fait différentes déclarations à ce sujet et concernant les pays membres de l’Otan en particulier. Ils ont répété que chacun devrait consacrer au moins 2 % de son PIB aux dépenses militaires, conformément à une règle fixée en 2006. En 2023, seul 23 des 32 états membres respectaient cette règle. Le président américain a même évoqué souhaiter que la barre des 5 % du PIB soit atteinte.

Tout cela devrait pousser les européens, graduellement et difficilement, à augmenter leurs dépenses militaires à moyen terme. Des discussions existent déjà pour sortir ces dernières des règles de calcul d’endettement européen. Il ne semble donc pas illusoire d’imaginer que les dépenses militaires pourraient représenter entre 2,5 % et 3 % du PIB des pays de l’Union Européenne à horizon quelques années.

Nous n’avons évidemment aucune idée de la façon dont évolueront les relations entre les grandes puissances actuelles et tout ce que nous venons d’évoquer sera peut-être à oublier dans quelques mois. Malgré tout, un scénario qui demanderait des dépenses militaires substantiellement plus importantes de l’Union Européenne ne semble pas irréaliste à ce stade.

La recherche académique ne montre pas de lien solide entre dépenses militaires et investissement, et donc croissance (Source : Defense Spending and The Economy, Gordon, Adams and Gold, 1987) ; trop de paramètres rentrant en jeu. En revanche, et même si tous les papiers académiques ne sont pas d’accord, une hausse des budgets de défense pourrait entrainer une hausse de l’inflation même si celle-ci ne serait que transitoire (Source : A reexamination of the effect of rapid military spending on inflation, Nourzad, 1987).

Dans cette hypothèse, il est donc probable que les anticipations d’inflation soient orientées à la hausse et que les taux nominaux ne puissent pas baisser du fait d’une croissance nominale soutenue, ce qui favoriserait les taux réels vs nominaux. Les acteurs liés à l’armement verraient leur demande augmenter ce qui jouerait positivement sur leur rentabilité. Enfin, cela ne fait que renforcer notre conviction sur l’or qui apparait ici encore comme la valeur refuge. Au-delà des achats de banques centrales ou de la couverture que celui-ci offre contre le risque inflationniste, le risque de voir « l’ordre global » changer comme rarement dans l’histoire est sans doute le principal argument en faveur de l’or aujourd’hui. 

Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources que nous considérons comme fiables, mais nous ne garantissons pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 Boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

 

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news-4005 Tue, 11 Feb 2025 11:24:00 +0100 Justice climatique : Le coût social, l’angle mort du changement climatique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/justice-climatique-le-cout-social-langle-mort-du-changement-climatique/ Par Céline ZANELLA, Analyste, pôle de recherche crédit et ESG, Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la branche de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Bien qu’il soit difficile d’établir le lien direct entre catastrophe naturelle (sécheresse, inondation, vague de chaleur, tempête, …) et changement climatique, il est scientifiquement établi que la hausse des températures planétaires augmente la probabilité, la fréquence (multipliée par cinq depuis les années 1980 ) et l'intensité de certains événements extrêmes. Et manifestement, le chronomètre est lancé avec 2024 qui aura été la première année à enregistrer une température moyenne supérieure de 1,5°C à celle de l'ère préindustrielle.

Face à ce constat, le coût économique, c’est-à-dire toutes les pertes financières directement imputables à un événement majeur ainsi que les pertes dues à l'interruption des activités en conséquence directe des dommages matériels, croit également, à un rythme plus important (près de 8x1 par rapport aux années 1980). Selon les premières estimations de l’assureur Swiss Re de décembre 20242 , le coût économique serait ainsi de l’ordre de $310 milliards en 2024, en hausse de +6 % par rapport à 2023.

Il est toutefois possible que ce montant soit sous-évalué. L’impact de ces événements climatiques est en effet particulièrement difficile à estimer dans les pays à faible revenu, surtout pour les catastrophes à évolution lente, comme les sécheresses et les vagues de chaleur.  De plus, les coûts indirects, tels que les coûts sociaux, ne sont pas pris en compte dans cette estimation.

Or, ces événements ont un coût social considérable. Celui-ci englobe les pertes et souffrances humaines (y compris les problèmes de santé physique et mentale), les déplacements de populations, la perte de patrimoines culturels ou encore les perturbations dans les moyens de subsistance. Ces évènements climatiques favorisent également l'augmentation des coûts d’assurance ou encore des soins de santé. Ils accentuent les inégalités existantes, en particulier concernant les populations les plus vulnérables, au sein d’un même pays et entre pays.

Ces inégalités mettent en lumière l'urgence de l'adaptation au changement climatique, tout en soulignant l'importance de la justice climatique. Cette notion fait en effet référence aux impacts inégaux du changement climatique sur les populations, au-delà des seules conséquences environnementales ou physiques.

L’impact économique est généralement plus important en termes absolus dans les pays à revenu élevé puisque la valeur économique des infrastructures et des logements tend à être plus importante. Ces pays sont également davantage couverts par des systèmes d’assurances, rendant l’impact financier quantifiable. A titre d’exemple, selon les premières estimations, les incendies à Los Angeles de janvier 2025 pourraient causer plus de $250 milliards en dégâts économiques3 , représentant près de 6 % du PIB estimé de la Californie pour 2024.

A contrario, les conséquences sociales sont généralement plus élevées dans les pays pauvres mais moins quantifiables. Ces populations ont en effet moins d'actifs, sont moins couvertes par des systèmes d'assurance et ont généralement un accès plus restreint à des offres de services publics. A titre d’exemple, le typhon Yagi qui a violemment touché l’Asie du Sud-Est (Vietnam, Philippines, Laos, Myanmar, Thaïlande) en septembre 2024 aurait généré des pertes économiques de $12,6 milliards4  sur l’ensemble de la région, soit environ 4 % du PIB moyen en 2023 de la zone. La tempête a par ailleurs causé la mort de plus de 800 personnes, endommagé des milliers d’écoles et centres de santé et a eu des conséquences majeures sur l’accès à l’eau potable et à l’assainissement, sur l’état des plantations, ou encore sur l’accès à l’éducation …

Une autre manière d'aborder ces inégalités est de s'intéresser à la question de la couverture d'assurance. En 2024, seul 44 %2 des pertes liées aux catastrophes naturelles étaient couvertes par des assurances. Or, la fréquence et l'intensité croissantes de ces événements ont engendré deux phénomènes majeurs ces dernières années : le retrait de certains assureurs des zones à risque et l'augmentation des primes d'assurance dans ces régions. Par exemple, à la suite des derniers incendies de Los Angeles, State Farm, la principale compagnie d'assurance de Californie, a sollicité l'autorisation des régulateurs pour augmenter de 22 %5  en moyenne les primes d'assurance. Si l’objectif est de soutenir la solvabilité de la compagnie, ces mesures sont souvent mises en place afin de décourager les populations et les entreprises de demeurer dans ces zones vulnérables. Toutefois, cette situation pénalise particulièrement les populations les plus précaires, qui n'ont, dans ces conditions, ni les moyens de souscrire une assurance, ni la possibilité de se relocaliser. L’absence de couverture assurantielle dégrade également le profil crédit des emprunteurs, y compris des entreprises, ce qui rend la phase de reconstruction plus difficile. Elle met également en évidence les inégalités entre pays.

En effet, selon les données rassemblées sur une période de 10 ans par Swiss Re6 , entre 2014 et 2023 (cf. ci-dessous), « le déficit de protection » lié aux catastrophes naturelles, qui fait référence à la différence entre les pertes assurées et non assurées, est beaucoup plus important en Asie (85 %) et en Amérique Latine (80 %) qu’en Amérique du Nord (43 %). Cet écart est également significatif pour la zone EMEA (70 %), où il est encore plus important pour les pays émergents de la zone que pour les pays avancés : déficit de $48 milliards en 2023 (+20 % par rapport à 2013) contre $26 milliards (+13 %) respectivement. En effet, dans les marchés émergents, certaines régions ne sont presque pas protégées contre les risques de catastrophes naturelles.


Source: Swiss Re - How big is the protection gap from natural catastrophes where you are?


Les pouvoirs publics interviennent souvent en dernier lieu pour couvrir le coût des pertes non assurées. A titre d’exemple, le gouvernement espagnol a ainsi promis un financement de plus de €10 milliards7  alloué à la reconstruction après les inondations qui ont frappées la région de Valence en octobre 2024. Face à l’ampleur des conséquences sociales, il a également reconnu la nécessité de mettre en place un plan à long terme pour transformer le territoire et l’adapter aux enjeux de l’urgence climatique qui touchent le bassin méditerranéen.

En effet, afin de se préparer aux défis à venir, les gouvernements doivent adopter des approches proactives pour évaluer les vulnérabilités. En collaboration avec les entreprises et les investisseurs, ils doivent investir dans l’adaptation et la résilience (qualité des infrastructures, préservation des ressources vitales, …), qui ne représentent, selon l’ONU8 , que 21 % du financement international alloué au climat. 

Les gouvernements peuvent également agir pour remédier aux inégalités en proposant des aides financières aux populations vulnérables. Ils devraient intervenir en favorisant notamment le taux de couverture de l’assurance et la mise en place de systèmes de micro-assurance, ce qui permettraient de réduire l'impact des chocs sur les finances publiques. De plus, pour les entreprises, il s'agirait d'adapter leurs pratiques afin de réduire leur impact environnemental, tout en impliquant l’amont de la chaîne de valeur, les travailleurs et les communautés locales afin d’assurer une transition juste. 

Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources considérées comme fiables, mais le groupe La Française ne garantit pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

 


1Barclays, Sustainable Investing Research - Winter update 2024: What's up with the extreme weather?
2Hurricanes, severe thunderstorms and floods drive insured losses above USD 100 billion for 5th consecutive year, says Swiss Re Institute | Swiss Re (December 2024)
3Los Angeles Times, Estimated cost of fire damage balloons to more than $250 billion
4Counting the cost 2024, a year of climate breakdown, Christian Aid (December 2024)
5Los Angeles Times, State Farm seeks emergency rate increase averaging 22% after L.A. fires
6Swiss Re, sigma Resilience Index 2024
7Les Echos, In Spain, the government releases 10 billion euros for flood victims
8United Nations, Climate Action Fast Facts
 

 

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news-4003 Thu, 20 Feb 2025 10:04:00 +0100 Le désengagement public vis-à-vis des risques de durabilité : l’exemple de la Net-Zero Banking Alliance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-desengagement-public-vis-a-vis-des-risques-de-durabilite-lexemple-de-la-net-zero-banking-alliance/ Par Armand SATCHIAN, Analyste, pôle de recherche crédit et ESG, Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la branche de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Alors que la Net-Zero Banking Alliance (NZBA) avait encore le vent en poupe il y a quelques mois, l’annonce de l’arrivée du président Trump à la maison blanche a rebattu les cartes concernant son futur en contribuant, sans doute, au départ de nombreuses banques nord-américaines1  de celle-ci. Le départ de Goldman Sachs en décembre 2024 a sonné la fin d’une année qui avait pourtant était, jusque-là, prometteuse pour l’alliance. Cette dernière continuait à attirer des membres comme Eurobank Holdings SA , Principality Building Society, SBAB Bank ou Bank of Queensland , alors que certaines banques retiraient leur engagement de la Science Based Targets initiative2 . Dans le dernier rapport de la NZBA3 , nous constations sa capacité à stimuler la mobilisation du secteur bancaire dans 44 pays et à orienter les actions menées par ses membres (à fin mai 2024 – 118 banques de l’alliance avaient fixé des objectifs de décarbonation, 76 avaient publié un plan de transition). Parfois critiquée pour le manque de clarté de ses exigences en matière de conception des objectifs de décarbonation, l’alliance peut néanmoins se targuer d’être parvenue à mobiliser l’engagement de plus de 140 banques représentant plus de $56 trillions d’actifs4 . Elle doit néanmoins aujourd’hui composer avec un nouveau facteur qui la fragilise – le désengagement public de nombreux acteurs en matière de durabilité.

Ce désengagement ne se limite pas aux banques mais touche également les régulateurs, comme la Réserve Fédérale (FED), qui s’est retirée de l’initiative Network for Greening the Financial System (NGFS) en janvier 20255 , ou encore les sociétés de gestion, comme Blackrock, qui s’est retirée de l’initiative Net Zero Asset Managers (NZAM) en janvier 20256 . Ce désengagement se matérialise non seulement sur les thématiques environnementales mais également sur les thématiques sociales. Début 2025, nous observions que Google, Disney, McDonald’s, Ford et Meta abandonnaient ou réduisaient leur programme de Diversité, Equité et Inclusion (DEI)7 . Ce mouvement de désengagement est particulièrement observable outre-Atlantique depuis l’élection du nouveau président américain dont la campagne contre les thématiques de durabilité a conduit à la mise en place d’un climat de défiance vis-à-vis des actions publiques menées par les différents acteurs en la matière. Selon l’étude What Directors Think8 , 85 % des administrateurs américains interrogés pensent qu’une prise de position d’un dirigeant sur un sujet sociétal peut mener à une perte de clientèle (vs. 71 % en 2017). Ainsi, alors que le vice-président américain JD Vance9  pointe du doigt l’état de la liberté d’expression en Europe, certains acteurs américains semblent estimer qu’il est préférable d’éviter d’adresser certains sujets de durabilité sur la place publique. Il est trop tôt pour affirmer que le désengagement public sur les thématiques de durabilité s’accompagnera systématiquement d’un recul des efforts fournis par des acteurs moins volubiles. Certains y voient simplement une évolution de la gestion des risques ESG visant à privilégier l’action à l’engagement public. Dans certains cas, le désengagement des acteurs s’est accompagné d’une communication se voulant rassurante. Les banques nord-américaines ont, par exemple, rapidement rappelé leur volonté de poursuivre leurs travaux relatifs à la transition bas carbone. Néanmoins, seule une analyse des publications du premier semestre 2025 devrait nous permettre d’avoir le recul nécessaire pour évaluer l’impact qu’il aura sur la crédibilité de leur stratégie de durabilité.

Ces postures restent toutefois préoccupantes – elles le sont car elles limitent le débat, entravent les avancées permises par les approches collectives et suggèrent, paradoxalement, qu’il est imprudent d’adresser publiquement des risques de durabilité qui se matérialisent un peu plus chaque jour. En effet, le désengagement intervient à un moment extrêmement sensible où des scientifiques montrent que notre capacité à maintenir le réchauffement sous les 1.5°C devient caduque10 . De plus, dans son dernier rapport sur les principaux risques globaux11 , le World Economic Forum souligne que la polarisation de la société, qui affecte sa stabilité, représente l’un des risques majeurs sur le court terme. Sur le long terme, ce même rapport indique que les 4 risques les plus matériels sont des risques climatiques (évènement climatique extrême, perte de biodiversité et effondrement des écosystèmes, changement critique de l’écosystème terrestre, pénurie de ressources naturelles). De plus, répondre à la matérialisation de ces risques climatiques sera de plus en plus compliqué car la probabilité de leur occurrence ne peut plus s’appréhender sur la seule base de leur matérialisation historique12


Être à la hauteur de ces enjeux nécessite que les acteurs économiques soient préparés au mieux. Si l’engagement public ne garantit pas l’atteinte des objectifs annoncés, il donne certainement l’opportunité aux différentes parties prenantes de débattre de la robustesse des mesures proposées. Il crée également un effet d’entraînement sur les marchés et accompagne tous les acteurs, quel que soit leur niveau de ressources. Nous noterons d’ailleurs que cinq banques nord-américaines de taille plus réduite ont, pour le moment, pris la décision de rester membres de l’initiative NZBA et de ne pas suivre le départ de leurs compatriotes. Alors que la plupart des grandes banques membres (ou ex-membres) de l’alliance bancaire ont encore, selon un rapport récent de la Transition Pathway Initiative (TPI)13 , un long chemin à parcourir dans leur transition bas carbone, nous soulignons que le travail de l’alliance permet une prise de conscience collective relative à certains efforts restant à accomplir. La publication de nouvelles lignes directrices de la NZBA en mars 2024 soulignait, par exemple, la nécessité de traiter d’un sujet majeur – l’intégration des émissions facilitées (émissions liées aux activités de conseil sur les marchés de capitaux) aux objectifs de décarbonation des banques. En se désengageant, la redevabilité des banques vis à vis de ces initiatives disparaît. Etant donné les urgences mentionnées ci-dessus, nous pouvons bien entendu espérer que les acteurs économiques maintiendront leurs engagements environnementaux et sociaux. Néanmoins, nous pouvons raisonnablement nous demander quelles seraient leurs motivations dans ce contexte politique incertain. Les attentes des investisseurs peuvent bien entendu constituer un levier majeur d’influence poussant les différentes parties prenantes à maintenir le cap – certains d’entre eux se sont déjà exprimés publiquement sur l’importance de préserver un engagement climatique fort14  soutenu par une législation robuste15 .

Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. La référence à certaines valeurs est donnée à titre d’illustration. Elle n’a pas pour objectif de promouvoir l’investissement en direct dans ces valeurs. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources considérées comme fiables, mais le groupe La Française ne garantit pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. 

 

 


 

1Top American banks exit net zero alliance: What does this mean for their European peers? &#124; Euronews
2HSBC, Standard Chartered, other Major Banks Exit SBTi - ESG Today
3NZBA-2024-Progress Report.pdf
4Members - United Nations Environment - Finance Initiative
5Central banks' green push hits a hurdle as Fed drops out | Reuters
6Statement on Blackrock's departure from the initiative - The Net Zero Asset Managers initiative
7McDonald's Joins The Stampede Of Corporations retreating From DEI
8WDT.2025.pdf
9JD Vance attacks Europe over free speech and migration
10Climate change target of 2C is ‘dead’, says renowned climate scientist | Climate crisis | The Guardian
11WEF _ Global _ Risks _ Report _ 2025.pdf
12Climate intuition _ Navigating the new climate era _ Building intuition for strategic decision making
13State of transition in the banking sector report 2024 - Transition Pathway Initiative
14Asset owner statement on climate stewardship.pdf
15Investors warn Omnibus package could weaken EU sustainability disclosures, harming investment and economic competitiveness

 

 

 

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news-3999 Wed, 19 Feb 2025 11:10:26 +0100 Allemagne : Si la règle d'or est renversée, quelles classes d'actifs en bénéficieront ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/allemagne-si-la-regle-dor-est-renversee-quelles-classes-dactifs-en-beneficieront/ Achevé de rédiger le 12/02/2025 Par François Rimeu, Stratégiste senior, Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la branche de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. L’économie allemande a reculé en 2024 pour la 2ème année consécutive avec une croissance négative de -0,2 %. Les prévisions pour 2025 ne cessent d’être revues à la baisse par l’ensemble des prévisionnistes. La banque centrale allemande, le Fonds Monétaire International (FMI) ou encore le Kiel Institute estiment que la croissance sera au mieux très légèrement positive en 2025. En parallèle, le déficit budgétaire allemand est resté sous contrôle et sous la barre des 3 % en 2022, 2023 et 2024, soit des chiffres bien inférieurs à ceux de la France (compris entre 5 % et 6 % sur la même période), l’Italie (entre 4 % et 8 %) ou encore l’Espagne (entre 3 % et 4,5 %)1. La faible croissance allemande et son corollaire, la hausse du taux de chômage, ont entrainé depuis plusieurs mois des débats autour de la règle du « frein à l’endettement ». Cette règle, inscrite dans la constitution en 2009 à la suite de la crise financière, limite le déficit budgétaire annuel structurel à 0.35% du PIB et justifie le faible déficit allemand. C’est donc sans surprise qu’elle est devenue l’un des enjeux majeurs des élections prévues le 23 février prochain en Allemagne.

Les derniers sondages2 semblent annoncer une victoire assez large des partis-frères de droites, l’Union Chrétienne démocrate (CDU) et l’Union Chrétienne-Sociale en Bavière (CSU), avec 29,8 % des intentions de vote. L’Alternative pour l’Allemagne (AFD, parti d’extrême droite) gagne du terrain avec 21,5 % des intentions de vote alors que les Verts (die Grünen) et le parti Social-Démocrate d’Allemagne (SPD, centre) sont respectivement à 13,1 % et 16,1 %. Trois autres partis sont actuellement autour de la barre des 5 % nécessaires pour avoir des représentants au parlement allemand. Il s’agit du parti libéral démocrate (FDP), de l’Alliance Sahra Wagenknecht (BSW, extrême gauche conservateur) et de Die Linke (extrême gauche). La transcription des sondages en sièges est aujourd’hui difficile et aléatoire dans la mesure où les résultats peuvent beaucoup varier en fonction du passage ou non de la barre des 5 % des trois partis.

Il est possible que le CDU/CSU n’ait besoin que de l’un des deux partis (les Verts ou le SPD) pour obtenir une majorité simple mais notre hypothèse de base reste cependant une grande coalition avec Friedrish Merz comme chancelier pour éviter qu’une coalition avec le SPD ou les Verts ne soit fragilisée en raison d’une faible majorité.

Le plus important n’est toutefois pas de savoir si la coalition sera construite autour de deux ou de trois partis. L’essentiel est de savoir si les opposants à toute réforme de la règle du frein à l’endettement obtiendront une minorité de blocage, c’est-à-dire plus de 33 % des sièges. En effet, pour modifier la constitution, il faut la majorité des deux tiers. L’AFD y est aujourd’hui opposé, comme le BSW et Die Linke. Le passage de la barre des 5 % de ces deux derniers partis pourrait donc suffire à rendre toute modification extrêmement difficile. Malgré tout, obtenir un consensus assez large pour qu’une modification de la règle constitutionnelle soit possible n’est pas irréaliste.

Les trois partis qui constitueraient la coalition n’ont cependant pas exactement la même ligne concernant une modification de la constitution : le SPD et les Verts sont a priori plus ambitieux que le CDU/CSU qui lui est un peu plus frileux quant aux changements profonds de la règle. Le score combiné des Verts et du SPD conditionnera donc leur poids dans les négociations avec le CDU/CSU. Plus leur score est important, plus les modifications à la règle du frein à l’endettement seront potentiellement ambitieuses. Friedrich Merz a en effet répété à plusieurs reprises qu’il n’était pas contre réformer la règle mais qu’il fallait que les nouvelles dépenses soient liées à de l’investissement.

Néanmoins, au regard des propositions de chacun de ces trois partis, c’est le CDU / CSU qui semble prôner les réformes fiscales les plus substantielles :

  • Le CDU/CSU veut réduire l’impôts sur les sociétés à 25 %, abolir l’impôt de solidarité pour les ménages aisés, réduire l’impôt sur le revenu et baisser la TVA. Ils ont aussi pour objectif d’abaisser les prix de l’électricité, de simplifier l’immigration des travailleurs qualifiés tout en durcissant l’accès à certaines aides sociales.
  • De son côté le SPD veut réduire l’impôt sur le revenu pour les ménages les plus modestes tout en augmentant l’imposition des plus riches. L’objectif recherché étant de réduire les inégalités. Ils ont aussi pour objectif d’augmenter la taxation des héritages et de mettre en place un impôt sur la fortune tout en diminuant la TVA sur la nourriture et l’impôt sur les sociétés en cas d’investissement. Comme pour le CDU / CSU, le prix de l’électricité serait revu à la baisse et l’accès au marché du travail serait simplifié pour les travailleurs étrangers qualifiés.
  • Les Verts ont des propositions globalement similaires au SPD auxquelles s’ajoutent des subventions « climatiques » à destination des ménages, à l’exception des plus aisés.

Les dépenses militaires pourraient être extraites de l’enveloppe du calcul de l’endettement pour « simplifier » les débats ; une hausse de ces dépenses étant de toute façon probable pour répondre aux revendications de l’administration Trump. La posture concernant l’énergie nucléaire pourrait, elle aussi, évoluer mais demandera à la fois un changement de loi et des contrôles techniques importants. Il y a en effet maintenant une courte majorité de la population en faveur de l’énergie nucléaire. (Source : Radiant Energy Group, 2024)

L’institut de recherche économique de Cologne a estimé l’impact fiscal des différents programmes à €70 milliards pour le CDU / CSU, €15 milliards pour le SPD et €32 milliards pour les Verts. Difficile donc de lier ces hausses de dépense aux différentes postures concernant la règle du frein à l’endettement, surtout pour le CDU / CSU. Il sera sans doute compliqué pour Friedrich Merz d’afficher pendant les élections une posture très « dépensière » dans la mesure où son parti a toujours été vu comme le plus vertueux mais, in fine, il ne serait pas opposé à modifier la constitution.

Il nous semble donc probable qu’une réforme de la constitution ait lieu à la suite des élections en Allemagne mais celle-ci n’est pas garantie en cas de scores au-dessus de 5% de la part des « petits » partis opposés à cette réforme. Estimer l’impact fiscal est un exercice difficile, mais il sera de toute façon faible en 2025. Selon les spécialistes de droit constitutionnel allemand, il est en effet illusoire d’imaginer une modification de la constitution avant septembre au plus tôt.

Quels impacts pour les marchés financiers ?

Il ne faut pas négliger l’impact psychologique d’une telle réforme. La perspective de voir le prix de l’électricité diminuer et les impôts baisser à la fois pour les entreprises et les ménages devrait avoir un impact positif sur la consommation et l’investissement. Les derniers indicateurs montrent d’ailleurs une légère amélioration avec des PMI qui repassent au-dessus de 50, au 31/01/2025, Source : S&P Global (c’est le cas aussi des indicateurs Sentix). Il ne faut pas non plus négliger l’effet d‘entrainement sur les autres pays de la zone Euro ; à titre d’exemple nous estimons que toute hausse du PIB allemand de 1% entraine une hausse de 0.1% du PIB français.

Pour les marchés financiers cela serait une bonne nouvelle et permettrait d’envisager des flux à destination de la zone, en particulier vers les marchés actions. Le programme du CDU / CSU semble favorable aux secteurs immobilier / infrastructure (moins d’encadrement des loyers, sous-investissement chronique qui devrait s’estomper), automobiles (ils devraient être favorables à de moindres contraintes liées au CO2), défense (augmentation des dépenses) et financiers. Avec des prévisions de croissance qui ne seraient revues que légèrement à la hausse pour l’Allemagne, la politique monétaire de la BCE ne devrait, quant à elle, pas être impactée significativement en 2025. Une telle réforme jouerait aussi positivement pour la devise Euro. Evidemment les élections allemandes ne sont pas les seuls facteurs influençant ces marchés. Il sera tout aussi important de suivre l’évolution de la politique de l’administration Trump ou encore une potentielle relance budgétaire en provenance de la Chine.

1 Croissance allemande 2024 & Déficit budgétaire 2022, 2023, 2024, Source : Bloomberg
2 Europeelects, au 10/02/2025

Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources que nous considérons comme fiables, mais nous ne garantissons pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

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news-3995 Tue, 11 Feb 2025 11:09:35 +0100 La Française s’engage pour un cadre réglementaire stable et prévisible en Europe /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-sengage-pour-un-cadre-reglementaire-stable-et-previsible-en-europe/ Le Groupe La Française a signé une déclaration conjointe d'investisseurs initiée par Eurosif, l’IIGCC et les PRI sur une potentielle Directive Omnibus de la Commission Européenne pour amender CSRD, CS3D et la Taxonomie verte. Si l'objectif affiché est de simplifier ces textes, il y a des risques qu'à cette occasion ils soient entièrement rediscutés par les états membres et les membres du Parlement européen. Or des changements sur les fondements de ces directives et ce règlement pourraient être extrêmement préjudiciables pour les investisseurs responsables et la position pionnière de l'Europe.

Cette déclaration cherche à préserver les principes fondamentaux des règles qui sous-tendent ces textes (CSRD, CS3D, Taxonomie Verte) afin d'éviter une incertitude réglementaire et propose un traitement ciblé et technique des incohérences et des problèmes de mise en œuvre rencontrés.

Le Groupe La Française, comme les entreprises et les acteurs des marchés financiers, a besoin de perspectives de long terme et de cadres stables pour s’adapter dans la durée. Il est ainsi attaché à la stabilité des cadres réglementaires et est favorable à une évolution des modalités de mises en œuvre des directives plutôt qu’à leur révision. 
 

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news-3994 Tue, 11 Feb 2025 10:30:15 +0100 Faut-il craindre le M&A bancaire européen ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/faut-il-craindre-le-ma-bancaire-europeen/ La vague d’annonces de fusions et acquisitions (M&A) entre banques s’est intensifiée ces derniers mois en Europe, à tel point que presqu’aucune semaine ne passe désormais sans que de nouvelles rumeurs ou tentatives d’OPA n’apparaissent. L’accélération récente de la tendance dénote une évolution dans les raisons qui poussent les banques à se rapprocher. Sommes-nous en train de passer d’un M&A de sauvetage et de consolidation à un M&A d’hubris et de folie des grandeurs ? Nous évaluons dans cette note les marqueurs de cette nouvelle tendance et ses conséquences générales pour les porteurs obligataires. LES POINTS À RETENIR :

  • L’ère du M&A de sauvetage est révolue depuis longtemps
  • Le M&A de consolidation : une phase qui touche à sa fin ?
  • Le retour du M&A de l’hubris ?

L’ÈRE DU M&A DE SAUVETAGE EST RÉVOLUE DEPUIS LONGTEMPS

La Grande Crise Financière (Great Financial Crisis, GFC) de 2007-2009 a marqué un bouleversement pour le secteur bancaire mondial. Alors que les plus grands établissements américains et britanniques se retrouvaient contraints de fusionner en urgence, les institutions du continent européen ont subi une vague de nationalisations et de plans d’aides massifs. Les séquelles de la crise de l’euro ont mis en évidence les carences réglementaires et bilancielles des établissements européens, alors que la quasi-totalité des banques de pays dits « périphériques » n’avait plus accès au marché interbancaire et devait compter sur les liquidités de la BCE et de leurs banques centrales nationales pour survivre.

La mise en place des normes de solvabilité et de liquidité de Bâle 3, ainsi que la formation du Mécanisme de supervision unique de la BCE (SSM) ont accéléré les fusions dans certains des secteurs bancaires les plus fragmentés, comme en Espagne ou en Italie, avec notamment la transformation de la plupart des caisses d’épargne dans ces deux pays. Les banques devaient fusionner pour ne pas mourir.

Certaines n’ont pu échapper à leur liquidation (Banco Popular, banques vénètes en Italie…), tandis que d’autres ont dû priver leurs actionnaires de dividendes durant de nombreuses années pour former des coussins de fonds propres en accord avec les exigences croissantes des régulateurs. De nombreux groupes bancaires se sont aussi désengagés de pays qu’ils jugeaient « non-core », afin de se recentrer sur leurs géographies d’origine et diminuer leurs niveaux de levier. Ce type de M&A n’a plus cours depuis 2019 selon nous, à l’exception de la banque helvète Credit Suisse, absorbée en urgence par UBS début 2023 en raison de ses déficiences majeures de gouvernance et de liquidité.

LE M&A DE CONSOLIDATION : UNE PHASE QUI TOUCHE À SA FIN ?

La rentabilité des banques a été durement entravée par un environnement de taux bas jusqu’en 2022, par des structures de coûts élevées (notamment en banque de détail avec une rationalisation croissante des réseaux d’agences et la concurrence des banques en ligne), par d’importantes provisions pour risques de crédit et risques de litiges et par des besoins considérables de mise en réserve des résultats pour s’assurer des ratios de fonds propres confortables. La course à la taille est donc devenue un enjeu primordial pour s’assurer un effet d’échelle et des économies de coûts. Là encore, les secteurs bancaires espagnol et italien ont été aux avant-postes, notamment avec la fusion entre CaixaBank et Bankia (2020-2021), ou l’OPA hostile d’Intesa Sanpaolo sur UBI Banca (2020-2021 aussi). L’enjeu était de se ménager une position dominante sur son marché local, tout en bénéficiant d’un environnement réglementaire et comptable plus favorable aux fusions (formation de badwill et usage de crédits d’impôts différés) et de bilans moins complexes. La philosophie du « Too Big To Fail » était enterrée, avec l’assentiment des instances de régulation et de tutelle. Au-delà de la consolidation d’acteurs de premier et de second plan, de nombreuses banques ont par ailleurs ajusté leurs bilans en fonction de leurs avantages compétitifs, se renforçant ou s’allégeant sur des activités plus précises (crédits à la consommation, créances sur cartes bancaires, leasing automobile…).

La course à la taille peut cependant se heurter à certaines limites, par exemple dans les cas d’OPA hostiles pour des établissements systémiques. Deutsche Bank n’a pas su convaincre les autorités allemandes de son projet d’acquisition de Commerzbank en 2019, en raison des risques de licenciements importants qui pesaient sur l’opération, ainsi que des cibles de synergies incertaines en raison de la très faible rentabilité intrinsèque du secteur de la banque de détail allemand. Bien que l’OPA hostile de BBVA sur Banco Sabadell soit moins problématique en termes d’aspects systémiques, la complexité et la taille de l’offre lancée en mai 2024 nécessitent d’innombrables approbations et batailles de lobbying, qui pourraient décourager BBVA à terme si les autorités décident d’imposer des cessions d’actifs pour valider l’opération. Il a alors semblé plus simple de considérer les consolidations pour des banques de second rang, à l’instar des banques britanniques Nationwide et Coventry Building Society, qui ont annoncé au S1 2024 les acquisitions respectives de Virgin Money et Co-Op Bank (voir tableau en annexe pour plus de détails), ou très récemment pour la banque danoise Nykredit avec Spar Nord Bank.

Le constat semblait alors évident : il était plus simple de se consolider sur son territoire de domiciliation plutôt que s’aventurer à l’étranger, notamment pour des raisons financières (nécessité de maintien de ratios de solvabilité et de liquidité conséquents et séparés dans chaque pays, complexités prudentielles sur les périmètres de résolutions bancaires, incomplétude de l’Union bancaire européenne sur le fonds de garantie des dépôts européen, synergies moins évidentes).

LE RETOUR DU M&A DE L’HUBRIS ?

La banque italienne UniCredit, aussi présente en Allemagne et en Autriche en banque de détail, est rentrée dans la danse du M&A de grande taille de manière fracassante, en montant rapidement au capital de Commerzbank en septembre 2024, provoquant l’ire des politiques allemands et du management de la banque allemande. Certaines déclarations pouvaient même être interprétées comme du mépris, voire davantage, envers les velléités d’une banque italienne envers une banque allemande¹. L’opposition est vite devenue politique avant d’être financière, mettant en évidence des crispations nationalistes comme obstacle supplémentaire aux rapprochements transnationaux. S’il est aisé de critiquer la position allemande, posons-nous la question suivante: quelles seraient les réactions politiques et dans les milieux d’affaires si une grande banque étrangère souhaitait faire l’acquisition d’une banque française comme Société Générale par exemple?

Acquérir à l’étranger? Oui. Être acquis par des étrangers? Non merci.

Andrea Orcel, le directeur général d’UniCredit, sentant son projet de M&A en Allemagne au mieux retardé par la tenue à venir d’élections, a donc jeté son dévolu sur la banque italienne Banco BPM en novembre 2024, seulement 12 jours après que celle-ci eut annoncé une OPA sur le gestionnaire d’actifs Anima. Mener un projet d’acquisition bancaire est déjà une ambition majeure en soi, mais en mener deux de front paraît presque irréalisable, voire le signe d’un excès d’orgueil de son dirigeant, désireux de proposer à ses actionnaires un nouveau récit, alors que la baisse attendue des taux européens risque d’affecter les marges nettes d’intérêts des banques européennes. […]

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news-3992 Fri, 31 Jan 2025 16:18:15 +0100 Modification du prix de part de la SCPI LF EUROPIMMO /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-lf-europimmo-1/ Titre : Modification du prix de part de la SCPI LF Europimmo
Date : 01/02/2025
Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI LF Europimmo.
En conséquence, à compter du 1er février 2025, le prix de souscription de la SCPI LF Europimmo diminue de 23,28% et se compose de la manière suivante :
Valeur nominale : 400,00 €
Prime d'émission : 325,00 €
--------------------------
Prix de souscription : 725,00 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 725,00 €, dont 58,00 € HT, soit 69,60 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 667,00 € 

Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI LF Europimmo a reçu le visa AMF SCPI n°19-18 en date du 20 août 2019.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
 

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news-3991 Wed, 29 Jan 2025 18:12:31 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « la française rendement global 2028 » de la sicav la française FR-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_RG_2028.pdf news-3990 Wed, 29 Jan 2025 18:09:12 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « la française carbon impact 2026 » de la sicav la française FR-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_CI_2026.pdf news-3989 Wed, 29 Jan 2025 17:59:49 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Financial Bonds 2027 » de la SICAV La Française CH-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LF_FB_2027/20250128_LEG_La_Francaise_SICAV_FB_2027_CH_fr.pdf news-3987 Wed, 29 Jan 2025 17:49:38 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « la française financial bonds 2027 » de la sicav la française, de droit français BE-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_FB_2027_BE_fr_Clean.pdf news-3986 Wed, 29 Jan 2025 17:48:34 +0100 Lettre aux porteurs du fonds « MEDI Obligations Variables » https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_MEDI_OV.pdf news-3985 Wed, 29 Jan 2025 17:46:13 +0100 Lettre aux porteurs du FCPE « CMNE Participation Obligations » https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_CMNE_Participation_Obligations.pdf news-3983 Wed, 29 Jan 2025 17:41:11 +0100 Lettre aux porteurs du fonds « Patrimoine Rendement Global » https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_PRG.pdf news-3980 Wed, 29 Jan 2025 17:18:21 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « la française financial bonds 2027 » de la sicav la française FR-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_FB_2027.pdf news-3978 Wed, 29 Jan 2025 17:10:01 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » de la Sicav la française CH-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/20250128_LEG_La_Francaise_SICAV_CIFR_CH_fr.pdf news-3977 Wed, 29 Jan 2025 17:04:26 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « la française carbon impact 2026 » de la sicav la française, de droit français BE-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_CI_2026_BE_fr_Clean.pdf news-3972 Wed, 29 Jan 2025 16:38:11 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « la française carbon impact 2026 » de la sicav la française CH-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/20250128_LEG_La_Francaise_SICAV_CI_2026_CH_fr.pdf news-3971 Wed, 29 Jan 2025 16:30:56 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la Sicav la française CH-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/20250128_LEG_La_Francaise_SICAV_LF_RG_2028_CH_fr.pdf news-3965 Wed, 29 Jan 2025 14:56:54 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la Sicav la française, de droit français BE-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_RG_2028_BE_fr_Clean.pdf news-3957 Wed, 29 Jan 2025 13:46:39 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » de la Sicav la française BE-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP_LF_CIFR_BE_fr_Clean.pdf news-3956 Wed, 29 Jan 2025 13:41:40 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » de la Sicav la française FR-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LF_CIFR/LAP_LF_CIFR.pdf news-3955 Wed, 29 Jan 2025 10:52:20 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la Sicav la française FR-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LAP_LF_RG_2028.pdf Modification de la stratégie d’investissement du compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

Vous êtes actionnaires du compartiment La Française Rendement Global 2028 de la SICAV La Française (ci-après le « Compartiment ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Quels changements vont intervenir sur votre Compartiment ?

Nous vous informons que Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion du Compartiment La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») a décidé de modifier la prise en compte des critères extra-financiers des valeurs en portefeuille du Compartiment en passant d’une approche en sélectivité à une approche n’atteignant pas les standards de la communication centrale ou réduite, de façon à permettre à la gestion de saisir toutes les opportunités liées aux valeurs de l’univers d’investissement.

En conséquence, le seuil de 20% en sélectivité d’émetteurs ayant un score ESG inférieur est supprimé. La classification de votre fonds en tant que produit promouvant des objectifs environnementaux et sociaux (article 8 SFDR) reste inchangée.

Quand cette opération interviendra-t-elle ?

Cette opération entrera en vigueur le 31 janvier 2025.

Pour toute précision, nous vous invitons à contacter votre interlocuteur habituel.

Si vous acceptez les termes de ces modifications, cette opération n’implique aucune démarche spécifique de votre action.

Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat de vos actions sans frais à tout moment, le Compartiment n’appliquant pas de commission de rachat.

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news-3950 Tue, 28 Jan 2025 17:26:10 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Obligations Carbon Impact » de la Sicav la française FR-FR https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2025/LAP/LF_OCI/LAP_LF_OCI.pdf news-3949 Tue, 28 Jan 2025 14:12:08 +0100 Gestion alternative : Bilan & perspectives /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gestion-alternative-bilan-perspectives/ L’année 2024 reste une année de bonne facture pour les classes d’actifs risquées, principalement en raison de prévisions de croissance globalement moins alarmistes que celles anticipées par le marché. Les performances 2024 en sont l’illustration : -2,5% pour l’indice CAC40, 28,64% pour l’indice Nasdaq-100, et 23,31% pour l’indice S&P 500. Sur la partie obligataire, les résultats ont été plutôt mitigés avec in fine des performances proches de la neutralité. Concernant l’année 2025 qui vient de débuter, le consensus diffère très largement de ce que l’on a observé en 2024. Les craintes de récession ont disparu, les prévisions de croissance ont été revues à la hausse et les attentes de croissance de bénéfice sont élevées. De plus, les valorisations des marchés actions ne laissent de surcroît que peu de place pour les déceptions dans une année qui risque d’être assez mouvementée en raison des incertitudes politiques et géopolitiques.

Les points à retenir : 

  • 2025 : Un environnement favorable à la gestion alternative dans la continuité de 2024
  • Cigogne Management : 30 ans d’expertise, acteur clé dans la démocratisation de la gestion alternative. 
  • Le fonds Credit Opportunities : une solution de diversification optimale, offrant une approche flexible et dynamique.

Qui dit incertitudes, dit opportunités pour la gestion alternative. En effet, cette dernière complète naturellement la gestion traditionnelle en exploitant les inefficiences des marchés, notamment en période de dislocation. Ainsi que ce soient des incertitudes géopolitiques, fiscales, de guerre commerciale, celles-ci sont généralement source d'opportunités pour les stratégies d'arbitrage, surtout dans des environnements incertains et volatils. Les stratégies d’arbitrage permettent en effet de capter les écarts de prix et de générer un gain potentiel.
 

Parmi les stratégies d’arbitrages existantes, les activités sur le crédit Investment Grade et les obligations convertibles devraient rester performantes, bien qu'une sélectivité accrue soit nécessaire pour le segment High Yield, où les risques de défaut augmentent.

Le creusement des déficits publics et les incertitudes économiques généreront de la volatilité sur les dettes souveraines. Les stratégies de valeur relative sur ces émetteurs devraient également figurer parmi les points forts de l’année. 

Quelle solution d’investissement privilégier dans ce contexte ?

Face à une année 2025 qui s’annonce riche, nous pensons que le fonds Cigogne UCITS - Credit Opportunities est une stratégie qui pourrait en bénéficier, bien que tout investissement sur les marchés financiers comporte des risques de perte en capital. Cette solution repose sur une approche multi-stratégies et offre une grande flexibilité d’adaptation à différentes conditions de marché.

  • Un atout différenciant pour atteindre l’objectif de performance

Le fonds Cigogne UCITS - Credit Opportunities combine l’expertise de CIC Marchés, conseiller en investissement de Cigogne Management, bénéficiant d’une expérience de près de 30 ans en matière de gestion alternative et celle de Cigogne Management, société de Gestion Alternative du Groupe La Française, spécialisée dans les stratégies d’arbitrage depuis plus de 20 ans.

La gestion alternative, de par sa recherche de performance absolue, est un complément à la gestion traditionnelle.

- Joffrey CZURDA

L’objectif de Cigogne UCITS - Credit Opportunities est d’offrir sur la période recommandée d’investissement de 3 ans, un rendement régulier (€ster + 2 à 3 % environ, quel que soit le niveau de l’€ster) tout en maintenant une volatilité relativement faible (<3%). Pour se faire, les gérants s’appuient sur un univers d’investissement très large : toutes zones géographiques, tous types d’émetteurs (publics et privés), toutes maturités et notations de dettes.  
 

  •  Une solution construite autour de 4 moteurs de performance

Le portefeuille est construit autour de quatre grandes stratégies :

  1. Stratégies de valeur relative : permet de tirer parti des écarts de rémunération entre titres de créance et instruments financiers dérivés.
  2. Arbitrages d’obligations convertibles : permet d’exploiter les anomalies de marché entre les différentes composantes des obligations convertibles.
  3. Stratégies de crédit : permet de bénéficier de niveaux de portages attrayants sur des émetteurs, des secteurs ou des indices ciblés.
  4. Stratégies global macro : permet de couvrir les risques extrêmes ou exploiter les opportunités qui peuvent survenir suivant les conditions de marché. 
     

Source : Groupe La Française au 27/01/2025

Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.www.la-francaise.com
Ce produit présente un certain nombre de risques décrits dans le prospectus, parmi lesquels les plus importants sont: les risques de perte en capital, les risques de marché, les risques de taux d'intérêt, les risques de crédit ou de défaut de paiement, les risques de liquidité, les risques de contrepartie, les risques liés à l’utilisation des produits dérivés, les risques opérationnels et de gestion et les risques de volatilité.
 

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news-3947 Mon, 27 Jan 2025 16:05:22 +0100 Une pause en janvier, et probablement plus longtemps /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-pause-en-janvier-et-probablement-plus-longtemps/ Comme attendu, la Réserve fédérale américaine (Fed) devrait maintenir ses taux inchangés pour cette première réunion de l’année après 100 points de base (pbs) de baisses de taux cumulés depuis septembre dernier. Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • À l’unanimité, le Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) laissera ses taux directeurs entre 4,25 % et 4,50 % en raison de la performance de l’économie américaine et de l’inflation qui reste élevée par rapport à l’objectif de 2 %.
     
  • En écho au compte-rendu de la réunion du FOMC de décembre et aux déclarations du gouverneur Christopher Waller le 16 janvier, le président de la Fed, Jerome Powell, maintiendra la perspective de baisses de taux en 2025 puisque la Fed s’attend toujours un retour de l’inflation à la cible de 2 % à moyen terme. 
     
  • Toutefois, il devrait préciser que le FOMC qui suit une approche « dépendante des données » (notamment sur l’inflation et sur le marché du travail) n’a pas d’engagement à l’avance sur le calendrier des futures baisses de taux. En conférence de presse, Jerome Powell pourrait envisager une réduction de taux en mars si les données d’inflation confirment les prévisions de la Fed d’ici là. Cependant, à ce stade, la probabilité d’une telle décision nous semble faible au regard du contexte macroéconomique actuel marqué par le manque de visibilité de l’orientation de la politique économique de l’administration Trump. A l’opposé, bien que la Fed reporte ses baisses de taux, le président de la banque centrale américaine écartera très probablement l’hypothèse d’une hausse de taux.
     
  • Le FOMC maintiendra certainement le resserrement quantitatif (QT), les officiels de la Réserve fédérale n’ont pas manifesté de velléité d’arrêter la politique de QT à cette réunion.

En résumé, conformément aux « dots » de décembre qui montraient des baisses de taux moins nombreuses pour 2025, le FOMC devrait faire preuve de prudence lors de sa réunion de janvier en marquant une pause dans sa politique d’assouplissement.  La réaction des marchés financiers devrait donc être modérée mais positive grâce à l’optimisme de la Fed sur des futures baisses de taux d’ici la fin de l’année. La trajectoire des taux directeurs américains sera redéfinie lors du comité des 18 et 19 mars avec la mise à jour du « résumé des perspectives économiques » de la Fed (Summary of Economic Projections - SEP) qui dépendra en partie des répercussions potentielles du programme économique de Donald Trump.


Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

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news-3944 Mon, 27 Jan 2025 10:41:53 +0100 La BCE, un pas de plus vers la neutralité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-bce-un-pas-de-plus-vers-la-neutralite/ A moins d’une énorme surprise, après quatre baisses de taux depuis juin dernier, la Banque centrale européenne (BCE) devrait baisser les taux directeurs de 25 points de base (pbs) lors de sa réunion de jeudi, le 30 janvier. Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Le Conseil des gouverneurs de la BCE réduira de nouveau les taux directeurs de 25 pbs chacun avec des perspectives d’inflation autour de l’objectif de 2 % à moyen terme et des risques d’inflation, haussiers et baissiers, globalement équilibrés. Cela amènera le taux de dépôt à 2,75 %, le taux de refinancement à 2,90 % et le taux de prêt marginal à 3,15 %.
     
  • Bien que l’institution continue de tabler sur une reprise de l’activité cette année, elle soulignera que les risques pesant sur la croissance restent orientés à la baisse avec un risque que l’inflation soit inférieure à la cible de 2 % si la croissance de la région demeure faible.
     
  • Pour la suite, la présidente de la BCE, Christine Lagarde, indiquera que la banque centrale agira avec prudence, de manière équilibrée à l’approche du taux « neutre » (niveau de taux qui ne stimule ni ne freine l’économie) qui se situe entre 1,75 % et 2,5 % selon l’institution. A ce stade, l’objectif communiqué par la majorité des membres de la BCE est d’atteindre le taux neutre cette année, probablement d’ici la fin du premier semestre.
     
  • En écho au compte rendu du comité monétaire de décembre, nous ne pensons pas que Christine Lagarde signalera une velléité de la BCE de réduire les taux de manière plus importante (ajustement de 50 pbs) à moins de voir surgir un risque de récession dans la région.
     
  • La BCE maintiendra également la dépendance aux données avant de réévaluer les perspectives de croissance et d’inflation à l’occasion du prochain comité en mars.
     

En conclusion, la BCE sera en mode « pilotage automatique » en janvier en attendant les nouvelles prévisions macroéconomiques publiées lors du comité monétaire du 6 mars. Cette décision de taux largement anticipée par les investisseurs et télégraphiée par les membres de la banque centrale ne devrait pas déclencher une forte réaction des marchés.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.  
 

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news-3943 Fri, 24 Jan 2025 11:32:45 +0100 Les équipements automobiles en Europe peuvent-ils sortir du labyrinthe ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-equipements-automobiles-en-europe-peuvent-ils-sortir-du-labyrinthe/ Le placement de Northvolt, fabricant de batteries pour véhicules électriques, censé incarner le futur énergétique de l’Europe, en « Chapter 11 » depuis le 21 novembre 2024, pose question sur la stratégie européenne concernant l’industrie automobile. À l’image de cette chute, les équipementiers automobiles accusent une perte nette de 56 000 emplois en Europe entre 2020 et 20241 tandis que BYD (fabriquant chinois d’automobiles) a augmenté ses effectifs de 415 000 personnes entre 2021 et 20232 et multiplié par 6,5x ses ventes de véhicules faisant de lui le leader mondial des véhicules électriques. L’industrie automobile européenne semble engluée dans une règlementation sévère avec peu de contreparties financières, contrairement aux subventions massives de l’Inflation Reduction Act aux États-Unis et au soutien du gouvernement chinois à ses industriels… …et face à un très faible engouement des consommateurs européens pour ses véhicules très coûteux. CE QU’IL FAUT RETENIR :

  • Le marché automobile européen est en recul, contrairement à la Chine
  • Le marché est contrôlé à 70 % par les asiatiques et la plupart des trente projets européens de gigafactories (usines produisant des batteries pour véhicules électriques) ont été conçus et construits avec l'aide d'entreprises chinoises et coréennes
  • Cependant, la Chine ne détient pas tous les savoir-faire en matière automobile. Ainsi, les pièces complexes et lourdes (telles que la motorisation, la transmission, le châssis, les sièges) sont maîtrisées par les européens

Les équipementiers automobiles accusent une perte nette de 56 000 emplois en Europe entre 2020 et 2024 tandis que BYD (fabriquant d’automobiles) a augmenté ses effectifs de 415 000 personnes entre 2021 et 2023 et multiplié par 6,5x ses ventes de véhicules faisant de lui le leader mondial des véhicules électriques.

L'échec de Northvolt : un symbole des ambitions européennes avortées

Fondée en 2017 pour concurrencer les géants asiatiques de la batterie (CATL, LG, etc.), la start-up suédoise est un symbole des ambitions de l’Europe dans la transition énergétique. Très rapidement, Northvolt lève des fonds pour des montants considérables (15 Mds€) en dette et en capital auprès de Volkswagen (actionnaire à 21 %), BMW (2,8 %), de grandes institutions financières (principalement Goldman Sachs) et plus marginalement de fonds publics. À fin 2022, Northvolt avait un carnet d’ordres pléthorique de 55 Mds$, donc un engagement fort de la part des constructeurs.

Malheureusement, le management, trop ambitieux, a cherché à construire huit usines de haute technologie quasi simultanément sur huit lieux différents et deux continents. Faute de personnel qualifié suffisant dans ces technologies de pointe, de machines-outils maîtrisées, la première usine ne produit que 1 % de son objectif initial. Ceci a mené à un retrait de commandes de clients dont BMW et à une consommation de trésorerie monumentale puisqu’il lui reste à fin 2024, 5,8 Mds$ de dettes contre 30 M$ de liquidités3. Il reste toutefois quelques mois à Northvolt pour trouver de nouveaux financements grâce à une redimensionnement de son projet.

Grâce à d’autres projets (Verkor, ACC, PowerCo, etc.), l’Europe a tout de même réussi à augmenter sa part du marché mondial de la batterie de 3 % à 17 % depuis 2017, avec un revenu annuel de 81 Mds€ en 2023 après avoir dépensé plus de 6 Mds€ du budget de l'Union européenne (UE) pour soutenir les projets transfrontaliers de batterie et l'innovation4. Mais le marché est contrôlé à 70 % par les asiatiques et la plupart des trente projets européens de gigafactories (usines produisant des batteries pour véhicules électriques) ont été conçus et construits avec l'aide d'entreprises chinoises et coréennes. Ainsi, CATL et Stellantis ont annoncé co-construire une usine de batteries au lithium en Espagne, ce qui permettra à la Chine d’étendre son empreinte manufacturière sur le sol européen.

L’industrie automobile européenne tarde donc à se transformer en termes industriels afin de résister à l’agressivité des acteurs chinois, coupés du marché américain par les interdits géopolitiques. À ceci s’ajoute la « falaise » des règlements sur le CO2 menaçant les constructeurs automobiles avec des amendes pouvant atteindre plusieurs milliards d’euros.

Le marché européen de véhicules vendus (y compris le Royaume-Uni) s’est rétréci à 13,4 millions en 20245, soit un recul de 17 % vs. 2018. La production européenne hors Royaume-Uni avait également fortement diminué de 18,5 %, à 12,2 millions en 20236. Ces moindres volumes pèsent lourdement sur la structure de coûts des équipementiers automobiles. En outre, les coûts de production sont en hausse en raison de l’inflation des prix de l’énergie, des prix de la logistique et des salaires. Mais surtout, selon Jim Fairley, CEO de Ford Motors, la construction d’une voiture à motorisation électrique nécessite 40 % de main d‘oeuvre en moins qu’une voiture thermique7. Aussi, les constructeurs en Europe annoncent des réductions de capacités (Volkswagen, Ford).

À ceci s’ajoutent les ambitions de lutte contre le changement climatique de l’UE. À partir de 2025, les émissions moyennes de CO2 des nouvelles voitures doivent être réduites de 15 % par rapport aux niveaux de 2021, avec un objectif de réduction de 37,5 % d'ici 2030. Cela impliquerait que les ventes de voitures particulières en Europe atteignent un taux de pénétration des véhicules électriques (VE) de ≥28 % en 2025 (contre 21 % au S1-24, pour que l'ensemble du marché automobile soit conforme. Les constructeurs doivent respecter ces limites sous peine de sanctions financières pouvant aller jusqu’à un montant global de 15 Mds€.

La baisse du marché et les contraintes règlementaires impliquent une restructuration profonde du tissu industriel. Ainsi, l’association européenne des équipementiers automobiles8) indique qu'environ 56 000 emplois nets ont été perdus depuis 2020. D’autres suppressions d’emplois (32 000) ont été annoncées au cours du premier semestre de 2024 seulement. […]

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news-3942 Fri, 24 Jan 2025 10:29:42 +0100 LÉGISLATION OMNIBUS DE L'UE : UNE SIMPLIFICATION AU DÉTRIMENT DE LA QUALITÉ DU REPORTING ESG ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/legislation-omnibus-de-lue-une-simplification-au-detriment-de-la-qualite-du-reportingesg/ Afin de renforcer les pratiques ESG (Environnementales, Sociales et de Gouvernance) des entreprises et d’améliorer la fiabilité et la comparabilité des données ESG, l'Union européenne (UE) a mis en place de nombreuses réglementations. Bien que ces mesures entendent encadrer la responsabilité des acteurs et encourager des attitudes transformatrices fondées sur le reporting, cette multitude de textes a considérablement élargi les exigences de déclaration, rendant ainsi le processus plus complexe. CE QU’IL FAUT RETENIR :

  • La législation Omnibus proposée soulève une question cruciale : risque-t-elle de compromettre les progrès réalisés en matière d’information sur la durabilité ?
  • L’inquiétude grandit quant au fait que la législation Omnibus ne soit régressive
  • Cette instabilité réglementaire incite les entreprises à considérer la CSDR et les cadres associés comme de simples obligations de conformité plutôt que des occasions de transformation stratégique
  • Les entreprises pourraient commencer à considérer les rapports sur la durabilité comme une simple obligation de conformité plutôt qu’une priorité stratégique

Pour relever ce défi et ainsi réduire la complexité bureaucratique imposée aux entreprises, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a proposé une législation Omnibus en novembre 2024. La proposition vise à consolider et à simplifier la directive sur les informations en matière de durabilité des entreprises (CSRD, 2022, qui renforce les obligations d'information non financière pour les entreprises), le règlement de l'UE sur la taxonomie (2020, qui classe les activités économiques durables) et la directive sur le contrôle diligent en matière de durabilité des entreprises (CS3D, 2024, qui impose un devoir de vigilance pour identifier et traiter les impacts négatifs sur l'ensemble des chaînes de valeur). Alors que les efforts visant à simplifier les procédures administratives sont les bienvenus, la législation Omnibus proposée soulève une question cruciale : risque-t-elle de compromettre les progrès réalisés en matière d’information sur la durabilité ? De plus, étant donné la complexité de ces trois règlements (CSRD, CS3D, taxonomie de l'UE) et le contexte politique plus large au sein de l'UE, une législation Omnibus peut-elle atteindre de manière réaliste les objectifs visés ?

Le consensus s’avère difficile

Bien que motivée par de bonnes intentions, la consolidation de ces trois cadres pour parvenir à un consensus semble compliquée compte tenu des approches et des priorités contradictoires des États membres de l'UE. À titre d’exemple, la CSRD a déjà dû faire face à d'importants défis lors de son élaboration et sa mise en œuvre. À fin 2024, soit quelques mois à peine avant la publication des premiers rapports relatifs à la CSRD, certains régulateurs européens réclament encore un assouplissement du cadre de la CSRD. Ursula von der Leyen a souligné les défis posés par la surrèglementation pour les PME (petites et moyennes entreprises), tandis que d'autres dirigeants, comme l'ancien Premier ministre français Michel Barnier, ont suggéré un « moratoire » pour retarder l’application de la CSRD en France. L’ancien ministre fédéral allemand de la Justice, Marco Buschmann, a quant à lui demandé une révision du texte concernant la CSRD. Le consensus sur la CSRD n’ayant pas encore été atteint, il est peu probable qu’une législation Omnibus regroupant ces trois règlements soit finalisée à court terme. Selon Forbes, la Commission européenne devrait débattre de cette question en février 2025.

Cette multitude de textes a considérablement élargi les exigences de déclaration, rendant ainsi le processus plus complexe.

Alors que le règlement Omnibus vise à réduire le poids et le coût du reporting en matière de durabilité pour les entreprises, la CS3D va au-delà du simple reporting et des déclarations. La CS3D exige également que les entreprises instaurent des processus solides pour identifier et traiter les questions relatives aux droits de l'homme et à l'environnement. Par conséquent, le champ d'application de la législation Omnibus doit être clairement défini, et il existe essentiellement deux alternatives. En tant que réglementation globale, le champ d’application de la législation Omnibus pourrait englober celui des trois règlements (CSRD, taxonomie de l’UE et CS3D), couvrant à la fois le reporting et des aspects au-delà du reporting. Cependant, une telle approche ne réduirait pas la charge pesant sur les entreprises. Autrement, la législation Omnibus pourrait se limiter à refléter les exigences communes en matière de reporting et d’information sur la durabilité prévue par les trois réglementations. Les autres sujets seraient alors soit traités dans les textes initiaux, soit « écartés ». Cela pourrait entraîner une réduction modérée de la charge et des coûts pour les entreprises, ou au contraire, une simplification excessive au détriment de pratiques ESG solides et de normes de reporting de qualité supérieure. En outre, ces règlements demeurent sujets à d'éventuelles modifications fondées sur les retours des parties prenantes. Par conséquent, regrouper ces législations sous un cadre unique s’avère un défi considérable.

Simplification ou dérégulation des normes de reporting ESG ?

Dans un contexte de sentiment négatif, alimenté par des réglementations en matière de durabilité qui sont perçues comme un frein à la compétitivité et à la souveraineté européenne, l’inquiétude grandit quant au fait que la législation Omnibus ne soit régressive. La CSRD, le règlement de l'UE sur la taxonomie et la CS3D qui sont conçus chacun pour compléter le cadre de durabilité avec des ambitions et des champs d'application distincts, pourraient être réduits à un « autre » ensemble de règlements. Ce changement pourrait s'avérer contre-productif : lever la charge pesant sur les entreprises au détriment des objectifs de durabilité. Par exemple, la version finale de la première série de normes européennes d'information sur la durabilité (ESRS, normes de la CSRD) a déjà été fragilisée, à savoir moins d’éléments de données et une attention plus étroite accordée à la matérialité par rapport à ses versions initiales. De nouvelles simplifications, en particulier sur les concepts fondamentaux de la CSDR, pourraient s'avérer contre-productives et compromettre les efforts visant à établir des pratiques solides en matière de durabilité.

Les modifications réglementaires pourraient pénaliser les pionniers

La législation Omnibus proposée a créé une incertitude importante pour les entreprises, envoyant des signaux troublants. Les changements majeurs apportés à la CSDR risquent de pénaliser les précurseurs qui ont investi des ressources importantes pour ajuster leurs stratégies et affaiblir leurs efforts proactifs, tandis que les entreprises retardataires pourraient, paradoxalement, subir moins de perturbations. Pendant des années, les entreprises ont été encouragées à adopter rapidement les mesures de durabilité, mais en raison des révisions en cours, ce conseil apparaît maintenant presque ironique. Cette dynamique fait écho à des cas récents, comme celui de la réglementation européenne sur la déforestation, où les premiers adoptants ont été désavantagés.

La législation Omnibus proposée a créé une incertitude importante pour les entreprises, envoyant des signaux troublants. Les changements majeurs apportés à la CSDR risquent de pénaliser les précurseurs qui ont investi des ressources importantes pour ajuster leurs stratégies et affaiblir leurs efforts proactifs, tandis que les entreprises retardataires pourraient, paradoxalement, subir moins de perturbations.

Le calendrier de mise en oeuvre de la CSDR varie selon la taille des entreprises […]

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news-3940 Tue, 21 Jan 2025 10:20:19 +0100 Donald Trump de retour : L’investissement durable survivra-t-il à un autre mandat ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/donald-trump-de-retour-linvestissement-durable-survivra-t-il-a-un-autre-mandat/ Alors que Donald Trump s’apprête à prendre ses fonctions en janvier 2025, sa présidence risque de poser des défis importants à la dynamique mondiale de l'investissement durable. Le premier mandat de Trump a été marqué par un recul des protections environnementales, le retrait des États-Unis de l'accord de Paris et un scepticisme affiché à l'égard de la science climatique. Ces décisions politiques ont provoqué des secousses dans l'écosystème mondial de la finance durable, et le retour prochain de Trump pourrait de nouveau mettre à rude épreuve la résilience des investissements ESG. Ce qu’il faut retenir :

  • Des questions se posent à l’approche de la prise de fonction de Donald Trump vu le passif du dernier mandat en matière écologique
  • Des défis seront à relever durant cette période
  • L’Europe sera un pilier dans l’enjeu climatique et pourrait influencer les marchés mondiaux dont les États-Unis
  • Les décisions politiques de Donald Trump pourraient remettre en question certains aspects de l'investissement ESG, mais l’orientation des marchés mondiaux vers la durabilité devrait rester intacte
     

États-Unis : l'ESG à la croisée des chemins

Les politiques énergétiques attendues de Trump, axées sur la relance des combustibles fossiles, pourraient compromettre les progrès réalisés sous l'administration Biden. La loi sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act), saluée comme une législation transformant les investissements dans les énergies propres, pourrait faire face à des défis, notamment une réduction des financements ou une modification des dispositifs. Il convient toutefois de noter qu’une abrogation totale de l'IRA semble peu probable étant donné qu'elle risquerait de nuire à la croissance des emplois dans le secteur manufacturier national et des investissements dans les énergies propres, dont la plupart ont profité à des districts et États dirigés par des élus républicains1. De plus, un retrait de l'IRA pourrait nuire à la compétitivité du secteur des énergies propres des États-Unis face à la Chine. Toutefois, le soutien probable de Donald Trump aux combustibles fossiles et son recul sur les politiques climatiques pourraient créer des obstacles majeurs sur ce secteur, ainsi que pour les entreprises désireuses de réduire leur empreinte carbone. Si les mesures fédérales en faveur des énergies renouvelables diminuent, tandis que le soutien aux industries énergétiques traditionnelles augmente, cela pourrait ralentir et limiter la capacité des entreprises américaines à atteindre leurs objectifs de décarbonisation.

Pour les investisseurs, les perspectives sont contrastées. Les investisseurs pourraient assister à des réductions importantes des mesures climatiques fédérales et des normes de reporting. Le candidat de Trump au poste de président de la Securities and Exchange Commission (SEC)2, Paul Atkins, est fermement opposé aux règles de reporting climatique de la SEC. Toutefois, des États comme la Californie et New York devraient continuer à se fixer des objectifs climatiques ambitieux. De plus, les grands investisseurs institutionnels pourraient soutenir la demande d'actifs durables, car les risques financiers liés au changement climatique et la volonté de résilience à long terme restent des préoccupations centrales pour les gestionnaires d’actifs et les fonds de pension.

 Le soutien probable de Donald Trump aux combustibles fossiles et son recul sur les politiques climatiques pourraient créer des obstacles majeurs sur ce secteur, ainsi que pour les entreprises désireuses de réduire leur empreinte carbone.

L’année dernière, les branches d’investissement de JP Morgan Chase et de State Street ont annoncé leur départ de Climate Action 100+3 tandis que Goldman Sachs a quitté la Net Zero Banking Alliance 4 en décembre (après s’être retiré de CA100 + en août). Les banques américaines sont confrontées à des pressions croissantes de la part des politiciens républicains concernant leur appartenance à des groupes d'action climatique et leurs engagements ESG, arguant que cela pourrait conduire à une violation des lois antitrust ou du devoir fiduciaire. Néanmoins, la sensibilisation accrue des institutions financières aux risques climatiques et l'importance croissante de l'investissement durable ont continué à stimuler les investissements dans ce domaine, même sans soutien fédéral. Par exemple, la plateforme « Aladdin Climate » de BlackRock permet aux investisseurs d'évaluer les risques climatiques, tandis que Goldman Sachs et Bank of America se sont respectivement engagés à verser 750 milliards et 1,5 milliard de milliards de $ au titre du financement durable d'ici 2030. À septembre 2024, Bank of America a annoncé avoir mobilisé et déployé 560 milliards de $ dans le financement durable sur les 3 années ayant suivi l’annonce de l’objectif de 1,5 milliard de milliards de $5.

Europe : la dynamique climatique devrait se poursuivre

L'Europe est en passe de renforcer son leadership en matière de financement durable, d'autant plus qu'elle s'efforce de respecter ses engagements pris lors de la COP29 à Bakou6. Avec la taxonomie européenne, le Règlement sur la publication d’informations en matière de durabilité (SFDR) et le Green Deal européen qui constituent la colonne vertébrale de sa stratégie ESG, la zone euro devrait renforcer ses exigences en matière d'investissement durable. La présidence de Donald Trump pourrait exacerber le fossé transatlantique, incitant les régulateurs européens à durcir davantage leurs normes afin de maintenir les objectifs climatiques internationaux et un avantage compétitif sur le marché mondial.
 

L'Europe pourrait également chercher à influencer les marchés financiers mondiaux en élargissant les exigences en matière de publication ESG pour les sociétés opérant à l'international, ce qui pourrait avoir un impact sur les multinationales basées aux États-Unis et ailleurs.

Pour les investisseurs internationaux, cette divergence pourrait faire de l'Europe le centre des actifs durables. […]

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news-3938 Thu, 16 Jan 2025 09:29:00 +0100 Crédit Mutuel Asset Management et l’ESILV collaborent ensemble dans une démarche de co-innovation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/credit-mutuel-asset-management-et-lesilv-collaborent-ensemble-dans-une-demarche-de-co-innovation/ Paris, le 16 janvier 2025 : Crédit Mutuel Asset Management, société du groupe La Française, la filière gestion d'actifs multi-spécialiste de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, poursuit pour la troisième année consécutive sa collaboration avec l’ESILV, l’école supérieure d’ingénieurs Léonard-de-Vinci, institution à rayonnement international, intégrant une forte dimension numérique. 

Crédit Mutuel Asset Management et plus particulièrement l’équipe d’ingénierie financière du Hub Quant, confiée à Guillaume Diette, et l’ESILV se sont ainsi engagées dans une démarche continue de co-innovation au service de la gestion d’actifs. Cette collaboration a donné lieu au développement de nouvelles techniques de modélisation quantitatives appliquées à l’analyse financière, à l’évaluation du risque pays et à la recherche extra-financière. 

Paul Gurzal, Directeur de la Gestion Quantitative chez Crédit Mutuel Asset Management, a déclaré : « Crédit Mutuel Asset Management est résolument tournée vers les jeunes talents. La confrontation d’idées et un regard neuf donnent lieu à de réelles innovations, qui amélioreront la qualité de nos expertises en matière de technique de gestion d’actifs. A travers cette collaboration et ces appels à projets, nous cherchons à partager nos réflexions et nos moyens pour le bénéfice de tous et dans l’intérêt de nos investisseurs. Nous remercions l’ESILV et ces jeunes talents pour leur engagement et la qualité de nos échanges. Nous tenons également à remercier Euro-Information, la filière technologique du Crédit Mutuel, pour leur contribution dans la mise en place de ces projets. »

À propos de La Française

La Française propose une offre de gestions de conviction spécialisées alliant objectifs de performance et de durabilité sur toutes vos classes d’actifs. Notre architecture multi spécialistes permet à nos gérants de se concentrer pleinement sur ce qui les passionne chacun dans sa spécialité.

Notre actionnaire, le Crédit Mutuel Alliance Fédérale, groupe mutualiste, première banque à mission, inspire notre sincérité dans l’investissement responsable qui crée une relation de confiance autour de la gestion durable. Nos équipes ont développé un savoir-faire de pointe sur les nombreuses facettes de l’ESG qui se diffuse dans toutes nos activités et analyses.[…]

 

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news-3937 Tue, 07 Jan 2025 11:10:00 +0100 Lettre de rentrée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-de-rentree/ Découvrez nos convictions pour l’année 2025 À la recherche du taux neutre

Nous avons conservé tout au long de l’année 2024 une vision positive sur les classes d’actifs risquées, principalement parce que nos prévisions de croissance étaient globalement moins alarmistes que celles du marché.

La sous-estimation de la croissance américaine par le consensus en particulier a été la raison de notre préférence pour les actions américaines au cours des 12 derniers mois. Les très bonnes performances des actifs risqués en 2024 nous donnent raison a posteriori. Sur les taux, les résultats ont été mitigés avec in fine des performances proches de la neutralité.

Le consensus pour 2025 diffère très largement de ce que l’on observait en 2024. Les craintes de récession ont disparu, les prévisions de croissance ont été revues à la hausse et les attentes de croissance de bénéfice sont élevées. Les valorisations ne laissent de surcroît que peu de place pour les déceptions dans une année qui risque d’être assez mouvementée en raison des incertitudes politiques et géopolitiques.

Est-ce que cela signifie que nous changeons nos allocations vers une posture plus défensive dès à présent ? Non.

Le momentum de croissance mondiale est toujours positif, surtout aux États-Unis, et le début d’année est historiquement porteur pour les actifs risqués. Il nous semble cependant opportun d’augmenter graduellement la sensibilité de nos portefeuilles sur des niveaux de taux que nous jugeons pour certains asymétriques.

Le taux d’équilibre ou taux neutre est un taux que nous ne pouvons par définition pas observer. C’est malgré tout une notion très importante pour les banques centrales (pour rappel, le taux neutre réel est égal à la croissance potentielle d’une économie) et donc, en corolaire, pour les marchés actions. Quantité de modèles existent pour tenter d’évaluer le taux neutre d’une économie, mais aucun d’eux ne fait vraiment référence. Les marchés estiment aujourd’hui que le taux d’équilibre aux États-Unis est d’environ 4 % (Swap 1Y1Y), ce qui nous semble très optimiste. De manière conjoncturelle, il est évident que le taux neutre est plus élevé que précédemment en raison des politiques budgétaires mises en place depuis l’ère Covid, mais est-ce que cela est tenable à terme ? Sur ces niveaux, la probabilité de voir ce taux d’équilibre être revu à la baisse plutôt qu’à la hausse à horizon fin 2025 nous semble forte et c’est un constat que l’on peut aussi faire pour d’autres pays comme la Grande-Bretagne par exemple.
 


La baisse du risque inflationniste, aussi bien aux États-Unis qu’en zone euro, est un autre facteur expliquant notre appétit grandissant pour les actifs obligataires sans risque même si là encore, certains paramètres géopolitiques pourraient nous amener à revoir notre copie.[…] 

Nous vous souhaitons à tous une magnifique année 2025 !





 

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news-3936 Wed, 01 Jan 2025 01:00:00 +0100 Modification du prix de part de la SCPI Sélectinvest 1 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-selectinvest-1-1/ SELECTINVEST 1

Titre : Modification du prix de part de la SCPI Sélectinvest 1

Date : 1er janvier 2025

Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI Sélectinvest 1.

En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI Sélectinvest 1 diminue de 17,19 % et se compose de la manière suivante :

Valeur nominale : 153,00 €
Prime d'émission : 377,00 €


Prix de souscription : 530,00 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 530,00 €, dont 33,12 € HT, soit 39,75 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (6,25 % HT, soit 7,50 % TTC au taux de TVA en vigueur).

La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 496,88 €.

Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La note d’information de la SCPI Sélectinvest 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-38 en date du 1er septembre 2017

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce. 

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news-3935 Wed, 01 Jan 2025 01:00:00 +0100 Modification du prix de part de la SCPI Epargne Foncière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-epargne-fonciere-1/ EPARGNE FONCIERE

Titre : Modification du prix de part de la SCPI Epargne Foncière

Date : 1er janvier 2025 

Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI Epargne Foncière.

En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI Epargne Foncière diminue de 19,76 % et se compose de la manière suivante :

Valeur nominale : 153,00 €
Prime d'émission : 517,00 € 


Prix de souscription : 670,00 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 670,00 €, dont 50,25 € HT, soit 60,30 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,5 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur).

La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 619,75 €.

Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La note d’information de la SCPI Epargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n° 21-03, en date du 16 mars 2021.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.

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news-3934 Wed, 01 Jan 2025 01:00:00 +0100 Modification du prix de part de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-credit-mutuel-pierre-1-1/ CREDIT MUTUEL PIERRE 1

Titre : Modification du prix de part de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 

Date : 1er janvier 2025

Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI Crédit Mutuel Pierre 1.

En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 diminue de 18,87 % et se compose de la manière suivante :

Valeur nominale : 153,00 €
Prime d'émission : 62,00 € 


Prix de souscription : 215,00 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 215,00 €, dont 17,20 € HT, soit 20,64 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 197,80 €.

Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La note d’information de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-32 en date du 1er septembre 2017. 

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.

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news-3933 Wed, 01 Jan 2025 01:00:00 +0100 Modification du prix de part de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-lf-grand-paris-patrimoine-1/ LF GRAND PARIS PATRIMOINE

Titre : Modification du prix de part de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine

Date : 1er janvier 2025

Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI LF Grand Paris Patrimoine.

En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine diminue de 14,51 % et se compose de la manière suivante :

Valeur nominale : 150,00 €
Prime d'émission : 68,00 €


Prix de souscription : 218,00 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 218,00 €, dont 17,44 € HT, soit 20,93 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 200,56 €.

Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La note d’information de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n 18-25 en date du 21 août 2018.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.

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news-3929 Tue, 17 Dec 2024 09:19:50 +0100 Pre Fed, une baisse largement anticipée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-fed-une-baisse-largement-anticipee/ Par François Rimeu, Stratégiste senior, Crédit Mutuel Asset Management Le chairman de la Fed (Réserve Fédérale), Jerome Powell, devrait très probablement annoncer une baisse de 25 points de base (bps) lors de la dernière réunion de politique monétaire de 2024, passant les taux directeurs de 4,50 %-4,75 % à 4,25 %-4,50 %. Cette décision ne devrait pas surprendre les marchés, mais il pourrait en être autrement de la communication de la Fed concernant le rythme potentiel pour 2025. Cette réunion verra aussi la Fed mettre à jour ses prévisions macro-économiques et le « dot plot », toujours très scruté par les marchés.

Voilà ce que nous anticipons :

  • Une baisse de taux de 25 bps pour ramener les taux à une fourchette 4,25 %-4,50 %. La Fed devrait justifier cette décision par une baisse graduelle du risque inflationniste et ce malgré une inflation « core » toujours au-dessus de sa cible, y compris sur 3 mois annualisés.
  • Les prévisions de croissance pour les Etats-Unis ne devraient pas être revues significativement hormis une légère hausse de 2 % à 2,1 % en 2025.
  • Les prévisions d’inflation devraient être revues légèrement à la hausse en 2025 à 2,2 % vs 2,1 %. Nous n’attendons pas de changement pour 2026 et 2027.
  • Le taux de chômage devrait rester stable autour de 4,2%-4.3 % en 2025-2026, soit légèrement moins qu’anticipé en septembre.
  • Enfin les dots devraient être revues de la manière suivante :
    • 2025 ne devrait montrer que 3 baisses contre 4 précédemment ;
    • Le rythme sur 2026 et 2027 devrait rester inchangé (2 baisses en 2026, aucune baisse en 2027) ;
    • Le dot de long terme devrait monter de 12,5 bps à 2,87 %-3,12%
  • Enfin, Jerome Powell devrait annoncer une baisse du taux de « reverse repo » de 5 bps.

In fine, il est probable que la communication de Jerome Powell change peu par rapport aux réunions précédentes. La force de l’économie américaine et la stabilité du marché de l’emploi devraient amener les révisions évoquées ci-dessus mais ne devraient pas changer drastiquement le message de la Fed. Si la communication est réussie, l’impact devrait être assez marginal sur les marchés obligataires.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

 

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news-3927 Fri, 13 Dec 2024 16:54:00 +0100 La Française Real Estate Managers étoffe son équipe Investissements au sein du pôle « actifs de santé » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-etoffe-son-equipe-investissements-au-sein-du-pole-actifs-de-sante/ Paris, le 11 décembre 2024 : La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière du groupe La Française, la filière gestion d'actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d'annoncer l’arrivée d’Astrid BONDUELLE en tant que Chargée des Investissements au sein de son pôle Santé. Dans ses nouvelles fonctions au sein de l’équipe, Astrid BONDUELLE sera chargée de l'analyse et de l'évaluation des opportunités d'investissement dans le secteur de la santé. Elle travaillera sous la direction de Jérôme VALADE, Directeur du Pôle Immobilier de Santé.

Jérôme VALADE souligne : 

Depuis trois années et dans le contexte économique tendu que nous connaissons, les actifs de santé ont démontré leur rôle défensif. Portés notamment par le vieillissement de la population et l'augmentation des besoins en soins de santé, ces investissements bénéficient d'une demande soutenue et offrent une certaine résilience face aux fluctuations économiques. L'arrivée d'Astrid au sein de notre équipe contribuera au développement de ce secteur stratégique chez La Française REM.

Astrid BONDUELLE, Chargée d’investissements – Pôle Santé

Astrid apporte à La Française Real Estate Managers une expérience avérée de la chaîne de valeur de l’immobilier. Elle a débuté en 2020 chez Groupama Gan REIM en tant qu’analyste investissement, intervenant également en support à la gestion de portefeuilles immobiliers. Par la suite, elle rejoint la société de gestion immobilière Euryale où elle développe ses compétences en matière d’investissement, intervenant dans le sourcing, l’analyse et les due diligences des opportunités d’acquisitions en immobilier de santé paneuropéen.

Astrid est titulaire d’un Master 246 Management Immobilier de l’Université Paris Dauphine.

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news-3924 Tue, 10 Dec 2024 10:28:56 +0100 PRE BCE signé François Rimeu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-bce-signe-francois-rimeu/ La BCE joue la prudence Par François Rimeu, Stratégiste senior, Crédit Mutuel Asset Management

La Banque centrale européenne (BCE) devrait baisser son taux directeur de 25 points de base (pbs) pour sa dernière réunion de l’année face aux risques de croissance et d’inflation orientés à la baisse. Ceci devrait se refléter dans la réévaluation de ses projections macroéconomiques. Toutefois, en dépit des signes de faiblesse économiques dans la région, nous ne pensons pas que la BCE accélérera l’assouplissement de sa politique monétaire en décembre en optant pour une baisse de taux de 50 pbs.
Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Le Conseil des Gouverneurs de la BCE réduira son taux de référence (le taux de la facilité de dépôt) de 25 pbs, le ramenant à 3.0 %.
  • L’inflation des services restant encore trop élevée (autour de 4 %), nous n’attendons pas de changement dans la communication de la politique monétaire européenne à ce comité, à savoir la dépendance aux données avec des décisions prises réunion après réunion et sans s’engager au préalable sur la trajectoire des taux d’intérêt. Cependant, la BCE signalera que la baisse des taux d’intérêt vers la zone ‘neutre’ (qui ne stimule ni ne freine la croissance économique), qui est estimée autour de 2 %, devrait se poursuivre dans les mois à venir. 
  • Dans ses nouvelles projections économiques :
    • Conformément aux déclarations de ses membres depuis octobre, la BCE signalera le retour de l’inflation globale à la cible des 2 % avant le quatrième trimestre 2025 (comme c’était le cas dans ses prévisions de septembre). Elle devrait abaisser également ses prévisions d’inflation pour 2025 (-0.1% vs les prévisions de septembre) tout en maintenant l’inflation sous-jacente (hors prix des produits alimentaires et de l’énergie) légèrement au-dessus de l’objectif. De plus, la BCE dévoilera les attentes d’inflation pour 2027, avec une inflation sous-jacente qui devrait se stabiliser à 2%. 
    • Du côté de la croissance, les projections devraient être légèrement révisées à la baisse pour 2025 et 2026 (-10 pbs, respectivement à 1.2 % et 1.4 %). La présidente de la BCE, Christine Lagarde, précisera que ces prévisions sont entourées d’incertitudes importantes liées aux politiques budgétaires des deux principales économies de la région (la France et l’Allemagne).

En résumé, la Banque centrale européenne devrait s’en tenir à des baisses de taux progressives en dépit d’un contexte économique fragile. Toutefois, en écho aux déclarations de l’économiste en chef de la BCE, Philip Lane, Christine Lagarde pourrait signaler en conférence de presse un éventuel abandon de la stratégie de dépendance aux données dans le futur (dès que « le processus de désinflation sera achevé ») pour favoriser une approche basée sur l’analyse des risques à venir. Il y a très peu d’attentes concernant cette réunion, avec une baisse de taux de 25pbs anticipée mais rien de plus ; à la marge, il nous semble que le risque est d’avoir une surprise légèrement accommodante et donc des taux plus bas.
 

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
 

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news-3922 Thu, 05 Dec 2024 10:31:09 +0100 COP29 : beaucoup, mais toujours insuffisant ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop29-beaucoup-mais-toujours-insuffisant/ Comment 300 milliards de dollars peuvent-ils être insuffisants ? Lors de la COP29, les pays développés ont accepté de tripler le financement climatique pour les pays en développement dans le cadre d'un nouvel objectif financier. Les pays les plus riches se sont engagés à verser au moins 300 milliards de dollars par an d'ici 2035. CE QU’IL FAUT RETENIR :

  • La décision a été prise lors de la COP29 de tripler le financement
    climatique pour les pays en voie de développement
  • La mobilisation de tous les secteurs, publics et privés est nécessaire
  • Des objectifs financiers sont fixés pour 2030 et 2035
  • Le plus important reste la recherche de l’abandon progressif des
    combustibles fossiles

Un investissement de plus en plus important…

À l’origine, les pays en développement exigeaient de la part des pays développés près de 1 000 milliards de dollars par an d'ici 2030 (et 1 300 milliards de dollars d'ici 2035). Désormais, ce chiffre représente un objectif global, appelant à la mobilisation de tous les secteurs, publics et privés.
Pourquoi est-il essentiel de considérer la provenance des engagements financiers ? Selon la dernière étude du Groupe d'experts indépendant de haut niveau sur le financement climatique (IHLEG1), la lutte contre le changement climatique nécessite un investissement annuel de 6 500 milliards de dollars d'ici 2030 et de 7 600 milliards de dollars par an d'ici 2035. Sur cette somme, les marchés émergents et les pays en développement (hors Chine) ont besoin d'environ 2 400 milliards de dollars par an d'ici 2030 (1 400 milliards de dollars provenant de ressources nationales et 1 000 milliards de dollars de financements externes).
Bien que les investissements proviennent de sources variées, les coûts de financement sont cruciaux pour les bénéficiaires, en particulier pour les pays les plus vulnérables. Maximiser la part des engagements publics provenant de sources de financement externes réduirait significativement le fardeau de la dette liée au climat pour ces bénéficiaires.

Tout déficit d'investissement avant 2030 exercera une pression
supplémentaire sur les années suivantes, rendant le chemin vers la stabilité
climatique plus abrupt et potentiellement plus coûteux.

Les conclusions du rapport de l'IHLEG suggèrent que les opportunités liées aux investissements pourraient représenter 15 à 18 % du PIB mondial en 2030 (coûts évités et co-bénéfices environnementaux). Pour le mettre en parallèle, le besoin d'investissement annuel pour l'action climatique de 6 500 milliards de dollars équivaut à 6 % du PIB mondial en 2023.

… mais qui doit être accompagné

En prenant du recul, le montant réel engagé pour le financement climatique a peu de valeur, sans qu’il ne soit accompagné d'un engagement renforcé pour l'élimination progressive des combustibles fossiles. Bien que des avancées aient été réalisées l'an dernier, cette année, les efforts en dehors de l'Alliance Powering Past Coal2 pour abandonner progressivement le charbon n'ont pas été renforcés. De plus, il est essentiel que les ambitions de réduction des émissions des pays (NDC) soient rehaussées, en s'appuyant sur les progrès réalisés concernant l'article 6 de l'accord de Paris. Le Rapport « Emissions Gaps 2024 »3 met en évidence que si les efforts actuels d'atténuation se poursuivent, nous pourrions faire face à un réchauffement d'environ 3,1 °C. En revanche, si les engagements conditionnels et inconditionnels sont pleinement réalisés, la hausse des températures mondiales pourrait être limitée à environ 2,6 °C. 

Lors de cette COP29, John Kerry a exprimé des doutes quant à la possibilité même de « revenir » à l'objectif de 1,5 °C. Ce « retour » impliquerait une réduction des émissions de 42 % d'ici 2030 et de 57 % d'ici 2035. Malgré ces défis, une forte augmentation des investissements du secteur privé dans l'atténuation et l'adaptation pourrait maintenir nos espoirs.

Les actifs sous gestion mondiaux ont atteint 132 000 milliards de dollars en juin 20244, dont environ 10 % sont des actifs détenus par le secteur privé5. Pour atteindre les objectifs d'investissement annuels soulignés par l'IHLEG, il suffirait de canaliser seulement 1 % à 6 % de ces actifs vers l'action climatique mondiale. Les classes d'actifs telles que le private equity, les infrastructures et le financement de projets offrent des opportunités pour optimiser l'additionnalité de l’impact, tout en générant des bénéfices sociaux et environnementaux significatifs.

Besoin de liens étroits entre financements publics et privés

En France, la mise en application de la « loi industrie verte » en octobre 2024 illustre la manière dont les capitaux privés sont mobilisés pour financer la transition climatique. Les investissements liés à la transition énergétique sont financés par l'allocation systématique d'une partie des actifs de l'assurance-vie ou de l'épargne-retraite vers du capital investissement. Des « obligations de transition »6 seront également lancées en France en janvier 2025, offrant aux PME de nouvelles solutions de financement pour leur transformation ou le déploiement de leurs solutions à la transition énergétique. Bien que ces dispositifs favorisent les résultats nationaux, des programmes d'investissement similaires sont également disponibles pour financer des projets à fort impact dans d’autres pays en développement. 

La réussite des objectifs climatiques repose sur une collaboration étroite entre financements publics et privés. L'enjeu principal est de canaliser efficacement ces ressources pour maximiser leur impact, afin que l’on puisse soutenir une transition juste et équitable pour tous.

1) Accroître l'ambition et accélérer la fourniture de financements climatiques - Grantham Research Institute on climate change and the environment (lse.ac.uk)
2) 25 pays et l'UE lancent un appel à l'action pour qu'aucun nouveau charbon ne figure dans les plans climatiques nationaux - PPCA (poweringpastcoal.org) 
3)Rapport sur les écarts d'émissions 2024 ; PNUE - Programme des Nations unies pour l'environnement
4) Au-delà du bilan : North American Asset Management 2024 | McKinsey
5)Global Private Markets Review 2024;McKinsey 6)Qu’est-ce qu’une obligation transition ? Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et Ministère chargé du Budget et des Comptes publics (economie.gouv.fr)
6) Qu’est-ce qu’une obligation transition ? | Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et Ministère chargé du Budget et des Comptes publics (economie.gouv.fr)

Le présent commentaire n'est fourni qu'à titre d'information. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont basées sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles des autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128, boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion de portefeuille agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société anonyme au capital de 3 871 680 € RCS Paris n° 388 555 021, le Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française. Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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news-3921 Thu, 28 Nov 2024 11:27:30 +0100 Pour les actifs français, la prudence est de mise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pour-les-actifs-francais-la-prudence-est-de-mise/ Par François Rimeu, Stratégiste Senior, Crédit Mutuel Asset Management, 27 Novembre 2024 A l’heure d’écrire ces quelques lignes, le projet de budget 2025 est examiné par le Sénat et celui-ci pourrait revenir sur certaines économies initialement présentes dans le texte. La commission européenne a de son côté apporté son soutien au gouvernement en saluant ses efforts de rigueur alors que Marine Le Pen menace de faire tomber le gouvernement en votant une motion de censure avec la gauche si certaines mesures ne sont pas retirées (augmentation des taxes sur l’électricité notamment).

La France affronte en ce moment une crise politique comme elle n’en a que rarement connu sous la 5ème république alors que sa situation économique est elle aussi préoccupante. Les derniers indicateurs PMI1 pour la France montrent en effet une situation qui se dégrade encore avec peu de chance de voir cette tendance négative s’infléchir à court terme.

Depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale en juin dernier, les actifs français ont logiquement assez largement sous-performé leurs homologues européens :

  • Du 10 juin au 26 novembre, le CAC 40 a reculé de -8,3 % alors que le Stoxx 600 n’affiche qu’une baisse de -2,3 %.
  • Sur cette même période, la dette française a aussi été sous pression :
    • Le spread entre OAT (dette française à 10 ans)2 et bund (dette allemande à 10 ans) est passé de 0,47 % à 0,82 % ;
    • Le spread entre les taux espagnols à 10 ans et l’OAT est passé de 0,25 % à -0,10 % ;
    • Le spread entre les taux Italiens à 10 ans et l’OAT est passé de 0,84 % à 0,44 %.

Les questions qui se posent aujourd’hui sont donc les suivantes : quels sont les scénarios envisageables et quels sont les impacts potentiels ?

Nous voyons deux scénarios principaux possibles avec de multiples ramifications ensuite :

  1. Soit les efforts consentis sur le budget ne sont pas suffisants au goût du RN et amènent la motion de censure à passer.
  2. Soit le gouvernement Barnier fait passer un budget, plus ou moins amendé, via l’article 49.3 de la Constitution et survit à une potentielle motion de censure (avec sans doute un Rassemblement National (RN) qui s’abstiendrait de la voter) ;

Avant de nous pencher sur ces scénarios et les impacts, il est utile de rappeler certaines données 
concernant la France :

  • Dette / PIB : 112,7%
  • Déficit budgétaire 2024 estimé : -6,2 %
  • Déficit primaire 2024 estimé : -4 % (le pire de la zone euro avec la Slovaquie ; à titre de comparaison, l’Italie est à -0,4 %)
  • Hypothèse de croissance 2025 pour le budget (issu du PLF) : +1,1 %

Cas 1 :

Nous estimons aujourd’hui la probabilité de voir le gouvernement Barnier ne pas résister à une motion de censure à 50 %. Les banques d’investissement semblent un peu plus optimistes que nous avec une probabilité autour de 30 % en moyenne. Dans cette hypothèse, il nous semble probable de voir dans un premier temps le spread OAT vs Bund passer à 95-100 bps et les actions françaises sous-performer les autres indices européens de 2 à 3 %.

La suite logique serait a priori l’activation de l’article 47 de la Constitution avec un gouvernement (nouvellement nommé donc) mettant en oeuvre sa politique (et donc le budget) par ordonnance. Toutefois, il faut noter que cela ne serait possible que dans le cas d’un parlement qui aurait échoué à se prononcer. Or, un parlement qui rejette un texte est un parlement qui se prononce, ce qui rendrait cette disposition inapplicable. La suite est un débat de constitutionnalistes, ce que nous ne sommes pas, et qui verrait s’ouvrir une période très incertaine (pour plus de détails : « On est vraiment dans l’inconnu » : le scénario d’une Assemblée incapable de voter le budget agite les constitutionnalistes - Public Sénat (publicsenat.fr)).

Nous sommes au précipice d’une période très incertaine, sans doute encore une fois négative pour les perspectives de croissance, avec peu de chance de voir la situation se stabiliser avant les élections en juillet. Dans ce contexte, les agences de notation seraient logiquement sévères avec la France avec une probable dégradation de sa notation.

Cas 2 :

Dans le 2ème cas, celui où le gouvernement Barnier arriverait à survivre à une motion de censure, il y aurait inévitablement un soulagement et donc un rebond des actifs français. Un retour autour de 70bps sur le spread OAT vs Bund nous semble envisageable ainsi qu’une légère surperformance des actions françaises, de l’ordre de 1-2 %. Mais ce soulagement risque d’être d’assez courte durée :

  • Tout d’abord parce que cette survie serait liée à des annulations de baisses de dépenses et que cela fera mécaniquement remonter les estimations de déficit budgétaire 2025 (aujourd’hui à -5 % dans le meilleur des cas) ;
  • Ensuite parce que ces calculs de déficit reposent sur une hypothèse de croissance de 1,1 % en 2025 et que cela nous semble très optimiste. Une croissance autour de 0,6-0,7 % nous semble malheureusement plus réaliste ;
  • Et enfin parce que le spectre de nouvelles élections en juillet prochain devrait de toute façon limiter grandement la volonté des investisseurs d’augmenter leurs allocations aux actifs français.

Et même si les agences de notation donnaient du temps à la France, cela ne ferait sans doute que décaler la perte du AA à plus tard, une fois les objectifs de déficit non atteints en raison de cibles de croissance trop optimistes.

Vous l’aurez compris, nous restons aujourd’hui très prudents sur les actifs français. Les challenges à surmonter pour l’économie française sont vertigineux : vieillissement de la population, endettement, manque de productivité, etc. sans compter le fait que ces problèmes sont présents dans la plupart des économies européennes et que la situation géopolitique est pour le moins instable.

Source données : Bloomberg

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par l’auteur sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis.
Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

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news-3918 Thu, 21 Nov 2024 17:18:00 +0100 La Française Real Estate Managers conclut le refinancement de Crystal Park à Neuilly-sur-Seine (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-conclut-le-refinancement-de-crystal-park-a-neuilly-sur-seine-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a conclu le refinancement de Crystal Park, un immeuble de bureaux de 43 300 m2 situé au 61-63 rue de Villiers à Neuilly-sur-Seine (92). L’équipe asset management du pôle institutionnel de La Française REM gère cet actif depuis son acquisition en 2019 pour le compte d’investisseurs sud-coréens. Le refinancement a été négocié auprès d’Aareal Bank (Agent), une autre banque Allemande et deux clients internationaux représentés par une société de gestion. L’ensemble immobilier, rénové en profondeur en 2018 par le cabinet d'architectes Valode & Pistre, est loué à 100 % à trois locataires de premier plan, dont PwC qui occupe deux tiers du bâtiment, dans le cadre d’un bail récemment renouvelé jusqu’en 2035.

Crystal Park dispose de solides références ESG (Environnementales, Sociales et de Gouvernance) avec une certification BREEAM Excellent et le Label EcoJardin pour son parc classé, témoignant de l'entretien écologique des espaces verts environnants.

Antoine LE TREUT, Directeur Général Adjoint, en charge du pôle institutionnel France de La Française REM, a déclaré : 
« Ce refinancement s’inscrit dans la continuité d’une stratégie d’asset management ambitieuse et volontariste, visant à travailler et optimiser la valeur de nos actifs et à sécuriser les cash-flows via le renouvellement des baux. Cette opération témoigne aussi de la confiance de nos partenaires financiers pour nous accompagner dans cette démarche auprès de nos investisseurs. Je tiens à féliciter personnellement notre équipe de gestion d’actifs, Xavier BARREYAT, Cédrick BECKER et Claudia REN pour la gestion de cette opération d’envergure. »

Pour cette opération, La Française Real Estate Managers a été conseillée par Jones Day sur le volet juridique, l’Etude Allez sur les aspects notariaux et Eastdil pour l’optimisation du financement. Les prêteurs ont été conseillés par Lacourte Raquin Tatar sur les aspects juridiques et l’étude notariale Allez & Associés.

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news-3916 Fri, 15 Nov 2024 10:43:16 +0100 Avis : modification du compartiment « La Française Obligations Carbon Impact » de la Sicav La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-compartiment-la-francaise-obligations-carbon-impact-de-la-sicav-la-francaise/ Vous détenez des actions du compartiment « La Française Obligations Carbon Impact » (ci-après, le « Compartiment ») de la Sicav La Française et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

A cet effet, nous vous informons que le Compartiment pourra désormais investir jusqu’à 15% de son actif net en titres émis par des entités notées « high yield » (c'est-à-dire correspondant à une notation inférieure à BBB- dans l’échelle de l’agence de notation Standard & Poors ou à Baa3 dans celle de Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion) contre 10% actuellement en cas de dégradation de la signature d’un émetteur d’un titre déjà investi dans le portefeuille.

Par ailleurs, les frais de gestion financières du Compartiment seront modifiés comme suit :

    Avant la modification Après la modification Après la modification
Frais facturés à l'OPCVM Assiette Taux /barème Gebührensatz
Frais de gestion financière Actif net Action C : 0.904% TTC taux maximum
Action D : 0.904% TTC taux maximum
Action I : 0.500% TTC taux maximum
Action S : 0.350% TTC taux maximum
Action T : 0.500% TTC taux maximum
Action C : 0.604% TTC taux maximum
Action D : 0.604% TTC taux maximum
Action I : 0.350% TTC taux maximum
Action S : 0.350% TTC taux maximum
Action T : 0.350% TTC taux maximum
Action ER : 0.604% TTC taux maximum

Enfin, la catégorie d’action ER sera créée avec les caractéristiques suivantes :

Type d'actions Code ISIN Valeur liquidative d’Origine Compartiments Affectation des plus values Affectation des revenus Devise de libellé Souscripteurs concernés Montant min. de souscription initiale
action ER FR001400SVT7 100,00 EUR Non Capitalisation Capitalisation EUR Tous souscripteurs, plus particulièrement destinée à la commercialisation en Espagne 100,00 EUR

Ces modifications prendront effet le 18 novembre 2024 et le prospectus de la SICAV La Française sera modifié en conséquence.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.

Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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news-3914 Thu, 14 Nov 2024 14:37:07 +0100 COP16 : Ambitions audacieuses ou avancées tangibles pour la biodiversité mondiale ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop16-ambitions-audacieuses-ou-avancees-tangibles-pour-la-biodiversite-mondiale/ La 16e conférence mondiale sur la biodiversité (COP16), qui s'est récemment déroulée à Cali en Colombie, a marqué une étape importante dans les efforts mondiaux pour protéger la nature. Cette conférence s’est appuyée sur l’accord de Kunming-Montréal (GBF) adopté en 2022 lors de la COP15, qui avait fixé des objectifs ambitieux pour la protection de la biodiversité mondiale. La COP16 a été surnommée la « COP de mise en oeuvre » notant une intensification des efforts pour la protection des écosystèmes, la reconnaissance des droits des populations autochtones et le soutien financier des pays les plus riches en biodiversité. Bien que nous restions optimistes, une question demeure : ces objectifs peuvent-ils conduire à des progrès réels et concrets, ou sont-ils uniquement des victoires symboliques ? CE QU’IL FAUT RETENIR :

  • La COP16 marque clairement une intensification des efforts pour la protection de la nature et de la biodiversité
  • Les besoins de financement pour l’atteinte des objectifs en matière de biodiversité sont insuffisants
  • Il existe un fossé entre engagements pris et actions menées réellement
  • Dans ce contexte, il est fort probable que les objectifs de 2030 ne soient pas atteints

L’initiative 30x30 : un objectif ambitieux, mais flou

L'objectif 30x30 pris lors de la COP15 en 2022, vise à conserver et protéger 30 % des terres et 30 % des océans d'ici 2030 par le biais d'aires protégées ou d'autres mesures de conservation efficaces. La réussite de cette initiative 30x30 demeure un défi. La grande variété des écosystèmes mondiaux et la conservation d'une partie aussi importante de la terre et de l'océan nécessitent des approches adaptées à chaque région. La complexité technique rend difficile l'application d'un modèle unique, en particulier dans les zones fortement impactées par l’activité humaine (agriculture intensive, infrastructures, industries extractives). En effet, la protection formelle d'un territoire ne garantit pas automatiquement la durabilité de ses écosystèmes. Pour garantir que les efforts de conservation soient vraiment efficaces, il est essentiel d'avoir une approche dynamique et proactive dans la gestion des ressources naturelles pour pouvoir assurer une conservation effective. Certains observateurs craignent que l'initiative 30x30 ne devienne un exercice de «greenwashing». Ils soulignent le risque de voir des zones officiellement protégées continuer à subir des exploitations en raison d'un manque d'application des réglementations.

En amont de la COP16, il s’avérait que la grande majorité des pays (85 %) étaient en retard dans l'élaboration de leurs Stratégies et Plans d'Action Nationaux pour la Biodiversité (SPANB) en raison de différents défis. Cette situation concernait notamment 12 des 17 pays dits «mégadivers», qui abritent 70 % de la biodiversité mondiale. Par exemple, le Brésil et la Colombie ont souligné le manque de temps pour mener à bien des consultations approfondies avec les parties prenantes et les populations autochtones. L'Inde a mentionné la difficulté d'adapter les objectifs globaux au contexte local et le Royaume-Uni a attribué son retard à ses nombreux changements de gouvernements. À la fin de la COP16, seuls 44 pays sur 196 avaient produit de nouveaux SPANB, et 119 pays environ avaient fixé des objectifs nationaux. Des défis persistent puisque les pays ne sont pas parvenus à un accord sur un « examen global » des progrès réalisés pour les COP17 (en 2026) et COP19 (en 2028). Ils n’ont pas non plus clairement détaillé les mesures à prendre après les examens. Enfin, aucun accord sur les indicateurs du cadre de suivi n'a été trouvé. Cela est dû en partie à l'absence d'engagements financiers concrets.

Dès lors, il apparaît que les anciens objectifs d'Aichi fixés en 2010 pour la période 2011-2020, n’ont pas atteint leurs ambitions initiales pour trois raisons notables : les retards significatifs pris par de nombreux pays, l’absence de mécanismes de suivi quantitatif contraignants et le manque de supervision internationale des normes de protection. Ces lacunes soulèvent des inquiétudes quant à la réalisation de l'objectif 30x30.

Les défis du financement de la biodiversité

Comme pour le climat, les besoins de financement restent l'un des obstacles à surmonter pour mener une action efficace en matière de biodiversité. Alors que la COP16 a établi une feuille de route pour mobiliser des ressources financières, les promesses des nations les plus riches n'ont toujours pas atteint les 200 Mds $ nécessaires chaque année pour atteindre les objectifs mondiaux en matière de biodiversité. Les promesses de contributions annoncées lors de la conférence ne se sont élevées qu'à 163 M USD. De nombreux pays en développement ont déclaré que le manque de financement en temps voulu du Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM), un important fonds multilatéral pour l'environnement, les avait empêchés de produire de nouveaux programmes d'action nationaux pour l'environnement.

L'approche de la COP16 en matière de financement de la biodiversité s’est concentrée sur trois principales sources : l'aide internationale, les investissements du secteur privé et de nouveaux instruments financiers, tels que les crédits biodiversité. Ces outils sont novateurs, mais leur impact dépendra largement de la mesure dans laquelle ils seront adoptés à l'échelle mondiale. En outre, compter sur le financement du secteur privé soulève des questions quant à l’éthique. Sans directives et supervision claires, ces mécanismes financiers peuvent servir les intérêts des investisseurs privés par rapport à ceux des écosystèmes et des communautés vulnérables.

Reconnaissance, mais absence de protection des droits des peuples autochtones

L'une des avancées les plus notables de la COP16 a été l'accent mis sur les droits des peuples autochtones. Les communautés autochtones sont reconnues comme « les gardiens de la nature », jouant un rôle essentiel dans la protection de la biodiversité étant donné leurs liens étroits et ancestraux avec la nature. Ainsi, la création d'un groupe permanent, ou « organe subsidiaire » pour les peuples autochtones a été mise en place afin de leur assurer une représentation continue et leur permettre de contribuer directement aux négociations.

Si la reconnaissance des contributions autochtones est une étape importante, elle ne garantit pas la protection des droits des peuples autochtones. En l'absence de mesures exécutoires, les communautés autochtones pourraient continuer d'être marginalisées ou exploitées par des intérêts plus puissants, notamment par des gouvernements ou des entreprises cherchant à accéder à des terres riches en ressources naturelles. La COP16 souligne que les communautés autochtones sont des partenaires dans le domaine de la conservation, mais n'offre pas d'accords contraignants pour protéger leur souveraineté et leurs moyens de subsistance.

Le défi majeur : combler l’écart entre engagements et actions concrètes

Les résultats de la COP16 ont révélé le talon d'Achille familier de la gouvernance environnementale : le fossé entre les engagements et les actions. L'histoire des COP sur le climat a montré que les accords environnementaux ambitieux échouent souvent au stade de la mise en oeuvre, enfermés dans des obstacles politiques, économiques ou logistiques. Les pays doivent non seulement aligner leurs politiques sur les objectifs de la COP16, mais aussi engager des ressources et dialoguer avec les communautés autochtones et le secteur privé pour surmonter les défis persistants pour sa mise en oeuvre. Le secteur financier peut jouer un rôle crucial dans la promotion des objectifs en matière de biodiversité en mettant l'accent sur les mécanismes et cadres de financement qui alignent les flux financiers sur les besoins de conservation.

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news-3908 Wed, 13 Nov 2024 09:00:00 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Global Coco » de la SICAV La Française (fr-lu) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-global-coco-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ Nous vous informons que Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion du Compartiment La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment ») a décidé de modifier l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement, le profil rendement/risque du Compartiment ainsi que sa dénomination. Quels changements vont intervenir sur votre Compartiment ?

En effet, la société de gestion a décidé de faire évoluer le Compartiment vers une stratégie obligataire flexible avec une approche sectorielle sur les obligations financières. La société de gestion considère que cette nouvelle stratégie offrira aux actionnaires une exposition à un secteur qu’elle juge décoté sur le marché obligataire. Après cette opération, le Compartiment investira au minimum 70% de son actif net dans des obligations à taux fixe ou variable, des obligations subordonnées, autres titres de créances négociables et instruments du marché monétaire appartenant au secteur financier.

Par ailleurs, la société de gestion a décidé de faire passer le Compartiment en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers relative à la prise en compte des critères extra-financiers en lieu et place de la catégorie 1 actuellement. La catégorie 3 de l’instruction 2020-03 permet une communication des critères extra-financiers « limitée au prospectus » et proportionnée.

Quand cette opération interviendra-t-elle ?

Cette opération entrera en vigueur le 18 novembre 2024.

Si vous acceptez les termes de ces modifications, cette opération n’implique aucune démarche spécifique de votre action.
Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat de vos actions sans frais(1) à tout moment, le Compartiment n’appliquant pas de commission de rachat.

Quel est l’impact de cette ou ces modifications sur le profil de rendement/risque de votre investissement ?

  • Modification du profil de rendement/Risque : Oui
  • Augmentation du profil de risque : Non
  • Augmentation potentielle des frais : Oui
  • Ampleur de l’évolution du profil de rendement / risque : très significatif (2)

Quel est l’impact de cette opération sur votre fiscalité ?

L’opération de mutation n’a pas d’impact sur votre fiscalité. Nous vous conseillons de prendre contact avec votre conseiller habituel ou votre distributeur.

Eléments clés à ne pas oublier pour l’investisseur

Nous vous rappelons la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clé (DIC).

Les options suivantes vous sont offertes :

  • La modification vous convient : aucune action de votre part n’est nécessaire ;
  • La modification ne vous convient pas : vous avez la possibilité de sortir sans frais du Compartiment à tout moment, celui-ci n’appliquant pas de commissions de rachat ;
  • Vous n’avez pas d’avis sur l’opération, nous vous conseillons de prendre contact avec votre conseiller ou votre distributeur.

Les DIC et le prospectus du Compartiment sont disponibles sur les sites : www.creditmutuel-am.eu et/ou www.la-francaise.com ou auprès de : CREDIT MUTUEL ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com

(1) Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération.
(2) Cet indicateur se base sur l'évolution du SRI et l'évolution de l'exposition du fonds à une ou plusieurs typologies de risques.

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news-3907 Wed, 13 Nov 2024 09:00:00 +0100 Lettre aux actionnaires du compartiment « La Française Global Coco » de la SICAV La Française (fr-fr) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-global-coco-de-la-sicav-la-francaise-fr-fr/ Nous vous informons que Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion du Compartiment La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment ») a décidé de modifier l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement, le profil rendement/risque du Compartiment ainsi que sa dénomination. Quels changements vont intervenir sur votre Compartiment ?

En effet, la société de gestion a décidé de faire évoluer le Compartiment vers une stratégie obligataire flexible avec une approche sectorielle sur les obligations financières. La société de gestion considère que cette nouvelle stratégie offrira aux actionnaires une exposition à un secteur qu’elle juge décoté sur le marché obligataire. Après cette opération, le Compartiment investira au minimum 70% de son actif net dans des obligations à taux fixe ou variable, des obligations subordonnées, autres titres de créances négociables et instruments du marché monétaire appartenant au secteur financier.

Par ailleurs, la société de gestion a décidé de faire passer le Compartiment en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers relative à la prise en compte des critères extra-financiers en lieu et place de la catégorie 1 actuellement. La catégorie 3 de l’instruction 2020-03 permet une communication des critères extra-financiers « limitée au prospectus » et proportionnée.

Quand cette opération interviendra-t-elle ?

Cette opération entrera en vigueur le 18 novembre 2024.

Si vous acceptez les termes de ces modifications, cette opération n’implique aucune démarche spécifique de votre action.
Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat de vos actions sans frais(1) à tout moment, le Compartiment n’appliquant pas de commission de rachat.

Quel est l’impact de cette ou ces modifications sur le profil de rendement/risque de votre investissement ?

  • Modification du profil de rendement/Risque : Oui
  • Augmentation du profil de risque : Non
  • Augmentation potentielle des frais : Oui
  • Ampleur de l’évolution du profil de rendement / risque : très significatif (2)

Quel est l’impact de cette opération sur votre fiscalité ?

L’opération de mutation n’a pas d’impact sur votre fiscalité. Nous vous conseillons de prendre contact avec votre conseiller habituel ou votre distributeur.

Eléments clés à ne pas oublier pour l’investisseur

Nous vous rappelons la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clé (DIC).

Les options suivantes vous sont offertes :

  • La modification vous convient : aucune action de votre part n’est nécessaire ;
  • La modification ne vous convient pas : vous avez la possibilité de sortir sans frais du Compartiment à tout moment, celui-ci n’appliquant pas de commissions de rachat ;
  • Vous n’avez pas d’avis sur l’opération, nous vous conseillons de prendre contact avec votre conseiller ou votre distributeur.

Les DIC et le prospectus du Compartiment sont disponibles sur les sites : www.creditmutuel-am.eu et/ou www.la-francaise.com ou auprès de : CREDIT MUTUEL ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com

(1) Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération.
(2) Cet indicateur se base sur l'évolution du SRI et l'évolution de l'exposition du fonds à une ou plusieurs typologies de risques.

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news-3906 Tue, 12 Nov 2024 09:00:00 +0100 Guillaume MARTIN, nommé responsable commercial - Valeurs mobilières pour La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/guillaume-martin-nomme-responsable-commercial-valeurs-mobilieres-pour-la-francaise/ Paris, le 12 novembre 2024 : La Française, pôle de gestion d'actifs multi-spécialiste de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d'annoncer la nomination, à effet du 4 novembre, de Guillaume MARTIN en tant que Responsable commercial, couvrant l’ensemble des expertises en « valeurs mobilières » du groupe. Guillaume rejoint l’équipe de Romain GOBERT, Directeur commercial, et sera l’interlocuteur privilégié des partenaires conseillers en gestion de patrimoine et des plateformes, situés dans la région Ouest. 

Romain GOBERT déclare :

Guillaume complétera parfaitement l’équipe de distribution dédiée à l’expertise en actifs cotés. Son expérience avérée dans l’onboarding et ses connaissances en matière d’allocation d’actifs aussi bien sur le coté que le non-coté nous permettront de continuer à offrir une qualité de service élevée à nos partenaires – distributeurs.

Guillaume MARTIN, Responsable commercial – expertise « valeurs mobilières » (âgé de 28 ans) 

Guillaume apporte à La Française une solide expérience dans le secteur de la gestion d’actifs et de la banque privée, acquise d’abord à l’international en 2018, au sein de la banque J. Safra Sarasin à Singapour, dans le département des trusts. En 2019, il rejoint Tikehau Capital, où il est initialement chargé de l’onboarding de nouveaux clients internationaux et distributeurs. Puis, en 2023, il devient responsable commercial avec pour mission de développer la distribution intermédiée (conseillers en gestion de patrimoine indépendants) pour une gamme de fonds UCITS et FIA (Private Equity, Dette Privée et Immobilier).

Guillaume est titulaire d’un master en commerce international à l’IPAG Business School.
 

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news-3905 Tue, 05 Nov 2024 11:28:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un actif immobilier à usage de clinique pluridisciplinaire en région Auvergne-Rhône-Alpes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-actif-immobilier-a-usage-de-clinique-pluridisciplinaire-en-region-auvergne-rhone-alpes-1/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE, a conclu l’acquisition, auprès d’un institutionnel, d’un actif immobilier à usage de clinique pluridisciplinaire, sis 9bis rue de la Piot, à Saint-Priest-en-Jarez (42) en périphérie nord de Saint-Etienne.

L’actif a été construit en 1991 et partiellement rénové en 2019. Il est implanté sur une parcelle boisée de plus de 2 hectares au sein du pôle de santé de Saint-Etienne, à proximité du CHU. La clinique est facilement accessible depuis l’A72 et en transports en commun avec les lignes de tramway T1 et T3.

L’ensemble immobilier, d’une surface totale de 10 460 m2 répartis sur 6 niveaux, comporte 12 salles de bloc opératoire, 7 boxes d’urgence et 115 lits, dont 79 en hospitalisation complète. La clinique offre des services de chirurgie digestive, ophtalmologique, orthopédique, ORL, maxillo-faciale, plastique, infantile et urologique.

L’actif est exploité par ELSAN dans le cadre d’un bail d’une durée ferme de 12 ans. Le groupe de santé ELSAN est un acteur de référence de l’offre de soins en France, présent dans l’ensemble des métiers de
l’hospitalisation et dans toutes les régions. Le développement du réseau d’établissements de santé est fondé sur trois valeurs que sont l’attention à l’autre, le lien social et l’esprit d’équipe. Ainsi, ELSAN agit et innove pour la santé de tous au coeur des territoires.

L’actif fait l’objet d’un protocole de travaux prévoyant l’amélioration de la performance énergétique et environnementale du bâtiment. La clinique, sur ses aspects Social et de Gouvernance est jugée Best In Class, grâce notamment à son impact social et aux offres et services proposés, au confort et bien-être des patients.

Jérôme VALADE, Directeur du Pôle Immobilier de Santé de La Française REM a conclu : « Cette acquisition est importante pour LF Avenir Santé puisqu’elle renforce notre relation partenariale avec le groupe ELSAN et parce qu’elle s’est réalisée à des conditions bonifiant la performance potentielle du fonds, tout en s'inscrivant dans notre mission de lutte contre la désertification médicale. Comme le souligne le rapport sénatorial de 2021, le manque d'infrastructures de santé est criant dans de nombreux territoires. En ciblant des zones sous-dotées, à l'instar du département de la Loire où 41% des communes se trouvent en situation de désert médical, notre SCPI contribue à réduire ces inégalités territoriales d'accès aux soins. Cette approche, alliant objectifs de gestion financière et extra-financière, renforce notre position d'acteur clé dans l'immobilier de santé, tout en offrant à nos investisseurs une exposition à un secteur résilient et porteur de sens. »

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par MAYER BROWN pour la due diligence juridique, ARTELIA pour la due diligence technique, WUEST PARTNERS pour la due diligence ESG et par Me Alexandre Ollagnon, étude ALLEZ&ASSOCIES pour la due diligence notariale.

Le vendeur a été conseillé par Me Annamaria Brogna de l’étude notariale LEXFAIR, l’agent ADAMA pour la commercialisation et ADVENIO pour l’étude énergétique.

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news-3902 Tue, 05 Nov 2024 09:11:05 +0100 Commentaire Pre FED signé François Rimeu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/previsions-de-la-reunion-de-la-reserve-federale-anticipation-dune-baisse-de-taux-et-contexte-electoral-incertain/ La Réserve Fédérale américaine (Fed) tiendra sa prochaine réunion de politique monétaire dans un climat électoral incertain. La baisse de taux de 25bps semble quasi certaine. Ce qu’il faut en attendre :

  • 4.5-4.75%. Cette baisse est « pricée » à quasiment 100%, il n’y aura donc aucune surprise pour les marchés.
  • Les élections auront peut-être rendu leur verdict mais que ça soit le cas ou pas la Fed devrait rester prudente quant au rythme de baisse des taux dans le futur.
  • En effet, les données économiques ont montré depuis la décision de baisser les taux de 50bps en septembre une économie résiliente.
  • La Fed devrait aussi insister sur l’impact des ouragans et des grèves sur les dernières données d’emploi (comme elle l’avait fait après Katrina ou Sandy).
  • Le communiqué ne devrait pas évoluer de manière drastique par rapport à septembre hormis ce qui concernera les ouragans.

En résumé, la réunion de la Réserve Fédérale ne devrait pas avoir beaucoup d’impact avec une baisse de taux très largement anticipée et un marché focalisé sur les résultats des élections américaines.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

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news-3896 Tue, 05 Nov 2024 14:18:00 +0100 Avis de convocation AGE SICAV La Française_avis 2nde FR_LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-de-convocation-age-sicav-la-francaise-avis-2nde-fr-lu/ AVIS DE CONVOCATION L’Assemblée Générale Extraordinaire réunie sur première convocation le 4 novembre 2024 à 16 heures n’ayant pu délibérer sur les résolutions, faute de quorum, les actionnaires se sont de nouveau convoqués sur seconde convocation, en Assemblée Générale Extraordinaire, qui se tiendra :

le 15 novembre 2024 à 16 heures
au siège social de la Société situé 128 Boulevard Raspail – 75006 Paris,

En vue de délibérer et statuer sur l'ordre du jour suivant :

  1.  Lecture et approbation du rapport du Conseil d’Administration et du rapport du Commissaire aux Comptes ;
  2.  Lecture et approbation du traité de fusion prévoyant l’absorption du CM-AM Obli Corpo ISR* par le compartiment LA FRANCAISE OBLIGATIONS CARBON IMPACT** de la SICAV LA FRANCAISE ;
  3.  Approbation des conditions et modalités de ladite fusion ;
  4.  Fixation du jour de réalisation de la fusion et d’évaluation des actifs pour la détermination des parités d’échange ;
  5.  Augmentation du capital par émission d’actions et de fractions d’actions nouvelles consécutive aux apports issus de la fusion ;
  6.  Pouvoirs au Conseil d’Administration à l’effet, sous le contrôle des Commissaires aux Comptes, de procéder à la réalisation définitive de la fusion, à l’évaluation de l’actif net de la SICAV et à la détermination des parités d’échange à la date fixée par l’Assemblée Générale Extraordinaire ;
  7.  Pouvoirs pour formalités.
     

*Ce fonds n’est pas enregistré au Luxembourg
**Ce compartiment n’est pas enregistré au Luxembourg


Conformément à la législation en vigueur, les actionnaires sont informés que l’ensemble des documents prévus aux articles R 225-81 et R 225-83 du Code de commerce sont à leur disposition au siège social de la Société et qu'ils seront envoyés gratuitement à ceux d'entre eux qui en feront la demande.

Les actionnaires remplissant les conditions prévues par l’article R 225-71 du Code du commerce, peuvent demander au conseil d’administration, l’inscription de points ou de projets de résolution à l’ordre du jour. Ils devront les adresser par lettre recommandée avec avis de réception au siège social. Pour être prises en compte, ces demandes devront être reçues cinq jours avant la tenue de l’assemblée et être accompagnées du texte des projets de résolution et d’une attestation d’inscription en compte.
Tout actionnaire, quel que soit le nombre d’actions qu’il possède, a le droit de participer à cette assemblée, de s’y faire représenter par un actionnaire, par son conjoint ou le partenaire avec lequel il a conclu un pacte civil de solidarité ou d’y voter par correspondance dans les conditions prévues aux articles L 225-106 et L 225-107 du Code de commerce.

Le droit de participer pour tout actionnaire à l’assemblée ou de s’y faire représenter est subordonné à l’enregistrement comptable de ses titres, soit en son nom ou au nom de l’intermédiaire inscrit pour son compte, au deuxième jour ouvré précédant l’assemblée à zéro heure, heure de Paris.

Si vous souhaitez voter par correspondance, vous pouvez vous procurer le formulaire de vote auprès de la Société:

La Française - 128, boulevard Raspail – 75006 Paris. La demande de formulaire doit être adressée par lettre recommandée avec accusé de réception et parvenir à la Société six jours au moins avant la date de la réunion.

Les formulaires de vote à distance ne seront pris en compte qu'à la condition de parvenir à la Société deux jours avant la date de l'assemblée, accompagnés d’une attestation établie par le dépositaire de ces actions justifiant de leur enregistrement comptable datée de deux jours avant la date de l’assemblée.

En cas de vote par correspondance, vous n’aurez plus la possibilité de participer directement à l’assemblée ou de vous y faire représenter en vertu d’un pouvoir.

Le présent avis vaut avis de convocation, sous réserve qu’aucune modification ne soit apportée à l’ordre du jour, à la suite des demandes d’inscription de projets de résolutions présentées par des actionnaires.

Sauf instruction contraire, les procurations et les votes par correspondance reçus pour l’Assemblée Générale Extraordinaires du 4 novembre 2024 à 16h (date de la 1ère convocation) restent valables pour l’Assemblée Générale Extraordinaire du 15 novembre 2024 à 16h ainsi qu’aux autres Assemblées Générales successives portant sur le même ordre du jour.

Le Président du Conseil d’Administration
 

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news-3888 Tue, 29 Oct 2024 17:34:11 +0100 Avis : Modification de l’OPCVM « CM-AM SUSTAINABLE PLANET » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-de-lopcvm-cm-am-sustainable-planet/ Vous détenez des actions de l’OPCVM CM-AM SUSTAINABLE PLANET et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons de l’ajout du pré-centralisateur IZNES dans le prospectus. 

Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 30/10/2024.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.

Les documents d’informations clés doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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news-3887 Tue, 29 Oct 2024 17:15:24 +0100 Avis : Modification de l’OPCVM « CM-AM FLEXIBLE EURO » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-de-lopcvm-cm-am-flexible-euro/ Vous détenez des actions de l’OPCVM CM-AM FLEXIBLE EURO et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons de la création d’une action « RD » dont le code ISIN est FR001400TAQ5. 

Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 30/10/2024.
 

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clés du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.

Les documents d’informations clés doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
 

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news-3881 Tue, 22 Oct 2024 09:00:00 +0200 CM-AM Convictions Euro de Crédit Mutuel Asset Management franchit le cap du milliard d'euros d'actifs sous gestion (FR - FR) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cm-am-convictions-euro-de-credit-mutuel-asset-management-franchit-le-cap-du-milliard-deuros-dactifs-sous-gestion-fr-fr/ Paris, le 22 octobre 2024 : Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion d’actifs de La Française, le pôle de gestion d'actifs multi-spécialistes de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, annonce que le fonds actions zone euro, CM-AM Convictions Euro a dépassé le milliard d'euros d'encours sous gestion . Ce franchissement de seuil symbolique témoigne de l'attrait des investisseurs pour cette stratégie de stock-picking qui a su démontrer sa pertinence sur le long terme. CM-AM Convictions Euro est géré activement et de manière discrétionnaire. Il a pour objectif la recherche d’une performance annuelle nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence EURO STOXX Net Return sur la durée de placement recommandée, supérieure à 5 ans.

CM-AM Convictions Euro est un fonds actions de la zone euro qui se distingue par :

  • un processus de gestion éprouvé : l'équipe s'appuie sur des outils d’analyse quantitatifs et qualitatifs développés en interne, avec un track-record de 17 ans . 
  • une gestion de convictions reposant sur quatre grandes tendances : l’innovation, l’économie durable, le style de vie et la longévité. 
  • un biais qualité / croissance : les gérants privilégient des entreprises de qualité ayant une croissance visible, mais se laissent la possibilité d’intégrer des sociétés plus cycliques  en fonction des phases de marché. 
  • une stratégie toutes capitalisations : le fonds sélectionne les meilleures sociétés des trois segments de marché : petites (capitalisations supérieures à 200 millions d’euros), moyennes et grandes capitalisations boursières pour optimiser le couple performance/risque. Au 30/09/2024, le portefeuille est investi à hauteur de 87 % en grandes capitalisations, tendant ainsi à assurer la liquidité du fonds
  • une approche durable : le fonds est classé article 8 SFDR et intègre des critères ESG à différentes étapes du processus d’investissement.

Le fonds se distingue régulièrement dans sa catégorie, comme en attestent ses classements Morningstar sur différentes périodes . Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Jean-Louis DELHAY, CIO de Crédit Mutuel Asset Management et gérant principal du fonds, commente :

« L’attrait du fonds repose sur une gestion active de convictions qui s’adapte aux conditions de marché avec un cœur de portefeuille orienté qualité/croissance et une sélection d’entreprises créatrices de valeur sur le long terme. Cette approche nous a permis de traverser différents cycles de marché tout en offrant un couple rendement/risque attractif à nos porteurs. »

Eliana de ABREU, Directrice Générale de Crédit Mutuel Asset Management conclut :

« Nous sommes très fiers d'avoir atteint ce cap symbolique du milliard d'euros d'encours. C'est une belle reconnaissance du travail accompli par l’équipe de gestion. L’intérêt croissant des investisseurs témoigne de la pertinence de notre approche fondamentale et de long terme. »

CM-AM CONVICTIONS EURO

Classification

Actions Euro

Forme juridique

Sicav de droit Français, compartiment de CM-AM SICAV

Code ISIN

FR0013384989 (Action IC), FR0013384963 (Action RC)

Indicateur de risque

4 (sur une échelle de 1 à 7, 7 représentant le niveau de risque le plus élevé)

 

Durée de placement conseillée

Supérieure à 5 ans

 

 

Objectif de gestion

 

Cet OPCVM a pour objectif de gestion la recherche d’une performance annuelle nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence Euro Stoxx® Net Return sur la durée de placement recommandée. La composition de l’OPCVM peut s’écarter sensiblement de la répartition de l’indicateur.

Indicateur de référence

Euro Stoxx® Net Return

Éligibilité au PEA

Oui

Affectation résultat

Capitalisation

Frais de gestion et autre frais administratifs & d’exploitation

 

Référer au Document d’informations clés

Coûts d’entrée / coûts de sortie

2 % / 0 %

Souscription initiale minimum

1 action

Valorisation

Quotidienne

 

 

 

Risques associés

 

Risque de perte en capital, risque de marché, risque lié à l’investissement en actions de petite capitalisation, risque d’investissement sur les marchés émergents, risque de change, risque lié aux obligations convertibles, risque de taux, risque de crédit, risque lié aux investissements dans des titres spéculatifs (haut rendement), risque lié à l’impact des techniques telles que les produits dérivés, risque de liquidité, risque en matière de durabilité.

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news-3879 Thu, 17 Oct 2024 10:22:15 +0200 Marché immobilier d’entreprise européen – un point d’inflexion est atteint /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-europeen-un-point-dinflexion-est-atteint/ L’entrée dans un nouveau cycle immobilier pour les marchés européens s’est confirmée au troisième trimestre 2024. Largement anticipée, la baisse des taux de la BCE permet aux investisseurs de gagner en visibilité quant à l’atterrissage des valeurs des meilleurs actifs. Face au risque d’une désinflation plus rapide que ses prévisions, la BCE pourrait être amenée à assouplir sa politique monétaire plus vite et plus loin, permettant aux produits immobiliers de regagner en attractivité et de retrouver leur place naturelle dans une allocation de portefeuille diversifiée.  

Rebond des volumes d’investissement en Europe

Les volumes investis en immobilier commercial en Europe sont, pour le troisième trimestre consécutif, orientés à la hausse en Europe, confirmant que les marchés immobiliers sont arrivés à un point d’inflexion.

La France fait figure d’exception puisqu’elle voit ses volumes d’investissement reculer une nouvelle fois au troisième trimestre. Dans l’Hexagone, l’impact de l’assouplissement de la politique monétaire de la BCE a été largement amoindri par les questionnements sur la longévité du gouvernement de M. Barnier et le poids de la dette française. Sur les neuf premiers mois de l’année, 10,1 Mds € ont été investis en immobilier d’entreprise en France, une baisse de 11% sur un an.

Les stratégies de diversification des investisseurs se confirment avec une nette préférence pour les actifs démographiques (immobilier de santé et résidentiel géré), l’hôtellerie et la logistique. Pénalisés par l’attentisme des investisseurs, les bureaux continuent à reculer. En France, le recul est deux fois plus marqué en Ile-de-France qu’en régions (-56% vs. -28% selon les données provisoires). Les commerces regagnent en attractivité, portés par l’intérêt des investisseurs pour les enseignes de première nécessité et les retail parks. L’attrait des actifs de diversification est lié à leur profil plus défensif grâce à des fondamentaux décorrélés des cycles économiques mais aussi à leur taille, dans la mesure où les investisseurs privilégient les actifs pour lesquels il n’est pas besoin d’avoir recours au financement.

Une reprise différenciée selon les classes d’actifs

La hausse brutale et soudaine des taux sans risque sur les deux dernières années a provoqué une hausse des taux de rendements immobiliers et donc une correction des prix de l’ensemble des typologies d’actifs. En revanche, l’ampleur de ce mouvement d’ajustement varie significativement en fonction des typologies d’actifs. Les centres commerciaux et les bureaux de qualité moyenne ont affiché une hausse de leur taux de rendement de plus de 200 points de base, comparée à leur point bas. Sur la même période, les hôtels, la santé et le résidentiel géré affichent une hausse inférieure à 100 points de base. Par ailleurs, sur les neuf premiers mois de l’année 2024, les hausses des taux de rendement immobiliers ont été plus contenues : 9 points de base en moyenne pour les bureaux prime et 6 points de base pour la logistique. Certaines classes d’actifs enregistrent même des compressions de taux depuis le début de l’année. Si ces compressions de taux restent marginales, elles confirment le basculement des marchés dans un nouveau cycle.

Bureaux France : l’offre pèse sur les loyers

Avec 412 000m² commercialisés au troisième trimestre, la demande placée en Ile-de-France s’élève à 1,3 millions de m² sur les neuf premiers mois de l’année, un recul de 9 % sur un an. Le climat d’incertitude lié au contexte politique français semble inciter les entreprises à décaler leurs décisions immobilières, qui par nature, s’inscrivent sur le long terme. Après un début d’année dynamique, le segment des grandes transactions a fortement ralenti au troisième trimestre sans signe annonciateur d’un retournement de marché au quatrième trimestre. A plus long terme, le rééquilibrage des modes de travail hybrides avec un retour plus marqué au présentiel, comme en témoignent les récentes annonces de certains grands groupes, pourrait permettre à la demande de rebondir.

La polarisation des marchés se poursuit. Les localisations centrales continuent d’être privilégiées par les utilisateurs, à l’instar de Paris Intra-muros qui concentre 55 % de la demande placée sur les neuf premiers mois de l’année, confirmant l’importance des enjeux de centralité. En revanche, les périphéries continuent à peiner à attirer de nouveaux utilisateurs et voit leur taux de vacance atteindre des sommets. Si les loyers prime restent orientés à la hausse dans les localisations centrales, le contexte global marqué par l’attentisme des utilisateurs n’est pas de nature à favoriser une augmentation générale des loyers. Par ailleurs, après plusieurs années de fortes indexations, les loyers des baux en cours sont supérieurs aux loyers de marchés dans plusieurs secteurs géographiques, à l’instar de La Défense ou la Boucle Nord. Dans ce contexte, les renégociations de baux se multiplient et donnent souvent lieu à des mesures d’accompagnement importantes.

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news-3878 Wed, 16 Oct 2024 17:07:12 +0200 La lettre d’information Avis : Modification du FCPE « PHOENIX OCP » https://www.la-francaise.com/fileadmin/images/Actualites/2024/Avis_internet_changement_FCPE_PHOENIX_OCP-V2CIC.pdf Vous détenez des parts du fonds « FCPE PHOENIX OCP » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. news-3876 Tue, 15 Oct 2024 16:39:32 +0200 Une BCE toujours dépendante des données : de la persistance de l’inflation à la potentielle stagnation. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-bce-toujours-dependante-des-donnees-de-la-persistance-de-linflation-a-la-potentielle-stagnation/ Christine Lagarde devrait parvenir assez facilement à un consensus au sein du comité sur la nécessité d’une nouvelle baisse de taux de 25 points de base (pbs) dès le mois d’octobre après les deux baisses de taux d’un quart de point en juin et septembre dernier. Les membres de la Banque Centrale Européenne (BCE) ne souhaiteront pas selon nous prendre le risque de maintenir des conditions monétaires trop restrictives au regard de prévisions de croissance faibles dans certains des principaux pays de la zone Euro.

Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Face à une balance des risques moins favorable en zone euro, les membres du Conseil des gouverneurs baisseront les taux directeurs de 25 bps ; 3,25% pour le taux de la facilité de dépôt. 
  • Christine Lagarde rappellera que l’objectif d’inflation est symétrique.
  • Elle se montrera très confiante quant au retour durable de l’inflation à l’objectif de 2%, ‘en temps voulu’ (à savoir, au second semestre 2025 selon les prévisions de la BCE de septembre) mais plus inquiète sur l’activité économique en zone euro en particulier à court terme. 
  • La présidente de la BCE indiquera que l’institution peut baisser ses taux même avec un taux d’inflation des services élevé (qui se maintient autour de 4%) car la banque centrale est attentive à la dynamique globale des prix et à l’évolution des salaires. 
  • Elle répètera toutefois que les taux d’intérêt ne sont pas pour autant sur une trajectoire baissière linéaire.

En résumé, nous pensons qu’il y aura une baisse de taux en octobre : les données et les enquêtes de conjoncture se dégradent et la dynamique des prix confirme que l’inflation retrouvera probablement sa cible de 2% comme prévu. Les implications sur les marchés financiers devraient être relativement limitées. En effet, la baisse d’octobre est largement attendue des investisseurs et ces derniers ont déjà pleinement intégré une baisse de taux de 25 pbs en décembre. L’attention sera désormais tournée vers la réévaluation des perspectives de croissance et d’inflation de la BCE publiée lors du comité du 12 décembre qui pourrait potentiellement montrer une décélération de l’inflation plus rapide que prévue l’année prochaine (par rapport aux prévisions du mois de septembre).

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. 

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news-3874 Tue, 15 Oct 2024 11:50:55 +0200 Zoom sur le High Yield /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/zoom-sur-le-high-yield/ Après une année 2022 difficile, le marché du crédit a connu deux années positives en termes de rendement. Que peuvent attendre les investisseurs, dans le nouveau scénario de baisse des taux ? LES POINTS À RETENIR :
  • Que peut-on attendre de la baisse des taux ?
  • Quelles sont les opportunités d’investissement ?
  • Court terme ou long terme ?
  • Doit-on privilégier le crédit ou la dette ?


La baisse des taux d'intérêt est généralement favorable pour les marchés du crédit et sera probablement un moteur de performance pour les mois à venir. En 2022 et 2023, la contraction des spreads a été le principal contributeur aux rendements, soutenue par l'amélioration des fondamentaux et les afflux de capitaux importants dans cette classe d'actifs. Fin septembre, les spreads des obligations High Yield (HY) en euro ont clôturé à 342 points de base (en dessous de la moyenne sur 10 ans de 404), tandis que les spreads HY en dollar ont clôturé à 303 points de base (contre 439) (source : Bloomberg). La situation est similaire pour les obligations Investment Grade (IG).

Pour 2024 et 2025, les principaux moteurs de performance seront le « carry », à savoir le portage et la duration. Les rendements actuels de 5,7 % pour le HY en euro et de 5,5 % pour le HY en USD (nets des frais de couverture) sont bien supérieurs à la moyenne sur 10 ans, les rendant ainsi attractifs dans l'environnement de risque actuel. Ces niveaux de rendement offrent une protection contre un éventuel élargissement des spreads. Dans un scénario de baisse des taux, les obligations à duration plus longue devraient également bénéficier à la performance.

Enfin, les taux de défaut des obligations HY devraient rester stables en raison de l’environnement macroéconomique et parce que de nombreuses entreprises ont déjà refinancé leurs dettes à court terme.

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news-3873 Tue, 15 Oct 2024 10:48:15 +0200 LETTRE D’INFORMATION AUX PORTEURS DU FIA CM-AM MICRO CAP https://www.la-francaise.com/fileadmin/images/Actualites_reglementairesIMG/Lettre_aux_porteurs__CM_AM_Micro_Cap__15.10.2024.pdf Objet : Fusion-absorption du FCP CM-AM MICRO CAP par l’OPCVM LA FRANCAISE ACTIONS FRANCE PME news-3870 Tue, 08 Oct 2024 08:50:24 +0200 Avis : modification de l’OPCVM « CM-AM OBLI SOUVERAINS » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-de-lopcvm-cm-am-obli-souverains/ Vous détenez des parts de l’OPCVM CM-AM OBLI SOUVERAINS et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. Nous vous informons de la décimalisation des Parts RC et S en cent-millièmes et de l’ajout du pré-centralisateur IZNES dans le prospectus. 
De plus, la Part RC qui était destinée à « Tous souscripteurs, plus particulièrement destinée aux personnes morales » sera désormais « Tous souscripteurs ». 

Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 09/10/2024.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.

Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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news-3869 Tue, 08 Oct 2024 08:47:25 +0200 Avis : Modification de l’OPCVM « CM-AM OBLIGATIONS ISR » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-de-lopcvm-cm-am-obligations-isr/ Vous détenez des parts de l’OPCVM CM-AM OBLIGATIONS ISR et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. Nous vous informons de la décimalisation de la Parts RC en cent-millièmes et de l’ajout du pré-centralisateur IZNES dans le prospectus. 
De plus, l’objectif de gestion a été précisé de la manière suivante :
« Il a pour objectif de gestion de sélectionner parmi les obligations libellées en euros de la catégorie Investment Grade, les titres qui présentent le plus de potentiel d’appréciation à moyen terme afin d’offrir une performance en lien avec les marchés de taux de la zone euro sur l’horizon de placement recommandée tout en répondant aux critères de l’investissement responsable, tout en répondant aux critères de l'investissement socialement responsable. »

Au lieu de :
« Il a pour objectif de gestion de valoriser le portefeuille, en recherchant la rentabilité sur la durée minimale de placement recommandée, tout en répondant aux critères de l'investissement socialement responsable. »
Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 16/10/2024.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.

Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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news-3868 Fri, 19 Jan 2024 15:14:00 +0100 Après 3 ans d’engagement durable, la SCPI LF GRAND PARIS PATRIMOINE renouvelle son label ISR ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/apres-3-ans-dengagement-durable-la-scpi-lf-grand-paris-patrimoine-renouvelle-son-label-isr/ 3 ans. 3 ans de suivi, de mise en place solutions innovantes, d’écoute des besoins des locataires, de fiabilisation des données. Fin 2020, la SCPI LF Grand Paris Patrimoine a pris le virage de l’ISR en étant parmi les premiers fonds immobiliers à se voir attribuer le label ISR, un repère unique pour les épargnants souhaitant participer à une économie plus durable.

Depuis, la SCPI a bâti un cadre de gestion durable, transparent et, grâce à la mobilisation des équipes La Française REM mais aussi de ses parties prenantes (Property Managers, prestataires et locataires), LF Grand Paris Patrimoine a vu ses caractéristiques E, S et G s’améliorer et ce ai niveau de chaque actif de son patrimoine. Pour revenir sur ces 3 années exceptionnelles, nous laissons la parole à ceux qui ont œuvrés à la mise en place de solutions responsables :


Le label ISR ne garantit pas la performance du fonds.

LF Grand Paris Patrimoine a principalement poursuivi deux objectifs : réduire ses émissions de gaz à effet de serre et améliorer le confort des utilisateurs. Nos experts ont travaillé, avec l’aide des property managers, sur les critères E, S et G de chaque immeuble et chaque action a compté pour atteindre des résultats plus que satisfaisants.

En résumé, ces trois années de label ISR ont permis de faire évoluer le score ESG de la SCPI de près de 23% depuis l’évaluation initiale. Mais il n’y a pas que ce chiffre à retenir, les actions menées ont également permis :

Engagé depuis près de 15 ans dans une démarche durable, le lancement du label ISR en 2020 a donc permis à La Française REM de renforcer son processus de gestion et d’intégrer de manière pérenne l’ESG dans sa politique immobilière.

En tant que gestionnaire d’actifs immobiliers, notre mission est de protéger la valeur de nos actifs aujourd’hui et demain, pour nos investisseurs et nos locataires. C’est pour cela que nous sommes fiers de vous annoncer le renouvellement du label ISR pour la SCPI LF Grand Paris Patrimoine. La Française REM a su être au rendez-vous du décret tertiaire, et nous travaillons dans cette continuité au respect des futurs décrets et réglementations liées aux solutions de mobilité et d’énergies renouvelables.

Virginie Wallut

Les exemples d’investissement donnés ne constituent pas un engagement quant aux futures acquisitions de la SCPI.

Pour en savoir plus sur la SCPI LF Grand Paris Patrimoine, nous vous invitons à contacter votre interlocuteur commercial habituel ou à nous écrire en cliquant ici .

Risques SCPI : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans.

Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces, etc.) présente des risques : absence de rentabilité potentielle ou perte en capital, capital investi non garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI. Les SCPI peuvent recourir à l’endettement. Les caractéristiques d’endettement peuvent être différentes selon les SCPI. Vous pouvez retrouver ces éléments en vous référant à la note d’information pour en connaitre les modalités (paragraphe « Politique d’investissement ») et/ou aux statuts de la SCPI. Les risques, frais (chapitre « Frais ») et commissions associés aux produits sont consultables dans la note d’information.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org). La note d’information de LF Paris Grand Patrimoine a reçu le visa AMF : SCPI n° 18-25, en date du 21 août 2018.

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news-3867 Mon, 17 Nov 2014 13:55:00 +0100 La fiscalité des revenus fonciers de source allemande au sein d’une SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fiscalite-des-revenus-fonciers-de-source-allemande-au-sein-dune-scpi/ La convention fiscale liant la France et l’Allemagne prévoit que toute structure française détenant des immeubles en Allemagne soit imposée à l’impôt sur les sociétés allemand (15,825 %) au titre des revenus fonciers perçus.

Les plus-values de cession d’immeubles allemands sont également soumises à l’impôt sur les sociétés allemand.

Pour l’associé personne physique, résident français

Prenons l’exemple d’une SCPI investissant en Allemagne et en France. Le revenu locatif brut global de la SCPI est composé de revenus locatifs issus d’immeubles allemands et français.

Par transparence fiscale, l’associé de la SCPI devra reporter dans sa déclaration de revenus les revenus fonciers de sources allemande et française. Il pourra, le cas échéant, en déduire les intérêts d’emprunt afférents à la souscription des parts.
Afin d’éviter une double imposition, suite au règlement préalable de l’IS allemand par la structure, l’associé se verra octroyer un crédit d’impôt (incluant les prélèvements sociaux) égal à l’impôt français qui aurait été dû au titre des revenus fonciers de source allemande.

A noter : bien qu’ils donnent lieu à un crédit d’impôt, les revenus de source allemande viennent augmenter la base imposable de l’associé et par conséquent son taux moyen d’imposition appliqué à toutes les autres natures de revenus.

Concernant les plus-values immobilières de cession de parts, selon le même principe, l’associé se verra octroyer un crédit d’impôt (incluant les prélèvements sociaux) égal à l'impôt français qui aurait été dû au titre des plus-values liées à la quote-part d’immeubles allemands.

Pour l’associé personne morale française

Pour les sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés, ne sont imposables que les revenus provenant de France. Les revenus fonciers de sources étrangères ne sont donc pas intégrés au calcul de l’IS.
Ces flux doivent néanmoins être déclarés dans le formulaire fiscal prévu à cet effet.
Ils ne peuvent par ailleurs donner lieu à aucune déduction ou amortissement, quel que soit le mode de souscription des parts de la SCPI (en pleine propriété, en démembrement, à crédit…).
En revanche, le calcul de l’IS reste le même sur la quote-part de revenus fonciers de source française, quel que soit le mode de souscription des parts de la SCPI.

Conseil juridique et fiscal

La Société de gestion La Française REM a été conseillée par le cabinet Hogan Lovells pour l’assister dans la structuration juridique et fiscale de sa SCPI d’entreprise dont la stratégie d’investissement est élargie à l’Europe.
L’équipe de Hogan Lovells mobilisée était composée à Paris d’un Associé, d’un Counsel et d’un collaborateur pour les aspects fiscaux français, et à Düsseldorf d’un Associé en charge des aspects fiscaux allemands.

A propos de Hogan Lovells

hogan_lovellsHogan Lovells est un cabinet d’avocats mondial qui accompagne les entreprises, les institutions financières et les organismes d’État sur l’ensemble de leurs problématiques juridiques tant au niveau local que sur le plan international. Le cabinet compte plus de 2 500 avocats répartis dans plus de 40 bureaux aux États-Unis, en Europe, en Amérique Latine, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie. Hogan Lovells est un cabinet d'avocats international qui regroupe Hogan Lovells International LLP, Hogan Lovells US LLP et leurs entités affiliées.

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news-3866 Tue, 21 Oct 2014 13:42:00 +0200 3 scpi la française primées au top d’or scpi 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/3-scpi-la-francaise-primees-au-top-dor-scpi-2022/ La Française est fière de vous annoncer que 3 de ses SCPI ont été primées par ToutSurMesFinances.com : LF Grand Paris Patrimoine, LF Avenir Santé et Epargne Foncière.

ToutSurMesFinances.com récompense en effet tous les ans depuis 2018, avec l’aide d’un jury indépendant, les meilleures SCPI dans différentes catégories. Ces 3 prix représentent une nouvelle reconnaissance pour notre démarche durable et la complémentarité de notre gamme !

LF Grand Paris Patrimoine a reçu le TOP d’Or des SCPI 2022 catégorie “Écoresponsable - SCPI Bureaux

L’avis du jury de ToutSurMesFinances.com : « Labellisée ISR dès 2020 et classée article 9 au sens du règlement SFDR, la SCPI LF Grand Paris Patrimoine affiche une politique de sélection et de suivi de son portefeuille fondée sur la prise en compte d’une centaine de critères extra financiers, avec des efforts portés dans un premier temps sur la lutte contre le réchauffement climatique. L’évaluation des actifs et les actions mises en œuvre sont assises sur un dispositif au niveau de la société de gestion parmi les plus complets du marché.

La SCPI affiche par ailleurs des indicateurs financiers en amélioration : un taux d’occupation* financier moyen en nette hausse à 93,1% en 2021 (vs 89,8 % en 2020), une évolution favorable du taux de recouvrement des loyers, alors que l’importance du report à nouveau (prévu à 11 mois fin 2022) lui laisse des marges de manœuvre significatives sur le taux de distribution ».

LF Avenir Santé a reçu le TOP d’Or des SCPI 2022 catégorie “Prix Spécial“

L’avis du jury de ToutSurMesFinances.com : « Le jury a souhaité récompenser l’approche extra financière multidimensionnelle adoptée pour cette SCPI labellisée ISR en décembre 2021, classifiée article 8 du règlement SFDR. LF Avenir Santé se distingue par son statut de fonds de partage destiné à reverser un don annuel à La Fondation des Hôpitaux prélevé sur le total de la commission de souscription, en lien avec sa thématique d’investissement dans l’immobilier de santé et le secteur médico-social ».

Épargne Foncière a reçu le TOP d’Or catégorie “Grand Prix du Jury - SCPI Bureaux“

L’avis du jury de ToutSurMesFinances.com : « Devenue la plus grande SCPI du marché avec une capitalisation de près de 5 milliards d’euros, Epargne Foncière dispose d’un des patrimoines les plus diversifiés du marché avec plus de 400 immeubles et un millier de locataires. Le mouvement de modernisation du patrimoine engagé en 2021 génère des plus-values distribuables et contribue à faire revenir le taux d’occupation financier parmi les bon élèves, la vacance locative se résorbant. Les indicateurs de la SCPI en font un candidat sérieux pour se trouver une place centrale dans une allocation de SCPI de rendement ».

Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

Les récompenses passées ne préjugent pas des récompenses futures.

Le label  ISR ne garantit pas la performance du fonds.

*Taux d'occupation : taux de remplissage de la SCPI, calculé en fonction des loyers ou des surfaces.
 

 

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news-3865 Mon, 23 Jan 2023 13:31:00 +0100 Pitch ton immeuble – carré Feydeau présenté par Delphine HAMEZ /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pitch-ton-immeuble-carre-feydeau-presente-par-delphine-hamez/ Comment augmenter de plus de 60% la valeur d’un immeuble en seulement 3 ans ? Delphine HAMEZ, Directrice Asset Management à La Française REM, vous présente Carré Feydeau : un immeuble implanté au cœur de Paris laissant une belle place aux mobilités douces

Situé place de la Bourse, découvrez Carré Feydeau en 3 mots : prestigieux, confortable et performant.

Pour découvrir l’immeuble, ça se passe en vidéo ! 

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news-3864 Mon, 15 Sep 2014 12:17:00 +0200 Focus sur les crédit linked notes (CLN) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/focus-sur-les-credit-linked-notes-cln/ Le sur mesure pour vos obligations ! Les produits structurés sont divisés en deux grandes familles. Les plus connus sont les produits indéxés à des indices actions ou à des paniers d’actions. Leur performance dépend d’une « formule indéxée » à la performance du sous-jacent choisi. La deuxième typologie sont les Credit Linked Notes (« CLN »), véritables obligations sur mesure.

Qu’est-ce que le marché du crédit ?

Le marché du crédit en tant que classe d’actifs s’est développé depuis plus de 10 ans et permet aux investisseurs qui le souhaitent de :

  • Se protéger contre le risque de crédit d’une Entité de Référence (entreprise ou Etat) en contrepartie du paiement d’une prime annuelle,
  • S’exposer au risque de crédit d’une Entité de Référence en contrepartie de la réception d’une prime annuelle,
  • Les instruments financiers permettant de contractualiser cette protection ou exposition à un risque de crédit sont les Credit Default Swap (« CDS »),
  • On entend par risque de crédit : la faillite, le défaut de paiement ou encore la restructuration de la dette.

Qu’est-ce qu’une Credit Linked Note ?

Le marché obligataire traditionnel présente un certain nombre de contraintes : univers d’investissement limité et profondeur de marché restreinte notamment.

Il est possible de répliquer une obligation traditionnelle de façon synthétique : on la nomme Credit Linked Note. Les CLN offrent une bien plus grande flexibilité. Toutes les caractéristiques de la CLN sont modulables: une ou plusieurs entité(s), durée et dates, devise, fréquence et type de coupon (fixe, variable, indexé à l’inflation etc..). La profondeur de marché est forte (peu de contrainte en deçà de 10 mios d’euros)
La contrepartie est que l’investisseur se verra exposé à un double risque de crédit : celui de l’émetteur (la banque de son choix) et celui de l’Entité de Référence choisie.
 


Qui investit dans ces Credit Linked Notes ?

Aujourd’hui l’ensemble des typologies investisseur ont recours aux CLN : investisseurs institutionnels, sociétés de gestion, organismes à but non lucratif (associations et congrégations religieuses) et entreprises dans le cadre de leur gestion de trésorerie et enfin les investisseurs particuliers !

Nous nous tenons à votre disposition pour de plus amples informations sur le sujet. N’hésitez pas à nous transmettre vos cahiers des charges pour étude.

Les informations ou éléments  d’information contenus  dans ce document  n’ont qu’une valeur indicative et informative, l’objectif étant de décrire le mécanisme du produit. Elles ne préjugent en rien des résultats futurs et ne sauraient constituer en aucune manière une offre commerciale de la part de La Française Bank.

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news-3863 Mon, 01 Feb 2016 11:14:00 +0100 Entretien avec… Hervé portal, LM patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/entretien-avec-herve-portal-lm-patrimoine/ « Le partenariat avec La Française me permet de proposer à ma clientèle un fonds patrimonial sur-mesure » Le dialogue entre Hervé Portal, conseiller en gestion de patrimoine (CGP) basé à Orvault (44), et La Française a abouti à la création d’un fonds patrimonial sur-mesure, visant à limiter l’effet de la volatilité des marchés.


Quel est votre parcours professionnel ?

Hervé Portal : En 2006, je suis devenu conseiller en gestion de patrimoine indépendant (CGPI) après un début de carrière à l’Union financière de France (UFF). Pendant six ans, j’ai travaillé seul, puis j’ai recruté mon premier collaborateur il y a trois ans, et un second il y a deux ans. Enfin début 2015, j’ai racheté un cabinet et embauché quatre collaborateurs pour m’épauler. Une partie de notre clientèle exerce en profession libérale. Le fait de l’être soi-même me permet de parler le même langage et de mieux comprendre leurs besoins…

Comment évolue ce métier selon vous ?

H.P :
La réglementation s’est considérablement accrue au cours des dix dernières années. En 2006, il fallait une feuille de papier, une pièce d’identité et un chèque pour engager un contrat avec un client. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui. La réglementation est devenue beaucoup trop lourde pour rendre service à notre clientèle. Dans les cinq prochaines années, beaucoup de CGP vont devoir vendre leur portefeuille de clients, faute de pouvoir s’adapter à l’inflation réglementaire. L’association peut être une solution mais elle n’est jamais aisée quand vous avez travaillé seul.

On imagine la clientèle des CGP riche et âgée… Des jeunes viennent-ils vous voir ?

H.P :
Absolument. Si 80% des capitaux gérés sont détenus par des clients âgés de plus de 55 ans, des jeunes viennent nous voir et ils sont demandeurs de conseil ! Dès que possible, il est important de se construire un patrimoine et beaucoup d’entre eux l’ont compris. Notre rôle est de les accompagner sur le long terme dans cette perspective.

Quels conseils leur adressez-vous ?

H.P :
Je conseille toujours à mes clients de détenir une épargne liquide d’au moins six mois de revenus pour faire face aux imprévus. On peut ensuite placer l’excédent sur des produits moins liquides mais susceptibles de générer de la performance à plus ou moins long terme. Je dis aussi à mes clients d’ouvrir un contrat d’assurance-vie par personne. Une protection en cas de divorce ou de décès du conjoint.

La digitalisation de la gestion de patrimoine constitue-t-elle un risque ou une opportunité ?

H.P : La digitalisation est un progrès mais elle ne réduit pas la demande de conseils. Celle-ci s’avère plus que jamais indispensable quel que soit l’outil à la disposition du client. Ces derniers le comprennent parfaitement et sont prêts à payer des frais en conséquence. Le conseil se rémunère. Nous sommes totalement transparents sur ce point.

Constatez-vous une certaine frilosité de vos clients malgré la faiblesse des rémunérations des actifs sans risque ?

H.P :
Pas forcément. Mes clients sont investis à 70% sur des unités de compte (UC). Notre objectif n’est pas de générer une performance déraisonnable mais d’obtenir un rendement d’au moins 3% par an. Pour atteindre cet objectif, nous avons créé avec La Française le fonds patrimonial LM Harmony.

Quelle est la nature de votre relation avec le groupe La Française ?

H.P :
J’ai choisi de travailler avec La Française après avoir rencontré des personnes de confiance qui m’ont donné la possibilité de bâtir le partenariat recherché. Le contact a été très bon. Nous avons créé un fonds sur-mesure, une offre lisible distribuée à 80% de mes clients. Mon objectif était de rassembler, au sein d’un seul fonds, seize lignes de fonds équipondérées. Il me paraît extrêmement important de répartir équitablement les convictions des gérants au sein d’un portefeuille de façon à en limiter la volatilité. Ce fonds a été lancé le 1er septembre 2015…

Un premier bilan ?

H.P :
Les premiers résultats sont encourageants. Dans des marchés baissiers, le fonds est défensif et permet de limiter la contre-performance des indices. Je précise enfin qu’il est ouvert à tous les CGP en France.

 

 

 

 

 

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news-3862 Fri, 05 Apr 2019 10:42:00 +0200 Rapport des couts et frais ex post /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rapport-des-couts-et-frais-ex-post/ Dans le prolongement de la fourniture du service de production du rapport des coûts et frais ex ante accompagné de son Guide d’utilisation, le Groupe La Française mettra à votre disposition à compter du mois d’avril 2019 un nouveau service vous permettant d’obtenir le rapport des coûts et frais ex-post.

Conformément à la Directive européenne MIF2, ce rapport, destiné à chacun de vos clients sur une base annuelle, présente l’intégralité des frais et coûts de la chaîne de commercialisation (hors avantages non monétaires mineurs) liés à leurs investissements. Pour le cas où ces investissements sont détenus sur une durée inférieure à 1 an, un prorata temporis de ces frais et coûts est effectué.

Alors que le rapport des frais ex ante est calculé sur la base d’un investissement théorique, les frais ex post sont quant à eux calculés sur la base des sommes réellement investies par votre client. Ce rapport présentera ainsi, en montant et en pourcentage du montant investi :

  • Les frais relatifs à la transaction, c’est-à-dire les commissions qui vous sont versées suite à la réalisation du service d'investissement que vous avez fourni à votre client
  • Les paiements reçus de tiers, c’est-à-dire les commissions sur frais de gestion qui vous sont éventuellement reversées par nos soins (néant dans le cas des SCPI)
  • Les coûts indirects liés aux instruments financiers, soit les autres frais prélevés sur les instruments financiers acquis par votre client, corrigés du montant des commissions qui vous ont été versées au titre de la réalisation du service d’investissement que vous avez fourni à votre client, cela afin d’éviter un double comptage.

Ce rapport n’intègrera pas les avantages non monétaires mineurs, qu’il vous appartient de présenter à votre client.

Le calcul des frais ex post s'applique aux seuls instruments financiers concernés par la Directive MIF2 : en sont donc exclus les produits d'assurance vie, l'immobilier direct, les GFV ainsi que les produits TEPA. Les fonds de Private Equity, à ce stade, ne sont pas repris dans ce rapport.

En application de la Directive MIF2, vous devez transmettre un rapport des coûts et frais ex post pour chacun de vos clients pour lesquels vous avez réalisé un service d’investissement depuis l’entrée en vigueur de la Directive. Afin de vous assister dans votre démarche, nous vous proposons de vous fournir à partir de votre Extranet Partenaires un rapport des coûts et frais ex post, utilisable en l’état et pouvant être décliné par client.

Ce rapport sera accessible dans l’onglet "Situation clients / comptes clients". L’accès s’établira par la saisie de :

  • La référence du client : numéro d’associé ;

Si votre client dispose de plusieurs codes clients dans nos bases, il vous sera possible de générer un rapport global grâce à la sélection des différents codes concernés. Vous aurez toutefois la possibilité de disposer d’une restitution avec le détail par fonds.

  • La période pour laquelle vous souhaitez générer le rapport, c’est-à-dire :
    - Soit sur les frais des seuls instruments souscrits en 2018 suite à la réalisation d’un service d’investissement de votre part ;
    - Soit sur les frais sur les instruments souscrits en 2018 et au cours d’exercices antérieurs si vous souhaitez faire cette démarche pour la totalité du stock de vos clients ;
  • Le type de rapport souhaité : un rapport global sera établi par défaut par type de produit (SCPI, OPC, …). Vous disposerez toutefois de l’option de générer en complément un rapport détaillé, produit par produit, reflétant l’allocation conseillée.

Par ailleurs, si vous nous en faites la demande, nous pourrons vous transmettre un fichier récapitulant, pour l’intégralité de votre portefeuille de clients dont nous avons connaissance, l’ensemble des frais pour chacun d’entre eux. Dans ce cas, il vous appartiendra de produire votre propre rapport de frais ex post à partir des données de ce fichier.

Le montant des rétrocessions versées au titre de l’année 2018 (commissions sur encours) devant être pris en considération dans les calculs des coûts et frais ex-post (versement intervient au maximum fin mars), le rapport ainsi que le fichier récapitulant l’ensemble des frais seront mis à votre disposition à compter du mois d’avril 2019.

 

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news-3861 Mon, 13 Mar 2017 10:02:00 +0100 Foncier viticole /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/foncier-viticole/ La Française est précurseur dans le domaine de la constitution de Groupements Fonciers Viticoles. Depuis sa création en 1975, il avait, à l’instar d’autres groupes bancaires, constitué quelques Groupements Fonciers Agricoles. Mais c’est en 1979, en réalisant son premier Groupement Foncier adossé au Château Belgrave (Grand Cru Classé 1855), que le Groupe La Française trace la voie du développement de cette formule de solution d’investissement. Aujourd’hui une nouvelle solution le TEPA Viticole vient compléter ce savoir-faire.
 

Qu'est ce qu'un Groupement Foncier Viticole (GFV) ?


Le Groupement Foncier Viticole, plus couramment dénommé GFV, est un groupement foncier agricole non exploitant qui a pour objectif la propriété collective d’un domaine viticole en vue de sa mise en valeur par la conclusion d’un bail rural à long terme. C’est un placement original de diversification à long terme.

Le Groupement Viticole par Patrick Ribouton

 

Comment fonctionne un GFV ?

Des particuliers, en nombre limité, se regroupent pour acquérir une propriété viticole. Son exploitation est confiée, par bail à long terme, à un exploitant choisi pour son savoir-faire tant technique que commercial.

Le GFV, un outil de transmission patrimoniale…

  • … et d’optimisation ISF pour toute détention de parts depuis au moins 2 ans… Les parts des GFV bénéficient de l’exonération partielle d’ISF, sous réserve du respect de certaines conditions (interdiction d’exploitation en faire-valoir direct, biens donnés en bail à long terme).
  • … offrant de nombreux avantages… L’associé peut percevoir, chaque année, les revenus potentiels issus du fermage, en proportion du nombre de parts détenues. Ces revenus sont fonction de l’évolution de la valeur du vin de l’appellation d’origine contrôlée considérée. Cette valeur est ajustée chaque année et entérinée par arrêté préfectoral.Les risques liés à l’investissement dans des parts de GFV, et notamment le risque de perte en capital au-delà de l’apport initial, sont présentés dans l’encadré "Information aux investisseurs".

Les risques liés à l’investissement dans des parts de GFV, et notamment le risque de perte en capital au-delà de l’apport initial, sont présentés dans l’encadré "Information aux investisseurs".

Facteurs de risques des produits : Risque en capital, risque de liquidité
GFV : Risque sur les revenus et les revenus perçus en nature
TEPA Viticole : Risque d’exploitation, risque de recours à des prestataires tiers, risque fiscal, risque lié au recours à des emprunts, risque lié à l’engagement sur des contrats financiers

Zoom sur La Française

(source : La Française REM - 2016)
La Française REM, Société de gestion agréée par l’AMF, a acquis depuis près de 40 ans une expertise et un savoir-faire reconnus dans le domaine de l’investissement viticole.


 

Qu’est-ce qu’un investissement TEPA viticole ?

Toujours soucieux de proposer des solutions d’investissement innovantes, La Française a imaginé dès 2013 un nouveau concept autour d’une offre TEPA viticole.

L’offre TEPA viticole vise la création et le développement d’une société propriétaire-exploitante ; chaque société créée correspondant à un Domaine viticole spécifique.
L’activité de la Société consiste exclusivement à exploiter un Domaine viticole dans toutes ses étapes de production : travail de la vigne, récolte du raisin, vinification, élevage, mise en bouteille, commercialisation des vins issus de la propriété.
L’actif de la Société sera composé principalement de vignes, de terres à vocation viticole, de bâtiments, du matériel attaché à la propriété, de stock de vins et de matières sèches (bouteilles, capsules, cartons, caisses de bois, etc.) et d’une vinothèque.

Ce type de placement comporte un risque d’exploitation qui le distingue ainsi fondamentalement de l’investissement en GFV.

Placement à la fois patrimonial et défiscalisant dont la durée est estimée à 12 ans, cette offre s’adresse à des investisseurs personnes physiques résidant fiscalement en France, possédant un patrimoine permettant de supporter ce type d’opération impliquant une prise de risque en capital et assujettis à l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF).

L’avantage fiscal de l’investissement TEPA viticole

L’accès au capital de la Société permet aux investisseurs personnes physiques résidentes de France, agissant dans le cadre de la gestion de leur patrimoine privé et redevables de l’ISF, de bénéficier de différents avantages fiscaux (selon dispositions fiscales en vigueur) :

Réduction ISF : les clients redevables de l’impôt sur la fortune, pourront imputer sur leur impôt de l’année n un abattement correspondant à 50 % de la somme investie dans la Société et ce, dans la limite de 45 000 € de réduction. Avantage de la souscription en direct au capital d’une PME : contrairement aux holdings TEPA, FCPI, les 50 % d’abattement s’appliquent à 100 % de la somme versée par l’investisseur. Aucun droit d’entrée ne vient diminuer l’assiette de réduction.

Exonération ISF : l’investissement est exonéré d’ISF et ce, aussi longtemps que les titres sont détenus et sous réserve du respect par la Société des conditions légales requises au 1er janvier de chaque année.

Réduction IRPP : les investisseurs pourront, s’ils le souhaitent, affecter une fraction de leur versement au titre de l’augmentation de capital de la Société au bénéfice de la réduction d’IRPP. Cette réduction d’IRPP est égale à 18 % du montant du versement affecté dans la limite annuelle de 50 000 € pour les contribuables célibataires, veufs ou divorcés, ou de 100 000 € pour les contribuables mariés ou liés par un Pacs, soumis à une imposition commune (sous réserve de l’incidence du plafonnement global des niches fiscales).

 

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news-3860 Fri, 13 Dec 2019 10:16:00 +0100 LES FRAIS EX-ANTE C’EST QUOI ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-frais-ex-ante-cest-quoi/ Pour vous accompagner au mieux dans la compréhension des frais et coûts d’un investissement financier, et en accord avec la Directive Réglementaire sur les Marchés Financiers dite MIF2, La Française a fait le choix de mettre à votre disposition, pour les SCPI de notre Groupe que vous commercialisez, un rapport des frais ex-ante. Cet outil mis à votre disposition a pour objet de vous accompagner dans la relation avec vos clients, nous vous en présentons le fonctionnement dans la vidéo ci-dessous.


 

Guide Pour Outil Calcul Frais Ex-Ante

Tout d’abord, les frais ex-ante c’est quoi ?

La Directive MIF II impose une parfaite transparence à l’égard du client sur les frais et coûts d’un investissement financier. Il n’induit pas de frais supplémentaires pour le client. C’est une nouvelle manière de présenter les frais.

La Française a fait le choix de vous accompagner et de mettre à votre disposition, pour les SCPI de notre Groupe que vous commercialisez, un rapport des frais ex-ante. Ce dernier est établi sur la base d’un outil de calculs de frais que nous avons développé.

Cet outil de calculs est alimenté par les données des fichiers EMT établis par chaque société de gestion. Ces fichiers regroupent l’ensemble des coûts et charges liés à la gestion de la SCPI.
Examinons ensemble un rapport des frais et coûts ex-ante.

Lecture d’un rapport des frais ex-ante

Cette présentation au client des coûts totaux doit s’accompagner d’un tableau présentant l’impact de ces derniers sur la performance de la SCPI, pendant la durée d’investissement conseillée.

Ces coûts totaux sont présentés en euro et en pourcentage, calculés sur la base du montant investi.

Ce rapport tel qu’il vous est présenté, ne concerne que les SCPI du Groupe La Française.

Les frais présentés dans le rapport ex-ante correspondent aux frais prélevés au moment où ce rapport est établi. Ils seront réajustés dans le rapport des frais ex-post.

Comment lire un rapport ?

Intéressons-nous au total des frais au titre de la 1ère année pour la SCPI Epargne Foncière, dont la durée d’investissement préconisée est de 9 ans et dont l’investissement théorique est de 10 000 €.

1 - Les frais relatifs à la transaction correspondent à la rétrocession qui vous est versée par la Française, à chaque souscription que vous réalisez. Dans cet exemple, les conditions de rémunération correspondent au barème général en vigueur, au titre de l’année 2019, soit 62,50% de la commission de souscription d’Epargne Foncière. Cette commission de souscription est de 7.50 % H.T., soit une rétrocession de 4.69 % H.T.

2 - Les paiements reçus de tiers : il s’agit des rétrocessions sur frais de gestion, la SCPI n’est pas concernée.

3 - Passons maintenant aux « Coûts indirects liés aux instruments financiers ».
On retrouve ici le solde de la commission de souscription (c’est-à-dire, la commission de souscription de la SCPI déduite de votre rétrocession) . On retrouve aussi les autres frais prélevés sur la SCPI par la société de gestion, qui correspondent à la commission de gestion à laquelle s’ajoutent les frais de transaction annuels (comme les frais de notaire liés aux acquisitions de biens immobiliers qui constituent le patrimoine de la SCPI). A noter qu’une SCPI en cours de constitution de son patrimoine aura des frais de transaction plus élevés qu’une SCPI qui dispose déjà d’un patrimoine immobilier constitué. Comme nous l’avons évoqué, l’ensemble de ces frais est précisé dans les fichiers EMT.

4 - Les coûts & charges annuels totaux estimés sont la somme des trois postes que l’on vient de dérouler.

Regardons enfin « l’impact des frais sur le rendement » de notre investissement théorique de 10 000€.
Les coûts totaux annualisés sont obtenus par l’addition des coûts et charges annuels totaux estimés auxquels s’ajoutent des postes de frais repris dans les fichiers EMT, selon la règlementation en vigueur. Les coûts totaux annualisés pour un investissement théorique de 10 000 € sont divisés par le nombre d’années de la période d’investissement préconisée, dans ce cas 9 ans. Soit un coût total annualisé de 2,10 %.

Nous vous proposons de faire un focus détaillé sur ces coûts totaux annualisés.

Focus sur les couts totaux annualisés / impact des frais sur le rendement de l’investissement théorique

Vous retrouvez dans la formule indiquée ci-dessous :

  • La commission de souscription (frais d’entrée) de 7,5 %,
  • Les frais relatifs à la transaction de 4,69 % (frais que nous avons évoqués précédemment correspondant au 62,50 % de la commission de souscription),
  • Les frais indiqués dans les fichiers EMT, multipliés par les 9 années d’investissement (c’est-à-dire les lignes 07100 + 07130),
  • La déduction de votre rétrocession pour ne pas être comptabilisée deux fois (nous la retrouvons dans les frais relatifs à la transaction).
  • Le total obtenu par cette formule est divisée par le nombre d’années d’investissement.  Le taux de 2,09633 % est arrondi à 2,10 %, soit un coût annualisé de 209,63 €

 

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news-3858 Wed, 02 Oct 2024 09:00:00 +0200 Bertille Knuckey rejoint l’équipe actions de Crédit Mutuel Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bertille-knuckey-rejoint-lequipe-actions-de-credit-mutuel-asset-management/ Paris, le 2 octobre 2024 : Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion d’actifs de La Française, le pôle de gestion d'actifs multi-spécialistes de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d'annoncer la nomination, à effet au 5 septembre, de Bertille KNUCKEY en qualité de Gérante actions - Europe. Elle rejoint les équipes de Caroline LAMY, Directrice de la gestion actions de Crédit Mutuel Asset Management.

Caroline LAMY déclare : « Bertille s’est lancée un nouveau défi. En rejoignant l’équipe actions européennes de Crédit Mutuel Asset Management, elle se consacrera à la gestion de portefeuilles thématiques et développera une expertise dans les secteurs de l’énergie, des utilities et des énergies renouvelables ; tous essentiels à la transition écologique. Avec l’appui du pôle de recherche extra-financière, Bertille pourra mettre à profit son expérience dans l’Investissement Responsable pour renforcer l’intégration de l’extra-financier dans les portefeuilles dont elle aura la gestion. »

Bertille KNUCKEY : Gérante actions - Europe, Crédit Mutuel Asset Management (âgée de 39 ans).

Bertille KNUCKEY possède 14 ans d'expérience dans la gestion d’actifs. Elle a commencé sa carrière en 2010 chez F&C Asset Management (désormais Columbia Threadneedle Investments) en tant qu'analyste gouvernance et investissement responsable, couvrant les valeurs du secteur agricole et alimentaire en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient ; des compétences qu’elle développera par la suite chez La Financière de l'Echiquier. En mai 2015, elle intègre Sycomore Asset Management en tant que Gérante, spécialisée dans les valeurs européennes et Head of Sustainable and Responsible Investment.

Depuis 2019, Bertille KNUCKEY est membre de la Commission Climat et Finance Durable mise en place par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). Elle était également administratrice (2017 à 2024) et Vice-Présidente (2019 à 2024) du Forum pour l’Investissement Responsable (FIR).

Bertille KNUCKEY est titulaire d’un Master of Science en Économie Politique Internationale de The London School of Economics and Political Science (LSE), d’un Master en Environnement, Développement Durable et Gestion des Risques de Sciences Po Paris (IEP) et d’un Bachelor of Arts en Études Européennes de King's College London. Elle est titulaire du CFA UK Level 4.
 

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news-3857 Thu, 26 Sep 2024 16:06:00 +0200 La Française : le nouveau pôle de gestion d’actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-le-nouveau-pole-de-gestion-dactifs-de-credit-mutuel-alliance-federale/ Crédit Mutuel Alliance Fédérale annonce le déploiement de son pôle métier d’asset management au sein de sa filiale La Française. Avec 152 milliards1 d’euros d’encours au 30 juin 2024 (dont 116 milliards d’euros en actifs cotés et 36 milliards d’euros en actifs non cotés) et 1 000 collaborateurs, La Française devient un acteur majeur de la gestion d’actifs en France et en Europe. Partie intégrante de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, La Française conforte ainsi son positionnement de multi-spécialistes, avec le regroupement de huit sociétés de gestion, aux expertises complémentaires, qui partagent désormais une gouvernance, un socle opérationnel et une informatique commune. Elle commercialise au travers de sa plateforme de distribution l’ensemble des expertises de gestion d’actifs. Par une approche partenariale de la relation client, elle conçoit des solutions et services innovants adaptés à chaque besoin.

La Française est présente dans dix pays, assurant ainsi une proximité avec ses clients et les marchés dans lesquels elle investit. Elle poursuit à ce titre une stratégie de développement internationale. En partageant les valeurs et engagements de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, La Française conjugue objectifs de performance et de durabilité dans sa gamme de produits cotés et non cotés.

A l’occasion de ce lancement, La Française adopte une nouvelle identité visuelle.

Je tiens à saluer l’engagement des collaborateurs du nouveau groupe La Française pendant cette phase de construction. Nous sommes prêts à relever ensemble de nouveaux défis pour proposer à nos clients une offre de gestion de conviction, spécialisée et suivant une approche ESG sincère.

déclare Guillaume Cadiou, président de Groupe La Française

« L’architecture multi-spécialistes de notre filière d’asset management nouvellement constituée et son alignement avec nos valeurs soulignent la volonté de Crédit Mutuel Alliance Fédérale d’apporter des solutions d’épargne adaptées avec le meilleur niveau de service à l’ensemble de nos clients. » complète Éric Charpentier, directeur général de la Banque Fédérative du Crédit Mutuel et du CIC.

« Je suis particulièrement fier de voir émerger notre pôle de gestion d’actifs. Sa constitution et plus largement la qualité de ses expertises permettent à Crédit Mutuel Alliance Fédérale d’assoir sa place d’acteur majeur de l’asset management. » conclut Éric Petitgand, directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

(1) Actifs sous gestion de Groupe La Française et de ses filiales ainsi que la quote-part des actifs sous gestion des activités de BLI, CIC Market Solutions, Dubly Transatlantique Gestion, distribuées par La Française AM Finance Services.

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news-3855 Wed, 25 Sep 2024 16:52:27 +0200 Lettre d’information aux porteurs de l'OPCVM La Française PEA FLEX par l'OPCVM CM-AM sicav (Compartiment CMAM flexible euro) https://www.la-francaise.com/fileadmin/docs/Actualites/FR/2024/Lettre_aux_porteurs_LA_FRANCAISE_PEA_FLEX.pdf Fusion-absorption de l’OPCVM LA FRANÇAISE PEA FLEX par l’OPCVM CM-AM SICAV (COMPARTIMENT CM-AM FLEXIBLE EURO) news-3851 Thu, 19 Sep 2024 15:43:07 +0200 Lancement grand public de la SCPI LF CROISSANCE & TERRITOIRES par La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lancement-grand-public-de-la-scpi-lf-croissance-territoires-par-la-francaise-real-estate-managers/ La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier1, lance auprès du grand public sa SCPI LF Croissance & Territoires. L’accessibilité de la SCPI LF Croissance & Territoires se démocratise. Ainsi, La Française REM ouvre l’accès de la SCPI dès 251 € (soit l’équivalent d’une part) à tout épargnant désireux de prendre part à la croissance et dynamique des territoires français.

LF Croissance & Territoires, classifiée Article 8 SFDR, a pour objectif de constituer un patrimoine immobilier situé principalement dans les grandes métropoles régionales françaises de plus de 500 000 habitants (dont Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Marseille, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg et Toulouse).Elle privilégie des lieux alliant besoins du quotidien et vie professionnelle, où tous les services essentiels sont à une distance d’un quart d’heure à pied ou à vélo (quartier du quart d’heure) et bien entendu, des environnements durables.

Elle vise principalement (75 % minimum) des actifs adaptés aux nouveaux besoins des entreprises et salariés, des commerces en ligne avec les nouvelles tendances de consommation, des actifs de santé répondant aux enjeux de soins et au vieillissement de la population et des actifs modernes du secteur de l’éducation.

Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez en connaissance avant toute décision d’investissement.

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news-3849 Fri, 27 Sep 2024 09:00:00 +0200 SLLB : Le remède au déclin des instruments de financement liés au développement durable ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/sllb-le-remede-au-declin-des-instruments-de-financement-lies-au-developpement-durable/ Par Océane Balbinot-Viale et Armand Satchian, Analystes ESG, Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la filière gestion d'actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale La baisse du marché des instruments de financement liés au développement durable, atténuée par la résilience des Sustainability-Linked Loans (SLL)

En 2021, l'International Capital Market Association (ICMA) a lancé les principes applicables aux Sustainability-Linked Bond (SLB) pour permettre aux émetteurs de lier les caractéristiques financières de leurs obligations à l’atteinte d'objectifs ESG, et la Banque centrale européenne (BCE) a commencé à accepter ces instruments comme garanties dans son programme d'achat d'actifs ".

La même année, les émissions de SLB ont enregistré leur pic en atteignant 97 milliards de dollars (soit 9 % du total des émissions d'obligations labellisées), soulignant la participation des entreprises au marché obligataire labellisé, quelle que soit la taille de leurs réserves d'actifs verts et/ou sociaux pré-identifiés. Depuis, nous observons un déclin de cet engouement, avec une baisse des émissions de SLB qui n’atteignaient que 66 milliards de dollars en 2023 (soit 6,7 % des émissions totales d'obligations labellisées) . Parallèlement, alors que les volumes des SLL diminuent également (-34 % en glissement annuel au S1 24 pour atteindre 275 milliards de dollars), le marché des SLL s'avère robuste et représente l'essentiel des prêts labellisés depuis 2019 (environ 75 % du marché total des prêts labellisés au S124).

Malgré une légère baisse des SLL au cours de l’année écoulée, principalement influencée par la hausse des taux d’intérêt qui a rendu l’emprunt plus couteux et aux risques de réputation (écoblanchiment), nous notons que leur déclin a été moins important que celui des SLB pour plusieurs raisons. 

Le besoin de longue date pour les institutions financières de décarboner leurs portefeuilles de prêts a sans doute été l'un des principaux moteurs du marché des instruments de financement liés au développement durable. L'impulsion initiale est venue de la réglementation : la BCE demande depuis 2020 à ce que les banques intègrent les risques climatiques dans leurs processus de gestion des risques et leurs stress tests . En 2019, la Banque d'Angleterre, par l'intermédiaire de la Prudential Regulation Authority, a également exercé d'importantes pressions réglementaires en publiant son « Supervisory Statement », dans lequel elle exige des banques l’élaboration de plans robustes pour faire face aux risques financiers liés au climat.
 
Malgré une étude récente de la BCE indiquant que les banques de la zone euro ont commencé à intégrer le risque climatique dans leurs politiques de prêt , de multiples parties prenantes constatent que l'intégration du risque lié à la transition climatique s'est historiquement souvent limitée à des outils de reporting et à des engagements publics (par exemple, analyse de matérialité des risques liés à la transition, émissions financées et objectifs associés) et que les banques peinent à intégrer pleinement ces risques dans leurs processus décisionnels.

C'est pourquoi, au-delà de la pression réglementaire initiale (et actuelle), nous devons souligner le rôle des initiatives telles que la Glasgow Financial Alliance for Net-Zero (GFANZ) et son sous-groupe la Net-Zero Banking Alliance (NZBA) initiée par les Nations Unies, dans la résilience du marché des SLL. En effet, par exemple, les banques adhérentes s'engagent à aligner d'ici 2050 leurs portefeuilles de prêts et d'investissements avec l’objectif de zéro émission nette. Elles sont également tenues de fixer dans les 18 mois suivant leur adhésion, des objectifs intermédiaires pour 2030 ou plus tôt. De plus, les membres s'engagent à publier tous les ans les progrès réalisés par rapport à une stratégie de transition approuvée par leur conseil d’administration, qui définit les actions proposées et les politiques sectorielles relatives au climat. 
Ainsi, alors que les investisseurs rencontrent parfois des difficultés pour accéder à des informations complètes sur la manière dont les banques gèrent concrètement les risques liés à la transition climatique au sein de leurs portefeuilles de prêts, nous assistons à une prise de conscience du potentiel offert par les SLL pour réduire l’exposition des banques aux risques climatiques. 

Une autre raison pour laquelle le déclin des SLL a été moins important que celui des SLB est qu’ils sont souvent syndiqués par un nombre limité de banques, qui disposent d'une expertise et d'un savoir-faire dans la gestion des prêts. Ces banques travaillent en étroite collaboration avec l'emprunteur, ce qui permet une compréhension plus fine de ses besoins et objectifs de durabilité.

La structuration basée sur une relation directe entre banques et emprunteurs facilite la mise en place d’Indicateurs Clés de Performances (KPIs) et d’Objectifs de Performance Durable (SPTs) alignés à la stratégie développement durable de l’emprunteur. Les échanges fréquents entre prêteurs et emprunteurs permettent une plus grande flexibilité et optimise le suivi et le dialogue relatifs aux objectifs de durabilité.

Il est également plus facile de se mettre d’accord sur la variation des caractéristiques financières de l’instrument (par exemple, un ajustement de marge à la hausse ou à la baisse ou un paiement unique sur la base de l’atteinte ou non des SPTs prédéfinis). En revanche, le marché obligataire lui, implique des parties prenantes beaucoup plus nombreuses et plus diverses, ce qui rend la customisation et le suivi plus difficiles. Ainsi, le marché des prêts propose des KPIs plus complexes et plus nombreux, tandis que le marché obligataire tend à en privilégier des plus simples et standardisés." 

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news-3848 Wed, 18 Sep 2024 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux situé dans le QCA de Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-situe-dans-le-qca-de-paris/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec plus de 29 milliards d’euros d’actifs sous gestion (30/06/2024), a acquis auprès de Zaka Investments un immeuble de bureaux au 10 rue de Bassano dans le 16ème arrondissement de Paris. Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’Établissement de retraite additionnelle de la fonction publique (ERAFP). Situé au coeur du prestigieux Quartier Central des Affaires (QCA), l’actif bénéficie d’une excellente desserte en transports en commun avec à proximité 4 lignes de métro et le RER A.

Ancien central téléphonique entièrement restructuré, l’immeuble offre des volumes remarquables en lien avec son passé industriel, proposant aujourd’hui 1 790 m2 de bureaux et 540 m2 d’espaces extérieurs dont un grand jardin végétalisé de plus de 280 m2. L’actif est certifié BREEAM Very Good.

L’actif est entièrement loué à une société cotée, spécialisée dans le conseil stratégique aux entreprises, dans le cadre d’un bail long terme.

Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – pôle Institutionnel, a conclu : « La forte demande de bureaux neufs et l’offre réduite du Quartier Central des Affaires de Paris, devraient contribuer favorablement à soutenir la valorisation de cet actif « prime » dans le temps. En effet, le QCA Paris affiche actuellement le taux de vacance le plus faible de la capitale. »

La Française REM a été conseillée par l’étude Attal & Associés (Julien Cahen), CMS Francis Lefebvre (Benjamin Bill et Florence Chérel), ESSOR et Burgeap.
ZAKA Investments a été conseillé par l’Etude 25 (Jérôme Dray), Strategies and Corp (Thomas Aubert), Archers (Arnaud Moutet) et CWS Avocat (William Stemmer).

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news-3846 Mon, 16 Sep 2024 16:36:17 +0200 Les banques périphériques n’existent plus /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-banques-peripheriques-nexistent-plus/ La saison des résultats du S1 2024 s’achève et le constat est sans appel : il n’y a plus lieu de parler de « banques périphériques » et de les discriminer en conséquence. L’amélioration continue de la rentabilité et de la solidité bilancielle de ces banques se poursuit encore, et cette dynamique est désormais sur un point d’inflexion : les bilans des banques de pays dits « core » commencent très légèrement à se détériorer et affichent des rentabilités parfois décevantes, tandis que les « périphériques » continuent de surfer sur leur vague. Comme un clin d’oeil à ce constat, UniCredit, banque longtemps en difficulté, vient de prendre une participation d’environ 9 % dans Commerzbank et annonce son envie de potentiellement effectuer une OPA sur la banque allemande.

Nous allons voir dans cette note à quel point et comment les banques « périphériques » ont su rattraper leurs concurrentes étrangères, pourquoi ce changement n’est pas circonstanciel, mais bien paradigmatique et dépasse le cadre de la santé économique de leur État souverain de référence, et ce que cela implique en termes d’allocation sur les dettes obligataires bancaires.
 

1. Le Rattrapage à marche forcée : un chemin douloureux, mais désormais achevé

Fut un temps où les banques espagnoles, irlandaises, italiennes, portugaises et grecques étaient totalement coupées des marchés interbancaires et entièrement dépendantes des facilités de financements et liquidités d’urgence de la Banque centrale européenne (LTRO, ELA)¹. Ces banques étaient qualifiées de « zombies » en raison de taux de créances douteuses et de déficits de fonds propres considérables et avec des notations financières parfois proches du défaut.

Les pays autrefois surnommés péjorativement « PIIGS » (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne) ont dû injecter des dizaines et des dizaines de milliards d’euros pour faire tenir leurs banques locales, tandis que la réglementation bancaire post-Lehman Brothers, Bâle 3, les forçaient de surcroît à aplanir à marche forcée leurs bilans, tout en les maintenant en vie grâce au statut de prêteur en dernier ressort de la BCE. Il y a eu des faillites/restructurations bancaires violentes (Bankia, Banco Espirito Santo, Banco Popular, banques italiennes vénètes, Monte dei Paschi…), de la consolidation menée au pas de charge, des années sans aucun dividende pour les actionnaires, des valorisations très décotées…

Non seulement ce temps est largement révolu, mais la santé de ces banques est désormais au beau fixe, avec des niveaux de rentabilité et de solidité financière faisant pâlir beaucoup de leurs concurrentes dites « core ». Voyons ceci en trois points : la qualité de crédit des bilans, leur solvabilité et la rentabilité.

Les banques périphériques ont eu grand peine à gérer la forte hausse de leurs encours de créances douteuses suite au double choc de la Grande crise financière de 2007-2008 et de la crise de l’euro (2009-2012). Les mesures de soutien en provenance de la Troïka, de leurs États et de diverses instances de régulation et de soutien ont été tardives (l’ État italien a largement tardé à prendre le problème de son système bancaire à bras le corps, contrairement à l’Irlande ou à l’Espagne), implantées seulement localement et souvent avec difficulté (mise en place de la structure de défaisance, bad bank, Sareb en Espagne ou de la NAMA en Irlande). L’opacité des bilans, notamment pour les banques de petites tailles locales, allait de mise avec des définitions nationales éparses de ce qui constituait alors une créance douteuse, tout comme les règles de provisionnement qui laissaient une grande part de discrétion aux banques et à leurs instances de régulation locales.

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news-3843 Wed, 18 Sep 2024 09:00:00 +0200 Marché immobilier d’entreprise européen – Des signes timides de reprise ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-europeen-des-signes-timides-de-reprise/ Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. Au premier semestre 2024, le marché immobilier européen a montré des signes de reprise, avec notamment une hausse du volume d'investissement sur un an. Cette reprise du marché immobilier européen s'est amorcée dans un contexte d'anticipation de l'assouplissement monétaire de la BCE.

En juin, la BCE a procédé à sa première baisse de taux depuis septembre 2019, réduisant ses taux directeurs de 25 points de base. Cette décision marque un tournant dans la politique monétaire et alimente les perspectives de reprise du secteur immobilier.

Reprise contrastée du marché de l’immobilier d’entreprise en Europe.

Alors qu’en France les marchés immobiliers restent suspendus à l’évolution du contexte politique français et à ses conséquences sur les taux souverains français, les volumes d’investissement en Europe affichent une hausse de 11% sur un an, au premier semestre 2024. Si ces volumes restent modestes comparés à la moyenne décennale, la hausse des volumes marque toutefois un changement majeur de l’orientation des marchés immobiliers en Europe.

La situation est toutefois très contrastée selon les pays. Ainsi, si les pays ayant fortement corrigé en 2023 tels que le BeNeLux, l’Allemagne et le Royaume-Uni affichent des hausses respectives des volumes d’investissement de 73%, 23% et 9%, la France, elle, accuse un retrait de 25% sur la même période.

Toutes les typologies d'actifs ont connu une hausse des volumes d'investissement au premier semestre 2024 avec en tête le tourisme (+62 %), suivi par la logistique (+7 %), la santé (+4 %) et enfin les bureaux et les commerces (avec +1 % respectivement). Toutefois, les actifs « core » (centraux et répondant aux derniers standard environnementaux) et de diversification (logistique, santé, tourisme et résidentiel géré) restent les plus recherchés.

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news-3842 Fri, 13 Sep 2024 09:00:00 +0200 Déborah Levy nommée responsable commerciale – expertise immobilière pour La Francaise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/deborah-levy-nommee-responsable-commerciale-expertise-immobiliere-pour-la-francaise/ Paris, le 13 septembre 2024 La Française, pôle de gestion d'actifs multi-spécialistes, filiale de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d'annoncer la nomination de Déborah LEVY au poste de Responsable commerciale en charge de l’expertise immobilière. Elle est l’interlocutrice privilégiée des partenaires conseillers en gestion de patrimoine et des plateformes, situés dans les régions de Normandie, Hauts-de-France, Grand Est, Bourgogne-Franche-Comté et Centre-Val de Loire. Basée à Paris, elle est rattachée à Christophe INIZAN, Directeur Commercial.

Christophe INIZAN déclare : « Déborah, par son dynamisme, son professionnalisme et sa connaissance du marché de l’épargne immobilière, complète parfaitement notre équipe de distribution intermédiée, et saura apporter un service à valeur ajoutée à nos partenaires conseillers en gestion de patrimoine. »

Déborah LEVY, Responsable commerciale – expertise immobilière.

Déborah apporte à La Française une expérience variée passée au sein de trois sociétés de gestion. Elle a passé trois ans au sein des sociétés de gestion Primonial et BNP Paribas REIM France, acquérant ainsi de solides fondamentaux en matière d’animation commerciale et de marketing opérationnel et digital. Par la suite, elle a rejoint Fiducial Gérance en 2022 en qualité de Responsable développement commerciale, en charge de l’animation d’un portefeuille de conseillers en gestion de patrimoine et d’institutionnels. 

Déborah est titulaire d’un Master spécialisé en Marketing Digital et Data de Kedge Business School (Paris) et d’un Master 2 en Stratégie Marketing et Développement Commercial de l’Ecole Supérieure du Commerce Extérieur (Paris).

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news-3841 Wed, 11 Sep 2024 15:56:36 +0200 Risques et opportunités liés à l’émergence de l’IA /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/risques-et-opportunites-lies-a-lemergence-de-lia/ L’IA génère des inquiétudes tant sur le plan sociologique qu’humain. L’IA générative soulève encore plus de problématiques et préoccupe. La question du climat est mise en avant. On parle d’IA responsable et plusieurs dispositifs sont mis en place L'intelligence artificielle (IA) et la digitalisation sont exposés à des risques sociaux importants pouvant se matérialiser par des pertes d'emplois, des problèmes de sécurité accrus ou une discrimination croissante. L'IA générative (IAg) pourrait conduire à une automatisation massive des tâches qui impliquerait potentiellement des pertes d'emplois dans les secteurs les plus impactés. Il existe un risque majeur d'incompatibilité entre les bénéfices financiers (court terme) induits par le développement et le déploiement de l'IA, en particulier avec l'IAg, et sa contribution à l’humanité. Une récente étude de l'Institut de recherche Capgemini a révélé que 72 % des consommateurs s'inquiétaient de l'usage inapproprié de la technologie IAg.

Selon l'AI Incidents Monitor (AIM) de l'OCDE, ces risques ont considérablement augmenté depuis le début de 2023. L’IAg est également exposée à des risques environnementaux sur toute sa chaîne de valeur, et son usage croissant devrait conduire à une augmentation des émissions de carbone. Les constructions de nouvelles infrastructures de centres de données questionnent également la capacité des réseaux énergétiques nationaux à répondre à la hausse attendue de la demande d'électricité liée à l'IA et à fournir suffisamment d'électricité renouvelable. Par ailleurs, nous devons également tenir compte du besoin important de minéraux et métaux rares, et de la génération de déchets électroniques qui résulteraient de la production d’infrastructures et d'applications liées à l’IAg.

Pour les investisseurs, il n'y a aucune solution clé en main pour faire face aux multiples risques posés par l'adoption rapide de l’IA et de l’IAg. Les outils d'engagement et de stewardship seront les plus efficaces. Afin d’atténuer les risques sociaux et environnementaux posés par ces technologies, les investisseurs attendent des entreprises (qui les développent ou les utilisent) la mise en place de pratiques responsables d'IA.

Les organisations doivent établir des principes clairs sur la manière dont elles appliquent l’IAg, et mettre en place des garde-fous afin d'en assurer la mise en œuvre en toute sécurité et éviter notamment les biais, la discrimination, la désinformation et les atteintes à la vie privée. Si les impacts environnementaux de l’IA peuvent s’atténuer avec la réduction de la consommation d'énergie des utilisateurs finaux, l'efficacité énergétique des centres de données ou encore la décarbonisation du réseau électrique, les investisseurs restent préoccupés quant à la capacité du secteur de la technologie à atteindre ses objectifs en matière de climat. Les développeurs et les utilisateurs de l'IA devront investir de manière substantielle dans la génération d'énergie renouvelable additionnelle.

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news-3839 Wed, 11 Sep 2024 15:30:57 +0200 Évolution des Objectifs de Gestion Extra-Financier de la SCPI LF CROISSANCE & TERRITOIRES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-objectifs-de-gestion-extra-financier-de-la-scpi-lf-croissance-territoires/ Chers Associés,
 
Nous vous informons que la société de gestion a pris la décision de faire évoluer la démarche de gestion extra-financière de la SCPI LF CROISSANCE & TERRITOIRES.
La SCPI est désormais classée sous l'Article 8 du règlement Disclosure - SFDR.   
 
La société de gestion 
 

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news-3838 Wed, 11 Sep 2024 15:28:35 +0200 Évolution des Objectifs de Gestion Extra-Financier de la SCPI LF LES GRANDS PALAIS /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-objectifs-de-gestion-extra-financier-de-la-scpi-lf-les-grands-palais/ Chers Associés,
 
Nous vous informons que la société de gestion a pris la décision de faire évoluer la démarche de gestion extra-financière de la SCPI LF LES GRANDS PALAIS.
La SCPI est désormais classée sous l'Article 8 du règlement Disclosure - SFDR.   
 
La société de gestion 
 

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news-3837 Tue, 10 Sep 2024 09:16:45 +0200 Une baisse trimestrielle « ordinaire » de taux d'intérêt /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-baisse-trimestrielle-ordinaire-de-taux-dinteret/ Après la baisse des taux de juin, la Banque centrale européenne (BCE) devrait abaisser son taux d'intérêt directeur (c'est-à-dire le taux de dépôt) de 25 points de base lors de sa prochaine réunion. L'accent sera mis sur les nouvelles projections économiques. Lors de la conférence de presse, Christine Lagarde devrait souligner les inquiétudes concernant l'activité économique de la zone euro compte tenu de la faiblesse des données et des indicateurs. Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Les membres du Conseil des gouverneurs (CG) devraient décider de réduire le taux de facilité de dépôt (DFR) de 25 points de base à 3,50 %.
  • Comme annoncé en mars 2024, à partir de septembre, la BCE mettra en œuvre un ajustement de la largeur du corridor des taux directeurs « afin de limiter la pression potentielle à la hausse sur les taux du marché monétaire et d'inciter les banques à emprunter des liquidités dans le cadre des opérations de la BCE ». Le taux des opérations principales de refinancement (MRO) sera ancré à 15 points de base au-dessus du taux de dépôt (à 3,65 % avec la baisse attendue de 25 points de base du DFR), contre 50 points de base actuellement. Le taux le plus élevé, le taux de la facilité de prêt marginal (MLF), restera à 25 points de base au-dessus du MRO (à 3,90 %).
  • La présidente soulignera à nouveau que la BCE maintiendra une approche dépendante des données concernant les ajustements ultérieurs. Par conséquent, Mme Lagarde ne devrait pas donner d'indications au-delà de cette réunion.
  • En ce qui concerne les projections macroéconomiques actualisées, la BCE devraient revoir ses prévisions de croissance à la baisse, en particulier pour 2024, et à des projections qui prévoient que l'inflation tombera à l'objectif de 2 % au dernier trimestre de 2025, sans changement. 

La décision de la BCE de réduire les taux en septembre devrait donc être motivée par l'affaiblissement de la dynamique économique dans la zone euro. Malgré une hausse continue des prix des services, la BCE devrait garder confiance dans la trajectoire de l'inflation à venir (c'est-à-dire vers l'objectif de 2 % d'ici la fin de 2025). Nous pensons que les risques sont du côté « dovish » (baisse des taux d'intérêt européens et de l'euro) compte tenu de la dynamique économique actuelle. Christine Lagarde pourrait par ailleurs laisser la porte ouverte à une nouvelle baisse de taux potentielle en octobre.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.  

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news-3835 Fri, 06 Sep 2024 16:02:13 +0200 Montée en puissance de la mobilisation des actionnaires en assemblée générale : vaine agitation ou réel impact /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/montee-en-puissance-de-la-mobilisation-des-actionnaires-en-assemblee-generale-vaine-agitation-ou-reel-impact/ Ces dernières années ont été marquées par une mobilisation plus forte des actionnaires aux assemblées générales (AG), comme en témoignent le taux de participation plus élevé, le nombre croissant de résolutions d’actionnaires déposées ou encore l’augmentation des votes d’opposition contre les équipes dirigeantes. En parallèle, plusieurs AG ont été troublées par des activistes et militants venus contester à grand bruit la stratégie des entreprises. Ces deux tendances concomitantes apportent-t-elles de réelles retombées et poussent-t-elles les sociétés à changer ? La question se pose. Le vote aux AG est l’un des moyens qu’ont les actionnaires pour exprimer leurs attentes et pousser les entreprises à améliorer leurs pratiques et de plus en plus d’actionnaires semblent l’avoir bien compris.

Selon les estimations de l’agence de conseil en vote Proxinvest et de l'Institut du Capitalisme Responsable, le taux de participation des actionnaires aux AG françaises a bondi en l’espace de 20 ans, passant en moyenne de 47 % du capital des sociétés en 2004 à 65 % en 2013 et plus de 74 % en 2023. Pour la saison 2024, ce taux atteindrait, à date, un record de 78 % en moyenne pour les entreprises du SBF 120 selon la société d’analyse OFG.

Non seulement les actionnaires votent davantage aux AG, mais ils sont également de plus en plusnombreux à s’y exprimer et à adopter une position activiste. Sur le marché français, près de 1 200 questions ont ainsi été posées aux équipes de direction en 2023 dont 700 envoyées par écrit en amont des AG et 400 posées au cours des assemblées, soit deux fois plus qu’il y a 20 ans.

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news-3834 Fri, 06 Sep 2024 15:55:05 +0200 L’éducation au service de la résilience climatique former les leaders de demain des esprits éclairés pour un avenir durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/leducation-au-service-de-la-resilience-climatique-former-les-leaders-de-demain-des-esprits-eclaires-pour-un-avenir-durable/ Concentrer l’éducation autour du climat devrait être une priorité. Il est important de sensibiliser la jeune génération sur ce phénomène trop souvent ignoré. Pour y parvenir, il y a besoin de financement. Quelques idées émergent, mais en trop petit nombre. Miser sur l’éducation, c’est miser sur l’avenir ! L’ÉDUCATION CLIMATIQUE, QU’EST-CE QUE C’EST ?



S’attaquer au changement climatique, et plus spécifiquement à son impact sur la planète et tous les êtres vivants, nécessite une action immédiate. Le monde est confronté à des températures record, à des conflits persistants en Europe de l’Est et au Moyen-Orient et à des pressions inflationnistes continues.

Dans ce contexte, plaider pour l’éducation climatique est devenu crucial. Elle permet aux individus et aux communautés d’acquérir les connaissances, les compétences et la motivation nécessaires pour combattre le changement climatique et favoriser la résilience en période difficile. L’éducation, essentielle à la fois pour l’atténuation et l’adaptation au changement climatique, est un pilier souvent sous-estimé, mais essentiel de l’action climatique.

Considérez ceci : les enfants nés en 2020 feront face à jusqu’à sept fois plus d’événements météorologiques extrêmes que leurs grands-parents tout au long de leur vie1. Les jeunes générations sont les plus touchées et les moins bien équipées en matière d’éducation climatique. En effet, 70 % des jeunes ne peuvent pas expliquer le changement climatique, ne peuvent expliquer que des principes généraux ou n’en savent rien2. Combler ce manque de connaissances nécessite plus d’investissements. Malheureusement, l’aide gouvernementale à l’éducation est en baisse, passant de 14,7 % en 2003 à 9,7 % en 20213. Cette diminution souligne le besoin de sources de financement alternatives pour garantir une éducation climatique complète.

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news-3833 Fri, 06 Sep 2024 14:24:45 +0200 Lettre d’information aux porteurs de L'OPCVM La Française Euro Souverains /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-dinformation-aux-porteurs-de-lopcvm-la-francaise-euro-souverains/ Madame, Monsieur, Vous êtes porteurs de parts de l’OPCVM LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS - ci-après « le fonds » - géré par Crédit Mutuel Asset Management et nous vous remercions de votre confiance.

Quels changements vont intervenir sur votre fonds ?

La société de gestion a décidé la fusion-absorption de votre fonds « LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS » par le fonds « CM-AM OBLIGATIONS ISR ».

Le fonds absorbé et le fonds absorbant sont tous les deux exposés en produits de taux. Le fonds absorbant peut être plus fortement exposé au risque actions, au risque de change et est plus fortement exposé au risque lié à l’investissement en obligations convertibles. Enfin, le fonds absorbant est géré en respectant un filtre qualitatif extra-financier et bénéficie du label ISR.

La fusion absorption entrainera une augmentation du profil rendement/risque.

Cette opération est motivée par le souhait de la société de gestion de rationaliser la gamme de ses fonds en fusionnant ces deux fonds ayant des stratégies d’investissement voisines.

Quand cette opération interviendra-t-elle ?

La fusion-absorption aura lieu le 24/10/2024. Vos parts du fonds absorbé seront échangées contre des parts du fonds absorbant sur les valeurs liquidatives du 23/10/2024.

Attention, pour le bon déroulement de ces opérations, vous ne pourrez ni souscrire de nouvelles parts ni demander le rachat de vos parts du 21/10/2024 au 23/10/2024. Le fonds ayant une valorisation quotidienne, la dernière valeur liquidative du fonds LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS sur laquelle pourront s’exécuter des souscriptions ou des rachats avant l’opération de fusion sera celle du 21/10/2024.

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news-3831 Thu, 05 Sep 2024 09:06:01 +0200 José María Fuentes Sáez nommé sales manager Iberia de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jose-maria-fuentes-saez-nomme-sales-manager-iberia-de-la-francaise/ Paris, le 5 septembre 2024 : La Française, pôle de gestion d'actifs multi-spécialistes, filiale de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a le plaisir d'annoncer la nomination, de José María FUENTES SÁEZ en qualité de Sales Manager Iberia. José María a rejoint l'équipe ibérique de La Française, basée à Madrid, le 19 août. Il est rattaché à Reyes GARCIA-REOL, Country Head. Reyes GARCÍA-REOL déclare : « Nous sommes ravis d'accueillir José María. Ses expériences en tant qu'Analyste Investissement et Directeur Commercial de produits complexes lui confèrent une grande technicité, un atout majeur pour notre équipe compte tenu de la large palette de solutions d’investissement distribuée par La Française ».

José María FUENTES SÁEZ : Sales Manager Iberia, La Française (âgé de 33 ans).

José María possède neuf ans d'expérience dans le secteur financier. Il a commencé sa carrière en 2016 chez ING en tant que responsable des ventes de produits de marchés de capitaux avant de se rendre à Londres pour rejoindre UniCredit Bank AG en tant qu'analyste au sein de l'équipe Leveraged Finance/Debt Capital Market. En 2019, il a rejoint KDB Bank comme analyste senior en investissements crédit. Après quatre ans à Londres, José María est retourné à Madrid pour rejoindre Banco Sabadell en tant que directeur des ventes pour les clients institutionnels en Europe et aux États-Unis, couvrant la dette privée et le marché obligataire. Avant de rejoindre La Française, José María était directeur des ventes de dérivés de devises, de taux d'intérêt et de matières premières pour les grandes entreprises et les PME espagnoles.

José María est titulaire d'un Bachelor of Arts in Business and Economics de l'Université de San Pablo (CEU) et d'un Master en Finance de l'ESADE. José María a obtenu la certification EFPA.

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news-3829 Tue, 03 Sep 2024 14:00:00 +0200 Nos convictions pour la fin de l'année 2024 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nos-convictions-pour-la-fin-de-lannee-2024/ La conférence de Jackson Hole est maintenant derrière nous et sonne à la fois la fin des vacances et le très probable début de cycle de baisse de taux de la Réserve Fédérale américaine. Jerome Powell a en effet été très explicite en indiquant que « la direction était claire » et que « le temps était venu pour la politique monétaire de s’ajuster ». Cette annonce est logique au regard de l’été que nous venons de connaître. La baisse du prix du baril de pétrole Brent de 84 à 78 dollars au 23 août est une bonne nouvelle pour le devenir de l’inflation à court terme. En outre, les chiffres de l’inflation parus durant les 2 derniers mois ont été rassurants, voire très rassurants aux États-Unis, même si cela reste un peu moins le cas en zone Euro. 

Les derniers chiffres d’emploi américains ont été assez décevants et ont même amené un (court) épisode de panique pendant le mois d’août dans un marché, il est vrai, très peu profond. Aucune raison donc aujourd’hui pour la Fed de ne pas commencer à réduire le caractère restrictif de sa politique monétaire.

Ces chiffres globalement décevants pendant l’été sont-ils annonciateurs d’une récession imminente ? Nous pensons que non. En effet, la zone Euro ralentit après un léger mieux lors du 1er semestre, mais garde la tête hors de l’eau grâce aux secteurs des services. Le ralentissement est réel aussi aux États-Unis, mais l’économie devrait toutefois conserver une croissance nominale autour de 4-5 % dans les trimestres qui viennent, un rythme dont nous rêverions en Europe. Du côté de la Chine, il n’y a pas grand-chose de nouveau à signaler. La santé de la machine exportatrice leur permet d’espérer une croissance proche des 5 % cette année.

Les marchés financiers anticipent à leur tour un cycle de baisse de taux assez agressif, en particulier aux États-Unis avec 4 baisses de taux d’ici fin 2024 et 8 à horizon 12 mois. Ces anticipations sont de notre point de vue trop agressives au regard de la santé de l’économie américaine. En effet, des incertitudes existent toujours sur le devenir de l’inflation à moyen terme sans oublier les conséquences potentielles des élections aux États-Unis. Le constat est moins vrai en zone Euro avec une conjoncture plus difficile. 

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news-3828 Mon, 02 Sep 2024 08:55:49 +0200 Modification du prix de part de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-lf-grand-paris-patrimoine/ Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI LF Grand Paris Patrimoine.

En conséquence, à compter du 1er septembre 2024, le prix de souscription de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine diminue de 17,74 % et se compose de la manière suivante :

Valeur nominale : 150,00 €
Prime d'émission : 105,00 €
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Prix de souscription : 255,00 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 255,00 €, dont 20,40 € HT, soit 24,48 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 234,60 €

Lire la Communication associés

Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La note d’information de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n 18-25 en date du 21-08-2018

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
 

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news-3826 Fri, 02 Aug 2024 10:01:50 +0200 L’envolée de l'or… /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lenvolee-de-lor/ Par Charlotte Peuron, Gérante de fonds actions, spécialiste des valeurs aurifères chez Crédit Mutuel Asset Management Crédit Mutuel Asset Management est une société de gestion d'actifs de Groupe La Française, holding de la filière gestion d'actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale

Le cours de l'or a atteint un nouveau record ces dernières semaines dépassant les 2400 $ l'once. Cette hausse a été opérée par les investisseurs occidentaux et est essentiellement due aux achats d'ETF sur l'or et à l'environnement financier plus favorable pour cette classe d’actifs. Nous pensons que l’or devrait continuer à s’apprécier, compte tenu notamment de la tendance baissière du dollar américain (par rapport aux autres devises) et des taux d'intérêt réels aux Etats-Unis. 

La tendance haussière du prix de l'or remonte à 2022 et résultent de trois principaux facteurs que sont une demande de bijouterie soutenue, des investissements en or physique (pièces et lingots) de la part des investisseurs asiatiques et des achats massifs de la part des banques centrales des pays émergents, (notamment de la Chine) qui souhaitent diversifier leurs réserves de change et ainsi réduire leur exposition au dollar américain. Même si la Chine, après dix-sept mois consécutifs d'achats, semble faire une pause, nous pensons que les achats des banques centrales vont rester un facteur de soutien, leurs réserves d'or ne représentant que 4 à 5 % de leurs réserves de change. 

Dans une allocation d'actifs tactique ou stratégique, l'or et le secteur aurifère jouent un rôle de diversification car ils sont décorrélés des autres actifs financiers. L'or peut ainsi améliorer le profil rendement/risque d'un portefeuille à moyen et long terme. Au sein d’un portefeuille, l'exposition à l'or peut être obtenue via des sociétés aurifères cotées. De plus, les producteurs d'or opèrent actuellement dans un environnement favorable : production élevée, prix élevés de l'or (prix moyen T1 24 $ 2073/oz, T2 2024 $ 2337/oz), coûts de production contrôlés (coûts de maintien moyens : 1400 $/once). Cet environnement génère du free cash flow et du retour à l’actionnaire, deux facteurs propices à l'amélioration des valorisations des entreprises. Ce rattrapage a d'ores et déjà commencé le 28 février 2024 lorsque l’indice Nyse Arca Gold Miners a bondi de plus de 44 % alors que l'or ne progressait que de 18 %. 

Achevé de rédiger le 19 juillet 2024

Le présent commentaire n'est fourni qu'à titre d'information. Les opinions exprimées par l'auteur sont basées sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles de changer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles des autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion de portefeuille agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société anonyme au capital de 3 871 680 € RCS Paris n° 388 555 021, le Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.  

 

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news-3824 Mon, 29 Jul 2024 10:20:51 +0200 Une Fed confiante dans le fait que l’inflation se dirige vers les 2% /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-fed-confiante-dans-le-fait-que-linflation-se-dirige-vers-les-2/ Le Federal Open Market Committee (FOMC) devrait maintenir ses taux dans leur fourchette actuelle à l’issue de sa réunion du 30-31 juillet. Nous pensons que les progrès réalisés sur l’inflation depuis avril et le rééquilibrage sur le marché du travail permettront au président de la Fed, Jérôme Powell, d’ouvrir la voie à une détente de la politique monétaire américaine, mais que davantage de signes de désinflation sont encore nécessaires. Ci-dessous nos anticipations :

  • La Réserve fédérale devrait laisser ses taux inchangés dans une fourchette cible comprise entre 5,25 % et 5,50 % dans laquelle ils se trouvent depuis juillet 2023.
  • La Fed devrait maintenir une approche s’appuyant sur les données et continuer de prendre ses décisions ‘réunion par réunion’. 
  • Le président Jérôme Powell devrait se montrer attentif à la gestion du risque dans le cadre du double mandat de la Fed, c’est-à-dire entre le risque haussier sur l'inflation et le risque baissier sur l'emploi. 
  • Jérôme Powell, devrait être optimiste à l'égard des perspectives d'inflation, compte tenu notamment de l'indice des prix à la consommation (CPI) hors alimentation et énergie de juin, qui confirme une reprise de la trajectoire désinflationniste après la réaccélération des prix du début d'année et qui montre des signes d’un ralentissement généralisée de l'inflation.
  • Concernant l'emploi, M. Powell devrait souligner que le marché du travail est revenu à l’équilibre par rapport à la période prépandémique (grâce à la hausse de la main d’œuvre disponible) et qu’il reste solide.  Il devrait répéter que le FOMC est prêt à agir si le marché de l'emploi se détériore « de manière inattendue ».

En résumé, le FOMC devrait signaler que l'économie américaine se dirige durablement vers l’objectif de 2 % grâce à l’inflation qui a repris sa trajectoire à la baisse et à la normalisation du marché du travail. Jérôme Powell devrait donc préparer le terrain pour de future(s) baisse(s) de taux d'intérêt, peut-être dès septembre (ce qui est déjà bien anticipé par les marchés financiers), tout en soulignant une approche dépendante des données économiques. Nous pensons que la Fed communiquera plus clairement sur un assouplissement imminent de sa politique monétaire lors du prochain symposium de Jackson Hole qui se déroulera à la fin août (si les données le justifient). 

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.  
 

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news-3822 Wed, 17 Jul 2024 09:30:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) et Châteauform’ Inside signent un partenariat pour la gestion et l’animation des espaces communs du Campus WE à Nanterre (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-et-chateauform-inside-signent-un-partenariat-pour-la-gestion-et-lanimation-des-espaces-communs-du-campus-we-a-nanterre-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a le plaisir d'annoncer la signature d'un partenariat avec le leader du séminaire d’entreprise en Europe, Châteauform’. La solution hospitality sur-mesure de Châteauform’ Inside a été retenue pour la gestion opérationnelle des espaces communs du Campus WE, un ensemble immobilier de bureaux, sis 61-63 avenue Jules Quentin au cœur de Nanterre (92), dans le secteur péri-Défense. La société de gestion s’appuiera sur l’expertise de Châteauform’ Inside en matière d’évènements pour créer une expérience utilisateur complète, homogène et unique au sein de cet ensemble immobilier.  Châteauform’ Inside propose une offre d’Hospitality et Facility Management intégrée et fournira des services d’accueil, de conciergerie et de gestion des espaces de réunion et d’un espace de restauration réversible pour des évènements comprenant un food corner animé, un espace bibliothèque et gaming, des écrans de projections…   

Conçue par l’agence Studio 135 Architectes, l’opération de co-promotion (PRD Office et Icade Promotion) propose au total 30 200 m2 de surface répartis sur deux immeubles (R+4) entièrement reconstruits et bénéficiant de tous les services pour contribuer favorablement à la qualité de vie des collaborateurs. Outre sa conception visant une haute efficacité énergétique, l’immeuble dispose de trois espaces de restauration, d’une salle de fitness et d’un business center… Les deux immeubles sont entourés d’espaces verts et proposent un jardin central. L’ensemble immobilier, géré par Humakey PM, sera livré en octobre 2024. 

Proche du centre-ville et des commerces, le Campus WE encourage les mobilités douces avec sa proximité immédiate des transports en commun (RER A – arrêt Nanterre Ville, Bus : 159, 367, 157, 141), 240 emplacements vélos avec vestiaires sécurisés, ainsi qu’une desserte minute. 

La gestion du site favorise la protection de la nature et fait l’objet d’une démarche de labellisation BiodiverCity. La gestion écologique des espaces verts répond aux exigences de la charte de gestion durable de La Française REM. 

Par ailleurs, l’ensemble immobilier sera certifié HQE et BREEAM, niveau Excellent. Il bénéficiera de labels bas carbone, de labels relatifs à la qualité de vie au travail et à la connectivité ; le tout permettant d’aligner l’actif aux meilleurs standards de sa catégorie. 

Au regard de la règlementation thermique, le bâtiment bénéficie d’une performance RT2012 – 30 %. Sa conception, associée à la souscription d’un contrat d’énergie renouvelable, permettra à l’immeuble d’émettre près de dix fois moins de C02 que la moyenne des immeubles situés en région parisienne. 

Thierry Molton, Directeur Général de La Française Real Estate Managers, pôle Grand Public a déclaré : « Afin d’améliorer le bien-être des collaborateurs, d’attirer les talents et valoriser les espaces, nous nous sommes naturellement tournés vers Châteauform’ qui dispose d’un savoir-faire et d’un savoir-être reconnus. C’est pourquoi nous avons souhaité mettre en place ce partenariat en privilégiant une approche flexible et collaborative afin de s’adapter aux spécificités de chaque entreprise. Cette collaboration avec une entreprise à mission qui partage nos valeurs est un gage de qualité et de confiance réciproque ».

Anne Griffon, Responsable de Châteauform’ Inside a conclu : «Nous sommes particulièrement heureux et fiers de pouvoir accompagner La Française Real Estate Managers sur ce projet innovant. Nous sommes convaincus que l’association de nos savoir-faire apportera une proposition de valeur vraiment différentes aux entreprises qui souhaitent offrir une expérience attentionnée et marquante à leurs collaborateurs. »

À propos de ChâteauForm’

Fondé en 1996 par Jacques Horovitz et Daniel Abittan, Châteauform’ s’est imposé au fil des ans comme le leader européen dans l'organisation de séminaires, formations et événements d'entreprise. Sa mission : insuffler de la « chaleur ajoutée » à chaque rencontre pour inspirer les entreprises et leur permettre de révéler leurs talents. 

Le Groupe rayonne aujourd’hui dans 7 pays à travers 70 Maisons, des demeures historiques et des lieux événementiels, nichés en pleine nature ou au cœur des, œuvrant ainsi au rayonnement International, notamment en préservant le patrimoine (culturel, historique et gastronomique). Cette expansion est aujourd'hui enrichie par l'offre Hospitality Inside, déployée au sein des entreprises, ainsi que par Nomad, traiteur événementiel engagé.

Pionnier de l’hospitalité dédiée aux entreprises, Châteauform’ incarne une approche humaniste, guidée par des valeurs plutôt que par des règles, visant à tisser des liens entre les individus au sein des organisations. En 2022, Châteauform’ obtient le statut de Société à Mission et met l’accent sur trois principes principaux : placer l'humain au cœur de l'entreprise, inspirer les clients en partageant leur vision axée sur le concept "révélons vos talents", et promouvoir la création d'événements durables.

À propos de La Française

La Française propose une offre de gestions de conviction spécialisées alliant objectifs de performance et de durabilité sur toutes les classes d’actifs. Notre architecture multi-spécialiste permet à nos gérants de se concentrer pleinement dans leur domaine d’expertise.

Engagé en faveur d’un investissement responsable sincère, nos équipes développent un savoir-faire de pointe sur les nombreuses facettes de l’ESG qui se diffuse dans toutes nos activités et analyses.

Notre approche partenariale de la relation client alliée à la créativité de nos équipes permet la conception de solutions et services innovants adaptés à toutes les situations et horizons de placement. Nos expertises spécialisées couvrent les actifs cotés et non cotés y compris l’immobilier.

Depuis le 1er janvier 2024, Groupe La Française est détenu à 60 % par la Banque Fédérative du Crédit Mutuel (BFCM) et à 40 % par la caisse régionale du Crédit Mutuel Nord Europe et membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale. 

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news-3821 Mon, 15 Jul 2024 10:04:05 +0200 Pre ECB Commentary /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-ecb-commentary-8/ Après avoir amorcé la baisse des taux en juin, la Banque centrale européenne (BCE) devrait maintenir ses taux directeurs dans leur fourchette actuelle lors de sa réunion du 18 juillet. Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :

  • Les membres du Conseil des gouverneurs devraient maintenir les taux directeurs inchangés ; 3,75 % pour le taux de la facilité de dépôt. La hausse des prix des services est persistante et le marché du travail est solide. 
  • La BCE maintiendra son approche de dépendance aux données afin de maintenir une flexibilité maximale pour les futurs comités. Christine Lagarde, présidente de la BCE, devrait indiquer que la trajectoire mouvementée du processus de désinflation vers la cible de 2 % nécessite que les décisions de baisse des taux directeurs soient prises avec précaution et gradualisme.
  • Mme Lagarde devrait indiquer que le Conseil envisage de nouvelles baisses de taux si les données à venir confirment que l'inflation de la zone euro atteindra l'objectif de 2 % d'ici la fin de l’année 2025. 

En résumé, le comité monétaire de juillet sera probablement un non-événement. Nous nous attendons à ce que Christine Lagarde reste vague quant à l’orientation future de la politique monétaire dans la mesure où les projections macroéconomiques de la banque centrale seront réévaluées en septembre. Cette réunion devrait donc avoir un impact limité sur les marchés financiers.

Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.  

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news-3818 Thu, 27 Jun 2024 09:38:19 +0200 Lettre aux porteurs du FCP « ESPERLUETTE PRIVILEGE » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-du-fcp-esperluette-privilege/ Objet: Changement de Société de gestion et modification de la stratégie d’investissement du FCP (modification soumise à l’agrément de l’AMF).

Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur de parts du fonds commun de placement (ci-après « FCP ») de droit français ESPERLUETTE PRIVILEGE (Part C : FR0013526464 et Part D : FR0013526472), et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Quels changements vont intervenir sur votre fonds ?

Nous vous informons que Crédit Mutuel Asset Management, société de gestion du FCP a donné son accord pour mettre fin à ses fonctions de société de gestion du FCP, et au transfert de la gestion financière à la société de gestion DNCA Finance, société de gestion agréée par l’Autorité de marchés financiers le 24 juin 2024 sous le numéro GP 00-030 (ci-après « DNCA ») qui a accepté d'en reprendre la gestion à compter du 8 juillet 2024.

La société de gestion DNCA souhaite profiter de cette occasion pour modifier la stratégie d’investissement du FCP afin de mettre en place une stratégie gérée au travers d’une approche « multithématique » prenant en compte de critères environnementaux et/ou sociaux et/ou de gouvernance. Cette nouvelle stratégie, qui aura des impacts sur l’objectif de gestion, vise à offrir aux investisseurs une stratégie d’investissement plus étendue en élargissant les contraintes sectorielles, géographiques et de capitalisation, tout en intégrant une dimension extra-financière à la stratégie d’investissement.

Pour plus de détails sur les changements qui seront apportés au FCP, nous vous invitons à consulter la section « Quelles sont les principales différences entre le fonds dont vous détenez des parts actuellement et le futur fonds ? » ci-dessous.

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news-3816 Thu, 27 Jun 2024 09:00:00 +0200 Antoine Le Treut rejoint La Française Real Estate Managers en tant que Directeur Général Adjoint en charge du pôle Institutionnel France /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/antoine-le-treut-rejoint-la-francaise-real-estate-managers-en-tant-que-directeur-general-adjoint-en-charge-du-pole-institutionnel-france/ Paris, le 27 juin 2024 – La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 31/03/2024), annonce l’arrivée et la nomination de Antoine Le Treut au poste de Directeur Général Adjoint, en charge du pôle Institutionnel France, à compter du 27 juin 2024. Il succède sur ce périmètre à David Rendall qui désormais se consacre au développement de l’activité immobilière internationale de La Française Real Estate Managers. Marqué par un leadership reconnu en France et une expansion à l’international, La Française REM est une composante clé de l’activité non coté du groupe La Française. Antoine Le Treut aura la responsabilité de poursuivre la croissance et la diversification de l’offre de gestion de mandats immobiliers ainsi que les activités de distribution auprès des institutionnels en France.

Entouré d’une équipe de 32 personnes, il reportera à Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers.

« Je suis particulièrement heureux d’accueillir Antoine Le Treut, avec qui j’ai déjà eu l’occasion de travailler, chez Gecina. Il apportera à La Française REM sa connaissance fine du marché et des acteurs immobiliers français, et son expérience en tant qu’investisseur, vendeur et Asset Manager immobilier. Il sera chargé de piloter l’activité immobilière du pôle Institutionnel France, et de participer au développement commercial en lien avec les commerciaux du groupe La Française. Au cours de sa carrière, Antoine a piloté plus d’une centaine de transactions sur toutes les classes d’actifs, pour près de 16 milliards d’euros et participé à la stratégie de développement et de recentrage géographique des patrimoines gérés », déclare Philippe Depoux, Président de La Française REM. « En parallèle, David Rendall se consacre au développement international, axe prioritaire dans la feuille de route de La Française REM. Outre ses responsabilités en tant que Head of International Real Estate, David Rendall est nommé Directeur Général La Française REM UK, succédant ainsi à Peter Balfour, suite à son départ en retraite. »

Antoine Le Treut, 42 ans, Directeur Général Adjoint - Pôle Institutionnel France

Antoine Le Treut a commencé sa carrière chez Unibail Rodamco en 2005 au poste de directeur d’investissements puis directeur d’opérations Retail Corporate. Il rejoint par la suite les équipes de Gecina en 2011, comme responsable investissement, avant d’être nommé directeur des investissements en 2016 puis directeur de portefeuille en 2023.
Antoine est diplômé de l’ESSEC.

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news-3814 Wed, 12 Jun 2024 17:48:26 +0200 Journée mondiale de l'environnement et tarification du carbone /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/journee-mondiale-de-lenvironnement-et-tarification-du-carbone/ Capturer la valeur dans un monde contraint par le carbone LES POINTS A RETENIR : 

  • La tarification du carbone est cruciale pour la transition vers une économie bas carbone, soulignée par l'extension des systèmes d'échange de quotas d'émision de l'UE 
  • Les taxes et systèmes de plafonnement et d'échange incitent économiquement à la réduction des émissions.
  • Pour les investisseurs, intégrer la tarification du carbone dans les stratégies d'investissement aide à gérer les risques et à profiter des opportunités liées à la transition écologique 

LA JOURNEE MONDIALE DE L'ENVIRONNEMENT : RAPPEL DE L'IMPORTANCE DE LA TARIFICATION DU CARBONE POUR LES INVESTISSEURS 

En tant qu'investisseurs, la Journée mondiale de l'environnement (Word Environment Day) nous rappelle la dichotomie entre le développement durable et la viabilité économique. Alors que l'attention mondiale se concentre sur la nécessité toujours plus urgente de lutter contre le changement climatique, les mécanismes de tarification du carbone, Carbon Pricing Mechanisms (CPMs)(1) émergent comme un levier essentiel de la transition vers une économie bas carbone, comme en témoigne la décision prise plus tôt cette année par l'Union européenne d'élargir son système d'échange de quotas d'émission, Emissions Trading Schemes (ETS) pour y inclure le transport maritime(2), et la décision prise l'an dernier de créer un ETS supplémentaire (« ETS2 ») pour traiter les émissions de CO2 provenant des combustions de carburants dans les bâtiments, le transport routier et d'autres secteurs. Ces changements significatifs soulignent l'importance croissante que la réglementation accorde aux émissions de carbone dans différents secteurs. Cette évolution, parallèlement à la poursuite de la tendance haussière des marchés du carbone nord-américains entraînée par des réexamens réglementaires plus stricts et des ajustements de l'offre, signale un tournant vers des mécanismes de tarification du carbone plus stricts à l'échelle mondiale - et la nécessité pour les investisseurs d’en comprendre les implications financières (3).

QU'EST CE QUE LA TARIFICATION DU CARBONE, QUEL EST SON OBJECTIF ET COMMENT FONCTIONNE-T-ELLE ? 

La tarification du carbone réglementaire englobe des cadres politiques tels que les taxes sur le carbone et les systèmes de plafonnement et d'échange, conçus pour attribuer une valeur monétaire aux émissions de gaz à effet de serre. D'après la Banque mondiale, il existe actuellement 75 taxes sur le carbone et systèmes d'échange de quotas d'émission dans le monde couvrant environ 24 % des émissions mondiales(4). Ces mécanismes fonctionnent soit en fixant un prix direct sur les émissions de carbone soit en instaurant un plafond des émissions fondé sur le marché assorti de quotas négociables(5). En internalisant les externalités liées aux émissions de carbone, la tarification du carbone crée fondamentalement des incitations économiques à la réduction des émissions et à l'innovation technologique. L'exemple susmentionné de l'extension du système d’échange de quotas d’émissions de l'Union européenne montre les conséquences financières concrètes pour les compagnies maritimes qui continuent de fonctionner comme par le passé : les entreprises du secteur(6) doivent acheter ou céder des quotas d'émission de l'Union européenne pour chaque tonne de CO2 (ou équivalent de CO2)(7), ce qui peut entraîner des coûts opérationnels plus élevés. Le coût de conformité devrait de manière générale être répercuté sur les clients finaux au travers de taux de fret plus élevés, ce qui pourrait affecter la compétitivité tarifaire de ces entreprises.

La tarification du carbone crée fondamentalement des incitations économiques à la réduction des émissions et à l'innovation technologique

L'exposition des entreprises à la tarification du carbone varie grandement d'un secteur et d'une région à l'autre. En effet, la récente baisse des prix du carbone dans l'Union européenne liée à l'offre excessive et à la baisse des émissions du secteur de l'électricité(8) contraste avec la dynamique haussière du programme California-Québec de plafonnement et d'échange(9), qui reflète l'interaction complexe des forces du marché dans les différentes régions. La volatilité des prix du carbone, influencée par des facteurs tels que les évolutions réglementaires et la dynamique du marché, peut avoir des impacts variables : Les entreprises opérant dans des secteurs à forte intensité de carbone, tels que l'énergie, le secteur manufacturier et le transport, sont confrontées à d'importantes implications en termes de coûts et à un risque d’échouage d’actifs physiques. Ces entreprises doivent faire face à la hausse des dépenses d'exploitation et aux éventuels coûts de conformité réglementaire, qui peuvent impacter les marges d'EBITDA et modifier la dynamique concurrentielle. Toutefois, les pionniers dans l'adoption de technologies moins émettrices - par exemple, l'adoption de carburants moins émetteurs tels que le gaz naturel liquéfié (GNL) ou l'installation de technologies économes en énergie comme les systèmes de lubrification d’air et les voiles à rotor dans le cas du secteur du transport maritime - devraient bénéficier d'incitations réglementaires et de réductions de coûts. Ces entreprises peuvent bénéficier d'avantages concurrentiels au-delà même de coûts de conformité réduits, tels qu'une meilleure position sur le marché et une meilleure réputation de marque.

L'INTEGRATION DE LA TARIFICATION CARBONE : UN IMPERATIF POUR LES INVESTISSEURS : 

En ce qui concerne les investisseurs, l'évaluation de l'exposition d'une entreprise à la tarification du carbone fait donc partie intégrante d'une gestion globale des risques et de l’optimisation du portefeuille. La capacité d'une entreprise émettrice à gérer efficacement la tarification du carbone - au moyen d'une allocation d'actifs stratégique, d'améliorations de l'efficacité opérationnelle et de bonnes pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) - devient un facteur clé de sa performance financière à long terme et de sa valorisation de marché. Un nombre important de grandes entreprises cotées prennent d’ores-et-déjà un prix interne du carbone en considération, souvent pour prendre des décisions d'investissement plus éclairées (même si lorsque les prix internes du carbone sont particulièrement bas, ils peuvent être perçus comme un outil marketing). Toutefois, trop peu d'entreprises proposent un business plan intégrant de manière exhaustive les impacts de l'évolution du prix du carbone. C'est pourquoi l'intégration de la tarification du carbone dans l'analyse des investissements nécessite une compréhension approfondie des environnements réglementaires, des impacts sectoriels et des stratégies d'entreprise(10) du côté de l'investisseur, ce qui peut se traduire par les approches suivantes :

En plus de rester informé des évolutions réglementaires, l'intégration de scénarios de tarification du carbone dans les résultats, les flux de trésorerie et les mesures de valorisation des entreprises soumis aux stress tests - comme c'est de plus en plus le cas - revêt une importance croissante . En outre, il est essentiel de garder à l'esprit que la volatilité susmentionnée des prix du carbone présente à la fois des risques et des opportunités : les investisseurs peuvent envisager de diversifier leurs expositions géographiques et sectorielles afin d'atténuer l'impact de la fluctuation des prix. Toutefois, la tarification du carbone peut également induire des inefficiences de marché dont les investisseurs avisés peuvent tirer parti : les investisseurs qui utilisent des contrats à terme et des options sur le carbone peuvent capitaliser sur ces fluctuations de prix pour générer de l'alpha(11). En outre, les inefficiences dans la manière dont les entreprises sont valorisées sur la base de leur exposition au carbone peuvent présenter des opportunités d'investissement « value ». Les entreprises qui sont sous-évaluées en raison de la sous-estimation par le marché de leur capacité de gestion du carbone peuvent offrir des points d'entrée intéressants aux investisseurs. Enfin, la tarification du carbone est un domaine où l'intégration ESG et l'actionnariat actif revêtent une importance cruciale : en effet, comprendre les stratégies des entreprises dans lesquelles nous investissons, encourager la transparence dans le reporting des émissions de carbone et l'adoption de meilleures pratiques pour les réduire, contribue à créer un cadre plus complet pour identifier les facteurs de valeur.

Du point de vue des investisseurs, la Journée mondiale de l'environnement et la question de la tarification du carbone ont en commun de nous rappeler à quel point la transition structurelle vers une économie bas carbone souligne la nécessité d'une allocation stratégique à long terme aux secteurs et aux entreprises alignés sur cette transition. Cela est également souligné par d'autres évolutions réglementaires récentes, telles que l'entrée en vigueur, en 2023, du règlement(12) sur le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (EU’s Carbon Border Adjustment Mechanism (CBAM))(13) qui vise à instaurer des conditions équitables en matière de tarification du carbone pour les biens sensibles au commerce à haute intensité d’émissions.

CONCLUSION

En intégrant les considérations de tarification du carbone dans les cadres d'investissement, les investisseurs peuvent non seulement en atténuer les risques mais aussi tirer parti des opportunités offertes par la transition. L'alignement sur les objectifs climatiques mondiaux ne devrait donc pas être simplement perçu comme une réponse aux pressions réglementaires, mais plutôt comme un impératif stratégique qui favorise la création de valeur à long terme.

(1) Ce document ne couvre pas le thème des marchés volontaires du carbone (Voluntary Carbon Markets, VCM). Pour une présentation de la question, consultez le Centre d'éducation investisseur de Carbon Credits: carboncredits.com/what-is-the-voluntary-carbon-market/
(2) Réduire les émissions du transport maritime - Commission européenne (europa.eu ). Pour un résumé des développements récents et de leurs implications (application extraterritoriale, ajout de gaz à effet de serre supplémentaires (GES), etc.), consultez le Système d'échange de quotas d'émission (SEQE) de l' UE à compter du 1er janvier 2024 | Maersk
(3) North American Carbon Markets Start 2024 on Bullish Note - OPIS, A Dow Jones Company (opisnet.com)
(4) State and Trends of Carbon Pricing 2024 (worldbank.org)
(5) Tarification du carbone (worldbank.org)
(6)Seuls les navires d'un tonnage brut de 5 000 et plus entrant ou entrant dans des ports de l'UE sont concernés par cette évolution réglementaire. Réduction des émissions du secteur
(7)Les compagnies maritimes ne doivent céder des quotas que pour une partie de leurs émissions au cours d'une période de phase initiale : En 2025, 40 % des émissions déclarées en 2024 seront couvertes, passant à 70 % en 2026 pour celles déclarées en 2025 et à 100 % à partir de 2027.
(8) www.spglobal.com/commodityinsights/en/market-insights/latest-news/energy-transition/122823-bearish-eu-carbon-prices-to-continue-in-2024-on-lower-power-emissionsoversupply
(9)North American Carbon Markets Start 2024 on Bullish Note - OPIS, A Dow Jones Company (opisnet.com)
(10) Trucost TFCD Scenario Analysis-03.docx (spglobal.com)

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news-3812 Wed, 29 May 2024 08:44:45 +0200 Assemblées Générales SCPI, bientôt… /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/assemblees-generales-scpi-bientot/ Votre société de gestion sera heureuse d’accueillir ses associés de SCPI lors des Assemblées Générales. Les traditionnelles Assemblées Générales des SCPI gérées par La Française se tiendront, comme chaque année, au cours du mois de juin. Elles se dérouleront dans les locaux du Groupe La Française, 128 boulevard Raspail, 75006 Paris.

Pour ceux qui le souhaitent, vous avez également la possibilité de voter à distance.

Enfin, pour vous accompagner dans vos décisions de vote à distance, l’équipe de gestion a souhaité prendre la parole !

Cliquez ici pour consulter les vidéos
 

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news-3810 Fri, 17 May 2024 14:55:13 +0200 Quelle place pour un fonds à échéance dans une allocation ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quelle-place-pour-un-fonds-a-echeance-dans-une-allocation/ Comment se comporte le marché du High Yield depuis le début de l'année ? L’année 2024 a débuté sur une note positive pour les marchés obligataires, en ligne avec le fort rebond amorcé fin 2023, porté à la fois par les perspectives d’un assouplissement des politiques monétaires des principales Banques centrales et d’une économie plus solide qu’initialement anticipée par les marchés.

Depuis le pic de mars, les marchés ont néanmoins connu un regain de volatilité. En cause :

  • Une réévaluation par les acteurs de marché du calendrier de baisse des taux des Banques centrales, en particulier aux États-Unis où les données économiques (inflation et consommation) restent résilientes, invalidant le scénario d’une trajectoire de désinflation rapide.
  • Les incertitudes géopolitiques : un enlisement de la guerre en Ukraine et le risque d’escalade du conflit au Moyen-Orient qui peut faire resurgir le risque inflationniste avec l’augmentation des prix du pétrole notamment.

Malgré cette résurgence de volatilité sur les taux, la relative bonne tenue des économies et des fondamentaux de crédit des entreprises permettent une poursuite de la compression des primes de risque sur le segment Investment Grade comme High Yield sur l’ensemble des zones géographiques.

Après un resserrement monétaire inédit de par son ampleur et sa vitesse, les taux de défaut sur le marché du High Yield se normalisent pour converger vers leur moyenne historique, autour de 4 % au niveau mondial. Ils sont néanmoins la résultante d’une somme d’histoires idiosyncratiques et non la conséquence d’un stress généralisé de liquidité dans le marché. La sélection de titres reste donc un élément clé sur ce segment de marché, ce qui redonne tout son attrait à la gestion active par rapport à la gestion indicielle qui captera l’ensemble des défauts de marché et notamment ceux d’émetteurs dont le poids dans les indices est important.

Pourquoi investir sur les fonds à échéance ?

Dans un scénario d’atterrissage en douceur des économies avec des baisses de taux qui se profilent, les fonds à échéance sont des produits qui ont toute leur place dans une allocation. Toute tension sur les taux ou les primes de risque constitue pour nous une opportunité d’optimiser son point d’entrée dans ce type de stratégies.

Les fonds à échéance ont le grand avantage d’être des produits simples et lisibles. La philosophie de ce type de produit est de répliquer au mieux le comportement d’une obligation au travers d’un panier d’obligations bien diversifié (entre 100 et 150 émetteurs pour notre gamme de fonds à échéance) afin d’éliminer le risque spécifique. Dans un contexte assez incertain, ils offrent ainsi aux investisseurs un rendement jusqu’à une maturité précise, ce qui apporte une certaine visibilité sur les coupons qui seront collectés et délivrés à l’échéance.

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news-3808 Fri, 03 May 2024 14:07:55 +0200 Green Asset Ratio – Le crash-test est-il vraiment un échec complet ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/green-asset-ratio-le-crash-test-est-il-vraiment-un-echec-complet/ Par Armand SATCHIAN, Analyste ESG, La Française Asset Management En 2024, les institutions financières (IF) dévoilent pour la première fois leur ratio d'actifs verts (Green Asset Ratio - GAR). Au cours des années précédentes, les IF ne communiquaient que sur l’éligibilité de leurs actifs à la taxonomie européenne1. La publication du GAR constitue donc une étape importante pour aider les parties prenantes à comprendre comment, et dans quelle mesure, les actifs des IF contribuent aux objectifs environnementaux définis par la taxonomie2. En effet, l'indicateur est un rapport entre les actifs alignés à la taxonomie et le total des actifs couverts par le GAR. Toutefois, compte tenu des nombreuses critiques émises par le secteur bancaire à l'égard de cet indicateur, cette publication inaugurale pourrait être perçue comme un crash-test affectant sa crédibilité future.



Les rapports annuels intégrés de 2023 (publiés en 2024) ont validé les prévisions de l'Agence Bancaire Européenne (ABE) réalisées dans le cadre de son exercice sur les risques climatiques en 20213  - les niveaux d’alignement (basés sur le chiffre d'affaires des contreparties4) sont extrêmement bas. En effet, alors que le pourcentage moyen des actifs éligibles à la taxonomie atteint 36,5 %, le GAR moyen (% des actifs alignés) calculé par notre équipe, sur un échantillon de 24 IF, ne s'élève qu'à 2,5 %.

Afin de gérer les attentes des parties prenantes, les IF ont activement communiqué les limites du GAR par le biais de différents canaux tels que la Fédération bancaire de l'Union européenne (FBE)ou leurs rapports annuels intégrés. Ils soulignent en particulier que l'indicateur est structurellement bas et trompeur, et que sa comparabilité est limitée car son niveau est fortement influencé par le modèle d'affaires de chaque structure.

Graphique 1 : Répartition du total des actifs du GAR (dénominateur) pour un échantillon de 24 IF (en %)



Par exemple, l'exposition à des sociétés non soumises à la directive Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) influencerait significativement le GAR. En outre, l'accès aux données supportant l'alignement des actifs à la taxonomie, en particulier sur le segment de la banque de détail, pose un réel défi.

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news-3806 Fri, 26 Apr 2024 09:00:00 +0200 COMMUNICATION A L’ATTENTION DES PORTEURS DU FONDS La Française Trésorerie ISR FR_FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/communication-a-lattention-des-porteurs-du-fonds-la-francaise-tresorerie-isr-fr-fr/ Le 26 avril 2024 Par un avis daté du 25 avril 2024 nous vous informions qu’à compter du 1er mai 2024, le fonds La Française Trésorerie ISR sera géré par Crédit Mutuel Asset Management.
A cet effet, le fonds La Française Trésorerie ISR étant un fonds monétaire agréé MMF depuis le 1er février 2019, la société de gestion souhaite modifier la procédure d’évaluation interne de la notation crédit du fonds afin d’appliquer celle de Crédit Mutuel Asset Management.

Ainsi, vous trouverez en annexe 1 de ce présent avis, la procédure d’évaluation interne de la notation crédit du fonds qui sera appliquée à compter du 2 mai 2024.
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de l’Autorité des marchés financiers.

Les autres caractéristiques du fonds demeurent inchangées, notamment sa stratégie d’investissement, son profil rendement/risque et l’ensemble des frais.

La documentation réglementaire du fonds sera modifiée en conséquence et sera disponible à compter du 2 mai 2024 sur simple demande auprès de Crédit Mutuel Asset Management ou sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu.
µ
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire du fonds (prospectus, DIC PRIIPS, règlement et annexe SFDR) disponible sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu.

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news-3799 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 COMMUNICATION A L’ATTENTION DES PORTEURS ET ACTIONNAIRES D’OPC GÉRÉS PAR LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/communication-a-lattention-des-porteurs-et-actionnaires-dopc-geres-par-la-francaise-asset-management/ Le 25 avril 2024 Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a notamment pour ambition la création de son pôle de gestion d’actifs.

Nous vous informons par la présente publication que la prochaine étape de la construction de ce nouvel ensemble consiste en l’absorption de La Française Asset Management par Crédit Mutuel Asset Management, afin de créer une société de gestion mutualisant les expertises de gestion d’actifs cotés (taux, diversifiée et actions) totalisant plus de 86 milliards d’euros en actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, tous segments confondus, une gamme de solutions d’investissement élargie, basée notamment sur une expertise extra-financière intégrée et cohérente avec les ambitions d’un asset manager durable.

Ainsi, La Française Asset Management sera absorbée par Crédit Mutuel Asset Management (toutes deux filiales de Groupe La Française) le 1er mai 2024.

Ainsi, La Française Asset Management informe les porteurs et actionnaires d’OPC qu’elle gère, listés en annexe du présent communiqué, qu’à compter du 1er mai 2024, leurs OPC seront gérés par Crédit Mutuel Asset Management.

Cette mutation a reçu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers en date du 12 avril 2024.

Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.

Les documents réglementaires de chaque OPC seront modifiés en conséquence et seront disponibles dès le 1er mai 2024 sur simple demande auprès de Crédit Mutuel Asset Management ou sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (prospectus, DIC PRIIPS, règlement et annexe SFDR) disponible sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu.

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news-3795 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 COMMUNICATION A L’ATTENTION DES PORTEURS ET ACTIONNAIRES D’OPC GÉRÉS PAR LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT FR_FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/communication-a-lattention-des-porteurs-et-actionnaires-dopc-geres-par-la-francaise-asset-management-fr-fr/ Le 25 avril 2024 Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a notamment pour ambition la création de son pôle de gestion d’actifs.

Nous vous informons par la présente publication que la prochaine étape de la construction de ce nouvel ensemble consiste en l’absorption de La Française Asset Management par Crédit Mutuel Asset Management, afin de créer une société de gestion mutualisant les expertises de gestion d’actifs cotés (taux, diversifiée et actions) totalisant plus de 86 milliards d’euros en actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, tous segments confondus, une gamme de solutions d’investissement élargie, basée notamment sur une expertise extra-financière intégrée et cohérente avec les ambitions d’un asset manager durable.

Ainsi, La Française Asset Management sera absorbée par Crédit Mutuel Asset Management (toutes deux filiales de Groupe La Française) le 1er mai 2024.

Ainsi, La Française Asset Management informe les porteurs et actionnaires d’OPC qu’elle gère, listés en annexe du présent communiqué, qu’à compter du 1er mai 2024, leurs OPC seront gérés par Crédit Mutuel Asset Management.

Cette mutation a reçu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers en date du 12 avril 2024.

Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.
Les documents réglementaires de chaque OPC seront modifiés en conséquence et seront disponibles dès le 1er mai 2024 sur simple demande auprès de Crédit Mutuel Asset Management ou sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (prospectus, DIC PRIIPS, règlement et annexe SFDR) disponible sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu.

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news-3794 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 COMMUNICATION A L’ATTENTION DES PORTEURS ET ACTIONNAIRES D’OPC de droit français GÉRÉS PAR LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT - FR_BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/communication-a-lattention-des-porteurs-et-actionnaires-dopc-de-droit-francais-geres-par-la-francaise-asset-management-fr-be/ Le 25 avril 2024 Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a notamment pour ambition la création de son pôle de gestion d’actifs.

Nous vous informons par la présente publication que la prochaine étape de la construction de ce nouvel ensemble consiste en l’absorption de La Française Asset Management par Crédit Mutuel Asset Management, afin de créer une société de gestion mutualisant les expertises de gestion d’actifs cotés (taux, diversifiée et actions) totalisant plus de 86 milliards d’euros en actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, tous segments confondus, une gamme de solutions d’investissement élargie, basée notamment sur une expertise extra-financière intégrée et cohérente avec les ambitions d’un asset manager durable.

Ainsi, La Française Asset Management sera absorbée par Crédit Mutuel Asset Management (toutes deux filiales de Groupe La Française) le 1er mai 2024.

Ainsi, La Française Asset Management informe les porteurs et actionnaires d’OPC qu’elle gère, listés en annexe du présent communiqué, qu’à compter du 1er mai 2024, leurs OPC seront gérés par Crédit Mutuel Asset Management.

Cette mutation a reçu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers en date du 12/04/2024.

Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.

Les documents réglementaires de chaque OPC seront modifiés en conséquence et seront disponibles dès le 1er mai 2024 gratuitement sur simple demande auprès de Crédit Mutuel Asset Management, sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu et auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique :

CACEIS Belgium S.A.
Avenue du Port 86C, boite 320
B-1000 Bruxelles

La Valeur Nette d’Inventaire (« VNI ») est publiée sur le site www.fundinfo.com et disponible auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (prospectus, DIC PRIIPS, règlement et annexe SFDR) disponible sur les sites www.la-francaise.com et www.creditmutuel-am.eu et auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique :

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news-3782 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ - LA FRANCAISE LUX - FR_BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-la-francaise-lux-fr-be-1/ Luxembourg, le 25 avril 2024 Cher Actionnaire,

Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a revu l’organisation de ses pôles de gestion d’actifs qui regrouperont les structures de gestion pour compte de tiers dans un modèle multi-spécialiste centré sur le client.

La première étape de la construction de cette nouvelle ligne métier a consisté à regrouper l’ensemble des structures de gestion d’actifs1 au sein d’une même holding, le Groupe La Française, partageant ainsi une gouvernance, une plateforme opérationnelle et une informatique communes. Ces opérations ont été achevées au début de l'année 2024.

Le conseil d’administration de la Société (le « CA ») vous informe que l’une des prochaines étapes est l’absorption de La Française Asset Management (« LFAM »), la société de gestion actuelle de la Société, par Crédit Mutuel Asset Management (« CMAM »), société de gestion de droit français dont le siège social est situé au 4 rue Gaillon, F-75002 Paris, France, et autorisée à agir en qualité de société de gestion d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières (« OPCVM ») au sens de la Directive 2009/65/CE, et en qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatifs (« FIA ») au sens de la Directive 2011/61/UE, afin de créer une société de gestion unique associant leur expertise commune en matière d’actifs cotés (produits de taux, produits diversifiés et actions) avec plus de 86 milliards d’euros d’actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, sur l’ensemble des segments, une gamme plus large de solutions d’investissement, reposant notamment sur une expertise extra-financière intégrée, en cohérence avec les ambitions d’un gestionnaire d’actifs durable.

1 Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe les sociétés de gestion suivantes : Crédit Mutuel Asset Management, La Française Asset Management, La Française Systematic Asset Management, La Française REM, CIC Private Debt, Crédit Mutuel Impact, Cigogne Management, Crédit Mutuel Gestion, New Alpha Asset Management. Seules la BLI - Banque de Luxembourg Investments, CIC Market Solutions et Dubly Transatlantique Gestion resteront associées à leurs actionnaires actuels, compte tenu des liens quasi-exclusifs et opérationnels existants.

En conséquence de la Fusion, CMAM deviendra la nouvelle société de gestion de la Société avec effet au 1er mai 2024 (la « Fusion »).

Le changement de société de gestion n'aura pas d'incidence sur la gestion des actifs de la Société ni sur ses actionnaires. Les accords avec les prestataires actuels seront intégralement repris par CMAM. Ainsi, BNP Paribas, Succursale de Luxembourg, demeurera le dépositaire, l’agent administratif, le teneur de registre et l’agent de transfert de la Société. Chaque compartiment de la Société continuera à être géré par le même gérant désigné. Le changement de société de gestion n'entraînera aucune augmentation des frais, et les coûts liés au changement de société de gestion ne seront pas supportés par la Société et ses
actionnaires.

Les dernières versions du prospectus, des statuts et des rapports financiers, sont disponibles gratuitement en français et en anglais, ainsi que les Documents d'Informations Clés en français, sur le site internet www.la-francaise.com et auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique :

CACEIS Belgium S.A.
Avenue du Port 86C, boite 320
B-1000 Bruxelles

La Valeur Nette d’Inventaire (« VNI ») est publiée sur le site www.fundinfo.com et disponible auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique.
Le document d’informations clés doit être lu attentivement avant d’investir.

Si vous souhaitez de plus amples informations, veuillez contacter votre conseiller financier ou votre distributeur local.

Avec nos meilleures salutations,

Au nom du Conseil d’administration

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news-3781 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ - LA FRANCAISE LUX - FR_FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-la-francaise-lux-fr-fr/ Luxembourg, le 25 avril 2024 Cher Actionnaire,

Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a revu l’organisation de ses pôles de gestion d’actifs qui regrouperont les structures de gestion pour compte de tiers dans un modèle multi-spécialiste centré sur le client.
La première étape de la construction de cette nouvelle ligne métier a consisté à regrouper l’ensemble des structures de gestion d’actifs1 au sein d’une même holding, le Groupe La Française, partageant ainsi une gouvernance, une plateforme opérationnelle et une informatique communes. Ces opérations ont été achevées au début de l'année 2024.

Le conseil d’administration de la Société (le « CA ») vous informe que l’une des prochaines étapes est l’absorption de La Française Asset Management (« LFAM »), la société de gestion actuelle de la Société, par Crédit Mutuel Asset Management (« CMAM »), société de gestion de droit français dont le siège social est situé au 4 rue Gaillon, F-75002 Paris, France, et autorisée à agir en qualité de société de gestion d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières (« OPCVM ») au sens de la Directive 2009/65/CE, et en qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatifs (« FIA ») au sens de la Directive 2011/61/UE, afin de créer une société de gestion unique associant leur expertise commune en matière d’actifs cotés (produits de taux, produits diversifiés et actions) avec plus de 86 milliards d’euros d’actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, sur l’ensemble des segments, une gamme plus large de solutions d’investissement, reposant notamment sur une expertise extra-financière intégrée, en cohérence avec les ambitions d’un gestionnaire d’actifs durable.

1 Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe les sociétés de gestion suivantes : Crédit Mutuel Asset Management, La Française Asset Management, La Française Systematic Asset Management, La Française REM, CIC Private Debt, Crédit Mutuel Impact, Cigogne Management, Crédit Mutuel Gestion, New Alpha Asset Management. Seules la BLI - Banque de Luxembourg Investments, CIC Market Solutions et Dubly Transatlantique Gestion resteront associées à leurs actionnaires actuels, compte tenu des liens quasi-exclusifs et opérationnels existants.

En conséquence de la Fusion, CMAM deviendra la nouvelle société de gestion de la Société avec effet au 1er mai 2024 (la « Fusion »).

Le changement de société de gestion n'aura pas d'incidence sur la gestion des actifs de la Société ni sur ses actionnaires. Les accords avec les prestataires actuels seront intégralement repris par CMAM. Ainsi, BNP Paribas, Succursale de Luxembourg, demeurera le dépositaire, l’agent administratif, le teneur de registre et l’agent de transfert de la Société. Chaque compartiment de la Société continuera à être géré par le même gérant désigné.

Le changement de société de gestion n'entraînera aucune augmentation des frais, et les coûts liés au changement de société de gestion ne seront pas supportés par la Société et ses actionnaires.

Si vous souhaitez de plus amples informations, veuillez contacter votre conseiller financier ou votre distributeur local.

Avec nos meilleures salutations,

Au nom du Conseil d’administration

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news-3775 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ - JKC Funds - FR_FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-jkc-funds-fr-fr/ Luxembourg, le 25 avril 2024 Cher Actionnaire,

Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a revu l’organisation de ses pôles de gestion d’actifs qui regrouperont les structures de gestion pour compte de tiers dans un modèle multi-spécialiste centré sur le client.

La première étape de la construction de cette nouvelle ligne métier a consisté à regrouper l’ensemble des structures de gestion d’actifs1 au sein d’une même holding, le Groupe La Française, partageant ainsi une gouvernance, une plateforme opérationnelle et une informatique communes. Ces opérations ont été achevées au début de l'année 2024.

Le conseil d’administration de la Société (le « CA ») vous informe que l’une des prochaines étapes est l’absorption de La Française Asset Management (« LFAM »), la société de gestion actuelle de la Société, par Crédit Mutuel Asset Management (« CMAM »), société de gestion de droit français dont le siège social est situé au 4 rue Gaillon, F-75002 Paris, France, et autorisée à agir en qualité de société de gestion d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières (« OPCVM ») au sens de la Directive 2009/65/CE, et en qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatifs (« FIA ») au sens de la Directive 2011/61/UE, afin de créer une société de gestion unique associant leur expertise commune en matière d’actifs cotés (produits de taux, produits diversifiés et actions) avec plus de 86 milliards d’euros d’actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, sur l’ensemble des segments, une gamme plus large de solutions d’investissement, reposant notamment sur une expertise extra-financière intégrée, en cohérence avec les ambitions d’un gestionnaire d’actifs durable.

1 Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe les sociétés de gestion suivantes : Crédit Mutuel Asset Management, La Française Asset Management, La Française Systematic Asset Management, La Française REM, CIC Private Debt, Crédit Mutuel Impact, Cigogne Management, Crédit Mutuel Gestion, New Alpha Asset Management. Seules la BLI - Banque de Luxembourg Investments, CIC Market Solutions et Dubly Transatlantique Gestion resteront associées à leurs actionnaires actuels, compte tenu des liens quasi-exclusifs et opérationnels existants.

En conséquence de la Fusion, CMAM deviendra la nouvelle société de gestion de la Société avec effet au 1er mai 2024 (la « Fusion »).
Le changement de société de gestion n'aura pas d'incidence sur la gestion des actifs de la Société ni sur ses actionnaires. Les accords avec les prestataires actuels seront intégralement repris par CMAM. Ainsi, BNP Paribas, Succursale de Luxembourg, demeurera le dépositaire, l’agent administratif, le teneur de registre et l’agent de transfert de la Société. Chaque compartiment de la Société continuera à être géré par le même gérant désigné.

Le changement de société de gestion n'entraînera aucune augmentation des frais, et les coûts liés au changement de société de gestion ne seront pas supportés par la Société et ses actionnaires.

Si vous souhaitez de plus amples informations, veuillez contacter votre conseiller financier ou votre distributeur local.

Avec nos meilleures salutations,

Au nom du Conseil d’administration

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news-3773 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ - JKC Funds - FR_BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-jkc-funds-fr-be/ Luxembourg, le 25 avril 2024 Cher Actionnaire,

Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a revu l’organisation de ses pôles de gestion d’actifs qui regrouperont les structures de gestion pour compte de tiers dans un modèle multi-spécialiste centré sur le client.
La première étape de la construction de cette nouvelle ligne métier a consisté à regrouper l’ensemble des structures de gestion d’actifs1 au sein d’une même holding, le Groupe La Française, partageant ainsi une gouvernance, une plateforme opérationnelle et une informatique communes. Ces opérations ont été achevées au début de l'année 2024.

Le conseil d’administration de la Société (le « CA ») vous informe que l’une des prochaines étapes est l’absorption de La Française Asset Management (« LFAM »), la société de gestion actuelle de la Société, par Crédit Mutuel Asset Management (« CMAM »), société de gestion de droit français dont le siège social est situé au 4 rue Gaillon, F-75002 Paris, France, et autorisée à agir en qualité de société de gestion d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières (« OPCVM ») au sens de la Directive 2009/65/CE, et en qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatifs (« FIA ») au sens de la Directive 2011/61/UE, afin de créer une société de gestion unique associant leur expertise commune en matière d’actifs cotés (produits de taux, produits diversifiés et actions) avec plus de 86 milliards d’euros d’actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, sur l’ensemble des segments, une gamme plus large de solutions d’investissement, reposant notamment sur une expertise extra-financière intégrée, en cohérence avec les ambitions d’un gestionnaire d’actifs durable. En conséquence de la Fusion, CMAM deviendra la nouvelle société de gestion de la Société avec effet au 1er mai 2024 (la « Fusion »).
 
1 Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe les sociétés de gestion suivantes : Crédit Mutuel Asset Management, La Française Asset Management, La Française Systematic Asset Management, La Française REM, CIC Private Debt, Crédit Mutuel Impact, Cigogne Management, Crédit Mutuel Gestion, New Alpha Asset Management. Seules la BLI - Banque de Luxembourg Investments, CIC Market Solutions et Dubly Transatlantique Gestion resteront associées à leurs actionnaires actuels, compte tenu des liens quasi-exclusifs et opérationnels existants.


Le changement de société de gestion n'aura pas d'incidence sur la gestion des actifs de la Société ni sur ses actionnaires. Les accords avec les prestataires actuels seront intégralement repris par CMAM. Ainsi, BNP Paribas, Succursale de Luxembourg, demeurera le dépositaire, l’agent administratif, le teneur de registre et l’agent de transfert de la Société. Chaque compartiment de la Société continuera à être géré par le même gérant désigné.

Le changement de société de gestion n'entraînera aucune augmentation des frais, et les coûts liés au changement de société de gestion ne seront pas supportés par la Société et ses actionnaires.

Si vous souhaitez de plus amples informations, veuillez contacter votre conseiller financier ou votre distributeur local.

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news-3766 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ - BEOBANKS - FR_FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-beobanks-fr-fr/ Luxembourg, le 25 avril 2024 Cher Actionnaire,

Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a revu l’organisation de ses pôles de gestion d’actifs qui regrouperont les structures de gestion pour compte de tiers dans un modèle multi-spécialiste centré sur le client.

La première étape de la construction de cette nouvelle ligne métier a consisté à regrouper l’ensemble des structures de gestion d’actifs1 au sein d’une même holding, le Groupe La Française, partageant ainsi une gouvernance, une plateforme opérationnelle et une informatique communes. Ces opérations ont été achevées au début de l'année 2024.

Le conseil d’administration de la Société (le « CA ») vous informe que l’une des prochaines étapes est l’absorption de La Française Asset Management (« LFAM »), la société de gestion actuelle de la Société, par Crédit Mutuel Asset Management (« CMAM »), société de gestion de droit français dont le siège social est situé au 4 rue Gaillon, F-75002 Paris, France, et autorisée à agir en qualité de société de gestion d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières (« OPCVM ») au sens de la Directive 2009/65/CE, et en qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatifs (« FIA ») au sens de la Directive 2011/61/UE, afin de créer une société de gestion unique associant leur expertise commune en matière d’actifs cotés (produits de taux, produits diversifiés et actions) avec plus de 86 milliards d’euros d’actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, sur l’ensemble des segments, une gamme plus large de solutions d’investissement, reposant notamment sur une expertise extra-financière intégrée, en cohérence avec les ambitions d’un gestionnaire d’actifs durable.

1 Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe les sociétés de gestion suivantes : Crédit Mutuel Asset Management, La Française Asset Management, La Française Systematic Asset Management, La Française REM, CIC Private Debt, Crédit Mutuel Impact, Cigogne Management, Crédit Mutuel Gestion, New Alpha Asset Management. Seules la BLI - Banque de Luxembourg Investments, CIC Market Solutions et Dubly Transatlantique Gestion resteront associées à leurs actionnaires actuels, compte tenu des liens quasi-exclusifs et opérationnels existants.

En conséquence de la Fusion, CMAM deviendra la nouvelle société de gestion de la Société avec effet au 1er mai 2024 (la « Fusion »).
Le changement de société de gestion n'aura pas d'incidence sur la gestion des actifs de la Société ni sur ses actionnaires. Les accords avec les prestataires actuels seront intégralement repris par CMAM. Ainsi, BNP Paribas, Succursale de Luxembourg, demeurera le dépositaire, l’agent administratif, le teneur de registre et l’agent de transfert de la Société.

Le changement de société de gestion n'entraînera aucune augmentation des frais, et les coûts liés au changement de société de gestion ne seront pas supportés par la Société et ses actionnaires.

Si vous souhaitez de plus amples informations, veuillez contacter votre conseiller financier ou votre distributeur local.

Avec nos meilleures salutations,

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news-3765 Thu, 25 Apr 2024 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ - BEOBANK - FR_BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-beobank-fr-be/ Luxembourg, le 25 avril 2024 Cher Actionnaire,

Dans le cadre de sa stratégie de développement, Crédit Mutuel Alliance Fédérale a revu l’organisation de ses pôles de gestion d’actifs qui regrouperont les structures de gestion pour compte de tiers dans un modèle multi-spécialiste centré sur le client.

La première étape de la construction de cette nouvelle ligne métier a consisté à regrouper l’ensemble des structures de gestion d’actifs1 au sein d’une même holding, le Groupe La Française, partageant ainsi une gouvernance, une plateforme opérationnelle et une informatique communes. Ces opérations ont été achevées au début de l'année 2024.

Le conseil d’administration de la Société (le « CA ») vous informe que l’une des prochaines étapes est l’absorption de La Française Asset Management (« LFAM »), la société de gestion actuelle de la Société, par Crédit Mutuel Asset Management (« CMAM »), société de gestion de droit français dont le siège social est situé au 4 rue Gaillon, F-75002 Paris, France, et autorisée à agir en qualité de société de gestion d’organisme de placement collectif en valeurs mobilières (« OPCVM ») au sens de la Directive 2009/65/CE, et en qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatifs (« FIA ») au sens de la Directive 2011/61/UE, afin de créer une société de gestion unique associant leur expertise commune en matière d’actifs cotés (produits de taux, produits diversifiés et actions) avec plus de 86 milliards d’euros d’actifs sous gestion (proforma au 31/12/2023). Cette structure de gestion offrira aux investisseurs, sur l’ensemble des segments, une gamme plus large de solutions d’investissement, reposant notamment sur une expertise extra-financière intégrée, en cohérence avec les ambitions d’un gestionnaire d’actifs durable.

1 Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe les sociétés de gestion suivantes : Crédit Mutuel Asset Management, La Française Asset Management, La Française Systematic Asset Management, La Française REM, CIC Private Debt, Crédit Mutuel Impact, Cigogne Management, Crédit Mutuel Gestion, New Alpha Asset Management. Seules la BLI - Banque de Luxembourg Investments, CIC Market Solutions et Dubly Transatlantique Gestion resteront associées à leurs actionnaires actuels, compte tenu des liens quasi-exclusifs et opérationnels existants.

En conséquence de la Fusion, CMAM deviendra la nouvelle société de gestion de la Société avec effet au 1er mai 2024 (la « Fusion »).
Le changement de société de gestion n'aura pas d'incidence sur la gestion des actifs de la Société ni sur ses actionnaires. Les accords avec les prestataires actuels seront intégralement repris par CMAM. Ainsi, BNP Paribas, Succursale de Luxembourg, demeurera le dépositaire, l’agent administratif, le teneur de registre et l’agent de transfert de la Société.

Le changement de société de gestion n'entraînera aucune augmentation des frais, et les coûts liés au changement de société de gestion ne seront pas supportés par la Société et ses actionnaires.

Les dernières versions du prospectus, des statuts et des rapports financiers, sont disponibles gratuitement en français et en anglais, ainsi que les Documents d'Informations Clés en français, sur le site internet www.la-francaise.com et auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique :

CACEIS Belgium S.A.

Avenue du Port 86C, boite 320
B-1000 Bruxelles

La Valeur Nette d’Inventaire (« VNI ») est publiée sur le site www.fundinfo.com et disponible auprès de l’intermédiaire chargé du service financier en Belgique.
Le document d’informations clés doit être lu attentivement avant d’investir.

Si vous souhaitez de plus amples informations, veuillez contacter votre conseiller financier ou votre distributeur local.

Avec nos meilleures salutations,

Au nom du Conseil d’administration

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news-3764 Mon, 22 Apr 2024 09:00:00 +0200 La planète contre la pollution plastique : Vers un accord mondial /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-planete-contre-la-pollution-plastique-vers-un-accord-mondial/ Par Frédéric Yo, Analyste ESG, La Française AM 2024 un « Traité mondial pour mettre fin à la pollution plastique ». Ce traité juridiquement contraignant vise à lutter contre la pollution plastique dans le monde. Toutefois, les avancées au sein des précédentes négociations ont été modestes.

Alors qu'il ne reste plus que deux réunions de négociations en 2024 avant que le traité ne soit mis en œuvre mi-2025, le résultat des négociations du 23 au 29 avril sera déterminant pour l'élaboration de ce traité. Alors que notre planète est aux prises avec les terribles conséquences de la pollution plastique, il est impératif d'agir rapidement.

Le plastique, qui fait partie intégrante de la vie moderne, offre de nombreux avantages, mais sa prolifération incontrôlée représente des dangers importants. Les microplastiques perturbent les organismes marins et insidieusement infiltrent notre chaîne alimentaire entrainant des dommages indéniables sur l’environnement. Il est surprenant de constater que plus de la moitié de tous les plastiques ont été fabriqués depuis 2000 et que cette production mondiale pourrait plus que doubler d’ici 2050 . La majeure partie des déchets plastiques, soit une quantité de 76 %, ne sont pas recyclés et deviennent des déchets environnementaux.

Ainsi chaque année, environ 10 millions de tonnes  de plastiques finissent dans nos océans. Cette pollution met en péril non seulement les écosystèmes et la faune mais met également en péril la santé humaine par le rejet de produits chimiques nocifs et contribue aux changements climatiques.

Le Traité mondial sur les plastiques représente une occasion sans précédent de lutter contre la pollution plastique. Mais sa réussite repose sur des actions décisives, une coopération mondiale et un engagement collectif afin de préserver notre planète pour les générations futures. Les gouvernements devront appliquer des réglementations afin de limiter l'utilisation des plastiques, de favoriser les infrastructures en matière de recyclage et de responsabiliser les entreprises sur l’impact environnemental.  

Avant la réunion de la 4eme session des négociations d’avril, le Programme des Nations Unies pour l’environnement a publié une version révisée de l'avant-projet et des actions à mener couvrant le cycle de vie complet du plastique . Toutefois, des divergences persistent entre les délégations quant à l'orientation du traité, certaines préconisant des mesures en amont pour réduire la production, tandis que d'autres, principalement les pays producteurs de combustibles fossiles, donnent la priorité à la gestion des déchets pour des raisons économiques.

Le secteur de l'investissement peut influer sur les résultats du traité en s'engageant efficacement, tant au niveau des politiques que des entreprises. Le Groupe La Française soutient le traité au niveau des Nations Unies depuis 2021, date à laquelle il a d'abord répondu à l'appel du PRI, du WWF et de la Fondation Ellen MacArthur. Il a rejoint la Business Coalition for the Plastics Treaty  en septembre 2022, date à laquelle il a été formé pour la première fois. Le groupe a également noué le dialogue avec des entreprises opérant dans la chaîne de valeur du plastique. Il y aura plus d'opportunités 

d'investissement à mesure que le traité entrera en vigueur. Selon les estimations , les produits de substitution aux plastiques devraient atteindre plus de 9 milliards de $ d'ici 2027 avec un taux de croissance annuel de 16,8 %. 

Quelle que soit la teneur finale du traité, ses conséquences seront profondes, en particulier pour le secteur privé, étant donné que la majorité des activités dépendent à divers degrés des plastiques.

Une étude a révélé que plus de la moitié des plastiques  « à usage unique » rejetés dans le monde peut être attribuée aux actions d'une poignée d'entreprises, dont presque toutes sont pétrochimiques. En attendant un traité juridiquement contraignant, il est important que les entreprises assument la responsabilité de leurs produits et ouvrent la voie dans la lutte contre la pollution. Pour les fabricants de plastiques, l'adoption d'alternatives durables telles que les bioplastiques, qui sont dérivés de ressources renouvelables, offre une option prometteuse pour réduire l'empreinte carbone.

Représentant actuellement moins de 1 % de la production de plastiques, les bioplastiques, une alternative plus écologique, sont en voie de développement . Pour les entreprises exposées aux consommateurs, la refonte des produits afin d'encourager leur réutilisation pourrait permettre de réduire considérablement les déchets plastiques. Les recherches indiquent qu'une augmentation de seulement 10 % des réemplois pourrait réduire de moitié la quantité de plastiques polluants . Il appartient également aux consommateurs d'adopter le comportement approprié et de prendre les bonnes décisions. Pour ce 22 Avril 2024, journée de la Terre, le thème « La Planète contre les plastiques »  rappelle que la société dans son ensemble peut contribuer à apporter des solutions à la pollution plastique. 

Ce commentaire est fourni à titre d'information et à des fins pédagogiques uniquement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, 326 817 467 R.C.S. Paris, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076, le 1er juillet 1997.

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news-3761 Fri, 12 Apr 2024 10:06:41 +0200 En avril, la BCE ne se découvre pas d'un fil /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/en-avril-la-bce-ne-se-decouvre-pas-dun-fil/ Le Conseil des gouverneurs (CG) devrait laisser ses taux d'intérêt inchangés lors de la réunion d'avril. La présidente de la BCE, Christine Lagarde, devrait néanmoins annoncer que le CG abaissera probablement ses taux d'intérêt en juin, tout en procédant avec prudence à l'assouplissement monétaire, notamment en raison de l'amélioration des perspectives macroéconomiques. Nos principales convictions :

  • La Banque centrale européenne (BCE) devrait maintenir à nouveau ses taux d'intérêt directeurs à 4,0 % pour le taux de dépôt, 4,50 % pour le taux Refi et 4,75 % pour la facilité de prêt marginal.
  • La présidente de la BCE, Christine Lagarde, devrait annoncer par avance que la BCE réduira probablement ses taux d'intérêt en juin, de 25 points de base, compte tenu de sa plus grande confiance dans la réalisation de l'objectif d'inflation de 2 %.
  • Elle devrait par ailleurs réitérer le fait que les décisions monétaires resteront dépendantes des données économiques et seront prises lors de chaque réunion. Par conséquent, nous ne pensons pas qu'elle fournira de « forward guidance » concernant le rythme des baisses de taux.

En résumé, nous n'attendons pas d'annonce surprise. En effet, il existe un large consensus parmi les membres de la BCE sur le fait que le mois de juin est une date clé pour la première baisse des taux. Cette réunion devrait donc avoir un impact limité sur les marchés financiers, mais elle devrait tout de même pousser les taux d'intérêt européens et l'euro à la baisse, en raison d’une probabilité renforcée de voir le cycle de baisse de taux commencer enfin

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news-3759 Fri, 12 Apr 2024 10:00:20 +0200 Information aux actionnaires de la modification du Prospectus sur le délégataire de la gestion de la poche financière – Fusion intragroupe – La Française Asset Management et Crédit Mutuel Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-actionnaires-de-la-modification-du-prospectus-sur-le-delegataire-de-la-gestion-de-la-poche-financiere-fusion-intragroupe-la-francaise-asset-management-et-credit-mutuel-asset-management-1/ La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS Epargne Immobilière (la « Société »), vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé le changement suivant : 

La modification du délégataire de la gestion de la poche financière, La Française Asset Management, consécutivement à sa fusion prévue le 1er mai 2024 avec une société de son groupe, Crédit Mutuel Asset Management, société anonyme au capital de 3 871 680 euros, dont le siège est situé à PARIS (75002) – 4, rue Gaillon, immatriculée sous le numéro 388 555 021 RCS PARIS.

Du fait de cette fusion, Crédit Mutuel Asset Management deviendra, à cette même date, le délégataire de la gestion de la poche financière de la Société. 

Ainsi, toute référence au délégataire de la gestion de la poche financière en tant que « La Française Asset Management » sera remplacée dans le Prospectus par « Crédit Mutuel Asset Management ». 

Nous vous précisions que cette fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place pour la Société. 

Dans la mesure où ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière constitue une mutation, La Française Real Estate Managers a obtenu l’accord du dépositaire et sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers sur ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière. 

La modification du Prospectus sera effective le 1er mai 2024, date effective de la réalisation de la fusion. 

De plus, cette délégation étant intragroupe, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais. 

Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.

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news-3758 Fri, 12 Apr 2024 09:57:13 +0200 Information aux actionnaires de la modification du Prospectus sur le délégataire de la gestion de la poche financière – Fusion intragroupe – La Française Asset Management et Crédit Mutuel Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-actionnaires-de-la-modification-du-prospectus-sur-le-delegataire-de-la-gestion-de-la-poche-financiere-fusion-intragroupe-la-francaise-asset-management-et-credit-mutuel-asset-management/ La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS Patrimoine (la « Société »), vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé le changement suivant :

La modification du délégataire de la gestion de la poche financière, La Française Asset Management, consécutivement à sa fusion prévue le 1er mai 2024 avec une société de son groupe, Crédit Mutuel Asset Management, société anonyme au capital de 3 871 680 euros, dont le siège est situé à PARIS (75002) – 4, rue Gaillon, immatriculée sous le numéro 388 555 021 RCS PARIS.

Du fait de cette fusion, Crédit Mutuel Asset Management deviendra, à cette même date, le délégataire de la gestion de la poche financière de la Société. 

Ainsi, toute référence au délégataire de la gestion de la poche financière en tant que « La Française Asset Management » sera remplacée dans le Prospectus par « Crédit Mutuel Asset Management ». 

Nous vous précisions que cette fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place pour la Société. 

Dans la mesure où ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière constitue une mutation, La Française Real Estate Managers a obtenu l’accord du dépositaire et sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers sur ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière. 

La modification du Prospectus sera effective le 1er mai 2024, date effective de la réalisation de la fusion. 

De plus, cette délégation étant intragroupe, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais. 

Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.

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news-3757 Wed, 10 Apr 2024 09:00:00 +0200 La santé, un enjeu mondial pluridisciplinaire, au cœur de l’engagement La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-sante-un-enjeu-mondial-pluridisciplinaire-au-coeur-de-lengagement-la-francaise/ De ses activités de gestion d’actifs à sa démarche philanthropique, La Française place la santé au cœur de son action. En s’engageant dans LIPH, La Française se mobilise pour faire évoluer les stratégies des acteurs économiques, accompagner les transitions sur les problématiques de santé publique tout en veillant aux intérêts des parties prenantes.

Entretien avec Yingwei LIN, analyste ESG, à l’occasion de la journée mondiale de la santé. 

En tant qu’acteur engagé au sein de l’initiative Long-term Investors in People's Health (LIPH), quelles sont vos convictions ? Pourquoi le thème de la santé est-il majeur pour La Française et pourquoi avoir choisi LIPH ?  

Yingwei LIN : Plusieurs raisons ont motivé notre engagement mais la raison principale et essentielle pour La Française est d’améliorer la santé publique et de créer les conditions d’un changement concret et significatif sur une problématique sociétale majeure.

En 2023, la thématique sociale a représenté 44% de nos engagements collectifs et individuels, en progression par rapport à 2022. Nous avons étendu notre champ d’actions dès 2022 sur la santé sous divers angles pour se saisir de problématiques plus larges que le seul capital humain.

Si le bien-être des citoyens est essentiel pour contribuer à la prospérité sociale et économique à long terme, il permet également de réduire les dépenses publiques et privées liées à la santé.

De plus, alors qu’il s’agit avant tout d’un droit fondamental pour tous, ce droit est menacé. La santé ne se limite pas qu’au bien-être physique, mental et social, mais va au-delà du seul défi de prévention des maladies ou d’accès équitable aux soins par exemple. Les déterminants sociaux1de santé notamment sont autant de facteurs qui peuvent avoir un impact significatif sur l'état de santé d'une personne.

Notre rôle est donc d’agir collectivement pour permettre des réponses efficaces et pérennes mais aussi de limiter le coût de l’inaction. Ainsi, par le biais du programme LIPH et de l'initiative Healthy Markets, nous collaborons avec ShareAction2et une coalition d’investisseurs représentant 5,8 mille milliards de dollars pour répondre à ces différents enjeux. Nous investiguons notamment 3 piliers de santé publique auprès des entreprises : 

  • Santé du personnel : promouvoir un environnement et des conditions de travail sains
  • Santé des consommateurs : favoriser une alimentation et des boissons plus saines et plus accessibles pour tous.  
  • La santé des communautés : limiter la pollution et les autres effets secondaires des activités des entreprises sur la santé humaine.

Par ailleurs, nous sommes engagés avec LIPH car le programme contribue à plusieurs Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment l’ODD 3.4 qui vise à lutter contre les maladies non transmissibles et l’ODD 2.2 qui vise à mettre fin à toutes formes de malnutrition.

Enfin, chaque 7 avril, date anniversaire de la création de l’OMS en 1948, un thème est défini pour mettre l'accent sur une problématique majeure de santé publique. Cette année, "Ma santé, mon droit"3  a été choisi pour souligner que bénéficier de conditions favorisant une bonne santé est un droit humain fondamental. Chacun a le droit d'avoir accès à des services de santé, ainsi qu'à de l'eau potable, de l'air pur, une bonne alimentation, des conditions de travail et un environnement décent. 

Ce thème 2024 « Ma santé, mon droit » reflète tout à fait notre engagement au sein de LIPH démontrant ainsi que nos actions visent à traiter les problèmes les plus concrets et urgents en termes de santé.

Comment agissez-vous au sein du programme LIPH ? Quelles sont vos missions ?  Vos actions ont-elles permis des avancées à ce jour ? 

Y.L. : La Française a rejoint le programme LIPH au troisième trimestre 2022, faisant partie du groupe de signataires les plus actifs.

Nous avons initié notre engagement sur le pilier « santé des consommateurs » pour traiter le sujet de la malnutrition en ciblant les fabricants alimentaires mondiaux, les détaillants britanniques et l’industrie alimentaire hors domiciles. L’urbanisation s’accompagne d’une augmentation sensible de la consommation d’aliments transformés et prêts à l’emploi, et de nombreux produits riches en calorie, trop sucrés ou trop salés, entraînant une hausse des taux de surpoids et d'obésité dans les zones urbaines, périurbaines et rurales4. En 2022, dans le monde, une personne sur huit était en situation d'obésité, et le surpoids affecte près de 43 % des adultes et près de 20% des enfants et adolescents5.  Ces deux facteurs constituent des risques majeurs pour de nombreuses maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète, cancers, troubles neurologiques, maladies respiratoires chroniques, troubles digestifs) causant environ 5 millions de décès en 2019.

Aux côtés d’une coalition d’investisseurs, nous avons donc cosigné des lettres adressées à 12 des plus grands fabricants alimentaires mondiaux6 . Notre ambition première est de parvenir à augmenter l’offre de produits « sains » sur le marché en demandant aux fabricants de fixer des objectifs pour accroitre la proportion des ventes de produits plus « sains » dans leur chiffre d’affaires global, et ce selon des normes reconnues qui définissent les aliments qualifiés de sains en matière de santé publique. Enfin, nous souhaitons que ce chiffre soit publié chaque année.

En 2023, nous avons mené plusieurs actions spécifiquement auprès de Nestlé en tant que leader mondial de l’industrie agroalimentaire. Lors de nos multiples entretiens, nous avons expliqué l’importance pour l’entreprise de s’engager dans une telle démarche pour devenir un modèle de son secteur en renforçant sa responsabilité sociétale et saisir les opportunités économiques qui en découlent. Grâce à un dialogue régulier, nous avons obtenu une première avancée positive de la part de Nestlé cependant insuffisante au regard de l’ambition portée par l’initiative. 

Par conséquent, nous avons poursuivi notre engagement en co-signant une lettre publique adressée à la présidente de Nestlé, couplée à des déclarations et citations par voie de presse et lancer une résolution actionnariale contre Nestlé qui sera soumise au vote lors de l'AGM 2024. Cette action collective a largement été relayée dans les médias7 pour que le plus grand nombre soit informé et décide d’agir à son échelle.

Quelles sont vos ambitions pour 2024 ?

Y.L. : Nous allons poursuivre nos engagements existants et réfléchissons à la manière de maximiser notre impact. Les dialogues que nous menons avec les entreprises et les collaborations que nous avons avec diverses organisations et investisseurs nous permettent de mieux appréhender concrètement ces défis, et d'identifier les bonnes pratiques de marché.

En tant qu’investisseur, nous sommes conscients de notre responsabilité à l’égard de nos clients, de nos collaborateurs, de nos autres parties prenantes et de la société civile. Nous continuerons donc d’agir de manière individuelle et collective pour surveiller, sensibiliser et encourager les entreprises dans lesquelles nous investissons pour qu’elles améliorent leur performance en matière de durabilité.  

Nous allons par ailleurs renforcer nos engagements en poursuivant nos travaux communs sur les trois piliers et plus particulièrement via des programmes sur la santé mentale des travailleurs et celle des communautés. 

Sur le pilier santé des consommateurs, comme mentionné précédemment, nous déposerons une résolution lors de l’Assemblée générale de Nestlé le 18 avril prochain avec un groupe de cinq investisseurs représentant 1 680 milliards de dollars sous gestion dont le plus grand gestionnaire d'actifs du Royaume-Uni, Legal and General Investment Management (LGIM), pour donner suite à nos actions 20238.

Nous accélèrerons également notre position envers Unilever à la suite de celle de Nestlé avec la même ambition. Nous avons d’ores et déjà mené une réunion en 2024 et sommes à ce jour dans l’attente d’une réponse d’Unilever ce mois-ci pour adapter notre stratégie d’actions. 

Enfin, nous resterons ouverts à de nouveaux engagements qui pourraient compléter notre thématique sociale et nous permettre de nous associer à d’autres investisseurs pour favoriser le partage d’idées et de bonnes pratiques.

Avertissement : Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.


1 Selon la définition de l'OMS, les déterminants de la santé sont les « facteurs personnels, sociaux, économiques et environnementaux qui déterminent l'état de santé des individus ou des populations » : revenu, éducation, emploi, contextes sociaux, politiques publiques par exemple.
ShareAction est une ONG d'investissement responsable qui s'efforce de définir les normes les plus élevées en matière d'investissement responsable. L'initiative "Long-term Investors in People's Health" (LIPH) de ShareAction soutient les investisseurs en les aidant à prendre en compte les problématiques de santé de la population - et les facteurs qui l'influencent - dans leurs décisions d'investissement, leurs votes et leurs pratiques d'engagement des entreprises. https://shareaction.org/about-us/who-we-are-2
3 Selon l’OMS, au moins 140 pays – l’ONU compte 195 pays dans le monde – reconnaissent la santé comme un droit fondamental de l’homme dans leur constitution. Pourtant 4,5 milliards de personnes, soit plus de la moitié de la population mondiale, n'étaient pas entièrement couvertes par des services de santé essentiels en 2021.
4 Urbanization and Obesity | Obesity Prevention Source | Harvard T.H. Chan School of Public Health
5 Health Obesity and overweight (who.int)
6 AG Barr, Britvic, Coca-Cola, Danone, General Mills, Kellogg’s, Kraft Heinz, Mondelez, Nestlé, PepsiCo, Premier Foods, Suntory Beverage & Food
7  Nestlé shareholders call on food giant to reduce reliance on unhealthy products I Financial Times Nestlé sous la pression de ses actionnaires pour limiter ses ventes de « malbouffe » I Les Echos Nestle Faces Investor Challenge Over Healthy Food Targets I Bloomberg https://www.independent.co.uk/business/shareholder-activists-call-on-nestle-to-tackle-reliance-on-unhealthy-food-sales-b2512322.html https://www.esginvestor.net/investors-call-out-nestle-on-unhealthy-products/ https://www.nutritioninsight.com/news/shareholders-challenge-nestle-to-lead-market-with-healthier-offerings.html https://www.nutritioninsight.com/news/shareholders-challenge-nestle-to-lead-market-with-healthier-offerings.html https://www.just-food.com/news/nestle-faces-shareholder-resolution-over-health-credentials/?cf-view
8 Shareholders file health resolution at Nestlé: https://shareaction.org/news/shareholders-file-health-resolution-at-nestl%C3%A9 Legal and General Investment Management (LGIM), Candriam, La Francaise Asset Management, Coöperatie VGZ et Guys and St Thomas' Foundation.

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news-3755 Wed, 20 Mar 2024 09:00:00 +0100 Quelles classes d’actifs seraient susceptibles de profiter de la baisse des taux&nbsp;? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marchenbsp-quelles-classes-dactifs-seraient-susceptibles-de-profiter-de-la-baisse-des-tauxnbsp-par-francois-rimeu/ Après le repricing des parties courtes de la courbe de taux intervenu depuis le début de l’année, les marchés se sont maintenant calés sur la communication des grandes banques centrales concernant le timing des premières baisses de taux ; celles-ci commenceront en juin. Cela étant, et même si tout concourt à faire du mois de juin un timing adéquat, ces prévisions n’ont rien de certain. Les banques centrales nous rappellent en effet que leurs décisions futures dépendront des données économiques et qu’elles ont encore besoin d’être rassurées sur le devenir de l’inflation en général et de l’inflation salariale en particulier. Pour la Banque centrale européenne (BCE), les données européennes seront donc primordiales, mais aussi les données américaines puisque la BCE semble réticente à l’idée de commencer un cycle de baisse de taux si la Réserve fédérale (Fed) ne le fait pas.

Ce manque de confiance de la part des banques centrales se retrouve dans la volatilité des taux, toujours très élevée même si en baisse, et aussi dans les anticipations des investisseurs. Le marché des options nous indique en effet que si juin est effectivement la date la plus probable pour commencer à baisser les taux, il existe malgré tout une dispersion d’opinion importante. (Market Probability Tracker Federal Reserve Bank of Atlanta (atlantafed.org)).

Il est par conséquent important pour certains types d’investisseurs, dont les sociétés de gestion, de voir le cycle de baisse des taux réellement commencer afin d’être rassurés quant aux orientations en matière d’investissement et d’allocation d’actifs futurs.

En ce qui concerne les marchés actions, nous avons la conviction que certains secteurs, ayant particulièrement souffert depuis le début de la hausse des taux en 2022, pourraient bénéficier de la baisse des taux à venir :

  • L’immobilier européen coté. Avec une chute de 37 % sur la période allant du 5 janvier 2022 au 19 mars 20241, alors que l’indice (Stoxx 600) progressait marginalement, le secteur de l’immobilier coté est sans doute celui qui a le plus souffert de la hausse des rendements obligataires. Le graphique ci-dessous illustre bien la dépendance du secteur aux mouvements des taux d’intérêt. Pour ce secteur, la question est à la fois d’être rassuré par un début de cycle de normalisation, mais aussi de voir les taux longs baisser. Le taux terminal est aujourd’hui autour de 2,60 % (5y5y swap euro rate2) en zone euro. Un retour entre 1,5 et 2 % (ce que nous considérons comme « neutre » en zone euro) sera nécessaire à moyen terme pour que ce secteur puisse surperformer le marché. Dans le cadre de notre gestion, nous jugeons cela probable même si les mouvements ne seront pas linéaires

  • Utilities : On observe là aussi une sous-performance notable depuis début 2022, avec une baisse de 10 % sur la même période que celle précédemment citée3 ; baisse logique pour un secteur à revenus fixes. Au-delà des perturbations liées à la guerre entre la Russie et l’Ukraine, ce secteur pourrait profiter de la baisse des taux à venir si cette dernière est la conséquence d’une baisse du risque inflationniste.

  • Le secteur « Food and beverage » a souffert de la hausse des taux, mais également des conséquences climatiques et de la guerre en Ukraine. La sous-performance est notable avec une chute de 18 % toujours sur la même période4. Au regard de la faible croissance du secteur et des dividendes historiquement élevés et stables, ce secteur profitera probablement d’une baisse des taux longs. Cependant, la hausse des taux n’est pas le seul facteur expliquant sa sous-performance (hausse du prix du gaz et donc des fertilisants par exemple). La baisse des taux d’octobre à décembre 2023 ne s’est par exemple pas soldée par un regain d’optimisme du secteur, bien au contraire.

  • Technologie et santé : ces secteurs n’ont pas souffert de la hausse des taux et pourraient paradoxalement en profiter quand même ! Souvent caractérisés de secteurs long duration, la technologie et la santé ont profité de la crise du Covid et du boom de l’intelligence artificielle pour attirer des investissements et voir leurs profits progresser. Les valorisations sont sans doute un peu plus élevées qu’ailleurs, mais nous ne voyons pas de raison pour que ces sociétés ne profitent pas elles aussi d’une future baisse des taux.

  • Concernant les marchés obligataires, tout dépendra des raisons pour lesquelles les taux baissent : s’ils chutent parce que l’inflation diminue, alors le monde obligataire dans son ensemble devrait profiter de la normalisation monétaire. Si en revanche les taux baissent parce que la conjoncture faiblit de manière notable, alors il est probable que nous assistions à un écartement des spreads (la différence de taux d'intérêt d'une obligation avec celui d'une obligation sans risque), ce qui sera évidemment négatif pour les obligations d’entreprise et a fortiori pour celles notées « High Yield ».

  • Enfin, il est probable que la normalisation monétaire soit aussi favorable aux matières premières par son impact positif sur la conjoncture. Cela sera encore plus vrai si le début de reprise économique, qui semble se mettre en place en zone euro, se révèle durable, ce que nous pensons.

Par François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM.

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news-3754 Tue, 02 Apr 2024 09:00:00 +0200 Un marché prêt à payer plus cher les actions&nbsp;? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marche-un-marche-pret-a-payer-plus-cher-les-actionsnbsp/ Les marchés actions ont le vent en poupe depuis le début de l’année avec des hausses significatives pour une très large majorité d’indices (Source : Bloomberg, au 26/03). Le CAC 40 est en hausse de 8,51 % et a franchi les 8 000 points pour la 1ère fois alors que l’Euro Stoxx 50 et le S&P 500 progressent respectivement de 12,38 % et de 9,47 %. Les marchés actions s’envolent

Plusieurs facteurs soutiennent ces progressions. La conjoncture économique tend à s’améliorer depuis quelques mois. Cette amélioration, déjà lancée depuis plusieurs trimestres aux États-Unis, est une bonne nouvelle pour les perspectives de croissance mondiale et donc pour l’évolution des bénéfices. L’évolution des prix semble elle aussi confirmer la désinflation en cours dans la plupart des pays du monde. L’inflation salariale en particulier montre des signes de déclin progressif. Cela constitue évidemment une bonne nouvelle pour les banques centrales qui peuvent maintenant envisager plus sereinement un début de cycle de baisse de taux à partir du mois de juin. Cette perspective d’assouplissement monétaire a elle aussi soutenu les cours des marchés actions.

Parallèlement à cela, la volatilité des marchés obligataires a beaucoup baissé au cours des dernières semaines. C’est le reflet d’une incertitude qui diminue et signe d’un possible regain d’intérêt pour les actifs financiers en général et les marchés actions en particulier.

Enfin, impossible de ne pas mentionner le boom de l’IA et la très forte concentration des performances en particulier sur les indices américains. Difficile de savoir aujourd’hui si les prévisions de croissance de ces sociétés sont crédibles ou non, mais cette thématique ne peut être ignorée aujourd’hui dans des allocations. Il est par conséquent important pour certains types d’investisseurs, dont les sociétés de gestion, de voir le cycle de baisse des taux réellement commencer afin d’être rassurés quant aux orientations en matière d’investissement et d’allocation d’actifs futurs.

La poursuite du mouvement désinflationniste

Les indicateurs avancés militent pour une poursuite de l’amélioration de la conjoncture et une poursuite du mouvement désinflationniste, tout du moins en zone euro. Si cela se confirme, cela pourrait permettre aux tendances en place depuis le début de l’année de se poursuivre, et ce même si la saisonnalité va devenir un peu moins favorable jusqu’en septembre.

La situation est un peu moins claire aux États-Unis qu’en zone euro en raison d’un risque inflationniste plus ancré, ce qui pourrait donner lieu à une communication moins accommodante de la part de la Réserve fédérale (Fed) au cours des prochains mois. La communication précédant le comité fédéral des marchés ouverts de la Réserve fédérale (FOMC) de juin sera particulièrement à surveiller.

Les élections américaines constitueront ensuite probablement l’évènement de la fin d’année avec sans doute une volatilité accrue. Les politiques budgétaires des deux candidats à l’élection présidentielle seront particulièrement attendues.

Convictions marchés actions

Dans le cadre d’une stratégie de diversification, nos allocations sont aujourd’hui orientées vers les actifs risqués et plus particulièrement vers les actions avec une légère préférence pour les actions européennes, très peu détenues par les investisseurs aujourd’hui et qui devraient, selon nous, profiter de l’amélioration conjoncturelle en cours. Certains secteurs, très touchés par la forte baisse de l’activité manufacturière, nous semblent à même de rebondir après des années de sous-performance, comme le secteur industriel par exemple ou encore de l’immobilier européen coté. De la même façon, cela pourrait aider les entreprises de taille moyenne à combler une partie du retard accumulée vis-à-vis des grandes entreprises, en particulier aux États-Unis. 

Par François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM.

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news-3751 Thu, 04 Apr 2024 15:16:04 +0200 La Française se mobilise aux côtés de la Fondation des Hôpitaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-se-mobilise-aux-cotes-de-la-fondation-des-hopitaux/ La Française mène une démarche de mécénat sociétalement responsable et transparente. Elle apporte ainsi son soutien à la Fondation des Hôpitaux pour la deuxième année consécutive avec un don de près de 24 000 €. Ce don viendra soutenir les programmes animés par la Fondation et ayant pour vocation à améliorer le quotidien des seniors. Groupe de gestion multi-spécialiste, La Française s’est engagé à reverser chaque année une partie de ses commissions de souscriptions perçues sur la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) à fonds de partage LF Avenir Santé à une association reconnue d’utilité publique. Ainsi, chaque nouvelle souscription de part de LF Avenir Santé permet au groupe de verser un don à la Fondation des Hôpitaux.

Jérôme Valade, Directeur du Pôle Immobilier de Santé de La Française REM a commenté : « Le vieillissement de la population, associé à une espérance de vie plus longue, est une tendance à long terme observée dans toute l'Europe. Avec elle, on doit s’attendre à une nouvelle demande pour des solutions de prise en charge adaptées. La Fondation est au coeur de cette évolution et oeuvre en faveur des nouveaux besoins. Nous sommes ravis de pouvoir apporter notre aide à la réalisation de leurs projets. »

Marion CINALLI, Directrice générale de la Fondation des Hôpitaux a conclu : « Grâce au programme « personnes âgées » de 2023, 322 nouveaux projets verront le jour pour améliorer le quotidien de ces personnes : accueil, confort, tiers lieux, mobilité douce, proximité urbaine, activités intergénérationnelles, dispositifs numériques, … Le vieillissement de la population est un défi auquel nous nous devons de répondre. Pour ce faire, la contribution de tous nos donateurs et mécènes, nous est indispensable. »
 

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news-3750 Fri, 22 Mar 2024 11:33:57 +0100 Journée mondiale de l'eau - Coopération et innovation dans le secteur de l'eau /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/22-mars-2024-journee-mondiale-de-leau-cooperation-et-innovation-dans-le-secteur-de-leau/ Par Deepshikha Singh, Deputy Head of La Française Sustainable Investment Research & Head of Stewardship, La Française AM Lors de la Conférence des Nations Unies sur l'eau en 1977, le premier Plan d'Action pour faire face à la crise de l'eau a été établi, reconnaissant que « tous les peuples, quels que soient leur stade de développement et leur situation économique et sociale, ont le droit d’avoir accès à une eau potable dont la quantité et la qualité soient égales à leurs besoins essentiels ».

Près de cinq décennies plus tard, nous sommes loin d’avoir satisfait ce droit fondamental de l'homme. Selon l'Institut universitaire des Nations Unies pour l'eau, l'environnement et la santé  (The Think Tank on Water), près de 72 % des personnes dans le monde vivent dans des pays qui font face à l’insécurité hydrique, environ 2 milliards de personnes n'ont pas accès à l'eau potable ou salubre et environ 3,6 milliards de personnes (soit 46 % de la population mondiale) ne disposent pas de services d'assainissement adéquats. Nombre de ces problèmes sont liés à une croissance démographique sans précédent dans de nombreux pays, mais également à une consommation d’eau plus intensive dans de nombreux secteurs, allant de la fabrication de vêtements aux récoltes agricoles en passant par la production de pièces et produits électroniques.

L'eau potable sur Terre est rare. En effet, bien que 70 % de la surface de la planète soit couverte d'eau, seulement 1 % est potable. En outre, l'eau n'est pas une ressource facilement renouvelable - la reconstitution des eaux souterraines peut prendre des décennies, voire des siècles. La disponibilité de l'eau est également compromise par des phénomènes météorologiques extrêmes, la pollution et l’obsolescence des infrastructures. La contamination de l'eau par les produits chimiques, les médicaments, le ruissellement agricole, les microplastiques et les « produits chimiques éternels » s’ajoutent à l'insécurité hydrique à travers le monde. Ces risques touchent non seulement la population et la société au sens large, mais également les entreprises dans lesquelles nous investissons. Le ralentissement du trafic maritime constaté dans le canal de Panama, du fait des sécheresses historiques et du niveau bas de l'eau, a fait grimper les coûts de nombreuses entreprises en 2023. La sécheresse est le troisième plus grand risque climatique en Inde et 59 % de ses entreprises ont été affectées . Les entreprises sont exposées d'une manière ou d'une autre aux risques naturels liés à l'eau, par le biais de leurs propres activités ou de leurs chaînes d'approvisionnement.

Le secteur de l'eau offre des avantages publics et privés. Toutefois, nombre de ces avantages ne peuvent pas être facilement monétisés, limitant ainsi les flux de revenus générés par les investissements. Le secteur de l'eau a besoin de financements considérables estimés entre 182 Mds $ et 664 Mds $ par an (2019). Ce déficit recouvre divers domaines tels que l'approvisionnement en eau et l'assainissement (116 Mds $ à 229 Mds $ par an), la protection contre les inondations (23 Mds $ à 335 Mds $ par an) et l'irrigation (43 $ à 100 Mds $ par an), ainsi que le financement de la mise en œuvre de la gestion des ressources en eau . Nos infrastructures existantes dans le domaine de l'eau ne sont plus adaptées car les investissements nécessaires ont été négligés pendant des décennies. Les entreprises du secteur utilities déclarent qu'un gallon (l’équivalent de 3,79 L) sur six est perdu entre la station de traitement et le client final (non-revenue water ou eau non génératrice de revenu). En l'absence d'investissements et d'une bonne gouvernance de l'eau, la concurrence entre les secteurs publics et privés risque de s'intensifier ainsi que des crises hydriques de toutes sortes, déclenchant des situations d'urgence dans divers secteurs tributaires de l'eau. Les obstacles réglementaires peuvent également limiter l'innovation et empêcher l'adoption de nouvelles technologies ou approches.

Néanmoins, l'espoir subsiste. La coopération et l'innovation sont essentielles entre les entreprises, les investisseurs, les collectivités et les pays. Le développement de modèles de financement durable peut être rendu possible grâce au soutien du secteur public. Pour une gestion durable des ressources en eau, outre la construction de nouvelles infrastructures, des investissements sont nécessaires pour maintenir, exploiter et renforcer la résistance des installations actuelles (en particulier les infrastructures vieillissantes). Par ailleurs, des incitations et une réglementation efficace peuvent réorienter les financements vers des investissements respectueux de l'environnement et positifs pour la nature. Nous avons besoin de financements publics et privés pour travailler main dans la main. Au Ghana, différents acteurs, dont le secteur privé, les ONG, les associations caritatives et des partenaires de développement, ont financé à hauteur de 28 % l'accès à l’eau potable, entre 2000 et 2020, permettant à 41 % de la population en 2020  d’accéder à l’eau. Au niveau mondial, il est également nécessaire d'améliorer le partage des données et l'interopérabilité de toutes les bases de données mondiales relatives aux Objectifs de Développement Durable. Sur le plan sectoriel, le « CEO Water Mandate » rassemble plus de 240 entreprises pour partager leurs bonnes pratiques et réaliser des partenariats afin de répondre aux défis urgents de l'eau liés à la pénurie, la qualité, la gouvernance et l'accès et l'assainissement de l’eau. 

Le secteur de l'eau se situe au carrefour du climat, de la nature et du social, créant des opportunités pour tous les investisseurs durables. Toutefois, jusqu'à présent, la plupart des investissements hydriques se sont concentrés sur les services d'approvisionnement en eau qui répondent aux demandes/besoins publics. Cependant, de nombreuses entreprises bien établies et de nouvelles start-ups travaillent désormais à résoudre les problèmes de sécurité hydrique en utilisant des technologies et des solutions innovantes. Selon certains analystes, le marché mondial de l'eau et des eaux usées est estimé entre 700 $ et 800 Mds $. Les FEO (Fabricants d'Equipements d’Origine) et les contrats EPC (Engineering, Procurement & Construction) représentent plus de la moitié du marché, tandis que les « enablers » (facilitateurs) couvrent le reste en fournissant des équipements classiques : pompes, valves et compteurs, services d'exploitation et de maintenance externalisés, traitement de l'eau, consommables… Les technologies d'observation de la Terre, telles que les satellites et les drones, offrent aux secteurs publics et privés une nouvelle opportunité d'améliorer la gestion des ressources en eau. Les pouvoirs publics peuvent également recourir à des méthodes novatrices en proposant, par exemple, des réductions d'impôts pour les investissements protégeant la nature ou leur conservation, ou en prévoyant des subventions pour les services permettant de préserver une infrastructure verte essentielle à l'eau, la rendant ainsi attractive pour le secteur privé. 

Le thème de la Journée World Water Day 2024 (WWD) est « Water for Peace » (L'eau pour la paix). En cette Journée mondiale de l'eau, les secteurs publics et privés doivent unir leurs efforts pour la préservation de l’eau et l’utiliser en faveur de la paix, en créant les fondations d’un avenir plus stable et plus prospère.

Ce commentaire est fourni à titre d'information et à des fins pédagogiques uniquement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, 326 817 467 R.C.S. Paris, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 ld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076, le 1er juillet 1997.

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news-3747 Tue, 19 Mar 2024 09:00:00 +0100 Quand la Fed commencera-t-elle à réduire ses taux d'intérêt ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quand-la-fed-commencera-t-elle-a-reduire-ses-taux-dinteret/ Le Federal Open Market Committee (FOMC) devrait, selon toute vraisemblance, maintenir les taux d'intérêt inchangés lors de la réunion de mars. Les responsables de la Fed mettront à jour leurs projections concernant les perspectives économiques américaines dans le "Summary of Economic Projections" (SEP) et les perspectives pour les taux d'intérêt ("dot plot"). Les projections de la Fed devraient prévoir une croissance plus élevée en 2024, mais pas de changement significatif dans les prévisions d'inflation annuelle sur l'horizon projeté. Dans ce contexte, le "dot plot" médian devrait rester à 75 points de base (pb) de réductions cette année.

Nos principales convictions : 

  • La fourchette cible du taux de référence de la Fed devrait rester inchangée entre 5,25 % et 5,50 %, la dernière hausse des taux d'intérêt ayant eu lieu en juillet 2023.
  • Le président de la Fed, Jerome Powell, devrait confirmer que les taux d'intérêt baisseront plus tard dans l'année, éventuellement au cours de l'été, si l'inflation continue de diminuer comme le prévoit la Fed. Jerome Powell soulignera vraisemblablement que le rythme des réductions dépendra des données.
  • La Réserve fédérale devrait poursuivre son programme de resserrement quantitatif comme prévu (à hauteur de 95 milliards de dollars par mois), car elle estime que l'excès de liquidités est encore satisfaisant dans l'ensemble. Le FOMC ne devrait pas indiquer quand la Réserve fédérale commencera à ralentir la diminution de son bilan. Conformément aux derniers commentaires de Christopher Waller, fonctionnaire influent de la Fed, Jerome Powell soulignera que la politique du bilan sera indépendante des décisions en matière de taux d'intérêt et d'une réinitialisation du bilan vers des bons du Trésor à plus court terme.
  • Les nouvelles projections économiques devraient évoluer comme suit : 
    • La croissance sera révisée à la hausse de manière significative en 2024, de 1,4 % à 2 %, mais les projections resteront inchangées en 2025 et 2026, à 1,8 % et 1,9 % respectivement.
    • Les projections relatives à l'inflation globale et à l'inflation de base des PCE (dépenses de consommation des ménages) resteront globalement inchangées de 2024 à 2026 par rapport aux projections de décembre 2023.
  • Les projections de taux d'intérêt médians à la fin de 2024, 2025 et 2026 devraient rester inchangées, mais à plus long terme, les opinions de certains membres du FOMC pourraient dépasser 2,5 %.

En résumé, la Fed devrait rester prudente. Les futurs changements d'orientation de la politique monétaire (calendrier et ampleur) devraient dépendre des données. La Fed attend son heure, surtout après les récentes données sur l'inflation plus élevées que prévu. Au cours de la conférence de presse Jerome Powell répétera probablement qu'il faut davantage de preuves pour confirmer que l'inflation ralentit pour revenir à l'objectif de 2 %. Comme lors de son rapport au Congrès, il pourrait faire référence à la bonne santé de l'économie et au fait que les baisses de taux d'intérêt ne sont peut-être plus très loin. Par conséquent, le FOMC de mars devrait pousser les taux d'intérêt américains légèrement à la baisse et les actions américaines à la hausse.

Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les performances passées ne sont pas indicatives des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société régulée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3745 Wed, 06 Mar 2024 10:00:00 +0100 Marché immobilier d’entreprise européen – vers un rebond de l’activité en 2024 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-europeen-vers-un-rebond-de-lactivite-en-2024/ En 2023, le resserrement des politiques monétaires des banques centrales, pour combattre l’inflation, avait provoqué une hausse brutale des taux financiers, qui, à son tour, a poussé à la hausse les taux de rendement de l’ensemble des classes d’actifs et notamment de l’immobilier. Cela a entrainé une période d’attentisme de la part des investisseurs, qui a eu pour conséquence une chute significative des volumes investis en immobilier d’entreprise, en Europe et en France, le temps que les prix s’ajustent. La suspension de la hausse des taux directeurs et la baisse des rendements obligataires intervenus fin 2023, permettent le retour d’une meilleure visibilité quant au prix, et devraient favoriser l’activité du marché de l’investissement en 2024 grâce à la reconstitution de la prime de risque immobilière.

En 2024, le marché de l’investissement pourrait être alimenté par des acteurs, souvent contraints de vendre en raison de nouvelles conditions de financement ou incapables d’injecter suffisamment de capitaux pour atteindre les derniers standards environnementaux et/ou techniques. Ces ventes constitueront autant d’opportunités pour les acquéreurs disposant de capitaux propres.

Les bureaux, immanquablement touchés par une stratégie de diversification accentuée

Suite à la hausse brutale des taux directeurs et à l’instabilité des conditions financières, les volumes d’investissement en immobilier d’entreprise en Europe ont baissé de 47 % sur un an pour atteindre 131 milliards d’euros. Le bureau, une classe d’actifs marquée par les changements d’usage structurels, a enregistré la baisse la plus importante. Dans une moindre mesure, le secteur de la logistique,pénalisé par une forte valorisation des actifs, a également subi l’attentisme des investisseurs.

La baisse des investissements n’a pas impacté toutefois toutes les classes d’actifs de manière homogène. En effet, les investisseurs ont accentué leurs stratégies de diversification. De ce fait, les actifs alternatifs totalisent 27 % des volumes investis en 2023 (en relative hausse par rapport à 2022).

En termes géographiques, le Royaume-Uni et l’Espagne ont mieux résisté, enregistrant des baisses autour de 35 %, tandis que l’Allemagne, les pays nordiques et le BeNeLux ont subi les baisses les plus fortes, soit entre 55 et 60 % sur un an. La France et l’Italie sont dans la moyenne européenne avec une baisse de l’ordre de 45 %. En règle générale et pénalisé par le resserrement des conditions de financement, le segment des grandes transactions a enregistré la chute la plus significative.

Des rendements de bureaux « prime » qui suivent la hausse des taux

Après une année de nette décompression des taux de rendement immobiliers, les valeurs pourraient avoir trouver leur point d’équilibre contribuant à l’amorce d’un regain d’activité sur les marchés immobiliers. Toutefois, le nombre de transactions, notamment les grandes transactions, ayant été rares, les taux de rendement restent difficiles à estimer. A fin 2023, les taux de rendement des bureaux prime s’échelonnent entre 4 % et 5,25 % dans les capitales européennes. L’Allemagne et le BeNeLux affichent les hausses de taux les plus marquées en 2023. La perspective d’une détente des conditions financières et d’une baisse de la volatilité augure un redressement progressif du marché de l’investissement, courant 2024. A noter que l’enjeu environnemental, au cœur des stratégies immobilières, commande des décotes brunes importantes pour les actifs les plus énergivores.

Un écartement des spreads entre la demande placée et l’offre

Tandis que l’offre de bureaux n’a cessé de s’accroitre en 2023, enregistrant une hausse de 14 % sur un an, le quatrième trimestre marque une stabilisation globale, et même une légère augmentation de la demande, dans les localisations centrales, à l’instar d’Amsterdam et Bruxelles.

Les marchés européens s’inscrivent sur des trajectoires divergentes, soulignant l’importance de la diversification géographique des portefeuilles immobiliers. L’offre augmente, sur un an, de plus de 50 % à Berlin, Munich et Dublin, et s’inscrit à la baisse à Bruxelles et Milan, ainsi que dans de nombreuses localisations centrales telles que le quartier central des affaires de Paris ou Madrid. L’offre future, contrainte par la hausse des coûts de construction et le resserrement des conditions de financement, devrait toutefois être limitée.

Taux de vacance : l’écart se creuse entre actifs prime et actifs secondaires 

Les attentes croissantes des utilisateurs, en matière de performance environnementale et de qualité de vie au travail, creusent l’écart entre les actifs prime et les actifs secondaires. Les loyers des actifs de dernière génération continuent à connaître des pressions à la hausse, atteignant +4,4 % en moyenne dans la zone euro sur 2023, alors que les loyers des actifs secondaires, notamment en périphérie, subissent des pressions baissières, renforcées par une hausse des mesures d’accompagnement. Si la vacance progresse globalement en Europe, elle augmente principalement en périphérie et reste majoritairement composée d’actifs secondaires, soulignant le problème d’inadéquation entre le parc de bureaux existants et les demandes des utilisateurs. Les localisations centrales continuent de souffrir d’un manque d’offre, notamment pour les bureaux neufs ou restructurés. C’est particulièrement le cas du quartier central des affaires de Munich, Paris et Amsterdam, qui affichent des taux de vacances bas de 0,7 %, 2,5 % et 3,1 % respectivement.

Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers.

Sources : CBRE, MBE, La Française REM Research

Les informations contenues dans ce document sont considérées comme exactes au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour de La Française Real Estate Managers. Elles n'ont pas de valeur contractuelle et peuvent différer des opinions d'autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris,France, 326 817 467 R.C.S. Paris et agréée par l’ACPR (« Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ») sous le n° 18673 en qualité d'entreprise d'investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers (399 922 699 R.C.S. Paris/128 Bld Raspail, 75006 Paris), a reçu l'agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l'agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org)

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news-3742 Fri, 08 Mar 2024 09:00:00 +0100 La diversité des genres en tant que moteur de croissance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-diversite-des-genres-en-tant-que-moteur-de-croissance/ Au lendemain de la pandémie Covid-19, les femmes du monde entier ont réintégré la population active plus rapidement que les hommes, témoignant d'une légère reprise de la parité entre les sexes. Malgré cette tendance encourageante, le Global Gender Gap Report de 20231 dresse un tableau préoccupant : bien qu’il y ait une amélioration du score mondial en termes de parité, la trajectoire actuelle suggère qu'il faudrait 131 ans pour combler entièrement l’écart. Malgré les avancées dans l’accès à l'éducation, l'entrée sur le marché du travail et les perspectives de carrière, le déclin observé à l'échelle mondiale des taux d'activité des femmes présente un risque tangible pour la croissance de la productivité globale. Des mesures urgentes sont indispensables pour remédier à cette disparité et stimuler la croissance future.

Les gouvernements jouent un rôle crucial dans la promotion de l'égalité des sexes sur le marché du travail ; les décideurs peuvent élaborer et mettre en œuvre des politiques et des règlementations pour favoriser l’accès des femmes sur le lieu de travail. Malgré les progrès réalisés, le défi reste important et nécessite des actions plus soutenues, surtout dans un contexte de croissance molle, où l’inflation peine à reculer. Des pays comme la Suède et l'Islande ont fait des avancées notables dans la promotion de l'égalité des sexes dans le monde professionnel. En Suède, des politiques telles que des congés parentaux généreux, les quotas de femmes dans les conseils d'administration des entreprises et la priorité accordée aux services de garde d'enfants abordables ont contribué à sa réputation de chef de file en matière d'égalité des sexes. De même, l'Islande est devenue le premier pays au monde à faire inscrire dans la loi en 2018 « à travail égal, salaire égal ». 

Pour les entreprises, il est essentiel de reconnaître le double rôle des femmes au sein de la population active et en dehors, assurant majoritairement la garde des enfants. En intégrant la diversité, en promouvant l'inclusivité et en capitalisant sur les compétences et les talents des femmes, les entreprises peuvent renforcer leur résilience et accroitre leur succès. La mise en œuvre de politiques favorisant l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, telles que des initiatives en faveur de la garde d'enfants et des possibilités de télétravail flexibles, permet aux femmes de participer pleinement à la vie active et de s'y épanouir. Selon le Forum économique mondial, le nombre croissant de femmes dans la population active rémunérée depuis 1970 a contribué à hauteur de 2.000 milliards de dollars à l’économie américaine2. L'intégration complète des femmes sur le marché du travail stimulerait considérablement la production économique, notamment en Europe, où l'écart d’emploi entre femmes et hommes est estimé à 370 milliards d’euros par an3.

En définitive, favoriser un environnement propice à l’épanouissement professionnel des femmes contribue au succès et à la pérennité globale des organisations dans l’environnement économique dynamique actuel. En effet, les entreprises avec une proportion plus élevée de femmes dans des postes de direction affichent généralement des rendements sur capitaux propres plus élevés, une croissance des bénéfices supérieure et de meilleures performances boursières4&5


1 Global Gender Gap Report 2023, Forum économique mondial, juin 2023

2 Gender pay inequality, Consequences for women, families and the Economy, Comité économique conjoint du Congrès américain, avril 2016, p.11

3 The gender employment gap : Challenges and solutions, EUROFUND, octobre 2016

4 Is gender diversity profitable ? Evidence from a global survey, Peterson Institute for International Economics, février 2016

5 Delivering growth through diversity in the workplace, McKinsey & Company, janvier 2018

Le présent commentaire est fourni à titre informatif et éducatif uniquement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, 326 817 467 R.C.S. Paris, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076 le 1er juillet 1997.

Par Claudia RAVAT, Analyste ESG, La Française AM

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news-3739 Fri, 01 Mar 2024 14:28:51 +0100 Perspectives de croissance pour l’Europe en 2024 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/perspectives-de-croissance-pour-leurope-en-2024/ Par Audrey Bismuth, Global Macro Researcher, La Française AM Le Japon, le Royaume-Uni et l'Allemagne font partie des pays développés du G7 qui sont entrés officiellement en récession technique à la fin de l’année 2023, avec deux trimestres consécutifs marqués par une contraction de l’activité. Les économies britannique et allemande se sont contractées de 0,3 % au quatrième trimestre 2023 par rapport au trimestre précédent et le Produit Intérieur Brut (PIB) du Japon a reculé de 0,1 %. Ces replis soulignent la fragilité de la reprise économique mondiale après la pandémie de COVID-19, l’invasion de l’Ukraine par la Russie et l’érosion du pouvoir d’achat qui persiste. 

Alors que l’activité américaine fait preuve d’une plus forte résilience grâce aux ménages qui ont puisé dans leur épargne accumulée depuis la pandémie et à la hausse des dépenses publiques, l’économie européenne est confrontée à la faiblesse de la confiance des ménages face à la hausse du coût de la vie et celle des entreprises avec l’augmentation des coûts de l’énergie, l’accélération des salaires nominaux et la faiblesse des gains de productivité dans un contexte de coût d’emprunt élevé lié à une politique monétaire très restrictive des banques centrales. Ces difficultés soulignent la nécessité de réponses politiques ciblées, adaptées aux spécificités de chaque économie.

La dynamique de croissance devrait s'accélérer cette année dans l'Union européenne (UE) et au Royaume-Uni, comme le suggèrent les projections officielles. Les prévisions économiques de la Commission européenne anticipent un taux de croissance de 0,9 % dans l'UE et de 0,8 % dans la zone euro, après 0,5 % dans les deux régions en 2023. Selon les perspectives de l'économie mondiale du Fonds monétaire international (FMI), la croissance britannique devrait également légèrement augmenter, passant de 0,5 % en 2023 à 0,6 % en 2024.

Cependant, plusieurs facteurs peuvent pénaliser la reprise de l’activité européenne et britannique en 2024. L'enquête trimestrielle ‘Economic Expectations Survey’ (EES), menée par l'institut IFO en coopération avec l'Institute for Swiss Economic Policy (IWP), révèle des inquiétudes concernant le risque de récession dans certains pays d'ici la fin de l'année notamment en Allemagne et au Royaume-Uni avec une probabilité de 38% à comparer à 26% pour les Etats-Unis. Des facteurs tels que les événements géopolitiques, les prix de l'énergie, l'instabilité politique et la dynamique des dépenses des consommateurs contribuent à renforcer la perception du risque de récession selon l’ESE. Ces incertitudes soulignent l'importance de mesures proactives des gouvernements (assainissement des finances publiques, réformes structurelles) et d’un calibrage prudent des politiques monétaires pour éviter de baisser les taux d’intérêt ni trop prématurément ni trop tard afin de minimiser les risques et d’assurer la résilience de l’économie en Europe.

L'optimisme de la reprise de l’activité en zone euro et au Royaume-Uni en 2024 repose sur trois piliers : le ralentissement graduel de l'inflation vers l’objectif, la croissance solide des salaires et un assouplissement graduel de la politique monétaire. Les indicateurs avancés tels que le ZEW et le Sentix montrent une amélioration, en particulier dans le secteur manufacturier, qui devraient se redresser après deux années de croissance atone. Cette résurgence du secteur manufacturier qui constitue un coup de fouet indispensable à l'emploi et à l’investissement des entreprises est de bon augure pour le commerce international mondial en dépit de fragmentation géoéconomique qui devrait persister.

L’inflation européenne et britannique devrait revenir graduellement vers l’objectif de 2% d’ici 2025. Le FMI anticipe une baisse de l'inflation globale et sous-jacente pour environ 80 % des économies mondiales en 2024. La Commission européenne prévoit une baisse de l'inflation IPCH  de 6,3 % à 3,0 % dans l'Union européenne et de 5,4 % à 2,7 % en zone euro. Au Royaume-Uni, la banque centrale anticipe un ralentissement de l’inflation à 2,6% en 2024 après 7,4% en 2023. Ces prévisions offrent des perspectives plus favorables pour la stabilité des prix, permettant aux banques centrales d'adopter des politiques monétaires moins restrictives pour soutenir la croissance économique. En effet, il est fort probable que la Banque centrale européenne (BCE) et la Banque d'Angleterre (BoE) commencent à réduire leurs taux d'intérêt à partir de juin 2024, ce qui se reflète déjà dans le léger assouplissement des conditions de crédit depuis le quatrième trimestre 2023. Ce tournant accommodant intervient après un resserrement agressif des politiques monétaires en réponse aux pics d'inflation. 

En conclusion, la croissance en zone euro et au Royaume-Uni devrait s'accélérer début 2024, grâce à la hausse du revenu disponible réel, à la croissance robuste des salaires et à la solidité du marché du travail. Les mesures de relance, telles que le programme Next Generation EU (outil temporaire sur une période de 2021 à 2026) et les baisses d'impôts au Royaume-Uni qui devraient être annoncées le 6 mars, contribueront également positivement à la croissance des deux régions. Du côté des politiques monétaires, la BCE et la BoE devraient adopter une approche prudente concernant le calibrage des politiques monétaires en raison du risque de persistance de l’inflation sous-jacente (hors éléments volatils, énergie et alimentation) et des risques géopolitiques. La priorité des banquiers centraux reste la maitrise de l’inflation à moins que des perturbations économiques majeures ne se produisent (détérioration de la macroéconomie, risque sur la stabilité financière).
 
Source : Bloomberg

Le présent commentaire est fourni à titre informatif et éducatif uniquement. La performance passée ne saurait garantir la performance future. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions de marché actuelles et peuvent changer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3736 Tue, 20 Feb 2024 15:41:52 +0100 L’INVESTISSEMENT TRANSFORMATIF – RESOUDRE LE RUBIK’S CUBE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linvestissement-transformatif-resoudre-le-rubiks-cube/ Deepshikha Singh, Deputy Head de La Française Sustainable Investment Research & Head of Stewardship, La Française AM Le concept de polycrise , popularisé par le Forum économique mondial (FEM) dans son Rapport de 2023  sur les risques mondiaux, fait référence à une situation où de multiples crises s’entremêlent - leurs causes et leurs processus étant inextricablement liés pour créer des effets combinés. Le rapport avertissait que le monde serait confronté au risque d’une polycrise émergente liée à des « pénuries de ressources naturelles telles que la nourriture, l’eau, les métaux et minéraux » d’ici 2030. Un an plus tard, les enjeux auxquels nous sommes confrontés semblent se complexifier.

Environ 10 % (783 millions de personnes) de la population mondiale était sous-alimentée en 2023  et le nombre de personnes vivant dans une extrême pauvreté a grimpé à près de 700 millions , une part importante vivant dans des zones touchées par un conflit. Des guerres à Gaza et en Ukraine aux hostilités au Moyen-Orient, les conflits et la violence ont entraîné des migrations de masse, une insécurité alimentaire et énergétique ainsi que des perturbations dans les échanges commerciaux qui ont eu des répercussions sur l’ensemble de la société. A Gaza, 2,2 millions d’habitants sont confrontés au risque de famine alors que la guerre se poursuit . Les risques géopolitiques ont également augmenté la probabilité de récession en Europe et aux États-Unis , tandis que les économies de plusieurs pays émergents comme le Liban, l’Argentine, le Sri Lanka et le Bangladesh ne tiennent plus qu’à un fil.  

A travers le monde, des urgences climatiques imprévues en 2023 – comme les pluies torrentielles en Asie du Sud-Est et les sécheresses en Afrique – ont coûté la vie à des milliers de personnes, causé des dommages aux infrastructures et à l’économie qui se chiffrent en milliards, et déplacé des populations vulnérables . Lors de la conclusion de la COP28, les Nations Unies (ONU) ont lancé un appel de fonds de 46,4 milliards de dollars pour 2024, afin d’apporter une aide à 181 millions de personnes dans le monde, souffrant de famine, de maladies ou contraintes à des déplacements massifs en raison de conflits, d’urgences climatiques ou d’effondrements économiques. Les trois « P » - personnes, planète, profit – sont tous menacés en cette ère de polycrise.

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news-3735 Tue, 20 Feb 2024 15:39:47 +0100 Objectifs de décarbonation fondés sur la science – vers des lignes directrices harmonisées pour les banques en 2024 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objectifs-de-decarbonation-fondes-sur-la-science-vers-des-lignes-directrices-harmonisees-pour-les-banques-en-2024/ Par Armand SATCHIAN, Analyste ESG, La Française AM En novembre 2023, un article publié par Reuters  annonçait que les engagements de plusieurs banques européennes à fixer des objectifs de décarbonation fondés sur la science avaient été retirés du site Internet de la Science-Based Target Initiative (SBTi) . Selon cet article, cette décision aurait été prise par les banques suite à la parution de plusieurs publications de la SBTi en juin 2023 . Toutefois, en l'absence d'une communication officielle des parties prenantes, la raison exacte de la suppression des noms des banques du site Internet reste floue.

Cet évènement met l'accent sur les difficultés rencontrées par le secteur bancaire à se mettre d'accord sur des lignes directrices harmonisées, afin d'aligner ses activités sur des trajectoires ambitieuses. Pourtant, année après année, le nombre de banques qui s'engagent à soutenir une économie « zéro émission nette » augmente. Par exemple, la Net Zero Banking Alliance (NZBA)  rassemble 141 membres en janvier 2024, alors qu’il n’y avait que 29 membres lors de son lancement il y a près de trois ans . Pour amener le secteur bancaire à passer de l’engagement à l’action, il est donc nécessaire de définir des lignes directrices qui lui permettront d’opérer sa transition, en fixant par exemple des objectifs ambitieux, fondés sur la science, couvrant la très grande majorité des émissions financées ou en élaborant des politiques d'exclusion adéquates.

Trop de cuisiniers gâtent-ils la sauce ?

Plusieurs initiatives fournissent déjà des axes d’amélioration aux banques afin de les accompagner dans la définition de leurs objectifs climatiques , telles que la norme « zéro émission nette pour les banques » du Groupe d'investisseurs institutionnels sur le changement climatique (IIGCC), les lignes directrices de la NZBA pour l'établissement d'objectifs climatiques pour les banques , le projet de norme « zéro émission nette » de la SBTi pour les institutions financières, ou encore le projet Assessing Low Carbon Transition (ACT) Finance . En tant que société de gestion d'actifs, nous reconnaissons les rôles distincts de ces initiatives. Néanmoins, leur manque d'harmonisation sur des sujets clés, tels que les critères définissant le concept d'objectifs fondés sur la science alignés avec une trajectoire « zéro émission nette », est préoccupant. 

Un exemple concret de ce décalage est le statut des critères relatifs au financement des énergies fossiles, qui sont explicitement mentionnés dans le projet de norme « zéro émission nette » de la SBTi, mais pas dans les lignes directrices de la NZBA. Cette dernière a été critiquée à la fois par des organisations externes et internes affirmant que leur approche du financement des énergies fossiles était trop laxiste, et des membres ont quitté l'initiative ou ont averti qu'ils partiraient en l'absence de règles plus strictes sur le sujet . 

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news-3728 Thu, 15 Feb 2024 07:00:00 +0100 Avis : La Française Rendement Global 2028 FR-LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-la-francaise-rendement-global-2028-fr-lu/ Madame, Monsieur, 

Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 : 

  • Modification de la maturité des titres

Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit : 
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »

  • Modification de la période de commercialisation

Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.

Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3727 Thu, 15 Feb 2024 07:00:00 +0100 Avis : La Française Rendement Global 2028 BE-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-la-francaise-rendement-global-2028-be-fr/ Madame, Monsieur, 

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  • Modification de la maturité des titres

Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit : 
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »

  • Modification de la période de commercialisation

Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.

Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

Les prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique.
Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

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news-3722 Thu, 15 Feb 2024 08:00:00 +0100 Avis : La Française Rendement Global 2028 Plus FR-LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-la-francaise-rendement-global-2028-plus-fr-lu/ Madame, Monsieur, 

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news-3721 Thu, 15 Feb 2024 08:00:00 +0100 Avis : La Française Rendement Global 2028 Plus BE-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-la-francaise-rendement-global-2028-plus-be-fr/ Madame, Monsieur, 

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Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

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news-3714 Thu, 15 Feb 2024 11:00:00 +0100 Avis : La Française Crédit Innovation BE-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-la-francaise-credit-innovation-be-fr/ Madame, Monsieur, 

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news-3713 Thu, 15 Feb 2024 11:00:00 +0100 Avis : La Française Crédit Innovation LU-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-la-francaise-credit-innovation-lu-fr/ Madame, Monsieur, 

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La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.

De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.

Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

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news-3709 Thu, 15 Feb 2024 09:00:00 +0100 Avis : Patrimoine Rendement Global /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-patrimoine-rendement-global/ Madame, Monsieur, 

Vous détenez des parts du Fonds, nourricier du compartiment La Française Rendement Global 2028 de la SICAV La Française (ci-après « Compartiment »), et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Fonds qui seront effectives le 21 février 2024 : 

  • Modification de la maturité des titres

Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit : 
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »

  • Modification de la période de commercialisation

Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des porteurs du Fonds de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des porteurs.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.

Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3708 Mon, 12 Feb 2024 09:00:00 +0100 La Française lance "Beyond", notre nouvelle série de podcast ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-beyond-notre-nouvelle-serie-de-podcast/ La Française lance "Beyond", notre nouvelle série de podcast ! 

  • Vous souhaitez découvrir en détails qui est le gérant ? Quel est son parcours ? Alors ne manquez pas le podcast Beyond ! 
  • Dans chaque épisode, nous ferons connaissance avec les divers talents qui composent notre groupe, en découvrant leurs histoires. 
  • Aujourd’hui, nous recevons Jérémie Boudinet, Responsable Crédit Investment Grade, pour qu’il nous présente son parcours, ses rêves et son quotidien. 
  • Stay tuned, d’autres épisodes arrivent ! 
  • Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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news-3707 Thu, 08 Feb 2024 14:21:52 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Multistratégies Obligataires » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-multistrategies-obligataires-1/ suite à la modification du prospectus de son fonds maître le compartiment « La Française LUX - Multistrategies Obligataires » de la SICAV « La Française Lux » Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement (FCP) La Française Multistratégies Obligataires (ci-après « le Fonds ») ; Fonds nourricier du compartiment La Française Lux Multistrategies Obligataires de la SICAV La Française Lux (ci-après « le Fonds maître ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds et du Fonds maître, a pris la décision de permettre au Fonds maître d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.

Cette modification qui sera effective le 15 février 2024 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés. Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence.

Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

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news-3706 Thu, 08 Feb 2024 14:16:40 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement d’Entreprise « CMNE Participation Obli Flex Monde » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-dentreprise-cmne-participation-obli-flex-monde-1/ suite à la modification du prospectus de son fonds maître le compartiment « La Française LUX - Multistrategies Obligataires » de la SICAV « La Française Lux » Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur des parts du Fonds Commun de Placement d’Entreprise (FCPE) CMNE Participation Obli Flex Monde (ci-après « le Fonds ») ; Fonds nourricier du compartiment La Française Lux Multistrategies Obligataires de la SICAV La Française Lux (ci-après « le Fonds maître ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds et du Fonds maître, a pris la décision de permettre au Fonds maître d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. Cette modification qui sera effective le 15 février 2024 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés. Le règlement et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence.

Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

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news-3704 Mon, 05 Feb 2024 09:00:00 +0100 La directive CSRD, le début d'une nouvelle ère dans la publication d'informations en matière de durabilité, par Yingwei LIN, Analyste ESG, La Française AM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-directive-csrd-le-debut-dune-nouvelle-ere-dans-la-publication-dinformations-en-matiere-de-durabilite-par-yingwei-lin-analyste-esg-la-francaise-am/ Les activités des entreprises peuvent contribuer à une croissance économique durable tout en portant atteinte aux ressources dont dépend leur prospérité à long terme. De plus en plus, les juridictions encouragent et imposent des règles standardisées en matière de publication d'informations afin de s'assurer que les entreprises prennent en compte les externalités positives et négatives de leurs activités commerciales. Cependant, en matière de reporting, toutes les entreprises ne sont pas sur un pied d’égalité. Peu d'entreprises contrôlent et divulguent les risques et les opportunités associés, et encore moins évaluent correctement les externalités qui en découlent.

Dans le cadre du Pacte vert pour l’Europe, adopté en 2020, l'Union européenne (UE) ambitionne d’orienter les flux de capitaux vers des entreprises durables et à débloquer les investissements nécessaires pour atteindre son objectif de neutralité climatique d’ici 2050 . Consciente que la directive sur la publication d'informations non financières ne fournissait pas de données comparables, la Commission européenne (CE) a proposé la directive sur la publication d'informations en matière de durabilité par les entreprises (directive CSRD) en avril 2021. L'objectif de la directive CSRD est d'améliorer les normes et la comparabilité des informations ESG en élargissant à la fois le champ d'application et la quantité des informations requises. Elle adopte également une approche plus normative en précisant les informations qu'une entreprise doit publier et la manière dont elles doivent l'être. Toutes les entreprises soumises à la directive CSRD doivent publier leurs informations de durabilité en utilisant les normes européennes d'information en matière de durabilité (normes ESRS), élaborées par le Groupe consultatif européen sur l'information financière (EFRAG). Plus de 50 000 entreprises doivent publier des informations au titre des normes ESRS entre 2024 et 2028, y compris les entreprises hors UE ayant une présence significative dans l'UE.

Caractéristiques des normes ESRS : 

La version finale des normes ESRS est centrée sur la matérialité, ce qui permet aux entreprises la possibilité de définir les thèmes pertinents à leurs activités. La directive CSRD est la première règlementation à exiger des entreprises des évaluations de double matérialité. Selon le principe de double matérialité, on attend des entreprises qu’elles rendent compte, sur l'ensemble de leur chaîne de valeur, de l’impact des enjeux de durabilité sur leurs activités et de l’impact de leurs activités sur l'environnement et les parties prenantes. Une assurance limitée est requise pour les informations de durabilité publiées. Toutefois, la Commission européenne envisage d'étendre cette disposition à l'assurance raisonnable afin de garantir une information plus fiable, comme pour les comptes annuels.

Des règles sous pression dans l'UE et au-delà

Des retards supplémentaires dans la finalisation de la directive CSRD sont attendus en raison du lobbying et d’interférences politiques. En 2022, quatre associations, dont la Chambre de commerce américaine auprès de l'UE, ont rédigé une lettre ouverte appelant à une plus grande harmonisation entre les normes ESRS et les normes internationales d'information financière portant sur la durabilité (normes IFRS SDS), et à donner aux entreprises hors UE la possibilité d'utiliser d'autres normes nationales/internationales dans le cadre de la directive CSRD . Les normes IFRS SDS sont élaborées par l'International Sustainability Standards Board (ISSB) et sont également connues sous le nom de normes ISSB. 

Selon la CE, l'EFRAG et l'ISSB ont travaillé conjointement pour améliorer la compatibilité de leurs normes de divulgation d'information. Cependant, il subsiste encore des différences importantes entre les deux. La principale est celle de la matérialité - les normes de l'ISSB sont conçues pour les investisseurs et se concentrent principalement sur la matérialité financière, tandis que les normes ESRS s'adressent à toutes les parties prenantes importantes et se concentrent sur des sujets plus larges, tels que la société, la main-d'œuvre et l'environnement. Le président de l'ISSB a fait part de l'intention du conseil de ne pas adopter le principe de la double matérialité.  Cette fracture structurelle rend la mise en œuvre plus large de la directive CSRD encore plus difficile. Même si les normes ISSB représentent pour les entreprises une charge de travail moindre en matière de publication d'informations et ont suscité l'engagement d'environ 60 juridictions, nous pensons que la double matérialité est plus significative pour les entreprises et les investisseurs lorsqu'il s'agit de traiter des sujets liés à la durabilité. En novembre 2023, la CE a annoncé un retard de deux ans (jusqu'en 2026) pour l'adoption des exigences pour les entreprises hors UE. Pour les entreprises qui choisissent de reporter selon les normes de l’ISSB dès maintenant, il y aura une réticence à passer aux normes ESRS à l’avenir. 

Il existe également le risque d’une intervention politique qui pourrait entraver la mise en œuvre de la directive CSRD. En octobre 2023, 42 % des membres du Parlement européen ont voté en faveur d'une résolution visant à bloquer l'adoption des normes ESRS  et ont appelé à la limiter, affirmant une charge et une complexité trop importantes pour les entreprises de l'UE , pouvant affecter leur compétitivité. L'élection du Parlement européen est prévue pour 2024 et son résultat aura une incidence sur l'écosystème réglementaire. Les résultats de la consultation en cours du règlement SFDR pourraient également modifier de manière substantielle les règles de la directive CSRD, étant donné que les deux réglementations font partie du Pacte vert pour l’Europe.

Normes en constante évolution, besoin de visibilité pour les entreprises

Il y a beaucoup d'incertitude pour les entreprises, car les règles sont encore en cours d'élaboration. En octobre 2023, la CE a relevé de 25 % le seuil de taille des grandes entreprises et des petites et moyennes entreprises (PME) soumises à la directive CSRD . Les responsables européens ont déclaré que cette mesure avait été prise pour garantir la compétitivité des entreprises de l'UE . D'autres modifications sont encore à venir. En outre, le calendrier de mise en œuvre de la directive CSRD est échelonné. Comme le montre la Figure 1, la mise en œuvre est progressive en fonction de la taille de l'entreprise. Les entreprises déjà soumises à la directive NFRD doivent rendre compte de l'ensemble de leur chaîne de valeur à partir de 2024. Toutefois, les petites entreprises ou les entreprises hors UE ayant une présence significative dans l'UE auront plus de temps pour adopter les normes ESRS.

Initialement [...]

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news-3700 Thu, 01 Feb 2024 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert une unité de soins primaires à Cherrywood, une banlieue émergente à usage mixte de Dublin, Irlande /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-une-unite-de-soins-primaires-a-cherrywood-une-banlieue-emergente-a-usage-mixte-de-dublin-irlande/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE, a finalisé l'acquisition « off-market », auprès de Spear Street Capital, d'une unité de soins primaires à Cherrywood, le plus grand programme de développement urbain d'Irlande, situé dans Dublin Sud. La propriété est située dans The Campus, un parc d'affaires dédié dans la zone de développement stratégique de Cherrywood. Cherrywood est un quartier de Dublin en plein développement et bénéficiant de vastes espaces extérieurs (60 hectares de parc public) Le projet est idéalement relié à la ville de Dublin par l'autoroute M50 et la LUAS Green Line (réseau de tramway). Le plan directeur de la zone est conçu pour accueillir jusqu'à 25 000 résidents.

L'ancien immeuble de bureaux a été rénové en 2023 aux derniers standards et transformé en établissement de soins primaires de trois étages (rez-de-chaussée et deux niveaux supérieurs). Les travaux de rénovation comprennent l'installation d'un nouveau système de climatisation, l’éclairage LED, des ascenseurs modernisés et un nouveau hall d'entrée. Le bâtiment, qui développera une surface de 2 356 m2, offrira une gamme d'espaces lumineux de traitement médical. L'immeuble propose des solutions de mobilité douce en mettant à disposition de nombreux gare-vélos et dix bornes de recharge pour véhicules électriques. À l'arrière du bâtiment se trouvent un lac et une zone sauvage qui profiteront à tous les occupants de la propriété. À l'achèvement des travaux, la propriété cible un certificat d'évaluation énergétique des bâtiments (Building Energy Rating Certificate) B1.

Le bâtiment est entièrement loué à Laya Healthcare Limited dans le cadre d'un bail de 25 ans. Laya Healthcare est le deuxième plus grand fournisseur d'assurance maladie en Irlande et gère plusieurs cliniques de soins primaires (sans rendez-vous) réparties dans toute l'Irlande. L'aménagement de Laya Healthcare comprendra un ensemble de salles de traitement, de petites salles d’intervention, des locaux de consultation, d'IRM, ainsi que des zones administratives et de repos pour le personnel. 

Jérôme VALADE, Directeur du Pôle Immobilier de Santé de La Française REM a conclu : : « Loué à un fournisseur de soins de santé privé de premier plan dans le cadre d'un bail à long terme et situé dans une zone émergente à la population croissante, cet établissement de soins primaires avec de bonnes références ESG complète parfaitement notre portefeuille européen d’actifs de santé. »

Cette acquisition, dont le volume de transaction s'élève à un peu moins de 13 millions de livres sterling, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE. 

La Française REM a été conseillée par Knight Frank, Matheson pour les aspects juridiques et Hollis pour les aspects techniques et environnementaux.

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LF Avenir Santé est labellisée ISR.
 

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news-3699 Wed, 31 Jan 2024 09:53:21 +0100 Evaluation PRI 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evaluation-pri-2023/ La Française atteint au moins 90% du score maximal dans ses spécialités de gestion confirmant son positionnement d’investisseur durable de référence. Ces excellents scores confortent la démarche d’investisseur durable de la Française initiée en 2008 et mettent en exergue la progression de La Française dans le déploiement de sa stratégie ESG. 

Avec des résultats proches ou supérieurs à 90%, La Française démontre sa capacité à intégrer les critères ESG dans ses processus de gestion au sein de ses différentes classes d’actifs ainsi que sa détermination à agir au travers de sa politique d’engagement. 

En l’espace de deux ans, La Française enregistre une amélioration de plus de 10 points pour atteindre près de 90% du score maximal dans les classes d’actifs immobiliers et près de 95% du score maximal pour les produits de taux corporate. La gestion active fondamentale des produits actions quant à elle demeure globalement stable à 86% du score maximum. 

Enfin notons que les modules dédiés à la gouvernance et la stratégie, et aux mesures de certifications des données reçoivent chacun le score maximum de 5 étoiles.

Pour Laurent Jacquier Laforge, Responsable de l’investissement durable de Groupe La Française :

« Ces résultats sont un clair satisfecit qui nous encourage à poursuivre nos actions pour figurer parmi les acteurs actifs et influents et à rendre compte de nos impacts auprès de nos parties prenantes. Le rapprochement avec Crédit Mutuel Alliance Fédérale pour la constitution d’un pôle de gestions d’actifs nous offre l’opportunité de déployer une stratégie ESG à une couverture plus large en termes de taille d’actifs gérés et de diversité de classes d’actifs couvertes. »

Laurent JACQUIER-LAFORGE, Global Head of Sustainable Investing Groupe La Française

Le groupe La Française a signé les « Principles for Responsible Investment » (PRI)1  dès octobre 2010 pour renforcer son engagement en matière de finance durable et soutenir l’adoption des critères ESG dans l’investissement. Cette démarche souligne l’importance que la société de gestion accorde à une croissance à long terme et durable, au partage de la création de valeur, et à un meilleur niveau de transparence.

Elle s’engage ainsi à respecter les 6 principes établis par les Nations Unis en matière de gestion d’actifs : 

  • Intégrer les questions ESG dans son processus d’analyse et de décisions en matière d'investissement.
  • Intégrer les questions ESG dans ses politiques et ses pratiques d'actionnaires.
  • Chercher à obtenir une information appropriée sur les questions ESG de la part des entités dans lesquelles La Française investit. 
  • Favoriser l'acceptation et l'application des PRI auprès des gestionnaires d'actifs.
  • Travailler en partenariat avec les acteurs financiers qui se sont engagés à respecter les PRI pour améliorer leur efficacité.
  • Rendre compte des activités et des progrès accomplis dans la mise en œuvre des PRI.

Retrouvez nos rapports d’évaluation et de transparence dans notre page dédiée aux publications sur notre site internet.

Les Principes pour l'Investissement Responsable (PRI) ont été lancés par les Nations Unies en 2006. Les PRI sont une initiative créée en partenariat avec l’UNEPFI (United Nations Environment Programme Finance Initiative) et le Pacte mondial des Nations unies.

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news-3697 Tue, 30 Jan 2024 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers négocie le renouvellement et l'extension du bail du locataire historique de Crystal Park à Neuilly-sur-Seine (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-negocie-le-renouvellement-et-lextension-du-bail-du-locataire-historique-de-crystal-park-a-neuilly-sur-seine-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a le plaisir d'annoncer la signature d'un bail de douze ans avec PwC, locataire historique depuis 2004 de Crystal Park, un immeuble de bureaux de 43 300 m2 situé au 61-63 rue de Neuilly à Neuilly-sur-Seine (92), une localisation de premier plan à proximité immédiate du Quartier Central des Affaires de Paris (QCA) et de La Défense. L’asset manager a négocié avec succès un renouvellement et une extension du bail de 1 500 m2 (avec effet en mars 2024), un accord qui permet au géant multinational des services professionnels de poursuivre son développement dans les locaux de son siège social jusqu'en 2035. Crystal Park est ainsi loué à 100 % à trois locataires, dont PwC qui occupera 66 % du bâtiment, soit 26 700 m2.

Crystal Park a été acquis en 2019 par La Française Real Estate Managers, agissant pour le compte d’investisseurs institutionnels sud-coréens regroupés au sein d’un fonds géré par Mastern IM. Situé dans un environnement d'affaires dynamique, le bâtiment offre plus de 43 300 m2 d'espace de bureaux et un parc paysager de deux hectares. Cet actif, qui constitue l'un des sites emblématiques de Neuilly-sur-Seine, a été achevé en 1959 en tant que siège d'une multinationale française et a été rénové en profondeur en 2000 et 2018 par le cabinet d'architectes de renom Valode & Pistre. La propriété développe une offre de services complète incluant un restaurant de deux étages réservé au personnel du site, un auditorium, des services de conciergerie, un centre de conférence et d'affaires, un centre de remise en forme, etc. Il est unique en son genre car il offre un campus de grande qualité à proximité du centre-ville et des quartiers résidentiels recherchés de l'ouest parisien. Crystal Park dispose de solides références ESG (Environnementales, Sociales et de Gouvernance) avec une certification BREEAM Excellent et le Label EcoJardin pour son parc classé, témoignant de l'entretien écologique des espaces verts environnants.

David RENDALL, Managing Director, Institutional & International Divisions de La Française REM a déclaré : « Nous sommes heureux d'être en mesure de répondre au développement de notre locataire et nous souhaitons remercier PwC pour sa confiance renouvelée. Crystal Park est un actif unique, qui offre un environnement de travail exceptionnel à ses occupants et constitue un argument pour attirer les talents dans les entreprises locataires. »

Philippe DEPOUX, Président de La Française REM a déclaré : « Cette opération illustre une fois de plus le niveau de satisfaction de nos locataires à l'égard de nos capacités de gestion d'actifs et de la qualité de notre portefeuille immobilier. Je tiens à féliciter personnellement notre équipe de gestion d’actifs, Xavier BARREYAT, Cédrick BECKER et Claudia REN pour la gestion du Crystal Park. »   

Pour cette opération, La Française Real Estate Managers a été conseillée par Ashurst.

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news-3693 Mon, 29 Jan 2024 09:00:00 +0100 TICKERS ET THERMOMÈTRES : Décoder les complexités de l'alignement de température des portefeuilles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tickers-et-thermometres-decoder-les-complexites-de-lalignement-de-temperature-des-portefeuilles/ Avec la publication en mars dernier du dernier volet du sixième rapport d’évaluation (AR6) du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), 2023 a marqué un tournant dans l'histoire du changement climatique mondial. À travers ses près de 10 000 pages, la plus haute autorité scientifique en matière de changement climatique a mis en lumière la réalité pressante selon laquelle le réchauffement climatique a désormais plus d’une chance sur deux d’atteindre 1,5°C à court à moyen terme. Le dernier volet a alimenté le rapport du Bilan mondial de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) , qui souligne que la trajectoire de 1,5°C nécessite désormais une baisse des émissions mondiales de 43 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2019 et de 60 % d'ici 2035. Dans le sillage de ces deux rapports historiques, le rôle des institutions financières n’a jamais été aussi crucial, et le secteur financier s’est retrouvé davantage placé au centre de l’action. L’influence du secteur financier sur l’allocation mondiale des capitaux lui offre une opportunité unique de conduire la transition vers une économie durable à faibles émissions de carbone. Parallèlement à des réglementations mondiales de plus en plus strictes, ceci conduit un nombre croissant d’institutions à s’engager à s’aligner sur l’Accord de Paris.

Cependant, le chemin vers le « Zéro émissions nettes » est complexe. Alors que la fenêtre d’opportunité pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5°C se rétrécit, les investisseurs se tournent vers l’un des outils les plus essentiels de leur boîte à outils de stratégie climatique : l’évaluation de la température des portefeuilles. Cette approche est plus qu'un simple symbole de l'impact environnemental d'un portefeuille ; c'est un reflet tangible du degré potentiel de réchauffement climatique que pourraient provoquer les émissions des investissements sous-jacents.

La « température » du portefeuille fournit aux investisseurs des informations cruciales sur plusieurs fronts. Premièrement, elle offre un moyen de suivre et de mesurer les progrès vers les objectifs de décarbonation. Des évaluations régulières de la température peuvent servir d'indicateur de suivi des performances, permettant aux investisseurs de déterminer si un portefeuille est sur la bonne voie pour atteindre le « Zéro émissions nettes ». Deuxièmement, les évaluations aident à identifier et à atténuer les risques financiers liés au climat. Un portefeuille axé sur des actifs à fortes émissions n’est pas seulement préjudiciable à l’environnement, mais il pourrait également être confronté à des risques financiers importants – réglementaires, de marché, de réputation et de litiges – dans un monde en transition vers des alternatives à plus faibles émissions de carbone. Enfin, une évaluation rigoureuse de la température peut améliorer la responsabilisation et la transparence, répondant à la demande croissante des parties prenantes de divulgation d’informations exhaustives sur l’approche climatique et les investissements éthiques. 

Cependant, déterminer la température d’un portefeuille n’est pas une mince affaire. L’absence d’une approche universellement approuvée implique d’explorer une panoplie complexe de méthodologies, chacune avec ses forces, ses limites et ses biais intrinsèques. Qu'il s'agisse du « Climate Disclosure Project (CDP) - World Wildlife Fund (WWF) Temperature Rating », de la méthodologie « Trucost Portfolio 2°C Alignment Assessment » de S&P, de « The Paris Agreement Capital Transition Assessment » (PACTA), du modèle « Implied Temperature Rise » (ITR) de MSCI ou de la méthodologie « Carbon Impact Analytics » (CIA) de Carbon4, les investisseurs sont confrontés à un large éventail d'outils pour guider leur parcours de transition.

Mais comment comparer ces méthodologies ? Quels sont leurs mérites relatifs et potentiels inconvénients ? Comment gérer les incertitudes qui en découlent ? Et, en tant qu’investisseur, quelles conclusions tirer de l’hétérogénéité des résultats quant à la contribution estimée d’un même portefeuille à un avenir bas carbone ?

Comprendre l’éventail des méthodologies est une première étape nécessaire. Le choix de la méthodologie façonnera évidemment les stratégies climatiques des investisseurs, influençant ainsi les décisions de désinvestissement, les allocations de capital, l’engagement des actionnaires et la prise de position dans l’élaboration des règlementations. Dans un monde confronté à des défis environnementaux sans précédent, ces décisions pourraient faire la différence entre un avenir caractérisé par un changement climatique incontrôlable et le fameux monde « Zéro émissions nettes ». 

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news-3690 Tue, 23 Jan 2024 09:59:41 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un coliving pour seniors à Chaville (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-coliving-pour-seniors-a-chaville-92/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE, a acquis off-market une résidence de coliving pour seniors, sise 9 avenue Sainte-Marie à Chaville (92) et exploitée par Chez Jeannette, en vertu d’un bail de 12 ans fermes. L'actif est situé dans la banlieue Ouest de Paris à Chaville, accessible à pied depuis les gares de Chaville Vélizy (RER C), Chaville Rive Droite (transiliens L, U) et Chaville Rive Gauche (transilien N). Chaville est traversée par la route départementale 910 qui relie Paris à Versailles et qui constitue la principale rue commerçante, située à 7 minutes à pied du 9 avenue Sainte-Marie.

L’acquisition porte sur un hôtel particulier du XIXième siècle, ancienne demeure du peintre Dunoyer de Segonzac. La villa, entourée d’espaces verts, offre une surface de 310 m² répartis sur 4 niveaux (SS, R+2), et sera transformée en habitat partagé pour seniors avec services (maître de maison dédié à la colocation et auxiliaires de vie), qui pourra accueillir 8 résidents (8 chambres dotées chacune d’une salle de bain).

Les travaux de transformation en coliving, intégrant la mise en place d’un ascenseur et des investissements pour atteindre une très bonne performance énergétique, sont financés par LF Avenir Santé dans le cadre de l’acquisition.

Le concept de Chez Jeannette s’inscrit pleinement parmi les nouveaux usages de prise en charge des personnes âgées, en proposant une alternative aux solutions existantes d’accompagnement des seniors en perte d’autonomie et en développant le modèle d’habitat partagé et accompagné.

L'objectif de Chez Jeannette est de fournir un service d’accompagnement, de créer du lien social et de développer un cadre de vie à domicile.

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news-3685 Fri, 19 Jan 2024 09:59:39 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») FR-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-fr/ Luxembourg, le 15 janvier 2024 Cher Actionnaire,

Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente de sa décision de modifier la politique d'investissement à compter du 15 février 2024 (la « Date d'entrée en vigueur ») afin d'introduire la possibilité, pour le Compartiment, d'investir dans des options sur swaps sur défaut de crédit, parmi les dérivés de base.

Par conséquent, à compter de la date d'entrée en vigueur, la politique d'investissement se lira comme suit1 :

« Instruments dérivés et techniques (...) Outre les instruments dérivés de base, le Compartiment peut avoir recours à des swaps sur défaut de crédit (individuels « single name » et indiciels), à des options sur swaps sur défaut de crédit et à des swaps de rendement total basés sur des obligations d’État et d’entreprises de marchés développés et émergents. (...) »

L'introduction d'options sur les swaps sur défaut de crédit dans la politique d'investissement du Compartiment a pour but d'apporter plus de flexibilité et de diversification, tout en offrant la possibilité d'ajuster l'exposition au risque de crédit et de générer des revenus supplémentaires. Elle n'aura pas d'impact sur la façon dont le Compartiment est géré ni sur son profil de risque/rendement.

1 Les insertions apparaissent en bleu.

Il est rappelé aux actionnaires qu’en conformité avec le prospectus de la Société : (i) aucune commission de rachat n’est due en cas de rachat d’actions et (ii) ils sont autorisés à demander le rachat de leurs actions.

La version mise à jour du prospectus (intégrant notamment les changements ci-dessus) sera disponible au siège de la Société dès qu’elle aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.

Avec nos meilleures salutations,

Au nom du Conseil d’administration

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news-3684 Fri, 19 Jan 2024 09:51:12 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») FR-BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-be-2/ Luxembourg, le 15 janvier 2024 Cher Actionnaire,

Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente de sa décision de modifier la politique d'investissement à compter du 15 février 2024 (la « Date d'entrée en vigueur ») afin d'introduire la possibilité, pour le Compartiment, d'investir dans des options sur swaps sur défaut de crédit, parmi les dérivés de base.

Par conséquent, à compter de la date d'entrée en vigueur, la politique d'investissement se lira comme suit1 :

« Instruments dérivés et techniques (...) Outre les instruments dérivés de base, le Compartiment peut avoir recours à des swaps sur défaut de crédit (individuels « single name » et indiciels), à des options sur swaps sur défaut de crédit et à des swaps de rendement total basés sur des obligations d’État et d’entreprises de marchés développés et émergents. (...) »

L'introduction d'options sur les swaps sur défaut de crédit dans la politique d'investissement du Compartiment a pour but d'apporter plus de flexibilité et de diversification, tout en offrant la possibilité d'ajuster l'exposition au risque de crédit et de générer des revenus supplémentaires. Elle n'aura pas d'impact sur la façon dont le Compartiment est géré ni sur son profil de risque/rendement. 1 Les insertions apparaissent en bleu. Il est rappelé aux actionnaires qu’en conformité avec le prospectus de la Société : (i) aucune commission de rachat n’est due en cas de rachat d’actions et (ii) ils sont autorisés à demander le rachat de leurs actions.

La version mise à jour du prospectus (intégrant notamment les changements ci-dessus) et les documents d’informations clés (« DIC ») seront disponibles en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel en anglais, au siège de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV, dès qu’elle aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.

Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas 16, boulevard des Italiens 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B 1000 Bruxelles.

Les documents d’informations clés doivent être lus avant de prendre la décision d’investir. Avec nos meilleures salutations, Au nom du Conseil d’administration

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news-3679 Thu, 25 Jan 2024 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert en VEFA une résidence services seniors à Villeneuve d’Ascq (59) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-en-vefa-une-residence-services-seniors-a-villeneuve-dascq-59/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte du Crédit Mutuel Nord Europe et sa foncière, a acquis off-market, en VEFA une résidence services seniors. La résidence, sise avenue du Bois à Villeneuve-d’Ascq a été acquise auprès d’ICADE et du Groupe Duval. Située au cœur de la commune de Villeneuve-d’Ascq, surnommée « la technopole verte », la résidence bénéficie de toutes les commodités médicales et commerciales et de l’offre culturelle de la ville résidentielle. La résidence services seniors bénéficie d’un emplacement idéal à proximité immédiate de l’hypercentre et dans l’un des quartiers les plus verdoyants de la ville, le Brigode. La propriété, desservie par le réseau de transports en commun de Lille ILEVIA, est facilement accessible en mobilités douces ainsi qu’en voiture par la N227 et la M506. La résidence disposera d’un local vélo et de deux voitures en autopartage.

L’actif, dont la livraison est prévue à la fin du premier trimestre 2026, offrira 6 200 m2 de surface habitable répartis sur 4 niveaux (R+3) et comptera 130 logements, allant du T1 au T3. Pour le bien-être des occupants, elle offrira de nombreux services dans un environnement fortement végétalisé dont la gestion sera écologique et comprendra des abris pour la faune, une salle de restauration, une salle de fitness, un salon coiffure et un salon multimédia. 5 emplacements de stationnement pour personnes à mobilité réduite sont prévus. La résidence sera exploitée par l’enseigne Happy Senior dans le cadre d’un bail ferme de longue durée. Les Résidences Happy Senior du Groupe Duval proposent à la fois tous les services du quotidien et un accompagnement de haut niveau dans le respect de l’autonomie des seniors en bonne santé.

La résidence services seniors vise la certification NF Habitat HQE Niveau Très Performant qui atteste de la qualité globale des logements et une performance RT2012-20 %, avec notamment une installation de production d’eau chaude solaire.

Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Nous sommes ravis d’avoir pu acquérir cet actif pour le compte du Crédit Mutuel Nord Europe, acteur responsable et engagé pour le développement de ses territoires. Cet actif s’inscrit également parfaitement dans la démarche durable de La Française Real Estate Managers et présente tous les fondamentaux nécessaires à la préservation de sa valeur dans le temps. » 

Pour cette transaction, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Cheuvreux, le cabinet Reed Smith ainsi que Theop en tant qu’AMO.

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news-3677 Wed, 17 Jan 2024 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert en vefa une école à Bordeaux (33) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-en-vefa-une-ecole-a-bordeaux-33/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/06/2023), a acquis en VEFA pour le compte de la SPPPICAV LF IMMO GENERATIONS, une école de 1 935 m2 située boulevard Godard à Bordeaux, 9ème métropole française. L’immeuble, classé ERP, s’inscrit dans un programme développé par Eiffage Immobilier Sud-Ouest et Jops Conseils de 9 000 m2 répartis sur 5 bâtiments et sera livré à la fin du premier semestre 2024. Le projet est situé dans le quartier des Chartrons, un quartier attractif pour la qualité et le nombre de ses espaces verts, ses lieux culturels et ses établissements scolaires et universitaires. L’actif sera facilement accessible en transports en commun, notamment par la ligne C du tramway et plusieurs lignes de bus. Il est intégralement loué, dans le cadre d’un bail en l’état futur d’achèvement, à un établissement public d’enseignement supérieur. 
 
Le rez-de-chaussée proposera un auditorium tandis que les niveaux supérieurs proposeront des salles de cours et de conférences. L’actif bénéficiera par ailleurs d’une place de parking pour personnes à mobilité réduite et de deux bornes de recharges pour voitures électriques. 
 
D’un point de vue de la performance énergétique et environnementale, l’immeuble, réalisé avec des façades en ossatures bois, vise la certification NF HQE Bâtiments Tertiaire Neuf Très Bon, l’obtention du label E+C- niveau E2C2 et une économie de 35 % par rapport aux exigences de la RT2012, grâce notamment à son recours au réseau de chaleur urbain. 
 
Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « La situation géographique de l’actif au cœur de Bordeaux, les performances énergétiques visées ainsi que l’ancrage historique du locataire à Bordeaux, laissent présager des perspectives de valorisation favorables pour un actif qui vient parfaitement compléter les premiers actifs du Fonds et cela en totale adéquation avec les objectifs stratégiques d’investissement de LF Immo Générations  »  
 
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Allez & Associés (MariaHélène Kremer) et par Emenda en tant qu’AMO. 

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news-3676 Fri, 19 Jan 2024 09:30:00 +0100 La SCPI LF GRAND PARIS PATRIMOINE se voit décerner pour la deuxième période consécutive le label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-lf-grand-paris-patrimoine-se-voit-decerner-pour-la-deuxieme-periode-consecutive-le-label-isr/ La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier en termes de capitalisation (1), est fière d’annoncer que pour le deuxième cycle consécutif, sa SCPI LF Grand Paris Patrimoine se voit décerner le Label ISR, lui permettant ainsi d’anticiper l’atteinte des objectifs inscrits dans la réglementation Éco Énergie Tertiaire. Au total, ce sont plus de soixante immeubles2 représentant environ 245 000 m2 qui auront été à nouveau audités et les résultats attestent de l’impact réel des actions entreprises par la société de gestion durant le premier cycle. La performance énergétique moyenne du fonds a diminué de 371 kWhEP/m²/an à 241 kWhEP/m²/an, quand les émissions moyennes de CO2 du fonds ont baissé de 16,1 kgeqCO2/m²/an à 9,5 kgeqCO2/ m²/an. Le travail d’amélioration continuera lors du deuxième cycle. Avec 100 % des actifs affectés à la poche « Best In Progress », des nouveaux plans d’amélioration articulés autour des trois piliers fondamentaux (Environnement, Social, Gouvernance) ont été définis.

Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate managers conclut : « Il y a trois ans, La Française Grand Paris Patrimoine était l’un des tous premiers fonds immobiliers à se voir attribuer le label ISR. Ce label était pour nous l’occasion de bâtir le cadre d’une gestion plus durable et plus transparente. Dans un marché immobilier qui connaît des évolutions fortes, nous sommes plus que jamais convaincus de l’importance d’associer des critères extra-financiers aux critères financiers pour déterminer la valeur d’un bien. »

Célébrez les trois ans de Label ISR de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine : 

Risques associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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(1) Classement de la capitalisation au 30/09/2023, IEIF

2  Au 30/09/2023

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news-3675 Mon, 08 Jan 2024 11:13:19 +0100 Note de rentrée 2024 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-de-rentree-2024/ Les marchés financiers ont récemment été surpris par des performances économiques dépassant les attentes, mais les perspectives de désinflation et les incertitudes sur les politiques monétaires pourraient rapidement changer la donne. La conjoncture reste néanmoins contrastée d'une région à l'autre, avec une économie américaine qui reste solide, des premiers signes de détérioration de l'emploi en France et en Allemagne, ainsi que des défis persistants en Chine. POINT MARCHÉ

Les consensus de marché sont souvent dangereux, et l'année dernière n'a pas fait exception à la règle, avec une croissance américaine qui devrait terminer au-dessus de 2,5 %, soit bien au-delà des 0,3 % anticipés début 2023. En corollaire de cette vigueur américaine, les actifs risqués ont eux aussi dépassé les attentes du marché, avec une surperformance générale des actifs actions par rapport aux actifs obligataires.

À l'heure actuelle, le consensus du marché semble être le suivant : un "soft landing" généralisé, c'est-à-dire une croissance positive mais en deçà du potentiel dans les économies développées, et une inflation qui revient progressivement à la cible des banques centrales, ce qui permettra à ces dernières d'enclencher rapidement un cycle de baisse des taux.

C'est sans doute sur ce dernier point que nous sommes le plus dubitatifs, en particulier aux États-Unis. La rapide désinflation que nous avons connu en 2023 provient en premier chef de très forts effets de base négatifs qui ne devraient pas se répéter en 2024, hormis de nouvelles baisses des prix des matières premières, scénario qui nous paraît peu probable étant donné le positionnement déjà extrêmement négatif des investisseurs sur le pétrole. Une baisse de l'inflation en 2024, en particulier l'inflation core, pourrait aussi être rendue difficile par la persistance des tensions sur le marché de l'emploi. L'inflation salariale reste élevée (le constat est aussi vrai en Europe, du moins pour les pays du sud), et avec elle, l'inflation dans le secteur des services, ce qui pourrait rendre les estimations de marché quant à la trajectoire des taux directeurs de la Fed un peu trop optimistes.

La conjoncture américaine ne nous semble elle pas devoir faiblir à horizon visible. Le marché de l'emploi est toujours en très bonne santé, avec des gains de pouvoir d'achat pour les ménages. Ces derniers disposent toujours d'une épargne excédentaire significative (dont les estimations sont sans cesse revues à la hausse) et d'un coût du service de leur dette historiquement faible. La baisse du dollar est également historiquement un bon indicateur de la conjoncture à venir et plaide aujourd'hui en faveur d'un rebond des indicateurs d'activité, en particulier dans les secteurs manufacturiers.

Il ne faut toutefois pas oublier les effets de décalage des politiques monétaires restrictives qui devraient avoir un impact négatif sur le cycle en 2024. Jusqu’ici, tout semble « sous contrôle », mais cela peut vite changer, comme nous l’a rappelé la crise des banques régionales américaines en mars 2023.

La situation en zone Euro semble de son côté assez stable, avec une croissance très faible, ce qui devrait se poursuivre selon les indicateurs avancés. Le marché de l’emploi, jusqu’ici porteur, semble se détériorer en France et en Allemagne depuis quelques mois. Cela devrait aider la désinflation à se poursuivre même si la fin des différents plans visant à limiter l’impact de la hausse des prix de l’énergie pourrait, là aussi, rendre cette désinflation moins facile que prévue.

La Chine ne montre que peu de signes d'accélération de son côté. Les dernières mesures prises par le gouvernement pour soutenir le marché immobilier vont dans le bon sens, mais elles ne sont pas encore suffisantes pour redonner confiance aux consommateurs et aux investisseurs chinois. Les derniers chiffres du "credit impulse" confirment que l'économie chinoise ne se détériore plus, mais elle ne rebondit pas non plus de manière significative.

TAUX

Ces derniers mois, l'inflation core a décéléré mais reste à des niveaux élevés. La croissance continue de montrer des signes de résilience aux États-Unis. Aujourd’hui dans de nombreuses économies majeures, la transmission des conditions financières vers l’économie réelle est moins fluide que par le passé et la sensibilité aux évolutions des taux d’intérêt s’est atténuée. En effet, de nombreux ménages et entreprises ont contracté des dettes à long terme à des taux bas, offrant ainsi une certaine protection contre la hausse des taux pour le moment.

Les mesures d’inflations plus basses qu’anticipées ces derniers mois en Europe, couplées à la baisse du pétrole et du gaz, ont considérablement fait baisser les anticipations d’inflation à horizon un an de l’ordre de 80 points de base (la mesure d’août 2024 est désormais anticipée à 1,80% vs 2,60% fin septembre), et l’inflation anticipée à un an dans un an est désormais attendue légèrement au-dessus de 2% en baisse d’environ 35 points de base. 1

L’hypothèse principale du marché est donc que la désinflation est suffisamment avancée pour permettre à la plupart des banques centrales des pays développés de commencer à baisser prochainement leurs taux directeurs, réduisant ainsi le risque d'un atterrissage brutal et ouvrant la voie à une reprise de croissance modérée au second semestre 2024.

Malgré les risques persistants autour de la géopolitique mondiale, dans la mesure où les chocs négatifs d’offre ont laissé place à des chocs négatifs de demande, on peut en effet envisager que l’inflation core tendra vers 2,5% d’ici quelques mois. Reste à savoir désormais si elle restera sur ces niveaux de façon durable ou si elle tendra rapidement vers 2%, compte tenu de l’impact de la dominance fiscale sur la persistance de la demande. Pour être confiants quant au retour de l'inflation à la cible de 2%, la composante services, qui est sur des niveaux très élevés, devra baisser de manière plus importante, ce qui prendra du temps étant donné les tensions persistantes sur le marché du travail. En effet, les salaires devraient augmenter plus que l'inflation en 2024, ce qui continuera d’alimenter particulièrement l'inflation des services. Parallèlement, les effets de base négatifs sur la composante énergie vont devenir positifs. Certaines mesures de soutien devraient être levées et donner un coup de pouce à l'inflation (par exemple, la réversion des baisses de TVA ou la fin progressive du bouclier tarifaire français). L'inflation alimentaire pourrait demeurer persistante, avec des risques liés à des événements climatiques extrêmes défavorables.

Les chemins de baisse de l’inflation et des premières baisses de taux anticipées par le marché nous semblent donc désormais excessifs. Nous restons donc prudents sur les premiers mois de l’année en ce qui concerne les taux courts, avec un risque de décalage des premières baisses de taux des Banques Centrales. Les parties longues des courbes vont être influencées par l’offre, notamment aux États-Unis où l’on peut craindre que le Trésor américain continue d'augmenter ses émissions en 2024, en particulier au premier semestre de l'année, mais aussi par le niveau du taux neutre vers lequel les Banques Centrales veulent converger. Aujourd’hui, en Europe, le marché anticipe un taux neutre à 2%, et ce dernier aura du mal à baisser hormis en cas de choc macroéconomique au premier semestre, ce que nous n’anticipons pas.

« Dans cet environnement, avec des anticipations d’inflation qui nous semblent attractives, des risques sur les taux courts et sur les primes de termes qui peuvent augmenter sur les parties longues des courbes, nous privilégions les taux réels 5 ans sur les prochains mois. »

- Fabien DE LA GASTINE, Responsable Taux, La Française AM

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news-3674 Sun, 31 Dec 2023 10:00:00 +0100 LF OPSIS Patrimoine : Insertion dans le Prospectus de la faculté de suspendre les rachats à titre provisoire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/insertion-dans-le-prospectus-de-la-faculte-de-suspendre-les-rachats-a-titre-provisoire/ Conformément aux dispositions légales et réglementaires en vigueur, le rachat par la SPPICAV de ses actions pourra être suspendu, à titre provisoire quand des circonstances exceptionnelles l’exigent et si l’intérêt de l’ensemble des actionnaires le commande.

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news-3673 Sun, 31 Dec 2023 09:00:00 +0100 Augmentation du prix de part de la SCPI LF Les Grands Palais /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/augmentation-du-prix-de-la-scpi-lf-les-grands-palais/ Nous vous informons que la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI LF LES GRANDS PALAIS. A compter du 31 décembre 2023, le prix de souscription de la SCPI LF Les Grands Palais augmente de 3,8 % et est composé de la manière suivante : 

  • Valeur nominale : 700 €
  • Prime d'émission : 415 € 
  • Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 1 115 € dont 89,20 € HT, soit 107,04 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission : (8% HT, soit 9,6% TTC au taux de TVA en vigueur)
  • Valeur de retrait : 1 025,80 €

Pour tout complément d’information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.

Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de concentration géographique. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 20 ans.

La note d’information ayant reçu le visa de l’Autorité des Marchés Financiers, SCPI n°19-30 en date du 29 novembre 2019 et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
 

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news-3665 Fri, 22 Dec 2023 09:00:00 +0100 Avis internet : Introduction de mécanismes de gestion de la liquidité LU-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-introduction-de-mecanismes-de-gestion-de-la-liquidite-lu-fr/ Afin de renforcer la protection des porteurs de parts ou des actionnaires des OPC gérés par La Française Asset Management, il a été décidé d’intégrer, à compter du 29 décembre 2023, un mécanisme de plafonnement des rachats aux fonds listés en Annexe. Ce mécanisme peut être complété par la mise en place du mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (« Swing Pricing »). Cette décision a été prise suite à la publication par l’Autorité des marchés financiers de sa nouvelle instruction sur les modalités d’introduction des mécanismes de gestion de la liquidité. • Mécanisme de plafonnement des rachats :

Ce mécanisme peut être déclenché par la société de gestion de l’OPC lorsque des circonstances exceptionnelles l’exigent et si l’intérêt des porteurs/actionnaires ou du public le commande. Ce mécanisme permet d’étaler les demandes de rachats sur plusieurs valeurs liquidatives dès lors qu’elles excèdent un certain niveau, déterminé de façon objective et précisé dans la documentation des OPC. Lorsque les demandes de rachat excèdent le seuil de déclenchement, la société de gestion peut toutefois décider d’honorer les demandes de rachat au-delà du plafonnement prévu, et exécuter ainsi partiellement ou totalement les ordres qui pourraient être bloqués.

• Mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (Swing Pricing) :

Ce mécanisme consiste à ne pas pénaliser les porteurs/actionnaires présents dans l’OPC en cas de souscriptions ou de rachats significatifs au passif de l’OPC, en appliquant un facteur d'ajustement aux porteurs/actionnaires qui souscrivent ou rachètent des montants significatifs de l'encours, ce qui est susceptible de générer pour les porteurs/actionnaires entrants ou sortants des coûts, qui seraient sinon imputés aux porteurs/actionnaires qui demeurent dans l’OPC.

Ces deux mécanismes sont décrits dans la documentation réglementaires des OPC concernés listés en Annexe.

***

Ces mises à jour ne sont pas soumises à agrément de l’Autorité des marchés financiers et ne nécessitent aucune démarche spécifique de votre part.

Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (DIC PRIIPS, prospectus, règlement et annexe SFDR) disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3664 Fri, 22 Dec 2023 09:00:00 +0100 Avis internet : Introduction de mécanismes de gestion de la liquidité FR-BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-introduction-de-mecanismes-de-gestion-de-la-liquidite-fr-be/ Afin de renforcer la protection des porteurs de parts ou des actionnaires des OPC gérés par La Française Asset Management, il a été décidé d’intégrer, à compter du 29 décembre 2023, un mécanisme de plafonnement des rachats aux fonds listés en Annexe. Ce mécanisme peut être complété par la mise en place du mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (« Swing Pricing »). Cette décision a été prise suite à la publication par l’Autorité des marchés financiers de sa nouvelle instruction sur les modalités d’introduction des mécanismes de gestion de la liquidité. • Mécanisme de plafonnement des rachats :

Ce mécanisme peut être déclenché par la société de gestion de l’OPC lorsque des circonstances exceptionnelles l’exigent et si l’intérêt des porteurs/actionnaires ou du public le commande. Ce mécanisme permet d’étaler les demandes de rachats sur plusieurs valeurs liquidatives dès lors qu’elles excèdent un certain niveau, déterminé de façon objective et précisé dans la documentation des OPC. Lorsque les demandes de rachat excèdent le seuil de déclenchement, la société de gestion peut toutefois décider d’honorer les demandes de rachat au-delà du plafonnement prévu, et exécuter ainsi partiellement ou totalement les ordres qui pourraient être bloqués.

• Mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (Swing Pricing) :

Ce mécanisme consiste à ne pas pénaliser les porteurs/actionnaires présents dans l’OPC en cas de souscriptions ou de rachats significatifs au passif de l’OPC, en appliquant un facteur d'ajustement aux porteurs/actionnaires qui souscrivent ou rachètent des montants significatifs de l'encours, ce qui est susceptible de générer pour les porteurs/actionnaires entrants ou sortants des coûts, qui seraient sinon imputés aux porteurs/actionnaires qui demeurent dans l’OPC.

Ces deux mécanismes sont décrits dans la documentation réglementaires des OPC concernés listés en Annexe.

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Ces mises à jour ne sont pas soumises à agrément de l’Autorité des marchés financiers et ne nécessitent aucune démarche spécifique de votre part.

Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.

Les prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique.

Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (DIC PRIIPS, prospectus, règlement et annexe SFDR) disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3663 Fri, 22 Dec 2023 09:00:00 +0100 Avis internet : Introduction de mécanismes de gestion de la liquidité FR-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-introduction-de-mecanismes-de-gestion-de-la-liquidite-fr-fr/ Afin de renforcer la protection des porteurs de parts ou des actionnaires des OPC gérés par La Française Asset Management, il a été décidé d’intégrer, à compter du 29 décembre 2023, un mécanisme de plafonnement des rachats aux fonds listés en Annexe. Ce mécanisme peut être complété par la mise en place du mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (« Swing Pricing »). Cette décision a été prise suite à la publication par l’Autorité des marchés financiers de sa nouvelle instruction sur les modalités d’introduction des mécanismes de gestion de la liquidité. • Mécanisme de plafonnement des rachats :

Ce mécanisme peut être déclenché par la société de gestion de l’OPC lorsque des circonstances exceptionnelles l’exigent et si l’intérêt des porteurs/actionnaires ou du public le commande. Ce mécanisme permet d’étaler les demandes de rachats sur plusieurs valeurs liquidatives dès lors qu’elles excèdent un certain niveau, déterminé de façon objective et précisé dans la documentation des OPC. Lorsque les demandes de rachat excèdent le seuil de déclenchement, la société de gestion peut toutefois décider d’honorer les demandes de rachat au-delà du plafonnement prévu, et exécuter ainsi partiellement ou totalement les ordres qui pourraient être bloqués.

• Mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (Swing Pricing) :

Ce mécanisme consiste à ne pas pénaliser les porteurs/actionnaires présents dans l’OPC en cas de souscriptions ou de rachats significatifs au passif de l’OPC, en appliquant un facteur d'ajustement aux porteurs/actionnaires qui souscrivent ou rachètent des montants significatifs de l'encours, ce qui est susceptible de générer pour les porteurs/actionnaires entrants ou sortants des coûts, qui seraient sinon imputés aux porteurs/actionnaires qui demeurent dans l’OPC.
Ces deux mécanismes sont décrits dans la documentation réglementaires des OPC concernés listés en Annexe.

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Ces mises à jour ne sont pas soumises à agrément de l’Autorité des marchés financiers et ne nécessitent aucune démarche spécifique de votre part.
Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (DIC PRIIPS, prospectus, règlement et annexe SFDR) disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3662 Wed, 20 Dec 2023 10:03:25 +0100 COP28 : Un arrière-goût amer /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop28-un-arriere-gout-amer/ La COP28 s'est déroulée en dents de scie, marquée par l'affirmation de son président selon laquelle il n'y a « aucune science » à l'origine des demandes d'élimination progressive des combustibles fossiles pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5°C. Pendant treize jours, le monde a retenu son souffle, le temps qu'un accord final tant attendu soit négocié. Le résultat final est mitigé. Au-delà d'un engagement renouvelé en faveur d'une limitation à 1,5°C, le texte du bilan mondial (Global Stocktake) a le mérite de se démarquer de ceux des précédentes conférences des Nations unies sur le climat dans la mesure où il appelle à une « transition vers l'abandon des combustibles fossiles », ce qui va au-delà du charbon et inclut pour la première fois le pétrole et le gaz. L'absence de cette mention lors des vingt-sept précédents sommets était flagrante, c'est pourquoi le langage choisi dans le texte de cette année est si symbolique. Le symbolisme ne compense cependant pas l'imprécision du texte. De nombreux pays, dont les États membres de l'UE et l'Alliance des petits États insulaires, ont insisté pour que soit pris l'engagement d'« éliminer progressivement » les combustibles fossiles, mais ce terme n'a pas réussi à s'imposer dans le texte final. Ceci, en plus de l'absence d'objectifs intermédiaires à l'horizon 2050, signifie essentiellement que les pays sont libres de suivre leur propre voie vers le « Net Zero », et qu'il est peu probable que les compagnies pétrolières et gazières prennent des mesures à court terme.

Le fonds « pertes et dommages », initialement convenu lors de la COP27 et destiné à indemniser les pays n’ayant pas les moyens de s'adapter au changement climatique, a connu une certaine avancée à Dubaï avec l'accord de son « opérationnalisation » en 2024. Toutefois, d'importants détails demeurent quant à savoir qui seront les payeurs et qui seront les bénéficiaires (le statut de la Chine étant un point de désaccord majeur). En outre, le Vulnerable 20 Group a indiqué que ses membres (68) avaient perdu 525 milliards d'USD au cours des vingt dernières années en raison du changement climatique  alors que le montant initial des fonds promis était inférieur à 1 milliard d'USD . Le financement envisagé est nettement inférieur aux besoins. Si la compensation des pertes subies par les pays concernés est attendue depuis longtemps, le niveau d'incertitude concernant le fonctionnement du fonds et, par conséquent, son efficacité, reste important à nos yeux.

Beaucoup attendaient avec impatience les négociations autour de l'objectif mondial d'adaptation (Global Goal on Adaptation ou GGA), un engagement collectif en vertu de l'article 7.1 de l'Accord de Paris. Malheureusement, de nombreux pays développés se sont montrés réticents à discuter du financement de l'adaptation à la suite de leurs engagements vis-à-vis du fonds « pertes et dommages ». Nous trouvons que le résultat final du cadre du GGA n'est pas très convaincant. Les Parties ont été « exhortées » à atteindre des objectifs qui, à notre avis, ne sont pas suffisamment spécifiques pour répondre réellement aux besoins des plus vulnérables (par exemple, « Atteindre la résilience face aux incidences du changement climatique » ou « Réduire les incidences du climat sur les écosystèmes et la biodiversité »). Parallèlement, la COP28 a décidé de lancer un programme de travail de deux ans sur les indicateurs permettant de mesurer les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs susmentionnés. Nous en attendons les résultats avec impatience.

Si l'issue mitigée des négociations du GGA était attendue dans une certaine mesure, certaines des discussions autour de l'article 6 de l'accord de Paris ont surpris. Certaines Parties ont même demandé un moratoire sur les marchés du carbone dans l'accord. Les éléments à prendre en compte pour « l'autorisation » des résultats d'atténuation transférés au niveau international (ITMO) (Art. 6.2) ont été édulcorés à chaque nouvelle version. Le texte final se contente d'« encourager » les Parties à inclure les éléments... à leur  convenance. Nous pensons que cela remet en question la crédibilité des ITMO. En outre, l'absence de décision concernant l'évitement des émissions (Art. 6.4) souligne encore l'absence de consensus nécessaire pour trouver une voie claire vers le « Net Zero ».

Malgré ces frustrations, il y a quelques lueurs d'espoir. Pour la première fois, l'accord final fait référence aux objectifs de « tripler les énergies renouvelables » et de « doubler le taux annuel moyen mondial d'efficacité énergétique » d'ici à 2030. Initialement approuvés par le G20 en septembre, ces objectifs ont été adoptés par une coalition de 130 pays dans le cadre de l'Engagement Mondial en faveur des Energies Renouvelables et de l'Efficacité Energétique de la COP28. Une cinquantaine de producteurs de pétrole et de gaz et 29 autres compagnies pétrolières nationales ont signé un accord visant à réduire à zéro les émissions de méthane en amont et à mettre fin au torchage de routine d'ici à 2030. En tant qu'investisseurs, il est essentiel que nous continuions à dialoguer avec ces entreprises afin de comprendre leurs plans d'action et de les tenir responsables de leur mise en œuvre. Nous nous félicitons également de la Déclaration sur le Climat et la Santé, signée par 123 pays lors du sommet, qui souligne l'importance de préparer les systèmes de soins de santé à faire face à l'augmentation constante des problèmes de santé liés au climat. De même, nous saluons la Déclaration des Émirats arabes unis sur l'Agriculture Durable, les Systèmes Alimentaires Résilients et l'Action Climatique, qui a été signée par 134 pays. Elle comprend un nouvel engagement historique en faveur de systèmes alimentaires durables qui a déjà mobilisé 2,5 milliards d'USD.

Alors que le débat sur le succès de la COP28 semble se poursuivre, une préoccupation évidente et cruciale se profile à l'horizon : pour soutenir la transition et l'adaptation et pour compenser les dommages, nous ne savons toujours pas d'où proviendront les capitaux nécessaires, en particulier pour les pays en développement, à moyen et à long terme. Sur les quelques 83 milliards d'USD mobilisés lors du sommet (dont 30 milliards d'USD promis par les Émirats arabes unis au travers d’un véhicule d'investissement qui, selon eux, pourrait mobiliser 250 milliards d'USD d'investissements d'ici à 2030 ), il reste à voir ce qui sera acheminé et où. Les deux dernières semaines ont montré que le véritable défi n'est pas seulement de mobiliser des capitaux, mais aussi d'assurer leur répartition juste et efficace. En outre, un rapport de l'OCDE datant de 2022  a révélé qu'entre 2013 et 2020, le financement global de la lutte contre le changement climatique a systématiquement été inférieur à l'objectif annuel de 100 milliards d'USD défini lors de la COP15 , avec parfois un écart de plus de 45 % La COP28 se termine donc par un accord sur les combustibles fossiles, mais le plus dur n'est pas encore derrière nous. Alors que le monde est aux prises avec les effets croissants du changement climatique, la capacité du sommet international sur le climat à combler le fossé entre les promesses et la pratique sera cruciale pour déterminer la capacité de la communauté mondiale à atténuer ces défis et à s'y adapter. 

1Le président de la COP28 déclare qu'il n'y a « aucune science » à l'origine des demandes d'élimination progressive des combustibles fossiles | COP28 | The Guardian

2 NOUVEAU : Rapport sur les pertes des économies vulnérables au climat - CVF (thecvf.org)

Estimation de 792 millions d'USD. La Banque mondiale hébergera le fonds pour une période intérimaire de quatre ans.

4 Les Émirats arabes unis s'engagent à investir 30 milliards d'USD en capital catalytique pour lancer un véhicule d'investissement axé sur le climat à l'occasion de la COP28

5 Tendances agrégées du financement climatique fourni et mobilisé par les pays développés en 2013-2020 | fr | OCDE

6 Il a ensuite été réitéré lors de la COP21 et prolongé jusqu'en 2025.

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news-3660 Mon, 01 Jan 2024 09:00:00 +0100 Bonne année 2024 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bonne-annee-2024/ Meilleurs Voeux ! Notre Groupe ouvrira en 2024 un nouveau chapitre.
Notre histoire s’écrira encore à vos côtés.
Merci de votre confiance.

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news-3653 Tue, 12 Dec 2023 10:44:08 +0100 Pre ECB Commentary /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-ecb-commentary-6/ BCE : Tous les regards sont tournés vers les prévisions économiques

Comme suggéré ces dernières semaines par des membres de la Banque Centrale Européenne (BCE), le Conseil des gouverneurs (CG) devrait maintenir ses taux d'intérêt lors de la réunion de décembre. La mise à jour des perspectives macroéconomiques sera au centre de l'attention après la parution des derniers chiffres d'inflation inférieure aux prévisions de la banque centrale.

La BCE devrait indiquer des perspectives plus faibles pour la croissance et l'inflation. Elle devrait également dévoiler les projections d'inflation pour 2026, en les alignant sur l'objectif de 2 %. La BCE devrait aussi annoncer l'accélération du rythme du resserrement quantitatif (QT).

Nos principales attentes :

  • La BCE devrait maintenir ses taux d'intérêt directeurs à 4,0 % pour le taux de dépôt, 4,5 % pour le taux Refi et 4,75 % pour la facilité de prêt marginal.
  • Le CG gardera son approche réunion par réunion et réaffirmera que le maintien de taux restrictifs devrait entrainer l'inflation vers l'objectif graduellement. Christine Lagarde soulignera que la BCE ne peut pas encore crier victoire.
  • Il est probable que la BCE annonce la fin progressive des réinvestissements du programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP) l'année prochaine, avec des détails communiqués en janvier. Nous pensons que la BCE exclura probablement toute vente d'obligations du programme d'achat d'actifs (APP) ou des portefeuilles PEPP, comme l'a suggéré Isabel Schnabel à Reuters.
  • Projection d'une croissance plus faible en 2023 et 2024. Les projections d'inflation pour 2024 et 2025 seront déterminantes ; nous nous attendons à ce que ces prévisions soient abaissées de 3,2 % et 2,1 % à 2,7 % et 2 % respectivement.

En résumé, au vu des récents commentaires de la plupart des responsables de la BCE, il semble que l'on assiste à un changement progressif vers une position plus dovish au sein du conseil des Gouverneurs. La présidente Christine Lagarde mettra probablement l'accent sur l'efficacité du resserrement de la politique monétaire, en notant le ralentissement de la croissance des prêts bancaires, l'affaiblissement de l'économie et le déclin plus rapide que prévu de l'inflation sous-jacente. Elle pourrait mettre en garde contre des réductions de taux d'intérêt au début de 2024 en raison des incertitudes liées à la croissance des salaires et à la faiblesse de la productivité. Il pourrait être toutefois difficile de convaincre les investisseurs…

Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les performances passées ne sont pas indicatives des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, entreprise régulée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management a été agréée par l'AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997. GP97076 le 1er juillet 1997. 

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news-3650 Mon, 11 Dec 2023 14:00:49 +0100 « Une transition juste », le thème fondamental du Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l'homme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-transition-juste-le-theme-fondamental-du-forum-des-nations-unies-sur-les-entreprises-et-les-droits-de-lhomme/ Enseignements du 12e Forum des Nations Unies

Lors du 12e Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l'homme, une assemblée diversifiée de parties prenantes, comprenant des représentants d'ONG, des militants, des entreprises et des hauts fonctionnaires, s'est réunie dans ce qui était connu sous le nom de salle XX du Palais des Nations à Genève. La conférence s'est penchée sur l'état actuel des droits de l'homme, les progrès récents et les initiatives futures. Un appel pressant a été lancé pour cesser de séparer la crise climatique de la crise humaine, en soulignant leur interconnexion. Avec en toile de fond le 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme, les participants ont reconnu les liens complexes entre ces défis, ouvrant la voie à des discussions sur la manière dont les entreprises peuvent jouer un rôle transformateur dans l'élaboration de solutions durables. Cette affirmation souligne le rôle vital d'une action décisive pour assurer une transition climatique juste et durable.

Droits de l'homme, état et violations

La conférence a exploré le paysage mondial des droits de l'homme d'aujourd'hui, où une triade de défis – conflits politiques, changement climatique et avancées technologiques – se profile à l'horizon. L'interconnexion entre les crises climatique et humaine souligne l'impératif d'une transition juste. En particulier, la chaîne d'approvisionnement est apparue comme un point central des discussions, se révélant être un sujet à risque en ce qui concerne les violations des droits de l'homme. Les communautés autochtones, qui protègent 80% de la biodiversité restante1, sont les plus touchées par les violations des droits de l'homme, confrontées à des problèmes tels que la discrimination, l'accaparement des terres et l'exploitation des ressources, et sont les plus vulnérables aux effets négatifs du changement climatique. Il est frappant de constater que les communautés, déjà fortement touchées par le changement climatique, sont doublement accablées et victimes des initiatives de transition climatique qui impliquent des projets d'infrastructure et d'énergie renouvelable à grande échelle sur leurs terres, ainsi qu'une intensification de l'extraction minière. Le forum a souligné l'importance des droits au consentement préalable, libre et éclairé, dont la pratique est pourtant limitée, et a appelé les entreprises à s'engager auprès des communautés autochtones. Le passage d'un état d'esprit fondé sur des considérations morales à une allocation stratégique des ressources est essentiel pour favoriser des pratiques commerciales responsables et durables.

En outre, la complexité des migrations humaines, notamment en réponse au changement climatique, met en lumière des lacunes importantes dans les cadres juridiques et politiques. L'aggravation de la crise du travail forcé et du travail des enfants constitue une menace pour les hommes, les femmes et les enfants et est principalement alimentée par des intérêts économiques privés. Nous estimons qu'aujourd'hui 50 millions de personnes sont victimes de l'esclavage moderne2. Un examen plus approfondi des droits des travailleurs dans ce contexte révèle des préoccupations urgentes, concernant notamment la liberté d'association, l'accès aux voies de recours et les droits fondamentaux sur le lieu de travail. Même dans les pays les plus développés, les travailleurs se heurtent à des obstacles pour faire valoir leurs droits et négocier des conditions de travail équitables. Le forum a souligné la nécessité de mettre en place des mécanismes de protection solides et d'assurer l'accès à la justice et à la réparation pour les travailleurs victimes de violations des droits de l'homme, y compris celles qui découlent des changements induits par le climat.

Réglementations et solutions futures

Célébrant les douze ans des Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme, le forum a réaffirmé la norme mondiale. Approuvés par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies en 2011, les Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme fournissent un cadre global, « Protéger, respecter et réparer », qui définit les responsabilités des États et des entreprises en matière de droits de l'homme. Les normes de l'Organisation internationale du Travail et de l'OCDE3 ont également été discutées, soulignant l'impératif de renforcer la diligence raisonnable, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones. La nécessité d'une transparence accrue et d'une évaluation des risques des chaînes d'approvisionnement a par ailleurs été soulignée, illustrant le rôle crucial que les entreprises peuvent jouer dans le respect et la protection des droits de l'homme.

S'agissant de l'avenir, le forum a résonné comme un appel à des solutions innovantes et à des efforts concertés pour aborder le lien complexe entre l'activité des entreprises et les droits de l'homme. Les discussions ont mis en lumière les efforts du groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée (OEIGWG) pour élaborer un « instrument juridiquement contraignant visant à réglementer, en droit international des droits de l'homme, les activités des sociétés transnationales et autres entreprises ».  Le groupe de travail sur les entreprises et les droits de l'homme s'apprête à remettre, en juin 2024, un rapport au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, qui explorera l'alignement des pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans le secteur financier sur les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme.

À la clôture du forum, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme a conclu en déclarant : « Je vous demande instamment de placer les droits de l'homme au centre de toutes les décisions relatives au climat lors de la COP 28 et au-delà ».

Ce document est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

Par Claudia RAVAT, Analyste ESG, La Française AM.

1Le rôle des peuples autochtones dans la conservation de la biodiversité, Claudia Sobrevila, Banque mondiale, mai 2008

2Rapport sur les estimations mondiales de l'esclavage moderne, Organisation internationale du Travail, septembre 2022

3Organisation de coopération et de développement économiques

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news-3649 Tue, 05 Dec 2023 09:00:00 +0100 Un engagement axé sur les transformations durables des pratiques et des modèles&nbsp;: interview de Deepshikha Singh, Head of Stewardship <br/> La Française AM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-engagement-axe-sur-les-transformations-durables-des-pratiques-et-des-modeles-interview-de-deepshikha-singh-head-of-stewardship-la-francaise-am/

« Accompagner les entreprises dans leur transformation durable, depuis leur financement jusqu'à l'engagement actif. Tel est l'objectif de notre démarche. »

Deepshikha Singh, Head of Stewardship La Française AM.

Comment s’exprime l’engagement au sein de La Française AM, filiale de gestion d’actifs du groupe La Française ?

Deepshikha Singh : En tant que responsable du stewardship et responsable adjointe de la recherche investissement durable mon rôle est de m’assurer de la mise en œuvre de nos orientations stratégiques, en lien avec les Responsables Durabilité Groupe et Investissement durable des actifs cotés, en matière d’actionnariat actif à savoir l’exercice du droit de vote en Assemblée générale pour les émetteurs cotés, les engagements individuels directs et engagements collectifs, enfin les exclusions liées à des controverses ESG, l’ensemble en lien avec l’intérêt de nos parties prenantes : investisseurs, actionnaire, société civile.

Nous réunissons un Comité de manière trimestrielle qui rassemble les représentants de différentes fonctions au sein de la gestion d’actifs afin de diffuser les travaux d’engagement effectués par l’équipe ESG. Notre objectif au travers de l’engagement est d’encourager de meilleures pratiques ESG, favoriser l’amélioration des résultats en matière de durabilité et d’inciter les émetteurs à plus de transparence.

Pour plus d’efficacité, nous privilégions l’engagement collectif et collaboratif en rejoignant des coalitions d’actionnaires ou initiatives pour accroitre notre impact auprès d’une ou plusieurs entreprises d’un même secteur. De manière sélective, nous agissons aussi individuellement auprès des émetteurs. Nous construisons ainsi des relations de confiance et entretenons des échanges directs actifs avec eux.

La Française AM (LFAM) se considère comme un partenaire des émetteurs en lien avec sa vision long terme de l’investissement. Notre conception de l’engagement repose sur un accompagnement dans la durée pour atteindre des objectifs de durabilité plutôt que de procéder à des désinvestissements bruts.

Nous sommes également activement engagés en matière de politique publique auprès des instances gouvernementales et décideurs politiques en soutenant notamment des lettres qui leur sont adressées ou en répondant aux consultations réglementaires publiques.

En 2022, nous avons accru nos engagements avec un nombre d’actions presque triplé. Nous avons mené 130 engagements dont 5 initiatives majeures de politique publique, près de 50 engagements collectifs via des coalitions d’investisseurs et près de 80 engagements directs auprès d’entreprises.

Nous nous engageons en priorité sur 4 thèmes : le changement climatique, le capital naturel, le capital social et la gouvernance/transparence. Historiquement engagé sur le changement climatique, nous avons élargi nos actions au capital naturel compte tenu des interdépendances existantes. En 2022, nous avions également étendus nos travaux sur le capital social autour de la santé, des droits humains et des inégalités salariales.

Quels sont parmi vos récents engagements ceux qui ont permis une avancée ?

D.S. : Nous avons eu quelques engagements intéressants au cours des 12 derniers mois.

Certains nous ont conduit à devoir escalader le processus d’engagement jusqu’au désinvestissement des portefeuilles les plus concernés ou à entamer la démarche de dépôt de résolution d’actionnaire de manière conjointe dans l’intérêt de nos clients et pour respecter nos politiques et principes d’investisseur durable et responsable.

En parallèle, d’autres, plus positivement, ont permis une amélioration de la transparence des émetteurs, notamment grâce au CDP Non-Disclosure Campaign que nous menons ou au Workforce Disclosure Initiative (WDI) dont nous sommes membres actifs.

Par la même occasion, nos engagements ont amélioré notre analyse ESG qui alimentent ensuite nos décisions d’investissements.

Arrêtons-nous sur 2 cas : Téléperformance et Nestlé.

Citons la société française Téléperformance spécialisée dans les services numériques aux entreprises. Déjà visée par la fédération syndicale internationale UNI Global sur les conditions de travail contraires aux libertés fondamentales et droits humains dans ses filiales situées en Asie et en Amérique du Sud ; c’est une information du Ministère colombien sur une nouvelle enquête concernant l’entreprise sur ses pratiques de travail non conformes aux normes, qui nous a alertés. Après un dialogue infructueux avec la société et malgré l’accord mondial signé avec le syndicat des industries de services d’UNI Global Union avec qui nous avions échangé pour mieux comprendre et évaluer les contours de cet accord, nous avons recommandé à notre gestion de sortir le titre Téléperformance des stratégies liées au capital humain en raison des controverses persistantes sur les conditions de travail dans certains pays. Nous maintenons toutefois un dialogue avec l’entreprise et le syndicat professionnel pour suivre au plus près le déploiement de l’accord en collaboration avec nos pairs.

Mentionnons également notre engagement auprès du groupe suisse Nestlé sur les sujets de santé publique. Nestlé a été sollicité, au même titre que 11 autres entreprises du secteur de la production et distribution alimentaire dans le cadre de l’initiative collective Long term Investors in People’s Health (LIPH)1, via une lettre co-signée. Nous souhaitions que Nestlé s’engage à publier annuellement des objectifs quantitatifs d’investissements et de croissance des ventes de produits qualifiés de « sains » selon des profils nutritionnels reconnus et approuvés. A défaut de résultats, nous avons, avec le collectif LIPH, organisé 3 réunions d’informations en vain. D’une démarche formelle, le collectif a décidé de déposer une résolution d’actionnaire à l’occasion de l’Assemblée générale 2023 pour amener Nestlé à faire évoluer son modèle d’affaires. Après plusieurs échanges, Nestlé a accepté de s’engager à collaborer activement avec le collectif pour apporter des réponses à nos demandes sans que nous ayons eu besoin de déposer une résolution d’actionnaire. La coalition est engagée activement auprès de l'entreprise et souhaite poursuivre sa démarche eu égard aux résultats obtenus à ce jour. Aussi nous pourrions reconsidérer notre approche en vue de la saison 2024 des Assemblées générales d’actionnaires. Parce que nous privilégions dès que cela est possible le dialogue et l’accompagnement à l’exclusion, nous avons ainsi conservé les titres Nestlé dans nos portefeuilles. Nous considérons que tout changement initié par Nestlé aura un impact favorable sur l’ensemble du secteur.

Quels sont vos objectifs et ambitions dans les mois à venir  ?

D.S. : En tant qu’investisseur responsable, l’engagement est un élément essentiel de notre démarche. C’est par l’engagement que les avancées en matière de durabilité sont possibles et c’est via nos actions que nous contribuons de manière concrète aux transformations durables et justes. Aussi, nous avons le devoir vis-à-vis de nos parties prenantes, de surveiller les entreprises dans lesquelles nous investissons sur toute la période de détention des titres. 

Dans ce cadre, nous renforçons notre vigilance et souhaitons accélérer le rythme et la portée de nos engagements, aussi bien directs que collaboratifs, tant auprès des émetteurs qu’auprès des régulateurs et organismes de standards de place. Nous souhaitons également renforcer notre participation au sein des coalitions dont nous sommes membres pour une participation plus proactive.

Nous avons déjà diversifié nos engagements pour adresser de nouvelles problématiques comme la décarbonation des secteurs de la chimie et de l’exploitation minière, la santé mentale et le bien-être et les droits humains dans la chaîne logistique. Nous avons également accru notre engagement au sein des coalitions collectives telles que IIGCC2, CDP, WDI and Finance for Biodiversity Foundation. En France, nous avons rejoint le groupe de travail sur la Taxonomie sociale du FIR3 dont le travail a débuté en septembre dernier.

Le 13 décembre prochain, nous présenterons le guide « Unlocking Climate-Nature Nexus »4 co-rédigé avec plusieurs institutions financières et la Fondation Finance for Biodiviserty traitant des interrelations existantes entre climat et biodiversité aux côtés des représentants de EU Business & Biodiversity, PRI et de l’UNEP-FI. Avec l’IIGCC BondHolder Stewardship Group, nous avons contribué à la réalisation d’un guide de bonnes pratiques en matière d’engagement pour les détenteurs d'obligations, guide qui devrait être publié en 2024.

Nous avons également mis en place en 2023 une politique de vote spécifique à LFAM qui intègre : réponse au questionnaire du CDP, objectifs climatiques fondés sur la SBTi, résolution « say on climate » pour certains des secteurs fortement émetteurs, publication de l’écart de rémunération entre le PDG et les employés, vote contre l’élection ou la réélection d’administrateurs hommes (à l’exception du PDG) lorsque le Conseil d’administration compte moins de 40% de femmes, et le nombre de mandats du Comité de Direction. En 2024, nous suivrons de prêt ces différents points de résolutions et envisagerons de nouveaux critères liés notamment à la biodiversité.

Enfin, en 2024, nous publierons l’ensemble de nos actions et résultats au sein d’un rapport de stewardship intégré afin de rendre compte de notre création de valeur par le biais de nos activités d’engagement, vote, etc. et présenter notre contribution dans le temps sur notre écosystème.

Pour conclure, votre mot de la fin  ?

D.S. : Être un investisseur responsable ne se résume pas à l’intégration des enjeux ESG dans les choix d’investissements ou à la mise en place d’une politique d’exclusion. Notre responsabilité s’affirme aussi et surtout par les actions que nous menons – engagements auprès des entreprises émettrices, via des coalitions d’investisseurs, sur des sujets réglementaires ou de normes, et par nos votes en Assemblées générales d’actionnaires. C’est par nos engagements que nous apportons des changements systémiques qui permettront de contribuer le plus efficacement possible à un avenir durable.

L’engagement n’est pas un long fleuve tranquille. Un engagement sérieux et efficace nécessite d’être proactif et ne doit pas être un seul moyen de recours. Il doit être soutenu au plus haut niveau et nécessite une formalisation, précise et ferme pour avoir le plus de chance d’aboutir.

Avertissement : Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.

1 IPH a été créée pour se concentrer sur trois piliers de la santé dans les entreprises cibles : la santé du personnel pour promouvoir un lieu de travail sain ; la santé des consommateurs pour rendre les aliments et les boissons sains plus accessibles et plus abordables pour tous ; la santé des communautés pour limiter la pollution et les autres effets secondaires des activités des entreprises sur la santé humaine. LFAM a été parmi les premiers signataires de la coalition fin 2022. Institutional Investors Group on Climate Change: https://www.iigcc.org/ Forum pour l’Investissement Responsable : https://www.frenchsif.org/isr_esg/  4 https://www.financeforbiodiversity.org/ffb-foundation-launches-biodiversity-climate-nexus-guide-ahead-of-ebns/

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news-3647 Tue, 05 Dec 2023 15:00:00 +0100 Enel et le (potentiel) step-up de son coupon SLB /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/enel-et-le-potentiel-step-up-de-son-coupon-slb/ Le marché d’obligations indexées sur des indicateurs de développement durable (« Sustainability-Linked Bonds » - SLB) qui représente plus de 250 milliards de dollars* (soit environ 243 milliards d’euros), est peut-être sur le point d'assister à un rare événement déclencheur (« trigger »). En effet, son plus grand émetteur – à la fois en nombre de SLB (30) et en montant de dette émis (30.2 milliards d’euros) – semble en passe de manquer un objectif clé lié à la dette. Les SLB sont des titres de créance qui sont généralement structurés comme des obligations classiques, mais avec quelques caractéristiques supplémentaires notables. Lors de la création de l'obligation, l'émetteur convient d'un certain nombre d'objectifs liés à la durabilité (indicateurs clés de performance (« KPI »)) – tels que la baisse de l’intensité du bouquet énergétique (aussi appelé « mix ») dans le cas d’Enel – dans un certain laps de temps. Les caractéristiques de l'obligation s’ajustent ensuite en fonction de la réalisation de ces indicateurs clés de performance. Ces changements concernent généralement le coupon de l'obligation, c'est-à-dire l'augmentation des intérêts dus sur l'obligation si l'émetteur n'atteint pas ses indicateurs clés de performance dans les délais convenus.

Contexte et indicateurs de développement durable liés à la dette d’Enel

L’électricien italien Enel a émis dix obligations assorties d'objectifs à atteindre en décembre 2023 (dont le montant de l’encours est d’environ 0.5 milliards d’euros – soit environ 37 % de sa dette en circulation émise sous format SLB) pour lesquelles la société devra probablement payer la pénalité. Les SLB, dont la date d’observation cible est fixée à 2023, sont liées à la réduction par Enel de l'intensité des émissions de scope 12  à 148 gCO2e/kWh. L'entreprise a réalisé des progrès significatifs en réduisant l'intensité de ses émissions de scope 1 de 372 gCO2e/kWh en 2018 à 214 gCO2/kWh en 2020, même si l’intensité du mix a par la suite légèrement augmenté.

Suite aux changements apportés à la politique énergétique européenne principalement motivés par le conflit Ukraine/Russie (ces derniers ayant retardé l’arrêt de certaines centrales à charbon), il est peu probable qu'Enel atteigne ses objectifs en matière d'émissions de carbone à la fin de l'année 2023 – comme également relevé par l’Anthropocene Fixed Income Institute (AFII). Par ailleurs, le 25 octobre dernier Enel a déclaré avoir conclu deux cessions annoncées quelques mois auparavant : elle vend premièrement l'ensemble de ses activités roumaines. Cette activité comprend la distribution, la fourniture et les services, mais aussi une capacité de production d'énergie renouvelable d'environ 600 MW. Enel vend également quatre parcs solaires au Chili, d'une capacité totale de 416 MW. Dans son dernier rapport trimestriel pour la période allant jusqu'à septembre 2023, Enel disposait d'une capacité renouvelable totale de 54,8 GW, soit 66 % de sa capacité de production : les cessions supprimeront donc environ 1,9 % de la capacité renouvelable d’Enel.

Conséquences directes

Il s'agirait de la pénalité la plus importante jamais infligée à un marché dont la première obligation a été émise par Enel en 2019. Elle pourrait entrainer une augmentation annuelle des coûts d'intérêt de l’entreprise de 27 millions de dollars. Les intérêts totaux représenteraient 1 % de la charge de la dette totale d’Enel. La probabilité de cet évènement souligne également la manière dont la crise énergétique, déclenchée notamment par l'invasion de l'Ukraine par la Russie, entrave les engagements des entreprises en matière de climat. D'autres émetteurs de SLB ont ressenti les retombées, comme Greece Public Power Corp. qui a déjà manqué un objectif similaire3.

Nous avons courant octobre pu observer une divergence des rendements de deux SLB d’Enel comparables avec une maturité à 2027 (l’un avec et l’autre sans target date 2023) indiquant potentiellement que le marché anticipait un « step-up » du coupon de 25bp sur celle dont la date d’observation cible est 2023. Cependant, le rallye de début novembre a effacé ce différentiel. De manière plus générale, la courbe d’Enel ne valorise pas aujourd’hui un « step-up » généralisé sur les dix SLB en question.

La principale menace liée à l’éventuelle non-atteinte de l’objectif serait que le marché revalorise intégralement la dette en circulation d’Enel, suite à une crédibilité de transition climatique endommagée, augmentant de ce fait le futur coût de la dette lors que l’entreprise viendra se refinancer. Les investisseurs obligataires valorisent aujourd'hui tous les SLB (ou presque) comme des obligations classiques, c'est-à-dire sans aucune probabilité qu'un « step-up » de coupon ne soit jamais activé, à la fois par simplicité de comparaison avec des titres sans « step-up », et par la difficulté d'estimer la probabilité d'atteinte des évènements de déclenchement, étant donné le grand nombre de sociétés émettrices et de titres pouvant avoir des cibles et des « step-up » différents pour un même émetteur.

Notre opinion

Il y a quelques mois, nous avons recalculé la trajectoire de décarbonation de l’entreprise via notre modèle Low Carbon Trajectory (LCT). Celle-ci illustre clairement la décarbonation drastique du mix d’Enel jusqu’en 2020 puis que son intensité remonte légèrement, pour atterrir à 229 gCO2e/kWh en 2022. Notre couloir de confiance montre qu’au vu des investissements réalisés par l’entreprise, nous ne nous attendions effectivement pas à ce qu’Enel atteigne son objectif.

Depuis, l’entreprise a communiqué qu’au S1 2023 ce chiffre s'élevait à 173 gCOe/kWh. Ce chiffre est inférieur d'environ 25 % à celui de la même période de l'année dernière, après qu'Enel ait vendu ses actifs russes4 . Malgré tout, nous n’avons pas connaissance d’investissements significatifs ou d’acquisitions qui permettraient à Enel de rebalancer son mix énergétique à temps. 

  • STEPS : Stated Policies Scenario
  • APS : Announced Pledges Scenario
  • NZE 2050: Net Zero by 2050 Scenario
  • “Couloir de confiance d’Enel”: le couloir que nous calculons sur la base des dépenses d’investissements et de l’avancement des projets liés à la construction ou reconversion des actifs physiques d’Enel. 

La croix rouge reflète l’intensité du mix d’Enel si elle parvenait à atteindre son objectif.

Cela étant dit, la trajectoire que nous avons calculée nous communique une autre information,primordiale : même dans l’éventualité où Enel n’atteindrait pas son objectif de 148 gCO2e/kWh d’ici la fin de l’année, nous sommes confiants que cela ne remet pas en cause l’alignement à 1,5°C de l’entreprise (l’aire bleu ciel - NZE2050 - représente le budget carbone restant de ce scénario). La vente des actifs précédemment mentionnée semble ne pas avoir été motivée par une perte d'intérêt pour l'énergie verte, mais s'inscrit à priori dans le cadre de la rotation ordinaire des actifs d'Enel et d'un réalignement stratégique entre les marchés. L'entreprise s’est fixée des objectifs climatiques de plus en plus ambitieux ces dernières années et représente depuis un leader du secteur. Elle a un engagement que nous estimons pertinent et fréquemment mis à jour en matière de développement durable. Le fait de ne pas atteindre l'objectif de fin 2023 ne devrait pas être considéré comme un changement dans la stratégie de l'entreprise, mais plutôt comme un « accident de parcours » dû à des facteurs exogènes.

Cette communication est destinée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF 2.

Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, entreprise régulée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n°18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management a été agréée par l'AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

Par Océane BALBINOT-VIALE, Analyste ESG senior, La Française AM

Pour une entreprise qui génère de l’électricité et de la chaleur, les émissions de scope 1 sont les émissions résultant de la production de celles-ci au travers des actifs sous contrôle de l’entreprise en question. Les émissions de scope 1 représentent actuellement environ 39% de l’empreinte carbone d’Enel https://www.enel.com/content/dam/enel- com/documenti/investitori/sostenibilita/2022/sustainability-report_2022.pdf

https://www.alliancebernstein.com/library/sustainability-linked-bonds-the-good-the-bad-and-the-ugly.htm

4 Enel Sells Russian Unit as Gas Standoff with Europe Intensifies (Bloomberg).

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news-3646 Mon, 04 Dec 2023 16:51:26 +0100 Marché immobilier d’entreprise européen – les prémices d’un rebond prochain ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-europeen-les-premisses-dun-rebond-prochain/ Alors que, depuis plusieurs trimestres, les marchés immobiliers européens s’ajustent au nouvel environnement financier, certains segments semblent avoir trouvé un nouvel équilibre qui pourrait servir de base à un rebond des volumes d’investissement à court terme puis des valeurs à moyen terme. Tous les marchés immobiliers subissent la hausse des taux financiers et des coûts de financement mais certains s’ajustent plus rapidement. Ainsi alors que l’activité continue globalement à plonger, elle se stabilise voire repart à la hausse dans d’autre. De manière similaire, si les taux de rendement continuent à augmenter dans la plupart des marchés, un consensus semble avoir été trouvé sur plusieurs autres, comme la logistique en Allemagne ou les commerces au Royaume-Uni. La France, elle qui traditionnellement fait preuve de plus d’inertie, continue à afficher un marché en transition.

Des volumes d’investissement, les premiers signes d’une reprise ?

La position attentiste des investisseurs et des prêteurs en début d’année s’est traduite par des volumes d’investissement en fort recul sur les neuf premiers mois de l’année. Ce recul est particulièrement marqué sur le segment des grandes transactions, caractérisé par un plus fort recours au financement.

Sur un an, les volumes d’investissement en Europe restent orientés à la baisse avec un recul de 55 % en moyenne ; -50 % pour le Royaume-Uni, -52 % pour la France et -60 % pour l’Allemagne. La part des bureaux s’établit, fin septembre, à 30 % des volumes investis en 2023 alors qu’elle atteignait 51% en 2019. Celle des actifs de diversification continue de progresser pour atteindre 24 % fin septembre 2023.

Quelques exceptions existent, notamment en Allemagne et aux Pays-Bas, où les volumes d’investissement repartent à la hausse, avec un rebond d’environ 30 % sur le trimestre. Moins rapide que ses voisins dans la phase d’ajustement des prix, le marché français subit la concurrence d’autres pays européens qui commencent à présenter des opportunités intéressantes.

Des rendements de bureaux « prime » qui suivent la hausse des taux

Dans le sillage de la dixième hausse d’affilée des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne, les taux de rendement immobilier continuent d’augmenter partout en Europe. Par ailleurs, le coût élevé de la dette se traduit par un effet de levier négatif dans beaucoup de pays européens. Les taux de rendement de bureaux « prime » ont ainsi augmenté de 10 à 50 pbs sur le dernier trimestre, portant ainsi la hausse sur un an entre 35 et 170 pbs (Dublin 35 pbs, Londres 50 pbs, Paris 75 pbs, Bruxelles 75 pbs, Munich 150 pbs). En logistique, les taux de rendement prime ont augmenté en moyenne de 7 pbs sur le trimestre, laissant entrevoir un point d’entrée intéressant sur une classe d’actifs qui présente des fondamentaux locatifs bien orientés.

La hausse des taux de rendement varie au sein d’un même marché en fonction de la qualité et de la localisation des actifs. Une prime de risque additionnelle dépassant 150 pbs est souvent attendue par les investisseurs pour les actifs situés en périphérie. La tendance est la même pour les actifs dits obsolètes, tant en termes de durabilité que de fonctionnalité.

Une progression de l’offre difficile à inverser

A l’instar de l’Allemagne et face au ralentissement économique, les enjeux de réduction des coûts priment pour les entreprises. La demande placée* des principaux marchés de bureaux européens recule de 21 % sur un an, notamment en raison d’une réduction des surfaces prises à bail. Certains marchés, comme Paris, Lyon ou Amsterdam, voient toutefois leur demande se stabiliser voire progresser au troisième trimestre. Les entreprises recherchent en priorité des actifs de qualité, offrant des espaces de taille plus réduite et bénéficiant d’une bonne accessibilité.

En Europe, l’offre de bureaux progresse de 4 % sur un trimestre, portant la hausse sur un an à 14 %. Certains marchés se distinguent, comme Bruxelles, Amsterdam et Milan, où leur offre diminue au troisième trimestre.

Polarisation des marchés locatifs avec l’émergence d’un entre-deux

Le phénomène de polarisation des marchés locatifs évolue concomitamment à l’émergence d’un troisième segment. Jusque-là, le marché locatif s’orientait autour de deux pôles :

  • les actifs haut de gamme situés dans des localisations centrales où l’offre se raréfie exerçant des pressions haussières sur les loyers. Partout en Europe, à l’exception du UK, les loyers prime augmentent au troisième trimestre ; et
  • les actifs secondaires en périphérie où l’offre abondante continue de progresser, faisant baisser leurs valeurs locatives.

Au fur et à mesure que l’environnement économique s’assombrit, émerge un segment intermédiaire qui offre des solutions pour les entreprises recherchant des espaces haut de gamme, performant sur un plan environnemental et à loyers concurrentiels (du fait de leur localisation en périphérie).

La progression des taux de vacances en Europe fait ressortir un problème d’inadéquation de l’offre, tant en termes de localisation que de qualité. L’offre continue de progresser dans les périphéries mais recule dans les localisations centrales, à l’image des quartiers centraux des affaires de Paris ou Munich qui affichent des taux de vacance respectifs de 2,1% et 0,6% alors que la vacance en périphérie s’approche des 20 %. L’offre future est traversée par deux courants contraires. D’un côté le volume de libérations attendues dans les prochains 24 mois est relativement élevé et vient nourrir l’offre de seconde main alors que la production d’offre neuve est en nette diminution. Dans la région du Grand Paris, par exemple, pour chaque m² d’offre de bonne qualité correspond 2,5m² d’actifs vieillissants.

Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. Novembre 2023

Sources : CBRE, Trading Economics, MBE, La Française REM Research

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news-3645 Wed, 20 Sep 2023 09:30:00 +0200 Dérèglements climatiques : de la nécessité de s’adapter en gestion d’actifs immobiliers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/dereglements-climatiques-de-la-necessite-de-sadapter-en-gestion-dactifs-immobiliers/ Les épisodes extrêmes tels que vague de chaleur et inondation se multiplient et s’amplifient sous l’effet du changement climatique. Quels sont les risques mesurés en matière de gestion d’actifs immobiliers et comment s’adapter ? La Française Real Estate Managers mène une stratégie d’adaptation aux risques climatiques physiques visant à pérenniser l’exploitation de l’immeuble au bénéfice des locataires et à renforcer la résilience des flux locatifs au profit des investisseurs. Des phénomènes extrêmes plus fréquents et plus intenses

La période estivale 2023 ressort au 4ème rang des étés les plus chauds depuis 1900 derrière 2003 et 2022 et quasi ex-aequo avec 2018. La température moyenne a été de 21,8 °C, supérieure à la normale de +1,4°C, avec des températures mensuelles moyennes au-dessus des normales de saison sur les 3 mois d’été.1 

D’après le GIEC 2 , La France est située dans la partie ouest de l’Europe occidentale affectée par des événements climatiques extrêmes plus chauds et plus humides et, selon les régions, plus de précipitations ou des situations sèches propices aux feux de forêts.

Plus largement, le nombre d’événements climatiques extrêmes a augmenté de plus de 250 % depuis la période 1980 à 2013, et cette tendance à la hausse se poursuit. Face à ces évolutions climatiques, il est nécessaire pour le secteur du bâtiment de s’adapter. Les risques climatiques affecteront tous les aspects d’un bâtiment : sa structure, ses utilisations, son accessibilité, la fourniture de services, mais aussi la sécurité, la santé et le bien-être de ses occupants.3 

Ainsi l’accélération manifeste du réchauffement climatique, marqué par des variations météorologiques et des amplitudes de températures élevées, précipite le calendrier d’adaptation du secteur immobilier avec un horizon de temps d’autant plus réduit.

La maîtrise des risques en matière de durabilité : un enjeu majeur

Le règlement européen SFDR définit les risques en matière de durabilité comme tout événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de gouvernance qui s’il survient pourrait avoir une incidence négative importante, réelle ou potentielle, sur la valeur de l’investissement. Ainsi les impacts matériels et sociaux des phénomènes météorologiques extrêmes constituent un risque pouvant exercer une influence plus ou moins significative sur la performance des investissements immobiliers.

En matière de gestion d’actifs immobiliers, La Française REM (LF REM) a identifié les principaux risques de durabilité auxquels elle est exposée pouvant impacter les bâtiments et leurs occupants et mène en conséquence une politique active des risques physiques liés au changement climatique : vague de chaleur, sécheresses, tempêtes et vents violents, inondations, grands froids, …

Ainsi, pour limiter les risques de durabilité, LF REM a fait le choix en 2023 d’un outil d’analyse de vulnérabilité des actifs immobiliers - « Resilience For Real Estate » (R4RE) développé par l’Observatoire de l’Immobilier Durable  - combinant l’exposition des actifs immobiliers (emplacement du bien) et leur sensibilité (mode de construction, équipements techniques, usage, …).

En 2022, l’analyse des risques physiques du portefeuille immobilier de La Française REM a porté en particulier sur 5 aléas climatiques dont les vagues de chaleur (risque de dégradation du confort thermique et d’endommagement des réseaux). Il est ressorti que moins de 7% des actifs LF REM présentent une vulnérabilité forte à l’aléa vague de chaleur en 2022.

En 2023 et 2024, La Française complétera son analyse de vulnérabilité notamment sur les aléas climatiques suivants : tempêtes et vents violents, grands froids. Et parmi ses objectifs la société de gestion se fixe de réaliser une analyse de vulnérabilité sur 80% des actifs immobiliers gérés directement par LF REM en 2023 contre 67% des actifs gérés directement en 2022. A l’issue de l’analyse un plan d’action est défini si nécessaire.

Prévenir plutôt que guérir : source de performance et impact social positif

Grâce à une intégration des critères ESG et climat dans les processus d’investissement de manière aussi systématique et rigoureuse que les données financières, la société de gestion limite les risques par la réalisation d’audit ESG-Climat préalable à toute acquisition. Cette phase essentielle permet d’inclure le coût des éventuels investissements nécessaires à l’amélioration des caractéristiques durables des actifs dans les business plans et ainsi de refléter dans les prix d’acquisition proposés un « green premium » ou un « brown discount ».

Pour les projets de construction ou les opérations de restructuration, une analyse de conformité à la charte de construction durable de La Française REM est réalisée ; elle inclut notamment des mesures d’adaptation au changement climatique. Des pratiques immobilières durables peuvent non seulement permettre de protéger voire d’accroître la valeur des actifs immobiliers mais aussi d’améliorer le confort et bien être des locataires.

L’engagement de l’ensemble des acteurs du secteur immobilier est primordial. C’est pourquoi La Française REM, en tant que société de gestion d’actifs responsable et engagée, se mobilise auprès de ses parties prenantes (associés, investisseurs/distributeurs, locataires/occupants, fournisseurs et prestataires de travaux, property managers, collaborateurs, …) pour accompagner les transitions en informant, sensibilisant et fédérant sur la nécessité de la prise en compte des critères de durabilité et de gestion des risques climatiques.

Pour en savoir plus consultez notre dernier rapport « Stratégie Climatique et Responsable » Groupe La Française et notre site en matière d’Investissement Immobilier Durable.

Bilan climatique de l’été 2023 : 1er juin – 31 août, source Météo France

2 1er groupe de travail, 2021

3 Rapport international sur l’adaptation au changement climatique : « Buildings and Climate Change Adaptation : A Call for Action », source OID et GlobalABC

4 R4RE est une plateforme cartographique d'analyse de résilience proposée par l'Observatoire de l'Immobilier Durable (OID) comprenant notamment un outil d'analyse de risques climatiques, Bat-ADAPT.

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news-3643 Wed, 29 Nov 2023 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers négocie le refinancement de l’immeuble de bureaux SO OUEST, à Levallois-Perret (92, région parisienne) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-negocie-le-refinancement-de-limmeuble-de-bureaux-so-ouest-a-levallois-perret-92-region-parisienne/ La Française Real Estate Managers (REM) a signé le refinancement de So Ouest, un immeuble de bureaux prime situé 35 rue d’Alsace à Levallois-Perret, en région parisienne. L’équipe asset management de la division institutionnelle de La Française REM, agissant pour le compte d’un investisseur institutionnel coréen, a négocié le refinancement auprès d’Helaba et de DekaBank, agissant en qualité de co-prêteurs ; Helaba étant l’Agent. Conçu par Glaiman & Epstein et entièrement développé entre 2009 et 2011, l’immeuble de bureaux SO OUEST développe une superficie totale de 33 252 m2, répartis sur 22 étages supérieurs. Avec un restaurant privé, une cafétéria, une salle de conférence de 171 places, des salles de réunion et de réception, une terrasse accessible et une loge de concierge, il dispose de nombreux services.

David RENDALL, Directeur Général de la Division Internationale de La Française REM, a déclaré : « Après la location de 32 000 m2 de SO OUEST l’an dernier dans le cadre d’un renouvellement de bail de 12 ans pour environ 26 700 m2 signé avec SAP et de baux à long terme pour près de 5 000 m2 avec Industrious et Meiyume, cette opération de refinancement reflète clairement un niveau élevé de confiance dans nos capacités de gestion d’actifs et la valeur sous-jacente de l’actif. »

Philippe DEPOUX, Président de La Française REM, a déclaré : « Dans une période d’incertitude sur les marchés et de taux d’intérêt élevés pour longtemps, La Française REM redéfinit la gestion d’actifs pour attirer les locataires, réduire la vacance, protéger les actifs et soutenir la valorisation des actifs. Je tiens à féliciter personnellement notre équipe de gestion d’actifs, Xavier BARREYAT, Cédrick BECKER et Valentin BIESSY pour la gestion de SO OUEST. »

Pour cette opération, La Française Real Estate Managers a été conseillée par Ashurst sur le volet juridique et Flusin Miralles Esteve sur les aspects notariaux.

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news-3641 Thu, 30 Nov 2023 09:00:00 +0100 Thomas OSTRÉ nommé Head of Business Development – Middle East et Global Financial Institutions Relationship Manager de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/thomas-ostre-nomme-head-of-business-development-middle-east-et-global-financial-institutions-relationship-manager-de-la-francaise/ Paris, le 30 novembre 2023 – La Française, groupe de gestion d’actifs avec plus de 45 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 30/06/2023), a le plaisir d’annoncer la nomination de Thomas OSTRÉ en tant que Head of Business Development – Middle East et Global Financial Institutions Relationship Manager de La Française, sous la direction de Gerardo DUPLAT, Head of International Business Development. Gerardo DUPLAT déclare, « A l’image de La Française, Thomas est un expert cross-asset : actifs réels et actifs financiers. Son parcours professionnel lui confère une grande aisance dans les relations transfrontalières. Convaincus du potentiel de développement du Moyen Orient et du segment des Global Financial Institutions, nous renforçons notre dispositif et sommes en ordre de marche pour soutenir nos objectifs de croissance à l’international. »

Thomas OSTRÉ, 34 ans, Head of Business Development – Middle East & Global Financial Institutions Relationship Manager de La Française

Thomas a neufs ans d’expérience dans la gestion d’actifs. Il a débuté sa carrière avec La Française en tant que Marketing Product Manager en 2014 et très rapidement rejoint la distribution avec Fred Alger Management à Londres, en qualité d’International Sales Manager.

Fort de son expertise produit, Thomas a su développer les segments Institutionnels et Wholesale au UK tout en accompagnant le développement de Fred Alger Management à l’international (Europe/Asia). Après quatre ans passés à Londres, il retourne à Paris et est nommé International Real Estate Business Development Manager à La Française, développant l’offre immobilière auprès d’une clientèle institutionnelle en Europe, EMEA et Canada.

Thomas OSTRÉ est titulaire d’un Bachelor of Economics and Management de La Sorbonne Université (Paris) et d’un Master en management de l’Ecole supérieure de commerce de Rouen. Il était Major de sa promotion de Master Management Immobilier de l’ESSEC Business School (Paris/Singapore). Thomas est membre de la RICS. 

 

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news-3638 Wed, 22 Nov 2023 18:24:17 +0100 COP28, retrouver le chemin perdu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop28-retrouver-le-chemin-perdu/ Les négociations climatiques reprennent le 30 novembre à Dubaï dans un contexte d’évènements météorologiques violents, de conflits géopolitiques et de plus en plus d’examen public sur l’intégrité des engagements annoncés. La question se pose comme chaque année sur le pouvoir de surprise et de rupture de la COP. Sortie de route

Globalement, le « World Meteorological Organisation » estime que la température moyenne de la surface de la terre entre 2023 et 2027 est attendue comme supérieure de 1,1°c à 1,8°C par rapport à la moyenne de la fin du 19ème siècle. Une grande partie de cette hausse résulte de nos actions
récentes. Les résultats du rapport « global stocktake1 » (qui évalue le retard pris par rapport aux ambitions de 2015 et des accords de Paris) note spécifiquement que 42% des émissions générées depuis 1850 proviennent de la période 1990-2019. Force est de constater que pour garder vivant l’objectif de 1,5°C, des politiques et engagements financiers plus ambitieux sont nécessaires.

Après plusieurs années de stagnation, voire de désillusions, cette COP a besoin de démontrer que les négociations climatiques sont toujours adaptées et peuvent apporter un réel changement, à la hauteur du challenge. Rappelons que la trajectoire de 1,5°C nécessite maintenant que les émissions mondiales baissent de 43% d’ici à 2030 vs 2019 et de 60% d’ici à 20351. Pour mémoire, depuis les accords de Paris, les émissions de CO2 étaient en hausse nette à 2021 et doivent atteindre leur sommet avant 2025 pour que la trajectoire soit envisageable.

Quelles attentes pour la COP28 ? 

La présidence de la COP28 veut mobiliser les contributions publiques et privées sur les zones d’actions suivantes qui pourront contenir plus ou moins de rupture en leur sein :

  1. Sur les sujets plus traditionnels de transition énergétique, l’attention va se porter sur l’accélération de la sortie du charbon qui n’est pas attendue comme la source d’une surprise positive. En effet, les projections de l’AR6 (Sixth Assessment Report du Intergovernmental Panel on Climate Change) montrent qu’un alignement avec 1,5°C nécessiterait 67 à 82% de réduction de l’usage de charbon à 2030 vs 20192. Cet nuances de syntaxe laissent encore de la marge à l’action.
  2. En revanche, il semblerait que nous pourrions nous attendre à un engagement de l’industrie pétrolière de réduire leurs émissions de Scope 1 et 2 de moitié et de viser le zéro émissions de méthane dans la chaine de valeur.
  3. Coté capacité de remplacement, nous nous attendons également à un engagement de triplement de la capacité de renouvelables mondiale d’ici à 2030. Il faut savoir que la tendance ici est bien positive et s’appuie sur la baisse massive des prix unitaires de l’énergie entre 2010 et 2019 avec 85% de réduction pour le solaire et 55% pour l’éolien en moyenne.
  4. Au sein du secteur financier, une des plus grandes désillusions est l’engagement autour de la mobilisation des financements publics et privés pour la lutte contre le changement climatique qui devait atteindre 100 milliards de dollar par an en 2020 et qui après un premier échec, n’a pas été atteint depuis. Cependant, d’après le « 5th biennial high-level ministerial dialogue on climate finance », il est possible que l’objectif soit enfin atteint cette année, ce qui pourrait rallumer une lueur d’espoir car cet indicateur a souvent été utilisé comme reflet des ambitions climatiques. Les parties s’attendent maintenant à ce que de plus grands engagements soient pris dans le financement de l’adaptation au changement climatique et des pays les plus vulnérables.
  5. Le ‘stocktake’ mentionne que les créations d’emplois liées à la transition énergétique seraient 3.5x supérieures aux suppressions de postes à 2030. En effet, de véritables progrès pourraient découler de la notion de transition juste, qui est inclusive de la nature et de l’humain.
  6. Lors de la COP27¸ les océans et les forêts ont fait leur apparition dans les négociations, au titre de leur interconnexion fondamentale avec le changement climatique. La santé, que ses répercutions soient sur les humains ou sur notre système agricole, devrait être formellement mentionnée pour la première fois lors de la prochaine COP puisqu’en effet le changement climatique chamboule les systèmes de santé actuels : incidence plus élevée de coups de chaleur, des conditions de travail plus difficiles, une augmentation des maladies transmises via virus, une modification de la nutrition et des rendements des cultures.

Une chose est clairement différente cette année et elle réside dans la conscience générale de l’insuffisance de l’action. Le « Global Stocktake » a pour objectif de suggérer des politiques plus ambitieuses qui pourraient  apporter la mesure nécessaire à une conversion positive de cette 28ème édition de la COP. Sans enfoncer de portes ouvertes, la clé de notre succès pour garder 1,5°C vivant réside dans une coopération internationale autour d’ambitions domestiques coordonnées qui dépassent le débat de la discrimination par la contribution historique mais se concentre sur le bénéfice plus uniforme pour les générations futures. « Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux au changement ».

« Le Global Stocktake est conçu comme un mécanisme d'évaluation périodique et régulier des progrès mondiaux réalisés dans la réalisation des objectifs de l'Accord de Paris. Il prend en compte les progrès réalisés par les pays liés à la mise en œuvre de l'Accord. »

Par Marie LASSEGNORE.

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news-3637 Wed, 22 Nov 2023 11:59:33 +0100 Eliana de Abreu, Directrice générale de Crédit Mutuel Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/eliana-de-abreu-directrice-generale-de-credit-mutuel-asset-management/ Crédit Mutuel Alliance Fédérale proposera au Conseil d’administration de Crédit Mutuel Asset Management la nomination d’Eliana de Abreu en qualité de Directrice générale de la société de gestion. Eliana de Abreu aura la responsabilité des gestions et du développement de la gamme de produits, intégrant une expertise extra-financière cohérente avec les ambitions d’un asset manager durable. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Eliana de Abreu a vocation à rejoindre également Groupe La Française dirigé par Guillaume Cadiou, en tant que membre du Directoire . Elle contribuera à la construction de la ligne métier gestion d’actifs  de Crédit Mutuel Alliance Fédérale au sein d’un modèle multi-boutiques. L’ensemble constituerait un acteur majeur dans le paysage français de l’Asset Management, représentant 166 Md€ d’actifs sous gestion (au 31/12/2022), présent en Europe, actif en Asie et proposant une large gamme d’expertises complémentaires incluant les actifs côtés, les actifs réels et la gestion alternative.

« Présente au sein de la société de gestion depuis 2002, Eliana de Abreu a grandement contribué au développement de l’expertise extra-financière de Crédit Mutuel Asset Management, thématique au cœur du dispositif de croissance de la société de gestion. Eliana sera un atout majeur pour soutenir le développement de notre ligne métier gestion d’actifs. » déclare Daniel Baal, directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.

Jusqu’alors Directrice des gestions, Eliana de Abreu succèdera à Claire Bourgeois en tant que Directrice générale de Crédit Mutuel Asset Management.

Eliana de Abreu, Directrice générale de Crédit Mutuel Asset Management

Eliana de Abreu a plus de vingt ans d’expérience dans la gestion d’actifs. Elle a débuté sa carrière en 2000 en tant que gérante monétaire chez Dresdner RCM Gestion. En 2002, elle a rejoint Crédit Mutuel Asset Management en tant que gérante obligataire sur les expertises aggregate, crédit, inflation et convertibles. Elle est promue Directrice de la gestion taux en 2018 puis Directrice des gestions en 2021, en charge de soixante-dix collaborateurs et 
trois-cents fonds représentant 70 milliards d’euros en actifs sous gestion (fin 2022), dont le département de Finance Responsable.

Eliana de Abreu, 46 ans, est titulaire du Magistère Banque, Finance, Assurance de l’Université Paris Dauphine ainsi que d’une double licence de mathématiques appliquées et d’économie de la même université.

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news-3636 Fri, 10 Nov 2023 17:25:04 +0100 Alerte Fraude du 10/11/2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alerte-fraude-du-10-11-2023/ Nous constatons une usurpation d’identité de notre filiale La Française AM Finances Services associée au site internet frauduleux : Guide-placement.com Ce site propose notamment des offres d’épargne : « Épargne à 6,99% par an ! Guide Placement 2023 (guide-placement.com) ». 

Il s’agit d’un site frauduleux !  Inscrit sur les listes noires de l’ACPR et AMF.  

Aussi nous attirons votre attention sur le danger de recourir à ce site et sollicitation(s) qui pourraient survenir à cette issue : 

  • pour la souscription de produits financiers fictifs ou frauduleux, 
  • pour le partage de vos données personnelles, 
  • pour le paiement de souscription par versement vers des banques étrangères 

Ne cliquez pas sans vérification préalable lorsque vous êtes sollicités directement par e-mail, téléphone ou quelque moyen que ce soit pour vous proposer une offre d’épargne sur ce site.

Nous vous invitions à prendre connaissance de la page Fraude du groupe La Française en cas de doute  : https://www.la-francaise.com/fr/nous-connaitre/groupe-la-francaise/lutte-contre-la-fraude/  

En toute circonstance, lorsque vous souhaitez souscrire, faites confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers en nous contactant directement à l’« adresse site contact ». Nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé. 
 
Prenez connaissance des mises en garde, des listes noires de sociétés et sites non autorisés publiées par l’AMF ou de l’ACPR

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news-3635 Fri, 10 Nov 2023 16:39:03 +0100 Caroline GUIRAUD nommée Responsable Animation Locative de La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/caroline-guiraud-nommee-responsable-animation-locative-de-la-francaise-real-estate-managers/ Paris, le 14 novembre 2023 – La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 30/06/2023), a le plaisir d’annoncer la nomination, avec prise d’effet au 05/09/23, de Caroline GUIRAUD en qualité de Responsable Animation Locative au sein de la Cellule de Transformation de l’Offre Locative de La Française REM, sous la direction de Jean-Marie CELERIER. Caroline sera en charge de la définition et de la mise en œuvre des programmes d’animation à destination des locataires existants, des prospects locatifs ainsi que des partenaires de La Française REM : commercialisateurs, property managers, etc. Les programmes comprendront des actions d’étude marketing, d’acculturation et de communication pour contribuer à la performance locative des immeubles de La Française REM.

Jean-Marie CELERIER déclare, « Notre objectif est de toujours mieux répondre aux besoins des clients-locataires en matière d’usage des espaces et ainsi de soutenir le taux d’occupation de notre patrimoine immobilier. Le rôle de Caroline dans ce dispositif est central pour mener à bien notre mission et son expérience en matière de conseil en stratégie de commercialisation nous sera d’une grande valeur. »

Caroline GUIRAUD, 43 ans, Responsable Animation Locative à La Française Real Estate Managers

Caroline a dix-huit ans d’expérience dans la communication, dont huit ans dans la stratégie de Property Marketing. Elle a débuté sa carrière en communication dans le cabinet d’avocats d’affaires Freshfields Bruckhaus Deringer en 2005 avant de rejoindre l’agence conseil en communication AstonWood en 2006, d’abord en tant que Chef de projets 360° puis en tant que Directrice de projets. En 2014, elle co-fonde Vizitime.fr, une plate-forme collaborative d’activités touristiques et d’expériences locales. Puis en 2015, elle rejoint le conseil en immobilier d’entreprise JLL en tant que Responsable Property Marketing pour conseiller les investisseurs-propriétaires dans le cadre de leurs stratégies de commercialisation. 

Caroline GUIRAUD est diplômé de l’Institut Supérieur de Communication (ISCOM) et est titulaire d’un DUT Techniques de Commercialisation option marketing. 

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news-3632 Thu, 09 Nov 2023 09:00:00 +0100 Guillaume GENTINA nommé Responsable des Actifs Européens de La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/guillaume-gentina-nomme-responsable-des-actifs-europeens-de-la-francaise-real-estate-managers/ Paris, le 9 novembre 2023 – La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 30/06/2023), a le plaisir d’annoncer la nomination, avec prise d’effet au 6 novembre, de Guillaume GENTINA en qualité de Responsable des Actifs Européens, un rôle de référant, assurant le lien entre les équipes d’asset basées à Paris et celles à Londres et Francfort. Guillaume intègre le pôle Asset Management de la Direction Actifs Immobilier Entreprise, sous la responsabilité directe de Loïc Jardin, Directeur Asset Management. Loïc JARDIN déclare, « Dans le contexte actuel, La Française Real Estate Managers se distingue en capitalisant sur ses collaborateurs et en se renforçant avec l’arrivée de nouveaux talents. L’arrivée de Guillaume vient compléter le nouveau dispositif d’asset management de La Française REM. Composée de trois pôles, Bureaux, Commerces et Europe, confiés respectivement à Laurent ADRIEN, Eric DERENNE et Guillaume GENTINA, la Direction Asset Management de La Française REM est résolument orientée client et opérationnelle. » 

Guillaume GENTINA, 53 ans, Responsable des Actifs Européens de La Française REM

Guillaume bénéficie de vingt ans d’expérience dans la finance et l’immobilier, intervenant à chaque étape de la chaine de valeur : acquisition, asset management, arbitrage et gestion de portefeuille. En 2001, il rejoint General Electric Medical Systems d’abord en tant que Finance Manager puis en tant que Financial Planner et Analyst Manager. En 2005, il intègre General Electric Real Estate en tant que Senior Financial Planner Manager, responsable d’un portefeuille pan-européen de près de 14 milliards d’USD. En 2007, il rejoint DTZ Investors en tant que Client Relationship and Investment Manager avant d’être nommé Deputy Finance Manager de DTZ Investors France, en charge notamment du fund management pour compte de tiers sur le plan international. En 2011, Guillaume est promu Associate Director, responsable de l’asset management d’un portefeuille (bureaux, commerces, résidentiel et hôtels) de près de 4 milliards d’euros et en charge notamment de la mise en place d’un programme de sobriété énergétique.

Guillaume GENTINA est titulaire d’un Master of Business Administration de Manchester Business School et d’un Master of Science de l’Ecole Polytechnique Universitaire de Lille. 

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news-3631 Wed, 08 Nov 2023 17:00:00 +0100 Le point Macro Novembre 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-point-macro-novembre-2023/ Par François RIMEU, Stratégiste La Française Asset Management Un mois d'octobre tumultueux.


La hausse des taux s’est poursuivie en octobre de manière violente, spécialement aux Etats-Unis et dans les pays anglo-saxons, avec des parties longues de courbe qui ont beaucoup
souffert et une « désinversion » des courbes importante. Ces mouvements s’expliquent en partie par une économie américaine toujours bien orientée avec une croissance annualisée de 4,9% au 3ème trimestre, bien au-delà des prévisions des économistes et un marché de l’emploi qui ne montre que peu de signes d’essoufflement. Les autres raisons de cette correction obligataire sont les mêmes qu’au mois de septembre : des montants d’émissions importants à digérer, des primes de terme toujours faibles et des programmes de « quantitative tightening » qui se poursuivent.

Les actifs risqués ont logiquement réagi négativement à la poursuite de la hausse des taux réels avec des marchés abctions qui perdent entre 2 et 5% sur le mois et des actifs crédit qui se comportent de manière similaire. Comme illustré sur le graphique, le début du mois de novembre sera bien différent. Ces mouvements n’ont pas été sans conséquences. Les banques centrales ont notamment été très vocales concernant la hausse des taux longs, indiquant que cela participait à durcir les conditions financières et donc faisait baisser la nécessité pour elles de poursuivre leur cycle de hausse des taux. Ce constat est vrai aussi bien aux EtatsUnis qu’en Europe, hormis des surprises significatives à la hausse sur l’inflation dans les mois qui viennent.

Le mois d’octobre a aussi évidemment été marqué par le conflit au Moyen Orient dont une issue à court terme parait très improbable. Pour le moment, aucune conséquence pour les marchés et cela sera probablement le cas tant que le conflit ne s’étendra pas. L’histoire nous apprend en effet que les conséquences de ce type d’évènements sont, dans la majorité des cas extrêmement faibles, sauf en cas d’impact significatif sur les matières premières. Avec une guerre toujours en cours entre l’Ukraine et la Russie, c’est un deuxieme conflit armé d’envergure qui s’ouvre ici, et là encore, dans une zone potentiellement déstabilisatrice pour les matières premières énergétiques.

Le mois d’octobre à peine terminé, une série d’évènements a ensuite provoqué un rebond obligataire d’une violence rare, entrainant l’ensemble des classes d’actifs :

  • Annonce le 01/11 de la composition du programme d’émissions du trésor américain (« QRA ») avec globalement des émissions moins fortes que ce qu’estimait le marché.
  • ISM Manufacturing très décevant à 46,7.
  • FOMC qui n’apprend pas grandchose, mais qui est vu comme rassurant par le marché.
  • Chiffres de création d’emploi en dessous des attentes (mais potentiellement difficile à lire en raison des fortes grèves du mois d’octobre). [...]

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news-3630 Tue, 07 Nov 2023 12:30:00 +0100 Réintroduire la nature en ville par La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reintroduire-la-nature-en-ville-par-la-francaise-real-estate-managers/ Le développement de la ville Durable implique de reconsidérer la diversité du Vivant. La Française Real Estate Managers soutient la biodiversité pour (re)créer les conditions des bénéfices environnementaux et sociaux. Parce que la Nature est bien faite, l’accueillir avec attention devient source d’opportunités. Près de 10% des espèces vivant sur Terre sont condamnées à s'éteindre en raison d’un manque d'habitat pour leur survie à long terme1.

La perte de biodiversité figure parmi les limites planétaires majeures à respecter pour conserver un équilibre et permettre le développement d’un espace sûr et juste pour l’Homme. Le franchissement de cette limite représente un défi supplémentaire au regard des services écosystémiques que la nature procure et dont les sociétés dépendent. 

L’urbanisation fait partie des causes majeures de pression d’origine anthropique sur la biodiversité du fait notamment de la perte et de la fragmentation des habitats naturels et semi-naturels qu’elle engendre et du manque d’espaces végétalisés. Les bâtiments et leurs aménagements constituent une partie du lieu de vie des espèces urbaines et ont ainsi un impact potentiel sur la biodiversité2.

Ainsi sous le double effet d'exigences réglementaires et d'une demande de plus en plus forte de la part des citadins pour un meilleur cadre de vie, les villes évoluent et tendent à s'affirmer durables et résilientes.

S’engager en faveur de la ville Durable implique de reconsidérer le capital naturel

Dans le cadre de ses activités immobilières, La Française Real Estate Managers (LFREM) mène des actions pour protéger autant que possible la biodiversité. Au-delà des interrelations avec le changement climatique – bénéfices d’atténuation - réintroduire la nature en ville participe d’autres services dits culturels en raison de leurs apports esthétique et spirituel (confort de vie, bien-être, santé) et de leur fonction sociale.

LFREM intervient sur toutes les étapes d’un projet immobilier, de l’acquisition en VEFA ou d’actifs déjà livrés ou de restructuration lourde à l’exploitation à travers la réalisation d’audit ESG confié à un bureau d’étude environnement externe ou via la mise en application de ses différentes chartes à l’ensemble du patrimoine géré directement :

  • Construction neuve,
  • Gestion durable des espaces verts,
  • Achats responsables.


Pour protéger les espaces naturels LFREM s’attache à limiter sa participation aux pressions sur la biodiversité. Ainsi la société exclut toute acquisition située dans des zones protégées.

Par ailleurs, LFREM applique une politique de gestion durable des espaces verts gérés directement en considérant la typologie des espaces, l’esthétique et les usages. Les prestataires chargés de la gestion des espaces verts doivent s’engager sans réserve à appliquer cette charte dans le cadre de leur activité. La charte prévoit 4 principes majeurs :

  1. La préservation de la faune et de la flore locales.
  2. Une gestion zéro phyto (sans produits chimiques).
  3. La réduction des consommations d’eau.
  4. La valorisation des déchets verts.

« Nous évaluons régulièrement l’impact de nos actifs en vérifiant la part de nos espaces verts gérés de manière durable. Par ailleurs, nous avons introduit un nouvel indicateur de mesure de la faune et de la flore pour certains actifs de fonds labellisés ISR via l’outil « Resilience For Real Estate » (R4RE) développé par l’Observatoire de l’Immobilier. » 

Antoine Vincke, Directeur de l’ISR Immobilier LFREM 

La société cherche également à maximiser la surface végétalisée des bâtis (murs et toitures végétalisés) dès que cela est opportun pour favoriser la restauration de la biodiversité. Les prestataires sélectionnés s’engagent quant à eux à mener des actions en faveur de la restauration de la biodiversité.

Des paroles… et des actes !

Récemment LFREM a commandé une étude auprès d’un expert écologue pour son site d’Ecully, situé dans la métropole de Lyon. L’objectif : évaluer les enjeux écologiques et prendre en compte au mieux la biodiversité dans les aménagements et la gestion du site.

D’une surface totale d’1,17 hectare, ce site est composé d’un actif de bureaux et d’espaces verts. Sur une zone déjà construite, l’investissement existant n’a pas créé d’artificialisation du milieu naturel et du sol. Bordé par ailleurs d’un grand parc à proximité immédiate et de milieux boisés proches, ces espaces constituent respectivement soit une zone relai pour le déplacement de la faune et de la flore soit un corridor écologique des trames verte et bleue.

Un ensemble d’actions possibles pour améliorer le potentiel d’accueil du site en faveur de la biodiversité a été identifié. Ces actions ont été évaluées selon l’intérêt biodiversité et leur facilité de mise en place, puis selon leur niveau de priorité.

-46% : selon l’Observatoire National de la Biodiversité, les populations de chiroptères (chauves-souris) ont été réduites de près de moitié entre 2006 et 2014 en France.

En matière d’aménagement, plusieurs habitats pour la faune seront ainsi créés. Des nichoirs pour oiseaux et chiroptères seront installés sur des arbres et/ou sur les façades du bâtiment en respectant les recommandations de pose afin d’accueillir différentes espèces dont certaines protégées (martinets, mésanges).

La charte de gestion durable des espaces LFREM sera rigoureusement appliquée avec en premier lieu l’interdiction d’utiliser des produits phytosanitaires. La taille des haies sera adaptée pour limiter son incidence sur les espèces qui s’y reproduisent (éviter les tailles de mars à fin juillet). La fréquence des tontes sera moindre et différenciée et la hauteur de tonte plus importante afin de favoriser le développement d’espèces et conserver l’humidité au sol. Les nouvelles plantations végétales seront visées par un écologue. Le choix de ces dernières portera sur des essences locales non allergènes et frugales en eau. Une attention particulière sera portée à l’éradication d’espèces exotiques envahissantes afin de prévenir toute nouvelle présence.

La pollution lumineuse liée aux éclairages artificiels sera atténuée : durée d’éclairage du bâtiment réduite et orientation lumineuse vers le bas ; les projecteurs au pied des arbres seront quant à eux supprimés pour ne pas perturber la faune nocturne (activité de chasse de certaines espèces de chauves-souris lucifuges) ou diurne (repos des oiseaux qui nicheraient dans les arbres).

A moyen terme, LFREM poursuivra son plan d’action d’amélioration de la gestion et du potentiel biodiversité du site pour favoriser la faune et la biodiversité locale et limiter les consommations en eau via notamment l’installation de dispositifs de récupération des eaux pluviales par exemple.

Pour en savoir plus sur la stratégie biodiversité responsable de La Française Real Estate Managers, consultez notre rapport dédié Stratégie climatique et Responsable et notre synthèse Panorama Durabilité

Retrouvez l’ensemble des publications en matière d’investissement durable du groupe La Française en cliquant ici.

IPBES, 2019.

BIG by OID, octobre 2022

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news-3628 Tue, 07 Nov 2023 10:25:00 +0100 Face aux chiffres d’emploi aux Etats-Unis, la Fed doit-elle repenser sa lutte contre l’inflation ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/face-aux-chiffres-demploi-aux-etats-unis-la-fed-doit-elle-repenser-sa-lutte-contre-linflation/ Historiquement, pour casser une spirale inflationniste ancrée dans l’économie comme cela commence à être le cas aujourd’hui aux Etats-Unis, il faut provoquer à minima un fort ralentissement de l’économie et, la plupart du temps, une récession. La crise inflationniste des années 70-80s s’est terminée de cette façon quand l’ancien président de la Réserve Fédérale (Fed) Paul Volker a maintenu des taux directeurs élevés pour briser la spirale de hausse des prix, entrainant ainsi une récession en 1982. Cette stratégie a été adoptée en suivant les recommandations de l’économiste américain Milton Friedman, ce dernier rappelant également que l’inflation est avant tout un phénomène politique. Nous sommes aujourd’hui dans une situation similaire : l’inflation que nous connaissons aux Etats-Unis et ailleurs provient avant tout de décisions politiques. Dans son ampleur, la relance budgétaire décidée par le gouvernement américain depuis la crise du Covid ne connait que peu d’équivalents dans l’histoire moderne : la période d’après-guerre étant sans doute ce qui s’en rapproche le plus. Depuis 2020, le déficit budgétaire américain a été de -15.2% en 2020, -10.5% en 2021, -5.4% en 2022 et devrait avoisiner les -6% cette année (Source : Bloomberg). C’est colossal !

L’équilibre entre la politique budgétaire et la politique monétaire décidera in fine du devenir de l’inflation : tant que le gouvernement américain continuera de mener une politique budgétaire expansionniste, la Fed n’aura d’autre choix que de poursuivre sa politique monétaire restrictive pour éviter une surchauffe de l’économie et donc une poursuite de l’inflation.

L’inflation américaine est à fin septembre de 3.7% après avoir atteint plus de 9% en juin 2022, avec beaucoup de disparités entre les différents secteurs d’activité (Source : Bloomberg). La baisse des matières premières et les effets de base négatifs expliquent la grande majorité de cette baisse, mais ce n’est pas le seul facteur. La fin du choc d’offre lié à la crise du Covid a aussi permis à l’inflation sur les biens de fortement ralentir, celle-ci étant aujourd’hui proche de 0 sur les 12 derniers mois. Là aussi, la baisse des matières premières énergétiques a aidé à contenir la hausse des prix via les effets de second rang. Il faut d’ailleurs noter que les effets de base vont maintenant jouer de manière positive sur l’inflation, ce qui devrait entrainer une hausse de l’inflation liée à l’énergie et aux biens.

Le pan de l’économie qui pose encore des problèmes est celui des services avec des hausses de prix encore élevées à 5.7% au cours de l’année écoulée. Cela s’explique par la composante « OER » (« owner equivalent rent », l’équivalent loyer des propriétaires) dont les variations suivent avec retard celles constatées sur le marché immobilier. Toutefois, ce n’est pas le seul facteur explicatif. Si le secteur des services demande en effet beaucoup moins de transformation de produits que celui des biens et dépend donc moins des variations des prix des matières premières, il est en revanche beaucoup plus consommateur d’emplois. L’inflation salariale et l’inflation constatée dans le secteur des services sont donc intrinsèquement liées ; ce que l’on constate historiquement.

Il est donc logique pour la Fed de vouloir rééquilibrer la demande et l’offre d’emploi, condition nécessaire à un retour à une inflation proche des 2%. Mais la politique de la Fed n’a que peu d’impact sur l’offre d’emploi, qui elle dépend des politiques migratoires, de la démographie et des préférences de chacune des catégories des demandeurs d’emploi. Le seul levier de la Fed est donc d’essayer de jouer sur la demande d’emploi, et c’est ce qu’elle tente de faire en poursuivant une politique monétaire de plus en plus restrictive afin de ralentir l’économie.

La Fed a donc raison de poursuivre une politique monétaire restrictive afin de juguler l’inflation via une modération de l’inflation salariale, mais ce n’est pas le seul facteur qui décidera du devenir de l’inflation. Les décisions politiques seront aussi et sans doute plus importantes, que ça soit via des décisions visant à augmenter ou non l’offre d’emploi ou via des politiques budgétaires plus ou moins expansionnistes.

Concernant l’offre, après l’arrêt des flux migratoires durant le Covid, on voit que ceux-ci ont repris de manière assez vigoureuse, ce qui devrait aider à rééquilibrer le marché dans les mois qui viennent. De la même façon, la hausse du taux de participation constatée depuis quelques mois, en particulier chez la population des 55 ans et +, pousse également l’offre d’emploi à la hausse. De ce côté, cela devrait donc aider la Fed, même si il reste encore du chemin à parcourir.

En ce qui concerne les politiques budgétaires, il est en revanche difficile d’être très optimiste dans la mesure où il est électoralement suicidaire de mener des politiques dites restrictives (hausse d’impôts, baisse des aides, etc..), à fortiori dans une année électorale comme 2024. Si l’histoire est un guide, on peut aussi noter que les périodes d’instabilité géopolitique, comme celle que nous vivons actuellement, vont souvent de paire avec des déficit budgétaires importants. 

De François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM

Ces informations sont données à titre d’information. 

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news-3626 Thu, 02 Nov 2023 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un local d’activités à Saint-Jean-d’Illac (33) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-local-dactivites-a-saint-jean-dillac-33/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/06/2023), a acquis auprès de la SCI Porta Romana un local d’activités, sis 91 Impasse Johannes Kepler à Saint-Jean-d’Illac (33), à l’ouest de Bordeaux. Au cœur d’une zone industrielle regroupant plus de 300 entreprises, l’entrepôt est situé à 6 km de la Rocade et à 7 km de l’aéroport de Bordeaux. Il développe une surface totale de 3 960 m2, dont 500 m2 de bureaux. Les locaux, dotés d’équipements de production d’air froid et chaud très récents et performants, sont intégralement loués à une société spécialisée dans l’import de produits de la gastronomie italienne. A horizon 2028, il est également prévu l’installation de panneaux solaires sur l’actif.

Thierry Molton, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « La dernière tranche de cette opération, réalisée en trois phases, date de 2022. Nous bénéficions ainsi de la garantie décennale sur cet actif récent, qui répond aux derniers standards énergétiques. D’autre part, l’ancrage du locataire depuis 2010 favorise la maitrise du risque locatif. L’emplacement géographique du bien, à quelques kilomètres de Bordeaux est un atout majeur pour répondre à l’essor du e-commerce. » 

Cette acquisition, d’un montant légèrement supérieur à 4 millions d’euros, a été réalisée pour le compte d’un fonds collectif en immobilier.

La Française REM a été conseillée par l’étude 14 Pyramides Notaires ; le vendeur par l’étude notariale Meyssan et Associés. Les deux parties ont été conseillées par l’équipe investissement de régions de BNP PARIBAS REAL ESTATE TRANSACTION France.

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news-3620 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Carbon Impact 2026 (ci-après le « Compartiment » de la SICAV de droit français La Française) FR-BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-carbon-impact-2026-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 02 novembre 2023 : 
- Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 31/12/2024), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
- Par ailleurs, dans un but de diversifier et dynamiser les sources de rendement de la poche de liquidité du Compartiment, la société de gestion a décidé de rendre possible l’investissement jusqu'à 10% de son actif net dans des titres émis ou garantis explicitement par des Etats et/ou par des entités supranationales, banques multilatérales de développement, collectivités locales et régionales. L’univers d’investissement initial sera ajusté en conséquence. 

Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
 

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news-3617 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Carbon Impact 2026 (ci-après le « Compartiment » de la SICAV La Française) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-carbon-impact-2026-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-la-francaise/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 02 novembre 2023 : 
- Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 31/12/2024), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
- Par ailleurs, dans un but de diversifier et dynamiser les sources de rendement de la poche de liquidité du Compartiment, la société de gestion a décidé de rendre possible l’investissement jusqu'à 10% de son actif net dans des titres émis ou garantis explicitement par des Etats et/ou par des entités supranationales, banques multilatérales de développement, collectivités locales et régionales. L’univers d’investissement initial sera ajusté en conséquence. 

Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3616 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Carbon Impact 2026 (ci-après le « Compartiment » de la SICAV La Française) FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-carbon-impact-2026-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-la-francaise-fr/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 02 novembre 2023 : 
- Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 31/12/2024), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
- Par ailleurs, dans un but de diversifier et dynamiser les sources de rendement de la poche de liquidité du Compartiment, la société de gestion a décidé de rendre possible l’investissement jusqu'à 10% de son actif net dans des titres émis ou garantis explicitement par des Etats et/ou par des entités supranationales, banques multilatérales de développement, collectivités locales et régionales. L’univers d’investissement initial sera ajusté en conséquence. 

Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
 

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news-3615 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Carbon Impact 2026 (ci-après le « Compartiment » de la SICAV La Française) CH-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-carbon-impact-2026-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-la-francaise-ch-fr/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 02 novembre 2023 : 
- Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 31/12/2024), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs. 
- Par ailleurs, dans un but de diversifier et dynamiser les sources de rendement de la poche de liquidité du Compartiment, la société de gestion a décidé de rendre possible l’investissement jusqu'à 10% de son actif net dans des titres émis ou garantis explicitement par des Etats et/ou par des entités supranationales, banques multilatérales de développement, collectivités locales et régionales. L’univers d’investissement initial sera ajusté en conséquence. 

Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant. 

Représentant en Suisse : 
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich 

Agent payeur en Suisse : 
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich
 

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news-3610 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment » de la SICAV La Française) FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-global-coco-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-la-francaise-fr/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. La Française Asset Management, a décidé de réajuster l’univers d’investissement initial du Compartiment qu’elle considère comme trop large et qui n’est plus en adéquation avec les exigences du régulateur. 
Cette modification sera effective le 02 novembre 2023, n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’investissement ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3609 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment » de la SICAV La Française) CH-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-global-coco-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-la-francaise-ch-fr/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. La Française Asset Management, a décidé de réajuster l’univers d’investissement initial du Compartiment qu’elle considère comme trop large et qui n’est plus en adéquation avec les exigences du régulateur. 
Cette modification sera effective le 02 novembre 2023, n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’investissement ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant. 

Représentant en Suisse : 
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich 

Agent payeur en Suisse : 
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich
 

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news-3605 Fri, 27 Oct 2023 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Obligations Carbon Impact (ci-après le « Compartiment » de la SICAV La Française) - FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-obligations-carbon-impact-ci-apres-le-compartiment-de-la-sicav-la-francaise-fr/ Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. Afin de diversifier et dynamiser les sources de rendement de la poche de liquidité du Compartiment, la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de rendre possible l’investissement jusqu'à 10% de son actif net dans des titres émis ou garantis explicitement par des Etats et/ou par des entités supranationales, banques multilatérales de développement, collectivités locales et régionales. L’univers d’investissement initial sera ajusté en conséquence. 
Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.

Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3604 Wed, 25 Oct 2023 10:00:35 +0200 Suspension des ordres de rachat supérieurs à 2% du nombre des actions sur la Valeur liquidative du 31 octobre 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/suspension-des-ordres-de-rachat-superieurs-a-2-du-nombre-des-actions-sur-la-valeur-liquidative-du-31-octobre-2023/ Conformément au prospectus de votre SPPICAV LF OPSIS EPARGNE IMMOBILIERE, la Société de gestion vous informe que suite à des demandes de rachats d’associés d'un nombre cumulé d’Actions supérieur à deux pourcents (2%) du Nombre Total des Actions de la SPPICAV, calculé sur la base de la Valeur Liquidative précédent celle sur laquelle l’ordre devrait être exécuté (soit celle du 29 septembre 2023), les demandes de rachat ne seront pas exécutée(s) par la Société de Gestion pour la fraction des ordres de rachats qui excède au total deux pourcents (2%) du Nombre Total d’actions de la SPPICAV. 
 
Les ordres de rachat émanant de plusieurs Associés, chaque demande de rachat sera exécutée au prorata du nombre d’actions visé par la demande par rapport au nombre total d’actions des rachats demandés lors de la même Valeur Liquidative. 
 
La fraction de l'ordre de rachat non exécutée sera reportée à la Valeur Liquidative suivante et représentée dans les mêmes conditions que précédemment par la Société de Gestion, sauf instruction contraire de l’Associé concerné. 
 
Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.

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news-3603 Thu, 26 Oct 2023 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un commerce situé Place Masséna à Nice (06) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-commerce-situe-place-massena-a-nice-06/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/06/2023), a acquis auprès d’une société d’investissement privée un commerce situé en plein cœur de Nice (06), sur l’emblématique Place Masséna, à proximité de l’un des carrefours les plus fréquentés de la ville. Proche des transports en commun, le commerce se situe sous les arcades typiques de la place et bénéficie d’un linéaire de façade de 14 mètres. Le commerce, éclairé par LED, développe 868 m² répartis sur trois niveaux (R-1, RDC, R+1). 

Le commerce est loué dans son intégralité au groupe Roche Bobois, une entreprise spécialisée dans la conception et commercialisation de mobilier design haut de gamme.

Thierry Molton, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Cette acquisition constitue un bon complément à notre portefeuille d’actifs commerces par la qualité du locataire, la visibilité et l’emplacement prime de l’actif et plus généralement sa proximité avec de nombreuses enseignes de renom. » 

Cette acquisition, d’un montant de l’ordre de 9 millions d’euros « Acte en Main », a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Épargne Foncière.

La Française REM a été conseillée par l’étude 14 Pyramides Notaires ; le vendeur par Flusin & associés. Les deux parties ont été conseillées par Catella Property.

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news-3597 Thu, 19 Oct 2023 09:30:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux à Londres /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-londres/ Paris, le 19 octobre 2023 - La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Europimmo et Epargne Foncière, a acquis auprès de la branche immobilière britannique de Grosvenor un immeuble de bureaux, situé dans le quartier exclusif de Belgravia, au 10 Ebury Bridge Road à Londres (SW1 8PZ). À quelques pas de la gare Victoria et de Sloane Square, l’immeuble est situé dans un quartier à usage mixte, composé de bureaux, de résidentiel, de maisons de ville de style Regency et géorgien, de commerces haut de gamme et de jardins verdoyants.

Conçu par le cabinet d’architectes londonien Rolfe Judd, l’immeuble de bureaux a été construit en 1992 et offre 5 815 m² de bureaux modulables et de locaux annexes répartis entre l’entresol, le rez-de-chaussée et six étages supérieurs. Situé au sein d’un îlot, l’immeuble est l’un des rares immeubles de bureaux indépendants (offrant des douches, une cantine, une station de recharge pour véhicules électriques, des espaces protégés pour les vélos) dans le quartier de Victoria. L’immeuble est entièrement loué, dans le cadre d’un bail de 15 ans expirant en 2038, à une multinationale italienne du secteur de l’énergie qui en a fait son siège londonien il y a plus de trente ans.

Le bâtiment bénéficie d’une hauteur de dalle à dalle de 3,60 mètres. Les bureaux jouissent d’une bonne lumière naturelle avec des vues sur Londres dans les étages supérieurs, en plus d’un grand atrium central qui offre des cours paysagées au niveau du rez-de-chaussée et de l’entresol. Des travaux de rénovation, qui devraient être achevés prochainement, ont été entrepris par le locataire afin d’améliorer la performance énergétique des bâtiments et la qualité de l’espace de travail.

Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Comme il s’agit de l’un des rares immeubles de bureaux indépendants de Belgravia, la rareté du produit, ainsi que le renommé du locataire, la durée du bail et le potentiel de conversion à d’autres usages commerciaux devraient soutenir la valeur à long terme de l’investissement. De plus, comme il s’agit de notre première acquisition dans le West End de Londres, l’actif vient compléter notre portefeuille londonien existant. »

La Française Real Estate Managers a été conseillée par RX London, Ashurst sur les aspects juridiques, fiscaux et financiers et CS2 pour la due diligence technique et environnementale. Le vendeur, Grosvenor, a été conseillé par JLL.

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news-3595 Tue, 17 Oct 2023 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers rejoint le bureau de l’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rejoint-le-bureau-de-lobservatoire-de-limmobilier-durable-oid/ La Française Real Estate Managers (REM) rejoint le bureau de l’Observatoire de l’Immobilier Durable (OID). Antoine VINCKE, Directeur de l’ISR Immobilier de La Française REM et membre du Conseil d’Administration de l’OID depuis 2021, a été élu Secrétaire de l’OID lors du conseil d’administration qui s’est tenu le 4 octobre 2023. Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate Managers, conclut « Nous sommes ravis de participer à la gouvernance de l’OID, dont La Française REM est membre fondateur. Cette nomination vient reconnaitre largement l’engagement pris par notre société de gestion de minimiser l’empreinte environnementale de notre parc immobilier qui représente 32 milliards d’euros actifs sous gestion. »

Antoine VINCKE, 46 ans, Directeur de l’ISR Immobilier de La Française REM.

Antoine a treize ans d’expérience dans l’immobilier durable. Il crée en 2010 THERMAVIVA, un bureau d’études thermiques et énergétiques. En parallèle, il était membre associé de l’Observatoire Climat Energie de Haute-Normandie (2011-2016) et Vice-Président de l’Association Normandie Eco-Entreprises (2014-2019). En 2021, Antoine rejoint La Française Real Estate Managers, en charge notamment de l’audit technique environnemental des actifs immobiliers.
 

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news-3592 Thu, 12 Oct 2023 09:00:00 +0200 Andrea Bertocchini est nommé Head of Benelux & Nordics de la Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/andrea-bertocchini-est-nomme-head-of-benelux-nordics-de-la-francaise/ Paris, le 12 octobre 2023 : La Française, groupe de gestion multi-expertises avec plus de 45 milliards d’euros en actifs sous gestion (30/06/2023), annonce la nomination, avec prise d’effet au 2 octobre, d’Andrea BERTOCCHINI au poste de Head of Benelux & Nordics. Andrea intègre la Direction du Développement International, sous la responsabilité de Gerardo DUPLAT, Head of International Business Development. Gerardo DUPLAT déclare, « Nous sommes heureux d’accueillir à nouveau Andrea BERTOCCHINI. Durant ses neuf ans au sein de La Française, il a joué un rôle déterminant dans le développement de plusieurs marchés européens, tous segments de clientèle confondus, identifiés comme prioritaires pour notre groupe de gestion d’actifs. Demain, il conduira la stratégie de développement des régions du Benelux et des Nordics en soutien des objectifs globaux de croissance du groupe. »  

Andrea BERTOCCHINI, 50 ans, Head of BENELUX & NORDICS de La Française

Andrea bénéficie de vingt ans d’expérience internationale dans la gestion d’actifs et apporte aux investisseurs une solide connaissance des actifs réels et cotés ainsi qu’une maîtrise des relations transculturelles. Il a débuté sa carrière chez Carmignac en 2003 au Luxembourg avant de rejoindre en 2006 Chahine Capital en tant que Institutional Sales Manager. En 2010, il rejoint BNP Paribas Real Estate Investment Management en tant que Business Development Manager – Benelux, Switzerland et UK, acquérant ainsi une expertise en immobilier qu’il mettra au service des investisseurs institutionnels pour leurs allocations. Andrea entame par la suite une longue expérience de neuf ans avec La Francaise durant laquelle il développe l’activité du groupe d’abord au Benelux, puis dans les Nordics et enfin en Italie. Avant de rejoindre à nouveau La Française en 2023, Andrea a passé deux années chez TOBAM en tant que Managing Director, Head of Sales EAFE. 

Andrea est diplômé d’Einaudi en Italie.

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news-3590 Tue, 10 Oct 2023 10:03:05 +0200 Les conséquences potentielles du conflit Israël-Palestine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/consequences-potentielles-du-conflit-israel-palestine-par-francois-rimeu/ Par François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM L’évolution à venir du conflit entre Israël et la Palestine est aujourd’hui extrêmement incertaine après les attaques terroristes en provenance du Hamas durant le week-end. Nous n’avons pas la prétention de savoir comment les évènements vont se poursuivre. Il nous semble toutefois probable que la situation ait des conséquences non nulles, conséquences que nous allons tenter de passer en revue ici :

  • La situation est explosive et elle survient dans un monde déjà en proie à de nombreux déséquilibres : climatique, migratoire, diplomatique entre la Chine et les Etats-Unis, lié au conflit entre la Russie et l’Ukraine, etc… L’ensemble de ces déséquilibres milite pour une volatilité importante sur les marchés financiers dans les mois qui viennent.
  • Le conflit ne devrait pas avoir d’impact direct sur la production de pétrole mais il pourrait déboucher sur des impacts indirects :
  • L’espoir de voir les relations entre Israël et l’Arabie Saoudite se normaliser à court terme a sans doute disparu. Les Etats-Unis travaillaient à ce rapprochement depuis des mois, ce qui aurait pu donner lieu à une augmentation de la production de pétrole de la part de l’Arabie Saoudite en début d’année prochaine ; cela n’arrivera sans doute pas.
  • Les Etats-Unis ont diminué le niveau de sanctions appliquées à l’Iran depuis un an, ce qui a permis une augmentation de la production de pétrole iranien. On estime cette hausse de production à 700.000 barils / jours (source Bloomberg). Il est possible que les sanctions américaines reprennent étant donné la proximité de l’Iran et du Hamas, avec comme conséquence une baisse des exportations de pétrole en provenance de Téhéran.
  • Les discussions ont été difficiles au cours des derniers mois entre républicains et démocrates américains au sujet du soutien à l’Ukraine : il est probable qu’elles le soient encore plus si le gouvernement américain doit « arbitrer » entre soutien à Israël et à l’Ukraine.

Nous n’en sommes heureusement pas encore là, mais il est toujours utile de rappeler qu’une guerre est par nature inflationniste et se traduit le plus souvent par des prix des matières premières en hausse. Les évènements du week-end pourraient ainsi rendre la mission des banquiers centraux encore plus difficile. 

Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3588 Tue, 10 Oct 2023 09:16:01 +0200 Sans l’intervention du privé, la route restera barrée pour atteindre les ODD /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/sans-lintervention-du-prive-la-route-restera-barree-pour-atteindre-les-odd/ Par Marie Lassegnore, CFA, Head of Sustainable Investments, La Française AM D'une grande portée, englobant des domaines tels que l'éradication de la pauvreté, le changement climatique, l'égalité des sexes et la croissance économique durable, les Objectifs de Développement Durable (ODD) représentent une vision mondiale commune pour un avenir plus inclusif, plus équitable et plus durable. Selon le dernier Rapport sur les ODD, le progrès est lent voire à contrecourant. En effet, seulement 15 % des objectifs de développement durable sont en ligne pour être atteints à échéance 2030 tandis que qu’une majeure partie stagne ou recule1. La principale cause soulignée est le manque de financement et d’allocation de capitaux privés aux Objectifs de Développement Durable dans l’environnement hyper inflationniste post Covid actuel.

Pour quantifier ce gap, le déficit de financement qui était de 4 000 milliards d’euros par an en 2020 dépasse désormais les 10 000 milliards d’euros par an2. Une situation d’autant plus alarmante que les délais de réponse pour atteindre les ODD à échéance 2030 se resserrent et l’environnement se complexifie. A titre d’illustration, l’ODD n°3 « Bonne santé et Bien-Etre » où la situation s’est dégradée avec 50% de la population mondiale qui n’a pas accès aux services de santé essentiels3. Plus de 380 millions de personnes ont été poussées encore plus loin dans l’extrême pauvreté à cause de dépenses de santé en 20194. Ou encore le taux de vaccination infantile qui a vu sa plus forte baisse depuis trente ans concomitamment à une hausse des décès liés à la tuberculose et la malaria par rapport à la période avant Covid5. Pour rattraper ce retard, les capitaux du secteur privé devront être davantage orientés vers le financement des systèmes de santé pour ainsi également participer à un avenir durable.

Il appartient donc au secteur privé d’identifier les partie-prenantes dans la promotion d’un service de santé ouvert à tous car la croissance démographique de la population mondiale aggravera les inégalités socio-économiques. La population mondiale en 2050 est estimée à près de 10 milliards de personnes6. Pour les pays développés, cela se traduirait par un budget santé égal à 14% du PIB, contre 6% aujourd’hui7. La redirection des capitaux privés vers la santé permettrait de combler le déficit de financement tout en créant des opportunités d’investissement. Par exemple, investir dans le développement des vaccins comme il a été fait entre 2015 et 2022, permettrait de générer un bénéfice économique de plus de 1 300 milliards d’USD d’ici à 20308. Ou encore le secteur de la télésanté pour lequel est attendu un taux de croissance annuel moyen de 20 % entre 2023 et 20309.  Les exemples ne manquent pas.

Les ODD dans le paysage de l’investissement

L'intégration des ODD dans les processus de prise de décision en matière d'investissement permettrait aux investisseurs de bénéficier des perspectives de performances tout en générant des résultats sociaux et environnementaux positifs. Les opportunités conciliant perspectives de performances et contributions positives sont nombreuses : à titre d’illustration, une entreprise biopharmaceutique américaine, spécialisée dans le traitement des maladies rares. Son objectif est d’approuver au moins cinq nouveaux produits, sur des besoins patients aujourd’hui délaissés, d'ici la fin de la décennie. La société offre des subventions pour l'enseignement médical et défend les initiatives de politique publique qui améliorent l'accès aux soins et les mesures d'équité en matière de santé. Elle fournit également un programme de médicaments gratuits pour les patients éligibles non-assurés aux Etats-Unis. Au cours de cinq dernières années, elle a réalisé une croissance de chiffre d’affaires et de résultat opérationnel de +20 % et +14 % par an respectivement. 

Autre exemple ; un acteur parmi les leaders mondiaux de services bio analytiques. Le groupe exploite des laboratoires de diagnostic clinique et offre des services de contrôle de qualité pour l’environnement, pour les produits alimentaires, pharmaceutiques et cosmétiques. Les perspectives de croissances sur ces segments sont notables, avec +8 % par an attendu sur les dix prochaines années sur les tests alimentaires et environnementaux et plus de 10 % par an sur la bio pharma. Au-delà d’accompagner la santé humaine, la société apporte des outils de lutte contre le changement climatique avec des solutions d’analyse dans tous les milieux (eau, air, sol). Dans l’agriculture par exemple, la société propose une nouvelle suite de tests de la teneur en carbone du sol destinés à aider la transition vers des pratiques plus durables. 

Le secteur privé est un partenaire essentiel dans la poursuite des Objectifs de Développement Durable. En s'appuyant sur ses forces propres, à savoir l'agilité, l'innovation et les capacités d'investissement, le secteur privé a le potentiel de conduire des changements transformateurs. Grâce aux financements, les entreprises peuvent aligner leurs stratégies et leurs opérations sur les ODD et avoir un impact social et environnemental positif tout en ouvrant de nouvelles perspectives de croissance durable. 

Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

Sources

  1. https://unglobalcompact.org/news/5143-09-14-2023
  2. UNGC_SDG_Stocktake_Report_2023
  3. Rapport de la Banque mondiale et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), 2017
  4. UNGC_SDG_Stocktake_Report_2023
  5. UNGC_SDG_Stocktake_Report_2023
  6. 9.7 billion on Earth by 2050, but growth rate slowing, says new UN population report | UN News
  7. OECD Health Statistics 2023
  8. UNGC_SDG_Stocktake_Report_2023
  9. Bloomberg, Exclusive report on telemedicine industry, April 2023
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news-3586 Thu, 05 Oct 2023 09:30:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert en VEFA une résidence de tourisme et hôtelière à Serre Chevalier (05) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-en-vefa-une-residence-de-tourisme-et-hoteliere-a-serre-chevalier-05/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/06/2023), a acquis en VEFA auprès d’ADIM Lyon, filiale dédiée au développement immobilier de VINCI Construction, une résidence de tourisme et hôtelière 4* à proximité immédiate du centre de La Salle-les-Alpes. Implantée au pied des pistes du domaine skiable de Serre-Chevalier (05), la résidence est idéalement située entre Grenoble et Turin. Cette transaction « off-market » a été conclue pour le compte de l’OPPCI LF IMMO TOURISME, à destination des investisseurs professionnels. Pensée par le cabinet d’architecture Studio-Arch, cette résidence de tourisme 4* développe plus de 12 000 m2 répartis sur six niveaux (R+5). Elle comprend 164 logements bénéficiant d’un éclairage de premier jour (allant du T2 au T4). Elle propose une large gamme de services dont des espaces de détente (sauna, hammam), un salon lounge, une laverie, un magasin de location de skis ainsi que des clubs pour adolescents et enfants. Tout a été pensé pour favoriser les mobilités douces avec un local vélo, 24 bornes de recharge pour véhicules électriques et une navette électrique à haut niveau de services pour rejoindre les remontées.

Le programme propose de très bonnes performances environnementales, tant pour le confort thermique d’hiver que d’été, avec notamment des logements qui répondent aux exigences de la RE 2020 et la partie services aux exigences de la RT 2012-20%. Le projet vise la certification NF Habitat HQE niveau « Très Performant ». Le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire des logements seront assurés par une chaufferie alimentée par granulés de bois et par 300 m2 de panneaux photovoltaïques en
autoconsommation.

D’un point de vue de la biodiversité, le programme prévoit une toiture végétalisée, la replantation des rives de la rivière attenante, l’installation de nichoirs à hirondelles et à chiroptères et plus largement la gestion écologique du site. La résidence vise le label Biodivercity® niveau « Performant ».

La date de livraison est fixée à fin 2025 et l’actif sera intégralement loué dans le cadre d’un bail long terme à un exploitant expérimenté, MMV. Filiale de la Compagnie des Alpes, MMV opère depuis plus de 30 ans dans les Alpes françaises avec 21 implantations dans 16 stations prestigieuses des Alpes.

Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Les actifs de tourisme, avec leur profil défensif, prennent tout leur sens notamment dans le contexte macroéconomique actuel. La localisation prime de cet actif, ses caractéristiques durables et son exploitation par un leader du marché affichant un taux d’occupation moyen élevé, sont des facteurs qui viendront soutenir sa valorisation dans la durée. »

Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Lexfair (Virginie Blanc), le cabinet Reed Smith (Carole Steimlé) ainsi que Domeka (Damien Becquart) pour les aspects techniques.

RISQUES ASSOCIES DE L’OPPCI : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risques de liquidité, risques liés à l’effet de levier, risque de contrepartie, risque locatif, risque de taux, risque de crédit, risques liés à l’acquisition en l’état futur d’achèvement, risque lié à la détention de participations non contrôlées, risques en matière de durabilité.

La SPPPICAV détient directement et/ou indirectement des immeubles dont la vente exige des délais qui dépendront de l’état du marché immobilier. Après la période d’interdiction des rachats d’une durée de dix (10) ans, en cas de demande de rachat (remboursement) de vos Actions, votre argent pourrait ne vous être versé que dans un délai de cinq (5) ans. En cas de demande de rachat (remboursement) de vos Actions, la somme que vous récupérerez, pourra être inférieure à celle que vous aviez investie, en cas de baisse de la valeur des actifs de la SPPPICAV, en particulier du marché immobilier, sur la durée de votre placement.
La durée de placement recommandée est de quinze (15) ans. 

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news-3585 Tue, 10 Oct 2023 09:30:00 +0200 La Française Real Estate Managers conclut une acquisition viticole en AOP champagne pour la SCPI « LF Les Grands Palais » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-conclut-une-acquisition-viticole-en-aop-champagne-pour-la-scpi-lf-les-grands-palais/ La Française Real Estate Managers (REM), experte en matière d’investissement viticole depuis plus de quarante ans, annonce l’acquisition d’une parcelle de vignes située dans la Vallée de la Marne, proche d’Epernay. Elle est localisée précisément dans le village de Hautvilliers, surnommé le berceau de la Champagne et classé en Premier Cru. Cette parcelle orientée plein sud comprend 63 ares de vignes, en pleine force de l’âge et plantés en pinot meunier, l’un des trois cépages traditionnels de la Champagne. La Française REM a confié à bail la parcelle à son exploitant actuel, la Maison Roger-Constant LEMAIRE. Ce dernier bénéficie d’une double certification environnementale (Haute Valeur Environnementale de niveau 3 et Viticulture Durable en Champagne), valorisant une viticulture vertueuse et une production de qualité.

Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Les Grand Palais. Cette SCPI, lancée en 2020, vise à constituer un patrimoine diversifié de propriétés viticoles situées en France, dans des Appellations d’Origine Protégées (AOP) notoires et reconnues, bénéficiant d’un potentiel de valorisation dans le temps.

Cyril CARTERON, Directeur des Produits de Diversification de La Française REM conclut, « Notre objectif est de détecter les perles rares ayant un potentiel de valorisation dans la durée tout en sélectionnant des exploitants capables d’accompagner ce développement. Nous sommes convaincus que les bons fondamentaux de cette parcelle en premier cru AOP Champagne s’inscriront dans cette perspective de valorisation. »

Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de Gestion est de 20 ans. La SCPI ne garantit pas la revente des parts. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI. La sortie n'est possible que s'il existe une contrepartie à l'achat ou à la souscription. RISQUES ASSOCIES : risque de marché, risque de contrepartie, risque lié à la concentration, risque lié à la gestion discrétionnaire, risque lié à la liquidité,
risque lié à l’endettement (effet de levier), risque de perte en capital et de variabilité des distributions.

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news-3584 Mon, 02 Oct 2023 09:00:34 +0200 Evolution du délai de jouissance de 4 SCPI d'entreprise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-du-delai-de-jouissance-de-4-scpi-d-entreprise/ Nous vous informons que la Société de gestion La Française REM a décidé de modifier les délais de jouissance de quatre de ses SCPI à compter du 1er octobre 2023.

Vous trouvez ci-dessous le détail des SCPI concernées par les évolutions de délai de jouissance :

SCPI

Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 01/10/2023

Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 01/10/2023

ÉPARGNE FONCIÈRE

1er jour du 4e mois suivant le mois de souscription

1er jour du mois qui suit le mois de souscription

LF GRAND PARIS PATRIMOINE

1er jour du 4e mois suivant le mois de souscription

1er jour du mois qui suit le mois de souscription

LF EUROPIMMO

1er jour du 6e mois suivant le mois de souscription

1er jour du mois qui suit le mois de souscription

LF AVENIR SANTÉ

1erjour du 4e mois suivant le mois de souscription

1er jour du 6e mois suivant le mois de souscription

La société de gestion a souhaité réduire le délai de jouissance de ses SCPI Epargne Foncière, LF Grand Paris Patrimoine et LF Europimmo afin de soutenir leur collecte et faciliter leur liquidité. 

Par ailleurs, dans ce contexte où la concurrence à l'acquisition est vive, la société de gestion a également décidé d'augmenter le délai de jouissance de la SCPI LF Avenir Santé afin de faciliter le déploiement d'une politique d'investissement rigoureuse qui nécessite plus de temps.

Cette modification sera effective pour les souscriptions enregistrées à partir du 1er octobre.

Pour toute question, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur commercial habituel.

Risques SCPI : risque de perte en capital, risque de liquidité, risque de concentration géographique, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée est de 9 ans.

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news-3583 Fri, 29 Sep 2023 09:38:12 +0200 Information aux porteurs de parts de l'OPCI LF Cerenicimo + /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-porteurs-de-parts-de-lopci-lf-cerenicimo/ APPEL A CANDIDATURE AU CONSEIL DE SURVEILLANCE DE L'OPCI LF CERENICIMO + L’OPCI LF CERENICIMO +, agréé le 3 mars 2017 par l’Autorité des Marchés Financiers, a été créé sous la forme d’un Fonds de Placement Immobilier (FPI).

A ce titre, il vous est possible de vous porter candidat au conseil de surveillance du FPI.

Le conseil de surveillance est l’organe qui contrôle la gestion effectuée par la société de gestion.

Participer au conseil de surveillance, c’est l’occasion d’échanger directement avec la société de gestion sur les décisions stratégiques qu’elle entend mener et les résultats de votre FPI, c’est aussi l’occasion de rencontrer d’autres porteurs. Ainsi, vous êtes au cœur du produit et suivez de près l’évolution de votre investissement. Le conseil de surveillance se réunit au minimum 2 fois par an. 

Pour présenter votre candidature

Il vous suffit d’adresser le formulaire de candidature dûment par e-mail à l’adresse : mmparabernard@la-francaise.com ou par courrier postal à La Française Real Estate Managers – Mélissa M’PARA BERNARD - 128 boulevard Raspail - 75006 Paris au plus tard le 31 décembre 2023.

Qui désignera les membres du conseil de surveillance

Tous les porteurs de parts du FPI seront consultés par correspondance et désigneront les membres du conseil de surveillance, pour un mandat de 3 ans, parmi les candidats qui leur seront soumis (de 2 à 9). Toutefois, conformément à la règlementation, si le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir (9), les candidats seront nommés d'office membres du conseil de surveillance.

La direction de la clientèle est à votre écoute au 01 44 56 10 45 pour tout complément d’information.

Pour votre bonne information, vous trouverez, ci-dessous, un extrait du règlement de l’OPCI LF CERENICIMO + portant sur le conseil de surveillance du FPI. La documentation du FPI est par ailleurs disponible sur le site internet. 

« ARTICLE 15. NOMINATION DESIGNATION - MODALITES DE L’ELECTION DES MEMBRES

15.1. Composition du Conseil de Surveillance

Les membres du Conseil de Surveillance sont élus par les Porteurs et parmi ceux-ci. 

Le Conseil de Surveillance est composé de deux (2) membres au moins et de neuf (9) membres au plus, dont un président élu par les membres. 

15.2. Election des membres du Conseil de Surveillance

En vue de l’élection des membres du Conseil de Surveillance, la Société de Gestion procède à un appel de candidature qu’elle publie sur son site internet ainsi que dans le document d’information périodique. 

Les Porteurs répondent à cet appel à candidature sur le site internet de la Société de Gestion dans les trois (3) mois suivant sa publication. La candidature comporte les éléments permettant de justifier de l’indépendance du candidat à l’égard de la Société de Gestion des sociétés qui lui sont liées au sens de l’article R. 214-43 du Code monétaire et financier. 

Une personne physique ou morale ne peut exercer simultanément plus de cinq (5) mandats en qualité de membre du conseil de surveillance d’un fonds de placement immobilier. L’exercice d’un mandat est incompatible avec l’exercice de toute autre fonction susceptible de créer un conflit d’intérêts. 

Les Porteurs élisent directement les membres du Conseil de Surveillance en votant par correspondance ou à distance par voie électronique. 

Le droit de vote de chaque Porteur est proportionnel au nombre de Parts qu’il détient. 

Seront élus membres du Conseil de Surveillance, dans la limite des postes à pourvoir, ceux des candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix favorables à leur élection parmi les Porteurs s’étant exprimés. En cas de partage des voix, le candidat élu sera celui possédant le plus grand nombre de Parts ou, si les candidats en présence détiennent le même nombre de Parts, le candidat le plus âgé. 

Les élections des membres du Conseil de Surveillance ont lieu au moins tous les trois (3) ans. 

La durée du mandat de membre du Conseil de Surveillance est de trois (3) ans. Le mandat est renouvelable deux (2) fois. 

Lorsque le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir, les candidats sont nommés d’office membres du Conseil de Surveillance. 

En cas de décès ou de démission d’un membre du Conseil de Surveillance conduisant à un nombre de membres inférieur au nombre prévu à l’article 15.1 ci-avant, le Conseil de Surveillance procède à une nomination à titre provisoire afin de remplacer le membre vacant jusqu’à l’échéance de son mandat. Cette nomination intervient dans un délai de trois (3) mois à compter du jour où se produit la vacance. Sont nommés les candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix à la précédente élection après ceux déjà nommés membres du Conseil de Surveillance. 

Lors de la première réunion suivant l’élection ou la désignation des nouveaux membres, le Conseil de Surveillance élit son président à la majorité simple. 

ARTICLE 16. REUNION DU CONSEIL DE SURVEILLANCE - CONVOCATIONS - DELIBERATIONS

16.1. Réunions du Conseil de Surveillance
 

Le Conseil de Surveillance se réunit en France au moins deux (2) fois par exercice sur convocation de son président ou sur demande motivée d’un tiers au moins de ses membres, soit au siège social de la Société de Gestion, soit en tout autre lieu indiqué dans l’avis de convocation. 

Les réunions du Conseil de Surveillance peuvent avoir lieu par voie de visioconférence ou de téléconférence. 

Si la réunion a lieu au siège social de la Société de Gestion, celle-ci met à la disposition du Conseil de Surveillance les locaux nécessaires à la tenue de la réunion, ainsi que le personnel et les moyens techniques permettant d’assurer le secrétariat du Conseil de Surveillance. 

La Société de Gestion assiste aux réunions du Conseil de Surveillance. 

Le président fixe l’ordre du jour de la séance qui peut être complété à la demande d’un membre jusqu’à la veille de la séance. 

Il est tenu un registre de présence des membres du Conseil de Surveillance. 

Les rapports du Conseil de Surveillance sont approuvés à la majorité simple de ses membres. 

La première réunion du Conseil de Surveillance suivant la constitution du FPI se tient au plus tard dans les douze (12) mois de l’agrément du FPI. 

16.2. Quorum et majorité

Le Conseil de Surveillance ne délibère valablement que si la moitié au moins de ses membres sont présents. 

Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés. Chaque membre est titulaire d’un droit de vote. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante. 

Si le Conseil de Surveillance a lieu en visioconférence ou téléconférence, sont réputés présents pour le calcul du quorum et de la majorité, les membres du Conseil de Surveillance qui participent à la réunion par des moyens de visioconférence ou de téléconférence.

16.3. Mandats de représentation

Un membre du Conseil de Surveillance peut donner, même par lettre, télécopie ou courrier électronique, mandat à un autre membre de le représenter. Cette procuration, donnée par écrit au président, ne peut être valable que pour une séance du Conseil de Surveillance. 

Chaque membre du Conseil de Surveillance ne peut disposer, au cours d’une même séance, de plus de deux procurations. 

ARTICLE 17. PROCES-VERBAUX DES REUNIONS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

Les délibérations du Conseil de Surveillance sont constatées dans un procès-verbal. 

Les procès-verbaux sont dressés et les copies ou extraits des délibérations sont délivrés et certifiés conformément à la législation et à la réglementation applicables. 

ARTICLE 18. POUVOIRS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

Le Conseil de Surveillance est chargé d’une mission de suivi de la gestion du FPI. 

Le Conseil de Surveillance ne dispose d’aucun pouvoir de gestion et ne peut pas s’immiscer dans la gestion du FPI. 

Les membres du Conseil de Surveillance sont tenus à la discrétion sur les informations présentant un caractère confidentiel et données comme telles par le président. 

Chaque fois qu’il le juge nécessaire et au moins une fois par an, le Conseil de Surveillance établit un rapport rendant compte de sa mission. 

A l’occasion de l’élaboration de ses rapports, le Conseil de Surveillance peut demander toute information complémentaire à la Société de Gestion, qui est tenue de répondre par écrit dans un délai de huit (8) jours ouvrés. 

Les rapports du Conseil de Surveillance sont tenus à la disposition des Porteurs au siège de la Société de Gestion et sont disponibles sur le site internet de la Société de Gestion. Lorsqu’un Porteur demande à recevoir un rapport sous format papier, les frais liés à son expédition sont à sa charge. 

Les membres du Conseil de Surveillance sont responsables des fautes personnelles commises dans l’exécution de leur mandat. Ils n’encourent aucune responsabilité à raison des actes de la gestion et de leur résultat. »

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news-3582 Tue, 03 Oct 2023 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un parc d’activités à La Sentinelle (59) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-parc-dactivites-a-la-sentinelle-59-1/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/06/2023), a acquis auprès de la société BOREALE, « Sentinel Square », un parc d’activités sis 221 rue Victor Hugo à La Sentinelle (59), dans les Hauts-de-France, région marquée par une forte implantation de Crédit Mutuel Nord Europe (actionnaire de Groupe La Française). Son emplacement privilégié offre un accès direct aux autoroutes A2 et A23, permettant une connectivité optimale avec le vaste réseau autoroutier du nord de la France et une accessibilité rapide aux principales destinations européennes de fret telles que Bruxelles, Amsterdam et Francfort.

Le  parc  comprend  quatre  bâtiments  distincts  et  divisibles,  récemment  rénovés  ou  construits.  Dans  son ensemble,  le  parc  offre  un  bon  niveau  de  service  pour  le  bien-être  des  occupants  (cuisine  réfectoire, espaces de repos, salle de fitness...). Il est également prévu de mettre en place une gestion durable des espaces  verts  ainsi  qu’un  éclairage  LED  pour  la  partie  entrepôt.  Au  total,  les  quatre  bâtiments  offrent 14 968 m² de surface (9 % de bureaux, 18 % d’activités et 73 % d’entrepôt/logistique) et sont entièrement loués à 10 locataires.

Cette acquisition, pour environ 18 millions d’euros, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF OPPORTUNITE IMMO.

Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : «  Ce  parc  d’activités,  du fait  de  sa  localisation  stratégique pour  le transport de  fret  et  de  sa conception avec quatre bâtiments indépendants, devrait contribuer pleinement à la mutualisation du risque locatif et à la valorisation du patrimoine de la SCPI. »

Dans le cadre de cette opération, La Française REM a été conseillée par l’étude notariale 14 Pyramides et le cabinet Jeantet. Le vendeur était conseillé par l’étude notariale Artois Gohelle. Les deux parties ont été conseillées par l’équipe Real Estate & Hospitality de la banque d’affaires ALANTRA.

RISQUES  ASSOCIES  SCPI  D’ENTREPRISE  :  risque  de  perte  en  capital,  &  de  variabilité  des  distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à  long  terme  et  doivent  être  acquises  dans  une  optique  de  diversification  de  patrimoine.  Elles  peuvent également  recourir  à  l’endettement.  Le  capital  investi  n’est  pas  garanti.  La  SCPI  n’étant  pas  un  produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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news-3579 Tue, 26 Sep 2023 15:37:22 +0200 La Française choisit Allfunds Blockchain pour rationaliser la distribution internationale de ses fonds /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-choisit-allfunds-blockchain-pour-rationaliser-la-distribution-internationale-de-ses-fonds/ Paris et Madrid, le 19 septembre 2023 : La Française et Allfunds Blockchain ont conclu un partenariat en vue d’utiliser la technologie blockchain pour gagner en efficacité opérationnelle
et réduire les coûts liés à la distribution internationale de fonds auprès d’investisseurs professionnels. La Française rejoindra le réseau Allfunds Blockchain et exploitera son propre
nœud blockchain lui permettant de recevoir et de traiter directement les ordres concernant ses fonds (sous réserve de l’enregistrement des fonds au niveau local). 

Allfunds Blockchain facilite l’acheminement des ordres et offre à ses participants la possibilité de visualiser en temps réel tous les processus associés, augmentant ainsi la transparence et
l’efficacité et réduisant les coûts de distribution pour les gestionnaires d’actifs. En complément et une fois opérationnelle (date cible : 1er semestre 2024), cette nouvelle organisation permettra à la clientèle d’investisseurs professionnels de La Française de bénéficier d’heures de cut-off plus précises et d’un meilleur reporting.

Dans un premier temps clairement axé sur la distribution internationale, La Française et Allfunds Blockchain prévoient de s’appuyer davantage sur la technologie blockchain. Ils étudieront les options en utilisant la même approche, basée sur des « cas d’usage » concrets et évolutifs avec un retour sur investissement démontrable, en combinaison avec une vision stratégique de la manière dont la proposition de valeur d’Allfunds Blockchain peut ouvrir la porte à de nouvelles applications dans le secteur financier et à de nouveaux modèles de distribution autour de la tokenisation.

Thierry Gortzounian, Directeur général de La Française AM Finance Services, a déclaré : « La coopération entre Allfunds Blockchain et La Française nous permettra de continuer à améliorer la gamme de services que nous fournissons à nos clients, notamment en traitant leurs ordres de manière plus efficace dans un cadre simplifié et sécurisé. La plateforme blockchain déployée par Allfunds Blockchain facilitera l’accès aux expertises en valeurs mobilières de La Française et apportera de la valeur aux investisseurs professionnels. »

Christophe Descohand, Responsable de l’innovation de La Française AM Finance Services, a ajouté : « Ce partenariat marque une première étape dans la stratégie globale de La Française
d’associer technologie et gestion d’actifs. Ainsi, nous serons en mesure d’offrir à nos clients un traitement opérationnel amélioré à moindre coût. Nous sommes ravis du partenariat avec Allfunds Blockchain et attendons avec impatience d’être opérationnels. »

Ruben Nieto, Directeur général d’Allfunds Blockchain, a ajouté : « Nous sommes ravis et très honorés de commencer cette collaboration avec un gestionnaire d’actifs qui a toujours été à la pointe de l’innovation. Ce nouveau signe de confiance confirme notre vision de la blockchain pour l’industrie : utiliser le potentiel technologique sur les processus existants et tirer parti de ces premières étapes pour élargir son adoption. »

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news-3578 Thu, 28 Sep 2023 16:40:00 +0200 Frédéric ROCOLLE nommé Responsable ISR Immobilier à La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/frederic-rocolle-nomme-responsable-isr-immobilier-a-la-francaise-real-estate-managers/ Paris, le 28 septembre 2023 – La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 30/06/2023), a le plaisir d’annoncer la nomination, avec prise d’effet au 21 août, de Frédéric ROCOLLE en qualité de Responsable ISR Immobilier, en charge de la mobilisation des clients-locataires de La Française REM aux enjeux climatiques et à la transition énergétique. Frédéric intègre la Direction de la recherche et de l'ISR Immobilier, sous la responsabilité de Virginie WALLUT, et reporte à Antoine VINCKE, Directeur de l’ISR Immobilier de La Française REM.  

Antoine VINCKE déclare, « Frédéric apporte à La Française Real Estate Managers une solide expérience en matière de gestion locative et technique en France comme à l’international. Aux côtés des équipes d’Asset Management de La Française REM, il créera des synergies avec nos locataires afin d’améliorer l’empreinte carbone et les caractéristiques durables de notre parc immobilier. Avec l’arrivée de Frédéric, l’équipe ISR Immobilier est désormais organisée autour de 4 pôles : technique, mobilisation des parties prenantes, réglementation et gestion de la donnée.


Frédéric ROCOLLE, 32 ans, Responsable ISR Immobilier à La Française Real Estate Managers

Frédéric a près de sept ans d’expérience de la gestion technique de patrimoine. Il a débuté sa carrière en 2016 avec l’Economat des Armées à Abu Dhabi en tant que facility manager, pilotant les opérations de maintenance et de rénovation d’un parc immobilier résidentiel et tertiaire. Après près de trois ans, il rejoint Nexity Property Management en 2019 en qualité de gestionnaire technique, apportant notamment son expertise en matière de règlementation environnementale aux occupants d’un portefeuille de plus de 250 commerces à travers la France. 

Frédéric ROCOLLE est diplômé d’un Master of Science de l’Université calédonienne de Glasgow et d’un Master en génie civil de l’Ecole Spéciale des Travaux Publics.
 

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news-3575 Wed, 20 Sep 2023 14:58:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert une maison de santé pluriprofessionnelle dans Paris intra-muros /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-une-maison-de-sante-pluriprofessionnelle-dans-paris-intra-muros/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte d’un fonds collectif en immobilier, a acquis une maison de santé pluriprofessionnelle (MSP), sise 77 rue Pelleport, dans le 20e arrondissement de Paris (75). Le volume de la transaction s’élève à un peu plus de 4 millions d’euros. Entièrement restructurée en 2019 et située en pied d’immeuble, la maison de santé pluriprofessionnelle s’étend sur plus de 400 m2 répartis sur deux niveaux (RDC et R-1) et offre des salles de consultations, une salle d’échographie ainsi qu’une salle de sport à des fins de rééducation kinésithérapie. La MSP bénéficie d’une localisation de premier plan dans Paris intra-muros, à proximité de l’avenue Gambetta et des transports en commun (ligne 3bis - arrêts Saint-Fargeau et Pelleport). 

L’actif est 100 % loué à une société interprofessionnelle de soins ambulatoires, regroupant 11 cabinets qui travaillent en lien étroit avec l’hôpital TENON et proposent une offre de soins globale et coordonnée afin d’améliorer le parcours de soins des patients : médecins généralistes, ORL (vertiges et troubles de l’audition), endocrinologue, kinésithérapeutes, sage-femmes et infirmiers.  

Jérôme VALADE, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu : « Cette maison de santé pluriprofessionnelle, entièrement rénovée, bénéficiant d’une localisation centrale dans Paris intra-muros, à proximité des transports et proche de l’hôpital TENON - permettant un fort report d’activité depuis l’hôpital, est une très bonne illustration de notre stratégie d’investissement qui privilégie les actifs de médecine de ville pluridisciplinaire, bien localisés et reconvertibles, répondant au besoin de proximité des soins de premier recours. »

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l'étude 14 Pyramides pour l’audit notarial, par le cabinet Jeantet pour l’audit juridique.et par la société ISOME pour l’audit technique et ESG.

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news-3574 Tue, 19 Sep 2023 14:14:31 +0200 Taux directeurs qui demeurent inchangés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/taux-directeurs-qui-demeurent-inchanges/ La Reserve Fédérale américaine (Fed) va très probablement laisser ses taux directeurs inchangés lors de sa réunion cette semaine, ce qui est déjà très largement anticipé par les marchés. Cette réunion pourra toutefois amener pas mal de volatilité sur les marchés étant donné les nombreuses incertitudes quant à ses décisions futures. Voilà ce que nous attendons : 

 Des taux directeurs inchangés à 5,25%-5,50%. 

  • Un message inchangé de la part de Mr Powell ; il devrait répéter ce qu’il a déjà dit lors de la conférence de Jackson Hole : « the fight against inflation is far from over », the fed “will keep at it until the job is done” and “restoring pricestability will likely require an extended period of elevated interest rates”.<
     
  • Même si la Fed est et reste « data dependent », nous pensons que Jerome Powell va commencer à préparer le marché à une potentielle hausse des taux supplémentaires avant la fin de l’année en raison d’une croissance économique toujours au-delà de sa croissance potentielle, d’un marché de l’emploi qui ne montre que peu de signes de modération et d’un prix du baril de pétrole en forte hausse depuis le mois de juin. 
     
  • La poursuite de la réduction du bilan à un rythme de $95bn par mois.
     
  • Un « dot plot » qui devrait continuer à montrer une hausse de taux supplémentaire à horizon fin d’année, même si les changements de votants rendent les prévisions difficiles. Les « dots » de 2024 et 2025 devraient être inchangés et le « dot » de 2026, qui parait pour la première fois, devrait être en ligne avec le « dot » de long terme. Concernant ce dernier, il ne nous semble d’ailleurs pas impossible qu’il soit revu à la hausse.
     
  • Des prévisions macro-économiques qui devraient évoluer de la façon suivante : 
    - Une croissance revue significativement à la hausse en 2023, de 1% à 2% mais inchangée en 2024 et 2025. La croissance 2026 devrait être proche de la croissance potentielle à 1.8%. Le taux de chômage 2023 devrait lui aussi être revue légèrement à la baisse de 4.1% à 3.9%.
    - Une inflation qui ne devrait pas être revue de manière significative.

En résumé, la Réserve Fédérale devrait adopter un biais « hawkish » lors de cette conférence de presse et réitérer le message que les taux vont devoir rester élevés pour une période prolongée pour ramener l’inflation à 2%. Ce meeting pourrait donc entrainer les taux à la hausse et un aplatissement modéré des courbes. 

 

Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3572 Wed, 13 Sep 2023 11:51:54 +0200 Nouvelle hausse ou pause ? Nous parions sur la seconde option ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nouvelle-hausse-ou-pause-nous-parions-sur-la-seconde-option/ La Banque Centrale devrait laisser ses taux d'intérêt inchangés lors de la réunion de septembre en raison de la détérioration de la croissance. La décision devrait faire débat au sein du conseil en raison d’une inflation toujours trop forte et de la hausse du prix du baril de pétrole durant lété. Nous nous attendons à ce que la Banque Centrale Européenne (BCE) :

  • Maintienne le taux de dépôt à 3,75 % et le taux Refi à 4,25 % compte tenu de l'affaiblissement de la croissance et du léger ralentissement de l'inflation sous-jacente.
  • Poursuive une approche réunion par réunion avec la possibilité d'augmenter ou non les taux après septembre. La présidente de la BCE, Christine Lagarde, soulignera la dépendance de la BCE à l'égard des données à paraitre pour les réunions suivantes.
  • Réaffirme qu'elle maintiendra les taux directeurs en territoire restrictif pendant une période plus longue afin d'assurer la convergence de l'inflation vers l'objectif de 2 % de la BCE.
  • Réitérere que les perspectives d'inflation sont incertaines. Les pressions sur les prix et les augmentations de salaires persistent, mais les risques sont considérés comme plus équilibrés. Christine Lagarde devrait souligner que l'inflation sous-jacente a probablement dépassé son point culminant.
  • Signale potentiellement qu'elle entamera des discussions sur une fin plus rapide des réinvestissements du programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP). La BCE devra trouver un équilibre dans sa conférence de presse en incorporant des éléments "hawkish" pour satisfaire les partisans de cette ligne de conduite.
  • Indique des taux de croissance plus faibles en 2023 (revus à la baisse de 0,9 % à 0,7 %) et en 2024 (de 1,5 % à 1,3 %) en raison d'un affaiblissement de la demande. Nous prévoyons que la croissance restera inchangée à 1,6 % en 2025.
  • Révise l'inflation à la hausse en 2023 de 0,2 % et à la baisse en 2024 de 0,1 % tout en maintenant l'année 2025 inchangée.

En résumé, nous nous attendons à ce que la BCE conserve un ton peu accommodant tout en gardant les taux inchangés. Lors de la conférence de presse, la présidente Lagarde s'efforcera d'éviter une communication "dovish", indiquant clairement qu'un nouveau resserrement est possible. Cette réunion pourrait entraîner une légère pentification de la courbe des taux.

Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3571 Wed, 13 Sep 2023 08:00:00 +0200 Modification du prix de part de la SCPI LF Europimmo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-lf-europimmo/ Nous vous informons que le Conseil de Surveillance de la SCPI LF EUROPIMMO a autorisé la modification des valeurs de réalisation et de reconstitution de la SCPI le 11 septembre 2023.

Suite à cette autorisation, la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI LF EUROPIMMO.

En conséquence, à compter du 13 septembre 2023, le prix de souscription de la SCPI LF Europimmo diminue de 9,57 % et est composé de la manière suivante :

Valeur nominale : 800 €

Prime d'émission : 145 €

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Prix de souscription : 945 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 945 €

dont 75,6 € HT, soit 90,72 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

Valeur de retrait : 869,40 €

Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.

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news-3570 Wed, 13 Sep 2023 08:00:00 +0200 Modification du prix de part de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-credit-mutuel-pierre-1/ Nous vous informons que le Conseil de Surveillance de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 a autorisé la modification des valeurs de réalisation et de reconstitution de la SCPI le 11 septembre 2023.

Suite à cette autorisation, la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1.

En conséquence, à compter du 13 septembre 2023, le prix de souscription de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 diminue de 7,02 % et est composé de la manière suivante :

Valeur nominale : 153 €

Prime d'émission : 112 €

--------------------------

Prix de souscription : 265 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 265 €

dont 21,2 € HT, soit 25,44 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

Valeur de retrait : 243,80 €

Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org

La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.

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news-3567 Fri, 08 Sep 2023 09:19:01 +0200 Objectifs de developpement durable : saisir les opportunites et combler le deficit de financement prive /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objectifs-de-developpement-durable-saisir-les-opportunites-et-combler-le-deficit-de-financement-prive/ Par Claudia RAVAT et Yingwei LIN, analystes ESG, La Française AM Depuis leur création en 2015, les objectifs de développement durable (ODD) se sont imposés comme un cadre de référence incontournable pour relever les défis les plus pressants auxquels le monde est confronté. D'une grande portée, englobant des domaines tels que l'éradication de la pauvreté, le changement climatique, l'égalité des sexes et la croissance économique durable, les ODD représentent une vision mondiale commune pour un avenir plus inclusif, plus équitable et plus durable.

En 2014, les besoins de financement des ODD étaient estimés à environ 5 000 à 7 000 milliards de dollars par an. À la suite de la pandémie de Covid-19, les estimations ont atteint 7 000 à 9 000 milliards de dollars par an. Selon l'OCDE, le déficit de financement a augmenté de 1 700 milliards de dollars, pour atteindre environ 4 200 milliards de dollars en 2020.

Le secteur privé a été considéré dès le départ comme un partenaire essentiel dans la poursuite de ces objectifs. En s'appuyant sur ses forces propres, à savoir l'agilité, l'innovation et les capacités d'investissement, le secteur privé a le potentiel de conduire des changements transformateurs. En alignant leurs stratégies et leurs opérations sur les ODD, les entreprises peuvent avoir un impact social et environnemental positif tout en ouvrant de nouvelles perspectives de croissance durable.

L'engagement du secteur privé à l'égard des ODD va au-delà de la simple philanthropie ou de la responsabilité sociale des entreprises. Il s'agit plutôt d'un impératif stratégique pour les entreprises afin de préparer leurs opérations à l'avenir et de garantir la création de valeur à long terme. L'adoption des ODD permet aux entreprises d'améliorer leur compétitivité, d'attirer les investissements, d'encourager l'innovation et de construire des modèles d'entreprise résilients capables de s'adapter à l'évolution du contexte mondial.

Pour les investisseurs, il est essentiel de reconnaître l'importance des ODD dans la construction du futur paysage de l'investissement. L'intégration des ODD dans les processus de prise de décision en matière d'investissement permet aux investisseurs d'aligner leurs portefeuilles sur les principes de durabilité et de contribuer à des résultats sociaux et environnementaux positifs. Cette approche consiste à intégrer des considérations environnementales, sociales et de gouvernance dans l'analyse des investissements, à rechercher activement des entreprises qui font preuve d'un engagement fort et de progrès dans la réalisation des ODD et à s'engager avec les entreprises du portefeuille pour stimuler les pratiques de durabilité.

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news-3565 Tue, 05 Sep 2023 14:11:00 +0200 La Française Trésorerie ISR disponible sur Cachematrix By Blackrock /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-tresorerie-isr-disponible-sur-cachematrix-by-blackrock/ Paris, le 5 septembre 2023 : La Française, un groupe de gestion multi-expertise avec plus de 49 milliards d'euros d'actifs sous gestion (au 31/12/2022), a le plaisir d'annoncer que La Française Trésorerie ISR (un fonds commun de placement de droit français) est disponible sur Cachematrix by BlackRock, un système de trading et de reporting en ligne à architecture ouverte qui permet aux investisseurs institutionnels de placer leurs ordres de souscription et de rachat, d'analyser les portefeuilles et de produire des rapports détaillés sur les portefeuilles de fonds monétaires. La Française propose désormais aux investisseurs institutionnels domiciliés en Autriche, Belgique, France, Allemagne, Espagne et Italie la possibilité d'accéder à son fonds monétaire flagship (distingué avec le Label ISR français1 et classifié Art. 8 selon la règlementation Disclosure2) qui affiche 3,03 milliards d'euros d'actifs sous gestion (au 24/08/2023) via Cachematrix by BlackRock. Cette plateforme offre toute une palette d'avantages aux investisseurs institutionnels de La Française, notamment :

  • Un processus d'investissement simplifié,
  • Des capacités de règlement automatique avec reporting et enregistrement auprès du dépositaire,
  • Des analyses et rapports améliorés.

Thierry GORTZOUNIAN, Chief Operating Officer de La Française AM Finance Services a déclaré « En tant que gestionnaire d'actifs innovant et centré sur le client, La Française recherche tous les moyens capables de démocratiser l'accès à ses expertises de gestion tout en créant de la valeur pour l'investisseur final. En tant que plateforme conçue pour simplifier la gestion quotidienne de la trésorerie des investisseurs institutionnels, Cachematrix by BlackRock est un relai supplémentaire répondant à ce double objectif. »

La Française Trésorerie ISR

Classe d'actifs :    Fonds monétaires à valeur liquidative variable (VNAV) » et à caractère standard
Classe d'actions :    part I / FR0010609115
Objectif :    L'objectif de gestion du fonds est de rechercher des opportunités de marché sur des maturités à court terme dans le but d’offrir une performance égale à l’€STR capitalisé, après déduction des frais de gestion, en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance
Indicateur synthétique de risque :    1 sur une échelle de 1 à 7, 7 représentant le risque le plus élevé
Horizon d'investissement :    3 mois
Minimum de souscription initiale :    500 000 €
Principaux risques associés :    risque de perte en capital, risque de taux d'intérêt, risque
d'investissement ESG, risque de durabilité, risque de gestion discrétionnaire, risque de contrepartie.

Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
 

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news-3564 Wed, 30 Aug 2023 15:02:34 +0200 Suspension des ordres de rachat supérieurs à 2% du nombre des actions sur la Valeur liquidative du 31 août 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/suspension-des-ordres-de-rachat-superieurs-a-2-du-nombre-des-actions-sur-la-valeur-liquidative-du-31-aout-2023/ IMMOBILIERE, la Société de gestion vous informe que suite à des demandes de rachats d’associés d'un nombre cumulé d’Actions supérieur à deux pourcents (2%) du Nombre Total des Actions de la SPPICAV, calculé sur la base de la Valeur Liquidative précédent celle sur laquelle l’ordre devrait être exécuté (soit celle du 31 juillet 2023), les demandes de rachat ne seront pas exécutée(s) par la Société de Gestion pour la fraction des ordres de rachats qui excède au total deux pourcents (2%) du Nombre Total d’actions de la SPPICAV. 
 
Les ordres de rachat émanant de plusieurs Associés, chaque demande de rachat sera exécutée au prorata du nombre d’actions visé par la demande par rapport au nombre total d’actions des rachats demandés lors de la même Valeur Liquidative. 
 
La fraction de l'ordre de rachat non exécutée sera reportée à la Valeur Liquidative suivante et représentée dans les mêmes conditions que précédemment par la Société de Gestion, sauf instruction contraire de l’Associé concerné. 
 
Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.

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news-3562 Tue, 29 Aug 2023 17:01:14 +0200 Jackson Hole, pas de grande surprise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jackson-hole-pas-de-grande-surprise/ Jackson Hole confirme le biais plutôt « hawkish » de la part de Jerome Powell et de la Réserve fédérale (Fed). Le président de la Fed a réitéré certains des messages déjà communiqués lors de discours précédents, que l’on pourrait résumer de la manière suivante : la Fed n’est pas encore convaincue que l’inflation baisse vers son objectif de 2 % ; en effet, trois conditions sont nécessaires pour que la Fed s’estime rassurée : une poursuite de la baisse de l’inflation après les bons chiffres de juin et juillet, une baisse de la croissance en dessous de la croissance potentielle (ce qui n’est pas le cas jusqu’ici) et un rééquilibrage du marché du travail. Il est donc probable qu’il faille s’attendre à des taux directeurs au mieux stables dans les mois qui viennent et potentiellement plus hauts en cas de mauvaise surprise sur l’inflation. Il est aussi revenu sur l’incertitude pesant sur le « R-Star » (taux d’intérêt « d’équilibre » ou « neutre ») mais sans grande surprise pour les marchés, ce sujet ayant déjà été abordé au début du mois d’août par plusieurs membres de la Fed.

Le message de Christine Lagarde a été plus neutre, ce qui est logique étant donné la conjoncture européenne beaucoup moins bien orientée. Certains membres de la Banque centrale européenne (BCE) ont ensuite réaffirmé leurs biais respectifs, Martin Kazaks et Joachim Nagel plutôt hawkish et Mario Centeno beaucoup plus neutre.

Enfin, Kazuo Ueda, le gouverneur de la Banque du Japon, a rappelé que la politique monétaire allait rester accommodante au Japon et qu’il n’était pas certain que les pressions inflationnistes actuelles soient pérennes.

Pas de grandes surprises au global surtout au regard des « craintes » du marché autour d’une potentielle remontée du « R-Star » aux Etats-Unis. Le marché craignait que la Fed insiste sur ce point, ce qui n’a pas vraiment été le cas. A noter aussi que Kazuo Ueda a sans doute été plus accommodant que ce à quoi les marchés s’attendaient.

Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française. Ils peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3561 Thu, 31 Aug 2023 09:52:00 +0200 La Française lance LA FRANCAISE FINANCIAL BONDS 2027 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-la-francaise-financial-bonds-2027/ La Française, groupe de gestion multi-expertise avec 49 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 31/12/2022), concilie ses deux expertises phares, que sont la gestion de la dette financière et les fonds à échéance, pour lancer LA FRANCAISE FINANCIAL BONDS 2027. LA FRANCAISE FINANCIAL BONDS 2027 est un fonds à échéance 2027 spécialisé sur les dettes du secteur financier, très majoritairement des banques mais aussi des compagnies d’assurance, de l’immobilier et des services financiers. Le fonds est classé Article 8 selon la réglementation SFDR1 et pourra être souscrit
aussi bien par des investisseurs professionnels que particuliers.

« Les turbulences traversées par le secteur financier au premier semestre ne doivent pas faire perdre de vue aux investisseurs qu’il présente des fondamentaux qui sont à notre avis sains et résilients. En effet, l’industrie bancaire européenne, à la suite de la crise de 2008, est une des plus réglementées et fait l’objet d’une surveillance stricte de la part des régulateurs, souligne Jérémie BOUDINET, responsable de la gestion Investment Grade à La Francaise AM. Nous avons la conviction que le secteur financier présente de nombreuses qualités recherchées par les investisseurs : des valeurs décotées sur le marché, un cadre réglementaire robuste qui permet une meilleure prise en compte des risques et, bien que le capital ne soit
pas garanti, un profil rendement-risque intéressant. »

L’objectif de gestion de LA FRANCAISE FINANCIAL BONDS 2027 est d'obtenir, sur la période de placement recommandée, allant de la date de création du compartiment jusqu’au 31 décembre 2027, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2027 émises par l’Etat français et libellées en EUR (OAT 2,75% à échéance au 25 octobre 2027 - code ISIN FR0011317783) en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance. La stratégie de gestion du fonds est discrétionnaire. Il adopte une stratégie majoritairement investie sur des titres en EUR dans l’univers OCDE et systématiquement couverte en risque de change. Le fonds peut être exposé à la dette privée ou publique (max. 20 %) de qualité Investment Grade (jusqu’à 100 %) et à Haut Rendement (max. 50 %). Cette gestion vise à maximiser la diversification (par notation financière, subordination, typologie d’émetteur et zone géographique) du portefeuille au travers d’environ 90 émetteurs dits « mainstream » et de « niche » ayant une solide position financière.

Principaux risques associés : perte en capital, risque d’investissement ESG (le fonds utilise des critères ESG et peut être moins performant que le marché en général), risque de durabilité, risque discrétionnaire (il existe un risque que le fonds ne soit pas investi à tout moment sur les marchés ou les actifs les plus performants), risque de change, risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés, risque de taux, risque de crédit, risque de défaut lié aux émetteurs des titres de créance, risque lié aux investissements en titres « high yield » dits spéculatifs, Risque lié aux titres de créance subordonnés (l’univers d’investissement du fonds inclut notamment des obligations subordonnées. Ces titres de créance présentent un profil de risque spécifique et différent de celui des obligations classiques), Risque de liquidité. 

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news-3559 Mon, 21 Aug 2023 11:36:00 +0200 Intégrer la circularité de l’eau au cœur de l’action souveraine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/integrer-la-circularite-de-leau-au-coeur-de-laction-souveraine/ Par Frédéric YO, Analyste ESG, La Française AM L’eau est une ressource essentielle à la survie de toutes formes de vie sur terre. Mais sous les pressions de la démographie et du changement climatique les ressources en eau douce commencent à tarir. Plus de 2,3 milliards de personnes vivent dans des pays soumis au stress hydrique (la demande en eau dépasse les ressources disponibles), soit plus d’un tiers de la population mondiale. Les experts prévoient que d’ici 2025 près de 460 millions d’habitants en Afrique vivront dans des zones subissant un stress hydrique et 230 millions d'entre eux seront confrontés au manque d’eau1. Des efforts sont constatés pour la mise en place de solutions, comme le recyclage de l’eau, mais il reste encore de nombreux obstacles à franchir.

Le recyclage de l’eau, une mise en place qui tarde

La réutilisation des eaux usées, également connue sous le nom de récupération ou recyclage de l'eau, est de plus en plus reconnue comme une solution durable pour faire face à la crise mondiale de l'eau qui ne cesse de s'aggraver. Plutôt que de considérer les eaux usées comme un déchet à éliminer, elles peuvent être traitées et purifiées pour limiter la consommation d’eau douce. Ces eaux traitées peuvent être utilisées à des fins agricoles et industrielles, voir même pour la recharge des nappes phréatiques. Certains pays appliquent déjà ces méthodes à grande échelle. En Italie et en Espagne par exemple, respectivement 8 % et 14 % des eaux usées sont réutilisées. En Israël, ce chiffre grimpe à près de 85 %2 .  

Avec les effets du changement climatique, plusieurs régions à travers le monde voient leur accès à l’eau diminuer drastiquement. Les Nations Unies estiment même que la demande mondiale en eau douce dépassera l’offre de 40 % d’ici 20303 . En France, par exemple, une période record de 32 jours sans pluie a été enregistrée entre janvier et février 2023, retardant le remplissage des nappes phréatiques et impactant les ressources en eau disponibles. En Afrique du Sud, la forte sécheresse subie par le pays ente 2018 et 2021, combinée à l’augmentation de la population, a contribué à accentuer la crise. 

Malgré les nombreux bénéfices qu’offre la réutilisation des eaux usées, sa mise en place tarde et relève majoritairement des pays les plus exposés à des situations de stress hydrique, les plus vulnérables en d’autres termes. Par exemple, en France seulement 1 % des eaux usées sont renouvelées. Le pays est loin derrière l’Espagne et l’Italie, qui sont eux exposés à des sécheresses répétées. Autre ralentisseur, la réticence de la population quant à l’utilisation de l'eau recyclée. Néanmoins, plusieurs rapports révèlent que les eaux usées recyclées sont non seulement aussi sûres que l'eau potable traditionnelle, mais peuvent être moins toxiques que certaines sources d’eau douce exploitées4 . Une campagne de communication serait nécessaire pour traiter les objections et relever le doute. Enfin, le principal obstacle à la mise en place de méthodes de recyclage est sans équivoque le manque de technologie et d’expertise dans le domaine. 

En règle générale, les eaux usées doivent être traitées en trois étapes pour éliminer les déchets et nutriments susceptibles de perturber le cycle de l'eau. Le pré-traitement comprend les procédés d'épuration physique et chimique, tandis que le traitement secondaire concerne l'épuration biologique des eaux usées. Après intervient le traitement tertiaire : les eaux usées sont converties en eau de bonne qualité qui peut être utilisée pour différentes finalités. Chacune de ces trois étapes requiert des technologies et des infrastructures bien précises, nécessitant des investissements financiers significatifs.

Face à ces barrières, les gouvernements ont leur rôle à jouer pour faciliter l’adoption de nouvelles pratiques. Offrir des incitations financières aux entreprises et municipalités, comme des subventions ou des financements à taux préférentiels, afin de leur permettre d’investir dans la réutilisation de l’eau, mettre en place des campagnes de sensibilisation pour informer le public sur les avantages du recyclage
des eaux usées et pour éliminer les préjugés ou les malentendus concernant son utilisation sont autant de leviers à exploiter.

La préservation de l’eau douce repose sur une combinaison de facteurs organisés autour des principes de l’économie circulaire : réduire, réutiliser, recycler. Toutefois, la réutilisation ou le recyclage des eaux usées, une solution d’adaptation efficace pour permettre de faire face aux déficits des ressources, ne résoudra pas à elle seule tous les problèmes d'eau auxquels nous serons confrontés dans les décennies à venir. Des méthodes d’utilisation optimisées pour réduire notre consommation en eau sont nécessaires. Le secteur de l’agriculture, représentant plus de 70 % des prélèvements d’eau dans le monde5, reste prioritaire. Aussi, la réduction de la pollution de l’eau est un objectif connexe à atteindre. La contamination des eaux ayant pour effet de perturber le cycle de l’eau, a un impact négatif sur les ressources disponibles.

Intégrer la circularité au cœur de l’action souveraine est un des seuls espoirs pour préserver nos ressources naturelles. Pour atteindre son objectif de tripler les volumes d’eau réutilisée d’ici 2025 (19 000 m3 par jour en 2019)6, la France a décidé d’appliquer ces différents principes au travers de son Plan Eau annoncé en mars 2023, qui contient près de 50 mesures7. L’objectif est de procurer des financements afin de pousser à la réutilisation et la sobriété hydrique. Une fois le cadre de soutien en place, il appartiendra aux consommateurs de faire le reste du chemin.

Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.

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news-3558 Mon, 31 Jul 2023 14:52:18 +0200 Suspension des ordres de rachat supérieurs à 2% du nombre des actions sur la Valeur liquidative du 31 juillet 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/suspension-des-ordres-de-rachat-superieurs-a-2-du-nombre-des-actions-sur-la-valeur-liquidative-du-31-juillet-2023/ Conformément au prospectus de votre SPPICAV LF OPSIS EPARGNE IMMOBILIERE, la Société de gestion vous informe que suite à des demandes de rachats d’associés d'un nombre cumulé d’Actions supérieur à deux pourcents (2%) du Nombre Total des Actions de la SPPICAV, calculé sur la base de la Valeur Liquidative précédent celle sur laquelle l’ordre devrait être exécuté (soit celle du 30 juin 2023), les demandes de rachat ne seront pas exécutée(s) par la Société de Gestion pour la fraction des ordres de rachats qui excède au total deux pourcents (2%) du Nombre Total d’actions de la SPPICAV. 

Les ordres de rachat émanant de plusieurs Associés, chaque demande de rachat sera exécutée au prorata du nombre d’actions visé par la demande par rapport au nombre total d’actions des rachats demandés lors de la même Valeur Liquidative. 

La fraction de l'ordre de rachat non exécutée sera reportée à la Valeur Liquidative suivante et représentée dans les mêmes conditions que précédemment par la Société de Gestion, sauf instruction contraire de l’Associé concerné. 

Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.

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news-3557 Fri, 28 Jul 2023 14:10:00 +0200 Corinne DELEPLACE nommée Directrice Juridique Immobilier de La Française REM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/corinne-deleplace-nommee-directrice-juridique-immobilier-de-la-francaise-rem/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d’euros en actifs sous gestion, a le plaisir d’annoncer la nomination, avec prise d’effet au 17 juillet, de Corinne DELEPLACE en qualité de Directrice Juridique Immobilier, en charge des services juridiques baux & contentieux et investissements & arbitrages, sous la direction de Philippe DEPOUX, Président de La Française REM. Philippe DEPOUX déclare, « Corinne apporte à La Française REM une solide expérience professionnelle dans des groupes à dimension internationale. Ses compétences en matière de négociation, audit et suivi de l’ensemble des contrats et actes adossés à des actifs immobiliers seront clés pour accompagner nos ambitions de développement et de diversification. »

Corinne DELEPLACE, 53 ans, Directrice Juridique Immobilier de La Française REM

Corinne a débuté sa carrière en 1996 au sein du service immobilier / expansion de Monoprix S.A. en tant que Juriste immobilier, chargée de la négociation et rédaction des actes et de la gestion immobilière. Après six années, elle rejoint AXA Real Estate Investment Managers en 2002 en tant que Juriste Immobilier puis se succède une série de promotions. En 2010, Corinne est nommée Responsable du Département Juridique Immobilier d’AXA Real Estate Investment Managers. Elle rejoint Edmond de Rothschild Asset Management en 2012 en tant que Directrice Juridique Immobilier puis en tant que Product Manager. Corinne DELEPLACE est titulaire d’une Maîtrise de Droit des Affaires et d’un D.E.S.S. Juriste d’Affaires de l’Université Paris XII du Val de Marne.

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news-3556 Wed, 26 Jul 2023 17:14:00 +0200 Le marché bouge, pas nos convictions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-marche-bouge-pas-nos-convictions/ Le marché de l’immobilier et de la pierre papier, bilan à mi-année Avec des volumes d’investissement et une demande placée en hausse en France, 2022 a été une année plus que satisfaisante pour l’immobilier d’entreprise. Elle a toutefois été marquée par un ralentissement de l’activité notamment lié au contexte inflationniste, mouvement qui s’est confirmé au 1er trimestre 2023. Du côté de l’investissement immobilier, nous sommes donc actuellement dans une période d’ajustement où investisseurs, vendeurs et locataires sont en quête de nouveaux repères pour se positionner au regard du nouvel environnement macro-économique et financier. Du point de vue locatif, ces nouvelles conditions de marché se traduisent par une recherche plus exigeante en durabilité, centralité et services, elle-même confrontée à une offre plus restreinte en raison des politiques pour lutter contre l’artificialisation des sols.

Du côté du marché de la pierre-papier, la collecte des fonds immobiliers grand public a connu une baisse significative au 2e trimestre 2023 (source ASPIM). De plus, la dernière semaine de juillet a connu d’importantes annonces qui ont suscité des inquiétudes et questionnements. Dans ce contexte chahuté, il convient de rappeler que depuis quelques mois déjà, on ne parle plus du marché immobilier dans son ensemble, mais bien des marchés immobiliers. En effet, tous les segments ne réajustent pas au même moment ni avec la même ampleur. Certains secteurs immobiliers, certaines localisations voire certains immeubles par leur bonne santé locative, leur modernité et leur bons fondamentaux s’avèrent être plus défensifs que d’autres. 

Placement long-terme par définition, la SCPI est un produit d’épargne qui offre un couple risque-rendement attractif et qui a su prouver sa résistance lors de nombreux cycles économiques. Exposée au marché de l’immobilier, elle présente des amortisseurs puissants qui viennent lisser les évolutions des prix du marché de l’immobilier : un patrimoine diversifié et moderne limitant le risque par rapport à la détention en direct et une construction singulière entre prix de part et valeur de reconstitution permettant d’absorber une partie des corrections du marché, pour autant que le prix de part soit en borne basse. Les sociétés de gestion n’ayant pas toutes les mêmes stratégies ni les mêmes fondamentaux, toutes les SCPI ne devraient pas réagir de la même manière.

Une politique de gestion conservatrice, ADN de La Française, qui fait plus que jamais sens

Cette approche prudente et proactive que La Française prône prend aujourd’hui tout son sens : une politique d’investissement sélective, une politique d’arbitrage soutenue et une politique de gestion locative à l’écoute permanente de nos clients locataires. 

Cet ADN Core se traduit par d’excellents indicateurs immobiliers (un montant à l’investissement sur le 1er semestre de près de 500 M€ et près de 330 M€ engagés ou sous promesse, des taux d’occupation des immeubles d’environ 90%, des taux d’encaissement des loyers proches des 100%, des cessions générant des plus-values satisfaisantes). À cela s’ajoutent des indicateurs financiers robustes (financement limité, réserves de plusieurs mois, prix de part bien positionné en borne basse par rapport à la valeur de reconstitution) qui soutiennent la distribution et la valorisation des prix de parts de nos SCPI. 

Enfin, la politique ESG engagée depuis de nombreuses années et l’évolution de notre offre servicielle avec Wellcome by La Française sont des preuves complémentaires et tangibles du professionnalisme et de la capacité d’écoute permanente portés à nos locataires, nous permettant de les accompagner dans un environnement économique complexe et de faire évoluer notre patrimoine avec son temps.  

Positionnement et orientations pour la fin d’année 

Nous l’avons tous vu dernièrement, le monde des SCPI n’est aujourd’hui pas épargné et tend vers plus d’hétérogénéité. Les autorités de tutelles ont recommandé aux sociétés de gestion de faire preuve de transparence à la suite de l’analyse à mi-année de la valeur de patrimoine. 

Pour sa part, La Française REM reste fidèle à son approche alliant prudence et gestion de bon père de famille et poursuit l’analyse relative à la valorisation du patrimoine de ses SCPI. Ce que nous pouvons vous dire à ce jour, c’est que nous restons confiants envers la qualité de nos patrimoines et le positionnement de nos SCPI. En effet, et comme évoqué précédemment, nous disposons de fondamentaux solides et nécessaires pour appréhender le contexte de manière sereine : 

  • un bon positionnement de nos prix de parts, 
  • des taux d’occupation et d’encaissement très satisfaisants du fait d’une sélection rigoureuse de nos locataires et d’une écoute proactive de leurs besoins, 
  • et des patrimoines de qualité répondant aux critères ESG. 

Pour conclure, il ne faut à nouveau pas perdre de vue les caractéristiques principales de la SCPI : un produit de rendement et un produit d’épargne long terme. Elle a su prouver par le passé sa résilience lors de nombreux cycles économiques. Investir dans l'immobilier, c'est investir dans le temps long, et la stabilité des loyers, voire les hausses remarquées sur certains actifs, viendront protéger la valeur des actifs durant cette transition.

Nous tenons à vous assurer de la mobilisation de l’ensemble de nos équipes. Tenir nos engagements auprès de nos porteurs de parts, répondre aux attentes de nos partenaires et être à l’écoute de nos locataires restent notre priorité.

Analyse de la société de gestion La Française REM basée sur ses propres convictions - 26 juillet 2023

Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces, etc.) présente des risques : absence de rentabilité potentielle ou perte en capital, risque de variabilité des revenus, capital investi non garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI.

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news-3555 Tue, 25 Jul 2023 16:58:19 +0200 La Française REM acquiert un ensemble de commerces situé au pied du Sacré Coeur à Paris (75018) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-un-ensemble-de-commerces-situe-au-pied-du-sacre-coeur-a-paris-75018/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (31/05/2023) a acquis, auprès d’un investisseur privé, « Le Pavillon », un ensemble immobilier à usage de commerce, sis 5 rue Saint-Eleuthère, dans le quartier de Montmartre à Paris. Érigé dans les années 1900 à l'occasion de l'exposition universelle, Le Pavillon bénéficie d’une localisation exceptionnelle, au cœur du quartier de la butte de Montmartre, au pied de la basilique du Sacré-Cœur et à 40 mètres de la gare du funiculaire, dans un environnement arboré résilient aux vagues de chaleur. Il est idéalement situé proche des transports en commun (Métro lignes 2, 4, 12). L’ensemble immobilier développe 863 m2, répartis sur 4 niveaux avec 99 m2 de terrasses et bénéficie d’une vue sur la Tour Eiffel. Le bâtiment, divisible en deux parties, est entièrement loué à deux locataires des secteurs de la restauration et de l’événementiel.

Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « L’emplacement exceptionnelle du Pavillon et l’ancrage de nos deux locataires dans le paysage local contribueront à soutenir la valorisation de l’actif dans le temps. Le quartier de Montmartre possède une très forte attractivité touristique avec des flux importants. La desserte en transports est excellente sur la zone et le quartier est déjà fortement piétonisé et végétalisé. » Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

Dans le cadre de cette opération, La Française REM a été conseillée par les Notaires du Trocadéro ainsi que par le Cabinet Jeantet. Le vendeur était conseillé par Lexfair Notaires. Les deux parties ont étéreprésentées par JLL dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Catella.

RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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news-3551 Fri, 21 Jul 2023 09:12:56 +0200 LE CRISCO, immeuble de La Française Real Estate Managers, primé à trois reprises au Concours Cube Flex /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-crisco-immeuble-de-la-francaise-real-estate-managers-prime-a-trois-reprises-au-concours-cube-flex/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (31/05/2023), et son partenaire AVELTYS, expert en gestion énergétique, ont le plaisir d’annoncer que l’immeuble de bureaux multi-locataires, le CRISCO à Sèvres a été récompensé à trois reprises au championnat de France des économies d’énergie, le Concours Cube Flex. Lancé le 10 octobre 2022 par RTE, l’IFPEB et A4MT, le concours CUBE FLEX est un challenge national qui s’est tenu sur quatre mois à compter du 1er janvier 2023. Il vise à accélérer la flexibilisation électrique des bâtiments tertiaires, levier important pour gérer l’équilibre du système électrique, et récompenser les immeubles participants les mieux classés en matière d’économies d’énergie sur une période de référence.

Antoine VINCKE, Directeur de l’ISR Immobilier de La Française REM précise « Participer au concours Cube Flex, c’est démontrer que les économies d’énergie liées à un usage plus sobre et une maintenance plus pointue du bâtiment peuvent être significatives. Nous avons choisi le CRISCO, un immeuble de bureaux construit dans les années 90, largement représentatif du parc immobilier tertiaire français. Son caractère multi-locataires présentait un défi supplémentaire à savoir maximiser les gains de consommation d’énergie tout en préservant un confort maximal pour tous nos utilisateurs. Par ailleurs, dans le cadre de notre adhésion à la Charte Ecowatt, nous voulions mener un test « en situation réelle » sur un de nos actifs avant de déployer la solution à grande échelle. Cette expérience est un succès et vient confirmer notre conviction que c’est en travaillant main dans la main avec nos locataires que nous parviendrons à réaliser des économies d’énergie significatives. »

Pour relever ce challenge, AVELTYS, partenaire expert en gestion énergétique de La Française REM, a mené auprès des locataires du CRISCO une enquête sur les modalités d’occupation de leurs locaux et l’appréhension par chacun des températures de consigne. Il en est ressorti que si la majorité souhaitait une température de chauffage à 20°C, près d’un quart d’entre eux acceptait 19°C. Concernant la climatisation, près d’un tiers des locataires s’est prononcé pour une température de 27°C, et les deux tiers étaient favorables à la suppression de l’eau chaude dans les sanitaires. 

Grâce à une gestion très fine des systèmes techniques et aux efforts combinés de La Française REM (le bailleur), des locataires et d’AVELTYS, une réduction allant jusqu’à 43 % de la consommation d’électricité du CRISCO sur certaines heures de pointe a été réalisée. 

« Optimiser les conditions d’exploitation d’un immeuble de bureaux pour réduire sa consommation énergétique participe à la hausse de ses performances. Cette démarche correspond à notre perception de la réflexion globale à engager vis-à-vis du parc tertiaire existant. Travailler avec des utilisateurs aux profils et modes de fonctionnement hétérogènes nous a dotés d’un retour d’expériences enrichissant pour mettre en œuvre l’ambitieux programme que La Française REM entend déployer afin de minimiser l’empreinte écologique de son patrimoine. » précise Guillaume PARISOT, directeur général d’AVELTYS.

Le CRISCO est détenu par trois Sociétés Civiles de Placement Immobilier de La Française REM : LF Grand Paris Patrimoine, Crédit Mutuel Pierre 1 et Sélectinvest 1.


Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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news-3549 Tue, 18 Jul 2023 14:31:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert en VEFA auprès de BNP Paribas Immobilier Promotion un hôtel (13) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-en-vefa-aupres-de-bnp-paribas-immobilier-promotion-un-hotel-13/ L'hôtel sera exploité par le groupe RUBY HOTELS en centre-ville de Marseille (13) La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (31/05/2023), a acquis « off-market » le 23 juin dernier en VEFA, auprès de BNP Paribas Immobilier Promotion, un actif mixte de 8 778 m2 (R+9) sis 49-53 boulevard des Dames, à Marseille.

Idéalement située à 10 minutes à pied du Vieux Port de Marseille, à quelques minutes du centre commercial Les Docks Village et à proximité immédiate du quartier historique du Panier, l’opération bénéficie d’une localisation privilégiée. Facilement accessible par les transports en commun (Métro Ligne 2 – arrêt Joliette, Tramway Lignes 2 et 3 – arrêt République Dames), l’actif mixte proposera un hôtel de 237 chambres sur 7 582 m2 et un espace de coworking de 945 m2 réparti sur trois étages ainsi qu’une pharmacie de 251 m2 , déjà existante et non modifiée par le projet*

L’hôtel, conçu par le groupement GENSLER / Claire FATOSME & Christian LEFEVRE Architectes Associés et entièrement restructuré par BNP Paribas Immobilier Promotion, proposera de nombreux services haut de gamme incluant notamment un rooftop et un bar lounge (R+9). La livraison est prévue pour la fin de l’année 2025. L’hôtel et l’espace de coworking seront exploités après la livraison par l’opérateur hôtelier Ruby Hotels. Créé en 2013, Ruby Hotels propose seize implantations existantes et vingt autres en cours de développement ou de construction. Son offre se base sur le concept du « Lean Luxury », ayant pour but de proposer à ses clients une expérience haut de gamme à un prix abordable.

L’ensemble immobilier sera certifié BREEAM Very Good et profitera d’un raccordement au réseau urbain de géothermie marine Thassalia. Le projet sera intégré au Booster du Réemploi afin de favoriser l’économie circulaire, et au moins 5 % des heures de chantier seront réservées à l’insertion de populations fragiles ou éloignées de l’emploi, ce qui en fera un projet exemplaire sur les aspects sociaux et environnementaux.

Leslie VILLATTE, Directrice Investissements et Développement Immobilier Institutionnels France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « L’actif bénéficie d’une localisation idéale et cohérente avec le positionnement du groupe Ruby, un locataire de premier rang. Il dispose de nombreux équipements haut de gamme et bénéficie d’une excellente accessibilité du fait de sa localisation au cœur du centre-ville de Marseille. De plus, cette opération renforce la diversification de notre portefeuille d’actifs de tourisme avec l’agrégation d’un opérateur de premier rang. »

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news-3548 Tue, 18 Jul 2023 14:22:44 +0200 FLASH MARCHE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marche-1/ Allocation : Bilan et Perspectives pour le deuxième semestre. Les six mois qui viennent de s’écouler ont donné lieu à une amélioration de la situation macroéconomique.

La réouverture de l’économie chinoise en fin d’année dernière a tout d’abord permis un regain d’optimisme et ce même si le rebond de l’activité s’est fait de manière inégale.

En chine, les secteurs de la restauration, joaillerie ou encore de l’automobile électrique affichent en effet des rebonds très marqués, mais tout ce qui concerne l’immobilier au sens large reste encore très déprimé. A horizon fin d’année, le pays devrait malgré tout être capable d’atteindre ses objectifs de croissance de 5 à 5.5 % en 2023 au regard du rebond de l’activité au premier trimestre, même si nous ne croyons pas beaucoup à un plan de relance d’envergure pour relancer l’activité immobilière en lien avec les déclarations lors du dernier Politburo qui fait encore la part belle à la lutte contre la spéculation immobilière.

La situation énergétique européenne, s’est elle aussi largement améliorée grâce à des importations massives de gaz liquéfié américain et à des températures clémentes. La baisse des prix des matières premières énergétiques est une très bonne nouvelle pour l’économie européenne et permet de diminuer le fardeau pour les ménages et les entreprises de la zone. A horizon fin d’année, la situation ne devrait pas évoluer de manière importante avec un risque que nous jugeons faible de voir la zone euro faire face à nouveau aux mêmes problématiques concernant les stocks de gaz aujourd’hui très importants. De la même manière, les dynamiques d’offre et de demande ne devraient pas amener le prix du pétrole sur des niveaux significativement plus élevés que ceux que nous constatons actuellement. Il existe cependant un risque de voir la Russie remettre en cause les accords concernant les exportations agricoles en Mer Noire, voire de limiter les exportations de gaz à destination de l’Europe.

Enfin, la consommation a été globalement résistante même si la situation américaine apparaît sur ce plan plus favorable. Plusieurs facteurs jouent positivement en faveur des Etats Unis. Tout d’abord parce que l’inflation salariale réelle y est bien supérieure qu’en Europe mais aussi parce que l’épargne-excédentaire accumulée par les ménages Américains sert de variable d’ajustement, alors qu’elle semble plus stable en Europe. La Banque Centrale Européenne a récemment étudié la façon dont cette épargne excédentaire a été investie en Europe et aux Etats-Unis et il apparaît qu’elle a été principalement investie en immobilier en Europe alors que les Américains ont pour coutume d’investir principalement en actions et en obligations. Il existe donc un réservoir de consommation encore disponible outre atlantique par ce biais, ce qui n’est pas le cas en Europe.

Au regard des dynamiques actuelles, il nous semble probable que nous devrions assister au deuxième semestre à une divergence des prévisions de croissance en faveur des Etats-Unis, ce qui a été peu le cas jusqu’ici.

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news-3547 Wed, 19 Jul 2023 15:52:00 +0200 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française euro inflation » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-euro-inflation/ Modification du Fonds Commun de Placement « La Française euro inflation » suite à la modification du prospectus de son fonds maître le compartiment « La Française Lux euro inflation » de la SICAV « La Française Lux » Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement (FCP) La Française euro inflation (ci-après « le Fonds ») ; Fonds nourricier du compartiment La Française Lux euro inflation de la SICAV La Française Lux (ci-après « le Fonds maître ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que le Fonds maître sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le Fonds maître promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR.

Par conséquence, le prospectus du Fonds sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR.

Cette nouvelle catégorisation du Fonds n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

Cette modification du Fonds ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 24 juillet 2023.

Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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news-3546 Wed, 19 Jul 2023 15:49:00 +0200 Avis : modification du réglement du Fonds Commun de Placement d’Entreprise « CMNE Participation Obli Flex Monde » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-reglement-du-fonds-commun-de-placement-dentreprise-cmne-participation-obli-flex-monde/ Modification du réglement du Fonds Commun de Placement d’Entreprise « CMNE Participation Obli Flex Monde » suite à la modification du prospectus de son fonds maître le compartiment « La Française LUX - Multistrategies Obligataires » de la SICAV « La Française Lux ». Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement d’Entreprise (FCPE) CMNE Participation Obli Flex Monde (ci-après « le Fonds ») ; Fonds nourricier du compartiment La Française Lux Multistrategies Obligataires de la SICAV La Française Lux (ci-après « le Fonds maître ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que le Fonds maître sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le Fonds maître promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR.

Par conséquence, le règlement du Fonds sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR.

Cette nouvelle catégorisation du Fonds n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

Cette modification du Fonds ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 24 juillet 2023.

Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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news-3544 Wed, 19 Jul 2023 14:39:00 +0200 Avis internet : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Multistratégies Obligataires » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-multistrategies-obligataires/ Modification du Fonds Commun de Placement « La Française Multistratégies Obligataires » suite à la modification du prospectus de son fonds maître le compartiment « La Française LUX - Multistrategies Obligataires » de la SICAV « La Française Lux » Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement (FCP) La Française Multistratégies Obligataires (ci-après « le Fonds ») ; Fonds nourricier du compartiment La Française Lux Multistrategies Obligataires de la SICAV La Française Lux (ci-après « le Fonds maître ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que le Fonds maître sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le Fonds maître promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR.

Par conséquence, le prospectus du Fonds sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR. Cette nouvelle catégorisation du Fonds n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

Cette modification du Fonds ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 24 juillet 2023.

Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir

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news-3543 Wed, 12 Jul 2023 14:18:02 +0200 Pourquoi nous redevenons positifs sur les AT1 CoCos /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pourquoi-nous-redevenons-positifs-sur-les-at1-cocos/ Le stress systémique sur le secteur bancaire a largement diminué ces dernières semaines. Non pas car les problèmes fondamentaux des banques américaines auraient miraculeusement disparu, mais car ce stress était en grande partie causé par les craintes de fuites des dépôts, qui ont été jugulées par les mécanismes de garanties des dépôts et de liquidité des autorités de tutelle. Alors que l’attention des marchés et des médias se détourne de ces problématiques, l’environnement paraît propice à un rallye plus prononcé sur les AT1 CoCos européennes. Celles-ci demeurent encore décotées, à la fois en valeur absolue et relative, et devraient bénéficier de la réouverture prochaine du marché primaire. 1/ Pas de nouvelle, bonne nouvelle. Du « bank run » au « bank walk »

Le stress est par nature temporaire. Il prend racine dans des problématiques fondamentales (problèmes bilanciels et réglementaires), s’exprime par des symptômes plus ou moins graves (faillites bancaires), s’exacerbe violemment lorsque l’attention est concentrée sur la douleur des symptômes (attention médiatique et comportements moutonniers accélérés par les réseaux sociaux, conduisant à des mouvements massifs de fuite des dépôts) et se calme lorsque le médecin prescrit des remèdes plus ou moins efficaces (résolutions bancaires, mécanismes de garanties et de liquidité), mais rassure surtout les patients (les marchés financiers) sur le fait que tout ira bien in fine. Le stress se dissipe alors, en attendant de traiter plus en profondeur les maux chroniques.

L’attrition des dépôts auprès des banques américaines reste un sujet de préoccupation, puisque leur rémunération moyenne demeure très inférieure aux taux souverains fédéraux (voir graphique), auxquels les déposants ont accès via des fonds monétaires exclusivement portés sur des obligations gouvernementales (ce qui n’existe pas en Europe).

Nous ne craignons cependant pas de fuite des dépôts massive (« bank run »), dans la mesure où la FDIC a fourni un « backstop » significatif en garantissant l’intégralité des dépôts des différentes faillites bancaires intervenues ces derniers mois. La tendance sur les dépôts devrait rester négative durant les trimestres à venir, mais cela ne devrait pas être de nature à menacer la stabilité bilancielle des établissements bancaires américains, tant qu’il n’y a pas de fuite massive. Le risque est qu’un chiffre alarmant de baisse des dépôts ait un effet boule de neige auto-réalisateur, mais ce risque nous apparaît moindre désormais.

Nous attendons toujours des mesures concrètes de renforcement de la surveillance prudentielle des milliers de banques américaines aux bilans inférieurs à 700mds$, via le respect de ratios de liquidité et de financement, une soumission à des stress tests et des exigences réglementaires relevées. « L’Européanisation » des banques américaines prendra du temps et se fera certainement au détriment de leur performance boursière, mais au bénéfice de la stabilité du système bancaire américain.

D’autres placements sous tutelle d’établissements américains de petites tailles (bilans inférieurs à 100mds$) sont possibles, mais ne paraissent plus tant comme des éléments déstabilisateurs en termes de risque systémique.

FLASH INFO Pourquoi nous redevenons positifs sur les AT1 CoCos Achevé de rédiger le 08|06|2023 2 Ce document est réservé aux investisseurs professionnels tels que définis par MiFID 2. Pourquoi nous redevenons positifs sur les AT1 CoCos Les risques gravitant autour de l’immobilier commercial américain demeurent présents en toile de fond, mais, là aussi, il s’agira sans doute d’une longue pente descendante, plutôt que d’une falaise dont des acteurs financiers chuteraient brutalement.

Enfin, l’excellente tenue de l’économie américaine, en dépit du resserrement de politique monétaire, est un facteur de soutien significatif pour le système bancaire local. Nous rappelons ici que les banques européennes sont beaucoup moins exposées à ces problématiques, et que leurs fondamentaux ne sont pas ici remis en question, comme nous l’avons évoqué dans de précédentes notes.

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news-3542 Mon, 10 Jul 2023 16:48:57 +0200 Information aux actionnaires des modifications du Prospectus – Objectifs et politique d’investissement & Centralisateur /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-actionnaires-des-modifications-du-prospectus-objectifs-et-politique-dinvestissement-centralisateur-1/ Paris, le 10 juillet 2023, Information aux actionnaires des modifications du Prospectus – Objectifs et politique d’investissement & Centralisateur Chers Actionnaires,  

La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS PATRIMOINE, vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé les changements suivants :

  • Modification du pourcentage maximum en immobilier non coté de 60% à 90%, et 
  • Ajout du centralisateur IZNES pour certaines actions de la catégorie de actions LF OPSIS 

PATRIMOINE Assurance à inscrire ou inscrites au nominatif pur au sein du Dispositif d’Enregistrement Electronique Partagé (DEEP) auprès d’IZNES.

La Française Real Estate Managers a informé le dépositaire de ces modifications et obtenu son accord sur la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté.

Dans la mesure où la modification du Prospectus relative à la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté (conservation du pourcentage de détention immobilier règlementaire uniquement) constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.

La modification du Prospectus sera effective à la date de l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.

De plus, dans la mesure où cette modification des objectifs et politique d’investissement de la Société s’inscrit dans le cadre d’une évolution absolue de l’exposition à une ou plusieurs typologies de risque strictement inférieure à 20% de l’actif net, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.

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news-3541 Thu, 06 Jul 2023 09:47:00 +0200 Le Crédit Mutuel Nord Europe et La Française réalisent un don de 176 000 € à l’Institut du Cerveau (ICM) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-credit-mutuel-nord-europe-et-la-francaise-realisent-un-don-de-176-000-eur-a-linstitut-du-cerveau-icm/ Dans le cadre d’une politique de mécénat sociétalement responsable, le Crédit Mutuel Nord Europe et La Française apportent leur soutien depuis huit ans à l’ICM, le centre de recherche de dimension internationale sur les neurosciences. Chaque année, le Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE) et La Française réalisent un don à l’ICM au regard de la collecte générée au travers du réseau CMNE. Cette année, outre Pierval Santé1 , le périmètre concerné s’étend à la première Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) de La Française Real Estate Managers investie dans les actifs de santé, LF Avenir Santé. Compte tenu de la collecte significative de 2022, c’est un don de 176 000 € qui bénéficiera à la recherche scientifique et médicale. Cette contribution exceptionnelle reflète l’intérêt grandissant des épargnants pour les solutions d’investissement relevant d’un caractère social.

Créé en 2010, l’Institut du Cerveau (ICM) est un centre de recherche scientifique et médical d’excellence de dimension internationale. Son modèle innovant réunit en un même lieu, patients, médecins, chercheurs et entrepreneurs avec un objectif commun : comprendre le cerveau et accélérer la découverte de nouveaux traitements pour les maladies du système nerveux. L’Institut comprend un réseau de plus de 750 experts, au sein de 25 équipes de recherche, 10 plateformes technologiques de pointe, un centre d’investigation clinique, un organisme de formation et plus de 2000m² destinés à l’incubation de startups.

La SCPI LF Avenir Santé, classifiée Article 8 selon le règlement Disclosure et distinguée avec le Label ISR, s’engage dans la lutte contre le manque d’infrastructures de santé ou médico-sociales et dans l’accompagnement de la prise en charge qualitative des patients. Au sein d’un secteur en pleine mutation, LF Avenir Santé sélectionne les actifs médico-sociaux en adéquation avec les nouveaux besoins générationnels, de la médecine de proximité en cœur de ville aux logements alternatifs. Lancée fin 2021 et soutenue par l’importance croissante accordée à la santé, la SCPI LF Avenir Santé affiche une capitalisation de plus de 105 millions d’euros à fin décembre 2022.

Eric Charpentier, Directeur Général de Crédit Mutuel Nord Europe : « Nous ne pouvons aujourd’hui être insensibles aux questions qui concernent la santé. Ce sont de vrais sujets sociétaux et je pense que nous avons une responsabilité en la matière. Nous connaissons les besoins de la recherche et si nous voulons aider efficacement il faut réinventer les leviers. Je me réjouis que celui que nous avons mis en 1 SCPI gérée par Euryale et commercialisée par La Française groupe en 2022 place soit un tel succès. Il nous permet de surcroît d’associer nos clients à une démarche qui a du sens pour eux. »

Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du groupe La Française : « Notre démarche RSE nous incite à nous inscrire dans une action volontaire de mécénat Durable en cohérence avec nos valeurs et notre stratégie d’investisseur responsable. Ainsi, notre politique de mécénat vise tant au niveau de la Direction que des collaborateurs La Française, à œuvrer en faveur de causes sociétales et environnementales dans le cadre de nos produits quand cela fait sens. Nous sommes fiers de soutenir la recherche médicale menée par l’Institut du Cerveau grâce notamment à notre engagement au travers de la SCPI LF Avenir Santé. »

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news-3540 Fri, 07 Jul 2023 09:54:00 +0200 La Française REM acquiert un local commrcial à Marseille (13001) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-un-local-commrcial-a-marseille-13001/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de la société de gestion Ensof Capital un local commercial alimentaire sis 26 ter Boulevard Camille Flammarion (à l'angle du Boulevard Camille Flammarion et de la rue d'Isoard) en centre-ville de Marseille, proche du quartier Longchamp. Situé dans un quartier résidentiel du 1er arrondissement, à 650 m de la Gare Saint-Charles et à 450 m de l'arrêt de tramway "Nationale", le commerce bénéficie d'une visibilité exceptionnelle avec 60 mètres de linéaire de façade. Livré en 2019, le local commercial, d’une surface de 3 000 m², est entièrement loué dans le cadre d’un bail ferme et exploité sous une enseigne de la grande distribution.

Cette acquisition, d’un montant d’environ 13 M€, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Dans une perspective de diversification, par typologie de classe d’actif, de notre portefeuille immobilier, La Française REM cible des actifs commerciaux bien loués avec des locataires solides, opérant dans des secteurs défensifs tel que la grande distribution et notamment la branche de la grande distribution alimentaire. Nous portons une attention toute particulière au taux d’effort, favorisant l’occupation long terme de ses actifs. Cette acquisition est la parfaite illustration de cette stratégie. »

La Française REM a été conseillée par l’étude notariale Oudot et par le cabinet Jeantet sur les aspects locatifs. Ensof Capital a été conseillé par l’étude notariale Lasaygues & Associés. La Française REM a été conseillée par GB Conseils (Gabriel BOUKOBZA).

RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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news-3538 Tue, 11 Jul 2023 09:14:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux à Bochum (Allemagne) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-bochum-allemagne/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Europimmo, a acquis un immeuble de bureaux à Bochum auprès de Landmarken AG. L'immeuble (R+5) est situé Suttner-Nobel-Allee 7, dans un nouveau quartier de bureaux de Bochum, également connu sous le nom de « Quartier de l'innovation » ou « MARK 51°7 », où se sont installées des entreprises de recherche et développement opérant dans les secteurs de la technologie et de la science. La propriété est stratégiquement située entre le centre-ville de Bochum et l'université et bénéficie d’une bonne desserte par les transports en commun. Un arrêt de tramway situé juste devant le bâtiment relie le site à la gare centrale en moins de 20 minutes.

Le bâtiment qui développe 5 290 m² a été achevé fin 2022 et sera certifié LEED Gold. Il offre de bonnes performances énergétiques et environnementales avec notamment des panneaux solaires sur le toit, une connexion au système de chauffage urbain, une toiture végétalisée, 10 bornes de recharge pour véhicules électriques et un espace extérieur pour 55 vélos.

L'immeuble de bureaux est entièrement loué dans le cadre de baux à long terme à cinq locataires, dont deux entreprises spécialisées dans la cybersécurité et Landmarken AG.

Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre premier immeuble de bureaux à Bochum. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie visant à diversifier notre portefeuille immobilier allemand avec des biens très performants en termes de critères ESG, ainsi qu'à accroître notre présence dans des régions économiquement fortes et des centres urbains en dehors du « top 7 ». Nous sommes convaincus de l'attrait à long terme du nouveau quartier et de la durabilité du bien. »

La Française Real Estate Managers a été conseillée par Görg Partnerschaft von Rechtsanwälten mbB sur les aspects juridiques et par TA Europe GmbH sur la due-diligence technique. Cushman & Wakefield a géré la commercialisation du bien pour le compte du vendeur.

Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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news-3537 Tue, 04 Jul 2023 10:58:12 +0200 Revalorisation des actifs viticoles de La Française Real Estate Managers (REM) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/revalorisation-des-actifs-viticoles-de-la-francaise-real-estate-managers-rem/ La Française Real Estate Managers (REM), acteur historique de l’investissement viticole depuis plus de quarante ans, a le plaisir d’annoncer la revalorisation de son portefeuille viticole, tractée par la progression des appellations prestigieuses. Les dernières expertises annuelles indépendantes diligentées par la société de gestion sur une sélection de vingt-huit propriétés font état d’une revalorisation comprise entre environ 1 % et 7 % de dix-neuf propriétés viticoles situées en Alsace, en Bourgogne, dans le Bordelais et dans la Vallée du Rhône. Cette revalorisation contribue ainsi à faire progresser les actifs sous gestion à 335 millions d’euros au 30/06/2023, soit une augmentation de 2,5 % sur un an, à périmètre constant.

Cyril CARTERON, Directeur des actifs de diversification de La Française Real Estate Managers a commenté, « Les propriétés viticoles gérées par La Française Real Estate Managers se situent exclusivement dans des AOP prestigieuses françaises. Ces propriétés bénéficient ainsi de la rareté de l’offre, facteur de soutien de la valorisation du foncier. Cette revalorisation illustre parfaitement notre savoir-faire en matière de sélection et de création de valeur. »
 

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news-3535 Wed, 28 Jun 2023 10:15:00 +0200 Acquisition d’un portefeuille de 5 actifs de santé /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acquisition-dun-portefeuille-de-5-actifs-de-sante/ La Française Real Estate Managers et ELSAN, groupe leader de l’hospitalisation privée en France, signent un partenariat stratégique et concrétisent une première opération portant sur un portefeuille de 5 établissements de santé intégrant la mise en place d’un fonds de modernisation conjoint de ces infrastructures La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF AVENIR SANTE et EPARGNE FONCIERE, a acquis un portefeuille de 5 cliniques auprès du groupe ELSAN. L’opération de « Sale & Leaseback » s’élève à plus de 120 millions d’euros (acte en mains).

Le portefeuille comprend 3 centres de soins médicaux et de réadaptation (SMR) et 2 cliniques spécialisées en médecine, chirurgie, obstétrique (MCO), intégralement louées à ELSAN dans le cadre de baux longs.

Acteur de référence de l’offre de soins en France, ELSAN est présent dans l’ensemble des métiers de l’hospitalisation et dans toutes les régions de l’Hexagone. Son utilité sociétale fait partie intégrante de sa mission d’offrir, à chacun et partout, des soins de qualité, innovants et humains.

La démarche de responsabilité sociétale d’ELSAN a pour objectif d’animer la mise en œuvre de ses valeurs (l’attention à l’autre, le lien social et l’esprit d’équipe), en lien avec ses objectifs stratégiques. Elle traduit ses efforts pour relever les défis sociétaux auxquels ils font face et pour répondre aux attentes de toutes ses parties prenantes, internes et externes. En tant qu’acteur majeur de la santé, responsable et engagé, le groupe participe pleinement aux missions de service public et contribue à l’enseignement des médecins, à la formation continue, à la recherche clinique et à l’innovation technologique. Agir et innover pour la santé de tous au cœur des territoires est sa raison d’être.

 

Dans le cadre de ce partenariat stratégique, La Française Real Estate Managers et ELSAN s’engagent à mettre en place un fonds de modernisation pour les établissements de santé, abondé conjointement par ELSAN (l’exploitant) et La Française REM (le bailleur). Ce fonds permettra de contribuer au financement des projets de modernisation et d’amélioration des conditions d’accueil, et aux travaux d’amélioration des performances énergétique et environnementale pour tous les établissements concernés.

Description des actifs :

  • La Clinique SMR Supervaltech (rue Arnaud de Villeneuve, Saint Estève), située dans l’agglomération de Perpignan. La Clinique Supervaltech compte plus de 135 collaborateurs et 9 médecins qui prennent en charge plus de 1 600 patients par an. L’établissement, enregistré EMAS (Système européen de management environnemental et d’audit ; 2017), développe une surface totale de 7 254 m². La clinique de 178 lits et places, est spécialisée dans le soin et l’accompagnement de la personne âgée, elle dispose d’un plateau technique dédié à la rééducation gériatrique (ergothérapie, kinésithérapie, salle de rééducation) afin de favoriser la réautonomisation et le retour à domicile. L'établissement propose également une prise en charge en hospitalisation à temps partiel (hôpital de jour) pour la réadaptation cardiorespiratoire dans un espace moderne et lumineux. La création de nouvelles capacités d’hébergement et l’installation de panneaux photovoltaïques en autoconsommation sont prévus et financés par l’acquéreur dans le cadre de la transaction.
     
  • La Clinique SMR du Sud (Chemin de la Madeleine, Carcassonne), stratégiquement située à proximité immédiate du centre hospitalier de Carcassonne. La Clinique du Sud compte plus de 73 collaborateurs et 8 médecins qui prennent en charge près de 1400 patients par an. L’établissement, d'une surface de 5 181 m² avec 64 chambres, est le seul 100 % dédié aux soins de suite de réadaptation dans le département de l’Aude. Il est spécialisé dans la rééducation des affections liées à l’appareil locomoteur et aux systèmes nerveux, cardiovasculaires et respiratoires. La clinique était la seule dans l’Aude à être labellisée fin 2021 par l’agence régionale de Santé pour la prise en charge des Covid longs. L’installation de panneaux photovoltaïques en autoconsommation est prévue et financée par l’acquéreur dans le cadre de la transaction.
     
  • La Clinique SMR Valdegour (772 Chemin de Valdegour, Nîmes), située à proximité immédiate du CHU de Nîmes, dans le département du Gard. La Clinique Valdegour spécialisée dans les affections de l'appareil locomoteur et la réautonomisation de la personne âgée compte plus de 87 collaborateurs et 6 médecins qui prennent en charge plus de 1 200 patients par an. L’établissement est certifié par la Haute Autorité de Santé (HAS) depuis 2021 pour la qualité des soins confirmée. L'ensemble immobilier, d'une surface de 8 166 m², comprend un nouveau bâtiment dédié au centre d’imagerie médicale Nemoscan doté d’un scanner et d’une IRM dernière génération qui sera bientôt complété par un plateau de radiologie et d’échographie. Des travaux de modernisation et de conversion de chambres doubles en chambres simples sont prévus et financés par l’acquéreur dans le cadre de la transaction.
     
  • La Clinique (MCO) du Cambrésis (102 Boulevard Faidherbe, Cambrai), située en centre-ville proximité avec la gare de TER de Cambrai, qui la relie aux grandes villes du département avec notamment Lille à 80 km au nord. La Clinique du Cambrésis compte plus de 41 collaborateurs et 19 médecins qui prennent en charge plus de 4 089 patients par an dans de nombreuses spécialités médicales. La clinique, , développe une surface totale de 3 666 m². La création d’une unité de soins non programmés de jour au sein de la Clinique est prévue et financée par l’acquéreur dans le cadre de la transaction.
     
  • La Clinique MCO Les Lauriers (147 rue Jean Giono, Fréjus), située dans le département du Var. La Clinique Les Lauriers compte plus de 80 collaborateurs et 59 médecins qui prennent en charge plus de 30 000 patients par an. L’établissement bénéficie d’un arrêt de bus au pied du bâtiment. L'ensemble immobilier totalise 4 787 m² pour 71 lits et places. Depuis le 26/04/2018 et pour une durée de 6 ans, la Clinique Les Lauriers est certifiée V2014 par la HAS avec le meilleur niveau A de qualité de prise en charge des patients. L’extension du bloc opératoire avec la création d’une nouvelle salle d’opération est prévue et financée par l’acquéreur dans le cadre de la transaction.

 

Jérôme Valade, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu :

« L’acquisition de ce portefeuille de cinq cliniques marque le début d’un partenariat qui s’inscrira dans la durée avec ELSAN et nous comptons bien réitérer ce genre d’opération ensemble. En effet, la volonté partagée au travers du fonds de modernisation conjoint, d’accompagner ces actifs dans la transition climatique vers un meilleur positionnement énergétique et environnemental est gage d’une vision commune de la gestion saine et responsable des actifs immobiliers ».

Pour Simon Levy, Directeur général délégué au sein du groupe ELSAN : « Ce nouveau partenariat stratégique s’inscrit dans la volonté d’ELSAN de poursuivre le développement des activités de soins de ses établissements en s’associant avec un acteur majeur du secteur de l’immobilier de santé. Nous souhaitons également continuer à mener avec La Française REM les investissements de modernisation et d’amélioration des conditions d’accueil de nos patients tout en assurant la transition énergétique et environnementale de nos infrastructures ».

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l’étude ALLEZ & ASSOCIES pour l’audit notarial, par le cabinet Mayer Brown pour l’audit juridique, par ARTELIA pour l’audit technique et ESG, et par ADAMA Conseil et Transactions pour l’audit opérationnel.

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LF Avenir Santé est labellisée ISR.

Risques associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.

Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.

Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.

Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
 

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news-3534 Fri, 23 Jun 2023 09:37:23 +0200 Pourquoi les petites capitalisations boursières qui pâtissent des chocs exogènes depuis 2018 pourraient en sortir gagnantes in fine ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pourquoi-les-petites-capitalisations-boursieres-qui-patissent-des-chocs-exogenes-depuis-2018-pourraient-en-sortir-gagnantes-in-fine/ Achevé de rédiger le 13 | 06 | 2023 Un écart de performance historique

Historiquement, les chocs exogènes discriminent les petites capitalisations boursières en termes de performance. L’aversion pour le risque et les besoins de liquidité font des petites capitalisations boursières une classe d’actifs parfois délaissée. Si l’on compare l’évolution du CAC Small Net Return contre le CAC 40 Net Return sur longue période (base 100 le 31/01/2006), non seulement les périodes 2018-2020 et 2021-2023 font partie des plus longues périodes de sous-performances des petites valeurs par rapport aux grandes mais elles dénotent par l’ampleur de la sous-performance. Depuis les plus hauts d’avant la guerre commerciale sino-américaine (22/01/2018), le constat est sans appel, le CAC Small NR est en recul de 8% contre une hausse de près de 47% du CAC NR. Ainsi depuis le 31 janvier 2006 le CAC Small NR sous-performe le CAC 40 NR de près de 30 pts de pourcentage ! Le seul autre moment notable de sous-performance (base 100 au 30/01/2006) fut fin 2008 avec un écart de 21 pts de pourcentage…



Pourquoi l’économie pourrait être plus résiliente cette fois-ci ?

Il est vrai que le contexte inflationniste et les récents déboires bancaires aux États-Unis incitent à la prudence, néanmoins l’économie pourrait s’avérer être plus résiliente.

En effet, depuis la crise de la Covid-19 et la guerre en Ukraine les entreprises ont pris conscience qu’on peut faire plus avec moins. Les sociétés se sont rendues compte qu’il y a des dépenses non indispensables ou optimisables (voyages, utilisation de l’énergie et des matières premières, gestion de l’immobilier, etc.). Elles ont découvert ou redécouvert des façons de produire autrement, avec moins ou en valorisant plus efficacement leurs déchets/rebuts de production. Ainsi, la croissance, plus circulaire, apparait plus « qualitative ». Cette circularité peut être perçue comme l’un des facteurs explicatifs du maintien des marges des entreprises à un niveau élevé. D’après la Banque de France, et ce malgré le contexte inflationniste et le renchérissement des intrants, les sociétés non financières devraient limiter la baisse agrégée du taux de marge de deux points en 2022 pour revenir proche au niveau de 2018 (soit 31.5%). A titre de comparaison, après le premier choc pétrolier de 1973, le taux de marge agrégé des sociétés non financières en France a oscillé entre 29,5% et 26% entre 1974 et 1977.

Pourquoi la tectonique des plaques de la géopolitique pourrait favoriser le tissu des PME-ETI en France ?

Depuis la contestation du leadership économique mondial américain par la Chine, Trump puis Biden, à renfort de « Make America Great Again » ou « Make Trade Work for Workers », ont conduit une politique de repli sur soi des États-Unis. Cela s’est traduit par une limitation de l’accès des sociétés étrangères au marché américain (droits de douanes, exigences d’une présence locale ou d’un contenu américain minimum). Le principe de nondiscrimination de l’Organisation Mondiale du Commerce semble appartenir à un temps révolu. Les autres zones géographiques du monde, dans le sillage des États-Unis, prennent le chemin du protectionnisme. Du fait de ce phénomène, il apparait plus avantageux pour certaines sociétés françaises de produire en France qu’ailleurs (droits de douanes, hausse du coût de main d’œuvre des pays asiatiques, coût du fret et gain de productivité avec des usines 4.0 plus intelligentes). C’est le cas de Lectra par exemple, qui a un coût de revient inférieur pour produire ses machines en France plutôt qu’en Chine. Okwind a, elle, changé ses fournisseurs turcs et roumains pour un fournisseur français à isocoût.

Les ruptures de chaine de production à la suite de la Covid-19 et les tensions géopolitiques ont fait prendre conscience aux Etats ainsi qu’au secteur privé que les activités stratégiques doivent être produites localement. A titre d’exemple, Sanofi veut relocaliser d’ici 2025 la production du principe actif qu’est le paracétamol, ingrédient indispensable à la fabrication Doliprane jusqu’alors importé d’Inde, de Chine ou des États-Unis. Cette volonté de relocalisation de l’appareil productif devrait apporter un volume d’activité additionnel au tissu des PME-ETI françaises. C’est le cas de Séché Environnement qui s’occupe de recycler des solvants pour Sanofi. Par ailleurs, ces solvants recyclés compte tenu du recyclage et de l’empreinte locale des sous-traitants se révèlent moins chers que des solvants « vierges » asiatiques et environ 5 fois moins émetteurs en termes de CO2 par tonne (Source : RDV société avec Séché).

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news-3531 Fri, 23 Jun 2023 09:26:00 +0200 Marché immobilier d’entreprise européen – une pause au 1T /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-europeen-une-pause-au-1t/ Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. Le marché immobilier d’entreprise européen a marqué une pause au 1T 2023. Le durcissement de la politique monétaire, la hausse de l’inflation et les crises bancaires en Europe et aux Etats-Unis ont fortement pesé sur le marché de l’investissement. Si le contexte actuel ralentit le rythme des transactions et pousse certains investisseurs à l'attentisme, il crée également des opportunités pour les investisseurs disposant de fonds propres, qui peuvent créer de la valeur par la réversion locative ou par l’amélioration des caractéristiques – notamment environnementales – des actifs, ainsi que pour les investisseurs internationaux opportunistes.

Les segments de marché caractérisés par une pénurie structurelle de l’offre ou peu sensibles aux cycles économiques continuent à offrir un couple rendement-risque attractif pour les investisseurs. Il s’agit notamment de l’immobilier de santé, des actifs de tourisme et du résidentiel géré.

Des volumes d’investissement en baisse sur un an glissant

Le marché immobilier européen connaît une période d’ajustement. Les investisseurs, prudents au regard du nouveau contexte macroéconomique et financier, cherchent de nouveaux repères. En Europe, le volume d’investissement en immobilier d’entreprise est en recul de 63 % sur un an pour atteindre 26,5 milliards d’euros au 1T 2023. Sur la même période, la part des investisseurs globaux par opposition aux investisseurs européens cherchant à profiter des ajustements de prix est en hausse.

La baisse est générale et a touché l’ensemble des typologies d’actifs et des marchés européens. Néanmoins, les actifs de diversification se sont distingués compte tenu de leur profil plus défensif. Si le volume d’investissement en immobilier de santé en Europe affiche une baisse sur les douze derniers mois, il s’établit à 9,5 milliards d’euros fin mars 2023, un volume supérieur à sa moyenne à long terme.

Le Royaume-Uni et l’Allemagne restent les marchés immobiliers européens les plus dynamiques malgré des volumes d’investissement en retrait sur un an de 68 % et 71 % respectivement. De leur côté, l’Irlande, la Belgique et la France sont les pays les plus résilients avec des baisses inférieures à 30 %.

Des rendements de bureaux « prime », globalement stables

Le mouvement de décompression des taux de rendement immobiliers des localisations périphériques s’est poursuivi, s’échelonnant entre 25 et 50 points de base en Europe au 1T, tandis que les rendements des bureaux « prime » sont globalement restés stables. Paris, Londres et les principales villes allemandes (Berlin, Hambourg, Munich et Francfort) affichent toujours des rendements « prime » inférieurs à 4 %, tandis que les métropoles régionales (par exemple Lille) offrent des rendements autour de 4,5 %.

L'inflation et la croissance des valeurs locatives, couplées au faible taux de vacance dans les localisations centrales, devraient compenser partiellement l'effet de la hausse des taux d'intérêt sur la valeur des actifs immobiliers « prime ».

L'offre et la demande placée sur les marchés européens de bureaux

Alors que les entreprises pâtissent de la hausse des coûts de financement, de l’inflation salariale et de la hausse des coûts de l’énergie, le marché locatif européen a ralenti au 1T 2023, avec une baisse de 4 % de la demande Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. juin 2023 Marché immobilier d’entreprise européen – une pause au 1T placée* sur les douze derniers mois et une hausse de 6 % de l’offre disponible. La baisse de la demande est notamment due à la quasi-absence de transactions supérieures à 5 000 m2 . Les nouveaux modes de travail, et la rationalisation des bureaux qui en découle, contribuent quant à eux à une augmentation de l’offre, notamment d’actifs secondaires.

Globalement, l’offre de bureaux reste abondante dans la plupart des capitales européennes, mais ne répond pas aux attentes des utilisateurs en termes de centralité, d'adaptabilité et de normes techniques.

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news-3528 Wed, 21 Jun 2023 18:23:40 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») FR-LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-lu/ Cher Actionnaire,

Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente que la politique d'investissement du Compartiment sera mise à jour afin de refléter la soumission du Compartiment aux obligations de divulgation de l'article 8 du Règlement 2019/2088 sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Suite à cette mise à jour, le Compartiment promouvra des caractéristiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans le cadre de ses investissements.

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news-3527 Wed, 21 Jun 2023 18:22:25 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») FR - BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-be-1/ Cher Actionnaire,

Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente que la politique d'investissement du Compartiment sera mise à jour afin de refléter la soumission du Compartiment aux obligations de divulgation de l'article 8 du Règlement 2019/2088 sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Suite à cette mise à jour, le Compartiment promouvra des caractéristiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans le cadre de ses investissements.

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news-3523 Wed, 21 Jun 2023 18:16:41 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») CH-FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-ch-fr-1/ Cher Actionnaire,

Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente que la politique d'investissement du Compartiment sera mise à jour afin de refléter la soumission du Compartiment aux obligations de divulgation de l'article 8 du Règlement 2019/2088 sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Suite à cette mise à jour, le Compartiment promouvra des caractéristiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans le cadre de ses investissements.

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news-3521 Mon, 19 Jun 2023 09:48:20 +0200 Information aux actionnaires des modifications du Prospectus – Objectifs et politique d’investissement & Centralisateur /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-actionnaires-des-modifications-du-prospectus-objectifs-et-politique-dinvestissement-centralisateur/ Chers Actionnaires,  

La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS PATRIMOINE, vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé les changements suivants : 

  • Suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté (conservation du pourcentage de détention immobilier règlementaire uniquement), et 
  • Ajout du centralisateur IZNES pour certaines actions de la catégorie de actions LF OPSIS PATRIMOINE Assurance à inscrire ou inscrites au nominatif pur au sein du Dispositif d’Enregistrement Electronique Partagé (DEEP) auprès d’IZNES.

La Française Real Estate Managers a informé le dépositaire de ces modifications et obtenu son accord sur la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté.  

Dans la mesure où la modification du Prospectus relative à la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté (conservation du pourcentage de détention immobilier règlementaire uniquement) constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.

La modification du Prospectus sera effective à la date de l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.

De plus, dans la mesure où cette modification des objectifs et politique d’investissement de la Société s’inscrit dans le cadre d’une évolution absolue de l’exposition à une ou plusieurs typologies de risque strictement inférieure à 20% de l’actif net, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais. 

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news-3520 Thu, 15 Jun 2023 09:00:00 +0200 LA FRANÇAISE REAL ESTATE MANAGERS (REM) acquiert auprès de LAZARD GROUP REAL ESTATE un immeuble neuf de bureaux situé à Clichy (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-lazard-group-real-estate-un-immeuble-neuf-de-bureaux-situe-a-clichy-92/ LA FRANÇAISE REAL ESTATE MANAGERS (REM) a acquis « off market » auprès de LAZARD GROUP REAL ESTATE un immeuble neuf de bureaux sis 17 rue Martre à Clichy (92). Livré en février 2023, l’immeuble s’élevant en R+8 développe une surface utile de 6.800 m2 et dispose de 465 m² de terrasses. Premier lot du programme LINK-IT porté par LAZARD GROUP REAL ESTATE et conçu par l’agence Valero Gadan & Associés, l’immeuble bénéficie d’un emplacement de choix dans un quartier tertiaire dynamique et à proximité immédiate avec les transports en commun (station Porte de Clichy, métros 13 et 14, RER C).

Le bâtiment répond à la charte de construction neuve de La Française REM. Il offre de nombreux services pensés pour les utilisateurs : conciergerie virtuelle, casiers, services connectés, douches, RIE, espace food connecté, lounge, terrasses détente, espaces de relaxation, salle modulable multi-activités et locaux vélos. Il vise la certification BREEAM Very Good ainsi que le label E+C- niveau E2C1, et atteint une performance énergétique de -40% par rapport à la RT2012.

L’immeuble est entièrement loué à L’Oréal, stratégiquement situé à proximité du siège monde du groupe industriel français de produits cosmétiques.

Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

Cette transaction permet à LAZARD GROUP REAL ESTATE de finaliser la vente de son opération LINK-IT à Clichy, représentant au total 8.720 m2 sur 2 bâtiments.

Dans cette transaction, LAZARD GROUP REAL ESTATE et LA FRANÇAISE REAL ESTATE MANAGERS étaient respectivement représentés par Maître Charline FREULON de « R&D NOTAIRES » et Maître Pascal POTIER de « OUDOT NOTAIRES ».

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news-3519 Tue, 13 Jun 2023 16:14:02 +0200 Pas de pause en vue pour la BCE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pas-de-pause-en-vue-pour-la-bce/ Par François Rimeu, Stratégiste sénior chez La Française AM La Banque centrale européenne (BCE) va très probablement augmenter les taux de dépôt de 25 points de base (pb) et annoncera officiellement la fin des réinvestissements du programme d'achat d'actifs (APP) pour le mois de juillet. La banque centrale va aussi réviser ses projections macroéconomiques, et devrait abaisser ses prévisions en ce qui concerne la croissance 2023 et 2024. Nous ne prévoyons en revanche pas de changement significatif dans les prévisions d'inflation à moyen terme, qui sont actuellement de 2,1 % pour l'inflation globale et de 2,2 % pour l'inflation de base en 2025. 

Nos principales anticipations : 

  •  La BCE devrait relever ses taux d'intérêt directeurs de 25 points de base, portant le taux de dépôt à 3,5 % et le taux Refi à 4,0 %.
  •  Le Conseil des gouverneurs (CG) devrait maintenir son approche réunion par réunion qui prendra en compte les données économiques et financières, la dynamique de l'inflation sous-jacente et les répercussions de la politique monétaire sur l'économie réelle.
  •  Christine Lagarde devrait réaffirmer qu'il y a encore du travail à faire pour ramener l'inflation à l'objectif de 2 % en temps voulu.
  •  La BCE devrait confirmer la fin des réinvestissements du programme d'achat d'actifs (APP) en juillet et maintenir inchangées les prévisions pour le programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP), avec des réinvestissements jusqu'à la fin de 2024 au moins.
  •  Nous ne prévoyons aucune annonce concernant les opérations ciblées de refinancement à plus long terme (TLTRO) ou les opérations de refinancement à long terme (LTRO).
  •  En ce qui concerne les nouvelles projections économiques, la BCE devrait revoir à la baisse la croissance pour 2023 (revus à la baisse de 1,0 % à 0,9 %), 2024 (de 1,6 % à 1,5 %) et 2025 (de 1,6 % à 1,5 %). En raison de la baisse des prix de l'énergie et d'une croissance plus faible, elle devrait aussi revoir à la baisse ses prévisions d'inflation globale et sous-jacente pour 2023 (par rapport aux prévisions de mars de 5,3 % et 4,6 %) et 2024 (2,9 % et 2,5 %), convergeant progressivement vers l'objectif de 2 % en 2025 (conformément aux prévisions de mars de 2,1 % et 2,2 % respectivement pour l'inflation globale et sous-jacente).

 

En résumé, nous ne prévoyons pas de changement dans l'angle de communication de la BCE au cours de la prochaine réunion. L'approche restera dépendante des données, avec la possibilité de suspendre les hausses de taux après juillet, et les taux directeurs de la BCE devraient rester en territoire restrictif pendant une période plus longue. Nous pensons que ce comité aura un impact limité sur les marchés financiers.

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news-3516 Tue, 13 Jun 2023 09:32:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un bâtiment éco-responsable à Bordeaux (33) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-batiment-eco-responsable-a-bordeaux-33/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière, a acquis en VEFA (vente en état futur d’achèvement) auprès de Linkcity Centre Sud-Ouest un bâtiment éco-responsable, situé entre le Cours du Médoc et l’avenue Emile Counord, à Bordeaux. Le montant de l’acquisition s’élève à plus de 30 millions d’euros.  

Implanté dans le secteur tertiaire de Ravezies et face à l’arrêt du Tram C (station Emile Counord), l’immeuble est à destination CINASPIC (constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif) et bureaux. La partie CINAPSIC est pré-louée, dans le cadre d’un bail de longue durée à l’ISG, la grande école de commerce avec son programme Luxury ainsi qu’à l’ESME, la grande école d’ingénieur du groupe IONIS Education, premier groupe d’enseignement supérieur privé en France.
 

Développée par Linkcity et conçue par l’atelier Pascal Gontier, l’opération porte sur une construction bois, d’une surface totale de 7 670 m² avec 61 emplacements en sous-sol, conformément au plan local d’urbanisme, et des espaces partagés, dont jardin et locaux vélos. L’actif, équipé de panneaux photovoltaïques en toiture et raccordé au réseau de chaleur urbain qui comprend 80 % d’énergie renouvelable, répond en tous points à la charte de construction neuve de La Française REM. Il vise la certification BREEAM Very Good et les labels Bâtiment Biosourcé niveau 3 et E+C- avec un niveau E3C2. La livraison de l’immeuble est prévue au 3ème trimestre 2024.

Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Cette opération est tout à fait remarquable sur les aspects Environnemental, Social et de Gouvernance. Elle offre des perspectives de performance énergétique excellentes. Nous saluons les efforts de Linkcity pour obtenir un projet environnemental aussi performant et répondant à la charte de construction neuve de La Française REM. » 

La Française a été conseillée par L’Etude notariale Oudot et Associés et le cabinet Jones Day pour les aspectes locatifs. Linkcity était conseillée par l’Etude Notariale Rochelois.  

RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

A propos de La Française
Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Identifier les moteurs du changement et comprendre la manière dont ils façonneront la croissance mondiale et, en définitive, influenceront la performance à long terme des actifs financiers et immobiliers est au cœur de la mission de La Française. C’est dans cet esprit que le gestionnaire d’actifs forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.

Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie centrée sur le client pour concevoir des solutions d’investissement faisant le lien entre performance et durabilité.

Organisé autour des 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », le groupe La Française est au service d’une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.

La Française gère plus de 49 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (31/12/2022)

La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), une banque membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, qui bénéficie des notations à long terme A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021), Moody’s (02/2022) et Fitch (05/2022).
 

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news-3515 Wed, 14 Jun 2023 11:02:00 +0200 A Quand les effets du durcissement de la politique monétaire de la BCE ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-quand-les-effets-du-durcissement-de-la-politique-monetaire-de-la-bce/ Par François Rimeu, Stratégiste sénior, La Française AM Le délai de transmission des politiques monétaires à l’économie réelle a fait l’objet de nombreux papiers de recherche au cours des dernières décennies, avec des conclusions qui peuvent varier de manière très significative. Les conclusions académiques pourraient être résumées de la manière suivante :

  • Les politiques monétaires restrictives mettent plus de temps à se matérialiser que les politiques monétaires expansionnistes.
  • Les effets ne sont pas linéaires, ce qui signifie que les effets initiaux peuvent différer des effets à plus long terme. Par exemple, une hausse initiale des taux d'intérêt peut entraîner une réaction immédiate plus marquée dans certains secteurs sensibles aux taux d'intérêt, comme le secteur immobilier ou les prêts à la consommation, avant que les effets se propagent progressivement à l'ensemble de l'économie. 
  • Les délais de transmission peuvent varier entre 3-6 mois jusqu’à 3 ans, en fonction de la stabilité financière et de l’efficacité des canaux de transmission monétaires.

Etant donné les caractéristiques du cycle actuel, il semble assez logique de penser que le délai sera plutôt proche des bornes hautes. Nous sortons en effet de dix ans de politiques monétaires extrêmement accommodantes qui ont permis à la grande majorité des acteurs du secteur privé d’aborder cette nouvelle phase avec des bilans sains et des coûts de financement très faibles. Les hausses de taux ont de ce fait un impact assez limité sur eux. Il nous faut aussi considérer que si les politiques monétaires sont devenues restrictives, ce n’est pas du tout le cas des politiques budgétaires qui ont été et sont toujours très généreuses : plus les gouvernements protègent leur économie en limitant les effets négatifs de l’inflation, plus cette inflation est difficile à éliminer, ce qui force les banques centrales à mener des politiques monétaires de plus en plus restrictives. 

Prenant en compte l’ensemble de ces éléments, il est logique pour la BCE de penser que les effets de leur resserrement monétaire soient plus palpables en 2024 qu’en 2023. 

Si on prend en compte la vigueur actuelle du marché de l’emploi, le manque de main d’œuvre disponible et la volonté pour les salariés de regagner tout ou parti du pouvoir d’achat perdu au cours des deux dernières années, il est probable que l’inflation salariale se poursuive dans les mois ou trimestres à venir. Et si les politiques budgétaires continuent à supporter les ménages et donc la consommation, qui constitue un peu plus de la moitié (51,6 % ; Source Eurostat) de la croissance en zone Euro, il est même possible de voir cette inflation salariale se poursuivre plus longtemps. Tant que l’inflation salariale restera autour de 4-5%, soit le rythme actuel, il sera extrêmement difficile de voir l’inflation « core » baisser de manière importante au sein de la zone Euro.

Les marchés anticipent une inflation autour de 3 % en fin d’année et une inflation « core » plus élevée, soit autour de 4%. (Source : Bloomberg) Il est intéressant de noter que la dispersion autour des prévisions sur l’inflation « core » est aujourd’hui assez élevée, ce qui n’est pas illogique étant donné les fortes incertitudes actuelles. Si on se place dans le scénario d’une inflation salariale qui perdure, il sera difficile de faire baisser de manière importante le rythme de l’inflation en zone Euro, ce qui entrainera une hausse des anticipations d’inflation. Aujourd’hui, le marché anticipe une baisse des taux d’intérêt d’environ 80bps de la part de la BCE en 2024. Toutefois dans le scénario d’une inflation qui perdure, ces baisses de taux n’auraient plus vraiment de raison d’être.

Tout dépendra in fine aussi de la capacité de résistance de l’économie européenne, dont la croissance est aujourd’hui au mieux proche de 0, et de la dynamique de l’offre et de la demande de crédit. Un évènement de crédit pourrait venir mettre à mal la stabilité financière si chère à la BCE, accélérant brutalement la vitesse de transmission monétaire, mais nous n’en sommes pas là actuellement.

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news-3514 Fri, 09 Jun 2023 10:00:45 +0200 Départs en cascade de la NZIA /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/departs-en-cascade-de-la-nzia/ Par Claudia RAVAT, Analyste ESG, La Française AM Au cours des dernières semaines, dix grandes compagnies d’assurance et de réassurance dont AXA Allianz, SCOR et Swiss Re, ont quitté l’alliance des assureurs pour l’objectif zéro carbone (Net Zero Insurance Alliance - NZIA), certaines invoquant un risque juridique d’entrave à la libre concurrence. Le départ de Lloyd’s (et de QBE) dernièrement a tiré la sonnette d'alarme. À son apogée, l'alliance eprésentait près de 15 % du volume mondial des primes d’assurance, mais six des huit signataires fondateurs ont quitté le navire seulement deux ans après sa création. Selon le site de la NZIA, l'alliance compte désormais 17 membres dont de grands noms tels qu’Aviva et Generali. Le climatoscepticisme et le mouvement anti-ESG étant extrêmement politisés aux États-Unis, les sociétés les plus exposées au marché américain ont évidemment été les plus enclines à partir. L'enjeu ici est manifestement la réputation des entreprises désaffiliées, mais aussi celle de l'Alliance elle-même.
 

Pourquoi de grandes compagnies d’assurance ont-elles décidé de se retirer de la Net Zero Insurance Alliance ?

AXA, par exemple, a déclaré qu'elle partait pour « poursuivre son parcours individuel en matière de développement durable ». Bien que cette déclaration n'entre pas dans le détail, une lettre envoyée à l'Alliance le 16 mai apporte un éclairage sur la situation. Cette lettre, signée par 23 procureurs généraux américains, soulève des inquiétudes quant au fait que certaines ambitions liées au climat, décrites dans les objectifs de l'Alliance, pourraient constituer une infraction aux lois antitrust fédérales et des états. Ils ont pointé l’Alliance du doigt en lui reprochant de pousser les compagnies d’assurance et leurs clients à réduire rapidement leurs émissions, entraînant une hausse des coûts qui se répercute sur les consommateurs. Ces pressions à la fois politiques et juridiques aux États-Unis ont largement pesé sur l’initiative climatique.

Quatre des anciens signataires étant très actifs outre-Atlantique, cela a naturellement alimenté les débats politiques. Les exigences très strictes de l’Alliance sont l’une des autres raisons avancées pour expliquer ces départs en cascade. Selon les règles d’adhésion actuelles, tous les assureurs sont tenus d’atteindre au cours de leur première année d’engagement l’un des cinq objectifs prescrits, puis trois dans les trois années qui suivent l’engagement.

Pas plus tard que la semaine dernière, avant d’annoncer son départ, le PDG de Lloyd’s avait exprimé ses inquiétudes, soulignant que l’Alliance devait impérativement assouplir ses règles d’adhésion si elle voulait échapper au risque de démantèlement. L’implosion d’une telle alliance pourrait constituer un obstacle aux efforts de collaboration dans le domaine des assurances et être considérée comme un pas en arrière dans l’approche concertée pour fixer des objectifs communs.

Au cours des deux dernières années, l’Alliance a par ailleurs apporté un soutien précieux aux assureurs et aux non-membres dans le développement d’outils et de méthodologies pour mesurer et divulguer les émissions de GES associées aux portefeuilles de souscription.

Quelles conclusions faut-il en tirer pour l’initiative NZAM et les autres initiatives « zéro carbone » ?

L’initiative Net Zero Asset Managers (NZAM), la Net Zero Asset Owner Alliance (NZAOA) et la Net Zero Banking Alliance (NZBA) sont les autres grandes coalitions qui font toutes partie de la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ). Il est intéressant de noter qu’en dépit de leur départ de la NZIA, AXA et AXA Investment Managers sont toujours respectivement membres de l’alliance NZAO et de l’initiative NZAM. Malheureusement, des sénateurs républicains américains critiquent et accusent de plus en plus vivement la GFANZ, ses initiatives associées et leurs membres de ne pas respecter la législation antitrust. Le 19 octobre 2022, 19 procureurs généraux républicains ont adressé à six banques américaines des demandes d’enquête civile, en vue d’obtenir des informations sur leur participation à la NZBA et de soulever des questions relatives à la législation antitrust.

Fin mars dernier, 53 des plus grands gestionnaires d’actifs aux États-Unis ont reçu une lettre de 21 procureurs généraux les mettant en garde contre des initiatives environnementales et sociales qu’ils qualifiaient de « woke ». Cette lettre s’adressait notamment aux grands gestionnaires d’actifs tels que BlackRock, Franklin Templeton et Goldman Sachs, tous membres de l’initiative Net Zero Asset Managers. Par rapport à leurs homologues du monde des assurances, ces gestionnaires d’actifs exercent une forte influence dans le paysage politique américain ce qui les rend moins vulnérables et mieux armés pour traverser des périodes difficiles. C'est sans doute pour cette raison que nous n'avons pas assisté au même exode.

Il y a néanmoins eu des départs. En avril dernier, Green Century a quitté l'initiative NZAM, emboîtant le pas à Vanguard. Green Century, le gestionnaire de fonds sans énergies fossiles, a évoqué des problèmes de conformité pour justifier son départ. Vanguard, le deuxième gestionnaire d'actifs au monde, a en revanche évoqué un besoin d'indépendance et une volonté de clarifier ses perspectives d'investissement. Les différentes alliances réagissent déjà à cette problématique en assouplissant leurs règles pour retenir leurs membres. La GFANZ a modifié ses règles d’adhésion en abandonnant l'obligation de s’engager dans la campagne Race to Zero, sous l'égide de l’ONU, après que de grandes banques américaines aient envisagé de quitter le groupe. De même, la NZBA a refusé d’imposer à ses membres des limites sur le financement des énergies fossiles. Mais de tels compromis ont suscité les critiques de militants écologistes qui craignent une réduction excessive des objectifs de l'Alliance. Sur le plan réglementaire, la Commission européenne s’est également associée à l’effort commun et a assoupli ses directives antitrust pour les sociétés collaborant pour relever les défis climatiques.

L’objectif est d’aider les entreprises à s’engager dans une coopération légitime et authentique en matière de développement durable tout en créant un périmètre de sécurité pour éviter les poursuites. L'exode massif de la NZIA et les sorties échelonnées d'autres initiatives soulèvent des questions sur la crédibilité et l'efficacité des groupes de collaboration, y compris la GFANZ et au-delà. Dans de nombreux cas, il y a toujours lieu de se demander si les chefs de file de la lutte contre le changement climatique se retirent de ces alliances parce qu'ils se sentent menacés par d’éventuelles pertes sur le marchl'aé américain ou par un risque juridique réel. Il est essentiel de lutter pour que la législation antitrust ne serve pas de rempart contre l'action pour le climat et il reste crucial pour la communauté financière (assureurs, gestionnaires d’actifs et détenteurs d’actifs) de renforcer et de respecter ses engagements climatiques.

Cependant, des doutes persisteront quant à l’impact réel de leurs actions si les assureurs agissent de manière indépendante. L' Alliance devra nécessairement relever des défis d'ordre juridique, politique et opérationnel. Néanmoins, les efforts de collaboration peuvent s'avérer plus efficaces pour susciter des changements significatifs et répondre à l’urgence planétaire.

Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.

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news-3512 Thu, 08 Jun 2023 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert une crèche avec jardins à Paris intra-muros (14e) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-une-creche-avec-jardins-a-paris-intra-muros-14e/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF AVENIR SANTE, a acquis auprès du promoteur parisien SOFERIM, une crèche avec jardins, sise 26 rue de la Tombe Issoire à Paris (14e). Situé dans un immeuble résidentiel mixte de 105 logements livré en 2018 par SOFERIM, l’actif est stratégiquement placé sur la rive gauche entre les arrêts de métro Saint Jacques (ligne 6) et Denfert-Rochereau (lignes 4 & 6, RER B). La crèche développe une surface totale de près de 390 m2 répartis sur deux niveaux (rez-de-jardin et sous-sol) et bénéficie de la jouissance privative de deux espaces verts extérieurs de plus de 170 m2. 

L’actif est entièrement loué à Babilou, leader des crèches d’entreprises en France. Le gestionnaire de crèches assure une mission de service pour les familles en leur proposant un mode d’accueil de qualité, fiable et accessible. 

Jérôme Valade, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « Ce premier investissement en crèche de la SCPI LF Avenir Santé remplit plusieurs critères du pilier Social du Label ISR dans lequel s’inscrit ce fonds avec notamment sa mission d’intérêt général qui vient combler un manque d’infrastructures adaptées. Ses jardins privatifs, choses rares à Paris intra-muros, et son emplacement central, devraient soutenir à la fois son taux d’occupation ainsi que la valorisation de l’actif dans la durée. » 

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l’étude notariale 14-Pyramides, ainsi que le cabinet Jeantet pour l’audit juridique et la société Pro Actim pour l’audit technique et ESG.

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news-3509 Fri, 02 Jun 2023 11:53:16 +0200 LAP CAP HARMONIE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lap-cap-harmonie/ OPC concerné par le présent courrier :
FCP CAP HARMONIE
ISIN : FR0013375201

Madame, Monsieur,

Vous êtes actuellement porteur de parts du fonds commun de placement CAP HARMONIE (ciaprès « le Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-après les informations relatives aux modifications qui vont intervenir dans votre Fonds le 05/07/2023.

I. Quels changements vont intervenir dans votre Fonds

Le Fonds créé en 2019 est actuellement géré par la société de gestion La Française Asset Management.

Nous vous informons que La Française Asset Management a donné son accord pour renoncer à sa fonction de société de gestion du Fonds au profit de LAZARD FRERES GESTION SAS, société de gestion agréée par l’Autorité des marchés financiers sous le numéro GP 04000068, qui devient la nouvelle société de gestion du Fonds à compter du 05/07/2023.

A l’occasion de ces changements, l’objectif de gestion et l’allocation cible du Fonds seront modifiés, notamment la fourchette d’investissement en obligations High Yield, l’utilisation des instruments dérivés et la fourchette de sensibilité seront élargis. De ce fait, les modifications impacteront de manière significative le profil rendement/risque du Fonds. Les modifications sont listées au point V de la présente lettre.

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news-3508 Thu, 01 Jun 2023 09:17:26 +0200 Augmentation du délai de jouissance de la SCPI LF Opportunité Immo à compter du 1er juin 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/augmentation-du-delai-de-jouissance-de-la-scpi-lf-opportunite-immo-a-compter-du-1er-juin-2023/ Nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le délai de jouissance de la SCPI LF Opportunité Immo à compter du 1er juin 2023 : les parts souscrites porteront jouissance au 1er jour du 6e mois qui suit le mois de souscription (contre 1er jour du 4ème mois précédemment).

Risques associés :risque de perte en capital, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.

La note d’information ayant reçu le visa de l’Autorité des Marchés Financiers, SCPI n°22-12 en date du 12 aout 2022 et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N°GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).

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news-3507 Tue, 30 May 2023 14:49:23 +0200 Malgré un premier trimestre 2023 morose, l'Allemagne est sur la voie d'une croissance modeste au deuxième trimestre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/malgre-un-premier-trimestre-2023-morose-lallemagne-est-sur-la-voie-dune-croissance-modeste-au-deuxieme-trimestre/ L'économie allemande est officiellement entrée en récession technique au cours de l'hiver ; le PIB révisé du premier trimestre affichant une contraction de -0,3 % en glissement trimestriel. Cette baisse peut être attribuée à l'impact de l'inflation sur la consommation des ménages et à la suppression progressive des mesures de lutte contre la pandémie financées par le gouvernement. Toutefois, l'économie allemande devrait connaître une croissance modeste au deuxième trimestre 2023.

Les chiffres révisés du PIB indiquent une contraction de l'activité économique, le quatrième trimestre 2022 enregistrant également une baisse de -0,5 % en glissement trimestriel. Cela contraste avec la tendance positive observée depuis novembre dans les indicateurs de données subjectives tels que les indices des directeurs d'achat (PMI). Malgré ces chiffres négatifs, certains signes indiquent une reprise de la croissance au deuxième trimestre.

La ventilation des dépenses révèle des faiblesses dans la consommation privée et publique. Au premier trimestre 2023, la consommation des ménages s'est contractée de 1,2 % en glissement trimestriel, principalement sous la charge des prix élevés. Le revenu disponible réel des ménages a diminué au quatrième trimestre 2022 et au premier trimestre 2023. Les consommateurs ont hésité à dépenser dans différents secteurs, malgré le soutien du gouvernement face aux coûts de l'énergie.

Au premier trimestre 2023, la consommation publique a diminué de 4,9 % en glissement trimestriel, soit la plus forte baisse depuis 1970. Cette baisse reflète la normalisation de la consommation publique, les mesures de lutte contre la pandémie, telles que les vaccinations et les tests, ayant été progressivement abandonnées au cours du premier trimestre. Toutefois, cette baisse des dépenses publiques est ponctuelle et ne pèsera plus sur le PIB au deuxième trimestre.

D'autre part, l'investissement fixe a connu un fort rebond, sous l'impulsion des investissements privés. Cette reprise laisse présager une amélioration durable des investissements des entreprises, en particulier dans les machines et les équipements. En outre, le temps exceptionnellement chaud du mois de janvier a stimulé l'activité de construction au premier trimestre. Toutefois, ces effets météorologiques se sont inversés, ce qui a entraîné un report négatif pour la construction au deuxième trimestre.

Les exportations nettes ont contribué positivement à la croissance globale, avec un rebond des exportations de 0,4 % en glissement trimestriel et un recul des importations de -0,9 % en glissement trimestriel (T1 2023 vs T1 2022). La diminution des importations reflète en partie la baisse des importations d'énergie.

Les données relatives à la production s'écartent sensiblement de celles relatives aux dépenses, la valeur ajoutée brute augmentant de 0,8 % en glissement trimestriel, alors que l'on mesure une contraction des dépenses. Cet écart positif entre les mesures est sans précédent.

La construction et l'industrie ont enregistré les taux de croissance les plus élevés, probablement grâce à des conditions météorologiques favorables et à la baisse des prix de gros de l'énergie. Les services privés et publics ont connu une croissance plus lente.

En ce qui concerne la fin de l'année et l'année 2024, on anticipe une nouvelle période de fragilité économique due à la hausse des taux d'intérêt, à la réduction de l'épargne et au ralentissement de l'économie américaine. 

Nous nous attendons à un resserrement budgétaire progressif, ainsi qu'à une focalisation continue sur la politique énergétique à court terme, à l'approche des élections de 2025. La combinaison de la hausse des prix de l'énergie et de la croissance des salaires représente un défi important pour le secteur manufacturier allemand orienté vers l'exportation, qui pourrait avoir besoin d'investissements accrus et d'une croissance modérée des salaires pour rester compétitif. Si ces questions ne sont pas traitées, il pourrait en résulter un déclin structurel, des pressions inflationnistes et un besoin de soutien de la part des pouvoirs publics. L'après-pandémie et l'évolution du paysage géopolitique suggèrent que le modèle traditionnel de l'Allemagne, caractérisé par des excédents élevés de la balance courante, pourrait subir des transformations.

Source : Bloomberg
 

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news-3501 Tue, 30 May 2023 10:19:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un entrepôt logistique à pont d'Ain (01) auprès de Harbert Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-entrepot-logistique-a-pont-dain-01-aupres-de-harbert-management/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 32 milliards d'euros d’actifs sous gestion (31/03/2023), a acquis « off-market » auprès d’un fonds géré par Harbert Management Corporation, un entrepôt logistique sis 360 rue de la Batie à Pont-d’Ain (01). L’actif est stratégiquement situé à une cinquantaine de kilomètres au Nord-Est de Lyon et une centaine de kilomètres de Genève. Cette acquisition a été réalisé pour le compte de l’ERAFP.

Développé par PRD et livré en février 2022, l’entrepôt de classe A se situe dans le Parc Industriel de la Plaine de l’Ain, dans le marché logistique de l’agglomération de Lyon, le second marché français de la logistique. Le site bénéficie d’une excellente accessibilité aux autoroutes A42, A40 et A6, couvrant ainsi une large zone de chalandise. La plateforme, entièrement louée à trois locataires, développe 50 405 m2, dont 1 047 m2 de bureaux et offre 229 emplacements de stationnement, dont 15 pour poids lourds. S’agissant d’un actif neuf visant le label BREEAM Very Good, il répond aux derniers standards techniques (Grade A) et est résolument tourné vers les enjeux environnementaux avec sa toiture entièrement recouverte de panneaux photovoltaïques.

Leslie VILLATTE, Directeur des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – pôle Institutionnel, a conclu : « L’acquisition de cet entrepôt XXL s’inscrit dans le cadre du renouvellement de notre mandat. Il s’agit du premier entrepôt logistique du portefeuille immobilier que nous gérons pour l’ERAFP et nous remercions notre investisseur pour sa confiance renouvelée. Le marché lyonnais se caractérise par un stock très faible, bien en deçà de la demande placée sur les cinq dernières années. Cette raréfaction, ainsi que les qualités techniques et environnementales de l’actif, devraient soutenir dans la durée la valorisation de cet entrepôt logistique prime. » 

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news-3499 Thu, 25 May 2023 14:38:00 +0200 La Française REM soutient la Fondation des Hôpitaux au travers de la SCPI à fonds de partage LF Avenir Santé /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-soutient-la-fondation-des-hopitaux-au-travers-de-la-scpi-a-fonds-de-partage-lf-avenir-sante/ La Française, groupe de gestion multi-expertises, mène une politique de mécénat sociétalement responsable au profit de structures d’intérêt général. C’est dans cet esprit que la société de gestion immobilière La Française Real Estate Managers (REM) s’engage à reverser une partie des commissions de souscriptions de la Société Civile de Placement Immobilier à fonds de partage LF Avenir Santé. Après douze mois de commercialisation, La Française REM a fait un don de près de 28.000 € à la Fondation des Hôpitaux pour soutenir cette année le Fonds d’Aide d’Urgence Covid19.  Créée en 1989, la Fondation a pour objet d’améliorer la qualité de vie quotidienne des patients - enfants, adolescents, personnes âgées – soignants et aidants partout en France. Elle a vocation ainsi à faire de l’hôpital, lieu de soins, un véritable lieu de vie pour les publics fragilisés à l’hôpital. Elle a, à ce jour, subventionné plus de 15 000 projets dans les établissements 
hospitaliers français. Reconnue d’utilité publique depuis 1994 et labellisée « Don en confiance », la Fondation est membre du Comité de la Charte de déontologie des organisations faisant appel à la générosité du public.

La SCPI à fonds de partage LF Avenir Santé, classifiée Article 8 selon le règlement Disclosure et distinguée avec le Label ISR, s’engage dans la lutte contre le manque d’infrastructures de santé ou médico-sociales et dans l’accompagnement de la prise en charge qualitative des patients. Au sein d’un secteur en pleine mutation, LF Avenir Santé sélectionne les actifs médico-sociaux en adéquation avec les nouveaux besoins générationnels, de la médecine de proximité en cœur de ville aux logements alternatifs.

Virginie WALLUT, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers a résumé, « La classe d’actifs « santé » porte naturellement une thématique sociale. Notre engagement s’articule autour de trois dimensions : le bien-être des soignants, le confort du patient / sénior et la  décarbonisation des actifs immobiliers. C’est dans cet esprit que nous avons souhaité faire de LF Avenir Santé un fonds de partage et manifester notre engagement auprès de la Fondation des Hôpitaux. » Jérôme VALADE, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « L'importance croissante accordée à la santé, au bien-être et à la qualité de vie des personnes âgées constitue un facteur de soutien des actifs immobiliers de santé, tout comme la pénurie structurelle accentuée par le vieillissement de la population. Lancé fin 2021, la capitalisation de la SCPI s’établit à plus de 105 millions d’euros à décembre 2022 ! Nous sommes confiants pour la collecte future et ravis de pouvoir soutenir la Fondation des Hôpitaux dans la durée. » 

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news-3497 Fri, 26 May 2023 10:43:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DES COMPARTIMENTS DE LA SICAV BEOBANK FUNDS [FR - BE] /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-des-compartiments-de-la-sicav-beobank-funds-fr-be/ Cher Actionnaire,

Nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez en tant qu’actionnaire de la SICAV BEOBANK FUNDS gérée par le Groupe La Française.

Au regard des évolutions légales et règlementaires concernant l’investissement durable ainsi que la promotion des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le cadre des investissements, et suite à la revue de la gamme de produits gérés par le Groupe La Française, le conseil d’administration de la Société a décidé de modifier la politique d’investissement des compartiments, afin de prévoir qu’ils promeuvent les caractéristiques ESG à compter du 4 juillet 2023 (la « Date Effective »). 

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news-3496 Fri, 26 May 2023 10:23:00 +0200 Beobank Funds – La Française Core Fund et Beobank Funds – Balanced Strategy Fund [FR - BE] /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/beobank-funds-la-francaise-core-fund-et-beobank-funds-balanced-strategy-fund-fr-be/ Madame, Monsieur,

Le conseil d'administration de la Société vous informe de sa décision de procéder à la fusion par absorption du compartiment Beobank Funds – La Française Core Fund (le « Compartiment Absorbé ») dans le compartiment Beobank Funds – Balanced Strategy Fund (le « Compartiment Absorbeur»)  (la « Fusion »), conformément à l'article 1 (20) a) et au chapitre 8 de la loi du 17 décembre 2010 relative aux organismes de placement collectif, telle que modifiée (la "Loi de 2010") et l’article 15 des statuts de la Société.
 

1.    Contexte et motivation de la Fusion et changements à l’échelle du Compartiment Absorbeur

A)    Contexte et motivation de la Fusion

Dans le cadre de la rationalisation des compartiments de la Société, le Conseil a pris la décision de fusionner le compartiment « La Française Core Fund » au sein du compartiment « Balanced Strategy Fund ». 

Il en découle que la Fusion est dans l'intérêt d'une gestion efficiente des actifs sous gestion ainsi que dans l'intérêt des investisseurs.
 

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news-3495 Fri, 26 May 2023 09:22:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DES COMPARTIMENTS DE LA SICAV BEOBANK FUNDS [FR - FR] /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-des-compartiments-de-la-sicav-beobank-funds-fr-fr/ Cher Actionnaire,

Nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez en tant qu’actionnaire de la SICAV BEOBANK FUNDS gérée par le Groupe La Française.

Au regard des évolutions légales et règlementaires concernant l’investissement durable ainsi que la promotion des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le cadre des investissements, et suite à la revue de la gamme de produits gérés par le Groupe La Française, le conseil d’administration de la Société a décidé de modifier la politique d’investissement des compartiments, afin de prévoir qu’ils promeuvent les caractéristiques ESG à compter du 4 juillet 2023 (la « Date Effective »). 

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news-3494 Fri, 26 May 2023 09:20:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DES COMPARTIMENTS - Beobank Funds – La Française Core Fund et Beobank Funds – Balanced Strategy Fund (FR - BE) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-des-compartiments-beobank-funds-la-francaise-core-fund-et-beobank-funds-balanced-strategy-fund-fr-be/ Madame, Monsieur,

Le conseil d'administration de la Société vous informe de sa décision de procéder à la fusion par absorption du compartiment Beobank Funds – La Française Core Fund (le « Compartiment Absorbé ») dans le compartiment Beobank Funds – Balanced Strategy Fund (le « Compartiment Absorbeur»)  (la « Fusion »), conformément à l'article 1 (20) a) et au chapitre 8 de la loi du 17 décembre 2010 relative aux organismes de placement collectif, telle que modifiée (la "Loi de 2010") et l’article 15 des statuts de la Société.
 

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news-3492 Tue, 23 May 2023 10:04:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureau à Toulouse (31) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureau-a-toulouse-31/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière, a acquis auprès de Covivio un immeuble de bureaux pour près de 55 M€ (acte en mains). L’actif, sis 21 boulevard de la Marquette à Toulouse (31), est idéalement situé au sein du seul quartier d’affaires de la ville, Compans-Caffareli, et à proximité immédiate des transports en commun (la station de métro « Canal du Midi » de la Ligne B ou encore une station VélôToulouse).

Développé par Covivio et livré en 2018, l'immeuble, signé PPA Architectures, est composé de 2 bâtiments reliés à partir du R+3. L’ensemble immobilier développe 11 500 m² de bureaux et près de 750 m2 de terrasses. Les volumes spacieux offrent une flexibilité d'aménagement ainsi qu'une divisibilité des plateaux à partir de 350 m².

L’actif propose un grand nombre de services pensés pour les utilisateurs avec un espace restauration, un business center et une créative room ainsi qu’une conciergerie. L’immeuble, intégralement loué à huit locataires, bénéficie du label Ready2Services (R2S), gage des meilleures pratiques en matière de bâtiment connecté, ainsi que des labels HQE Excellent et BREEAM Very Good. De plus et afin d’améliorer le positionnement ESG (Environnemental, Social et Gouvernance) de l’actif, la société de gestion prévoit la mise en place d’un plan d’action ambitieux (Led, panneaux solaires, bornes de recharge pour véhicules électriques).

Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu :
« Cet actif, de par son emplacement central dans le seul quartier d’affaires de Toulouse, la diversité de ses locataires-utilisateurs et la qualité des prestations offertes constitue un investissement de premier choix avec des fondamentaux qui devraient soutenir la valorisation de l’actif dans la durée. »

La Française a été conseillée par Allez & Associés Notaires et le cabinet Jeantet et Covivio par l’Étude Cheuvreux.
 

 

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news-3491 Mon, 22 May 2023 14:21:00 +0200 Lettre aux porteurs du FCP « AMBITION DYNAMIQUE » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-du-fcp-ambition-dynamique/ Changement de Société de gestion et modification de la stratégie d’investissement du FCP (modification soumise à l’agrément de l’AMF). Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur de parts (ISIN FR0013339538) du fonds commun de placement de droit français AMBITION DYNAMIQUE (ci-après le « FCP »), et nous vous remercions de la confiance  que vous nous témoignez. 

Quels changements vont intervenir sur votre fonds ?

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP a donné son accord pour mettre fin à ses fonctions de société de gestion du FCP, et au transfert de la gestion à la société de gestion DNCA Finance, société de gestion agréée par l’Autorité de marchés financiers le 18 août 2000 sous le numéro GP 00-030 (ci-après « DNCA ») qui a accepté d'en reprendre la gestion à compter du 2 juin 2023.

La société de gestion DNCA souhaite en effet profiter de cette occasion pour modifier la stratégie d’investissement du FCP afin de mettre en place une stratégie gérée au travers d’une approche « multithématique » prenant en compte de critères environnementaux et/ou sociaux et/ou de gouvernance. Cette nouvelle stratégie, qui aura des impacts sur l’objectif de gestion ainsi que sur la dénomination du FCP, vise à offrir aux investisseurs une stratégie d’investissement plus étendue en élargissant les contraintes sectorielles, géographiques et de capitalisation, tout en intégrant une dimension extra-financière à la stratégie d’investissement.

Pour plus de détails sur les changements qui seront apportés au FCP, nous vous invitons à consulter la section « Quelles sont les principales différences entre le fonds dont vous détenez des parts actuellement et le futur fonds ? » ci-dessous.

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news-3490 Wed, 17 May 2023 17:01:00 +0200 Un pas de plus pour la nature /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-pas-de-plus-pour-la-nature/ Par Guy Wilkinson, analyste ESG, La Française AM Le 28 mars 2023, la Taskforce on Nature-related Financial Disclosures (TNFD) a rendu publique la 4ieme version de son cadre bêta. Il s’agit de la dernière version provisoire, avant la publication des recommandations finales qui interviendra plus tard dans l’année. La nature et la biodiversité sont sous les feux de la rampe depuis quelques années et la création de la TNFD en 2021 est le reflet de ce regain d’intérêt, tout comme la COP15 en 2022. A cette occasion, plus de 190 pays se sont engagés à respecter un plan d’action global en faveur de la biodiversité, reconnaissant l’importance cruciale de la nature et de la biodiversité pour l’économie mondiale. Après tout, plus de 50 % de l’économie mondiale dépend de la nature.  Bien qu’elles ne soient pas conçues pour être obligatoires, les recommandations de la TNFD sont censées fournir un cadre pour la gestion et le reporting des risques liés à la nature. On peut également s’attendre à ce que les recommandations de la TNFD soient rendues obligatoires par les régulateurs au fil des ans, comme cela avait été le cas pour la Taskforce on Climate-related Financial Disclosures (TCFD).  


Qu'est-ce que la TNFD ?

La TNFD est une initiative mondiale de place qui vise à développer un cadre pour la gestion et le reporting des risques, opportunités, incidences et dépendances liés à la nature. Elle a été lancée en 2021 dans le but d'orienter les flux financiers vers des impacts positifs et de les détourner des impacts négatifs sur la nature grâce à des informations normalisées. Le groupe de travail compte actuellement plus de 40 membres, dont des entreprises et des institutions financières, représentant 20 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion. Un millier d'organisations dans le monde soutiennent également le forum de la TNFD, avec 18 partenaires représentant des organisations scientifiques, de conservation et d'élaboration de normes au niveau mondial.  

 

Qu'est-ce qui a changé entre la v.0.3 et la v.0.4 ?

Bien que la structure et les éléments principaux du cadre soient similaires à ceux de la version précédente, la TNFD formule désormais 14 recommandations, dont 11 sont directement adaptées du cadre de la TCFD pour le climat qui est couramment utilisé. Les trois nouveaux ajouts concernent les piliers « Gestion des risques » et « Stratégie » ; ils mettent l'accent sur l'engagement des parties prenantes, la chaîne de valeur et la spécificité de l’environnement local - des sujets qui sont particulièrement importants dans le contexte de la nature.  Il s'agit d'un changement important par rapport à la TCFD, qui n'avait pas précisé ces détails de manière aussi exhaustive.
C'est également la première version à inclure des recommandations sur les données et les indicateurs, ainsi que des cadres d'orientation sectoriels. La TNFD a fourni une première série de paramètres qui peuvent être utilisés pour les publications liées à la nature. Ceux-ci sont répartis selon trois catégories : de principaux indicateurs mondiaux qui s'appliquent à tous les secteurs, de principaux indicateurs sectoriels qui s'appliquent à certains secteurs et des indicateurs de transparence supplémentaire, recommandés mais non obligatoires. Voici quelques exemples d'indicateurs fondamentaux de divulgation au niveau mondial : l'étendue des changements d'utilisation des terres, des eaux douces et des océans par type d'écosystème et par activité commerciale ; le total des polluants rejetés dans le sol, répartis par type ; et le total des polluants atmosphériques autres que les gaz à effet de serre, répartis par type. Dans cette version, la TNFD a également fourni des indications sectorielles pour l'industrie agroalimentaire et les institutions financières, qui comprennent des projets d'orientations en matière de divulgation, ainsi que des conseils supplémentaires sur les biomes.


Qu'est-ce qui peut encore être amélioré ?

Nous pensons que certains aspects du projet de divulgation peuvent encore être améliorés. Par exemple, le champ d'application est potentiellement trop libre. Étant donné que les organisations disposent d'une grande marge de manœuvre pour déterminer l'importance et la portée de leur analyse, il est plausible que les entreprises d'un même secteur présentent des niveaux de transparence très différents. 
Bien que la TNFD ait fourni une série d'outils, tels qu'ENCORE, qui facilitent grandement la publication d'informations, nous restons convaincus que l'ensemble des paramètres de base n’est pas applicable à tous les secteurs. Du point de vue d'une institution financière, il est peu probable qu'elle soit en mesure de rendre compte et de communiquer sur l'ensemble des 14 indicateurs fondamentaux à l'échelle mondiale, simplement en raison d'un manque de portée et de données reportées (pour le scope 3). Par exemple, la pollution des sols, qui doit être divulguée sous la forme d'un « Total des polluants dans le sol, répartis par type », n'est souvent pas un point de données facilement accessible et les entreprises des secteurs fortement exposés à la pollution des sols auront besoin de temps et de ressources pour commencer à la signaler. Un risque existe également que les institutions financières soient contraintes d'utiliser une seule méthodologie ou source de données particulière pour se conformer aux normes et aux réglementations jusqu'à ce qu'un consensus se dégage sur la meilleure façon de décrire les impacts et les dépendances.
La version finale sera publiée en septembre 2023. Néanmoins, nous pensons qu'il est important pour les acteurs du marché d'être proactifs et de commencer à intégrer le cadre TNFD dès maintenant. L'accent est de plus en plus mis sur une transition bénéfique à la nature, combinée à une transition zéro émission nette. Et là où commence à être mis l’accent, il est probable que la réglementation suivra. 

Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
 

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news-3488 Wed, 10 May 2023 11:52:32 +0200 Comment se porte le marché du crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de mai ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-se-porte-le-marche-du-credit-quels-emetteurs-privilegions-nous-pour-el-mois-de-mai/ Mélanie Hoffbeck, Gérante Crédit Investment Grade, dresse le bilan et vous livre ses convictions mensuelles.  Le marché primaire a fait son grand retour sur les différents segments du crédit obligataire, marquant la fin de la période de stress bancaire vécue au mois de mars. La sérénité n’est pour autant toujours pas de mise.

Les marchés du Crédit devraient continuer à se concentrer sur les actualités provenant du secteur bancaire américain. Et nous nous attendons toujours à ce que la volatilité sur les taux souverains reste un élément perturbateur.

 

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news-3487 Fri, 05 May 2023 15:24:43 +0200 Outil d'aide à la déclaration fiscale - 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/outil-daide-a-la-declaration-fiscale-2023/ Pour aider vos clients dans leur déclaration de revenus, comme chaque année, nous mettons notre kit fiscal à leur disposition.

Vous y retrouverez un outil d’aide à la fiscalité en ligne, avec la considération de la situation personnelle de chaque associé grâce à la prise en compte des éventuels intérêts d’emprunts et charges déductibles.

Vous y trouverez également un tableau récapitulatif selon les régimes fiscaux, le détail explicatif pour chacune des SCPI et une FAQ pour répondre à la majorité des interrogations de vos clients.

Présentation de l’outil par Elise DAULMERIE, Responsable Back Office Service Clients.

Disponible dès maintenant dans votre espace Partenaire.

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news-3486 Fri, 05 May 2023 15:00:10 +0200 Comment repositionner un immeuble dans son marché en intégrant flexibilité, services et certifications environnementales ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-repositionner-un-immeuble-dans-son-marche-en-integrant-flexibilite-services-et-certifications-environnementales/ Mathieu Denisot, Directeur Asset Management à La Française REM, vous présente Crisco : un immeuble ultra moderne offrant un cadre de travail épanouissant.

Situé en bord de Seine, découvrez Crisco en 3 mots : relié, convivial, inspirant.

Pour découvrir l’immeuble, ça se passe en vidéo !

 

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news-3485 Fri, 05 May 2023 10:33:58 +0200 Pre ECB Commentary /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-ecb-commentary-4/ D'autres hausses de taux, oui mais plus graduelles ! D'autres hausses de taux, oui mais plus graduelles ! La Banque centrale européenne (BCE) devrait ralentir le rythme de ses hausses de taux de 50 points de base (pb) à 25 pb lors de sa réunion de mai et le Conseil des gouverneurs (CG) devrait annoncer l’arrêt des réinvestissements du programme d'achat d'actifs (APP) à partir de la fin juin 2023.

Nos principales prévisions : 

  • La BCE augmentera ses taux directeurs de 25 pb, portant le taux de dépôt à 3,25 % et le taux Refi (ou taux de refinancement) à 3,75 %. Les chiffres de l'inflation publiés cette semaine, encore trop élevés notamment en ce qui concerne l'inflation " core ", auraient pu conduire la BCE à poursuivre ses hausses de taux par paliers de 50 points de base. Cependant, la BCE devrait opter pour une approche moins agressive en raison de la dernière enquêtesur les prêts bancaires (« bank lending survey ») quifait état d'un resserrement déjà significatif des conditions de crédit. 
  • La BCE devrait réaffirmer son approche réunion par réunion en fonction des perspectives d'inflation (prochaines prévisions en juin), de la dynamique de l'inflation sous-jacente et de la force de la transmission de la politique monétaire. Christine Lagarde pourrait également réaffirmer que dans le scénario de base de la BCE, d'autres hausses de taux sont à prévoir.
  • La BCE devrait annoncer la fin des réinvestissements de l’APPà partir de fin juin, tout en continuant à réinvestir le produit des rachats du programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP). 
  • Compte tenu du niveau toujours très élevé de liquidités excédentaires (plus de 4 000 milliards d'euros), nous n'attendons pas d'annonce sur un nouveau TLTRO, en remplacement de celui qui expire en juin.

En résumé, nous pensons que Christine Lagarde adoptera un ton plutôt hawkish pour compenser le passage d'une hausse de 50 bp à 25 bp et ne pas paraître trop accommodante étant donné  une inflationencore très loin de l'objectif. Toutes choses égales par ailleurs, cela pourrait faire monter les taux courts européens et l'euro. 

Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997. 

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news-3483 Tue, 02 May 2023 10:28:00 +0200 Prévision de la Fed, la dernière hausse de taux avant une pause ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/prevision-de-la-fed-la-derniere-hausse-de-taux-avant-une-pause/ La Réserve Fédérale Américaine devrait relever ses taux de 25 points de base (pb) lors de sa réunion de mai et annoncer une pause probable du cycle de resserrement monétaire. Nos principales prévisions :  

  • Le FOMC devrait relever ses taux de 25 points de base supplémentaires pour atteindre une fourchette de 5,00 % à 5,25 %. 
  • Le président de la Fed, Jerome Powell devrait probablement indiquer une pause en juin afin d'évaluer l'effet cumulatif du resserrement de la politique monétaire à ce jour, tout en laissant la porte ouverte à de nouvelles hausses de taux dans le futur, comme a pu le faire l’Australie par exemple. 
  • Il devrait aussi indiquer que ces prochaines potentielles hausses de taux seront conditionnées par les perspectives d'inflation et d'activité économique réelle (en particulier les conditions de crédit et le dernier rapport Senior Loan Officer que la Fed devrait avoir à sa disposition).  
  • Il ne devrait prendre aucun engagement en ce qui concerne les prochaines décisions afin de conserver autant de liberté que possible.  
  • Il devrait aussi réaffirmer que les membres de la Fed ne prévoient pas de baisses de taux cette année (contrairement à ce qu’anticipent les marchés)  
  • Enfin, la Fed devrait annoncer poursuivre le resserrement quantitatif au rythme de 95 milliards de dollars par mois. 

En résumé, nous pensons que la Fed indiquera une pause en juin pour évaluer l'ampleur du resserrement de sa politique monétaire. Le président Powell ne devrait toutefois pas signaler que le cycle de resserrement de la Fed est terminé : la formulation exacte sera importante car la Fed ne veut pas envoyer de signaux accommodants de manière prématurée aux marchés. Les taux américains ne devraient pas trop évolués durant la conférence de presse, même si nous reconnaissons que trouver le bon équilibre pourrait s'avérer difficile pour M. Powell. 

 

Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997. 

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news-3481 Wed, 03 May 2023 14:32:00 +0200 Banques américaines et européennes : ce qui est important et ce qui ne l’est pas. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-info/ La crise bancaire est-elle terminée ? Nous ne le pensons pas. Les banques peuvent mourir ou feindre leur mort de bien des façons, et bien que la situation ne soit peut-être pas aussi grave que celle de Credit Suisse, nous ne sommes pas encore pour autant tirés d’affaire. Comme nous l'avons expliqué dans nos précédentes notes, le stress provenant des acteurs régionaux américains ne saurait être extrapolé aux banques européennes. Cependant, cela devrait maintenir un plancher sur les spreads obligataires des banques sur l'ensemble de leur structure de capital pour les prochaines semaines.
Il est important d'éviter les titres accrocheurs et les indicateurs trompeurs. Analysons plutôt la dernière  saison de parution de résultats du premier trimestre, qui est terminée aux États-Unis, mais encore d’actualité en Europe. Notre objectif est de vous fournir des réponses simples aux questions qui peuvent se poser ou se sont posées ces derniers jours. Il s'agit ici de séparer le bon grain de l'ivraie.

1/ Les résultats des banques européennes n'auront pas d'importance pour les détenteurs d'obligations bancaires.

Même si cela peut sembler audacieux de le prétendre alors que nous sommes encore en plein milieu de la saison des annonces de résultats, nous avons déjà suffisamment d'éléments pour affirmer que rien de considérable ne se passe en Europe.

Les actionnaires, les détenteurs d'obligations et les analystes de banques sont soumis à des modes passagères lorsqu'il s'agit d'évaluer la robustesse du bilan. Au cours des dernières années, nous nous sommes principalement concentrés sur les ratios de solvabilité et les tendances des prêts non performants, qui s'amélioraient considérablement. Tous les regards se tournent désormais vers les tendances des dépôts de clients, les ratios de liquidité et les expositions à l'immobilier commercial. Cela aussi finira par passer.

Santander a dévoilé ses résultats le 25 avril, avec une baisse trimestrielle de 5,6 % des dépôts de clients en Espagne, ce qui a entraîné une sous-performance importante de son cours de bourse par rapport à celui des autres banques ce jour-là (aussi en raison d’une rentabilité plus faible au Brésil). Cela pourrait-il être le signe d'une prochaine tension de liquidité ? Non, certainement pas. Voici pourquoi : (i) les dépôts de clients sur une base consolidée ont baissé de seulement 1 % en variation trimestrielle et ont augmenté de 4 % en glissement annuel, (ii) les dépôts de clients en Espagne ont augmenté de 7,9 % en glissement annuel, (iii) la direction a déclaré que la plupart de la baisse des dépôts espagnols en variation trimestrielle était due à des entreprises et à la CIB et ceci principalement en janvier, avant le début de la crise bancaire. Les dépôts des clients peuvent être et sont souvent volatils, ils sont soumis à des ajustements saisonniers et dépendent à la fois du type de prêts accordés aux clients et de leur répartition géographique. Il semble que les investisseurs aient oublié cette réalité.

Jusqu'à présent, les preuves anecdotiques provenant des résultats d'autres banques en Europe ont montré qu'il n'y avait rien de significatif à signaler ici.

En conclusion, les tendances à long terme des banques sont plus importantes que les chiffres trimestriels. Ne retenez pas votre souffle pour cette saison de résultats des banques européennes.

2/ La Commission européenne souhaite renforcer la préférence des déposants : C’est un coup d'épée dans l'eau.

La Commission européenne (CE) a publié le 18 avril une proposition pour ajuster le cadre de gestion de crise bancaire et d'assurance-dépôts existants de l'UE, en mettant l'accent sur les banques de taille moyenne et plus petites. Comme pour tous les sujets réglementaires, cela devient vraiment technique, nous ne vous embêterons donc pas avec des détails qui ne sont pertinents que pour les passionnés de banque, et nous le simplifierons autant que possible.

L'idée de base est de sanctuariser la préférence des déposants contre les détenteurs d'obligations non garanties seniors (et d'autres créances de même rang). Attendez, n'était-ce pas déjà le cas ? Plus ou moins. C'était déjà explicitement le cas dans plusieurs pays, tels que le Portugal ou l'Italie, mais c'était seulement implicite dans la plupart des autres pays. Comme toujours, c'est un choix que doit faire le régulateur (et le gouvernement) si une banque tombe en résolution (et, en Europe, les résolutions bancaires n'ont touché ni les déposants ni les obligations non garanties seniors au cours des sept dernières années).

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news-3478 Fri, 21 Apr 2023 11:34:00 +0200 Tout vient à point à qui sait attendre. Mais nous n'avons pas beaucoup de temps ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tout-vient-a-point-a-qui-sait-attendre-mais-nous-navons-pas-beaucoup-de-temps/ Par Océane BALBINOT-VIALE, Analyste ESG senior, La Française AM Voilà plus d’un an que les critères d’examen technique déterminant quelles activités économiques peuvent être considérées comme contribuant de manière substantielle à l'atténuation du changement climatique et à l'adaptation à celui-ci ont été définis dans le premier acte délégué relatif aux objectifs climatiques de la taxonomie. Étant donné l'interconnexion des six objectifs environnementaux, les critères d’examen technique encore à définir pour les quatre derniers, à savoir l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes (« Taxo4 ») - étaient naturellement attendus par le marché. 

Les objectifs environnementaux sont le pilier de la taxonomie européenne, le fondement même de cette initiative qui vise à créer un langage commun autour de ce qui peut être considéré comme « durable ». Pour être définie comme telle, une activité économique doit avant tout contribuer de manière significative ou permettre à d'autres activités de contribuer de manière significative à au moins l'un de ces six objectifs. En outre, une activité poursuivant un ou plusieurs de ces objectifs doit satisfaire au principe consistant à ne pas causer de préjudice important (Do no significant harm – DNSH) à d'autres objectifs et aux garanties sociales minimales (Minimum Social Safeguards – MSS). Le 5 avril, la Commission européenne a lancé une consultation d'une durée de quatre semaines sur une nouvelle série de critères d’examen technique définissant les activités économiques qui contribuent de manière substantielle à un ou plusieurs des objectifs environnementaux non climatiques. Le délai de réponse est fixé au 3 mai et l'acte délégué pourrait être adopté dès cette année pour une mise en œuvre au 1er janvier 2024. 

Taxo4 est le maillon manquant de l'acte délégué relatif au climat qui contribuera à assurer une mise en œuvre rapide du Pacte vert pour l'Europe. Comme pour les critères relatifs au changement climatique et à l'atténuation de celui-ci, les détails concernant les objectifs restants susciteront sans aucun doute des débats animés sur le marché. La définition de Taxo4 s'accompagne également d'un niveau de complexité supplémentaire : par opposition aux objectifs environnementaux axés sur le climat, Taxo4 ne peut pas s'appuyer sur des scénarios climatiques déjà établis et alignés sur l'Accord de Paris. La protection et la restauration de la biodiversité, en particulier, est une entreprise aux multiples facettes, qui englobe des questions relatives aux habitats naturels, à l'endémisme, à la coexistence des espèces et aux services écosystémiques qui en découlent. La contribution substantielle aux quatre objectifs non-climatiques ne peut se mesurer à l’aide d’un seul indicateur. L'interconnexion des objectifs environnementaux nous rappelle cependant que seule une approche holistique peut raisonnablement nous permettre d'atteindre le « Net Zero », ce qui résume précisément l'esprit de la taxonomie européenne. 

Il est important de noter qu'une mise en œuvre de l'acte délégué début 2024 coïnciderait avec l'entrée en vigueur de la directive sur le reporting de durabilité des sociétés (CSRD), qui remplace la moins ambitieuse directive sur le reporting extra-financier (NFRD). L'application synchronisée de ces deux initiatives a des implications positives pour les gestionnaires d'actifs : les entreprises intégreront un plus grand nombre d'activités dans leur reporting de durabilité, ce qui permettra aux investisseurs de disposer d'une plus grande granularité et d'une meilleure visibilité quant à l'impact de leurs décisions d'investissement sur l'économie réelle. 

Nous nous réjouissons de l'aboutissement de ce projet d'acte délégué et saluons les efforts significatifs qu'il a nécessités, notamment pour atteindre la granularité nécessaire sur des sujets tels que la conservation in situ, la cartographie écologique associée et la définition d'indicateurs de progrès. Les deux prochaines semaines de consultation promettent d'être des semaines d'examen et de délibération. 

Ces informations sont données à titre d’information et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française. Les opinions peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
 

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news-3477 Tue, 25 Apr 2023 11:32:00 +0200 BauMont Real Estate Capital et La Française Real Estate Managers signent des baux pour 8 200 m2 avec trois entreprises de VINCI Energies à Saint Denis (93) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/baumont-real-estate-capital-et-la-francaise-real-estate-managers-signent-des-baux-pour-8-200-m2-avec-trois-entreprises-de-vinci-energies-a-saint-denis-93/ BauMont Real Estate Capital et La Française Real Estate Managers (REM) annoncent la signature de trois baux de 6 ans fermes avec des entreprises de VINCI Energies pour une surface d’environ 8.200 m² sur l’immeuble Génération à Saint Denis (93). VINCI Energies Systèmes d’Information, VINCI Energies Oil & Gas ainsi que Cegelec Projets Espace & Hydrogène implanteront leurs équipes sur Génération à l’automne 2023.

Acquis en vente en état futur d’achèvement fin 2019 et livré en 2022, l’ensemble immobilier de 21 300 m² a été conçu par l’agence Chaix & Morel et se démarque par sa qualité architecturale, proposant deux corps de bâtiments reliés autour d’un jardin en cœur d’ilot. Avec près de 60 % de la surface de la parcelle végétalisée, Génération favorise la biodiversité et contribue au bien-être de ses utilisateurs qui pourront notamment bénéficier de terrasses sur trois de ses étages. Avec les certifications HQE Excellent et BREEAM Excellent ainsi que les labels BBC et R2S, l’immeuble répond aux meilleurs standards de durabilité, critère essentiel dans la démarche environnementale des preneurs.

Les locataires de Génération pourront apprécier l’offre de service haute gamme pensée pour les utilisateurs, dont un restaurant inter-entreprises donnant sur des espaces végétalisés, un espace café disposant d’un lounge reprenant les codes de l’hôtellerie, une tisanerie ouverte sur une large terrasse panoramique commune aux utilisateurs du site, une salle polyvalente (auditorium, travail collaboratif informel, évènementiel et cours collectifs), un espace de fitness et un local vélo équipé d’un atelier de réparation.

Situé au pied de la station La Plaine - Stade de France du RER B, le site sera d’autant plus renforcé dans sa centralité par l’arrivée de la ligne 15 du métro et du déploiement de la ligne tramway 8. En complément, l’immeuble dispose d’un parking vélos pour favoriser les mobilités douces. 

« Nous nous réjouissons de ces trois signatures successives qui confirment l’attractivité de Génération, au niveau architectural, technique, serviciel et environnemental. Nous sommes heureux d’accompagner les entreprises de VINCI Energies dans leur développement et de leur mettre à disposition un immeuble de grande qualité adapté aux besoins d’utilisateurs exigeants » indique David Rendall, Directeur général adjoint de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel (France et international).

« L’arrivée prochaine de VINCI Energies Systèmes d’Information, VINCI Energies Oil & Gas et Cegelec Projets Espace & Hydrogène est une belle reconnaissance du travail conjoint des équipes de La Française REM et BauMont Real Estate Capital depuis la phase de construction de Génération jusqu’à sa commercialisation. Nous sommes ravis que des utilisateurs historiques de la Plaine Saint-Denis choisissent Génération comme nouvelle implantation, prouvant l’attractivité de cet actif dernier cri qui s’établit ainsi comme l’un des meilleurs immeubles de son marché. Nos trois nouveaux occupants trouveront en Génération un immeuble performant, qui répond aux aspirations de leurs collaborateurs » ajoute Eric Salmon, Associé de BauMont Real Estate Capital.

Dans le cadre de ces transactions BauMont Real Estate Capital et La Française Real Estate Managers ont été conseillés par JLL, CBRE et le cabinet Reed Smith. 

À propos de BauMont Real Estate Capital

BauMont Real Estate Capital (BauMont) est une plateforme indépendante de gestion de fonds immobiliers avec à sa tête une équipe ayant plus de 25 ans d’expérience dans le secteur. 

La stratégie d’investissement de BauMont couvre l’Europe de l’Ouest et cible des opportunités de bureau, commerce, logistique et résidentiel. BauMont s’inscrit dans une stratégie de création de valeur à travers la gestion active et/ou le repositionnement d’actifs immobiliers. 

BauMont gère près d’1,5 milliard d’euros d’actifs.

À propos de La Française

Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.

Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.

Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.

La Française gère plus de 49 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour (31/12/2022).

La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022). 
 

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news-3476 Thu, 20 Apr 2023 09:57:47 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un entrepôt logistique du dernier kilomètre à La Corogne (Espagne) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-entrepot-logistique-du-dernier-kilometre-a-la-corogne-espagne/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de deux Sociétés Civiles de Placement Immobilier, annonce l’acquisition « off-market » auprès de VECTURA, société spécialisée dans le développement et la gestion d’actifs industriels et logistiques, d’un entrepôt logistique du dernier kilomètre à La Corogne (Espagne).

L’actif, livré fin février dernier et entièrement loué à un acteur clé du e-commerce sur la base d’un bail long terme, développe une surface totale d’environ 7 935 m², comprenant environ 5 756 m2 d’entrepôts et 2 179 m2 de bureaux, ainsi que 8 quais de livraison et 571 emplacements de stationnement (dont 448 pour van).

Situé dans la zone industrielle Espirito Santa, l’entrepôt bénéficie d’excellents accès autoroutiers (AP-9, AG-13, N-V1), permettant de couvrir une zone de chalandise très vaste. L’actif répond aux derniers standards techniques et environnementaux avec la certification BREEAM Very Good, grâce notamment à la présence de 400 m2 de panneaux photovoltaïques en toiture. Par ailleurs, la propriété répond favorablement aux principaux critères de durabilité de la charte d’investissement neuf, définie par La Française Real Estate Managers.

Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Idéalement situé sur la côte nord-ouest de la péninsule ibérique, cet entrepôt logistique permet de relier rapidement les principales villes de la Galice. L’actif présente des perspectives de valorisation favorables compte tenu notamment du rayonnement du locataire, de son emplacement stratégique et de la raréfaction des terrains disponibles. Cette acquisition s’inscrit dans la continuité du partenariat avec VECTURA, développé par le pôle institutionnel de La Française Real Estate Managers, représenté par Arthur Brizard, Directeur des Investissements adjoint. » 

Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Opportunité Immo (75%) et LF Europimmo (25%).

Pour cette opération, La Française REM était conseillée par le cabinet Ashurst, ETYO et BNP Paribas Real Estate. Vectura était conseillée par Cuatrecasas.

Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

À propos de La Française

Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.

Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.

Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.

La Française gère plus de 49 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (31/12/2022)

La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022). 

À propos de Vectura
VECTURA est la société holding de la famille CHICHE qui regroupe : 

  • Une activité de foncière patrimoniale spécialisée dans le développement et la gestion d’actifs industriels et logistiques (700 000 m² en patrimoine, 50 M€ de loyers annuels, 230 locataires) ;
  • Une activité de promotion immobilière centrée sur le développement et la vente d’actifs industriels et logistiques ;
  • Une activité de prestations logistiques dédiées aux industriels, retailers et e-commerçants qui souhaitent un service logistique clefs-en-main de qualité.

VECTURA

(50 collaborateurs) maîtrise l’ensemble de la chaîne de valeur logistique et immobilière : acquisition foncière, aménagements fonciers, constructions neuves, rénovations lourdes, financement, location, gestion locative et prestations logistiques.

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news-3469 Thu, 20 Apr 2023 09:31:00 +0200 Inflation aux Etats-Unis : Et si la surprise venait des biens ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inflation-aux-etats-unis-et-si-la-surprise-venait-des-biens/ par François Rimeu, Stratégiste sénior, La Française AM Depuis maintenant plusieurs mois, la situation semble globalement bien engagée aux Etats-Unis concernant la lutte contre l’inflation. Après avoir atteint un point haut à 9.1%, l’inflation a en effet entamé son recul depuis pour atteindre 5% à fin mars. Une analyse plus détaillée est cependant nécessaire pour comprendre quels sont les ressorts actuels de l’inflation et les risques à venir.

Sur le front de l’énergie, il y a peu de débat : si les prix de l’énergie restent autour des niveaux actuels, le pire est derrière nous. Le prix du gaz a retrouvé ses niveaux d’avant invasion de l’Ukraine et est même revenu sur des niveaux historiquement bas. Le prix du baril de pétrole reste lui significativement plus élevé qu’en 2020 ou 2021, mais là aussi assez loin des points hauts du mois de juin 2022. La décision surprise de l’OPEP+  de baisser sa production de plus d’un million de barils par jour à partir de début mai fait peser un risque de possible remontée des prix mais un certain nombre de facteurs devrait selon nous atténuer ce risque : faiblesse de la croissance mondiale, production russe très résiliente ou encore recours à l’utilisation des réserves stratégiques américaines. In fine, l’inflation (ou déflation dans le cas ici présent) de la composante énergétique américaine, aujourd’hui à -6.4% (contre 41.6% en juin), ne nous semble pas être un risque important même si petit à petit, les effets de base négatifs vont s’estomper ; à prix constant nous anticipons une inflation de la composante énergétique à nouveau positive autour de la fin d’année 2023.  

L’inflation de la composante nourriture devrait de son côté poursuivre sa baisse lente et graduelle, elle qui est passée de 11.4% en août à 8.5% en mars. Les prix de la nourriture sont historiquement très liés à l’évolution des prix du gaz et des engrais et comme ceux-ci ont déjà fortement baissé, il nous semble très probable que l’inflation alimentaire poursuive sa baisse.

L’inflation des services est beaucoup plus problématique et logiquement ciblée par Jerome Powell, président de la Réserve fédérale (Fed), comme étant le principal problème actuel. La dynamique récente montre en effet une inflation des services qui reste proche de ses plus hauts à 7.1% en mars, principalement du fait de la composante immobilière en générale et de la composante « OER » (Owners’ Equivalent Rent) en particulier. Cette composante bouge cependant historiquement très lentement, et il est probable que cela prenne encore de nombreux mois avant de la voir baisser de manière franche ; les membres de la Fed ont d’ailleurs communiqué assez largement sur le fait qu’ils analysent l’inflation sans prendre en compte cette composante « OER » du fait de ce décalage. Au-delà de la problématique immobilière, d’autres éléments sont à surveiller comme le secteur des transports qui montre encore trop d’inflation (billets d’avion en particulier) mais ces risques devraient selon nous diminuer graduellement quand les pressions salariales s’estomperont. Sur ce point, crucial, le futur nous semble être à des revendications moindres pour plusieurs raisons :

  • Le pouvoir d’achat des ménages a cessé de reculer
  • Des anticipations d’inflation en baisse
  • Des intentions d’embauche qui baissent depuis plusieurs mois dans les principales enquêtes américaines. (Voir graphique ci-dessous)

L’inflation sur les biens ne pose elle a priori pas de soucis particuliers avec des variations de prix sur 12 mois de 1.5%. Après une hausse massive des prix liée à la rupture de différentes chaines d’approvisionnement (Covid, Ukraine), le rétablissement de ces dernières a donné lieu à des évolutions de prix beaucoup plus modérées. Pourtant, nous arrivons à la fin des effets de bases négatifs (un peu comme sur le marché du pétrole) ce qui entrainera au cours des prochains mois un chemin d’inflation des biens plus problématique pour la Fed. Le marché des voitures est particulièrement à surveiller pour plusieurs raisons :

  • Les prix des voitures neuves continuent de progresser à un rythme soutenu de 6.1% sur 12 mois glissants (à fin mars 2023). Plusieurs explications à cela : transition écologique vers des véhicules électriques plus onéreux, déductions fiscales liées à l’achat de ces véhicules, problèmes d’inventaires persistants sur certains modèles, etc… Si on ajoute à cela un excès d’épargne encore présent (a priori jusqu’en fin d’année) et donc une demande encore suffisante, les prix restent tirés vers le haut. Ils divergent d’ailleurs des prix à la production depuis maintenant plusieurs mois, signe d’une certaine tension sur ce marché.

  • Le corolaire du prix des voitures neuves en hausse importante (presque +50% depuis la période pré-Covid) est le prix des voitures d’occasion qui remonte à nouveau. Voitures neuves inabordables pour beaucoup, inventaires de voitures d’occasion en baisse : il est logique de voir les prix de ces dernières remonter, ce qui va se faire sentir dans les mois qui viennent dans les chiffres d’inflation.


 

Cela peut sembler anecdotique, pourtant les voitures représentent 7.6% du panier d’inflation, ce qui est loin d’être neutre.
Le futur de l’inflation américaine devrait donc voir se confronter d’un côté des effets désinflationnistes sur les services et la nourriture et d’un autre côté des effets plus inflationnistes sur les matières premières énergétiques et les biens. L’inflation des biens pourrait donc être la variable à surveiller durant le 2ème semestre même si aujourd’hui tous les yeux sont tournés vers les services. 

 

Sources données : Bureau of Labor Statistics

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
 

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news-3467 Wed, 05 Apr 2023 18:22:51 +0200 La Française rejoint l’Investor Initiative on Hazardous Chemicals (IIHC) pour encourager les émetteurs à plus de transparence et s’associe à ShareAction pour agir en faveur de la décarbonation du secteur de la chimie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rejoint-linvestor-initiative-on-hazardous-chemicals-iihc-pour-encourager-les-emetteurs-a-plus-de-transparence-et-sassocie-a-shareaction-pour-agir-en-faveur-de-la-decarbonation-du-secteur-de-la-chimie/ La Française multiplie les actions en cohérence avec sa politique d’engagement. Agir pour plus de transparence sectorielle et accompagner les acteurs économiques dans leur transition fait partie intégrante de son rôle d’investisseur responsable conformément à sa raison d’être. Le secteur de la chimie est le 3ème secteur industriel contribuant le plus aux émissions de CO2 avec 925 Mt en 2021. D’après l’Agence Internationale de l’Energie , le secteur n’est pas en bonne voie pour respecter l’Accord de Paris. La trajectoire d’émissions doit être infléchie avec une réduction de 15% des émissions d’ici à 2030 alors même qu’elles ont augmenté de 5% en 2021 par rapport à 2020.

La spécificité de ce secteur est que ses émissions de CO2 proviennent non seulement de l’énergie utilisée, pour un quart des émissions, mais surtout de la matière première utilisée d’origine fossile, comme le pétrole, à hauteur de la moitié des émissions, le quart restant résultant des réactions chimiques inhérentes aux matériaux produits.

En outre, la pollution chimique est identifiée par les scientifiques, l’Agence européenne pour l’environnement et la Commission européenne, comme l’une des neuf limites planétaires  en raison de ses impacts sur l’homme, le fonctionnement des écosystèmes et le changement climatique.

Devant ce constat, La Française, investisseur responsable, a décidé de rejoindre plusieurs initiatives collectives afin d’accompagner ce secteur vers une transformation rapide.

La Française AM, société de gestion d’actifs financiers, filiale du groupe La Française, s’est ainsi mobilisée aux côtés de 50 investisseurs institutionnels mondiaux parmi les plus importants représentant plus de 10 000 Mds$ d’actifs en rejoignant l’Investor Initiative on Hazardous Chemicals (IIHC) . Lancée en janvier dernier, son objectif est d’appeler l’industrie chimique à plus de transparence et à une production plus vertueuse des produits chimiques notamment les produits persistants surnommés « polluants éternels » (PFAS) car peu dégradables dans l’environnement et avec de potentiels effets nocifs sur la santé.

La Française AM est chargée de participer à l’action collective par le biais d’un dialogue avec un ou plusieurs émetteurs dans le but d’obtenir davantage d’éléments quantitatifs et de mesure concernant la volumétrie des produits chimiques dangereux fabriqués et la pollution liée aux PFAS pour limiter le degré d’exposition des portefeuille financiers. Par ailleurs, La Française AM accompagnera la société dans sa transition en incitant cette dernière à développer des méthodes de production plus responsables.
 

Marie Lassegnore, CFA, Head of Sustainable Investment La Française AM : "Nous devons aller plus loin que la réglementation européenne. Il est de notre responsabilité d’agir pour limiter les risques liés au secteur de la chimie. Notre objectif est double : disposer d’une information plus transparente pour permettre de mieux appréhender l’exposition des positions financières dans les portefeuilles et plaider en faveur d’investissements en R&D dans le but de développer des alternatives plus sûres."

Le groupe La Française s’engage par ailleurs en faveur de la décarbonation du secteur chimique en étendant sa collaboration avec l’ONG ShareAction . La chimie est un secteur qui n’a pas ou peu commencé ses efforts de décarbonation ; il est nécessaire d’agir avant qu’il ne soit trop tard pour pousser le secteur à être plus proactif et à se saisir du problème pour limiter la trajectoire actuelle du réchauffement climatique et contribuer à l’atteinte de l’objectif de l’Accord de Paris.

La Française AM mènera par le biais d’une action collective des dialogues avec plusieurs entreprises afin de les accompagner dans leur transition en les encourageant à se fixer des objectifs et à mettre en œuvre des stratégies de décarbonisation plus ambitieuses.

Dans la synthèse finale de son 6ème rapport, le GIEC soulignait : "Les années les plus chaudes que nous avons vécues jusqu'à présent seront parmi les plus fraîches d'ici une génération". 
L’heure n’est plus aux discours mais à l’action.

Acteur responsable, La Française est convaincue que l'engagement à long terme contribue à améliorer la création de valeur. Les équipes d’investissement s’attachent à accompagner les émetteurs dans leurs transitions au travers de dialogues constructifs pour créer des solutions d’investissement alliant performance et durabilité.

En 2022, le groupe a renforcé et étendu ses engagements tant collectifs - Finance for Biodiversity Pledge, 30% Club France Investor Group, etc. - qu’individuels en portant une attention particulière aux thématiques suivantes : lutte contre le réchauffement climatique, capital naturel, capital social et gouvernance.

Enfin le groupe La Française a mené des dialogues suivis d’actions auprès de 52 entreprises (vs. 17 en 2021) par le biais d’une action directe ou en collaboration avec d’autres organisations et/ou groupes d’investisseurs.

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news-3466 Tue, 04 Apr 2023 15:53:31 +0200 Le point Macro Avr. 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-point-macro-avr-2023/ Par François RIMEU Stratégiste La Française Asset Management Des inquiétudes persistent malgré la résilience apparente des marchés. 

Des banques régionales américainesSVB et Signature et le rachat en urgence de Credit Suisse par UBS n’ont pas entamé la confiance des marchés En effet, depuis le début de
la « crise » bancaire le 6 mars, l’indice S&P 500 est en hausse de 0 18 et l’ Eurostoxx 50 est lui en baisse de 0.52 %%(au 30 mars) Même constat sur la sphère crédit dans son ensemble avec des indices high Yield marginalement négatifs, aidés il est vrai par le fort mouvement de baisse de taux.

Les données macro économiques confirment d’ailleurs jusqu’ici qu’il ne s’est rien passé et que la trajectoire de révisions de croissance à la hausse que nous connaissons depuis le début de l‘année est toujours valable Nous n’allons pas nous lancer dans un long catalogue des chiffres parus, mais que l’on regarde les PMI, le ZEW, l’IFO, les chiffres d’emplois ou encore les enquête du Conference Board aux Etats Unis, la conclusion est la même à fin mars, il n’y a pas de dégradation de la conjoncture, avec des secteurs des services toujours très résilients. 

Pourtant, un certain nombre de facteurs nous inquiète aujourd’hui à horizon 3-6 mois. Les problématiques du monde des banques régionales US ne nous semblent tout d’abord pas encore complètement réglées Le trésor US et la Fed sont intervenus très rapidement, à la fois via des lignes de crédit vers les banques (nouveau plan « Bank Term Funding Program »), en garantissant les dépôts de SVB et en communiquant plus généralement qu’ils avaient bien compris qu’ils avaient un problème de régulation le FDIC (« Federal Deposit Insurance Corp ») doit d’ailleurs publier ses conclusions quant aux modifications à apporter à la règlementation pour le 1 er mai Pour autant, les dépôts continuent de migrer vers les fonds de trésorerie, le prix des actions des banques régionales ne rebondit quasiment pas, et la concentration de certains bilans sur les actifs immobiliers pourrait donner envie aux marchés d’aller tester la résolution des autorités avant le 1 er mai De manière empirique, les « crises bancaires » restent rarement totalement circonscrites et même s’il est vrai que le financement des entreprises est de moins en moins dépendant des banques (surtout aux Etats Unis), il nous semble que ces évènements vont participer à durcir encore les conditions de crédit, surtout si on tient compte de la pression sur les marges qui pourraient se poursuivre

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news-3464 Wed, 05 Apr 2023 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert une clinique, en cœur de ville, à Paris (11e arrondissement) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-une-clinique-en-coeur-de-ville-a-paris-11e-arrondissement/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF AVENIR SANTE, a acquis pour près de 34 millions d’euros les murs de la Clinique Mont-Louis, sise 8-10 rue de la Folie-Regnault, dans le 11e arrondissement de Paris, à proximité immédiate des transports en communs, avec les lignes 9 (arrêt Charonne) et 2 (arrêt Philippe Auguste) du métro. La clinique (en R+9 et 3 niveaux de sous-sol) propose 159 lits (118 lits en chirurgie, 21 lits de médicine en hospitalisation complète, 20 places de chirurgie ambulatoire), 9 salles de chirurgie et 3 salles d’endoscopie, sur une surface totale 6 976 m² dont 2 729 m² en sous-sol. 

L’actif, classé ERP- établissement recevant du public 3e catégorie de type U, est exploité par le groupe OC Santé, premier groupe de santé indépendant en Occitanie. Résolument engagés dans une démarche de qualité pour apporter le meilleur service possible aux patients, plus d’une centaine de médecins et chirurgiens exercent à la Clinique du Mont-Louis où chaque année environ 19 000 opérations sont pratiquées. Afin d’améliorer le positionnement ESG (Environnemental, Social et Gouvernance) de l’actif, la société de gestion prévoit la mise en place d’un plan d’action.

Jérôme Valade, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « Les cliniques MCO constituent la colonne vertébrale du dispositif global de soins en France aux côtés des CHU, et participent ainsi activement à la prise en charge médicale de la population, qui est au cœur de la stratégie d’investissement de la SCPI LF AVENIR SANTE. Sur le volet immobilier, le marché des MCO est un marché de niche. Par cette transaction, La Française REM illustre sa capacité à être acteur de ce marché restreint et réservé aux spécialistes. Cette clinique MCO, située en cœur de ville et exploitée par le premier groupe de santé indépendant en Occitanie, vient compléter le portefeuille existant de LF Avenir Santé, qui en l’espace d’un peu plus d’un an, s’est constituée un patrimoine composé de 8 actifs de santé, en France comme à l’international, et une participation dans un portefeuille de 14 résidences services séniors. Pour accompagner ce fort développement, nous renforçons nos équipes et accueillons Nicolas Monnier en tant qu’asset manager, spécialisé dans les actifs de santé. »

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par ADAMA Conseil & Transactions pour la due-diligence opérationnelle, ALLEZ & ASSOCIES pour la partie notariale, ARCHERS pour l’audit juridique et ARTELIA pour la partie technique et ESG.
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LF Avenir Santé est labellisée ISR.

Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.

Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.

Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI. 

Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)

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news-3463 Wed, 29 Mar 2023 11:30:37 +0200 Lettre d’information aux porteurs de parts du Fonds CONVICTION EQUILIBRE - ISIN FR0013339520 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-dinformation-aux-porteurs-de-parts-du-fonds-conviction-equilibre/ Chère Madame, Cher Monsieur,

Vous êtes porteur de part(s) du Fonds commun de placement « CONVICTION EQUILIBRE » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Quels changements vont intervenir sur votre Fonds ?

1- Changement de Société de Gestion : 

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement CONVICTION EQUILIBRE (ci-après le FCP) a donné son accord pour mettre fin à ses fonctions de société de gestion du FCP, et au transfert de la gestion à la société de gestion Meeschaert Asset Management, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 040-00025, qui a accepté d'en reprendre la gestion.

2- Changement de Dépositaire et de Centralisateur du FCP :

Nous vous informons par ailleurs que, dans le cadre de l’optimisation de ses moyens, la société de gestion Meeschaert Asset Management a décidé de transférer la fonction dépositaire de votre FCP actuellement assurée par BNP Paribas (siège social : 16 Boulevard des Italiens 75009 Paris) à CACEIS BANK (siège social :89-91 rue Gabriel Péri – 92120 Montrouge ) qui a accepté.
A compter de la date de prise d’effet précitée, CACEIS Bank sera également le nouvel établissement désigné (centralisateur) pour recevoir les souscriptions et les rachats de parts du FCP selon les modalités prévues dans le prospectus du FCP. Cette opération de changement de centralisateur n’est pas, conformément à la règlementation en vigueur, soumise à l’agrément préalable de l’AMF.

3- Changement de Délégataire comptable :

Concomitamment au changement de dépositaire, la fonction de valorisation actuellement déléguée à BNP Paribas (siège social : 16 Boulevard des Italiens 75009 Paris) sera transférée à CACEIS FUND ADMINISTRATION (siège social : 89-91 rue Gabriel Péri – 92120 Montrouge).L’ensemble de ces changements n’aura aucun impact sur la stratégie et le profil de risque de votre fonds : la stratégie, les caractéristiques de votre fonds et les coûts restent identiques.

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news-3460 Tue, 28 Mar 2023 11:44:37 +0200 Les Objectifs de Développement Durable comme moteur d’investissement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-objectifs-de-developpement-durable-comme-moteur-dinvestissement/ Au cours des 30 dernières années, le monde a connu d'importants progrès économiques et sociaux. Toutefois, bon nombre des facteurs de changement passés, tels que l'utilisation de combustibles fossiles bon marché et la consommation et la production extensives, ne sont plus viables avec le modèle économique actuel. De nouveaux défis menacent la stabilité sociale et financière future, et des mesures urgentes doivent être prises. La multiplication des catastrophes naturelles, notamment les inondations et les sécheresses, entraîne des pertes financières et met en péril la sécurité alimentaire. En outre, la fragilité des écosystèmes et la diminution de la biodiversité exacerbent les chocs économiques et financiers et favorisent l'insécurité et les conflits.

Pour relever ces défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés, les Nations unies ont établi, en 2015, 17 objectifs de développement durable (ODD) et 169 sous-objectifs. Ces objectifs, qui devaient être atteints d'ici à 2030, couvrent des questions cruciales, telles que la pauvreté, les inégalités, le changement climatique et la dégradation de l'environnement, ainsi que la paix et la justice. Les objectifs concrets comprennent l'éradication de la malaria, le développement de panneaux solaires ou des transports publics plus accessibles. À l'origine, ils étaient conçus comme des initiatives gouvernementales et intergouvernementales, mais il est devenu de plus en plus évident que les entreprises sont un catalyseur essentiel pour atteindre ces objectifs. Ces objectifs doivent être vus à travers le prisme des opportunités commerciales, car "les objectifs mondiaux ont besoin des entreprises, et les entreprises ont besoin des objectifs mondiaux".

La Business and Sustainable Development Commission estime que ces objectifs représentent une opportunité de marché d'au moins 12 000 milliards de dollars d'ici 20301 . Avec des réglementations plus strictes en matière de durabilité, comme le Green Deal en Europe, et l'évolution des préférences et de la prise de conscience des consommateurs, ce montant pourrait être 2 à 3 fois plus élevé. Les consommateurs attendent de plus en plus des entreprises qu'elles contribuent positivement à la société et à l'environnement en adaptant leurs activités. En tant qu'investisseur responsable, La Française cherche à investir dans des entreprises qui prennent les devants et contribuent à un monde meilleur.

D'UN OBJECTIF UNIVERSEL À UNE OPPORTUNITÉ DE MARCHÉ

Comme mentionné précédemment, les 17 ODD ont été initialement adoptés pour s'appliquer aux pays. Il n'est donc pas surprenant de voir des entreprises considérer ces objectifs comme hors de leur champ d'action ou difficiles à intégrer dans leur stratégie d'entreprise. Dans ce document, nous présenterons le lien entre les ODD et les entreprises en décrivant plusieurs mégatendances identifiées pour l'avenir.

DÉMOGRAPHIE

La démographie est une mégatendance cruciale : la population mondiale devrait augmenter de 2 milliards au cours des 30 prochaines années, pour atteindre un total de 9,7 milliards en 20502 . Bien que la croissance démographique ne soit pas un problème en soi, elle exerce une pression supplémentaire sur les services de santé et le système alimentaire. Depuis la création des objectifs du Millénaire pour le développement, des progrès historiques ont été accomplis en matière de santé mondiale, comme la réduction de la mortalité infantile. Toutefois, le rythme des améliorations s'est ralenti.

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news-3457 Tue, 28 Mar 2023 09:23:49 +0200 Décarbonisation de l'immobilier une approche multisectorielle nécessaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decarbonisation-de-limmobilier-une-approche-multisectorielle-necessaire/ Par Guy Wilkinson, Analyste ESG et Claudia Ravat, Analyste ESG Le secteur immobilier est responsable de près de 40 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre ; il est donc essentiel de s'attaquer rapidement et vigoureusement à ce secteur. Par conséquent, les ONG, les entreprises et les régulateurs doivent s'unir pour garantir une décarbonisation rapide et permanente du secteur. Pour que l'industrie immobilière réduise ses émissions, il est évident que les fabricants de ciment et d'acier doivent en faire autant. Contrairement à l'acier dont la voie est plus claire, il est difficile d'entrevoir une évolution similaire pour le ciment en l'absence de progrès technologiques significatifs, qui doivent devancer l'augmentation attendue de la demande globale. Cependant, l'accent mis sur l'« enveloppe » du bâtiment est également un levier essentiel pour la réduction des émissions, et nous prévoyons une relance des politiques et des incitations visant à améliorer
l'efficacité des bâtiments. Cependant, cela nécessite toutefois un engagement supplémentaire de la part de l'utilisateur du bâtiment, qui est peut-être l'acteur le plus important dans le processus de décarbonisation.

Les réglementations, les subventions et les taxes continuent d'affluer sur le marché. Les réglementations en matière de publication d’informations sont particulièrement importantes pour les investisseurs ESG, et la divulgation au moyen de la taxonomie de l'UE permettra aux investisseurs de cibler plus précisément les entreprises les mieux placées pour décarboniser leurs activités à l'avenir. Un grand nombre d'initiatives, de cadres et de certifications ont été mis au point pour soutenir cette démarche et permettre aux entreprises de fixer des objectifs dans des cadres spécifiques à leur secteur d'activité.

Le pourcentage de bâtiments certifiés LEED, BREEAM et autres normes de ce type devrait être un facteur déterminant lorsque l'on examine les progrès réalisés par les sociétés immobilières cotées en matière de décarbonisation. Non seulement ces
initiatives contribueront aux efforts d'atténuation du changement climatique, mais elles créeront également un environnement propice à d'importantes opportunités financières. Les sociétés immobilières cotées en bourse qui sont en mesure de décarboniser leurs portefeuilles pourront facturer des primes « vertes » et obtenir ainsi un flux de revenus plus important.

Pour ce qui est d'identifier les sociétés immobilières cotées en bourse qui sont les plus à mêmed'opérer la transition et de passer à la décarbonisation, la disparité du marché rend leur comparaison difficile. Leur capacité à se décarboniser dépend d'une série de facteurs, tels que la composition de leur portefeuille d’immeubles de bureaux, de commerces et de résidences, ainsi que la localisation (géographie) de ces biens.

La publication des résultats finaux des directives du secteur du bâtiment de l'initiative Science Based Targets(1) sera un catalyseur clé pour l'industrie immobilière, mais elle n'est pas prévue avant octobre 2023.
 

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news-3455 Mon, 27 Mar 2023 09:57:13 +0200 SVB : le comportement d'une seule pourrait-il dicter le sort de toutes ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/svb-le-comportement-dune-seule-pourrait-il-dicter-le-sort-de-toutes/ Par Deepshikha Singh, Deputy Head of La Française SIR & Head of Stewardship, La Française AM Les dernières semaines ont été marquées par une vague de paniques dans le secteur bancaire, d'abord aux États-Unis, puis en Europe. Dans un premier temps, c'est Silvergate qui a annoncé sa liquidation volontaire le 8 mars. Cette liquidation s'est transformée en "bank run" sur la SVB, ce qui a conduit la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) à reprendre l'ensemble des dépôts le 10 mars. La panique bancaire s'est ensuite propagée à Signature, qui a été fermée par les régulateurs le 12 mars. Le week-end dernier (18/19 mars), d'autres retombées sont apparues, avec la vente du Crédit Suisse à UBS dans le cadre d'un accord négocié par le gouvernement, et les actions de la First Republic Bank qui ont subi de lourdes pertes en raison de leurs similitudes avec la SVB

Alors que la SVB s'effondrait et que l'on commençait à se demander pourquoi et comment, de nombreux détracteurs de l'ESG (environnement, social et gouvernance) ont profité de l'occasion pour attribuer l'effondrement de la banque à son orientation ESG et à la "woke" (économie du réveil). Le conseil d'administration de la SVB a été blâmé pour s'être concentré sur ses politiques de diversité et d'inclusion (DEI) plutôt que sur la gestion des risques.

LA SVB A-T-ELLE CONSACRÉ TROP D'EFFORTS ET D'ATTENTION À L'ESG ET AUX DEI ?

La thèse originelle de l'ESG est de combiner le profit et l'objectif. En termes d'objectif, SVB a joué un rôle essentiel dans le soutien de l'écosystème des start-ups au niveau mondial et a servi principalement des start-ups et des entreprises en phase de pré-investissement comme clients. La banque a permis à de jeunes entreprises, dont la plupart s'efforçaient d'apporter des solutions à des problèmes sociaux et environnementaux urgents, d'opérer sans entrave.

En termes de stratégie ESG, la SVB a mis l'accent sur l'IED, mais elle ne s'est pas limitée au genre ou à la race et a été mise en œuvre parmi les employés et les clients. Selon son rapport sur la responsabilité d'entreprise, le conseil d'administration de la SVB a adopté une approche multidimensionnelle de la diversité et a pris en compte une variété de compétences et d'attributs :

➢ Expérience dans le secteur, en particulier dans le secteur bancaire et le secteur de la clientèle ➢ Expertise fonctionnelle, technique ou autre expertise professionnelle
➢ Le sexe, l'âge ou la diversité raciale/ethnique
➢ Autres caractéristiques importantes, telles que le statut de vétéran et la diversité géographique

Il convient de préciser que les banques, les entreprises technologiques et en particulier la communauté des start-up, que SVB a servie, sont connues pour leur manque de diversité et, en fait, pour leur longue histoire de discrimination systémique. D'après le dossier de procuration 2022, la haute direction de la SVB était composée de 38 % de femmes (au niveau mondial) et de 38 % de personnes non blanches (aux États-Unis). Au sein de son conseil d'administration, 5 administrateurs sur 11 étaient des femmes (45 %). Cependant, 10 de ces 11 membres du Conseil étaient blancs et 7 étaient âgés de 60 ans et plus. En outre, 11 des 12 membres du conseil d'administration, dont le directeur général, le directeur financier et le directeur de l'exploitation, étaient des hommes et tous les 12 étaient de race blanche. La banque s'est fixé de bons objectifs pour améliorer la diversité, mais à l'époque, elle n'était certainement pas aussi diversifiée.

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news-3454 Fri, 24 Mar 2023 17:11:22 +0100 Rapport de synthese AR6 : urgence climatique 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rapport-de-synthese-ar6-urgence-climatique-2023/ Par Océane BALBINOT-VIALE, Senior ESG Analyst, La Française AM Cette semaine a été marquée par la publication du rapport de synthèse du 6ème rapport d’évaluation (AR6) du Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat  (GIEC), un travail de huit ans mené par la plus haute autorité en matière de science du changement climatique. Sur près de 10 000 pages, l’AR6 décrit les effets dévastateurs de l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'échelle mondiale, qu'ils soient avérés ou susceptibles de se produire, et conclut qu’un réchauffement de la planète à 1,5 °C à court ou moyen terme est désormais l‘issue la plus probable. Comme une lueur d'espoir, l’AR6 met toutefois l'accent sur les mesures à prendre pour éviter les risques croissants auxquels nous devrions être confrontés, malgré une fenêtre d'opportunité de plus en plus étroite.

L’HEURE DU CHOIX ET LE CHOIX DES RESPONSABILITES

Avec la croissance des activités économiques et des émissions de GES, la température à la surface du globe en 2020 était supérieure de près de 1,1 °C au niveau préindustriel de 1900, ce qui a entraîné des changements sans précédent dans l'histoire récente de l'humanité pour le climat de la Terre : les concentrations actuelles de dioxyde de carbone sont inégalées depuis au moins 2 millions d'années et les océans se réchauffent plus rapidement que jamais depuis la fin de la dernière période glaciaire. Face à ces dérèglements qui font boule de neige, le rapport de synthèse réaffirme la vérité dérangeante selon laquelle les communautés qui ont le moins contribué au changement climatique actuel sont touchées de manière disproportionnée. Il s'agit principalement des pays les moins avancés, des petits États insulaires et de l'Arctique. Près de la moitié de la population mondiale vit dans des zones géographiques très vulnérables au changement climatique, la hausse des températures favorisant déjà la prolifération des maladies d'origine alimentaire, hydrique (eau contaminée ou manque d'assainissement) et à transmission vectorielle (moustiques, puces, tiques…). Entre 2010 et 2020, le taux de mortalité due aux inondations, aux sécheresses et aux tempêtes était quinze fois plus élevé dans ces régions très vulnérables. Il est important de noter que chaque augmentation supplémentaire de 0,5 °C de la température mondiale entraîne une hausse perceptible de la fréquence et de la gravité des phénomènes météorologiques extrêmes, ce qui affaiblit encore davantage la résilience des personnes les plus vulnérables. Certaines incidences climatiques sont déjà tellement graves qu'il est tout simplement impossible de s'y adapter, ce qui entraîne des pertes et des dommages. 

LES GAZ A EFFET DE SERRE DOIVENT COMMENCER A DECLINER MAINTENANT

Pour que le réchauffement de la planète ne dépasse pas sensiblement 1,5 °C, le GIEC estime que les émissions de GES doivent atteindre leur maximum immédiatement ou au plus tard avant 2025, et que les émissions nettes de CO2 devront être nulles au début des années 2050. Au vu de ces prévisions, un nouvel objectif intermédiaire de réduction de 60 % des niveaux d'émission d'ici à 2035 a été établi, qui, nous l'espérons, influencera les Contributions Déterminées au Niveau National (NDCsde la COP28. La température à la surface du globe augmente de 0,45 °C pour chaque tranche de 1 000 GtCO2 émis par l'activité humaine. En outre, le GIEC constate qu'en 2019, environ 79 % des 
émissions mondiales de GES provenaient du secteur énergétique, de l'industrie ainsi que des transports et des bâtiments, ce qui implique que des changements profonds à l'échelle du système sont plus que jamais nécessaires et ce de toute urgence. Ce contexte constitue la base sousjacente de la politique d'exclusion de La Francaise AM* en faveur de la transition énergétique. Nos fonds ne financent plus les entreprises qui consacrent des investissements à des plans d'expansion du charbon ou dont la capacité ou la production électrique provient encore du charbon à hauteur de plus de 10 % ou 20 %, selon la stratégie des fonds.

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news-3452 Wed, 22 Mar 2023 15:12:22 +0100 Lettre aux porteurs fonds commun de placement PROFIL MODÉRÉ /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lap-fonds-commun-de-placement-profil-modere/ Madame, Monsieur, 

Vous êtes actuellement porteur de parts du fonds commun de placement PROFIL MODÉRÉ (ciaprès « le Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-après les informations relatives aux modifications qui vont intervenir dans votre Fonds le 04/04/2023.

I. Quels changements vont intervenir dans votre Fonds

Le Fonds créé en 2018 est actuellement géré par la société de gestion La Française Asset Management. Nous vous informons que La Française Asset Management a donné son accord pour renoncer à sa fonction de société de gestion du Fonds au profit de LAZARD FRERES GESTION SAS, société de gestion agréée par l’Autorité des marchés financiers sous le numéro GP 04000068, qui devient la nouvelle société de gestion du Fonds à compter du 04/04/2023. A l’occasion de ces changements, l’objectif de gestion et l’allocation cible du Fonds seront modifiés, notamment la fourchette d’investissement en obligations High Yield, l’utilisation des instruments dérivés et la fourchette de sensibilité seront élargis. De ce fait, les modifications  impacteront de manière significative le profil rendement/risque du Fonds. Les modifications sont listées au point V de la présente lettre.

II. Quand cette opération interviendra-t-elle ?

Cette mutation a reçu l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers le 20/03/2023, elle sera 
effective le 04/04/2023.

III. Quel est l’impact de cette modification sur le profil rendement/risque de votre investissement ? 

  • Modification du profil rendement/risque : OUI
  • Augmentation du profil de risque : OUI
  • Augmentation potentielle des frais : NON
  • Ampleur de l’évolution du profil de rendement / risque : Très significatif

IV. Quel est l’impact de cette opération sur votre fiscalité

Néant
 

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news-3451 Wed, 22 Mar 2023 12:00:00 +0100 Pré-analyse FED mars 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-analyse-fed-mars-2023/ Malgré la hausse du risque financier, la Fed devrait continuer à relever ses taux Par François Rimeu, stratégiste senior chez La Française AM Le Comité Fédéral de l'Open Market (FOMC) va vraisemblablement annoncer un relèvement de ses taux de 25 points de base pour la deuxième fois consécutive. Les projections de la Fed devraient rester inchangées par rapport à celles de décembre et les « dots » pourraient montrer une hausse de 0.25% supplémentaire en 2023 compte tenu de la persistance de l'inflation sous-jacente. Nous ne pensons pas que le Conseil des gouverneurs cessera de réduire la taille de son bilan malgré le risque financier.

Nos principales prévisions pour les décisions à venir de la Fed : 

  • Le FOMC relèvera les taux de 25 points de base supplémentaires dans une fourchette de 4.75 % à 5% pour ramener l'inflation à son objectif de 2 %.
  •  Le président Jerome Powell réaffirmera que la politique monétaire dépendra des données macro-économiques et ne prendra aucun engagement quant à ses décisions futures
  •  Malgré la faillite de deux banques régionales américaines et le risque de contagion dans le secteur bancaire (resserrement des conditions financières, offre de crédit, fuite des dépôts), la Fed poursuivra son resserrement quantitatif à hauteur de 95 milliards de dollars par mois grâce à son nouveau programme de financement à terme des banques (Bank Term Funding Program - BTFP) destiné à contenir les risques financiers. Le BTFP annoncé par la Fed le 12 mars est une source supplémentaire de liquidités contre des titres de haute qualité évalués au pair, ce qui évite à un institutionnel de devoir vendre rapidement ses titres en période de stress.
  •  M. Powell indiquera que le conseil d'administration est prêt à ajuster la trajectoire des taux et du bilan si les conditions le justifient.
  •  En ce qui concerne le « dots plot », le « dot » median pourrait passer de de 5,10 % à 5,4 % en 2023 et de 4,1 % à 4,4 % en 2024, mais il devrait rester inchangé à 3,1 % en 2025. Les évènements récents pourraient cependant pousser les différents membres de la Fed à montrer un peu plus de prudence.
  •  En ce qui concerne les nouvelles projections économiques, nous prévoyons des changements minimes en matière de croissance et d'inflation (dépenses de consommation personnelle, PCE) pour 2023 (à 0,5 % et 3,1 %), 2024 (à 1,6 % et 2,5 %) et 2025 (à 1,8 % et 2,1 %). A la marge les prévisions d’inflation 2023 pourraient être revues légèrement à la baisse en lien avec la forte baisse des prix des matières premières

 

Comme la semaine dernière avant la réunion de la BCE, la décision de la FED est très incertaine. Notre analyse est que la FED (comme la BCE) espère que les mécanismes (BTFP, USD swap lines) mis en place dernièrement pour contenir les risques s'avèrent efficaces. A ce jour, si l'on exclut les banques régionales américaines et le marché AT1 en Europe, les marchés financiers ne montrent pas un niveau de stress élevé. Avec un niveau d'inflation toujours très élevé et un taux de chômage très bas, la Fed choisira à notre avis de procéder à un relèvement de 25 points de base. 

 

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3449 Tue, 21 Mar 2023 14:37:29 +0100 Credit Suisse et les banques européennes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/credit-suisse-et-les-banques-europeennes/ L’effondrement de trois banques américaines la semaine dernière a accéléré la crise de liquidité à laquelle Credit Suisse est confrontée. Mais qu’en est-il d’une contagion aux autres banques européennes et au système bancaire européen et mondial dans son ensemble ? Vous trouverez ci-dessous un résumé de l’analyse de notre responsable Crédit Investment Grade, Jérémie Boudinet. Contexte 

Depuis plusieurs années, Credit Suisse a été impliquée dans plusieurs scandales médiatisés, soulevant des questions quant à sa gouvernance d'entreprise et sa gestion du risque globale. Par conséquent, nous avons exclu Credit Suisse de nos fonds ouverts ou dédiés en raison de son historique d'incidents opérationnels majeurs et de controverses commerciales, qui ont révélé des lacunes dans sa gestion des risques. Bien que ces incidents diffèrent par leur nature et leur impact, leur accumulation suggère que des problèmes structurels ont longtemps persisté au sein de l’entreprise.

Credit SUISSE : une confiance ébranlée depuis Octobre 2022

QUE S’est-il passé depuis le 19 mars 2023 ?

Le 19 mars, tous ces éléments cités précédemment ainsi que le stress subi par la banque ces derniers jours, notamment suite à la faillite des banques régionales américaines, ont poussé la FINMA à donner son approbation à l'acquisition de Credit Suisse par UBS. Cette opération s'est soldée par l'achat de la banque pour 0,76 CHF par action, soit un montant total de 3 milliards CHF. Malheureusement, les détenteurs d'AT1 ont été durement touchés par cette décision, car la valeur de leurs titres est tombée à zéro.

Ce qui surprend ici et crée un précédent est le non-respect de la hiérarchie des créanciers. Contrairement aux actionnaires, les porteurs d'AT1 CoCos de Credit Suisse (15,8 milliards de francs) verront leurs titres totalement dépréciés. Les Cocos T2 quant à elles (1,5 milliard CHF) sont épargnés au même titre que les obligations senior de la HoldCo et de l'OpCo. Force est de constater que les instruments AT1 à "dépréciation permanente" offrent désormais une protection moindre que les obligations CoCos AT1  à "dépréciation temporaire" ou à "conversion en actions".

CONCLUSION

Credit Suisse a fait face à des difficultés qui ont débuté il y a plusieurs années et qui se sont aggravées ces derniers mois, notamment à la suite de l'effondrement de la SVB, qui a accéléré sa crise de liquidité. Afin d'éviter une défaillance du risque de contrepartie, la reprise de Credit Suisse par UBS est considérée comme la meilleure solution pour le système bancaire européen, car cela permet d'éliminer son maillon systémique le plus faible.

Cependant, cette crise nous rappelle qu'il y a encore des leçons à tirer. Le secteur bancaire a beaucoup évolué depuis la crise financière de 2008, avec des banques aujourd'hui beaucoup plus liquides et capitalisées qu'auparavant et des régulateurs plus réactifs en temps de crise. La pandémie de Covid-19 en est la preuve, car les gouvernements, les banques centrales et les régulateurs ont apporté des réponses appropriées pour soutenir le système bancaire et éviter une crise économique majeure.

Les banques sont désormais considérées comme une réponse à une crise plutôt que comme la cause de celle-ci.

Chaque résolution bancaire est différente et constitue en fin de compte une décision politique plutôt que financière. Les régulateurs ont la possibilité de contourner les textes de résolution si nécessaire (Les banques allemandes ont évité les renflouements ces dernières années pour HSH et NordLB, tandis que Monte dei Paschi a été nationalisée et recapitalisée une fois de plus). Dans le cas de Credit Suisse, elle a été vendue avec une possibilité de récupération pour les actionnaires, mais aucune pour les détenteurs d'AT1.

Enfin, comme nous l'avons souligné dans notre précédente note publiée la semaine dernière il est important de surveiller de près le secteur bancaire parallèle, également appelé "shadow banking". En cas de crise, les actifs illiquides et non cotés, tels que le capital-investissement et la dette privée, peuvent également avoir des impacts négatifs sur le marché. Il est donc crucial de prendre en compte ces actifs dans les évaluations des risques et les mesures de réglementation afin de maintenir la stabilité du secteur.

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news-3446 Tue, 21 Mar 2023 09:21:00 +0100 Thierry Molton et Guillaume Allard, nommés à la Direction Générale de La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/thierry-molton-et-guillaume-allards-nommes-a-la-direction-generale-de-la-francaise-real-estate-managers/ Paris, le 21 mars 2023 – La Française Real Estate Managers (REM) annonce la nomination de Thierry MOLTON et Guillaume ALLARD à la direction générale de la société de gestion, effective début avril 2023. Succédant à Marc-Olivier PENIN, ils se verront confier la codirection du pôle « Grand Public » de La Française REM, en charge de l’offre immobilière à destination des clients particuliers, incluant notamment les Sociétés Civiles de Placement Immobilier et l’offre développée en Unités de Compte à destination des assureurs ; le pôle « Institutionnel, France et International » de La Française REM restant sous la direction de David RENDALL. Ainsi, dans le cadre de cette nouvelle gouvernance, Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate Managers, sera entouré d’une équipe de direction expérimentée :

  • Pôle Grand Public
  • Thierry MOLTON, prochainement nommé Directeur général de La Française REM, en charge des Actifs Immobiliers Grand Public (volet « Immobilier »), incluant les activités d’investissement, d’asset management (y compris technique et locatif) et de cessions d’immeubles pour l’ensemble des classes d’actifs ;
  • Guillaume ALLARD, prochainement nommé Directeur général adjoint de La Française REM, en charge des Fonds et Finances Grand Public (volet « Financier »), incluant notamment le fund management, les financements immobiliers, la comptabilité (fonds et immeubles), le reporting et la communication financière des produits immobiliers ;
  • Pôle Institutionnel, France et International  
  • David RENDALL, Directeur général adjoint de La Française Real Estate Managers, en charge de l’offre de gestion de mandats immobiliers, fonds thématiques et club-deals dédiés aux institutionnels sur des stratégies Core/Core+, Value Added et Opportunistes.

« Marc-Olivier PENIN aura accompagné La Française REM pendant plus de 20 ans dans l’expansion de son expertise en immobilier sur le pôle « grand public » et je tiens à le remercier pour son engagement tout au long de ces années. D’un trio opérationnel – Thierry, Guillaume et Marc-Olivier, ayant collaboré de longue date ensemble notamment sur les solutions immobilières novatrices comme les unités de compte – nous passerons, avec cette nouvelle gouvernance, à un tandem qui me rapportera en direct et qui a toute ma confiance pour assurer la continuité dans la qualité de l’offre immobilière à destination de la clientèle grand public. » souligne Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate Managers.

Leurs parcours

  • Thierry MOLTON, 55 ans, prochainement nommé Directeur général, La Française Real Estate Managers, possède vingt-huit ans d’expérience dans l’immobilier.

    Il a débuté sa carrière comme auditeur en 1995 avec sein du cabinet d’audit et d’expertise comptable Vivian et Associé dans le Département Immobilier avant de rejoindre la Foncière Bellecour en qualité de Directeur Financier.
    Trois ans plus tard, avec Management Business Property, Thierry est devenu Directeur des Opérations Immobilières et Financières. En 2008, Thierry a rejoint La Française Real Estate Managers d’abord en tant que Directeur des Etudes et Portefeuilles Immobiliers puis en qualité de Directeur de l’Asset Management.  Thierry est actuellement Directeur des Actifs Immobilier Entreprise de La Française Real Estate Managers, poste qu’il occupe depuis 2020.
    Thierry Molton est titulaire du Diplôme d’Expertise Comptable.
  • Guillaume ALLARD, 38 ans, prochainement nommé Directeur général adjoint, La Française Real Estate Managers, a seize d’expérience dans l’immobilier. 
    Il a débuté sa carrière en 2007 avec DTZ Eurexi en qualité de Responsable de mission puis a rejoint La Française Real Estate Managers en 2011, d’abord comme gérant de portefeuille immobilier puis en tant que gérant de fonds immobilier. En 2017, il est promu Directeur Fund Management SCPI. Guillaume occupe la fonction de Directeur Finances Fonds Retails depuis 2021.
    Guillaume est diplômé de l’Ecole spéciale des Travaux publics, du Bâtiment de le l’Industrie.
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news-3445 Wed, 15 Mar 2023 09:21:25 +0100 Une inflation sous-jacente top élevée vs. un risque financier croissant : le dilemme de la BCE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-inflation-sous-jacente-top-elevee-vs-un-risque-financier-croissant-le-dilemme-de-la-bce/ Par François Rimeu, stratégiste senior à La Française AM Jusqu'à milieu de la semaine dernière il n’y avait que peu de doutes concernant le prochain mouvement de la Banque centrale européenne (BCE) : elle allait relever ses taux d'intérêt de 50 points de base (pb). La question est dorénavant de savoir si la faillite de trois banques régionales américaines pourrait les amener à adopter une approche plus neutre. La BCE publiera par ailleurs ses nouvelles projections macro-économiques qui devraient faire état d’une inflation plus faible en 2023 mais d’une inflation sous-jacente plus élevée et d’une croissance revue à la hausse.

Nos principales anticipations :

  • La BCE augmentera ses taux d'intérêt directeurs de 50 points de base, portant le taux de dépôt à 3,0 %, en dépit des turbulences actuelles que traversent les banques régionales américaines.

  • Christine Lagarde devrait affirmer une nouvelle fois que la priorité du Conseil des gouverneurs (CG) est de ramener l'inflation à l'objectif de 2 %.

  • La « Forward Guidance » sera probablement aussi neutre que possible, toutes les options restant ouvertes, en particulier compte tenu des divisions visibles au sein du Conseil des gouverneurs et de la situation des banques régionales américaines.

  • Mme Lagarde devrait souligner que le conseil ajustera la trajectoire de sa politique en fonction des données entrantes sur l'inflation, de l'évolution des perspectives et de la répercussion de sa politique monétaire.

  • La BCE devrait opter pour des commentaires moins positifs quant à leur lecture du risque inflationniste suite aux derniers chiffres qui ont surpris à la hausse ("les risques qui pèsent sur les perspectives d'inflation sont également devenus plus équilibrés").

  • La BCE ne devrait pas modifier les paramètres du resserrement quantitatif

  • Projections macro-économiques :

    • La croissance devrait être revue à la hausse en 2023 (de 0,5 % à 0,7 %) mais à la baisse en 2024 (de 1,9 % à 1,5 %). Pour 2025, nous prévoyons que la croissance restera proche de la croissance potentielle, soit environ 1,8 %.

    • L’inflation devrait être revue globalement à la baisse en raison des mouvements sur l’Euro, sur le prix du pétrole et sur les taux. Les anticipations 2025 devrait être plus proche de la cible de la BCE à 2.1% vs 2.3% lors du dernier comité

    • L’inflation sous-jacente devrait être elle revue à la hausse en 2023 (de 4,2 % à 4,6 %) et restera globalement inchangée au cours des deux prochaines années, à 2,8 % en 2024 et 2,3 % en 2025.

À l'heure où nous écrivons ces lignes, le marché ne s'attend plus à une hausse de 50 points de base de la part de la BCE (33 points de base). Les débats devraient être tendus entre les partisans d’une politique monétaire agressive et ceux dont la lecture est plus neutre, en particulier après les évènements de crédit survenus autour de certaines banques régionales américaines. La BCE a le choix entre adopter une approche prudente en raison des risques financiers actuels (Credit Suisse par exemple) et ne monter les taux que de 25bps, ou considérer que ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis n’a que peu d’impact sur le système bancaire Européen et donc poursuivre son cycle de resserrement en montant les taux de 50bps en raison d’un risque inflationniste en augmentation depuis le dernier comité. Beaucoup d’incertitudes, beaucoup de volatilité à attendre. Il nous semble plus probable que la BCE monte les taux de 50bps, tout en optant pour une « Forward Guidance » la plus neutre possible.

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3443 Tue, 14 Mar 2023 17:46:14 +0100 Note Info - Faillites Bancaires aux États-Unis /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-info-faillites-bancaires-aux-etats-unis/ Les faillites bancaires aux États-Unis et les prochains dominos à tomber : les marchés financiers ne regardent pas dans la bonne direction 1/ Que s'est-il passé ?

a)    L'histoire d'une exposition au système bancaire parallèle et d'une concentration des déposants

Le système bancaire américain se compose de plus de 4 000 établissements de crédit, dont l'écrasante majorité détient moins de 10 milliards de dollars d'actifs. La surveillance réglementaire diffère évidemment selon que l'on est JPMorgan Chase (plus de 3 600 milliards de dollars d'actifs fin 2022) ou une petite banque régionale. Les exigences de fonds propres sont moins élevées pour les petites banques, qui ne sont pas tenues de respecter plusieurs contraintes en matière de liquidités. Pourtant, il ne s'agit pas ici d'une défaillance de la réglementation. 

C'est l'histoire d'une croissance rapide et d'une concentration des déposants qui se termine mal pour trois banques :

  • Silvergate Bank (SI) : ses actifs sont passés de 2 milliards de dollars à 16 milliards de dollars entre 2019 et 2021, avant de retomber à 11 milliards de dollars à la fin de l'année 2022. Cette banque centrée sur les cryptomonnaies a annoncé jeudi qu'elle mettait fin à ses activités et liquidait la banque, qui est en proie à des turbulences financières depuis l'effondrement de la bourse de cryptomonnaies FTX. À la suite d'une ruée bancaire au quatrième trimestre, Silvergate s'est appuyée sur la Federal Home Loan Bank of San Francisco pour une injection de 4,3 milliards de dollars, ce qui, à la fin du trimestre, représentait la quasi-totalité de ses actifs.
  • Signature Bank (SBNY) : ses actifs sont passés de 50 milliards de dollars à 118 milliards de dollars entre 2019 et 2021. Ils étaient beaucoup plus importants que ceux de la Silvergate Bank, aujourd'hui disparue. Suite à la disparition de la Silicon Valley Bank et de la Silvergate Bank, la Signature Bank a été fermée dimanche par son autorité de régulation. Tous les déposants de cette institution seront remboursés. Comme pour la résolution de la défaillance de la Silicon Valley Bank, aucune perte ne sera supportée par le contribuable.
  • Silicon Valley Bank (SVB) : ses actifs sont passés de 71 milliards de dollars à 211 milliards de dollars entre 2019 et 2021 et sont restés stables jusqu'à la fin de 2022. Comme son nom l'indique, la SVB accordait des prêts à des entreprises principalement basées dans la Silicon Valley, en mettant l'accent sur les prêts aux entreprises technologiques et en fournissant des services aux sociétés de capital-risque et de capital-investissement. Elle s'est rapidement développée pour devenir le 18e holding bancaire des États-Unis. Sur la période 2019-2021, la SVB a reçu d'importants dépôts de sociétés de capital-risque qu'il lui a fallu couvrir à l'actif. La direction a donc cherché à obtenir des rendements en achetant des obligations à long terme (bons du Trésor, titres adossés à des créances hypothécaires, etc.). La banque a commencé à perdre des dépôts lorsque les sociétés de capital-risque ont retiré des liquidités du capital d'exploitation, ce qui a poussé la direction à vendre certains de ses actifs à long terme. 
     

Il semble que ces actifs n'aient pas été correctement couverts, mais nous ne disposons pas d'informations suffisantes à ce jour.

Le 9 mars 2023, les actions de SVB Financial ont plongé de plus de 62 % après que la société a proposé une vente d'actions pour consolider son bilan qui avait subi une fuite des dépôts et une perte réalisée de 1,8 milliard de dollars sur la vente de titres. Selon un document réglementaire publié vendredi, les investisseurs et déposants ont tenté de retirer 42 milliards de dollars de la SVB jeudi... Une bonne vieille « ruée bancaire ». Malgré la bonne situation financière de la banque avant jeudi, l'organisme de surveillance californien a déclaré que la ruée bancaire « a rendu la banque incapable de s'acquitter de ses obligations à leur échéance » et qu'elle est désormais insolvable. La banque a ensuite été fermée par le département californien de la protection financière et de l'innovation et placée sous séquestre par la FDIC, ce qui constitue la plus grande faillite d'une banque américaine depuis la crise financière.

Dimanche soir, une déclaration commune du Trésor américain, de la Fed et de la FDIC a annoncé qu'« aucune perte liée à la résolution de la défaillance de la Silicon Valley Bank ne sera supportée par le contribuable ». En d'autres termes, tous les dépôts (même ceux qui ne sont pas assurés par la FDIC au-delà de 250 000 dollars) seront garantis. Toute perte subie par le fonds d'assurance-dépôts pour soutenir les déposants non assurés sera récupérée par une cotisation spéciale imposée aux banques. Les détenteurs de dettes subordonnées et d'actions perdront très probablement l'intégralité de leur investissement, tandis que les créanciers de premier rang non garantis pourront récupérer une partie de leurs avoirs (les obligations s'échangeaient à environ 40 cents par dollar à la clôture de vendredi, mais ce n'est pas une indication fiable de leur récupération finale).
 

Afin de contenir les retombées de ces faillites bancaires, la Fed a déclaré qu'elle créerait un nouveau programme de prêt pour les banques : le programme de financement à terme des banques (Bank Term Funding Program, ou BTFP). Ce mécanisme permettra aux banques d'obtenir des avances de la Fed pour une durée maximale d'un an en donnant en garantie des bons du Trésor, des titres adossés à des créances hypothécaires et d'autres titres de créance. Le fait d'autoriser les banques à nantir leurs obligations leur permet de faire face aux retraits de leurs clients sans avoir à vendre leurs obligations à perte, comme l'avait fait la SVB la semaine dernière. Les banques peuvent emprunter des fonds à hauteur de la valeur nominale des garanties qu'elles apportent, ce qui signifie que la Fed n'examinera pas les pertes potentielles non réalisées sur les obligations. 

Ce mécanisme, ainsi que la garantie que tous les déposants seront remboursés, sont des mesures très importantes pour assurer la sécurité du système bancaire américain.

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news-3440 Tue, 14 Mar 2023 17:57:00 +0100 Paris Porte de Versailles : ouverture d'un nouveau boutique-hotel par Suitcase Hospitality, développé par Mata Capital pour La Française Real Estate Managers (REM) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/paris-porte-de-versailles-ouverture-dun-nouveau-boutique-hotel-par-suitcase-hospitality-developpe-par-mata-capital-pour-la-francaise-real-estate-managers-rem/ Le groupe hôtelier Suitcase Hospitality vient d’ouvrir sa 9ème adresse dans le 15ème arrondissement de Paris, sur le boulevard Victor à moins de 300m du métro et du tramway (arrêt Porte de Versailles, Métro Ligne 12, T2, T3A). Initié en 2017 avec l’acquisition d’un terrain vacant par Mata Capital, le projet a été réalisé en partenariat avec Suitcase Hospitality et l’architecte Franck Michigan avant d’être cédé en VEFA à La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte d’un fonds collectif en immobilier, en 2020.  

L’hôtel de 105 chambres réparties sur 10 étages et 3 520 m2 est idéalement situé en face de l’entrée principale du Parc des Expositions. Il propose un concept hôtelier haut de gamme, imaginé par l’architecte d’intérieur Stéphanie Cayet, avec un bar à cocktail, un bar à manger et un spa avec piscine. L’immeuble répond aux derniers standards environnementaux avec sa façade en bois, son mur et son toit végétalisés, arrosés par les eaux pluviales et ses panneaux solaires qui fournissent 30 % de l’eau chaude de l’établissement. Autant de points forts qui lui ont valu la Certification BREEAM « Very Good ». Le Bellune Hotel & Spa est également en cours de certification par le label touristique Clef Verte / Green Key : le premier écolabel de tourisme durable international récompensant les établissements qui réduisent leur impact environnemental. 

« Pour cette deuxième collaboration avec Suitcase Hospitality, après une première acquisition de murs hôteliers en 2017, le Bellune Hotel & Spa illustre parfaitement notre stratégie d’investissement et de diversification dans la classe d’actifs de loisirs. Cet actif hôtelier (murs) concentre l’ensemble de nos convictions immobilières, une situation géographique centrale et stratégique, les dernières normes en matière de construction et de consommations énergétiques et opéré par un exploitant de premier rang, facteurs de soutien de la valorisation de l’actif et des revenus locatifs à long terme. Nous sommes ravis de cette collaboration avec Mata Capital et remercions Suitcase Hospitality pour leur confiance renouvelée », détaille Thierry Molton, Directeur Actifs Immobilier Entreprise de La Française REM.

« L’ouverture du Bellune Hotel & Spa signe la fin d’une très belle opération initiée en 2017 par nos équipes avec l’acquisition d’un terrain vacant de 414 m². Ses excellents fondamentaux, en particulier son emplacement stratégique en face de l’entrée principale du Parc des Expositions de la Porte de Versailles, nous ont convaincus d'acquérir le foncier pour y développer un hôtel haut de gamme, calé sur les derniers standards environnementaux et lifestyle. Ce projet illustre la volonté de Mata Capital de se positionner sur des actifs à forte valeur ajoutée avec sa double expertise investisseur-promoteur. Nous sommes heureux d'avoir pu bénéficier de l'expertise de Suitcase Hospitality dans la conception de l'hôtel et de la qualité de sa signature afin de pouvoir céder les murs à La Française Real Estate Managers », déclare Jean-Baptiste Avierinos, Directeur de la stratégie Valeur-Ajoutée de Mata Capital.

« Le Bellune Hotel & Spa est notre 9ème adresse et rejoint notre collection de boutique-hôtels parisiens et a ouvert deux nouveaux hôtels lifestyle ces dernières semaines. Notre groupe hôtelier français connait un fort développement depuis 2015. Notre parc a tout simplement doublé ces derniers 11 mois avec 5 nouvelles ouvertures, avec notamment des partenariats investisseurs durables comme La Française REM, investisseur institutionnel de premier plan qui nous accompagne ponctuellement sur la partie Murs de certains actifs hôteliers, et avec de nouvelles collaborations de confiance comme avec Mata Capital. Ce nouvel hôtel dans Paris, qui associe des espaces privatifs et communs de grand confort, illustre notre capacité à développer des hôtels, en France et en Europe, avec leur propre concept, sans enseigne internationale. Le Bellune Hotel & Spa incarne également notre volonté de développer, dès la conception et en exploitation, des hôtels plus durables et plus performant ; la certification clé verte 2023 étant en cours », conclut Jean-Baptiste Martin, co-fondateur de Suitcase Hospitality.
 

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news-3439 Fri, 17 Mar 2023 17:44:00 +0100 Next AM Fund - AVIS AUX ACTIONNAIRES DU FONDS /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/next-am-fund-avis-aux-actionnaires-du-fonds/ Luxembourg, le 17 mars 202 Cher Actionnaire,

Le conseil d'administration du Fonds (le « Conseil ») souhaite vous informer des changements envisagés dans le prospectus du Fonds (le « Prospectus »).

A. Définitions de « Jour ouvrable » et de « Jour d'évaluation »

« Jour ouvrable » est actuellement défini dans le Prospectus comme étant tout jour ouvrable où les banques sont normalement ouvertes au Luxembourg. Le Conseil a décidé de modifier la définition de « Jour ouvrable » comme suit : « tout jour ouvrable où les banques sont normalement ouvertes au Luxembourg et en France » avec effet à la date du présent avis. Suite à ce changement, la définition de « Jour d'évaluation » (actuellement chaque jour ouvrable au Luxembourg) sera également modifiée comme suit avec effet à la date du présent avis : « chaque Jour ouvrable au Luxembourg et en France ». Par conséquent, la négociation du Fonds ne sera possible que lorsque les banques seront ouvertes au Luxembourg et en France.
Ce changement n'aura aucune incidence sur la manière dont le Fonds est géré ni sur la stratégie d'investissement, l'allocation d'actifs ou le profil de risque.

B. Placements en dépôts à terme, titres de créance et instruments du marché monétaire

Le Prospectus a été mis à jour conformément aux dispositions relatives aux liquidités détenues à titre accessoire de la FAQ CSSF concernant la loi luxembourgeoise du 17 décembre 2010 relative aux organismes de placement collectif. Dans le cadre de cette mise à jour, il a été précisé que le Fonds peut investir jusqu'à 20 % de son actif net dans des dépôts à terme, dans des titres de créance et dans des instruments du marché monétaire à des fins de gestion de trésorerie ou pour atteindre ses 
objectifs d'investissement. Ces changements et clarifications n'auront aucune incidence sur la manière dont le Fonds est géré ni sur la stratégie d'investissement, l'allocation d'actifs ou le profil de risque.

***
Le prospectus sera mis à jour pour refléter, entre autres, les changements décrits dans le présent avis. Un exemplaire du prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur simple demande auprès du siège social du Fonds. 

Le Conseil

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news-3432 Wed, 08 Mar 2023 10:36:47 +0100 La spirale salaires-prix est-elle à redouter ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-spirale-salaires-prix-est-elle-a-redouter/ Par Audrey Bismuth, Global Macro Researcher, La Française AM La courbe de Philipps mise en évidence par l’économiste néo-zélandais William Phillips en 1958 illustre une relation empirique négative entre le taux de chômage et l’inflation. La corrélation négative entre le chômage et l’inflation se transmet par les salaires, dont les variations tendent à se transmettre à celle des prix à la consommation. Le pouvoir de négociation des salariés se renforce si la main d’œuvre disponible est limitée, c’est-à-dire si le chômage est faible et les tensions dans les capacités productives sont élevées. Toutefois, cette corrélation est devenue moins évidente depuis les années 1990 dans de nombreux pays. Les raisons sont multifactorielles. 

Après la Grande Récession de 2008-2009, aux Etats-Unis, la baisse du taux de chômage n’a pas entraîné une accélération significative des salaires. Selon le Bureau of Labor Statistics (BLS), le taux de chômage est passé de 10% à moins de 4% avant la pandémie de Covid-19 tandis que le taux de croissance des salaires est resté stable, autour de 2% sur la période 2009-2015 avant de progresser vers 3% sur la période 2016-2019. Cette relation négative moins marquée entre chômage et salaires pourrait laisser supposer des surcapacités plus importantes que ne le laissaient entrevoir les taux de chômage. En mars 2018, en France, une étude de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) a indiqué que le coefficient de corrélation entre les évolutions salariales et le chômage aux Etats-Unis a même été positif entre 2011 et 2015. Cette analyse a conclu que le « chômage joue sur les fluctuations des salaires mais la productivité demeure un déterminant majeur à long terme ». La faiblesse persistante de la production par heure travaillée peut réduire la rentabilité des entreprises et, à terme, peser sur la croissance des salaires, les sociétés se montrant moins disposées à accorder des augmentations rapides des rémunérations. En septembre 2017, une recherche du Fonds Monétaire Internationale (FMI) a également indiqué que la progression du temps partiel subi (c’est-à-dire les personnes qui souhaiteraient travailler davantage) et un recours plus élevé au travail temporaire limitaient la progression des salaires. Les autres raisons fréquemment citées sont l’automatisation, la baisse des anticipations de croissance à moyen terme, la croissance du secteur des services et la hausse de l’offre de main-d’œuvre dans un contexte de mondialisation qui augmente la concurrence entre les entreprises, notamment depuis l’entrée de la Chine à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) dans les années 2000. 

La pandémie de Covid-19 a par ailleurs modifié l’évolution des relations salariales au sein des entreprises étant donné les évolutions sous-jacentes de l’économie mondiale. La crise sanitaire, au travers des plans de relance massifs, a accéléré le déséquilibre entre l’offre et la demande sur le marché du travail. Actuellement, aux Etats-Unis, il y a 4,7 millions d’emplois disponibles de plus qu’il n’y a de personnes pour les combler (Bureau of Labor Statistics, 11/2022). Cet écart était de 1 million de personnes avant 2019. Le nombre croissant d’employeurs ayant de la difficulté à recruter résulte du déséquilibre grandissant entre les compétences, les intérêts et l’expérience des demandeurs d’emploi et les postes que les employeurs cherchent à pourvoir. Selon Lightcast (12/2022), plus de 2 millions d’américains ne sont plus sur le marché du travail étant donné la baisse de l’immigration, la retraite précoce de la génération des baby-boomers et le vieillissement de la population (selon le Census bureau, les Américains âgés de plus de 65 ans représenteront 21% de la population active d’ici 2035). Il faudra donc probablement du temps pour les remplacer ou les faire revenir sur le marché de l’emploi d’autant plus si l’on considère le transfert de richesse significatif de la génération des baby-boomers vers la Génération Y (millennials) estimée à 68 trillions de dollars par une étude réalisée en octobre 2019 par la société Coldwell Banker. Toutefois, la baisse substantielle de l’épargne excédentaire accumulée pendant la pandémie dont les deux tiers ont déjà été utilisés (une fois ajustée de l’inflation) selon les stratégistes d’Alpine Macro, devrait conduire les Américains à revenir sur le marché du travail. Ce sont par ailleurs les jeunes et les emplois les moins qualifiés qui sont à l’origine de la croissance des salaires et du maintien du taux de chômage à un niveau historiquement bas. Le taux de participation pour les 20-24 ans reste 1,7 point en dessous de son niveau prépandémie et les salaires chez les 16-24 ans ont bondi de plus de 12% selon le tracker des salaires de la Fed d’Atlanta (Janvier 2023), tandis que les salaires ont progressé de 6,3% au global. De plus, l’amélioration des conditions du marché du travail profite davantage aux salariés les moins bien rémunérés. Ayant moins d’alternatives que les salariés mieux rémunérés, leur pouvoir de négociation est renforcé. Le tracker des salaires de la Fed d’Atlanta indique que les rémunérations chez les salariés les moins bien qualifiés ont augmenté de 6,6% en janvier par rapport à l’année précédente tandis qu’il a progressé de 6,1% pour les salariés les mieux qualifiés.

Si la relation négative entre chômage et inflation n’est pas vérifié en tout point, la hausse agressive des taux d’intérêt, principal outil des banques centrales dans la lutte contre l’inflation, est-elle donc complètement justifiée puisqu’elle pourrait conduire l’économie mondiale en récession et à des pertes d’emplois inutiles ? Une spirale salaires-prix, tant redoutée par les banquiers centraux, est-elle susceptible de s’installer durablement ? 

Dans son World Economic Outlook d’octobre 2022, l’analyse du FMI portant sur des situations analogues à celle de 2021, où l’inflation augmentait et la croissance des salaires était positive mais les salaires réels et le taux de chômage stagnaient ou reculaient a été rassurante : une accélération durable des salaires et des prix est peu probable. Selon le FMI, « trois facteurs se conjuguent pour maîtriser ce risque : les chocs sous-jacents sur l’inflation ne viennent pas du marché du travail, la baisse des salaires réels contribue à réduire les tensions sur les prix et les banques centrales mènent une politique agressive de resserrement de leur politique monétaire ». Le dernier rapport de l’International Labour Organization (ILO) a également indiqué que « l’écart constaté entre l’évolution des salaires et celle de la productivité du travail dans les pays à revenu élevé continue à se creuser, la productivité du travail ayant augmenté au premier semestre 2022 alors que les salaires réels ont, quant à eux, diminué. Dans de nombreux pays, il semblerait donc envisageable d’augmenter les salaires sans pour autant craindre de provoquer une spirale salaires-prix ». Cette étude précise qu’en 2022, l’écart entre la croissance de la productivité et celle des salaires a atteint son point le plus haut depuis le début du XXIe siècle, avec une croissance de la productivité supérieure de 12,6 points de pourcentage à celle des salaires. Enfin, des économistes soulignent que la baisse de la population active est un phénomène désinflationniste à long terme. La croissance des revenus étant plus faible, les dépenses de consommation devraient baisser et le marché du travail se rééquilibrer au travers d’un taux de chômage d’équilibre naturel plus bas (NAIRU, Non Accelerating Inflation Rate of Unemployment, c’est à dire le niveau minimal de chômage qui n’accélère pas l’inflation). Le NAIRU a baissé graduellement depuis la fin des années 1980, de 6,3% à 4,4% actuellement. Il devrait fléchir vers 4,25% d’ici 2032 selon le Congressional Budget Office.

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. En fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3429 Wed, 08 Mar 2023 09:55:12 +0100 La Française Real Estate Managers investit dans le pôle santé de la « Bauer Box », nouveau lieu de vie ouvert à tous, à Saint-Ouen (93) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-investit-dans-le-pole-sante-de-la-bauer-box-nouveau-lieu-de-vie-ouvert-a-tous-a-saint-ouen-93/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF AVENIR SANTE, a acquis en VEFA un pôle santé d’une surface totale de 1 937 m² au sein du développement urbain la « Bauer Box », à Saint-Ouen (93). Située dans une zone en développement, derrière la tribune nord du stade Bauer, à proximité du futur CHU Saint-Ouen Grand Hôpital Nord et à 10 minutes des stations de métro Mairie de SaintOuen (Métro ligne 14) et Garibaldi (Métro ligne 13), la « Bauer Box » est au cœur d’un projet qui consiste à restructurer le quartier du stade Bauer et à aménager des passages urbains piétonnisés et ouverts au public pour créer un véritable concentré d’usages et de services. La « Bauer Box » est un programme mixte de 30 000 m2, comprenant 7 000 m² de bureaux, 5 000 m2 d’école, un coliving de 334 chambres, des commerces, des restaurants et un pôle de santé pluridisciplinaire, développé par le Groupe REALITES, lauréat en juin 2019 du concours Imaginons la Métropole du Grand Paris.

Les locaux objets de la vente, comprenant également un commerce de santé de 101 m2 en pied d’immeuble et quatre emplacements de stationnement équipés de bornes de recharge pour véhicules électriques, répondront aux derniers standards environnementaux avec le RDC et le premier étage labellisés HQE Bâtiment Durable Tertiaire niveau Excellent et BREEAM International New Construction niveau Excellent et l’espace dédié en sous-sol certifié BREEAM niveau Very Good. Les parties communes de l’ensemble immobilier comprendront un local à vélo avec douches et casiers, des toitures végétalisées, des installations propices à la faune ainsi que 600 m2 d’espaces verts. La livraison est prévue au 31/12/2025.

Le pôle santé proposera un centre médical pluridisciplinaire (R+1) ainsi qu’un centre de sportsanté (R-2) offrant des séances de kinésithérapie professionnel, d’ostéopathie, de médecine de sport. Le tout sera loué à Vista Santé, marque d’usage du Groupe REALITES, dans le cadre d’un bail ferme de 12 ans. Vista Santé organise, avec des professionnels de santé tels que médecins du sport, cardiologues et kinésithérapeutes, des parcours santé personnalisés autour de la prévention par l'activité physique adaptée, la réathlétisation, la récupération après blessure, etc. REALITES est un groupe de développement territorial qui, résolument tourné vers l’humain, joue un rôle de passerelle entre des concepts d’usage innovants et des solutions immobilières.

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news-3427 Mon, 06 Mar 2023 10:51:00 +0100 Groupe La Française nomme Guillaume Cadiou directeur général et membre du directoire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-groupe-la-francaise-nomme-guillaume-cadiou-membre-du-directoire-et-directeur-general/ Paris, le 6 mars 2023 – La Française, groupe de gestion multi-expertises renforce sa gouvernance et annonce l’arrivée de Guillaume Cadiou au poste de Directeur Général et membre du Directoire de Groupe La Française. Guillaume Cadiou prend ses fonctions ce jour et sera basé à Paris. Il secondera Patrick Rivière, Président de Groupe La Française, dans le pilotage de l’ensemble des activités du groupe et aura la responsabilité de mener à bien la constitution du pôle de gestion multi-boutiques pour compte de tiers de Crédit Mutuel Alliance Fédérale [aux cotés d’Eric Charpentier, Directeur Général adjoint de CIC et Directeur Général de la Caisse Régionale de Crédit Mutuel Nord Europe].

Cette nomination confirme les ambitions de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, annoncées en septembre 2022, d’accélérer la création d’une nouvelle ligne métier dédiée à l’Asset Management, qui regrouperait avec La Française, toutes les structures1 de gestion du groupe bancassureur au sein d’un modèle multiboutiques. Il constituerait ainsi un acteur majeur dans le paysage français de l’Asset Management, représentant 166Md€ sous gestion (au 31/12/2022), présent partout en Europe, actif en Asie et proposant une large gamme d’expertises complémentaires incluant les actifs côtés, les actifs réels et la gestion alternative.

Patrick Rivière, Président de Groupe La Française, déclare : « Je suis très heureux et très fier d’accueillir Guillaume dans l’équipe de direction, il nous apportera un regard neuf et complémentaire et nous fera bénéficier de sa très riche expérience dans les domaines public, industriel et financier. Pour moi, Guillaume possède tous les atouts nécessaires pour accompagner dans le temps ce projet puissant et ambitieux. »

Guillaume Cadiou, Directeur Général et membre du Directoire de Groupe La Française: « Je suis ravi de rejoindre La Française et prêt à relever ce nouveau challenge au sein de Crédit Mutuel Alliance Fédérale qui porte des valeurs qui me sont chères en ayant adopté le statut d’entreprise à mission. Ma priorité sera d’apporter ma contribution à la définition de l’organisation la plus efficace et d’assurer rapidement l’ascension de ce nouveau champion français de la gestion d’actifs, incluant les expertises reconnues des différentes maisons de gestion du groupe. »

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news-3426 Fri, 03 Mar 2023 09:16:04 +0100 Marché immobilier d’entreprise européen – une polarisation des marchés accentuée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-europeen-une-polarisation-des-marches-accentuee/ Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers Dans un environnement financier volatil, les marchés de l’investissement européens et particulièrement français, ont bien résisté et affichent des volumes d’investissement solides. Ce volume annuel cache cependant une nette décélération du marché en fin d’année. Le resserrement de la politique monétaire des banques centrales afin de freiner une inflation galopante s’est accompagné d’une hausse des taux obligataires qui a poussé à la hausse les taux de rendement immobiliers. Face à ce nouvel environnement les investisseurs ont fait preuve d’attentisme et ne se positionnent plus que de manière extrêmement sélective depuis l’été. Pour autant, le marché n’a pas connu une décompression généralisée significative des taux mais plutôt des ajustements différenciés selon la qualité des actifs, leur taille, leur occupation locative et leur nature.

En 2023, le rendement locatif devrait être le principal moteur de la performance des actifs immobiliers. La croissance du revenu locatif trouvera sa source dans (i) des indices de loyers corrélés, dans la majorité des cas, à l’inflation, (ii) des segments de marché où la demande est supérieure à l’offre, (iii) une amélioration des caractéristiques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) des actifs pour répondre aux nouveaux usages ou aux nouveaux standards réglementaires.

Les acteurs ayant traditionnellement recours à l’effet de levier devraient être particulièrement affectés par le nouvel environnement financier alors que les investisseurs riches en fonds propres pourraient en profiter pour saisir des opportunités
En 2023, la recherche de résilience des portefeuilles devrait être au cœur des stratégies des investisseurs qui poursuivront la stratégie de diversification de leur patrimoine au profit des actifs alternatifs (santé, résidentiel géré) et des marchés en régions qui présentent un profil plus défensif.

Volume d’investissement en léger recul sur un an

En Europe, le volume d’investissement en immobilier d’entreprise sur l’année 2022 totalisait près de 245 milliards d’euros fin décembre 2022, avec en tête le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France avec 58 Mds €, 52 Mds € et 29 Mds € respectivement.  Le volume d’investissement est en léger recul (-4%) sur un an dû à un 4T particulièrement atone. En effet, les investisseurs ont fait preuve d’un attentisme marqué, faute de convergence entre vendeurs et acquéreurs sur les prix et particulièrement pour les classes d’actifs où les taux de rendement étaient les plus faibles.

Ainsi, les segments de bureaux et de la logistique affichent des baisses de leur volume d’investissement respectives de -14% et -7% sur un an. Les commerces et les actifs de diversification affichent quant à eux des hausses de 23% et 2% respectivement.
La baisse du volume global d’investissement en Europe cache des évolutions contrastées selon les pays : la baisse significative de l’Allemagne (-17%) et le Royaume-Uni (-5%) cache un volume en légère hausse en France (+2%) et des hausses plus marquées en Belgique (+115%), Espagne (+35%) et Irlande (+20%). 

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news-3425 Thu, 02 Mar 2023 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers loue à Paco Rabanne, près de 1 300 m2 dans l’immeuble sis rue François 1er, Paris 8ième /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-loue-a-paco-rabanne-pres-de-1-300-m2-dans-limmeuble-sis-rue-francois-1er-paris-8ieme/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte d’un investisseur institutionnel français, a le plaisir d’annoncer la location, dans le cadre d’un bail de 9 ans, de 1 280 m2 de bureaux dans l’immeuble situé au 17 rue François 1er dans le 8ième arrondissement de Paris à Paco Rabanne (Puig), acteur incontournable du secteur de la mode et de la beauté. L’immeuble bénéficie d’un emplacement stratégique au cœur du triangle d’or dans un environnement mixte tertiaire et commercial, plébiscité par les enseignes de luxe. Situé près de l’angle de l’avenue Montaigne et de la rue François 1er, l’immeuble est à proximité de l’avenue des Champs-Elysées et des transports en commun (Ligne 1 & 9, arrêt Franklin D. Roosevelt). Restructuré en 2012 puis acquis par La Française REM en 2015, l’ensemble immobilier à usage mixte (bureaux et commerces) développe une surface totale de 1 846 m2 en R+7, dont 1 280 m2 de bureaux en étage. La société de gestion prévoit des travaux de rénovation en 2023, notamment l’amélioration du Chauffage, Ventilation, Climatisation (CVC) ainsi que la création d’une Gestion Technique du Bâtiment (GTB). Cette dernière anticipant la date cible du 1er janvier 2025 fixée par le décret BACS (Building Automation & Control Systems pour la mise en place d’un système d’automatisation et de contrôle des bâtiments, permettant une meilleure maîtrise de la performance énergétique du bâtiment. L’immeuble est également certifié BREEAM In-Use.

Xavier Barrayat, Directeur Asset & Fund Management de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, a déclaré : « Nous avons une approche durable de la gestion des actifs qui favorise la résilience de nos actifs immobiliers et protège ainsi la valeur sur le long terme. C’est dans ce sens que nous avons mis en place un plan de travaux articulé notamment autour de la sensibilisation, la sobriété et l’efficacité énergétique. Nous remercions Puig pour leur confiance. »

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news-3423 Tue, 28 Feb 2023 15:51:44 +0100 Comment le vieillissement de la population europeenne façonne le marche de l'immobilier de sante /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-le-vieillissement-de-la-population-europeenne-faconne-le-marche-de-limmobilier-de-sante/ Par Jérôme VALADE, Responsable de l’immobilier de santé, LA FRANÇAISE REAL ESTATE MANAGERS Le paysage démographique européen ne cessant d'évoluer, la demande d'actifs de santé continue de croître

La santé est une niche du marché immobilier ; ce segment comprend généralement des immeubles, des bureaux et des campus loués à des exploitants fournisseurs de services médicaux ou à des institutions liées au secteur de la santé. Jusqu'à récemment, les actifs de santé nécessitaient des équipements techniques spécifiques. Cependant, la croissance de la demande pour des actifs en ligne avec les nouveaux usages dans le domaine de la santé permet de créer des opportunités pour des projets de conversion, tels que la réaffectation d'espaces commerciaux et de bureaux existants. Les fournisseurs du secteur de la santé optent de plus en plus pour des biens en location, détenus et gérés par des tiers, ce qui leur permet de préserver leur capital pour le développement de leur cœur de métier.  

Adapter le paysage immobilier à une population vieillissante

Le vieillissement de la population associé à une espérance de vie plus longue est une tendance à long terme observée dans toute l'Europe. Dans les États membres de l'Union européenne (UE), la population âgée de 65 ans et plus devrait atteindre 129,8 millions d'ici 2050 , une augmentation significative par rapport aux 90,5 millions en 2019. Le segment des 75 à 84 ans devrait quant à lui augmenter de 56,1 % . Plus préoccupant encore est le nombre des personnes âgées de 85 ans et plus, qui devrait plus que doubler (12,5 millions en 2019 contre 26,8 millions en 2050 ). D'un autre côté, les données suggèrent une baisse de 13,5 %  des personnes âgées de moins de 55 ans d'ici 2050 dans les États membres de l'UE, ce qui implique une diminution progressive de la population active. 

Avec le vieillissement de la population couplé à un allongement de l'espérance de vie, on doit s’attendre à une nouvelle demande pour des solutions d’hébergement dotées de services, mais aussi à une augmentation du nombre de pathologies liées à la vieillesse, ainsi qu’à une hausse du nombre de maladies chroniques et donc, globalement, à un accroissement de la demande de soins. Mais où en sont les États membres de l'Union européenne en termes d'infrastructures adaptées aux besoins d'une population vieillissante ? Naturellement, cette dernière étant confrontée à un risque accru de mobilité réduite et à des besoins de santé plus élevés, les environnements urbains offrent de nombreux avantages susceptibles d'améliorer la vie des séniors : un meilleur accès aux transports en commun, une plus grande variété d'options de logement et une proximité des services publics et commerciaux. Au niveau international, l'Organisation mondiale de la santé pour les villes amies des aînés (AFC, pour « Age Friendly Cities ») aborde la question, tout comme les initiatives étatiques comme le Plan Vieillissement et Solidarités (2003 à 2006) et le Plan Solidarité grand âge (2007 à 2012) qui ont stimulé l'investissement dans la construction et la rénovation des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et le développement de services de soins de longue durée.  Cependant, les gouvernements seuls ne seront pas en mesure de financer les coûts galopants associés aux soins de santé, notamment en considérant une diminution de la population en âge de travailler. Des capitaux privés sont nécessaires pour combler le fossé entre la baisse de l'offre et l'augmentation de l'utilisation des services de santé. 

Le profil défensif des actifs de santé

D'une manière générale, les actifs de santé (résidences seniors, EHPAD, cliniques) présentent l'avantage d'être non cycliques. Ils présentent un profil plus défensif, basé sur des fondamentaux solides et des tendances à long terme, à savoir des changements structurels de la démographie, des modes de vie alternatifs et une offre globale d'actifs opérationnels insuffisante. Le marché de l'immobilier de santé est encore relativement modeste en termes de volume d'investissement. L'offre reste un obstacle à l'augmentation du volume d'investissement et a poussé les investisseurs à rechercher des opportunités au-delà de leurs marchés nationaux.

Les actifs de santé continuent d'offrir un profil risque/rendement relativement compétitif et de représenter des opportunités de diversification de portefeuille. L'année 2022 a été marquée par un durcissement des politiques monétaires. La hausse des taux sans risque a mécaniquement fait grimper les rendements immobiliers, dans des proportions variables selon les actifs et les marchés. D'après notre observation du marché, les rendements de l'immobilier de santé résistent mieux que ceux des autres classes d'actifs immobiliers dans les principaux marchés européens ; l'offre limitée et largement régulée soutenant les valeurs des actifs de santé.  

Les stratégies d'investissement ESG, facteur porteur de l'immobilier de santé

Les stratégies d'investissement étant de plus en plus articulées autour de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance, les investisseurs recherchent naturellement des opportunités de diversification dans le segment de l'immobilier alternatif. L'importance croissante accordée à la santé, au bien-être et à la qualité de vie des personnes âgées constitue un facteur de soutien des actifs immobiliers de santé, tout comme la pénurie structurelle accentuée par le vieillissement de la population. 
 

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news-3422 Thu, 16 Feb 2023 09:23:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble situé à Izon (33) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-situe-a-izon-33/ La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Salini Immobilier un immeuble d’activités situé Route d’Anglumeau à Izon (33), en périphérie nord-est de Bordeaux. L’actif est implanté au sein du Parc d’Activités d’Anglumeau regroupant plus de 30 entreprises, et relié aux grands axes autoroutiers du secteur (A10, A89, A62 et A63).

Développé et réalisé par Salini Immobilier d’après une conception AXiomE Architecture et livré en novembre 2022, l’ensemble immobilier, comprenant deux bâtiments, est entièrement loué à Discac (spécialiste de meubles design de cuisine et salle de bain) dans le cadre d’un bail de 9 ans ferme. L’actif développe 8 380 m², dont 580 m² de bureaux et 7 800 m² de locaux d’activités, dispose d’une bonne performance énergétique et est pourvu d’un éclairage LED. Il offre également environ 7 800 m2 d’espaces verts, gérés de manière durable.

Cette acquisition, pour environ 9,9 millions d’euros, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Opportunité Immo.

La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le Cabinet Jeantet sur les aspects juridiques. Salini Immobilier a été conseillé par l’étude notariale 137 Université. Les deux parties ont été assistées par EOL.

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news-3421 Wed, 15 Feb 2023 10:04:35 +0100 Les politiques européennes en faveur du développement durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-politiques-europeennes-en-faveur-du-developpement-durable/ Depuis le 2 août 2022, une nouvelle réglementation impose aux intermédiaires financiers la prise en considération du caractère durable des investissements dans leurs propositions de financement. Ces préférences sont déterminées selon 3 axes :

  • Les investissements dans une activité économique qui contribue à un objectif environnemental et/ou social : « investissement durable » au sens du règlement européen –SFDR. Le règlement européen « SFDR » (Sustainable Finance Disclosure Regulation) impose également aux intermédiaires financiers de donner des informations claires sur les critères ESG des fonds qu’ils proposent à leurs clients. Ces derniers doivent être tenus informés dans quelle mesure les fonds qui leur sont proposés investissent dans des activités durables, sans par ailleurs causer de préjudice à d’autres objectifs environnementaux et/ou sociaux, tout en respectant les critères de bonne gouvernance.
  • Les investissements à enjeux climatiques et environnementaux (au sens du règlement européen « Taxonomie ») : Pour favoriser le développement durable et éviter le « greenwashing », l’Union Européenne a dressé une liste des activités vertes ou durables, qu’on appelle la taxonomie (ou parfois taxinomie). Cette classification permet d’identifier les activités vertes, de celles qui ne le sont pas. Une activité est classée comme durable si elle correspond à au moins l’un de ces six objectifs sans nuire aux cinq autres :

             o Atténuation du changement climatique ;
             o Adaptation au changement climatique ;
             o Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
             o Transition vers une économie circulaire ;
             o Contrôle de la pollution ;
             o Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

Aujourd'hui seuls les deux premiers objectifs ont été définis et quantifiés. Quasiment tous les secteurs d’activité seront à terme couverts par cette classification, sauf ceux incompatibles avec la sauvegarde l’environnement (comme la production de charbon par exemple) ou n’ayant pas d’impact (la plupart des activités de service).

  • Les investissements qui prennent en compte les principales incidences négatives (« principal adverse impacts » ou PAI en anglais). Il s’agit des impacts négatifs que ces investissements peuvent causer sur l’environnement mais aussi sur le plan social ou encore le respect des droits de l’Homme et la lutte contre la corruption.
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news-3420 Fri, 10 Feb 2023 10:38:41 +0100 Avis : modification du FCP Patrimoine Rendement Global, nourricier du compartiment La Française Rendement Global 2028 de la SICAV La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fcp-patrimoine-rendement-global-nourricier-du-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-de-la-sicav-la-francaise/ Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur de parts du FCP Patrimoine Rendement Global, ci-après le « Fonds », nourricier du compartimentLa Française Rendement Global 2028 de la SICAV La Française, ci-après le « Fonds maître » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds et du Fonds maître, a pris la décision de permettre au Fonds maître d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.

Cette modification qui sera effective le 15 février 2023 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com. 

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news-3419 Fri, 10 Feb 2023 17:36:00 +0100 Avis : Fonds Commun de Placement « Crédit Opportunité » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-commun-de-placement-credit-opportunite/ Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur de parts du FCP « Crédit Opportunité », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net, ainsi que du change à terme.

Du fait d’introduire la possibilité de recourir à des options sur CDS, la méthode de calcul du risque global sera la méthode de la VaR absolue en lieu et place de la méthode de calcul de l’engagement : L’effet de levier indicatif (somme des nominaux des positions sur les contrats financiers utilisés) ne devrait pas dépasser 100 % de l’actif net du fonds.

Cependant, selon les circonstances, il est possible pour l’OPC d’atteindre un niveau de levier plus élevé.

Ces modifications qui seront effectives le 15 février 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés. Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence.

Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3418 Fri, 10 Feb 2023 17:33:00 +0100 Avis : Fonds Commun de Placement « La Française Sub Debt » (FR - FR) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-commun-de-placement-la-francaise-sub-debt-fr-fr/ Avis : Fonds Commun de Placement « La Française Sub Debt » Madame, Monsieur, 

Vous êtes porteur de parts du FCP « La Française Sub Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. 

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’investir dans des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. 

Cette modification apportée à la documentation règlementaire du Fonds n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés. 

La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 15 février 2023. 

Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées. 

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds « La Française Sub Debt » disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3414 Fri, 10 Feb 2023 17:16:00 +0100 Avis : Fonds Commun de Placement « La Française Sub Debt » (FR - LU) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-commun-de-placement-la-francaise-sub-debt-fr-lu/ Avis : Fonds Commun de Placement « La Française Sub Debt » Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur de parts du FCP « La Française Sub Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’investir dans des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. 

Cette modification apportée à la documentation règlementaire du Fonds n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 15 février 2023. 

Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds « La Française Sub Debt » disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3413 Fri, 10 Feb 2023 17:13:00 +0100 Avis : Fonds Commun de Placement de droit français « La Française Sub Debt » (FR - BE) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-commun-de-placement-de-droit-francais-la-francaise-sub-debt-fr-be/ Avis : Fonds Commun de Placement de droit français « La Française Sub Debt » Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur de parts du FCP « La Française Sub Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’investir dans des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. 

Cette modification apportée à la documentation règlementaire du Fonds n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.

La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 15 février 2023. 

Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. 

Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

Le prix des parts du FCP est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informationsclés pour l’investisseur du Fonds « La Française Sub Debt » disponible sur le site www.fundinfo.com.

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news-3407 Fri, 10 Feb 2023 15:35:00 +0100 Avis : modification des compartiments (BE - FR) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-des-compartiments-be-fr/ Avis : modification des compartiments « La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV de droit français « La Française » Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur d’actions des compartiments « La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV « La Française » , ci-après les « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre aux fonds d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. 

Cette modification qui sera effective le 15 février 2023 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement
et les frais des Fonds qui demeurent inchangés.

Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés du Fonds disponible sur le site www.fundinfo.com. 

Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. 

Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, 

Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles

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news-3405 Fri, 10 Feb 2023 15:25:00 +0100 Avis : modification des compartiments (FR - LU) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-des-compartiments-fr-lu/ Avis : modification des compartiments « La Française Global Coco, La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV « La Française » Madame, Monsieur,

Vous êtes porteur d’actions des compartiments « La Française Global Coco, La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV « La Française , ciaprès les « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre aux fonds d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. 

Cette modification qui sera effective le 15 février 2023 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais des Fonds qui demeurent inchangés.

Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.

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news-3398 Fri, 10 Feb 2023 09:53:00 +0100 Avis : modification des compartiments (FR - FR) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-des-compartiments-fr-fr/ Avis : modification des compartiments « La Française Global Coco, La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV « La Française » Madame, Monsieur, 

Vous êtes porteur d’actions des compartiments « La Française Global Coco, La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV « La Française , ciaprès les « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre aux fonds d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net. 

Cette modification qui sera effective le 15 février 2023 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement 
et les frais des Fonds qui demeurent inchangés. 

Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées. 

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com. 

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news-3396 Wed, 08 Feb 2023 09:55:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert une résidence services seniors a Amiens (80) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-une-residence-services-seniors-a-amiens-80/ La Française Real Estate Managers (REM),société de gestion immobilière avec 31 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/11/2022), a acquis « off-market » une résidence services seniors en VEFA de près de 5 500 m2,sise 4 rue Dejean à Amiens, la « Petite Venise du Nord ». Cette acquisition a été réalisée dans le cadre d’un mandat pour le compte d’un investisseur institutionnel danois. L’acquisition en VEFA, codéveloppée par Groupe Duval et Vinci Immobilier, porte sur une résidence services seniors (R+5) composée de 123 appartements, allant du studio au trois pièces, et prévoit un espace commun de 831 m2 et des locaux à vélos. La livraison est prévue en décembre 2024. La résidence, construite en « U » autour d’un espace vert, proposera, pour un loyer mensuel compétitif, une large gamme de services, incluant une surveillance 24 heures sur 24, des détecteurs intelligents de chute, un programme journalier d’activités, coiffeur, salle de sport, centre de fitness etc. La résidence affichera de bonnes performances énergétiques et environnementales avec les labels Biodiversity et Intairieur et une connexion au réseau de chauffage urbain.

Idéalement située à quelques minutes à pied de toutes les commodités de première nécessité et de la gare, la résidence est 100% pré louée à la société d’exploitation Happy Senior (Groupe Duval) dans le cadre d’un bail long terme.

Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Cette nouvelle résidence services seniors vient compléter le portefeuille de notre investisseur institutionnel de longue date. L’offre limitée en RSS couplée à la tarification compétitive viendront soutenir le taux d’occupation de la résidence et contribueront à la valorisation de l’actif. »

Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Lexfair (Virginie Blanc), Reed Smith (Carole Steimlé) et Egis.

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news-3393 Fri, 03 Feb 2023 09:04:39 +0100 Deepshikha Singh, de La Française, nommée au groupe consultatif de la Workforce Disclosure Initiative (WDI) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/deepshikha-singh-de-la-francaise-nommee-au-groupe-consultatif-de-la-workforce-disclosure-initiative-wdi/ Deepshikha SINGH, Deputy Head de La Française Sustainable Investment Research et Head of Stewardship pour La Française AM, a été nommée au sein du groupe consultatif de la Workforce Disclosure Initiative (WDI). La WDI vise à mobiliser les investisseurs pour veiller à ce que les entreprises communiquent des données comparables et complètes sur leurs pratiques en matière de gestion du personnel et contribuent à accroître la création d'emplois de qualité dans le monde. Portée par ShareAction, la coalition d'investisseurs de la WDI est composée de 63 institutions, représentant 10 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion.

« En tant que signataire et fervent supporter de la Workforce Disclosure Initiative, La Française AM cherche à engager les entreprises sur les enjeux clés qui impactent leur secteur et leurs effectifs, promouvant ainsi la transparence et améliorant la qualité des emplois. Les données recueillies par l'enquête annuelle de la WDI visent à combler les lacunes et le manque de données comparables des déclarations relatives au personnel ; elles permettent aux investisseurs d'aborder les problèmes collectivement et de manière systématique. Ces données sont également essentielles pour préparer les entreprises et les institutions financières à des réglementations de plus en plus strictes, telles que la taxonomie sociale dans l'UE. La WDI fournit aux entreprises des informations clés sur leurs propres pratiques et leur donne l'occasion unique de se comparer à leurs homologues. Elle leur permet ainsi d'identifier les lacunes en matière de données qu'elles n'avaient pas prises en compte auparavant. Cette analyse des lacunes et ce processus itératif utile constituent une préparation essentielle à toute forme de législation sur le personnel. Je suis ravie de jouer un rôle plus actif dans cette initiative et je remercie la WDI pour sa confiance », a conclu Deepshikha SINGH.

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news-3392 Wed, 01 Feb 2023 14:51:25 +0100 Commentaires et anticipations sur la Banque centrale européenne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/commentaires-et-anticipations-sur-la-banque-centrale-europeenne/ Pour l'instant, la BCE est déterminée à maintenir le cap, mais l'incertitude plane sur la suite. La Banque centrale européenne (BCE) devrait très probablement augmenter ses taux d'intérêt de 50 points de base (pb) lors de la réunion de février.

Nos principales attentes : 

  • La BCE devrait augmenter ses taux d'intérêt de 50 pb, portant le taux de dépôt à 2,5 % et le taux Refi à 3,0 %.
  • Le Conseil des gouverneurs (CG) devrait réaffirmer que les taux d'intérêt doivent atteindre un niveau suffisamment restrictif et rester élevés assez longtemps pour ramener l'inflation à son objectif de 2% en temps voulu.
  • Christine Lagarde devrait réitèrer l'approche " réunion par réunion " pour calibrer la politique monétaire. Elle devrait indiquer que le rythme du resserrement de la politique sera réévalué lors de la réunion de mars, car les projections économiques seront réactualisées.
  • Elle ne devrait donc pas donner de « forward guidance » précise pour la prochaine réunion
  • La BCE devrait par ailleurs annoncer les détails du plan de « Quantitative tightening » (QT), mais cela ne devrait pas avoir d’impact sur les marchés.

 

La BCE devrait donc essayer de conserver un message restrictif, dur, en insistant sur la nécessité de poursuivre la hausse des taux dans le futur. Il nous semble cependant qu’il sera difficile pour Christine Lagarde de s’engager sur une nouvelle hausse de 50bp lors de la réunion de mars au regard de l’évolution des prix de l’énergie, de l’Euro et de la dernières enquêtes auprès des banques (« Bank Lending Survey »). Les taux devraient donc marginalement baisser selon nous.

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3389 Tue, 31 Jan 2023 09:31:50 +0100 Repenser l’ « ESG » en 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/repenser-l-esg-en-2023/ La Française Sustainable Investment Research En 2022, les facteurs ESG sont restés à l'honneur. Compte tenu des turbulences économiques, de la guerre en Ukraine, de la persistance d'une inflation élevée, de l'évolution du sentiment des investisseurs, des politiques et de la réglementation à travers le monde, la sphère ESG a été marquée par l'actualité, les controverses et des débats. En tant qu'investisseurs durables , nous sommes pour ainsi dire coincés entre « l'enclume » (performance du fonds & génération d'alpha) et « le marteau » (évolution des réglementations et politiques). En 2023, nous nous attendons à ce que le terme générique « ESG » soit complètement repensé, prenant un tout nouveau sens bien au-delà des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance traditionnels.

E - pour Évolution, Engagement et Environnement 

Le terme « ESG » a été passé à la loupe en 2022. Alors qu'aux États-Unis, nous avons assisté à l'exacerbation d'une réaction hostile et conservatrice à l'investissement ESG, la hausse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires continueront de soulever la question de la priorité entre durabilité et sécurité à travers le monde. Mais ces évolutions ne doivent pas être considérées comme des obstacles à l'investissement ESG. C'est, à l'inverse, le catalyseur dont nous avons besoin pour le changement.

Les critères ESG doivent évoluer d'une stratégie de niche vers une philosophie d'investissement prépondérante. En 2023, nous prévoyons que les gestionnaires d'actifs, les entreprises et les autorités de régulation élargiront le champ des critères ESG et renforceront l'application des réglementations. Nous nous attendons en 2023 à une concentration croissante sur l'engagement et la gestion responsable parmi les investisseurs. Les investisseurs doivent agir en tant que partenaires des sociétés dans lesquelles ils investissent, afin de créer un impact significatif sur leurs externalités et la valorisation du portefeuille. Le peu de ressources que le secteur de l'investissement consacre actuellement à la gestion responsable constitue un obstacle majeur à l'utilisation efficace de l'influence des investisseurs et à la création de valeur sur le long terme. Pour résoudre ce problème, les Principes pour l'Investissement Responsable (PRI) ont lancé un « Projet de Ressources pour la Gestion Responsable » afin de rechercher et d'évaluer le niveau approprié de ressources que les investisseurs institutionnels devraient être prêts à consacrer aux activités de gestion responsable et à la résolution des problèmes systémiques de durabilité. La multiplication des initiatives collaboratives lancées pour répondre à ces enjeux – PRI Advance (droits humains), Nature Action 100 (Biodiversité) – devrait se poursuivre.

Le concept de durabilité environnementale n'est plus synonyme de changement climatique. Il est maintenant communément admis que l'action climatique est vouée à l'échec si les externalités négatives sur la biodiversité, l'eau et les déchets (économie circulaire) ne sont pas traitées. La Conférence des Nations Unies sur la biodiversité en décembre a mis la nature à l'honneur, tandis que la COP 27 a consacré des journées spécifiques aux questions de biodiversité et d'eau. Les deuxième et troisième sessions du Comité de Négociation Intergouvernemental (CNI) pour élaborer un instrument international juridiquement contraignant sur la pollution plastique auront lieu en 2023, avec l'ambition de livrer le document d'ici la fin 2024. Nous misons sur le fait que davantage d'investissements soient réorientés vers les stratégies en faveur du capital naturel et de l'économie circulaire, et de leur interaction avec la transition climatique.a

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news-3388 Fri, 27 Jan 2023 17:40:19 +0100 Vers une décélération du rythme de hausse de taux à 25bps. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vers-une-deceleration-du-rythme-de-hausse-de-taux-a-25bps/ Nous nous attendons à ce que la Réserve Fédérale Américaine (Fed) ralentisse les hausses de taux de 50 points de base (pb) à 25 pb lors de sa réunion de février. Les principaux points que nous anticipons :

  • La Fed devrait augmenter ses taux de 25 points de base pour atteindre une fourchette de 4,50 % à 4,75 %.
  • Le président de la Fed, M. Powell, devrait réitérer l'engagement de la Fed à rétablir la stabilité des prix malgré la décélération du rythme de la hausse de ses taux. Il devrait réaffirmer que les taux devront probablement encore augmenter pour atteindre un pic autour de 5,00 %-5,25 % d'ici la fin de 2023, selon la dernière prévision médiane des décideurs. Il devrait par ailleurs réaffirmer également que la Fed maintiendra des taux élevés jusqu'à ce que "le travail soit fait", c'est-à-dire que l'inflation soit ramenée à l'objectif de 2 %.
  • Jerome Powell devrait cependant aussi laisser la porte ouverte à une pause lors de la réunion de mars, sous réserve que les perspectives concernant l'inflation continuent à s’améliorer. Il pourrait souligner qu'au cours des trois derniers mois, le taux d'inflation annualisé a été conforme à leur objectif, ce qui constitue pour la Fed une bonne nouvelle. Comme l'a récemment déclaré Lael Brainard, vice-présidente de la Fed, "La Fed a fait passer sa politique en territoire restrictif à un rythme rapide, ce qui nous permettra d'évaluer davantage de données à mesure que nous rapprocherons le taux directeur d'un niveau suffisamment restrictif, en tenant compte des risques entourant notre double objectif".
  • La Fed devrait poursuivre son programme de ventes d’actifs (95 milliards de dollars par mois depuis septembre 2022).

En résumé, La Fed devrait essayer de conserver autant de flexibilité que possible alors que sa politique monétaire passe à un niveau plus restrictif. Le message devrait in fine être pris de manière assez « dovish » par les investisseurs. 

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3386 Fri, 27 Jan 2023 08:59:47 +0100 LFREM et Abénex finalisent la transaction « FIRE », portant sur un portefeuille de 38 commerces de l’enseigne Grand Frais situés en France métropolitaine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-et-abenex-finalisent-la-transaction-fire-portant-sur-un-portefeuille-de-38-commerces-de-lenseigne-grand-frais-situes-en-france-metropolitaine/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis un portefeuille de 38 magasins Grand Frais implantés en France métropolitaine dans le cadre d’un share deal avec une valorisation des actifs immobiliers d’environ 190 M d’euros auprès d’Abénex, agissant pour le compte d’investisseurs. Le portefeuille avait précédemment été acquis en 2016 par un OPPCI  géré par Abénex, dans le cadre d’une transaction propriétaire. L’équipe assurait la gestion pro-active des 38 magasins depuis l’acquisition, notamment en maximisant l’exploitation du potentiel foncier et par l’optimisation des modes de détention. 

Ce portefeuille, totalisant 74 956 m² dont 33 026 m² de surface de vente, est composé d’implantations sélectionnées pour leur proximité (moins de 5 minutes) d’une « locomotive commerciale », soit une enseigne importante, qui permet ainsi d’augmenter l’achalandage de la zone. 

Les 38 commerces, quasiment tous équipés d’éclairages LED et de systèmes de récupération d’énergie, bénéficient également d’une excellente desserte : la majorité des actifs se situent à moins d'un kilomètre d'une route nationale ou d'une autoroute.

Dans le cadre de la politique d’investissement durable de La Française REM, un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre est prévu incluant notamment l’installation d’ombrières photovoltaïques sur les 38 sites et l’application d’une peinture réflective blanche sur les toitures de la majorité d’entre eux.

Le concept de « Grand Frais » s’inspire de l’ambiance et de la configuration des halles et des marchés couverts. Les magasins réunissent sur un même lieu, cinq professionnels de l’alimentation : un Primeur, un Épicier d'Ici et d'Ailleurs, un Boucher-Charcutier, un Fromager et un Poissonnier, créant ainsi un lieu de partage à taille humaine. Grand Frais privilégie les producteurs et revendeurs locaux. En 2022, 50 % des exploitations partenaires étaient certifiés Haute valeur Environnementale (HVE). Cette démarche s'inscrit dans la tendance actuelle qui consiste à rapprocher le producteur du consommateur final, gage de produits de meilleure qualité et de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement. 

Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Épargne Foncière, Sélectinvest 1 et CM-CIC Pierre Investissement et d’un fonds de fonds accessible uniquement aux compagnies d’assurance.

Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’Etude Allez & Associés (Romuald Sachet), le cabinet Paul Hastings (Jean-Louis Martin et Quentin Jobard), le cabinet Arsene (Franck Llinas) et le bureau d’étude CEDIAT (sur les aspects techniques et environnementaux). 

Abénex était conseillée par l’étude C&C (Bruno Casteran et Devrim Cetiner), le cabinet DLA Piper (Gabriel Dalarun), le cabinet Primexis (Daniel Wickers, Perrine Dessemond, Magalie Lory), le cabinet KPMG pour les aspects fiscalité et Transaction Services de KPMG (Jean-Etienne Chatelon et Jack Rupchandani) et le bureau d’étude Nerco (Jean-Marie Mussat et Nicolas Desjacquot).

L’acquéreur et le vendeur ont été assistés par Rothschild & Co (Benoit Thébault et Jennifer Lemarié) et par JLL (Jessica Jaoui).

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news-3385 Thu, 26 Jan 2023 10:07:01 +0100 QUELS DÉFIS POUR LA FRANÇAISE REM EN 2023 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quels-defis-pour-la-francaise-rem-en-2023/ Avec un nouveau record de collecte Grand Public, La Française REM termine l’année 2022 sur une belle dynamique malgré un contexte incertain. Quels défis pour 2023 ?

Être, plus que jamais, un partenaire professionnel, malin et agile grâce à :

  • Des investissements judicieux
  • Une diversification produits et géographique
  •  Une poursuite du rajeunissement et du verdissement de nos portefeuilles

Philippe Depoux, Président de La Française REM, fait le bilan de 2022 et évoque les priorités pour l’année à venir.

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news-3384 Wed, 25 Jan 2023 14:15:31 +0100 La Française AM poursuit activement sa stratégie d’investisseur responsable en faveur de la mixité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-poursuit-activement-sa-strategie-dinvestisseur-responsable-en-faveur-de-la-mixite/ En tant que membre du Club 30% France Investor Group, La Française s’engage aux côtés de gestionnaires d’actifs représentant 6 000 Mds€ d’actifs sous gestion en faveur d’une meilleure diversité de genre au sein des Comités de Direction. La Française AM, société de gestion d’actifs filiale du groupe La Française, a rejoint récemment le Club 30% France IG qui vise à inciter les émetteurs du SFB 120 à agir en faveur de la place des femmes dans les Comités exécutifs. La coalition, composée de 16 sociétés de gestion françaises pousse les entreprises à atteindre un objectif de 30% de femmes minimum d’ici à 2025. 

Acteur responsable et engagé, La Française adhère à de nombreuses initiatives en lien avec ses convictions sur la durabilité et s’attache à accompagner les entreprises dans leurs transitions en assurant des dialogues réguliers et constructifs. 

Ce nouvel engagement s’inscrit en lien avec la politique de vote de La Française AM qui prévoit notamment en matière de diversité de voter contre l’élection ou la réélection de membres masculins au sein de Conseil d’administration si ce dernier compte moins de 40% de femmes à l’issue du vote.

Marie Lassegnore, Head of Sustainable Investments : “Le groupe La Française poursuit son engagement actif pour accompagner les entreprises dans leurs transitions sociétales. En rejoignant le Club 30% France IG, nous contribuerons à promouvoir davantage de mixité et à favoriser une plus grande transparence entre entreprises et investisseurs".

 

La publication du second rapport annuel du Club 30% France Investor Group retrace la campagne d’engagement 2022 en mettant en exergue les bonnes pratiques en faveur de l’égalité professionnelle et financière pour les femmes dans les sociétés du SBF 120 ainsi qu’une étude du MEDEF sur les engagements en matière d’égalité dans ces entreprises tout en dénonçant par ailleurs les idées reçues autour de la diversité. 

Pour plus d’informations sur les actions et engagements de la coalition Club 30% France IG téléchargez le rapport annuel 2022 ci-dessous.

Dans le cadre de sa politique RSE, le groupe La Française affirme ses ambitions et engagements dans son métier d’investisseur tout comme dans ses actions en tant qu’entreprise. Ainsi, en matière d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, le groupe a lancé fin 2020 le programme FurtHer, une initiative en faveur de l’égalité des chances avec pour objectif de promouvoir le leadership au féminin, accélérer l’ascension des talents féminins et favoriser la transversalité des métiers et la mixité à tous les niveaux de l’entreprise. Avec plusieurs conférences, ateliers, comités de partage d’expérience et un programme de mentoring mis en place dès 2021, ce programme contribue à l’objectif de parité visé au sein de La Française.

Depuis près de 15 ans le groupe La Française déploie une démarche d’investisseur responsable au travers de nouvelles initiatives et engagements contribuant ainsi à améliorer et promouvoir la prise en compte des facteurs ESG dans son activité de gestion pour compte de tiers.

Pour en savoir plus sur nos politique et rapport d’engagement groupe La Française  ainsi que la politique de vote 2022 spécifique de La Française AM : https://www.la-francaise.com/fr/nous-connaitre/nos-expertises/linvestissement-durable/documentation-reglementaire/

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news-3383 Tue, 24 Jan 2023 09:20:27 +0100 La Française REM acquiert une residence de coliving exploitee par the babel community a montpellier (34) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-une-residence-de-coliving-exploitee-par-the-babel-community-a-montpellier-34/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 31 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/11/2022), a acquis pour le compte de l’OPCI LF IMMO GENERATIONS, une résidence de coliving de 3 259 m2 sise 954 rue Jean Mermoz à Montpellier. Cette acquisition s’inscrit dans le cadre d’une opération de « sale and leaseback ». Livrée en 2019, cette résidence à usage mixte en R+4 comprend 2 002 m2 d’espaces de coliving (soit 75 unités, allant de 15 à 30 m2), un restaurant de 247 m2, 949 m2 d’espaces de coworking (120 postes de travail) et une salle de fitness de 60 m2. La résidence propose de nombreux services aux occupants, dont une conciergerie, des cuisines communes, le nettoyage des chambres, etc. D’un point de vue énergétique, l’immeuble a recours au réseau de chaleur et froid urbain, à l’éclairage LED et à un système CVC récent,  permettant de limiter l’empreinte environnementale de l’exploitation de l’actif.

L’immeuble bénéficie d’un emplacement stratégique, au cœur de Montpellier, à quelques minutes de l’emblématique Place de la Comédie, proche du parc tertiaire Le Millénaire et des principales commodités et à proximité des espaces verts. La résidence fait la part belle aux mobilités douces avec la station Léon Blum de la Ligne 1, la station Place de l’Europe de la Ligne 4 et plusieurs lignes de bus (14, 9, 16, 51) à quelques minutes.

L’actif est intégralement loué dans le cadre d’un bail long terme à THE BABEL COMMUNITY, pionnier du coliving qui depuis 15 ans imagine les logements de demain pour les jeunes actifs notamment. Leur philosophie exige que chaque logement s’inscrive dans un bâtiment durable, accueillant, festif et collectif. Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Il s’agit là de la deuxième acquisition de résidence de coliving THE BABEL COMMUNITY pour La Française REM. La qualité de l’exploitant,  véritable pionnier du coliving, couplé à la centralité de l’actif, présente des perspectives de valorisation favorables. » 

Benoît JOBERT, cofondateur du groupe AXIS qui développe les résidences THE BABEL COMMUNITY nous précise : « Nous sommes ravis du partenariat que nous avons tissé avec La Française Real Estate Managers et de de la confiance dont cet investisseur de tout premier plan nous témoigne en faisant l’acquisition des murs d’une seconde résidence de notre portefeuille. »

Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Allez et Associés, Artelia et Reed Smith. THE BABEL COMMUNITY était conseillée par l’étude Feraud Voglimacci Giannone. Cette transaction a été réalisée par CBRE, conseil exclusif de THE BABEL COMMUNITY.

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news-3378 Thu, 19 Jan 2023 09:00:00 +0100 La Française Crédit Innovation distingué avec le label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-credit-innovation-distingue-avec-le-label-isr/ La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, a le plaisir d’annoncer que son fonds obligataire global, à haut rendement , nouvellement lancé, La Française CREDIT INNOVATION, a obtenu le prestigieux Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Paul Gurzal, Head of Fixed Income, La Française AM, résume « Ce label vient reconnaitre la qualité de l’approche adoptée par LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION qui se base sur les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. Avec La Française CREDIT INNOVATION, classifié Art. 9 selon la réglementation Disclosure , nos clients peuvent investir sur les tendances  de long terme qui vont façonner le monde de demain, à savoir la croissance démographique, l’urbanisation, le changement climatique et les innovations technologiques. Grâce à une gestion active du fonds qui s’appuie sur une connaissance approfondie des émetteurs, nous sélectionnerons et nous nous positionnerons sur des modèles économiques responsables et porteurs de croissance. » 

  • La Française CREDIT INNOVATION, classifié « article 9 » selon la règlementation Disclosure , a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée de 3 ans, une performance nette de frais, supérieure à celle de l’indice BofA BB Global High Yield en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) et contribuant positivement aux objectifs de développement durable (ODD) à hauteur de 60% minimum de l'actif net.
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news-3376 Tue, 17 Jan 2023 09:31:29 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux prime dans le centre de manchester /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-prime-dans-le-centre-de-manchester/ La société de gestion immobilière La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Europimmo et Epargne Foncière, a acquis un immeuble de bureaux emblématique du centre-ville de Manchester, situé au 101 Barbirolli Square, auprès d'AEW pour environ 47m£. L’immeuble de bureaux d’une surface de 8 614 m2 est intégralement loué à plusieurs locataires. 

La propriété a récemment fait l’objet d’un programme de rénovation complet visant à créer des bureaux aux derniers standards, avec de solides références sur le plan environnemental, social et de la gouvernance (ESG). Les travaux de rénovation comprennent la modernisation du bâtiment avec un éclairage LED et l’installation de pompes à chaleur aérothermiques et de bornes de recharge pour véhicules électriques. La propriété bénéficie d’un certificat de performance énergétique B. 

Dans le cadre de ce projet, supervisé par le cabinet d'architectes primé 5plus, l'accueil a été remodelé pour offrir une nouvelle expérience, l’éclairage naturel a été amélioré à chaque étage et de vastes vestiaires ainsi que des espaces de douche de haute qualité ont été créés. 

Idéalement situé à côté de St Peter’s Square, le 101 Barbirolli Square permet d’accéder à certains des lieux les plus prestigieux du centre-ville, notamment Bridgewater Hall, Central Library et The Midland Hotel. 

Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume-Uni, a déclaré : « Le 101 Barbirolli Square vient s’ajouter au portefeuille « Royaume-Uni » en expansion de La Francaise Real Estate Managers.  L’emplacement central de l’immeuble combiné à la rénovation de haute qualité, qui s’est concentrée en particulier sur les aspects ESG, offrent aux occupants de l’immeuble un lieu de travail attrayant. Manchester est un marché cible depuis un certain temps. C’est en effet une ville dynamique qui abrite de nombreuses entreprises nationales et internationales prospères qui bénéficient en outre d’une main-d’œuvre locale de qualité. » 

JLL et Ashurst LLP ont conseillé La Française Real Estate Managers, tandis que Savills et Pinsent Masons ont conseillé le vendeur.

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news-3373 Thu, 12 Jan 2023 16:58:47 +0100 Alger on the Money Turning Trash into Treasure by Alger, a La Française partner firm /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money/ When people think of landfills, they tend to imagine unsightly mountains of trash emitting foul odors. However, modern landfills have become civil engineering marvels, designed to protect human health and the environment. While investors might worry about current market uncertainty, they may look to one area that could provide a durable competitive advantage: trash.  Since the early 1990s, environmental and political pressures around waste management resulted in a dramatic reduction in landfills. This has created a supply-demand imbalance that favors the waste landfill network, notably in the northeast, where landfills in highly populated areas hold strong pricing power. Moreover, stringent waste management regulations have resulted in an added layer of cost to the industry, creating a sizable economic moat for larger companies.

  • In addition to regional landfill dominance, successful waste companies have gone through a technological revolution that has helped reduce operating costs and improve their environmental footprint. For example, investments in automation and collection software that optimizes trucking routes have significantly improved operational efficiencies and worker safety. Further, investments in the utilization of landfill gas – a natural byproduct of the decomposition of organic material in landfills – have the potential to convert waste into a viable fuel source for collection fleets and nearby communities.
  • In our view, municipal and local governments are likely to continue to outsource waste operations due to regulatory and environmental complexities, potentially safeguarding the competitive advantage for larger waste companies. We believe public waste companies with vertically integrated operations, innovative collection technology, and an established regional landfill dominance are well positioned for predictable, long-term growth. 
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news-3372 Tue, 10 Jan 2023 16:55:33 +0100 Note de rentrée 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-de-rentree-1/ Au milieu de cette conjoncture incertaine, les investisseurs font face à des signaux ambivalents. On observe un ralentissement de la croissance économique mondiale, tandis que l'inflation demeure à de hauts niveaux malgré un resserrement monétaire déjà bien amorcé. Dans ce contexte délicat, il peut être difficile de prédire comment les marchés réagiront face à ces pressions. A suivre dans cette lettre, vous trouverez nos perspectives par grandes classes d’actifs pour cette nouvelle année 2023. POINT MARCHÉ

Au moment d’écrire une lettre de rentrée, il est toujours utile de se replonger dans ce que nous écrivions un an auparavant pour noter à quel point les données peuvent évoluer en l’espace de douze mois. En janvier de l’année dernière, les enjeux étaient de savoir si nous allions pouvoir sortir définitivement du risque Covid, si les perturbations des chaînes d’approvisionnement allaient se résorber rapidement et quelle serait l’ampleur des plans de relance américains. Un mois plus tard, l’invasion de l’Ukraine par la Russie changeait complètement la donne en exacerbant largement les pressions inflationnistes en raison de la hausse massive des prix des matières premières. Etant donné les incertitudes actuelles, il est bien possible que ce que nous percevons aujourd’hui comme des questions importantes soit balayé par un événement majeur dans les mois qui viennent. Pour paraphraser Keynes : « Quand les faits changent, je change d’avis. Et vous, que faites-vous ? ».

Après cet interlude « économico-philosophique », il nous faut toutefois essayer de répondre aux principales incertitudes actuelles : dirigeons-nous vers une récession et si oui, quand ? la désinflation va-t-elle s’accélérer et pour se stabiliser à quel niveau d’inflation ? Et le corollaire de tout ça, quelle sera la réaction des banquiers centraux dans les mois qui viennent ?

Nous avons déjà écrit à maintes reprises sur le risque de récession, aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis et nos conclusions n’ont pas changé : le support budgétaire très important décale le risque de voir la croissance économique s’effondrer. Néanmoins, le très fort durcissement des conditions financières devrait finir par avoir, comme ça a toujours été le cas historiquement, un impact très significatif sur la croissance économique.

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news-3371 Mon, 02 Jan 2023 11:12:00 +0100 Modification du prix de part de la SCPI LF Les Grands Palais. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/augmentation-du-prix-de-part-de-la-scpi-lf-les-grands-palais/ Nous vous informons que la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI LF Les Grands Palais.

A compter du 31 décembre 2022, le prix de souscription de la SCPI LF Les Grands Palais augmente de 3,27 % et est composé de la manière suivante : 

Valeur nominale : 700 €
Prime d'émission : 374 €
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Prix de souscription : 1 074 €

Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 1 074 € 
dont 85,92 € HT, soit 103,10 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).

Valeur de retrait : 988,08 €

Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de concentration géographique. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 20 ans.

La note d’information ayant reçu le visa de l’Autorité des Marchés Financiers, SCPI n°19-30 en date du 29 novembre 2019 et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.

La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N°GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFMdu 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).

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news-3370 Wed, 28 Dec 2022 09:24:04 +0100 Avis : modification du fonds commun de placement « La Française Green Tech Europe » (ci-après le « FCP ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-green-tech-europe-ci-apres-le-fcp-1/ La société de gestion La Française Asset Management, société de gestion du fonds commun de placement « La Française Green Tech Europe » (ci-après le « FCP ») a décidé de modifier la stratégie d’investissement du FCP en supprimant la phrase suivante :

« Les 40% restants [de l’actif net] pourront être investis sur une échelle de score comprise entre -10 et +10 ».

Les modifications du FCP entreront en vigueur le 2 janvier 2023.

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news-3369 Wed, 28 Dec 2022 09:18:42 +0100 Avis : modification du compartiment « La Française Credit Innovation » de la SICAV « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-compartiment-la-francaise-credit-innovation-de-la-sicav-la-francaise-1/ La société de gestion La Française Asset Management, société de gestion du compartiment « La Française Credit Innovation » (ci-après, le « Compartiment ») de la SICAV « La Française » a décidé de modifier l’objectif de gestion ainsi que la stratégie d’investissement du Compartiment. Le Compartiment aura désormais comme objectif de gestion « d'obtenir, sur la période de placement recommandée de 3 ans, une performance nette de frais, supérieure à celle de l’indice BofA BB Global High Yield en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) et contribuant positivement aux objectifs de développement durable (ODD) à hauteur de 60% minimum de l'actif net » en lieu et place de « contribuant positivement et/ou ne présentant pas de contribution négative aux ODD. »

Ainsi, la Société de Gestion s’engage à constituer le portefeuille du Compartiment d'émetteurs contribuant positivement aux ODD à hauteur de 60% minimum de l'actif net, c’est-à-dire d’émetteurs ayant obtenu un score ODD strictement supérieur à 0. Pour rappel, chaque émetteur obtient un score ODD allant de -10 à +10. Un émetteur ayant une contribution strictement supérieure à 0 est considéré comme ayant un impact positif, celui ayant un score de 0 est considéré comme ayant un impact neutre et celui ayant un score inférieur à 0 est considéré comme ayant un impact négatif.

Enfin, la phrase suivante sera supprimée de la documentation règlementaire : « Les 40% restants pourront être investis sur une échelle de score comprise entre -10 et +10 ».

Les modifications du Compartiment entreront en vigueur le 2 janvier 2023.

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news-3365 Mon, 19 Dec 2022 14:23:00 +0100 La Française Real Estate Managers finalise l'acquisition de 100 % des actions de RDV Invest, société détenant « De Veldekens », une maison de repos à Anvers (Belgique) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-finalise-lacquisition-de-100-des-actions-de-rdv-invest-societe-detenant-de-veldekens-une-maison-de-repos-a-anvers-belgique/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF AVENIR SANTE, a acquis « off-market » 100% des actions de RDV Invest, société détenant la maison de repos « De Veldekens », située dans l’un des quartiers résidentiels les plus prisés d'Anvers, jouxtant un parc public.

L'immeuble est situé à Grote Weide 2 à Berchem, dans un quartier à usage mixte composé principalement d'installations résidentielles, éducatives et récréatives. La gare d'Anvers-Berchem est située à 2,7 km de l'établissement, elle est l'un des plus grands nœuds ferroviaires de Belgique offrant une connexion pratique à toutes les grandes villes belges ainsi qu'à l'aéroport de Bruxelles.

Construit en 2008, l'établissement se compose d'un bâtiment unique en forme de « L » avec 5 étages supérieurs. La conception de l'établissement reflète le style architectural flamand traditionnel, mais doté de caractéristiques modernes. L'établissement se déploie sur 7 251 m2 et est actuellement exploité avec une capacité de 160 lits. L'immeuble est exploité, dans le cadre d'un bail à long terme, par Vulpia, l’un des principaux exploitants indépendants de maisons de repos en Belgique avec plus de 2 800 employés, dirigeant 40 maisons de repos, soit une capacité de plus de 4 000 lits.

L'établissement est bien équipé avec des espaces de rencontre centraux, des balcons à chaque étage, un restaurant, une pharmacie, un coiffeur, des ascenseurs, des jardins, etc. L'actif affiche une bonne performance énergétique et est en grande partie équipé d'un éclairage LED. Des travaux de rénovation sont prévus, dont l'installation de panneaux solaires sur le toit.

Jérôme Valade, responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « De Veldekens est l'une des rares maisons de repos privées de la région et est largement considérée comme un établissement de qualité compte tenu de la variété des équipements, du bon entretien de l'immeuble et de l'offre financière compétitive proposée par l’exploitant. Outre la qualité de l'opérateur et du bien lui-même, les restrictions relatives aux nouvelles ouvertures de maisons de repos qui sont soumises à autorisation en Flandre jusqu'en 2025 sont très positives du point de vue du positionnement de l’établissement sur le marché et devraient contribuer à assurer à long terme un taux d'occupation durablement élevé. Cette acquisition illustre parfaitement la stratégie européenne de LF Avenir Santé qui poursuit sa diversification géographique. »

Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l'équipe de JLL BeLux Capital Markets, Loyens & Loeff (juridique), PwC (aspects fiscaux et financiers), Arcadis (due diligence technique) et Your Care Consult (due diligence opérationnelle). Le vendeur a été conseillé par l'équipe de CBRE Bruxelles.

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LF Avenir Santé est labellisée ISR.

Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.

Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.

Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI. 

Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)

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news-3364 Fri, 16 Dec 2022 16:59:00 +0100 Marché immobilier d’entreprise en Europe – volume d’investissement record /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-en-europe-volume-dinvestissement-record-2/ Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. L’immobilier reste une classe d’actifs attractive, notamment en raison de la couverture qu’elle offre contre l’inflation. En témoignent des volumes d’investissement record en immobilier d’entreprise en Europe sur les neuf premiers mois de l’année. Toutefois, la dégradation de l’environnement macroéconomique et géopolitique ainsi que la volatilité des marchés financiers poussent les investisseurs à l’attentisme et laissent entrevoir une fin d’année 2022 en retrait.

Poussés par la hausse des taux sans risque, les taux de rendement immobiliers ont entamé un cycle de décompression dont l’ampleur varie en fonction de la qualité, la taille des actifs et le taux de vacance locale. Les actifs alternatifs décorrélés des cycles économiques, notamment l’immobilier de santé, offrent un couple rendement-risque compétitif et permettent de diversifier davantage les portefeuilles des investisseurs grâce à leur profil défensif.

Le marché locatif affiche une belle dynamique, qui cache toutefois un marché à deux vitesses marqué par une prime à la centralité. La plus grande sélectivité des utilisateurs se traduit par une polarisation importante des marchés entre d’un côté, la demande qui se concentre sur les localisations centrales et, de l’autre, l’offre qui tend à se développer en périphérie.

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news-3363 Tue, 20 Dec 2022 14:33:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert auprès de Constructa un actif de coliving opéré par Colonies à Huningue (68) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-aupres-de-constructa-un-actif-de-coliving-opere-par-colonies-a-huningue-68/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec 30 milliards d'euros d’actifs sous gestion (30/06/2022), a acquis pour le compte d’un investisseur institutionnel, « The 226 », une résidence de coliving en VEFA à Huningue, ville frontalière de Bâle (Suisse). L’acquisition a été réalisée auprès de Constructa Les Editeurs Urbains, spécialistes de l’aménagement et de la promotion, filiale du Groupe Constructa, première plateforme indépendante de services immobiliers en France. 

La future résidence d’environ 5 000 m2, située dans le futur quartier des Jetées, bénéficie d’une localisation exceptionnelle, à la croisée de trois frontières (France, Suisse et Allemagne), au cœur de l’un des bassins d’emploi les plus importants du Grand-Est. Huningue, située entre le port fluvial et l’aéroport de Bâle-Mulhouse, fait partie de la Biovalley, cluster international tourné vers les sciences de la vie. L’actif est desservi par la ligne 8 du tramway, arrêt « Dreiländerbr », et fait la part belle aux mobilités douces grâce à un réseau dense de voies piétonnes et de pistes cyclables dans l’agglomération.

La résidence de coliving, dont la livraison est prévue en T4 2024, présente une nouvelle solution de logements citadins face notamment à la pénurie de l’offre. « The 226 » est confiée en exploitation à Colonies dans le cadre d’un bail long-terme. Le premier opérateur français de coliving avec 180 appartements et maisons proposera 200 unités d’hébergement sur 9 étages (R+9), allant du studio (17 m2) au deux pièces (27 m2), meublées, décorées et pourvues de plus de 300 m2 de services, dont salle de sport, salle de travail et laverie. 

La résidence sera certifiée RT 2012-20% et NF Habitat HQE - Très performant.

David RENDALL, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, a conclu : « Partie intégrante d’un important projet d’aménagement porté par Constructa, idéalement située dans une zone transfrontalière enregistrant plus de 200 000 trajets par jour et exploitée par un opérateur de qualité, la résidence de coliving « The 226 » présente des perspectives de valorisation favorables. Par ailleurs, cette acquisition constitue un élément important de diversification, par la nature même de l’actif, du portefeuille de notre client investisseur. » 

Josué JANNIN, Directeur adjoint promotion nationale de Constructa Les Editeurs Urbains, a ajouté : « Nous remercions La Française REM de leur confiance et de leur engagement aux côtés d’un projet d’aménagement urbain et architectural d’exception. Pour Les Editeurs Urbains, réunir La Française REM et Colonies, deux acteurs de référence, pour acquérir et exploiter le coliving « The 226 » confirme notre conviction de développeur et notre ambition pour ce territoire : celui de l’Europe du quart d’heure. Après les projets résidentiels Bogen et Link, livrés au printemps 2023, la signature de « The 226 » marque le début du 3ème acte des Jetées, soit plus de 30 000m2 d’extension de centre-ville en bord de Rhin au cœur du 3Land. »

François ROTH, cofondateur de Colonies a déclaré : "Nous nous réjouissons de l'ouverture prochaine de cette résidence au cœur de l'Eurodistrict Trinational. Un territoire au bassin économique dynamique que nous travaillons depuis les prémices de Colonies. Forte d'une identité architecturale iconique pensée par Nicolas Laisné Architectes ainsi que de son offre alliant design, convivialité et flexibilité, la résidence de coliving répondra ainsi à un besoin croissant de logements des jeunes actifs, étudiants et travailleurs transfrontaliers de la zone, et sera adaptée aux nouveaux usages de cette population."

Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Allez et Associés, le cabinet Jeantet ainsi que I2F.

 

À propos de Constructa Les Editeurs Urbains

Faire la ville est un métier d’intérêt général.

Entreprise familiale, Les Editeurs Urbains défendent une approche artisanale plutôt qu’industrialisée, convaincus que la promotion immobilière doit renouer avec ses lettres de noblesse et faire de la qualité – architecturale et d’usage - la priorité. 

Les Editeurs Urbains maîtrisent trois métiers complémentaires à une conception et une production urbaines engagées : la Maîtrise d’Ouvrage avec la promotion immobilière, les Grands Projets d’aménagement et l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage pour le compte de ses clients. 

Cette expertise nous permet d’accompagner ou de produire des objets immobiliers « marqueurs » de leurs territoires. 

Des projets dont l’ambition et l’audace architecturales, l’exemplarité environnementale et la qualité d’usages incarnent leur vitalité : de La Marseillaise de Jean Nouvel à Marseille au Sofitel de Jean-Paul Viguier à Chicago, en passant par 1500 Ocean Drive de Michael Graves à Miami.

Avec les Editeurs Urbains, le projet immobilier et sa durabilité sont toujours en haut de la pyramide des valeurs.

 

À propos de Colonies 

Fondée en 2017 par François Roth, Alexandre Martin et Amaury Courbon, Colonies, précurseur du coliving en Europe et opérateur de logements innovants, crée et gère des lieux de vie clés en main, conçus à partir des besoins des locataires à chaque moment de leur vie. Colonies réinvente l’expérience d’habitation dans les grandes villes grâce à plusieurs formes de locations meublées et entièrement équipées : coliving, colocation et habitat individuel, un ensemble de service inclus dans le loyer final (eau, électricité, chauffage, ménage, internet haut débit, …) et un parcours de réservation 100% en ligne. 
Depuis sa création, Colonies s’emploie à construire la première plateforme de logements permettant à des investisseurs de renom (Ares Management, LBO France, CDC Habitat, In’li, etc.) de déployer simplement et massivement des capitaux immobiliers. Pour cela, Colonies se charge pour eux de sourcer, designer, rénover, meubler et opérer tout actif résidentiel en s’inscrivant dans une démarche à impact fort.
À ce jour, Colonies offre plus de 180 appartements et maisons à plus de 1 300 locataires, à Paris, Lille, Bordeaux, Marseille, Nantes, Fontainebleau, en Belgique à Bruxelles et en Allemagne à Berlin. Son équipe, basée à Paris, compte 100 collaborateurs.
 

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news-3361 Mon, 19 Dec 2022 11:09:15 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT CARBON IMPACT INCOME /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-carbon-impact-income-1/ Cher actionnaire, 


Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente que la classification du Compartiment dans le cadre du régime de divulgation de l'article 8 du Règlement 2019/2088 sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (le « SFDR ») changera à compter du 1er janvier 2023. 

Le Compartiment poursuit actuellement un objectif d'investissement durable et est par conséquent classé sous le régime de divulgation de l'article 9 du SFDR. Le règlement délégué (UE) 2022/1288 de la Commission complétant le SFDR (le « CDR »), qui entrera en vigueur à partir du 1er janvier 2023, impose désormais aux fonds appartenant à ce régime de divulgation de ne réaliser que des investissements durables (à quelques exceptions près). 

Le Compartiment ne pourra pas répondre aux caractéristiques requises par le CDR pour rester classé sous le régime de divulgation de l'article 9 du SFDR, à compter du 1er janvier 2023. Il a donc été décidé de reclasser le Compartiment sous le régime de divulgation de l'article 8 du SFDR, qui s'applique aux fonds promouvant des caractéristiques environnementales, sociales ou de gouvernance (ESG). 

Le changement n'aura aucune incidence sur la manière dont le Compartiment est géré ni sur la stratégie d'investissement, l'allocation d'actifs ou le profil de risque. 

Si vous n'approuvez pas les changements mentionnés ci-dessus, vous pouvez demander le rachat de vos actions jusqu'à 11 h 00 le 20 janvier 2023. Il est rappelé aux actionnaires que conformément au prospectus de la Société, aucun frais de rachat n'est exigible en cas de rachat d'actions. 

La version mise à jour du prospectus intégrant notamment les changements ci-dessus sera disponible au siège de la Société dès qu’elle aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg. 

Avec nos meilleures salutations, 

Au nom du Conseil d’administration

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news-3357 Thu, 15 Dec 2022 10:38:34 +0100 Immersion dans l'un de nos immeubles en portefeuille : ILÉO /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/immersion-dans-lun-de-nos-immeubles-en-portefeuille-ileo/ Détenu par 3 de nos #SCPI dont LF Grand Paris Patrimoine, cet actif regroupe l’ensemble des convictions de la société de gestion :
1- vivant, dans un environnement dynamique disposant de nombreux espaces verts
2- hyper accessible, grâce à sa désserte en transports en commun
3- chaleureux de part son design

Découvrez-le plus en détails grâce à une visite virtuelle !

Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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news-3355 Thu, 15 Dec 2022 09:00:00 +0100 2022, année de croissance forte pour La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/2022-annee-de-croissance-forte-pour-la-francaise-real-estate-managers/ Sur une toile de fond marquée par des tensions géopolitiques avec la guerre en Ukraine, un environnement économique tendu avec une accélération de l’inflation et des pénuries de matières premières, l’immobilier continue à justifier sa place dans une allocation d’actifs. Dans ce contexte, La Française Real Estate Managers (REM) a réaffirmé en 2022 sa position d’acteur incontournable du marché immobilier européen en poursuivant sa stratégie immobilière structurée autour de la durabilité, le serviciel et la localisation. L’année 2022 marque par ailleurs une étape importante dans le développement du groupe à l’international. Constatant une augmentation significative de la demande des investisseurs asiatiques, en particulier pour l’immobilier européen, La Française REM a ouvert un deuxième bureau en Asie, cette fois à Singapour, pour alimenter cette croissance.

Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate Managers fait le bilan, « La Française Real Estate Managers s’est distinguée en 2022 grâce à notre stratégie de fidélisation et d’acquisition de nouveaux clients locataires qui consiste à devancer leurs besoins de flexibilité contractuelle, de services, de maîtrise des consommations énergétiques et d’accompagnement dans la durée. Avec 345 000 m2 loués ou reloués en 2022, la qualité de notre « asset management » fait la différence, nous permettant de maintenir un taux d’occupation élevé de nos actifs et ainsi délivrer des performances en ligne avec les attentes de nos investisseurs, comme en témoignent le renouvellement et l’extension de notre principal mandat institutionnel français. Cela nous permet également de préserver la valorisation de notre parc immobilier. Nous remercions nos investisseurs pour leur confiance renouvelée dans ce contexte inédit. »

Collecte dynamique

La société de gestion annonce pour 2022 une collecte brute prévisionnelle de plus de 2,1 milliards d’euros auprès des investisseurs clients privés et institutionnels, portée notamment par l’engouement des investisseurs pour les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) et les unités de compte (UC) immobilières. A fin 2022, les encours sous gestion s’élèveront à près de 31 milliards d’euros, soit une progression de près de 5 % par rapport à 2021. 

A l’instar de 2021, La Française REM réalise une collecte brute record sur ses fonds SCPI avec près de 1,5 milliard d’euros collectés en 2022, contre 1,4 milliard en 2021. Plus largement, la société de gestion se classe première sur le marché français à fin septembre en termes de collecte nette SCPI .

Transactions Immobilières

La Française REM a relevé le défi de la diversification géographique grâce à sa plate-forme immobilière (présence à Londres, Frankfort, Munich et Paris). A fin novembre, près de 10 % des actifs sous gestion se situent en dehors de la France : Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Royaume Uni, Luxembourg et Irlande. Face à la demande des investisseurs et afin d’assurer une meilleure couverture des marchés, la société de gestion a renforcé ses équipes dédiées aux marchés locaux. 

La Française REM aura finalisé en 2022 près de 2,2 milliards d’euros en transactions immobilières. Elle a réalisé 1,4 milliards d’euros d’acquisitions, portant une attention particulière à la centralité des actifs ainsi qu’à leurs caractéristiques Environnemental, Social et de Gouvernance (ESG), et cédé l’équivalent de près de 800 millions d’euros. La majorité des acquisitions (58 %) porte sur des bureaux, suivi de la logistique (12 %) et du résidentiel (12 %). 67 % des actifs sont situés à Paris et en Ile-de-France, tandis que près de 13 % des acquisitions sont hors France, principalement en Allemagne mais également au Royaume-Uni, en Irlande et en Belgique. Une mention particulière pour les actifs de santé, nouveau secteur investit par La Française REM depuis le début d’année : 4 actifs de santé en France (portefeuille de trois actifs à Paris et un actif à Lyon), 1 en Irlande et 1 en Belgique. 
Parmi les acquisitions les plus emblématiques et représentatives de sa stratégie d’investissement européenne :

  • Bristol, Royaume-Uni, immeuble à usage mixte,
  • Centre-ville de Bordeaux (33), commerce,
  • Dublin, Irlande, actif de santé,
  • « Campus Cyber », La Défense (92), immeuble de bureaux,
  • Nuremberg, Allemagne, parc d’activités - « life sciences »,
  • Anvers, Belgique, deux immeubles adjacents de bureaux,
  • « Alphabet », Bois-Colombes (92), immeuble de bureaux en VEFA,
  • Quimper (29), entrepôt logistique du dernier kilomètre.


Durabilité & Serviciel

En 2022, la société de gestion a poursuivi le déploiement de sa stratégie immobilière sur le patrimoine existant, axée notamment sur la durabilité et le serviciel, avec des actions telles que :
•    L’accompagnement de ses locataires dans le cadre du dispositif éco-énergie,
•    le développement de partenariats stratégiques en matière de consommation énergétique et
•    le lancement de Wellcome by La Française, une nouvelle offre locative qui propose deux grandes innovations que sont la flexibilité contractuelle (avec le bail Agile - un bail commercial dont les dates de sortie fixes ont été remplacées par un préavis glissant de 6 mois) et un programme d’avantages exclusifs et à prix coutant sur toute une série de services à l’occupant au sein des immeubles. 

Perspectives 2023

Nous anticipons encore une période d’inflation significative en 2023. Quand bien même l’inflation diminuerait, elle restera sans doute encore trop élevée pour permettre aux banques centrales d’assouplir leurs politiques monétaires, sauf à ce que la zone européenne ne s’enfonce dans une forte récession. Dans ce contexte, l’immobilier constitue un placement défensif dans la mesure où les loyers sont indexés à l’inflation. Dans cet environnement, la collecte devrait rester dynamique, de même que le programme d’investissement. Toutefois, une analyse croisée par typologie d’actifs et par secteur d’activité pour identifier les actifs offrant un meilleur potentiel de protection sera de mise. Dans ce contexte, La Française REM continuera à privilégier à l’acquisition les bureaux loués à des utilisateurs issus des secteurs d’activité en croissance (luxe, énergie, transports…), les actifs de santé ou le résidentiel géré peu impactés par les cycles économiques ainsi que les commerces de centre-ville avec des enseignes sur des secteurs en croissance. Le tout dans le cadre d’une politique de maîtrise ambitieuse des consommations d’énergies fossiles et de réduction des gaz à effet de serre (GES). La valorisation du patrimoine existant sera défendue par une gestion d’actifs vigoureuse, tournée vers la satisfaction du client utilisateur.

 

À propos de La Française

Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.

Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.

Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.

La Française gère plus de 50 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (30/06/2022)

La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022). 


Pour plus d’information :     www.la-francaise.com 
     www.twitter.com/francaisegroup 

     www.linkedin.com/company/lafrancaise-group

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Steele and Holt pour La Française :
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Publié par La Française AM Finance Services, filiale de La Française, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) sous le numéro 18673 X en qualité de prestataire de services d’investissement. 

La Française Real Estate Managers, société agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro N GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Île-de-France sous le numéro CPI N 7501 2016000 006 443, portant les mentions Transactions sur immeubles et fonds de commerce et Gestion immobilière ; agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE du 24 juin 2014.

La Francaise Group UK Ltd – Enregistrée en Angleterre sous le numéro : 4253400. La Francaise Group UK Finance Ltd – Immatriculée en Angleterre sous le numéro 4717154, agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority (numéro FCA : 225360) – Siège social : 78 Brook Street, Londres, W1K 5EF. Ces entreprises opèrent individuellement et collectivement sous le nom de « La Française Real Estate Managers » ; LF Real Estate Managers Allemagne Deutsche Zweigniederlassung der La Francaise Group UK Ltd – Immatriculée en Allemagne sous le numéro : HRB 79216 est soumise à une réglementation limitée par le Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht – Siège social : Neue Mainzer Str. 80, 60311 Frankfurt am Main.
 

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news-3353 Tue, 13 Dec 2022 10:11:47 +0100 Nos commentaires et anticipations sur la Banque centrale européenne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nos-commentaires-et-anticipations-sur-la-banque-centrale-europeenne/ Incertitudes sur l'inflation vs incertitudes sur la croissance. A l'occasion de sa dernière réunion de l'année, la Banque centrale européenne (BCE) devrait ralentir le rythme des hausses de taux d'intérêt avec une augmentation de 50 points de base (pb), même si une hausse de 75bps a aussi été évoquée. La banque centrale mettra également à jour ses projections macroéconomiques, y compris les projections d'inflation pour 2025 qui seront publiées pour la première fois.

Nos principales anticipations :

  • La BCE devrait augmenter ses taux d'intérêt de 50 pbs, portant le taux de dépôt à 2,0%.
  • La présidente de la BCE, Christine Lagarde, devrait réitérer une approche « réunion par réunion ». Elle indiquera de nouvelles hausses de taux au-delà de décembre sans donner d'indications sur le niveau du taux final.
  • Mme Lagarde devrait rester prudente malgré la baisse de l'inflation globale de Novembre, en raison d’une inflation « core » des prix de consommation restée stable à 5,0 %.
  • Comme anticipé par les marchés, le Conseil des gouverneurs (CG) devrait annoncer les principes clés concernant la réduction de leurs avoirs obligataires liés au programme d'achat d'actifs (APP). Le resserrement quantitatif (QT) pourrait, selon nous, commencer en mars 2023. Le QT sera très probablement un processus progressif et passif avec un réinvestissement partiel des obligations arrivant à échéance et n'impliquera pas la vente active d'obligations. Le CG se réservera le droit d'ajuster le calendrier et le rythme du QT au fil du temps.
  • La BCE devrait poursuive ses réinvestissements dans le cadre de son programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP) au moins jusqu'à la fin de l'année 2024 ; elle devrait faire preuve de souplesse dans ses réinvestissements en tant que première ligne de défense contre le risque de fragmentation de la zone euro.
  • Il est aussi probable que Mme Christine Lagarde réaffirme que le soutien de la politique budgétaire doit être temporaire et ciblé sur les ménages les plus vulnérables afin d'éviter les pressions inflationnistes.
  • Sur le plan économique, nous nous attendons à ce que les projections d'inflation de la BCE soient revues à la hausse en 2022 (de 8,1 % à 8,5 %) et en 2023 (de 5,5 % à 6,1 %). L'inflation convergerait alors vers l'objectif de 2 % à la fin de l'horizon de prévision (2024 à 2,3 % et 2025 à 2,0 %). En ce qui concerne la croissance, les projections indiqueront une croissance légèrement plus élevée en 2022 (de 3,1 % à 3,2 %) mais une baisse du PIB en 2023 (de 0,9 % à 0,3 %) et en 2024 (de 1,9 % à 1,5 %). Nous pensons que la nouvelle projection pour 2025 montrera une tendance de 1,5 %. 

En résumé, la BCE devrait confirmer son intention de poursuivre les hausses de taux d'intérêt en 2023, mais à un rythme plus lent, en raison du caractère déjà restrictif de sa politique monétaire. En dépit d’une communication que nous attendons plutôt "hawkish", le meeting ne devrait pas avoir d’influence très forte sur les marchés obligataires ; le meeting de la Réserve Fédéral américaine et les chiffres d’inflation américains devraient selon nous avoir un impact plus important.


Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
 

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news-3352 Tue, 13 Dec 2022 09:43:07 +0100 Lettre aux porteurs du fonds PREVALOR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-du-fonds-prevalor/ Madame, Monsieur, 

Vous êtes porteurs de parts du fonds PREVALOR - FR0013366952 (ci-après « le Fonds ») dont la société de gestion de portefeuille est La Française Asset Management, 128 Bd Raspail, 75006 Paris.

1. Quels changements vont intervenir sur le fonds PREVALOR

L’opération consiste en un transfert du Fonds de la société de gestion « La Française Asset Management » vers la société de gestion « Hermitage Gestion Privée, 12 Avenue de la Grande Armée, 75017 Paris, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 90 105». Le fonds a été créé spécifiquement pour la clientèle du groupe Valoria. Ce dernier, après l’intégration de la société Hermitage gestion privée dans le groupe Valoria, souhaite que le fonds soit géré par cette dernière. 

La nouvelle société de gestion, Hermitage Gestion Privée, souhaite modifier la stratégie d’investissement du fonds, le profil rendement/ risques. 
Les fonctions de dépositaire et de centralisateur seront assurées par CREDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL ;Les fonctions de valorisateur seront assurées par Crédit Mutuel Asset Management 
 
Le détail des modifications se trouve au point 5 : Quelles sont les principales différences apportées à votre investissement ? 

Cette opération a été soumise à l'Autorité des Marchés Financiers qui l'a agréée en date du 18 novembre 2022. Elle sera effective le 16 janvier 2023 sur la VL du 16 janvier 2023 calculée le 17 janvier 2023. 

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news-3351 Tue, 13 Dec 2022 09:37:04 +0100 Lettre aux porteurs du fonds AMPRIAM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-du-fonds-ampriam-fr0013258340/ Madame, Monsieur, 

Vous êtes porteurs de parts du fonds AMPRIAM - FR0013258340 (ci-après « le Fonds ») dont la société de gestion de portefeuille est La Française Asset Management, 128 Bd Raspail, 75006 Paris.
1. Quels changements vont intervenir sur le fonds AMPRIAM 
 

L’opération consiste en un transfert du Fonds de la société de gestion « La Française Asset Management » vers la société de gestion « Hermitage Gestion Privée, 12 Avenue de la Grande Armée, 75017 Paris, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 90 105». Le fonds a été créé spécifiquement pour la clientèle du groupe Valoria. Ce dernier, après l’intégration de la société Hermitage gestion privée dans le groupe Valoria, souhaite que le fonds soit géré par cette 
dernière. 
La nouvelle société de gestion, Hermitage Gestion Privée, souhaite modifier la stratégie d’investissement du fonds, le profil rendement/ risques. Les fonctions de dépositaire et de centralisateur seront assurées par CREDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL ; Les fonctions de valorisateur seront assurées par Crédit Mutuel Asset Management

Le détail des modifications se trouve au point 5 : Quelles sont les principales différences apportées à votre investissement ? 
Cette opération a été soumise à l'Autorité des Marchés Financiers qui l'a agréée en date du 21 novembre 2022. Elle sera effective le 16 janvier 2023 sur la VL du 16 janvier 2023 calculée le 17 janvier 2023. 

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news-3349 Mon, 12 Dec 2022 16:42:12 +0100 LF Avenir Santé fête ses 1 an de commercialisation ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-avenir-sante-fete-ses-1-an-de-commercialisation/ Après 1 an de commercialisation et forte de son succès commercial, LF Avenir Santé s’est installée dans le paysage de l’épargne immobilière. Notre SCPI de santé a réalisé à ce jour 8 acquisitions représentant 95 M€ dont 43% ont été réalisé hors de France confirmant ainsi sa stratégie d’investissements européenne.

Bilan de notre SCPI de rendement avec Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de Santé.

Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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news-3348 Fri, 09 Dec 2022 16:24:41 +0100 Notre démarche en matière de capital naturel /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/notre-demarche-en-matiere-de-capital-naturel/ Deepshikha Singh, Deputy Head de La Française Sustainable Investment Research & Head of Stewardship Guy Wilkinson, Analyste ESG La Française Sustainable Investment Research La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a été créée il y a dix ans, reconnaissant que « la crise de la biodiversité est probablement une menace bien plus grave que le changement climatique mondial pour la stabilité et l'avenir prospère de l'humanité sur Terre ». Les derniers rapports de l'organisation indiquent comment la perte de la nature s'est accélérée de façon exponentielle au cours des cinq dernières décennies et comment l'activité humaine à travers notre utilisation des services écosystémiques et le changement climatique en sont les principaux moteurs. 

Plus de la moitié de la production économique mondiale, soit 44 000 milliards de dollars de création de valeur économique (Forum économique mondial), dépend modérément ou fortement de la nature. Une biodiversité abondante s'avère nécessaire pour de nombreuses composantes de la vie, notamment la production de nourriture, d'énergie, d'eau et de services de santé. D'autre part, nous sommes confrontés à un déficit mondial de financement de la biodiversité de plus de 800 millions de dollars par an, et le secteur financier joue un rôle clé grâce à sa capacité d’allocation et de gestion du capital. 

2022 constitue une année charnière pour l'action mixte nature-climat. La COP27, Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques 2022, s'est terminée en novembre avec des dirigeants mondiaux appelant à un « moment de Paris » pour la nature. Ce qu'il faut maintenant, selon les dirigeants et les experts, c'est un effort concerté des gouvernements et des entreprises pour lutter simultanément contre le changement climatique et la perte de biodiversité. La deuxième édition de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP15) doit avoir lieu du 7 au 19 décembre à Montréal, au Canada. Après avoir été reportée depuis plus de 2 ans maintenant, elle offrira, espérons-le, une plus grande clarté sur un cadre mondial de gestion de la perte de biodiversité. Les réglementations européennes et françaises autour du règlement SFDR et de la taxonomie nous obligent à surveiller et à rendre compte de nos risques et de nos impacts liés à la nature. En outre, les gestionnaires d'actifs du monde entier sont de plus en plus interrogés sur les risques et les opportunités liés à la nature par leurs clients. Avec le déclin de la biodiversité mondiale, nous, en tant qu'investisseurs, devons reconsidérer l'économie traditionnelle et prendre en compte le concept naissant du capital naturel dans nos processus et stratégies d'investissement. 

Ce document vise à démontrer notre compréhension des risques (et opportunités) du capital naturel et de la biodiversité, les raisons pour lesquelles nous pensons que la lutte contre les risques naturels est à la fois un impératif financier et juridique, ainsi que notre démarche pour y parvenir. Il s'agit d’études en cours et nous espérons fournir des rapports intermédiaires plus tangibles et détaillés sur ce sujet en temps utile.

Développer une stratégie de capital naturel a été une réelle priorité chez La Française Asset Management (AM) au cours de l'année 2022. Nous reconnaissons l'urgence planétaire dans laquelle nous vivons et, outre les exigences en matière de rapports, nous comprenons les risques et opportunités financiers que l'évolution des politiques (comme la stratégie de l'UE pour la biodiversité 2030) et un examen plus approfondi de la nature et du secteur financier (comme l'examen Dasgupta) soulèvent. Nous voyons deux principaux types d'opportunités d'investissement dans notre univers d'émetteurs : les « transitionneurs » qui ont des impacts négatifs élevés sur la nature et/ou qui en dépendent fortement, mais qui ont une capacité financière et la volonté stratégique de les atténuer, et les « facilitateurs » à la recherche de solutions pouvant avoir un impact positif sur la nature ou aidant d'autres entreprises à gérer/réduire leurs risques.

Nous présentons notre « triangle du capital naturel » exclusif qui capture la dimension à multiples facettes de notre stratégie sur le capital naturel - reliant les dépendances aux écosystèmes, les impacts négatifs aux moteurs et les impacts positifs aux ODD de l'ONU. Nous alignons ces concepts sur notre approche globale de recherche en investissement durable qui comprend une évaluation quantitative, une évaluation qualitative et une gestion responsable. L'un des plus grands défis dans la création de cette stratégie a été l'absence de normes mondiales entourant les cadres d'évaluation et les données/indicateurs à utiliser. Nous avons relevé ce défi en appliquant une approche à plusieurs niveaux, en utilisant plusieurs ensembles de données comme ENCORE et CDP, ainsi qu'en incorporant le projet de recommandations du TNFD à notre méthodologie d'évaluation qualitative. 

Enfin, la gestion de l'environnement constitue un pilier important de notre démarche durable. Nous sommes des membres actifs du Forum TNFD, de la Fondation Finance for Biodiversity et de l'initiative FAIRR. Nous sommes également membres de Nature Action 100, un groupe d'engagement collaboratif pour la nature, qui sera lancé courant décembre 2022. Ces initiatives nous offrent une plateforme pour influencer à la fois les entreprises mais aussi les décideurs politiques dans la résolution de la crise de la nature par l'échange de connaissances et des actions collaboratives. 

Le temps voué au capital naturel lors de la COP15 représente l'occasion idéale pour la communauté des investisseurs de conduire ce changement. Pour nos clients, nos sociétés et la planète, nous nous devons de faire de notre mieux et de ne négliger aucun effort. Comme l'a déclaré Churchill après la Seconde Guerre mondiale, lors de la formation des Nations unies :
« Il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre ! »

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news-3346 Fri, 09 Dec 2022 09:17:17 +0100 La Française Real Estate Managers loue 30 000 m2 dans l’immeuble de bureaux SO OUEST, à Levallois-Perret (92, région parisienne), à SAP et Industrious /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-loue-30-000-m2-dans-limmeuble-de-bureaux-so-ouest-a-levallois-perret-92-region-parisienne-a-sap-et-industrious/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte d’un investisseur institutionnel coréen, a loué plus de 30 000 m2 dans son immeuble de bureaux « So Ouest », situé au 35 rue d’Alsace à Levallois-Perret (92). La société de gestion a le plaisir d’annoncer d’une part le renouvellement du bail de SAP, leader du marché des logiciels d’application d’entreprise et occupant l’immeuble depuis 2014, pour 12 ans sur une surface d’environ 26 700 m2, et d’autre part la signature d’un nouveau bail de 12 ans pour près de 3 400 m2 avec Industrious, fournisseur américain d’espaces de bureaux flexibles et premium pour sa deuxième ouverture en région parisienne. SAP a été conseillé par Colliers EMEA, Corporate Capital Solutions et Colliers France. L’immeuble de bureaux So Ouest est occupé à 100 %.

Conçu par Glaiman & Epstein et entièrement redéveloppé entre 2009 et 2011, l’immeuble de bureaux développe une superficie totale de 33 252 m2 répartis sur 22 étages supérieurs. Avec un restaurant privé, une cafétéria, une salle de conférence de 171 places, des salles de réunion et de réception, une terrasse accessible et une loge de concierge, il dispose de nombreux services. 

L’immeuble à forte visibilité est situé au cœur du quartier Eiffel et à proximité des principaux pôles économiques parisiens (Paris, La Défense, Neuilly-sur-Seine, Saint-Denis). L’environnement commercial dynamique a attiré de nombreuses entreprises internationales et nationales. La propriété offre un bon accès aux transports en commun avec la ligne 3 du métro, la ligne SNCF L et la ligne C du RER, toutes accessibles à pied. So Ouest possède de solides références ESG (Environnement, Social et Gouvernance) avec une certification HQE et un label Bâtiment Basse Consommation Rénovation.

David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, a déclaré : « Nous sommes heureux d’avoir négocié avec succès une prolongation de bail à long terme avec SAP, le principal locataire de So Ouest, et nous souhaitons la bienvenue à Industrious. Ce faisant, nous avons assuré un taux d’occupation à long terme qui soutiendra la valeur de l’actif. Nous remercions SAP et Industrious de leur confiance. »
 

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news-3344 Thu, 08 Dec 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert un entrepôt logistique du dernier kilomètre proche de Quimper (29) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-entrepot-logistique-du-dernier-kilometre-proche-de-quimper-29/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte d’investisseurs institutionnels coréens, annonce l’acquisition « off-market » auprès de VECTURA, société spécialisée dans le développement et la gestion d’actifs industriels et logistiques, d’un entrepôt logistique du dernier kilomètre à Briec, proche de Quimper, important centre économique de la Bretagne. L’actif, livré en octobre dernier et entièrement loué à un acteur clé du e-commerce sur la base d’un bail long terme, développe une surface d’environ 6 700 m² avec la particularité de disposer d’un parking en silo sur deux niveaux.

L’entrepôt, situé sur un terrain paysagé, répond aux derniers standards techniques et environnementaux avec la certification BREEAM Very Good, grâce notamment à la présence de panneaux photovoltaïques en toiture. Par ailleurs, la propriété est pourvue de nombreuses places de stationnement équipées de bornes de recharges pour véhicules électriques, permettant de répondre aux ambitions du locataire en matière de réduction des émissions de carbone.

David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, a conclu : « Idéalement situé dans le nord-ouest de la France, cet entrepôt logistique permet de relier rapidement les principales villes du Finistère en Bretagne. L’actif présente des perspectives de valorisation favorables compte tenu notamment du rayonnement du locataire, de son emplacement stratégique et de la raréfaction des terrains disponibles. Cette acquisition constitue la neuvième dans le cadre du partenariat avec VECTURA. »

Pour cette opération, La Française REM était conseillée par BNP Paribas Real Estate Transaction France, l’Etude Flusin, le cabinet Ashurst et ETYO.

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news-3342 Mon, 05 Dec 2022 10:01:12 +0100 La Française laureate des trophees 2022 de l'ARSEG (1), pour son innovation locative /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-laureate-des-trophees-2022-de-larseg1-pour-son-innovation-locative/ Concevoir de nouvelles solutions pour ses investisseurs et locataires, telle est la raison d’être du groupe La Française L’innovation au cœur de l’ADN La Française

Pour La Française, innover constitue à la fois une obligation constante du métier d’Asset Manager, une responsabilité sociétale et un pilier de son identité. Le groupe met en œuvre sa créativité au service des investisseurs, épargnants, partenaires et locataires en réponse aux défis environnementaux et sociétaux.

C’est le sens de la création de la Cellule de Transformation de l’Offre Locative, créée en 2021 dans un environnement en profonde mutation, frappé par les crises sanitaire et économique : une équipe dédiée à l’amélioration continue des offres locatives de La Française, pour être toujours plus pertinent face aux évolutions de marché.

En savoir plus sur Wellcome by La Française

Un processus de Design Thinking ancré dans le besoin-client

Dès janvier 2021, La Française initia une démarche de réflexion stratégique sur les enjeux de transformation locative post-COVID. Un audit de l’écosystème assorti d’études de marché, tant qualitatives que quantitatives, ont permis d’identifier les nouveaux besoins locatifs, et notamment un manque de visibilité accru dans un monde plus volatile, plus complexe. Les équipes de La Française Real Estate Managers explorent alors une double voie : Comment introduire de la flexibilité dans le contrat de bail ? Comment simplifier le processus de prise à bail ? 

En savoir plus sur la flexibilité

Sur la flexibilité contractuelle, plusieurs scenarii sont explorés, puis évalués, notamment sous les angles juridique, réglementaire et financier. Une grande part de nos talents sont mobilisés pour résoudre l’équation : Asset Managers, Fund Managers, Experts immobiliers, etc.

Les « Bail Agile » et « Bail Partage » sont révélés officiellement au MIPIM 2022.

Véritable transformation culturelle – aucun nouveau bail commercial n’a été créé depuis 20 ans - le déploiement de ces deux nouveaux modèles contractuels est suivi par la Cellule de Transformation : équipes internes, commercialisateurs et premiers clients « bêta-testeurs » participent à un processus de feed-back à cycle court autour de l’été 2022. 

Un double objectif : comprendre comment le marché s’approprie ces nouveaux outils – certains cas d’usage sont apparus - et ajuster le cas échéant les produits et leurs déploiements.

De multiples cas d’usage aux différents besoins sur des marchés variés ont pu être mis en exergue. Ainsi nos équipes capitalisent-elles sur un savoir-faire unique et ajustent rapidement l’offre et/ou leur discours.

L’ingénierie immobilière La Française saluée à l’occasion des Trophées 2022 de l’Arseg pour la création de « Bail Agile », concept de bail commercial inédit.

Réelle ingénierie juridico-financière, ce nouveau bail commercial ne prévoit pas de sortie fixe. Disponible uniquement sur des immeubles gérés par La Française, ce concept novateur vient compléter l’offre de marché des bailleurs institutionnels par rapport à un besoin durable des entreprises. Lancé en mars dernier sur un ensemble de 12 actifs immobiliers, le concept, fort de son succès, sera étendu sur un périmètre de 21 immeubles éligibles d’ici la fin de l’année.

La presse professionnelle en parle : 
 

 Trophées Arseg : qui sont les lauréats de l'édition 20222 ?  Le « bail agile » de La Française Real Estate Management démarre en trombe Dans la catégorie « nouveaux concepts de l’environnement de travail », le Lauréat est La Française pour le "bail agile".
Lire l'article Lire l'article Lire l'article

(1) Association nationale des Directeurs de l’Environnement de Travail

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news-3336 Thu, 01 Dec 2022 10:40:16 +0100 Commentaire - CPI de la zone Euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/commentaire-cpi-de-la-zone-euro/ Par Audrey Bismuth, Global Macro Researcher, La Française AM En Europe, après plusieurs mois de surprises ‘positives’ (chiffres au-dessus des attentes), l’indice préliminaire de prix à la consommation (CPI) a surpris à la baisse sur le mois de novembre. Attendu à 10,4% sur un rythme annuel, tiré à la baisse par les prix de l’énergie, le CPI de la zone euro a ralenti à 10,0% contre 10,6% en octobre. Toutefois, hors éléments volatils (alimentation, énergie, alcool et tabac), les prix sont restés inchangés sur le mois, à 5,0%, un chiffre conforme aux attentes.

L'inflation annuelle s’est accélérée dans trois pays de la zone euro (Slovénie, Slovaquie et Finlande) tandis qu’elle s'est modérée en Allemagne (11,3%), en Italie (12,5%), en Espagne (6,6%) et aux Pays-Bas (11,2%). En France, les prix sont stables à 7,1%. 
Ces chiffres coïncident avec les statistiques américaines d’octobre (7,7% contre 8,2% en septembre) ; cela devrait confirmer le ralentissement du rythme de hausse de taux de la Fed lors du prochain FOMC (Federal Open Market Committee), le 14 décembre prochain, avec une hausse de 50 points de base (pdb) portant les taux directeurs entre 4,25% et 4,50%.

Toutefois, en Europe, un seul chiffre conduira t’il la Banque centrale à ralentir le resserrement monétaire à 50 pdb lors du comité du 15 décembre après deux hausses consécutives de 75 pdb ? 

En dépit de ce signal encourageant, nous n’excluons pas totalement un relèvement de 75 pdb lors du prochain Conseil des gouverneurs. Les membres les plus adverses à l’inflation s’inquiètent des effets de second tour et de la dynamique des salaires soutenue par un marché du travail favorable ainsi que du risque de désancrage des anticipations d’inflation. La semaine dernière, Isabel Schnabel, membre très influente du directoire de la BCE, a déclaré « La marge de manœuvre pour ralentir le rythme des ajustements des taux d'intérêt reste limitée ». Par ailleurs, lundi, la Présidente Christine Lagarde a indiqué "J’aimerais que l'inflation ait atteint son pic en octobre, mais j'ai peur qu’il soit difficile de l’affirmer d’ores et déjà ; Il y a trop d'incertitude, en particulier sur la répercussion des coûts élevés de l'énergie pour supposer que l'inflation a effectivement atteint son pic. Cela m'étonnerait ». 

Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et sont considérées comme fondées ou exactes au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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news-3335 Wed, 01 Sep 2021 17:37:00 +0200 Laurent Jacquier Laforge, Global head sustainable investment du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/laurent-jacquier-laforge-global-head-sustainable-investment-du-groupe-la-francaise/ Laurent Jacquier Laforge : « Défis climatiques, les travaux nécessaires sur notre parc immobilier couteront 4 à 5 points de base de rentabilité » Lien vers la vidéo : L'interview AGEFI

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news-3334 Sun, 15 Jan 2017 17:32:00 +0100 "Avec elle tout prospère, sans elle tout s'écroule" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avec-elle-tout-prospere-sans-elle-tout-secroule/ La démarche spécifique de La Française en matière d’investissement socialement responsable, dénommée Stratégie Avancée d’Investissement (SAI), analyse la gouvernance comme l’un des cinq facteurs clés non financiers de la performance financière d’une firme. Une gouvernance d’entreprise de qualité, pour autant qu’on puisse la qualifier par un équilibre des pouvoirs, la recherche du bien commun pour l’ensemble des parties prenantes (network governance), le souci de la dignité des personnes dans la sphère d’influence de l’entreprise, est aussi compliquée à qualifier et à identifier quantitativement que l’est la gouvernance des états.

On touche en effet à des notions comme la culture d’entreprise, la capacité à faire partager une vision et à exécuter une stratégie pour parvenir à l’accomplir, de même nature que le social trust dans l’univers politique, en fait on touche à la fabrication d’un mythe mobilisateur. Et pourtant, c’est sans doute le critère d’investissement à privilégier dans une démarche d’investissement car sans elle tout s’écroule : la finance, la valeur de la marque, le dynamisme de l’entreprise. Au niveau des états, la gouvernance est un indicateur directement relié à la création de richesse.

L’une des régions du monde où la gouvernance des entreprise et des états est reconnue comme exemplaire est l’Europe du Nord, c’est également l’une des zones économiques les plus dynamiques de la planète sur une longue période et ce n’est pas un hasard.

Les pays nordiques ont en effet réussi à créer un cocktail social particulier marqué par un niveau élevé d’individualisme et simultanément une grande confiance dans les institutions, qu’elles sont privées ou publiques. Les conditions de la réussite de ce cocktail sont comme on peut s’y attendre la transparence, l’intégrité et la responsabilité (accountability) à tous les niveaux. Les pays nordiques sont reconnus parmi les moins corrompus du monde et simultanément les plus ouverts sur le monde (les exportations y dépassent 50% de leur PIB). La bonne gouvernance leur donne une ossature qui leur permet d’assumer un choix délibéré de s’ouvrir « au vent glacial de la concurrence » comme le dit le Premier ministre suédois et en conséquence de bénéficier d’une excellente compétitivité, moteur de croissance à long terme.

 

Malheureusement rien ne garantit qu’un système de gouvernance, aussi performant soit-il, délivre toujours le résultat désiré. Si l’on prend le monde politique en exemple, les pères fondateurs de la constitution américaine ont pris toutes les précautions, y compris les recommandations de Montesquieu, pour empêcher qu’un populiste n’arrive au pouvoir: ce qui n’a pas empêché l’irruption du phénomène Donald Trump. Périclès à Athènes avait eu le même souci, ça n’a pas empêché Alcibiade d’arriver au pouvoir. Comme Marguerite Yourcenar le fait dire dans la bouche de l’empereur Hadrien: la bonne gouvernance de l’empire se voit à ce qu’un fou ne règne qu’une fois par siècle.  Il me semble donc que la gouvernance fasse partie de ces risques extrêmes qui sont si difficiles à intégrer dans une gestion opérationnelle au jour le jour, mais si nécessaires à saisir pour éviter la faillite.

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news-3333 Tue, 16 May 2017 17:29:00 +0200 L’immobilier d’entreprise face à la hausse des taux d’intérêt (en France) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/limmobilier-dentreprise-face-a-la-hausse-des-taux-dinteret-en-france/ Article du 07/04/2017

 

L’immobilier est un actif à la dynamique de prix complexe. Il partage des caractéristiques avec les obligations : c’est un actif de rendement avec des flux de revenus prévisibles à long terme au travers des baux, mais aussi avec les actions : c’est un actif à revenu indexé sur l’inflation et, dans une certaine mesure, sur la croissance économique. La combinaison des deux caractéristiques ramène le problème du comportement de l’immobilier en cas de hausse des taux d’intérêt à celui plus fondamental de l’interaction entre taux d’intérêt, croissance économique et inflation avec tout de même la nécessaire prise en compte des  particularités de l’économie immobilière.

De 1981 à 2016, le taux d’intérêt des emprunts d’état français à 10 ans a décru de 17,4% à 0,7%, soit trente-cinq ans de baisse quasi-ininterrompue des taux d’intérêt. Cette évolution monétaire reflète le changement drastique du niveau d’inflation qui est passé de 14,0% à 0,6% l’an alors que la croissance économique passait simultanément de 2,5% à 1,1% l’an. Sur cette période, l’immobilier d’entreprise s’est en moyenne très bien comporté, malgré deux crises majeures sans lien de cause à effet avec une remontée des taux, ce qui indique que l’influence positive des taux d’intérêt a été prédominante par rapport à celle négative de l’indexation des loyers.

Un peu plus loin dans le temps, de 1971 à 1981, le taux d’intérêt des emprunts d’état à 10 ans a progressé de 7,7% à 17,4% tandis que l’inflation montait de 5,8% à 14,0% et que la croissance économique s’effritait de 4,5% à 2,5%. Sur cette période, l’immobilier d’entreprise s’est également très bien comporté ce qui signifie que l’influence globalement positive de l’indexation des loyers a été prédominante par rapport à celle négative des taux d’intérêt. L’immobilier se comporterait-il donc bien dans toutes les configurations économiques et monétaires ?

Taux de capitalisation et taux d’intérêt

Sur la période relativement homogène en termes de politique monétaire qui débute avec l’adoption du traité de Maastricht en 1992, la relation observée entre le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA et celle du taux des OAT à 10 ans est assez étroite avec une corrélation qui dépasse 80%.

La relation est cependant plus complexe qu’il n’y paraît car le taux de capitalisation réagit avec un certain temps de réponse à la hausse des taux d’intérêt. Les trois périodes de hausse prononcée du taux des OAT sur les vingt-cinq dernières années initiées en décembre 1993, décembre 1998 et juin 2005 n’ont entraîné de hausse du taux de capitalisation qu’après un délai de réponse plus ou moins long car il a fallu attendre à chaque fois que le taux des OAT touche, voire excède, le taux de capitalisation. De plus les hausses du taux de capitalisation n’ont pas toujours été déclenchées par une baisse des prix : lorsque le taux de capitalisation augmente en décembre 1999, un an après la hausse des taux d’intérêt, le prix des bureaux a continué de progresser mais moins vite que les loyers qui flambaient dans le sillage de la bulle Internet.

 

Prix de l’immobilier et taux d’intérêt

Le décalage entre les mouvements de taux d’intérêt et ceux de l’immobilier sont une des sources de la capacité de diversification de l’immobilier dans un portefeuille obligataire, l’autre source provenant de l’interaction entre les taux d’intérêt et l’indexation des loyers. Sur la période considérée, le prix des bureaux Prime Paris QCA baisse en moyenne un an et demi après une hausse soutenue des taux d’intérêt avec un intervalle de confiance entre un et deux ans, c’est la durée du décalage entre le cycle obligataire et le cycle immobilier. Pour 100 points de base de hausse (respectivement baisse) du taux des OAT à 10 ans, le prix des bureaux Prime Paris QCA baisse (respectivement monte) en moyenne de 5% avec un intervalle de confiance élevé de plus ou moins 5%. La corrélation est en effet relativement faible à 25%, ce qui vient illustrer la complexité de la relation.

 

L’indexation des loyers

La capacité à dissocier l’évolution du taux de capitalisation de celle des prix de l’immobilier tient à la dynamique des loyers. Jusqu’en 2014, l’indice du coût de la construction ICC a été l’indice communément utilisé pour la révision des loyers des  baux commerciaux. L’instabilité chronique de l’ICC, très sensible au coût des matières premières, a conduit à le remplacer par l’indice des loyers d’activité tertiaire ILAT. L’évolution de l’ILAT peut être modélisé à partir de l’inflation et de la croissance du PIB avec un niveau de corrélation de près de 80%, elle correspond à l’inflation auquel il faut rajouter 40% de la croissance économique. L’ILAT augmente donc un peu plus vite que l’inflation et capte une partie de la croissance. Historiquement, l’évolution des loyers suit en tendance celle de l’ILAT, mais avec des fluctuations cycliques importantes qui traduisent l’influence de la conjoncture économique sur l’économie immobilière, en particulier la demande placée des bureaux et l’absorption nette.

 

Le présent, le futur et l’accident

Avant d’envisager le futur, il est utile de s’interroger sur l’influence qu’a actuellement la politique monétaire accommodante de la BCE sur la valorisation du marché immobilier. Le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA a été récemment aspiré vers le bas et se situe bien en dessous de sa moyenne historique mais sa prime par rapport au taux des OAT a été simultanément poussée vers le haut et se situe bien au-dessus de sa moyenne historique. Un simple calcul de retour à la moyenne du taux de capitalisation toutes choses égales par ailleurs implique une baisse du prix des bureaux Prime Paris QCA équivalente à la hausse entraînée par le retour à la moyenne de la prime. Le marché immobilier a donc bien subi l’impact de la baisse forcée des taux d’intérêt mais avec une certaine modération, pas au-delà de la moitié de ce qu’il aurait pu subir.

 

La croissance économique et l’inflation en France induisent une tendance modeste de hausse de l’ILAT à 1,5% et la conjoncture immobilière, caractérisée par une demande placée et une absorption nette de bonne tenue, est équilibrée. Il n’y a donc pas de facteur permettant d’escompter une forte pression à court terme sur les loyers et l’impact de mouvements du taux de capitalisation se fera sentir directement sur le prix de l’immobilier.

 

Une nouvelle période s’ouvre au mieux de maintien de taux d’intérêt bas, au pire de hausse des taux d’intérêt. Il est en effet très probable que la BCE normalisera à partir de 2018 sa politique monétaire ce qui fera progressivement remonter le taux des OAT à 10 ans de 150 points de base vers son niveau naturel de l’ordre de 2,5% (taux de croissance potentiel du PIB nominal). Si l’on se réfère à l’analyse précédente, le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA devrait progresser de 75 points de base à 3,75% quelques mois après. Ce sera une période compliquée à gérer pour le marché immobilier, tout dépendra du degré de coordination entre la normalisation de la politique monétaire et la formation d’anticipations de hausse des revenus locatifs soutenue par un regain d’inflation et de croissance.

 

La tendance est que les politiques budgétaires expansives prennent le relai des politiques monétaires accommodantes un peu partout dans le monde développé, générant une certaine inflation accompagnée d’une hausse progressive des taux d’intérêt. Des forces modératrices sont cependant à l’œuvre : le vieillissement démographique, la baisse des gains de productivité et l’abondance d’épargne. Si La hausse des taux d’intérêt devait s’enclencher, le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA devrait continuer de progresser au-delà de 3,75% en ligne avec les taux d’intérêt. Mais dans cette hypothèse, une dynamique d’anticipation à la hausse des loyers devrait s’enclencher et venir modérer l’impact de la hausse du taux de capitalisation sur le prix de l’immobilier, voire l’inverser.

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news-3332 Mon, 15 Jan 2018 17:21:00 +0100 Que retenir de ce sommet ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/que-retenir-de-ce-sommet/ Le 12 décembre 2017, Emmanuel Macron, président de la République française, Jim Yong Kim, président de la Banque Mondiale et Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont réuni à Paris leaders internationaux et citoyens engagés venus du monde entier autour de l’urgence climatique. 12 engagements ont été pris et la One Planet Coalition créée qui s’assurera qu’ils soient tenus.

Mais au final que retenir de ce sommet et des 12 engagements auxquels s’ajoutent les diverses annonces faites lors des événements labellisés One Planet Summit entre les 11 et 13 décembre 2017 ?

Si quelques engagements peuvent particulièrement retenir l’attention, le sentiment général est bien résumé par une ONG : le paquet d’annonces « comprend quelques initiatives intéressantes, beaucoup de choses recyclées et dénote une absence de volonté politique forte ».
On peut cependant noter que les annonces émanent de différentes catégories d’acteurs et vont dans le sens du président Macron qui souhaitait mettre en avant « une coalition des coalitions » entre les Etats, les collectivités locales, les philanthropes, les industriels ou encore les financiers, la réponse au réchauffement climatique ne pouvant en effet être crédible que si « tous les acteurs sont réunis ». Cet objectif-là est donc atteint. La question de l’additionalité des engagements et de leur réalité reste ouverte mais ne boudons pas notre plaisir, la mobilisation internationale et particulièrement française était au rendez-vous.

Vers la fin du financement des énergies fossiles


Le début de la fin du financement des énergies fossiles se confirme.
La Banque mondiale, qui s’est engagée à aligner ses pratiques sur les objectifs de l’Accord de Paris, a annoncé la fin de ses financements à tout projet d’exploration et d’exploitation de pétrole et de gaz après 2019. Ce n’est pas tant le volume qui est important que le symbole : les financements de la Banque mondiale vers l’industrie pétrolière et gazière ont représenté environ 1,6 milliard de dollars en 2016, à comparer aux plus de 400 milliards investis dans le secteur l’année passée.

Autre exemple, les banques françaises mettent les sables bitumineux sur le grill : BNP Paribas, Crédit Agricole, Société générale et Natixis ont annoncé qu’elles ne financeraient plus ces activités, ni pour certaines, les infrastructures de transport qui y sont associées. Le premier assureur mondial Axa a pris le même engagement tout en renforçant ses engagements précédents avec le « No new coal » soit ne plus financer les entreprises associées à tout nouveau projet de centrale à charbon, partout dans le monde.

Aligner les modèles de financement sur l’Accord de Paris


Second type d’engagements : la volonté d’aligner les modèles de financement sur l’Accord de Paris et sur les 2 °C maximum de réchauffement.
L’Agence Française de Développement a par exemple annoncé vouloir être maintenant « 100 % Accord de Paris ». C’est ainsi la première banque de développement au monde à déclarer vouloir s’aligner sur une trajectoire d’émissions de gaz à effet de serre compatible avec l’accord signé à Paris en 2015. Il faudra maintenant que d’autres banques de développement adoptent rapidement un tel engagement.

Côté grandes entreprises, plus de 320 entreprises sont engagées dans la définition de leur propre trajectoire 2 °C, autrement dit cherchent à traduire la recherche de la neutralité carbone dans leur propre modèle économique, leurs investissements, leurs produits, … Près de 100 ont déjà leur cible d’émissions validées par des tiers externes et 900 autres ont déclaré leur intention de rejoindre ce club dans les deux prochaines années !

Elles sont par ailleurs plus de 200 à s’être publiquement engagées à suivre les recommandations de la Task Force on Climate-related Financial Disclosure (TCFD). Il s’agit de recommandations volontaires sur les informations climatiques que les entreprises devraient rendre publiques pour aider les investisseurs, les organismes prêteurs, et autres acteurs à prendre de bonnes décisions financières.

Côté investisseurs, 225 grands investisseurs institutionnels représentant plus de 26 300 milliards de dollars d’actifs sous gestion (dont HSBC ou le plus gros fonds de pension public américain, CalPERS) se sont engagés à faire pression sur les 100 entreprises cotées les plus émettrices de gaz à effet de serre. Il s’agira d’abord d’aider les 100 entreprises visées par cette initiative, baptisée « ClimateAction 100 + », à mettre en place des stratégies de baisse des émissions et de reporting transparent sur le climat. Si elles jouent le jeu, elles pourront sortir de la liste. Dans le cas contraire, les investisseurs useront de leur pouvoir d’actionnaires pour sanctionner les récalcitrants.

Du coté des Etats enfin, l’OCDE a annoncé sa volonté de comparer les budgets nationaux avec ce qu’ils devraient être pour être alignés sur l’Accord de Paris. La France et le Mexique ont déjà donné leur accord pour être parmi les premiers à opérer cette comparaison. Dans quelques mois, nous saurons donc très précisément si le budget voté chaque année par l’Etat français est compatible ou non avec l’Accord de Paris. Si tel n’est pas le cas, il sera alors très difficile de justifier les actuelles subventions qui vont à l’encontre de la lutte contre le dérèglement climatique.

Quant aux fonds souverains, même si on est encore loin de l’alignement sur l’accord de Paris c’est bien la première fois qu’un engagement public est pris par ce type d’acteurs et le fait est notable. A l’initiative d’Emmanuel Macron, la Norvège, les Emirats Arabes Unis, l’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït et la Nouvelle-Zélande ont décidé de lancer une coalition inédite qui œuvrera pour diriger en priorité les financements vers l’action climatique. L’initiative sera pilotée par la France et la Norvège.

Changer les règles du jeu


Troisième type d’engagements : le changement des règles du jeu. L’enjeu n’est plus seulement d’accumuler les milliards d’investissements dans l’économie verte par les « bons élèves ». Il faut changer les règles qui régissent le fonctionnement de la totalité du système financier mondial en y intégrant le climat.

« Il est temps de déclencher un changement de comportement parmi les acteurs de la chaîne de valeur du secteur financier », explique l’exécutif européen dans le communiqué qu’il a publié à l’occasion du sommet. Au printemps 2018, il présentera un plan d’action global qui « devra stimuler le marché des produits financiers durables » en se basant sur les recommandations du groupe de haut niveau sur la finance durable pour une réforme du cadre financier de l’Union européenne. Avec pour objectif de réorienter les investissements vers des technologies et des entreprises plus durables.

Initier le changement : les engagements français


Cocorico, les grandes entreprises françaises mettent 300 milliards d’euros sur la table : 91 entreprises, représentant 1 500 milliards d’euros de chiffres d’affaires et plus de 6 millions d’emplois directs, ont lancé le French Business Climate Pledge. Ensemble, elles annoncent des investissements massifs pour passer à une société bas carbone. « De 2016 à 2020, nous prévoyons au moins 60 milliards d’euros d’investissements industriels et de R&D dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique et le déploiement d’autres énergies bas carbone », indiquent-elles. À cela, elles ajoutent 220 milliards d’euros de financements de projets contribuant à lutter contre le changement climatique, 15 milliards d’euros dans le nucléaire et 30 milliards d’euros dans le gaz.

Cocorico encore, le secteur public s’engage à travers la Charte des investisseurs publics français en faveur du climat, qui représentent 600Mds€ sous gestion, par laquelle ces institutions publiques françaises s’engagent à mettre en œuvre une approche cohérente avec les objectifs de l’Accord de Paris et déclinée en 6 principes, notamment d’intégrer le climat dans leurs décisions d’investissement.

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news-3331 Wed, 31 Jan 2018 17:19:00 +0100 L'approfondissement sociétal s'impose naturellement dans la nouvelle économie digitale... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lapprofondissement-societal-simpose-naturellement-dans-la-nouvelle-economie-digitale/ Comment éviter Jeremy Rifkin, l’homme de « La Troisième Révolution Industrielle », le chantre de l’énergie décentralisée, économiste et essayiste influent, lorsqu’il explicite dans son dernier ouvrage « La nouvelle Société du Coût marginal Zéro » le grand changement de paradigme que constitue l’émergence de l’économie sociale et solidaire à côté de l’économie capitaliste.

L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.

Son argumentaire repose sur les travaux des marginalistes autrichiens, tels que Friedrich Hayek, mais aussi sur les travaux de Frédéric Bastiat : en économie capitaliste de marché le profit se fait à la marge, que se passe-t-il donc si les coûts marginaux de production s’effondrent et tendent vers zéro ? Cette question est née de l’observation que la digitalisation permet la production et la distribution de nombreux biens et services à coût marginal quasi-nul dans de nombreux domaines qui relèvent de l’économie de la connaissance : édition, communication, divertissement, entre autres. L’Internet des objets ne fera que renforcer cette tendance. Sachant qu’à long terme le prix est égal au coût marginal, les profits disparaissent et les salaires par la même occasion. Et pourtant la demande de ces biens et services ne fait que croître, alors comment les produire ? Par les « communaux collaboratifs » répond Jeremy Rifkin, ceux ci sont des organisations qui regroupent des ressources communes et les utilisent collectivement en dehors de l’économie de marché. Utopie ? Peut-être mais des millions de ces communaux existent déjà : associations, fondations, clubs, coopératives, collectivités de toute sorte, qui sont finalement le pendant des Gafa, ces géants supranationaux de l’Internet, et se nourrissent du même terreau : la digitalisation. L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.

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news-3330 Wed, 21 Feb 2018 17:16:00 +0100 Signaux faibles et impacts forts /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/signaux-faibles-et-impacts-forts/ Il est d’usage dans le monde des affaires d’être attentif aux signaux faibles. Ce sont eux qui aideront à décrypter de possibles trajectoires, à imaginer un avenir, à tester des idées, à développer des stratégies.

Mais que dire lorsque ces signaux faibles, en général isolés ou provenant d’acteurs marginaux se transforment en signaux forts émanant des institutions les plus au cœur du système ? Lorsque ces signaux faibles se transforment en appel à agir sans tarder de la part d’acteurs aussi emblématiques que divers ?

Car c’est bien ce qui est en train de se passer pour la finance sur la question du climat. Les signaux faibles se sont multipliés entre 2000 et 2015, via diverses initiatives allant de coalitions (par exemple le CDP ; 2002), aux think tank (par ex Carbon Tracker Initiative ; 2011), aux ONG (par exemple 350.org et gofossilfree.org ; 2007) en passant par le politique (rapport Stern ; 2006) ou le scientifique (divers rapports du GIEC). Ils tentaient tous d’alerter les investisseurs sur le risque climatique. Cela semble être restés lettre morte la plupart du temps, mais ils ont malgré tout effectué leur travail d’alerte préparant peu à peu les uns et les autres par une lente diffusion du message et un élargissement du cercle des initiés, au fait que décidément le climat était bien un sujet pour les financiers.

Aujourd’hui cependant, et depuis quelques mois particulièrement, les signaux forts se multiplient, le message a peu évolué mais est désormais porté par des acteurs non pas connus pour leurs engagements philanthropiques ou activistes mais pour leurs réussites économiques et leur acceptation des règles du jeu du système économique et financier.

 

Ces signaux émanent ainsi :

Des politiques à divers niveaux :
Le G20 au travers des recommandations groupe de travail sur la transparence en matière de reporting climatique financier (TCFD) porté par le Conseil de Stabilité Financière (FSB)
L’Union Européenne au travers des recommandations du HLEG (Groupe d’experts de haut niveau) sur la finance durable particulièrement axée sur le climat pour bon nombre d’entre elles, et qui vont alimenter son plan d’action pour une finance durable
La Suède qui vient de se doter d’une loi climat particulièrement exigeante qui obligera le gouvernement à peser chaque décision budgétaire sous l’angle de son impact environnemental alors que le pays vise la neutralité carbone en 2045
La France à travers l’article 173 de la loi sur la transition énergétique et son obligation de reporting ESG et climatique sur le mode « comply or explain »
Du plus grand investisseur mondial, BlackRock dont le dirigeant Larry Flink a envoyé une lettre aux entreprises dont son groupe est actionnaire et qui a largement fait le tour de la planète. La lettre souligne (littéralement) que « Pour prospérer au fil du temps, toute entreprise doit non seulement produire des résultats financiers, mais également montrer comment elle apporte une contribution positive à la société ». Pour rappel, BlackRock pèse 6 000 milliards d’euros et est un actionnaire de référence des plus grandes entreprises mondiales.
Des entreprises puisque le dernier rapport sur les risques globaux (Global Risk Report) publié à l’occasion du Forum Economique Mondial de Davos a souligné que 3 des 5 principaux risques globaux relevaient désormais du changement climatique.
Des consultants à l’instar Mc Kinsey qui se demande aujourd’hui dans un article « From Why to Why not ? » pourquoi ne pas inverser la proposition en matière de finance durable et climatique et ne pas définir par défaut une offre de finance durable en laissant à ceux qui le veulent la possibilité de faire autrement (à l’ancienne ?) si ils le souhaitent mais renversant ainsi la nécessaire expression des choix.
Mc Kinsey, BlackRock, Forum Economique Mondial, G20, etc. : si les positions des plus grands acteurs mondiaux sont le reflet de ce qui sera la norme de demain alors il est temps pour tous les investisseurs de considérer le climat et plus largement l’impact de ses investissements comme un élément à part entière en même temps, selon la formule chère à notre Président, que les aspects financiers. Quant à nous, à La Française, nous sommes persuadés que ces éléments s’influencent mutuellement c’est pourquoi nous avons développé un modèle d’analyse stratégique qui nous permet de combiner un ensemble de critères extra-financiers et financiers qui nous donnent une meilleure probabilité d’identifier les points d’inflexion qu’une analyse financière traditionnelle ne pourrait révéler à elle toute seule.

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news-3329 Thu, 08 Mar 2018 16:28:00 +0100 Un nouveau concept entièrement imaginé par La Française, à la fois physique et digital /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-nouveau-concept-entierement-imagine-par-la-francaise-a-la-fois-physique-et-digital/ Acteur engagé dans les débats et la réflexion autour des grands enjeux macro-économiques et de transformation des modèles d’investissement, La Française lance Le Mix, un nouveau concept évènementiel autour des sujets d’actualité et les tendances de demain.

Le Mix réunit un panel d’experts autour d’une même thématique et permet des échanges constructifs avec le public et les internautes. Ce nouveau concept innovant, inspiré des émissions télévisées dans sa configuration, permet la participation au débat de manière interactive, via l’utilisation d’une application mobile. Les invités pourront ainsi poser leurs questions et répondre aux sondages tout au long de l’évènement.

Le débat sera également accessible directement via la Blueroom grâce au streaming mis en place où les internautes pourront également bénéficier de toute l’interactivité du débat.

Pour sa première édition, “Le Mix” rassemble sur son plateau, différents points de vue et domaines d’expertise sur une thématique clé : L’Impact Carbone

Problématique écologique et sociétale, mais aussi d’investissement, les émissions carbones sont au cœur des enjeux de demain. La COP 21, qui s’est tenue à Paris il y a deux ans, a constitué une étape essentielle. La publication de la loi sur la transition énergétique s’appuie sur une même dynamique, elle permet de sensibiliser les acteurs financiers à la nécessité d’évaluer leur politique en matière d’ESG et de lutte contre le réchauffement climatique.
Depuis un an et les premiers travaux pour se mettre en conformité avec l’article 173, les entreprises comme l’ensemble de l’écosystème financier ont évolué. Il existe de plus en plus d’officines qui proposent des méthodologies, dialoguent avec les entreprises et les incitent à modifier leurs pratiques. Les méthodes et les mesures progressent.

Le dernier rapport de l’Autorité des marchés financiers (AMF) souligne bien le fait que l’ISR est «protéiforme et évolutif». Chacun peut ainsi posséder ses propres définitions et ses propres référentiels.
L’intégration des critères ESG et la problématique du climat doivent s’intégrer à toutes les classes d’actifs et à toutes les catégories d’investisseurs : des fonds souverains aux gérants s’adressant aux particuliers. Tout le monde doit prendre position dans un domaine où les pistes ne sont pas encore abouties et où de nombreuses étapes doivent encore être franchies avant de parvenir à une véritable normalisation qui permettrait de déboucher sur une labellisation des fonds à impact. La lutte contre le réchauffement climatique doit s’appliquer à l’ensemble des investissements réalisés dans le monde. Il s’agit de sujet complexes à appréhender qui ne se limitent pas à des solutions simples et univoques.

C’est ce dont débattront les invités du Mix le 28 mars à 18h.

Le Mix, un rendez-vous trimestriel à ne pas manquer. Restez connectés ! #LeMixLF

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news-3328 Wed, 21 Mar 2018 16:14:00 +0100 Au-delà de l’aspect réglementaire, le changement climatique devient un enjeu d’entreprise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/au-dela-de-laspect-reglementaire-le-changement-climatique-devient-un-enjeu-dentreprise/ La réduction des émissions de carbone se traduit-elle par une surperformance financière ?


Selon Arthur Fonck, gérant actions à La Française Inflection Point, les investisseurs sont de plus en plus nombreux à reconnaître que les entreprises qui appliquent des politiques internes pour faire face au changement climatique et réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre, améliorent leur positionnement stratégique, et cela commence à se ressentir au niveau de leurs performances financières.
À partir d’un univers composé d’entreprises mondiales, nous avons adopté une approche portefeuille pour analyser l’impact des indicateurs de l’empreinte carbone sur les performances financières de sociétés. Nous avons construit des portefeuilles modèles neutres sans biais sur le plan sectoriel et géographique, comprenant des entreprises avec une empreinte carbone allant de la plus faible à la plus élevée et les résultats des back tests ont démontré que les entreprises obtenant les meilleurs résultats en matière d’émissions de carbone ont historiquement surperformé. Les taux de rendement absolus et corrigés du risque, reflètent une surperformance annualisée1 de 2,3 % et un ratio de Sharpe de 1,2 depuis 2014. Il est encore plus frappant de constater que cette corrélation s’est accrue au cours des deux dernières années ; un nombre croissant d’investisseurs et d’entreprises considèrent que les émissions de carbone représentent aujourd’hui un enjeu stratégique (source : Étude La Française Inflection Point ; période considérée : trois ans à compter de 2014).

Comment expliquer ce résultat ?


Au-delà de l’aspect réglementaire, le changement climatique devient un enjeu d’entreprise ; certaines entreprises prennent désormais des initiatives pour atténuer les risques liés au changement climatique en prenant en compte le coût des émissions de carbone. De même qu’une entreprise aux capacités sous-utilisées est considérée improductive, les émissions excédentaires sont désormais jugées contreproductives au niveau opérationnel et représentent un risque potentiel.
Jusqu’à récemment, les investisseurs responsables estimaient que les entreprises avaient tendance à maximiser leurs bénéfices en respectant, au strict minimum, les exigences réglementaires. Ce type de vision à court terme est le résultat d’une application de la réglementation sur les émissions de carbone inefficace et insuffisante. Conscientes des risques induits par le changement climatique, certaines entreprises n’ont pas attendu que les régulateurs réagissent et selon les informations du CDP, plus de 1 000 entreprises appliquent déjà un prix interne du carbone ou se préparent à le faire en 2018.

La réduction des émissions de carbone soutiendrait la rentabilité à long terme


Lorsque le coût des émissions figure sur un compte de résultat, les investisseurs peuvent identifier les inefficacités et donc favoriser les entreprises qui tendent à réduire leurs émissions. En tant que telle, la stratégie d’investissement neutre en carbone de La Française tient compte de l’impact potentiel de la réduction des émissions de carbone sur la rentabilité à long terme. Dans la valorisation des entreprises, nous tenons compte des nouvelles réglementations qui établiront le prix d’une tonne d’émission carbone.

La question de la tarification du carbone a suscité l’intérêt du public comme moyen de réduire les émissions et d’allouer les investissements vers des solutions de remplacement « propres » et source d’économies d’énergie. Certaines entreprises ont déjà pris des mesures pour mettre en place un prix interne du carbone : LVMH a récemment relevé son prix interne du carbone à 30 € la tonne ; Adobe facture à chaque département les coûts liés à leur consommation d’énergie, afin de favoriser les projets efficaces en carbone, de réduire les coûts et d’atténuer les risques pour l’entreprise.

Associer l’efficacité et la transition carbone permettrait d’optimiser les rendements


Nous avons examiné dans quelle mesure l’évolution de l’empreinte carbone d’une entreprise peut être un indicateur prédictif des performances financières. À partir de la même méthodologie de construction de portefeuilles, nous avons constaté que les entreprises leaders dans la réduction de leur empreinte carbone d’une année sur l’autre, ont obtenu des performances nettement supérieures, avec un taux de rendement annualisé de 6,3 % et un ratio de Sharpe de 1,3 sur la même période.

La stratégie d’investissement neutre en carbone de La Française vise à identifier les entreprises qui font un effort de transition vers une économie décarbonée et qui, en raison de leur positionnement stratégique, seront en mesure de générer une surperformance financière à l’avenir.

Wal-Mart, entreprise avec une forte activité de logistique et de transport, cherche à réduire ses émissions afin d’atténuer l’impact négatif potentiel des coûts sur sa chaîne de valeur. En investissant dans la technologie pour réorganiser sa chaîne de valeur, Wal-Mart a lancé le « Projet Gigatonne » et a fixé un nouvel objectif de réduction des émissions d’une gigatonne d’ici à 2030. La société fait le pari stratégique de réduire ses émissions de telle manière que ses concurrents de plus petite taille ne pourront pas répliquer une telle initiative. Si Wal-Mart n’est pas le distributeur le plus efficace en carbone à l’heure actuelle, sa détermination à réduire ses propres émissions et celles de ses partenaires, en fait une entreprise leader de la transition énergétique.

De même, le commerce électronique et sa multitude de petites expéditions, doit trouver des solutions opérationnelles pour gérer le changement climatique. Les entreprises de logistique mettent en place des solutions de livraison plus efficaces, par l’adoption de véhicules propres et l’optimisation des trajets pour réduire les délais de transport. UPS, qui a réduit la distance parcourue par ses chauffeurs de 335 millions de kilomètres, a diminué de 210 000 tonnes ses émissions de carbone et a réalisé des économies de 400 millions USD par an (Source : 2016 UPS Corporate Sustainability Report).

 

Conclusion


À en juger par le succès du One Planet Summit, l’idée préconçue que les investisseurs ne tiennent pas compte des facteurs environnementaux dans leurs décisions d’investissement a été démentie. Ils commencent à réaliser que les entreprises qui ne réduisent pas leurs émissions feront face à un désavantage concurrentiel qui pourrait avoir un impact significatif sur leur valorisation.

Des initiatives pour faire évoluer la tarification du carbone telles que les « carbon pricing corridors » du CDP, servent déjà de références aux investisseurs qui cherchent à évaluer le risque climat sur la valeur de leurs actifs. Ces initiatives couplées à une plus grande transparence des entreprises se traduiront par des décisions d’investissement averties et devraient contribuer à générer de la surperformance pour les entreprises leaders en matière de réduction des émissions de carbone.

1 La simulation des performances passées n’est pas un indicateur fiable des résultats futurs. Il existe des risques associés aux investissements en actions qui peuvent comprendre notamment les risques de change, liés aux marchés actions, marchés émergents, fonds d’investissements, de gestion, de modèle de marché, de liquidité et opérationnels.

 

Rédigé par Arthur Fonck, gérant actions à La Française Inflection Point

 

 

 

 

Avertissement :

Document promotionnel à destination des investisseurs professionnels. Les informations contenues dans cette présentation ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d’être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d’autres professionnels de l’investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d’investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.

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news-3327 Thu, 26 Jul 2018 16:08:00 +0200 La finance et en même temps le climat /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-finance-et-en-meme-temps-le-climat/ Il est d’usage dans le monde des affaires d’être attentif aux signaux faibles. Ce sont eux qui aideront à décrypter de possibles trajectoires, à imaginer un avenir, à tester des idées, à développer des stratégies. Mais que dire lorsque ces signaux faibles, en général isolés ou provenant d’acteurs marginaux se transforment en signaux forts émanant des institutions les plus au cœur du système ? Lorsque ces signaux faibles se transforment en appel à agir sans tarder d’acteurs aussi emblématiques que divers ?

Car c’est bien ce qui est en train de se passer pour la finance sur la question du climat. Les signaux faibles se sont multipliés entre 2000 et 2015, via diverses initiatives allant de coalitions (par ex le CDP ; 2002), aux think tank (par exemple Carbon Tracker Initiative ; 2011), aux ONG (par exemple 350.org et gofossilfree.org ; 2007) en passant par le politique (rapport Stern ; 2006) ou le scientifique (divers rapports du GIEC). Ils tentaient tous d’alerter les investisseurs sur le risque climatique. Ils sont restés lettre morte pour la plupart, ou plutôt ont effectué leur travail d’alerte préparant peu à peu les uns et les autres par une lente diffusion du message et un élargissement du cercle des initiés, au fait que décidément le climat était bien un sujet pour les financiers.

Aujourd’hui cependant et depuis quelques mois particulièrement, les signaux forts se multiplient, le message n’ayant que peu évolué mais étant désormais porté par des acteurs non pas connus pour leurs engagements philanthropiques ou activistes mais pour leurs réussites économiques et leur acceptation des règles du jeu du système économique et financier.

Ces signaux émanent ainsi :
Des politiques à divers niveaux :

Le G20 au travers des recommandations groupe de travail sur la
transparence en matière de reporting climatique financier (TCFD) porté
par le Conseil de Stabilité Financière (FSB).
L’Union Européenne au travers des recommandations du HLEG (Groupe
d’experts de haut niveau) sur la finance durable particulièrement axée sur
le climat pour bon nombre d’entre elles, et qui vont alimenter son plan
d’action pour une finance durable.
La Suède qui vient de se doter d’une loi climat particulièrement exigeante
qui obligera le gouvernement à peser chaque décision budgétaire sous
l’angle de son impact environnemental alors que le pays vise la neutralité
carbone en 2045.
La France à travers l’article 173 de la loi sur la transition énergétique et son
obligation de reporting ESG et climatique sur le mode « comply or explain ».
Du plus grand investisseur mondial, BlackRock dont le dirigeant Larry Flink a envoyé une lettre aux entreprises dont son groupe est actionnaire et qui a largement fait le tour de la planète. La lettre souligne (littéralement) que « Pour prospérer au fil du temps, toute entreprise doit non seulement produire des résultats financiers, mais également montrer comment elle apporte une contribution positive à la société ». Pour rappel, BlackRock pèse 6 000 milliards d’euros et est un actionnaire de référence des plus grandes entreprises mondiales.
Des entreprises puisque le dernier rapport sur les risques globaux (Global Risk Report) publié à l’occasion du Forum Economique Mondial de Davos a souligné que 3 des 5 principaux risques globaux relevaient désormais du changement climatique.

Des consultants, à l’instar de Mc Kinsey dans un article « From Why to Why not ? »,  se demandent aujourd’hui pourquoi ne pas inverser la proposition en matière de finance durable et climatique et ne pas définir par défaut une offre de finance durable en laissant à ceux qui le veulent la possibilité de faire autrement (à l’ancienne ?) si ils le souhaitent mais renversant ainsi la nécessaire expression des choix.

Mc Kinsey, BlackRock, Forum Economique Mondial, G20, etc. si les positions des plus grands acteurs mondiaux sont le reflet de ce que sera la norme demain alors il est temps pour tous les investisseurs de considérer le climat et plus largement l’impact de ses investissements comme un élément à part entière en même temps, selon la formule chère à notre Président, que les aspects financiers. Quant à nous, à La Française, nous sommes persuadés que ces éléments s’influencent mutuellement c’est pourquoi nous avons développé un modèle d’analyse stratégique qui nous permet de combiner un ensemble de critères extra-financiers et financiers qui nous donnent une meilleure probabilité d’identifier les points d’inflexion qu’une analyse financière traditionnelle ne pourrait révéler à elle toute seule.

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news-3326 Thu, 09 Aug 2018 16:06:00 +0200 Comment L’ article 173-VI impacte indirectement les gérants immobiliers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-l-article-173-vi-impacte-indirectement-les-gerants-immobiliers/ L’article 173-VI de la loi relative à la Transition Energétique pour la Croissance Verte (TECV) instaure pour les investisseurs institutionnels et les sociétés de gestion de portefeuilles une obligation de transparence vis àvis de leurs souscripteurs sur les modalités de prise en compte de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leur politique d’investissement ainsi que sur les moyens mis en œuvre pour contribuer à la transition énergétique et écologique. Il constitue ainsi une extension aux investisseurs institutionnels de l’article 224 de la loi Grenelle 2 avec une exigence accrue sur le pilier environnemental, et plus spécifiquement sur le climat. La France devient ainsi le premier pays au monde à demander aux investisseurs de publier des informations sur leur contribution aux objectifs climatiques, avec pour objectif à terme d’orienter les investissements vers des acteurs et des actifs plus “verts” et plus responsables.

Les grands principes
Le décret n° 2015-1850 prévoit deux types d’informations sur lesquels les investisseurs doivent reporter annuellement :

Des informations relatives à la politique ESG de l’investisseur : démarche générale de prise en compte des critères ESG – contenu, fréquence et moyens utilisés pour informer les clients – liste des OPC concernés par la prise en compte des critères ESG – part de leurs encours dans ceux de la SGP – Adhésion de l’entité ou des OPC à des chartes, codes, initiatives et labels ESG…
Des informations relatives à la prise en compte par l’investisseur des critères ESG dans sa politique d’investissement : description de la nature des critères ESG pris en compte – informations utilisées pour l’analyse – méthodologie et résultats de l’analyse, hypothèses retenues, exposition au risque climat et compatibilité avec les objectifs globaux et nationaux.
Tous les investisseurs concernés n’ont pas les mêmes obligations. Pour les SGP, le seuil de 500 millions retenu s’apprécie individuellement au niveau de chaque fonds géré et pour les investisseurs institutionnels, ce seuil s’apprécie au niveau de leur bilan. Les investisseurs se situant en dessous de ce seuil bénéficient d’une déclaration allégée portant uniquement sur la prise en compte des critères ESG. Les autres ont pour obligation de reporter sur les deux types d’informations. En outre ils doivent également prendre en compte le risque climatique.

Un effet d’entraînement pour les gérants d’actifs immobiliers
La plupart des acteurs immobiliers qu’ils s’agissent de foncières ou de gérants de fonds immobiliers ne sont pas directement concernés par l’article 173 – VI. Néanmoins, pour que les investisseurs soient en mesure d’analyser les risques et opportunités ESG-Climat liés à leur stratégie d’investissement, il faut que les émetteurs ou les SGP avec lesquels ils travaillent soient en mesure de leur communiquer des informations adaptées à leurs besoins. Ainsi, même s’ils ne sont qu’indirectement concernés par l’article, et qu’ils n’ont pas l’obligation de fournir un reporting “article 173” à leurs clients investisseurs institutionnels, l’effet d’entrainement de ce texte de loi a un impact significatif sur les pratiques des acteurs immobiliers tels que les SGP dont la qualité de leur propre reporting devient cruciale pour attirer des investisseurs dont la politique d’investissement est de plus en plus orientée vers la prise en compte de l’ESG et du risque climatique.
Les acteurs immobiliers ont donc tout intérêt à s’équiper pour être en mesure d’intégrer la mise à disposition de ces informations dans leur offre commerciale.

Spécificités & enjeux
L’une des spécificités importantes des SGP en immobilier réside dans le fait que le gestionnaire gère à la fois des fonds d’investissement mais aussi le patrimoine constitutif du fond, c’est-à-dire les immeubles et les relations avec leurs parties prenantes (utilisateurs – prestataires – riverains). Aussi, contrairement aux valeurs mobilières, l’investissement en immobilier ne porte pas sur un émetteur dont on analyse la politique RSE au regard de critères ESG, mais sur un actif-bâtiment dont les caractéristiques pourront être améliorées par les pratiques du gérant. La politique de gestion ESG mise en œuvre par le gérant tout au long de la vie du portefeuille peut donc revêtir un enjeu au moins aussi important que celui de la politique d’investissement mise en œuvre lors de la phase d’acquisition.
Pour cette raison, il semble pertinent pour l’immobilier de valoriser davantage les progrès réalisés durant la période de détention plutôt que la seule performance initiale de l’actif à l’acquisition. On constate d’ailleurs qu’outre l’investissement classique dans des actifs neufs et performants, un certain nombre de fonds en immobilier font le choix d’investir dans des actifs existants présentant un potentiel d’amélioration intéressant tout en s’engageant à améliorer leurs performances au cours de leur période de détention. Cette démarche leur permet par ailleurs de contribuer à l’effort de rénovation du parc existant et aux objectifs de transition énergétique et écologique.

Des enjeux ESG spécifiques
Si l’analyse ESG en immobilier s’est longtemps focalisée sur la dimension environnementale, elle se structure progressivement et sûrement sur la dimension sociale/sociétale autour de critères relatifs à l’accessibilité, la mobilité, le confort, le bien-être et la santé des occupants, les services qui lui sont rendus ou encore la mixité sociale et fonctionnelle. Enfin, si les critères de gouvernance adressés par les acteurs immobiliers diffèrent encore d’une structure à l’autre, les modalités de gestion de la relation avec les parties prenantes constituent l’un des enjeux clés du secteur. D’autres critères sont fréquemment utilisés au niveau de la SGP, en particulier l’éthique des affaires (corruption, code de déontologie, politique de gestion des conflits d’intérêts, lutte contre le blanchiment d’argent, etc.), l’existence d’un dispositif de contrôle interne des risques ESG, la transparence du reporting transmis aux investisseurs, le respect des référentiels internationaux (adhésion aux PRI par exemple), etc.

La réponse de La Française REM
Certains acteurs immobiliers comme La Française REM intègrent des critères ESG à l’évaluation d’un actif dès la phase de due diligence. Pour La Française REM, cette évaluation est réalisée à partir des informations collectées lors de la réalisation d’un audit technique appelé DiagTech. Cet outil développé en interne et utilisé depuis de nombreuses années via Internet par des auditeurs qualifiés permet de mesurer un certain nombre de critères ESG retenus pour le calcul d’un indice ISR nécessaire pour évaluer l’éligibilité de l’actif à l’acquisition.

La mise à jour des données permet à La Française REM de s’engager sur une politique d’amélioration et de communiquer de manière transparente sur les résultats obtenus.

De cette manière, La Française REM peut répondre aux attentes de ses investisseurs en fournissant annuellement la plupart des indicateurs nécessaires à la réalisation de leur reporting.

Renforcer le dialogue
Des écarts importants peuvent être observés entre les questionnaires transmis par les investisseurs et les grilles utilisées notamment pour ce qui concerne la nature des critères utilisés ou les pondérations appliquées. Certains investisseurs utilisent par exemple la même grille de notation que pour les valeurs mobilières demandant ainsi aux SGP en immobilier des informations dont elles ne disposent pas ou non pertinentes pour leur activité. De même, si les indicateurs demandés sont souvent communs avec ceux suivis par les SGP, leur définition et méthode de calcul peuvent différer, nécessitant un retraitement de l’information pouvant se révéler consommateur de temps. C’est le cas par exemple de la mesure des émissions de gaz à effet de serre, qui bien que non imposée par le décret, apparait comme incontournable aujourd’hui pour les investisseurs.

Un renforcement du dialogue entre investisseurs et SGP apparaît donc nécessaire pour permettre d’ajuster la nature des critères demandés en s’appuyant sur une meilleure compréhension des enjeux spécifiques au secteur immobilier.

Dans un second temps, un effort de standardisation du reporting ESG à l’échelle du secteur permettrait d’homogénéiser les demandes des investisseurs et d’aligner les pratiques des SGP.

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news-3325 Fri, 02 Nov 2018 15:59:00 +0100 Comment réconcilions-nous performance climatique et performance financière ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-reconcilions-nous-performance-climatique-et-performance-financiere/ Pourquoi une stratégie carbone ?
Le réchauffement climatique aujourd’hui c’est une évidence et c’est également une urgence. Tous les secteurs d’activité sont impliqués – notre rôle consiste à sélectionner ceux qui ont le plus d’impact sur le réchauffement climatique.

La Française est un acteur responsable et bénéficie d’un centre de recherche qui est dédié à ces sujets, nourrissant ainsi un grand nombre de nos stratégies.

Cette approche est à la fois une évidence pour nous et une nécessité. Le réchauffement climatique concerne tous les secteurs – il est peut-être à l’origine d’une véritable révolution industrielle.

Quelles sont les caractéristiques clés de notre approche ?
Nous distinguons trois grandes catégories d’entreprises : les plus émettrices qui doivent réduire leurs émissions de CO2, celles qui apportent des solutions aux précédentes et enfin celles qui produisent de l’énergie verte. Notre stratégie consiste à combiner ces trois types d’entreprises afin de maximiser l’impact sur le climat de notre portefeuille.

À titre d’illustration, prenons l’exemple d’UPS, leader mondial du transport : en optimisant leur réseau de logistique, UPS a réduit ses émissions de CO2 de plus de 10% tout en baissant ses coûts de 400 millions de dollars par an. C’est l’exemple typique du facteur carbone où la réduction des émissions rime avec amélioration de la profitabilité !

Cette approche exige un travail d’analyse approfondie sur un univers qui est assez large, et c’est ici qu’intervient notre équipe d’analyse extra-financière, située à Londres. Nous travaillons main dans la main pour identifier les entreprises les plus pertinentes à travers un large spectre de critères : environnemental, social et de gouvernance, ainsi que l’analyse de leur empreinte & politique carbone.

Et quid de la performance financière ?
Nous sommes assez ambitieux – parce que nous avons une double exigence.
La première consiste à avoir un bon profil climatique – la deuxième, la performance financière… l’un n’allant pas sans l’autre.

Nos recherches démontrent clairement que les entreprises qui participent à la réduction du réchauffement climatique ont aussi une meilleure performance financière – c’est à dire de nouvelles opportunités de croissance et création de valeur pour les entreprises.

Notre stratégie, qui existe en version monde et en version zone euro, permet d’allier la participation à la transition énergétique et la recherche de performance financière. À ce titre, de nombreux investisseurs de renom nous ont fait confiance.

 

 

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news-3322 Thu, 18 Apr 2019 15:53:00 +0200 Les nouveaux défis en matière d'immobilier durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-nouveaux-defis-en-matiere-dimmobilier-durable/ Il est temps cependant de regarder au-delà des questions liées au climat et à l’énergie.
L’avènement des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et les grandes tendances mondiales obligent le secteur à réfléchir différemment à sa manière d’aborder la durabilité.

La pression des investisseurs, la réduction des risques et l’amélioration de la réputation, associées à un environnement réglementaire plus strict et au besoin de programmes de réduction des coûts, vont continuer d’influencer les pratiques en matière de RSE dans le secteur, mais de nouveaux thèmes ESG émergent aux côtés de ceux existants qui, nous semble-t-il, nécessiteront des modèles de notation plus inclusifs, flexibles et liés aux ODD.
Parmi ces thèmes émergents, nous en avons identifiés certains qui nous paraissent essentiels et qui sont systématiquement inclus dans notre modèle d’évaluation :

ENVIRONNEMENT

Certifications et normes : au-delà des systèmes d’évaluation environnementale des bâtiments mis au point dans le monde entier (il en existerait plus de 600 différents du BREAM au LEED en passant par HQE en France) d’autres types de certifications apparaissent répondant à de nouveaux besoins. Ainsi en va-t-il de la norme et de la certification WELL étroitement liées à la santé et au bien-être. De même le nouveau phénomène de notation par la communauté apparaît comme une option et concerne non seulement les bâtiments, mais également des espaces publics tels que les places, parcs et rues.
Demande en énergie et changement climatique : avec des durées de vie moyenne de 50 à 100 ans, les bâtiments neufs engagent les émissions de CO2 sur des durées très longues. L’urbanisation au niveau mondial s’accroit considérablement, en Chine par exemple la consommation énergétique des bâtiments pourrait augmenter de 40 % au cours des 15 prochaines années. Selon le World Green Building Council, pour rester sur un objectif 2° C, il faut modifier considérablement notre niveau d’ambition afin d’avoir, d’ici à 2050, des bâtiments à zéro émission.
Utilisation de l’eau et gestion des déchets : le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau a révélé que la demande mondiale en eau douce dépasserait de 40 % l’offre en 2030. Le changement climatique, la croissance démographique, les usages, vont entrainer des pénuries d’eau de plus en plus courantes aussi bien en milieux urbain que rural. Les grandes villes risquent réellement de manquer d’eau, notamment Tokyo et Londres, aussi surprenant soit-il. Faute de nouvelles ressources, il faut travailler sur une meilleure gestion de l’eau : ainsi les eaux usées provenant de la collecte des eaux de pluie, des tours de refroidissement, des douches et toilettes pourraient être collectées et traitées. Le problème des déchets est aussi crucial et les pressions réglementaires sont de plus en plus forte pour interdire notamment la mise en décharge des déchets de construction et de démolition et améliorer le recyclage.

SOCIAL

Santé et bien-être des occupants : afin de concurrencer les bâtiments à la pointe de la technologie, il est essentiel de répondre aux besoins des occupants, mais également des employeurs. Les entreprises qui font face à une pénurie de main-d’oeuvre qualifiée peuvent attirer les talents en partie grâce à des lieux de travail inspirants.
Urbanisme et Résilience : avec le changement climatique, le nombre de phénomènes météorologiques extrêmes a considérablement augmenté au cours des dernières années et va continuer de croître. Cela implique de prendre en compte prioritairement le facteur résilience dans les plans de conception et de construction des bâtiments. Les villes doivent mieux se préparer à de tels risques et à devenir plus résilientes dans tous les aspects du paysage urbain – physiquement, économiquement et socialement.
Sur un marché du logement concurrentiel, on assiste à une course aux armements pour de nouvelles commodités. Les salles de sport sophistiquées et les accès aux rooftops sont de plus en plus courants, les programmes disposent à présents de salle de cinéma, des jardins communaux et d’accès à un espace de travail collaboratif.
GOUVERNANCE
Gestion : il est nécessaire de redéfinir l’immobilier pour y inclure les services et les infrastructures. Les utilisateurs souhaitent aussi plus de flexibilité afin de pouvoir répondre aux besoins changeants des secteurs résidentiel et commercial. Cela nécessite une gestion des actifs et des investissements plus intensive.
Innovation et technologie : la disruption technologique est un phénomène à prendre en compte, bien que ce soit moins coutumier dans le monde de l’immobilier que dans d’autres secteurs. Pourtant la gestion de son image sur les réseaux sociaux par exemple est essentielle. L’adaptabilité et la réactivité face au nouvel ordre mondial doivent faire partie de l’arsenal ESG d’une entreprise.
Au final, il nous semble qu’une approche traditionnelle des questions ESG – centrée essentiellement sur l’énergie et les problèmes connexes liés au changement climatique, ne sera pas suffisante pour comprendre et analyser les performances futures des sociétés immobilières et les attentes en matière d’immobilier durable. Les investisseurs et les analystes du secteur immobilier doivent élargir leurs horizons et élaborer des métriques ESG qui prennent en compte l’ensemble des nouveaux défis.

L’étude intégrale rédigée par La Française Forum Securities (LFFS) et Global Property Research (GPR) est à retrouver en ligne.

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news-3321 Thu, 18 Jul 2019 15:50:00 +0200 Analyse de scénario et climate Value-at-Risk /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/analyse-de-scenario-et-climate-value-at-risk/ C’est à Londres le 10 mai dernier que la vingtaine d’investisseurs(1) de 11 pays, dont La Française, ayant participé au groupe de travail pilote de l’UNEP FI sur la mise en oeuvre des recommandations en matière de reporting climatique(2) ont partagé les résultats de leurs réflexions et des études de cas menées sur l’impact sur leurs portefeuilles de différents scénarios climatiques. Le rapport : « Changing Courses », téléchargeable a été présenté et discuté lors d’une après-midi de lancement, en présence de plus de 300 personnes et après des discours introductifs de la Directrice Générale d’Aviva UK, Angela Darlington et de Sarah Breeden, Executive Director de la Banque d’Angleterre.

Se voulant un outil permettant aux autres investisseurs de mieux comprendre comment faire le lien entre risques financiers et climat, il fournit un état des lieux des méthodologies d’analyse de scénarios climatiques puis se concentre sur la méthodologie utilisée par le groupe de travail pilote et testée par les investisseurs afin d’évaluer l’impact du changement climatique sur leurs portefeuilles. Il détaille également certaines études de cas partagées par les 20 investisseurs pilotes et synthétise leurs retours d’expérience.

Pour La Française, participer à ce groupe de travail nous a permis de rester à l’avant-garde de la finance climatique. En tant qu’investisseurs, nous sommes exposés aux risques et opportunités climatiques dans nos portefeuilles car les entreprises dans lesquelles nous investissons doivent s’adapter dans cette période de transition vers une économie bas-carbone. Et mesurer la résilience de nos portefeuilles au changement climatique est un enjeu clé mais complexe, reposant sur de multiples hypothèses évaluant l’impact du changement climatique sur les différentes entreprises dans une vision dynamique et prospective. Un exercice jusque-là trop difficile et donc peu accessible, reposant de plus sur des méthodologies encore balbutiantes et destinées à évoluer.
C’est pourquoi s’associer avec d’autres grands investisseurs engagés au sein de ce groupe de travail pour partager nos questions et faire avancer la réflexion de manière structurée faisait sens. Lors de la période de tests du nouvel outil que représente la Climate Value-at-Risk (CVaR) développée par Carbon Delta, nous avons pu discuter des hypothèses faites par Carbon Delta et en tant que groupe les challenger. Puis nous avons analysé avec cet outil certains de nos portefeuilles à l’aune de divers scénarios climatiques. Même si les résultats doivent encore être améliorés, la Climate VaR nous apporte un nouvel éclairage sur les risques climatiques en prenant en compte les risques de transition comme les risques physiques, en incluant des éléments prospectifs via les brevets déposés par les entreprises et enfin en proposant un choix -essentiel nous semble-t-il- de divers scénarios climatiques basés sur des projections d’un monde à 1,5°, 2°ou 3°. C’est un outil innovant qui vient compléter nos propres analyses fondamentales et que nous pensons utiliser à terme dans la gestion de nos portefeuilles comme un des éléments d’analyse de la résilience des entreprises au changement climatique.

Nous aspirons à que le rapport « Changing Courses » permette de diffuser ce que nous avons appris à un public plus large d’investisseurs partageant les mêmes préoccupations et d’aider à une harmonisation relative des reporting climatiques des entreprises et donc des investisseurs.

(1) Addenda Capital, Afore Citibanamex, Aviva plc, Bentall Kennedy, CDPQ, CDL Group, City Developments Limited, Desjardins, DNB Asset Management, Investa, KLP Kapitalforvaltning, La Française Group, La Salle Investment Management, Link, M&G Prudential, Manulife Investment Management, Nordea Asset Management, Norges Bank Investment Management, Rockefeller Capital Management, Storebrand Asset Management, TD Asset Management,
(2) Recommandations de la TCFD, Task-force on Climate-related Financial Disclosures, www.fsb-tcfd.orgA

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news-3320 Wed, 24 Jul 2019 15:30:00 +0200 Le contraste entre les positionnements stratégiques d’Unilever et Kraft-Heinz /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-contraste-entre-les-positionnements-strategiques-dunilever-et-kraft-heinz/ La publication des résultats 2018 de Kraft-Heinz, un des grands de l’industrie agro-alimentaire américain, a été pour le moins agitée. Le management a réduit les dividendes, revu à la baisse ses estimations de profit, affiché une perte de 12,6 Mds de dollars pour le trimestre et révélé une enquête de la SEC (Securities & Exchange Commission) sur ses pratiques comptables. Dans la foulée la valeur de l’action a chuté à mesure que les analystes se posaient des questions sur la viabilité de la stratégie de l’entreprise. Des évènements qui font écho à notre inquiétude lorsque Heinz a sans succès tenté d’acquérir Unilever en 2017. La différence intrinsèque en matière de vision et de stratégie des deux entreprises se traduisait notamment par des cultures aux antipodes difficilement réconciliables.

Kraft-Heinz résulte d’une fusion à l’époque soutenue par Berkshire Hathaway et 3G Capital. Le poste de CEO et les principales fonctions du CA ont alors échus aux représentants des acquéreurs avec pour objectif de mettre en place une stratégie agressive de réduction des coûts et de repérer de nouvelles cibles à acquérir. Une méthode plus centrée sur la profitabilité que sur la croissance, et qui pouvait se comprendre dans un contexte de ralentissement des perspectives de croissance dans les marchés émergents, de compétition de nouvelles marques indépendantes ou de marques distributeurs, de l’e-commerce et des discounters. Après l’échec de la tentative de rachat par Kraft-Heinz, Unilever a adopté un modèle similaire de réduction des coûts et doublé ses objectifs d’économies. Mais ces mesures ont été prises par une organisation qui avait déployé depuis longtemps une stratégie de croissance durable et sur le long-terme.

Le contraste entre les positionnements stratégiques d’Unilever et Kraft-Heinz peut s’analyser par le prisme des impacts environnementaux et sociaux :

  • Sur les aspects sociaux, Kraft-Heinz a systématiquement été le dernier ou presque du Access to Nutrition Index, une initiative multi parties prenantes qui évalue les stratégies en matière de nutrition des plus grands producteurs alimentaires. Unilever a de son côté systématiquement été un leader de cet Index, ce qui n’est guère surprenant sachant que l’entreprise avait dès 2003, et bien avant tous ses concurrents, mis en place un programme « d’amélioration de la qualité nutritive alimentaire ».
  • Sur l’environnement, Kraft-Heinz a pour objectif de réduire de 15 % d’ici 2020 les émissions de CO2 liées à sa production. Ses initiatives pour s’engager sur les émissions de l’ensemble de sa chaîne de valeur sont quasi-inexistantes. Unilever de son côté, prévoit de réduire à 0 ses émissions d’ici 2030. Mais ayant déjà compris il y a plus de 10 ans que la majorité de ses émissions ne provenait pas de sa propre production mais plutôt de sa chaîne d’approvisionnement et de la consommation de ses produits, l’entreprise a mis en place un plan de réduction des impacts de ses produits -dans une vision cycle de vie- de 50 % d’ici à 2030. Un objectif ambitieux qui nécessite de se confronter à la difficulté de réduire les impacts carbone de la consommation de ses produits comme les émissions de l’agriculture nécessaire aux matières premières.

Le management de Kraft-Heinz a peut-être eu le coup de semonce nécessaire pour revoir sa stratégie à long-terme. Lors de la conférence téléphonique présentant les résultats, puis par la suite, les analystes ont largement critiqué l’entreprise pour son décalage avec les modes de consommation. Une critique que l’on imagine mal s’appliquer à Unilever.

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news-3319 Thu, 18 Jul 2019 15:28:00 +0200 Réintroduire la nature en ville, c’est bon pour la planète… et pour les citoyens ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reintroduire-la-nature-en-ville-cest-bon-pour-la-planete-et-pour-les-citoyens/ L’agriculture urbaine et périurbaine est une forme émergente ou plutôt réémergente de pratiques agricoles effectuées en ville.
Ces activités (petits élevages, jardins, aquaculture…) ont toujours existé dans les villes ou à proximité pour des raisons pratiques d’approvisionnement alimentaire. Depuis l’antiquité, les villes ont ménagé des espaces d’habitation, d’artisanat (puis d’industrie) et d’agriculture. Si avec la croissance démographique, les champs ont progressivement disparu du centre des villes, des parcelles plus petites et de très nombreux jardins y occupent toujours une place significative. Le cycle court de production et le rendement au m² (un mètre carré de jardin peut fournir 20 kg de nourriture par an) justifient cette pratique.
Actuellement, à l’échelle de la planète, on assiste à un intérêt croissant des divers acteurs de la société pour les projets d’agriculture urbaine en tant que vecteur de transition écologique : alimentation durable, lien social et bien-être des populations, projets participatifs, éducation à l’environnement, paysages, etc.
C’est dans ce contexte que La Française a lancé en collaboration avec la société MUGO une étude visant à évaluer, sur un certain nombre d’actifs qu’elle gère pour le compte de ces SCPI, le potentiel de développement de la biodiversité à travers, entre autres, la mise en oeuvre de jardins d’agriculture urbaine.
Avec cette opération d’envergure, La Française souhaite réintroduire la nature en ville, dans le but de préserver la biodiversité et de faire en sorte que les villes soient à la fois vivables, pédagogiques et nourricières, et cela grâce au végétal.
La première l’opération pilote située à Puteaux sur le Campus AVISO (un ensemble immobilier de 18 000 m² de bureaux occupés par plus de 850 salariés) a récemment reçu la visite des membres de l’Observatoire de l’Immobilier Durable dont La Française REM est membre fondateur et à la Présidence depuis 2015.
Le site de Puteaux a été retenu grâce à une situation géographique favorable, à proximité de l’ile de Puteaux et du bois de Boulogne, et surtout grâce à la présence d’une surface de toiture déjà végétalisée sur un substrat de 70 cm de terre végétale.

Composé autrefois de pelouses sans intérêt et d’arbres ornementaux, cet espace était finalement peu attrayant et par conséquent peu fréquenté. « Quand on prend un projet, on voit l’état de l’existant, et le potentiel. Il n’y avait aucun usage sur les pelouses, une biodiversité réduite, pas de pédagogie avec les occupants et un entretien coûteux », a détaillé Antoine Guibourgé (Directeur de MUGO) lors de cette visite. « Le paysage se développe en ville, mais cela a un coût. Il faut que le projet soit réalisable et qu’il se maintienne dans le temps. Il fallait ici que l’entretien du nouveau site ne coûte pas plus cher que précédemment. Dans ces espaces urbains très minéraux, il s’agit dans un premier temps de créer un lieu propice au retour de la biodiversité, même de façon modeste, grâce à un jardin multifonctionnel dépassant la fonction ornementale ».
A Puteaux, les arbres au feuillage persistant ont été remplacés par des arbres au feuillage caduque et des fruitiers afin d’appuyer le retour de la microfaune du sol. Un arbre fruitier, en plus de donner des fruits comestibles, est mellifère (le pollen des fleurs est utilisé par les abeilles pour fabriquer du miel), sert de gîte pour les oiseaux, et constitue un lieu de rencontre pour les gourmands.
« Dès que l’on a pu remplacer les vivaces et les arbres ornementaux par des plantes comestibles en libre-service, on l’a fait », indique Antoine Guibourgé. Bourrache, sauge, thym, salades, framboisiers, groseillers et autres végétaux comestibles composent le jardin potager, dont une partie est entretenue de manière associative par les résidents qui souhaitent cultiver leurs propres plants. Le paillage de lin installé cet hiver pour protéger les jeunes plants du froid et maintenir l’humidité dans le sol a essaimé une multitude de graines qui donnent aujourd’hui de jolies plantes aux fleurs bleues, conservées parmi les autres plantes. La nature reprend ses droits ! Les 7 pensionnaires du poulailler font la joie, parmi les occupants du site, des amateurs d’oeufs bio qui apportent leurs boîtes à oeufs pour la distribution gratuite. Les poules sont nourries aux grains et aux
« déchets verts ». Enfin, un peu à l’écart de ce jardin de cocagne, six ruches assureront une production de miel estimée de 10 à 20 kg par an.
Tout a été pensé comme une expérimentation, avec pour objectif de prouver la faisabilité d’une agriculture urbaine à Paris. L’étude préalable des sols a démontré qu’ils étaient compatibles avec une activité agricole raisonnée, grâce à l’absence de métaux lourds et de particules d’hydrocarbure, même si le quai de Dion Bouton en contre-bas est fortement fréquenté par le trafic automobile.
L’approche est celle d’un jardin circulaire : rien ne rentre (pas d’intrants chimiques), rien ne sort. Les « déchets » verts alimentent le compost tandis que l’eau de pluie est récupérée pour un arrosage réduit. En règle générale, un maraîcher doit disposer de 1 à 2 hectares en pleine terre pour vivre de son activité, à faible marge. Ce n’est donc pas ici un modèle productif. Pour le « premier printemps » de ce potager, inauguré il y a quelques mois seulement, il n’y a pas d’engagement formel sur des objectifs quantitatifs de production. Les estimations par an sont de l’ordre de 1 tonne de légumes, 145 kg de petits fruits en libre-service (framboises, cassis, groseilles), 800kg de pommes et poires, plus de 3 000 plantes aromatiques pour la production de tisanes (séchoir à disposition) et 1 500 pots de miel. Une terrasse en bois est installée au milieu du potager pour y installer un mini marché (par semaine ou par quinzaine) qui pourra être l’occasion de distribuer aux résidents les produits récoltés.

Un des principaux objectifs de cette initiative est de favoriser le confort et le bien-être des occupants ainsi que le lien social au sein même du campus. La création de ces 2 000m² de jardins maraîchers a été ainsi très bien reçue par les occupants. Dans sa conception, le jardin accueille différents espaces : potager participatif et pédagogique (l’entretien d’une partie du site est assuré par des occupants volontaires, organisés en micro-association d’une quarantaine d’adhérents, formés par Mugo à raison de quatre sessions par an), terrain de pétanque, terrasses en bois pour les évènements des résidents en extérieurs, installation de mobilier sur les pelouses propices à l’échange, aux repas entre collègues ou à la contemplation. Par ailleurs, le RIE s’inscrit aussi volontairement dans cette démarche, en organisant des évènements de convivialité au moment des repas à l’extérieur pour profiter du jardin.

Quels enseignements pour le secteur de l’immobilier ?
Une telle initiative ne peut être réalisable sans la conviction et l’élan du propriétaire. Si l’annonce et la présentation du projet ont suscité un réel engouement de la part des occupants du Campus, l’expérimentation requiert néanmoins de la prudence quant à son maintien dans le temps. « Un projet d’agriculture urbaine est à prendre avec beaucoup d’humilité », indique prudemment Gérard Degli Esposti, Directeur de l’ISR immobilier – La Française REM, et Président de l’OID. Mais aujourd’hui l’engouement est tel qu’il promet de belles années à ce jardin maraîcher.
Au-delà de l’impact de la nature sur le confort et le bien-être des citoyens, le retour de la production maraîchère en ville et la biodiversité qui l’accompagne (oiseaux, fleurs, fruits) est également une manière de valoriser des espaces souvent délaissés et peu fréquentés, et un bel exemple d’engagement sur des problématiques centrales très actuelles.
Dépassant l’opération de marketing qui est souvent et à juste titre mise en avant, l’agriculture urbaine exerce un pouvoir attractif sur les occupants en ce sens qu’elle représente un espace de bien-être physique et moral, mais également un lieu d’expérimentation, de pédagogie et de participation citoyenne autour de la biodiversité et de l’alimentation.

A Puteaux -les visiteurs de l’Observatoire de l’Immobilier Durable ont pu le vérifier- le jardin d’agriculture urbaine participe au développement du bien-être et au renforcement du lien social. Mais on peut également constater son rôle dans l’intégration du Campus dans le territoire comme en témoigne les nombreuses questions posées par le voisinage sur une possible et prochaine ouverture au public. Grâce à la ré-introduction de la nature en ville, parler d’intégration et de mixité sociale et urbaine lorsqu’on évoque l’immobilier tertiaire socialement responsable prend tout son sens.

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news-3318 Thu, 26 Sep 2019 15:23:00 +0200 Dans un contexte pressant, des actions concrètes. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/dans-un-contexte-pressant-des-actions-concretes/ Malgré nos vacances ensoleillées et les mines bronzées, les nouvelles climatiques de l’été n’ont pas été bonnes. Le GIEC, en général plutôt modéré dans ses propos, a publié 2 rapports alarmants, l’un sur le lien entre changement climatique et l’usage des terres, et l’autre sur l’état de nos océans et des glaciers.

Les conditions météorologiques de l’été ont été clairement anormales, tant en France avec 87 départements concernés par des restrictions d’eau, dont 41 en situation de crise, qu’à l’international avec la multiplication des incendies à des échelles encore jamais atteinte en Amazonie mais également en Afrique ou encore avec l’ouragan Dorian.

Les engagements de la COP 21, déjà insuffisamment ambitieux, ne sont pas, ou très peu, respectés par les Etats signataires et les mauvaises nouvelles s’invitent de plus en plus dans l’actualité. C’est le cas dans la presse quotidienne, à la radio et dans les journaux TV. Mais ce fut aussi le cas lorsque les grands de ce monde, réunis pour le G7 à Biarritz, ont mis sur la table les incendies en Amazonie et les dangers liés à la déforestation de ce poumon vert et sommé le Président Bolsonaro de réagir en proposant de l’aider à lutter contre ces incendies.

Les -mauvaises- nouvelles climatiques se sont également invitées à l’Assemblée Nationale où Valérie Masson-Delmotte a enfin pu présenter aux parlementaires le dernier rapport spécial du GIEC sur le climat datant d’octobre dernier grâce à… Greta Thunberg !

Enfin le climat s’est invité au Rassemblement des Entrepreneurs Français, l’ex-Université d’été du MEDEF : bon gré (car c’était en partie le thème : No(s) Future(s)) – mal gré (parce que de jeunes étudiants sont venus bousculer les entreprises avec leur Manifeste pour un Réveil Ecologique).

La Déclaration pour un Capitalisme des Parties Prenantes de la puissante Business Roundtable aux Etats-Unis, qui propose de mettre fin à la toute-puissance des actionnaires, nous prouve que ces mauvaises nouvelles peuvent aussi conduire à des prises de conscience et à des changements dans notre modèle de société. Changements que l’on appelle de nos voeux en France en général et à La Française en particulier.

C’est dans ce but que nous continuons à nous organiser pour rendre encore plus visible et efficace notre engagement, avec notamment la nomination de Laurent Jacquier-Laforge, au poste Global Head of Sustainable Investing. Il aura la responsabilité d’incarner et de porter en interne comme en externe l’engagement du Groupe La Française en matière d’investissement responsable sur l’ensemble de ses expertises. Il s’appuiera notamment sur Inflection Point by La Française, notre centre de recherche extra financière du groupe basé à Londres.

Le Groupe est pleinement conscient de la nécessité de faire de la pédagogie, car faire bouger les lignes n’est possible qu’avec la volonté du plus grand nombre. Ainsi, en cette rentrée, profitant des PRI* dont La Française est sponsor, nous avons mis en place un bel évènement suivi à la fois en présentiel et en streaming, sur le thème de l’impact investing. Avec notamment une introduction d’Eric Salobir, et la participation de Valérie Masson Delmotte (GIEC), la table ronde s’est construite autour de 3 sujets : Grand Paris – l’impact des métropoles ; Des trajectoires pour mesurer la transition ; Pédagogie pour l’impact.

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news-3317 Mon, 30 Sep 2019 15:20:00 +0200 Eric Salobir nous exhorte : « Follow the money “ /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/eric-salobir-nous-exhorte-follow-the-money/ C’est avec l’injonction “Follow the money” que le frère Eric Salobir a interpellé son auditoire. Follow the money c’est sans doute ce qu’il faut faire pour parler d’éthique et technologie. Ces deux mots placés dans la même phrase nous semblent une évidence aujourd’hui, mais ce n’était pas le cas il y a seulement 3 ou 4 ans… Scandales à répétition, RGPD, prise de conscience des problèmes liés a l’usage des données personnelles, ont amené le public, notamment les jeunes générations, à se questionner sur l’innovation, qui finalement n’est peut-être pas nécessairement synonyme de progrès. À tel point qu’il est légitime de se questionner : doit-on s’attendre à un éclatement d’une bulle Tech, qui pourrait être encore plus important que ce que nous avons connu avec la bulle Internet ?

Ces réserves sont sans doute dues au fait que la nouvelle technologie numérique se fonde sur un modèle économique qui est le modèle du choix maximum et de la liberté maximum, mais aussi, en corollaire, du repère minimum et de la confiance minimum. On choisit, on compare, on saute de prestataire en prestataire et au fond il n’y a plus de lien, plus de fidélité. Et c’est avec une utilisation intensive du scoring que nous tentons de recréer de la confiance et de la sécurité. Il parait à présent naturel à chacun de noter son chauffeur VTC ou son service hôtelier ! Le numérique envahit maintenant le domaine régalien de la monnaie. Or toute monnaie repose sur la confiance car la monnaie fiduciaire n’a pas de valeur intrinsèque. Avec la crypto monnaie il n’y a finalement plus besoin de la confiance, la confiance est remplacée par des algorithmes, des Smart Contract. Et finalement, à partir de contingence financière, nous jetons les bases d’une certaine forme de société.

Follow the money, c’est réaliser que ceux qui ont le pouvoir de donner vie aux rêves ce sont ceux qui investissent dans ces rêves et qui les transforment en projet. Les investisseurs sont donc en première ligne.

S’il y a une éthique du business, l’éthique peut être aussi un business en soi et certains peuvent être tentés d’en faire profit en oubliant la finalité, comme ce fut le cas parfois avec l’écologie. Le cas de la voiture électrique vendue comme ne polluant pas, mais qui est rechargée avec une électricité produite au charbon est un bon exemple. Le greenwashing peut entrainer des pertes de confiance et il faut prendre gare à ce que le même phénomène ne se reproduise avec les technologies.

En fait Il faut changer de mentalité et arrêter de penser « profit » pour penser « valeur ». C’est toujours une donnée financière, mais le profit est au compte de résultat et la valeur est au bilan, ainsi on passe d’une vision court-termiste à une vision de long terme et on se questionne :  qu’est-ce que je construis ? que vais-je léguer ?

La bonne attitude est donc de fonder la valeur sur des Valeurs. Avoir une volonté affichée en phase avec les valeurs, c’est ça au fond l’impact investing, utiliser des flux financiers pour quelque chose qui va bien au-delà du flux financier, pour transformer la société.

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news-3316 Thu, 10 Oct 2019 15:17:00 +0200 Un aperçu des principales catégories que recouvre l’investissement responsable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-apercu-des-principales-categories-que-recouvre-linvestissement-responsable/ La Française s’est saisie de l’Investissement Responsable (IR) et en a été un acteur actif depuis des années. Alors que ce concept initialement de niche est en passe de devenir mainstream, il est aujourd’hui important de bien le comprendre ce qui ne va pas toujours de soi. A cet effet voici un bref aperçu des principales catégories de l’IR : L’IR en lien avec la composition d’un univers d’investissement
– Les exclusions éthiques dont le but est d’aligner les valeurs personnelles avec ses investissements en excluant certaines activités de son univers d’investissement comme le tabac, l’alcool, le jeu, l’armement, l’énergie nucléaire, les OGM, les tests sur les animaux, etc. Appelé également screening négatif, il repose sur des contraintes de nature subjectives,
représente la plus ancienne forme de l’investissement responsable et correspond souvent à des mandats de clients de type fondations, organisations religieuses ou family offices.
– Les exclusions normatives. A l’opposé de la nature subjective des exclusions éthiques, les exclusions normatives reconnaissent que certaines valeurs sont devenues universelles, acceptées par la société au sens large, et mises en œuvre par les gouvernements. Ce sont par exemple les exclusions des armes controversées ou celles liées au Pacte Mondial des Nations-Unies. Elles sont devenues la base de beaucoup de politiques d’investissement de sociétés de gestion et sont mises en œuvre à l’aide de données et/ou scores ESG en vue d’éliminer un risque.

L’IR en lien avec la sélection des investissements individuels
– L’intégration ESG permet d’accéder à plus d’informations afin de prendre des décisions d’investissement en intégrant des données non-financières. En général ces données sont classées par enjeux Environnementaux, Sociaux ou de Gouvernance (ESG). Cette approche peut être mise en œuvre via des règles (quant) ou être discrétionnaire (stock picking) ou en utilisant les deux à l’instar des gérants actifs de La Française qui profitent de nouvelles sources de données et cadres analytiques. L’intégration ESG traduit des facteurs risques- rendement non financiers en performance d’investissement.
– L’engagement actionnarial comprend le vote actif en assemblées générales et l’engagement auprès des sociétés détenues. L’engagement sur des facteurs ESG a été repris dans de nombreux Codes de Gouvernance dans le monde et fait partie de la panoplie des outils à la disposition de gérants actifs comme La Française. Il est promu par les PRI*.
– L’investissement thématique durable. L’investissement thématique ne date pas d’hier. Les stratégies de construction de portefeuille bâties autour d’un thème environnemental ou social sont considérées comme des investissements thématiques ESG ou durables.
– L’impact investing ou investissement à impact est une catégorie historiquement réservée au private equity et à la philanthropie. Dans ce cas la préservation du capital n’est pas toujours un pré-requis afin de pouvoir générer un impact social ou environnemental. Les ODD** ont ouvert
le débat pour élargir cette définition à des investissements permettant de générer également de la performance financière. Ce type d’investissement va plus loin que les deux précédents puisque les impacts sur l’environnement ou la société doivent être intentionnels et mesurés.
Ces catégories ne sont pas mutuellement exclusives. En fait, la plupart des produits d’Investissement Responsable incorporent plusieurs catégories à l’image de notre stratégie actions Carbon Impact. Les indications données par la politique d’investissement d’un produit permettent de déterminer à quelle catégorie(s) principale(s) d’IR se rattachent celui-ci.

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news-3315 Thu, 05 Dec 2019 15:14:00 +0100 Faire [re]naitre l’espoir et faire émerger des projets liés à la nature. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/faire-renaitre-lespoir-et-faire-emerger-des-projets-lies-a-la-nature/ Le 24 octobre, Bercy a accueilli le troisième One Planet Summit.
Cet évènement, qui a été créé dans le but de mobiliser la finance au service du climat, avait cette année pour thème la Blended Finance. Il s’agit de la capacité de la finance publique à investir dans des projets afin d’attirer des capitaux privés en réduisant le risque.

« We need Hope ! » Tel était le message d’introduction de Brune Poirson, Secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire. Suivant une tendance qui se dessine depuis quelques mois, l’attention était portée sur les Océans, l’agriculture, la biodiversité. En effet on ne parle plus seulement Energie et Climat car comme l’a souligné Jennifer Morris, présidente de Conservation International « Le meilleur moyen de réduire nos émissions carbone, c’est la nature elle-même. Elle représente 30 % de la solution, mais ne reçoit que 2 % des investissements ». D’ailleurs, en conclusion de la journée, Brune Poirson a déroulé une feuille de route très claire pour tous les acteurs financiers et politiques présents : « D’ici l’année prochaine, nous devons faire émerger des projets liés à la nature ».

Pendant ce temps au Chili, en Equateur, au Liban, la colère gronde. Avec moins de violences peut-être, mais portant toujours sur la question du pouvoir d’achat, les manifestants en Irak, au Venezuela, en Espagne et encore toujours les gilets jaunes en France militent pour un changement en profondeur de nos sociétés. La transition écologique, financière, politique, sociétale doit être une transition juste qui emmène tout le monde, quel que soit le niveau social. Il ne faut pas perdre de vue que nous vivons sur une planète où, en 2018, les 26 milliardaires les plus riches possédaient autant que les 4 milliards d’humains les plus pauvres*

Des bonnes nouvelles ? il nous en vient quelques-unes du Sommet Climat de l’ONU qui a eu lieu à New-York le 23 septembre :
– Moscou a annoncé la signature d’une résolution gouvernementale consacrant l’adhésion définitive de la Russie à l’Accord de Paris sur le climat – Avec l’annonce de l’Autriche, du Chili, de l’Italie, du Japon et du Timor Oriental, ce sont désormais 66 pays qui se sont engagés dans la Carbon Neutrality Coalition
– Dix-neuf entreprises, parmi lesquelles des géants du secteur agroalimentaire, ont présenté une coalition visant à protéger la biodiversité – Même Amazon s’engage et nous annonce viser la neutralité Carbone pour 2040 !

De son coté au fil des mois La Française continue à s’engager avec ses partenaires. La nature était aussi un sujet central de la conférence que l’OID a tenue dans les locaux de La Française et qui fut introduite par Gérard Degli Esposti. Catherine LARRERE en tant que philosophe y a exploré les liens entre Homme et Nature. Nous vous en proposons un court résumé en page 2 de cette newsletter.

Coté nature toujours, Moniwan plateforme de distribution en ligne de La Française, répond aux préoccupations des uns et sensibilise les autres en plantant des arbres à chaque souscription de SCPI. Parce que les arbres sont un bon moyen de décarboner, parce que, 3 par 3, les petits arbres font de grandes forêts qui décarbonent longtemps, mais aussi parce que c’est un merveilleux moyen de favoriser la biodiversité et d’apporter un soutien économique aux populations locales, et tout cela va dans le bon sens ! Continuons donc, en veillant à réduire toujours plus notre empreinte carbone et plantons des arbres pour compenser l’incompressible !

* source Oxfam

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news-3314 Mon, 23 Dec 2019 15:06:00 +0100 Une analyse de l’alignement des entreprises avec une trajectoire 2° /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-analyse-de-lalignement-des-entreprises-avec-une-trajectoire-2/ Le Club Zero Carbon de La Française recevait le 26 novembre Nadine Viel Lamare, Directrice de la Transition Pathway Initiative (TPI)*.
Une initiative que La Française apprécie et est heureuse de promouvoir.
Post COP 21, des investisseurs institutionnels se sont creusés la tête : comment faire pour analyser les portefeuilles dans la perspective de respecter une trajectoire de réchauffement limitée à 2° ? quelles sont les sociétés dont les pratiques et les politiques sont en ligne avec les Accords de Paris? Sans outils à leur disposition, certains de ces investisseurs ont décidé de se réunir et d’en créer un, dont les principes fondateurs seraient :

– Disposer d’un outil gratuit et utile à tous les investisseurs y compris les plus petits ;
– Être transparents sur les données, la méthodologie et les résultats ;
– N’utiliser que des données publiques ;
– Bâtir des méthodologies sectorielles robustes en partenariat avec une solide référence académique : la London School of Economics (LSE).

Début 2017, la TPI voit le jour. La méthodologie mise en place analyse les entreprises sur 2 axes :
1. Management Quality :
s’intéresse à la gouvernance, la stratégie, les objectifs, les structures mises en place par les entreprises ; cet axe repose sur 19 questions qui sont les mêmes pour tous les secteurs étudiés ;
2. Carbon Performance :
analyse une performance basée sur des mesures d’intensité carbone sectorielles en comparant de manière prospective les objectifs que se donne l’entreprise avec diverses trajectoires : celle de l’Accord de Paris, la trajectoire 2° et la trajectoire inférieure à 2°. Si l’entreprise ne publie pas d’objectif, alors la tendance actuelle des émissions de CO2 est projetée dans le futur.

Les résultats globaux de la performance carbone analysée sur 8 secteurs et 190 entreprises parmi les plus émettrices au monde montrent l’ampleur du chemin qu’il reste à parcourir… seules 16 % des entreprises analysées sont en ligne avec un réchauffement climatique de 2° ou moins, un chiffre qui monte à 30 % lorsque l’on inclut les entreprises alignées avec l’Accord de Paris dont on sait qu’il nous mène à un monde à environ 3°.

Les ambitions du TPI sont importantes avec la volonté de couvrir plus de secteurs (les transports aériens et maritimes dans les semaines à venir), une extension du nombre des entreprises analysées pour intégrer les plus petites capitalisations boursières et répondre aux besoins du crédit et enfin, évaluer la politique des états afin d’intégrer une évaluation des dettes souveraines.

A l’heure où nous comprenons véritablement que notre monde change, que le réchauffement climatique et ses conséquences, sociales, sur l’alimentation, en termes de flux migratoires et donc ses conséquences politiques exigent que nous produisions et consommions différemment, chacun doit pouvoir gérer son épargne avec d’autres critères que les seules références financières. Le besoin est réel de nouveaux référentiels à disposition de tous, pour inclure les questions climatiques et sociales dans les scénarios économiques et financiers. En ce sens, le TPI constitue ainsi un apport essentiel et de qualité également utilisé par la « Climate Action 100+ ».

Alors particulier ou investisseur, épargnant néophyte ou professionnel, l’outil est gratuit, le site reprend toutes les informations nécessaires à sa bonne compréhension (en anglais il est vrai), n’hésitez plus et allez vous renseigner sur un secteur, une ou des entreprises sur le site de la TPI !

* Nadine Viel Lamare a aussi pendant une dizaine d’année en charge de l’investissement responsable au sein du fonds de pension suédois AP1

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news-3313 Fri, 20 Dec 2019 15:03:00 +0100 Comment adapter le secteur immobilier à un monde à +2° voire +4° C ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-adapter-le-secteur-immobilier-a-un-monde-a-2-voire-4-c/ L’OID (Observatoire de l’Immobilier Durable) a abordé ce sujet dans le cadre de la 11e conférence du cycle Immobilier & Prospectives qui s’est tenue au siège de La Française en partenariat avec le Plan Bâtiment Durable et la ville de Paris.

La conférence a été introduite par Laurent JACQUIER-LAFORGE, Global head of Sustainable Investing – La Française, et animée par  Gérard DEGLI ESPOSTI, Directeur ISR Immobilier et Président de l’OID.

La première partie a vu intervenir Catherine LARRERE, Philosophe et professeure émérite – Université de Paris-La Sorbonne, qui a abordé ce sujet complexe sous l’angle de l’éthique environnementale, en citant un extrait de L’Esprit des Lois de Montesquieu (1689-1755).

Cette prise de recul nous permet de recadrer la question du rapport entre homme et nature. Catherine Larrere nous invite à y réfléchir. Aujourd’hui, le système Terre dans son ensemble est affecté par les sociétés industrielles parce que les ouvrages des hommes survivent aux hommes (Henning Mankell). Le changement climatique est au fond le résultat, non pas de ce que nous avons voulu, mais de ce que à quoi nous n’avons pas pensé !

La période durant laquelle l’homme a façonné très fortement la nature (anthropocène) aura des conséquences qui se produiront bien au-delà de l’extinction de l’humanité (ex : les déchets radioactifs, le changement climatique, l’érosion de la biodiversité etc.).

Habiter la terre autrement
Il ne suffit pas de savoir quoi faire mais de savoir comment faire, et en cela, le travailn philosophique peut être utile. Notre attitude a été longtemps de conquérir, dominer discipliner la nature dans une posture de pouvoir, d’exploitation, de destruction… mais faut-il pour autant totalement tourner le dos au passé ? Comment alors inclure la nature dans la moralité ?

Notre existence est confrontée à des temps courts (le temps humain, de l’économie, de la politique) et les temps longs de la nature.

La bonne durée est celle qui correspond à la fois à une durée humaine et à une durée naturelle ; et la bonne posture est de considérer l’homme comme partie de la nature, en cessant de parler de l’homme ET de la nature.

Il ne suffit pas de parler de nature avec respect, puisque les ouvrage des hommes s’imbriquent dans la nature et survivent aux hommes. La question est : quelle signature laissons-nous ?

L’éthique de la nature n’est pas séparée de l’éthique des hommes. Alors qu’il existe, du fait de son action, une vulnérabilité de l’Homme face à la nature, il devient nécessaire d’engager un rapport plus moral à la nature en développant les éthiques environnementales du soi et de l’attention : habiter la Terre autrement.

Cette introduction philosophique s’est poursuivie par une table ronde à laquelle participaient Jérôme DUVERNOY, (ONERC), Jérôme GATIER, (Plan Bâtiment Durable) et Stéphanie CHEVALLIER, (Nexity).

Le bilan des perspectives climatiques dressé par Jérôme DUVERNOY, +1,5°C en France depuis 1900, 50 % des forêts métropolitaines soumises à un risque élevé d’incendie en 2050, une sécheresse estimée en 2050 à un manque de 3Mds de m3 (d’eau ?), s’est poursuivi par la présentation d’un projet d’aménagement de ville innovant par la prise en compte de la nature et par des témoignages de bonnes pratiques.

Davantage tournée vers la modélisation climatique et les solutions d’adaptation, la seconde partie de la conférence a permis de mesurer les évolutions passées du climat, les tendances à venir, et la manière dont elles s’appliquent d’ores et déjà à la construction des bâtiments.

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news-3312 Wed, 25 Dec 2019 15:02:00 +0100 C’est un des sujets qui agite les milieux financiers, et ce n’est probablement que le début. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cest-un-des-sujets-qui-agite-les-milieux-financiers-et-ce-nest-probablement-que-le-debut/ Alors que le bulletin de la Banque de France (BdF) de septembre-octobre avait pour thème « changement climatique : quels risques pour le secteur financier » ce même mois de septembre a vu Finance for Tomorrow (F4T) publier un rapport « le risque climatique en finance, concepts, méthodes et outils d’analyse » visant à fournir des clés de compréhension pour tous les acteurs, et ils devraient être nombreux, concernés par la gestion du risque climatique en finance.
Sans compter bien évidemment deux autres rapports commis à l’été par le GIEC sur les liens entre changement climatique et agriculture d’un côté et océans et cryosphère de l’autre, ni les multiples annonces et engagements depuis le G7 de Biarritz jusqu’à la semaine pour le climat à New-York en passant par la nouvelle Présidente de la Commission Européenne et le Green Deal.

Les risques climatiques sont désormais bien identifiés et de trois formes : risque physique, risque de transition et risque de responsabilité. Les outils d’analyse de ces risques sont quant à eux essentiellement de deux ordres :

  • Un outil de mesure des émissions de CO2 : l’empreinte carbone.
  • Et des outils d’évaluation des risques : la part verte/part grise, les indicateurs d’impacts financiers, les indicateurs d’alignement à une trajectoire 2° ou encore les scores d’exposition au risque.

A ce jour, alors que le risque de transition est de mieux en mieux compris, le risque de responsabilité représente encore un angle mort des risques climatiques tandis que le risque physique n’est souvent pas perçu comme une menace potentielle.

Mais l’élément clé de la finance climatique réside dans l’appropriation des métriques et des analyses en interne. Il est essentiel que le risque climat soit géré comme un risque financier classique et que l’expertise soit internalisée pour pouvoir comprendre et analyser les chiffres, affiner les méthodologies. Le risque climat doit donc prendre toute sa place au sein des organes de gouvernance, au sein de la gestion des risques classique et bien sûr dans la mise en place des stratégies d’entreprises. Le temps n’est plus à l’exercice de communication ni au traitement de ce risque par des experts isolés en dehors des systèmes d’information des acteurs financiers. La finance climat doit être au cœur de notre métier.

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news-3311 Fri, 03 Jan 2020 14:58:00 +0100 En 1991, un an avant le Sommet de la Terre de Rio, Michel Serres publie "Le Contrat Naturel". /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/en-1991-un-an-avant-le-sommet-de-la-terre-de-rio-michel-serres-publie-le-contrat-naturel/ Rio de Janeiro était le troisième Sommet de La Terre, un évènement créé à l’initiative de l’ONU et ayant lieu tous les dix ans. Le premier sommet de la Terre qui s’était déroulé à Stockholm en 1972 avait donné naissance au Programme des Nations unies pour l’environnement. Le deuxième s’était tenu à Nairobi en 1982. Le Sommet de Rio est une pierre blanche dans la
ongue marche vers la transition climatique car il a lancé la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques qui a donné naissance aux fameuses COP (Conference of the Parties) qui se réunissent tous les ans. Quant aux sommets de la Terre, deux autres se sont succédés : Johannesburg en 2002 qui a mis l’accent sur le développement durable et Rio à nouveau en 2012 qui a initié le processus devant conduire à l’adoption par les Nations Unies en 2015 des dix-sept Objectifs du Développement Durable, le fameux Agenda 2030.

Revenons au Contrat Naturel, de quoi s’agit-il ? Tout démarre avec le Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau publié en 1762. Dans cette oeuvre, Jean-Jacques Rousseau défend le principe d’un contrat social entre les hommes où chacun renonce à sa liberté « naturelle » pour gagner une liberté « civile », le tout au bénéfice de l’intérêt général, supérieur aux intérêts particuliers. Ce pacte social permet d’échapper à l’état de nature, « primitif, tyrannique et vain ». Michel Serres veut compléter ce pacte social par un pacte naturel constatant que « le bilan des dommages infligés à ce jour au monde équivaut à celui des ravages qu’aurait laissé derrière elle une guerre mondiale ». Il constate que l’emprise de l’Homme sur le Monde est telle que l’humanité existe maintenant physiquement : « Les architectures dures et chaudes des métropoles équivalent bien à maints déserts, … à des océans ou à une plaque tectonique rigide et mobile… La violence sans merci qui règne désormais entre l’Homme et le Monde fait qu’il y a une irruption du Monde comme acteur à part entière et majeur de l’Histoire. Il appelle donc à une réconciliation, à un nouveau contrat qui compléterait le contrat social de Rousseau : si le contrat social de Rousseau se fait d’Homme à Homme dans le monde, le contrat naturel de Michel Serres doit s’effectuer entre l’Homme et le Monde.

A sa sortie il y a trente ans, le livre s’est heurté à une levée de bouclier : vouloir sauver la planète était alors considéré comme une élucubration et même par certains comme une tentation de caractère fasciste. Aujourd’hui,  le monde entier semble s’être emparé du sujet. Partout l’on entend qu’il est urgent d’agir. Ce que nous rappelait alors, et nous rappelle encore aujourd’hui Michel Serres, c’est qu’il avant tout urgent de réfléchir.

Un rapprochement aurait probablement fait sourire le facétieux Michel Serres, entre sa thèse du Contrat Naturel et l’une des thèses majeures de Georges R. R. Martin dans Games of Thrones : l’irruption du Monde comme acteur majeur de l’Histoire devrait induire les hommes à s’unir pour relever le défi écologique symbolisé chez Martin par les Marcheurs Blancs, plutôt que de s’entre-tuer pour conquérir un pouvoir illusoire. C’est ce qu’évoquent d’une part le tableau des duellistes de Goya en couverture du l’édition originale du livre de Michel Serres et d’autre part tous les combats et duels qui rythment la saga des saisons Game of Thrones. Dans les premières pages du Contrat Naturel, Michel Serres commente ainsi le tableau des duellistes de Goya, si brillamment que cela vaut une longue citation : « Un couple d’ennemis brandissant des bâtons se bat au beau milieu de sables mouvants. Attentif aux tactiques de l’autre, chacun répond coup pour coup et réplique contre esquive. Hors le cadre du tableau, nous autres spectateurs observons la symétrie des gestes au cours du temps : quel magnifique – et banal – spectacle ! Or le peintre – Goya – enfonça les duellistes jusqu’aux genoux dans la boue. A chaque mouvement, un trou visqueux les avale, de sorte qu’ils s’enterrent ensemble graduellement. A quel rythme ? Cela dépend de leur agressivité : à lutte plus chaude, mouvements plus vifs et secs, qui accélèrent l’enlisement. L’abîme où ils se précipitent, les belligérants ne le devinent pas : au contraire, de l’extérieur, nous le voyons bien. Qui va mourir, disons-nous ? Qui va gagner, pensent ils et dit-on le plus souvent ? Parions…. Mais en tierce position, extérieur à leur chamaille, nous repérons un troisième lieu, le marécage, où la lutte s’envase. Car ici, dans le même doute que les duellistes, les parieurs risquent de perdre tous ensemble, ainsi que les batailleurs, puisqu’il est plus que probable que la terre absorbe ces derniers avant qu’eux-mêmes et les joueurs n’aient liquidé leur compte. Chacun pour soi, voici le sujet pugnace ; voilà deuxièmement, la relation combattante si chaude qu’elle passionne le parterre, qui, fasciné, participe de ses cris et de ses louis. Et maintenant : n’oublions-nous pas le monde des choses elles-mêmes, la lise, l’eau, la boue, les roseaux du marécage ? Dans quels sables mouvants pataugeons-nous de concert, adversaires actifs et malsains voyeurs ? Et moi-même qui l’écris, dans la paix solitaire de l’aube ? »

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news-3308 Thu, 09 Jul 2020 14:45:00 +0200 le quatrième rapport Stratégie climatique et responsable du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-quatrieme-rapport-strategie-climatique-et-responsable-du-groupe-la-francaise/ Notre « raison d’être » s’articule ainsi autour des quatre points suivants : Raison d’être

1. Vision : Le monde traverse une période de rupture marquée par des crises écologiques, sociales et plus récemment sanitaires. Cette rupture rend pour partie obsolètes les leviers de performances passés.

2. Mission : Contribuer à définir les bases de nouveaux référentiels et à activer de nouveaux leviers de performance qui doivent avoir un impact positif à la fois sur la rentabilité et sur leurs implications sociales et environnementales.

3. Promesse : Mettre en oeuvre notre capacité d’innovation pour créer de la valeur et faire de l’épargne un acte d’engagement utile sur le plan individuel par la rentabilité de l’investissement comme sur le plan collectif via son impact social et environnemental.

4. Message : Changer de regard, de point de vue, pour changer les choses.

 

Implication à l’égard du changement climatique

Le groupe La Française analyse les grandes tendances qui devraient structurer les marchés financiers à long terme dans les domaines :

a) Economique : une évolution de la mondialisation et l’accélération du progrès technologique
b) Monétaire : la persistance de taux d’intérêt bas
c) Démographique : la poursuite du développement de grandes métropoles

Le changement climatique et la nécessaire prise en compte des externalités environnementales générées par l’activité économique influenceront ces tendances. Les externalités environnementales sont de plusieurs ordres, elles impactent l’économie de façon multiple et doivent donc être intégrées et analysées de manière différenciée. A titre d’illustration, la constante de temps du changement climatique liée aux émissions de gaz à effet de serre, c’est-à-dire le temps nécessaire pour que les dommages associés se matérialisent pleinement, est de l’ordre de 80 ans. Il est donc impératif de déterminer un taux d’actualisation intergénérationnel pour déterminer la valeur actuelle des dommages. En ce qui concerne le changement dans la biodiversité et les écosystèmes liés à l’emprise physique de plus en plus forte des activités humaines sur les espaces naturels, origine probable de la pandémie du Covid-19 comme de la plupart des zoonoses, la constante de temps est très courte (de l’ordre du mois) mais c’est un événement répétitif dont la fréquence pourrait augmenter fortement (H1N1, SRAS, etc.).

Le groupe La Française a une sensibilité particulièrement forte aux effets du changement climatique sur les marchés financiers. Notre métier de gérant d’épargne couvre un large panel de classes d’actifs et permet au groupe d’occuper un poste d’observation privilégié du développement de la finance climatique. Une partie des actifs gérés par le groupe porte sur des compartiments de marché peu liquides avec des risques physiques et de transition particulièrement délicats à gérer car s’inscrivant dans des détentions de long terme. C’est pourquoi le groupe La Française a massivement investi dans des groupes de travail, des publications, des réflexions avec ses clients et des produits financiers autour
de ce thème central. Cette forte sensibilité au climat s’est traduite par des recherches approfondies sur le sujet et le développement d’approches et de gammes de produits d’investissement dédiés.

 

Stratégie durable


Plus généralement, le groupe La Française analyse que les facteurs Environnementaux, Sociétaux et de Gouvernance (ESG) affectent significativement les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie du groupe est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix s’effectue sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation (forward looking).

En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le groupe La Française porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être valorisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires associées au changement climatique et aux défis sociaux qu’elles impliquent.

Le présent rapport de synthèse vise à exposer les initiatives du groupe La Française en matière d’investissement durable. Il s’inscrit dans le respect les obligations d’information relatives au décret de « l’Article 173 VI ». Il est établi conformément aux recommandations du groupe de travail sur le reporting des risques financiers liés au climat (TCFD, pour Taskforce on Climate-related Financial Disclosures).

Il traite à la fois de notre philosophie liée à l’investissement durable, la manière dont elle est intégrée à nos processus d’investissement, des objectifs et indicateurs liés à cette stratégie.

Le TCFD qui cible essentiellement les risques et les opportunités liés au climat, fait de ce dernier le fil conducteur du présent rapport puisqu’il influence l’ensemble des classes d’actifs que nous gérons. La structure elle-même du rapport reprend les lignes directrices de la TCFD en quatre temps : Gouvernance, Stratégie, Gestion des risques et Indicateurs et objectifs.

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news-3307 Wed, 16 Mar 2022 14:41:00 +0100 Par Charles Fruitière, Head of La Française Sustainable Investment Research /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/par-charles-fruitiere-head-of-la-francaise-sustainable-investment-research/ Le temps presse. Selon une analyse des températures menée par la NASA (la National Aeronautics and Space Administration), la température mondiale moyenne a augmenté d’un peu plus de 1 ⁰C depuis 1880. Au rythme actuel des émissions, nous pourrions atteindre 1,5 ⁰C d’ici 15 ans. Dans le sillage de la COP 26, 118 pays ont mis à jour leurs contributions déterminées au niveau national (CDN). On ne peut que s’en réjouir, car d’après l’évaluation du Climate Action Tracker d’avril 2021, les CDN telles qu’elles étaient à l’époque n’auraient limité le réchauffement qu’à environ 2,4 ⁰C au-dessus des niveaux préindustriels. Du côté positif, le sixième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) montre qu’il est encore possible de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C d’ici la fin du siècle. Cela nécessite une réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) immédiate, rapide et dans toutes les activités économiques, ainsi que le développement des technologies de séquestration du carbone.

Nous savons ce qu’il faut faire. Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), pour atteindre zéro émission nette d’ici 2050, le monde doit investir chaque année 4 000 milliards de dollars dans les énergies propres. En 2021, au niveau mondial, seulement 775 milliards de dollars ont été investis dans les technologies d’énergies renouvelables1 .

On ne peut avoir un monde de l’énergie propre sans un secteur de l’électricité propre pour en assurer la production et la distribution. Les producteurs d’électricité représentent au total 40 % de toutes les émissions de carbone liées aux énergies fossiles (illustration 1) et les producteurs publics d’électricité en particulier ont un rôle clé dans la transition vers le zéro net : la part de l’électricité dans le mix énergétique mondial augmente dans chaque scénario de l’AIE. Selon les dernières perspectives énergétiques de l’AIE, pour atteindre le zéro net d’ici 2050, près de la moitié de l’énergie consommée doit être électrique. En termes absolus, cela signifie que la production d’électricité passera de 26 762 TWh en 2020 à plus de 71 000 TWh en 2050. 

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news-3306 Fri, 22 Oct 2021 14:33:00 +0200 Par Gaël Binot et Hervé Chatot, respectivement Gérant Taux Marchés Emergents et Gérant Cross Asset, La Française AM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/par-gael-binot-et-herve-chatot-respectivement-gerant-taux-marches-emergents-et-gerant-cross-asset-la-francaise-am/ Six ans après la COP21 à Paris, la prochaine conférence des Nations Unies sur le changement climatique, la COP26, se tiendra à Glasgow le mois prochain, sur fonds de crise énergétique et de multiplication des évènements climatiques extrêmes aux conséquences toujours plus dévastatrices. La thématique climatique est aujourd’hui coeur de l’agenda politique et devient également une priorité pour les investisseurs. Le dernier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) publié en août pointe la nécessité absolue de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2030, les mesures étant insuffisantes à ce jour.

Les enjeux sont donc relativement forts. Cette COP 26 s’annonce très certainement comme la plus importante depuis ses débuts. Les actions prises ou non prises seront en effet déterminantes pour se laisser une chance de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C et d’éviter une catastrophe climatique majeure.

Rares sont les pays qui ont respecté leurs promesses et les objectifs de l’Accord de Paris en 2015. Les politiques actuellement en place conduisent à un réchauffement climatique proche de 3°C. Même si un nombre important de pays s’est fixé un objectif de zéro émission nette de GES en 2050, les progrès restent très insuffisants.

Dans ce contexte, peut-on s’attendre à des avancées significatives ? Différentes questions doivent être abordées selon nous.

Premier point, la nécessité pour les Etats de renforcer leur engagement de réduction d’émissions de GES à horizon 2030 afin de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C. Rattraper le retard est la priorité.
Selon Climate Action Tracker, presque tous les pays développés doivent renforcer leurs objectifs de réduction des émissions de GES le plus rapidement possible, et mettre en oeuvre des politiques nationales plus ambitieuses (CDN) pour atteindre leurs objectifs. Aujourd’hui, 68 pays représentant 61% des émissions mondiales de GES ont adopté un objectif de zéro émission nette mais seulement 80 pays représentant 36% des émissions mondiales de GES ont mis à jour leurs contributions nationales avec un objectif plus ambitieux selon ClimateWatch.

Si certains pays comme les Etats-Unis, le Canada, le Royaume Uni et l’Union Européenne ont revu et soumis officiellement des CDN plus ambitieux, certaines grandes économies, comme l’Australie, l’Indonésie, le Mexique, le Brésil, la Russie, n’ont pas, pour l’instant, améliorer leurs ambitions climatiques.

Les pays doivent s’engager sur plus de transparence au niveau de la définition des objectifs de long terme pour gagner en crédibilité.

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news-3304 Thu, 08 Jul 2021 14:20:00 +0200 Par Virginie Wallut, Directrice Recherche et de l’ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/par-virginie-wallut-directrice-recherche-et-de-lisr-immobilier-la-francaise-real-estate-managers/ La possibilité de travailler à distance a minima deux jours par semaine devrait induire un éclatement du choix géographique des résidences des salariés, qui favoriseraient les villes-B réputées pour offrir un meilleur cadre de vie.

Ces marchés présentent traditionnellement un caractère défensif et des performances plus stables dans le temps. Le graphique ci-dessous représente un ratio de l’offre immédiate par rapport à la demande placée. Ce ratio est un indicateur de la tension des marchés. Un ratio faible indique un marché sous-offreur. Un ratio élevé est le signe d’un marché où la demande peut peiner à absorber l’offre.

Historiquement, les marchés des villes B sont plus équilibrés avec une production d’offre neuve mieux proportionnée à la demande, spécialement en période de crise. Cette situation est sans doute due à des conditions de financement plus restrictives sur les marchés régionaux et donc à une meilleure maitrise des lancements de projets spéculatifs. Les marchés immobiliers des villes B sont mieux positionnés pour faire face à un ralentissement de la demande et absorbent plus rapidement un éventuel excès d’offre dû au décalage qui existe entre le lancement d’un projet et sa livraison. En 2020, la demande placée a diminué de manière moins importante dans les villes B que dans les villes A, en raison du tissu économique des villes B. Il est composé de grosses PME et des PMI plus agiles et plus rapides dans leurs décisions immobilières que les grands groupes qui portent la demande placée des villes A. Par ailleurs, si l’offre a augmenté de manière relativement limitée, dans les villes B (+5% en un an), elle a augmenté de manière plus marquée dans les villes A, (+ 20% en un an). Ce graphique montre toutefois que les villes A cachent des situations géographiques hétérogènes avec des localisations en centre-ville qui présentent les mêmes caractéristiques défensives que les villes B et des périphéries qui présentent des situations beaucoup plus exposées aux crises. La maîtrise de l’offre tient sans doute dans les centres-villes des villes A à la rareté du foncier plutôt qu’à une éventuelle frilosité des banques.

Cependant, les indicateurs quantitatifs ne racontent pas toute l’histoire. La crise sanitaire a accéléré la polarisation des marchés bureaux. Le télétravail ne va pas provoquer un arrêt de la demande de bureaux mais va induire de nouveaux besoins qui ne pourront pas être accueillis sur l’ensemble du parc de bureaux actuels pour des raisons techniques. Nous anticipons d’un côté une accélération de l’obsolescence de certains actifs bureaux qui ne répondront rapidement plus aux demandes des utilisateurs. De l’autre côté, nous anticipons une concentration de la demande pour les bureaux répondant aux nouvelles attentes des utilisateurs (actifs flexibles, durables, connectés, avec une gamme de services élargie, une accessibilité renforcée, garantissant des conditions sanitaires satisfaisantes). Seuls les bureaux les plus modernes pourront répondre aux nouveaux modes de travail. Plus que jamais, la qualité des actifs est essentielle. Or les villes B sont confrontées à un manque d’offres de dernière génération. Fin 2020, seuls 16% des parcs de bureaux des villes B avaient été construits dans les 20 dernières années. Cela signifie que 84% des entreprises sont implantées sur des immeubles ayant été livrés il y a plus de 20 ans, immeubles sur lesquels des travaux importants sont nécessaires pour pouvoir déployer des organisations hybrides.

En conclusion… avec nos experts de terrain

Nous pensons que les marchés des villes B présentent des caractéristiques défensives particulièrement intéressantes dans la phase du cycle immobilier dans laquelle nous sommes. Pour autant, il est essentiel de bien évaluer les caractéristiques des actifs à l’aune des nouveaux usages afin de ne pas courir le risque de voir se matérialiser des pressions baissières sur les loyers et les valeurs vénales au fur et à mesure de la libération des surfaces par les locataires en place. Mark Wolter, Country Head – Allemagne et Directeur général de La Française Real Estate Managers – Allemagne, ajoute « La grande diversité du marché allemand est un atout dans ce contexte. Elle permet de mettre en lumière les atouts de nombreuses villes B prospères. »  Sandra Metzger, Directrice générale adjointe de La Française Real Estate Managers – Allemagne, conclut « La qualité des bâtiments est essentielle dans un environnement en pleine évolution. Nous sommes tous les jours face à des utilisateurs qui recherchent activement des espaces de bureaux flexibles, modernes et durables. Or ce type de surfaces est encore trop rare dans la plupart des villes B allemandes, ce qui représente une opportunité intéressante de création de valeur. »

CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).

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news-3303 Wed, 30 Nov 2022 09:00:00 +0100 La COP27…seul on va plus vite, ensemble on va plus loin /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-cop27seul-on-va-plus-vite-ensemble-on-va-plus-loin/ Par Marie Lassegnore, CFA, Head of Sustainable Investments, La Française AM La COP27 est finie et les questions climatiques en suspens et non résolues ont éclipsé des axes de progrès bienvenus.

À l'approche de la COP27, l'un des objectifs était d'élever et de renforcer les ambitions climatiques à horizon 2030. Nous déplorons le fait que seules vingt-neuf nations l'aient fait. Le Mitigation Work Programme, dont le but est de faire en sorte que l’objectif de limite du réchauffement à 1,5 °C reste atteignable, est soumis à des contraintes de temps. Cette limite pourrait être franchie dès 2026. Alors, pour faire simple, que se passe-t-il ensuite ? La question n'a pas encore été abordée. Aucun renforcement des actions mondiales en vue d’une élimination progressive du charbon n'a été proposé. Un engagement de financement de 20 milliards de dollars a cependant été pris en faveur de l'Indonésie, premier exportateur mondial de charbon et troisième consommateur mondial, pour financer sa transition juste, réduire sa dépendance au charbon et, par conséquent, réduire les émissions de ses centrales qui devraient atteindre un sommet en 2030, et remettre le pays sur la voie de l'objectif zéro émission d'ici 2050.

Heureusement, la COP27 a été prolongée de près de deux jours pour parvenir à un accord sur les pertes et dommages, les pertes permanentes ou les dommages réparables causés par le changement climatique. Là encore, les progrès réels n'ont pas répondu aux attentes. La décision a été prise de créer un fonds « pertes et dommages » pour les pays vulnérables, mais aucune décision concernant son financement n'a été prise. Par ailleurs, la définition des pays éligibles, à savoir « les pays en développement particulièrement vulnérables aux effets néfastes du changement climatique », reste floue.

L'adaptation était également une priorité à l'ordre du jour, en particulier compte tenu de la situation géographique du pays hôte, l'Égypte. Bien que les débats se soient multipliés, il n'y a eu aucune avancée réelle sur l'objectif de la COP26 « d'au moins doubler » le financement de l'adaptation. Le comité pour l'« Objectif mondial sur l'adaptation » (Global Goal on Adaptation) a toutefois convenu d'un cadre des sujets à traiter lors de quatre ateliers, dont les résultats devraient être révélés l'an prochain.

Les financements climatiques mobilisés par les pays développés n'ont, une fois encore, pas atteint l'objectif de 100 milliards de dollars par an. En parallèle, le « Nouvel objectif chiffré collectif pour le financement de l'action climatique » (new collective quantified goal on climate finance - NCQG) progresse lentement (décision attendue d'ici 2024). La COP27 a abordé une question clé sur le financement du climat, à savoir la provenance et la forme des instruments. Il a été suggéré que les dons, par opposition aux prêts, soient privilégiés pour éviter le surendettement des pays en développement déterminés à remédier à leurs vulnérabilités structurelles.

Il convient de souligner que des progrès ont été accomplis avec le « Santiago Network for Loss and Damage », qui fournit une assistance technique aux pays en développement vulnérables pour faire face aux effets néfastes du changement climatique, sur le plan opérationnel et pratique. La structure de gouvernance a été définie et des fonds (en plus des dons) seront alloués pour soutenir sa mise en place.

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news-3299 Fri, 29 Oct 2021 10:55:00 +0200 rvé Chatot, Gérant-Analyste Cross Asset et Spécialiste ESG climat de La Française AM, reçoit Anna Créti, Professeure à l’Université Paris-Dauphine et Directrice scientifique de la chaire économie du climat et économie du gaz /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rve-chatot-gerant-analyste-cross-asset-et-specialiste-esg-climat-de-la-francaise-am-recoit-anna-creti-professeure-a-luniversite-paris-dauphine-et-directrice-scientifique-de-la-chaire-economie-du-climat-et-economie-du-gaz/ Hervé Chatot :

Notre invitée aujourd’hui est professeure à l’université Paris Dauphine, directrice scientifique de la chaire économie du climat et économie du gaz, c’est Anna Créti.

Bonjour, Anna, je suis très heureux de vous accueillir à La Française aujourd’hui. Vous êtes chercheuse à l’école polytechnique à l’université de Berkeley aux États-Unis, brillante spécialiste de l’économie de l’énergie et de la géopolitique des matières premières, vous êtes aussi l’auteure de très nombreuses publications scientifiques dans des revues internationales.

La thématique du climat est aujourd’hui au coeur de l’agenda politique et devient également une priorité pour les investisseurs. La prochaine conférence sur le climat, la COP26 qui se tiendra à Glasgow en novembre s’annonce probablement comme la plus importante depuis ses débuts. Rares sont les pays qui ont respectés leurs promesses et les objectifs de l’accord de Paris. Les politiques actuels conduisent à un réchauffement climatique nettement supérieur à deux degrés.
Quels sont selon vous les conditions nécessaires pour que les négociations internationales sur le climat puissent fonctionnées ?

Anna Créti :

Il est vrai que la COP26 est une COP décisive dans la mesure où il va y avoir l’étape de vérification des engagements pris par les différents pays depuis celle de 2015.

Aujourd’hui, sur 187 pays signataires de l’accord de Paris seulement 48 ont fait l’exercice prévu, c’est-à-dire de refaire leurs engagements vis-à-vis des politiques climatiques à long terme. Et donc une large partie des pays ne se sont pas prêtés à cet exercice. On part déjà sur une COP à deux vitesses.
Les pays qui ont pris au sérieux cette échéance, en particulier des pays européens, et les pays qui attendent probablement de voir ce que ces pays ambitieux vont proposer pour éventuellement se rallier à ce « club » des pays leaders dans la lutte contre le réchauffement climatique. Mais malgré cela, même en prenant en compte les nouveaux engagements qui vont plus loin par rapport à la première mouture suite à la COP21, nous sommes toujours loin du compte par rapport à ce qu’on appelle les emissions gap, c’est-à-dire, l’effort nécessaire pour garder une trajectoire de réchauffement climatique inférieur à 2 degrés pour ne pas parler de celui à 1,5.
Aujourd’hui déjà on calcule une empreinte des accords en l’état qui porterait à un réchauffement supérieur 3 degrés.

 

 

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news-3297 Wed, 01 Dec 2021 10:42:00 +0100 L’invité de La Française : Franck Rousseau, directeur des relations institutionnelles du Groupe La Française, reçoit Philippe Charlez, expert en énergie durable et politique. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linvite-de-la-francaise-franck-rousseau-directeur-des-relations-institutionnelles-du-groupe-la-francaise-recoit-philippe-charlez-expert-en-energie-durable-et-politique/

 

 

FR : Philippe, vous êtes un ingénieur énergéticien internationalement reconnu, vous êtes professeur à Sciences Po, à l’ISEP, vous êtes également professeur aux Mines de Paris Tech. Vous venez de publier un ouvrage aux éditions Jacques Marie Laffont, L’utopie de la croissance verte, vous présentez une vision novatrice de la transition énergétique et vous abordez les différents leviers possibles.

Réduire l’intensité carbone et l’intensité énergétique sont pour vous les deux clés de la transition énergétique. Où les progrès seront-ils les plus efficaces, les plus rapides et moins couteux en termes d’investissements et changements de comportement ?

PC : Je pense qu’il faut d’abord bien redéfinir ce que sont l’intensité carbone et l’intensité énergétique. L’intensité énergétique rapporte la quantité d’énergie dépensée par un pays ou par une région à la production de richesse de cette région, donc cela va s’exprimer en kWh par dollar, c’est la quantité d’énergie requise pour produire une unité de richesse. Alors qu’au contraire, l’intensité carbone est le rapport entre la quantité d’énergie consommée et la quantité de carbone émise.
Bien évidemment, moins on va émettre de carbone et moins on va consommer d’énergie pour émettre la même quantité de richesse, mieux ce sera.

Ce sont donc effectivement les deux grands leviers pour arriver à réaliser la transition énergétique : c’est moins d’énergie et moins de carbone pour arriver à toujours produire la même quantité de richesse.

Parmi les deux, réduire l’intensité énergétique apparait plus simple que de réduire l’intensité carbone, puisque l’intensité énergétique on va simplement réduire la consommation énergétique mais avec des équipements qui finalement sont semblables ; on va simplement les rendre plus efficaces. C’est vraiment un indicateur d’efficacité énergétique. Alors qu’au contraire, l’intensité carbone si on a des équipements thermiques, pour réduire et pour annuler l’intensité carbone on va être obliger de remplacer les équipements.

Définitivement on peut réduire plus facilement l’intensité énergétique que l’intensité carbone.

En plus, l’intensité énergétique se réduit à la fois grâce à des efforts techniques mais aussi à des efforts comportementaux ; alors qu’au contraire l’intensité carbone demande un remplacement d’équipement, donc c’est essentiellement un effort technique.

Si je prends un exemple : on peut réduire l’intensité énergétique en améliorant l’efficacité des moteurs thermiques en consommant moins d’essence pour une même longueur de transport, mais on peut aussi par comportement télétravailler pour consommer moins. Au niveau de l’intensité carbone, on ne pourra pas l’annuler sans passer de la voiture thermique à la voiture électrique. C’est quand même plus compliqué de réduire l’intensité carbone que l’intensité énergétique, donc travaillons avant tout sur l’intensité énergétique.

FR : On parle beaucoup d’hydrogène vert : quel usage ?
Peut-on avoir de l’hydrogène vert décentralisé ? A votre avis, à quelle échéance peut-on s’attendre à son développement massif, avec une baisse significative des coûts de production et des coûts de distribution ?

PC : L’hydrogène vert est effectivement un vecteur clé de la future transition énergétique, sa principale application c’est la mobilité, les transports, puisque on utilise de l’hydrogène dans une voiture électrique. Globalement on va refabriquer à l’intérieur de la voiture de l’électricité avec de l’hydrogène, ce qui donne évidemment un avantage décisif par rapport à la voiture électrique classique, à la fois en termes de temps de charge et en termes d’autonomie ; puisque l’on va remplir sa voiture extrêmement rapidement, presque aussi rapidement qu’une voiture à essence, et on va pouvoir 500-600 km.

Deux problèmes, même trois, à l’hydrogène.

Le premier est qu’il faut le fabriquer et on fabrique donc l’hydrogène vert à partir d’une technique qui s’appelle l’électrolyse de l’eau. Pour faire simple : on injecte de l’électricité dans de l’eau, on va casser la molécule d’eau en une partie hydrogène et une partie oxygène, on va récupérer l’hydrogène. Cela veut dire que derrière la fabrication de l’hydrogène, on a besoin de beaucoup d’électricité.

Deuxième inconvénient de l’hydrogène : son coût. Il y a le coût de production, qui aujourd’hui est de l’ordre de 7 à 8 euros le kilo d’hydrogène, plus après son coût de distribution. Il faut savoir que l’hydrogène est comprimé, pour avoir des quantités suffisantes, à environ 700 ou 800 bars – ce qui fait 800 fois la pression atmosphérique, c’est absolument considérable – et donc cela veut dire que les « pompes à hydrogène », équivalente des pompes à essence, coûtent, de ce fait haute pression, beaucoup plus chère que les pompes à essence classique. Il y a pratiquement un facteur 10/1 : une pompe à essence coûtant de l’ordre de 100 000 euros, une « pompe » à hydrogène coûte près d’1 000 000  d’euros. Ce qui veut dire qu’avant d’avoir un réseau de distribution aussi maillé que le réseau de distribution d’essence aujourd’hui, il va se passer beaucoup de temps. C’est pour cela que les première application sont en mobilité de l’hydrogène sont essentiellement les grosses compagnies soit de bus, soit de camions, soit de même éventuellement de bateaux, voire pourquoi pas d’avions, qui effectivement vont pouvoir mutualiser leur distribution et même fabriquer leur hydrogène eux même.
Je vais prendre comme exemple la ville de Pau, qui a aujourd’hui une flotte de dix ou quinze bus marchant à l’hydrogène et qui fait sa propre production d’hydrogène.

Le dernier inconvénient est que l’hydrogène est un produit très explosif par rapport au gaz et très inflammable. Ceci demande donc de prendre un certain nombre de précautions, mais on possède toute les technologies pour se protéger et atténuer les risques.

Je crois donc beaucoup en l’hydrogène.

Vous me demandiez « à quelle échéance » : il est évident que dans la mobilité lourde on peut avancer relativement vite, pour la mobilité pour la mobilité plus « légère », c’est-à-dire essentiellement les voitures, très probablement cela ne commencera à représenter une part significative du parc qu’à l’horizon d’une bonne quinzaine d’années.

Mais je crois beaucoup à l’hydrogène pour la mobilité longue distance et aussi forte puissante, c’est-à-dire camions, bateaux et avions.

FR : Que pensez-vous du marché du carbone aux frontières ?

PC : Le marché du carbone au frontière est quelque chose d’absolument indispensable pour rendre l’économie verte plus rentable que l’ancienne économie brune basée sur notamment le pétrole, le gaz et le charbon.

Ce que je pense c’est que le marché du carbone doit impérativement être européen, on ne peut pas créer un marché du carbone purement français si nos voisons européens ne partagent pas ce marché du carbone, pour des raisons de compétitivités d’entreprise.

Le marché du carbone commence à fonctionner correctment, on est aujourd’hui à environ 60 euros par tonne. On sait que des technologies comme par exemple l’hydrogène, comme l’on vient d’en parler, ou bien le CCUS, c’est-à-dire la capture et la réinjection du carbone, deviennent rentables et plus rentables que les fossiles au-delà de 100 euros par tonnes.

Je pense que l’on est pas très loin aujourd’hui d’un marché du carbone qui va devenir efficace. Il a mis beaucoup de temps mais la réduction récente des quotas qui avait été imposée par l’union européenne en 2019 commence à porter leurs fruits et on devrait dans les années à venir avoir en Europe un marché efficace. La question du marché hors Europe est souvent posée, il faut quand même savoir que 75% du marché commercial européen est intra-européen, donc se passe entres européens, et donc le fait qu’aujourd’hui américains et chinois n’adhèrent pas au marché européen du carbone n’empêchera pas son développement. Ce marché européen du carbone commence et devrait dans les années à venir trouver son bon niveau d’efficacité.

FR : Une question d’actualité : la COP26 vient de se terminer, quel bilan peut-on en tirer ?

PC : Vous m’aviez déjà poser la question lors de notre dernière interview, je ne sais plus de quelle COP il s’agissait, mais je dirais que la COP26 est un « Couper-Coller » de ses 25 éditions précédentes. Avec donc ses rites, ses réunions interminables, ses manifestations de rue et enfin ses conclusions peu engageantes, si j’ose dire.

Je reste convaincu que la transition énergétique ne peut pas être une transition énergétique mondiale. C’est la raison pour laquelle on essaie de mettre autour de la table des pays qui finalement ont des histoires, des géographies et surtout des niveaux de développement extrêmement différents, mais c’est également la raison qui fait que l’on aboutit pas à des conclusions patentes.

Le deuxième point, c’est que l’on reste complètement enfermé dans des agendas inversés, c’est-à-dire que l’on donne un objectif à postériori et cet objectif ne peut pas être atteint mais on ne donne jamais les moyens à la fois financiers, humains et techniques pour y arriver. Je crois donc, à l’avenir, beaucoup plus en des COP régionales, juridiquement contraignantes, alors que la COP ne l’est pas puisque l’ONU n’a aucun pouvoir sur les différents pays pour imposer les objectifs signés. On a évolué sur des COP à la fois régionales et thématiques, on a par exemple une vingtaine de pays qui sont tombés d’accord pour sortir du charbon ; un certain nombre de pays qui sont également tombé d’accord pour réduire, première fois, leur consommation d’énergies fossiles ; également un groupe d’accord pour sortir de la voiture thermique à un horizon 2040.

Je crois donc que ces groupes thématiques voire régionaux devraient à l’avenir remplacer cette grande messe mondiale qui pour moi n’a plus aucun sens.

FR : Philippe Charlez, merci d’avoir été notre invité et à très bientôt.

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news-3294 Thu, 08 Jul 2021 17:55:00 +0200 La Française REM se fixe un objectif de réduction des émissions de CO2 conforme à l’Accord de Paris pour participer activement à la lutte contre le réchauffement climatique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-se-fixe-un-objectif-de-reduction-des-emissions-de-co2-conforme-a-laccord-de-paris-pour-participer-activement-a-la-lutte-contre-le-rechauffement-climatique/ L’immobilier, parce qu’il s’intéresse à des actifs physiques réels, a un rôle essentiel à jouer dans la transition vers une économie plus durable et un monde plus écologique. Il joue un rôle pivot dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Consciente de sa responsabilité en tant que leader sur le marché des Sociétés Civiles de Placement Immobilier (Source IEIF au 31.12.2020 en termes de capitalisation), via notamment son parc immobilier de plus de 4.000.000 m², La Française REM est résolument engagée dans une démarche durable. La gestion active de son portefeuille existant et une politique d’investissement sélective visent à offrir à ses investisseurs performance financière et durabilité, synonyme de protection de la valeur des actifs dans le temps.

« Alors que les enjeux ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) pouvaient apparaître de (très) long terme à beaucoup d’acteurs il y a encore quelques années, ils s’inscrivent désormais dans un horizon compatible avec l’horizon de détention des actifs immobiliers. La résilience des actifs immobiliers doit s’anticiper. » précise Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier.

Suite à la signature de l’Accord de Paris, la France a défini une feuille de route pour lutter contre le réchauffement climatique dans la Stratégie Nationale Bas Carbone. La Francaise REM entend prendre sa part dans l’ambition nationale en se fixant un objectif de réduction des émissions de CO2 de son portefeuille compatible avec une trajectoire climatique 1.5°C. Ainsi, elle s’assure de répondre aux réglementations en vigueur et d’anticiper les réglementations à venir.

La stratégie adoptée est celle de l’ERC (Eviter, Réduire, Compenser). La meilleure façon  de limiter les émissions de CO2 est de s’attacher, en premier lieu, à les éviter. Dès lors  que les émissions de CO2 n’ont pu être pleinement évitées à un coût raisonnable, il convient de réduire le volume restant par des solutions de minimisation comme la mise en œuvre de travaux de rénovation énergétique, l’adaptation des systèmes énergétiques et le suivi de Plans Pluriannuel de Travaux (PPAT verts). En dernier recours, des mesures compensatoires seront engagées pour financer des pièges à carbone.

« S’employer à suivre une trajectoire, c’est œuvrer dès à présent pour la pérennité de la valeur de nos actifs à long terme » insiste Marc-Olivier Penin, Directeur général La Française REM qui ajoute « Le coût de l’inaction s’accroît de manière exponentielle. Si les actions d’amélioration des caractéristiques durables des actifs sont réalisées régulièrement en respectant leur cycle de vie, le coût additionnel demeure très marginal comparé à la perte de valorisation qu’encourent les actifs gérés sans prendre en compte les critères ESG. » Et Philippe Depoux, Président de La Française REM, de conclure « En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de ses investisseurs, La Française REM porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Nous sommes fiers de pouvoir annoncer que, fort de cet engagement, c’est aujourd’hui, la totalité de la gamme de Sociétés Civiles de Placement Immobilier d’immobilier d’entreprise gérées par La Française REM, société de gestion du Groupe La Française, qui est alignée avec l’article 9 du règlement Disclosure. »

Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

Lexique :
Règlement UE n°2019/2088 SFDR / Disclosure

Objectifs➔ Établir des règles de transparence harmonisées pour les acteurs des marchés financiers en matière de durabilité
Classification des fonds en fonction du degré de prise en compte des critères ESF :
>  Les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « faisant la promotion de caractéristiques environnementales ou sociales, ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ». (article 8)
> Les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « ayant un objectif d’investissement 
durable ». (article 9)

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news-3293 Mon, 19 Apr 2021 17:49:00 +0200 La crise sanitaire et économique que nous traversons a accéléré certaines tendances avec un impact significatif et durable sur l’immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-crise-sanitaire-et-economique-que-nous-traversons-a-accelere-certaines-tendances-avec-un-impact-significatif-et-durable-sur-limmobilier/ La crise sanitaire et économique que nous traversons a accéléré certaines tendances avec un impact significatif et durable sur l’immobilier. Comment cela se répercute-t-il en termes de stratégie d’investissement ? En termes de création de nouveaux véhicules ? En termes de performance future ? Comme vous le soulignez, ces crises n’ont pas provoqué de rupture majeure mais ont accéléré des tendances déjà à l’oeuvre, que nous avions bien identifiées. Ce qui nous permet de ne pas avoir à opérer de rupture majeure dans notre stratégie d’investissement et d’aborder les conséquences de la crise sanitaire avec un patrimoine bien positionné. Si l’on regarde les impacts macro-économiques de ces crises, et leurs impacts sur l’immobilier, voici les grandes tendances.

  • Un statut de valeur refuge préservé pour l’immobilier.

Comme l’immobilier continue d’offrir une prime de risque élevée, il devrait en toute logique continuer d’attirer les investisseurs dans un contexte de taux d’intérêt historiquement bas et de liquidités abondantes cherchant à être placées.

  • Une polarisation des valeurs et une renaissance de la prime de risque.

La recherche de sécurité devrait entraîner un repricing différencié selon la qualité intrinsèque des actifs. Ainsi les actifs core devraient voir des valeurs bien défendues quand les actifs secondaires connaîtront des ajustements à la baisse. Pour autant, les actifs à vraie création de valeur devraient continuer à attirer les acteurs en fonds propres, avec un repricing à la clé.

  • La rareté, soutenant les valeurs et la résilience des loyers.

Le fly to quality se matérialise ici. À La Française, nous privilégions depuis longtemps une approche core,  tant pour nos produits retail qu’institutionnels. Nous croyons et constatons que, quel que soit le cycle immobilier, les éléments de rareté sont des soutiens puissants à la valorisation des actifs. Nous continuerons donc à privilégier les localisations centrales, les coeurs de métropoles, tant en France qu’en Europe. L’équilibre offre/demande commande les évolutions de loyer, là aussi nous sommes convaincus de la résilience des loyers tertiaires dans les
secteurs de rareté.

  • La flexibilité des baux et la rétention des locataires.

Le manque de flexibilité des baux traditionnels pèse sur les utilisateurs en quête d’optimisation des coûts et faisant face à des besoins de trésorerie. Les propriétaires qui sauront proposer des solutions immobilières flexibles devraient tirer leur épingle du jeu. Il faut savoir comprendre les problèmes court terme de nos locataires et les gérer en privilégiant la valorisation long terme des actifs. La crise sanitaire devrait être suivie d’une crise économique qui pourrait induire une fragilité financière chez les utilisateurs des secteurs les plus touchés par la crise sanitaire. La Française porte une attention renforcée au risque crédit locataire sur son patrimoine et sur ses acquisitions ; la durée contractuelle du bail ne doit en effet pas nous aveugler sur les potentiels risques de défaillance financière des locataires les plus fragiles.

  • Modularité et repositionnement des actifs.

Les évolutions des usages imposent de réfléchir en amont à la convertibilité future des actifs. Lors des travaux de restructuration, La Française étudie des scénarios alternatifs de changements d’usage pour les actifs dont l’usage actuel est menacé. Le surcoût lié à ces conversions est largement compensé par la préservation de la valeur de l’actif à long terme Digitalisation et collaboration. Le développement et la pérennisation du télétravail au-delà de la crise sanitairebamènent tous les utilisateurs d’espaces tertiaires à repenser les modes de travail et d’organisation. La question de l’utilisation des locaux est au centre de ces réflexions. Recherche d’économie, d’efficacité, de sens. Le lieu physique est largement concurrencé par la technologie dans sa capacité à nous mettre en relation. La Française a la conviction qu’il continuera à y avoir une demande active pour l’immobilier conçu comme facilitateur de liens, de rencontres, de transmission ou encore de créativité par le collectif.

  • Services, flexibilité et durabilité.

L’avenir de l’immobilier tertiaire dépendra de la faculté des bailleurs ET des occupants à intégrer dans l’actif une véritable approche de durabilité, de flexibilité d’usage et apport de services.

  • Proximité et relocalisation.

Les différentes périodes de confinement ont mis en lumière la complexité de chaînes d’approvisionnement à l’échelle mondiale et la forte dépendance à l’Asie pour un certain nombre de produits stratégiques. L’année 2021 devrait être marquée par un recul du phénomène de globalisation avec un probable phénomène de relocalisation des chaînes d’approvisionnement et de certaines industries, avec en conséquence immobilière une probable nouvelle vie d’actifs (stockage, transformation).

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news-3291 Mon, 14 Dec 2020 17:14:00 +0100 La Française a participé à la création du Livre Blanc « Bâtiments, villes et territoire durables – Nouveaux usages et modèles économiques » porté par Finance Innovation ». /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-participe-a-la-creation-du-livre-blanc-batiments-villes-et-territoire-durables-nouveaux-usages-et-modeles-economiques-porte-par-finance-innovation/ Ces modèles reposent largement sur de nouvelles propositions de valeur le plus souvent développés par les Proptech. La digitalisation, au sens de la collecte et de la mise en réseau de données massives couplée au déploiement d’intelligence artificielle pour les traiter, y joue en rôle déterminant, au service de la durabilité. La digitalisation de l’immeuble au premier chef est étendue à l’utilisateur afin d’intégrer ses besoins et usages, puis aux parties prenantes du territoire.

Réunis par un engagement commun, plusieurs acteurs proposent au fil de ce document une trentaine de domaines d’innovations prioritaires (DIP), représentant autant de pistes pour l’avenir des territoires.

Extrait « La transformation industrielle majeure n’est [ …] pas l’automatisation des tâches, mais l’augmentation de la connectivité, créant des masses considérables de données qui sont la matière première des nouvelles chaînes de valeur et des leviers de performance, en particulier dans l’immobilier. »

 

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news-3290 Fri, 06 Nov 2020 17:03:00 +0100 Le monde change. L’urgence d’agir, de faire sa part pour devenir acteur de ce changement est aujourd’hui une évidence. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-monde-change-lurgence-dagir-de-faire-sa-part-pour-devenir-acteur-de-ce-changement-est-aujourdhui-une-evidence/ La Charte Investissement Durable (ID) du Groupe La Française constitue le document de référence des pratiques du Groupe pour l’intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son activité de gestion pour compte de tiers.

Elle est structurée en trois points :

  1. Philosophie d’investissement
  2. Déclinaison par classe d’actifs
  3. Pilotage de la démarche d’investissement.
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news-3287 Fri, 25 Nov 2022 07:41:00 +0100 PITCH TON IMMEUBLE – GAVROCHE PRÉSENTÉ PAR DELPHINE HAMEZ /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pitch-ton-immeuble-gavroche-presente-par-delphine-hamez/ Comment restructurer un immeuble pour répondre aux usages de la nouvelle économie ?  

 Delphine HAMEZ, Directrice Asset Management à La Française REM, vous présente Gavroche : un immeuble serviciel, bohème et chic dans un quartier emblématique et inspirant.

Situé dans le quartier de Montmartre, découvrez Gavroche en 3 mots : startup-friendly, adaptable, végétal.

Pour découvrir l’immeuble, ça se passe en vidéo !

 

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news-3286 Fri, 25 Nov 2022 16:19:00 +0100 LETTRE D’INFORMATION DES PORTEURS FCP UFF OBLIGATIONS 3-5 A, NOURRICIER DU FCP OBLIGATIONS 3-5 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-dinformation-des-porteurs-fcp-uff-obligations-3-5-a-nourricier-du-fcp-obligations-3-5-m/ Code ISIN : FR0013018868  

Chère Madame, cher Monsieur,

Vous êtes porteurs de parts du Fonds Commun de Placement (FCP) « UFF OBLIGATIONS 3-5 A », qui est un fonds nourricier du FCP maître « OBLIGATIONS 3-5 M », (ci-après le « Fonds » ou le « FCP ») et nous vous remercions de votre confiance.

Nous souhaitons vous informer de l’évolution de votre Fonds selon les termes et conditions de l’opération décrite ci-dessous.

 

Quels changements vont intervenir sur votre Fonds ?


A la demande de l’UNION FINANCIERE DE France BANQUE, commercialisateur de votre Fonds, LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT, actuelle société de gestion de votre Fonds, en accord avec la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION, a décidé de transférer la gestion financière, administrative et comptable de votre FCP à cette dernière. En conséquence, SCHELCHER PRINCE GESTION deviendra la société de gestion de votre FCP.
SCHELCHER PRINCE GESTION, dont le siège social est situé au 72 rue Pierre Charron – 75008 PARIS est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 01036.

Corrélativement, il a été décidé d’effectuer différentes modifications.

En particulier, la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION a décidé de faire évoluer les frais ainsi que la stratégie d’investissement du fonds maître, par l’intégration notamment de critères extra-financier (filtre normatif permettant d’exclure des émetteurs controversés), ce qui entraine une modification du profil de rendement/risque du FCP comme détaillé ci-dessous dans le tableau.
Les principales modifications apportées au fonds maître et sur votre Fonds nourricier sont détaillées ci-dessous avec les principales différences « avant » et « après ».
 

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news-3285 Fri, 25 Nov 2022 16:17:00 +0100 LETTRE D’INFORMATION DES PORTEURS DU FCP UFF OBLIGATIONS 3-5, NOURRICIER DU FCP OBLIGATIONS 3-5-M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-dinformation-des-porteurs-du-fcp-uff-obligations-3-5-nourricier-du-fcp-obligations-3-5-m/ Part P : FR0011540111 - Part RE: FR0010431601 - Part C: FR0007387642 - Part RP: FR0010431593 Chère Madame, cher Monsieur,

Vous êtes porteurs de parts du Fonds Commun de Placement (FCP) « UFF OBLIGATIONS 3-5 », qui est un fonds nourricier du FCP maître « OBLIGATIONS 3-5M », (ci-après le « Fonds » ou le « FCP ») et nous vous remercions de votre confiance.

Nous souhaitons vous informer de l’évolution de votre Fonds selon les termes et conditions de l’opération décrite ci-dessous.

 

Quels changements vont intervenir sur votre Fonds ?


A la demande de l’UNION FINANCIERE DE France BANQUE, commercialisateur de votre Fonds, LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT, actuelle société de gestion de votre Fonds, en accord avec la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION, a décidé de transférer la gestion financière, administrative et comptable de votre FCP à cette dernière. En conséquence, SCHELCHER PRINCE GESTION deviendra la société de gestion de votre FCP. SCHELCHER PRINCE GESTION, dont le siège social est situé au 72 rue Pierre Charron – 75008 PARIS est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 01036.

Corrélativement, il a été décidé d’effectuer différentes modifications.

En particulier, la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION a décidé de faire évoluer les frais ainsi que la stratégie d’investissement du fonds maître, par l’intégration notamment de critères extra-financier (filtre normatif permettant d’exclure des émetteurs controversés), ce qui entraine une modification du profil de rendement/risque du FCP comme détaillé ci-dessous dans le tableau.
Les principales modifications apportées au fonds maître et sur votre Fonds nourricier sont détaillées ci-dessous avec les principales différences « avant » et « après ».

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news-3284 Fri, 25 Nov 2022 16:10:00 +0100 LETTRE D’INFORMATION DES PORTEURS DU FCP OBLIGATIONS 3-5-M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-dinformation-des-porteurs-du-fcp-obligations-3-5-m/ Code ISIN : FR0012890317  

Chère Madame, cher Monsieur,

Vous êtes porteurs de parts du Fonds Commun de Placement (FCP) « OBLIGATIONS 3-5 M » (ci-après le « Fonds » ou le « FCP ») et nous vous remercions de votre confiance.

Nous souhaitons vous informer de l’évolution de votre Fonds selon les termes et conditions de l’opération décrite ci-dessous.

 

Quels changements vont intervenir sur votre Fonds ?

 

A la demande de l’UNION FINANCIERE DE France BANQUE, commercialisateur de votre Fonds, LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT, actuelle société de gestion de votre Fonds, en accord avec la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION, a décidé de transférer la gestion financière, administrative et comptable de votre FCP à cette dernière. En conséquence, SCHELCHER PRINCE GESTION deviendra la société de gestion de votre FCP.
SCHELCHER PRINCE GESTION, dont le siège social est situé au 72 rue Pierre Charron – 75008 PARIS est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 01036.

Corrélativement, il a été décidé d’effectuer différentes modifications.

En particulier, la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION a décidé de faire évoluer les frais ainsi que la stratégie d’investissement, par l’intégration notamment de critères extra-financier (filtre normatif permettant d’exclure des émetteurs controversés), ce qui entraine une modification du profil de rendement/risque du FCP comme détaillé ci-dessous dans le tableau.
Les principales modifications sont détaillées ci-dessous avec les principales différences « avant » et « après ».
 

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news-3283 Fri, 25 Nov 2022 16:02:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » de la SICAV « La Française » (FR) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-floating-rates-de-la-sicav-la-francaise-fr/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec un seuil de déclenchement au sein de ce compartiment.

La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.

Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » disponible sur le site www.la-francaise.com

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news-3282 Fri, 25 Nov 2022 15:55:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » de la SICAV « La Française » (FR_CH) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-floating-rates-de-la-sicav-la-francaise-fr-ch/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec un seuil de déclenchement au sein de ce compartiment. 


La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.

Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées. 

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » disponible sur le site www.la-francaise.com

Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant.

 

Représentant en Suisse :
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich

Agent payeur en Suisse :
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich

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news-3281 Thu, 24 Nov 2022 15:53:33 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-la-francaise-1/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec un seuil de déclenchement au sein de ce compartiment.

La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.

Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.co

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news-3280 Fri, 25 Nov 2022 15:50:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV « La Française » (FR_CH) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-la-francaise/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec un seuil de déclenchement au sein de ce compartiment. 

La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.

Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com

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news-3274 Fri, 25 Nov 2022 11:45:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV de droit Français « La Française »_FR-BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec un seuil de déclenchement au sein de ce compartiment. 
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.

Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées. 

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site  www.fundinfo.com ou  sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
 

Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles
 

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news-3267 Thu, 24 Nov 2022 11:05:53 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » de la SICAV de droit Français « La Française »_FR-BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-floating-rates-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec un seuil de déclenchement au sein de ce compartiment. 
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.

Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées. 

Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » disponible sur le site www.fundinfo.com ou  sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
 

Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles

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news-3262 Thu, 24 Nov 2022 14:26:00 +0100 LA FRANÇAISE ACCÉLÈRE SON DÉVELOPPEMENT IMMOBILIER PANEUROPÉEN AVEC DE NOUVELLES RECRUES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-accelere-son-developpement-immobilier-paneuropeen-avec-de-nouvelles-recrues/ La Française, groupe international de gestion d'actifs avec 50 milliards d'euros d'actifs sous gestion dont plus de 30 milliards d'euros d'actifs immobiliers (au 30/06/2022), a le plaisir d'annoncer l'arrivée de quatre nouvelles recrues au sein de sa plateforme immobilière paneuropéenne :
  • Jonathan MANSIE, Directeur, Transactions paneuropéennes, basé à Londres et rattaché à David Rendall, Head of Institutional and International Real Estate pour La Française Real Estate Managers (REM) ;
  • James HARMER, Asset Manager, basé à Londres et rattaché à Peter Balfour, Head of Real Estate UK pour La Française REM ;
  • Adil MESTAN, Investment Manager, basé à Francfort et rattaché à Robin Steinberg, Head of Transactions pour La Française REM en Allemagne ;
  • Vanessa Mayer, Asset Manager, basée à Francfort et rattachée à Carolin Hoser, Head of Asset Management pour La Française REM en Allemagne.
  • Depuis l'ouverture de ses bureaux de Londres et de Francfort en 2014 sous la direction de David Rendall, le groupe a développé avec succès son activité immobilière paneuropéenne. Plus de 24 % des actifs immobiliers sont gérés pour le compte d'investisseurs internationaux (hors France) et 10 % des actifs sont situés hors de France (Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Irlande, Royaume-Uni et Luxembourg). 
    David Rendall, Head of Institutional and International Real Estate de La Française Real Estate Managers, a déclaré : « En raison des défis actuels du marché mondial, nous pensons que le moment est venu de renforcer notre plateforme afin d'améliorer notre capacité à fournir des solutions d’actifs réels à nos clients tant au niveau local qu'international. Ces nouvelles recrues permettront de stimuler encore plus notre croissance ».

    ►    Jonathan MANSIE, Directeur, Transactions paneuropéennes, La Française Real Estate Managers (Londres)
    Jonathan a vingt-huit ans d'expérience dans le secteur immobilier paneuropéen. Il a débuté sa carrière chez Jones Lang Wootton/JLL, d'abord au Royaume-Uni puis en France, avant de rejoindre Constantine Land en 2004 en tant qu'expert en acquisitions et peu après Dunedin Property/Industrious Asset Management en tant que gestionnaire immobilier régional. En 2009, Jonathan a rejoint London & Regional Properties en tant que gestionnaire d'actifs senior responsable d'un important portefeuille à usage mixte situé dans tout le Royaume-Uni, comprenant des bureaux du centre de Londres, des propriétés résidentielles, commerciales, de loisirs, de santé et PFI (Private Finance Initiative). Avant de rejoindre La Française REM, Jonathan était directeur général, Origination & Acquisitions chez Europa Capital à Londres où il était responsable de la création d'opportunités immobilières en France et en Europe du Sud. Il est titulaire d'un Bachelor of Science en gestion foncière de l'Université De Montfort (Royaume-Uni). En tant que directeur, transactions paneuropéennes, Jonathan poursuivra les opportunités d'investissement à travers l'Europe.

    ►    James HARMER, Asset Manager, La Française Real Estate Managers (Londres)
    James travaille sur le marché immobilier londonien depuis 2016. Après avoir débuté chez GL Hearn, il a rejoint Knight Frank où il a passé deux ans et demi au sein du département Fund Valuation avant de rejoindre le département Asset Management de la société. James était un gestionnaire d'actifs du Pollen Estate, composé d’une partie importante d'East Mayfair, y compris Savile Row et New Bond Street, avec une expérience sectorielle couvrant principalement les bureaux et les commerces haut de gamme. Il est titulaire d'un Master of Science de la Royal Agricultural University. En tant qu’Asset Manager, James travaillera principalement sur le portefeuille du Royaume-Uni et de l'Irlande et assistera l'équipe sur les opportunités d'investissement en se concentrant sur les secteurs du West End of London et de l'industrie. 

    ►    Adil MESTAN, Investment Manager, La Française Real Estate Managers (Allemagne)
    Avant de rejoindre La Française, Adil était associé chez Goldman Sachs où il a acquis une large expérience sur une variété de classes d'actifs, notamment les bureaux, les commerces et le résidentiel, à travers de multiples stratégies : Opportuniste, Value-Add et Core +. Il est titulaire d'un Master of Science en gestion et investissement immobilier de l'Université Napier d'Édimbourg. En tant qu’Investment Manager, Adil sourcera des opportunités d'investissement immobilier en Allemagne et aux Pays-Bas.

    ►    Vanessa Mayer, Asset Manager, La Française Real Estate Managers (Allemagne)
    Vanessa possède six ans d'expérience sur le marché immobilier allemand depuis ses débuts en tant qu'analyste en investissement chez Knight Frank en 2017, où elle a acquis une vaste expérience dans le conseil en transactions. En 2019, Vanessa a rejoint Deutsche Immobilien Opportunitaten AG et a été nommée Investment Asset Manager. Avant de rejoindre La Française REM, elle était Asset Manager chez publity AG. Vanessa est titulaire d'un Bachelor of Arts de l'Université des sciences appliquées TH Aschaffenburg. En tant qu’Asset Manager, elle sera responsable de la gestion d'un portefeuille allemand composé d'actifs de bureaux, de commerces et à usage mixte.

     

    À propos de La Française
    Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.
    Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.
    Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.
    La Française gère plus de 50 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan et Séoul. (30/06/2022)
    La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Groupe Crédit Mutuel, rating Standard & Poor’s (06/2021) : Long Terme : A, perspective stable / Court terme : A-1.
     
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    news-3261 Fri, 25 Nov 2022 17:41:00 +0100 Deux fonds actions de la gamme « Climate Transition » de La Française AM, récompensés avec le label FNG trois étoiles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/deux-fonds-actions-de-la-gamme-climate-transition-de-la-francaise-am-recompenses-avec-le-label-fng-trois-etoiles/ La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, a le plaisir d’annoncer que deux de ses fonds actions « climate transition », La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Euro ont été récompensés avec le label Forum Nachhaltige Geldanlagen (FNG) trois étoiles pour les fonds d’investissement durable Cette distinction vient reconnaître la qualité de la recherche effectuée par l'équipe de recherche extra-financière ainsi que les stratégies des fonds, qui reposent sur une approche thématique globale axée sur le changement climatique. Les deux fonds sont classés Article 9 selon le règlement Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). Le label FNG est attribué pour l’année 2023. 

    Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année. Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par l'Université de Hambourg après examen et évaluation indépendants.

    La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :

    • Présentation transparente et facile à comprendre de la stratégie de développement durable du fonds dans le cadre du Code européen de Transparence pour les fonds ISR et du Profil de durabilité établi par FNG
    • Exclusion de l'armement et des armes
    • Exclusion de l'énergie nucléaire (y compris l'extraction d'uranium)
    • Exclusion du charbon (exploitation minière et production de faible puissance)
    • Exclusion de la fracturation hydraulique et des sables bitumineux
    • Exclusions du tabac (production)
    • Exclusion en cas de violation systématique et/ou grave des principes du Pacte mondial des Nations Unies
    • L'ensemble du portefeuille du fonds est contrôlé au regard de critères de développement durable (responsabilité sociale et environnementale, bonne gouvernance d'entreprise, objectifs de développement durable des Nations Unies ou autres).

    La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Euro ont obtenu chacun trois étoiles sur les trois possibles, pour leur stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète, qui leur a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et de la constitution du portefeuille (sélection de titres, engagement et indicateurs clefs de performance).

    Thomas DHAINAUT, Head of Equities – Small and Large Caps de La Française AM, a conclu : « 2022 marque une étape importante pour La Française AM. Notre stratégie « climate transition » lancé en 2015 avec La Française LUX-Inflection point Carbon Impact Global est récompensée pour la troisième année consécutive avec le Label FNG et pour la première fois elle remporte le sésame, trois étoiles ! Le fonds bénéficie aujourd’hui de trois labels en cours de validité (Label FNG-3 étoiles, Label ISR et Greenfin). Nos deux fonds, La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Euro, s’alignent avec les critères d’évaluation restrictifs imposés par le Label FNG. Les trois étoiles attribuées à chaque fonds signifient la poursuite de stratégies durables encore plus ambitieuses. » 

    La Française LUX – Inflection Point Carbon Impact Global : Le fonds vise à contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme.

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    news-3258 Mon, 21 Nov 2022 10:08:30 +0100 Inflation et Allocation Stratégique d’Actifs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inflation-et-allocation-strategique-dactifs/ Coécrit par Virginie Wallut, François Rimeu et Pierre Schoeffler. Une brève histoire de l’inflation 
     

    Au-delà des fluctuations de la croissance économique qui guident l’allocation tactique d’actifs, la question la plus fondamentale pour l’allocation stratégique est celle du régime d’inflation que connaîtra le monde développé dans les prochaines années. Pour de multiples raisons, il est possible que nous soyons à une bifurcation majeure et qu’un changement radical soit en cours.Pendant près de 25 ans, de 1960 à 1983, le monde a vécu les conséquences du dérèglement  monétaire qui ont conduit à la fin des accords de Bretton Woods en 1973, qui instituaient un système de change fixe avec l’étalon de « change-or » fondé sur le dollar. Ce système ne pouvait fonctionner que grâce à un influx permanent de dollars dans l’économie internationale, ce qui induisait des politiques monétaires très accommodantes, condition nécessaire pour provoquer une déflagration sur les prix. Les chocs pétroliers de 1974 et 1979 ont agi comme les détonateurs du régime de la Grande inflation, qui a porté la hausse des prix à la consommation dans les pays développés d’environ 4 à 10%, l’indexation automatique des salaires sur les prix entretenant le brasier.

    Puis, durant 40 ans, de 1983 à nos jours, les pays développés ont changé de régime d’inflation adoptant le régime de la Grande modération, c’est-à-dire une inflation entre 0 et 3 %. Le responsable en était le Président de la Federal Reserve System (FED) Paul Volcker qui a porté le taux directeur de la Fed à 20 % en 1981 et adopté une politique stricte de contrôle de la croissance de la masse monétaire, provoquant une lourde récession. Le manque de combustible monétaire 
    et l’arrêt des dispositifs d’indexation des salaires sur les prix ont brisé définitivement les anticipations inflationnistes. Puis est arrivée la globalisation avec la chute du mur de Berlin en 1989 et l’entrée de la Chine dans l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001. Les pressions déflationnistes persistantes provoquées par la systématisation des avantages comparatifs dans le monde libre-échangiste ont permis de modérer les revendications salariales tout en faisant progresser le pouvoir d’achat des ménages. 

    Mais depuis 15 ans, la globalisation connait d’importants vents contraires : la Crise financière globale de 2008, l’affrontement entre les Etats-Unis et la Chine à partir de 2018, la crise sanitaire en 2020 et la guerre en Ukraine en 2022. L’économie mondiale reste globalisée, mais fragmentation et segmentation sont ses nouvelles lignes directrices avec moins d’avantages compétitifs à la clef et moins d’effet réseau.
    Côté banques centrales, tout a commencé avec les politiques monétaires ultra accommodantes mises en place en 2009 aux Etats-Unis et en 2015 en zone euro pour contrer les effets de la Crise financière globale avec pour corollaire la croissance des masses monétaires de plus de 20 % en rythme annuel sur une longue période. Le combustible était là. Le déclenchement de la crise Covid a ensuite embrasé l’inflation avec un choc de contrainte sur l’offre lié au confinement et un choc de stimulation excessive sur la demande liée aux mesures de soutien public.

    En plus de cela, arrive l’impératif de la transition climatique. Le prix de l’externalité carbone, non pris en compte jusqu’à présent, mais seul instrument vraiment efficace pour assurer la transition climatique, va peser sur les prix de l’énergie, or l’activité économique n’est que de l’énergie transformée. Le prix du carbone va inexorablement monter, car il reflète la valeur présente de dommages climatiques prévus en grande partie après 2050, date qui se rapproche inéluctablement et dommages qui s’intensifient chaque jour.

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    news-3255 Tue, 22 Nov 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert, auprès d’Immobilière Dassault, deux commerces Parisiens /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-dimmobiliere-dassault-deux-commerces-parisiens/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’Immobilière Dassault, deux commerces situés dans les 7ème et 18ème arrondissements de Paris qui font la part belle aux mobilités douces grâce à leur proximité aux transports en commun. Le premier commerce, situé rue Saint Dominique au cœur du 7ème arrondissement (proche des Lignes 8 et 13 du métro, stations La Tour-Maubourg et Invalides respectivement), est loué au « Palais des Thés ».

    Le deuxième commerce, livré en 2021, offre 345 m2 de surface en R+2. L’actif est situé dans le 18ème arrondissement au 2 rue Lepic, à proximité immédiate de la Place Blanche (Ligne 2 de métro, station Blanche). Il est entièrement loué dans le cadre d’un bail long terme à une pâtisserie artisanale française. L’immeuble comprend un laboratoire qui permet l'approvisionnement de plusieurs implantations parisiennes, une surface de vente, un salon de thé et un local à vélos. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.


    La Française REM était conseillée par l’office notarial 14 Pyramides et les vendeurs par l’étude notariale Monassier & Associés. La cession a été organisée par Osae Partners dans le cadre de son mandat d’Asset Management de la société CPPJ, détentrice des 2 commerces, et acquise en 2018 par Immobilière Dassault. Les deux parties ont été conseillées par Arthur Loyd dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Knight Frank.

    RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.


    A propos de La Française
    Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.

    Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.

    Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.

    La Française gère plus de 50 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (30/06/2022)

    La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022).
     

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    news-3254 Thu, 17 Nov 2022 18:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers réinvestit l’immobilier de commerces /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-reinvestit-limmobilier-de-commerces/ La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Société Civile de Placement Immobilier , profite de l’ajustement à la baisse des loyers et des prix des commerces en période post-COVID pour réinvestir dans ce segment et ainsi diversifier son patrimoine immobilier avec des actifs résilients, bien localisés et permettant de belles perspectives de revalorisation des loyers dans la durée. Avec 10 % de son patrimoine immobilier investit en commerces, soit plus de 3 milliards d’euros au 30/06/2022, La Française REM mise sur des actifs situés en centre-ville des grandes agglomérations, les retail parks et les supermarchés. La société de gestion cible des actifs bien loués avec des locataires solides, souvent opérant dans des secteurs défensifs tel que la grande distribution et notamment la branche de la grande distribution alimentaire. Elle porte une attention toute particulière au taux d’effort, favorisant l’occupation long terme de ses actifs.

    Sur les dix derniers mois, la société de gestion a finalisé l’acquisition de six commerces en centre-ville et de deux retail parks dans la région de Toulouse et signé une promesse de vente portant sur un commerce de centre-ville ; représentant une surface totale de près 19.000 m2 et un volume de transaction avoisinant les 100 millions d’euros. 

    « Fort de plus de dix années d’expériences et d’une équipe dédiée à cette typologie d’actif, La Francaise Real Estate Managers a construit un portefeuille « Commerces » résilient, que nous souhaitons renforcer avec ces nouveaux investissements afin d’être davantage présents dans les territoires et répondre aux attentes des enseignes » déclare Loic JARDIN, Directeur Asset Management – pôle Commerces de La Française Real Estate Managers.
     

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    news-3253 Mon, 14 Nov 2022 14:14:15 +0100 L’invité de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linvite-de-la-francaise/ A l’occasion de son Club Zéro Carbon qui réunit les investisseurs institutionnels autour des sujets climatiques, le groupe La Française recevait Stéphane La Branche, Sociologue du climat – Coordonnateur scientifique du GIECO/IPBC pour nourrir la réflexion de place sur les problématiques du climat. Interviewé par David Martin, Directeur Commercial Institutionnels France, Stéphane La Branche offre un décryptage sur l’importance des sciences des comportements dans la transition climatique vers une société neutre en carbone en 2050.

    L’importance des données scientifiques relatives aux sciences naturelles n’explique pas tout et notamment les changements de comportement. Les sciences des comportements permettent quant à elles de comprendre les freins et les moteurs aux changements ainsi que le fonctionnement des organisations et institutions pour favoriser la transition écologique.



    Dans cette interview, Stéphane La Branche revient sur les trois points majeurs de son intervention. 
    Pour aller plus loin et en savoir plus sur les sciences comportementales, retrouvez Stéphane La Branche sur son site internet

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    news-3250 Mon, 14 Nov 2022 10:07:57 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert deux immeubles de bureaux adjacents dans le centre d'Anvers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-deux-immeubles-de-bureaux-adjacents-dans-le-centre-danvers/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Europimmo, a acquis auprès de CORES Development 100 % des actions de Rocaille NV, société détenant deux immeubles de bureaux adjacents, C-Hive et Archimedes, dans le centre d'Anvers, deuxième ville de Belgique. Les immeubles de bureaux sont idéalement situés au 176/180 Mechelsesteenweg, un boulevard bordé d'arbres dans Harmonie, un quartier animé qui regorge de boutiques, de supermarchés, de cafés branchés, de restaurants et d'espaces verts. Les gares d'Anvers-Central et d'Anvers Berchem, deux des plus grands nœuds ferroviaires de Belgique, ne sont qu'à quelques minutes en tram ou à vélo.L'investissement comprend deux immeubles de bureaux à la fois différents et complémentaires, C-Hive et Archimedes, situés directement l'un à côté de l'autre :

    • C-Hive est un immeuble de bureaux moderne, entièrement rénové (2019), loué à long terme et multi-locataires, d'une surface totale de 4 820 m² répartis sur 10 niveaux (RDC + 9). Le rez-de-chaussée se compose d'un hall d'accueil haut de gamme et de salles de réunion et de séminaire. Le neuvième étage du bâtiment, d'une surface de 154 m², dispose d'une terrasse sur trois côtés de l'immeuble, offrant une vue impressionnante sur la ville.

    C-Hive propose des plateaux réguliers et divisibles d'environ 555 m² autour d'un noyau central bénéficiant d'une bonne luminosité naturelle.

    Dans le sous-sol de C-Hive, le bâtiment propose une salle de fitness, des douches et un espace d'archives. Il dispose en outre de places de stationnement pour vélos et de 13 bornes de recharge pour véhicules électriques. À l'entrée du bâtiment se trouve une station d'accueil « Velo » (service de location de vélos à Anvers).

    • Archimedes est un immeuble de bureaux à locataire unique rénové en 2016 et 2020. La propriété offre une surface totale de 1 882 m² répartis sur 3 niveaux (RDC + 2). En sous sol, le bâtiment offre 486 m² d'espace mixte comprenant un espace fitness, des vestiaires, etc.

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    Archimedes propose des plateaux allant de 560 m² à 690 m² ; l'immeuble est le siège social de CORES Development.

    Le bâtiment a été entièrement redécoré par l'architecte d'intérieur Living Projects. Chaque pièce a son propre caractère créatif mais fonctionnel. La façade d'Archimedes a été construite dans le style néo-rococo et date de 1929.


    Peter Balfour, Head of Real Estate UK for La Française Real Estate Managers, a déclaré : « Les deux propriétés, compte tenu de leur emplacement exceptionnel, de la qualité des rénovations et de la diversité de la composition des locataires, constituent des ajouts exceptionnels à notre portefeuille immobilier et offrent un potentiel de génération de revenus à long terme. »

    Alexander Vanheukelen, Business Developer pour CORES Development, a conclu : « Nous sommes très satisfaits de cette transaction et nous nous réjouissons de poursuivre notre relation avec La Française en tant que locataire dans l'un des plus beaux immeubles de bureaux d'Anvers. »

    La Française Real Estate Managers a été conseillée par Linklaters sur les aspects juridiques, Arcadis sur les due diligences techniques et environnementales et PwC sur les questions fiscales et financières. JLL a conseillé La Française REM dans le cadre de l'acquisition. Le vendeur était conseillé par CBRE et KPMG Law.

    RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE :

    risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3249 Thu, 10 Nov 2022 09:00:00 +0100 La SCPI du trimestre : édition spéciale acquisition ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-du-trimestre-edition-speciale-acquisition/ La SCPI du trimestre : édition spéciale acquisition !

    Cette acquisition s’intègre parfaitement dans leur stratégie d’investissement avec de nombreux atouts sur :

    - La centralité

    - L’efficience énergétique

    - Un locataire de 1er rang

    - Présentation en quelques minutes avec Guillaume Allard, Directeur Finances Fonds Retails à La Française REM.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-3247 Tue, 08 Nov 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un commerce situé dans le quartier Saint-Germain-des-Prés à Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-un-commerce-situe-dans-le-quartier-saint-germain-des-pres-a-paris/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de la société « Rennes 55 » un local commercial dans un emplacement prime du 6ème arrondissement au croisement de la rue de Rennes, la rue du Four et la rue de Madame. Ce sont 360 m² idéalement situés, au cœur du quartier Saint-Germain-des-Prés, qui font la part belle aux mobilités douces grâce à leur proximité immédiate des stations de métro « Saint-Germain-des-Prés » et « Saint-Sulpice » de la ligne 4. 

    L’actif est situé au numéro 55 de la rue de Rennes au sein d'un secteur particulièrement commerçant et huppé de la capitale, qui accueille de nombreuses enseignes mais aussi des brasseries et restaurants mythiques. 
    Le local commercial est situé au pied d'un immeuble en pierre de taille qui forme un angle sur trois rues emblématiques du 6ème arrondissement et fait ainsi bénéficier à son occupant, une célèbre marque de café, d'une excellente visibilité avec 35 mètres linéaire et sept vitrines.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’Etude Allez & Associés et le Cabinet Jeantet et la société 55 Rennes par l’Etude ATTAL & Associés. 

    Les deux parties étaient conseillées par CBRE.

    RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE :

    risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3246 Mon, 07 Nov 2022 09:28:55 +0100 Le point macro nov.2022 - Changement de ton en prévision ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-point-macro-nov2022-changement-de-ton-en-prevision/ Par François RIMEU, Stratégiste La Française Asset Management. Les marchés dans l'expectative d'un pivot de banque centrales

    Quel changement en si peu de temps ! Après un mois de septembre marqué par des mouvements historiques sur les segments obligataires, les marchés ont traversé le mois d’octobre de manière beaucoup plus positive. Les raisons de ce revirement sont multiples :
     

    • Une saison d’annonce de résultats historiquement positive pour les marchés actions.
    • La forte baisse du gaz européen en lien avec des températures très clémentes.
    • La résolution de la situation politique britannique avec un nouveau gouvernement plus discipliné sur les questions budgétaires.
    • Une saisonnalité mieux orientée à l’approche des élections de mi mandat aux États-Unis.

    Toutefois, si ces différents facteurs ont sans doute aidé à installer un climat plus positif, l’élément déterminant reste le changement de ton de la plupart des banques centrales et en particulier celui de la Réserve Fédérale Américaine (Fed).

    Certains membres de la Fed ont en effet indiqué, autour de la mi-octobre qu’il n’était peut-être pas nécessaire d’aller plus loin que les prévisions actuelles en termes de hausse de taux. D’autres notent aussi qu’étant donné le caractère restrictif actuel de la politique monétaire, il pourrait s’avérer adéquat d’effectuer une « pause » courant 2023. Comme certains de ces propos viennent de M.Bullard, qui est à l’origine des hausses de taux massives de la Fed en début d’année, et qu’ils ont été repris dans le Wall Street Journal par la nouvelle boussole des marchés M.Timiraos (économiste en chef au WSJ), l’impact a été immédiat et positif pour les actifs risqués : le pivot tant attendu de la Fed est enfin là ! Le message est d’autant plus convaincant qu’il a été corroboré ensuite par la décision de la banque centrale canadienne d’une moindre hausse de taux qu’anticipée et d’une communication moins offensive qu’auparavant de la part de la BCE.

    Il nous paraît cependant trop tôt pour crier victoire, aussi bien du côté de la Fed que du côté de la BCE, et que signaler un réel « pivot » serait prendre un risque trop élevé pour ces institutions dont la crédibilité demeure l’actif le plus important.

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    news-3245 Thu, 03 Nov 2022 16:08:37 +0100 COP27, nous voulons croire que « Quand on veut, on peut » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop27-nous-voulons-croire-que-quand-on-veut-on-peut/ Par Marie Lassegnore, CFA, Head of Sustainable Investments, La Française AM Adopté à la clôture de la COP26, le Pacte de Glasgow pour le climat exhorte les parties à « revoir et à renforcer leurs objectifs pour 2030 dans leurs contributions déterminées au niveau national, de façon à se conformer aux objectifs de température fixés par l'Accord de Paris d'ici fin 2022 ». À l'approche de la COP27, dans un contexte géopolitique très tendu, marqué par des pénuries alimentaires, une crise énergétique, une inflation débridée et une probabilité accrue de récession, la coopération multilatérale pourrait s'avérer difficile. Où en sommesnous réellement et que pouvons-nous attendre de la COP27 ?

     

    Malgré le contexte difficile de 2022, certains pays ont renforcé leurs engagements. C'est le cas de l'Australie (avec un objectif révisé de réduction des émissions, passant de 27 % à 43 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2005), de l'Inde (avec un objectif de réduction des émissions renforcé de 34 % à 45 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2005, et ‘net zéro’ d'ici 2070) et des États-Unis avec l'« Inflation Reduction Act », le plus grand investissement dans le climat et l'énergie de l'histoire américaine (avec un objectif de réduction des émissions de 50 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2005 et ‘net zéro’ d'ici 2050)

    Parmi la vague d'initiatives sectorielles de décarbonation annoncées lors de la COP26, certaines ont avancé : 

    • L’Industrial Deep Decarbonization Initiative (IDDI), dont les membres représentent désormais 11 % et 5 % respectivement de la consommation mondiale d'acier et de ciment ;
    • Le Global Methane Pledge, qui visait à réduire les émissions de méthane de 30 % d'ici 2030 par rapport à 2020, a permis de lancer le Global Methane Pledge Energy Pathway, qui peut désormais se targuer de mobiliser 59 millions de dollars de financement dédié, ainsi qu'une aide en nature pour la mise en œuvre des objectifs clés : exploiter au maximum le potentiel d'atténuation rentable du méthane dans le secteur pétrolier et éliminer le torchage systématique dès que possible, au plus tard en 2030.

    Après la gestion chaotique de la crise énergétique de 2022 à travers l'Europe, l’attention va particulièrement se porter sur la faisabilité et la crédibilité de la Déclaration mondiale sur la transition du charbon vers l'énergie propre. Par cette déclaration, les pays développés s'étaient engagés à éliminer l'énergie au charbon d'ici 2030, et les pays en développement, d'ici 2040. 

    Qu'est-ce qui constituerait un résultat positif pour la COP27 ? Le fait de progresser vers l'objectif de 100 milliards de dollars par an pour le financement climatique est primordial, ainsi que la définition d'un nouvel objectif pour l'après-2025. En 2020, selon les chiffres annoncés lors de la COP26, seulement 83 milliards de dollars ont été mobilisés pour le financement du climat, 98 % provenant de fonds publics et seulement 2 % du secteur privé, ce qui laisse une grande marge de progression. La Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ) a été créée dans ce but, pour combler le déficit de financement en matière de climat. Elle a mobilisé plus de 450 participants, représentant plus de 130 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion lors de son lancement en 2021. Bien que nous ayons vu de nombreux autres engagements depuis lors, le mouvement de dénigrement de l'ESG dans les états américains républicains, ces derniers mois, a commencé à soulever des inquiétudes quant au positionnement des banques en ce qui concerne l'atténuation du changement climatique. Le marché craint que l'alliance ne se fragilise si les banques américaines se retiraient, au motif que les engagements « net zéro » posent des risques de responsabilité qui pourraient être considérés comme trop élevés aujourd'hui

    Cette division du marché pousse les acteurs financiers dans des directions opposées, elle est contre-productive pour la mobilisation du financement climatique. En effet, cela détourne l'attention de l'industrie financière alors que nous avons un défi pratique à relever à plus court terme : comment augmenter les dépenses sur un problème de fond, tout en tenant compte du fardeau de la récession économique qui se profile. Entreprises et gouvernements n'auront pas la même réponse à cette question.
    En période de contraction économique, les entreprises réagissent en réduisant leurs plans de dépenses en investissements, en gelant les nouvelles embauches (voire en licenciant du personnel), pour préserver la continuité d'exploitation tout en optimisant leur efficacité. Cependant, les PDG, qui ont un mandat qui s'étend au-delà du cycle de récession, doivent apporter une vision de résilience et durabilité à travers les cycles. Cela ne peut être envisagé aujourd'hui sans prendre en compte les externalités sociales et environnementales. Notre expérience dans l'examen d'opportunités d'investissement au sein de nos approches d'atténuation 
    du changement climatique nous a appris que la qualité du management et l'efficacité de la gouvernance d'entreprise se reflètent dans la capacité des équipes de direction à voir au-delà des turbulences de court terme, en continuant à investir dans ce dont l'entreprise aura besoin lorsque le contexte sera plus porteur : en conservant les talents, en réorganisant l'entreprise, en modifiant la gamme de produits, etc.

    Par ailleurs, on attend des gouvernements des grandes économies qu'ils apportent leur soutien dans les moments difficiles et qu'ils conçoivent et adoptent de nouvelles politiques susceptibles de transformer la morosité en opportunité. De plus, les gouvernements ne peuvent ignorer ce dont une vision à court terme les priverait : la cohésion sociale et la capacité à satisfaire les besoins fondamentaux des citoyens. Avec la pression croissante sur l'agriculture causée par les 
    phénomènes météorologiques extrêmes, les besoins d'adaptation sont au cœur de l'agenda social et pourraient ainsi recueillir davantage d'engagements financiers. Le financement de l'adaptation ainsi que les provisions pour pertes et dommages (pour les pays les plus vulnérables) figurent en bonne place sur la liste des priorités de la COP de cette année.

    L'année 2022 a été marquée par le deuxième ouragan le plus destructeur et le plus coûteux aux États-Unis. L'ouragan Ian a causé des dommages estimés à plus de 100 milliards de dollars. Les inondations au Pakistan et en Australie, les sécheresses record (parmi les pires depuis 500 ans), les canicules et les incendies de forêt dans l'hémisphère nord sont autant de catastrophes climatiques qui devraient devenir 15 à 30 fois plus fréquentes dans le futur. Les implications directes ne sont pas seulement liées à la reconstruction, mais concernent aussi la sécurité alimentaire, c'est-à-dire la baisse du rendement des cultures (baisse de 30 % de la récolte de riz dans le nord de l'Italie l'été dernier) et donc aussi du fourrage pour animaux. Des effets à plus long terme sont également à prévoir sur la biodiversité et les écosystèmes, avec des conséquences encore plus lourdes. 

    La COP27 se réunira dans un contexte économique et géopolitique très morose. Bien que les attentes soient faibles, on ne peut exclure de bonnes surprises. Nous ne pouvons qu'espérer et plaider pour que nos dirigeants regardent au-delà de la récession imminente et des tensions géopolitiques avec la Russie et qu'ils promeuvent des plans climatiques plus ambitieux pour protéger notre planète.

     

     

    AVERTISSEMENT
    Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997

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    news-3244 Wed, 02 Nov 2022 14:05:11 +0100 FOMC 02/11 – un équilibre à trouver /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fomc-02-11-un-equilibre-a-trouver/ La FED devrait (FOMC) augmenter les taux pour la quatrième fois consécutive de 75 points de base (pb) lors de sa réunion du 2 novembre. Nos principales prévisions :

    • Le FOMC augmentera les taux de 75 points de base dans une fourchette de 3,75 % à 4,00 %.
    • Le président Powell ne devrait pas donner d'indications sur l'ampleur de la hausse en décembre afin de garder toutes les options ouvertes avant les rapports d'octobre et novembre sur l'inflation aux États-Unis. Les décisions concernant le rythme des hausses devraient continuer à dépendre des données entrantes et de l'évolution des perspectives.
    • M. Powell ne devrait pas exclure des taux directeurs plus élevés pour lutter contre l'inflation. Néanmoins, au vu des récents commentaires des responsables de la Fed et alors que les taux des fonds fédéraux évoluent en territoire restrictif, la banque centrale pourrait envisager des hausses de taux moins agressives à l'avenir afin d'évaluer les effets des ajustements cumulatifs de la politique sur l'activité économique et l'inflation.
    • M. Powell évoquera la liquidité des bons du Trésor au cours de la conférence de presse, compte tenu du programme de rachat potentiel soutenu par la secrétaire au Trésor Janet Yellen.

    En conclusion, la Fed devrait maintenir sa politique restrictive jusqu'à ce que les pressions inflationnistes décélèrent clairement. Toutefois, nous nous attendons à ce que le président de la Fed, M. Powell, signale un rythme de resserrement plus progressif. L’équilibre sera potentiellement difficile à trouver entre d’un côté un rythme de hausse de taux plus faible et d’un autre côté un taux terminal qui pourrait être revu à la hausse dans les mois qui viennent étant donné la résistance de l’économie américaine Cette réunion pourrait entraîner une légère pentification de la courbe des taux d'intérêt américains.


    Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-3242 Fri, 28 Oct 2022 16:44:25 +0200 Une deuxième hausse consécutive de 75 points de base vers la zone neutre et la perspective du QT. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-deuxieme-hausse-consecutive-de-75-points-de-base-vers-la-zone-neutre-et-la-perspective-du-qt/ Commentaire pré-BCE signé par François Rimeu, Senior Strategist, La Française AM. La Banque centrale européenne (BCE) devrait augmenter ses trois taux d'intérêt directeurs de 75 points de base (pb) lors de sa réunion du 27 octobre. Nos principales prévisions :

     

    • La BCE augmentera ses taux d'intérêt de 75 points de base, portant le taux de dépôt à 1,50 %.
    • Le Conseil des gouverneurs (CG) réaffirmera que l'inflation est beaucoup trop élevée et que les risques sont orientés à la hausse. Par conséquent, la présidente Christine Lagarde signalera de nouvelles hausses de taux au cours de ses prochaines réunions. Mme Lagarde réitérera que les décisions futures sur les taux directeurs continueront d’être prises réunion par réunion. 
    • La banque centrale annoncera des changements sur la rémunération des excès de liquidités (modalités des opérations de refinancement à plus long terme ciblées - TLTRO, système à double palier inversé) afin d'encourager les banques à rembourser par anticipations les prêts.
    • Christine Lagarde indiquera la volonté de la BCE d’entamer la réduction de son bilan (QT) sur le programme d'achat d'actifs (APP). Nous estimons que la banque centrale présentera son plan d’actions lors de la réunion de décembre pour un lancement au premier trimestre 2023. Le QT devrait être graduel, n'impliquant pas la vente active d'obligations.
    • La BCE poursuivra les réinvestissements dans le cadre de son programme d'achats d'urgence face à la pandémie (PEPP), de façon flexible, "au moins jusqu'à la fin de 2024". 
    • Mme Christine Lagarde appellera à la coopération entre les politiques budgétaires et monétaires.

    En conclusion, la BCE devrait rester très déterminée pour contrer l’inflation en dépit des risques de récession. La réunion du mois d’octobre ne devrait pas révéler de surprise. Toutefois elle pourrait pousser les écarts de rendement des obligations souveraines de l'Union économique et monétaire (UEM) à la hausse

     

    Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3237 Thu, 20 Oct 2022 09:00:00 +0200 « WELLCOME by La Française », des résultats tangibles ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/wellcome-by-la-francaise-des-resultats-tangibles/ Communiqué de Presse Après seulement quatre mois de commercialisation, « WELLCOME by La Française », la nouvelle offre locative de La Française Real Estate Managers (REM), s’est rapidement répandue comme la solution de choix parmi ses clients locataires. Preuve à l’appui, depuis juin 2022, près de 60 % des nouveaux baux signés sur douze actifs bénéficiant de l’offre « WELLCOME by La Française » sont des baux « Agiles » !

    Conçu tout particulièrement pour les clients nécessitant de la souplesse dans la gestion de leurs opérations, le bail « Agile » est un bail commercial dont les dates de sortie fixes ont été remplacées par un préavis glissant de 6 mois, activable quand le locataire en a besoin. A tout moment, le locataire peut également déclencher des options de franchise de loyer en échange d’un rallongement du préavis, selon des conditions prédéfinies et sans surcoût. Disponible en exclusivité sur douze actifs gérés par La Française Real Estate Managers, le bail « Agile » octroi aux locataires une flexibilité maximale.

    Outre l’offre de flexibilité contractuelle, « WELLCOME by La Française » propose une gamme d’avantages exclusifs qui s’est récemment enrichie avec quatre nouveaux partenariats :

    1. Aveltys : Un accompagnement dans la stratégie RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) du locataire couplé à une garantie de charges de fonctionnement pour plus de sérénité budgétaire dans la durée ;
    2. Comet Meetings : Une nouvelle expérience de réunion et séminaire en concevant des lieux inspirants au cœur des villes et en favorisant l’intelligence collective et la culture de l’innovation des équipes ;
    3. Foodles : Une alternative plus flexible et plus responsable à la restauration collective traditionnelle grâce à des menus ultra-frais, économiques et gourmands, disponibles dans des frigos connectés brevetés et des comptoirs gourmands dans un esprit “food court” ;
    4. Merci Raymond : Une offre permettant de créer un environnement naturel et durable au sein des bureaux ; le design végétal rendant les espaces fertiles à l’éclosion et la concrétisation d’idées.

    Ces prestations ont été négociées avec des partenaires de confiance à moindre coût, risque ou délai pour les clients de La Française REM et viennent compléter l’offre existante : Watt Design and Build, Welcome at Work et Hiptown (Nexity).

    Jean-Marie Célérier, Directeur de la Cellule de Transformation de l’Offre Locative de La Française Real Estate Managers souligne « Nous constatons que le bail Agile répond à de multiples cas d’usage : des sociétés en croissance, à l’activité volatile et qui veulent limiter leur

    dette IFRS 161, ou encore des grands groupes qui souhaitent prendre une partie de leur implantation en flexible. Par exemple, 4 000 m2 en bail traditionnel et 1 000 m2 en bail « Agile ». Couplé à l’offre d’avantages exclusifs, tout est fait pour faciliter le passage « d’un bail de location » à « une expérience de travail ». Avec « WELLCOME by La Française », notre objectif est de donner à nos locataires l’envie de retourner au bureau. »

    Découvrez WELLCOME by La Française 

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    news-3234 Mon, 17 Oct 2022 09:34:50 +0200 LETTRE AUX PORTEURS DE PARTS DU FCP « CONSERVATEUR RENDEMENT 2022 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-conservateur-rendement-2022/ Objet : Opération de mutation du Fonds Commun de Placement « CONSERVATEUR RENDEMENT 2022 » (code ISIN : FR0013411287) Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement CONSERVATEUR RENDEMENT 2022 et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    L’échéance du fonds CONSERVATEUR RENDEMENT 2022 (ci-après le « FCP ») étant prévu au 31 décembre 2022, nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP, a opté, conformément aux modalités prévues dans la documentation réglementaire, pour la liquidation anticipée du FCP.

    En effet, le contexte des conditions de réinvestissement ne permet pas d’optimiser le rendement du FCP.

    Par ailleurs, La Française Asset Management considère qu’une stratégie classique de portage n’est pas dans l’intérêt des porteurs du FCP dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d'ores et déjà captée, le rendement résiduel estimé étant faible. A ce titre, la société de gestion du FCP a décidé de procéder à la liquidation du FCP au 31/10/2022 ce qui vous permettrait de saisir de nouvelles opportunités de marché et cela avant l’échéance prévue du FCP au 31 décembre 2022.

    Quel est le taux de rendement de votre investissement ?

    Votre FCP a enregistré une performance cumulée de -0.13 % sur l’ensemble de sa durée de vie, soit un taux de rendement annuel de -0.04% (données arrêtées au 12/09/2022).

    Taux résiduel estimé jusqu’à l’échéance 0.3%


    Quand votre FCP sera liquidé ? La société de gestion a décidé de procéder à la dissolution (mise en liquidation) de votre FCP.

    Cette opération est soumise à l’agrément de l’Autorité des marchés financiers qui a été obtenu le 11 octobre 2022. 2 Votre FCP sera dissous en date du 31/10/2022. L’échéance du FCP telle que prévue dans sa documentation légale est le 31/12/2022.

    Celle-ci ne sera pas respectée. En effet, la société de gestion prévoit de clôturer les opérations de liquidation des lignes en portefeuille au 31/10/2022. Au 12/09/2022, le portefeuille est investi dans 16 obligations (13 d’émetteurs privés et 3 obligations gouvernementales).

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    news-3232 Fri, 14 Oct 2022 09:00:00 +0200 La Française lance LF CREDIT INNOVATION /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-lf-credit-innovation/ La Française, groupe de gestion multi-expertise avec 50 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 30/06/2022), continue d’innover et annonce le lancement de LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION : un fonds permettant d’investir sur les tendances de long terme qui vont façonner le monde de demain à savoir la croissance démographique, l’urbanisation, le changement climatique et les innovations technologiques. LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION est un fonds obligataire global, à haut rendement , qui s’appuie sur une approche basée sur les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies et est classifié article 9 de la règlementation SFDR .

    « La stratégie de gestion du fonds LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION vise à identifier et financer les acteurs positionnés sur ces enjeux structurels de long terme liés aux Objectifs de Développement Durable pour sélectionner des modèles économiques responsables et porteurs de croissance. En tant qu’acteur engagé, nous avons souhaité utiliser les ODD qui nous fournissent un cadre de référence et un outil de sensibilisation fort, pour un avenir plus durable et plus juste. Par ailleurs, l’objectif est d’offrir aux investisseurs un portage obligataire intéressant à travers une exposition diversifiée de 80 à 100 émetteurs (rating émetteur cible moyen de BB-) et dont la notation est susceptible de s’améliorer. L’équipe de gestion, à travers sa gestion active du fonds, apporte une connaissance approfondie des émetteurs et accorde une vigilance toute particulière quant à leur qualité et l’évolution de leurs géographies et secteurs d’activité » résume Akram GHARBI, Head of High Yield Investment à La Française AM.

    Avec la hausse des taux d’intérêt réels et la hausse de la prime de risque, le lancement de LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION s’inscrit dans un contexte propice à la constitution d’un portefeuille High Yield. « En effet, les émetteurs de qualité (BB-) avec un faible risque de défaut offrent des rendements entre 6 et 7 % sur des obligations de 5 à 6 ans, » déclare Akram GHARBI.

    L’objectif de gestion de LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION est d'obtenir, sur la période de placement recommandée de 3 ans, une performance nette de frais, supérieure à celle de l’indice BofA BB Global High Yield en investissant dans un portefeuille d’émetteurs préalablement filtrés selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) et dont 60% au moins contribuent positivement et/ou ne présentent pas de contribution négative aux objectifs de développement durable (ODD). La performance du fonds n’est pas garantie.

    L’analyse ESG est réalisée selon une méthodologie propriétaire développée par La Française Sustainable Investment Research et intégrée au cœur du processus de gestion.

    Principaux risques associés : perte en capital, discrétionnaire (il existe un risque que le fonds ne soit pas investi à tout moment sur les marchés ou les actifs les plus performants), investissements ESG (le fonds utilise des critères ESG et peut être moins performant que le marché en général), de taux, de défaut, liquidité.

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    news-3230 Thu, 13 Oct 2022 09:00:00 +0200 LF AVENIR SANTE finalise l’acquisition d’un portefeuille de santé dans Paris (13e et 15e arrondissements) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-avenir-sante-finalise-lacquisition-dun-portefeuille-de-sante-dans-paris-13e-et-15e-arrondissements/ Paris, le 13 octobre 2022 : La Française Real Estate Managers (REM), agissant notamment pour le compte de la SCPI thématique LF AVENIR SANTE, finalise l’acquisition auprès de La Mutuelle Générale d’un portefeuille de santé d’une surface utile de 3 644 m2 situé dans Paris (13e et 15e arrondissements). Le portefeuille comprend trois actifs dans Paris intra-muros, bénéficiant chacun d’une excellente desserte par les transports en commun, deux d’entre eux étant notamment situé à proximité immédiate de la gare Montparnasse (15e – métro lignes 4, 6, 12 & 13, stations Montparnasse-Bienvenue, Falguière, Pasteur) 

    1. 10 rue Armand Moisant (75015) : Un magasin d'optique « Ecouter Voir Optique Mutualiste » en pied d'immeuble d’une surface utile de 254 m² ;
    2. 12 rue Armand Moisant (75015) : Un immeuble de 2 415 m² accueillant un centre de santé « Centre Jack Senet » (médical, centre de prélèvements, radiologie et dentaire). Doté d’un plateau technique à la pointe de l’innovation, le centre propose de nombreuses spécialités médicales (cardiologie, dermatologie, gynécologie, gastroentérite, neurologie, ORL...) et notamment un centre complet d’imagerie médicale. L'immeuble s'élève en R+6 avec un niveau de sous-sol et comprend un accueil, des salles d'attente, des cabinets médicaux et des bureaux administratifs. 
    3. 94 rue Broca (75013) : Un centre de santé « Centre Broca » de 915 m² ainsi qu’un magasin d’optique « Ecouter Voir Optique Mutualiste » de 60 m2. Le centre médical, dentaire et radiologique Broca comprend 19 cabinets médicaux, et propose de nombreuses spécialités médicales et notamment un pôle d’ophtalmologie spécialisé dans la prise en charge des pathologies de la rétine. 

    Les trois actifs sont loués dans le cadre de baux long terme à La Mutuelle Générale, qui, à travers ses Centres Médicaux, Dentaires et Radiologiques et conformément à ses valeurs d’entraide, de solidarité et de fraternité, a pour objectif d’offrir à tous un accès à des soins de qualité, innovants et au meilleur coût.  

    Les centres Jack Senet et Broca permettent de bénéficier de la plus large offre de soins possible en médecine, dentaire et imagerie médicale à Paris avec 43 spécialités dispensées par près de 130 professionnels. Les centres sont par ailleurs conventionnés en secteur 1 et pratiquent le tiers payant auprès de plus de 150 mutuelles conventionnées, sans avance de frais. 76 000 patients y sont suivis régulièrement et plus de 200 000 personnes y sont accueillies chaque année. Des actions de prévention autour de la santé, la nutrition, ou le soutien aux aidants, ainsi que des actions de dépistage y sont régulièrement organisées.

    Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « A l’image des valeurs de La Mutuelle Générale, cette acquisition s’inscrit parfaitement dans la stratégie d’investissement de la SCPI LF Avenir Santé, compte-tenu d’une part des localisations centrales des immeubles et d’autre part de la satisfaction des critères extra-financiers de sa politique de sélection qui vise des actifs permettant de lutter contre le manque d’infrastructure de santé ou médicosociales tout en accompagnant la prise en charge qualitative des patients. »

    Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillé par Le Cabinet Jeantet pour la partie juridique, l’étude ALLEZ et Associés pour la partie notariale et la société Builders & Partners pour les audits techniques. La Direction de l’Immobilier et des Achats de La Mutuelle Générale a été conseillée par le cabinet LEFEBVRE et associés pour le juridique, par l’étude SCREEB pour la partie notariale et par SG Real Estate Advisory qui intervenait en tant que conseil immobilier dans le cadre d’un mandat exclusif de vente. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Avenir Santé (80 %) et LF Grand Paris Patrimoine (20 %).

    LF Avenir Santé et LF Grand Paris Patrimoine sont labellisées ISR.

    Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3227 Mon, 10 Oct 2022 15:00:35 +0200 le point macro octobre 2022 - Combattre l'inflation quoi qu'il en coute, ou presque ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-point-macro-octobre-2022-combattre-linflation-quoi-quil-en-coute-ou-presque/ Par François RIMEU, stratégiste La Française Asset Management Le mois de septembre est pour le moment le point d’orgue d’une année 2022 pourtant déjà historique. Si la chute des marchés actions est significative, elle est toutefois faible au
    regard des mouvements constatés sur les marchés obligataires. Quelques exemples de ces mouvements :

    • Les taux britanniques à 10 ans ont bondi de 121 bps
    • Les taux réels américains à 10 ans progressent eux de 87 bps
    • Les taux réels européens terminent eux 90 bps plus haut

    Pour retrouver des mouvements d’amplitude similaire, il faut se référer aux périodes les plus volatiles des dernières décennies comme par exemple le mois d’octobre 2008. Si les facteurs explicatifs sont nombreux, trois évènements nous semblent toutefois avoir eu un impact plus important que les autres.

    Chronologiquement le premier, le chiffre d’inflation américain sorti le 13 septembre a douché les espoirs des marchés financiers de voir le risque inflationniste reculer. Les enquêtes de la Fed de New York avaient pourtant laissé espérer une accalmie avec des attentes d’inflation en recul, chiffres qui avaient été plutôt corroborés par les enquêtes de l’université du Michigan. De la même façon, les sous composantes de prix des indicateurs ISM et PMI montraient une pression moindre à la hausse. La sortie du chiffre d’inflation à 8.3% contre 8.1% (et une surprise équivalente sur l’inflation « core », source Bloomberg) est donc intervenue à contrecourant des attentes du marché : certes l’inflation sur les biens diminuent, mais l’inflation sur les services continuent d’accélérer, avec un risque inflationniste toujours aussi présent.

    La Réserve Fédérale a ensuite renouvelé son discours tenu à Jackson Hole : l’institution va continuer à durcir ses conditions financières pour éviter que ne se forme une boucle prix – salaire qui entrainerait un désancrage des anticipations d’inflation. Pour se faire la Fed va continuer à mener une politique visant, in fine, à faire baisser les prix des actifs (immobilier surtout) et à faire remonter le taux de chômage. La publication des « dots » au-dessus des attentes de marché, avec un taux à fin 2023 attendu par les membres de la Fed à 4.625%, a aussi surpris le marché et participé à la baisse des marchés obligataires. Combiné au chiffre d’inflation sorti plus tôt dans le mois, l’impact sur les taux réels a été très violent.

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    news-3226 Tue, 04 Oct 2022 10:07:00 +0200 Le dilemme de la BoJ face à la volatilité du yen : maintenir la politique ultra-accommodante en anticipant une baisse de l’inflation ou ajuster sa politique en risquant d’affaiblir la trajectoire économique du pays ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-dilemme-de-la-boj-face-a-la-volatilite-du-yen-maintenir-la-politique-ultra-accommodante-en-anticipant-une-baisse-de-linflation-ou-ajuster-sa-politique-en-risquant-daffaiblir-la-trajectoire-economique-du-pays/ Par Audrey Bismuth, Global Macro Researcher, La Française AM Conformément aux attentes, la Banque du Japon (BoJ) a maintenu l'orientation ultra-accommodante de sa politique monétaire lors de la réunion des 21 et 22 septembre, malgré une inflation supérieure à l'objectif de 2 % et l'attitude agressive des autres grandes banques centrales. L'inflation sous-jacente (hors alimentation) a augmenté de 2,8 % en août sous l’effet de paramètres exogènes, à savoir la hausse des prix de l’énergie et des produits agricoles. Elle n’est pas le résultat d’une forte demande domestique.  Les variations de prix devraient rester sous pression d’ici la fin de l’année mais se modérer d’ici quelques mois avec la baisse de la demande mondiale de matières premières. La BoJ prévoit une inflation en dessous des 2 % en 2023.

    La décision de la Banque du Japon est intervenue juste après que la Réserve fédérale (Fed) a relevé ses taux de 75 points de base (pbs), pour le troisième mois d’affilé, dans une fourchette de 3,00 %-3,25 %. La BoJ a gardé inchangé la trajectoire future de ses taux d’intérêt, son taux négatif de 0,1 % et ses achats illimités d’obligations d’Etat pour plafonner leurs rendements à 10 ans à 0,25 %. La semaine dernière, la banque centrale a dépensé environ 2 900 milliards de yens (20 milliards de dollars) pour défendre son taux plafond de 0,25%. 
    Depuis le début de l'année, le dollar s'est apprécié de 16 % par rapport aux principales devises des pays développés, tandis que le yen a chuté d'environ 26 % par rapport au billet vert. Le dollar a atteint un sommet depuis 24 ans, à 145,82 yens ce mois-ci.

    La chute de la devise japonaise est multifactorielle. Elle est due en grande partie à la très forte divergence de politiques monétaires entre la Banque du Japon et la quasi-totalité des autres banques centrales du monde. Le solde du compte courant est une autre raison de la dépréciation du yen. Il a atteint 229 milliards de yens (1,6 milliards de dollars) en juillet, en baisse par rapport à un excédent de 1 715 milliards de yens (15,6 milliards de dollars) un an plus tôt, sous l'effet de la hausse des coûts des produits importés. Enfin, le dollar s’apprécie face à toutes les devises, considéré comme une valeur refuge dans un contexte d'incertitude économique et géopolitique. 

    Par conséquent, la forte dépréciation du yen est au centre des préoccupations des autorités japonaises. Une intervention sur le marché des changes est décidée par le ministère des finances et effectuée par la Banque du Japon.  À plusieurs reprises en 1991-1992 et en 1997-1998, le ministère des finances est intervenu sur le marché des changes pour défendre la devise nipponne face au dollar. Depuis le début du mois de septembre, les responsables politiques ont mis en garde contre la volatilité du yen. Ils ont averti que le pays était prêt à prendre des mesures pour stopper la dépréciation du yen. La Banque du Japon a par ailleurs procédé à un examen du marché des changes, une mesure considérée comme un signe précurseur d'une intervention imminente pour protéger le yen. Le 22 septembre, juste après la fin de la conférence de presse du gouverneur Haruhiko Kuroda, contre toute attente, le gouvernement a annoncé être intervenu pour contrer les spéculateurs. A la fin de l'allocution de M. Kuroda, la devise japonaise s'est renforcée par rapport au dollar, à 142,48 contre 145,83 avant la conférence de presse. 

    Néanmoins, les interventions passées montrent qu’elles ont un effet temporaire sur le yen. En août 1998, la devise japonaise s'échangeait à près de 148 pour un dollar même après que les autorités américaines se sont jointes à la BoJ pour acheter du yen. De plus, dans un contexte d'incertitude économique, monétaire et géopolitique, le billet vert domine le marché des changes. Une intervention à l'achat sur le yen couplée à une normalisation de la politique monétaire de la BoJ pourrait stopper la dépréciation du yen face au dollar. Cependant, lors de la réunion des 21 et 22 septembre, le gouverneur Kuroda a indiqué que la banque centrale n'avait « pas besoin de changer d'orientation avant 2 ou 3 ans ». Par conséquent, la probabilité qu’il modifie significativement la politique monétaire de la BoJ avant la fin de son mandat en avril 2023 est faible. La croissance des salaires avec les négociations annuelles au printemps 2023 sera un élément essentiel pour une normalisation de la politique monétaire. Le gouverneur de la BoJ estime que les salaires doivent augmenter davantage pour atteindre durablement son objectif d'inflation de 2 %. Nous anticipons dans un premier temps que la BoJ ajuste sa politique de « Yield Curve Control » (YCC) du rendement à 10 ans au rendement à 5 ans au cours du premier semestre 2023, avant de revenir à une politique monétaire conventionnelle avec la fin des taux d’intérêt négatifs.

    Le pivot de la Fed, c’est-à-dire cesser de relever encore les taux d’intérêt et éventuellement reconsidérer sa politique de resserrement, est primordial pour stabiliser le yen, mais il est prématuré à ce stade. Nous pensons que le dollar continuera de s’apprécier tant que les taux américains augmentent. Depuis Jackson Hole fin août, le président de la Fed Jerome Powell a averti que la Réserve fédérale continuerait à resserrer sa politique monétaire jusqu’à ce que « le job soit fait », c’est-à-dire jusqu’à ce que l’inflation revienne sur une trajectoire de 2 %. De plus, une étape importante consistera, pour le Premier ministre Kishida, à montrer que sa priorité politique se démarque de celle du défunt Premier ministre Shinzo Abe et de sa politique économique (« Abenomics »). L'intervention à l'achat sur le yen d'hier pourrait être un premier signe. 

    D'ici la fin de l'année, nous nous attendons à ce que le yen se déprécie davantage par rapport au dollar, la Fed conservant sa position très agressive et la BoJ maintenant résolument sa politique monétaire ultra-expansive. Le coût élevé du service de la dette (atteignant 250 % du PIB) limite également les marges de manœuvre de la BoJ. Le maintien d'un yen faible est par ailleurs positif pour l'économie puisqu'il stimule les exportations. À plus long terme (fin 2023), nous pensons que le yen s’appréciera grâce à une politique monétaire moins agressive de la Fed et à une normalisation de celle de la BoJ. 

     

    Avertissement

    Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

     

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    news-3225 Fri, 30 Sep 2022 17:15:49 +0200 La volatilité de tous les dangers [Boucler la boucle – Saison 2 - Épisode 5] https://www.youtube.com/watch?v=KsjK9kFY4wM Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers. news-3224 Fri, 30 Sep 2022 15:32:45 +0200 Information – Modification du Prospectus – Typologie d’actifs immobiliers. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-modification-du-prospectus-typologie-dactifs-immobiliers/ Paris, le 29 septembre 2022 Information aux actionnaires de la modification du Prospectus – Typologie d’actifs immobiliers

    Cher Actionnaire,  

    La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF IMMO GENERATIONS (la « Société»), vous informe de la modification du Prospectus de la Société consistant en une précision relative à la typologie d’actifs immobiliers pouvant composer le patrimoine de la Société en ajoutant, de manière accessoire, des surfaces de co-working et des locaux commerciaux. 

    Plus particulièrement, en conséquence de cette modification du Prospectus, le patrimoine principal de la Société pourra toujours être composé d’une sélection d’actifs immobiliers liés à la typologie des écoles, crèches, centres de formation, résidences étudiantes, co-living, résidences services seniors et centres médicaux/bien être, qui pourront comprendre de façon accessoire des surfaces de co-working et des locaux commerciaux. 

    Ainsi, il sera ajouté dans l’articles 3.1 « objectifs de gestion » et l’article 3.3.1 « Stratégie adoptée sur la poche immobilière » du Prospectus de la Société, que les actifs pouvant composer le patrimoine de la Société « peuvent comprendre de façon accessoire des surfaces de co-working et des locaux commerciaux ».

    Dans la mesure où cette modification du Prospectus constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’accord du dépositaire et l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers (l’« AMF »).
    La modification du Prospectus sera effective à la date de l’agrément de l’AMF. 
    De plus, dans la mesure où cette modification des objectifs et politique d’investissement de la Société s’inscrit dans le cadre d’une évolution absolue de l’exposition à une ou plusieurs typologies de risque strictement inférieure à 20% de l’actif net, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.  

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    news-3221 Thu, 29 Sep 2022 14:30:54 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIETE > LU (source) - BEOBANK /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-lu-source/ Luxembourg, 28.09 2022 Cher actionnaire, 

    Le conseil d’administration de la Société (le "Conseil") a l’honneur de vous informer par la présente de la fusion envisagée entre BNP Paribas Securities Services S.C.A. ("BP2S") et BNP Paribas S.A. ("BNPP") (la "Fusion").  BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle de titres, et BNPP assumera toutes les fonctions et services confiés à BP2S et à ses succursales. Au  Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l'absorption de BP2S - Succursale de Luxembourg par BNPP - Succursale de Luxembourg. 

    D'un point de vue pratique, cette Fusion n'aura aucun impact sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun coût supplémentaire. Elle n'affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients puisqu'ils sont intégralement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a quelques conséquences opérationnelles, que nous souhaitons partager avec vous: 

    1. A partir du 1er octobre 2022, BNPP - Luxembourg Branch reprendra le rôle de BP2S - Luxembourg Branch en tant que dépositaire des fonds dans lesquels vous avez investis; 
    2. A partir du 1er octobre 2022, BNPP - Luxembourg Branch reprendra le rôle de BP2S - Luxembourg Branch en tant qu'administrateur central, y compris le rôle d'agent de transfert des fonds dans lesquels vous avez investis, dans la mesure applicable. 

    *** 
    Le prospectus de la Société sera mis à jour afin de refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire du prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur demande au siège social de la Société. 

    Le Conseil

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    news-3219 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : Changement de dépositaire et de gestionnaire comptable par délégation suite à la fusion intragroupe entre BNP Paribas Securities Services et BNP Paribas SA (SUB DEBT) > FR - CH /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-changement-de-depositaire-et-de-gestionnaire-comptable-par-delegation-suite-a-la-fusion-intragroupe-entre-bnp-paribas-securities-services-et-bnp-paribas-sa-sub-debt-fr-ch/ Zurich, le 28 septembre 2022 La Française Asset Management (ci-après la « Société ») vous informe par la présente que BNP Paribas Securities Services, qui agit en qualité de Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, et de gestionnaire comptable par délégation fusionnera avec sa société mère 
    BNP Paribas SA. La date d’effet de la fusion est prévue le 1er octobre 2022, sous réserve des consultations locales en cours avec les partenaires sociaux dans certains pays.

    Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme deplacements collectifs et gestionnaire comptable par délégation du fonds précité.

    La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France. 

    Lors de son entrée en vigueur, le prospectus mis à jour du fonds pourra être consulté sur le site internet de La Française : www.la-francaise.com.

    Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, le règlement ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant. 

    Représentant en Suisse : 
    ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich 

    Agent payeur en Suisse : 
    NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich

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    news-3218 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : Changement de dépositaire et de gestionnaire comptable par délégation suite à la fusion intragroupe entre BNP Paribas Securities Services et BNP Paribas SA (SICAV) > FR - CH /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-changement-de-depositaire-et-de-gestionnaire-comptable-par-delegation-suite-a-la-fusion-intragroupe-entre-bnp-paribas-securities-services-et-bnp-paribas-sa-sicav-fr-ch/ Zurich, le 28 septembre 2022 La Française Asset Management (ci-après la « Société ») vous informe par la présente que BNP Paribas Securities Services, qui agit en qualité de Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, et de gestionnaire comptable par délégation fusionnera avec sa société mère BNP Paribas SA. La date d’effet de la fusion est prévue le 1er octobre 2022, sous réserve des consultations locales en cours avec les partenaires sociaux dans certains pays.

    Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs et gestionnaire comptable par délégation du fonds précité.

    La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France. 

    Lors de son entrée en vigueur, le prospectus mis à jour du fonds pourra être consulté sur le site internet de La Française : www.la-francaise.com.
    Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, lesstatuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant. 

    Représentant en Suisse : 
    ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich 

    Agent payeur en Suisse : 
    NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zuric

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    news-3214 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : Changement de dépositaire et de gestionnaire comptable par délégation suite à la fusion intragroupe entre BNP Paribas Securities Services et BNP Paribas SA FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-changement-de-depositaire-et-de-gestionnaire-comptable-par-delegation-suite-a-la-fusion-intragroupe-entre-bnp-paribas-securities-services-et-bnp-paribas-sa-fr-lu/ Le 28 septembre 2022 La Française Asset Management (ci-après la « Société ») vous informe par la présente que BNP Paribas Securities Services, qui agit en qualité de Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, et de gestionnaire comptable par délégation fusionnera avec sa société mère BNP Paribas SA. La date d’effet de la fusion est prévue le 1er octobre 2022, sous réserve des consultations locales en cours avec les partenaires sociaux dans certains pays.

    Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs et gestionnaire comptable par délégation des fonds listés ci-joint en Annexe 1.

    La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France. 

    Lors de son entrée en vigueur, les prospectus mis à jour des fonds listés en Annexe1 peuvent être consultés sur le site internet de La Française : www.la-francaise.com.
     

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    news-3213 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : Changement de dépositaire et de gestionnaire comptable par délégation suite à la fusion intragroupe entre BNP Paribas Securities Services et BNP Paribas SA FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-changement-de-depositaire-et-de-gestionnaire-comptable-par-delegation-suite-a-la-fusion-intragroupe-entre-bnp-paribas-securities-services-et-bnp-paribas-sa-fr-be/ Le 28 septembre 2022 La Française Asset Management (ci-après la « Société ») vous informe par la présente que BNP Paribas Securities Services, qui agit en qualité de Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, et de gestionnaire comptable par délégation fusionnera avec sa société mère BNP Paribas SA. La date d’effet de la fusion est prévue le 1er octobre 2022, sous réserve des consultations locales en cours avec les partenaires sociaux dans certains pays.

    Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs et gestionnaire comptable par délégation des fonds listés ci-joint en Annexe 1.

    La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France. 

    Lors de son entrée en vigueur, les prospectus mis à jour des fonds listés en Annexe1 peuvent être consultés sur le site internet www.fundinfo.com. Le prospectus et les documents d’informations clés pour l’investisseur (DICI) en français et en  néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel en anglais, seront disponibles gratuitement auprès des distributeurs du fonds, auprès de la société de gestion, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3209 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIETE ( BEOBANK FUNDS) > FR - BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-beobank-funds-fr-be/ Cher actionnaire, Le conseil d’administration de la Société (le "Conseil") a l’honneur de vous informer par la présente de la fusion envisagée entre BNP Paribas Securities Services S.C.A. ("BP2S") et BNP Paribas S.A. ("BNPP") (la "Fusion"). BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle de titres, et BNPP assumera toutes les fonctions et services confiés à BP2S et à ses succursales. Au Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l'absorption de BP2S - Succursale de Luxembourg par BNPP - Succursale de Luxembourg.

    D'un point de vue pratique, cette Fusion n'aura aucun impact sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun coût supplémentaire. Elle n'affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients puisqu'ils sont intégralement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a quelques conséquences opérationnelles, que nous souhaitons partager avec vous:

    1. A partir du 1er octobre 2022, BNPP - Luxembourg Branch reprendra le rôle de BP2S - Luxembourg Branch en tant que dépositaire des fonds dans lesquels vous avez investis;
    2. A partir du 1er octobre 2022, BNPP - Luxembourg Branch reprendra le rôle de BP2S - Luxembourg Branch en tant qu'administrateur central, y compris le rôle d'agent de transfert des fonds dans lesquels vous avez investis, dans la mesure applicable.

    ***

    Le prospectus de la Société sera mis à jour afin de refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire du prospectus mis à jour sera disponible en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais gratuitement sur demande au siège social de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV  dès qu’il aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

    Le Conseil

     

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    news-3201 Tue, 27 Sep 2022 11:20:12 +0200 Crédit Mutuel Alliance Fédérale renforce ses ambitions pour son pôle d’Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/credit-mutuel-alliance-federale-renforce-ses-ambitions-pour-son-pole-dasset-management/ Dans le cadre de la préparation de son prochain Plan Stratégique, Crédit Mutuel Alliance Fédérale lance une réflexion en vue de créer un pôle puissant d’Asset Management. Il s’agirait de regrouper toutes les structures de gestion pour compte de tiers au sein d’un modèle multi-boutiques et à construire une organisation orientée clients. Elle s’appuieraitsur les points de force de chaque structure et mutualiserait les fonctions supports autour d’une ossature et d’une holding commune.

    La commercialisation serait portée par deux structures distinctes qui abriteraient les forces de vente et d’animation de l’ensemble des produits des sociétés de gestion du Groupe : Crédit Mutuel Investment Managers serait spécialisé sur la clientèle interne des réseaux du groupe ainsi que la clientèle Entreprises et Epargne Salariale/Retraite, tandis que La Française Finance Services serait, elle, tournée vers la clientèle externe en France, notamment institutionnelle, et à l’international.

    Crédit Mutuel Alliance Fédérale a pour intention de continuer à s’appuyer sur la notoriété de la marque « La Française » qui, dans ce cadre, évoluerait pour intégrer davantage son appartenance au groupe Crédit Mutuel.Coté pôle de gestion, l’ambition est d’aller dans le sens d’une plus grande spécialisation des différentes maisons de gestion du groupe en bénéficiant de leurs expertises fortes et complémentaires. Une démarche orientée « développement » permettrait au Groupe de maximiser le « cross-selling », de renforcer sa visibilité et les moyens alloués à chaque spécialité.

    Cette spécialisation intégrerait une stratégie d’investissement responsable et durable commune à l’ensemble des sociétés de gestion : stratégie définie comme l’axe majeur d’investissement et de développement du groupe, en parfaite cohérence avec les valeurs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, premier groupe bancaire ayant opté pour le statut d’entreprise à mission.

    L’idée est de constituer ainsi un acteur significatif dans le paysage français de l’Asset Management, 6e intervenant français avec 160 Md€ sous gestion, présent partout en Europe, actif en Asie et proposant une large gamme d’expertises complémentaires incluant les actifs cotés, les actifs réels et la gestion alternative

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    news-3198 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : Changement de dépositaire et de gestionnaire comptable par délégation suite à la fusion intragroupe entre BNP Paribas Securities Services et BNP Paribas SA /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-changement-de-depositaire-et-de-gestionnaire-comptable-par-delegation-suite-a-la-fusion-intragroupe-entre-bnp-paribas-securities-services-et-bnp-paribas-sa/ Le 28 septembre 2022 La Française Asset Management (ci-après la « Société ») vous informe par la présente que BNP Paribas Securities Services, qui agit en qualité de Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, et de gestionnaire comptable par délégation fusionnera avec sa société mère BNP Paribas SA. La date d’effet de la fusion est prévue le 1er octobre 2022, sous réserve des consultations locales en cours avec les partenaires sociaux dans certains pays.

    Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs et gestionnaire comptable par délégation des fonds listés ci-joint en Annexe 1.

    La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France. 

    Lors de son entrée en vigueur, les prospectus mis à jour des fonds listés en Annexe1 peuvent être consultés sur le site internet de La Française : www.la-francaise.com

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    news-3194 Mon, 26 Sep 2022 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ (JKC Fund) > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-jkc-fund-fr/ Cher Actionnaire, Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») souhaite vous informer du projet de fusion de BNP Paribas Securities Services S.C.A. (« BP2S ») et de BNP Paribas S.A. (« BNPP ») (la « Fusion »). BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle, et BNPP assumera toutes les fonctions et tous les services confiés à BP2S et à ses succursales. Au Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l’absorption de BP2S – Succursale de Luxembourg par BNPP – Succursale de Luxembourg.

    D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :

    1. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle de BP2S - Succursale de Luxembourg en tant que dépositaire des fonds dans lesquels vous avez investi ;
    2. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle d’administrateur central de BP2S - Succursale de Luxembourg, y compris le rôle d’agent de transfert des fonds dans lesquels vous avez investi, dans la mesure applicable.

    ***

    Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société. 

    Le Conseil

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    news-3191 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ (Next AM) > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-next-am-fr/ Luxembourg, le 28.09 2022 Cher Actionnaire,

    Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») souhaite vous informer du projet de fusion de BNP Paribas Securities Services S.C.A. (« BP2S ») et de BNP Paribas S.A. (« BNPP ») (la « Fusion »).

    BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle, et BNPP assumera toutes les fonctions et tous les services confiés à BP2S et à ses succursales. Au Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l’absorption de BP2S – Succursale de Luxembourg par BNPP – Succursale de Luxembourg.

    D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :

    1. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle de BP2S - Succursale de Luxembourg en tant que dépositaire des fonds dans lesquels vous avez investi ;
    2. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle d’administrateur central de BP2S - Succursale de Luxembourg, y compris le rôle d’agent de transfert des fonds dans lesquels vous avez investi, dans la mesure applicable.

    ***

    Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société. 

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    news-3189 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ (LA FRANÇAISE LUX) > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-la-francaise-lux-fr/ Cher Actionnaire, Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») souhaite vous informer du projet de fusion de BNP Paribas Securities Services S.C.A. (« BP2S ») et de BNP Paribas S.A. (« BNPP ») (la « Fusion »). BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle, et BNPP assumera toutes les fonctions et tous les services confiés à BP2S et à ses succursales. Au Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l’absorption de BP2S – Succursale de Luxembourg par BNPP – Succursale de Luxembourg. 


    D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer : 

     

    1. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle de BP2S - Succursale de Luxembourg en tant que dépositaire des fonds dans lesquels vous avez investi ; 
    2. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle d’administrateur central de BP2S - Succursale de Luxembourg, y compris le rôle d’agent de transfert des fonds dans lesquels vous avez investi, dans la mesure applicable. 

    13717269_1 
    *** 
    Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV, dès qu’il aura été validé par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg. 

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles. Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir. 


    Le Conseil 

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    news-3188 Wed, 28 Sep 2022 09:00:00 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ (LA FRANÇAISE LUX) > FR - BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-la-francaise-lux-fr-be/ Cher Actionnaire, Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») souhaite vous informer du projet de fusion de BNP Paribas Securities Services S.C.A. (« BP2S ») et de BNP Paribas S.A. (« BNPP ») (la « Fusion »). BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle, et BNPP assumera toutes les fonctions et tous les services confiés à BP2S et à ses succursales. Au Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l’absorption de BP2S – Succursale de Luxembourg par BNPP – Succursale de Luxembourg.

    D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :

    1. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle de BP2S - Succursale de Luxembourg en tant que dépositaire des fonds dans lesquels vous avez investi ;
    2. À compter du 1er octobre 2022, BNPP - Succursale de Luxembourg reprendra le rôle d’administrateur central de BP2S - Succursale de Luxembourg, y compris le rôle d’agent de transfert des fonds dans lesquels vous avez investi, dans la mesure applicable.

    ***

    Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV, dès qu’il aura été validé par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg. 

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

    Le Conseil

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    news-3184 Tue, 27 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis aux porteurs – FCP Conviction Equilibre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-conviction-equilibre/ 27 septembre 2022 Vous êtes porteur de parts du Fonds Conviction Equilibre (ci-après le « Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. 

    La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer la composante FTSE Eurozone Government Bond de l'indice de référence composite par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global.

    Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs et son profil de risques. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds sera modifiée comme suit : 50% MSCI Europe dividendes nets réinvestis + 50% Bloomberg EuroAgg Treasury Global coupons réinvestis. 

    Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds. 

    Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance. 
     
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022. 

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com 

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    news-3183 Tue, 27 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis aux porteurs – FCP Cap Harmonie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-cap-harmonie-1/ 27 septembre 2022 Vous êtes porteur de parts du Fonds Cap Harmonie (ci-après le « Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. 

    La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer la composante Euro MTS global de l'indice de référence composite par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global.

    Le remplacement de l’indice Euro MTS global par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs et son profil de risques. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds sera modifiée comme suit : 50% MSCI World 100% hedgé en euro dividendes nets réinvestis + 40% Bloomberg EuroAgg Treasury Global  +10% €STR capitalisé. 

    Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds. 

    Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance. 
     
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022. 

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com 

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    news-3182 Tue, 27 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis aux porteurs – FCP Profil Modéré /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-profil-modere/ 27 septembre 2022 Vous êtes porteur de parts du Fonds Profil Modéré (ci-après le « Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. 

    La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer la composante FTSE Eurozone Government Bond de l'indice de référence composite par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global.

    Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs et son profil de risques. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds sera modifiée comme suit : 50% Bloomberg EuroAgg Treasury Global coupons réinvestis + 35% €STR capitalisé + 0,085% + 15% MSCI Europe dividendes nets réinvestis. 

    Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds. 

    Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance. 
     
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022. 

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com 

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    news-3181 Tue, 27 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis aux porteurs – FCP La Française Obligations LT /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-la-francaise-obligations-lt/ 27 septembre 2022 Vous êtes porteur de parts du Fonds La Française Obligations LT (ci-après le « Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. 

    La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer l'indice de référence FTSE Eurozone Government Bond 7-10 ans par son indice Bloomberg équivalent  Bloomberg EuroAgg Treasury 7-10 ans.
    Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond 7-10 par l’indice équivalent Bloomberg Bloomberg EuroAgg Treasury 7-10 n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs, son profil de risques. 

    La rédaction de l’indicateur de référence du Fonds sera modifiée comme suit : « FTSE Eurozone Government Bond 7-10 ans ». 
    Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds. 

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022. 

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com 

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    news-3180 Tue, 27 Sep 2022 09:00:00 +0200 Avis aux porteurs – FCP La Française Euro Souverains /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-la-francaise-euro-souverains/ 27 septembre 2022 Vous êtes porteur de parts du Fonds La Française Euro Souverains (ci-après le « Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. 

    La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer l'indice de référence FTSE Eurozone Government Bond 1-3 ans majoré de 3% par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury 1-3 ans majoré de 3%. 
    Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond 1-3 par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury 1-3 n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs, son profil de risques. 

    La rédaction de l’indicateur de référence du Fonds sera modifiée comme suit : « Bloomberg EuroAgg Treasury 1-3 ans majoré de 3%. ». 

    Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds. 

    Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance. 
     
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022. 

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com 

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    news-3177 Thu, 22 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux à Nuremberg /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-nuremberg/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès du promoteur immobilier « te management GmbH » un immeuble de bureaux d'une surface d'environ 4 800 m2 à Nuremberg. L'actif est situé à Hansastraße 33 à Hohe Marter, un quartier d'affaires du sud-ouest de Nuremberg. Il est facilement accessible en transports en commun, la gare principale de Nuremberg se situant à seulement dix minutes par la ligne de métro 2.

    Le bâtiment a été achevé en 2020 et affiche de bonnes références en matière de performance énergétique, avec une certification DGNB Gold. Le bien dispose également d'un concept énergétique innovant et durable avec un système de stockage de glace pour le refroidissement et le chauffage.

    L'immeuble de bureaux (R+5) est entièrement loué dans le cadre d'un à bail long terme à un locataire unique, Küchen Quelle Holding GmbH, une entreprise spécialisée dans la conception de cuisines.

    Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre premier immeuble de bureaux à Nuremberg ; notre deuxième acquisition à Nuremberg en moins d'un mois. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie de diversification de notre portefeuille immobilier allemand avec des actifs performants au regard des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Nous sommes convaincus de l'attractivité à long terme de l'immeuble et de son concept énergétique innovant. »

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier gérée par La Française REM, LF Europimmo. 

    La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Görg sur les aspects juridiques, de TA Europe GmbH sur la due-diligence technique et de CBRE GmbH sur les questions ESG. Stonedeal GmbH a conseillé le vendeur.  

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3175 Wed, 21 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers poursuit sa stratégie d’accompagnement des locataires dans le cadre du dispositif eco-énergie tertiaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-poursuit-sa-strategie-daccompagnement-des-locataires-dans-le-cadre-du-dispositif-eco-energie-tertiaire/ La Française Real Estate Managers poursuit sa stratégie d’accompagnement des locataires dans le cadre du dispositif eco-énergie tertiaire. Lisez la suite dans le communiqué ci-joint. La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier , est fière d’annoncer qu’elle a relevé le premier challenge imposé par le dispositif éco-énergie tertiaire dans les délais impartis. La société de gestion est intervenue au-delà des obligations imposées aux propriétaires des immeubles pour accompagner ses locataires à déclarer les EFA (Entités Fonctionnelles Assujetties). 


    L’Europe s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Pour y parvenir chaque Etat s’est fixé une feuille de route déclinée par secteur d’activité. En France la Stratégie Nationale Bas Carbone, demande au secteur du bâtiment de réduire de 60% ses consommations d’énergie d’ici 2050. Pour ce faire, elle s’est dotée d’un plan d’actions qui s’appuie sur deux réglementations phares : 

    • la RE2020 qui organise la décarbonation des constructions neuves, 
    • le dispositif éco-énergie tertiaire qui cible la sobriété énergétique du parc existant et vise à s’assurer que propriétaires et locataires agissent de concert pour limiter les consommations d’énergie des bâtiments qu’ils occupent ou gèrent de manière à atteindre l’objectif de neutralité carbone européen. Deux voies sont possibles : l’atteinte d’un seuil en valeur absolue fixé par arrêté du Ministère de la Transition Ecologique ou la réduction des consommations d’énergie de 40% d’ici 2030, de 50% d’ici 2040 et de 60% d’ici 2050.

    Cette stratégie ambitieuse a nécessairement comme première étape la collecte de données pour dresser un état du parc existant. Ainsi, la loi ELAN impose aux propriétaires et aux locataires du secteur tertiaire, de déclarer les bâtiments qu’ils occupent/qu’ils gèrent sur la plateforme OPERAT (Observatoire de la Performance Energétique, de la Rénovation et des Actions du Tertiaire) de l’Ademe, au plus tard le 30 septembre 2022. (échéance décalée au 31 décembre 2022 le 20 septembre 2022). 

    La Française REM a rempli ses obligations, dans les délais initialement impartis, non seulement sur le parc dont elle assure la gestion, mais également sur l’ensemble des lots gérés par les locataires qui l’ont autorisée à le faire. Le périmètre concerné représente 478 immeubles en France et 1 457 baux pour une surface totale de plus de 2,4 millions de m². Thierry MOLTON, Directeur des actifs immobiliers d’entreprise de La Française REM, a précisé « Si la loi n’impose pas aux propriétaires de se substituer aux locataires, il nous a semblé important de prendre le relais de nos locataires dans cette démarche pour deux raisons. Premièrement, le propriétaire d’un bâtiment est le mieux placé pour coordonner les efforts nécessaires que devront faire bailleurs et utilisateurs pour atteindre les objectifs de réduction des consommations d’énergie fixés par la loi. Notre longue expertise dans le domaine nous a enseigné qu’un propriétaire qui ne s’associe pas aux occupants de son immeuble ne peut atteindre les objectifs de sobriété énergétique. Deuxièmement, cette démarche s’inscrit dans la stratégie globale d’accompagnement des locataires de La Française REM, et ce dans quelque domaine que ce soit. » 

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    news-3174 Tue, 20 Sep 2022 09:15:37 +0200 Lutte contre l'inflation => les hausses de taux se poursuivent /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lutte-contre-linflation-les-hausses-de-taux-se-poursuivent/ Le Réserve Fédérale américaine (FOMC) devrait relever ses taux de 75 points de base pour la troisième fois lors de sa réunion des 20 et 21 septembre prochain. Elle publiera également ses nouvelles projections macro-économiques (croissance plus faible, chômage plus élevé) ainsi que les « dots » à horizon 2025. Nos anticipations :

    • La Réserve Fédérale devrait augmenter les taux de 75 points de base (pbs) pour les porter à [3,00 % - 3,25]. Elle devrait résister à la tentation de monter les taux de 100 pbs malgré le dernier chiffre d’inflation une nouvelle fois bien au-dessus des attentes.
    • Jerome Powell devrait réaffirmer que la priorité de la Fed reste de ramener l'inflation à son objectif de 2 % et que cela se fera malgré l’impact négatif sur l’économie. Le marché du travail, encore trop tendu, accroit aujourd’hui le risque d’une spirale salaires-prix, et laisse peu de marge de manœuvre à la Réserve Fédérale. 
    • Il devrait aussi réaffirmer que les futures hausses de taux continueront de dépendre des données macro-économiques. Il rappellera sans doute aux marchés que "l'histoire met fortement en garde contre un assouplissement prématuré de la politique".
    • Le « dot » médian à fin 2022 devrait passer de 3,375 % à 4,125 %, soit 100bps de hausse à attendre entre les meetings de novembre et décembre. Le « dot » médian 2023 devrait lui passer à 4,375 %, indiquant au marché qu’il est aujourd’hui trop tôt pour imaginer voir la Réserve Fédérale baisser ses taux en 2023. Les « dots » devraient montrer ensuite une baisse progressive des taux directeurs avec un « dot » médian à 3,625 % en 2024 et à 2,875 % en 2025. Le taux terminal ne devrait lui pas évoluer et rester à 2.50%.
    • Les nouvelles projections macro-économiques devraient indiquer une croissance plus faible en 2022 et 2023, passant respectivement de 1,7 % à 1 % et de 1,7 % à 1,3 %.  Pour 2024 et 2025, celle-ci devrait rester proche de la croissance potentielle à environ 1,8%.
    • Les prévisions d'inflation (dépenses de consommation personnelle, PCE) devraient être revues à la hausse avec des projections passant de 5,2% à 5,4% en 2022 et de 2,6% à 2,7% en 2023. Pas de changement à attendre en revanche pour 2024, à 2,2 %, et une légère baisse vers l’objectif en 2025, à 2,0 %.
    • Jerome Powell devrait aussi confirmer le doublement du rythme du resserrement quantitatif (QT) en septembre, à 95 milliards de dollars par mois, comme décrit en mai (60 milliards de dollars en bons du Trésor et 35 milliards de dollars en titres adossés à des prêts hypothécaires).

    En résumé Jerome Powell devrait encore une fois réaffirmer son message « hawkish », comme il l’avait fait à Jackson Hole. Cela devrait encore une fois pousser les taux à la hausse et les courbes de taux à s’aplatir. 

    Disclaimer
    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3173 Mon, 19 Sep 2022 15:22:24 +0200 Quelles zones géographique, secteurs et thématiques favorisons-nous pour les actions ? https://www.youtube.com/watch?v=0kb_qXueZcA Après un début d'année difficile pour les actions mondiales, quelles sont nos vues pour la rentrée et quelles zones géographique, secteurs et thématiques favorisons-nous ? news-3172 Mon, 19 Sep 2022 15:08:20 +0200 Questions ! Réponses ? Les questions que tout le monde se pose sur le Grand Paris ! https://www.youtube.com/watch?v=fzYKrkFasAQ Dans notre nouveau concept, Christophe Inizan, Directeur Commercial Immobilier, se prête au jeu et répond aux questions que tout le monde se pose sur le Grand Paris ! news-3170 Mon, 19 Sep 2022 14:54:07 +0200 Après un début d’année difficile, quelles sont nos convictions pour le marché du Crédit ? https://www.youtube.com/watch?v=pjmy0-XhjKQ Après un début d’année difficile, qui sera considérée comme exceptionnelle pendant longtemps, quelles sont nos convictions pour le marché du Crédit ? Peut-on espérer une évolution sur les prochains mois ? news-3169 Mon, 19 Sep 2022 14:49:34 +0200 Comment appréhender cette fin d’année 2022 sur les marchés financiers ? https://www.youtube.com/watch?v=1cmwZS9uhWs Avec une situation macroéconomique toujours difficile, une crise énergétique, une inflation encore en hausse, la confiance des consommateurs est proche des plus bas. news-3168 Mon, 19 Sep 2022 10:46:08 +0200 L’inflation douche (encore) les marchés https://www.youtube.com/watch?v=zuJOGH3SKqM [Boucler la boucle – Saison 2 - Épisode 3]

    L’inflation douche (encore) les marchés [Boucler la boucle – Saison 2 - Épisode 3] 
    Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers. 

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert. 

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    news-3165 Tue, 13 Sep 2022 11:49:39 +0200 Information – Modification du Prospectus – Changement de Dépositaire - LF Opsis Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-modification-du-prospectus-changement-de-depositaire-lf-opsis-patrimoine/ Information aux actionnaires de la modification du Prospectus - Fusion intragroupe – BNP Paribas Securities Services (BPSS) et BNP Paribas S.A. Cher Actionnaire,

    La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS PATRIMOINE (la « Société»), vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé le changement suivant :

    La modification du dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, BNP Paribas Securities Services (BPSS), suite à sa fusion avec sa société mère BNP Paribas S.A., société anonyme dont le siège est situé au 16 Boulevard des Italiens 75009 Paris et immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Paris sous le numéro 662 042 449, au 1er octobre 2022 (la « Fusion »).

    Du fait de la Fusion, BNP Paribas S.A., en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services (BPSS), deviendra, à la date de la Fusion, banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, teneur de registre et responsable de la gestion comptable des fonds (comptabilisation, calcul de la valeur liquidative) de la Société.

    Ainsi, toute référence au dépositaire en tant que « BNP Paribas Securities Services (BPSS)» sera remplacée dans le Prospectus par « BNP Paribas S.A. ». 

    Nous vous précisons que la Fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas S.A.. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas S.A. restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France. 

    Dans la mesure où ce changement de dépositaire constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’accord du dépositaire et l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers (l’« AMF ») sur ce changement de dépositaire dans le Prospectus. 

    La modification du Prospectus sera effective le 1er octobre 2022, date effective de la réalisation de la Fusion.

    De plus, la Fusion étant intragroupe, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de  sortie sans frais.

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    news-3164 Tue, 13 Sep 2022 11:26:20 +0200 Information – Modification du Prospectus – Changement de Dépositaire - LF Opsis Epargne Immobilière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-modification-du-prospectus-changement-de-depositaire/ Information aux actionnaires de la modification du Prospectus - Fusion intragroupe – BNP Paribas Securities Services (BPSS) et BNP Paribas S.A. Cher Actionnaire,
    La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS EPARGNE IMMOBILIERE (la « Société»), vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé le changement suivant :

    La modification du dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, BNP Paribas Securities Services (BPSS), suite à sa fusion avec sa société mère BNP Paribas S.A., société anonyme dont le siège est situé au 16 Boulevard des Italiens 75009 Paris et immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Paris sous le numéro 662 042 449, au 1er octobre 2022 (la « Fusion »).

    Du fait de la Fusion, BNP Paribas S.A., en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services (BPSS), deviendra, à la date de la Fusion, banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs, teneur de registre et responsable de la gestion comptable des fonds (comptabilisation, calcul de la valeur liquidative) de la Société.

    Ainsi, toute référence au dépositaire en tant que « BNP Paribas Securities Services (BPSS)» sera remplacée dans le Prospectus par « BNP Paribas S.A. ».

    Nous vous précisons que la Fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas S.A.. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas S.A. restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France.

    Dans la mesure où ce changement de dépositaire constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’accord du dépositaire et l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers (l’« AMF ») sur ce changement de dépositaire dans le Prospectus.

    La modification du Prospectus sera effective le 1er octobre 2022, date effective de la réalisation de la Fusion.

    De plus, la Fusion étant intragroupe, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.

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    news-3162 Mon, 05 Sep 2022 17:30:00 +0200 Note de rentrée 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-de-rentree-2022/ Les marchés peuvent-ils résister à une croissance sans cesse revue à la baisse, une inflation proche des 10% et au resserrement monétaire orchestré par les banques centrales mondiales ? POINT MARCHÉ 

    La période estivale avait été jusqu’ici favorable aux marchés financiers dans leur ensemble et ce malgré une situation macroéconomique toujours difficile. Plusieurs raisons peuvent l’expliquer. Tout d’abord une perception par les acteurs financiers d’un risque inflationniste moindre en lien avec une baisse des prix des matières premières et plus particulièrement du prix du baril de pétrole. Cela avait logiquement engendré une baisse généralisée des taux gouvernementaux, à la fois sur la partie nominale mais aussi, et surtout, sur la partie taux réels. De notre point de vue, ceci a joué un rôle essentiel dans la bonne tenue des actifs risqués jusqu’à récemment. De plus, le positionnement de marché, très pessimiste en juin, et une saison d’annonces de résultats jugée satisfaisante ont eux aussi sans doute participé à cette reprise de risque de la part des investisseurs.

    La situation macroéconomique reste cependant à minima difficile, spécialement en Europe. La confiance des consommateurs est proche des plus bas dans la quasi-totalité des pays de la zone Euro, en lien avec la forte hausse des prix énergétiques depuis le début de l’année. En Europe, si le prix du baril de pétrole s’est replié durant l’été, il n’en a pas du tout été de même pour les prix du gaz, celui-ci bondissant de plus de 200% depuis début juin. En corolaire, les prix de l’électricité n’en finissent plus de progresser, avec des conséquences pour les particuliers et les entreprises aujourd’hui difficiles à évaluer en raison des différents plans de soutien gouvernementaux mis en place. Mais ce soutien budgétaire est-il pérenne ? Les dernières déclarations laissent à penser que si ce soutien ne va pas disparaitre, il va tout du moins diminuer, avec pour conséquences une hausse potentiellement significative des coûts énergétiques pour l’ensemble des acteurs économiques. Une reforme du marché de l’électricité en Europe pourrait également limiter le choc. 

    L’indépendance énergétique américaine ne fait pas peser les mêmes risques sur le consommateur américain. Si ce dernier est lui aussi touché par une forte inflation, il est aussi soutenu par une inflation salariale plus forte qu’en Europe et un marché de l’emploi toujours dynamique même si certains signes de fragilité commencent à apparaitre. 

    La Chine n’a elle de son côté aucun problème lié à l’inflation, mais cela ne rend pas sa situation plus rassurante. Les politiques mises en place en 2021, visant à rééquilibrer certains segments de son économie, continuent à avoir un impact profond sur l’économie en général et sur l’immobilier en particulier. Parallèlement, l’économie souffre aussi de la politique « zéro Covid » toujours appliquée par le gouvernement. 

    Dans ce contexte de croissance mondiale dont les estimations sont sans cesse revues à la baisse pour 2022 (4,40% en début d’année, 2,90% au 19 août ), les banques centrales n’ont pour autant aucune possibilité d’assouplir les conditions financières. Si le dernier chiffre d’inflation américain, sorti à 0 en rythme mensuel pour le mois de juillet, a pu rassurer à court terme, il nous semble beaucoup trop tôt pour que les banques centrales se satisfassent de la situation actuelle. Ces dernières ont d’ailleurs réaffirmé à Jackson Hole leur volonté de lutter contre l’inflation en se montrant moins accommodantes et en augmentant les taux réels.

    Au-delà des risques géopolitiques dont le futur est par nature incertain, c’est sans doute ce dernier point qui nous rend le plus prudent pour les mois qui viennent. Le durcissement des conditions financières à venir aura du mal à se faire sans heurts dans un contexte de croissance dégradée. Il nous semble primordial de rester prudent dans nos allocations aux actifs risqués, spécialement en Europe.

    Pour finir sur une note d’espoir, il est toutefois possible que la fin d’année apporte quelques bonnes nouvelles avec une inflation graduellement moins forte aux États-Unis et un impact positif des différents plans de relance chinois.

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    news-3160 Tue, 06 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert, auprès d’Altarea Entreprise, « Campus Cyber », un immeuble de bureaux à Puteaux (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-daltarea-entreprise-campus-cyber-un-immeuble-de-bureaux-a-puteaux-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis le « Campus Cyber » auprès d’Altarea Entreprise, un immeuble de bureaux de 26 500 m2 à Puteaux (92) situé au 5/7 rue Bellini, au cœur de La Défense, 1er quartier d’affaires européen. A proximité de l’Esplanade de La Défense (Métro Ligne 1) et du Parvis de La Défense (RER A, Transilien L et U, Métro Ligne 1, Tramway T2), la tour bénéficie d’une accessibilité exceptionnelle. Livré en 2021 et signé Christian de Portzamparc, le « Campus Cyber » s’inscrit dans la stratégie d’accélération de la cybersécurité de l’Etat. L’immeuble est composé de 5 niveaux de sous-sol et de 13 étages en superstructure, il dispose d’un roof-top et d’espaces de services « dernières générations » : sky bar, showroom, concept de restauration. 
    Les mobilités douces sont privilégiées grâce à la présence de nombreux emplacements pour les vélos et de bornes de recharge pour véhicules électriques.

    L’immeuble est très efficient sur le plan environnemental et a été bâti sur les derniers standards environnementaux. Il possède les meilleurs labels et certifications : NF HQE Exceptionnel, Effinergie +, Wiredscore Platinium, BREEAM niveau « Excellent », Well Silver et sa performance énergétique sera équivalente à la RT 2012 moins 40 %. 

    Le « Campus Cyber » est entièrement loué pour une durée de 10 ans à un preneur unique composé à 45% de l’Etat français et à 55% par de grands groupes privés.
     
    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de véhicules d’investissement gérés par La Française REM : quatre Sociétés Civiles de Placement Immobilier, LF Grand Paris Patrimoine, Epargne Foncière, Crédit Mutuel Pierre 1 et Sélectinvest 1, et deux sociétés civiles distribuées en unités de compte immobilières. 

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers déclare « A l’instar de la collecte record du marché de la SCPI enregistrée sur le premier semestre 2022, La Française REM signe avec le « Campus Cyber », sa plus importante acquisition pour compte de Sociétés Civiles de Placement Immobilier. Avec l’acquisition de « Campus Cyber » nous sommes fiers d’investir dans un immeuble iconique à bien des égards : par son architecture, son engagement responsable – c’est un des très rares actifs alignés à la Taxonomie – par ses technologies et services déployés, sans oublier la thématique de la cybersécurité, en ligne avec l’engagement durable de notre groupe, portée par les locataires présents dans l’immeuble. » 

    Adrien Blanc, Président d’Altarea Entreprise conclut « Nous sommes très fiers d’avoir conclu cette opération avec La Française Real Estate Managers qui confirme la capacité d’Altarea Entreprise à réaliser des ensembles d’envergure, pour des acteurs de premier plan. Cette opération répond aux exigences du bureau de demain : une localisation exceptionnelle, des espaces flexibles et réversibles et une offre servicielle sur-mesure, avec des performances environnementales répondant aux meilleurs standards internationaux. Nous nous réjouissons également qu’un acteur français prenne la suite auprès du Campus Cyber. »  

    Dans cette transaction, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Allez & Associés, le Cabinet Mayer Brown pour les aspects locatifs et le Cabinet Fairway pour le financement. 

    La Banque Européenne du Crédit Mutuel, conseillée par l’étude notariale Victoires Notaires et le Cabinet Archers, a financé une partie de cette acquisition. 

    Altarea Entreprise était conseillée par l’étude Thibierge Notaires.
    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3158 Thu, 15 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert, « La Canopée », une école à Aix-en-Provence (13) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-la-canopee-une-ecole-a-aix-en-provence-13/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès du Groupe Artea, « La Canopée », un immeuble à destination de l’enseignement supérieur à Aix-en-Provence (13), au 390 rue Claude Nicolas Ledoux. L’immeuble se situe au cœur de la ZAC des Milles dans le pôle d’activité d’Aix-en-Provence, l’un des plus grands sites économiques du sud de la France. L’immeuble, entièrement loué à CESI Ecole d’Ingénieurs dans le cadre d’un bail ferme de longue durée, développe 2 400 m² en R+3 et offre 379 m² de terrasses. L’immeuble a une très bonne performance énergétique et environnementale (DPE classe A pour les émissions de gaz à effet de serre et B pour l’énergie). Sa performance énergétique est équivalente à la RT 2012 moins 44%. Il vise l’obtention du label HPE de type BBC Effinergie +2013.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1.

    La Française REM était conseillée par l’office notarial Oudot & Associés et le Cabinet Jeantet sur les aspects juridiques. Le Groupe Artea était conseillé par l’étude notariale Les Notaires du Quai Voltaire.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti.

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    news-3156 Tue, 06 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française AM se dote d'un pionnier de l'ISR pour prendre la responsabilité de son pôle de gestion actions : THOMAS DHAINAUT /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-se-dote-dun-pionnier-de-lisr-pour-prendre-la-responsabilite-de-son-pole-de-gestion-actions-thomas-dhainaut/ Paris, le 6 septembre 2022 : La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, se dote d’un Responsable Actions – Small & Large Caps, Thomas DHAINAUT, qui rapportera directement au Président et Directeur des Investissements de la société de gestion, Jean-Luc HIVERT. La Française AM poursuit ainsi le développement de son expertise « climate transition » déployée sur sa gamme actions depuis 2015 puis sur les obligations et les produits diversifiés. Au 30/06/2022, plus de 97 % des encours des fonds durables en actions et ouverts à la souscription, sont alignés « Article 9 » selon la règlementation Disclosure (Sustainable Finance Disclosure Regulation).

    Thomas DHAINAUT apporte à La Française vingt-quatre ans d’expérience dans la gestion d’actifs et le « stock picking ». Il a débuté sa carrière à la Banque du Louvre en 1998 en tant que Responsable de l’intermédiation des produits financiers avant d’évoluer vers le poste de Gérant Actions Européennes chez HSBC Private Bank France en 2001. En 2005, il rejoint l’équipe de gestion actions de Sycomore Asset Management où il 
    développe au cours de quinze années d’activité en tant qu’Associé et Gérant une solide expertise dans l’analyse extra-financière et la gestion des thématiques liées à la transition écologique et énergétique. Avant de rejoindre La Française AM, Thomas était Associé, Gérant chez Nahua Capital (2020 à 2022).

    Thomas DHAINAUT est titulaire d’un Master en Finance de l’ESCP (1996) et membre de la SFAF depuis 2002.

    Jean-Luc HIVERT, Président de La Française AM conclut, « L’analyse extra-financière est au cœur du dispositif de gestion de La Française AM. Nous avons récemment redessiné notre organisation et le recrutement de Thomas marque la dernière étape de cette transition vers une gestion plus holistique. Sa maitrise de l’analyse extra-financière, couplée à solide expérience de gestion de conviction, viendra renforcer la qualité de gestion que nous proposons à nos clients investisseurs et nous permettra d’innover en matière de thématiques de gestion. » 

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    news-3155 Fri, 02 Sep 2022 16:12:15 +0200 ALERTE FRAUDE : L’AMF appelle à la vigilance face aux sites frauduleux usurpant son nom /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lamf-appelle-a-la-vigilance-face-aux-sites-frauduleux-usurpant-son-nom/ L’Autorité des marchés financiers a constaté la création récente de plusieurs noms de domaine internet utilisant le sigle AMF. Elle invite les épargnants et les professionnels à vérifier avec attention qu’ils consultent le véritable site de l’AMF. Dans le cadre de sa veille active de l’utilisation de son nom et de son logo sans autorisation, l’AMF a observé la multiplication de noms de domaine déposés comprenant l’acronyme « AMF », créés ces toutes dernières semaines. Si ces adresses, actives, ne dirigent à ce stade l’internaute que vers des pages en construction, elles pourraient être utilisées dans le cadre de campagnes d’hameçonnage (« phishing »), ou plus globalement d’usurpation, ciblant les épargnants ou les professionnels. Ce type de pratiques vise à obtenir des victimes la communication d’informations personnelles (pièces d’identité, RIB, etc.), de fichiers clients ou le versement de fonds pour des motifs divers (taxes, frais, etc.) à des fins d’escroqueries.

    Le phénomène des usurpations d’identité de professionnels du secteur financier et d’institutions publiques ou d’autorités n’est pas nouveau mais connaît une recrudescence importante depuis deux ans.
    L’Autorité des marchés financiers appelle donc le public et les acteurs régulés du secteur à se montrer particulièrement attentifs lorsqu’ils reçoivent un courriel ou un lien prétendument envoyé par l’AMF.
    Le régulateur rappelle que son site est accessible au lien suivant www.amf-france.org.

    L'AMF demande aux personnes recevant ces liens ou courriels frauduleux de ne surtout pas donner suite à ces sollicitations et de les signaler par formulaire à son centre de relations avec les publics, AMF Epargne Info Service, sur son site internet.

    L’AMF engagera les actions de nature à faire cesser et à sanctionner ces agissements.

    Quelques liens utiles : 

    Source : https://www.amf-france.org/fr/actualites-publications/communiques/communiques-de-lamf/lamf-appelle-la-vigilance-face-aux-sites-frauduleux-usurpant-son-nom

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    news-3154 Thu, 08 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert auprès de Crescendo son premier parc d’activités en Allemagne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-aupres-de-crescendo-son-premier-parc-dactivites-en-allemagne/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis son premier parc d’activités en Allemagne auprès d’un fonds géré par Crescendo Real Estate Advisors LLP. L’actif est situé dans le parc d’activités EUROCOM, dans le sud-est de Nuremberg, à proximité du Centre d’exposition de Nuremberg et à 11 minutes du centre-ville via la ligne de métro U1. 

    Entièrement rénové en 2019/2020, l’actif est loué à deux locataires et abrite le siège social de Ziehm Imaging GmbH, une société de technologie médicale qui fabrique des équipements de radiologie de pointe et opère dans le cadre d’une charte environnementale, sociale et de gouvernance (ESG). Le bâtiment est équipé de toitures végétalisées, comprend un local à vélos, se situe à proximité des transports en commun et affiche une bonne performance énergétique. 

    Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes heureux d’annoncer l’acquisition de notre premier parc d’activités en Allemagne. Cette acquisition s’inscrit parfaitement dans la stratégie de diversification de notre portefeuille immobilier allemand, tant sur le plan régional que sur celui des usages, en accordant toujours une attention particulière aux critères ESG.

    Nous sommes optimistes quant à l’attractivité à long terme du bien, de cette classe d’actifs et de la localisation. » Thomas Reckers, gérant de portefeuille chez Crescendo Real Estate, a commenté : « C’était un plaisir de travailler avec l’équipe locale de La Française Real Estate Managers. L’actif cédé étant la dernière position de notre fonds, cette vente nous permet de régler et de distribuer le produit net à nos investisseurs. » La Française REM a été conseillée par Baker Tilly Rechtsanwaltsgesellschaft mbH sur les aspects juridiques et par CBRE GmbH sur la due diligence technique et ESG.

    JLL a géré la commercialisation du bien pour le compte du vendeur. Le vendeur a été conseillé par Gleeds (aspects techniques), CTP Asset Management (property management) et KNH Rechtsanwälte (aspects juridiques).

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de deux Sociétés Civiles de Placement Immobilier gérées par La Française REM, LF Opportunité Immo et LF Europimmo. 

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts.
    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3153 Tue, 13 Sep 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble situé au 44 rue Alphonse Penaud (75) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-situe-au-44-rue-alphonse-penaud-75/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’Arizona un immeuble de bureaux situé dans le 20ème arrondissement de Paris, au 44 rue Alphonse Penaud, à proximité de l’avenue Gambetta et de la Campagne à Paris. L’actif est bien connecté aux transports en commun avec 3 lignes de métro (lignes 3, 3 bis et 11) à moins de 600 m. L’ensemble immobilier, qui est entièrement loué auprès de 3 locataires dans le cadre de baux de durées fermes, a été totalement restructuré en 2019. Il développe désormais 2 849 m² en R+4 et offre des prestations de qualité (toiture végétalisée, équipements chauffage ventilation climatisation très performants, local vélo…). L’immeuble est performant énergétiquement et n’a pas recours aux énergies fossiles.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine. La Française REM a été conseillée par l’office notarial Oudot & Associés et le Cabinet Jeantet sur les aspects juridiques. Arizona a été conseillé par l’étude notariale Attal & Associés. Les deux 
    parties ont été assistées par Jones Lang Lasalle.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3150 Wed, 31 Aug 2022 10:54:35 +0200 Le modèle d'allocation stratégique d’actifs orientée climat développé à La Française. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-modele-dallocation-strategique-dactifs-orientee-climat-developpee-a-la-francaise/ La recherche académique, ainsi que les leçons de l'expérience, démontrent que l'allocation d'actifs à long terme est la principale source de performance, loin devant l'allocation tactique ou la sélection de véhicules d'investissements. Or, avec la problématique du réchauffement climatique lié aux émissions de gaz à effet de serre, la « tragédie de l'horizon » illustre la nécessité de prendre en compte un événement de très longue durée dans la construction de portefeuilles, de l'ordre de 80 ans, temps nécessaire pour que les dommages associés se matérialisent pleinement. Simultanément, la communauté des banques centrales reconnaît que le changement climatique pose des risques potentiellement systémiques pour la stabilité financière, qui pourraient se matérialiser par des événements qualifiés de « cygnes verts ». 

    Par conséquent, les approches probabilistes rétrospectives traditionnelles ne sont pas en mesure d'évaluer correctement les risques liés au climat et les données de marché historiques ne suffisent pas à définir une allocation d'actifs à long terme. Elles sont même partiellement contre-productives, car soutenues par des fondamentaux économiques et monétaires non pertinents. Les approches alternatives fondées sur une taxonomie verte peuvent également s'avérer insuffisantes, car elles n'offrent qu'une vision statique de la réalité qu'elles décrivent. De nouvelles approches prospectives sont donc nécessaires. Ces méthodologies basées sur des scénarios établissent des hypothèses plausibles pour l'avenir sans attribuer une probabilité d'occurrence à chacune d'entre elles. 

    L'allocation stratégique d'actifs doit prendre en compte la transition vers des économies décarbonées, seul scénario capable d'éviter un réchauffement climatique dévastateur, en se positionnant sur des investissements générateurs de performance et moins risqués. Mais d'autres scénarios, moins positifs, doivent également être envisagés. C'est ce que vise à couvrir l’allocation stratégique d’actifs orientée climat. En outre, cette transition peut être induite et accélérée en favorisant le financement d’investissements en processus durables pour les industries traditionnelles, le développement d'activités facilitant la transition ou le financement d'innovations de rupture. C'est l'objet de l'investissement dans le climat, en sélectionnant des placements ad hoc au sein de chaque classe d'actifs une fois l'allocation réalisée. 

    Pour le décrire plus en détails, le modèle d'allocation stratégique d’actifs orientée climat développée à La Française repose sur trois piliers : les rendements attendus dérivés d'un scénario économique cohérent, la mesure du risque, de la volatilité et des corrélations, et un algorithme d'optimisation des rendements ajustés au risque. L'idée est d'utiliser une approche essentiellement prospective basée sur des scénarios pour mettre en œuvre l'allocation stratégique des actifs. 

    Les scénarios traduisent les efforts plus ou moins intenses de l'économie mondiale pour atténuer les émissions de gaz à effet de serre et adapter les structures économiques au réchauffement tout en tenant compte de la productivité, des tendances démographiques, de l'intensité énergétique relative de l'économie et de la teneur en carbone de la production d'énergie. La communauté économique et scientifique s'accorde sur cinq trajectoires dites socio-économiques partagées, définies par le degré d'atténuation et d'adaptation. Elles vont d'un scénario vertueux correspondant au respect des objectifs de développement durable des Nations Unies dans le cadre d'une coopération internationale renforcée, à un scénario extrême de rivalités régionales abandonnant toute ambition dans le domaine du climat. L'objectif de cette étude est de déterminer quelle allocation stratégique d'actifs est optimale pour chaque trajectoire.

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    news-3148 Wed, 31 Aug 2022 09:11:55 +0200 Marché immobilier d’entreprise en Europe – volume d’investissement record /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-dentreprise-en-europe-volume-dinvestissement-record/ Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. L’économie européenne a résisté et a continué de croître au premier semestre 2022, soutenue par le rebond continu du secteur des services, à mesure que les restrictions dues au COVID ont été levées. Les grands enjeux en matière d’investissement immobilier, aujourd’hui, sont le niveau élevé de l’inflation, ainsi que l’accélération de la hausse des taux longs et le durcissement des conditions de financement. La hausse des taux longs a mécaniquement provoqué une baisse de la prime de risque immobilière. Dans ce contexte, les taux de rendement immobiliers ont commencé à évoluer et à s’ajuster pour reconstituer la prime de risque. Cependant, l’immobilier, considéré comme un hedge naturel contre l’inflation grâce au mécanisme d’indexation des loyers, devrait conserver son attractivité, confortée par l’insuffisance d’offres sur le segment prime. La pénurie de matériaux de construction et le manque de surfaces disponibles, en particulier d’immeubles durables et peu énergivores devraient continuer à soutenir les loyers et la valeur des actifs prime. La plus grande sélectivité des utilisateurs et des investisseurs se traduit par une polarisation importante des marchés entre d’un côté, la demande qui se concentre sur les localisations centrales et, de l’autre, l’offre qui tend à se développer en périphérie
    Les actifs alternatifs décorrélés des cycles économiques, notamment l’immobilier de santé, offrent un couple rendement-risque compétitif et offrent des opportunités de diversification. 

    Volume d’investissement record pour le marché européen de l’immobilier d’entreprise

    En Europe, le volume d’investissement en immobilier d’entreprise sur douze mois glissants totalisait près de 280 milliards d’euros fin juin 2022, un niveau record supérieur à celui enregistré en 2019. Cependant, l’activité a ralenti au deuxième trimestre, limitée par l’augmentation des coûts de financement et la plus grande sélectivité des banques, notamment en Europe du Sud. La demande des investisseurs se concentre sur les actifs les plus qualitatifs, en termes techniques et environnementaux. Les actifs de moindre qualité sont écartés par les investisseurs en raison de l’explosion des coûts des travaux de rénovation, à un moment où les exigences des utilisateurs en matière de durabilité se font plus pressantes.

    Le marché des bureaux affiche une hausse de 9% sur douze mois glissants à fin juin 2022 comparé à décembre 2021. Le bureau reste de loin la classe d’actifs privilégiée par les investisseurs. Le secteur de la logistique et des locaux d’activité signe un volume d’investissement record avec plus de 67 milliards d’euros. L’intérêt des investisseurs pour cette classe d’actifs est porté par des prévisions de hausse de loyers résultant d’une faible vacance et d’une demande toujours forte dans la plupart des marchés européens.

    Les taux de rendement des bureaux s’ajustent 

    Le deuxième trimestre 2022 a été marqué par une remontée rapide des taux longs, provoquant mécaniquement une baisse de la prime de risque immobilière. Dans ce contexte, les taux de rendement immobiliers ont commencé à évoluer. Les marchés français et allemands, où les taux de rendement immobiliers étaient les plus bas, ont enregistré une correction rapide mais modérée de leurs taux. Fin juin 2022, les taux de rendement prime de bureaux restaient cependant sous les 3% à Paris et dans les principales villes allemandes. La décompression devrait être plus marquée et probablement plus longue pour les actifs secondaires, notamment en Europe du Sud.

    Tendances de la demande placée 

    Malgré des vents contraires, la demande placée* en Europe affiche une hausse de 46% sur un an (à fin juin 2022) et excède sa moyenne sur les dix dernières années de 3%. L’ensemble des principales villes européennes affichent des performances positives sur un an à l’exception d’Amsterdam qui voit sa demande légèrement reculer (-3%). Dublin, Londres et Lille ont, quant à elles, vu leur demande placée plus que doubler sur les douze derniers mois (à fin juin 2022).

    L’offre immédiate dans les principales villes européennes reste stable sur un an, à un niveau cependant relativement élevé. La hausse rapide des coûts de construction et des coûts de financement devraient venir limiter l’offre future et pourrait contribuer à un reflux de la vacance à moyen terme. 

    Attention aux évolutions des loyers, les sous-marchés se comportent différemment

    La crise sanitaire et le développement du télétravail ont entraîné une modification du fonctionnement des marchés. Alors qu’auparavant, une hausse globale de la vacance entraînait une baisse globale des loyers, la polarisation des marchés se traduit par des évolutions de loyers divergentes entre les actifs des localisations centrales permettant le déploiement du télétravail, qui connaissent des pressions haussières de leurs loyers et les autres actifs où les loyers sont orientés à la baisse. 

    Les mesures d’accompagnement atteignent des niveaux records sur les actifs secondaires, les utilisateurs étant enclins à libérer ces actifs pour des actifs de meilleure qualité. 

    La hausse des coûts de l'énergie et son corollaire, la hausse des charges locatives, attisent l’attention des utilisateurs sur la performance énergétique. Compte tenu du manque de bâtiments économes en énergie face à cette demande importante, les valeurs locatives pourraient être plus élevées pour ce type de biens.

    La faiblesse de l’offre en Allemagne continue à exercer des pressions haussières sur les loyers allemands. Fin juin 2022, les loyers prime s’établissaient à 510€/m²/an à Berlin, 522€/m²/an à Munich et 546€/m²/an à Francfort, ce qui correspond à des hausses de 3 à 10% sur un an. Londres affiche la plus forte progression sur un an (+13%) avec un loyer qui s’établissait à 1 626€/m²/an pour les meilleurs actifs fin juin 2022.

    Sources : CBRE, MBE, La Française REM Research
    *demande placée dans les 12 principales villes européennes : Bruxelles, Lille, Lyon, Paris, Berlin, Francfort, Hambourg, Munich, Dublin, Milan, Amsterdam, Madrid


    Les informations contenues dans ce document sont considérées comme exactes au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour de La Française Real Estate Managers. Elles n'ont pas de valeur contractuelle et peuvent différer des opinions d'autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR (« Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ») sous le n° 18673 en qualité d'entreprise d'investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l'agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l'agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).

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    news-3147 Tue, 30 Aug 2022 16:18:51 +0200 Avis aux porteurs – FCP UFF OBLICONTEXT 2023 A /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-uff-oblicontext-2023-a/ 30 août 2022 La société de gestion La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement UFF OBLICONTEXT 2023 A (ci-après le « FCP ») vous a informé par courrier en date du 19 août 2022 de la modification de la stratégie d’investissement, du profil rendement / risque ainsi que de la dénomination du FCP.

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    news-3146 Tue, 30 Aug 2022 16:17:32 +0200 Avis aux porteurs – FCP UFF OBLICONTEXT 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-uff-oblicontext-2023/ 30 août 2022 La société de gestion La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement UFF OBLICONTEXT 2023 (ci-après le « FCP ») vous a informé par courrier en date du 19 août 2022 de la modification de la stratégie d’investissement, du profil rendement / risque ainsi que de la dénomination du FCP.

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    news-3145 Tue, 30 Aug 2022 16:14:35 +0200 Avis aux porteurs – FCP Oblicontext 2023 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-oblicontext-2023-m/ 30 août 2022 La société de gestion La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M (ci-après le « FCP ») vous a informé par courrier en date du 19 août 2022 de la modification de la stratégie d’investissement, du profil rendement / risque ainsi que de la dénomination du FCP.

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    news-3144 Fri, 19 Aug 2022 11:37:16 +0200 Lettre aux porteurs de parts du FCP « UFF OBLICONTEXT 2023 A » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-uff-oblicontext-2023-a/ Objet : Opération de mutation du Fonds Commun de Placement UFF OBLICONTEXT 2023 A (FR0013202678) fonds nourricier du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M, fonds maître (ci-après le « FCP Maître ») de votre FCP UFF OBLICONTEXT 2023 A (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement, le profil rendement / risque ainsi que la dénomination du FCP concomitamment à son FCP Maître.

    En effet, la diversification du portefeuille du FCP Maître est de plus en plus réduite en raison du faible univers d’investissement lié à la maturité des titres éligibles en portefeuille, d’obligations rappelées par leurs émetteurs et d’obligations arrivées à maturité. Par ailleurs, en raison de la maturité du fonds, l’absence de nouvelles opportunités sur le marché et/ou d’opportunités plus risquées amènent la société de gestion à modifier la stratégie d’investissement du FCP Maître ce qui a un impact sur votre FCP.

    Le FCP Maître qui est actuellement un fonds à échéance au 31 décembre 2023 deviendra un fonds avec une durée de placement recommandée de trois (3) ans. La stratégie d’investissement du FCP Maître sera mise en œuvre par une gestion discrétionnaire flexible d’un portefeuille composé d’actions, d’obligations d’états et d’entreprises de pays membres de l’OCDE et/ou des pays émergents mais également d’OPCI.

    Le nouvel objectif de gestion du FCP Maître sera d’obtenir sur la période de placement recommandée de trois (3) ans, une performance, nette de frais, supérieure à celle de l’indice composite 20 % MSCI World Total net Return (MXWOHEUR Index) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield (HW00 index) + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified Hedged EUR (JPGCHECP Index) en investissant dans des titres préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 % inférieure à celle de l'indice composite.

    Enfin, le FCP Maître sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits promouvant les caractéristiques ESG) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication centrale).

    Le FCP sera dénommé « UFF Multi Actifs Durables A ».

    Le FCP Maître sera dénommé « Multi Actifs Durables ».

    Informations importantes

    Nous attirons votre attention sur le fait que le FCP a actuellement pour objectif de gestion d’obtenir au travers de l'investissement dans le FCP Maître OBLICONTEXT 2023 M (part I), à échéance 2023, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations internationales à haut rendement d'échéance 2023.
    La performance enregistrée du FCP sur l’année 2021 est de 3,25%.

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    news-3143 Fri, 19 Aug 2022 11:31:23 +0200 Lettre aux porteurs de parts du FCP « UFF OBLICONTEXT 2023 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-uff-oblicontext-2023/ Objet : Opération de mutation du Fonds Commun de Placement UFF OBLICONTEXT 2023 (Part C : FR0013202652; Part P : FR0013202660) fonds nourricier du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M  Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?
     

    Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M, fonds maître (ci-après le « FCP Maître ») de votre FCP UFF OBLICONTEXT 2023 (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement, le profil rendement / risque ainsi que la dénomination du FCP concomitamment à son FCP Maître.

    En effet, la diversification du portefeuille du FCP Maître est de plus en plus réduite en raison du faible univers d’investissement lié à la maturité des titres éligibles en portefeuille, d’obligations rappelées par leurs émetteurs et d’obligations arrivées à maturité. Par ailleurs, en raison de la maturité du fonds, l’absence de nouvelles opportunités sur le marché et/ou d’opportunités plus risquées amènent la société de gestion à modifier la stratégie d’investissement du FCP Maître ce qui a un impact sur votre FCP.

    Le FCP Maître qui est actuellement un fonds à échéance au 31 décembre 2023 deviendra un fonds avec une durée de placement recommandée de trois (3) ans. La stratégie d’investissement du FCP Maître sera mise en œuvre par une gestion discrétionnaire flexible d’un portefeuille composé d’actions, d’obligations d’états et d’entreprises de pays membres de l’OCDE et/ou des pays émergents mais également d’OPCI.

    Le nouvel objectif de gestion du FCP Maître sera d’obtenir sur la période de placement recommandée de trois (3) ans, une performance, nette de frais de gestion, supérieure à celle de l’indice composite 20 % MSCI World Total net Return (MXWOHEUR Index) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield (HW00 index) + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified Hedged EUR (JPGCHECP Index) en investissant dans des titres préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 % inférieure à celle de l'indice composite.

    Enfin, le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits promouvant les caractéristiques ESG) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers(communication centrale). 

    Le FCP sera dénommé « UFF Multi Actifs Durables ».
    Le FCP Maître sera dénommé « Multi Actifs Durables ».

    Informations importantes

    Nous attirons votre attention sur le fait que le FCP a actuellement pour objectif de gestion d’obtenir au travers de l'investissement dans le FCP Maître OBLICONTEXT 2023 M (part I), à échéance 2023, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations internationales à haut rendement d'échéance 2023.
    La performance enregistrée du FCP sur l’année 2021 est de 3,24% pour la part C (FR0013202652) et 3,81% pour la part P (FR0013202660).

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    news-3142 Fri, 19 Aug 2022 11:13:01 +0200 Lettre aux porteurs de parts du FCP « Oblicontext 2023 M » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-oblicontext-2023-m/ Objet : Opération de mutation du Fonds Commun de Placement « Oblicontext 2023 M » (Part L : FR0013202629 ; Part I : FR0013202637) Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement, le profil rendement / risque ainsi que la dénomination du FCP.

    En effet, la diversification du portefeuille du FCP est de plus en plus réduite en raison du faible univers d’investissement lié à la maturité des titres éligibles en portefeuille, d’obligations rappelées par leurs émetteurs et d’obligations arrivées à maturité. Par ailleurs, en raison de la maturité du fonds, l’absence de nouvelles opportunités sur le marché et/ou d’opportunités plus risquées amènent la société de gestion à modifier la stratégie d’investissement du FCP.

    Le FCP qui est actuellement un fonds à échéance au 31 décembre 2023 deviendra un fonds avec une durée de placement recommandée de trois (3) ans. La stratégie d’investissement du FCP sera mise en œuvre par une gestion discrétionnaire flexible d’un portefeuille composé d’actions, d’obligations d’états et d’entreprises de pays membres de l’OCDE et/ou des pays émergents mais également d’OPCI. 

    Le nouvel objectif de gestion du FCP sera d’obtenir sur la période de placement recommandée de trois (3) ans, une performance, nette de frais, supérieure à celle de l’indice composite 20 % MSCI World Total net Return (MXWOHEUR Index) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield (HW00 index) + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified Hedged EUR (JPGCHECP Index) en investissant dans des titres préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne 
    pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 % 
    inférieure à celle de l'indice composite.

    Enfin, le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits promouvant les caractéristiques ESG) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication centrale).Le FCP sera dénommé « Multi Actifs Durables ».

    Informations importantes

    Nous attirons votre attention sur le fait que le FCP a actuellement pour objectif de gestion d’obtenir, à échéance 2023, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations internationales à haut rendement d'échéance 2023.

    La performance enregistrée du FCP (part I) sur l’année 2021 est de 4,81%.

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    news-3140 Mon, 25 Jul 2022 14:55:06 +0200 Une nouvelle hausse de 75 points de base. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-nouvelle-hausse-de-75-points-de-base/ Par François Rimeu, stratégiste sénior chez La Française AM
  • Lors de son comité monétaire du 26 et 27 juillet, la FED devrait de nouveau augmenter ses taux de 75 points de base, pour atteindre une fourchette cible de 2,25% et 2,5%, soit le taux neutre de long terme estimé par la Réserve fédérale. 
  • Nous n'anticipons pas de hausse de 100 points de base en dépit de l’accélération de l’inflation réalisée en juin, les prévisions d'inflation ayant chuté.
  • Le président Powell devrait rappeler que les membres de la FED ont besoin de voir des signes convaincants que l’inflation va baisser de manière persistante avant de passer à un rythme de resserrement plus lent.
  • Nous n’attendons pas de détail sur l’ampleur de la hausse de taux en septembre, la banque centrale voulant garder toutes les options ouvertes sur l’évolution des taux directeurs.
  • Le président de la FED devrait confirmer le doublement du rythme du resserrement quantitatif en septembre, à 95 milliards de dollars par mois (60 milliards de dollars en bons du Trésor et 35 milliards de dollars en titres adossés à des prêts hypothécaires).
  • Ce comité ne devrait pas avoir d’impact significatif sur les marchés de taux d’intérêt. Jerome Powell devrait confirmer que la politique monétaire de la FED demeurera dépendante des données économiques.  Nous nous attendons à ce que la FED reste déterminée à rétablir la stabilité des prix mais avec un discours légèrement plus équilibré.

    Disclaimer
    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3139 Mon, 25 Jul 2022 09:55:45 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Batipart « Wellcome », un immeuble de bureaux à Malakoff (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-batipart-wellcome-un-immeuble-de-bureaux-a-malakoff-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA auprès de Batipart et ses partenaires un immeuble de bureaux à Malakoff (92) situé au 8/10 rue Paul Vaillant Couturier, au cœur du projet du Grand Paris et à proximité directe de la ligne 13 du métro, de la future ligne 15 et du tramway T6. L’ensemble immobilier, qui sera loué dans sa majorité à un grand compte utilisateur, sera livré en octobre 2022. Il développera 14 213 m² en R+6 et offrira 660 m² de terrasses dont un rooftop.  Avec 1 360 m² de jardin accessible depuis un espace dédié au restaurant et au coworking, l’ensemble immobilier fait la part belle à la biodiversité. L’opération sera certifiée HQE Bâtiment durable “Très Performant”, BREEAM niveau Very Good, Osmoz et Wiredscore. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière.

    Il s’agit de la deuxième cession réalisée dans le cadre de l’activité de développement lancée par Batipart et ses partenaires ; un partenariat qui a initié 8 opérations depuis sa création en 2018. Pour cette opération de cession, Batipart accompagnera La Française REM jusqu’à la prise d’effet du bail du locataire principal.

    La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides, Mayer Brown pour les aspects juridiques et le cabinet Fairways pour le financement contracté auprès de la Banque Européenne du Crédit Mutuel, elle-même conseillée par Archers et Victoires Notaires. Les vendeurs étaient conseillés par l’étude notariale Cheuvreux et le cabinet d’avocats Pardieu Brocas Maffei, et étaient accompagnés de CA-CIB pour le financement de cette opération, ainsi que d’Eiffage Construction Tertiaire et de Theop pour sa réalisation.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3137 Mon, 25 Jul 2022 09:44:45 +0200 Sommes-nous à la fin d'un « supercycle » pétrolier ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/sommes-nous-a-la-fin-dun-supercycle-petrolier/ par Audrey Bismuth, Global Macro Researcher, La Française AM À deux reprises, au mois de juillet, le Brent est passé sous les 100 dollars le baril. La détérioration de la trajectoire de l’économie mondiale et le risque de récession plus rapide que prévu aux Etats-Unis, l’appréciation du dollar contre l’ensemble des devises et les mesures de restriction sanitaire strictes en Chine, deuxième plus grand consommateur mondial de pétrole, ont pesé sur les prix. De manière quasi-synchronisée, la plupart des banques centrales, aussi bien des pays industrialisés que des marchés émergents, s’empressent de relever leurs taux directeurs pour lutter contre une inflation galopante.  Elles cherchent à faire baisser la demande des biens et des services avec un resserrement agressif des conditions de crédit pour que les tensions sur les prix ne s’installent pas dans la durée. Les craintes de ralentissement de la consommation de pétrole lié à une remontée trop brutale des taux d’intérêt ont donc poussé les investisseurs à réduire leurs positions spéculatives en dépit d’une offre restreinte.

    Cependant, les fondamentaux sont solides : réouverture des économies, niveau très bas des stocks, difficulté de l'OPEP à produire davantage avec des capacités de production inutilisées limitées, embargo occidental sur le pétrole importé de Russie. La ‘backwardation’ de la courbe des prix du brut, situation dans laquelle les contrats à court terme se négocient plus chers que ceux à long terme, reste très marquée. Elle témoigne d’un marché tendu et d’une tendance toujours positive pour les cours de l’or noir. Le 18 juillet, le prix spot du Brent s'est redressé autour de 106 dollars tandis que les contrats futurs à échéance décembre 2022 se sont rétablis légèrement en dessous de 96 dollars le baril. En parallèle, sur le marché physique, les cours du pétrole brut ont grimpé à leur plus haut niveau depuis 2008 selon Bloomberg.

    La demande mondiale de pétrole continue d’augmenter. Les analystes de l'Agence internationale de l'énergie et de l'Agence américaine d'information sur l'énergie s'attendent à ce qu’elle augmente d'au moins 2 millions de barils par jour (b/j) en 2023, au-dessus des niveaux pré-pandémie. L'OPEP est plus optimiste avec une croissance attendue de la demande mondiale à 2,7 millions b/j. La consommation mondiale de pétrole sera principalement soutenue par l’Asie. Elle sera portée par la demande de l’aviation (kérosène) avec la reprise du trafic aérien. Toutefois, la décélération de l'activité économique mondiale devrait entraîner des révisions à la baisse de la consommation globale de pétrole sur les prochains mois.  Historiquement, la demande de pétrole ne s'est contractée que lors des récessions les plus sévères. Selon J.P. Morgan, à l'exception de la récession causée par la pandémie de COVID en 2020, elle ne s'est jamais réduite de plus de 3,0 millions b/j sur un an. En comparant toutes les années où la demande de pétrole a chuté en glissement annuel, 60 % du temps, la baisse de la demande a été limitée à moins de 1,0 million b/j et 20 % du temps, entre 1,5 à 2,0 millions b/j. 

    Du côté de l'offre, les analystes prévoient une production limitée par les pays de l'OPEP et des approvisionnements plus importants de la part des producteurs non membres de l'OPEP (principalement les Etats-Unis, le Canada, le Brésil et la Norvège). Les pays de l'OPEP et ses alliés (OPEP+, dont fait partie la Russie) ne parviennent pas à produire les quotas de production qu’ils se sont fixés. En juin, il manquait 2,7 millions b/j alors que l’alliance avait décidé d’augmenter sa production de 432 000 b/j. L'incapacité de produire davantage devrait perdurer compte tenu du vieillissement des infrastructures et des années de faibles investissements. Seuls l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis disposent de capacités excédentaires inemployées. Selon l'Agence internationale de l'énergie, leurs réserves pourraient chuter à seulement 2,2 millions b/j d’ici le mois d’août. L'Arabie saoudite produit actuellement près de 11 millions b/j. Le pays pourrait augmenter sa production à 12 millions b/j mais sa capacité maximale a atteint, à une seule reprise, 11,5 millions b/j en avril 2020. En parallèle l'Iran pourrait être une alternative à la Russie, les négociations avec les Etats-Unis pour restaurer l'accord de 2015 semblent difficiles en dépit de rumeurs d’un accord imminent. Enfin, aux États-Unis, sous la pression des actionnaires, la production reste en dessous du pic atteint avant la pandémie (1 million b/j de moins). Dans une économie mondiale qui cherche à renoncer aux énergies fossiles pour privilégier les sources plus propres, les cinq plus grandes compagnies pétrolières du monde prévoient d'investir 81,7 milliards de dollars cette année, soit la moitié de ce qu'ils ont dépensé en 2013. L'inflation, les problèmes sur les chaînes d'approvisionnement, les pénuries de main-d'œuvre et la diminution de l'activité des opérateurs ont également limité la croissance de la production américaine. Après 11,6 millions b/j au premier semestre de 2022, l'Agence américaine de l'information sur l'énergie estime que la production américaine devrait atteindre, en moyenne, 12,2 millions b/j au cours du deuxième semestre 2022 et 12,8 millions b/j en 2023, ce qui dépasserait le précédent record annuel établi en 2019. L'augmentation de la production de gaz naturel du Bassin permien, le plus grand bassin de production de pétrole aux États-Unis, fait également peser un risque à la baisse sur sa production de pétrole brut au cours des prochains mois.

    Les stocks mondiaux de pétrole (hors Chine) demeurent extrêmement bas. Ceux des pays de l’OCDE restent inférieurs de près de 300 millions de barils par rapport à leur moyenne sur cinq ans, même s’ils se sont redressés grâce au déblocage, en mars dernier et pour six mois, des réserves stratégiques de pétrole des Etats-Unis et des membres de l’Agence internationale de l’énergie. L’offre de pétrole devrait par ailleurs se réduire d’ici la fin de l’année avec l’entrée en vigueur de l'embargo de l'Union européenne sur le pétrole russe. Selon l'Agence internationale de l'énergie, les exportations de pétrole russe ont chuté de 250 000 b/j en juin, à 7,4 millions b/j, le plus bas niveau depuis août 2021. 
    En conclusion, la dynamique reste favorable aux prix du pétrole avec le maintien de la forme de la courbe en ‘backwardation’. Toutefois, la volatilité de l’or noir devrait se poursuivre jusqu'à ce que les pressions inflationnistes s'atténuent.

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    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3136 Fri, 22 Jul 2022 09:00:00 +0200 Rapport 2021 « Stratégie climatique et responsable » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rapport-2022-strategie-climatique-et-responsable/ Acteur engagé et durable ce rapport est une nouvelle occasion de souligner nos actions en faveur d’une finance plus responsable au service du climat. Cette priorité s’inscrit dans la continuité de notre démarche ESG initiée il y a près de 15 ans et s’exprime en 2021 par une mobilisation renforcée en matière de lutte contre le réchauffement climatique conformément à notre plan de développement à moyen terme.

    "Laurent Jacquier Laforge, Global Head of Sustainability : « Nous sommes résolument déterminés à figurer parmi les acteurs actifs et influents, et à rendre compte de nos impacts auprès de nos parties prenantes."

    Parce que nous visons les plus hauts standards ESG, nous faisons de l’investissement durable un des axes majeurs de notre développement. Notre conviction de l’investissement durable se fonde sur les travaux réalisés par le Groupe La Française dans l’exploration macro-financière des différents scénarios socio-économiques de long terme considérés comme possibles par la communauté économique et scientifique au travers du GIEC.

    Dans ce cadre, le groupe La Française s’est interrogé sur les performances futures, selon divers scénarios, des actifs financiers et immobiliers avec l’objectif de réaliser en quelque sorte un stress test climatique au niveau macro-financier de sorte de faire rimer investissements durable et rentable.

    L'ambition du Groupe La Française est aussi de respecter l'esprit de l'investissement durable. Ainsi, dans le domaine environnemental, verdir les investissements repose sur une double approche : exclure les actifs irrécupérables car nécessitant de trop profondes transformations, lesquels actifs finiront de toute façon par perdre leur valeur avec le statut de « stranded assets » , et adopter une approche best in progress de trajectoire climatique pour les autres, en intégrant un biais sur les actifs développant les technologies permettant justement l’activation de cette démarche à moindre coût. 

    Cette démarche peut être déployée avec les adaptations nécessaires sur toutes les classes d’actifs : de l’immobilier aux obligations d’entreprise, aux emprunts d’Etat et aux actions en tenant compte des spécificités de chacun.

    De façon générale, plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie du Groupe La Française est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. 

    En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le groupe La Française porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être valorisée. 

    Téléchargez notre rapport et découvrez en détail les initiatives et travaux menés en 2021 en matière de gouvernance, stratégie, gestion des risques, indicateurs et objectifs pour accélérer les transitions.

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    news-3134 Wed, 20 Jul 2022 09:13:00 +0200 Un manque de consensus quant aux actifs risqués /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-manque-de-consensus-quant-aux-actifs-risques/ Les marchés actions et de crédit ont beaucoup souffert depuis le début de l’année. Après ce type de correction, il est logique de se poser la question quant à l’opportunité d’augmenter l’allocation aux actifs risqués dans leur ensemble. L’inflation

    L’inflation est difficile à appréhender aujourd’hui. Il y a un an, le marché anticipait une inflation moyenne en 2022 de 1,6 % en zone Euro et 2,9 % aux Etats-Unis, avec un pic qui devait être atteint fin 2021 et un retour en 2023 à une inflation autour de 1.5 % en Europe et de 2 % aux Etats-Unis. (Bloomberg) Aujourd’hui, ces mêmes marchés anticipent pour 2022 une inflation à 8,2 % en zone Euro et aux Etats-Unis et une baisse, somme toute relative, de ces pressions inflationnistes pour 2023 puisque les hausses de prix atteindraient encore autour de 4-5 %. La guerre en Ukraine et les très fortes conséquences sur les marchés de matières premières expliquent évidemment uniquement une partie de ces erreurs d’estimation. Il faut donc garder en tête que si les estimations d’inflation ont pu être revues à la hausse de plus de 5 % (cf. Graphique 1) au cours des douze derniers mois, il est loin d’être impossible que ces erreurs d’estimation se reproduisent à nouveau, dans un sens comme dans l’autre.

    Graphique 1 (Bloomberg) :

    A court terme cela ne laisse que peu de choix aux banques centrales quant à la politique monétaire à mener ; celles-ci veulent en effet éviter un désencrage des anticipations d’inflation et vont donc continuer à durcir leurs politiques monétaires avec l’objectif plus ou moins assumé de réduire la demande.

    La dynamique macro-économique

    Les prévisions de croissance pour 2022 ont largement baissé depuis lé début de l’année, passant par exemple de 3,9 % à 2,1 % aux Etats-Unis, de 4,2 % à 2,7 % en Europe ou encore de 5,2 % à 4,1 % en Chine. Il nous semble pourtant que ces ajustements à la baisse ne sont pas terminés.

    Les banques centrales vont continuer à rendre les conditions financières plus restrictives, ce qui devrait entraîner une baisse des indicateurs avancés et donc une baisse des prévisions de croissance. Le graphique ci-dessous illustre la forte dépendance des indicateurs PMI (purchasing manager’s index) à la croissance de la masse monétaire.

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    news-3132 Tue, 19 Jul 2022 10:46:09 +0200 Une hausse prudente des taux - une première en 11 ans - et la puissance de feu du nouvel outil anti-fragmentation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-hausse-prudente-des-taux-une-premiere-en-11-ans-et-la-puissance-de-feu-du-nouvel-outil-anti-fragmentation/ Lors de la prochaine réunion de juillet, la Banque centrale européenne (BCE) confirmera l'enchaînement de ses actions. L'accent sera mis sur le dispositif anti-fragmentation appelé "mécanisme de protection de la transmission". Nos principales anticipations :

    • Comme annoncé au départ, la BCE augmentera ses trois taux d'intérêt directeurs de 25 points de base après avoir mis fin à son programme d'achat d'actifs (APP) le 1er juillet ; nous ne nous attendons pas à ce que la BCE surprenne les marchés avec un mouvement de 50 points de base.
    • Le ton général restera, selon nous, très hawkish compte tenu des derniers chiffres d'inflation et de la pression à la baisse sur le taux de change.
    • La présidente Christine Lagarde devrait réaffirmer que le rythme du resserrement de la politique monétaire sera guidé par l'optionalité, la dépendance aux données, le gradualisme et la flexibilité. Elle confirmera que les taux d'intérêt directeurs de la BCE augmenteront à nouveau en septembre et que l’amplitude de cette hausse dépendra de l’évolution des perspectives d’inflation à moyen terme.
    • Elle devrait également réaffirmer l'engagement très ferme de la BCE à agir contre une fragmentation injustifiée. La BCE devrait fournir plus de détails sur le "mécanisme de protection de la transmission", son nouveau programme d'achat d'obligations. Selon les dernières informations en provenance de la BCE, ce plan devrait être illimité, avec des conditions légères et 100% stérilisées (sans augmenter le bilan de la banque centrale). Le marché attend ces détails depuis plusieurs mois maintenant, ce qui devrait amener beaucoup de questions: que signifie exactement "conditionnalité légère" ? Quelles sont les "bonnes" circonstances dans lesquelles cet outil pourrait être déployé ? La BCE va-t-elle favoriser des parties spécifiques de la courbe ?
    •  Enfin, la BCE devrait confirmer les discussions visant à modifier les conditions d'éligibilité du TLTRO (opérations ciblées de refinancement à plus long terme) III, compte tenu du rythme accéléré de la normalisation de la politique monétaire.

    En résumé, le principal risque serait de voir la BCE ne pas répondre aux attentes du marché concernant le nouveau plan. La BCE a un exercice difficile en matière de communication, notamment en raison des nouvelles turbulences politiques en Italie. Dans l'attente de cette réunion, nous restons prudents sur les spreads des obligations périphériques, et nous voyons toujours un potentiel d’aplatissement des courbes européennes.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3131 Mon, 18 Jul 2022 17:36:07 +0200 Alerte Fraude du 18/07/2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alerte-fraude-du-18-07-2022/ Nous constatons le dépôt d’un nom de domaine « la-francaise-gestion » qui n’est pas du fait du Groupe La Française associé à 2 extensions frauduleuses de mails : 

    • Prénom.nom.lafrancaise@gmail.com
    • prénom.nom @ lafrancaise-management.com 
    • prénom.nom @ lafrancaise-management.fr
    • prénom.nom @ lafrancaise-gestion.com 
    • prénom.nom @ lafrancaise-gestion.net
    •  prénom.nom @ la-francaise-gestion.com 
    • prénom.nom @ la-francaise-gestion.net

    Nous attirons votre attention sur des sollicitations qui pourraient survenir : 

    • pour la souscription de produits financiers fictifs ou frauduleux, 
    • pour le partage de vos données personnelles, 

    sans vérification préalable lorsque vous êtes sollicités directement par e-mail, téléphone ou quelque moyen que ce soit sous la dénomination « la-francaise-gestion » et/ou avec les 2 extension de mail « la-francaise-gestion » .com ou .net
     
    En toute circonstance, lorsque vous souhaitez souscrire, faites confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers en nous contactant directement à l’« adresse site contact ». Nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé. 
     
    Prenez connaissance des mises en garde, des listes noires de sociétés et sites non autorisés publiées par l’AMF ou de l’ACPR

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    news-3127 Tue, 19 Jul 2022 09:00:00 +0200 La Française poursuit son expansion en Asie-Pacifique avec l’ouverture d’un bureau à Singapour /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-poursuit-son-expansion-en-asie-pacifique-avec-louverture-dun-bureau-a-singapour/ La Française, groupe international de gestion d’actifs avec 55 milliards d’euros d’actifs sous gestion, a le plaisir d’annoncer l’ouverture d’un nouveau bureau à Singapour, domicilié au sein de Crédit Industriel et Commercial (CIC) Singapore Branch au 182 Cecil Street, #33-01 Frasers Tower. La Française et CIC sont membres de Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Depuis l’ouverture de son premier bureau à Séoul, en Corée du Sud, en 2016, qui a coïncidé avec l’arrivée de Shawna YANG en tant que Directrice des relations investisseurs pour l’Asie, La Française a constaté une augmentation significative de la demande des investisseurs asiatiques, en particulier pour l’immobilier européen. C’est dans cette perspective que La Française a décidé d’ouvrir un deuxième bureau (en attente d’approbation par les autorités compétentes) à Singapour pour alimenter cette croissance. 

    En un peu plus de cinq ans, La Française est devenue une référence parmi les investisseurs institutionnels asiatiques désireux d’investir sur le marché immobilier européen, dans le secteur des bureaux et plus récemment dans la logistique, et a réalisé pour plus de 3 milliards d’euros de transactions. La Française gère, pour le compte d’investisseurs asiatiques, 2,3 milliards d’euros d’actifs (au 30/04/2022), principalement dans l’immobilier, et a établi un certain nombre de partenariats de « sourcing » avec des investisseurs asiatiques de premier ordre.

    L’Asie-Pacifique est un marché prioritaire pour La Française et sa présence à Singapour facilitera le développement de l’activité immobilière. 

    « En tant que leader de l’immobilier debureaux en Europe1, nous reconnaissons l’importance d’une forte présence en Asie-Pacifique. Le développement commercial international nécessite avant tout l’instauration d’une proximité locale. Notre objectif est d’accompagner les investisseurs asiatiques dans la diversification géographique de leur portefeuille immobilier. Il s’agit d’une étape importante dans notre stratégie de développement commercial, et nous sommes ravis de franchir cette nouvelle étape », explique Philippe LECOMTE, Président de La Française AM Finance Services.

    Julia TAN, Chief Executive de CIC Asia Pacific conclut : « Ce développement est une parfaite illustration des synergies que nous souhaitons réaliser en tant que membres de Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Nous nous réjouissons d’accueillir nos collègues de La Française à Singapour. »

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    news-3126 Mon, 11 Jul 2022 15:36:39 +0200 La Française conclut l'une des plus importantes transactions en immobilier de bureaux à Bruxelles de l'année 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-conclut-lune-des-plus-importantes-transactions-en-immobilier-de-bureaux-a-bruxelles-de-lannee-2022/ La Française Real Estate Managers (REM), dans le cadre de l’accompagnement de son client Hyundai Investments, s'est engagée à vendre 100 % des actions d'Anvers Luxco SARL à un fonds d'investissement géré par Whitewood. Anvers Luxco SARL détient indirectement une participation majoritaire dans le siège belge d'ENGIE à Bruxelles.

    L'actif comprend deux immeubles, North Light et Pole Star, situés dans le quartier de la Gare du Nord à Bruxelles. Ensemble, ces biens immobiliers forment un ensemble de bureaux « moderne » d'une superficie de 77 000 m² construit en 2011 et 2014. L'actif est entièrement loué à ENGIE et présente un certain nombre de caractéristiques de durabilité, notamment le recours à une énergie géothermique optimisée, un chauffage et un refroidissement géothermiques, des panneaux solaires et un système de climatisation sophistiqué.

    Le Quartier Nord de Bruxelles fait actuellement l'objet de plusieurs aménagements urbanistiques et à usage mixte, contribuant à la revitalisation de cette partie du quartier d'affaires central avec un afflux de nouveaux occupants publics et privés. Les capitaux d'investissement immobilier affluent également dans le quartier avec des transactions importantes récentes telles que North Galaxy Towers et Möbius II.

    La Française Real Estate Managers a été conseillée par PwC (sortie, fiscalité et financement) et par Linklaters sur les aspects juridiques. 

    L’acquéreur était conseillé par Clifford Chance (pour les aspects fiscaux et juridiques), Deloitte (fiscalité) et Cushman & Wakefield (conseils en immobilier). 

    La transaction est l'une des plus importantes transactions en matière d'immobilier de bureaux à Bruxelles au titre de l'année 2022.

    David Rendall, Directeur Général, La Française Real Estate Managers - Division institutionnelle, a déclaré : « La Française est ravie d'avoir sécurisé la vente de North Light et Pole Star à Whitewood, car celle-ci parachève un investissement fructueux réalisé pour le compte d'investisseurs coréens, en collaboration avec Hyundai Investments. L'investissement a fonctionné conformément à son business plan et la cession à un gestionnaire local a permis une bonne restitution du capital à nos investisseurs, en accord avec notre approche de gestion d’actifs dynamique. »

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    news-3125 Tue, 12 Jul 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers et la banque des territoires acquièrent "ALPHABET" un immeuble de bureaux à Bois-Colombes (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-et-la-banque-des-territoires-acquierent-alphabet-un-immeuble-de-bureaux-a-bois-colombes-92/ La Française Real Estate Managers (REM) et la Banque des Territoires ont acquis en VEF Aauprès d’AXA IM Alts, agissant pour le compte de ses clients, un immeuble de bureaux d’une surface de 20 275 m² dont la livraison est prévue en juin 2023 L’immeuble est réalisé par Sefri-Cime dans le cadre de la ZAC des Bruyères dont l’aménagement a été porté par AXA IM Alts et Sefri-Cime depuis plus de 20 ans. L’actif bénéficie d’un emplacement stratégique au cœur du quartier de Bécon-les-Bruyères au pied de la gare du Transilien et de la future gare de métro de la ligne 15 OUEST (Bécon-les Bruyères) du Grand Paris Express.

    Imaginé par l'agence Wilmotte & associés, le bâtiment est conçu pour répondre aux enjeux de mobilités durables : localisation au pied des transports en commun, bornes de recharge pour véhicules électriques et un large local à vélos. Il dispose également d'un restaurant interentreprise (RIE), d'un espace de coworking et bénéficie de terrasses à chaque niveau dont une de 350 m² au R+1 ainsi que d’un roof-top de 640 m² au R+8.

    L’actif répond aux derniers standards en matière de performance énergétique et environnementale et vise les labels, HQE Bâtiment Durable 2016 très performant, Breeam very good et Effinergie correspondant au niveau E2 du label « E+C- », reflétant ainsi la maitrise des émissions de gaz à effet de serre tant dans la conception du bâtiment que dans son utilisation.

    Pour Philippe Depoux, Président de La Française REM : « Alphabet offre un niveau de prestations techniques et de services répondant aux exigences des immeubles « nouvelle génération ». Sa conception ainsi que sa localisation stratégique, face à la future gare de métro du Grand Paris Express contribueront à soutenir sa valeur locative. Nous remercions La Banque des Territoires pour leur confiance. »

    Pour Richard Curnier, directeur régional Ile-de-France de la Banque des Territoires : « C’est un projet significatif pour la Banque des Territoires qui se mobilise pour le développement des quartiers de gare du Grand Paris Express. Il s’agit bien ici d’investir dans un actif qui va héberger une entreprise en plein développement, et de contribuer à la mixité fonctionnelle d’un quartier au service de la cohésion sociale et de son attractivité. »

    L'immeuble est entièrement pré-loué dans le cadre d'un bail de 9,5 années fermes à la société Sagemcom pour son nouveau siège social. Sagemcom est un groupe industriel français, leader mondial des produits et solutions communicantes à destination des marchés du Broadband, des solutions Audio et Vidéos, et de l’énergie (électricité, gaz, et eau).

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière et par la Caisse des Dépôts.

    Dans cette transaction, La Française REM et la Banque des Territoires étaient conseillées par l’étude notariale Allez & Associés, les cabinets Mayer Brown et Ollyns pour l’acquisition et le cabinet Fairway pour le financement. La banque Bayern LB, conseillée par le Cabinet Lacourte et l’étude notariale Rochelois, a financé une partie de cette acquisition. 

    Les vendeurs étaient conseillés par l’Office notarial Wargny Katz et le Cabinet Depardieu Brocas Maffei.

    Stratégies & Corp était conseil exclusif de l’acquéreur. 

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-3122 Fri, 08 Jul 2022 09:22:11 +0200 La hausse des taux réduit-elle le risque de call ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-hausse-des-taux-reduit-elle-le-risque-de-call/ Dans le contexte actuel de hausse de taux, les rappels anticipés ou « calls », qui représentaient un facteur de risque non négligeable il y a encore quelques mois pour les stratégies à échéance à haut rendement, apparaissent moins risqués aujourd’hui et on vous explique pourquoi RAPPEL DU CONTEXTE

    La baisse significative des taux d’intérêts en Europe et aux États-Unis jusqu’à fin 2021 (en raison des politiques monétaires ultra-accommodantes) et la forte compression des primes de risque de crédit ont nettement accéléré les remboursements anticipés (« call ») des émetteurs privés et particulièrement les sociétés High Yield. Une grande partie de ces entreprises ont profité de cette situation exceptionnelle pour optimiser leur bilan et refinancer leurs obligations à des conditions financières plus attractives (coupons plus faibles et échéances plus longues). Pour rappel, le coupon moyen des entreprises High Yield européennes a été divisé par 2 sur la dernière décennie passant de 7% fin 2013 à 3.5% fin 2021 . Ceci est notamment dû à la très forte baisse des taux d’intérêt (cf. graphique1). 

     

    MÉCANISME DES RAPPELS ANTICIPÉS DE DETTE (« CALL »)

    L’univers High Yield est majoritairement (75%) composé d’obligations qui disposent d’une option de remboursement anticipé (« call ») au choix de l’émetteur. Ce dernier sera incité à exercer ce remboursement anticipé si le taux qu’il peut obtenir sur les marchés obligataires est inférieur au coupon de sa dette initiale (à l’instar d’un ménage qui refinance son crédit immobilier).
    Ce faisant, les rappels anticipés augmentent (baissent) :

    • Lorsque les taux d’intérêts baissent (augmentent) 
    • Et/ou lorsque les primes de risque de crédit se resserrent (s’écartent). 

    Le graphique ci-après  compare le coupon moyen des dettes en circulation (courbe bleue) pour les émetteurs High Yield au rendement auquel ces mêmes émetteurs peuvent se refinancer sur le marché secondaire (courbe orange).
     

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    news-3120 Thu, 07 Jul 2022 09:00:00 +0200 Le portefeuille immobilier de LF AVENIR SANTE se constitue à grande vitesse ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-portefeuille-immobilier-de-lf-avenir-sante-se-constitue-a-grande-vitesse/ Paris, le 7 juillet 2022 : La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la SCPI thématique LF AVENIR SANTE, a récemment conclu une convention de vente et d’achat (sales and purchase agreement) portant sur un projet de développement situé rue de la Caracole à Namur en Belgique. La transaction sera finalisée au plus tard fin 2024 L'ensemble immobilier se situe au sud de Namur, capitale de la région de la Wallonie, ville d'environ 110 000 habitants. Namur est proche d'un port fluvial et d'un nœud autoroutier, ce qui 
    en fait un pilier de l'économie de la province. Namur s’est classée à la seconde place du benchmark 2015 des « Smart Cities » d’Agoria.

    Le projet de développement porte sur un ensemble immobilier dédié à l’accueil de personnes en situation de handicap et sera constitué de cinq pavillons, pouvant accueillir 80 résidents. Quatre pavillons de 20 résidents chacun regrouperont les chambres et les espaces de détente. Un bâtiment commun regroupera les activités administratives, les locaux d’activités, la salle à manger commune, les cuisines, la laverie… A l’extérieur, les résidents bénéficieront d’espaces de détente et d’activités : jeux, potager, rucher, ferme pédagogique, …

    La construction répondra aux dernières normes en vigueur que ce soit d’un point de vue « médical » mais également énergétique. L’ensemble immobilier disposera de panneaux photovoltaïques en toiture, sera alimenté en électricité d’origine renouvelable, prévoit l’installation de bornes de recharge pour véhicules électriques et comprend des espaces végétalisés.

    L'immeuble est pré-loué, dans le cadre d’un bail ferme de dix-huit ans à Namur Santé, entité du groupe MG Health Care, opérant dans le secteur de l’accueil de personnes en situation de handicap en Belgique.

    Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « Ce projet de développement relève véritablement du défi Sociétal et permettra de pallier le manque cruel de structures d’accueil pour personnes en situation de handicap. La philosophie de l’exploitant, à  savoir offrir un nouveau « chez soi » aux résidents, est parfaitement cohérente avec notre stratégie d’investissement qui vise à constituer un portefeuille d’actifs médico-sociaux à travers l’Europe en adéquation avec les besoins de prise en charge en cœur de ville. »

    Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par le Cabinet Schoups pour la partie juridique et par Theop pour la partie technique et ISR. 

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    news-3118 Tue, 05 Jul 2022 09:00:00 +0200 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-actions-france-pme-3/ Nous vous informons que le FCP sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le FCP promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR. 

    Par conséquence, le prospectus du FCP sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR. 

    Cette nouvelle catégorisation du FCP n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du FCP qui demeurent inchangés.

    Cette modification du FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 8 juillet 2022. 

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document  d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Actions France PME » disponible sur le site 
    www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3117 Tue, 05 Jul 2022 09:00:00 +0200 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Profil Performance » suite à la modification du prospectus de son fonds maître le FCP « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-profil-performance-suite-a-la-modification-du-prospectus-de-son-fonds-maitre-le-fcp-la-francaise-actions-france-pme-1/ Nous vous informons que le FCP La Française Actions France PME, fonds maître de votre FCP, sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le FCP La Française Actions France PME, fonds maître de votre FCP, promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR. 

    Par conséquence, le prospectus du FCP La Française Profil Performance sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR. 

    Cette nouvelle catégorisation du FCP n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du FCP qui demeurent inchangés.

    La modification du prospectus du FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 8 juillet 2022.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Profil Performance » disponible sur le site www.la-francaise.com.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3115 Mon, 04 Jul 2022 16:10:55 +0200 Carbon Impact Quarterly : Risques et opportunités du changement climatique pour les pays /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/risques-et-opportunites-du-changement-climatique-pour-les-pays/ Par Hervé CHATOT et Gaël BINOT, Gérants Fixed Income, Spécialistes ESG, La Française AM Le changement climatique est l'un des défis les plus importants auxquels le monde est confronté aujourd'hui. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) continuent d'augmenter dans de nombreux pays et régions. Notre planète se réchauffe. Les événements 
    météorologiques extrêmes sont plus fréquents et entraînent des coûts humains et économiques plus élevés. Des actions urgentes sont nécessaires pour atténuer les impacts négatifs du changement climatique sur l'économie mondiale.

    Les pays et les gouvernements doivent prendre des mesures plus ambitieuses pour lutter contre le changement climatique et atteindre l'objectif de l'Accord de Paris, qui limite le réchauffement climatique bien en dessous de 2 °C. Nous devons accélérer la transition vers une économie à faibles émissions de carbone avant qu'il ne soit trop tard.

    Le changement climatique devrait avoir un impact significatif sur l'économie mondiale. C'est pourquoi, à La Française, nous avons décidé de développer, pour toutes les classes d'actifs, une méthodologie d'investissement pour la transition climatique. Nous 
    considérons que le changement climatique est un risque de placement, mais aussi une source d'opportunités qui impactera la valeur des investissements dans les années à venir.

    Jusqu'à présent, les investisseurs se sont concentrés principalement sur le changement climatique au niveau des entreprises (c'est-à-dire pour les actions et le crédit), mais pas au niveau souverain. Les pays sont directement exposés aux risques liés au changement climatique et les investisseurs en obligations d'État ne peuvent plus ignorer ces risques.

    Dans ce document, nous présentons notre approche de la dette souveraine à l'aune de la transition climatique.

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    news-3113 Tue, 14 Jun 2022 09:00:00 +0200 "Beaucoup de travail à faire" pour atteindre l'objectif de 2% de la FED. La FED est sous pression politique ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/beaucoup-de-travail-a-faire-pour-atteindre-lobjectif-de-2-de-la-fed-la-fed-est-sous-pression-politique/ La réserve fédérale (FOMC) devrait augmenter les taux de 50 points de base (pb) lors de sa réunion des 14 et 15 juin pour la deuxième fois consécutive. Elle mettra à jour ses projections économiques (SEP) qui indiqueront très probablement une croissance plus faible et une inflation plus élevée. Elle publiera également le nouveau "dot plot", qui devrait indiquer une trajectoire de hausse plus agressive. Ci-dessous nos attentes pour cette réunion :

    • Le FOMC va très probablement relever la fourchette cible des fonds fédéraux à 1,25 %-1,50 %, mais 75bps de hausse de taux ne sont pas à exclure étant donné les mouvements de marché des derniers jours.
    • Le Président Jerome Powell devrait réaffirmer une hausse de même ampleur pour juillet, et nous pensons qu'il en sera ainsi jusqu'à ce que le comité voie des preuves convaincantes d'un ralentissement de l'inflation. Dans l'éventualité d'une poursuite des surprises à la hausse sur le front de l'inflation, nous pensons que le président Powell n'exclura pas une augmentation de 75 pbs à l'avenir. 
    • Le « dot plot » pour cette année devrait montrer des révisions à la hausse à 2,875 % qui reflètent 50 pbs en juillet et septembre, suivis par des hausses de taux continues de 25 pbs jusqu'à la fin de l'année. Nous prévoyons trois hausses supplémentaires (25 pb) l'année prochaine pour atteindre 3,625 %. Pour 2024, nous nous attendons à ce que le point médian reste inchangé à 3,625%. Nous ne pensons pas que le point médian de 2024 montrera des baisses de taux malgré quelques participants prévoyant des baisses. Nous ne prévoyons pas de changement pour le taux terminal à 2,5 %.
    • Les nouvelles projections économiques devraient indiquer une croissance plus faible en 2022, de 2,8 % à 2,3 %. Nous nous attendons également à ce que les projections de croissance diminuent de 2,2% à 1,8% en 2023 et de 2,0% à 1,9% en 2024. Les chiffres d'inflation devraient être revue significativement à la hausse (dépenses de consommation personnelle, PCE) avec des projections passant de 4,3 % à 5,4 % en 2022 et de 2,7 % à 2,9 % en 2023. Nous ne prévoyons pas de révision du chiffre de l'inflation pour 2024.

    Le Président de la FED doit maintenir un discours agressif, surtout après les chiffres de l'inflation de la semaine dernière. Il devrait réaffirmer que la priorité numéro un de la FED est de ralentir l'inflation, et que celle-ci agira en conséquence, et plus vigoureusement si nécessaire. Cela devrait s’accompagner d’une courbe de taux toujours plus plate ; compte tenu de la situation actuelle, nous ne serions pas surpris de voir la courbe américaine s'inverser de manière significative dans les mois à venir. Les taux réels devraient eux continuer à se tendre pour refléter la volonté de la FED : des conditions financières moins accommodantes pour ralentir la demande.

    disclaimer
    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3112 Mon, 04 Jul 2022 09:59:03 +0200 Des marchés financiers sous très haute tension /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/des-marches-financiers-sous-tres-haute-tension-1/ La crise inflationniste que nous traversons change la structure même des équilibres financiers que nous avons connu depuis environ une vingtaine d’année. Cette hausse des prix a de multiples causes : crise du Covid, rupture des chaines d’approvisionnement, Guerre en Ukraine, manque d’investissement dans les énergies fossiles etc… avec des répercussions sur l’ensemble des actifs financiers. Conséquence directe de cette inflation, les banquiers centraux ont tous (ou presque tous) drastiquement changé de ton lors des derniers mois : 

    • États-Unis : la Fed a augmenté son taux directeur de 150 points de base. Elle a signalé vouloir continuer sa politique monétaire restrictive pour arriver à un taux directeur autour de 3-3.5%, tout en diminuant son bilan.
    • Europe : la BCE abandonne son programme d’achat d’actifs et a annoncé ses premières hausses de taux en juillet.
    • Suisse : la banque nationale a commencé à remonter ses taux et il est possible qu’elle soit rejointe dans peu de temps par la banque centrale japonaise qui ne se satisfait pas de la forte dépréciation du yen.

    Ce durcissement généralisé des politiques monétaire entraine logiquement des conditions financières moins accommodantes avec des taux réels en forte augmentation au cours des dernier mois (voir ci-contre taux réels à 10 ans Euro et US). 

    Depuis 2008 nous avons vécu avec un risque inflationniste proche de zéro et des banques centrales très accommodantes, ce qui a permis aux taux réels de baisser et de favoriser les valorisations de l’ensemble des actifs financiers (immobilier, crédit, actions, etc..). Cette tendance est maintenant derrière nous, et cela devrait rester le cas tant que l’inflation restera le problème principal des banquiers centraux.

    Une inflation en forte hausse, des prix de l’énergie au plus haut pour le consommateur et des conditions de crédit de plus en plus restrictive, tout cela a un impact négatif sur la croissance au sens large et plus particulièrement sur le consommateur. La consommation reste encore soutenue dans la plupart des économies développées, États-Unis en tête, grâce à l’épargne accumulée à la suite des différents plans de soutien, mais il est très probable qu’elle diminue graduellement dans les mois qui viennent. C’est d’ailleurs la volonté des banquiers centraux qui souhaitent que la demande s’effrite afin de freiner les pressions inflationnistes dont la source est pourtant principalement liée à des problématiques d’offre. Ce constat est surtout vrai en Europe avec une demande montrant déjà des signes tangibles de fort ralentissement. N’ayant aucun moyen d’agir sur l’offre, les banques centrales vont donc tenter d’atteindre un objectif difficile : ralentir l’économie sans pour autant provoquer une récession ; un équilibre historiquement difficile à atteindre. 

    Au vu de tous ces éléments, il nous semble très probable que les prévisions de croissance continuent à baisser à moyen terme, ce qui devrait entrainer une baisse des estimations de bénéfice des sociétés qui auront du mal à contrer un financement plus cher, des marges sous pression et une consommation dont l’élasticité prix devrait aller en s’accentuant. La baisse des actifs risqués reflète aujourd’hui le durcissement des conditions financières mais pas encore ces baisses de bénéfice, il nous semble donc trop tôt pour passer positifs sur les actifs crédit ou actions et ce malgré des baisses déjà prononcées. La baisse des pressions inflationnistes nous semble être la condition sine qua non pour que les marchés financiers se stabilisent, et il est aujourd’hui extrêmement difficile d’avoir une opinion éclairée à ce sujet étant donné les déterminants de cette inflation.

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    news-3110 Thu, 30 Jun 2022 12:36:00 +0200 La Francaise AM renforce son pole Gestion Diversifiée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-renforce-son-pole-gestion-diversifiee/ Paris, le 30 juin 2022 : La Française AM, partie intégrante du pilier Actifs Financiers (25,7 Mds d’euros en encours au 31/12/2021) du Groupe La Française, renforce son pôle de gestion diversifiée et annonce l’arrivée de Julien DAPSENS, en tant que Gérant Diversifié, sous la direction d’Odile CAMBLAIN-LE MOLLE, Responsable de la Gestion Diversifiée. Il a débuté sa carrière chez Edmond de Rothschild Asset Management à Londres, d’abord en tant que Responsable Appels d’Offres avant d’évoluer vers le poste d’Analyste / Gérant - matières premières. Fin 2016, Julien rejoint Platinium Gestion à Paris en tant que Gérant Multigestion et Gérant Patrimonial. 

    Julien DAPSENS est titulaire d’un Master 203 Finance de Marchés de l’Université Paris Dauphine.

    Odile CAMBLAIN-LE MOLLE, Responsable de la Gestion Diversifiée de La Française AM conclut, « L’expérience de Julien s’intègre très naturellement dans le pôle « diversifié » qui rassemble la gestion patrimoniale, la sélection de fonds et les cross asset. Sa connaissance profonde des sociétés de gestion européennes et internationales, et de leurs stratégies de gestion toutes classes d’actifs confondues, sera un atout pour l’équipe. »  
     

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    news-3109 Thu, 16 Jun 2022 18:31:00 +0200 La Francaise nomme le Dr Denisa ČUMOVA Head of Portfolio Management & Quantitative Research - Allemagne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-nomme-le-dr-denisa-cumova-head-of-portfolio-management-quantitative-research-allemagne/ La Française, groupe de gestion d'actifs avec 55 milliards d'euros d’encours (31/12/2021) et une présence à travers l’Europe et en Corée du Sud, a le plaisir d'annoncer le recrutement du Dr Denisa ČUMOVA au poste de Head of Portfolio Management & Quantitative Research, sous la direction de Dennis Jeske, Managing Director Portfolio Management de La Française Systematic Asset Management GmbH. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, le Dr ČUMOVA fera progresser les activités de gestion de portefeuille et de recherche, et continuera de développer les stratégies systématiques. 

    Dr ČUMOVA apporte à La Française dix-huit ans d’expérience dans la gestion de portefeuille. Elle a débuté sa carrière en 2004 avec Berenger en tant que Gérant Actions and Musti-Asset. En 2008, elle est promue Head of Total Return Management en charge des stratégies Total Return et de Volatilité. Puis, en 2017, Dr ČUMOVA est nommé Head of Quantitative Research pour Berenger Bank Wealth & Asset Management où elle est responsable du développement des stratégies de gestion des risques et de l’investissements systématique pour les investisseurs institutionnels. 

    Dr ČUMOVA est titulaire d’un Doctorat en Economie avec une concentration en Gestion d’Actifs de l’Université de technologie de Chemnitz.

    Dennis Jeske, Managing Director Portfolio Management de La Française Systematic Asset Management GmbH, a commenté : « Experte dans la recherche quantitative, le Dr Denisa ČUMOVA vient renforcer notre équipe de gestion de portefeuille en Allemagne et jouera un rôle central dans le développement de solutions de gestion des risques et des stratégies factorielles. »  
     

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    news-3105 Wed, 29 Jun 2022 10:00:00 +0200 La Francaise référence son offre assurantielle immobilière sur IZNES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-reference-son-offre-assurantielle-immobiliere-sur-iznes/ Paris, le 29 juin 2022 : La Française, groupe de gestion multi-expertise avec plus de 55 milliards d’euros d’encours (31/12/2021), rend accessible sur IZNES ses véhicules « immobiliers » (Sociétés Civiles de Portefeuille et Sociétés Civiles Immobilières), référencés en tant qu’unités de compte (UC) par les compagnies d’assurance parmi lesquelles Generali, groupe international d’assurance et de gestion d’actifs. IZNES est la place de marché pan-européenne d’investissement en parts de fonds sur la Blockchain. La Française offre ainsi à ses partenaires assureurs, la possibilité d’accéder à sa gamme de véhicules « immobiliers » tout en adoptant un nouveau parcours client simplifié. Toutes les opérations de souscription ou de rachat peuvent en effet être réalisées en temps réel. Les avantages de la solution IZNES pour les investisseurs institutionnels de La Française sont nombreux :

    • Accéder à une base produits complète, bénéficiant de l’ensemble des caractéristiques et documents concernant les fonds ;
    • Visualiser en temps réel les souscriptions et rachats, avec les heures de cut-off du prospectus ;
    • Accéder au registre inscrit en blockchain mis à jour en temps réel, garantissant immuabilité et traçabilité et offrant, par construction, une donnée de référence partagée par l’investisseur et la société de gestion

    Thierry Gortzounian, Chief Operating Officier de La Française AM Finance Services conclut « Accélérateur d’innovations et partie prenante depuis le lancement du projet en 2017, La Française poursuit sans relâche le déploiement de la solution IZNES sur sa gamme afin de servir au mieux ses clients. A fin juillet 2022, La Française vise plus d’une trentaine de véhicules disponibles sur la place de marché et œuvre d’ores et déjà pour le référencement d’un OPCI (Organisme de Placement Collectif en Immobilier). Nous offrons ainsi à nos partenaires assureurs un accès à des véhicules représentatifs de nos deux expertises que sont les actifs réels et les actifs financiers. A travers IZNES, les assureurs bénéficient d’un canal de souscription à parcours facilité et permettant de maitriser le risque opérationnel. » 

    IZNES est fière de la confiance renouvelée du Groupe La Française et se réjouit de l’adoption croissante d’IZNES par le marché. Christophe Lepitre confirme « notre solution permet aux investisseurs institutionnels et notamment aux assureurs en UC de souscrire de façon complètement automatisée et depuis le même carnet d’ordres, dans les fonds UCITS ou FIA domiciliés dans l’Union Européenne y compris dans les fonds d’actifs réels. Cela représente un atout majeur notamment pour la sécurisation des opérations ». 

    Pour Generali, pouvoir investir dans les fonds immobiliers de La Française via IZNES est non seulement un enjeu d’optimisation des processus mais également de valorisation des équipes par l’élimination des tâches sans valeur ajoutée. « Le développement de l’activité sur les fonds d’actifs réels renforce l’impérieux besoin d’éliminer les traitements manuels et papiers qui non seulement introduisent un risque opérationnel mais ne représentent aucun intérêt pour les équipes. Qui a encore envie aujourd’hui d’imprimer un bulletin de souscription, de le remplir, de le signer… ? IZNES permet d’instruire directement les opérations de souscription depuis notre carnet d’ordres jusqu’au registre du fonds sur la blockchain. Les éléments de confirmation et de position alimentent en retour automatiquement nos outils comptables. Sécurité, rapidité, digitalisation et innovation, tout y est ! La blockchain devient le modèle opérationnel privilégié pour ce type d’actifs distribué en unités de compte » rappelle Rémi Cuinat, Directeur des actifs en unités de compte chez Generali France.

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    news-3104 Tue, 28 Jun 2022 10:50:21 +0200 Des marchés financiers sous très haute tension /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/des-marches-financiers-sous-tres-haute-tension/ La crise inflationniste que nous traversons change la structure même des équilibres financiers que nous avons connu depuis environ une vingtaine d’année. Cette hausse des prix a de multiples causes : crise du Covid, rupture des chaines d’approvisionnement, Guerre en Ukraine, manque d’investissement dans les énergies fossiles etc… avec des répercussions sur l’ensemble des actifs financiers. La crise inflationniste que nous traversons change la structure même des équilibres financiers que nous avons connu depuis environ une vingtaine d’année. Cette hausse des prix a de multiples causes : crise du Covid, rupture des chaines d’approvisionnement, Guerre en Ukraine, manque d’investissement dans les énergies fossiles etc… avec des répercussions sur l’ensemble des actifs financiers.

    Conséquence directe de cette inflation, les banquiers centraux ont tous (ou presque tous) drastiquement changé de ton lors des derniers mois : 

    • États-Unis : la Fed a augmenté son taux directeur de 150 points de base. Elle a signalé vouloir continuer sa politique monétaire restrictive pour arriver à un taux directeur autour de 3-3.5%, tout en diminuant son bilan.
    • Europe : la BCE abandonne son programme d’achat d’actifs et a annoncé ses premières hausses de taux en juillet.
    • Suisse : la banque nationale a commencé à remonter ses taux et il est possible qu’elle soit rejointe dans peu de temps par la banque centrale japonaise qui ne se satisfait pas de la forte dépréciation du yen.

    Ce durcissement généralisé des politiques monétaire entraine logiquement des conditions financières moins accommodantes avec des taux réels en forte augmentation au cours des dernier mois (voir ci-contre taux réels à 10 ans Euro et US). 
     
    Depuis 2008 nous avons vécu avec un risque inflationniste proche de zéro et des banques centrales très accommodantes, ce qui a permis aux taux réels de baisser et de favoriser les valorisations de l’ensemble des actifs financiers (immobilier, crédit, actions, etc..). Cette tendance est maintenant derrière nous, et cela devrait rester le cas tant que l’inflation restera le problème principal des banquiers centraux.

    Une inflation en forte hausse, des prix de l’énergie au plus haut pour le consommateur et des conditions de crédit de plus en plus restrictive, tout cela a un impact négatif sur la croissance au sens large et plus particulièrement sur le consommateur. La consommation reste encore soutenue dans la plupart des économies développées, États-Unis en tête, grâce à l’épargne accumulée à la suite des différents plans de soutien, mais il est très probable qu’elle diminue graduellement dans les mois qui viennent. C’est d’ailleurs la volonté des banquiers centraux qui souhaitent que la demande s’effrite afin de freiner les pressions inflationnistes dont la source est pourtant principalement liée à des problématiques d’offre. Ce constat est surtout vrai en Europe avec une demande montrant déjà des signes tangibles de fort ralentissement. N’ayant aucun moyen d’agir sur l’offre, les banques centrales vont donc tenter d’atteindre un objectif difficile : ralentir l’économie sans pour autant provoquer une récession ; un équilibre historiquement difficile à atteindre. 

    Au vu de tous ces éléments, il nous semble très probable que les prévisions de croissance continuent à baisser à moyen terme, ce qui devrait entrainer une baisse des estimations de bénéfice des sociétés qui auront du mal à contrer un financement plus cher, des marges sous pression et une consommation dont l’élasticité prix devrait aller en s’accentuant. La baisse des actifs risqués reflète aujourd’hui le durcissement des conditions financières mais pas encore ces baisses de bénéfice, il nous semble donc trop tôt pour passer positifs sur les actifs crédit ou actions et ce malgré des baisses déjà prononcées. La baisse des pressions inflationnistes nous semble être la condition sine qua non pour que les marchés financiers se stabilisent, et il est aujourd’hui extrêmement difficile d’avoir une opinion éclairée à ce sujet étant donné les déterminants de cette inflation.
     

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    news-3100 Tue, 28 Jun 2022 10:26:00 +0200 Avis aux actionnaires du compartiment multistrategies obligataires /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires/ Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente que la politique d’investissement du Compartiment a été mise à jour afin de préciser que l’exposition aux actions peut également être obtenue par le biais d’obligations CoCo et que les swaps sur défaut de crédit (credit default swaps) du Compartiment peuvent investir dans des swaps individuels (« single name ») et indiciels. La politique d’investissement sera ainsi libellée de la façon suivante : 
    « (...) Le compartiment peut investir dans les placements suivants, ou y être exposé jusqu’à 
    hauteur du pourcentage de l’actif net indiqué : 

    • obligations convertibles : 100 % 
    • actifs dans des pays hors OCDE : 25 % 
    • liquidités et instruments assimilés à des liquidités : 20 %. Ceux-ci peuvent inclure des OPC monétaires ou des OPC dont l’échéance pondérée globale de l’investissement ou la fréquence de révision des taux d’intérêt ne dépasse pas douze mois 
    • obligations CoCo (contingent convertible bonds) : 20 % 
    • titres adossés à des hypothèques ou à des actifs : 20 % 
    • autres OPCVM/OPC : 10 % 
    • actions (par le biais d’une exposition aux obligations convertibles et aux obligations CoCo) : 5 % »
       
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    news-3094 Tue, 28 Jun 2022 10:11:00 +0200 Avis aux actionnaires du compartiment Inflection Point Carbon Impact Euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-inflection-point-carbon-impact-euro/ Le conseil d’administration de la Société (le «Conseil») vous informe par la présente de la clarification de la politique d’investissement du Compartiment afin de (i) décrire comment l’univers d’investissement initial est construit lors de l’application du filtre ESG et de (ii) insérer directement dans l’annexe du compartiment la description des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) appliqués par le gestionnaire d’investissement du Compartiment et divulgués précédemment dans la partie générale du prospectus et donc à libeller comme suit : 

    « (...) Le compartiment peut investir dans les placements suivants, ou y être exposé jusqu’à hauteur du pourcentage de l’actif net indiqué : 

    • actions de la zone euro (incluant l’exposition aux instruments dérivés) : 85 % à 105 % 
    • actions de n’importe quelle région du monde, y compris les marchés émergents : 10 % 
    • obligations notées investment grade : 10 % 
    • autres OPCVM/OPC : 10 % 

    Le compartiment a des objectifs spécifiques en matière d’investissement durable (SFDR Article 9). La société de gestion s’appuie sur l’analyse du centre de recherche « La Française Sustainable Investment Research » (le « Centre de Recherche ») de l’entité « La Française Group UK Limited » spécialisée dans la détermination des critères d’investissement responsable. Il est précisé qu’il existe un risque de conflits d’intérêts quant à la fourniture des notes ESG par le Centre de Recherche. 

    Le processus d’investissement est basé sur l’intégration avec un engagement important dans la gestion et la thématique. 
    Les univers d’investissement initiaux sont construits à partir d’Eurostoxx TMI (Total Market Index). La possibilité de sélectionner des titres en dehors de l’univers d'investissement initial est limitée à 10 %. 

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    news-3087 Fri, 24 Jun 2022 17:52:59 +0200 Avis aux actionnaires du compartiment inflection point carbon impact global /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-inflection-point-carbon-impact-global/ Le Conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter aux caractéristiques du Compartiment 1) Changement de l’objectif d’investissement 
     

    L’objectif d’investissement du Compartiment sera modifié afin d’ajouter un objectif de surperformance de l’indice de référence MSCI All Country World (MSCI ACWI Daily Net Total Return) à l’objectif d’investissement actuel. À compter du 20 juillet 2022, l’objectif d’investissement sera libellé comme suit :
    Objectif Contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme. Plus précisément, le compartiment cherche à surperformer (net de frais) l’indice de référence MSCI All Country World (MSCI ACWI Daily Net Total Return) sur une période minimum donnée de 5 ans. 

    Indice de référence 

    • Actions libellées en EUR : MSCI AC World Daily Net Total Return en EUR (NDEEWNR) 
    • Actions libellées en USD : MSCI AC World Daily Net Total Return en USD (M1WD) 

    Le compartiment est géré de manière active et discrétionnaire. L’indice permet de définir l’univers d'investissement éligible dans un objectif de réduction de l’empreinte carbone. La stratégie de gestion consiste à suivre l’écart de niveau de risque du portefeuille par rapport à celui de l’indice. Un écart modéré par rapport au niveau de risque de l’indice de référence est prévu. » 


    2) Clarification de la stratégie et de la politique d’investissement 
     

    La politique d’investissement du Compartiment sera clarifiée afin de (i) décrire comment l’univers d’investissement initial est construit lors de l’application du filtre ESG et de (ii) insérer directement dans l’annexe du compartiment la description des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) appliqués par le gestionnaire d’investissement du Compartiment et divulgués précédemment dans la partie générale du prospectus et donc à libeller comme suit..

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    news-3078 Fri, 24 Jun 2022 14:06:53 +0200 Avis aux actionnaires du compartiment JKC Asia Bond 2023 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-jkc-asia-bond-2023/ Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter aux caractéristiques du Compartiment 1) Modification de l’objectif d’investissement et autres modifications connexes 
     

    L’objectif d’investissement du Compartiment sera modifié afin de refléter l’extension de la date d’échéance de son investissement. À compter du 20 juillet 2022 (la « Dated’entrée en vigueur »), l’objectif d'investissement sera libellé comme suit : 


    « Objectif Générer un revenu élevé sur une période d’investissement jusqu’au 31 décembre 2025 ». 

    En conséquence de ce changement, la dénomination du Compartiment sera modifiée en JKC Asia Bond 2025, la période de souscription a été prolongée jusqu’au 30 avril 2024 et la date limite jusqu’à laquelle certains investissements seront évalués à l’aide du cours vendeur a été prolongée jusqu’au 30 avril 2024. 

    2) Changement de la politique d’investissement 
     

    La politique d’investissement du Compartiment sera modifiée afin de (i) prévoir des investissements en obligations dont l’échéance estimée est décembre 2025 au plus tard et/ou en obligations avec une échéance plus longue, mais qui ont une option d’achat avant le 31 décembre 2025, (ii) prévoir l’augmentation de l’exposition aux actions de 10 % à 20 %, (iii) prévoir une exposition aux devises NOK et SEK et (iv) prévoir la possibilité d’investir dans des swaps sur défaut de crédit (credit default swaps) indiciels. 

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    news-3074 Fri, 24 Jun 2022 12:07:30 +0200 Avis aux actionnaires du compartiment Carbon Impact Income /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-carbon-impact-income/ Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des mises à jour suivantes à apporter aux caractéristiques du Compartiment 1) Mise à jour de la politique et de la stratégie d’investissement 

    La politique d’investissement du Compartiment sera mise à jour afin de (i) préciser que la société de gestion s’appuiera sur l’analyse du centre de recherche « La Française Sustainable Investment Research » de l’entité « La Française Group UK Limited » en ce qui concerne la détermination des critères ESG et de (ii) refléter l’augmentation du taux d’exposition nette (après couverture) aux devises autres que l’euro de 10 % à 50 % à compter du 20 juillet 2022 (la «Date d’entrée en vigueur»). 

    À compter de la Date d’entrée en vigueur, la politique d’investissement sera donc libellée de la façon suivante: 
    Le compartiment investit dans des obligations d’État et d’entreprises, dans des actions des pays de l’OCDE et/ou sur les marchés émergents. 
    Plus précisément, le compartiment peut investir dans des actions, dans des titres de créance à taux variable ou fixe, ainsi que dans des instruments du marché monétaire. Le compartiment peut investir jusqu’à 100 % dans des titres à revenu fixe dotés d’une notation inférieure à BBB- selon Standard & Poor’s ou considérés de manière équivalente par le gestionnaire d’investissement au moment de l’achat ou dans des obligations non notées. Le compartiment peut investir dans des obligations durables (telles que des obligations vertes et des obligations sociales) et des obligations liées à la durabilité. 

    Le compartiment peut investir dans les placements suivants, ou y être exposé jusqu’à hauteur du pourcentage de l’actif net indiqué : 

    • obligations et instruments du marché monétaire : 100 %, dont obligations d’État : 50 % 
    • obligations d’État et d'entreprises émises dans des pays non membres de l’OCDE : 70 % 
    • actions : 50 % 
    • obligations CoCo (contingent convertible bonds) : 10 % 
    • obligations convertibles : 10 % 
    • autres OPCVM/OPC : 10 %, y compris des OPC monétaires ou des OPC dont l’échéance pondérée globale ou la fréquence de révision des taux d’intérêt ne dépasse pas 12 mois 
    • sociétés de placement immobilier (REIT) qualifiées de valeurs mobilières au sens de la Loi de 2010 et des réglementations connexes, actions immobilières privilégiées cotées et titres de créance immobiliers, ainsi que 
    • titres assimilés à des actions de sociétés d’exploitation immobilière : 10 %
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    news-3073 Fri, 24 Jun 2022 12:04:49 +0200 Collectivement, contribuer davantage /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/collectivement-contribuer-davantage/ Par Marie Lassegnore, Head of Sustainable Investments, La Française AM La Journée mondiale de l'environnement est née il y a 50 ans et repose sur la conviction que, collectivement, nous pouvons et devons protéger l'environnement dont nous dépendons étroitement. Pour ce faire, des mesures doivent être prises. Collectivement, les actions individuelles peuvent donner lieu à une transformation structurelle profonde de la façon dont notre société produit et consomme, et donc de la façon dont nous utilisons les ressources naturelles : l'air, la terre et l'eau.

    Les grandes entreprises sont profondément encouragées à intensifier leurs efforts, mais l'action individuelle et les changements de comportement des consommateurs sont les clés d'une transition réussie, ordonnée et juste.

    En tant que gestionnaires d'actifs, nous avons un double rôle à jouer : proposer aux investisseurs des produits qui orientent les flux financiers vers des entreprises actives dans la réduction de leurs émissions de carbone et des effets néfastes sur la biodiversité (entre autres), mais aussi utiliser le pouvoir collectif indirect de nos clients pour dialoguer avec les entreprises, les gouvernements et les régulateurs sur des sujets tels que la préservation de l'environnement.

    L'élaboration du règlement européen sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (SFDR) vise à clarifier l'objectif durable des fonds d'investissement, permettant à chaque investisseur de différencier les stratégies adoptées et de cibler spécifiquement les objectifs durables qu'il/elle veut atteindre à travers son portefeuille d'investissement. Nous sommes encore loin d'un niveau d'information totalement comparable entre les gestionnaires d'actifs, mais le renforcement de la surveillance réglementaire devrait normaliser le paysage des produits d'investissement durable dans les mois/années à venir. De plus, à partir de 2024, les grandes entreprises seront tenues de rendre compte de leurs activités à impact environnemental et social sur l'année 2023, en application de la directive sur le reporting des entreprises en matière de durabilité (CSRD). Cette initiative apportera une plus grande transparence et contribuera à la comparabilité de la performance extra-financière des entreprises.

    Notre secteur pourrait mener la course contre le réchauffement climatique et contre la montée des inégalités sociales plus rapidement, mais il ne peut le faire seul et a besoin du soutien de ses investisseurs, sans lesquels il perdrait toute capacité à promouvoir le changement. Nous suggérons aux investisseurs, quel que soit leur profil, de tenir compte des externalités positives et négatives de toute décision d'investissement. Pour cela, les gestionnaires d'actifs doivent donner aux investisseurs les outils pour quantifier ces externalités afin que toute décision d'investissement dépasse le simple profil rendement/risque et tienne compte des répercussions positives ou négatives connues des investissements sur les facteurs sociaux et environnementaux.

    Nous avons choisi de répondre à cet objectif en développant une approche d'investissement liée à la transition climatique, incluant des processus de sélection spécifiques, en fonction de la classe d'actifs concernée, à savoir les emprunts d'État, le crédit aux entreprises, les actions et les actifs croisés. Ayant développé cette approche bien avant les nouvelles réglementations, nous avions déjà établi un standard élevé en « quantifiant » l'impact de réduction des émissions que nous visions (entre 30 % et 50 % de réduction de l'intensité carbone et/ou de l'empreinte par rapport à des références de marché comparables). 

    Nous avons une obligation fiduciaire envers nos clients d'intégrer tous les facteurs de risque pertinents dans notre processus d'investissement. Les risques environnementaux et sociaux croissants sont désormais intégrés au-delà de la simple prise de conscience de leurs horizons temporels plus longs (par rapport aux rendements financiers potentiels à court terme). La procuration par laquelle les droits de vote de nos clients nous sont délégués nous permet de faire peser nos recommandations et nos votes de manière importante, si l'on considère l'ensemble de nos actifs sous gestion. Cette capacité d'influence va au-delà de nos positions en actions et s'étend à nos positions en obligations de sociétés privées, dont nous pouvons représenter une part importante de leur financement sur les marchés. 

    C'est grâce aux initiatives et à la collaboration du secteur financier que nous avons le plus de pouvoir. Les gestionnaires d'actifs peuvent devenir des participants actifs aux initiatives d'engagement collaboratif et adapter les actions à des thèmes spécifiques. À titre d'illustration, citons deux initiatives sectorielles auxquelles La Française a participé.

    Nous avons participé à la campagne de non-divulgation du Carbon Disclosure Project (CDP) pour la troisième année consécutive en 2021, appelant les entreprises à fort impact à utiliser les questionnaires du CDP pour communiquer des informations sur le changement climatique. Le CDP fournit au secteur financier la compilation la plus complète au monde de données environnementales autodéclarées par les entreprises, de manière uniforme et comparable, et qui est nécessaire dans le cadre de l’application des recommandations de la Task Force on Climate-Related Financial Disclosures (groupe de travail sur la publication d'informations financières relatives au climat, TCFD). Nous considérons de plus en plus que le reporting CDP constitue une exigence minimale pour toute entreprise qui souhaite démontrer son engagement à mesurer et à gérer son impact lié au climat. 

    Selon le CDP, la campagne NDC 2021 (Non-Disclosure Campaign) a vu une augmentation de 56 % du nombre d'institutions financières s'inscrivant à la campagne par rapport à 2020, conduisant à un total de 168 institutions financières, représentant plus de 17 000 milliards d'USD d'actifs sous gestion. Cette année, la campagne ciblait 1 317 entreprises distinctes représentant plus de 29 000 milliards d'USD de capitalisation boursière et plus de 4,9 milliards de tCO2e d’émissions de scopes 1 et 2 combinées. Le taux de divulgation des entreprises ciblées par les participants est passé de 21 % lors de la campagne de l'an dernier à 25 % cette année.

    Nous faisons également partie de l'initiative Climate Action 100+, lancée en décembre 2017 et qui est la plus grande initiative d'engagement des investisseurs à l'égard du changement climatique (68 000 milliards d'USD d'actifs sous gestion à travers 700 signataires) qui coordonne l'engagement avec 167 des plus grands émetteurs d'entreprise cotés au monde. Grâce aux référentiels d'entreprise net zéro, nous pouvons mesurer les progrès des entreprises en matière de réduction des émissions de carbone, de gouvernance et de divulgation. 

    Au cours de la dernière décennie, nous avons soutenu divers groupes et organisations multilatéraux dans le développement et l'amélioration de méthodologies, la mise en œuvre de nouvelles règles et la sensibilisation accrue aux activités liées à l'investissement durable. Par exemple, nous avons fait partie du groupe de travail de l'initiative relative aux objectifs de réduction des émissions de CO2 fondés sur des données scientifiques (SBTi) afin de développer des conseils pour les investisseurs institutionnels et tester la méthodologie. Nous avons également fait partie des PRI EU Taxonomy Practitioners Groups - Étude de cas pour tester la mise en œuvre de la taxonomie de l'UE pour les activités durables.

    Cet état d'esprit collaboratif est relativement récent dans un secteur historiquement mené par la maximisation des rendements financiers dans un marché hautement concurrentiel. Ce changement de mentalité prouve qu'un nombre toujours croissant de gestionnaires d'actifs souhaitent participer au façonnement de la finance durable au cours de la décennie à venir. Cependant, la COP26 a souligné le déficit de financement criant pour atteindre les objectifs de développement durable, estimé à environ 100 milliards d'USD par an à partir de 2020, lors des Accords de Paris. Nous avons besoin de davantage de flux de capitaux orientés vers l'atténuation et l'adaptation au changement climatique. Cela peut, encore une fois, être encouragé par une évolution plus rapide des préférences des clients des services bancaires et de gestion d'actifs en mettant clairement en évidence cet aspect comme étant fondamental dans la prise de décision finale.

    La principale conclusion de la Journée mondiale de l'environnement est que nous ne pouvons pas continuer à attendre que les solutions à la dégradation de l'environnement viennent des autres. Nous devons assumer individuellement la responsabilité de nos actes et de nos choix.
     

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    news-3071 Tue, 21 Jun 2022 09:48:24 +0200 La Francaise AM nomme Marie Lassegnore, CFA Head of Sustainable Investments /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-nomme-marie-lassegnore-cfa-head-of-sustainable-investments/ La Française développe son modèle multi-expertise sur une promesse forte : « il n’y a pas de solution d’investissement rentable sans dimension durable ». Aujourd’hui, la société de gestion La Française AM renforce son engagement ESG (Environnemental, Social et de Gouvernance) et annonce la nomination de Marie LASSEGNORE en tant que Head of Sustainable Investments. Marie LASSEGNORE a rejoint La Française AM en 2018 pour décliner la stratégie « transition climat » sur l’expertise crédit et a participé activement au développement de la méthodologie propriétaire « Low Carbon Trajectory ». Désormais, en qualité de Head of Sustainable Investments, elle coordonnera l’ensemble des initiatives ESG de la société de gestion, toutes classes d’actifs confondues et aura la responsabilité de l’équipe de recherche fondamentale extra financière. Convaincu que durabilité est synonyme de performance dans la durée, tout l’enjeu, pour la société de gestion, consiste à assurer l’intégration transparente de la recherche au cœur des équipes de gestion pour développer des analyses pertinentes, génératrices d’alpha. C’est dans cet objectif que La Française AM confie à Marie Lassegnore ces nouvelles missions. Marie LASSEGNORE opérera sous la direction de Jean-Luc HIVERT, Président de La Française AM.

    Marie LASSEGNORE a débuté sa carrière en 2012 au Crédit Mutuel CIC AM en tant qu’analyste quantitatif de fonds de fonds. En 2013, elle rejoint Aberdeen Asset Management à Londres. Elle y occupe le poste d’analyste obligataire pendant près de deux années avant de devenir analyste de portefeuille au sein de l’équipe crédit global. Elle y développe les stratégies « low carbon » et devient une référence en matière de recherche sur les Green et Sustainability Linked Bonds. Marie rejoint La Française AM en septembre 2018 en tant que Gérant de portefeuille crédit.
    Marie est titulaire d’une licence de mathématiques appliquées aux sciences sociales de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et d’un master en Management de l’EM Lyon Business School. Elle est également titulaire du CFA et de l’IMC (Investment Management Certificate).

    Marie LASSEGNORE, Head of Sustainable Investments, La Française AM a commenté, « Pour maintenir notre avantage compétitif en matière de gestion durable, tout l’enjeu consiste à infuser en continu la recherche extra-financière dans les process de gestion afin que ces critères gagnent de plus en plus d'influence dans la sélection finale des valeurs. Cette intégration de la division recherche au sein du pôle d’investissement a pour objectif de nourrir nos approches, de développer l’interconnexion des compétences en matière d’investissement dans l’intérêt de nos investisseurs et d’assoir notre position en tant qu’acteur engagé. » 

    Jean-Luc HIVERT, Président de La Française AM a conclu, « La création d’alpha dépend de l’intégration prospective des critères ESG dans la valorisation de nos actifs. Le rôle de Marie sera clef dans ce dispositif car elle assurera la transition vers une gestion plus holistique. »

    Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing, poursuit ses missions pour le compte du Groupe La Française, visant la promotion des initiatives autour de l’investissement durable.
     

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    news-3070 Mon, 13 Jun 2022 14:58:22 +0200 La Francaise renforce son équipe de développement dédiée à la distribution externe (France) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-de-developpement-dediee-a-la-distribution-externe-france/ La Française, groupe de gestion multi-expertises avec plus de 55 milliards d’euros sous gestion (au 31/12/2021), renforce son équipe de développement dédiée à la Distribution Externe (France) et annonce l’arrivée de Caroline BERNARD en tant que Responsable Relations Plateformes - France, sous la direction de Maryline PETITJEAN, Directrice Commerciale Comptes Stratégiques - France. Caroline BERNARD apporte à La Française une solide expérience de vingt-cinq ans dans la distribution de fonds et la gestion d’actifs. En 1995, elle débute en salle de marchés avec NM Rothschild & Sons à Paris puis à Londres avant d’entreprendre une carrière de près de treize ans avec la plateforme de distribution de Rothschild, Sélection R. En qualité de Directeur du Développement, Caroline était notamment responsable des relations avec les CGPI, les sociétés de gestion et les compagnies d’assurances. Par la suite, elle est nommée Directeur Général Adjoint de la plateforme Sélection 1818 (filiale de Rothschild & Cie et de la Banque Privée 1818). Trois ans après, Caroline rejoint la Banque Martin Maurel en tant qu’Adjointe du Directeur du Développement Institutionnel de Martin Maurel Gestion. Elle y acquiert une solide expérience en immobilier coté. Ensuite, Caroline occupe le poste de Sales chez Rothschild & Co AM Europe.

    Caroline Bernard est titulaire d’un DESS en Banque, Finance et Négoce International de l’Université de Bordeaux et d’un DU en Gestion du Patrimoine de l’AUREP.


    Maryline PETITJEAN, Directrice Commerciale Comptes Stratégiques - France conclut, « Caroline apporte à La Française une solide connaissance des rouages des plateformes de distribution et de la gestion d’actifs. Son parcours professionnel, ponctué en 2022 par un diplôme de l’ESCP spécialisé dans le digital, illustre parfaitement son engagement et sa volonté d’appréhender l’ensemble des facettes de la distribution. Caroline sera pour La Française et nos partenaires un atout de choix. »  

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    news-3068 Fri, 10 Jun 2022 09:40:17 +0200 Les principales incidences négatives relever les défis de la finance verte /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-principales-incidences-negatives-relever-les-defis-de-la-finance-verte/ Dans une de nos précédentes newsletters, nous avons expliqué comment l'Union Européenne mettait progressivement en œuvre la réglementation SFDR. Cette dernière vise à fournir une plus grande transparence sur le degré de durabilité des produits financiers afin de guider les investissements privés vers des investissements durables. Au sein de cette réglementation, les « principales incidences négatives » (ou PAI : Principal Adverse Impact en anglais) visent à mesurer et éviter les éventuels impacts négatifs d’un investissement. QUE DÉSIGNENT LES PAI ? 

    Les Principales Incidences Négatives (PAI) ont été définies par l'UE comme "des effets négatifs, importants ou susceptibles d'être importants sur les facteurs de durabilité qui sont causés, aggravés par ou directement liés aux décisions d'investissement et aux conseils fournis par l'entité juridique". En résumé, les PAI sont donc les conséquences négatives des décisions d’investissement sur l’Environnent, le Social ou la Gouvernance (ESG).

    Les PAI constituent une déclinaison pratique  du principe "Do No Significant Harm" (DNSH). Ils visent à éviter les effets négatifs significatifs sur les objectifs environnementaux de la Taxonomie, comme ceux des investissements durables de la réglementation SFDR.

    Ces facteurs de durabilité sont principalement, à ce stade, axés sur le climat et plus largement sur les questions environnementales mais sans omettre pour autant la dimension sociale : droits des salariés et de l'homme ou lutte contre la corruption. 
    Depuis mars 2021, les acteurs des marchés financiers, sont tenus de fournir une déclaration dans le cadre d'une information narrative sur la manière dont ils vont intégrer les PAI dans leur processus d'investissement. À partir de juin 2023, ils seront également tenus d'établir un rapport sur les principaux indicateurs d’incidences négatives.

    QUELS SONT LES INDICATEURS ?

    Les PAI sont un ensemble de mesures dont les acteurs des marchés financiers sont tenus de rendre compte au niveau de l'entité de gestion pour l'ensemble de ses investissements, ainsi qu'au niveau des fonds lorsqu'ils sont soumis aux PAI. Il y a 16 indicateurs obligatoires au total : 14 sont applicables aux entreprises, dont 2 spécifiques aux actifs souverains et supranationaux et 2 derniers sont spécifiques aux actifs immobiliers. En plus de ces indicateurs obligatoires, les acteurs du marché doivent opter pour deux indicateurs facultatifs.

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    news-3067 Wed, 08 Jun 2022 16:22:18 +0200 Face à une inflation historique, la BCE n’a pas d’autre choix que d’agir /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/face-a-une-inflation-historique-la-bce-na-pas-dautre-choix-que-dagir/ La Banque centrale européenne (BCE) tiendra sa conférence de presse le 9 juin. Mme Christine Lagarde, présidente de la BCE, a établi un consensus en faveur d'une approche graduelle concernant la normalisation de la politique monétaire. La Commission mettra à jour ses projections macroéconomiques dans un contexte de pressions inflationnistes très importantes couplées à une détérioration des perspectives de la croissance. Nos principales anticipations : 

    • Comme annoncé au préalable par Christine Lagarde, en raison de l'intensification des pressions inflationnistes, la BCE devrait annoncer la fin du programme d'achat d'actifs (APP) lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de juin et une première remontée du taux de la facilité du taux de dépôt (-0,50 %) lors de sa réunion de juillet. Les trois conditions pour une hausse des taux sont donc réunies. Il est également prévu que Mme Lagarde annonce à l'avance la sortie des taux négatifs d'ici septembre.
    • La présidente de la BCE devrait souligner que le rythme du resserrement de la politique monétaire dépendra de l’évolution des indicateurs économiques tels que la demande intérieure, l'inflation sous-jacente et les conditions financières. Mme Lagarde ne devrait pas exclure une hausse potentielle de 50 points de base en juillet ou en septembre en raison d’un possible désencrage des anticipations d’inflation. De la même façon, elle pourrait signaler la possibilité de monter les taux directeurs au-delà du taux neutre (1-2%)
    • Christine Lagarde réaffirmera très probablement que la diminution du bilan de la BCE est prématurée. La hausse des taux d'intérêt reste le principal outil de politique monétaire à ce stade. Mais nous pensons que la réduction de la taille du bilan ourrait être un sujet de débat à l'avenir, notamment après l'annonce du remboursement du TLTRO (opérations ciblées de refinancement à plus long terme) à la mi-juin.
    • Enfin, la présidente de la BCE devrait réaffirmer que la banque centrale pourrait agir rapidement pour déployer de nouveaux instruments afin de prévenir la fragmentation du marché qui pourrait être déclenchée par un resserrement de la politique monétaire. Cependant, les spreads actuels ne justifient pas encore une annonce. Nous ne pensons pas que le Conseil des gouverneurs lancera un nouveau programme d'achat d'obligations sans stérilisation. Le président Lagarde soulignera l'importance de la flexibilité au fur et à mesure de la normalisation.
    • Sur le plan économique, nous prévoyons que les projections d'inflation de la BCE seront révisées nettement à la hausse en 2022 (de 5,1 % à 6,9 %) et en 2023 (de 2,1 % à 3 %). L'inflation diminuerait alors vers l'objectif de 2 % à la fin de l'horizon de prévision, mais avec un niveau d'incertitude élevé. En ce qui concerne la croissance, les projections devraient indiquer des chiffres plus faibles en 2022 (de 3,7 % à 2,8 %) et en 2023 (de 2,8 % à 2.2 %). Une récession technique dans les prochains trimestres n'est pas à exclure. Pour 2024, la révision à la hausse sera marginale, de 1,6% à 1,7%.

     
    En résumé, l’enjeu pour la BCE est dorénavant de maintenir la crédibilité de son objectif en matière d’inflation dans un contexte inflationniste déjà élevé. Bien que les annonces du Conseil des gouverneurs à venir ne soient pas une surprise étant donné la communication proactive de la BCE, nous pensons que les risques sont du côté des « faucons », avec la possibilité de hausses de taux de 50 bps lors des prochaines réunions, la poussée des taux en territoire restrictif et les premières discussions autour du resserrement quantitatif.  Par conséquent, nous prévoyons un certain aplatissement de la courbe des swaps en euros.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3060 Tue, 31 May 2022 09:35:00 +0200 La Gazette Du Grand Paris – Episode 2 https://www.youtube.com/watch?v=XjbWpC5mS_k Comment améliorer la qualité de vie des Franciliens en leur offrant plus d’espace et de verdure ? news-3059 Tue, 07 Jun 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux à Marcq-en-Barœul (59) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-marcq-en-baroeul-59/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Polygone, un immeuble de bureaux dans le parc d’activités de la Pilaterie au 299 rue du Général de Gaulle à Marcq-en-Barœul. Situé proche du métro "Les Près", l’immeuble de 4 700 m² élevé en R+3, offre des espaces de bureaux et des laboratoires, ainsi que de nombreuses terrasses et espaces verts, contribuant au bien-être des utilisateurs. L’immeuble, à l'architecture soignée, est labellisé EFFINERGIE+.

    L’immeuble est loué, dans le cadre d’un bail de 12 ans fermes, à BUREAU VERITAS EXPLOITATION pour son siège Hauts-de-France. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1. 

    Pour cette opération, La Française REM et Polygone étaient conseillés par Arrow Lille. Christel Audebert de l’Etude les Notaires du Trocadéro a conseillé La Française REM. Polygone a été conseillé par Benoît Coquet et Ahmed Halitim de Fontaine Roussel & Associés – Groupe Monassier.
     

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    news-3058 Thu, 02 Jun 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) signe un bail pour 3 400 m2 avec IWG à Paris (6e) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-signe-un-bail-pour-3-400-m2-avec-iwg-a-paris-6e/ La Française REM, agissant pour le compte de l’ERAFP (Etablissement de Retraite additionnelle de la Fonction publique), annonce la signature d’un bail de 9 ans fermes avec IWG pour la totalité de l’immeuble qu’elle gère sis 73 rue de Vaugirard, à Paris 6e. IWG, leader mondial des espaces de travail flexibles, implantera un centre d’affaires sous la marque HQ sur 3 400 m2. L’ouverture du centre est prévue à l’automne 2022.

    L’immeuble, acquis en 2016, est en cours de restructuration et de remise aux normes. Il disposera d’un CVC (chauffage, ventilation, climatisation) complet et d’un capacitaire en hausse. Par ailleurs et dans le cadre de sa démarche environnementale, La Française REM anticipe les obligations du « dispositif éco-énergique tertiaire » avec notamment le renforcement de l’isolation thermique du bâtiment.

    « Nous nous réjouissons de cette signature qui récompense nos efforts de repositionnement de cet immeuble. Nous sommes heureux d’accompagner IWG dans son développement et de lui livrer un ouvrage adapté à ses besoins » indique David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel.
     

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    news-3057 Tue, 31 May 2022 09:00:00 +0200 LF AVENIR SANTE acquiert son premier actif de santé en Irlande /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-avenir-sante-acquiert-son-premier-actif-de-sante-en-irlande/ Paris, le 31 mai 2022 : La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la SCPI thématique LF AVENIR SANTE, finalise l’acquisition de son premier actif de santé en Irlande. Situé dans une banlieue aisée du sud de Dublin, le bâtiment, réparti sur trois niveaux, dispose d’environ 1.800 m2 rénovés à usage médical, de 57 emplacements de parking, d’un local à vélos et d’espaces verts. L’actif bénéficie du « Building Energy Rating » B3, est équipé en éclairage LED et est approvisionné en électricité renouvelable. 

    Ballintaggart House profite d'un emplacement de choix à Clonskeagh, à seulement 5 km du centre-ville et 10 minutes en voiture de la M50, juste en face de l'University College Dublin. En outre, l’ensemble immobilier se trouve dans une zone principalement résidentielle, à proximité de plusieurs parcs de bureaux, notamment : Richview Office Park, Beech Hill et Belfield Office Park. 

    L'immeuble est loué, dans le cadre d’un bail ferme de près de onze ans, à Sims IVF, l'une des principales cliniques de fertilité en Irlande avec deux autres sites à Swords et Cork et trois satellites à Carlow, Dundalk et Limerick. Virtus Health, la société mère de Sims IVF, est l'un des cinq principaux fournisseurs de traitements de fertilité au monde, avec une forte implantation en Australie, à Singapour, au Royaume-Uni et au Danemark. Sims IVF compte plus de 140 employés en Irlande.  

    Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « Ballintaggart House est notre première acquisition en dehors du marché français pour le compte de la SCPI LF Avenir Santé et illustre parfaitement notre stratégie d’investissement qui vise à constituer un portefeuille d’actifs médico-sociaux à travers l’Europe en adéquation avec les besoins de médecine en cœur de ville. Cet actif propose, outre ses qualités immobilières et sa localisation de choix, des perspectives de valorisation à long-terme ainsi que des possibilités de reconversion. »

    Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillé par Colliers, Matheson sur les aspects juridique et Hollis sur les aspects techniques. Le vendeur a été conseillé par JLL. 

    La SCPI LF AVENIR SANTE, labellisée ISR, vise à constituer, directement ou indirectement, un patrimoine diversifié d’actifs immobiliers situés dans des Etats qui sont ou ont été membres de l’Union Européenne, en lien avec le secteur médico-social ou la santé de façon plus globale, et à titre accessoire dans d’autres locaux (bureaux, locaux d’entrepôts, commerces, parking etc.).

    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

    Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.

    Le Label ISR, créé et soutenu par le ministère des pouvoirs publics, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.

    Le Label ISR a été attribué à la SCPI LF Avenir Santé par AFNOR Certification, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Il est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI. 

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    news-3053 Fri, 20 May 2022 17:16:37 +0200 LF Immo Générations - Zoom notre politique durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-immo-generations-zoom-notre-politique-durable/ En tant qu'acteur engagé, nous prenons part dans le financement des actifs immobiliers dits "socialement utiles" et le développement des territoires.

    Ainsi nous avons lancé LF Immo Générations, notre fonds dédié aux investisseurs institutionnels, qui répond aux nouveaux besoins immobiliers d'une société pluri-générationnelle.

    Dans cette dernière partie, zoom sur les enjeux ESG et notre politique durable avec Virginie Wallut, Directrice de la recherche et ISR Immobilier de La Française.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-3052 Fri, 20 May 2022 16:58:40 +0200 Temps orageux sur les marchés [Boucler la boucle – Épisode 36] https://www.youtube.com/watch?v=F8H_o9KeJ5o Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers. news-3050 Thu, 19 May 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert pour le compte de PFA un ensemble immobilier résidentiel à Courbevoie (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-pour-le-compte-de-pfa-un-ensemble-immobilier-residentiel-a-courbevoie-92-1/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de PFA, un fonds de pension danois, a acquis en VEFA, auprès d’Interconstruction et BNP Paribas Immobilier, un ensemble immobilier résidentiel situé rue Paul Bert à Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine (92). Cet investissement s’inscrit dans le cadre du second mandat accordé par PFA à La Française Real Estate Managers. L’ensemble immobilier est situé dans le « Village Delage » de Courbevoie, un EcoQuartier en pleine restructuration qui accueillera d’ici 2030 de nombreux espaces verts, des logements, des bureaux, des commerces, et des équipements publics (école, gymnase, crèche…). « Village Delage » vise plusieurs labels et certifications, notamment : NF Habitat, Ecoquartier, Effinergie + et Biodivercity. 

    L’acquisition porte sur plus de 90 logements répartis sur 3 bâtiments (5.800 m2 de surface habitable), allant du studio au cinq pièces. L’actif bénéficie d’une très bonne accessibilité par les transports en commun. En 2030, s’installera à 600 mètres de l’opération une station de la nouvelle ligne 15 du métro. 

    La livraison est prévue pour le troisième trimestre 2024. 

    David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, déclare, « Courbevoie est l’une des villes limitrophes de Paris les plus dynamiques avec une démographie grandissante. De nombreuses entreprises et familles s’y installent notamment pour bénéficier de sa proximité à la capitale et au centre d’affaires de La Défense. Dans un environnement de plus en plus compétitif, le secteur du résidentiel demeure un élément essentiel au besoin de diversification de PFA. Nous sommes heureux de démarrer ce mandat par un programme de grande qualité bénéficiant d’une localisation exceptionnelle et répondant aux derniers standards énergétiques. » 

    La Française REM a été conseillée par Virginie Blanc de Lexfair Notaires pour la partie notariale, ainsi que par Egis et Ginger Burgeap, respectivement pour les volets techniques et environnementaux.

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    news-3046 Fri, 13 May 2022 09:31:20 +0200 Guerre en Ukraine, pénurie et flambée des prix, accélérateurs du développement durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/guerre-en-ukraine-penurie-et-flambee-des-prix-accelerateurs-du-developpement-durable/ Par Patrick Rivière, Président du Groupe La Française Mai 2022 Au lendemain d’une crise sanitaire mondiale qui a disloqué les chaînes de production, l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le premier conflit transfrontalier en Europe depuis la deuxième guerre mondiale, marque un point de basculement majeur sur le plan géopolitique, économique et financier. L’incapacité européenne à sanctionner de manière efficace cette invasion démontre de manière douloureuse la dépendance quasi totale de l’Europe aux importations d’énergie fossile russes ; une dépendance qui, placée dans le contexte du « réchauffement climatique » et économique, prône en faveur d’une transition accélérée vers une 
    économie durable.

    Question centrale de l’inflation

    La guerre est toujours inflationniste, particulièrement lorsqu’elle touche l’un des principaux producteurs de matières premières énergétiques, industrielles et agricoles du monde. La hausse généralisée des  prix dans nombre de secteurs indispensables à l’économie, souligne en effet que la transition vers des énergies non émettrices de CO2 est une nécessité pour garantir la souveraineté de l’Europe et éviter des conséquences lourdes pour l’économie européenne. 

    Avant la guerre, le scénario central était que l’inflation devait s’assagir en 2022 et se stabiliser en tendance à partir de 2023, en ligne avec le niveau moyen de 2001-2008, soit 1% au-dessus de la période de basse inflation en 2008-2020. Il faut désormais rajouter au moins 1% de plus à la tendance, soit 3% en zone euro et 4% aux Etats-Unis. Mais, quelle que soit l’issue du pilotage actuel de la politique monétaire, le régime d’inflation à moyen terme devrait être plus élevé que par le passé, à la fois parce que le recul de la globalisation diminue le bénéfice des avantages comparatifs en commerce international et parce que la nécessaire transition énergétique va augmenter les coûts de production.

    Trajectoire de transition climatique accélérée…

    Concomitamment aux objectifs de l’Accord de Paris, l’Europe ne peut atteindre sa souveraineté énergétique qu’en augmentant de manière conséquente ses investissements dans des énergies décarbonées et en améliorant son efficience énergétique. Le contexte exige des investissements du niveau de ceux faits après-guerre. 

    Le renforcement de l’Etat providence et du « quoi qu’il en coute » répond probablement, au moins en partie, à la question du financement de cette transition. Mais quid de la nouvelle donne économique, à savoir les taux réels négatifs ? Les politiques de taux d’intérêt zéro adoptées à la suite de la crise financière globale, ont pour conséquence, dans l’environnement plus inflationniste actuel, de créer des conditions de taux d’intérêt réels fortement négatifs. Et l’ampleur des investissements à réaliser exigeront le maintien de taux d’intérêt réels toujours très bas pour pouvoir être financés par les Etats.

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    news-3044 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : Patrimoine Rendement Global (ci-après le « Fonds ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-patrimoine-rendement-global-ci-apres-le-fonds/ La société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du compartiment La Française Rendement Global 2028, compartiment maître du Fonds. Par conséquent, la période de souscription du Fonds sera étendue au30 juin 2024 en lieu et place du 31 mars 2023. Par ailleurs, il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché. Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3041 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment ») FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2028-plus-ci-apres-le-compartiment-fr-lu/ Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion du Compartiment, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Compartiment comme suit : "Le compartiment sera investi dans des obligations qui maturent au maximum en décembre 2028 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») avant décembre 2028"

    Par ailleurs, la société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché.

    Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3040 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2028-plus-ci-apres-le-compartiment-fr-fr/ Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion du Compartiment, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Compartiment comme suit : « Le compartiment sera investi dans des obligations qui maturent au maximum en décembre 2028 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») avant décembre 2028 »

    Par ailleurs, la société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché.

    Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3039 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Rendement Global 2028 Plus, de droit Français (ci-après le « Compartiment ») FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-droit-francais-ci-apres-le-compartiment-fr-be/ Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion du Compartiment, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Compartiment comme suit : « Le compartiment sera investi dans des obligations qui maturent au maximum en décembre 2028 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») avant décembre 2028 »

    Par ailleurs, la société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché.

    Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.fundinfo.com ou sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le FondsLe prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais.

    Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds. 

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services SCA, une filiale du groupe BNP PARIBAS SA située au 9, rue du Débarcadère 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir

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    news-3034 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2028-ci-apres-le-compartiment-fr-lu/ La société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024 en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché. Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3033 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2028-ci-apres-le-compartiment-fr-fr/ La société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024 en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché. Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3032 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis internet : La Française Rendement Global 2028, de droit Français (ci-après le « Compartiment ») FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2028-de-droit-francais-ci-apres-le-compartiment-fr-be/ La société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024 en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché. Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022. 

    Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.fundinfo.com ou sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

    Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds. 

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services SCA, une filiale du groupe BNP PARIBAS SA située au 9, rue du Débarcadère 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B1000 Bruxelles.Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir

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    news-3027 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis : modification du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV La Française FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ La société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » afin de changer l’heure de centralisation des souscriptions et des rachats du compartiment. Ainsi, les demandes de souscription et de rachat seront désormais centralisées auprès de La Française AM Finance Services chaque jour de calcul de la valeur liquidative (J) à 12h00 en lieu et place de 11h00 actuellement.

    Cette modification du compartiment ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 13 mai 2022.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3026 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis : modification du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV La Française FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-la-francaise-fr-fr/ La société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » afin de changer l’heure de centralisation des souscriptions et des rachats du compartiment. Ainsi, les demandes de souscription et de rachat seront désormais centralisées auprès de La Française AM Finance Services chaque jour de calcul de la valeur liquidative (J) à 12h00 en lieu et place de 11h00 actuellement.Cette modification du compartiment ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 13 mai 2022.Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-3025 Tue, 10 May 2022 09:00:00 +0200 Avis : modification du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV de droit Français La Française FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ La société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » afin de changer l’heure de centralisation des souscriptions et des rachats du compartiment. Ainsi, les demandes de souscription et de rachat seront désormais centralisées auprès de La Française AM Finance Services chaque jour de calcul de la valeur liquidative (J) à 12h00 en lieu et place de 11h00 actuellement.

    Cette modification du compartiment ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 13 mai 2022.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.fundinfo.com ou sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

    Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds. 

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services SCA, une filiale du groupe BNP PARIBAS SA située au 9, rue du Débarcadère 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir

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    news-3020 Tue, 03 May 2022 11:54:27 +0200 Avis aux porteurs – FCP CAP HARMONIE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-cap-harmonie/ La société de gestion La Française Asset Management a pris la décision de remplacer l’indicateur de référence actuel €STR capitalisé + 3,085%, de type performance absolue, par l’indice composite : 50% MSCI World 100% hedgé en euro dividendes nets réinvestis + 40% Euro MTS global +10% €STR capitalisé. 

    En effet la société de gestion considère que le nouvel indice composite est en adéquation avec la gestion du fonds et son niveau d’exposition actions et obligataire, et permet de mesurer l’évolution du marché sur ces classes d’actifs. 

    Cette modification n’est pas soumise à agrément de l’AMF étant donné que les fourchettes maximales d’exposition et la méthode de gestion en vigueur restent identiques. Par ailleurs, ce changement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance. 
     
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 11 mai 2022. Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « CAP HARMONIE » disponible sur le site www.la-francaise.com

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    news-3018 Mon, 02 May 2022 10:56:00 +0200 Une remontée plus rapide des taux d’intérêt pour lutter contre l’inflation et piloter un atterrissage en douceur de l'économie. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-remontee-plus-rapide-des-taux-dinteret-pour-lutter-contre-linflation-et-piloter-un-atterrissage-en-douceur-de-leconomie/ Après une hausse prudente de 25 points de base (pdb) du taux directeur en mars, la Réserve fédérale américaine devrait relever ses taux de 50 pdb, lors de son comité de politique monétaire des 3 et 4 mai, pour lutter contre l'inflation. Le président, Jerome Powell, devrait annoncer officiellement la réduction de la taille du bilan de la banque centrale. Veuillez trouver ci-dessous ce que nous attendons :

    • Le FOMC devrait relever la fourchette cible des fonds fédéraux à 0,75-1,0%. Mr Powell devrait indiquer des mouvements similaires (50 pdb) lors d'une ou plusieurs réunions à venir car les pressions inflationnistes restent fortes et le marché du travail est "extrêmement tendu". Nous pensons qu’il n'exclura pas une augmentation plus importante des taux (75 pdb) si nécessaire, même si elle n'est pas envisagée à ce stade. Mr Powell soulignera que le rythme du resserrement de la politique monétaire dépendra de l’évolution de l’économie.
    • Le président de la Réserve fédérale devrait réaffirmer la nécessité d'agir "rapidement" pour ramener le taux des FED funds à un niveau plus neutre (2,25-2,50%), voir en terrain restrictif si nécessaire.
    • La Fed devrait annoncer la réduction de la taille de son bilan en ne réinvestissant plus les paiements en capital reçus de son portefeuille de titres. Selon les minutes du FOMC de mars, le processus impliquera un plafond mensuel maximum de 95 milliards de dollars (60 milliards de dollars pour les bons du Trésor et 35 milliards de dollars pour les titres adossés à des créances hypothécaires). Les plafonds seront introduits progressivement "sur une période de trois mois ou légèrement plus longue si les conditions du marché le justifient". La réduction du bilan devrait débuter en juin.

    En conclusion, la FED devrait confirmer son virage plus restrictif. Cette réunion pourrait pousser les taux d'intérêt américains à la hausse.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3016 Fri, 29 Apr 2022 14:02:53 +0200 PRE FOMC outlook: Front-loading of tightening with a methodical approach to curb inflation and land softly /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pre-fomc-outlook-front-loading-of-tightening-with-a-methodical-approach-to-curb-inflation-and-land-softly/ After a cautious 25 bps increase in the Fed Funds Rate at its March meeting, it is expected that the Federal Open Market Committee (FOMC) will hike rates by 50 bps to fight against inflation at its May 3-4 meeting. In addition, Federal Reserve Chair Powell should announce officially the balance sheet runoff plan. Please find below what we expect:

    • The FOMC to raise the Federal Funds Target Range to 0.75-1.0%. Chair Powell will signal willingness to hike rates by another 50 bps at one or more upcoming meetings, because inflationary pressures remain strong, and the labor market is ‘extremely tight’. We believe Chair Powell will not rule out a larger rate increase (i.e., a 75 bps hike) if needed, even if it is not on the table at this stage. He will underline that the pace of policy tightening will be data dependent.
    • Federal Reserve Chair Powell to reaffirm the need to move “expeditiously” to bring the Fed Funds Rate to a more neutral level (2.25-2.50%); the degree of overshoot will depend on the inflation outlook.
    • The Fed to announce quantitative tightening by no longer reinvesting the principal payments received from its securities holding. According to the March FOMC minutes, the process will involve a maximum monthly cap of $95bn ($60bn for treasuries and $35bn for mortgage-backed securities) with caps phased in “over a period of three months or modestly longer if market conditions warrant”. We expect runoff to start in June.

    We expect the FED to maintain its hawkish tone despite ongoing risks (i.e., China’s strict Zero-Covid policy, the war in Ukraine). This meeting may push US interest rates higher.

    Disclaimer
    This commentary is intended for non-professional investors within the meaning of MiFID II. It is provided for informational and educational purposes only and is not intended to serve as a forecast, research product or investment advice and should not be construed as such. It may not constitute investment advice or an offer, invitation or recommendation to invest in particular investments or to adopt any investment strategy. Past performance is not indicative of future performance. The opinions expressed by La Française Group are based on current market conditions and are subject to change without notice. These opinions may differ from those of other investment professionals. Published by La Française AM Finance Services, head office located at 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, a company regulated by the Autorité de Contrôle Prudentiel as an investment services provider, no. 18673 X, a subsidiary of La Française. La Française Asset Management was approved by the AMF under no. GP97076 on 1 July 1997.

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    news-3014 Fri, 29 Apr 2022 09:31:53 +0200 La BCE veut-elle en finir avec les CoCos ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-bce-veut-elle-en-finir-avec-les-cocos/ CoCos: “Il faut que tout change pour que rien ne change.” (Le Guépard) La BCE a publié en mars une réponse à l'appel à avis lancé par la Commission européenne sur le cadre macroprudentiel des banques européennes (lien ici), avançant plusieurs propositions qui pourraient affecter le segment des CoCos Additional Tier 1 (AT1) en Europe… ou pas...

    Tout d'abord, replaçons cette réponse dans son contexte et voyons comment elle pourrait éventuellement être transposée en loi. L'analyse de la Commission est vaste et englobe plusieurs sujets, parmi lesquels la manière dont les CoCos AT1 sont utilisées par les banques. La BCE agit en tant que conseiller sur ces questions, et d'autres organismes de réglementation feront également des recommandations (ABE, CERS), mais nous ne pouvons pas nier que l'avis de la BCE pèsera fortement dans ces ajustements macroprudentiels. La Commission devrait publier son rapport d'ici fin juin 2022. D'éventuelles propositions législatives d'ici fin décembre (ou plus tard) seraient suivies des versions du Parlement et du Conseil, avant que les modifications des règles ne soient finalisées, potentiellement en 2024 ou 2025. Il est important de souligner que (i) tous les changements proposés ici ne seront pas mis en œuvre, dans la mesure où ils seront très certainement édulcorés ou supprimés par les diverses parties prenantes qui rédigent et votent la loi (y compris les lobbies bancaires), (ii) le calendrier de tout changement est très incertain, mais nous n'attendons rien avant 2024 au plus tôt… pour une application au moins un an plus tard. Nous estimons que la plupart des propositions avancées ici seront mises en œuvre de manière rationnelle et progressive pour éviter toute perturbation du marché, comme c'est souvent le cas avec les propositions réglementaires.

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    news-3013 Wed, 27 Apr 2022 16:56:12 +0200 Bienvenue dans la jungle des Labels /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bienvenue-dans-la-jungle-des-labels/ Achevé de rédiger le 30| 03 | 2022 POURQUOI UN LABEL?

    Il n’y a pas de définition partagée du concept de «finance durable», ce qui laisse une grande marge d’interprétation quand on parle d’investissements durables.

    Les stratégies d’investissement durable peuvent ainsi :

    • être basées sur des thèmes environnementaux ou sociaux comme le changement climatique ou le capital humain,
    • reposer sur des exclusions,
    • viser à être les meilleuresde leur catégorie, afficher les progrès les plus importants, ou laisser augurer de futurs progrès...

    Enfin la grande diversité du vocabulaire utilisé (cf.notre newsletter précédente) : durable, responsable, ISR, ESG, vert, climat, écologique, transition, etc. rend la compréhension des offres de produits d’investissement responsable délicate.

    Des  labels  ont  été  élaborés  pour  répondre à  ce  manque  de  clarté  et  rendre  les produits  financiers durables plus faciles à comprendre.

    QUELS CRITÈRES REGARDENT LES LABELS ?

    Le label définit des critères via un référentiel public et délègue à des auditeurs le soin de vérifier que les « processus» de gestion des fonds respectent les critères définis par le label. En règle générale le fonds doit s’engager à exclure certaines  activitéset/ou entreprises  qui  ne  respectent  pas  certains critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG)hormis pour le label ISR. Concrètement, cela  signifie  que  la  plupart  du  temps  des  énergies  fossiles  sont  exclues  et  que  le  processus d’investissement et les avoirs en portefeuille sont transparents. Bien entendu, les types d’énergie fossile, les seuils appliqués et les critères de sélection ESG varient.

    Ci-dessous, voici un tableau comparatif des 4 principaux labels: 

      LABEL ISR Towards Sustainability FNG LuxFlag ESG
    Gouvernance Publique Associative Associative Agence de labellisation

    Type de label

    Processus de gestion
    Processus de gestion et exclusion Processus de gestion et exclusion Processus de gestion

    Couverture exigée
    90% et 20% de réduction de l'univers investissable 100% 100% 100%

    Exclusions normatives
    non oui oui oui

    Exclusions énergies fossiles
    non oui - 10% max  oui - 5% max non
    Barème à points non non scoring + étoiles  non

     

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    news-3012 Thu, 28 Apr 2022 09:00:00 +0200 La Française renforce son équipe de developpement dediée au marché institutionnel Français /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-de-developpement-dediee-au-marche-institutionnel-francais/ Paris, le 28 avril 2022 : La Française, groupe de gestion multi-expertises avec plus de 55 milliards d’euros sous gestion (au 31/12/2021), renforce son équipe de développement dédiée au 
    marché institutionnel français et annonce l’arrivée de Bonaventure Montero en tant que  Responsable Relations Investisseurs Institutionnels, sous la direction de David Martin, Directeur
    Commercial Institutionnels France.

    Bonaventure Montero, CIIA apporte au groupe une expérience longue de quatorze ans dans le secteur de la gestion d’actifs. Il a débuté sa carrière chez Amundi en 2007 au sein du département du développement international. Puis en 2011, il est nommé Chargé d’affaires Grands Comptes Epargne Salariale, assurant ainsi le développement, la gestion et le suivi d’un portefeuille d’entreprises du CAC40 et du SBF120. Après cinq ans, il rejoint la filiale CPR Asset Management en qualité de Responsable Distribution Externe, en charge des partenariats stratégiques avec des grandes banques et assureurs notamment. Avant de rejoindre La Française, Bonaventure était Responsable de Région, en chargedes réseaux LCL et Banque Privée. 

    Bonaventure Montero est diplômé d’un Master en Finance de l’Institut Mines – Télécom Business School (2007) et d’un Master en Marchés Financiers de l’Institut de technologie et d’études supérieurs de Monterrey (Mexique, 2006). Bonaventure est titulaire de la certification CIIA, délivrée par la SFAF. 

    David MARTIN, Directeur Commercial Institutionnels France conclut, « Bonaventure apporte à La Française une solide connaissance tant sur les solutions financières qu’immobilières. Son expérience de développement à 360 degrés sur une clientèle institutionnelle et « wholesale » lui confère une capacité d’adaptation à toute épreuve. Sa maitrise de l’environnement financier et immobilier vient renforcer l’expertise que nous apportons à nos investisseurs institutionnels. »

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    news-3010 Tue, 26 Apr 2022 09:08:11 +0200 La politique zéro COVID de la Chine alimente l’inflation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-politique-zero-covid-de-la-chine-alimente-linflation/ Par Gilles Seurat, Gérant Fixed Income et Cross Asset, La Française AM La croissance du PIB chinois en glissement annuel est passée de +4 % au T4 2021 à +4,8 % au T1 2022 (source : Bloomberg). Mais les perspectives sont moins optimistes pour la fin de l’année 2022, étant donnée la recrudescence du nombre de cas de COVID qui est passée de quelques infections à près de 25 000 cas par jour au cours des deux derniers mois. En réponse à cette hausse, l’administration chinoise poursuit sa politique zéro COVID et a mis en place de nouveaux confinements. À titre d’illustration, Nomura estime qu’environ 356,5 millions de Chinois, soit 25,3 % de la population, sont confinés, ce qui représente un peu moins de 40 % du PIB chinois. Les indicateurs de mobilité sont par voie de conséquence en baisse de 50 % en moyenne, avec une chute beaucoup plus importante à Shanghai, où les mesures de confinement sont les plus strictes. (Source : Baidu, en glissement annuel au 17/04/2022)

    Cette politique zéro COVID engendre de nouveau des retards importants dans la chaine de production. Une proportion importante des travailleurs portuaires et des chauffeurs de camion est absente, provoquant engorgements et retards. À Shanghai, plus de 300 navires attendent de décharger, contre seulement 50 en février. La situation s’est aggravée et est encore pire aujourd’hui qu’en 2020 et 2021 !

    Quelles sont les implications pour l’économie mondiale ? La consommation de pétrole baisse en Chine en parallèle de la baisse de la mobilité.  Le transport aérien s’effondre avec seulement un vol intérieur sur quatre prévus. Tous ces facteurs pèsent naturellement sur la demande de pétrole qui devrait baisser de 9 % en avril 2022 (l’équivalent de 1,2 million de barils par jour) par rapport à avril 2021 (source : Bloomberg).

    L’effet à long terme de cette baisse sur les prix du pétrole brut dépendra en grande partie de la capacité de l’administration chinoise à contenir la propagation de la COVID au cours des prochains mois et de la durée du confinement.

    Cependant, à court et moyen terme, la congestion des ports chinois devrait avoir un impact plus durable sur l’inflation. En effet, la demande mondiale de biens de consommation dépasse actuellement l’offre, et la perturbation de la chaîne d’approvisionnement chinoise couplée à des prix à la production en forte hausse ne fera qu’exacerber ce déséquilibre, entraînant ainsi une inflation supplémentaire. Les pénuries se sont généralisées en parallèle de la situation ukrainienne : des semi-conducteurs en 2020 au papier, au verre, aux pièces automobiles, etc. 

    Les confinements successifs ont modifié l’équilibre de la consommation entre biens et services. Aux États-Unis par exemple, la consommation de biens est supérieure de 15 % à ce qu’elle était avant la pandémie (source : Bloomberg), et dans le monde entier, la demande d’appareils électroménagers et de matériel informatique (fabriqués en Chine) a explosé. Par ailleurs, le marché du travail américain continue de se redresser après son effondrement en 2020 et 1,6 million de travailleurs font toujours défaut. L’enquête US Business Roundtable CEO Survey divulgue des plans d’embauche sur six mois à des niveaux records. Par conséquent, le revenu agrégé devrait continuer d’augmenter et soutenir davantage la demande américaine.

    Théoriquement, le déséquilibre entre l’offre et la demande ne peut être résolu que par des prix plus élevés. Un bon exemple est l’industrie automobile allemande, qui a à la fois augmenté les délais de livraison à parfois plus d’un an et augmenté les prix. 

    La flambée de l’inflation a plusieurs conséquences sur les marchés financiers et les allocations de portefeuille. Les banques centrales du monde entier ont lancé des politiques rapides de cycle de hausse de taux afin de contenir cette flambée inflationniste. Cela signifie que les parties courtes de la courbe des taux d’intérêt devraient rester sous pression. Par conséquent, nous pensons que les rendements des obligations à échéance courte à moyenne ont une probabilité plus élevée de croître que de baisser. Cependant, la demande de certains investisseurs a commencé à se redresser sur les échéances de plus long terme étant donné les risques à la baisse sur les perspectives économiques. Les moteurs désinflationnistes à long terme, tels que le ralentissement de la croissance démographique, signifient que les rendements obligataires à long terme sont plus susceptibles d’être plafonnés. Nous anticipons donc un aplatissement des courbes de rendement en Europe, cette stratégie étant alimentée par les confinements en Chine.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-3009 Fri, 22 Apr 2022 17:05:08 +0200 Un cocktail inflationniste, s’il vous plaît [Boucler la boucle – Épisode 32] https://www.youtube.com/watch?v=ea0Zy3YAyDY Cette semaine Gilles MAINARD prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers. news-3007 Fri, 22 Apr 2022 14:57:57 +0200 L’AMF, l’AFG, l’ASPIM, France Invest, l’Anacofi, la Cie CIF, la CNCGP et la CNCIF mettent en garde le public contre la recrudescence des usurpations de nom d’acteurs autorisés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lamf-lafg-laspim-france-invest-lanacofi-la-cie-cif-la-cncgp-et-la-cncif-mettent-en-garde-le-public-contre-la-recrudescence-des-usurpations-de-nom-dacteurs-autorises-1/ L’Autorité des marchés financiers et les associations de professionnels du secteur de la gestion d’actifs et de patrimoine lancent un appel commun à la plus grande vigilance des épargnants face à l’utilisation frauduleuse, de plus en plus fréquente, du nom d’intermédiaires ou de produits financiers autorisés, à des fins d’escroqueries. Devant l’ampleur du phénomène, elles rappellent les bons réflexes à avoir avant tout investissement. L’AMF, les sociétés de gestion et les associations professionnelles lancent un appel commun à la plus grande vigilance des épargnants face à la recrudescence des cas de fraude par escroquerie : 

    • Fraude à la souscription par usurpation du nom de société de gestion, de produits financiers 
    • Fraude au rachat par la collecte de données personnelles et financières des associés 

    Si ces phénomènes ne sont pas nouveaux, ils se sont sophistiqués aussi nous appelons à être vigilant et vous sensibilisons à la multiplication des escroqueries en ligne. 

    Pour en savoir plus et identifier les bons réflexes pour vous protéger, téléchargez la communication.

    En cas de question ou de doute concernant la société qui vous propose d’investir, contactez AMF Épargne Info Service au 01 53 45 62 00.

    Et en cas de doute concernant une offre d’une SCPI La Française, contactez directement le service client au 01 53 62 40 60.

    Quelques liens utiles : 

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    news-3006 Tue, 03 May 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM, pour le compte de PFA, acquiert une résidence services seniors à Alfortville (94) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-pour-le-compte-de-pfa-acquiert-une-residence-services-seniors-a-alfortville-94/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de PFA, fonds de pension danois, a acquis en VEFA, auprès de Sekoia et du Groupe Réside Etudes, une résidence services seniors à Alfortville, au 35 rue du Président Kennedy. Cet investissement s’inscrit dans le cadre du deuxième mandat accordé par PFA à La Française Real Estate Managers. L’acquisition porte sur le développement d’une résidence services seniors d’environ 4 000 m2, répartis sur 6 niveaux (R+5) et de nombreux balcons. Le programme comprendra 85 appartements, allant du studio au trois pièces, et prévoit des emplacements de stationnement et de nombreux services, dont une conciergerie, une bibliothèque, un salon privée, un salon de loisirs, une centre de remise en forme et de massage, un restaurant, etc. 

    La résidence se situe dans le centre-ville d’Alfortville, près de la capitale et des transports en commun (RER D, métro ligne 8 et bus). Tous les commerces de première nécessité sont accessibles à pied notamment une boulangerie, une pharmacie, une banque, un coiffeur ou encore un supermarché. 

    La livraison est prévue pour le deuxième trimestre 2024. L’actif est pré-loué (BEFA) au Groupe Réside Etudes, spécialiste français de la résidence urbaine avec services, dans le cadre d’un bail ferme de douze ans. Il s’agit de la troisième résidence exploitée par Réside Etudes pour le compte de PFA.

    David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, déclare, « Au-delà de la localisation, les prestations en matière de services et la qualité de l’exploitant Réside Etudes, les tendances démographiques d’Alfortville constituent un facteur de soutien de la valorisation de l’actif. Nous remercions PFA pour leur confiance.. »

    La Française REM a été conseillée par le cabinet d’avocats Reed Smith, Lexfair Notaires, ICF Environmental Consulting & Due Diligence et Egis.

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    news-3002 Wed, 13 Apr 2022 11:48:39 +0200 Règlement européen du 12/4/22 - Russie/Biélorussie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reglement-europeen-du-12-4-22-russie-bielorussie/ Dans le cadre du conflit ukrainien, la Commission Européenne a pris de nouvelles dispositions à l’encontre de la Russie et de la Biélorussie.

    En applications de ces dispositions, le Groupe La Française interdit désormais toute souscription de parts/actions de ses fonds à tout ressortissant russe ou biélorusse, non établi dans un pays de l’Union Européenne, conformément au règlement UE N°833/2014.

    Celui-ci est d’application immédiate à compter du 12 avril 2022.
     

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    news-3000 Wed, 13 Apr 2022 09:36:30 +0200 Crédit Agricole takes a 9% interest in BPM, what’s the likelihood of a merger? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/credit-agricole-takes-a-9-interest-in-bpm-whats-the-likelihood-of-a-merger/ by Jérémie Boudinet, Credit Fund Manager, La Française AM. First and foremost, I consider the move by Crédit Agricole SA as defensive; a tactic to protect its existing business partnerships with Banco BPM. Even though the French bank made the same move previously with Credito Valtellinese, before ultimately absorbing it, merging with Banco BPM would be much more financially significant. Furthermore, a merger would likely require the approval of the group’s French regional banks (Caisses Régionales de Crédit Agricole, which hold more than 50% of Crédit Agricole SA, aka CASA), which could be reluctant to ratify the decision. Crédit Agricole Group was quite traumatized by the disaster left after its former foreign adventures (i.e., Emporiki and Bankinter stakes sold with significant losses in 2012) and may therefore discourage Crédit Agricole SA from embarking again on this path.

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    This commentary is intended for non-professional investors within the meaning of MiFID II. It is provided for informational and educational purposes only. The opinions expressed by La Française Group are based on current market conditions and are subject to change without notice. These opinions may differ from those of other investment professionals. Published by La Française AM Finance Services, head office located at 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, a company regulated by the Autorité de Contrôle Prudentiel as an investment services provider, no. 18673 X, a subsidiary of La Française. La Française Asset Management was approved by the AMF under no. GP97076 on 1 July 1997.

     

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    news-2997 Thu, 14 Apr 2022 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM), PFA et Groupe Réside Etudes, à la conquête du marché du résidentiel géré à Bruges /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-pfa-et-groupe-reside-etudes-a-la-conquete-du-marche-du-residentiel-gere-a-bruges/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de PFA, fonds de pension danois, a acquis en VEFA une première résidence services seniors à Bruges en Belgique, située au 457 Baron Ruzettelaan. Cet investissement s’inscrit dans le cadre du deuxième mandat accordé par PFA à La Française Real Estate Managers. L’acquisition porte sur le développement d’une résidence services seniors d’environ 5 000 m2, répartis sur 4 niveaux (R+3) et de nombreuses terrasses. Le programme comprendra plus de 80 appartements, allant de 42 m2 à 70 m2, et prévoit des emplacements de stationnement et de  nombreux services, dont une conciergerie ouverte en continu, un restaurant, des ateliers de loisirs  créatifs, un coiffeur, un centre de fitness, un centre de balnéothérapie, un jardin paysager etc. 

    La résidence se situe à Steenbrugge, un quartier résidentiel à moins de 20 minutes du centre de  Bruges et qui profite d’une desserte en transport complète (4 lignes de bus) au pied de la  résidence. Tous les commerces de première nécessité sont accessibles à pied, notamment une  boulangerie, un boucher ou encore un supermarché. 

    La livraison est prévue pour le deuxième trimestre 2023. L’actif est pré-loué (BEFA) au Groupe Réside Etudes, spécialiste français de la résidence urbaine avec services, dans le cadre d’un bail ferme de quinze ans.

    David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel,  déclare, « La Française s’est positionnée comme un acteur majeur du secteur des résidences services seniors avec plus de 500 millions d’euros sous gestion pour le compte de tiers (au 12/2021). Etendre notre portée au marché Belge constitue un tournant dans le développement  de cette expertise et une première étape dans la construction du portefeuille pan-européen pour  le compte de PFA. La qualité de l’exploitant, Groupe Réside Etude, ainsi que les démographiques  de la région de Bruges sont des facteurs de soutien de la valorisation de cette future résidence  services seniors. »

    La Française REM a été conseillée par Loyens & Loef sur les aspects légaux et de fiscalité.

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    news-2996 Tue, 12 Apr 2022 11:49:08 +0200 BCE : possible surprise hawkish /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bce-possible-surprise-hawkish/ Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) se réunit cette semaine. Il n'y aura pas de révision de leurs prévisions macroéconomiques mais il faut rester à l'écoute : la forte hausse de l'inflation a modifié la pression politique : au lieu de quémander du soutien monétaire, lutte contre l'inflation est maintenant considérée comme primordiale. Les engagements pris précédemment par l’institution ne sont plus considérés comme fermes. Nos prévisions :

    • Les taux devraient rester inchangés pour l'instant et le Conseil des gouverneurs devrait conserver la séquence prévue : d'abord fin au programme d'achat d'actifs (APP), puis relèvement des taux.
    • Selon des sources, lors de la réunion précédente, le conseil était divisé, 10 hawks demandant une action immédiate et 15 doves votant pour le statu quo. Le point mort d'inflation à 5 ans dans 5 ans a augmenté de 27 points de base depuis le 10 mars pour atteindre 2,36 %, ce qui est supérieur au taux cible de la BCE. Par conséquent, la réunion de cette semaine pourrait surprendre par son ton hawkish.
    • L'APP devrait atteindre 20 milliards d'euros pour le mois de juin. Le Conseil des gouverneurs devrait donner des indications sur son rythme au cours des mois suivants. Étant donné la force de l’inflation – qui devrait rester autour des niveaux actuels jusqu'en septembre, la BCE pourrait annoncer qu'elle a l'intention de mettre fin aux achats dès la fin du mois de juin. Cela ouvrirait la possibilité d'un relèvement des taux dès juillet. Septembre est cependant une option plus crédible. Le gouverneur Makhlouf a déclaré que la BCE souhaitait "maintenir l'optionalité", de sorte que le conseil des gouverneurs pourrait vouloir garder toutes les options ouvertes.

    Globalement, une BCE hawkish est une réelle possibilité. Les pressions inflationnistes sont très fortes et le marché du travail est extrêmement tendu, le taux de chômage étant à son plus bas niveau historique. La pièce manquante reste les salaires, pour lesquels les données récentes font malheureusement défaut.

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    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2994 Tue, 12 Apr 2022 09:07:38 +0200 Le label ISR, renouvelé pour trois fonds La Française AM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-label-isr-renouvele-pour-trois-fonds-la-francaise-am/ La Française, groupe de gestion avec plus de 55 milliards d’euros en actifs sous gestion (au 31/12/2021), annonce le renouvellement du Label ISR pour trois des fonds actions gérés par La Française AM.
  • LA FRANÇAISE ACTIONS EURO CAPITAL HUMAIN
  • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT EURO
  • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL
  • Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française,  conclut, « Le Label ISR, accrédité par un organisme tiers, confirme l’alignement de la stratégie  de gestion d’un fonds aux objectifs de développement durable. A ce titre, le Groupe La Française, qui propose une quinzaine de fonds labellisés ISR, vise une offre complète, allant  des actions à l’immobilier en passant par le crédit ou encore les obligations gouvernementales,  pour répondre à la demande croissante des investisseurs, particuliers et institutionnels, et aux  objectifs qu’il s’est fixés en tant qu’acteur engagé. Ce renouvellement témoigne également de  la qualité de la méthodologie, intégrée à la gestion des fonds et développée par notre centre  de recherche extra-financière et ESG, La Française Sustainable Investment Research. » 
    Le label ISR distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et  impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ». (www.lelabelisr.fr)

    Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :

    • les objectifs généraux du fonds, 
    • la méthodologie d’analyse et de notation des critères ESG (Environnemental, Sociétal, Gouvernance), 
    • l’interprétation de ces derniers dans la stratégie d’investissement du fonds, 
    • la politique d’engagement ESG, 
    • la transparence de gestion,
    • et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.
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    news-2991 Tue, 05 Apr 2022 14:15:30 +0200 GIEC que dit le dernier rapport ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/giec-que-dit-le-dernier-rapport/ Achevé de rédiger le 30 | 03 | 2022 Depuis trois décennies, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat  (GIEC) est un organisme intergouvernemental chargé d’évaluer l’état des connaissances, les causes et les conséquences du changement climatique. Le GIEC publie des rapports qui permettent d’alerter les politiques et le public. Avec plus d’une centaine de chercheurs à  travers le monde, les rapports du GIEC sont la synthèse de l’ensemble des études menées par  la communauté scientifique et font office de référence sur les questions du climat. Les rapports  du GIEC sont validés tous les ans ou tous les deux ans par les 195 pays membres de l’ONU.

    Dans son dernier rapport sorti le 28 février 2022, le GIEC dresse cinq points d’alerte concernant le climat : 

    I.

    Tout d’abord, le GIEC affirme pour la première fois que la responsabilité de l’Homme est certaine  dans la cause du réchauffement climatique. Par les progrès de la climatologie et les données  disponibles, le GIEC peut affirmer la responsabilité de l’Homme. Les facteurs naturels ont une  contribution proche du néant dans le réchauffement du climat. On attribue aux activités  humaines la hausse d’environ +1,1°C depuis 1850. D’après le GIEC nous sommes très proches  d’atteindre un point de non-retour.
     

    II.

    Le réchauffement climatique s’apprête à atteindre +1,5°C. Dans son dernier rapport, le GIEC  présente un panel de cinq scénarios socio-économiques (SSP) distincts. Ainsi, hormis le scénario 
    le plus optimiste (SSP1), le seuil du réchauffement climatique pourrait être atteint d’ici 2030 soit  10 ans plus tôt que la précédente estimation du GIEC. Un dépassement de 1,5°C, même  temporaire, engendrerait des impacts importants sur les écosystèmes tels que les glaciers ou les récifs coralliens.
     

    III.

    Le niveau de la mer augmente en raison du changement climatique, notamment à la fonte des  calottes glaciaires. D’ici 2050, un milliard de personnes pourraient vivre dans des zones côtières  à risque. Ce chiffre pourrait doubler d’ici 2100 avec le scénario le plus pessimiste qui laisse penser  à une hausse de plus d’un mètre. Depuis 1900, le niveau de la mer a augmenté de 20 cm et  pourrait continuer d’augmenter de 20 cm supplémentaires d’ici 2050. Environ 900 millions de  personnes vivent aujourd’hui à moins de 10 mètres au-dessus de la mer.
     

    IV.

    Les émissions de méthane augmentent de façon inquiétante. Ces émissions contribuent, avec  le dioxyde de carbone (CO2), comme les principales causes du réchauffement du climat.  Cependant, le potentiel néfaste des émissions de méthane est 84 fois supérieur à celui du CO2.  Le rapport fait part d’une augmentation d’émission de méthane de 6% au cours des 10 dernières  années. Par ailleurs, lors de la COP26, un accord a été trouvé pour baisser de 30% les émissions  de méthane entre 2020 et 2030. A l’heure actuelle 111 pays sont signataires. L’Inde et la Chine  manquent à l’appel malheureusement. Les principales sources d’émissions de méthane sont les  décharges et incinérateurs, l’extraction et le transport de pétrole et gaz, les activités agricoles,  les mines de charbon, etc.
     

    V.

    Le GIEC alerte des impacts catastrophiques pour les Hommes. Les experts estiment que la moitié de la population mondiale, soit entre 3,3 et 3,6 milliards de personnes, sont déjà "très vulnérables" 
    aux conséquences du changement climatique. C’est l’un des dix chiffres chocs du deuxième  volet du 6ème rapport d’évaluation du GIEC. Ainsi, la baisse de l’efficacité des puits de carbone,  l’extinction des espèces, l’augmentation des maladies, les pertes agricoles sont, entre autres,  les exemples des conséquences qui découleront du réchauffement du climat. Le GIEC appelle  à l’adaptation totale pour répondre à l’urgence de la situation et à l’union de tous – gouvernements, secteur privé, société civile - pour y parvenir.

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    news-2988 Fri, 01 Apr 2022 10:56:24 +0200 Les banques centrales ne voleront pas au secours des marchés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-banques-centrales-ne-voleront-pas-au-secours-des-marches/ Par Gilles Seurat, Gérant Fixed Income et Cross Asset, La Française AM Pour les investisseurs, l’année 2022 a commencé sur une note amère avec la quasi-totalité des classes d’actifs en territoire négatif. Les actions souffrent, avec des indices européens à -10%. Les seuls secteurs en actions qui s’en sortent pour l’instant sont les ressources de base et l’énergie qui bénéficient tous deux de la très forte hausse des matières premières.

    Toutefois, le grand perdant est le marché obligataire qui est doublement pénalisé par la hausse des taux souverains « core » (10 ans allemand +76bps, 10 ans américain +96bps) et par l’écartement des spreads (l’Investment Grade Euro +42bps, le High Yield Euro +92bps). En conséquence, l’indice Euro Aggregate est à -5.42% depuis le début d’année. Pour les investisseurs sur les marchés actions qui ont l’habitude de baisses à deux chiffres, ces pertes peuvent sembler limitées. Mais pour les marchés obligataires, 2022 est sans doute la pire année historique. (Source : Bloomberg au 25/03/2022)

    Les deux coupables de cette contreperformance obligataire sont Vladimir Poutine dont la guerre en Ukraine a détérioré l’appétit au risque des investisseurs et les banques centrales – en particulier la Réserve Fédérale (Fed) et la Banque Centrale Européenne (BCE) – qui ont adopté une posture très dure vis-à-vis de l’inflation. La guerre en Ukraine fait craindre en effet des révisions baissières sur les perspectives de croissance ainsi que de probables reports de projets d’investissements. On peut déjà l’observer via la baisse de la demande de crédit à la consommation et de visites de biens immobiliers en France.
    Le principal objectif des banques centrales est et a toujours été la stabilité des prix. Cependant, la Fed est une exception dans une certaine mesure car elle a un deuxième objectif subsidiaire, à savoir de maintenir un faible taux de chômage. Bien que la BCE et la Fed n’ont pas la même tolérance par rapport à l’inflation, les deux réagissent quand elles le jugent nécessaire, et même avec vigueur comme Paul Volcker de la Fed au début des années 80 ou Jean-Claude Trichet de la BCE dans les années 2000.

    Toutefois, sur les dix dernières années, l’inflation a été très basse et les banques centrales n’avaient aucune raison de durcir leur politique monétaire. C’était tout le contraire ! La pression politique pour stimuler l’économie via des assouplissements monétaires était grande : rappelez-vous les injonctions de Donald Trump sur les baisses de taux de la Fed en 2019.

    Mais aujourd’hui, l’inflation est au plus haut depuis quarante ans et la pression politique a fait un virage à 180 degrés. Les gouvernements déclarent désormais l’inflation le pire de tous les maux, et les banques centrales craignent maintenant de ne pas durcir suffisamment leur politique. Ainsi, les banquiers centraux se précipitent de clôturer leurs programmes de rachats d’actifs et de commencer un cycle de hausses de taux qui aurait dû débuter bien plus tôt. Pour avoir un ordre d’idée, la règle de Taylor recommande un taux directeur pour la Fed autour de 10%, le plus haut niveau depuis les années 80 – bien loin du niveau actuel de 0.5%. Cette règle de Taylor se base sur des fondamentaux économiques comme l’inflation et le taux de chômage qui sont tous deux à des points historiques extrêmes. La même règle de Taylor appliquée en zone Euro recommande un taux pour la BCE à 7%. Au global, la tendance est résolument à la hausse des taux.

    Malheureusement, la guerre en Ukraine a accéléré la tendance à la hausse sur l’inflation. En effet, la Russie est un exportateur très important de pétrole (10% de la production mondiale selon Reuters) et la guerre a fait exploser les prix. On peut faire le même type de remarque pour de nombreuses autres matières premières comme le blé dont l’Ukraine et la Russie sont des producteurs incontournables (respectivement 8% et 18% des exportations mondiales selon UN Comtrade). L’OCDE estime que la guerre coûtera 1% de croissance à ses membres en moyenne, et 1.4% à l’Europe qui est la plus impactée : pas de quoi renoncer au durcissement monétaire annoncé.

    Dans ce contexte, l’action des banques centrales ne sera pas un soutien pour les marchés financiers en difficulté, bien au contraire.

    Habituellement, quand les craintes de récession faisaient baisser les marchés actions, la Fed baissait ses taux et soutenait ainsi le marché. Ce filet de sécurité appelé « Fed Put » n’est plus là, ou alors il faudrait que les investisseurs anticipent une forte destruction de la demande avec une récession. Dans ce cas, le strike du « Fed Put » serait beaucoup plus bas.

    Quelles sont les perspectives pour les marchés financiers ? Nous considérons que les marchés vont continuer à anticiper de nombreuses hausses de la Fed pour les douze prochains mois. Cela étant dit, nous n’attendons pas de hausse importante sur les taux longs car les tendances de long terme restent valables ; des niveaux de dettes élevés, la croissance de la population en berne et la digitalisation entraînent des conséquences baissières sur la croissance ou l’inflation, donc sur les taux longs. En conséquence, les courbes devraient continuer de s’aplatir dans les pays développés. D’un point de vue géographique, nous trouvons les taux de la zone Euro plus vulnérables à une hausse à cause de la dépendance de l’Europe au gaz russe. En effet, le risque de surprises à la hausse sur l’inflation est plus important qu’aux Etats-Unis. Et si les taux Euro montent davantage que leurs homologues américains, alors l’Euro devrait s’apprécier face au dollar. Qui plus est, le sentiment des investisseurs sur l’Euro est très négatif ; le débouclement de positions vendeuses devrait également pousser la parité à la hausse.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2987 Fri, 01 Apr 2022 10:51:41 +0200 Mesurer pour comprendre, comprendre pour agir efficacement, agir pour preserver la valeur /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/mesurer-pour-comprendre-comprendre-pour-agir-efficacement-agir-pour-preserver-la-valeur/ par Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers Le secteur du bâtiment est responsable d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union Européenne. Il est donc urgent d’agir. Sous la pression des investisseurs, des utilisateurs et des nouvelles réglementations, la décarbonation des portefeuilles immobiliers doit s’accélérer. Pour y parvenir les propriétaires d’actifs immobiliers doivent mettre en place les outils qui permettent de mesurer pour comprendre, pour agir efficacement et in fine, pour préserver la valeur des actifs en plus de lutter contre le réchauffement climatique.

    MESURER POUR COMPRENDRE

    L’analyse des caractéristiques techniques des bâtiments permet d’estimer des consommations théoriques, qui doivent impérativement être validées par un suivi des consommations réelles du patrimoine. La réduction des consommations d’énergie et des émissions de CO2 est l’affaire de tous et ne peut se faire qu’en étroite collaboration entre propriétaires et locataires. 

    La réalisation d’un audit énergétique couplé à un suivi des consommations est un préalable indispensable à une gestion des énergies efficace. Cette gestion permet d’identifier les leviers d’amélioration énergétique, de constater l’impact des actions d’exploitation et d’ancrer la progression de l’efficience énergétique des bâtiments dans la durée.

    En phase de sélection, La Française REM audite les caractéristiques durables de l’ensemble de ses investissements potentiels, en portant une attention particulière aux performances énergétique et environnementale. La réalisation de l’audit ESG avant la signature de la promesse d’achat est essentiel. Il est ainsi possible d’inclure le coût des éventuels capex nécessaires à la progression des caractéristiques durables des actifs dans les Business Plans et ainsi de refléter dans les prix proposés un « green  premium » ou un « brown  discount ». 

    En phase d’exploitation, La Française déploie des outils de suivi. Un premier partenariat a été noué avec des opérateurs pour pouvoir analyser des données factures. Ce type de solution permet d’identifier les bâtiments les plus consommateurs et de prioriser les actions. Pour les bâtiments plus importants ou plus consommateurs, sans que l’on puisse expliquer les consommations par les caractéristiques du bâti, La Française REM procède à l’instrumentation du bâtiment, qui permet de suivre les consommations en temps réel et d’identifier en temps réel les pics et les dérives de consommation.

    Croiser différentes données, énergétiques et bâtimentaires ouvre une voie réaliste pour élaborer des plans d’actions compatibles avec l’atteinte d’objectifs. Ces objectifs doivent être clairs, et communiqués de manière transparente afin d’éviter tout risque de « greenwashing ». 

    AGIR EFFICACEMENT

    La Française REM entend lutter contre le réchauffement climatique en fixant à la majorité des portefeuilles immobiliers qu’elle gère des objectifs de réduction des émissions de CO2 compatibles avec l’Accord de Paris. Pour cela, la société de gestion utilise la trajectoire de décarbonation développée par le CRREM (Carbon Risk Real Estate Monitor) pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°. 

    Les « budgets carbone » globaux utilisés par le CRREM ont été sélectionnés en accord avec les objectifs de la COP21, soit le scénario de Rockström et al. (2017) pour l’objectif 1,5°C (669 GtCO2e pour 2019- 2050). Sur ce scénario carbone ont ensuite été effectuées des réductions d’échelle en suivant le cadre méthodologique des Sectoral Decarbonaisation Approach (SDA) développé par l’initiative SBT. Dans l’ordre, c’est d’abord une réduction à l’échelle du secteur immobilier européen, puis de celui-ci à l’échelle de chaque pays de l’UE et enfin une réduction à l’échelle de chaque bâtiment en considérant leurs différents types. Ainsi, les efforts à fournir pour parvenir à atteindre l’objectif 1,5° varient en fonction du pays et de la typologie de l’actif concerné. Ils seront d’autant plus importants que le mix énergétique du pays est carboné et que la typologie d’actifs est énergivore. A titre d’exemple, les bureaux en Allemagne devront réduire leurs émissions moyennes de 86,3 kgeqCO2/m²/an en 2020 à 2,8 kgeqCO2/m²/an en 2050 alors que les actifs logistiques en France devront réduire leurs émissions moyennes de 12,8 kgeqCO2/m²/an en 2020 à 1,2 kgeqCO2/m²/an en 2050.

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    news-2984 Fri, 01 Apr 2022 10:33:21 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT NEXT AM FUND – TENDANCE FINANCE FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-next-am-fund-tendance-finance-fr-fr/ Cher actionnaire,

    Conformément aux directives de l'ESMA sur les commissions de performance dans les OPCVM et certains types de FIA publiées le 3 avril 2020 (les « Directives de l'ESMA »), le conseil d'administration de la Société vous informe que le prospectus de la Société (le « prospectus ») a été mis à jour afin de prendre en compte les exigences des Directives de l'ESMA.

    Les paragraphes décrivant la commission de performance dans le prospectus ont été reformulés comme suit :

    « En outre, le Gestionnaire d’investissement a le droit de percevoir une commission de performance annuelle égale à :

    Classe A : 20 % de la performance, sur la base du « high-water mark »
    Classe B* : 20 % de la performance supérieure à 5 %, sur la base du « high-water mark »
    Classe C* : 20 % de la performance, sur la base du « high-water mark »
    Classe P* : Aucune

    * La classe d’action n’est pas enregistrée en France

    On considère qu'il y a une performance de la Valeur nette d'inventaire par action d'une classe du Compartiment si et seulement s'il y a une augmentation de la Valeur nette d'inventaire par action de cette classe par rapport à sa Valeur nette d'inventaire de référence au début de la période de calcul qui est la Valeur nette d'inventaire de fin de période la plus élevée jamais enregistrée (« Valeur nette d'inventaire de référence »). La première Valeur nette d'inventaire de référence du Compartiment correspond à la dernière Valeur nette d'inventaire de décembre 2013.

    La période de référence pour la performance du fonds s'étend du premier jour de bourse de janvier au dernier jour de bourse de décembre, pour chaque année civile. Fréquence d'échantillonnage : La commission de performance est prélevée au profit du Gestionnaire d'investissement chaque année civile. En aucun cas la période de référence du Compartiment ne pourra être inférieure à un an.

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    news-2980 Fri, 01 Apr 2022 10:08:21 +0200 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA SOCIÉTÉ FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-societe-fr-fr/ Cher actionnaire,

    Conformément aux directives de l'ESMA sur les commissions de performance dans les OPCVM et certains types de FIA publiées le 3 avril 2020 (les « Directives de l'ESMA »), le conseil d'administration de la Société vous informe que le prospectus de la Société (le « Prospectus ») a été mis à jour afin de prendre en compte les exigences des Directives de l'ESMA.

    Les clarifications suivantes ont été ajoutées à la description de la commission de performance figurant actuellement dans le Prospectus.

    « La période de référence pour la performance du fonds s'étend sur toute la durée de vie de la classe concernée, soit du premier jour de bourse de janvier au dernier jour de bourse de décembre de chaque année civile.

    Fréquence d'échantillonnage :

    La commission de performance est prélevée au profit du Gestionnaire d'investissement dans un délai de dix jours ouvrables suivant le dernier jour ouvrable de chaque année civile. En aucun cas la période de référence du fonds ne peut être inférieure à un an sauf si le fonds est liquidé avant la fin d'une année civile.

    Méthode de calcul de la commission de performance :

    • Pendant la période de référence :
    • Si la Valeur nette d'inventaire du compartiment est supérieure à la Valeur nette d'inventaire de référence, la part variable des commissions de performance représentera 15 % de la performance de la Valeur nette d'inventaire par action pour [les classes telles que définies pour le compartiment concerné dans le prospectus actuel].
    • La commission de performance sera calculée nette de tous frais. - Cette différence fera l'objet d'une provision pour commissions de performance lors du calcul de la Valeur nette d'inventaire.

    En cas de rachat, la quote-part de la provision constituée, correspondant au nombre de parts rachetées, est définitivement acquise au Gestionnaire d'investissement.

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    news-2972 Mon, 21 Mar 2022 11:11:00 +0100 La Francaise signe le “finance for biodiversity pledge” /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-signe-le-finance-for-biodiversity-pledge-1/ Paris, le 21 Mars 2022 : La Française, groupe de gestion d’actifs multi-spécialiste avec 55 Milliards d’euros sous gestion (au 31/12/2021), est un des cinq nouveaux signataires du « Finance for Biodiversity Pledge », dans lequel les signataires s’engagent à protéger et restaurer la biodiversité au travers de leurs activités financières et de leurs investissements via :
  • La collaboration et le partage des connaissances
  • La discussion avec les entreprises
  • L’évaluation de l’impact
  • La mise en place d’objectifs
  • Le reporting sur chacun de ces points avant 2025 
  • Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française a conclu « La Française est fière de figurer parmi les 89 institutions financières leaders qui s’engagent formellement à protéger, restaurer, et gérer de manière durable les ressources naturelles au travers d’une stratégie d’investissement responsable basée sur l’engagement et priorisant la biodiversité. En tant qu’investisseur responsable, notre objectif est de concevoir et de gérer des solutions d’investissements qui associent performance et durabilité. »

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    news-2968 Tue, 22 Mar 2022 10:24:00 +0100 Apprendre à vivre avec des CoCos non remboursées /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/apprendre-a-vivre-avec-des-cocos-non-remboursees/ On nous a récemment demandé si certains calls de CoCos Additional Tier 1 pouvait risquer de ne pas être exercés au cours des mois à venir et si les taux/rendements plus élevés constituaient un obstacle au refinancement des CoCos AT1. Pour faire court, nos réponses sont respectivement : 1/ oui, on peut s'attendre à ce que des calls ne soient pas exercés, et c'est plutôt un non-événement en fait ; et 2/ non, ce qui compte, c'est le spread des CoCos, pas leur rendement ou le niveau des taux de base. Concentrons-nous sur ces questions pour démontrer pourquoi les « non-calls » sont amenés à devenir de plus en plus courants et pourquoi ce n'est pas un obstacle à la performance des obligations, ni à leur portage.

    1/ Comment fonctionnent les calls de CoCo AT1?
    a/ Le raisonnement économique du call sur une obligation CoCo

    Les CoCos AT1 sont des instruments réglementaires qui comptent comme des fonds propres tier 1 (d'où leur nom !), qui peuvent être remboursés sous réserve que le call soit approuvé par le régulateur de la banque. En principe, les obligations ne peuvent être remboursées que si elles ont déjà été refinancées à un coût inférieur ou similaire ou si la banque les a remplacées par un montant équivalent de capital de meilleure qualité (c'est-à-dire des fonds propres ordinaires dit Common Equity Tier 1). En tant que tel, il n'y a pas d'incitation directe pour l'émetteur à racheter l'obligation si elle n'a pas été remplacée par un instrument de capital similaire.

    Les émetteurs s'efforcent généralement de refinancer leurs CoCos chaque fois qu'ils le peuvent, parfois jusqu'à 6 à 12 mois avant une prochaine date de rachat. Leur idée est de sécuriser leur financement avec une nouvelle obligation à un coût similaire ou inférieur à celui de l'instrument existant tout en rassurant les investisseurs quant à l'exercice du call sur leur CoCo existante. Santander n'avait pas réussi à refinancer l'une de ses CoCos au T1 2019 et a donc dû la prolonger (ils l'ont finalement remboursée par la suite lorsqu'ils ont pu la refinancer à moindre coût). Les non-rachats se produisent généralement quelque temps après ou pendant une période de tension sur le marché, lorsque les émetteurs ne peuvent pas accéder correctement aux marchés primaire à un coût décent. C'est ce qui s'est passé lors de la crise de la Covid-19, lorsque Deutsche Bank, Aareal Bank et Lloyds Banking Group ont décidé de ne pas exercer le call sur leurs CoCos AT1 respectives, au deuxième trimestre 2020. Afin d'éviter les frictions potentielles sur les prix lors d'un call à venir, plusieurs émetteurs ont inclus dans leur documentation la possibilité d'exercer le call sur une fenêtre de 6 mois plutôt qu'un jour précis. Il s'agit d'un ajustement de prospectus bienvenu, mais qui ne s'appliquera qu'aux souches dont les dates de remboursement sont lointaines, puisqu'il a été introduit pour la première fois en 2019.

    Répartition des calls et des non-calls sur les AT1 des banques européennes 

      2018 2019 2020 2021 2022
    Number of bonds 4 13 22 18 22
    - called 4 12 19 18 9
    - not called 0 1 2 0 0
    % called 100% 92% 100% 41%  
    Total amount of AT1s called ($bn) 6.475 15.2 23.8 24.3 7.7
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    news-2966 Thu, 24 Mar 2022 10:03:00 +0100 Face aux turbulences des marchés, est-ce que les politiques des Banques Centrales divergent ? Et quelles opportunités existent sur les marchés obligataires ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/face-aux-turbulences-des-marches-est-ce-que-les-politiques-des-banques-centrales-divergent-et-quelles-opportunites-existent-sur-les-marches-obligataires/ Par François Rimeu, Stratégiste Senior, La Française AM Face au risque inflationniste plus important que prévu, les banques centrales ont décidé de durcir leur politique monétaire aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe, a un rythme différent toutefois. La Réserve fédérale (FED) est aujourd’hui définitivement « en retard », avec une inflation globale à 7,9 % (plus haut taux atteint depuis janvier 1982), une inflation sous-jacente à 6,4 % (plus haut taux atteint depuis août 1982) et un taux de chômage à 3,8 % (proche du taux le plus bas historique, 3,5 %) alors que les fonds fédéraux sont encore très bas à 0,25-0,5 % (Source : Bloomberg 22/03/2022). Sachant que les anticipations d’inflation restent supérieures au taux cible dans un avenir proche, la Réserve fédérale n’a aucune raison d’arrêter prochainement ce cycle de hausse des taux. Récemment, les membres de la Fed se sont en effet énergiquement exprimés sur leur volonté de passer rapidement d’une politique monétaire très accommodante vers une politique plus restrictive, avec si nécessaire, un dépassement du taux neutre, ce qui a conduit les marchés financiers à anticiper le taux des fonds fédéraux à 3% en juin 2023. 

    Cette situation est à la fois similaire et différente à celle de la zone euro. Similaire parce que l’envol des prix de l’énergie a déjà poussé l’inflation de la zone euro a un niveau record de 5,9% le mois dernier, et, que l’inflation pourrait atteindre les 7% durant les mois qui viennent, bien au-dessus de l’objectif de 2% de la BCE. Une situation très différente aussi, car l’économie européenne s’appuie bien plus que les Etats Unis sur l’importation de matières premières, et n’a pas connu d’inflation des salaires jusqu’à aujourd’hui.
    Christine Lagarde a mis l’accent sur ces différences il y a peu, soulignant que « Nos deux économies se trouvent à un endroit différent du cycle économique, même avant la guerre en Ukraine » et que « Nos politiques monétaires ne fonctionneront pas exactement sur le même rythme ». Nous pouvons nous attendre à une normalisation plus graduelle dans la zone euro qu’aux Etats-Unis à l’avenir, comme anticipé par les marchés. 

    A partir de maintenant, les directions prises par les marchés obligataires aux Etats-Unis et de la zone euro seront probablement déterminées par l’orientation des politiques monétaires et fiscales. Si les mesures de soutien se montrent décevantes, les indicateurs macro-économiques pourraient faire de même, encore plus du fait de coûts des matières premières globalement plus élevés impactant la demande. C’est d’ores et déjà ce que les principaux indicateurs commencent à montrer (indice de diffusion de l’OCDE, credit impulse…), mais cela pourrait prendre des mois avant que l’on ne constate le moindre effet négatif substantiel. La crise du Covid a engendré un soutien budgétaire sans précédent de la part des gouvernements. Ce soutien, à son tour, a conduit à un taux d’épargne élevé des ménages américains et européens, ce qui pourrait retarder les effets d’une politique monétaire restrictive et des prix élevés des matières premières.

    Cet environnement n’est clairement pas le plus favorable pour les marchés obligataires. Les rendements élevés des obligations d’Etat ont un impact négatif sur toutes les classes d’actifs obligataires, ce qui signifie que les obligations Investment Grade, High Yield (spéculatifs) ou encore émergents souffrent de ce mouvement massif. Une des seules options a été le marché des TIPS (Treasury Inflation-Protected Securities) mais même là, le rendement depuis le début de l’année est négatif (22/03/2022, Bloomberg).

    Par la suite, nous nous attendons à ce que les banques centrales continuent à accélérer la hausse des taux, ce qui devrait résulter en des courbes de taux toujours plus plates (ou inversées, selon le marché), plus spécialement aux Etats-Unis mais aussi en Europe. Une courbe des rendements plate est souvent associée avec une haute probabilité de récession, ce qui est logique théoriquement puisque cela annonce l’intention des banques centrales de resserrer les taux au-dessus de la neutralité, ce qui ferait pâtir la demande sur la durée. La question est combien de temps cela prendra-t-il ? Normalement, un cycle de resserrement des taux, dans les premiers stades, est plutôt « risk-on ». Ultérieurement, les marchés s’inquiètent que le resserrement de la politique monétaire entraîne un ralentissement de la croissance. Mais aujourd’hui, ce resserrement est urgent et les investisseurs ont déjà à l’esprit les perspectives de ralentissement de la croissance.

    A court terme, et aussi longtemps que la Fed et les autres principales banques centrales continueront à durcir leurs politiques monétaires, nous trouvons difficile d’avoir une vision très constructive des marchés du crédit et des marchés émergents. Nous préférons les parties longues de la courbe par rapport aux parties courtes. Enfin, nous ne sommes pas confiants dans les anticipations d’inflation à long terme sachant que l’objectif de la Fed est de les baisser, mais ce mouvement pourrait prendre un peu de temps avant de se matérialiser.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2965 Fri, 25 Mar 2022 09:56:00 +0100 La Russie peut-elle faire défaut ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-russie-peut-elle-faire-defaut/ Par Gaël Binot, Gérant Taux Marchés Emergents, La Française AM A l’heure où la guerre fait rage en Ukraine et où les sanctions des occidentaux contre la Russie s’accentuent jour après jour, avec notamment les sanctions visant le secteur financier russe, nous pouvons nous interroger sur le risque de défaut du pays sur sa dette souveraine. Les trois principales agences de notation (S&P, Moody’s et Fitch) ont dégradé la notation du pays sur un niveau proche du défaut. Le 17 mars, S&P déclarait : "À ce stade, nous considérons que la dette de la Russie est très vulnérable au non-paiement". Pour les marchés financiers, la probabilité d’un défaut à horizon 5 ans est également très élevée à 88%. (Source : Bloomberg, 23/03/2022).

    Deux questions se posent, la Russie peut-elle faire face aux paiements dus sur ses emprunts (intérêts et principal) et le veut-elle ?

    La dette publique russe s’élève à 18 % du PIB (Source : FMI WEO octobre 2021) du pays ce qui en fait un des pays les moins endettés dans le monde. Le pays est en excédent budgétaire. Par ailleurs, la Russie a accumulé d’importantes réserves de change depuis l’annexion de la Crimée en 2014 et se trouve à la tête de $643 Mds de réserves de change (Source : Bank of Russia, au 18/02/2022) et d’un fonds souverain (NWF) de $ 174.9 Mds. (Source : Ministère des Finances russe, au 01/02/2022).

    Les importations de la Russie étaient en 2021 de $293 Mds (Source : Trade Map), au troisième trimestre 2021 les besoins à horizon deux ans pour le refinancement de l’ensemble de la dette en devises étrangères de la Russie (publique et privée) étaient de $129 Mds (Source : JP Morgan). Au regard de ses principaux besoins en devises étrangères, les réserves de change de la Russie sont largement suffisantes pour les couvrir.
    Mais voilà, les sanctions changent la donne pour la Russie. En réponse à l’invasion de l’Ukraine, les occidentaux ont mis en place des sanctions pour asphyxier l’économie russe. 

    Le secteur financier russe est touché par des sanctions avec des restrictions sur l’accès aux marchés financiers internationaux, l’accès à la plateforme Swift pour procéder aux paiements internationaux et le gel d’une partie des réserves de la Banque centrale de Russie, environ $300 Mds selon Reuters. Les Etats-Unis autorisent la réception de paiements d’intérêts en provenance de la Banque Centrale et de l’Etat russe jusqu’au 25 mai, mais à partir cette date les ressortissants américains devront obtenir une licence spécifique pour continuer à recevoir de tels paiements.

    Les exportations russes ($491 Mds en 2021, Trade Map) sont également concernées avec notamment la suspension des importations de pétrole et de gaz par les Etats-Unis. Mais le secteur énergétique qui représente la plus grande part des exportations russes (43 % en 2021 selon Trade Map) a pour le moment été relativement épargné par les restrictions. Les européens dépendent fortement des énergies fossiles russes (99 Mds d’euros d’importations par l’UE, Eurostat) et sont pour l’instant réticents à trop pénaliser leur fournisseur dans ce domaine.

    Pour faire face à la pénurie de capitaux étrangers et à la baisse du rouble, la Banque centrale de la Russie est intervenue pour stabiliser la devise et a plus récemment suspendu la vente de devises étrangères jusqu’au 9 septembre.

    Dans ces conditions, la Russie semble être encore en mesure de faire face à ses échéances de paiements à court terme mais plus les sanctions durent dans le temps et limitent l’accès aux entrées de capitaux et aux devises étrangères et plus le risque de défaut augmente pour la Russie. 

    Le 5 mars, Vladimir Poutine signait un décret menaçant de rembourser en roubles les créanciers des pays hostiles, détenteurs de dettes émises en devises étrangères, ce qui peut être considéré comme un défaut pour ce type de dette. Toutefois, parmi les émissions en devises étrangères en circulation, il en existe un certain nombre qui donnent la possibilité de rembourser les créanciers en roubles sous certaines conditions, ce qui ne déclencherait pas un défaut sur la dette russe. Il est donc difficile de savoir à quels emprunts le gouvernement russe fait référence.. En revanche, tout changement de devise de remboursement, s’il n’est pas mentionné dans le prospectus d’émission, entraine un défaut de paiement pour le pays. 

    Pour l’instant la Russie montre qu’elle souhaite honorer les paiements de sa dette. Le 16 mars dernier, la Russie a fait face à ses obligations de remboursement de coupons en dollars, pour $117 M sur deux émissions de maturité 2023 et 2045, évitant ainsi un défaut de paiement dans l’immédiat. Mais, il reste encore une vingtaine d’échéances à venir pour l’année 2022 dont $2 Mds le 4 avril prochain.
    Compte tenu du niveau extrême de tension, nous pouvons difficilement connaitre les intentions futures du Kremlin sur un défaut volontaire. Si celui-ci avait lieu, la réputation du pays serait mise à mal et le défaut pèserait de manière durable sur le coût de financement futur de l’Etat russe auprès des investisseurs internationaux. Un défaut volontaire marquerait un renoncement, de la part du gouvernement russe, à une normalisation à brève échéance, des relations avec les occidentaux.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2960 Tue, 22 Mar 2022 09:28:00 +0100 La Française signe le “Finance for Biodiversity Pledge” /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-signe-le-finance-for-biodiversity-pledge/ La Française s’engage et signe le « Finance for Biodiversity Pledge » ! La Française, groupe de gestion d’actifs multi-spécialiste avec 55 Milliards d’euros sous gestion (au 31/12/2021), est un des cinq nouveaux signataires du « Finance for Biodiversity Pledge », dans lequel les signataires s’engagent à protéger et restaurer la biodiversité au travers de leurs activités financières et de leurs investissements via :

    • La collaboration et le partage des connaissances
    • La discussion avec les entreprises
    • L’évaluation de l’impact
    • La mise en place d’objectifs
    • Le reporting sur chacun de ces points avant 2025 


    Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française a conclu « La Française est fière de figurer parmi les 89 institutions financières leaders qui s’engagent formellement à protéger, restaurer, et gérer de manière durable les ressources naturelles au travers d’une stratégie d’investissement responsable basée sur l’engagement et priorisant la biodiversité. En tant qu’investisseur responsable, notre objectif est de concevoir et de gérer des solutions d’investissements qui associent performance et durabilité. »

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    news-2957 Wed, 16 Mar 2022 09:34:34 +0100 Carbon Impact Quarterly Report Les producteurs d'électricité, clé de voûte d'une transition climatique réussie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/carbon-impact-quarterly-report/ Par Charles Fruitière, Head of La Française Sustainable Investment Research Le temps presse. Selon une analyse des températures menée par la NASA (la National Aeronautics and Space Administration), la température mondiale moyenne a augmenté d'un peu plus de 1 ⁰C depuis 1880. Au rythme actuel des émissions, nous pourrions atteindre 1,5 ⁰C d'ici 15 ans.

    Dans le sillage de la COP 26, 118 pays ont mis à jour leurs contributions déterminées au niveau national (CDN). On ne peut que s'en réjouir, car d'après l'évaluation du Climate Action Tracker d'avril 2021, les CDN telles qu'elles étaient à l'époque n'auraient limité le réchauffement qu'à environ 2,4 ⁰C au-dessus des niveaux préindustriels. Du côté positif, le sixième rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) montre qu'il est encore possible de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C d'ici la fin du siècle. Cela nécessite une réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) immédiate, rapide et dans toutes les activités économiques, ainsi que le développement des technologies de séquestration du carbone.

    Nous savons ce qu'il faut faire. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), pour atteindre zéro émission nette d'ici 2050, le monde doit investir chaque année 4 000 milliards de dollars dans les énergies propres. En 2021, au niveau mondial, seulement 775 milliards de dollars ont été investis dans les technologies d'énergies renouvelables1 .

    On ne peut avoir un monde de l'énergie propre sans un secteur de l'électricité propre pour en assurer la production et la distribution. Les producteurs d'électricité représentent au total 40 % de toutes les émissions de carbone liées aux énergies fossiles (illustration 1) et les producteurs publics d'électricité en particulier ont un rôle clé dans la transition vers le zéro net : la part de l'électricité dans le mix énergétique mondial augmente dans chaque scénario de l'AIE. Selon les dernières perspectives énergétiques de l'AIE, pour atteindre le zéro net d'ici 2050, près de la moitié de l'énergie consommée doit être électrique. En termes absolus, cela signifie que la production d'électricité passera de 26 762 TWh en 2020 à plus de 71 000 TWh en 2050 (illustration 2).

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    news-2956 Wed, 16 Mar 2022 09:28:02 +0100 Captage, utilisation et stockage du carbone /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/captage-utilisation-et-stockage-du-carbone/ Par Guy Wilkinson, Analyste ESG La Française Sustainable Investment Research Le captage, l'utilisation et le stockage du carbone sont le processus de captage du CO2 provenant de combustibles ou de processus industriels, le transport de ce CO2 par pipeline ou par bateau, et son utilisation, soit comme ressource ou matière première pour créer des produits ou des services de valeur, soit comme stockage permanent dans des strates géologiques profondes1 .

    Les technologies

    Le CO2 est utilisé dans un certain nombre de technologies, de la réfrigération aux boissons gazeuses. Cependant, la récupération assistée du pétrole constitue de loin le principal débouché pour le carbone capté. Il s'agit d'un processus par lequel le CO2 capté lors du processus de combustion dans les centrales électriques est ensuite réinjecté dans le sol pour faciliter et augmenter l’extraction de pétrole. Cela soulève un certain nombre de questions concernant la durabilité à long terme et les objectifs de zéro émission nette, car, bien que cela réduise en théorie les émissions de GES provenant de la production d'électricité, cela facilite ensuite une autre activité à forte émission. S'agissant de la technologie de captage elle-même, il existe une pléthore de méthodes utilisées, allant de la séparation physique à l'aide d'un solvant liquide tel que le Selexol, à la séparation par membrane basée sur des dispositifs inorganiques qui présentent une grande sélectivité du CO2.

    Quelques projets intéressants

    Contrairement à la croyance populaire, le CCUS (« Carbon Capture, Utilisation & Storage ») existe depuis longtemps. Par exemple, l'usine d'engrais Enid dans l'Oklahoma capte le CO2 issu de ses activités depuis 1982, puis achemine ce CO2 vers des puits de pétrole à proximité pour une meilleure extraction du pétrole2 . Cependant, le CCUS utilisé pour stocker le CO2 de manière permanente est moins courant et a rencontré un succès mitigé :

    Gorgon LNG, Australie

    Gorgon LNG, Australie Le projet CCUS le plus ambitieux actuellement est probablement le projet Gorgon LNG en Australie. Cette joint-venture entre Chevron (47 %), Shell (25 %) et ExxonMobil (25 %) a investi plus de 3 milliards de dollars dans le dispositif qui a capté 5,5 tonnes de CO2 depuis août 2019. Malgré ce succès, il n'a pas atteint son objectif global de captage de 80 % de CO2, atteignant tout juste 68 %. Cela a déclenché l'obligation de restitution de 5,3 millions de crédits carbone au gouvernement d'Australie-Occidentale3 . En effet, les émissions de GES issues de l'extraction, du traitement et de l'utilisation du gaz naturel de Gorgon LNG signifient que le projet CCUS ne capte que 2 % des émissions globales du projet.

    Bioénergie avec captage et stockage du carbone de Drax (ou BECCS, pour « Bio Energy Carbon Capture and Storage ») Le groupe Drax adopte une approche différente lorsqu'il s'agit de réduire les émissions. Au lieu d'équiper les centrales à charbon existantes avec la technologie CCUS, il a converti d'anciennes centrales à charbon en centrales bioénergétiques (biomasse) pleinement fonctionnelles.

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    news-2954 Tue, 15 Mar 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un commerce, Cours de l’Intendance à Bordeaux (33) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-commerce-cours-de-lintendance-a-bordeaux-33/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de la Financière Immobilière Bordelaise un local à destination de commerce sur un emplacement prime du centre-ville de Bordeaux (33). Ce sont 850 m² idéalement situés, dans une zone piétonnière, à proximité immédiate de l’arrêt « Grand Théâtre » de la ligne B du tramway. 

    L’actif est situé au pied d’un immeuble historique à caractère patrimonial à l’angle de la rue de Grassi et du cours de l’Intendance conférant une excellente visibilité à son occupant, l’enseigne Tommy Hilfiger. Tommy Hilfiger est une marque américaine de vêtements premium fondée dans les années 1980 et qui appartient au groupe PVH. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par Allez & Associés et le Cabinet Jeantet. La Financière Immobilière Bordelaise a été conseillée par Etudes MOREAU Notaires. Les deux parties ont été conseillées par CBRE.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2953 Mon, 14 Mar 2022 17:12:55 +0100 Garder l’inflation sous contrôle est la priorité de la FED => hausses de taux à venir /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/garder-linflation-sous-controle-est-la-priorite-de-la-fed-hausses-de-taux-a-venir/ Comme prévu, lors de la prochaine réunion de la Réserve fédérale, les 15 et 16 mars, celle-ci devrait augmenter les taux d'intérêt de 0.25%. Les risques géopolitiques et économiques ne devraient pas modifier le message hawkish du président Powell. Vous trouverez ci-dessous nos prévisions :

    • Le FOMC relèvera la fourchette cible des fonds fédéraux à 0,25-0,50 % (augmentation de 25 pb), la première augmentation depuis 2018. Compte tenu du risque d'une inflation élevée persistante et de la vigueur des marchés du travail, le président Powell devrait signaler d'autres hausses à venir, avec la possibilité de mouvements de 50 pb si nécessaire, en fonction des données.
    • Du côté du "dot plot", celui-ci devrait afficher une médiane de six hausses pour 2022 (1,625%) et trois hausses supplémentaires l'année prochaine (2,375%). Il est possible que les dots 2024 montrent des taux plus élevés que le taux terminal (2,5%).
    • Nous n’anticipons pas de changement sur les taux terminaux (2,5 %), mais la question pourrait se poser lors des questions-réponses si celui-ci est inférieur aux dots 2024.
    • Les nouvelles projections économiques (SEP) devraient indiquer une croissance plus faible en 2022 (de 4,0% à 3,7%) et en 2023 (de 2,2% à 2,1%). Pour 2024, la croissance devrait rester proche de la croissance potentielle (1,8%).
    • Les chiffres d'inflation seront revus à la hausse, au moins en 2022, la seule question concernant l’amplitude de ces hausses. Nous voyons ces prévisions passer de 2,6 % à 4,0 % en 2022 (Il s'agit de l'inflation moyenne du quatrième trimestre 2022, et non de la moyenne 2022) et de 2,3 % à 2,5 % en 2023. Les prévisions d’inflation 2024 devraient rester inchangées
    • Nous devrions aussi avoir quelques détails concernant la baisse du bilan de la Fed avec une réduction de celui-ci qui devrait commencer peu après le début des hausses de taux.
    • Enfin, le communiqué devrait mentionner que les conséquences de l'invasion de l'Ukraine par la Russie sur l'économie américaine sont aujourd’hui inconnues.

     Dans l'ensemble, la hausse de la Fed ne sera pas une surprise pour les acteurs du marché. Mais nous pensons que le ton restera globalement hawkish, avec un aplatissement de la courbe américaine.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2949 Mon, 14 Mar 2022 11:43:08 +0100 LF Multimmo Durable : à la poursuite du dynamisme de collecte et de la diversification. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-multimmo-durable-a-la-poursuite-du-dynamisme-de-collecte-et-de-la-diversification/ 2022 : à la poursuite du dynamisme de collecte et de la diversification de notre portefeuille.

    Romain Delval, Responsable du Fund Management, dresse le bilan de notre unité de compte LF Multimmo Durable et évoque ses perspectives 2022.

    Outre les traditionnels critères financiers et immobiliers, ce fonds intègre des critères extra-financiers de type environnementaux, sociétaux et de gouvernance.

    Cette unité de compte a reçu le Label ISR récompensant ainsi sa volonté de réduction des émissions de CO2 des actifs en portefeuille.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-2948 Mon, 14 Mar 2022 10:15:29 +0100 LETTRE AUX PORTEURS DE PARTS DU FCP « La Française Actions Monde » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-la-francaise-actions-monde/ Objet : Opération de mutation du FCP « La Française Actions Monde » (code Isin : FR0000992471) Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement (FCP) La Française Actions Monde et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP La Française Actions Monde (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement du FCP ainsi que sa dénomination. En effet, dans un contexte porteur pour les énergies vertes, il a été décidé d’ajuster la stratégie d’investissement du FCP afin de vous offrir une solution différenciée et de conviction en exposant le fonds aux entreprises de niche développant des technologies propres et innovantes.

    Le FCP qui est actuellement éligible au PEA restera éligible au PEA. Toutefois, le FCP qui est investi actuellement jusqu’à 100% de son actif net en parts ou actions d’OPCVM/FIA qui investissent eux-mêmes en actions européennes ou internationales devra désormais investir au minimum 90% de son actif en direct en produits d’actions de la zone euro et jusqu’à 10% hors zone euro.

    Par ailleurs, le FCP sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits ayant un objectif d’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication centrale).

    Enfin, Le fonds vise à investir sur des valeurs de technologies vertes (assainissement de l’eau, énergies renouvelables, isolation…) en s’appuyant sur des critères financiers et extra-financiers et s'engage à contribuer positivement aux objectifs de développement durables (ODD) à hauteur minimum de 60% de l'actif net du FCP.

    Enfin, le FCP sera désormais dénommé « La Française Green Tech Europe ».

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    news-2947 Mon, 14 Mar 2022 09:29:27 +0100 Guerre et inflation [Boucler la boucle – Épisode 26] https://www.youtube.com/watch?v=rryKdnKkPPQ&t=1s Cette semaine Marine Marciano prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers. news-2942 Wed, 09 Mar 2022 15:40:02 +0100 Les Obligations liées au Développement Durable moteur de croissance du marché de la dette ESG /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-obligations-liees-au-developpement-durable-moteur-de-croissance-du-marche-de-la-dette-esg/ Par Marie Lassegnore, Gérant Crédit & Directeur ESG Fixed Income et Cross Asset, La Française AM DÉFNITION DES OBLIGATIONS LIÉES AU DÉVELOPPEMENT DURABLE (SLBs)

    Les formats d’obligations avec liens au développement durable aussi connu sous le nom de « SLB » pour Sustainability-Linked Bonds, sont relativement nouveaux. C’est à la fin de l’année 2019, que nous observons la première émission d’obligation liée au développement durable par ENEL Finance. La véritable innovation de ce format a été de regarder au-delà des aspects verts ou sociaux des projets financés par le “produit” de l’émission obligataire. L’engagement de l’émetteur se situe dès lors au niveau de l’entreprise qui doit intégrer des objectifs stratégiques obligatoires. Lorsque ces objectifs ne sont pas atteints, l’émetteur se soumet à une pénalité financière (appelée augmentation de coupon ou prime ; cette augmentation est prédéfinie). En pratique, avant d’émettre une SLB, l’entreprise définit des objectifs environnementaux ou sociaux (Sustainable Performance Targets - SPT), qui sont mesurés à l’aide d’indicateurs clés de performance (KPI) crédibles. Si l’entreprise n’atteint pas ses objectifs à la date prévue, elle devra payer une prime pour la durée de vie restante de l’obligation.

    A titre d’illustration, considérons une obligation avec un coupon de 1 % et une date d’échéance au 31/12/2028.

    • Objectifs de performance stable – SPT : “Atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 avec une réduction intermédiaire de 25% des émissions globales d’ici 2025”
      • KPI1 : “Réduire les émissions de carbone des catégories 1 et 2 de 30% d’ici 2025 par rapport au niveau de 2021”
    • Date cible : 31/12/2025
    • Majoration du coupon : 0,15 %
      • KPI2 : “Réduire les émissions de scope 3 de 20% d’ici 2025 par rapport au niveau de 2021”
    • Date cible : 31/12/2025
    • Majoration du coupon : 0,10 %
    • Par conséquent, si à la date cible du 31/12/2025, l’émetteur est en deçà du premier KPI, il devra payer un coupon de 1,15 % pour les versements annuels de 2026, 2027 et 2028. Le coupon augmente encore, à 1,25 %, si l’émetteur manque les deux objectifs (KPI 1 et KPI2).

    COMMENT LES SLBs FAÇONNENT-ELLES LE MARCHE DE LA DETTE ESG ?

    Le format SLB est resté inutilisé l’année qui a suivi l’émission inaugurale d’ENEL. Il faut attendre la fin de l’année 2020 pour une large adoption et il est presque devenu la norme en 2021. Son adoption généralisée a été facilitée par la BCE, lorsqu’elle a déclaré que les SLBs constitueraient des garanties éligibles si les objectifs de durabilité étaient liés à des objectifs environnementaux.

    L'aspect le plus intéressant de l'émergence du format SLB concerne la façon dont il a rapidement influencé le marché de la dette ESG, qui était dominé par les émissions d'obligations vertes jusqu'en 2020. Fin 2020 et hors obligations souveraines ou d'entités publiques, le marché de la dette ESG des entreprises était composé à 81 % d'obligations vertes, 7 % d'obligations sociales et 10 % d'obligations durables. En un an, la répartition a considérablement changé avec l'explosion des SLBs, qui ont représenté 23 % des émissions primaires en 2021. En janvier 2022, les obligations vertes ont représenté 70 % du mix et les SLBs sont passées de 0,1 % un an auparavant à 10,7 % du marché de la dette ESG d'entreprise. (Source : Bloomberg et La Française AM).

    COMMENT EXPLIQUER CETTE TENDANCE ? UNE PLUS GRANDE FLÉXIBILITÉ DES SLBs PAR RAPPORT AUX OBLIGATIONS VERTES

    • La taille minimale des émissions d’obligations vertes : Le format de référence des obligations vertes (300 à 500 millions de dollars) ne convient qu'aux entreprises ayant des bilans / flux de trésorerie opérationnels importants et des programmes de financement annuels de plusieurs milliards de dollars. Le format des obligations vertes ne répond cependant pas aux besoins de financement des petites entreprises qui ne cherchent qu'à lever 500 millions de dollars tous les cinq ans, pour financer leurs investissements ou à d'autres fins.
       
    • L’éligibilité limitée des projets verts : Pour être éligibles au financement par obligations vertes, les projets environnementaux sont soumis aux Principes des Obligations Vertes et/ou à la Climate Bonds Initiative (CBI) ainsi qu'au futur cadre européen pour les obligations vertes. Les obligations vertes sont plus adaptées à certains types de secteurs, comme le montre la répartition sectorielle actuelle. Le marché des obligations vertes est dominé par les gouvernements (37 %) et si l'on se concentre sur le segment des entreprises, les financières en occupent une part importante (32 %), suivies par les services aux collectivités européens (17 %). Les autres secteurs ne représentent que 14 % du marché des obligations vertes. (Source : Bloomberg et La Française AM)

    Les SLBs, compte tenu de leur flexibilité accrue, constituent une alternative intéressante. L'émetteur d'une SLB peut en utiliser le produit pour des projets verts ou non verts, ou même à des fins générales telles que les dépenses d'exploitation traditionnelles, etc. Il n'est plus question de taille des projets éligibles par rapport aux besoins de financement totaux. Le marché des obligations vertes scrute, à juste titre, les projets, mais aussi les entreprises qui tentent d'accéder à cette forme de financement. Il existe un risque prononcé de « greenwashing », qui pourrait évidemment entraîner un risque de réputation pour une entreprise opérant dans un secteur hautement polluant qui choisirait de se tourner vers le marché des obligations vertes. D'après nos discussions avec des émetteurs des secteurs du ciment et de l'énergie, le marché des obligations vertes présenterait plus de risques que d'opportunités. En allant au-delà des projets eux-mêmes, les SLBs, qui se concentrent quant à elles sur l'engagement à long terme de l'entreprise (réduction des émissions ou des inégalités sociales), soulignent les efforts de l'entreprise et assurent la transparence en matière de transition, sans courir le risque de « greenwashing ». Le greenwashing demeure un risque si ces ambitions sont jugées insuffisantes, mais un risque réduit, car les investisseurs dans les SLBs pourraient être moins attachés au format de l'obligation.

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    news-2941 Wed, 09 Mar 2022 14:15:02 +0100 Note : tests de résistance bancaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-tests-de-resistance-bancaire/ Achevé de rédiger le 08 | 03 | 2022 Stress tests bancaires ukraine/russie

    L’année 2022 devait marquer le début d’une nouvelle ère pour les banques européennes : celle des premières hausses de taux avec des perspectives fructueuses de revenus. C’était sans compter sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

    En effet, le conflit en Ukraine peut avoir de larges implications pour les banques européennes, notamment en raison de provisions pour perte sur prêts plus élevées, des pertes de trading ainsi qu’un cycle de hausses de taux retardé. Les actionnaires seront affectés en 2022, notamment si les banques européennes touchées par la crise ukrainienne décident de réduire et d’arrêter le versement de leurs dividendes. A ce stade et en l’absence d’informations sur la durée de la guerre ainsi que l’ampleur finale de celle-ci, il est difficile d’estimer l’ensemble de ces impacts.

    Cependant, les principales banques européennes exposées à la Russie, l’Ukraine et la Biélorussie publient des communiqués de presse afin d’informer les investisseurs de leurs expositions ou non, avec plus ou moins de détails. Les banques européennes les plus exposées à la Russie et à l’Ukraine sont : Raiffeisen Bank International avec 13,7 % d'exposition (en % de l'exposition aux prêts), 1,9 % pour UniCredit, 1,8 % pour Société Générale, 1,2 % pour Intesa Sanpaolo et 0,6 % pour ING Groep.

    Afin d’avoir une idée de la perte potentielle sur leur filiale russe/ukrainienne, nous avons testé les banques ci-dessus citées dans des scénarios de stress beaucoup plus sévères que les scénarios dits « d’expropriation » qui ont été publiés par certaines banques.

    Double stress test avec des hypothèses très sévères sur les expositions directes à la Russie/Ukraine/Biélorussie : 

    Nous supposons dans un premier stress test (i) une baisse de 10 % des revenus du groupe, (ii) des provisions pour pertes sur prêts de 10 % de prêts russe/ukrainien/biélorusse, (ii) la nationalisation de l'entité locale avec la perte subséquente des capitaux propres, (iv) la perte du financement intragroupe, (v) une baisse de 80 % des actifs pondérés par le risque des filiales russe/ukrainienne/biélorusse. Nous ajoutons tout de même un bouclier fiscal de 20 % sur les points (ii), (iii), (iv).

    1 - Résultat de cette première simulation

       RBI UniCredit   Société Générale  Intesa Sanpaolo  ING Groep
    Perte en capital (mds)   4.2  4.15  4.5  2.27  2.3
     Baisse des RWAs (mds)  13.7  7.52  5.6  2.08  1.04
     Impact CET1 (en bps)  310  99  144  54  68

    Afin de tester un scénario du pire cas possible (selon nous), nous supposons dans un second stress test (i) une baisse de 10 % des revenus du groupe, (ii) des provisions pour pertes sur prêts de 25 % de prêts russe/ukrainien/biélorusse, (ii) la nationalisation de l'entité locale avec la perte subséquente des capitaux propres, (iv) la perte du financement intragroupe, (v) une baisse de 80 % des actifs pondérés par le risque des filiales russe/ukrainienne/biélorusse. Nous ajoutons tout de même un bouclier fiscal de 20 % sur les points (ii), (iii), (iv).

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    news-2940 Wed, 09 Mar 2022 09:45:27 +0100 Le risque de stagflation et le choc d’offre en cours ne devraient pas faire reculer la BCE. #flexibilité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-risque-de-stagflation-et-le-choc-doffre-en-cours-ne-devraient-pas-faire-reculer-la-bce-flexibilite/ La Banque centrale européenne (BCE) tiendra sa conférence de presse trimestrielle le 10 mars. Le Conseil des gouverneurs mettra à jour ses projections macroéconomiques avec une pression inflationniste accrue et des risques de baisse de la croissance. La BCE pourrait poursuivre la normalisation progressive de sa politique monétaire malgré les incertitudes liées à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Nos attentes pour cette réunion :

    • Nous nous attendons à ce que la BCE garde autant d'options que possible (Philip Lane : "La BCE n'aura pas de réponse définitive sur l'impact de la guerre cette semaine").
    • Nous nous attendons à ce que la BCE repousse le moment où elle fournira au marché des indications plus concrètes quant à l'avenir du programme d'achat d'actifs (APP), mais nous pensons qu’elle va continuer à évoquer ses intentions de réduire progressivement son accommodation monétaire.
    • Nous nous attendons à ce que la BCE insiste sur le fait que les achats pourraient être augmentés à nouveau ou repris si nécessaire (c'est-à-dire en cas de retour d’un marché obligataire fragmenté).
    • Sur le plan économique, nous nous attendons à ce que les projections d'inflation de la BCE soient revues nettement à la hausse en 2022 (de 3,2 % à 5,7 %), montrant une inflation supérieure à 2 % en 2023 (de 1,8 % à 2,1 %) et à 2 % à la fin de l'horizon de prévision. Du côté de la croissance, les projections devraient indiquer une croissance plus faible en 2022 (de 4,2% à 3,8%) et en 2023 (de 2,9% à 2,5%) et inchangée en 2024 (1,6%).
    • Nous ne prévoyons pas d'annonce sur une nouvelle série d'opérations ciblées de refinancement à plus long terme (TLTRO) ni sur une augmentation des ratio multiplicateurs. Dans l'ensemble, nous attendons très peu de la BCE cette semaine. La situation est trop incertaine et l'impact négatif sur la croissance économique est impossible à évaluer pour le moment. Il en va de même pour les anticipations d'inflation à moyen terme. Nous n’anticipons donc pas une réunion dovish car nous nous attendons à ce que la présidente Lagarde réitère la volonté de la BCE de réduire sa politique accommodante au cours de l'année 2022.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2939 Wed, 09 Mar 2022 09:28:59 +0100 Convictions Crédit https://www.youtube.com/watch?v=_mGOgqmEGPE news-2936 Tue, 08 Mar 2022 09:00:00 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-actions-france-pme-2/ La société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP « La Française Actions France PME » afin de changer l’heure de centralisation des souscriptions et des rachats du FCP. Ainsi, les demandes de souscription et de rachat seront désormais centralisées auprès de La Française AM Finance Services chaque jour de calcul de la valeur liquidative (J) à 12h00 en lieu et place de 11h00
    actuellement.

    Cette modification du FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 11 mars 2022.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Actions France PME »

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2935 Tue, 08 Mar 2022 09:00:00 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Patrimoine Flexible » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-patrimoine-flexible/ La société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP « La Française Patrimoine Flexible » afin de modifier l’heure de centralisation des souscriptions et des rachats du FCP. Ainsi, les demandes de souscription et de rachat seront désormais centralisées auprès de La Française AM Finance Services chaque jour de calcul de la valeur liquidative (J) à 12h00 en lieu et place de 11h00 actuellement.

    Cette modification du FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 11 mars 2022.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Patrimoine Flexible »

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2934 Tue, 08 Mar 2022 09:00:00 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Séréni Flex » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-sereni-flex/ La société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP « La Française Séréni Flex » afin de changer l’heure de centralisation des souscriptions et des rachats du FCP. Ainsi, les demandes de souscription et de rachat seront désormais centralisées auprès de La Française AM Finance Services chaque jour de calcul de la valeur liquidative (J) à 12h00 en lieu et place de 11h00 actuellement.

    Cette modification du FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 11 mars 2022.
    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Séréni Flex »

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2932 Fri, 04 Mar 2022 10:54:31 +0100 Flash Marché High Yield /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marche-high-yield/ L’objectif de ce flash est d’évaluer l’impact potentiel du conflit actuel en Ukraine sur le marché High Yield et ses implications sur les portefeuilles La Française Rendement Global 2025 et La Française Rendement Global 2028. Ce faisant, comme cela fut le cas pendant la crise du Covid, nous essayerons :

    1. D’identifier les différents scénarios possibles et leurs implications sur le marché High Yield (primes de risques et taux de défaut du marché)
    2. De transposer (dans un 2ème temps) ces scénarios sur nos portefeuilles pour évaluer leurs impacts sur les performances des fonds LF RG 2025 et LF RG 2028 (notamment sur les valeurs liquidatives à échéance des fonds).

    LES DIFFERENTS SCENARIOS ET LEURS IMPACTS SUR LE MARCHE HIGH YIELD

    A ce stade et en se basant sur les informations à notre disposition, nous pouvons envisager 3 scénarios.

    Scénario « Pessimiste », celui d’un enlisement du conflit en cours avec des pertes humaines de plus en plus importantes. Dans ce cas, les pays européens et leurs alliés imposeront de nouvelles sanctions économiques à la Russie et continueront à soutenir l’armée Ukrainienne. Le président Poutine riposte en déployant des forces militaires plus importantes et en menaçant d’autres pays limitrophes. Il n’est pas exclu que le président Poutine s’attaque économiquement aux pays européens allant jusqu’à couper les approvisionnements en gaz et autres matières premières aux principaux partenaires (ex. Allemagne).

    Les impacts économiques et financiers de ce scénario seraient les suivants :

    • Une hausse significative des prix des matières premières (pétrole, gaz, produits agricoles…) pendant une période prolongée ;
    • Un défaut de la Russie et de la grande majorité des sociétés Russes privées ou quasi-étatiques avec des effets de contagion sur le système bancaire et financier (mondial) qui peuvent être importants ;
    • Risque de contagion sur les autres pays émergents limitrophes (Turquie et autres) ;
    • Les primes de risques du marché High Yield augmentent de +150-250 points de base (pbs) vs le niveau actuel (@ 415 pbs) pour acter la dégradation du contexte macro-économique. Un scénario de stagflation n’est pas à exclure dans ce cas ;
    • Hausse importante des taux de défaut du HY global à 6,5% d’ici la fin d’année 2022 et de 6% en 2023 vs 2% fin 2021 ;
    • D’un point de vue sectoriel, les secteurs les plus impactés négativement seraient : l’industrie (automobile, chimie…), la consommation cyclique, l’alimentaire, le secteur financier (banques, assurances et autres services financiers…) ; les secteurs les moins exposés seraient : les Télécommunications/Media/Technologies (TMT), la Santé, les Services, l’Energie et les Matières premières ;
    • D’un point de vue géographique, les marchés High Yield US et LATAM seraient les principaux bénéficiaires compte tenu du poids prépondérant du secteur énergétique et matières premières (jusqu’à 70% dans les indices HY LATAM). Le marché européen serait beaucoup plus impacté que le marché américain compte tenu de la proximité géographique du conflit et de l’impact négatif de la hausse des prix des matières premières sur les économies européennes. Enfin, les marchés High Yield d’Europe et d’Asie centrale seraient les plus endommagés avec une hausse massive des défauts (rappelons que la Russie, la Turquie et l’Ukraine sont respectivement les 1ers, 3èmes et 4èmes contributeurs à l’indice High Yield de cette zone avec un poids cumulé d’environ 50%) ;
    • Le seul point positif qui découlerait de ce scénario serait l’intervention des banques centrales (BCE et BOE) en priorité pour limiter la contagion et une hausse massive des taux de défaut (notre prévision d’un taux de défaut de 6,5% d’ici la fin d’année et 6% en 2023 tient compte de l’intervention des banques centrales). Rappelons que le taux de défaut moyen sur le marché HY sur les 10 dernières années est de 2%.

    Scénario « Optimiste » celui de l’arrêt rapide du conflit par la voie diplomatique qui pourrait satisfaire les différentes parties du moins à court terme en attendant une solution plus durable. En contrepartie, les sanctions sur la Russie seraient allégées voire levées complètement.

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    news-2930 Tue, 01 Mar 2022 17:43:42 +0100 Flash marché /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marche/ Achevé de rédiger le 28 | 02 | 2022 Le week-end a montré des développements importants dans la crise géopolitique qui secoue désormais le monde. 

    Les sanctions européennes que l’on pensait modérées, en dépit de déclarations volontaristes, s’avèrent en effet beaucoup plus sévères et, au-delà, ce sont de vrais bouleversements géopolitiques que l’on voit apparaître en Europe. L’onde de choc psychologique et politique de cette crise se lit dans le changement historique de l’Allemagne qui décide un programme de réarmement massif, ainsi qu’une implication claire dans l’altercation avec l’envoi de matériel en Ukraine. La réaction ne se limite pas à celle de l’Allemagne mais est bien globale. L’escalade devient une évidence avec la menace nucléaire agitée par Moscou face à cet engagement européen.

    En terme économique, il faut signaler les sanctions massives décidées à l’encontre de la Russie et de ses dirigeants, et notamment par l’Europe. Le système bancaire russe sera finalement largement impacté et l’économie russe dans son ensemble se retrouve sous pression.

    Au-delà de l’émotion que nous ressentons tous devant cette crise, les impacts économiques sont préoccupants. Ils sont naturellement négatifs sur l’économie mondiale et en particulier sur l’économie européenne. La question des matières premières et du gaz se pose plus que jamais alors que l’on peut attendre une réaction russe en réponse à ce train de sanctions et à l’engagement européen aux cotés de l’Ukraine. On peut désormais imaginer que la Banque Centrale Européenne (BCE) devra infléchir sa position et reconsidérer rapidement sa cible prioritaire de stabilité des prix. En effet, l’inflation aura un effet finalement récessif et le scénario de boucle prix-salaire s’éloigne probablement.

    Concernant nos portefeuilles, nous n’étions pas directement exposés à l’Ukraine et à la Russie. Nous considérons la visibilité comme toujours très réduite et les derniers développements militent pour une prudence renforcée sur les marchés. Même si les banques centrales s’efforçaient à nouveau d’améliorer les conditions financières, cela ne pourra avoir, au mieux, qu’un effet de stabilisation des marchés.

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    news-2929 Tue, 08 Mar 2022 09:00:00 +0100 La Française REM lance une nouvelle offre locative: "WELLCOME by La Française" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-lance-une-nouvelle-offre-locative-wellcome-by-la-francaise/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion pour le compte d’investisseurs privés et institutionnels, a la conviction forte que la facilitation et l’enrichissement du parcours locataire participent à minimiser les risques de vacance et à optimiser les conditions locatives des actifs composant son parc immobilier. La société de gestion a pour volonté de toujours proposer “mieux et plus facilement” à ses clients.

    Pour ce faire, la Cellule de Transformation de l‘Offre Locative, sous la direction de Jean-Marie Célérier, avec l’appui des experts de La Française REM, a construit une nouvelle offre locative baptisée « WELLCOME by La Française ». Jean-Marie Célérier explique, « WELLCOME by La Française a pour objectif de satisfaire les besoins de flexibilité de notre client tout en lui apportant la meilleure expérience possible, depuis son emménagement dans un actif géré par La Française REM jusqu’à son utilisation quotidienne des espaces. »

    WELLCOME by La Française offre deux grandes innovations axées sur la flexibilité contractuelle et un programme d’avantages exclusifs, négociés avec des partenaires de confiance à moindre coût, risque ou délai pour les clients de La Française REM.

    Fort de l’enseignement de la crise sanitaire et à l’écoute des besoins de ses locataires, La Française REM a développé deux nouveaux baux flexibles en complément du bail traditionnel et du contrat de coworking :

    • Bail Partage : Il s’agit d’un bail commercial traditionnel qui intègre une option « avance sur travaux de réaménagement ». Le locataire, souhaitant opérer des changements d’organisation et de réaménagement de ses espaces, peut bénéficier d’une avance sur ses travaux, allant jusqu’à l’équivalent de six mois de loyers. Seulement 90 % des sommes avancées sont remboursées en échange d’un léger allongement de la durée du bail, selon des conditions prédéfinies et sans intérêt.
    • Bail Agile : Conçu tout particulièrement pour les clients nécessitant de la souplesse dans la gestion de leurs opérations, il leur permet une flexibilité maximale avec un préavis de seulement 6 mois glissant ; il peut à tout moment activer des options de franchise de loyer en échange d’un rallongement du préavis, selon des conditions prédéfinies et sans surcoût.

    Et pour rendre ses bureaux encore plus accessibles, La Française REM propose un ensemble de services à la carte, prénégociés à des tarifs préférentiels et permettant un gain de temps de réalisation pour son client. Cette offre sera enrichie dans le temps et les avantages sont entièrement au bénéfice du locataire. Trois partenariats ont été signés à ce jour :

    • Watt Design and Build : société spécialisée depuis dix ans dans l’accompagnement des utilisateurs pour l’aménagement de leurs espaces de travail. Pour les locataires de La Française REM, Watt D&B propose des gammes d’aménagement de bureaux prêtes à l’emploi ou à personnaliser.
    • Welcome at Work : concept dédié à la création, la gestion et l’animation des parties communes et privatives des immeubles de bureaux, favorisant l’épanouissement des résidents. Welcome at Work, acteur leader de l’hospitality, propose une offre servicielle et expérientielle complète, adaptée et personnalisée en fonction des différentes typologies d’actifs et de leurs caractéristiques en reprenant les codes de l’hôtellerie haut de gamme.
    • Hiptown (Nexity) : jeune start-up fondée en 2019, aspire à créer des lieux de travail où l’épanouissement rime avec efficacité. A travers son offre RESILIENCE, Hiptown propose de rentabiliser tout ou partie des espaces inoccupés du client-locataire par la commercialisation de postes de travail flexibles auprès de l’externe.

    WELLCOME by La Française est actuellement disponible sur douze actifs, localisés en France et gérés par La Française REM mais a pour vocation d’être étendu sur son parc immobilier, en France comme à l’international.

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers conclut, « Dans une situation ’accélération des transformations des besoins des entreprises, La Française Real Estate Managers place l’offre locative au centre de ses priorités et souhaite offrir à ses clients une expérience différenciante. La performance de notre patrimoine dépend de la fidélisation des locataires et de l’attractivité de nos actifs dans leurs marchés respectifs. En plus de louer des bureaux bien situés et de bonne qualité, La Française Real Estate Managers répondra aux attentes de ses clients actuels et futurs avec des baux flexibles et un choix exclusif de services développés avec des partenaires, experts dans leurs domaines. »

    Découvrez "Wellcome by La Française"

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    news-2928 Tue, 01 Mar 2022 10:22:33 +0100 Modification du prix de part de la SCPI SELECTINVEST 1 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-selectinvest-1/ Nous vous informons que la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI SELECTINVEST 1. Nous vous informons que la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI SELECTINVEST 1. 

    Depuis quelques années, la société de gestion a entrepris d'importants travaux sur le portefeuille immobilier de la SCPI tels que la restructuration d'immeubles importants, mais aussi un plan d’arbitrage et de réinvestissement afin de renouveler le patrimoine. Ces travaux ont abouti dans un premier temps au redressement du résultat immobilier de la SCPI, puis dans un second temps à la valorisation immobilière du patrimoine, conduisant la société de gestion à augmenter le prix de part de SELECTINVEST 1.

    Dans ce contexte, à compter du 1er mars 2022, le prix de souscription de la SCPI SELECTINVEST 1 augmente de 0,79 % et est composé de la manière suivante :
     
    Valeur nominale : 153 €
    Prime d'émission : 487 €
    --------------------------
    Prix de souscription : 640 €

    Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 640 € 
    dont 40,00 € HT, soit  48,00 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (6,25 % HT, soit 7,5 % TTC au taux de TVA en vigueur).
     
    Valeur de retrait : 600 €

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    La note d’information de Sélectinvest 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-38 en date du 1er septembre 2017. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).

    La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce. 

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    news-2927 Tue, 01 Mar 2022 10:19:50 +0100 Modification du prix de part de la SCPI EPARGNE FONCIERE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-epargne-fonciere/ Nous vous informons que la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI EPARGNE FONCIERE. Après une fusion réussie, rétroactive au 1er janvier 2021, Epargne Foncière est devenue la SCPI la plus importante du marché avec une capitalisation de 4,5Mds€ à fin 2021. Son succès commercial s’en est trouvé renforcé et la SCPI a pu continuer à investir en France et à l’étranger en privilégiant les actifs centraux de dernière génération et présentant de bonnes caractéristiques en matière énergétique. Les valeurs d’expertises, favorablement orientées en fin d’année 2021, conduisent la société de gestion à augmenter le prix de part d’EPARGNE FONCIERE.

    Dans ce contexte, à compter du 1er mars 2022, le prix de souscription de la SCPI EPARGNE FONCIERE augmente de 0,97 % et est composé de la manière suivante : 

    Valeur nominale : 153 €
    Prime d'émission : 682 €
    --------------------------
    Prix de souscription : 835 €
     
    Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 835 € 
    dont 62,62 € HT, soit  75,15 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,50 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur).

    Valeur de retrait : 772,38 €

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    La note d’information d’Épargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n° 21-03, en date du 16 mars 2021. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).

    La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce. 

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    news-2926 Tue, 01 Mar 2022 10:17:33 +0100 Modification du prix de part de la SCPI LF OPPORTUNITE IMMO /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-prix-de-part-de-la-scpi-lf-opportunite-immo/ Nous vous informons que la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI LF OPPORTUNITE IMMO. Les livraisons récentes de plusieurs parcs d’activités jusque-là en développement et leur commercialisation courant 2021 ont conduit à une forte amélioration de la situation locative de LF OPPORTUNITE IMMO avec notamment une hausse du taux d’occupation physique de près de 5 points. Ainsi, à fin 2021, les valeurs d’expertises des actifs de la SCPI se sont appréciées de près de 3 %, conduisant la société de gestion à augmenter le prix de part de LF OPPORTUNITE IMMO.

    Dans ce contexte, à compter du 1er mars 2022, le prix de souscription de la SCPI LF OPPORTUNITE IMMO augmente de 1,50 % et est composé de la manière suivante :
     
    Valeur nominale : 150 €
    Prime d'émission : 53 €
    --------------------------
    Prix de souscription : 203 €

    Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 203 €
    dont 18,27 € HT, soit  21,92 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (9 % HT, soit 10,8 % TTC au taux de TVA en vigueur).
     
    Valeur de retrait : 184,73 €

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    La note d'information de LF Opportunité Immo a reçu le visa AMF SCPI n°17 36 en date du 1er septembre 2017.
    La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).

    La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce. 

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    news-2925 Fri, 25 Feb 2022 17:32:38 +0100 Conflit Russie - Ukraine : quels impacts sur les marchés ? https://www.youtube.com/watch?v=iF6nCz0OTvY news-2924 Tue, 01 Mar 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers soutient « Ville de Demain », la verticale Proptech de l’incubateur HEC /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-soutient-ville-de-demain-la-verticale-proptech-de-lincubateur-hec/ Lancée dès 2021 en partenariat avec l’incubateur HEC à la Station F, « Ville de Demain », association dont l’objectif est d’accompagner les acteurs du secteur immobilier dans la transformation digitale et environnementale de la Ville, annonce l’arrivée de son premier partenaire institutionnel, La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion (31/12/2021). La Française REM, sous le leadership de Jean-Marie Célérier, Directeur de la Cellule de Transformation de l’Offre Locative et Pascale Cheynet, Directrice de l’Innovation, du Développement Corporate et de la Communication, rejoint le pool de compétences, comprenant notamment l’incubateur HEC et le Professeur Bertrand Quelin (HEC Paris), constitué par « Ville de Demain » pour permettre l’accélération de l’innovation du secteur immobilier par l’accompagnement du développement de startups. Ce partenariat « win-win » implique l’engagement de la société de gestion dans la commission d’analyse des startups candidates, leur incubation éventuelle au sein de l’environnement La Française REM, le beta-testing des innovations…

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, détaille le partenariat, « La Française REM est une société de gestion responsable, visionnaire et résiliente. « Ville de Demain » a su regrouper dans une logique associative les principales parties prenantes nécessaires à la transformation durable du secteur immobilier. En qualité de membre de l’European Proptech Association, la portée de « Ville de Demain » s’étend à l’international. Nous souhaitons jouer un rôle clé et impulser cette dynamique d’innovation pour permettre au secteur immobilier de se transformer dans une approche d’industrialisation. Nous apporterons notre soutien en tant qu’expert et acteur historique en immobilier, au sein de la commission “ investissement et asset management ’’. »

    Nicolas Regnier, Program Director de « Ville de Demain », conclut, « L'immobilier obéit à une logique de temps long. Cela peut contraster avec la dynamique des startups en créant des obstacles à leur développement. C’est d’ailleurs pour cela qu’il y a si peu de « licornes » dans ce secteur. Pouvoir intégrer dans « Ville de Demain » un acteur de premier plan tel que La Française Real Estate Managers, est par conséquent un signal fort pour le secteur. C’est également la preuve que la transformation digitale et environnementale est lancée et soutenue. »

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    news-2919 Fri, 25 Feb 2022 15:49:10 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA FRANCAISE LUX – Multistratégies Obligataires (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-fr/ Cher Actionnaire,

    Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer au Compartiment, en vertu des dispositions du prospectus de la Société, un facteur de swing pricing plus élevé avec effet à compter du 25 février 2022 (la « Date d'entrée en vigueur »), et ce, jusqu'à nouvel ordre.

    1. Raisons de l'application du swing pricing

    L'environnement de marché actuel, dû au conflit entre la Russie et l'Ukraine, affecte gravement la liquidité et la tarification des instruments négociés par le Compartiment, ce qui se traduit par un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs. Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d'administration a décidé d'augmenter le facteur de swing pricing pour le Compartiment, tel que précisé ci-dessous.µ

    2. Informations pratiques

    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus. Le facteur de swing maximum (exprimé en pourcentage de la valeur nette d'inventaire) sera augmenté jusqu'à 5 %. Le seuil de swing pricing est fixé à 1 %.

    Le facteur de swing maximum sera constamment révisé et sera réduit dès qu'il ne sera plus nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la réduction du facteur de swing maximum via un avis distinct sur le site internet.

    Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

    Avec nos meilleures salutations,

    Au nom du Conseil d’administration

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    news-2918 Fri, 25 Feb 2022 15:46:15 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA FRANCAISE LUX – Multistratégies Obligataires (LE « COMPARTIMENT ») FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-be/ Cher Actionnaire,

    Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer au Compartiment, en vertu des dispositions du prospectus de la Société, un facteur de swing pricing plus élevé avec effet à compter du 25 février 2022 (la « Date d'entrée en vigueur »), et ce, jusqu'à nouvel ordre.

    1. Raisons de l'application du swing pricing

    L'environnement de marché actuel, dû au conflit entre la Russie et l'Ukraine, affecte gravement la liquidité et la tarification des instruments négociés par le Compartiment, ce qui se traduit par un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs.

    Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d'administration a décidé d'augmenter le facteur de swing pricing pour le Compartiment, tel que précisé ci-dessous.

    2. Informations pratiques

    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.

    Le facteur de swing maximum (exprimé en pourcentage de la valeur nette d'inventaire) sera augmenté jusqu'à 5 %. Le seuil de swing pricing est fixé à 1 %.

    Le facteur de swing maximum sera constamment révisé et sera réduit dès qu'il ne sera plus nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la réduction du facteur de swing maximum via un avis distinct sur le site internet.

    Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

    La version mise à jour du prospectus (intégrant notamment les changements ci-dessus), les DICI seront disponibles gratuitement en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais au siège de la Société, sur le site : www.fundinfo.com ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV dès qu’elle aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Avec nos meilleures salutations,

    Au nom du Conseil d’administration

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    news-2913 Fri, 25 Feb 2022 15:29:52 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DE LA FRANCAISE LUX – Carbon Impact Income (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-carbon-impact-income-le-compartiment-fr-fr/ Cher Actionnaire,

    Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer au Compartiment, en vertu des dispositions du prospectus de la Société, un facteur de swing pricing plus élevé avec effet à compter du 25 février 2022 (la « Date d'entrée en vigueur »), et ce, jusqu'à nouvel ordre.

    1. Raisons de l'application du swing pricing

    L'environnement de marché actuel, dû au conflit entre la Russie et l'Ukraine, affecte gravement la liquidité et la tarification des instruments négociés par le Compartiment, ce qui se traduit par un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs. Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d'administration a décidé d'augmenter le facteur de swing pricing pour le Compartiment, tel que précisé ci-dessous.

    2. Informations pratiques

    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus. Le facteur de swing maximum (exprimé en pourcentage de la valeur nette d'inventaire) sera augmenté jusqu'à 5 %. Le seuil de swing pricing est fixé à 1 %. Le facteur de swing maximum sera constamment révisé et sera réduit dès qu'il ne sera plus nécessaire,en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la réduction du facteur de swing maximum via un avis distinct sur le site internet. Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

    Avec nos meilleures salutations,

    Au nom du Conseil d’administration

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    news-2904 Wed, 23 Feb 2022 15:59:21 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DE LA FRANCAISE LUX FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-fr-fr/ Conformément aux directives de l'ESMA sur les commissions de performance dans les OPCVM et certains types de FIA publiées le 3 avril 2020 (les « Directives de l'ESMA »), le conseil d'administration de la Société vous informe que le prospectus de la Société (le « prospectus ») a été mis à jour afin de prendre en compte les exigences des Directives de l'ESMA. Les paragraphes décrivant la commission de performance dans le prospectus ont été reformulés comme suit :

    « Le gestionnaire d'investissement percevra, le cas échéant, une commission de surperformance lorsque la performance d'un compartiment dépasse celle de l'indice de référence indiqué ci-dessous,
    qu'il ait enregistré une performance positive ou négative. La commission de surperformance, applicable à une classe d'actions donnée, est basée sur la comparaison entre les actifs valorisés du compartiment et les actifs de référence.

    Les “actifs valorisés” désignent les actifs d'un compartiment correspondant à une classe d'actions, évalués selon les règles d'évaluation applicables aux actifs du compartiment et après prise en compte des frais de fonctionnement et de gestion correspondant à ladite classe d'actions.

    Les “actifs de référence” désignent les actifs d'un compartiment hypothétique, dont la performance d'investissement est celle de l'indice de référence concerné et duquel sont déduits les montants des souscriptions et des rachats chaque jour d'évaluation.

    L'indice de référence utilisé pour calculer la commission de surperformance est indiqué dans la fiche du compartiment concerné et dans la section “Liste des classes d'actions disponibles”. La période de référence de la performance s'étend du premier jour de bourse de janvier au dernier jour de bourse de décembre de la même année.

    Fréquence de paiement La commission de surperformance est payée au gestionnaire d'investissement dans le mois qui suit la fin de la période de référence. En aucun cas la période de référence du fonds ne pourra être inférieure à un an.

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    news-2903 Wed, 23 Feb 2022 15:56:09 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DE LA FRANCAISE LUX de droit luxembourgeois FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-de-droit-luxembourgeois-fr-be/ Conformément aux directives de l'ESMA sur les commissions de performance dans les OPCVM et certains types de FIA publiées le 3 avril 2020 (les « Directives de l'ESMA »), le conseil d'administration de la Société vous informe que le prospectus de la Société (le « prospectus ») a été mis à jour afin de prendre en compte les exigences des Directives de l'ESMA. Les paragraphes décrivant la commission de performance dans le prospectus ont été reformulés comme suit :

    « Le gestionnaire d'investissement percevra, le cas échéant, une commission de surperformance lorsque la performance d'un compartiment dépasse celle de l'indice de référence indiqué ci-dessous, qu'il ait enregistré une performance positive ou négative. La commission de surperformance, applicable à une classe d'actions donnée, est basée sur la comparaison entre les actifs valorisés du compartiment et les actifs de référence.

    Les “actifs valorisés” désignent les actifs d'un compartiment correspondant à une classe d'actions, évalués selon les règles d'évaluation applicables aux actifs du compartiment et après prise en compte des frais de fonctionnement et de gestion correspondant à ladite classe d'actions.

    Les “actifs de référence” désignent les actifs d'un compartiment hypothétique, dont la performance d'investissement est celle de l'indice de référence concerné et duquel sont déduits les montants des souscriptions et des rachats chaque jour d'évaluation.

    L'indice de référence utilisé pour calculer la commission de surperformance est indiqué dans la fiche du compartiment concerné et dans la section “Liste des classes d'actions disponibles”.

    La période de référence de la performance s'étend du premier jour de bourse de janvier au dernier jour de bourse de décembre de la même année.

    Fréquence de paiement La commission de surperformance est payée au gestionnaire d'investissement dans le mois qui suit la fin de la période de référence. En aucun cas la période de référence du fonds ne pourra être inférieure à un an.

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    news-2898 Tue, 22 Feb 2022 09:56:44 +0100 La SCPI du trimestre : Épargne Foncière https://www.youtube.com/watch?v=8GNJLgac1Gk&t=1s Avec près de 5 Mds € de capitalisation, notre fonds emblématique permet d'offrir une mutualisation des risques et de se positionner sur des actifs importants.

    Cette SCPI traduit toutes nos convictions avec une approche patrimoniale et a conservé son dynamisme en renouvelant près de 50% de son patrimoine en quelques années.

    Découvrez Épargne Foncière en quelques minutes avec Guillaume Allard, Directeur Finances Fonds Retails à La Française REM.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-2897 Mon, 21 Feb 2022 16:11:19 +0100 REPLAY - Live Immobilier Janvier 2022 - Nos experts prennent la parole https://www.youtube.com/watch?v=z9XJOx4_k5U news-2895 Mon, 21 Feb 2022 09:51:34 +0100 Le défi des banques centrales /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-defi-des-banques-centrales/ Nous avions pointé fin décembre la trajectoire d’inflation comme l’élément capable de faire dérailler les marchés et c’est ce scénario qui se dessine. Il faut revenir à l’été 2008, pour observer un contexte comparable. Jean-Claude Trichet, alors Président de la BCE, devait alors faire face à une hausse des prix à la consommation de 4% et avait donc relevé ses taux de 4% à 4,25%.

    Nous sommes aujourd’hui sur une hausse de prix à la consommation qui continue d’accélérer et qui est désormais supérieure à 5% en zone Euro. Mais les taux directeurs européens sont toujours négatifs.
    Les banques centrales, notamment la BCE, n’ont finalement pas pu tenir leur position qui consistait à mener leur politique monétaire en regardant au-delà du pic d’inflation et les marchés ont été douchés par ce revirement.

    Au-delà du focus actuel sur l’inflation, il faut regarder le sujet de la croissance qui pourrait bientôt s’ajouter à nos préoccupations. En effet, le rebond post pandémie se modère et la hausse des prix va accentuer ce ralentissement en mordant sur le pouvoir d’achat. Le schéma économique présentant trop d’inflation et pas assez de croissance est un scénario adverse pour les marchés, et sans être le scénario central aujourd’hui, il risque néanmoins d’être évoqué prochainement.

    Bien entendu, c’est également un schéma complexe à gérer pour les banques centrales. Souvenons-nous qu’en 2008, Monsieur Trichet avait été critiqué pour sa hausse de taux alors que la croissance montrait déjà des signes d’essoufflement.

    Actions

    Depuis le début de l’année, les marchés actions ont été impactés par les annonces de durcissement de politiques monétaires aux Etats Unis et en Europe ainsi que par la situation géopolitique entre la Russie et les pays occidentaux.

    Encore aujourd’hui, les niveaux de volatilité sur les marchés actions restent élevés, principalement alimentés par des craintes géopolitiques. Parallèlement, la saison de publication des résultats reste globalement très positive et continue de soutenir les marchés. La croissance des revenus est supérieure aux attentes, grâce à une meilleure dynamique de l’activité commerciale au dernier trimestre.

    La croissance des bénéfices par action a également dépassé les espérances, s’établissant respectivement à +28 % et +44 %1 sur un an aux États-Unis et en Europe.

    A cette dichotomie entre la situation macro et micro, s’ajoutent des facteurs de soutien aux marchés actions. Les indicateurs avancés restent bien orientés, les niveaux de stocks se maintiennent sur des niveaux historiquement bas et le cycle d’investissement des entreprises devrait accélérer. De plus, les politiques de retours aux actionnaires ainsi que l’activité de fusions-acquisitions restent dynamiques.

    En définitive, nous considérons qu’il y a toujours un potentiel de hausse sur les marchés actions. Cependant et au vu de l’environnement de marché actuel nous renforçons notre attention concernant la sélection des titres.
     

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    news-2893 Tue, 15 Feb 2022 11:09:44 +0100 LA TAXONOMIE Répondre aux enjeux de la finance verte /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-taxonomie-repondre-aux-enjeux-de-la-finance-verte/ Le Plan d’action de la Commission européenne pour la finance durable, publié en mars 2018, décliné en 10 actions concrètes, vise à transformer l’approche des acteurs de la finance vis-à-vis des enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. Des 10 mesures, la plus importante de toutes concerne la création d’un socle commun pour tous les acteurs financiers qui permettra de réguler et d’harmoniser le marché des produits financiers dits « durables » : la Taxonomie européenne. La première partie, la Taxonomie Verte vient d’entrer en vigueur. QU’EST-CE QUE LA TAXONOMIE ? 

    La Taxonomie est un système de classification des activités économiques, au nombre de 76, qui sont évaluées en fonction de leur niveau de durabilité. La qualification d’une activité se fonde sur des critères quantitatifs et évolutifs, basés sur la science et disponibles publiquement. A ce jour, seule la Taxonomie dite « verte » est déployée et la liste des activités permet de flécher, d’encourager et d’accélérer les investissements nécessaires pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2050. Une Taxonomie sociale est en cours de développement. 

    QUELS SONT LES OBJECTIFS DE CETTE MESURE ?

    La Taxonomie s’adresse aux investisseurs et Entreprises de l’Union Européenne et permet aux investisseurs finaux d’avoir une meilleure visibilité sur le financement d’activités durables. 

    La Taxonomie s’applique à des activités économiques, donc des produits, et ne s’attache pas aux secteurs. Chaque Entreprise peut donc avoir certains produits alignés avec la Taxonomie et d’autres qui ne le sont pas. La Taxonomie verte liste les activités qui concourent aux 6 objectifs environnementaux suivants :

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    news-2891 Tue, 15 Feb 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers signe un mandat immobilier de 300 millions d'euros avec PFA /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-signe-un-mandat-immobilier-de-300-millions-deuros-avec-pfa/ Dans la continuité de son premier mandat, PFA, l'un des principaux fonds de pension danois, a renouvelé sa confiance auprès de La Française Real Estate Managers (REM) avec une ouverture européenne. Ce nouveau mandat Pan-Européen étendra ses investissements aux marchés résidentiels locatifs, tout en poursuivant l’acquisition de Résidences services seniors. Le mandat récemment signé prévoit une prise de participation initiale de 300 millions d'euros à investir dans les années à venir :

    • 200 millions d'euros à investir dans des résidences services seniors en Europe, en particulier en France et en Belgique ;
    • 100 millions d'euros dans le résidentiel locatif des grandes agglomérations françaises et principale villes belges.

    La Française REM possède une expertise historique dans les résidences gérées et les investissements résidentiels, avec respectivement 1 183 et 1 775 millions d'euros d'actifs sous gestion (31/12/2021).
    David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Managers - Division institutionnelle, a déclaré : « La Française et PFA travaillent ensemble avec succès depuis plus de deux ans. PFA nous a confié un premier mandat de 100 millions d'euros en octobre 2019 pour l'acquisition et la gestion d'un portefeuille français de résidences services seniors. Après avoir investi ce capital, nous sommes ravis de renforcer notre partenariat et d'élargir notre champ d'action géographique à d'autres pays européens et d'étendre notre stratégie au secteur locatif privé. Nous serons certainement en mesure de tirer parti, au bénéfice de PFA, de notre plateforme internationale d'investissement immobilier qui comprend des équipes d'investissement dans toute l'Europe. Au nom de La Française REM, je tiens à remercier PFA pour sa confiance. »

    « Nous avons travaillé fructueusement avec La Française pendant quelques années et renforçons maintenant notre relation pour développer davantage nos stratégies dans l'immobilier résidentiel et résidentiel géré en Europe », déclare Michael Bruhn, Directeur général de PFA.

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    news-2890 Mon, 14 Feb 2022 09:12:50 +0100 On n'arrête plus l'inflation ! https://www.youtube.com/watch?v=ffhuKPtTfao On n'arrête plus l'inflation ! [Boucler la boucle – Épisode 22] news-2886 Fri, 11 Feb 2022 10:23:52 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert deux immeubles mitoyens à usage de bureaux et de commerces à Bristol, au Royaume-Uni /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-deux-immeubles-mitoyens-a-usage-de-bureaux-et-de-commerces-a-bristol-au-royaume-uni/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Europimmo, a acquis auprès de IV Real Estate deux immeubles mitoyens à usage de bureaux et de commerces à Bristol, l'un des six premiers marchés régionaux tertiaires au Royaume-Uni.
  • Gilbert House (environ 1 184 m2), un bâtiment Art déco classé Grade II construit en 1933 par Sir Gilbert Scott et entièrement rénové en 2020-2021,
  • un bâtiment au 41 Corn Street (environ 2 237 m2), construit en 1964 et rénové en 2020/2021, 
  • Les immeubles récemment rénovés et entièrement loués dans le cadre de baux long terme offrent des locaux de qualité dans le cœur historique de Bristol, à moins de 15 minutes à pied de la gare de Bristol Temple Meads. Ils répondent à la demande du marché en proposant des locaux à vélos, des terrasses sur le toit, des équipements neufs ainsi qu’une belle hauteur sous plafond. 

    Corn Street, qui est historiquement le quartier bancaire de la ville, abrite aujourd'hui de nombreux restaurants et hôtels haut de gamme. Le cadre attractif et le bon niveau de services en font un quartier attrayant pour l'implantation de jeunes entreprises. Les bureaux sont entièrement loués à une société technologique active dans le secteur du e-commerce et les deux locaux commerciaux du rez-de-chaussée sont loués à des enseignes de loisirs. 

    Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Il y a un faible taux de vacance et une offre limitée de bureaux de catégorie A dans le centre de Bristol. Un nouveau dynamisme émerge avec de nombreux bureaux secondaires convertis en résidences, hôtels et équipements de loisirs, contribuant à en faire un lieu de vie et de travail attrayant. » 

    La Française REM a été conseillée par Joiner Cummings. IV Real Estate a été conseillé par Savills et Alder King.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2884 Fri, 11 Feb 2022 09:09:27 +0100 L'inflation, et après ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linflation-et-apres/ Par François Rimeu, Stratégiste Sénior, La Française AM L'inflation est l'une des principaux sujets - si ce n'est LE plus important - des marchés financiers en ce moment, et cela pourrait bien rester le cas pendant au moins six mois. Dans cet article, nous nous emploierons à passer en revue ce que l'inflation « pourrait » nous réserver à l'avenir, les risques et les conséquences pour les banques centrales. En guise d'introduction, il est important de souligner que personne ne connait l’avenir, que les incertitudes restent élevées et qu'il n'y a pratiquement aucune période historique à laquelle nous puissions nous référer pour estimer comment et quand l'inflation pourrait baisser. Nous allons donc essayer de déterminer l'issue qui nous paraît la plus probable.

    Selon nos prévisions, l'inflation de la zone Euro devrait s’élever en moyenne à 4,7 % sur 2022, soit 150 points de base au-dessus de l'estimation de la Banque Centrale Européenne (BCE) en décembre, et l'inflation sous-jacente s'établir en moyenne à 2,7 %, soit 80 points de base au-dessus de l'estimation de la BCE. Plus précisément, nous anticipons une inflation globale supérieure à 5 % au moins jusqu'en juin, suivie d'une baisse lente au troisième trimestre et d'une baisse plus prononcée au quatrième trimestre. Nous nous attendons à ce que l'inflation globale se situe autour de 3 % à la fin de l'année et l'inflation sous-jacente à environ 2,3 %. Les effets de base deviendront très négatifs dans les mois à venir (en raison des prix de l'énergie et des ruptures d'approvisionnement). 

    La hausse des prix du gaz naturel et du pétrole est à l'origine de la plupart des révisions haussières depuis le début de l'année. En termes de perspectives sur le secteur énergétique, la situation reste très incertaine avec certains facteurs haussiers qui devraient disparaître à un moment donné tandis que d'autres pourraient durer plus longtemps (par exemple, la transition énergétique en Europe entraînant la fermeture progressive des centrales au charbon et nucléaires dans certains pays). De plus, la crise entre l'Ukraine et la Russie ajoute encore à l'incertitude autour de l'approvisionnement en gaz naturel. 
    L'inflation alimentaire est également orientée à la hausse, ce qui n'est pas une grande surprise si l'on considère que les indicateurs avancés (prix des engrais, par exemple) sont également plus élevés depuis quelques mois. Là encore, l'incertitude demeure élevée, d'autant plus que la Russie annule les importations de nitrate d'ammonium (l'un des composants des engrais) pendant deux mois jusqu'au 2 avril. Compte tenu de la vigueur de l'indice des prix à la production, de la vigueur des prix de la nourriture et de l'inflation salariale à venir, nous estimons que le risque est encore que l’inflation surprenne à la hausse. 

    Pour 2023, nous prévoyons une baisse significative de l'inflation sous-jacente et globale à 1,7 % en moyenne, mais là encore, les incertitudes restent élevées. L'évolution des ruptures d'approvisionnement, de la dynamique des salaires et des prix de l'énergie seront des éléments déterminants. 

    Quelles que soient les anticipations d'inflation pour 2023, les derniers rapports d’inflation historiquement haut et les prix élevés de l'énergie indiquent un risque important que la BCE révise ses prévisions d’inflation en mars, surtout celle de 2022. La prévision à horizon de deux ans (2024) pourrait se rapprocher dangereusement du seuil des 2 %, ce qui pourrait conduire à une posture moins accommodante de l’institution. L'inflation exercera une pression sur la BCE pour qu'elle maintienne un ton dur pendant la majeure partie de 2022, ce qui est négatif pour les marchés.

    Du côté des États-Unis, nous nous attendons également à ce que l'inflation reste très élevée au cours des prochains mois. Nous prévoyons une inflation moyenne de 5,7 % en 2022 et une inflation sous-jacente d'environ 5 %. L'évolution tout au long de l'année sera comparable à ce que l'on attend en Europe avec une inflation très élevée jusqu'à fin avril (supérieure à 7 %) et un ralentissement jusqu'à la fin de l'année. L'inflation globale et sous-jacente devrait terminer l'année aux alentours de 3,5 %, soit au-dessus de l'objectif de la Fed. 

    Les prix des logements ont une influence significative sur la composante Loyer Equivalent pour les Propriétaires. Avec les loyers, ils représentent à eux deux 40 % de l'inflation sous-jacente. En ce qui concerne les loyers, plusieurs indicateurs avancés (publiés par REIS ou Zillow) suggèrent que l'accélération actuelle de l'inflation des loyers pourrait se poursuivre en 2022, à un rythme annuel supérieur à 5 % au deuxième semestre de 2022 et en 2023.

    Les salaires sont également un facteur déterminant des perspectives d'inflation à moyen terme, en particulier dans le secteur des services. Au cours des six derniers mois, l’indicateur de suivi des salaires de la Fed d'Atlanta fait état d'une accélération de 4,5 % sur un an glissant, un record en 20 ans. Les perspectives à court terme restent incertaines : le taux de démissions dans le secteur privé suggère une nouvelle accélération des salaires, tandis que l'indice Perspectives du Conference Board, basé sur les perspectives à court terme des consommateurs concernant leurs revenus, les entreprises et les conditions du marché du travail, suggère qu'une baisse est à venir.

    Contrairement à l'Europe, nous prévoyons une inflation sous-jacente élevée aux États-Unis même en 2023, principalement en raison d'une inflation élevée dans les secteurs des services (composantes Loyer équivalent pour les propriétaires et loyers). L'inflation devrait être inférieure à celle de 2022, mais se situer en moyenne autour de 2,8 % en 2023, soit au-dessus du taux cible de la Fed.
    Les chiffres élevés de l'inflation dans les mois à venir pousseront la Fed à plus de durcissement monétaire, ce qui est là aussi négatif pour les marchés.

    La consommation a été très élevée aux États-Unis en 2021 grâce à un soutien budgétaire exceptionnel qui tend maintenant à s'estomper lentement. Traditionnellement aux États-Unis, il existe une corrélation négative entre l'inflation et la consommation des ménages. Si cette relation se maintient, il faut s'attendre à ce que la consommation ralentisse au cours des prochains trimestres. Par conséquent, la croissance américaine pourrait décevoir vers la seconde partie de l'année, même si l'inflation reste élevée. 

    Ralentissement potentiel de la croissance, inflation élevée et durcissement de la politique des banques centrales : ce n'est certainement pas un contexte idéal pour l’appétit au risque des investisseurs

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2881 Mon, 07 Feb 2022 11:10:14 +0100 La BCE cherche son cap... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-bce-cherche-son-cap/

     

    Cette semaine Marine Marciano prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2880 Tue, 08 Feb 2022 09:00:00 +0100 La Française REM renforce sa présence dans l'immeuble le "Heron Building" dans le 14ème arrondissement de Paris (75) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-renforce-sa-presence-dans-limmeuble-le-heron-building-dans-le-14eme-arrondissement-de-paris-75/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de BNP Paribas REIM et AEW, 5 plateaux et demi de bureaux, loués à plusieurs locataires au sein de l’immeuble le « Heron Building » dans le 14e arrondissement de Paris. L'actif, situé à l'angle de l'avenue du Maine et de la rue du Commandant Mouchotte, est idéalement placé au pied de la Gare Montparnasse, dans un secteur tertiaire dynamique et à proximité des transports en commun.

    L’acquisition auprès de BNP Paribas REIM porte sur 4 plateaux (étages 2, 10, 16 et 18) loués à 4 locataires pour un total de 3 836 m² de bureaux et de 576 m² d'archives.

    L’acquisition auprès d’AEW porte sur un plateau de 1 061 m² (14ème étage), un demi-plateau de 545 m² (11ème étage) et de 193 m² d'archives, entièrement loués à un locataire.

    L’acquisition du demi-plateau, situé au 11ème étage, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière et celles des plateaux des 2, 10, 14, 16 et 18èmes étages et des archives, pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine, labellisée ISR.

    La Française REM détient désormais 11 plateaux sur les 20 existants, soit un total de 10 700 m², faisant ainsi passer sa quote-part dans l’immeuble à 49 %.

    Pour ces opérations, La Française REM a été conseillée par l’étude notariale Allez et Associés, par Cushman & Wakefield et Catella pour l’acquisition du R+14 et par BNP Paribas Real Estate Transaction pour l’acquisition des R+2, 10, 16, 18.

    BNP Paribas REIM a été conseillé par l’étude notariale Thibierge Notaires et par BNP Paribas Real Estate Transaction et CBRE dans la cadre d’un mandat co-exclusif.

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    news-2877 Tue, 01 Feb 2022 09:00:00 +0100 LF AVENIR SANTE décroche le Label ISR & finalise sa première acquisition /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-avenir-sante-decroche-le-label-isr-finalise-sa-premiere-acquisition/ Paris, le 1 février 2022 : La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier en termes de capitalisation (IEIF au 30/09/2021), a le plaisir d’annoncer que la SCPI thématique LF AVENIR SANTE s’est vue décerner le Label ISR (Investissement Socialement Responsable) en parallèle de la finalisation de sa première acquisition. LF Avenir Santé, classifiée Article 8 selon le règlement Disclosure, s’engage dans la lutte contre le manque d’infrastructures de santé ou médico-sociales et dans l’accompagnement de la prise en charge qualitative des patients. Au sein d’un secteur en pleine mutation, LF Avenir Santé sélectionne les actifs médico-sociaux en adéquation avec les nouveaux besoins générationnels, de la médecine de ville aux logements alternatifs.

    Virginie Wallut, Directrice Recherche et ISR de La Française Real Estate Managers, souligne,

    « Ce label vient reconnaître le sérieux et l’ambition des engagements de la SCPI LF Avenir Santé en matière d’ESG (Environnemental, Social et Gouvernance). La philosophie d’investissement de LF Avenir Santé est d’accompagner la transition de ses investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base du jugement de la capacité d’adaptation des investissements évaluée via une matrice ESG. Il s’agit d’une méthodologie éprouvée que le Label ISR vient confirmer comme étant fiable, robuste et pérenne. »

    En phase d’acquisition et en fonction de la notation ESG attribuée à l’actif suite à un audit initial, la société de gestion, La Française REM, s’engage à maintenir a minima la notation ESG (Best-in-Class) de chaque actif ou à prendre l’engagement de définir un plan d’amélioration permettant d’atteindre une notation ESG cible (Best-in-Progress). Seulement deux mois après son lancement, la SCPI annonce sa première acquisition, alloué à la poche Best-In-Class. Il s’agit du Rockefeller, sis 60 D avenue Rockefeller à Lyon (69).

    L’actif, bien desservi par le tram (T2 et T5) et le métro D, se trouve dans le 8e arrondissement de Lyon, au coeur du Bioparc, un pôle d’intelligence dédié aux entreprises innovantes dans les domaines de la santé et des technologies. Avec près de 100 000 emplois dans le secteur de la santé, la métropole de Lyon fait partie des dix plus grands marchés des biotechnologies et de la santé en Europe.

    Le bâtiment, livré en 2019, répond largement aux dernières normes en matière de performance thermique. Le Rockefeller propose 5 971 m² de surface répartis sur un rez-de-chaussée et cinq étages permettant d’accueillir une centaine de cabinets de consultation médicaux et paramédicaux pluridisciplinaires, allant de la médecine générale à la psychologie en passant par la radiologie et l’oncologie ou bien encore la diététique. L’immeuble accueille également un centre de balnéothérapie, une crèche, des espaces de recherche et un restaurant. L’actif offre 159 places de parking et 6 places de parkings pour Personnes à Mobilité Réduite en sous-sol.

    Le Rockefeller est entièrement loué dans le cadre d’un bail ferme de 12 ans à MEDICINA, un acteur de la santé très bien implanté dans son marché local et reconnu auprès de l’ensemble des parties prenantes du système de santé. Le projet médical du locataire a pour vocation d’améliorer la prise en charge et le parcours de soin des patients, en leur proposant une offre globale alliant la prévention, les soins et le bien-être.

    Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « Le Rockefeller remplit de nombreux critères à savoir : un immeuble neuf et vertueux bénéficiant d’une localisation centrale dans une métropole régionale et loué pour 12 ans fermes à un locataire portant un projet médical de qualité. Ainsi, Le Rockefeller s’inscrit complètement dans l’univers d’investissement de LF Avenir Santé, en tant que réponse immobilière de proximité aux besoins en soins du quotidien, (couverts par l’ensemble des spécialités médicales et paramédicales), aux besoins de bien-être et de soins alternatifs avec la balnéothérapie, et enfin aux besoins générationnels avec la crèche. »

    Pour cette acquisition, La Française Real Estate Managers a été conseillé par Etude 14 Pyramides (Louis Gourret) pour l’audit notarial, Cabinet Jeantet (Catherine Saint Geniest) pour l’audit juridique, Proactim et Delpha Conseil pour l’audit technique et CapTerre pour l’audit environnemental.

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    news-2876 Mon, 31 Jan 2022 09:04:50 +0100 La FED douche les marchés… https://www.youtube.com/watch?v=LiHxyev3Khw [Boucler la boucle – Épisode 20] news-2872 Thu, 27 Jan 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert un quatrième actif à Amsterdam /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-quatrieme-actif-a-amsterdam/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Collectif en Immobilier LF Europimmo et Epargne Foncière, a acquis off-market, auprès de RJB Group, son quatrième actif à Amsterdam, aux Pays-Bas. L'immeuble de bureaux multi-locataires, achevé il y a 18 mois par Amsterdam Development, est situé au 60-82 Koivistokade à Houthavens, un quartier branché « live & work » d'Amsterdam, à quelques minutes de la gare principale (Amsterdam Centraal) en bus ou à vélo. Le quartier est en cours de développement depuis 2010 et a déjà attiré de multiples projets commerciaux et résidentiels. 

    Le bâtiment moderne (en R+5) et répondant aux dernières normes offre environ 4 811 m2 de bureaux flexibles, des balcons à presque tous les étages et une terrasse avec vue sur le fleuve IJ au 6ème étage. Les étages ont un style industriel de type loft avec une configuration fonctionnelle et une excellente hauteur sous plafond.

    Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre quatrième actif à Amsterdam. La classification énergétique A+ de l'immeuble illustre parfaitement notre stratégie d'investissement durable ».

    La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Houthoff sur les aspects juridiques, de Savills Building & Project Consultancy sur le volet technique et de Cap Terre sur la due diligence en matière d'ESG.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2871 Tue, 25 Jan 2022 17:24:09 +0100 Ce qu'il faut attendre de la prochaine réunion du FOMC /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/ce-quil-faut-attendre-de-la-prochaine-reunion-du-fomc/ La Réserve Fédérale Américaine (FED) devrait profiter de sa réunion de janvier pour continuer à préparer les marchés financiers à une hausse de taux dès le mois de Mars et une réduction plus rapide qu’à l’accoutumée de la taille de son bilan. Veuillez trouver ci-dessous ce que nous attendons :

    • Confirmation d’une hausse des taux en mars suite à la publication de données très robustes sur l'emploi et les prix.
    • La Fed devrait aussi réaffirmer que le rythme de hausse de taux et de réduction du bilan sera dépendant des données économiques des prochains trimestres (Evolution inflation, croissance, Covid)
    • La FED devrait confirmer le rythme du tapering (30 milliards de dollars par mois), avec un « QE » prenant fin en mars. Nous ne pensons pas que la FED mettra fin aux achats de manière abrupte lors de cette réunion. 
    • La FED devrait commencer à distiller quelques informations concernant la réduction de la taille du bilan (amplitude, timing), mais sans s'engager formellement et sans donner de calendrier spécifique. L'annonce formelle pourrait intervenir au cours de l'été, après les deux premières hausses de taux (mars et juin). 
    • La FED ne parlera d’une possible hausse de taux de 50 points de base en mars, et exclura cette possibilité si la question lui est posée.
    • Compte tenu des récents commentaires des membres du FOMC soutenant le biais "hawkish" actuel de la FED (et donc le « pricing » du marché), la FED ne devrait pas avoir à surprendre par un biais plus restrictif que ce qui est actuellement anticipé.

    En conclusion, il est peu probable que le communiqué soit très différent de celui de décembre. Le consensus semble être celui d’une FED légèrement « hawkish », avec des marchés financiers déjà positionnés à la vente sur les bons du Trésor américain (parties courtes de la courbe). Dans ce contexte la courbe américaine pourrait légèrement se pentifier.

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    news-2870 Mon, 03 Jan 2022 15:35:00 +0100 Voeux La Française 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/voeux-la-francaise-2022/

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    news-2868 Tue, 25 Jan 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Groupama Gan REIM, le Castel Héritage, un immeuble emblématique de Marseille /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-groupama-gan-reim-le-castel-heritage-un-immeuble-emblematique-de-marseille/ La Française REM a acquis auprès de la SCI OSLO LE CASTEL, gérée par Groupama GAN REIM et détenue conjointement par l’OPCI Groupama Gan Pierre 1, le Fonds de co-investissement de l’ANRU et la Banque des Territoires (Caisse des Dépôts), un immeuble de bureaux historique « Le Castel Héritage », dont la façade est classée au titre des Monuments Historiques. Situé en plein centre-ville, il dispose d’une excellente visibilité à l’angle du boulevard des Dames et du Quai de la Joliette, une des artères principales de Marseille. L’immeuble, d’une surface de 2 800 m², édifié sur 3 étages est idéalement situé en front de mer à mi-chemin entre le Mucem et les Terrasses du Port. Il bénéficie d'une excellente desserte par les transports en commun avec la station Joliette du tramway et du métro à 350 m, et est directement relié aux grands axes routiers.

    Construit en 1928 par l'architecte Gaston Castel et primé au prix d'architecture de Rome, le Castel Héritage est un édifice art déco emblématique de Marseille puisqu’il a abrité jusqu'en 2013 le siège de la compagnie maritime de la SNCM après avoir été celui de la Compagnie Générale Transatlantique.

    C’est un véritable Trophy Asset qui a été restructuré à neuf par Eiffage en 2018. Il est certifié NF HQE « Très bon » et dispose de 25 emplacements de stationnement et d'un rooftop avec vue sur mer.

    Les bureaux accueillent la « Cité de l'Innovation et des Savoirs Aix-Marseille » (CISAM), espace dédié à la créativité entrepreneuriale sur le territoire Aix-Marseille.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Sélectinvest 1.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Oudot & Associés.

    Groupama GAN REIM a été conseillé par l’office notarial Notaires Quai de la Tournelle.

    Les deux parties ont été conseillées par CBRE.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2866 Thu, 20 Jan 2022 11:19:00 +0100 Quel bilan peut-on faire du marché Crédit en 2021 ? Quels émetteurs privilégions-nous pour 2022 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quel-bilan-peut-on-faire-du-marche-credit-en-2021-quels-emetteurs-privilegions-nous-pour-2022/ Suite aux annonces de la BCE en décembre, nous allons privilégier les actifs européens au détriment des actifs américains.

    Dans ce contexte, Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan 2021 et vous livre ses convictions pour cette nouvelle année.

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    news-2865 Wed, 19 Jan 2022 11:15:00 +0100 Comment intégrons-nous les enjeux climatiques dans la stratégie de nos fonds ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-integrons-nous-les-enjeux-climatiques-dans-la-strategie-de-nos-fonds/ Pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, les enjeux climatiques sont devenus fondamentaux, et la tendance devrait s'accélérer pour les décennies à venir.

    François Rimeu, Responsable de la Gestion Cross Asset & et Total Return, livre ses convictions pour cette nouvelle année.

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    news-2864 Tue, 18 Jan 2022 11:10:00 +0100 Après les fortes progressions des marchés actions en 2021, quelles perspectives pour 2022 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/apres-les-fortes-progressions-des-marches-actions-en-2021-quelles-perspectives-pour-2022/ Dans l’environnement actuel inflationniste et de croissance, nous pensons que les actions vont continuer de performer pour cette nouvelle année.

    Hugo Bonnard, Responsable Adjoint de la Gestion Actions, livre nos convictions Actions.

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    news-2862 Mon, 24 Jan 2022 09:39:21 +0100 La hausse du prix du pétrole ravive les craintes inflationnistes [Boucler la boucle – Épisode 19] https://www.youtube.com/watch?v=e6mm3Aflz6I Cette semaine Marine Marciano prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers. news-2861 Thu, 20 Jan 2022 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble à usage mixte à Leinfelden-Echterdingen (Stuttgart, Allemagne) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-a-usage-mixte-a-leinfelden-echterdingen-stuttgart-allemagne/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Europimmo, a acquis un immeuble à usage mixte en périphérie de Stuttgart. La propriété est située à Leinfelden-Echterdingen, une banlieue prospère de Stuttgart, à seulement 10 km du centre-ville et à proximité de l'aéroport et du parc des expositions de Stuttgart, avec une connexion directe en tramway à la gare principale.

    L'immeuble, loué à 12 locataires, offre plus de 10 000 m2 de bureaux, 3 000 m² de surface commerciale et 212 places de parking en sous-sol. La surface commerciale est louée à plusieurs enseignes alimentaires de renom, à un magasin de vêtements et à une chaîne de parapharmacie dans le cadre de baux fermes

    Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre troisième actif dans la région de Stuttgart. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie d'expansion de notre portefeuille immobilier allemand grâce à l’intégration d'un bien avec des solides perspectives de location dans un secteur dynamique. »

    La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Baker Tilly sur les aspects juridiques, de TA Europe sur le volet technique de la diligence raisonnable et de Cap Terre sur les aspects ESG. Le vendeur a été conseillé par Jones Lang LaSalle SE.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2859 Tue, 18 Jan 2022 09:08:39 +0100 Après 26 ans, La Française REM cède Château Le Boscq, Cru Bourgeois Exceptionnel à Saint-Estèphe /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/apres-26-ans-la-francaise-rem-cede-chateau-le-boscq-cru-bourgeois-exceptionnel-a-saint-estephe/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec plus de 28 milliards d’euros sous gestion (au 31/10/2021) et acteur majeur de l’investissement viticole, annonce la cession du Château Le Boscq, Cru Bourgeois Exceptionnel à Saint-Estèphe (33), au profit de son exploitant historique de 26 ans, La Maison Dourthe. Cyril Carteron, Directeur des Produits de Diversification de La Française REM conclut, « Ce château illustre parfaitement la philosophie de sélection de La Française REM qui repose avant tout sur la notoriété de l’Appellation, le potentiel de la propriété et les qualités professionnelles de l’exploitant, dont son aptitude à promouvoir et à développer la notoriété du vin produit. Sélectionné pour son fort potentiel de valorisation, Château Le Boscq a su répondre aux objectifs de valorisation. Vingt-six ans plus tard, l’investissement a réalisé un taux de rendement interne* de près de 8%. »

    *TRI sur 26 ans (Taux de rentabilité Interne) net de frais, avec à l’entrée le prix d’acquisition de la propriété, à la sortie son prix de cession, et les revenus distribués sur la période.

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    news-2858 Tue, 18 Jan 2022 09:00:00 +0100 Objet : Modification du FCP Patrimoine Croissance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fcp-patrimoine-croissance/ (FR0007020946) Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du FCP Patrimoine Croissance, fonds nourricier du FCP La Française Patrimoine Flexible et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Patrimoine Flexible, fonds maître de votre FCP Patrimoine Croissance (ci-après le « FCP »). Par conséquent, votre FCP sera modifié comme suit :

    • Mise en place dans le FCP d’une approche extra-financière afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres et dans la sélection des OPC sous-jacents. Toutefois, il est précisé que l’approche extra-financière mise en place dans ce FCP n’est pas systématique et n’est pas contraignante.
    • Le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication limitée au prospectus).

    Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCP

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 24 janvier 2022.

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    news-2857 Tue, 18 Jan 2022 09:00:00 +0100 Objet : Modification du FCP La Française Séréni Flex /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fcp-la-francaise-sereni-flex/ (Part I : FR0010767665, Part R : FR0007016704) Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du FCP La Française Séréni Flex et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Séréni Flex (ci-après le « FCP ») comme suit :

    • Mise en place dans le FCP d’une approche extra-financière afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres et dans la sélection des OPC sous-jacents. Toutefois, il est précisé que l’approche extra-financière mise en place dans ce FCP n’est pas systématique et n’est pas contraignante.
    • Le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication limitée au prospectus).

    Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCP

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 24 janvier 2022.

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    news-2856 Tue, 18 Jan 2022 09:00:00 +0100 Objet : Modification du FCP La Française Patrimoine Flexible /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fcp-la-francaise-patrimoine-flexible/ (Part I : FR0010920983, Part R : FR0010920983, Part F : FR0011883370) La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Patrimoine Flexible (ci-après le « FCP ») comme suit :

    • Mise en place dans le FCP d’une approche extra-financière afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres et dans la sélection des OPC sous-jacents.Toutefois, il est précisé que l’approche extra-financière mise en place dans ce FCP n’est pas systématique et n’est pas contraignante.
    • Le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication limitée au prospectus). Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCP

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 24 janvier 2022.

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    news-2855 Tue, 18 Jan 2022 09:00:00 +0100 Objet : Modification du FCPE CMNE Participation Quiétude /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fcpe-cmne-participation-quietude/ Quels changements vont intervenir sur votre FCPE ? Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du FCPE CMNE Participation Quiétude, fonds nourricier du FCP La Française Séréni Flex et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Séréni Flex, fonds maître de votre FCPE CMNE Participation Quiétude (ci-après le « FCPE »). Par conséquent, votre FCPE sera modifié comme suit :

    • Mise en place dans le FCPE d’une approche extra-financière afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres et dans la sélection des OPC sous-jacents. Toutefois, il est précisé que l’approche extra-financière mise en place dans ce FCPE n’est pas systématique et n’est pas contraignante.
    • Le FCPE sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication limitée au prospectus).

    Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCPE.

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    news-2854 Mon, 17 Jan 2022 10:07:45 +0100 Politique RSE du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/politique-rse-du-groupe-la-francaise/ Le Groupe La Française s’affirme comme un investisseur durable et engagé, intégrant les impacts de ses décisions et de ses activités sur la Société et l’Environnement. Pratiquer la RSE, c’est prendre conscience et agir au coeur de ses métiers et de sa stratégie, intégrer ses externalités, répondre aux attentes des parties prenantes et assurer le respect de l’environnement. La RSE constitue un des axes stratégiques créateur de valeur dans la durée pour le Groupe.

    Acteur reconnu de l’Asset Management, Le Groupe La Française a la responsabilité d’assurer la mise en oeuvre intégrale de sa politique RSE, en affirmant ses ambitions et engagements dans son métier d’investisseur, comme dans ses actions quotidiennes en tant qu’entreprise. Il utilise sa capacité d’innovation pour concevoir des solutions d’investissement alliant performance et durabilité.

    Il est ainsi essentiel pour le Groupe d’aligner les exigences durables requises dans la sélection des investissements dont il a la charge avec les engagements pris pour lui-même et son comportement à l’égard des parties prenantes, au premier rang desquels ses collaborateurs, mais également ses clients et fournisseurs. L’analyse de ses engagements, présentés dans ce document, montre que l’humain et l’environnement sont au premier rang de ses priorités.

    Ce document présente les piliers et les enjeux qui fondent la politique RSE du Groupe La Française et les risques associés. Les nombreux éléments spécifiques relatifs à son métier et à son positionnement d’investisseur durable sont accessibles sur le site internet du Groupe et résumé dans le document “La Française s’engage”. Acteurs et représentants essentiels de l’entreprise, les collaborateurs doivent et être attentifs à ces engagements. Un code de conduite “Ethique & Transparence”, disponible pour les collaborateurs et les parties prenantes, a été mis au point avec leur concours.

    Nous sommes fiers de partager avec vous la politique RSE du Groupe La Française. Il est le résultat d’un large effort collaboratif avec l’implication de l’ensemble de nos parties prenantes internes et externes que nous tenons à remercier.

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    news-2853 Mon, 17 Jan 2022 09:05:52 +0100 La Française REM acquiert auprès d'Icade un immeuble de bureaux situé en centre-ville de Boulogne-Billancourt (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-aupres-dicade-un-immeuble-de-bureaux-situe-en-centre-ville-de-boulogne-billancourt-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’Icade un immeuble de bureaux situé à Boulogne-Billancourt à l’angle de l’avenue Morizet et des rues Maillasson et Carnot. Il est situé au coeur du centre-ville de Boulogne-Billancourt, entre la Mairie et la Place Marcel Sembat, à 100 m de la station de métro de la ligne 9 du même nom. L’immeuble, élevé en R+2, d’une surface de 5.100 m², dispose de 130 emplacements de stationnement.

    Un grand parking à vélos et la présence de bornes de recharge électrique favorisent la mobilité douce. L’immeuble est entièrement loué à la holding d’un important réseau mondial d’agences de publicité et de communication, installée dans l’immeuble depuis 2008.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine. Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’Etude Notariale Allez et Associés et le Cabinet Jeantet et Icade par l’Etude Thibierge et Associés.

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    news-2852 Fri, 14 Jan 2022 17:57:28 +0100 La nervosité des investisseurs amène une forte rotation sectorielle https://www.youtube.com/watch?v=4s4XSbsGBn4 Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

     

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    news-2848 Fri, 14 Jan 2022 10:51:16 +0100 Note de rentrée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/note-de-rentree/ La croissance retrouvée, le contexte d’inflation totalement nouveau et le risque sanitaire toujours présent forment un cocktail plus contrasté pour l’économie que celui de l’année 2021. La Française AM vous livre sa lecture des marchés ainsi que ses convictions pour aborder la nouvelle année. La croissance mondiale se poursuit, malgré les perturbations de l’appareil productif et l’oscillation des contraintes liées au risque sanitaire. La tendance instantanée reste positive mais néanmoins difficile à apprécier précisément. Ainsi, le ralentissement chinois, largement dû aux décisions politiques pour lutter contre l’épidémie, contre les inégalités sociales et favoriser une économie plus saine, sera une des inconnues majeures de l’année 2022.

    Aux États-Unis et en Europe, les tendances de court terme divergent légèrement. Ainsi, la croissance américaine accélère au 4ème trimestre après un ralentissement au 3ème tandis qu’en Europe, les chiffres très robustes du 3ème trimestre ne pourront que se modérer légèrement. Néanmoins, bon nombre d’indicateurs constituent une base intéressante pour 2022.

    En effet, sauf perturbation sanitaire massive, l’année 2022 se présente avec de solides atouts sur un plan économique. Certes, le ralentissement de l’activité chinoise et leur gestion de la crise de financement du secteur immobilier restent à monitorer. Pour autant, les perturbations sur l’offre devraient s’atténuer progressivement et les États vont continuer de soutenir les acteurs économiques les plus impactés par la pandémie.

    Du côté du secteur privé, le taux d’épargne des ménages et les profits des entreprises restent élevés. Ces facteurs soutiendront respectivement la consommation finale, malgré les effets d’appauvrissement liés à l’inflation récente, et les investissements dans de nombreux secteurs pour compenser la période récente et répondre aux nouveaux enjeux, notamment climatiques.

    Du côté politique, l’enjeu majeur est probablement la version du plan économique du Président Biden qui sera finalement adoptée. Enfin, la question du risque inflationniste va continuer de préoccuper les investisseurs, même si le contexte monétaire a clairement changé et nous continuons de penser que les glissements d’inflation vont rapidement baisser et permettre ainsi aux banques centrales de préserver des conditions financières favorables à l’économie en termes de taux réels et de tenue des marchés financiers.

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    news-2847 Mon, 10 Jan 2022 10:17:00 +0100 La FED enfonce le clou et surprend le marché [boucler la boucle – épisode 17] /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fed-enfonce-le-clou-et-surprend-le-marche-boucler-la-boucle-episode-17/ Actualités, faits marquants, chiffres clés.

    Cette semaine Marine Marciano prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2846 Fri, 14 Jan 2022 10:14:41 +0100 Croissance et inflation : quelles sont les stratégies obligataires susceptibles de performer ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/croissance-et-inflation-quelles-sont-les-strategies-obligataires-susceptibles-de-performer/ La Française Carbon Impact Floating Rates est un fonds pur crédit alliant objectif de rendement, sensibilité aux taux réduite et stratégie carbone.

    Comment ? En regroupant les meilleures convictions de La Française AM sur les obligations à taux variables avec plus de 130 émetteurs en portefeuille et une allocation géographique globale.

    Gabriel Crabos, Gérant – Analyste High Yield, vous présente notre fonds aux côtés de David Martin, Directeur Commercial Institutionnels France & Head of Business Development Switzerland.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance. Le label ISR ne garantit pas la performance du fonds.

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    news-2845 Tue, 11 Jan 2022 10:09:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de 6e sens immobilier et la foncière polygone un ensemble de bureaux à lLon (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-6e-sens-immobilier-et-la-fonciere-polygone-un-ensemble-de-bureaux-a-llon-69/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’une co-promotion, composée de la Foncière Polygone et de 6e Sens Immobilier, deux immeubles à usage de bureaux d’une surface de 16 900 m², livrés en 2021. Les deux actifs bénéficient d’un excellent emplacement au cœur du quartier de Gerland, second quartier de bureaux de la métropole lyonnaise, à seulement 350 m de la station de métro de la Ligne 2 « Gerland » et à 750 m de la station de tramway T1 « Debourg ».

    Ils font partie du projet « Les Jardins du Lou » qui comprend 6 bâtiments de bureaux pour une surface totale de 28 000 m², le « Matmut Stadium » (stade de Gerland), un "village" (brasserie, boutique, salles événementielles) et un centre d'entrainement du club du Lou Rugby. Le projet sera complété par un hôtel de 150 chambres, un centre médical et un centre aquatique.

    Le programme de bureaux des « Jardins du Lou », qui a reçu le Grand Prix du SIMI 2020 dans la catégorie « parc de bureaux de plus de 10 000 m² », a été conçu par Constantin Albert Louis et l’Agence AIA Life Designers et laisse une large part aux espaces paysagers. Les bâtiments sont implantés au cœur d’un jardin privatif intégrant des circulations entre les immeubles. Les bâtiments disposent de terrasses orientées vers les jardins et de balcons offrant de larges vues sur le Matmut Stadium. 

    Le premier bâtiment, d'une surface totale de 9 100 m², est loué intégralement à un acteur français du nucléaire dans le cadre d'un bail d’une durée ferme de 9 ans. Le deuxième bâtiment, d'une surface totale de 7 800 m², est loué à deux utilisateurs : à 60 % au même utilisateur que le premier bâtiment et à 40 % à la filiale digitale d’un grand groupe audiovisuel français.  

    Le programme « Les Jardins du Lou » s’inscrit dans une démarche environnementale puisqu’il bénéficie des certifications suivantes : 

    • HQE Bâtiment Durable 2016 Excellent ;
    • BREEAM International New Construction 2016 Very Good ;
    • E2 C1.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de plusieurs Sociétés Civiles de Placement Immobilier :

    • Crédit Mutuel Pierre 1,
    • Sélectinvest 1,
    • LF Grand Paris Patrimoine,
    • Epargne Foncière.

    Dans cette transaction, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Allez & Associés et par le Cabinet Jeantet. Les vendeurs étaient conseillés par l’Office Notarial Ginon & Associés. 
    CBRE était conseil exclusif du vendeur et de l’acquéreur. 

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2843 Thu, 13 Jan 2022 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers a acquis City Garden, un immeuble de bureaux situé à Bruxelles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-a-acquis-city-garden-un-immeuble-de-bureaux-situe-a-bruxelles/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte d’une joint-venture, a fait l’acquisition de « City Garden » auprès de PATRIZIA. L'immeuble de bureaux en R+8 est situé dans le quartier européen de Bruxelles, le principal centre administratif de l'Union européenne, à l'angle de la rue Joseph II et de la rue de Spa.

    « City Garden » offre 9 054 m² de bureaux, 297 m² de locaux d'archives et 40 places de parking. À proximité du Parlement européen, l’actif est entièrement loué à une institution européenne jusqu'à la mi-juillet 2024.

    Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Nous sommes ravis d'acquérir un immeuble à Bruxelles qui vient compléter le portefeuille existant de la joint-venture qui comprend un actif à Essen, en Allemagne. L’immeuble, qui présente de belles perspectives en matière d’asset management, bénéficie d’un emplacement stratégique au coeur du quartier européen. »

    Suzy Denys, Country Manager and Director Transactions chez PATRIZIA BeLux AG, un partenaire de premier plan pour les biens immobiliers mondiaux, a déclaré : « Le quartier européen où City Garden est situé a le taux de vacance en matière de bureaux le plus faible de toute la ville. Nous avons profité de la demande actuelle de bureaux pour conclure cette vente conformément aux plans initiaux que nous avions pour ce bien. »

    L'acquisition a été partiellement financée par MünchenerHyp.

    La Française REM a été conseillée par PWC. Le vendeur a été conseillé par Savills et CBRE sur la cession.

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    news-2842 Mon, 03 Jan 2022 11:46:28 +0100 Avis aux porteurs - FCP La Française Convertibles Dynamique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-fcp-la-francaise-convertibles-dynamique/ Objet : dissolution du FCP La Française Convertibles Dynamique Chère Madame, Cher Monsieur,


    Vous êtes porteur de part(s) du fonds commun de placement La Française Convertibles Dynamique (ci-après le « FCP ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.


    Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?        

    Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé de dissoudre le FCP par anticipation.

    Malgré l’attrait qu’il présente, le faible encours du FCP ne permettra pas à la société de gestion de continuer à le gérer de manière optimale pour les porteurs, notamment en raison des coûts fixes inhérents à tout véhicule d’investissement. 

     

    Informations importantes 

    Nous attirons votre attention sur le fait que votre FCP avait pour objectif de gestion d’obtenir, sur la période de placement recommandée de trois ans minimum, une performance, nette de frais, supérieure à celle de l’indice Exane ECI Europe coupons réinvestis, majorée de 1%.  
    Sa performance enregistrée pour l’exercice clos le 31 décembre 2020 est de +0,77% contre +5,01% pour l’indice de référence (Exane ECI Europe).
    Ce résultat s'explique principalement par le faible encours du FCP et les coûts fixes inhérents à tout véhicule d’investissement. 

    Cette dissolution du Fonds a obtenu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers en date du 17 décembre 2021.

    Les souscriptions et rachats seront suspendus à compter de l’envoi de cette lettre et jusqu’à la dissolution du Fonds sur la valeur liquidative du 31 janvier 2022. Le règlement correspondant aura lieu dans les trois jours maximum après la dissolution effective du FCP, soit le 3 février 2022.
     

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    news-2841 Tue, 28 Dec 2021 09:32:58 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Profil Performance » suite à la modification du prospectus de son fonds maître le FCP « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-profil-performance-suite-a-la-modification-du-prospectus-de-son-fonds-maitre-le-fcp-la-francaise-actions-france-pme/ La société de gestion du FCP La Française Actions France PME, fonds maître de votre FCP, a décidé d’apporter un correctif à son prospectus. Par conséquent, le prospectus de votre FCP La Française Profil Performance sera modifié comme suit : La phrase suivante du prospectus :

    « A partir de cet univers d’investissement réduit, le score ESG du fonds sera calculé annuellement et devra être supérieur à celui de son univers d’investissement. »

    Sera modifiée comme suit :

    « Ainsi, à partir de cet univers d’investissement réduit, le score ESG du fonds sera calculé annuellement. »

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    news-2840 Tue, 28 Dec 2021 09:31:27 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-actions-france-pme-1/ La société de gestion du FCP La Française Actions France PME a décidé d’apporter un correctif au prospectus du FCP, comme suit : La phrase suivante du prospectus : « A partir de cet univers d’investissement réduit, le score ESG du fonds sera calculé annuellement et
    devra être supérieur à celui de son univers d’investissement. » Sera modifiée comme suit :

    « Ainsi, à partir de cet univers d’investissement réduit, le score ESG du fonds sera calculé annuellement. »

    Ce correctif apporté à la documentation règlementaire du FCP n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du FCP qui demeurent inchangés.

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    news-2839 Tue, 28 Dec 2021 09:28:40 +0100 Avis internet : La Française Actions Euro Capital Humain /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-actions-euro-capital-humain/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment La Française Actions Euro Capital Humain de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
    soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2838 Tue, 28 Dec 2021 09:26:57 +0100 Avis internet : FCP UFF ALLOCATION STRATÉGIES A /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-uff-allocation-strategies-a/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base. La société de gestion informe les porteurs du FCP UFF ALLOCATION STRATEGIES A que la rédaction de l’indicateur de référence de son fonds maître FCP PERSPECTIVE est par conséquent modifié comme suit :

    « €STR capitalisé +4,085%»

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.

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    news-2837 Tue, 28 Dec 2021 09:25:04 +0100 Avis internet : FCP UFF ALLOCATION STRATÉGIES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-uff-allocation-strategies/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base. La société de gestion informe les porteurs du FCP UFF ALLOCATION STRATEGIES que la rédaction de l’indicateur de référence de son fonds maître FCP PERSPECTIVE est par conséquent modifié comme suit :

    « €STR capitalisé +4,085%»

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.

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    news-2836 Tue, 28 Dec 2021 09:22:09 +0100 Avis internet : FCP OBLIGATIONS 3-5 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-obligations-3-5-m/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au fonds OBLIGATIONS 3-5 M concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement. Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

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    news-2835 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP OBLICONTEXT 2023 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-oblicontext-2023-m/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au fonds OBLICONTEXT 2023 M concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement. Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations. Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

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    news-2834 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP MEDI OBLIGATIONS VARIABLES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-medi-obligations-variables/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du FCP MEDI OBLIGATIONS VARIABLES en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
    soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2833 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP LA FRANCAISE SERENI FLEX /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-la-francaise-sereni-flex/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base. La rédaction de l’indicateur de référence du FCP LA FRANCAISE SERENI FLEX est par conséquent modifié comme suit :

    « €STR capitalisé »

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé est assimilé à un changement d’indicateur de référence.

    La date d’entrée en vigueur de ces modifications est prévue pour le 31 décembre 2021.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP LA FRANCAISE SERENI FLEX sur le site www.la-francaise.com 

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2832 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP LA FRANCAISE OBLIGATIONS LT /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-la-francaise-obligations-lt/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du fonds LA FRANCAISE OBLIGATIONS LT en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
    soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2831 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : La Française Multistratégies Obligataires, nourricier du compartiment La Française LUX - Multistratégies Obligataires de la SICAV La Française Lux. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-multistrategies-obligataires-nourricier-du-compartiment-la-francaise-lux-multistrategies-obligataires-de-la-sicav-la-francaise-lux/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du fonds La Française LUX - Multistratégies Obligataires, ci-après le « Fonds maître » a décidé d’élargir l’univers d’investissement du Fonds maître sur les pays émergents hors OCDE jusqu’à 25 % de son actif net. Cette modification permettra, dans un contexte de taux particulièrement bas, de gagner en flexibilité, de capter des opportunités d’investissement et d’augmenter la diversification du Fonds maître tout en respectant un cadre de risque strict. La fourchette de sensibilité est désormais comprise entre -3 et 7 en lieu et place de -3 et + 5 . Par conséquent le fonds La Française Multistratégies Obligataires (ci-après le « Fonds nourricier ») sera impacté par cette modification effectuée sur le Fonds maître. La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 31 décembre 2021 Les autres caractéristiques du Fonds nourricier demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds nourricier et du Fonds maître disponibles sur le site sur le site www.la-francaise.com Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2830 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-la-francaise-euro-souverains/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du fonds LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
    soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2829 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : La Française Euro Inflation, nourricier du compartiment La Française LUX – Euro Inflation de la SICAV La Française Lux. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-euro-inflation-nourricier-du-compartiment-la-francaise-lux-euro-inflation-de-la-sicav-la-francaise-lux/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du fonds La Française LUX - Euro Inflation, ci-après le « Fonds maître » a décidé de permettre un investissement jusqu’à 100% de son actif net dans des titres de qualité supérieure émis par des émetteurs privés ou publics, et de supprimer la possibilité d’investir dans des credit notes. Par conséquent le fonds La Française Euro Inflation (ci-après le « Fonds nourricier ») sera impacté par ces modifications effectuées sur le Fonds maître.

    La date d’entrée en vigueur de ces modifications est prévue pour le 31 décembre 2021.

    Les autres caractéristiques du Fonds nourricier demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds nourricier et du Fonds maître disponibles sur le site sur le site www.la-francaise.com 

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2828 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP La Française Actions €CO2 Responsable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-la-francaise-actions-eurco2-responsable/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous informons les porteurs du FCP La Française Actions €CO2 Responsable que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus de son fonds maître, le compartiment La Française Lux Inflection Point Carbon Impact Euro de la SICAV « La Française Lux », en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
    soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durabl et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe ditDNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2827 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP LE SÉCULAIRE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-le-seculaire/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base. La rédaction de l’indicateur de référence du FCP LE SÉCULAIRE est par conséquent modifié comme suit :

    « 65% Barclays Euro Aggregate Bond Index + 25% MSCI Europe dividendes nets réinvestis + 10% €STR capitalisé » Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé est assimilé à un changement d’indicateur de référence.

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    news-2826 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP CAP HARMONIE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-cap-harmonie/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base. La rédaction de l’indicateur de référence du FCP CAP HARMONIE est par conséquent modifié comme suit :

    « €STR capitalisé + 3,085 % »

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’aura pas d’impact sur le calcul des commissions de surperformance et n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.

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    news-2824 Mon, 27 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE JKC CHINA EQUITY (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-jkc-china-equity-le-compartiment-fr-fr/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2817 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE JKC ASIA EQUITY (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-jkc-asia-equity-le-compartiment-fr-fr/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2809 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP La Française Carbon Impact Global Government Bonds FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-la-francaise-carbon-impact-global-government-bonds-fr-fr/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au fonds La Française Carbon Impact Global Government Bonds concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. En outre, dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du FCP.

    • Modifications concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres

    Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

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    news-2805 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE LUX MULTI-ASSET INCOME – (LE « COMPARTIMENT ») – QUI SERA PROCHAINEMENT DÉNOMMÉ LA FRANCAISE LUX CARBON IMPACT INCOME FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-lux-multi-asset-income-le-compartiment-qui-sera-prochainement-denomme-la-francaise-lux-carbon-impact-income-fr-fr/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2802 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE LUX JKC ASIA BOND 2023 (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-lux-jkc-asia-bond-2023-le-compartiment-fr-fr/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2795 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP de droit français LA FRANCAISE TRESORERIE ISR FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-de-droit-francais-la-francaise-tresorerie-isr-fr-be/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2016/1011 « BMR » et le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du fonds LA FRANCAISE TRESORERIE ISR comme suit :
  • Modifications requises par le Règlement UE 2016/1011 dit « BMR » :
  • Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base.

    La rédaction de l’indicateur de référence du FCP LA FRANCAISE TRESORERIE ISR est par conséquent modifié comme suit :

    « €STR capitalisé »

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé est assimilé à un changement d’indicateur de référence.

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    news-2792 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP LA FRANCAISE SUB DEBT FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-la-francaise-sub-debt-fr-lu/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au fonds La Française Sub Debt concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. En outre, dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du FCP.

    • Modifications concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres

    Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

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    news-2791 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : FCP de droit Français LA FRANCAISE SUB DEBT FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-fcp-de-droit-francais-la-francaise-sub-debt-fr-be/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au fonds de droit Français La Française Sub Debt concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. En outre, dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du FCP.

    • Modifications concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres

    Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

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    news-2784 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE LUX INFLECTION POINT CARBON IMPACT EURO (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-lux-inflection-point-carbon-impact-euro-le-compartiment-fr-fr/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne.

    Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2779 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE LUX INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL (LE « COMPARTIMENT ») FR > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-lux-inflection-point-carbon-impact-global-le-compartiment-fr-fr/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens.

    Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2778 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 AVIS INTERNET AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT LA FRANCAISE LUX INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL (LE « COMPARTIMENT ») FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-aux-actionnaires-du-compartiment-la-francaise-lux-inflection-point-carbon-impact-global-le-compartiment-fr-be/ Dans le cadre de la mise en oeuvre du règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le Conseil a décidé de modifier le prospectus du Compartiment en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union européenne vise à identifier les activités économiques considérées comme étant écologiquement durables. La Taxonomie identifie ces activités en fonction de leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation du changement climatique ;
    • Adaptation au changement climatique ;
    • Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
    • Transition vers une économie circulaire (déchets, prévention et recyclage) ;
    • Prévention et contrôle de la pollution ;
    • Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens.

    Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).

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    news-2772 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANCAISE CARBON IMPACT 2026 de la SICAV La Française FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANCAISE CARBON IMPACT 2026 de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2771 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANCAISE CARBON IMPACT 2026 de la SICAV de droit Français La Française FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANCAISE CARBON IMPACT 2026 de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2763 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 PLUS de la SICAV La Française FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 PLUS de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollutio
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne.

    Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2762 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 PLUS de la SICAV de droit français La Française FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 PLUS de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne.

    Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2756 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 de la SICAV La Française FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens.

    Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2755 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 de la SICAV de droit français La Française FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2752 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment La Française Carbon Impact Floating Rates de la SICAV La Française FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-carbon-impact-floating-rates-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment La Française Carbon Impact Floating Rates de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne.

    Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2751 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment La Française Carbon Impact Floating Rates de la SICAV de droit Français La Française FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-carbon-impact-floating-rates-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment La Française Carbon Impact Floating Rates de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens.

    Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2748 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment LA FRANÇAISE GLOBAL COCO de la SICAV La Française FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-global-coco-de-la-sicav-la-francaise-fr-lu/ Dans le cadre de la mise en conformité avec le Règlement (UE) 2020/852 dit « Taxonomie », nous vous informons que la société de gestion a décidé de modifier le prospectus du compartiment LA FRANÇAISE GLOBAL COCO de la SICAV La Française en y ajoutant la mention suivante : « La Taxonomie de l’Union Européenne a pour objectif d'identifier les activités économiques considérées comme durables d’un point de vue environnemental. La Taxonomie identifie ces activités selon leur contribution à six grands objectifs environnementaux :

    • Atténuation des changements climatiques,
    • Adaptation aux changements climatiques,
    • Utilisation durable et protection de l’eau et des ressources marines,
    • Transition vers l’économie circulaire (déchets, prévention et recyclage),
    • Prévention et contrôle de la pollution
    • Protection des écosystèmes sains.

    Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique.

    Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.

    Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).

    Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.

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    news-2736 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : La Française Rendement Global 2025 ( ci-après le « Fonds ») FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-la-francaise-rendement-global-2025-ci-apres-le-fonds-fr-lu/ Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit : Le fonds sera investi dans des obligations qui maturent au maximum en décembre 2025 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») avant décembre 2025. Le fonds n’investit pas dans des obligations perpétuelles
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 31 décembre 2021.

    Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2735 Tue, 28 Dec 2021 09:00:00 +0100 Avis internet : compartiment La Française Rendement Global 2025 de la SICAV de droit Français La Française FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-internet-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-fr-be/ ( ci-après le « Fonds ») Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit : Le fonds sera investi dans des obligations qui maturent au maximum en décembre 2025 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») avant décembre 2025. Le fonds n’investit pas dans des obligations perpétuelles
    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 31 décembre 2021.

    Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.fundinfo.com.

    Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds. Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services SCA, une filiale du groupe BNP PARIBAS SA située au 9, rue du Débarcadère 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2729 Wed, 22 Dec 2021 16:27:25 +0100 La Francaise Real Estate Managers et Vectura concluent un partenariat pour répondre à la demande croissante d'actifs logistiques du dernier kilomètre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-et-vectura-concluent-un-partenariat-pour-repondre-a-la-demande-croissante-dactifs-logistiques-du-dernier-kilometre/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 29 milliards d'euros d’actifs sous gestion (31/10/2021), dont 50 % pour le compte d'investisseurs institutionnels français et internationaux, a conclu un partenariat stratégique avec VECTURA, société spécialisée dans le développement et la gestion d’actifs industriels et logistiques. Le partenariat se concentrera sur le développement d'actifs logistiques du « dernier kilomètre » à travers la France et potentiellement sur d'autres marchés, dont l'Espagne. 

    L'accord inaugural du partenariat porte sur un portefeuille de six plateformes logistiques et de livraison du « dernier kilomètre » (totalisant plus de 40 000 m²), qui répondent toutes aux dernières normes en matière d'entrepôts logistiques et sont stratégiquement implantées dans toute la France : région parisienne, Toulouse, Belfort, Pau, Saint-Quentin et Calais.

    Les actifs, allant de 5 000 à 10 000 m², sont entièrement loués, dans le cadre de baux longs, par des locataires de premier plan opérant dans les secteurs du e-commerce ou de la distribution. Le portefeuille a été acquis par La Française REM, agissant pour le compte d'un investisseur institutionnel sud-coréen. 

    David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, a conclu : « Les actifs logistiques du « dernier kilomètre » de qualité ont des perspectives de valorisation favorables pour diverses raisons, à savoir : (1) la croissance du e-commerce; (2) l'efficacité des réseaux, qui améliore la fiabilité des livraisons et in fine la satisfaction des clients et constitue un avantage concurrentiel ; (3) les objectifs de réduction des émissions de carbone qui nécessitent une présence généralisée, au plus près des consommateurs finaux ; et (4) à mesure que les terrains disponibles se raréfient et que les exigences des Plans Locaux d’Urbanisme des villes se renforcent, de tels projets de développement deviendront de plus en plus rares.  Tous les emplacements ont été choisis sur la base de statistiques d'achat des consommateurs et cinq des actifs sont proches de pays limitrophes, ce qui soutiendra leurs opérations paneuropéennes. Il s'agit d'une parfaite illustration de l'expertise de VECTURA, et nous sommes convaincus que nous serons en mesure de capitaliser sur ce succès à l'avenir ». 

    Michel Chiche, Président de VECTURA, a ajouté : « Nous sommes investis depuis de nombreuses années dans le développement d’outils logistiques “last-mile” de dernière génération, pour de nombreux acteurs de la chaine logistique, mais aussi de nombreux utilisateurs finaux. Ce partenariat avec un acteur reconnu de l’investissement immobilier comme La Française Real Estate Managers récompense des années de travail et nous conforte dans la stratégie de développement que nous menons ».   


    La Française Real Estate Managers a été conseillée par Ashurst sur les aspects juridiques, Flusin sur les aspects notariaux et ETYO sur les aspects techniques. BNP Paribas Transaction France était le courtier. VECTURA a été conseillée par Ariel PASCUAL et Anne-Christelle BATTUT-ESCARPIT sur les aspects notariaux.
     

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    news-2728 Mon, 20 Dec 2021 09:06:16 +0100 Inflation, Omicron : réponse des banques centrales [Boucler la boucle – Épisode 16] /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inflation-omicron-reponse-des-banques-centrales-boucler-la-boucle-episode-16/ Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Inflation, Omicron : réponse des banques centrales [Boucler la boucle – Épisode 16]

    Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

     Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2725 Tue, 14 Dec 2021 17:33:22 +0100 Réunion BCE, l'assouplissement quantitatif à l'honneur /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunion-bce-l-assouplissement-quantitatif-a-l-honneur/ La Banque centrale européenne (BCE) tiendra sa conférence de presse trimestrielle le 16 décembre. La BCE devrait vouloir maintenir ses différentes options ouvertes étant donné les incertitudes accrues concernant l'inflation et la pandémie. L'institution n'abandonnera pas sa vision transitoire de l'inflation malgré les risques à la hausse qui pèsent sur les perspectives d'inflation. La banque centrale mettra à jour ses projections macroéconomiques avec la première publication de la projection pour 2024. Veuillez trouver ci-dessous ce que nous attendons :

    • La présidente de la BCE, Mme Lagarde, devrait souligner qu'une hausse des taux d'intérêt l'année prochaine est très peu probable. Cependant, elle préviendra également que le Conseil des gouverneurs (CG) n'hésitera pas à agir lorsque les conditions nécessaires seront satisfaites. 
    • Le programme d'achat d'urgence lié à la pandémie (PEPP) devrait prendre fin en mars 2022 comme prévu malgré l'arrivée du variant Omicron.
    • Pour succéder au PEPP, le programme d'achat d'actifs (APP) devrait être porté à 40 milliards d'euros par mois en moyenne à partir d'avril prochain et jusqu'à la fin de 2022. Alternativement, le Conseil des gouverneurs peut compléter la moyenne mensuelle de 20 milliards d'euros du PPA par une enveloppe fixe et temporaire jusqu'en décembre 2022, comprise entre 150 et 200 milliards d'euros. 
    • Les obligations grecques ne devraient pas être inclues dans les actifs éligibles à l’APP mais la BCE devrait confirmer
    • Pour éviter le risque de fragmentation, la flexibilité du PEPP sera transférée aux réinvestissements dans la dette arrivant à échéance dans le PEPP.
    • Sur le plan économique, les prévisions d'inflation de la BCE devraient être révisées nettement à la hausse en 2021 (2,5 % contre 2,2 % précédemment) et en 2022 (2,8 % contre 1,7 % précédemment). Les prévisions d'inflation pour 2024 devraient rester inférieures à l'objectif à long terme (2%), à 1,8%. Concernant la croissance, les projections devraient indiquer une croissance légèrement plus élevée en 2021 (de 5,0 % à 5,1 %) mais plus faible en 2022 (de 4,6 % à 4,3 %).

    Le principal risque serait que la BCE décide de reporter les décisions sur le futur QE à février 2022, affirmant qu'il y a trop d'incertitude pour agir lors de la réunion actuelle, mais ce n'est pas notre scénario de base. Les marchés obligataires, notamment en Italie, en Espagne, au Portugal et surtout en Grèce, seraient vulnérables dans ce scénario.

    Disclaimer

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2721 Wed, 15 Dec 2021 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) poursuit sa forte croissance et annonce une collecte SCPI record /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-poursuit-sa-forte-croissance-et-annonce-une-collecte-scpi-record/ Un an après sa réorganisation délibérément orientée clients et l’arrivée de Philippe DEPOUX à sa présidence, La Française Real Estate Managers (REM) annonce une forte croissance de son activité immobilière en 2021 et ce malgré l’attentisme de certains investisseurs internationaux marqués par les effets économiques de la crise sanitaire. Sur 2021, La Française REM annonce une collecte brute prévisionnelle de près de 2,5 milliards d’euros, portant ainsi ses encours sous gestion à plus de 29 milliards d’euros, soit une progression de plus de 9 % par rapport à 2020. La société de gestion dépasse son niveau de collecte record enregistré en 2019 sur les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) et attribue cette dynamique à la mise en place de sa feuille de route stratégique qui insiste notamment sur :

    • la pertinence et l’efficacité de l’asset management du parc immobilier ;
    • l’évolution de la gamme en matière de durabilité, répondant aux nouvelles exigences des investisseurs ;
    • une stratégie de diversification visant de nouvelles classes d’actifs, porteuses dans le contexte post COVID-19, à savoir la logistique, les résidences services seniors ou encore l’immobilier de santé et une présence renforcée sur les marchés internationaux, à savoir l’Allemagne, le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, l’Irlande et le Royaume-Uni
    • l’innovation en matière d’accessibilité et de développement de solutions d’investissement.

    Asset Management

    L’attrait des solutions d’investissement proposées par La Française REM tient notamment de leur capacité à pouvoir efficacement traverser une période inédite, comme celle que nous venons de connaitre. Le patrimoine immobilier géré par La Française REM est constitué pour environ 65 % de bureaux, 10 % de commerces, 10 % de résidentiel / résidences gérées, 10 % de locaux d’activités et 5 % de produits de diversification (vignobles, hôtels, autre). L’approche d’encaissement des loyers adoptée par La Française REM, qui se résume en une politique d’accompagnement sélective et négociée ou en une conduite de fermeté vis-à-vis des locataires de taille importante, a permis de conserver un bon taux d’encaissement des loyers, à l’image des SCPI d’entreprise de La Française REM qui ont globalement recouverts à fin novembre 95% des loyers quittancés depuis le début de l’année.

    Philippe DEPOUX, Président de La Française REM, ajoute : « La Française REM, c’est un ensemble de métiers qui crée de la valeur pour l’investisseur final. Aujourd’hui, les équipes d’asset management sont à l’honneur.

    Chaque m2 est géré au mieux. Nous bâtissons notre stratégie d’asset management autour de trois grands axes, à savoir la durabilité (ESG), la flexibilité et le serviciel. La relation de proximité et le professionnalisme de nos équipes ainsi que la qualité de notre parc immobilier nous ont permis de traverser sereinement cette période inédite. Avec 300 000 m2 loués ou reloués en 2021, un taux d’occupation financier de près de 93% sur l’année, nous avons maintenu la performance de nos fonds immobiliers dans l’intérêt des investisseurs. Et demain, nous continuerons l’accompagnement des entreprises-locataires avec la Cellule de Transformation de l’Offre Locative, nouvellement créée. En 2022, nous déploierons ainsi progressivement une offre locative axée sur la flexibilité d’occupation et le serviciel. »

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    news-2720 Mon, 13 Dec 2021 16:13:23 +0100 Objet : Modification du fonds commun de placement Crystal Convertibles (code ISIN : FR0007470984) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fonds-commun-de-placement-crystal-convertibles-code-isin-fr0007470984/ Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds commun de placement Crystal Convertibles (ci-après le « FCP ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé de changer l’OPCVM maître du FCP à compter du 13 janvier 2022.

    ➢ Modification faisant l’objet d’un agrément de l’Autorité des marchés financiers :

    Actuellement, le FCP est nourricier du fonds La Française Convertibles Dynamique (part R).  Toutefois, à compter du 13 janvier 2022, le FCP deviendra nourricier du compartiment La Française Rendement Global 2028 (catégorie d’action I C EUR : FR0013439478) de la SICAV de droit français « La Française ».

    ➢ Modification ne faisant pas l’objet d’un agrément de l’Autorité des marchés financiers :

    Le FCP sera renommé « Patrimoine Rendement Global » en lieu et place de « Crystal Convertibles ».

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    news-2719 Tue, 14 Dec 2021 09:00:00 +0100 Compartiment Actions « Low Carbon » de La Française AM recompense avec le Label FNG FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/compartiment-actions-low-carbon-de-la-francaise-am-recompense-avec-le-label-fng-fr-be/ La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, a le plaisir d’annoncer que le compartiment actions « low carbon », La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global de la Sicav luxembourgeoise La Française LUX, a été récompensé avec le label Forum Nachhaltige Geldanlagen (FNG) 2 étoiles pour les fonds communs de placement durables. Cette distinction vient reconnaître notamment la qualité de la méthodologie prospective de quantification des émissions carbones, développée par le centre de recherche extra-financière du groupe, La Française Sustainable Investment Research (SIR), et qui est intégrée à la stratégie de gestion du compartiment. Le label FNG est attribué pour l’année 2022.

    Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année. 
    Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par un auditeur indépendant, l'Université de Hambourg.

    La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :

    • Présentation transparente et facile à comprendre de la stratégie de développement durable du fonds dans le cadre du Code de Transparence élaboré par Eurosif et du Profil de durabilité établi par FNG
    • Exclusion de l'armement et des armes
    • Exclusion de l'énergie nucléaire (y compris l'extraction d'uranium)
    • Exclusion du charbon (exploitation minière et production importante d'électricité)
    • Exclusion de la fracturation hydraulique et des sables bitumineux
    • Exclusions du tabac (production)
    • Exclusion en cas de violation systématique et/ou grave des principes du Pacte mondial des Nations Unies
    • L'ensemble du portefeuille du fonds est contrôlé au regard de critères de développement durable (responsabilité sociale et environnementale, bonne gouvernance d'entreprise, objectifs de développement durable des Nations Unies ou autres).

    La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a obtenu deux étoiles sur les trois possibles, pour sa stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète, qui leur a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et des stratégies en matière de sélection et de dialogue.

    Nina LAGRON, CFA, Head of Large Cap Equites de La Française AM, a conclu : « Pour la deuxième année consécutive La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global est récompensé avec le label FNG. Ce compartiment, qui bénéficie de trois labels en cours de validité : ISR (français), Greenfin (français) & FNG, témoigne parfaitement de la qualité de sélectivité que nous nous efforçons de respecter afin de contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. » 

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    news-2716 Mon, 13 Dec 2021 09:40:46 +0100 Deux fonds actions « low carbon » de La Française AM recompenses avec le Label FNG FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/deux-fonds-actions-low-carbon-de-la-francaise-am-recompenses-avec-le-label-fng-fr-lu/ La Française AM, société de gestion avec plus de 28 milliards d’euros en encours, a le plaisir d’annoncer que deux de ses fonds actions « low carbon », La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Euro ont été récompensés avec le label Forum Nachhaltige Geldanlagen (FNG) 2 étoiles pour les fonds communs de placement durables. Cette distinction vient reconnaître notamment la qualité de la méthodologie prospective de quantification des émissions carbones, développée par le centre de recherche extra-financière du groupe, La Française Sustainable Investment Research (SIR), et qui est intégrée à la stratégie de gestion des deux fonds. Le label FNG est attribué pour l’année 2022.

    Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année. 
    Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par un auditeur indépendant, l'Université de Hambourg.

    La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :

    • Présentation transparente et facile à comprendre de la stratégie de développement durable du fonds dans le cadre du Code de Transparence élaboré par Eurosif et du Profil de durabilité établi par FNG
    • Exclusion de l'armement et des armes
    • Exclusion de l'énergie nucléaire (y compris l'extraction d'uranium)
    • Exclusion du charbon (exploitation minière et production importante d'électricité)
    • Exclusion de la fracturation hydraulique et des sables bitumineux
    • Exclusions du tabac (production)
    • Exclusion en cas de violation systématique et/ou grave des principes du Pacte mondial des Nations Unies
    • L'ensemble du portefeuille du fonds est contrôlé au regard de critères de développement durable (responsabilité sociale et environnementale, bonne gouvernance d'entreprise, objectifs de développement durable des Nations Unies ou autres).

    La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Euro ont obtenu chacun deux étoiles sur les trois possibles, pour leur stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète, qui leur a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et des stratégies en matière de sélection et de dialogue.

    Nina LAGRON, CFA, Head of Large Cap Equites de La Française AM, a conclu : « Pour la deuxième année consécutive La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global est récompensé avec le label FNG. Ce fonds, qui bénéficie de trois labels en cours de validité : ISR (français), Greenfin (français) & FNG, témoigne parfaitement de la qualité de sélectivité que nous nous efforçons de respecter afin de contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Pour La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Euro, qui déploie une stratégie identique mais sur un univers géographique plus concentré, il s’agit de notre première candidature au label. » 

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    news-2713 Fri, 10 Dec 2021 17:30:22 +0100 Les vaccins offriront-ils une protection suffisante pour les marchés ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-vaccins-offriront-ils-une-protection-suffisante-pour-les-marches/ Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Les vaccins offriront-ils une protection suffisante pour les marchés ? [Boucler la boucle – Épisode 15]

    Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

     Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2712 Fri, 10 Dec 2021 15:40:47 +0100 Metaverse – A Brave New World /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/metaverse-a-brave-new-world/ The traditional internet is launching into the digital stratosphere. An alternate world where people live digital lives similar to their physical ones may one day exist and it is called the metaverse. The creation of this virtual world may potentially offer huge opportunity for those who lead its development. “Metaverse” Company Mentions

    • Public companies have recently begun to discuss the metaverse more with mentions in public calls and press releases in November exceeding the sum of those mentions in the previous year. The conversations are not just occurring in tech (48% of mentions) but also in consumer services (17%), telecommunications (7%), consumer cyclicals (5%) and business services (5%) corporations. The companies discussing it range from chip companies like Nvidia and Qualcomm to software companies like Microsoft to gaming companies like Roblox, to consumer companies such as Ralph Lauren and Disney.
    • The metaverse may be a 3D interoperable (components work together) digital world with many of the same things we have in our physical world, including an economy where people earn money, trade goods and shop for digital assets, as well as enjoy social lives and partake in education and entertainment. Traveling to virtual destinations will be possible from the comfort of one’s home. Interacting with people around the world without the barrier of language may be possible. Attending a concert shoulder to shoulder with a global audience is another application.
    • We believe, attractive investment opportunities related to the metaverse include companies building platforms on which the metaverse is created as well as those that provide enabling hardware and software.
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    news-2711 Wed, 08 Dec 2021 12:00:00 +0100 Agil’Immo, un service innovant et flexible, pour vous et vos clients /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/agil-immo-un-service-innovant-et-flexible-pour-vous-et-vos-clients/ Lancée il y a maintenant un an, Agil’Immo est un service vous permettant de proposer à vos clients d’investir plus simplement dans le produit SCPI.

    Avec cette solution innovante, l'investissement se fait désormais en montant, la souscription en nombre de parts étant toujours disponible. Pour cela, Agil'Immo propose deux options cumulables :

    • le versement programmé,
    • le réinvestissement de la distribution.

    Choisir Agil’Immo, c'est faire le choix de démocratiser l'accès à l’épargne immobilière en SCPI, d'offrir plus de flexibilité et d'instaurer entre vous et vos clients une relation régulière.

    Découvrez en plus en vidéo avec Claire ROUX, Responsable commerciale La Française AM Finance Services.

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    news-2708 Wed, 08 Dec 2021 11:23:43 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT JKC ASIA BOND 2023 (LE « COMPARTIMENT ») FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-jkc-asia-bond-2023-le-compartiment-fr/ Cher Actionnaire, Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le prospectus de la Société (le « Prospectus ») a été mis à jour afin de clarifier la manière dont les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) sont intégrés dans les décisions d'investissement. 1) Mise à jour de la politique d'investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement a été clarifié comme suit :

    « Le Compartiment investit principalement dans des emprunts d’État et des obligations d'entreprises assortis de toutes notations de crédit et provenant des pays de la région Asie Pacifique, à l'exception du Japon et arrivant à échéance le 31 décembre 2023 ou avant cette date. Les caractéristiques ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) sont évaluées et intégrées dans l'analyse des investissements cibles du Gestionnaire d'investissement, comme expliqué plus en détail dans la section « Intégration ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) » ci-dessous.

    La description de la stratégie d'investissement a été clarifiée comme suit :

    « Stratégie et approche en matière de durabilité Le Gestionnaire d'investissement a recours à une approche long-only basée sur l'analyse économique et financière mondiale, ainsi que sur
    l'analyse des bilans des entreprises et les données sur les fondamentaux de la dette souveraine. Le Gestionnaire d'investissement peut également recourir à des stratégies d'arbitrage si des opportunités se font jour sur le marché ou si le profil de risque des entreprises change.

    Le Gestionnaire d'investissement détermine un profil ESG des emprunts d'État et des obligations d'entreprises sur la base de données qualitatives et quantitatives publiques obtenues en continu, ainsi que sur les informations recueillies au cours de la phase de diligence raisonnable (notamment les entretiens avec les directions d'entreprises, les annonces et publications officielles).

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    news-2705 Wed, 08 Dec 2021 11:16:33 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT JKC ASIA BOND 2023 (LE « COMPARTIMENT ») CH > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-jkc-asia-bond-2023-le-compartiment-ch-fr/ Cher Actionnaire, Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe que le prospectus de la Société (le « Prospectus ») a été mis à jour afin de clarifier la manière dont les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) sont intégrés dans les décisions d'investissement. 1) Mise à jour de la politique d'investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement a été clarifié comme suit :

    « Le Compartiment investit principalement dans des emprunts d’État et des obligations d'entreprises assortis de toutes notations de crédit et provenant des pays de la région Asie Pacifique, à l'exception du Japon et arrivant à échéance le 31 décembre 2023 ou avant cette date. Les caractéristiques ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) sont évaluées et intégrées dans l'analyse des investissements cibles du Gestionnaire d'investissement, comme expliqué plus en détail dans la section « Intégration ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) » ci-dessous.

    La description de la stratégie d'investissement a été clarifiée comme suit :

    « Stratégie Le Gestionnaire d'investissement a recours à une approche long-only basée sur l'analyse économique et financière mondiale, ainsi que sur l'analyse des bilans des entreprises et les données sur les fondamentaux de la dette souveraine. Le Gestionnaire d'investissement peut également recourir à des stratégies d'arbitrage si des opportunités se font jour sur le marché ou si le profil de risque des entreprises change.

    Le Gestionnaire d'investissement détermine un profil ESG des emprunts d'État et des obligations d'entreprises sur la base de données qualitatives et quantitatives publiques obtenues en continu, ainsi que sur les informations recueillies au cours de la phase de diligence raisonnable (notamment les entretiens avec les directions d'entreprises, les annonces et publications officielles).

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    news-2700 Wed, 08 Dec 2021 10:36:08 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT SUSTAINABLE REAL ESTATE SECURITIES (LE « COMPARTIMENT ») CH > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-sustainable-real-estate-securities-le-compartiment-ch-fr/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Utilisation d’un indice de référence

    Afin d'assurer la conformité avec les exigences de divulgation prévues par les questions-réponses de l'AEMF sur la directive OPCVM relatives à l'utilisation d'un indicateur, le paragraphe suivant a été ajouté à la politique d'investissement :

    « Le compartiment est géré de manière active et discrétionnaire. Le compartiment n'est pas géré par référence à un indice. »

    2) Mise à jour de la rubrique « Instruments dérivés et techniques »

    La description de l'utilisation des opérations de mise en pension et de prise en pension a été clarifiée en ajoutant des détails supplémentaires sur les techniques de gestion efficace de portefeuille qui peuvent être utilisées :

    « Le compartiment peut également conclure des accords de mise en pension et de prise en pension à des fins de gestion efficace du portefeuille (comme décrit plus en détail à la section « Instruments et techniques que les compartiments peuvent utiliser ») par exemple (mais sans s'y limiter) pour créer des positions d'arbitrage destinées à profiter des variations des écarts de taux d'intérêt. »

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    news-2698 Wed, 08 Dec 2021 10:30:31 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL (LE « COMPARTIMENT ») FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-inflection-point-carbon-impact-global-le-compartiment-fr/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :

    « Le compartiment investit principalement dans des actions émises par des sociétés mondiales, y compris celles des marchés émergents, engagées à réduire leurs émissions de carbone, à étendre leur stratégie visant à réduire les émissions de carbone et à remplacer les sources d'énergie fossile par des alternatives à faible émission carbone.

    Le Compartiment investit au moins 66 % de son actif net dans des actions et des titres assimilés à des actions émis par des sociétés à grandes capitalisations, tous secteurs confondus. Les investissements peuvent inclure des ADR (American Depositary Receipts) ou des GDR (Global Depositary Receipts). »

    2) Mise à jour des avertissements concernant les risques

    Conformément à la politique d'investissement déjà applicable, une référence au risque de crédit et au risque lié aux produits dérivés a été ajoutée à la liste des risques généralement associés aux circonstances de marché ordinaires. La référence liée aux risques de liquidité a été supprimée des risques généralement associés à des conditions de marché inhabituelles.

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    news-2696 Wed, 08 Dec 2021 10:25:42 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL (LE « COMPARTIMENT ») FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-inflection-point-carbon-impact-global-le-compartiment-fr-be/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :

    « Le compartiment investit principalement dans des actions émises par des sociétés mondiales, y compris celles des marchés émergents, engagées à réduire leurs émissions de carbone, à étendre leur stratégie visant à réduire les émissions de carbone et à remplacer les sources d'énergie fossile par des alternatives à faible émission carbone.

    Le Compartiment investit au moins 66 % de son actif net dans des actions et des titres assimilés à des actions émis par des sociétés à grandes capitalisations, tous secteurs confondus. Les investissements peuvent inclure des ADR (American Depositary Receipts) ou des GDR (Global Depositary Receipts). »

    2) Mise à jour des avertissements concernant les risques

    Conformément à la politique d'investissement déjà applicable, une référence au risque de crédit et au risque lié aux produits dérivés a été ajoutée à la liste des risques généralement associés aux circonstances de marché ordinaires. La référence liée aux risques de liquidité a été supprimée des risques généralement associés à des conditions de marché inhabituelles.

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    news-2689 Wed, 08 Dec 2021 10:06:56 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL (LE « COMPARTIMENT ») CH > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-inflection-point-carbon-impact-global-le-compartiment-ch-fr/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :
    « Le compartiment investit principalement dans des actions émises par des sociétés mondiales, y compris celles des marchés émergents, engagées à réduire leurs émissions de carbone, à étendre leur stratégie visant à réduire les émissions de carbone et à remplacer les sources d'énergie fossile par des alternatives à faible émission carbone.

    Le Compartiment investit au moins 66 % de son actif net dans des actions et des titres assimilés à des actions émis par des sociétés à grandes capitalisations, tous secteurs confondus. Les investissements peuvent inclure des ADR (American Depositary Receipts) ou des GDR (Global Depositary Receipts). »

    2) Mise à jour des avertissements concernant les risques

    Conformément à la politique d'investissement déjà applicable, une référence au risque de crédit et au risque lié aux produits dérivés a été ajoutée à la liste des risques généralement associés aux circonstances de marché ordinaires. La référence liée aux risques de liquidité a été supprimée des risques généralement associés à des conditions de marché inhabituelles.

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    news-2687 Wed, 08 Dec 2021 10:00:57 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT INFLECTION POINT CARBON IMPACT EURO (LE « COMPARTIMENT ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-inflection-point-carbon-impact-euro-le-compartiment/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d'investissement du Compartiment et des risques applicables

    a) Politique d’investissement

    Les premiers paragraphes de la politique d'investissement du Compartiment ont été clarifiés pour se lire comme suit :

    « Le compartiment investit principalement dans des actions émises par des sociétés de la zone euro, engagées à réduire leurs émissions de carbone, à étendre leur stratégie visant à réduire les émissions de carbone et à remplacer les sources d'énergie fossile par des alternatives à faible émission carbone.

    Le compartiment investit au moins 85 % de son actif net dans des actions et des titres assimilés à des actions émis par des entreprises de la zone euro, toutes capitalisations confondues et sans prédominance sectorielle.

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    news-2683 Tue, 07 Dec 2021 16:11:14 +0100 Comment se porte le marché du Crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de décembre ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-se-porte-le-marche-du-credit-quels-emetteurs-privilegions-nous-pour-le-mois-de-decembre/ Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan et vous livre ses convictions mensuelles.

    Publication réservée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MiFID II.

    Comment se porte le marché du Crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de décembre ?

    Les performances du marché du crédit ont été négatives avec l’émergence du variant Omicron dans un marché très illiquide. 

    Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan et vous livre ses convictions mensuelles.

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    news-2682 Wed, 08 Dec 2021 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de PRD Office une école à Pantin (93) louée à Grenoble Ecole Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-prd-office-une-ecole-a-pantin-93-louee-a-grenoble-ecole-management/ La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine, a acquis auprès de PRD Office un ensemble immobilier à destination de l’enseignement supérieur, à Pantin (93). L’actif est situé avenue Jean Lolive, à 300m du métro ligne 5 et à proximité du Canal de l’Ourcq, dans un quartier en pleine mutation qui accueille de nombreuses entreprises opérant notamment dans le secteur de la mode. L’opération en VEFA, avec une date de livraison prévue au premier semestre 2023, comportera deux bâtiments développant au total 5 860 m² en R+6 et R+5 reliés par des passerelles. L’ensemble immobilier bénéficiera d'une double hauteur au RDC et offrira de nombreux services dont une cafétéria, un amphithéâtre, une bibliothèque ainsi qu’un important rooftop.

    L’actif sera entièrement loué à Grenoble Ecole de Management, grande école de commerce, qui installera son campus Parisien dans le cadre d'un bail de 12 ans fermes.

    L’ensemble fera l’objet d’une labellisation BiodiverCity et E+/C-. Le label d’État « Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone » atteindra un niveau E3/C1 notamment par le recours à une structure en bois et à l’utilisation d’énergies renouvelables photovoltaïque et géothermique.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides. PRD Office a été conseillé par l’office notarial Oudot.

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    news-2681 Wed, 08 Dec 2021 09:00:00 +0100 Olivier Brouwers rejoint La Francaise en tant que head of Benelux & Nordics /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/olivier-brouwers-rejoint-la-francaise-en-tant-que-head-of-benelux-nordics/ Paris, le 8 décembre 2021 : La Française, groupe de gestion multi-expertises avec plus de 56 milliards d’euros sous gestion, renforce son équipe de développement dédiée à l’international (hors France) et annonce l’arrivée d’Olivier BROUWERS en tant que Head of BENELUX & NORDICS, sous la direction de Gerardo Duplat, Head of International Business Development. Olivier BROUWERS rejoint l’équipe dédiée aux marchés du Benelux et de la Scandinavie, aux côtés de Gianni Pauwels, Responsable Commercial Belgique et Pays-Bas, et Clément Maillet, Responsable Commercial Luxembourg.

    En qualité de Head of Benelux & Nordics, Olivier développera les activités de valeurs mobilières et d’immobilier auprès d’une clientèle institutionnelle et de sélectionneurs de fonds. Fort de près de vingt-cinq ans d’expérience dans le secteur de la gestion d’actifs (active et passive), Olivier apporte à La Française une solide connaissance des enjeux de la distribution transfrontalière de fonds et de l’investissement socialement responsable.

    Olivier BROUWERS (49 ans) débute sa carrière en 1996 avec Paribas Bank Belgium, dans la division banque privée. En 1998, il rejoint Invesco France et acquiert une première expérience dans la distribution de fonds vers le marché belge notamment. Ensuite, après trois ans, il participe à la mise en place de Invesco Asset Management en Belgique. C’est le début d’une carrière longue de dix-neuf années, d’abord en tant que Responsable Commercial et Services Clients, couvrant une clientèle institutionnelle et retail en Belgique et au Luxembourg, et au fil des promotions, Olivier voit ses responsabilités géographiques s’étendre pour comprendre le Benelux, la France et la Scandinavie. Dès 2013, Olivier est sensibilisé au rôle que doit prendre le secteur financier pour contribuer à une économie plus durable et devient en parallèle membre du Comité Produit Durable, une expertise qu’il continuera de développer.

    Plus récemment et pendant plus d’un an, Olivier a exercé le poste de CEO ad-interim pour la filiale asset management du Groupe Belfius. Outre les aspects règlementaires et organisationnels, il a aussi expérimenté en interne les besoins toujours plus pointus des distributeurs vis-à-vis des sociétés de gestion. 

    Olivier BROUWERS détient un Bachelor en Economie avec une spécialisation en finance de l’Université libre de Bruxelles (ULB-Solvay). Il est également diplômé de l’Association Belge des Analystes Financiers.

    Gerardo DUPLAT, Head of International Business Development conclut « Olivier, par son importante expérience multiculturelle, était le choix « évident » pour développer les marchés du Benelux et des pays nordiques. La distribution transfrontalière, le déploiement de stratégies de développement locaux, la gestion active versus passive et l’investissement durable… sont tous des domaines dans lesquels il excelle. » 

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    news-2679 Mon, 18 Oct 2021 16:37:00 +0200 Notre allocation Cross Asset pour le 4ème trimestre 2021 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/notre-allocation-cross-asset-pour-le-4eme-trimestre-2021/ Vous recherchez du rendement, vous avez besoin de diversification ?

    Le retour de l’inflation et l'environnement incertain complique vos choix d’allocation ?

    Vous recherchez du rendement, vous avez besoin de diversification ?

    Ça tombe bien : La Française vous permet désormais de simuler par profil et horizon une allocation mixant immobilier et actifs financiers : http://lfgrou.pe/RkKYyr

    Dans cette vidéo, nous vous présentons nos convictions du 4ème trimestre. Rendez-vous début 2022 pour la mise à jour.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital.

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    news-2677 Mon, 29 Nov 2021 16:21:00 +0100 La COP26 nous a montré une fois de plus qu’il était urgent d’agir. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-cop26-nous-a-montre-une-fois-de-plus-qu-il-etait-urgent-d-agir/ La COP26 nous a montré une fois de plus qu’il était urgent d’agir. La finance se doit de participer activement à la transition vers une économie bas carbone.

    La COP26 nous a montré une fois de plus qu’il était urgent d’agir. La finance se doit de participer activement à la transition vers une économie bas carbone.

    La Française Carbon Impact 2026 vise à investir dans la transition énergétique à long terme tout en minimisant notre impact carbone aujourd’hui.

    Comment ? Notre fonds à échéance détecte les acteurs de demain, qui resteront compétitifs tout en étant proactifs dans la transformation d’un monde bas carbone.

    Marie Lassegnore, Responsable ESG Fixed Income & Cross Asset, vous présente notre fonds à maturité aux côtés de Franck Rousseau, Directeur des Relations Institutionnelles France.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-2676 Wed, 24 Nov 2021 09:00:00 +0100 Point sur le marché immobilier par Virginie Wallut /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/point-sur-le-marche-immobilier-par-virginie-wallut/ L’environnement de taux bas, qui est amené à perdurer ainsi que l’inflation sont des éléments favorables à l’immobilier.

    Même si l’activité économique reste très dépendante de l’évolution sanitaire des différents pays, nous arrivons à voir des signaux positifs.

    L’environnement de taux bas, qui est amené à perdurer ainsi que l’inflation sont des éléments favorables à l’immobilier.

    De plus, nous avons la conviction que nous assistons à un nouveau cycle immobilier qui sera marqué par deux phénomènes majeurs : la polarisation des marchés et la prise en compte des critères ESG dans la valorisation des actifs.

    Des éléments que nous avions déjà anticipés et sur lesquels nous sommes positionnés.

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    news-2675 Mon, 06 Dec 2021 09:09:30 +0100 Omicron et changement de ton de la Fed: cocktail explosif ou simple respiration ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/omicron-et-changement-de-ton-de-la-fed-cocktail-explosif-ou-simple-respiration/ Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Omicron et changement de ton de la Fed : cocktail explosif pour la fin d’année ou simple respiration ? 

    Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2674 Thu, 09 Dec 2021 09:00:00 +0100 La ville by La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-ville-by-la-francaise/ À La Française, nous sommes convaincus que pour générer de la valeur utile et rendre la ville durable, l’investissement immobilier doit se traduire par des actions concrètes. Découvrez en vidéo la ville by La Française, une ville plus humaine, plus accessible et plus écologique.

    Cette nouvelle communication incarnée et humanisée donne une nouvelle dimension à notre signature « Investing Together », qui se concrétise aujourd’hui par ce film présentant l’expertise et les convictions de La Francaise en immobilier.

    L’immobilier, parce qu’il s’intéresse à des actifs physiques réels, a un rôle essentiel à jouer dans la transition vers une économie plus durable et un monde plus écologique.

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    news-2673 Wed, 17 Nov 2021 10:36:00 +0100 Dans quelle proportion l’inflation impactera-t-elle les loyers ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/dans-quelle-proportion-linflation-impactera-t-elle-les-loyers/ Les loyers sont indexés chaque année selon un indice qui prend en compte l’inflation. Il existe donc un lien entre l’inflation et l’impact sur les loyers des SCPI.  Virginie Wallut et Marc-Olivier PENIN livraient leur projection à l’occasion de notre rentrée partenaires. 

     

    Extrait de la rentrée partenaires - Septembre 2021

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    news-2672 Tue, 30 Nov 2021 09:00:00 +0100 Lettre aux porteurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-2/ Objet : mutation du Fonds Commun de Placement La Française Multi-Asset Income fonds nourricier du compartiment maître La Française LUX – Multi-Asset Income de la SICAV de droit luxembourgeois La Française Lux Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du FCP La Française Multi Asset Income et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Dans le cadre de la poursuite du développement de sa gamme bas carbone, La Française Asset Management a décidé de modifier le compartiment La Française LUX – Multi-Asset Income de la SICAV de droit luxembourgeois La Française Lux (ci-après l’ « OPC Maître »), compartiment maître de votre FCP La Française Multi Asset Income (ci-après le « FCP »). Cette modification entrainant par conséquent la modification de votre FCP.

    Ainsi, la société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et le profil rendement / risque de l’OPC Maître donc de votre FCP.
    Ces modifications ont pour objectif d’obtenir un fonds ayant une allocation flexible multi classes d’actifs (Actions et taux) avec une approche extra-financière (ESG).

    Actuellement, le FCP peut investir en actions (jusqu’à 100% de l’actif net), obligations gouvernementales et d’entreprises et en valeurs immobilières (REIT jusqu’à 40% de l’actif net) sans contrainte géographique (y compris les marchés émergents). Après ces modifications, le FCP aura une approche flexible multi classes d’actifs, actions (jusqu’à 50% de l’actif net) et taux, dans des titres qui auront été filtrés préalablement selon des critères extra-financiers. Par ailleurs, le FCP aura un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 30% par rapport à celles de l’indicateur de référence composite : 20% MSCI World HD net total return (M1WDHDVD Index) + 40% ICE Bofa Global High Yield Index (HW00 Index) +40% JP EMBI Global Diversified Index (JPGCCOMP Index). Enfin, le FCP pourra toujours avoir recours à des REIT jusqu’à 10% de l’actif net.

    Par ailleurs, le FCP pourra investir jusqu’à 100% de son actif net dans des titres High-Yield (dits spéculatifs).

    Le FCP et l’OPC Maître changeront de dénomination comme mentionné ci-après. Ces modifications sont listées et détaillées en annexe 1 de ce présent courrier.

    Certaines de ces modifications listées ci-dessous ont reçu l’agrément de l’Autorité des marchés

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    news-2667 Mon, 29 Nov 2021 10:59:54 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-fr-be/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :

    « Le compartiment investit principalement dans des obligations assorties de toute notation de crédit, y compris les obligations assorties d'une notation inférieure à investment grade, et dans toute devise d'émetteurs de l'OCDE.

    Plus précisément, le compartiment investit au moins 75 % de son actif net dans des titres de créance à taux fixe, à taux variable ou indexé sur l'inflation, ainsi que dans des titres de créance négociables. »

    La politique d'investissement sera également clarifiée pour prévoir que le compartiment puisse investir jusqu'à 25 % de son actif net dans des pays non membres de l'OCDE et jusqu'à
    20 % de son actif net en trésorerie et équivalents de trésorerie.

    La duration modifiée du Compartiment a également été modifiée et peut désormais varier de -3 à 7 (au lieu de -3 à 5).

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    news-2664 Mon, 29 Nov 2021 10:32:39 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») CH > FR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment-ch-fr/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :
    « Le compartiment investit principalement dans des obligations assorties de toute notation de crédit, y compris les obligations assorties d'une notation inférieure à investment grade, et dans toute devise d'émetteurs de l'OCDE.

    Plus précisément, le compartiment investit au moins 75 % de son actif net dans des titres de créance à taux fixe, à taux variable ou indexé sur l'inflation, ainsi que dans des titres de créance négociables. »
    La politique d'investissement sera également clarifiée pour prévoir que le compartiment puisse investir jusqu'à 25 % de son actif net dans des pays non membres de l'OCDE et jusqu'à 20 % de son actif net en trésorerie et équivalents de trésorerie.

    La duration modifiée du Compartiment a également été modifiée et peut désormais varier de -3 à 7 (au lieu de -3 à 5).

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    news-2662 Mon, 29 Nov 2021 10:23:06 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTI-ASSET INCOME (LE « COMPARTIMENT ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multi-asset-income-le-compartiment/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») et plus précisément l'annexe relative au Compartiment : 1) Changement de l'objectif de placement

    À compter du 31 décembre 2021 (la « Date d'entrée en vigueur »), l'objectif d'investissement du Compartiment sera modifié pour ajouter un objectif d'investissement durable conformément à l'article 9 du Règlement (UE) 2019/2088 sur la publication d'informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (SFDR). L'objectif d'investissement sera donc libellé comme suit :

    « Objectif : Obtenir un revenu régulier et une croissance du capital (rendement total) à moyen et long
    terme en investissant, en utilisant une approche flexible d'allocation multi-actifs dans des titres
    préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de
    gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de
    serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 % inférieure à celle de l'indice
    composite 20 % MSCI World HD (rendement total net) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified. Le compartiment est géré de manière active et discrétionnaire. L'indice permet de définir l'univers d'investissement éligible dans un objectif de réduction de l'intensité carbone. La stratégie de gestion est sans contraintes sur l'indice. »

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    news-2660 Mon, 29 Nov 2021 10:14:42 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT GTS RÉACTIF (LE « COMPARTIMENT ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-gts-reactif-le-compartiment/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :

    « Le Compartiment investit au moins 51 % de son actif net dans des actions et des obligations
    de toute provenance géographique, y compris les marchés émergents, directement ou
    indirectement par le biais d'investissements dans d'autres fonds. »

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    news-2658 Mon, 29 Nov 2021 10:02:23 +0100 AVIS AUX ACTIONNAIRES DU COMPARTIMENT MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES (LE « COMPARTIMENT ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-du-compartiment-multistrategies-obligataires-le-compartiment/ Cher Actionnaire, Le Conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente des changements suivants à apporter au prospectus de la Société (le « Prospectus ») : 1) Clarification de la politique d’investissement

    Le premier paragraphe de la politique d'investissement du Compartiment sera également clarifié afin d'inclure un pourcentage concret d'exposition aux actions et obligations et ainsi se lire comme suit :

    « Le compartiment investit principalement dans des obligations assorties de toute notation de crédit, y compris les obligations assorties d'une notation inférieure à investment grade, et dans toute devise d'émetteurs de l'OCDE.

    Plus précisément, le compartiment investit au moins 75 % de son actif net dans des titres de créance à taux fixe, à taux variable ou indexé sur l'inflation, ainsi que dans des titres de créanc négociables. »

    La politique d'investissement sera également clarifiée pour prévoir que le compartiment puisse investir jusqu'à 25 % de son actif net dans des pays non membres de l'OCDE et jusqu'à 20 % de son actif net en trésorerie et équivalents de trésorerie.

    La duration modifiée du Compartiment a également été modifiée et peut désormais varier de -3 à 7 (au lieu de -3 à 5).

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    news-2654 Fri, 26 Nov 2021 16:42:40 +0100 Les bourses plongent face au variant B1.1.529. Fausse alerte ou retour en arrière ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-bourses-plongent-face-au-variant-b1-1-529-fausse-alerte-ou-retour-en-arriere/ Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Les bourses plongent face au variant B1.1.529. Fausse alerte ou retour en arrière ? [Boucler la boucle – Épisode 13]

    Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2653 Fri, 26 Nov 2021 11:05:08 +0100 Marché immobilier européen : accélération de la reprise au 3T 2021 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-europeen-acceleration-de-la-reprise-au-3t-2021/ Par Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers L’immobilier confirme son statut de valeur refuge grâce à un couple rendement/risque attractif porté par des taux d’intérêt toujours bas. Cependant, face à l’afflux de liquidités, le marché de l’investissement demeure étroit, contraint par la qualité de l’offre.

    Les investisseurs restent hyper sélectifs, faisant preuve d’une sensibilité croissante aux caractéristiques Environnementales, Sociales et de Gouvernance (ESG) des actifs. Sur le marché locatif, la demande pour les bureaux porte principalement sur des espaces plus efficients et durables dans des localisations centrales bien desservies.

    Dans ce contexte, les immeubles « dernière génération » sont privilégiés car plus à même de répondre aux nouveaux enjeux d’aménagement autour du Flex-office et du collaboratif ainsi qu’à des critères énergétiques toujours plus exigeants.

    La recherche de centralité́ des utilisateurs devrait soutenir l’attractivité́ des quartiers d’affaires traditionnels, qui restent caractérisés par une vacance maîtrisée.

    Des volumes d’investissement en progression

    Les volumes d’investissements en immobilier d’entreprise en Europe continuent de progresser au troisième trimestre 2021. Ils s’élevaient à 153 Mds € YTD au 30/09/2021.

    Les marchés privilégiés par les investisseurs, locaux et internationaux, restent l’Allemagne (37.9 Mds €), le Royaume-Unis (37.5 Mds €) et la France (16 Mds €).

    Les emplacements centraux des capitales constituent le coeur de recherche des investisseurs, en particulier sur le segment des bureaux, même si le poids des grandes métropoles régionales dans les volumes d’investissement ne cesse de croître.

    Les bureaux continuent d’être la classe d’actifs la plus prisée des investisseurs regroupant 50 % des investissements en Europe YTD au 30/09/2021, suivi de la logistique avec 30 %. Les actifs de tourisme affichent une nette reprise avec une hausse des volumes d’investissement au T3 de 63 % comparé au T3 2020.

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    news-2652 Tue, 23 Nov 2021 10:17:40 +0100 Digitalisation et télétravail, défis et opportunités sur le marché des bureaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/digitalisation-et-teletravail-defis-et-opportunites-sur-le-marche-des-bureaux-1/ Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, et Pierre Schoeffler, Conseiller du Président du Groupe La Française, vous livrent leur analyse sur « Digitalisation et télétravail, défis et opportunités sur le marché des bureaux », à découvrir dans la publication « Réflexions immobilières » n°96 (3ème trimestre 2021). Dans un monde en transition, Réflexions immobilières, revue de l’IEIF, vous accompagne dans vos réflexions en vous proposant les analyses des principaux dirigeants et personnalités des marchés de l’immobilier et de la finance, à travers des articles de fond.

    Dans ce numéro au dossier consacré à « Quel avenir pour les bureaux ? », les réflexions de professionnels aux horizons divers sur les nouveaux usages des espaces de travail esquissent de nouvelles approches qui accompagneront les futures pratiques professionnelles et immobilières.

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    news-2651 Fri, 19 Nov 2021 16:43:24 +0100 Le nouveau record du CAC 40 menacé par le retour de la pandémie et la poursuite de l'inflation ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-nouveau-record-du-cac-40-menace-par-le-retour-de-la-pandemie-et-la-poursuite-de-l-inflation/ Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Le nouveau record du CAC 40 menacé par le retour de la pandémie et la poursuite de l'inflation ? [Boucler la boucle – Épisode 12]

    Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2649 Tue, 16 Nov 2021 10:13:39 +0100 Depuis plus de 50 ans, La Française fait rimer immobilier avec innovation. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/depuis-plus-de-50-ans-la-francaise-fait-rimer-immobilier-avec-innovation/ Pour vous et vos clients, nous continuons de créer des services innovants et différenciants.

    Depuis plus de 50 ans, La Française fait rimer immobilier avec innovation. 

    Pour vous et vos clients, nous continuons de créer des services innovants et différenciants.

    Cette année, nous avons lancé Agil’Immo : la souscription en SCPI en montant.

    Un service flexible, qui s’adapte à chacun de vos clients et de leurs besoins.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-2648 Tue, 16 Nov 2021 09:00:00 +0100 La Française lance LF Avenir Sante, une SCPI thematique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-lf-avenir-sante-une-scpi-thematique/ Paris, le 16 novembre 2021 : La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de SCPI en termes de capitalisation (IEIF au 30/06/2021), diversifie sa gamme de SCPI et lance sa première SCPI thématique investie dans les actifs de santé, LF AVENIR SANTE. Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, résume, « Notre objectif est de saisir dès aujourd’hui les opportunités que propose le marché, au travers d’une offre innovante d’actifs de santé. Au sein d’un secteur en pleine mutation, nous créons une SCPI qui sélectionnera des actifs médico-sociaux en adéquation avec les nouveaux besoins, de la médecine de ville au logement alternatif. Capitaliser sur notre expertise nous permettra de relever les enjeux de l’immobilier de santé de demain. »

    La SCPI LF AVENIR SANTE vise à constituer, directement ou indirectement, un patrimoine diversifié d’actifs immobiliers situés dans des Etats qui sont ou ont été membres de l’Union Européenne, en lien avec le secteur médico-social ou la santé de façon plus globale, et à titre accessoire dans d’autres locaux (bureaux, locaux d’entrepôts, commerces, parking etc.).

    Pour assurer un flux d’investissements adapté et en assurer la gestion efficace, La Française REM a créé un pôle immobilier de santé au sein de la direction Actifs Immobilier Entreprise, sous la Direction de Thierry Molton. Jérôme Valade, spécialiste des actifs de santé avec une solide connaissance opérationnelle, technique, juridique et financière du secteur acquise depuis 2008, a été nommé responsable de ce pôle. D’ores et déjà, LF AVENIR SANTE a négocié en exclusivité sa première acquisition : un ensemble immobilier dédié à un pôle de santé pluridisciplinaire situé dans une grande métropole française.   

    En complément, la société de gestion, pour le compte de la SCPI LF AVENIR SANTE, s’engage à reverser un don annuel à La Fondation des Hôpitaux.

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    news-2647 Thu, 18 Nov 2021 09:00:00 +0100 Inflation : est-ce un retour aux années 70 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inflation-est-ce-un-retour-aux-annees-70/ Depuis plusieurs mois reviennent certaines craintes d’une situation de stagflation (inflation élevée sans croissance économique) comparable à ce que nous avons connu dans les années 1970. Est-ce crédible ? Les années 70 ont été marquées par un choc pétrolier d’une ampleur jamais connue auparavant, avec des prix multipliés par plus de 10 entre 1973 et 1980 (source : Bloomberg) ; à titre de comparaison, cela équivaudrait aujourd’hui à un baril de pétrole qui passerait de 60 dollars (moyenne sur les cinq dernières années) à plus de 600 dollars. Cette hausse du prix du baril, liée à une problématique d’offre (fin des accords de Bretton Woods, représailles liées à la guerre du Kippour en 73), entraîna alors des conséquences majeures : hausse des coûts de production, augmentation des prix, baisse des profits, baisse du pouvoir d’achat et donc une demande qui finit par diminuer également. C’est d’ailleurs cette crise qui amènera la France et d’autres pays à se lancer dans des programmes massifs de construction de centrales nucléaires pour limiter leur dépendance aux énergies fossiles.

    La problématique de la stagflation telle que nous l’avons expérimentée dans les années 70 est donc principalement une problématique d’offre, ce qui, nous allons le voir plus loin, semble assez différent de la situation actuelle.

    Prenons la situation américaine pour commencer.

    Les Etats-Unis devraient voir leur inflation dépasser les 6 % (source : Cacib) en fin d’année, soit un niveau quasiment inconnu depuis le début des années 90. Cette hausse ne s’explique pas particulièrement par une hausse des prix des services, ceux-ci ayant une inflation assez stable si on la compare à la situation pré-Covid. Elle s’explique en revanche par une hausse des prix de l’énergie, principalement à cause d’effets de base très positifs sur le pétrole. Prix du pétrole qui ont d’ailleurs été tirés à la hausse non pas par un problème d’offre, l’OPEP disposant de capacités de production excédentaires, mais par une demande en forte accélération. L’inflation s’explique aussi par un phénomène nouveau qui est la hausse des prix dans le secteur des biens (véhicules par ex.), hausse qui s’explique à la fois par des problématiques d’offre et de demande.

    Enfin, pour qu’il y ait stagflation, il faut qu’il y ait une croissance en fort ralentissement, ce qui n’est pas le cas actuellement aux Etats-Unis avec une croissance estimée en 2022 à 4 %.
    La situation américaine est donc la suivante : une inflation liée principalement à une très forte demande et une croissance supérieure à la croissance potentielle, ce qui ne correspond pas à un scénario de stagflation.

    Qu’en est-il de l’inflation en zone Euro ? Nous devrions atteindre une inflation de 4.25 % (source : Cacib) en fin d’année, celle-ci provenant, ici encore, d’une hausse du prix du baril de pétrole mais aussi de l’augmentation massive des prix du gaz et de l’électricité. Si la problématique pétrolière est une problématique de demande, le marché du gaz souffre en revanche de sérieux problèmes d’approvisionnement en raison du différend opposant la Russie et l’Union Européenne au sujet de Nordstream 2. Autre différence avec la zone US, l’inflation des biens est plus contenue, ce qui devrait permettre à l’inflation de rebaisser plus rapidement qu’aux Etats-Unis. 

    En ce qui concerne la croissance, même scénario que pour la zone US avec une croissance 2022 attendue au-delà de la croissance potentielle à plus de 4 % (source : Bloomberg), mais celle-ci pourrait être revue à la baisse en raison de l’impact négatif sur la croissance de la hausse des prix du gaz. Un scénario de stagflation pourrait donc éventuellement voir le jour si les prix du gaz continuaient de s’envoler, mais il faudrait pour cela que la situation perdure pendant plusieurs trimestres, ce qui semble peu probable aujourd’hui.

    Le scénario le plus probable semble donc être celui d’une inflation et d’une croissance qui restent élevées. Dans ce scénario, les banques centrales devraient graduellement retirer une partie de leur soutien monétaire, amenant des taux plus élevés (surtout aux US) et une poursuite des mouvements de rotations sectorielles en cours sur les marchés actions.

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    news-2645 Mon, 15 Nov 2021 10:10:50 +0100 Faut-il avoir peur de l'inflation ? [Boucler la boucle – Épisode 11] /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/faut-il-avoir-peur-de-l-inflation-boucler-la-boucle-episode-11/ Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

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    news-2644 Fri, 12 Nov 2021 15:12:58 +0100 COP26, CE QU’IL FAUT RETENIR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop26-ce-qu-il-faut-retenir/ Boris Johnson nous avait prévenu, la COP 26 qui se terminera ce vendredi soir à Glasgow devait obtenir des résultats portant sur « coal, cars, cash and trees », très pragmatique ! Et en effet, cette nouvelle COP de la dernière chance n’aura pas été celle d’un miracle. Elle aura toutefois permis des avancées qu’il n’y a pas si longtemps auraient satisfait les ONGs et les divers observateurs.
  • Elle aura permis d’embarquer des pays, peu enclins à s’engager jusqu’ici, dans le grand mouvement des « zéro émissions nettes d’ici 2050 ou 60 voire 70 ». Voilà de quoi à remplir le verre qui malheureusement reste à moitié vide : L’engagement récent de l’Australie, de l’Inde ou l’Arabie Saoudite vers des émissions nettes de CO2 à zéro à échéance de 30 à 50 ans reste symbolique, n’étant ni étayées par des engagements sur des objectifs intermédiaires, ni par des engagements à réduire et abandonner les énergies fossiles et en premier lieu le charbon.
  • La conférence de presse du 10 novembre qui réunissait américains et chinois, les deux plus gros émetteurs de gaz à effet de serre, annonçait : “China-US joint Glasgow declaration on enhancing climate action in the 2020s”. Les protagonistes réitéraient en substance les engagements de l’accord de Paris de 2015, avec plus de détails annoncés pour…la COP27 fin 2022.
  • La tendance à Glasgow a été aux grandes annonces : déforestation, méthane, charbon, voitures thermiques, etc., mais aucun de ces engagements n’est apparu comme novateur et aucun n’est assez ambitieux pour permettre de respecter l’Accord de Paris.
  • Les engagements portant sur le méthane et les énergies fossiles vont toutefois dans la bonne direction. 
  • Un des principaux problèmes reste celui de l’accompagnement nord-sud : la promesse du transfert de $100Mds par an vers les pays en développement prise en 2009 n’est toujours pas effective.
  • La COP 26 sera-t-elle une réunion de passage de plus, d’une COP à l’autre pour s’engager sur des ambitions réelles assorties de plan détaillés vers des émissions nettes zéro ? La COP26 sauve les meubles, permettant à chacun de rentrer chez lui la tête haute, états comme entreprises sans remettre véritablement en cause le ‘business as usual’. Cette COP 26 ne restera pas dans les livres d’histoire comme celle où le monde a réellement pris conscience du défi climatique au point de changer véritablement et de s’engager dans des plans d’actions. On ne pourra véritablement progresser (au-delà de chiffres records annoncés qui tournent à l'absurde : que veulent dire 130 000 milliards d’engagements ?) tant que la politique fiscale n'aura pas intégré un prix (ou une taxe) carbone mondial. Une politique fiscale est nécessaire puisque la politique monétaire est impuissante à forcer la transition. Elle serait à la charge des consommateurs puisque c'est la seule manière d’influencer les comportements, aussi difficile et douloureuse soit-elle.    
     

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    news-2642 Wed, 10 Nov 2021 14:27:43 +0100 Carbon Impact Quarterly : Le rôle des télécommunications dans la transition climatique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-role-des-telecommunications-dans-la-transition-climatique/ L’analyse de l’impact du secteur des télécommunications en matière de carbone comprend à la fois une évaluation des risques climatiques et des perspectives de décarbonation pour les clients et l’économie au sens large. De nombreuses entreprises de télécommunications disposent de stratégies climatiques robustes pour gérer leurs propres émissions (Scopes 1 et 2) et sont bien alignées avec la trajectoire climatique de 1,5 °C prescrite par l’initiative Science Based Targets (SBT - objectifs fondés sur la science). Cependant, il y a des leaders évidents qui ont déjà atteint la neutralité carbone et puis il y a des retardataires, qui n’ont pas encore d’objectifs de neutralité carbone.

    Le secteur présente un tableau contrasté en ce qui concerne les émissions indirectes (Scope 3). La bonne nouvelle est que les émissions en aval dépendent des ambitions climatiques locales/régionales/nationales. Les émissions seront progressivement éliminées à mesure que les utilisateurs migreront vers l’utilisation de plus en plus d’énergies renouvelables pour alimenter leurs appareils et leur consommation de données. La mauvaise nouvelle, en revanche, est que la plupart des acteurs du secteur sont à la traîne en ce qui concerne les émissions en amont. Très peu d’entreprises rendent correctement compte des émissions de la chaîne logistique, et encore moins ont des objectifs pour les maîtriser.

    La consommation d’électricité renouvelable est le principal moyen par lequel le secteur peut se décarboner au niveau de ses propres émissions et de sa chaîne de valeur. Cette dernière est d’une importance cruciale, car les trois quarts des émissions de l’ensemble du secteur sont des émissions indirectes dans la chaîne de valeur. Il s’agit notamment de passer à des réseaux et services alimentés par une énergie entièrement renouvelable, ce qui peut se faire directement par la production de sa propre électricité ou indirectement par l’achat de certificats d’énergie renouvelable (CER) ou par la conclusion de contrats d’achat d’électricité (PPA) à long terme. Cependant, les PPA à long terme contribuent davantage à l’action en faveur du climat que l’achat de CER, en particulier en dehors des marchés locaux.

    Les grands opérateurs mondiaux peuvent également faciliter la transition climatique à travers une série de mesures. Les nouvelles évolutions du secteur telles que la 5G et l’internet des objets présentent des opportunités en matière d’efficacité carbone/énergétique pour les consommateurs des produits et services correspondants. Les « tower companies » portent l’efficacité énergétique pour le secteur lui-même grâce au partage des réseaux et à l’exploitation des économies d’échelle. À l’heure actuelle, l’impact de ces opportunités est toutefois limité pour le secteur.

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    news-2639 Mon, 08 Nov 2021 09:03:17 +0100 Record historique pour le CAC 40, l’inflation n’inquiète toujours pas les banques centrales /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/record-historique-pour-le-cac-40-l-inflation-n-inquiete-toujours-pas-les-banques-centrales/ Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Record historique pour le CAC 40, l’inflation n’inquiète toujours pas les banques centrales [Boucler la boucle – Épisode 10]

    Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

     Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2637 Fri, 05 Nov 2021 16:50:18 +0100 Comment se porte le marché du Crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de novembre ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/comment-se-porte-le-marche-du-credit-quels-emetteurs-privilegions-nous-pour-le-mois-de-novembre/ Publication réservée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MiFID II.

     

    Comment se porte le marché du Crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de novembre ?

    Hormis l'effrondrement du High Yield Chinois en octobre, qui réalise l'une de ses pires performance de son histoire, le marché du crédit est resté stable.

    Dans ce contexte, Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan et vous livre ses convictions pour le mois de novembre.

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    news-2636 Fri, 05 Nov 2021 14:54:53 +0100 SCPI : alignement des planètes ! Interview de Thierry Sevoumians - La Française pour Pierrepapier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/scpi-alignement-des-planetes-interview-de-thierry-sevoumians-la-francaise-pour-pierrepapier/ SCPI : alignement des planètes !

    Bonjour,

    Nous vivons actuellement une période très particulière entre les SCPI où le monde de la SCPI et le monde de l'investissement. Je dirais même que nous vivons une période de lune de miel qui dure. Quand on regarde un petit peu le pourquoi, on peut constater qu'il y a véritablement un alignement de planètes.

    Alors le premier acteur qui est le client avant tout. Le client s'intéresse aux produits SCPI et on le comprend pour ce client, parce que quand il regarde la performance du produit qui est quand même très intéressante et pas seulement sur l'année qui vient de s'écouler, mais quand on arrive à la regarder sur 10 ans, 20 ans, 30 ans, il y a un positionnement assez extraordinaire. 

    Deuxième point quand il regarde son univers d'investissement on sait que les contrats d'assurance devraient, en euros, finir aux alentours de 1 % et qu’un livret est autour de 0,50 % donc c'est normal. 
    Et puis deux points importants : l’un c’est que le couple entre le risque pris sur l'investissement SCPI et le rendement qui est donné, est un positionnement assez idoine, il y assez peu de placement qui permettent en fin de compte cet investissement. Et avec un point intéressant c'est un regard sur le produit, une connaissance en fin de compte sur le produit SCPI, de la part du client qui est plus mature aujourd'hui, il sait ce qu'il achète. 

    Deuxième point et 2ème planète très alignée, c'est le conseiller, le monde de l'investissement. Aujourd'hui les conseillers ont véritablement intégré dans leur allocation le produit SCPI. Il le regarde, l'analyse d'ailleurs de manière hypra professionnelle. On voit dans les questions qui nous sont posées tant sur le produit, sur les marchés, sur le fonctionnement, peu importe les taux de recouvrement, une maturité qui est très importante en fin de compte de la part des conseillers, c'est très bien. Avec une approche à la fois sur l'investissement en direct en nominatif, mais également sur l'assurance. Et c'est vrai que c'est la 3ème planète qui est véritablement alignée.

    Aujourd'hui les assureurs font la part très belle aux produits SCPI, avec on aurait pu le penser une attitude peut être un petit peu plus contrainte, il y a encore 2 / 3 ans. Et aujourd'hui dans ces transferts euros - UC, l’UC immobilière est un des grands gagnants en fin de compte des transferts. 
    On le voit dans la nature des produits, dans leur analyse, dans le traitement même du produit à l'investissement et ses assureurs aujourd'hui opèrent même par ailleurs un 2ème virage. Ils ont absolument écarté, élargi les gammes et aujourd'hui on le voit sur la partie des SCI, qui prennent même un petit peu la primeur. Et il va se passer sur les SCI que l'on a connu sur les SCPI. Autrement dit nous avons été pendant des années sur des produits assez conventionnels (bureaux, commerces, Paris, province), on est passé à des produits « Europe », très spécifiques « santé ». Vous avez la même chose sur les SCI avec l'arrivée de produits santé mais également durable, ça c'est très très important notamment pour maintenir les locataires. Et un traitement et on le comprend qui est intéressant pour le client je rentre à une valeur, je sors à une valeur et j'ai une mutualisation parfaite encore plus importante que pour la partie SCPI. C'est vrai pour le client et c'est vrai pour l'assureur avec un match dans lequel on va s’inscrire très fortement au-delà des secteurs d'investissement. C'est le match prochain qui est le match de l'épargne-retraite parce qu'encore une fois sur ces UC, sur ces supports immobiliers, qu'est-ce qui peut rimer de mieux avec la retraite que l'immobilier ? 
    Donc là aussi il y aura un match d’arbitrage (l'assurance-vie) et un match de collecte de nouveaux flux (l'épargne-retraite) qui arrive très fortement chez vous Messieurs les conseillers, et nous serons présents.

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    news-2635 Fri, 29 Oct 2021 17:35:15 +0200 Le S&P-500 et Dow Jones sur des records ! Quels catalyseurs pour aller plus loin ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-s-p-500-et-dow-jones-sur-des-records-quels-catalyseurs-pour-aller-plus-loin/ Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Le S&P-500 et Dow Jones sur des records ! Quels catalyseurs pour aller plus loin ? [Boucler la boucle – Épisode 9]

    Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2634 Tue, 02 Nov 2021 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert une école à la Confluence à Lyon (69) auprès des promoteurs 6e Sens Immobilier et Cardinal /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-une-ecole-a-la-confluence-a-lyon-69-aupres-des-promoteurs-6e-sens-immobilier-et-cardinal/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de 6ème Sens Immobilier et Cardinal, un immeuble à destination d’enseignement supérieur dans le 2ème arrondissement de Lyon (69) au Sud de la presqu’île. Il s’agit de l’ancienne « Halle C4 », vestige du marché-gare aujourd’hui disparu, qui a été restructurée participant ainsi à la mise en valeur de ce patrimoine historique de la Confluence. 

    Ce sont 2 200 m² sur trois niveaux dans un esprit industriel avec des espaces ouverts, des ateliers en rez-de-jardin et un parking à vélo qui correspondent parfaitement aux besoins de son utilisateur, l’école SRATE Design. 

    SRATE Design est un établissement d’enseignement privé supérieur d’architecture et de design qui appartient au groupe Galileo Global Education. 

    La « Halle C4 » est située dans un environnement végétalisé, à proximité immédiate du projet appelé « Le Champ », futur « bois urbain » de 6ha qui occupera l’extrémité de la presqu’île. L’immeuble est par ailleurs très bien situé en termes de connectivité, à 350 m de la station du Tram 1 « Hôtel de Région - Montrochet ». 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par Allez & Associés et le Cabinet Jeantet.

    6e Sens Immobilier et Cardinal ont été conseillés par l’étude Chaine et Associés Notaires.

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    news-2633 Fri, 29 Oct 2021 17:27:04 +0200 Bilan de la labellisation de LF Grand Paris Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bilan-de-la-labellisation-de-lf-grand-paris-patrimoine/ Extrait de la rentrée partenaires - Septembre 2021

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    news-2632 Fri, 29 Oct 2021 09:57:34 +0200 FED : le tapering va commencer, la remontée des taux peut attendre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fed-le-tapering-va-commencer-la-remontee-des-taux-peut-attendre/ La Réserve fédérale (FED) tiendra sa conférence de presse le 3 novembre. Le Comité fédéral de l'open market (FOMC) devrait annoncer la réduction progressive de ses achats d'actifs. Nous nous attendons à ce que le président de la FED, Powell, adopte une stratégie de communication équilibrée en réaffirmant une « forward guidance » « dovish » sur les taux. Voici nos attentes :

    • Le FOMC annoncera probablement une réduction progressive de 10 milliards de dollars pour les titres du Trésor et de 5 milliards de dollars pour les titres des agences, adossés à des créances hypothécaires, sur un rythme mensuel, à partir de la mi-novembre. Cela signifierait que l'assouplissement quantitatif prendrait fin en juin 2022.
    • La Fed maintiendra sa politique de réinvestissement des tombées sur ses avoirs. Le FOMC conservera une certaine flexibilité pour ajuster le rythme des achats d'actifs en fonction des prochaines données sur l'emploi et l'inflation. Le président de la Fed, M. Powell, soulignera que le Comité pourrait agir si une inflation plus élevée que prévu devait persister pendant une période prolongée.
    • La banque centrale apportera quelques modifications substantielles à son communiqué de presse pour justifier la décision de réduire les achats d'actifs.
    • Nous ne pensons pas que le FOMC modifiera son discours sur l'inflation, à savoir que "l'inflation est élevée, reflétant largement des facteurs transitoires". Mais Jerome Powell soulignera probablement que le Comité surveillera attentivement les données à venir, notamment le risque de « dés-ancrage » des anticipations d'inflation.
    • De toute évidence, la FED maintiendra la fourchette cible des fonds fédéraux à 0-0,25 %.

    Le principal risque, plutôt « hawkish », serait des signes indiquant que Jerome Powell est moins convaincu qu'auparavant par le caractère temporaire de l'inflation. Cette réunion pourrait conduire à un aplatissement de la courbe des taux américains.

    disclaimer
    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2630 Fri, 29 Oct 2021 08:59:13 +0200 La Française Real Estate Managers, Batipart et GA Smart Building livrent un bâtiment de bureaux à Malakoff (92) pour Safran Photo non contractuelle - Investissements ne constituant aucun engagement quant aux futures acquisitions. Crédit /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-batipart-et-ga-smart-building-livrent-un-batiment-de-bureaux-a-malakoff-92-pour-safran-photo-non-contractuelle-investissements-ne-constituant-aucun-engagement-quant-aux-futures-acquisitions-credit/ Le 25 octobre 2021, La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour compte de l’ERAFP (Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique) et deux Sociétés Civiles de Placement Immobilier (LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière), a réalisé la livraison d’un immeuble de bureaux à Malakoff, acquis auprès de Batipart Immobilier Europe en juillet 2020. L’opération de « Sale and Lease Back », menée par Safran, au travers d’une consultation promoteur / investisseur, a été remportée par GA Smart Building et Batipart mi-2018, avant d’être cédée à La Française REM.

    Dessiné par Studios Architecture et après 18 mois seulement de construction, l’ensemble immobilier s’étend sur une surface de plus de 22 000 m², loué en intégralité à l’entreprise Safran dans le cadre d’un BEFA (Bail en l’Etat Futur d’Achèvement) commercial d’une durée ferme de 9 ans. Développé sur sept étages, l’immeuble propose aux futurs occupants de vastes plateaux de bureaux flexibles et modulables destinés à s’adapter aux nouvelles formes d’organisation du travail. Il offre également de nombreux services visant à améliorer la qualité de vie des occupants : conciergerie, salles de réunion modulables, fitness, restaurant et cafétéria, terrasses et jardin en coeur d’îlot.

    Le bâtiment est le reflet d’une démarche d’innovation continue et respectueuse de l’environnement. A la fois grâce à la modélisation FullBIM, le choix des matériaux de construction bas carbone ainsi que l’installation de panneaux photovoltaïques en toiture, ce mode constructif assure la qualité de la réalisation tout en minimisant l’impact environnemental du chantier et les nuisances pour les riverains. Par ailleurs, en tant que projet pilote de l’expérimentation E+C- et ciblant le niveau E2C1, il vise également les certifications HQE Bâtiment Durable 2016 - niveau Excellent, le label BBC - Effinergie 2017 ainsi que la certification WELL niveau Gold.

    L’ensemble immobilier se situe au sein de la première couronne sud de Paris, proche d’un environnement tertiaire établi, dense et dynamique attirant de grands utilisateurs de renommée nationale et internationale.

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    news-2629 Thu, 28 Oct 2021 09:00:00 +0200 Le fonds Asia Equity à forte conviction de JK Capital Management reçoit une notation 5 étoiles Morningstar /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-fonds-asia-equity-a-forte-conviction-de-jk-capital-management-recoit-une-notation-5-etoiles-morningstar/ JK Capital Management Ltd est heureux d'annoncer que le fonds JKC FUND - La Française JKC Asia Equity a reçu une notation Morningstar de 5 étoiles* (au 30/09/2021). L'objectif du fonds est de donner aux investisseurs une exposition au continent asiatique en investissant dans des sociétés opérant principalement en Asie hors Japon. Le fonds vise à fournir des rendements supérieurs à la moyenne avec une volatilité inférieure à la moyenne. L’analyse fondamentale est au coeur de sa méthodologie d'investissement, combinée à une allocation déterminée par une analyse macro-économique et des considérations ESG.

    JKC FUND - La Française JKC Asia Equity est un fonds à forte concentration dont les valeurs sont sélectionnées sur la base de convictions fortes. Le fonds ne détient que 24 noms à la fin septembre 2021. Les 10 premières positions du fonds ont une pondération de 51,6% tandis que ces dix noms n'ont qu'une pondération globale de 0,1% dans l'indice MSCI Asia ex-Japan. Le fonds n’est pas benchmarké et c’est grâce à cela, notamment, qu’au cours des 12 derniers mois, le fonds a réussi à s'éloigner des secteurs et des entreprises soumis à de forts vents contraires et dont les pondérations dans l'indice sont fortes. Le fonds a un historique de dix ans.

    Fabrice Jacob, CEO de JK Capital Management Ltd., société membre du groupe La Française, a ajouté : « Le fonds peut également se montrer agile en ce qui concerne les capitalisations boursières de ses investissements, ce qui lui permet de trouver des opportunités sur des marchés plus petits. Notamment, la capitalisation boursière médiane des participations du fonds est d’USD 2,7mds (hors Chine) et d’USD 6,9mds (Chine incluse). Dans l'ensemble, ces facteurs ont permis à l'équipe de gestion de générer de l'alpha et nous sommes très heureux de le voir reflété dans la notation MorningstarTM du fonds. »

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    news-2627 Wed, 27 Oct 2021 08:58:35 +0200 Inflation plus élevée et ralentissement de la croissance. Pas de nouvelle annonce avant décembre. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inflation-plus-elevee-et-ralentissement-de-la-croissance-pas-de-nouvelle-annonce-avant-decembre/ La Banque centrale européenne (BCE) tiendra sa conférence de presse le 28 octobre. Le Conseil des gouverneurs devrait maintenir un ton accommodant pour préserver des conditions financières favorables et reporter ainsi dans le temps les attentes de la première hausse des taux. Nos attentes sont les suivantes :

    • La BCE confirmera les niveaux des taux d'intérêt directeurs, l'orientation de sa politique monétaire ("forward guidance"), le rythme d’achat de son programme d'urgence en cas de pandémie (PEPP), ses achats dans le cadre du programme d'achat d'actifs (APP), les politiques de réinvestissement et les opérations de refinancement à plus long terme.
    • La présidente Me Lagarde insistera sur la "forward guidance", qui a été renforcée en juillet dernier, avant de faire allusion à la première hausse de taux qui demeure encore lointaine, dans la zone euro.
    • Si les risques restent orientés à la hausse, elle réaffirmera également que la flambée de l'inflation, due à des chocs dans les chaînes d'approvisionnement, à savoir dans l'alimentation et l'énergie, est temporaire et que l’accélération actuelle devrait s'estomper à moyen terme. Néanmoins, la BCE continuera à surveiller de très près les effets de second tour (inflation des salaires).

    Nous n'attendons pas beaucoup d'informations concernant sa politique après décembre 2021, c'est-à-dire le degré de flexibilité d'achat d'actifs que la BCE conservera après le PEPP dans le cadre de l'APP ou des opérations ciblées de refinancement à plus long terme (TLTRO).

    Dans l'ensemble, cette réunion de la BCE devrait être un non-évènement. Pour le Conseil de décembre, en revanche, nous devrions disposer d'une mise à jour de ses projections macroéconomiques (avec les premières estimations pour 2024).

    Nous pensons qu'une communication accommodante sur l’orientation future des taux pourrait pousser les taux d'intérêt court terme à la baisse.

    Disclaimer

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    news-2620 Mon, 25 Oct 2021 17:33:16 +0200 Dans un contexte de hausse des taux, comment se positionner sur le marché obligataire ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/dans-un-contexte-de-hausse-des-taux-comment-se-positionner-sur-le-marche-obligataire/ par Gabriel Crabos, Credit Fund Manager, La Française AM Octobre 2021 Scénario de forte reprise économique

    La croissance économique s'intensifie à mesure que le déploiement du programme de vaccination contre la COVID-19 progresse et que les économies rouvrent. Selon les dernières projections du FMI, la croissance mondiale devrait atteindre +5,9 % en 2021. Les perspectives de défauts sur la dette High Yield (à haut rendement) restent très favorables, notamment en Europe et aux États-Unis, grâce à la reprise économique consécutive à la crise sanitaire et au soutien des banques centrales (Fed, BCE, BoE, etc.). La situation financière des entreprises s'est nettement améliorée, avec des ratios de levier (levier net, taux de couverture des intérêts, etc.) revenus à leurs niveaux pré-COVID. Enfin, la trésorerie des entreprises n'a jamais été aussi solide face à des échéances de dettes obligataires très limitées : en Europe, environ 13 % du stock de la dette High Yield est exigible en 2022 et 2023, contre une position de trésorerie équivalente à 30 % du stock de la dette brute ; aux États-Unis, moins de 8 % du stock de la dette High Yield est exigible en 2022 et 2023, contre une position de trésorerie équivalente à 16 % du stock de la dette brute. Cependant, la situation est quelque peu différente et moins favorable sur les marchés émergents.

    Si la Fed et la BCE se sont montrées prudentes, considérant les pressions inflationnistes comme « transitoires », elles préparent néanmoins les marchés à une baisse des achats d'actifs (le « tapering »). Nous pensons que le tapering pourrait entraîner un regain de volatilité sur les marchés. À notre avis, il ne constitue cependant pas un élément perturbateur pouvant entraîner un écartement important des spreads de crédit et une augmentation brutale des défauts. De plus, toute pentification de la courbe devrait profiter au secteur bancaire.

    La Française AM croit en un scénario de reprise économique forte, à en juger par l'évolution positive des fondamentaux des entreprises et des taux de défaut contenus. Selon nous, les conséquences très redoutées de la fin des aides d'État en Europe et aux États-Unis sur la solvabilité des entreprises seront limitées.

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    news-2619 Mon, 25 Oct 2021 11:46:36 +0200 Inflation salariale aux Etats-Unis, un marché du travail plus tendu qu’il n’y parait /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inflation-salariale-aux-etats-unis-un-marche-du-travail-plus-tendu-qu-il-n-y-parait/ Par François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM La crise du Covid-19 est exceptionnelle à plus d’un titre et son impact sur le marché de l’emploi américain l’est tout autant. En effet, depuis le début de cette crise, le nombre de personnes employées aux Etats-Unis est estimé avoir baissé de plus de 5 millions de personnes (source Fed de St Louis) avec comme conséquence une baisse du taux de participation, celui-ci passant de 63 % environ avant la crise à 61,5 % aujourd’hui. Pour autant, cela n’empêche pas l’inflation salariale d’augmenter si on en croit les indicateurs analysés par la Réserve Fédérale. La Réserve Fédérale d’Atlanta estime par exemple que le rythme d’augmentation des salaires est aujourd’hui de 4,2 %, soit le niveau le plus élevé depuis 2007. « L’employment cost index » publié par le « Bureau of Labor Statistics » estime lui l’inflation salariale à 2,9 % à fin juin, là encore un niveau que nous n’avions plus connu depuis 2008, et nul doute que ce chiffre sera revu à la hausse à fin septembre lors de la prochaine mise à jour. 

    Pourquoi cette dichotomie ? Pourquoi 5 millions de personnes restent elles en dehors du marché du travail alors même que les entreprises déclarent avoir de très grandes difficultés à recruter ? Difficultés de recrutement qui se vérifient par ailleurs dans le rapport JOLTS publié par le « bureau of Labor statistics » avec 10,4 millions de postes ouverts non pourvus, soit un niveau jamais atteint dans le passé. 
    Différentes raisons sont avancées pour expliquer ce phénomène : impact des plans de soutien à l’emploi très importants aux Etats-Unis (plans qui se sont arrêtés en septembre pour la plupart), difficultés à trouver des gardes d’enfants alors que certaines écoles demeuraient fermées ou encore exclusion d’une partie des travailleurs ne voulant pas se faire vacciner.

    Ces phénomènes sont réels mais devraient, pour la plupart, se normaliser graduellement. Il existe une autre raison, plus structurelle, concernant le nombre de personnes parties à la retraite de manière anticipée. La Réserve Fédérale de St Louis estime en effet à 3 millions le nombre de personnes parties à la retraite de manière plus rapide que prévu par les courbes démographiques, ce qui est confirmé par les taux de participation par tranche d’âge.

    Conséquence ? Un marché du travail plus tendu que ce que laisse imaginer les 5 millions de personnes manquantes et une inflation salariale qui devrait continuer à progresser tant que l’économie américaine continue à croitre au-dessus de sa croissance potentielle, ce qui devrait être le cas jusqu’en fin d’année 2022 à minima.

    La Réserve Fédérale Américaine se retrouve donc dans la situation suivante :

    • Une croissance américaine forte, attendue à 5,7 % en 2021 et 4 % en 2022
    • Une inflation au-delà de l’objectif avec autour de 4 % d’inflation en moyenne sur 2021 et 2022 toute chose égale par ailleurs. Nous sommes de plus dans la phase d’inflation la plus forte puisque l’on devrait rester au-dessus de 5 % d’inflation jusqu’en avril 2022.
    • Un marché du travail tendu et sans doute plus tendu que ce que la Réserve Fédérale estimait il y a encore quelques mois.

    Il est donc probable que la Réserve Fédérale continuera à durcir progressivement sa politique monétaire dans les mois qui viennent. L’annonce du « tapering » en Novembre est maintenant quasi certaine et les prochains « dots » publiés en décembre devraient aller dans le sens de hausses de taux plus nombreuses que ce qui était indiqué lors de la dernière réunion de septembre. Dans ce contexte, nous devrions assister à une poursuite du mouvement enclenché depuis maintenant plusieurs mois, à savoir une hausse des parties courtes de courbe aux Etats-Unis. Il existe d’ailleurs un risque de voir la Réserve Fédérale Américaine paniquer en surprenant le marché avec un « tapering » et / ou un calendrier de hausses de taux plus rapides que prévus.
    Corolaire de ce mouvement, les taux réels devraient eux aussi graduellement se normaliser (tout en restant historiquement bas) et l’ensemble de la sphère obligataire en dollar devrait continuer à afficher des performances au mieux étales à horizon fin d’année. Le dollar devrait lui logiquement rester soutenu même si ce mouvement d’appréciation est déjà entamé et le positionnement de marché déjà assez marqué.
    La sphère émergente pourrait rester sous pression dans un contexte de normalisation monétaire et de hausse du dollar, même si les niveaux de valorisation, le positionnement des investisseurs assez faible et l’amélioration macro-économique (en lien avec des vaccinations qui accélèrent) devraient lui permettre de résister correctement.
    L’impact sur les marchés actions dépendra de la vitesse de normalisation des taux réels. Toutefois, il nous semble qu’étant donné leur très faible niveau, les taux réels peuvent entamer leur hausse sans traumatiser les marchés actions.

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    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2618 Mon, 25 Oct 2021 11:37:47 +0200 Nouveau record sur les actions US et tension sur les taux - Boucler la boucle - Episode 8 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nouveau-record-sur-les-actions-us-et-tension-sur-les-taux-boucler-la-boucle-episode-8/ Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    [Boucler la boucle – Épisode 8] - Nouveau record sur les actions US et tension sur les taux

    Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2617 Mon, 25 Oct 2021 11:22:31 +0200 La santé : thématique gagnante pour votre allocation ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-sante-thematique-gagnante-pour-votre-allocation/

     

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    news-2616 Fri, 22 Oct 2021 14:21:34 +0200 The Mid Cap Message /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/the-mid-cap-message/ We believe mid cap stocks fly below many investors’ radar. They can potentially enhance returns and increase diversification. In fact, we think they offer much more than that. What are some investors missing when it comes to mid caps? Risk-Adjusted Return Metrics

    • Historically, mid caps have provided superior risk-adjusted returns. The Sharpe Ratio, which is the average return earned in excess of the risk-free rate per unit of total risk, can potentially help investors understand the return of an investment compared to its risk. Generally, the higher the ratio, the better. The Treynor Ratio is a performance metric that determines how much excess return was generated for each unit of systematic risk undertaken by a portfolio. Again, generally, the higher the ratio, the better.
    • The mid cap space may also be conducive to finding alpha given that mid cap managers had an active share of 87% as compared to large cap managers’ 73% as of yearend 2020, according to eVestment data.1 Additionally, mid cap stocks have less sell-side research coverage than large cap stocks (nearly half the average number of analysts), potentially making it easier to have differentiated views on sales, earnings and cash flows among mid caps.2
    • Surprisingly, with all of these potential benefits, investors seem to be underweight mid cap stocks. According to data from Morningstar, mid caps make up 20% of total market capitalization but only 11% of U.S. equity mutual funds and ETFs. We believe this gap may represent a significant opportunity for investors to re-allocate to a promising equity category.
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    news-2615 Fri, 22 Oct 2021 09:17:06 +0200 COP 26 : les grands enjeux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cop-26-les-grands-enjeux/ Par Gaël Binot et Hervé Chatot, respectivement Gérant Taux Marchés Emergents et Gérant Cross Asset, La Française AM Six ans après la COP21 à Paris, la prochaine conférence des Nations Unies sur le changement climatique, la COP26, se tiendra à Glasgow le mois prochain, sur fonds de crise énergétique et de multiplication des évènements climatiques extrêmes aux conséquences toujours plus dévastatrices. La thématique climatique est aujourd’hui coeur de l’agenda politique et devient également une priorité pour les investisseurs.

    Le dernier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) publié en août pointe la nécessité absolue de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2030, les mesures étant insuffisantes à ce jour.

    Les enjeux sont donc relativement forts. Cette COP 26 s’annonce très certainement comme la plus importante depuis ses débuts. Les actions prises ou non prises seront en effet déterminantes pour se laisser une chance de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C et d’éviter une catastrophe climatique majeure.

    Rares sont les pays qui ont respecté leurs promesses et les objectifs de l’Accord de Paris en 2015. Les politiques actuellement en place conduisent à un réchauffement climatique proche de 3°C. Même si un nombre important de pays s’est fixé un objectif de zéro émission nette de GES en 2050, les progrès restent très insuffisants.

    Dans ce contexte, peut-on s’attendre à des avancées significatives ? Différentes questions doivent être abordées selon nous.

    Premier point, la nécessité pour les Etats de renforcer leur engagement de réduction d’émissions de GES à horizon 2030 afin de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C. Rattraper le retard est la priorité.
    Selon Climate Action Tracker, presque tous les pays développés doivent renforcer leurs objectifs de réduction des émissions de GES le plus rapidement possible, et mettre en oeuvre des politiques nationales plus ambitieuses (CDN) pour atteindre leurs objectifs. Aujourd’hui, 68 pays représentant 61% des émissions mondiales de GES ont adopté un objectif de zéro émission nette mais seulement 80 pays représentant 36% des émissions mondiales de GES ont mis à jour leurs contributions nationales avec un objectif plus ambitieux selon ClimateWatch.

    Si certains pays comme les Etats-Unis, le Canada, le Royaume Uni et l’Union Européenne ont revu et soumis officiellement des CDN plus ambitieux, certaines grandes économies, comme l’Australie, l’Indonésie, le Mexique, le Brésil, la Russie, n’ont pas, pour l’instant, améliorer leurs ambitions climatiques.

    Les pays doivent s’engager sur plus de transparence au niveau de la définition des objectifs de long terme pour gagner en crédibilité.

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    news-2614 Wed, 20 Oct 2021 10:56:39 +0200 Modification du FCP La Française Obligations LT /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-fcp-la-francaise-obligations-lt/ Objet : Modification du FCP La Française Obligations LT Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du FCP La Française Obligations LT et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
    Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Obligations LT (ci-après le « FCP ») comme suit :

    • Modifications entrant en vigueur le 25 octobre 2021 :
    • Mise en place dans le FCP d’une approche extra-financière afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres. Toutefois, il est précisé que l’approche extra-financière mise en place dans ce FCP n’est pas systématique et n’est pas contraignante. Le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication limitée au prospectus).
    • Modification des rubriques « opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres » et « informations relatives aux garanties financières, contreparties et aux risques » du prospectus. Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net de l’OPC en lieu et place de 50% actuellement. Par ailleurs, dans le cadre des opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres et/ou opérations sur dérivés négociées de gré à gré, l’OPC pourra recevoir à titre de collatéral des titres tels que notamment des obligations ou titres émis(es) ou garanti(e)s par un Etat ou émis par des organismes de financement internationaux et des obligations ou des titres émis (es) par des émetteurs privés de bonne qualité) et des espèces.
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    news-2613 Wed, 20 Oct 2021 10:53:50 +0200 Modification du FCP La Française Euro Souverains /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-fcp-la-francaise-euro-souverains/ Objet : Modification du FCP La Française Euro Souverains Chère Madame, Cher Monsieur,
    Vous êtes porteur de part(s) du FCP La Française Euro Souverains et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Euro Souverains (ci-après le « FCP ») comme suit :

    • Modifications entrant en vigueur le 25 octobre 2021 :
    • Mise en place dans le FCP d’une approche extra-financière afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres. Toutefois, il est précisé que l’approche extra-financière mise en place dans ce FCP n’est pas systématique et n’est pas contraignante. Le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication limitée au prospectus).
    • Modification des rubriques « opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres » et « informations relatives aux garanties financières, contreparties et aux risques » du prospectus. Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net de l’OPC en lieu et place de 50% actuellement. Par ailleurs, dans le cadre des opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres et/ou opérations sur dérivés négociées de gré à gré, l’OPC pourra recevoir à titre de collatéral des titres tels que notamment des obligations ou titres émis(es) ou garanti(e)s par un Etat ou émis par des organismes de financement internationaux et des obligations ou des titres émis (es) par des émetteurs privés de bonne qualité) et des espèces.
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    news-2612 Wed, 20 Oct 2021 09:56:00 +0200 Vous êtes en recherche de rendement dans un environnement de taux extrêmement bas ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vous-etes-en-recherche-de-rendement-dans-un-environnement-de-taux-extremement-bas/ La Française Rendement Global 2028 a pour objectif de capter un potentiel supplément de rendement grâce à une exposition sur les obligations à Haut Rendement.

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    La Française Rendement Global 2028 a pour objectif de capter un potentiel supplément de rendement grâce à une exposition sur les obligations à Haut Rendement.

    Akram Gharbi, Responsable Gestion Crédit High Yield chez La Française, vous présente le fonds en 5 points.

    Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.

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    news-2610 Wed, 20 Oct 2021 09:00:00 +0200 Jerome Valade rejoint la francaise Real Estate Managers en tant que responsable du pole immobilier de sante /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jerome-valade-rejoint-la-francaise-real-estate-managers-en-tant-que-responsable-du-pole-immobilier-de-sante/ Paris, le 20 octobre 2021 : La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier en termes de capitalisation (IEIF, 30/06/2021), développe une nouvelle expertise en immobilier de santé et annonce l’arrivée de Jérôme Valade en tant que Responsable de ce pôle. Jérôme rapportera directement à Thierry Molton, Directeur des Actifs Immobilier Entreprise. Thierry Molton, Directeur des Actifs Immobilier Entreprise de La Française Real Estate Managers souligne, « Nous vivons dans une société intergénérationnelle aux besoins multiples. Porté par le vieillissement de la population, le déséquilibre entre l’offre et la demande, les nouveaux modes de consommation… le secteur de la santé recèle nombre d’opportunités. En tant qu’acteur majeur de la gestion d’actifs immobiliers et dans l’intérêt de nos clients investisseurs, La Française REM se doit d’élargir ses compétences immobilières afin de saisir les opportunités que propose le marché de la santé. Jérôme apporte à La Française REM une solide connaissance opérationnelle, technique, juridique et financière de l’immobilier de santé, acquise depuis 2008 et sera un atout capital dans le développement de cette nouvelle expertise immobilière. »

    Carnet :

    Jérôme VALADE, 37 ans, Responsable du Pôle Immobilier de santé de La Française Real Estate Managers, a 15 ans d'expérience dans l'immobilier. Il a débuté sa carrière en 2006 chez Cushman & Wakefield (anciennement DTZ) à Paris en expertise immobilière, prenant en charge de nombreuses missions d’évaluation d’actifs d’immobilier de santé. Il y est resté trois années avant de basculer pendant cinq ans sur des expériences de responsable de projets de développement en maîtrise d’ouvrage et en promotion immobilière d’abord chez RATP Real Estate puis chez Pitch Promotion. En 2014, Jérôme a rejoint les équipes d’asset et property management d’HSBC REIM.

    En 2016, il a intégré les équipes d’Investissement de PRIMONIAL REIM spécialisées en Santé & Education où il a participé au développement des allocations sur cette classe d’actif réalisant une trentaine de transactions sur ce segment de marché.

    Jérôme est titulaire d’un diplôme d’Ingénieur ETP.

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    news-2608 Tue, 25 Jan 2022 09:30:00 +0100 Alerte Fraude du 18/10/2021, mise à jour le 25 janvier 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alerte-fraude-18-10-2021/ Le Groupe La Française constate la proposition par des personnes mal intentionnées de bulletins de souscription frauduleux usurpant l’identité de la société LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT, le logo du Groupe La Française.  Alerte Fraude du 18/10/2021, mise à jour le 25 janvier 2022

    Cette fraude est réalisée par les mails/noms de domaine : 

    • Prénom.nom.lafrancaise@gmail.com
    • prénom.nom @ lafrancaise-management.com 
    • prénom.nom @ lafrancaise-management.fr


    Nous attirons votre attention sur le danger de recourir à des bulletins de souscription, de partager vos données personnelles, sans vérification préalable lorsque vous êtes sollicités directement par e-mail, téléphone ou quelque moyen que ce soit.
     
    Et lorsque vous souhaitez souscrire, faites confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers. Nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé.
     
    Prenez connaissance des mises en garde, des listes noires de sociétés et sites non autorisés publiées par l’AMF.

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    news-2607 Mon, 18 Oct 2021 10:45:09 +0200 Avis : modification du Fonds Commun de Placement "La Française Stratégies Obligataires" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-strategies-obligataires/ Nous informons les porteurs du fonds « La Française Stratégies Obligataires », que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au FCP.
  • Modification du barème des commissions de mouvement :

  •     AVANT APRES
    Commissions de mouvement Prélèvement sur chaque transaction Actions : 0.40% (avec minimum de 120€)
    Obligations convertibles < 5 ans: 0.06%
    Obligations convertibles > 5 ans: 0.24%
    Autres Obligations: 0.024% (avec
    minimum de 100€)
    Instruments monétaires : 0.012% (avec
    minimum de 100€)
    Swaps: 300€
    Change à terme: 150€
    Change comptant: 50€
    OPCVM: 15€
    Futures: 6€ / Options: 2.5€
    Actions : 0.10% (avec minimum de 120€)
    Obligations convertibles : 0.05% (avec un minimum de 100€)
    Autres Obligations: 0.035% (avec minimum de 100€)
    Instruments monétaires : 0.0120% (avec un minimum de 100€)
    Swaps: 0,010% (avec un minimum de 150€ et un maximum de 600€)
    Change à terme: 0,010% (avec un minimum de 75€ et un maximum de 300€)
    Change comptant: 0,010% (avec un minimum de 25€ et un maximum de 100€)
    OPC: 15€
    Futures: 1€
    Options: 1€
    • Le FCP aura désormais la possibilité d’effectuer des opérations d'acquisitions et cessions temporaires de titres. Le risque associé à ces opérations sera également ajouté au profil de risque du FCP ;

    • Ajout d’une information relative à la rémunération générée par les opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres comme suit :

      "Information sur la rémunération générée par les opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres:
      Le fonds a pour contrepartie dans le cadre des opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres un ou plusieurs établissements de crédit ou autres entités autorisés par la société de gestion et respectant les critères de forme juridique, pays et autres critères financiers énoncés dans le Code Monétaire et Financier. Les contreparties agiront de manière indépendante du fonds.
      Aucune rémunération n’est acquise au dépositaire (dans le cadre de sa fonction dépositaire) ou à la société de gestion sur les opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres. Tous les revenus résultant des opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres, en ce inclus les revenus générés par le réinvestissement des garanties en espèces reçues dans le cadre de ces opérations, nets des coûts opérationnels directs et indirects sont restitués au fonds. Ces opérations engendrent des coûts opérationnels directs et indirects qui sont supportés par la société de gestion, la quotepart de ces coûts ne peut excéder 40% des revenus générés par ces opérations.
      Par ailleurs la société de gestion ne perçoit aucune commission en nature.
      Pour toute information complémentaire, le porteur de parts pourra se reporter au rapport annuel du fonds."

      Ces modifications sont listées et détaillées en annexe 1 de ce présent avis. Elles entreront en vigueur à compter du
      21 octobre 2021. La documentation règlementaire du FCP sera modifiée en conséquence.

      Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

      Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Stratégies Obligataires » disponible sur le site www.lafrancaise.
      com.

      Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2606 Fri, 15 Oct 2021 18:17:43 +0200 Accalmie sur les marchés - Boucler la boucle - Episode 7 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/accalmie-sur-les-marches-boucler-la-boucle-episode-7/ [Boucler la boucle – Épisode 7] - Accalmie sur les marchés

     

    Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

     Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2605 Mon, 18 Oct 2021 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un deuxieme immeuble de bureaux prime en écosse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-deuxieme-immeuble-de-bureaux-prime-en-ecosse/ La Française Real Estate Managers a récemment finalisé l'acquisition « off market » de son deuxième actif immobilier en Écosse, le premier pour le compte d’une Société Civile de Placement Immobilier du Groupe, LF Europimmo. Le vendeur, GSS Developments Ltd., est une entreprise privée de développement immobilier, créée en 2000. L'immeuble de bureaux, achevé en 2018 par GSS Developments, est situé dans le quartier de la Bourse à Édimbourg, au 2 Semple Street. Le quartier de la Bourse concentre des immeubles de bureaux modernes, occupés par des entreprises financières et commerciales.

    L'immeuble d'angle de cinq étages (R+5) offre 3 260 m² de bureaux, 908 m² de commerces et des aménagements en sous-sol (vestiaires, espaces dédiées aux mobilités douces…). Le bien est loué à plusieurs occupants, dont Huawei Technologies Co. Ltd. (une société technologique multinationale) et RSM (un cabinet d'audit et de conseil). Il est notamment performant au regard des critères environnementaux et sociaux avec des notations BREEAM « Very Good » et EPC « A », une climatisation utilisant la technologie de pompe à chaleur air-air, un éclairage LED intelligent à tous les étages, 47 emplacements pour vélos avec station d'entretien, des points de recharge pour voitures électriques et une bonne connectivité aux transports publics.

    La Française Real Estate Managers a été conseillée par Savills et par Lindsays pour les aspects juridiques. GSS était représentée par JLL et par Addleshaw Goddard sur les aspects juridiques.

    Peter Balfour, Directeur général et Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Environ dix pour cent du portefeuille immobilier géré par La Française Real Estate Managers est situé hors de France. Grâce à ses solides références en matière de durabilité et à l'offre limitée de bâtiments de qualité, le 2 Semple Street constitue un complément précieux à notre portefeuille immobilier international en pleine expansion. Ce fut un plaisir de traiter avec GSS Developments qui a livré un produit répondant aux exigences d’un investisseur à long terme. »

    Paul Stevenson, Directeur de GSS Developments, a déclaré : « Nous sommes fiers d'avoir livré le 2 Semple Street, qui est largement reconnu comme bâtiment de qualité supérieure et leader du marché, avec de solides références en matière de durabilité, un objectif que nous visions en 2016 lorsque la construction a commencé. Le fait d'avoir attiré des occupants de premier ordre tels que Huawei et RSM, ainsi que cette cession à un groupe international de gestion d'actifs tel que La Française, témoigne de la qualité du produit que GSS Developments a livré au 2 Semple Street.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2601 Mon, 25 Oct 2021 09:00:00 +0200 La Française REM annonce l'arrivée de deux nouveaux talents au sein de l'équipe Asset Management, dédiée aux investisseurs institutionnels /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-annonce-larrivee-de-deux-nouveaux-talents-au-sein-de-lequipe-asset-management-dediee-aux-investisseurs-institutionnels/ Paris, le 21 octobre 2021 : La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion disposant de près de 28 milliards d'euros d'actifs sous gestion (au 30/06/2021), a le plaisir d'annoncer l'arrivée de deux nouveaux talents au sein de l'équipe française d’asset management, dédiée aux investisseurs institutionnels : Adrien Bérenger et Cédrick Becker, respectivement nommés Senior Asset Manager – Stratégies Value Added et Senior Asset Manager – Investisseurs institutionnels internationaux. Les deux asset managers sont placés sous la responsabilité directe de Xavier Barreyat, Directeur Asset & Fund Management du pôle institutionnel de La Française REM en France. 

    Xavier Barreyat, Directeur Asset & Fund Management, a déclaré : « Les investisseurs institutionnels se tournent de plus en plus vers l'immobilier et diversifient leurs stratégies d'investissement dans un large éventail de sous-secteurs. Sur le marché immobilier post COVID-19, les asset managers expérimentés sont plus que jamais indispensables. Adrien et Cédrick apporteront une expérience très précieuse à l'équipe française et joueront un rôle crucial dans le renforcement des performances financières des investissements de nos clients. »

    Plus d'information :

    Le Pôle Institutionnel de La Française REM, sous la direction de David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, est en charge des solutions d'investissement immobilier ad hoc dédiées aux investisseurs institutionnels, principalement sur des stratégies Core/Core+, mais aussi sur des stratégies Value Added et Opportuniste. Il s'appuie sur une équipe de professionnels de l'investissement qualifiés, qui ont étendu leur expertise au-delà des trois principaux marchés immobiliers européens (France, Allemagne et Royaume-Uni, Irlande comprise) pour inclure le Benelux. Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, intervient à la fois sur les pôles Institutionnels et Retail de la société de gestion d'actifs.

    L'équipe française d’asset management :

    Directeur Asset & Fund Management - France, Xavier Barreyat

    • Stratégies Core / Core + :
    • Investisseurs institutionnels français : Christophe Fleury, Senior Asset Manager
    • Investisseurs institutionnels internationaux : Cédrick Becker, Senior Asset Manager
    • Stratégies Value Added : Adrien Bérenger, Senior Asset Manager

    Adrien Bérenger, 34 ans, Senior Asset Manager, spécialisé dans les stratégies d'investissement Value Added

    Adrien a 12 ans d'expérience dans l'immobilier. Il a débuté chez Union Investment Real Estate à Paris en tant qu’asset manager junior. En 2016, il est nommé Directeur de l’Asset Management pour le bureau belge. Deux ans plus tard, il revient en France en tant que Senior Asset Manager avant de devenir en 2020 Directeur de l’Asset Management, en charge notamment des projets de redéveloppement. 

    Adrien est titulaire d'un master en gestion immobilière de l'ESSEC. Il est membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors.

    Cédrick Becker, 37 ans, Senior Asset Manager

    Cédrick a plus de 12 ans d'expérience dans l'immobilier. Il a débuté sa carrière en 2009 chez GE Real Estate en tant qu'analyste. Cédrick a rejoint le groupe Aerium au Luxembourg en 2010 en tant qu’Asset Manager et pour superviser le portefeuille d’actifs au Benelux. En 2012, il s'installe à Paris et devient Investment Manager, travaillant sur les acquisitions et cessions du portefeuille français. En 2015, il rejoint Allianz Real Estate en tant que Senior Asset Manager et devient responsable d’équipe. Pendant six ans, Cédrick a géré un portefeuille diversifié (bureaux, commerces & logistique) composé d'actifs situés en France et aux Pays-Bas. 

    Cédrick est titulaire d'une maîtrise en finance et d'un diplôme de premier cycle en économie de l'Université Paris-Dauphine. Il est également titulaire d'un master en finance d'entreprise de l'ESCP Business School.

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    news-2600 Tue, 19 Oct 2021 09:00:00 +0200 Encore trois fonds credit de La Française AM distingues avec le Label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/encore-trois-fonds-credit-de-la-francaise-am-distingues-avec-le-label-isr/ La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, a le plaisir d’annoncer que trois fonds supplémentaires de sa gamme crédit ont obtenu le prestigieux Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Paul Gurzal, Head of Crédit, La Française AM, ajoute « La Française AM propose désormais à ses clients investisseurs une gamme complète de onze fonds labellisés ISR soulignant ainsi notre positionnement de pointe sur les stratégies durables, et plus particulièrement bas carbone, développé sur le crédit, les actions et les obligations souveraines. Au total ce sont six fonds crédit de La Française AM qui sont labellisés et collectivement représentatifs de nos expertises phares, à savoir : la dette subordonnée, les fonds à maturité et la stratégie bas carbone. » 

    • La Française Rendement Global 2028, classifié « article 8 » selon la règlementation Disclosure1, a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée de 9 ans jusqu’au 31 décembre 2028, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2028 émises par l’Etat français et libellées en EUR en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance.
       
    • La Française Global Coco, classifié « article 8 » selon la règlementation Disclosure, a pour objectif d’obtenir une performance nette de frais supérieure à son indice de référence, le ICE BofA Merrill Lynch Contingent Capital EUR Hedged Total Return Index, sur un horizon de placement recommandé supérieur à 5 ans, en s’exposant notamment sur des titres de dettes subordonnées filtrés préalablement selon des critères d’investissement ESG.
       
    • La Française Carbon Impact Floating Rates, classifié « article 9 » selon la règlementation Disclosure, a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée de 2 ans, une performance nette de frais supérieure à celle de Euribor 3 mois capitalisé + 150 points de base pour l’action I grâce à un portefeuille cible (non contractuel) de plus de 100 titres combinant les rendements des titres à taux variable High-Yield et Investment Grade. Les émetteurs en portefeuille sont filtrés préalablement selon des critères ESG et analysés sous l’angle de leur compatibilité avec la transition énergétique. De plus, le fonds s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investis au moins 50% inférieure à celle de l’indicateur de référence composite : 50% Bloomberg Barclays Global Aggregate Corporate Index + 50% ICE BofAML BB-B Global High Yield Index. 
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    news-2599 Fri, 15 Oct 2021 09:12:47 +0200 La Française AM se demarque et obtient le label ISR sur un fonds de Dette Souveraine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-se-demarque-et-obtient-le-label-isr-sur-un-fonds-de-dette-souveraine/ La Française AM, société de gestion gérant plus de 17 milliards d’euros (au 30/06/2021), a le plaisir d’annoncer que son fonds de dette souveraine lancé en avril 2021, La Française Carbon Impact Global Government Bonds, a obtenu le prestigieux Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Jean-Luc Hivert, Président et Global Head of Investments de La Française AM, ajoute, « La Française continue d’innover en matière d’analyse carbone avec une méthodologie propre à la dette souveraine. Cette méthodologie se base sur des données collectées, consolidées et analysées par notre centre de recherche extra financière. Désormais, nous sommes en mesure d’offrir aux investisseurs institutionnels une gamme de fonds bas-carbone couvrant l’ensemble des classes d’actifs actions, crédit, monétaire et dorénavant dette souveraine. Nous pouvons ainsi proposer à nos investisseurs institutionnels l’analyse Carbone de leur propre portefeuille de dette souveraine. La labellisation ISR du fonds La Française Carbon Impact Global Government Bonds vient reconnaitre cette expertise, développée conjointement avec notre centre de recherche propriétaire, La Française Sustainable Investment Research. » 

    La Française Carbon Impact Global Government Bonds, co-géré par Hervé Chatot et Gaël Binot, est une solution d’investissement dont l’objectif central est de contribuer au financement de la transition énergétique. Investi principalement dans des emprunts d’Etats des pays membres de l’OCDE et des pays émergents ainsi que des émissions quasi-souveraines, le fonds peut investir dans le secteur privé à des fins de diversification. Pour renforcer le positionnement bas-carbone du fonds, les obligations à Impact (Green bonds) représentent une part importante de l’allocation (34 % au 31/08/2021), permettant ainsi de financer directement des projets en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique.

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    news-2597 Thu, 07 Oct 2021 10:00:00 +0200 Nouvelle unité de compte immobilière : LF Multimmo Durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nouvelle-unite-de-compte-immobiliere-lf-multimmo-durable/ Romain Delval, Responsable du Fund Management, vous présente notre nouvelle unité de compte LF Multimmo Durable.

    Publication réservée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MiFID II.

    Vous souhaitez vous constituer un patrimoine immobilier qui intègre pleinement les critères ESG ?

    Romain Delval, Responsable du Fund Management, vous présente notre nouvelle unité de compte LF Multimmo Durable.

    Outre les traditionnels critères financiers et immobiliers, ce fonds intègre des critères extra-financiers de type environnementaux, sociétaux et de gouvernance.

    Cette unité de compte a reçu la Label ISR récompensant ainsi sa volonté de réduction des émissions de CO2 des actifs en portefeuille.

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    news-2596 Fri, 08 Oct 2021 10:00:00 +0200 Volatilité, stress des marchés, craintes des investisseurs : les 5 points qui font bouger les lignes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/volatilite-stress-des-marches-craintes-des-investisseurs-les-5-points-qui-font-bouger-les-lignes/ Romain Delval, Responsable du Fund Management, vous présente notre nouvelle unité de compte LF Multimmo Durable.

     

     

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    news-2595 Fri, 01 Oct 2021 09:00:00 +0200 Les marchés financiers vont-ils résister aux tensions inflationnistes ? Boucler la Boucle LF - Ep.5 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-marches-financiers-vont-ils-resister-aux-tensions-inflationnistes-boucler-la-boucle-lf-ep-5/ [Boucler la boucle – Épisode 5] - Votre rendez-vous hebdomadaire

     

    Les marchés financiers vont-ils résister aux tensions inflationnistes ?

    Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    news-2593 Tue, 12 Oct 2021 11:42:03 +0200 Réchauffement climatique Sommes nous sur la bonne trajectoire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rechauffement-climatique-sommes-nous-sur-la-bonne-trajectoire/ Par Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, La Française AM Octobre 2021 196 pays ont signé l'Accord de Paris en 2015, s'engageant à limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2 degrés Celsius. La signature de ce traité international a constitué une étape importante alors que les nations du monde entier ont, pour la première fois, reconnu leur responsabilité collective et adopté un objectif commun.

    Cependant, dans l'économie post-COVID-19 actuelle, où en sont-elles par rapport à leurs contributions déterminées au niveau national (CDN) ? Selon le Rapport 2020 des Nations Unies sur l'écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions, nous sommes loin de l'objectif : nous allons vers un réchauffement climatique de plus de 3 degrés Celsius. Malheureusement, les mesures prises pour contenir la propagation de la COVID-19, notamment les confinements et la perturbation du transport maritime mondial qui en a résulté, n'ont entraîné qu'une réduction temporaire estimée à 7 % des émissions de gaz à effet de serre en 2020. De plus, elles n'auront pas d'effet durable sur les émissions mondiales en raison de leur nature provisoire. (Forster, P. M. et al. « Current and future global climate impacts resulting from COVID-19. » Nat. Clim. Change 10, 913-919 (2020).

    Où vont les programmes de relance post-COVID ?

    Pour avoir un impact à long terme sur le réchauffement climatique, il est essentiel d'orienter les mesures de relance post-COVID-19 vers les infrastructures vertes tout en réduisant le soutien aux combustibles fossiles. Mais quelle proportion de la relance mondiale post-COVID est réellement dirigée vers des actions concrètes soutenant l'activité économique en faveur de la qualité de l'environnement et des ressources naturelles à plus long terme ? Les pays du G20 ont dépensé 14 900 milliards de dollars en plans de relance post-COVID-19 et, bien que les chiffres exacts varient selon les sources, toutes s'accordent à dire que la part consacrée à la relance verte est insuffisante pour soutenir la réduction des émissions de carbone. Au cours des 18 derniers mois, les gouvernements du G20 n'ont alloué que « 363 milliards de dollars à des secteurs ou à des projets visant à stimuler l'économie en réduisant les émissions de carbone ou en favorisant l'adaptation au changement climatique. D'un autre côté, 1 200 milliards de dollars ont été alloués à des secteurs à forte intensité de carbone, tels que l'aviation et la construction, dépourvus de tout élément écologique ». (BNEF). Les deux seuls pays à allouer des mesures de relance similaires aux secteurs verts et aux secteurs à forte intensité de carbone sont la France et le Japon. En revanche, la Chine par exemple, avec 247 GW de nouvelles centrales électriques fonctionnant au charbon, en cours de construction ou annoncées et autorisées, a alloué 2,1 milliards de dollars à la relance verte contre 215 milliards de dollars aux secteurs à forte intensité de carbone (BNEF).

    La course à la suppression progressive du soutien aux combustibles fossiles est lancée ; la COP26, au cours de laquelle les CDN seront discutées, approche à grands pas.

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    news-2591 Tue, 12 Oct 2021 09:00:00 +0200 Alger lance le fonds de convictions, Alger SICAV-Alger Mid Cap Focus Fund FR > LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-lance-le-fonds-de-convictions-alger-sicav-alger-mid-cap-focus-fund-fr-lu/ Alger Management, Ltd. (« Alger ») a le plaisir d'annoncer le lancement du fonds Alger SICAV-Alger Mid Cap Focus Fund1 (le « Fonds »). En règle générale, le Fonds investira dans 50 actions de croissance de moyenne capitalisation à forte conviction. La Française est un distributeur d'Alger SICAV en Europe. Amy Y. Zhang, CFA, gérante du Fonds, a rejoint Alger en 2015 ; elle a 26 ans d'expérience en matière d'investissement. De plus, Amy bénéficie d’une notation Citywire Fund Manager Rating de « AA ». Elle gère un ensemble de stratégies de petites et moyennes capitalisations à forte conviction.

    « Les actions de moyennes capitalisations ont surperformé les petites et les grandes capitalisations au cours des trois dernières décennies, ce qui offre un terrain exceptionnellement fertile pour une sélection active de titres », a déclaré Amy. « Le Fonds est un portefeuille concentré et à forte conviction, constitué des “meilleures idées” de notre équipe d'analystes expérimentés. Nous cherchons à investir dans des entreprises à moyenne capitalisation ayant des positions concurrentielles défensives et une bonne assise financière, attestée par des bilans solides et une forte génération de flux de trésorerie qui peuvent créer de la valeur à long terme. »

    Dan Chung, PDG et directeur des investissements d'Alger, a déclaré : « Avec le lancement de ce fonds, nous poursuivons l'extension de la gamme de portefeuilles concentrés à forte conviction d'Alger. De fait, nous avons plus de 19 milliards de dollars d'actifs sous gestion dans des portefeuilles concentrés. Nous pensons que cela atteste de la confiance que nos clients accordent à nos compétences et à notre capacité à sélectionner activement les titres. Cela témoigne aussi de la forte demande pour ce type de stratégies. »

    Amy gère également Alger SICAV - Small Cap Focus Fund2, un fonds réputé qui est classé « cinq étoiles » par Morningstar (catégorie A US, parmi 303 fonds d'actions américaines de petites capitalisations, sur la base des rendements ajustés en fonction du risque au 30/06/2021).

    « Je suis très fier des résultats qu'Amy et son équipe d'analystes talentueux ont obtenus avec le fonds Small Cap Focus. Je pense que les investisseurs à la recherche d'alpha et qui souhaitent avoir un plus large accès aux conseils avisés de notre équipe voudront en savoir plus sur ce nouveau fonds », a poursuivi Dan.

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    news-2590 Tue, 12 Oct 2021 09:00:00 +0200 Alger lance le fonds de convictions, Alger SICAV-Alger Mid Cap Focus Fund FR > BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-lance-le-fonds-de-convictions-alger-sicav-alger-mid-cap-focus-fund-fr-be/ Alger Management, Ltd. (« Alger ») a le plaisir d'annoncer le lancement du fonds Alger SICAV-Alger Mid Cap Focus Fund1 (le « Fonds »). En règle générale, le Fonds investira dans 50 actions de croissance de moyenne capitalisation à forte conviction. La Française est un distributeur d'Alger SICAV en Europe. Amy Y. Zhang, CFA, gérante du Fonds, a rejoint Alger en 2015 ; elle a 26 ans d'expérience en matière d'investissement. De plus, Amy bénéficie d’une notation Citywire Fund Manager Rating de « AA ». Elle gère un ensemble de stratégies de petites et moyennes capitalisations à forte conviction.

    « Les actions de moyennes capitalisations ont surperformé les petites et les grandes capitalisations au cours des trois dernières décennies, ce qui offre un terrain exceptionnellement fertile pour une sélection active de titres », a déclaré Amy. « Le Fonds est un portefeuille concentré et à forte conviction, constitué des “meilleures idées” de notre équipe d'analystes expérimentés. Nous cherchons à investir dans des entreprises à moyenne capitalisation ayant des positions concurrentielles défensives et une bonne assise financière, attestée par des bilans solides et une forte génération de flux de trésorerie qui peuvent créer de la valeur à long terme. »

    Dan Chung, PDG et directeur des investissements d'Alger, a déclaré : « Avec le lancement de ce fonds, nous poursuivons l'extension de la gamme de portefeuilles concentrés à forte conviction d'Alger. De fait, nous avons plus de 19 milliards de dollars d'actifs sous gestion dans des portefeuilles concentrés. Nous pensons que cela atteste de la confiance que nos clients accordent à nos compétences et à notre capacité à sélectionner activement les titres. Cela témoigne aussi de la forte demande pour ce type de stratégies. »
    Amy gère également Alger SICAV - Small Cap Focus Fund2, un fonds réputé qui est classé « cinq étoiles » par Morningstar (catégorie A US, parmi 303 fonds d'actions américaines de petites capitalisations, sur la base des rendements ajustés en fonction du risque au 30/06/2021).

    « Je suis très fier des résultats qu'Amy et son équipe d'analystes talentueux ont obtenus avec le fonds Small Cap Focus. Je pense que les investisseurs à la recherche d'alpha et qui souhaitent avoir un plus large accès aux conseils avisés de notre équipe voudront en savoir plus sur ce nouveau fonds », a poursuivi Dan.

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    news-2584 Mon, 11 Oct 2021 10:05:55 +0200 Les premiers signes d’une reprise sont là ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-premiers-signes-d-une-reprise-sont-la/ Par Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers Octobre 2021 Mi 2021, les marchés immobiliers semblent à l’aune d’un nouveau cycle, portés par la très nette amélioration de la situation sanitaire et l’intensification des campagnes de vaccination. Dans le sillage de la forte accélération de la croissance économique qu’a connu la zone euro au deuxième trimestre 2021, l’activité des marchés locatifs et d’investissements en Europe a rebondi, sur fond de nouvelle règlementation en matière d’ESG (Environnement, Social et Gouvernance) et de nouveaux besoins des clients-locataires et investisseurs.

    Des chiffres encourageants

    Les chiffres sont prometteurs. Après quatre trimestres de baisse continue (2020), le volume d’investissement des marchés immobiliers de bureaux en Europe a affiché une hausse durant les deux premiers trimestres de 2021, une croissance due en grande partie à des conditions de crédit favorables et des perspectives de valorisation toujours positives pour les actifs prime. Cette hausse du volume des investissements bien que plus nettement observable au Royaume-Uni qui a su tirer parti de l’avancement de sa campagne de vaccination, est un phénomène généralisé en Europe à l’exception de la France. Pour la France, le rebond est attendu pour le troisième trimestre de 2021. Bien entendu, la demande des investisseurs est concentrée sur les actifs prime assortis d’un bon profil ESG. Dans la même logique, les investisseurs restent frileux par rapport aux actifs les plus anciens, du fait des capex nécessaires à leur rénovation, ou à l’amélioration de leurs caractéristiques durables.

    Evolution différenciée des taux des actifs prime et des taux des actifs secondaires 

    Les actifs prime de bureaux en Europe ont été particulièrement résilients et ont continué à offrir des taux de rendement toujours attractifs dans un environnement de taux bas. Toutefois, les investisseurs demandent un rendement supplémentaire significatif pour investir dans des actifs secondaires. Cette prime de risque est notamment fonction de la centralité et de la vacance du marché immobilier et des qualités techniques et environnementales des actifs.
     

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    news-2581 Fri, 01 Oct 2021 16:21:19 +0200 Digitalisation et télétravail, défis et opportunités sur le marché des bureaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/digitalisation-et-teletravail-defis-et-opportunites-sur-le-marche-des-bureaux/ Que retiendra-t-on de l’année 2020 dans 10 ans ? La pandémie bien sûr mais aussi et surtout la formidable pénétration de la digitalisation dans les usages de consommation et de travail. La diffusion du télétravail Avant la crise, l’utilisation du travail était très variable selon les pays, les secteurs d’activité, les professions et les entreprises. Selon la DARES, au cours du confinement du printemps 2020, 25% des salariés en France ont été en situation de télétravail à temps plein alors qu’auparavant cette pratique ne concernait que 3 % des salariés et uniquement dans un cadre de télétravail partiel (au moins un jour par semaine). Cette révolution des pratiques de travail qui a nécessité la levée de nombreux freins culturels, techniques et réglementaires s’est déroulée en quelques semaines alors que les évolutions dans le monde du travail s’inscrivent normalement sur des décennies.

    Le monde économique a soudain compris l’ampleur de la transformation en cours quand l’INSEE a estimé que 40 % des emplois en France pourraient être effectués partiellement en télétravail. Une fois les mesures de confinement complétement et définitivement abandonnées, il est devenu évident que le télétravail n’allait pas revenir au niveau d’avant crise et qu’il allait s’imposer durablement comme un mode pérenne d’organisation et de pratique du travail.

    A quelle vitesse se diffuse le télétravail « d’après crise » ? Rapidement semble-t-il. D’après Adecco, 12% des emplois en Europe sont en télétravail partiel mi-2021 contre 3% un an auparavant. Cette diffusion est très variable d’un pays à l’autre et d’un secteur à l’autre. Les pays du Nord de l’Europe sont culturellement plus enclins à développer cette pratique et c’est dans les professions très qualifiées des services à forte intensité de connaissances tels que les services professionnels ou liés aux TIC qu’il est le plus pratiqué.

    Il l’est moins dans les activités manufacturières et les services marchands à moindre intensité de connaissances, tels que le commerce de gros, de détail et les transports, ainsi que parmi les professions qui exigent une présence physique pour effectuer un grand nombre de tâches tels que le personnel soignant et les ouvriers de production. Le télétravail est malgré tout relativement fréquent dans certaines professions moyennement ou peu qualifiées, notamment les agriculteurs qualifiés et les vendeurs ambulants. Finalement, un nouveau type d’inégalité sur le marché du travail nait de l’éligibilité ou non au télétravail selon les postes de travail.

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    news-2580 Mon, 04 Oct 2021 09:00:00 +0200 La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global recoit le label greenfin /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lux-inflection-point-carbon-impact-global-recoit-le-label-greenfin/ La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, a le plaisir d’annoncer que son fonds thématique actions monde bas carbone, La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a obtenu le Label GREENFIN. Créé par le Ministère de la Transition Ecologique, le Label GREENFIN a pour objectif de mobiliser une partie de l’épargne au bénéfice de la transition énergétique et écologique. « Le label GREENFIN garantit la qualité verte des fonds d’investissement et s’adresse aux acteurs financiers qui agissent au service du bien commun grâce à des pratiques transparentes et durables. Le label a la particularité d’exclure les fonds qui investissent dans des entreprises opérant dans le secteur nucléaire et les énergies fossiles. » 1

    Géré par Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, Hugo Bonnard, Apolline Brilland et Paul Troussard, LA FRANÇAISE LUX-INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL est classifié « article 9 » selon la règlementation Disclosure.2 Le fonds a pour objectif de contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme. Avec plus de 315 millions d’euros d’actifs sous gestion, le fonds investit principalement dans des actions de sociétés mondiales, y compris celles de marchés émergents, engagées à réduire leurs émissions de carbone, à étendre leur stratégie visant à réduire les émissions de carbone et à remplacer les sources d'énergie fossile par des alternatives à faible émission carbone.

    Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, La Française AM a commenté, « Il s’agit là du premier fonds de la gamme bas carbone lancée par La Française AM en juin 2015, donc avant la COP21, à faire l’objet de trois labels distincts en cours de validité, en France comme en Allemagne. La qualité de la méthodologie que nous avons développée avec notre centre de recherche extra-financière La Française Sustainable Investment Research ainsi qu’une analyse financière rigoureuse font l’originalité du fonds. Avec La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global, nous favorisons la transition énergétique en alliant performance et durabilité ! »

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    news-2579 Fri, 01 Oct 2021 11:25:47 +0200 Lettre aux porteurs (La Française Global Coco) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-la-francaise-global-coco/ Objet : Modification du compartiment La Française Global Coco, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Global Coco et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    • Modifications entrant en vigueur le 6 octobre 2021 :


    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Par ailleurs, le compartiment pourra désormais investir dans des obligations et titres de créances négociables émis ou garantis par des États (dette publique) dans la limite de 50% de l’actif net.

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.

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    news-2578 Fri, 01 Oct 2021 11:23:19 +0200 Lettre aux porteurs (La Française Rendement Global 2028) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-la-francaise-rendement-global-2028/ Objet : Modification du compartiment La Française Rendement Global 2028, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Rendement Global 2028 et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 6 octobre 2021.

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    news-2577 Fri, 01 Oct 2021 11:20:15 +0200 Lettre aux porteurs (La Française Rendement Global 2028 Plus) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-la-francaise-rendement-global-2028-plus/ Objet : Modification du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment »). Ainsi, La Française Asset Management propose de faire évoluer le compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus afin de s’adapter à l’environnement actuel en tentant d’apporter des solutions dans un contexte de taux extrêmement bas. La performance du Compartiment pourrait être également impactée par d’autres facteurs tel que le coût de couverture et les défauts.

    • Modifications entrant en vigueur le 6 octobre 2021 nécessitant un agrément de l’Autorité des marchés financiers :

    Le Compartiment pourra désormais investir dans des titres non-notés dans la limite de 30% maximum de l’actif net.

    Par ailleurs, le Compartiment pourra investir dans des obligations contingentes convertibles (dites « cocos ») dans la limite de 20% maximum de l’actif net. Un risque a été ajouté dans la rubrique « profil de risque » du prospectus relatif à l’investissement dans des obligations contingentes convertibles.

    Enfin, l’effet de levier financier sera limité à 150% de l’actif net du compartiment contre 120% actuellement.

    Ces modifications entraineront une augmentation du profil rendement/risque du Compartiment. Toutefois, le SRRI (5) du Compartiment restera inchangé.

    Ces modifications ont reçu un agrément de la part de l’AMF en date du 20 septembre 2021.

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    news-2576 Fri, 01 Oct 2021 11:17:18 +0200 Lettre aux porteurs (La Française Global Floating Rates) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-la-francaise-global-floating-rates/ Objet : Modification du compartiment La Française Global Floating Rates, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Global Floating Rates et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Floating Rates (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits qui ont pour objectif l’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Par ailleurs, la dénomination du compartiment sera modifiée comme suit : La Française Carbon Impact Floating Rates.

    Le Compartiment pourra désormais avoir recours à des options (instruments dérivés) et investir dans des obligations vertes (green bonds).

    Enfin, un risque de durabilité et un risque d’investissement ESG ont été ajouté dans le prospectus de votre FCP.

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.
     

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    news-2574 Fri, 01 Oct 2021 11:11:45 +0200 Lettre aux porteurs FR > LU (La Française Global Coco) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-lu-4/ Objet : Modification du compartiment La Française Global Coco, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Global Coco et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    • Modifications entrant en vigueur le 6 octobre 2021 :


    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous.

    Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Par ailleurs, le compartiment pourra désormais investir dans des obligations et titres de créances négociables émis ou garantis par des États (dette publique) dans la limite de 50% de l’actif net.

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.

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    news-2568 Fri, 01 Oct 2021 10:53:58 +0200 Lettre aux porteurs FR > LU (La Française Rendement Global 2028) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-lu-3/ Objet : Modification du compartiment La Française Rendement Global 2028, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Rendement Global 2028 et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 6 octobre 2021.

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    news-2567 Fri, 01 Oct 2021 10:51:05 +0200 Lettre aux porteurs FR > BE (La Française Rendement Global 2028) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-be-2/ Objet : Modification du compartiment La Française Rendement Global 2028, compartiment de la SICAV de droit français La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Rendement Global 2028 et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 6 octobre 2021.

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    news-2561 Fri, 01 Oct 2021 10:32:39 +0200 Lettre aux porteurs FR > LU (La Française Rendement Global 2028 Plus) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-lu-2/ Objet : Modification du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment »). Ainsi, La Française Asset Management propose de faire évoluer le compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus afin de s’adapter à l’environnement actuel en tentant d’apporter des solutions dans un contexte de taux extrêmement bas.
     a performance du Compartiment pourrait être également impactée par d’autres facteurs tel que le coût de couverture et les défauts.

    • Modifications entrant en vigueur le 6 octobre 2021 nécessitant un agrément de l’Autorité des marchés financiers :


    Le Compartiment pourra désormais investir dans des titres non-notés dans la limite de 30% maximum de l’actif net. Par ailleurs, le Compartiment pourra investir dans des obligations contingentes convertibles (dites « cocos ») dans la limite de 20% maximum de l’actif net. Un risque a été ajouté dans la rubrique « profil de risque » du prospectus relatif à l’investissement dans des obligations contingentes convertibles.

    Enfin, l’effet de levier financier sera limité à 150% de l’actif net du compartiment contre 120% actuellement.

    Ces modifications entraineront une augmentation du profil rendement/risque du Compartiment. Toutefois, le SRRI (5) du Compartiment restera inchangé.

    Ces modifications ont reçu un agrément de la part de l’AMF en date du 20 septembre 2021.

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    news-2560 Fri, 01 Oct 2021 10:28:43 +0200 Lettre aux porteurs FR > BE (La Française Rendement Global 2028 Plus) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-be-1/ Objet : Modification du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus, compartiment de la SICAV de droit français La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment »). Ainsi, La Française Asset Management propose de faire évoluer le compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus afin de s’adapter à l’environnement actuel en tentant d’apporter des solutions dans un contexte de taux extrêmement bas. La performance du Compartiment pourrait être également impactée par d’autres facteurs tel que le coût de couverture et les défauts.

    • Modifications entrant en vigueur le 6 octobre 2021 nécessitant un agrément de l’Autorité des marchés financiers :


    Le Compartiment pourra désormais investir dans des titres non-notés dans la limite de 30% maximum de l’actif net. Par ailleurs, le Compartiment pourra investir dans des obligations contingentes convertibles (dites « cocos ») dans la limite de 20% maximum de l’actif net. Un risque a été ajouté dans la rubrique « profil de risque » du prospectus relatif à l’investissement dans des obligations contingentes convertibles.

    Enfin, l’effet de levier financier sera limité à 150% de l’actif net du compartiment contre 120% actuellement.

    Ces modifications entraineront une augmentation du profil rendement/risque du Compartiment.

    Toutefois, le SRRI (5) du Compartiment restera inchangé.Ces modifications ont reçu un agrément de la part de l’AMF en date du 20 septembre 2021.

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    news-2555 Fri, 01 Oct 2021 10:01:26 +0200 Lettre aux porteurs FR > LU (La Française Global Floating Rates) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-lu-1/ Objet : Modification du compartiment La Française Global Floating Rates, compartiment de la SICAV La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Global Floating Rates et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Floating Rates (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous.

    Le compartiment sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits qui ont pour objectif l’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Par ailleurs, la dénomination du compartiment sera modifiée comme suit : La Française Carbon Impact Floating Rates. Le Compartiment pourra désormais avoir recours à des options (instruments dérivés) et investir dans des obligations vertes (green bonds). Enfin, un risque de durabilité et un risque d’investissement ESG ont été ajouté dans le prospectus de votre FCP. Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.
    Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent courrier.

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    news-2554 Fri, 01 Oct 2021 09:57:34 +0200 Lettre aux porteurs FR > BE (La Française Global Floating Rate) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-be/ Objet : Modification du compartiment La Française Global Floating Rates, compartiment de la SICAV de droit français La Française Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du compartiment La Française Global Floating Rates et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Floating Rates (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous.
    Le compartiment sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits qui ont pour objectif l’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).

    Par ailleurs, la dénomination du compartiment sera modifiée comme suit : La Française Carbon Impact Floating Rates. Le Compartiment pourra désormais avoir recours à des options (instruments dérivés) et investir dans des obligations vertes (green bonds).

    Enfin, un risque de durabilité et un risque d’investissement ESG ont été ajouté dans le prospectus de votre FCP. Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021. Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent courrier.

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    news-2551 Thu, 30 Sep 2021 09:00:00 +0200 La Francaise Real Estate Managers et altarea signent un partenariat afin de repondre à la demande croissante de logements locatifs neufs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-et-altarea-signent-un-partenariat-afin-de-repondre-a-la-demande-croissante-de-logements-locatifs-neufs/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec près de 28 milliards d’euros sous gestion, dont plus de 50 % pour le compte d’investisseurs institutionnels français et internationaux, a conclu un partenariat avec ALTAREA pour le « sourcing » d’un important volume d’actifs résidentiels locatifs situés en France. L’accord porte sur 600 logements par an sur deux ans, dont 200 logements nus et cinq résidences gérées. 

    Ce deuxième partenariat signé en 2021 vient confirmer l’ambition de La Française REM d’accélérer son développement en matière de résidentiel locatif.

    Les projets proposés devront répondre à un cahier des charges strict comprenant notamment les critères ci-dessous :

    • Être des actifs résidentiels au sens large tels que logements, résidences étudiantes, résidences services seniors et actifs de co-living ;
    • Respecter la charte Construction neuve de La Française qui fixe des standards minimums environnementaux et sociaux, notamment en matière de performance énergétique et environnementale, de préservation des ressources et d’intégration des projets dans leur territoire ;
    • Être situés prioritairement en Ile-de-France et dans les grandes métropoles régionales.

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers a commenté, « Les actifs résidentiels s’inscrivent parfaitement dans une stratégie de diversification. Ils offrent une volatilité en règle générale moindre que le secteur du tertiaire et sont très résilients en matière de revenus locatifs, pouvant générer des rendements de nouveau attractifs dans notre univers de taux bas. Afin de satisfaire la demande croissante des investisseurs institutionnels pour cette classe d’actifs, nous nous sommes naturellement rapprochés d’ALTAREA, partenaire de longue date du Groupe La Francaise pour répondre aux enjeux de transformation des territoires. Ce protocole d’accord est un gage de qualité dans le temps et témoigne d’une confiance réciproque. »

    Jacques Ehrmann, Directeur général du groupe ALTAREA explique, « Nous constatons le grand retour de l’immobilier résidentiel auprès des investisseurs institutionnels en France. C’est le signe de la confiance qu’ils ont dans cette classe d’actifs qui assure à la fois un bon couple rendement/récurrence tout en répondant à un marché et des besoins profonds. Ce partenariat avec La Française s’inscrit dans notre stratégie globale de vente de logements à des institutionnels, en leur proposant, à travers l’ensemble de nos marques de promotion résidentielle, des produits de qualité qui intègrent les exigences environnementales et les nouveaux usages en réponse aux attentes des Français ». 

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    news-2547 Mon, 27 Sep 2021 17:47:14 +0200 Quelle stratégie adopter pour nos investissements immobilier ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quelle-strategie-adopter-pour-nos-investissements-immobilier/ Thierry Molton, Directeur des actifs Immobiliers d'entreprise

    Thierry Molton, Directeur des actifs Immobiliers d'entreprise, dévoile nos convictions immobilières de rentrée axées sur 4 thématiques majeures :

    1. Centralité : nous assistons à un retour des entreprises dans le centre des grandes villes, nécessaire pour attirer les talents.
    2. Flexibilité : pour accroitre l’attractivité de nos actifs, nos offres locatives se doivent d'être flexibles et adaptées aux nouveaux usages.
    3. Connectivité avec la ville et les services : en plus d’être connectés aux transports en commun, les actifs doivent l'être avec la ville, c'est-à-dire avec les loisirs, la restauration, la santé et les services.
    4. Performance énergétique : La Française s’engage à déployer des actions ciblées pour améliorer la performance énergétique des bâtiments
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    news-2546 Mon, 27 Sep 2021 10:38:52 +0200 Boucler la boucle - Épisode 4 - Votre rendez-vous hebdomadaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/boucler-la-boucle-episode-4-votre-rendez-vous-hebdomadaire/  Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

    [Boucler la boucle – Épisode 4] - Votre rendez-vous hebdomadaire

    Evergrande sera-t-il le Lehman Brothers chinois ?

    Cette semaine Jean Carlou, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

     disclaimer 

    Cette vidéo a été tournée le 24 septembre 2021. Vidéo à caractère informatif, et non à caractère promotionnel, destinée aux clients professionnels au sens de la Directive MIF et aux partenaires distributeurs. Les informations contenues dans cette vidéo ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997.

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    news-2545 Wed, 22 Sep 2021 14:53:39 +0200 A quoi s’attendre après l’ère Merkel ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-quoi-s-attendre-apres-l-ere-merkel/ Par François Rimeu, Stratégiste Senior, La Française AM Les élections fédérales Allemandes tiendront place à la fin de cette semaine le 26 septembre 2021 et marqueront la fin de l’ère Merkel. A moins d’une semaine des élections, les sondages prévoient qu’entre 25 et 26% des votes iront au Social Democratic Party (SPD), suivi du Christian Democratic Union (CDU) et Christian Social Union (CSU) avec entre 21 et 22 % des voix, le parti « Vert » avec 16%, le Free Democratic Party (FDP) et Alternative for Germany (AFD) avec environ 11% chacun et la Gauche avec entre 6 et 7%. Ces sondages laissent entrevoir un gouvernement issu d’une coalition entre trois partis, avec pour seule zone d’ombre la composition de cette coalition et le choix du chancelier. En se basant sur l’hypothèse que le CDU/CSU n’acceptera pas de faire partie d’une coalition menée par le SPD, et que ce dernier n’a de toute façon pas envie de gouverner avec le CDU, trois hypothèses semblent se détacher :  

    • La coalition Traffic Light (SPD, Vert, FDP), avec Olaf Scholz en tant que chancelier  
    • La coalition Red-Red-Green (SPD, Vert, La Gauche) avec Olaf Scholz en tant que chancelier  
    • La coalition Jamaica (CDU/CSU, Vert, FDP) avec Armin Laschet en tant que chancelier  

    Le résultat des élections fédérales Allemandes reste toutefois très incertain, car bien que 50% des électeurs aient déjà voté, un nombre significatif d’électeurs demeurent indécis. Ce qui semble clair cependant c’est que les Verts seront le deuxième parti le plus important du gouvernement à venir, et ce, quelque soit l’issue du scrutin.

    Quelles conséquences pour les marchés financiers ?

    Dans le cas « Jamaica », à priori très peu d’impact à prévoir. Une coalition menée par le CSU/CDU et privée du « crisis leadership » d’Angela Merkel serait cependant à la marge décevant en termes d’intégration Européenne (et donc pour les pays périphériques).

    Dans le cas « Traffic Light », les taux allemands pourraient légèrement monter et les spreads sur les périphériques se resserrer, ne serait-ce que sur le court terme. Cette coalition pourrait déboucher sur une intégration européenne plus importante mais aussi une politique fiscale plus souple sous l’impulsion des Verts, ainsi que des politiques plus favorables aux entreprises sous l’égide du FDP.

    Le cas d’une alliance « Red-Red-Green » peut ne pas paraître le plus probable mais ne peut être exclu, les Verts pouvant refuser de former une coalition avec le FDP. Les taux allemands pourraient grimper et les spreads sur les périphériques pourraient se resserrer de manière plus significative que dans le cas précédent. Cette coalition pourrait aussi être positive sur l’Euro, du fait de leur prise de position pour une intégration européenne plus importante, se traduisant en un risque moindre d’une fracture de l’Union Européenne. 

    Toutefois, si nous mettons de coté brièvement les effets sur les taux Européens, le résultat le plus important de l’élection fédérale Allemande, c’est que les Verts sont présents dans chacune des coalitions et vont donc jouer un rôle majeur dans le gouvernement à venir, ce qui pourrait avoir plusieurs conséquences :

    • Les Verts sont plus susceptibles de prendre position contre la Russie et la Chine. 

    L’exemple le plus parlant est celui du gazoduc Nord Stream 2, qui est au centre de la controverse. Ce projet, défendu par le gouvernement d’Angela Merkel doit relier la Russie à l’Allemagne en passant sous la mer Baltique. Les Verts font front commun contre ce projet en allant jusqu’a ouvertement offrir leur support à des groupes d’opposition basés en Russie, en Chine et au Belarus. Dans la conjoncture actuelle d’augmentation rapide des prix de l’énergie en Europe et de “Démondialisation”, cette prise de position politique pourrait conduire à un renouvellement des tensions au regard des prix du gaz à moyen-terme, et avoir des conséquences positives sur l’inflation. Les Verts pourraient aussi pousser l’Union Européenne à se montrer plus ferme envers des pays tels que la Hongrie ou la Pologne sur des sujets comme l’indépendance du pouvoir judiciaire, l’égalité des genres, ou tout simplement en termes d’application du droit communautaire. Enfin, ils pourraient adopter une ligne dure envers la Chine sur la question des Droits de l’Homme. 

    • Ils pourraient aussi fortement revendiquer des investissements importants dans les énergies renouvelables, un besoin pressant en Allemagne, celle-ci se reposant encore fortement sur les énergies fossiles. Les Verts ont en effet déclaré qu’ils veulent assurer une transition vers une économie basée à 100% sur les énergies renouvelables d’ici à 2035. Ils planifient aussi un remplacement total des véhicules thermiques par des voitures vertes d’ici 2030.

    Toutes ces politiques seraient à priori positives à la fois pour la croissance et pour l’inflation mais vont nécessiter de lourds investissements et une politique fiscale très souple.
    Ce dernier point est potentiellement l’un des points les plus importants à surveiller dans les mois qui viennent : Comment le prochain gouvernement fédéral Allemand va-il pouvoir mettre en place des politiques très souples (plus de dépenses, plus de déficit budgétaire) malgré la position actuelle du SPD, FDP, et CSU/CDU sur les réformes constitutionnelles ? Une échappatoire à ce dilemme pour éviter d’avoir à modifier la constitution Allemande serait de passer par une approche plus technique comme changer la formule utilisée pour calculer le volant contracyclique ou encore préalimenter les versements des fonds de réserves spéciaux. Toutefois, ils ne pourront pas éviter éternellement les débats autour du « Debt Brake » et de potentiels aménagements des règles constitutionnelles. 

    Disclaimer

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2544 Wed, 22 Sep 2021 14:13:34 +0200 Les obligations vertes suffiront-elles pour atteindre les cibles de réduction des émissions carbones ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-obligations-vertes-suffiront-elles-pour-atteindre-les-cibles-de-reduction-des-emissions-carbones/ Par Gaël Binot et Hervé Chatot, respectivement Gérant Taux Marchés Emergents et Gérant Cross Asset, La Française AM L’union Européenne a décidé, fin 2020, de revoir à la hausse ses objectifs environnementaux en visant une réduction de 55 % des gaz à effet de serre à horizon 2030 par rapport à 1990, contre 40 % précédemment. Ce nouvel objectif, « conforme à l’accord de Paris de contenir l’élévation de la température nettement en dessous de 2° », entraine un engagement plus fort des Etats de l’UE vers une accélération des investissements dans la transition verte pour lutter contre les effets négatifs du changement climatique.
    Le plan de relance européen NextGenerationEU (NGEU) de 750 Mds d’euros consacrera un tiers au financement des projets environnementaux d’ici 2026. Pour ce faire, la commission européenne lèvera 250 Mds d’euros d’obligations vertes sur les cinq prochaines années, et deviendra ainsi le plus gros émetteur d’obligations vertes. Le commissaire européen Valdis Dombrovskis estime que « l’Europe aura besoin d’environ 350 Mds d’euros d’investissements supplémentaires par an pour atteindre son objectif d’émissions pour 2030 ». 

    L'UE développe un ensemble de mesures réglementaires pour assurer la transparence du marché et guider les investisseurs vers des investissements véritablement écologiques.
    En Europe, en attendant la future norme européenne (taxonomie) sur les émissions vertes qui ne sera pas disponible avant un an au moins, les premières émissions vertes européennes reposeront sur les pratiques actuelles du marché. Ces pratiques se basent sur le standard volontaire de l’International Capital Market Association (ICMA) et ses quatre principes (« Green Bond Principles ») : l’utilisation des fonds, le processus de sélection, l’évaluation des projets et le reporting. Le but de cette réglementation est d’assurer une transparence du marché pour guider les investisseurs vers des investissements véritablement écologiques. 

    Fin 2020, le stock total des émissions vertes des Etats était de $88 Mds au niveau mondial et $77 Mds en Europe. Toutefois, la taille de ce marché est encore peu significative au regard du total du stock des émissions souveraines mondial et européen. Néanmoins, pour atteindre les objectifs des Etats sur la décarbonation des économies, les besoins en investissements sur les infrastructures liées à l’énergie sont gigantesques et évalués à $110 mille Mds entre 2016 et 2050 par l’International Renewable Energy Agency (IRENA) pour atteindre un système énergétique à faible émission de carbone. Les financements de ces besoins font des obligations vertes un marché en plein essor, à fort potentiel d’expansion.

    En Espagne, sur la base du « Green Bond Framework », le Trésor espagnol a identifié une enveloppe de 13,6 milliards d'euros de dépenses vertes du gouvernement sur la période 2018-2021. Le 7 septembre, l’Espagne lançait sa première obligation verte, pour 5 Mds d’euros remboursable en juillet 2042, rejoignant ainsi dix autres pays de l’UE émetteurs de « green bonds » : la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique, l’Irlande, la Suède, la Pologne, la Hongrie, la Lituanie et plus récemment l’Italie (8.5 Mds d’euros en mars 2021). 

    Cette première émission « Green » espagnole a été un succès avec plus de 60 Mds d’euros de demandes des investisseurs. Le rendement annuel en euro est sorti à 1.034 %. Après cette première émission espagnole, l’Allemagne a également lancé un nouveau « green » bond de 3.5 Mds d’euros, le 8 septembre, sur une échéance d’août 2031. L’intérêt croissant des investisseurs s’est matérialisé par une prime verte, un « Greenium » de 4.4 pb par rapport à l’obligation classique de même maturité, émise quelques mois auparavant.
    La commission européenne a annoncé la première émission verte du programme de 250 Mds d’euros pour le mois d’octobre. La taille des émissions vertes de l’UE fera de l’Europe un leader mondial dans la finance durable. Cette première émission est également un premier pas pour la construction d’une courbe de taux verts qui servira de référence dans l’avenir pour les émissions vertes en euro des Etats européens. 

    Les besoins futurs de financements verts, l’engagement de l’exécutif européen sur l’affectation des fonds vers des projets liés au changement climatique, le succès des dernières émissions « Green » européennes auprès des investisseurs, laissent présager que la demande pour cette toute première émission sera au rendez-vous. 

    Dans les prochaines années bien d’autres Etats viendront émettre des obligations vertes, sociales et durables. Il deviendra indispensable de pouvoir vérifier l’allocation des fonds sur des projets environnementaux, durables, …, à travers un standard international contraignant. Mais pour atteindre les cibles de réduction des émissions carbones pour 2030 et 2050 et réorienter les mix énergétiques des pays, l’émission seule d’obligations vertes n’est pas suffisante. Le projet phare de l'UE sur le climat, le système d'échange de quotas d'émission (European Emission Trading Scheme - EU ETS), doit aider les flux d'investissement vers des activités alignées sur la taxonomie et accélérer le changement dans tous les secteurs concernés. 

    disclaimer

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    news-2542 Tue, 21 Sep 2021 09:30:31 +0200 Convictions de rentrée Valeurs Mobilières - La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/convictions-de-rentree-valeurs-mobilieres-la-francaise/ Vidéo réalisée à titre informatif et destinée uniquement aux Partenaires Distributeurs.

    Elle vise à leur fournir des informations complémentaires sur les caractéristiques des instruments financiers qu'ils peuvent être amenés à commercialiser. Ne constitue pas une offre, ni un conseil en investissement. Cette publication est technique et ne peut pas en l’état être relayée auprès d’une clientèle non pro. Les investissements en obligations subordonnées sont réputés comme inappropriés ou inadéquats à une clientèle non pro, ces derniers ne possédant pas l’expérience et la connaissance suffisante pour estimer les risques liés à un tel investissement. Investir comporte des risques :

    • Risques Actions :
      • Risque de perte en capital
      • Risque de baisse des marchés actions
      • Risque de variation des taux de change
      • Placement de long terme (au moins 5 ans)
      • Placement de diversification
    • Risques Obligataires
      • Risque de perte en capital
      • Risque de défaut de remboursement de la dette d’un émetteur
      • Placement de long terme
      • Placement de diversification
      • Risque accru pour les titres de notation faible (dits « High Yield ») et les obligations subordonnées

    Le High Yield correspond aux obligations et aux émetteurs (entreprises ou États) dits spéculatifs, c’est-à-dire dont la notation financière est inférieure à BBB- (agence S&P). L'Investment Grade correspond aux obligations et aux émetteurs (entreprises ou États), dont la notation financière est supérieur à BBB- (agence S&P).

    En contrepartie du risque plus élevé, les rendements potentiels sont plus élevés et peuvent ainsi offrir des opportunités intéressantes dans le contexte de taux durablement bas. Informations non-contractuelles, considérées exactes à leur date de publication et susceptibles d’évoluer dans le temps. Codes de transparence disponibles sur www.la-francaise.com.

    La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997. La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n°18673 (www.acpr.banque-france.fr) et enregistrée à l’ORIAS (www.orias.fr) sous le n°13007808 le 4 novembre 2016.

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    news-2541 Tue, 21 Sep 2021 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers annonce la nomination de Jean-Marie Celerier au poste de directeur de la cellule de transformation de l’offre locative /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-annonce-la-nomination-de-jean-marie-celerier-au-poste-de-directeur-de-la-cellule-de-transformation-de-l-offre-locative/ Face à l’accélération de la transformation des usages des entreprises, La Française Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (IEIF au 31/12/2020 en termes de capitalisation), annonce la création de la Cellule de Transformation de l’Offre Locative. Jean-Marie Célérier prend la direction de ce nouveau département et sera épaulé par Esther Lahuerta Escolano, Chef de Projets Nouveaux Usages.

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers déclare : « Le renouvellement de l’offre locative est vital aujourd’hui pour adresser les nouveaux besoins des entreprises. Avec la Cellule de Transformation de l’Offre Locative notre ambition est de bénéficier d’une nouvelle force transverse qui jouera un rôle essentiel dans la valorisation de nos actifs et la rentabilité de nos fonds immobiliers. Nous confions cette cellule aux mains expertes en transformations immobilières de Jean-Marie, qui accompagne depuis plus de dix ans les évolutions des bailleurs, opérateurs, promoteurs et prestataires de services de l’écosystème immobilier français et international. Jean-Marie pilotera le développement d’une offre de services différenciante. »

    La Cellule de Transformation de l’Offre Locative aura pour mission de fédérer l’ensemble des compétences de La Française REM afin de répondre favorablement aux besoins de flexibilité et de services de ses locataires dans une conjoncture post-COVID. La création de cette cellule s’inscrit dans une stratégie de fidélisation, de diminution du risque de vacance et plus généralement de renforcement de la performance financière des actifs. La nouvelle cellule sera rattachée directement à la Présidence de La Française REM. 

    Biographie de Jean-Marie Célérier

    40 ans, diplômé de l’ESTP (Bâtiment 2003) et de l’EM Lyon (Entreprendre 2005), Jean-Marie Célérier débute sa carrière en tant qu’expert immobilier et conseil à l’acquisition chez Icade Conseil (ex Arthur Andersen) puis Catella France. 
    Il rejoint en 2006 les équipes européennes d’Ivanhoé Cambridge, filiale immobilière de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec. Il intervient sur les grands projets d’investissement et de promotion principalement à Paris, Londres, Francfort, et Munich ainsi que sur les opérations stratégiques de la filiale. 
    Fondateur du cabinet de conseil en stratégie Stonup (2011) Jean-Marie Célérier a conseillé les directions générales de nombreux acteurs de l’industrie immobilière.
    Il est par ailleurs le fondateur de Cowork.io, logiciel leader du Workplace Management (2013) et d’ACQER, première solution d’accession progressive pour les particuliers (2018). 

    Biographie de Esther Lahuerta Escolano

    36 ans, Esther Lahuerta Escolano, architecte DPLG, est diplômée à l’école polytechnique de Madrid.

    Elle débute sa carrière à Paris en 2009 dans de prestigieux cabinets d’architecture comme Lacatton&Vassal et Viguier Architecture et Urbanisme, en realisant des projets privés et publics. 

    En 2013, elle finalise son Master d’International Project Management à l’ESCP-Europe et rejoint ensuite le groupe Unibail-Rodamco-Westfield, le premier groupe coté de l'immobilier commercial au monde, en tant que Senior Design Manager pour intervenir sur des projets retails localisés à Londres, Vienne, Prague, Madrid, Barcelone, Hamburg et Düsseldorf. 

    En 2019, Esther Lahuerta Escolano intègre le Groupe La Française comme responsable de projets, notamment pour le développement de bureaux flex et du coworking.  

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    news-2540 Tue, 21 Sep 2021 09:04:57 +0200 Prochaine réunion de la FED : coup de projecteur sur le "dot plot" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/prochaine-reunion-de-la-fed-coup-de-projecteur-sur-le-dot-plot/ Lors de la prochaine réunion de la Réserve fédérale les 21 et 22 septembre, celle-ci devrait préannoncer le début de la réduction progressive du programme d’achat d’actifs, avec effet début décembre. Comme l'indiquent les minutes de juillet, l'économie américaine a atteint son objectif en matière d'inflation et était "proche d'être satisfaite" de la progression sur le marché de l'emploi. Les chiffres décevants concernant les créations d'emplois durant le mois d'août ne devraient pas inciter la FED à reporter davantage le tapering.

    • La Fed devrait maintenir les taux directeurs inchangés. Aucun suspens ici.
    • Le " dot plot " devrait être le principal point d’attention des investisseurs durant cette réunion. Nous ne pensons pas que les « dots » médians de 2022 et 2023 changeront (pas de hausse en 2022, et deux hausses en 2023), même si pour 2022, seuls trois membres doivent changer leurs votes pour que le « dot » médian passe à une hausse. Le « dot » médian devrait lui indiquer trois hausses de taux. Au total, cela donnerait cinq hausses à horizon fin 2024, ce qui est très proche des anticipations actuelles de marché.
    • Les nouvelles projections économiques (SEP) devraient indiquer une croissance plus faible en 2021 (de 7,0 % à 6,0 %) mais plus élevée en 2022 (de 3,3 % à 3,5 %) et inchangée pour 2023 (2,4 %). Les nouvelles prévisions 2024 devrait indiquer 2%, soit un chiffre proche de la croissance potentielle des Etats-Unis.
    • Les anticipations d'inflation devraient être revues à la hausse (PCE) avec des projections passant de 3,4 % à 4,2 % en 2021, de 2,1 % à 2,2 % en 2022 et inchangées en 2023 à 2,2 %. Nous prévoyons une inflation médiane de 2,1 % pour 2024.
    • Le ton de Mr Powell devrait rester accommodant et minimiser tout signal potentiel fort provenant du "dot plot". Il dissociera également le début de la réduction des achats d'actifs des hausses de taux directeurs.

    Comme ce fut le cas en juin, le « risque » principal réside dans un rythme de hausse plus agressif que montrerait le « dot plot », ce qui pourrait pousser les taux d'intérêt à la hausse, mais ce n'est pas notre scénario de base. A la marge, les évènements récents en Chine pourraient donner envie à certains membres de la Fed d’essayer de gagner un peu de temps avant toute décision.

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    news-2537 Fri, 17 Sep 2021 16:49:51 +0200 Boucler la boucle - Épisode 3 - Votre rendez-vous hebdomadaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/boucler-la-boucle-episode-3-votre-rendez-vous-hebdomadaire/ Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

    [Boucler la boucle – Épisode 3] - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire

    Cette semaine Gilles MAINARD, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

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    Cette vidéo a été tournée le 17 septembre 2021. Vidéo à caractère informatif, et non à caractère promotionnel, destinée aux clients professionnels au sens de la Directive MIF et aux partenaires distributeurs. Les informations contenues dans cette vidéo ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997.

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    news-2535 Wed, 22 Sep 2021 09:00:00 +0200 La Francaise renforce son equipe de developpement dediee au marche Suisse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-de-developpement-dediee-au-marche-suisse/ Paris, le 22 septembre 2021 : La Française, groupe de gestion multi-expertises avec près de 56 milliards d’euros sous gestion, renforce son équipe de développement dédiée à l’international (hors France) et annonce la nomination de David MARTIN en tant que Responsable du Développement Commercial Suisse, sous la direction de Gerardo Duplat, Head of International Business Development. David Martin rejoint l’équipe internationale après vingt ans passés au sein du Groupe La Française, développant, en qualité de Directeur Commercial Institutionnel France, l’activité valeurs mobilières et immobilier. Une solide connaissance de l’ensemble de la gamme de fonds et des expertises proposées par La Française ainsi qu’une maitrise des besoins des investisseurs institutionnels lui conférent une grande technicité qui lui permettra d’accompagner les investisseurs professionnels suisses dans leurs décisions d’investissement. Ces nouvelles responsabilités viennent en complément de son poste actuel de Directeur Commercial Institutionnel France.

    David Martin bénéficie de vingt-huit ans d’expérience sur les marchés financiers qu’il met au service des Investisseurs pour la construction et la gestion de leurs allocations (valeurs mobilières et immobilier). Il a débuté sa carrière en 1993 à Londres en tant que courtier sur le marché obligataire, développant sur cette classe d’actifs la clientèle institutionnelle française de CPR (Groupe Crédit Agricole). De 1996 à 2002, David s’ouvre à la gestion pour compte de tiers et intègre le siège parisien de CPR AM Paris pour promouvoir l’ensemble des stratégies de valeurs mobilières développées sur mesure pour les Institutionnels français. En 2002, David rejoint La Française et participe activement depuis au développement du Groupe et de ses encours sur l’ensemble des stratégies phares (dont l’immobilier). Il est actuellement Directeur Commercial en charge des Investisseurs Institutionnels Français, champ d’action qu’il complète par sa récente nomination en tant que Responsable du Développement Commercial Suisse.

    David Martin est diplômé de NEOMA Rouen en finance d’Entreprise et de Marché.

    Gerardo DUPLAT, Head of International Business Development conclut « La Suisse est un marché clé dans l’asset management qui révèle un profil multifacette.  David, par sa maitrise de la technicité des marchés financiers, jouera un rôle décisif dans le développement de La Française en Suisse. » 

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    news-2534 Fri, 17 Sep 2021 09:00:00 +0200 La Francaise Real Estate Managers renforce son equipe d’investissements, dediee aux clients institutionnels /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-renforce-son-equipe-dinvestissements-dediee-aux-clients-institutionnels/ Paris, le 17 septembre 2021 : La Française Real Estate Managers (REM), pôle immobilier du Groupe La Française, s’est restructuré en 2020, à l’occasion de l’arrivée de Philippe Depoux à sa Présidence, afin de favoriser une organisation orientée clients, créant ainsi un Pôle Institutionnel en complément du pôle Grand Public. La direction Institutionnelle de La Française REM développe une offre de gestion de mandats immobiliers dédiés aux institutionnels français et internationaux sur des stratégies principalement Core/Core+, mais également Value Added et Opportunistes.  

    Sous l’impulsion de David Rendall et au travers de sa plate-forme immobilière pan-européenne disposant de trois centres de gestion (en France, en Allemagne et au Royaume-Uni), La Française REM - Institutionnelle gère plus de 14 milliards d’euros d’actifs immobiliers pour le compte d’investisseurs institutionnels. Pour accompagner l’augmentation de l’appétence des investisseurs institutionnels sur la classe d’actifs immobiliers et notamment la logistique et le résidentiel géré, La Française REM a le plaisir d’annoncer plusieurs évolutions au sein de l’équipe investissements, dirigée par Leslie Villatte, Directeur des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France :

    • la promotion d’Arthur Brizard et de Benjamin Fanget, chacun au poste de Directeur Adjoint des Investissements. Arthur, présent dès 2014, a contribué à créer les fondations de l’offre immobilière à destination des institutionnels. En 2016, Benjamin, fort de dix-sept années d’expérience en immobilier, rejoignait le pôle institutionnel et apportait son expertise pour notamment l’acquisition et le développement d’opérations value-added et de résidences gérées. 
       
    • et l’arrivée de deux nouveaux talents : Pierre-Edouard Niel et Emeric Poyer, respectivement nommés Investment Manager et Investment Associate. Au sein du pôle institutionnel, ils interviendront sur l’ensemble du processus d’acquisition, du sourcing au closing des transactions immobilières. Pierre-Edouard apporte à La Française REM une solide expérience de plus de neuf ans dans le secteur de l’immobilier de bureaux (développement et promotion) tandis qu’Emeric bénéficie d’une connaissance approfondie du financement immobilier et d’une expérience à l’international. Pierre Edouard reportera à Benjamin Fanget et Emeric à Arthur Brizard.

    Leslie Villatte, Directeur des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France, a commenté « L’engouement pour l’immobilier ne se dément pas auprès des investisseurs institutionnels, nous constatons une accélération des investissements, tous secteurs confondus mais principalement en résidentiel géré et logistique. Et pour accompagner cette forte demande, nous devons, pour nous différentier, constituer une équipe d’investissements expérimentée, où chacun apporte des compétences complémentaires. »

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    news-2532 Fri, 10 Sep 2021 14:45:00 +0200 Boucler la boucle - Épisode 2 - Votre rendez-vous hebdomadaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/boucler-la-boucle-episode-2-votre-rendez-vous-hebdomadaire/


        
     [Boucler la boucle – Épisode 2] - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire

    Cette semaine Jean Carlou, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.

     

    Disclaimer

    Vidéo à caractère informatif, et non à caractère promotionnel, destinée aux clients professionnels au sens de la Directive MIF et aux partenaires distributeurs. Les informations contenues dans cette vidéo ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997.

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    news-2531 Fri, 03 Sep 2021 14:34:00 +0200 Boucler la boucle - Épisode 1 - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/boucler-la-boucle-episode-1-votre-nouveau-rendez-vous-hebdomadaire/

     


     [Boucler la boucle - Épisode 1] - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire

    Chaque semaine Gilles MAINARD, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.

    Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
     

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    Vidéo à caractère informatif, et non à caractère promotionnel, destinée aux clients professionnels au sens de la Directive MIF et aux partenaires distributeurs. Les informations contenues dans cette vidéo ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997.

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    news-2530 Tue, 24 Aug 2021 14:29:00 +0200 LF Europimmo : retour sur la SCPI européenne de La Française REM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-europimmo-retour-sur-la-scpi-europeenne-de-la-francaise-rem/ Depuis 2014, la SCPI LF Europimmo investit dans des marchés européens présentant de bons fondamentaux macroéconomiques et immobiliers

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    Cette vidéo est destinée aux seuls Distributeurs, et a pour objet de leur apporter un complément d’information sur les caractéristiques des instruments financiers qu’ils peuvent être amenés à conseiller

    Ces informations ne constituent pas une offre ni un conseil en investissement. Elles sont considérées comme exactes au jour de leur établissement et n’ont pas de valeur contractuelle.

    Risques SCPI : perte en capital, absence de rendement, faible liquidité à la revente ou en cas de retrait des parts. Comme tout investissement immobilier, la SCPI est un placement de long terme (9 ans en moyenne), à acquérir dans une optique de diversification.

    La note d’information de LF Europimmo a reçu le visa AMF : SCPI n° 19-18, en date du 20 août 2019. Elle est disponible gratuitement auprès de la société de gestion. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org). La Française AM Finance Services - 128, boulevard Raspail, 75006 Paris -Société par actions simplifiée au capital de 800 000 € - 326 817 467 RCS Paris - N° TVA : FR 81 326 817 467 - Agrément ACPR n° 18673 - acpr.banque-france.fr - Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010 432 – Transactions Immobilières - Garantie Financière consentie par le CIC, 6 avenue de Provence 75009 Paris - Numéro ORIAS 13007808 - www.orias.fr

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    news-2527 Thu, 09 Sep 2021 17:30:00 +0200 VINCI Immobilier, en co-promotion avec Nacarat, conclut avec La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vinci-immobilier-en-co-promotion-avec-nacarat-conclut-avec-la-francaise-real-estate-managers/ agissant pour le compte de PFA, la Vente en l’Etat Futur d’Achèvement (VEFA) de la résidence services seniors OVELIA « Le Pavillon Victoria » à Aix-Les-Bains La Française Real Estate Managers (REM), pour le compte de la société PFA (fonds de pension danois), vient de conclure l’acquisition en VEFA, auprès de VINCI Immobilier et Nacarat, de la résidence services seniors « Le Pavillon Victoria » à Aix-Les Bains, qui sera exploitée par OVELIA.

    Au coeur du centre-ville historique d’Aix-les-Bains, cette résidence seniors, d’une surface totale de 5 818 m², dont la livraison est prévue août 2023, comprendra 105 logements, dont 25 % de logements sociaux. Ces derniers ont fait l’objet d’un démembrement de propriété dont la nue-propriété a été cédée à PFA et l’usufruit locatif social au bailleur SOLLAR.

    Conçue par l’architecte So Architectes, l’opération comprendra la réhabilitation de l’ancien hôtel Le Bristol et la construction d’un second bâtiment qui accueillera des logements et 630 m² d’espaces de services.

    Les appartements, du studio au 3 pièces, avec terrasses ou balcons, seront proposés à la location à des seniors autonomes. De vastes espaces communs viendront composer un cadre  de vie propice au bien-être et à la convivialité : piscine intérieure chauffée, espace de remise en forme, restaurant avec salle à manger privative, salon de coiffure et d’esthétisme. Par ailleurs, de nombreux services seront proposés aux résidents pour simplifier leur quotidien : entretien du domicile, animations, sorties culturelles, dispositif d’appel d’urgence, accueil 7j/7, présence 24h/24, travaux de petit bricolage. Le projet résidentiel vise la certification NF Habitat.

    « C’est un projet exceptionnel, tant par son montage inédit que par sa localisation et la qualité architecturale du bâtiment à réhabiliter. Nous sommes ravis de cette première transaction avec La Française dans le cadre de notre nouveau partenariat » précise Olivier de la Roussière, président de VINCI Immobilier.

    « Nous sommes fiers de pouvoir réhabiliter ce bâtiment remarquable en lui conservant un fort parti-pris architectural. Ce projet illustre parfaitement notre volonté d’investir au coeur de villes en mobilisant nos savoir-faire en matière de résidences gérées, de régénération d’actifs existants et d’innovation programmatique » souligne Ludovic MONTAUDON, Président de Nacarat.

    « Ce projet de développement signé VINCI Immobilier en co-promotion avec Nacarat et exploité par OVELIA, illustre parfaitement notre stratégie d’investissement qui vise à limiter l’artificialisation des sols. Le marché des résidences services seniors devenant de plus en plus compétitif, le partenariat récemment noué avec VINCI Immobilier, avec qui nous cultivons une relation de confiance, ainsi que le professionnalisme de nos équipes d’investissement nous confortent dans notre capacité à acquérir des actifs de grande qualité au bénéfice de PFA » conclut Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers.

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    news-2524 Tue, 07 Sep 2021 18:10:00 +0200 La Française AM : Lettre de rentrée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/point-marche/ Nos gérants de portefeuille vous livrent leurs convictions par classes d’actifs ainsi que leurs perspectives sur l’environnement de marché actuel La synchronisation des politiques budgétaires et monétaires, la progression de la vaccination et la réouverture progressive des économies ont permis à l’économie mondiale de rebondir fortement : la reprise économique n’est toutefois pas synchrone entre les différentes régions du monde et les secteurs d’activité.

    La croissance de l’économie mondiale devrait s’établir à 6% en 2021 selon les dernières projections du FMI. Les perspectives ont été progressivement réhaussées pour les pays développés, et pour les pays émergents, elles demeurent globalement inchangées à 6,3%. Quant à la Chine, après avoir été le premier moteur de la relance mondiale, le pays fait face à un ralentissement de son activité sur fond de résurgence de l’épidémie et d’épuisement de l’effet de rattrapage.

    Aux États-Unis, l’administration de Joe Biden a injecté près de 1 900 milliards de dollars (9% du PIB) en mars 2021 après 900 milliards de dollars en décembre 2020. Des mesures de relance budgétaire supplémentaires sont attendues au deuxième semestre 2021. Parallèlement, l’Union Européenne a commencé à distribuer les fonds de son plan de relance « Next Generation EU », de 750 milliards d’euros dont la majorité des montants sera engagée sur la période 2021-20231. Les pays bénéficiaires ont un programme de réformes et d’investissements en ligne avec les objectifs de l’Union Européenne en termes de transition climatique et numérique.

    Du côté des banques centrales, la Fed et la BCE sont restées prudentes, considérant les pressions inflationnistes comme transitoires. Toutefois, la Fed opère une communication efficace et prépare les marchés à une diminution de ses achats d’actifs d’ici la fin de l’année comme l’ont déjà fait les banques centrales du Royaume-Uni, du Canada et de l’Australie. Quant aux pays émergents, ils sont parfois dans une situation plus complexe. Ainsi, les banques centrales du Brésil, de la Russie, de la Turquie, de la Hongrie, et du Chili ont augmenté leurs taux directeurs sous l’effet des pressions inflationnistes liées au rebond des matières premières, alors même que faute de vaccination massive, leurs économies continuent de souffrir des contraintes sanitaires.

    La plus grande inquiétude des investisseurs à l’heure actuelle reste le risque sanitaire. La hausse du nombre de cas aux États-Unis, le retard pris dans la vaccination, la perte d’efficacité du vaccin face au variant delta sont des sujets qui alimentent cette inquiétude. La stratégie zéro COVID de certains pays (Asie, Japon, Australie, Nouvelle-Zélande) pourrait également se trouver en difficulté et perturber de nouveau les chaines de productions mondiales. Il faudra alors s’attendre à des révisions de croissance à la baisse, sur la Chine en premier lieu ainsi qu’aux États-Unis.

    Dans ce contexte incertain, nous avons identifié des thématiques résilientes susceptibles de profiter de la reprise du cycle économique mondial :

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    news-2520 Wed, 01 Sep 2021 15:03:26 +0200 Laurent Jacquier Laforge : « Défis climatiques, les travaux nécessaires sur notre parc immobilier couteront 4 à 5 points de base de rentabilité » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/laurent-jacquier-laforge-defis-climatiques-les-travaux-necessaires-sur-notre-parc-immobilier-couteront-4-a-5-points-de-base-de-rentabilite/ Laurent Jacquier Laforge, Global head sustainable investment du Groupe La Française

     

     

    source : L'AGEFI

    ]]> news-2518 Wed, 01 Sep 2021 14:23:47 +0200 Lettre aux porteurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-1/ Objet : La Française Sub-Debt part Y FR0013321916, part IC CHF H FR0013017985, part R FR0011766401, part C FR0010674978, part RC USD H FR0013251196, part R D USD H FR0013397346, part T C EUR FR0013289063, part A FR0013321932, part I GBP H FR0013334018, part L FR0013480266, part IC USD H FR0013324159, part T C USD H FR0013289055, part TS FR0013397759, part S FR0013289071, part D FR0010969311) .

    Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds « La Française Sub-Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Afin d’éviter toute divergence d’intérêts entre le gestionnaire du Fonds et les investisseurs, et dans le cadre de la mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance ; la société de gestion a pris la décision de mettre en place sur les parts éligibles aux commissions de surperformance, un système de frais de gestion variables calculé en référence à la surperformance d’un indice de référence selon la nouvelle méthodologie de l’ESMA.

    L’objectif de gestion et l’indicateur de référence du Fonds sont par conséquent modifiés et seront mis en cohérence avec le seuil de déclenchement des frais de gestion variables quand applicable.

    Le nouvel indicateur de référence composite du Fonds sera le suivant : 50% Markit iBoxx EUR Contingent Convertible (IBXXC2CO Index) + 25% Markit iBoxx EUR Non-Financials Subordinated (I4BN Index) + 25% Markit Iboxx EUR Insurance Subordinated (IYHH Index).

    Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur la stratégie d’investissement du Fonds qui demeure inchangée.

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 23 septembre 2021.

    Si vous en acceptez les termes, ces modifications n’impliquent aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais dès le 23 août 2021, jusqu’au 23 septembre 2021.

    1 Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération

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    news-2515 Wed, 01 Sep 2021 12:12:21 +0200 Lettre aux porteurs FR-LU /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-fr-lu/ Objet : La Française Sub-Debt (part Y FR0013321916*, part IC CHF H FR0013017985*, part R FR0011766401, part C FR0010674978, part RC USD H FR0013251196*, part R D USD H FR0013397346*, part T C EUR FR0013289063*, part A FR0013321932*, part I GBP H FR0013334018*, part L FR0013480266*, part IC USD H FR0013324159*, part T C USD H FR0013289055*, part TS FR0013397759*, part S FR0013289071*, part D FR0010969311) . *Cette part n’est pas enregistrée au Luxembourg

    Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds « La Française Sub-Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Afin d’éviter toute divergence d’intérêts entre le gestionnaire du Fonds et les investisseurs, et dans le cadre de la mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance ; la société de gestion a pris la décision de mettre en place sur les parts éligibles aux commissions de surperformance, un système de frais de gestion variables calculé en référence à la surperformance d’un indice de référence selon la nouvelle méthodologie de l’ESMA.

    L’objectif de gestion et l’indicateur de référence du Fonds sont par conséquent modifiés et seront mis en cohérence avec le seuil de déclenchement des frais de gestion variables quand applicable.

    Le nouvel indicateur de référence composite du Fonds sera le suivant : 50% Markit iBoxx EUR Contingent Convertible (IBXXC2CO Index) + 25% Markit iBoxx EUR Non-Financials Subordinated (I4BN Index) + 25% Markit Iboxx EUR Insurance Subordinated (IYHH Index).

    Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur la stratégie d’investissement du Fonds qui demeure inchangée.
    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 23 septembre 2021.

    Si vous en acceptez les termes, ces modifications n’impliquent aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais dès le 23 août 2021, jusqu’au 23 septembre 2021.

    1 Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération

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    news-2514 Wed, 01 Sep 2021 12:08:40 +0200 Lettre aux porteurs FR-BE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs/ Objet : La Française Sub-Debt de droit français (part Y FR0013321916*, part IC CHF H FR0013017985*, part R FR0011766401, part C FR0010674978, part RC USD H FR0013251196*, part R D USD H FR0013397346*, part T C EUR FR0013289063*, part A FR0013321932*, part I GBP H FR0013334018*, part L FR0013480266*, part IC USD H FR0013324159*, part T C USD H FR0013289055*, part TS FR0013397759*, part S FR0013289071*, part D FR0010969311) . *Cette classe d’action n’est pas enregistrée en Belgique

    Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds « La Française Sub-Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Afin d’éviter toute divergence d’intérêts entre le gestionnaire du Fonds et les investisseurs, et dans le cadre de la mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance ; la société de gestion a pris la décision de mettre en place sur les parts éligibles aux commissions de surperformance, un système de frais de gestion variables calculé en référence à la surperformance d’un indice de référence selon la nouvelle méthodologie de l’ESMA.

    L’objectif de gestion et l’indicateur de référence du Fonds sont par conséquent modifiés et seront mis en cohérence avec le seuil de déclenchement des frais de gestion variables quand applicable.

    Le nouvel indicateur de référence composite du Fonds sera le suivant : 50% Markit iBoxx EUR Contingent Convertible (IBXXC2CO Index) + 25% Markit iBoxx EUR Non-Financials Subordinated (I4BN Index) + 25% Markit Iboxx EUR Insurance Subordinated (IYHH Index).

    Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur la stratégie d’investissement du Fonds qui demeure inchangée.
    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 23 septembre 2021.

    Si vous en acceptez les termes, ces modifications n’impliquent aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais dès le 23 août 2021, jusqu’au 23 septembre 2021.

    1 Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération

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    news-2509 Wed, 01 Sep 2021 10:13:26 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert son premier actif de micro-logement en Allemagne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-son-premier-actif-de-micro-logement-en-allemagne/ La Société Civile de Placement Immobilier LF Europimmo, représentée par La Française Real Estate Managers, a fait l'acquisition de son premier immeuble de micro-logement, opéré par Hood House, auprès du promoteur SICON Hospitality GmbH. La propriété, sise Am Poßmoorweg 6, dans un quartier résidentiel recherché de Hambourg, offre un espace de vie avec des services à la pointe de la technologie. Elle est située dans le secteur établi et renommé de Winterhude.

    investissements Le projet de restructuration lourde de cette ancienne maison d’édition en un espace de vie moderne de six étages a débuté en 2019 et s'est récemment achevé, en juin 2021. L’immeuble offre 5 301 m2 de surface au sol et un total de 148 appartements (allant de 18 à 43 m2) pour des séjours de courte et longue durée pouvant aller jusqu'à 6 mois, ainsi qu'un espace restaurant au rez-de-chaussée. Afin de réduire la consommation d'énergie et les coûts associés, le bâtiment dispose d'un chauffe-eau solaire en toiture.

    Le bâtiment de micro-logement est entièrement loué à l'opérateur, Hood House GmbH, une filiale de Sicon GmbH, qui exploite plusieurs propriétés similaires à Hambourg.

    Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir obtenu notre premier actif de micro-logement en Allemagne. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie de diversification de notre portefeuille
    immobilier allemand avec des actifs performants au regard des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. De plus, l'actif offre une solution aux changements de comportement des consommateurs-utilisateurs, car les espaces de vie « collectifs » sont de plus en plus recherchés. Nous sommes confiants dans l'attractivité à long terme du bien lui-même, ainsi que de la classe d'actifs. »

    La Française Real Estate Managers a été conseillée par Norton Rose Fulbright sur les aspects juridiques et par Witte Projektmanagement GmbH sur la due diligence technique et le suivi de projet. Savills Immobilien Beratungs GmbH et Pankow Consulting GmbH ont conseillé le vendeur.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2507 Wed, 01 Sep 2021 09:16:08 +0200 La Française AM renforce son équipe de gestion avec trois nouveaux talents /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-renforce-son-equipe-de-gestion-avec-trois-nouveaux-talents/ Paris, le 31 août 2021 : La Française, avec 56 milliards d’euros en actifs sous gestion, déploie son modèle multi-expertises, actifs financiers et immobiliers, en France comme à l’international. Pour accompagner son fort développement, notamment en matière de gestion crédit – High Yield* et d’actions Large Caps, sa filiale spécialisée dans les actifs financiers, La Française AM, a le plaisir d’annoncer l’arrivée de trois nouveaux talents.

    Victoire Dubrujeaud et Delphine Cadroy rejoignent l’équipe Crédit High Yield d’Akram Gharbi, Responsable Gestion High Yield, au sein du pôle crédit, dirigé par Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit. Ces deux talents permettront d’accompagner le fort développement de l’expertise fonds à échéance de La Française AM, qui représente plus d’un milliard d’euros en actifs sous gestion (au 31/05/2021).

    Victoire Dubrujeaud, Gérante High Yield, apporte à La Française AM une solide connaissance du marché du High Yield acquise au cours de dix années d’expérience, principalement en qualité d’Analyste Crédit. Elle a débuté sa carrière chez Amundi Asset Management en qualité d’Analyste Crédit Investment Grade, spécialisée dans les secteurs de la consommation, de la distribution et de la santé, avant de se diversifier sur le High Yield en opérant sur les secteurs de la chimie, des métaux, et des jeux. En 2017, elle rejoint SCOR Investment Partners en tant qu’Analyste High Yield et Leveraged Loans puis devient Gérante / Analyste High Yield chez ODDO BHF Asset Management en 2019 où elle gérait près de 2 milliards d’euros sur les fonds à échéance. Victoire est titulaire d’un Master en Ingénierie Financière de l’Université Paris IX - Dauphine et de l’Université Paris II – Panthéon Assas.

    Delphine Cadroy, Gérant High Yield, rejoint La Française AM après une expérience internationale de cinq ans qui a débuté à Londres avec la Société Générale en tant qu’analyste en syndication de crédits (syndicated loans), avant de rejoindre Amazon, puis Moody’s en qualité d’Analyste – Leveraged Finance, responsable d’un portefeuille de vingt sociétés notées High Yield et opérant dans les secteurs de la santé, des services aux entreprises et de la consommation. Delphine est titulaire d’un Master of Science de l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales de Paris (HEC Paris).

    Akram Gharbi, Responsable Gestion High Yield, a commenté « Le développement du marché High Yield et la demande croissante des investisseurs pour cette classe d’actifs, nous poussent à renforcer notre expertise dans ce domaine et à élargir notre couverture internationale. »

    Paul Troussard rejoint l’équipe Actions, Large Caps, sous la direction de Nina Lagron, Responsable de la Gestion Actions, Large Caps, pour renforcer la couverture des valeurs en zone euro.
    Paul Troussard, Gérant Actions, Large Caps a passé plus de quatre ans chez Clartan Associés en tant que gérant actions Europe, tous secteurs. Il y a développé une expertise d’analyse extra-financière en participant à l’implémentation d’une politique ESG (Environnemental, Social et de Gouvernance) au niveau de la gestion et au lancement d’un fonds de petites et moyennes capitalisations européennes centré sur cette thématique. Paul est titulaire d’un Master Gestion des Actifs et des Risques de l’IESEG School of Management et a passé une année à étudier en Chine (Hong Kong Baptist University – Beijing Normal University) dans le cadre de son cursus.

    Nina Lagron, CFA, Responsable de la Gestion Actions, Large Caps, a dit « L’arrivée de Paul permettra de mettre l’accent sur les nouvelles thématiques d’investissement durable de l’équipe. »

    *titres spéculatifs

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    news-2505 Mon, 30 Aug 2021 10:33:00 +0200 Lettre aux porteurs de parts du FCP « La Française Rendement Global 2022 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-la-francaise-rendement-global-2022-1/ Opération de fusion-absorption du FCP « La Française Rendement Global 2022 » par le compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV « La Française » Chère Madame, Cher Monsieur,
    Vous détenez des parts du Fonds Commun de Placement (FCP) La Française Rendement Global 2022 et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
     

    1. L’opération
    Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP La Française Rendement Global 2022, a pris la décision de fusionner le FCP La Française Rendement Global 2022 (ci-après le « Fonds Absorbé ») dans le compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV « La Française » (ci-après l’« OPC Absorbant »).

    La Française Asset Management souhaite vous offrir la possibilité de vous positionner sur l’OPC Absorbant dont la gestion repose sur une stratégie similaire mais sur une échéance plus éloignée avec un univers d’investissement plus large. Les émissions ont une maturité supérieure ou égale à 5 ans et les refinancements à moins de 5 ans sont quasi inexistants. Le Fonds Absorbé a connu un nombre important de remboursements anticipés (« callables »), cependant de nouvelles acquisitions de titres en portefeuille sont rendues difficiles dans le contexte d’un marché primaire réduit et de conditions de réinvestissement qui ne permettent pas d’optimiser le rendement du fonds. 

    Par ailleurs, nous considérons qu’une stratégie classique de portage n’est pas dans l’intérêt des investisseurs dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d'ores et déjà captée, le rendement résiduel estimé est faible. Pour rappel, l’objectif du Fonds Absorbé est d’obtenir sur la période de placement recommandée de 8 ans à compter de sa date de création jusqu’au 31 décembre 2022, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2022 émises par l’Etat français libellées  en EUR.

    A titre d’exemple, le rendement estimé net de la part R au 2 juin 2021 jusqu’à l’échéance du Fonds Absorbé sera de 0% après déduction des frais courants (1,16%) et du coût de couverture estimés (0,43%). L’encours du Fonds Absorbé est au 2 juin 2021 de 126 493 115,12 euros.

    De ce fait, l’opération de fusion-absorption dans l’OPC Absorbant vous permettrait de saisir de nouvelles opportunités de marché, et ce avant l’échéance 2022.

    Toutefois, vous êtes actuellement porteur du Fonds Absorbé qui est actuellement exposé à une sensibilité aux taux dégressive dans le temps et qui est désormais faible, l’OPC Absorbant ayant une échéance plus lointaine a une exposition aux taux plus importante avec une sensibilité de 0 à 9.

    Le Fonds Absorbé fera l’objet d’une fusion-absorption par l’OPC Absorbant dans les conditions suivantes :

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    news-2500 Mon, 30 Aug 2021 14:05:15 +0200 Août 2021 : tentatives de fraude par NEOBUY qui affirme être une filiale du Groupe La Française en toute illégalité. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/aout-2021-tentatives-de-fraude-par-neobuy-qui-affirme-etre-une-filiale-du-groupe-la-francaise-en-toute-illegalite/ Alerte usurpation d’identité : NEOBUY, une entreprise mexicaine de commerce électronique usurpe l’identité du Groupe La Française et stipule, en toute illégalité, être une filiale du Groupe La Française. Le Groupe La Française constate que le site internet NEOBUY usurpe actuellement l’identité du Groupe La Française.  

    NEOBUY  se prévaut, en toute illégalité, de l’appartenance au Groupe La Française et d’avoir levé des fonds pour contribuer au développement d’entreprises mexicaines.   

    Nous souhaitons attirer votre attention sur le danger de recourir à ce site qui ne bénéficie d’aucun accord de La Française pour utiliser son nom. 

    Nous vous invitons ainsi à prendre connaissance des mises en garde formulées par l'Autorité des Marchés Financiers, qui publie régulièrement la liste des acteurs figurant sur les listes noires  ayant fait l’objet d’une mise en garde publiée par l'Autorité des marchés financiers et/ou usurpant un acteur régulé.   

    Si vous souhaitez faire confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers, nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé. 
     

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    news-2495 Fri, 30 Jul 2021 15:41:20 +0200 Objet : Modification du fonds commun de placement « PCA EQUILIBRE » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fonds-commun-de-placement-pca-equilibre/ (FR0013339520) Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds commun de placement PCA EQUILIBRE (ci-après le « Fonds »), et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Dans le cadre de la refonte de son offre de gestion financière, la société de gestion La Française Asset Management, a pris la décision d’apporter les modifications suivantes :

    • Nouvelle dénomination du Fonds, qui sera modifiée comme suit « CONVICTION EQUILIBRE » en lieu et place de « PCA EQUILIBRE »
    • Augmentation des frais de gestion maximum
    • Mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance.

    Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement du Fonds qui demeurent inchangés.

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effective en date du 3 septembre 2021.

    Si vous acceptez les termes de cette opération, cette opération n’implique aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais à tout moment, le Fonds n’appliquant pas de commission de rachat.

    2. Les modifications entraînées par l’opération de mutation

    Les principales évolutions de votre investissement sont décrites ci-dessous
     

    • Le profil de risque

    Modification du profil rendement / risque : NON
    Augmentation du profil rendement / risque : NON

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    news-2494 Fri, 30 Jul 2021 15:37:03 +0200 Objet : Modification du fonds commun de placement « PCA Dynamique » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fonds-commun-de-placement-pca-dynamique/ (FR0013339538) Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds commun de placement PCA Dynamique (ci-après le « Fonds »), et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Dans le cadre de la refonte de son offre de gestion financière, la société de gestion La Française Asset Management, a pris la décision de réorienter la philosophie du Fonds vers un Fonds majoritairement investi en actions, ayant comme indice de référence un indicateur composite : 50% MSCI World et 50% MSCI Europe.

    Avant cette opération, le portefeuille du Fonds avait une allocation d’actifs diversifiés entre des investissements en produits de taux et actions jusqu’à 100 % de l’actif net.

    Après cette opération, le portefeuille du Fonds sera investi en produits actions au minimum à hauteur de 80 % de son actif net. Cette opération agréée par l’AMF en date du 20 juillet 2021 entraine une augmentation du profil rendement /risque du Fonds suite à la modification de ses fourchettes maximales d’exposition. Cette opération sera effective en date du 3 septembre 2021.

    Par ailleurs les modifications suivantes non soumises à agrément de l’Autorité des Marchés Financiers seront effectives le 3 septembre 2021 :

    • Nouvelle dénomination du Fonds, qui sera modifiée comme suit « AMBITION DYNAMIQUE » en lieu et place de « PC DYNAMIQUE »
    • modification de l’indicateur de référence
    • Augmentation des frais de gestion maximum
    • Mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance.
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    news-2493 Fri, 30 Jul 2021 15:32:19 +0200 Objet : Modification du fonds commun de placement « PCA MODERE » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objet-modification-du-fonds-commun-de-placement-pca-modere/ (FR0013339512) Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du fonds commun de placement PCA MODERE (ci-après le « Fonds »), et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Dans le cadre de la refonte de son offre de gestion financière, la société de gestion La Française Asset Management, a
    pris la décision d’apporter les modifications suivantes :

    • Nouvelle dénomination du Fonds, qui sera modifiée comme suit « PROFIL MODERE » en lieu et place de « PCA MODERE »
    • Augmentation des frais de gestion maximum
    • Mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance. Par ailleurs, dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’Ester, et est égal à l’Ester augmenté de 8,5 points de base. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds est par conséquent modifiée comme suit : « 50% FTSE MTS Global coupons réinvestis + 35% €STR capitalisé + 0,085% + 15% MSCI Europe dividendes nets réinvestis » Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’aura pas d’impact sur le calcul des commissions de performance et n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.

    Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement du Fonds qui demeurent inchangés.

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives en date du 3 septembre 2021.

    Si vous acceptez les termes de cette opération, cette opération n’implique aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais à tout moment, le Fonds n’appliquant pas de commission de rachat.

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    news-2491 Tue, 27 Jul 2021 09:03:26 +0200 Ce qu'il faut attendre de la réunion du 28 juillet du Comité fédéral d'open market (FOMC) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/ce-qu-il-faut-attendre-de-la-reunion-du-28-juillet-du-comite-federal-d-open-market-fomc/ PRE FED commentary, by François Rimeu, Senior Strategist, La Française AM.
  • Nous n'attendons pas de changement substantiel de la déclaration de la politique générale du FOMC de juillet.
  • Sur le plan économique, La Fed devrait conserver un ton optimiste mais prudent compte tenu de la propagation du variant Delta.
  • Les indicateurs d’emploi se sont renforcés mais les membres de la FED auront besoin de plus de données avant de pouvoir resserrer les conditions financières.
  • Le président Powell devrait indiquer que les discussions sur le « tapering » se poursuivront pendant l'été.  
  • Sans doute peu de précisions supplémentaires à ce sujet ; Il faudra sans doute attendre la conférence de Jackson Hole (26-28 août) ou la réunion de septembre (21-22) avant, probablement, une annonce officielle en décembre.
  • De la même façon, le président Powell devrait réaffirmer que les hausses de prix sont principalement transitoires, mais il pourrait souligner que le Comité pourrait agir si une inflation plus élevée que prévu devait persister pendant une période prolongée.
  • En résumé, nous pensons que la FED maintiendra une approche prudente, qui n'aura pas d'impact significatif sur les marchés financiers.
     

    Disclaimer

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2487 Tue, 20 Jul 2021 15:40:37 +0200 La BCE tiendra sa réunion trimestrielle de politique monétaire le 22 juillet. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-bce-tiendra-sa-reunion-trimestrielle-de-politique-monetaire-le-22-juillet/ Voici ce que nous en attendons :
  • La BCE devrait redéfinir l'orientation de sa politique monétaire afin de l'aligner sur sa revue stratégique.
  • Cette nouvelle orientation devrait être plus accommodante, principalement en raison du nouvel objectif d'inflation à 2% (vs " proche mais inférieur à 2% ") mais aussi parce que plusieurs membres ont indiqué que la BCE serait plus encline à tolérer une inflation au-dessus de 2% pendant une période transitoire.
  • La BCE devrait aussi insister sur la nécessité d'avoir une réponse " persistante " dans le temps lorsque les taux sont proches de leur niveau minimum. (« lower bound »)
  • Le communiqué d’introduction de Mme Lagarde devrait aussi évoluer vers une déclaration de politique monétaire plus concise et basée sur une « narration ».
  • Nous ne devrions pas avoir de nouveaux éléments concernant la fin du programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP) ou l'augmentation potentielle du programme d'achat d'actifs (APP) après mars 2022. Ces décisions seront repoussées à la réunion de septembre ou le forum de la BCE à Sintra (28-29 septembre).
  • Nous nous attendons à ce que la BCE maintienne probablement un ton prudent sur le front économique, en raison des préoccupations concernant le variant delta.
  • Dans l'ensemble, la BCE devrait adopter un ton résolument accommodant, ce qui devrait, cela étant, peu surprendre les marchés étant donné les mouvements de taux des derniers jours.

    Disclaimer

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2483 Fri, 16 Jul 2021 15:22:13 +0200 Points clés à retenir des institutions financières dans la transition vers l'objectif de « zéro émission nette » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/points-cles-a-retenir-des-institutions-financieres-dans-la-transition-vers-l-objectif-de-zero-emission-nette/ Par Roland Rott, Head of ESG and Sustainable Investment Research du Groupe La Française  POINTS CLÉS À RETENIR
    • Aujourd'hui, pour les institutions financières, la gestion des émissions financées par leurs activités de prêt et d'investissement est un élément clé de la gestion de l'impact climatique.
    • Les banques et les gestionnaires d'actifs doivent veiller à ce que leurs portefeuilles évoluent au fil du temps en fonction des scénarios climatiques établis. 
    • La nouvelle réglementation cherche à définir la durabilité environnementale, en classant les activités en fonction de leur impact. A ce jour, toutes les estimations préalables suggèrent que l'exposition aux actifs les plus verts comme les plus polluants ne représente qu'une faible proportion des financements actuels. 
    • La transition vers la neutralité carbone affecte l'ensemble de l'économie. Les institutions financières doivent prendre en compte les risques et les opportunités climatiques de toutes les entreprises ou secteurs qu'elles financent. 
    • Nous présentons trois exemples de stratégies innovantes, adoptées par des banques européennes, pour illustrer ce à quoi ressemble, en pratique, une approche bottom-up du financement de la transition énergétique. 
    • Pour atténuer le risque systémique et assurer la stabilité financière face au risque climatique, les banques centrales commencent à mettre en œuvre des mesures ayant un impact sur le système financier.

    Avertissement
    CE DOCUMENT EST DESTINÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS TELS QUE DÉFINIS PAR LA DIRECTIVE MIF II.
    Il est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destiné à être utilisé comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.

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    news-2482 Fri, 16 Jul 2021 15:10:21 +0200 Le rôle des institutions financières dans la transition vers l'objectif de « zéro émission nette » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-role-des-institutions-financieres-dans-la-transition-vers-l-objectif-de-zero-emission-nette/ Par Roland Rott, Head of ESG and Sustainable Investment Research du Groupe La Française Si la plupart des institutions financières s'attachent à fournir des financements durables, elles sont moins enclines à s'assurer que l'ensemble de leurs activités s'alignent sur le principe du zéro émission nette.1

    En avril, le CDP (anciennement Carbon Disclosure Project) a publié un rapport résumant les conclusions de la première série de réponses à son questionnaire conçu pour le secteur des services financiers. Il en ressortait un chiffre très significatif : les émissions des portefeuilles des institutions financières mondiales sont en moyenne plus de 700 fois supérieures aux émissions liées à leur fonctionnement, et seulement 25 % des institutions qui ont répondu au questionnaire calculent et déclarent ces émissions financées.2

    Bien que ce soit la première fois que cette différence soit quantifiée de manière aussi nette, ces chiffres n'ont pas été une surprise. C'est par le biais des personnes, des entreprises et des activités qu'elles choisissent de financer que les institutions financières ont le plus grand impact et qu'elles sont les plus exposées aux risques et opportunités liés au changement climatique. 

    La difficulté de mesurer et de gérer ces émissions financées et les risques et opportunités qui en découlent sont au cœur de notre approche de l’analyse de l'impact carbone des institutions financières ; nous avons développé cette approche en tenant compte de nombreux sujets abordés dans ce rapport. 

    Le principal point à retenir, et que nous voudrions souligner, ne concerne pas ces chiffres eux-mêmes - aussi notables soient-ils - mais plutôt le message selon lequel « en plus de faire de la finance verte, le secteur financier doit devenir vert ». Comme les auteurs du rapport du CDP l'ont mis en exergue : « Si la plupart des institutions financières s'attachent à fournir des financements durables, elles sont moins enclines à s'assurer que l'ensemble de leurs activités s'alignent sur le principe du zéro émission nette ».

    Un constat qui sonne juste. Si 2020 était l'année de l'engagement pour le zéro émission nette, 2021 s'avère jusqu'à présent être l'année des engagements de financements verts à coup de milliards de dollars, avec certaines des plus grandes banques du monde bataillant pour obtenir une place sous le feu des projecteurs afin d'afficher leurs ambitions vertes. Les banques américaines Citi, JP Morgan et Bank of America sont toutes entrées dans la danse ces derniers mois, annonçant de nouveaux objectifs de financement durable à 10 ans égalant, voire dépassant, ceux de leurs homologues européennes au cours des dernières années. 

    Pourtant, en parallèle, le classement du financement des combustibles fossiles par les plus grandes banques mondiales, compilé chaque année par le Rainforest Action Network, illustre parfaitement cette déconnexion relevée par le CDP : ce classement a confirmé en mars que les banques mondiales ont fourni 750 milliards de dollars de financement aux industries du charbon, du pétrole et du gaz en 2020. Soit au total  3 800 milliards de dollars au cours des cinq années écoulées depuis l'Accord de Paris.3 Malgré l'impact de la pandémie, qui a réduit la demande mondiale et entraîné une réduction massive de 9 % du financement des combustibles fossiles, les 60 plus grandes banques du monde ont encore augmenté de plus de 10 % leurs financements à destination des 100 entreprises qui contribuent le plus à l'expansion des combustibles fossiles4. Ces chiffres  contrastent de manière flagrante avec le nouveau point de vue présenté par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans sa « Feuille de route pour le secteur de l'énergie » publiée en mai 2021, et qui appelle à l'arrêt de tous les nouveaux projets d'exploration pétrolière et gazière à compter de cette année, si nous voulons atteindre l'objectif de « zéro émission nette » souhaité par l'Accord de Paris.5

    De même, une analyse par Reclaim Finance et Urgewald des flux financiers à destination des 934 entreprises figurant sur la « Global Coal Exit List » a montré que les investisseurs institutionnels détenaient plus de 1 000 milliards de dollars dans les entreprises opérant dans la chaîne de valeur du charbon thermique. Le rapport a montré qu'au début de cette année, les deux plus grands investisseurs institutionnels du monde avaient à eux seuls une exposition combinée de 170 milliards de dollars à l'industrie du charbon, soit 17 % des investissements institutionnels dans le charbon mondial6

    En fin de compte, toutes les évaluations d'impact carbone des banques ou des gestionnaires d'actifs se résument à la simple question de savoir comment ils nettoient ou « verdissent » leurs portefeuilles. Or, comme ces chiffres le montrent clairement, la question devrait porter autant sur la réduction de leur exposition aux activités « brunes » que sur l'augmentation de leur exposition aux activités vertes. À notre avis, il importe avant tout d'agir pour changer les ordres de grandeur entre les deux, en accompagnant les clients dans leurs démarches de transition par tous les leviers qui s'offrent à eux : engagement actif, services de conseil, finance verte, produits liés au développement durable, pour n'en citer que quelques-uns. Dans ce rapport, nous examinons en détail comment cela prend forme dans la pratique. 

    Les chiffres présentant les extrêmes, d'un côté comme de l'autre, seront toujours ceux qui feront la une des journaux. Mais les institutions financières tout comme leurs investisseurs feraient bien de prendre du recul notamment vis-à-vis des définitions et des cadres d’analyse, et de soutenir tous les efforts visant à changer les ordres de grandeur des financements en vue de faciliter une réduction réelle des émissions mondiales. 
    Aussi positive que puisse être une politique charbon plus stricte ou une nouvelle promesse de financement vert, un engagement – aussi important soit-il – qui se limite à un seul côté de la balance, ne garantit pas que l'impact visé sera réellement atteint. Les institutions financières auxquelles nous attribuons les meilleures notes ne sont pas nécessairement celles qui présentent aujourd'hui la plus faible exposition aux combustibles fossiles, ou le plus grand objectif de financement vert. Ce sont plutôt celles qui affichent une stratégie de transition entièrement intégrée à travers toutes leurs opérations et activités, et qui ne se focalisent pas uniquement sur des domaines spécifiques. 

    (1) CDP ; 2021 
    (2) CDP, « The Time to Green Finance » ; avril 2021 
    (3) Rainforest Action Network, « Banking of Climate Chaos 2021 » ; mars 2021 
    (4) Rainforest Action Network ; mars 2021 
    (5) Agence internationale de l'énergie, « Net Zéro d'ici 2050 : Feuille de route pour le secteur mondial de l'énergie » ; mai 2021
    (6) Reclaim Finance, « Groundbreaking Research Reveals the Financiers of the Coal Industry » ; février 2021


    Avertissement

    CE DOCUMENT EST DESTINÉ AUX INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS TELS QUE DÉFINIS PAR LA DIRECTIVE MIF II.
    Il est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destiné à être utilisé comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. 
    Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.

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    news-2478 Fri, 21 May 2021 17:23:00 +0200 Lettre aux porteurs modification du FCP La Française Inflection Point Multi Trends /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-modification-du-fcp-la-francaise-inflection-point-multi-trends/ Objet : modification du FCP La Française Inflection Point Multi Trends Chère Madame, Cher Monsieur,

    Vous êtes porteur de part(s) du FCP La Française Inflection Point Multi Trends et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    1. L’opération

    Dans le cadre de sa démarche responsable, la société de gestion La Française Asset Management, a de longue date développé des stratégies d’investissement dites responsables et durables. L’une de ses stratégies, déployée dans plusieurs compartiments de sa SICAV de droit luxembourgeois La Française LUX, vise à privilégier les entreprises engagées dans la transition énergétique vers une économie moins consommatrice de CO2. Au-delà de ses vertus pour l’environnement, cette approche est fondée sur la conviction que ce sont les entreprises les plus actives sur ce front qui seront à la fois les mieux armées contre les chocs à venir et les plus à même de saisir des opportunités génératrices de croissance à long terme.

    La société de gestion a décidé de faire bénéficier le fonds La Française Inflection Point Multi Trends (ci-après le « Fonds ») de cette approche en le transformant en fonds nourricier du compartiment La Française LUX Inflection Point Carbon Impact Euro (classe F EUR -LU0840091218) (compartiment de la SICAV La Française LUX) (ci-après l’« OPCVM maître »).

    Cette décision modifie de fait l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement ainsi que l’indicateur de référence de La Française Inflection Point Multi Trends. La dénomination du Fonds sera également modifiée en « La Française Actions €CO2 Responsable ».

    Pour votre information, La Française LUX Inflection Point Carbon Impact Euro, anciennement dénommé La Française Lux – Inflection Point European Equity, était le fonds maître du Fonds jusqu’au 1er octobre 2018.
    Cette mutation a reçu l’agrément de l’AMF en date du 8 avril 2021 et sera effective le 23 juin 2021.

    En participant à cette opération, vous acceptez que votre Fonds investisse en totalité dans un compartiment de la SICAV La Française Lux soumise aux règles du droit luxembourgeois. Le compartiment et son dépositaire relèvent de la juridiction des tribunaux du Grand-Duché du Luxembourg, contrairement au Fonds qui est un OPCVM de droit français. Pour autant, il convient de relever que la société de gestion du Fonds et de la SICAV La Française Lux est La Française Asset Management.

    Si vous en acceptez les termes, cette opération n’implique aucune démarche spécifique de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat de vos titres sans frais à tout moment, le Fonds n’appliquant pas de commission de rachat.

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    news-2477 Thu, 08 Jul 2021 17:30:00 +0200 La Française REM et VINCI IMMOBILIER signent un partenariat afin de repondre à la demande croissante de logements locatifs neufs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-et-vinci-immobilier-signent-un-partenariat-afin-de-repondre-a-la-demande-croissante-de-logements-locatifs-neufs/ La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion immobilière avec plus de 27 milliards d’euros sous gestion, dont près de 50 % pour le compte d’investisseurs institutionnels français et internationaux, a conclu un partenariat avec VINCI Immobilier pour le sourcing d’un important volume d’actifs résidentiels locatifs situés en France. L’accord porte sur 500 logements par an sur deux ans, dont des logements libres et des résidences gérées par le pôle d’exploitation VINCI Immobilier Résidences Gérées. Ce partenariat confirme l’ambition de La Française REM d’accélérer son développement en matière de résidentiel locatif.

    Les projets proposés seront des actifs résidentiels au sens large, tels que des logements, des résidences étudiants ou des résidences services seniors et co-living, prioritairement situés en Ile-de-France et dans les grandes métropoles régionales.

    Ils devront en outre répondre à des standards environnementaux ambitieux en respectant la charte Construction neuve de La Française (en matière de performance énergétique et environnementale, de préservation des ressources et d’intégration des projets dans leur territoire), ainsi que la démarche environnementale de VINCI Immobilier (visant à lutter contre le changement climatique, à optimiser les ressources par le développement de l’économie circulaire et à préserver les milieux naturels).

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers a commenté : « Nous assistons à un véritable retour des investisseurs institutionnels sur l’immobilier résidentiel locatif, une classe d’actifs très résiliente en matière de revenu locatif et pouvant générer des rendements de nouveau attractifs dans notre univers de taux bas. Afin de satisfaire cette demande très structurante dans un univers d’investissement très compétitif, nous nous sommes naturellement tournés vers VINCI Immobilier, avec lequel nous avons depuis longtemps un important volume d’affaires portant sur des actifs immobiliers de grande qualité. Ce partenariat est un gage de sécurité, de qualité et de confiance réciproque ».

    Olivier de la Roussière, Président de VINCI Immobilier a ajouté : « Ce partenariat est en effet le fruit d’une relation commerciale très forte avec La Française depuis de nombreuses années. Il renforce la stratégie multicanale de VINCI Immobilier en matière de commercialisation de sa production d’opérations résidentielles, dont une part très importante est cédée à des investisseurs institutionnels. Ce partenariat s’insère dans la stratégie environnementale de VINCI Immobilier dont l’ambition est de proposer aux investisseurs institutionnels des actifs toujours plus responsables et durables ».

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    news-2473 Thu, 01 Jul 2021 14:31:22 +0200 LETTRE AUX PORTEURS DE PARTS DU FCP DE DROIT FRANÇAIS « La Française Rendement Global 2022 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-de-droit-francais-la-francaise-rendement-global-2022/ Objet : Opération de fusion-absorption du FCP de droit français « La Française Rendement Global 2022 » par le compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV de droit français « La Française » Estimada señora, estimado señor:

    Usted posee participaciones del fondo común de inversión (FCP) «La Française Rendement Global 2022» y le agradecemos la confianza que deposita en nosotros.

    1. La operación

    Le informamos de que La Française Asset Management, la sociedad de gestión del FCP «La Française Rendement Global 2022», ha decidido fusionar el FCP «La Française Rendement Global 2022» (en adelante, el «Fondo Absorbido») con el subfondo «La Française Rendement Global 2028» de la SICAV «La Française» (en adelante, el «OIC Absorbente»).

    La Française Asset Management desea ofrecerle la oportunidad de invertir en el OIC Absorbente, cuya gestión se basa en una estrategia similar, pero con un vencimiento posterior y un universo de inversión más amplio. Las emisiones tienen un vencimiento superior o igual a 5 años y la refinanciación a menos de 5 años es casi inexistente. El Fondo Absorbido ha experimentado un gran número de reembolsos anticipados («redimibles»), sin embargo, las nuevas adquisiciones de títulos en la cartera resultan difíciles en el contexto de un mercado primario reducido y unas condiciones de reinversión que no permiten optimizar el rendimiento del fondo.

    Además, consideramos que una estrategia clásica de transporte no beneficiaría a los inversores, ya que gran parte de la rentabilidad prevista para el período de inversión recomendado ya se ha obtenido y se calcula que el rendimiento residual es escaso. Cabe recordar que el objetivo del Fondo Absorbido es obtener una rentabilidad neta de gastos superior a la de las obligaciones con vencimiento en 2022 emitidas por el Estado francés denominadas en EUR en el período de inversión recomendado de 8 años a partir de la fecha de creación del fondo hasta el 31 de diciembre de 2022.

    A modo de ejemplo, se estima que el rendimiento neto de la participación R a día 2 de junio de 2021 hasta el vencimiento del Fondo Absorbido será de un 0 % tras la deducción de los gastos corrientes (1,16 %) y el costo de cobertura estimado (0,43 %).

    A día 2 de junio de 2021, el saldo pendiente del Fondo Absorbido era de 126 493 115,12 euros.

    Como resultado, la operación de fusión-absorción en el OIC Absorbente le permitiría aprovechar nuevas oportunidades del mercado antes de la fecha de vencimiento de 2022.

    Sin embargo, actualmente usted es partícipe del Fondo Absorbido, el cual, en estos momentos, se encuentra expuesto a una sensibilidad con un tipo regresivo a lo largo del tiempo y, hoy por hoy, bajo, mientras que el OIC Absorbente que posee un vencimiento posterior presenta una mayor exposición a los tipos, con una sensibilidad de 0 a 9.

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    news-2472 Thu, 01 Jul 2021 14:24:57 +0200 LETTRE AUX PORTEURS DE PARTS DU FCP « La Française Rendement Global 2022 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-de-parts-du-fcp-la-francaise-rendement-global-2022/ Objet : Opération de fusion-absorption du FCP « La Française Rendement Global 2022 » par le compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV « La Française » 1. L’opération

    Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP La Française Rendement Global 2022, a pris la décision de fusionner le FCP La Française Rendement Global 2022 (ci-après le « Fonds Absorbé ») dans le compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV « La Française » (ci-après l’ « OPC Absorbant »).

    La Française Asset Management souhaite vous offrir la possibilité de vous positionner sur l’OPC Absorbant dont la gestion repose sur une stratégie similaire mais sur une échéance plus éloignée avec un univers d’investissement plus large. Les émissions ont une maturité supérieure ou égale à 5 ans et les refinancements à moins de 5 ans sont quasi inexistants. Le Fonds Absorbé a connu un nombre important de remboursements anticipés (« callables »), cependant de nouvelles acquisitions de titres en portefeuille sont rendues difficiles dans le contexte d’un marché primaire réduit et de conditions de réinvestissement qui ne permettent pas d’optimiser le rendement du fonds.

    Par ailleurs, nous considérons qu’une stratégie classique de portage n’est pas dans l’intérêt des investisseurs dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d'ores et déjà captée, le rendement résiduel estimé est faible. Pour rappel, l’objectif du Fonds Absorbé est d’obtenir sur la période de placement recommandée de 8 ans à compter de sa date de création jusqu’au 31 décembre 2022, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2022 émises par l’Etat français libellées en EUR.

    A titre d’exemple, le rendement estimé net de la part R au 2 juin 2021 jusqu’à l’échéance du Fonds Absorbé sera de 0% après déduction des frais courants (1,16%) et du coût de couverture estimés (0,43%).
    L’encours du Fonds Absorbé est au 2 juin 2021 de 126 493 115,12 euros.

    De ce fait, l’opération de fusion-absorption dans l’OPC Absorbant vous permettrait de saisir de nouvelles opportunités de marché, et ce avant l’échéance 2022.

    Toutefois, vous êtes actuellement porteur du Fonds Absorbé qui est actuellement exposé à une sensibilité aux taux dégressive dans le temps et qui est désormais faible, l’OPC Absorbant ayant une échéance plus lointaine a une exposition aux taux plus importante avec une sensibilité de 0 à 9.

    Le Fonds Absorbé fera l’objet d’une fusion-absorption par l’OPC Absorbant dans les conditions suivantes :

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    news-2467 Tue, 06 Jul 2021 09:00:00 +0200 La Française developpe sa gamme de fonds disponibles sur la plateforme IZNES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-developpe-sa-gamme-de-fonds-disponibles-sur-la-plateforme-iznes/ Paris, le 6 juillet 2021 : La Française, groupe de gestion avec 56 milliards d’euros d’encours, développe son offre de fonds disponibles sur IZNES, la plateforme pan-européenne d’investissement en parts d’Organismes de Placements Collectifs (OPC) et de tenue de registre en Blockchain. Désormais, deux fonds flagship1 labellisés ISR de La Française AM sont disponibles sur la plateforme. La société de gestion offre ainsi à ses clients investisseurs institutionnels la possibilité de réaliser toutes les opérations de souscription ou de rachat des fonds en temps réel :

    • La Française Sub Debt, fonds investi en dette subordonnée, pesant plus de 1 milliard d’euros en capitalisation (31/05/2021).

    La Française Sub Debt est un portefeuille diversifié d'environ 130 titres de dettes subordonnées avec une notation moyenne émetteur Investment Grade de A- (Source : La Française, au 31/05/2021), cogéré par Paul Gurzal, Head of Credit et Jérémie Boudinet, Gérant Crédit.

    • La Française Trésorerie ISR, fonds monétaire pesant plus de 7 milliards d’euros en capitalisation (au 17/06/2021), géré par Philippe Ouvré et Fabien de la Gastine, Gérants Fixed Income.

    Classe d’actifs : Obligations et autres titres de créance libellés en euro
    Fonds et Parts : La Française Sub Debt / Part C
    Code ISIN : FR0010674978
    Horizon : Supérieur à 10 ans

    Profil de Risque et de Rendement sur échelle de 1 à 7 (7 représentant un risque plus élevé ainsi qu’un rendement potentiellement plus élevé) :

    5 (Risques associés : Risque de perte en capital, risque de taux, risque de crédit, risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés, risque de contrepartie, risque lié à la détention d’obligations convertibles, risque lié aux obligations contingentes, risque de marché actions, risque de conflits d’intérêts potentiels, risque juridique)

    L’AMF rappelle aux souscripteurs potentiels que l’objectif de performance annualisée supérieure à 7% indiqué dans la rubrique « Objectif de gestion », est fondé sur la réalisation d’hypothèses de marché arrêtées par la société de gestion et ne constitue en aucun cas une promesse de rendement ou de performance du fonds.

    Classe d’actifs : Monétaire
    Fonds et Parts : La Française Trésorerie ISR / Part I
    Code ISIN : FR0010609115
    Horizon : Plus de 3 mois
    Profil de Risque et de Rendement sur échelle de 1 à 7 (7 représentant un risque plus élevé ainsi qu’un rendement potentiellement plus élevé) :
    1 (risques associés : risque discrétionnaire, risque de taux, risque de crédit, risque de perte en capital, risque de contrepartie)

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    news-2465 Tue, 29 Jun 2021 09:38:02 +0200 La Française lance LF IMMO GENERATIONS /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-lf-immo-generations/ fonds immobilier institutionnel répondant aux nouvelles attentes sociétales multigénérationnelles Depuis plus de dix ans, La Française Real Estate Managers (REM), avec plus de 27 milliards d’euros d’encours en immobilier, développe son offre à destination des investisseurs institutionnels et propose des solutions sur des stratégies Core/Core+ ainsi que des compétences sur les approches Value-Added et Opportunistes. 

    Au fil des années, La Française REM a construit des relations privilégiées avec des promoteurs et exploitants, acteurs incontournables dans leurs domaines respectifs, pour un « sourcing » diversifié et qualitatif et a lancé une quarantaine de véhicules de diversification (OPPCI, SICAV, FPS et mandats) dédiés aux investisseurs institutionnels.

    Elle a créé ainsi le 1er OPCI dédié à l’investissement socialement responsable en 2009 ; fut pionnière en lançant la première offre institutionnelle sur la thématique du viager en 2014 ou encore en créant l’un des premiers fonds dédiés aux résidences seniors en 2016. 

    C’est ainsi que La Française REM est devenue un acteur engagé dans le financement des actifs immobiliers dits « socialement utiles » et le développement des territoires. Aujourd’hui, La Française REM gère plus de 14 milliards d’euros pour le compte d’investisseurs institutionnels. 

    Dans la continuité de cette démarche d’innovation et en réponse à la demande de ses clients investisseurs institutionnels, La Française REM annonce le lancement de l’OPPCI LF Immo Générations. Il constitue une nouvelle solution de diversification pour répondre au besoin de réallocation des investisseurs sur des actifs immobiliers décorrélés du cycle économique et pouvant profiter des grandes tendances sociétales émergentes.

    L’OPPCI LF Immo Générations se positionne comme un fonds durable de diversification et est classé « Article 9 » au sens du règlement Disclosure (Sustainable Finance Disclosure Regulation - SFDR). En parallèle de son objectif de gestion qui est de proposer une performance à long terme et un rendement régulier, l’OPCI se fixe un objectif social de lutte contre le manque quantitatif et qualitatif d’offres immobilières adaptées aux jeunes enfants, étudiants, jeunes actifs, seniors et aux personnes malades en investissant dans une sélection d’actifs tels que des écoles, campus, crèches, co-living, résidences seniors et étudiantes, actifs de santé et centres de bien-être. LF Immo Générations vise la constitution d’un portefeuille de 250 millions d’euros comprenant une dizaine d’actifs, situés principalement en France et accessoirement en Europe. 

    David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, conclut « LF Immo Générations répond aux nouveaux besoins immobiliers d’une société pluri-générationnelle. Notre sélectivité des actifs, basée à la fois sur la qualité des exploitants, l’objectif social du fonds mais aussi sur les localisations et la valorisation immobilière, devrait nous permettre de capter les meilleurs actifs de chaque classe d’actifs et ainsi d’offrir de nouveau un produit qualitatif et diversifiant à nos clients investisseurs institutionnels. »

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    news-2462 Thu, 24 Jun 2021 11:27:25 +0200 La Française Real Estate Managers winner of Real Estate Brand Award - category France / Investors /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-winner-of-real-estate-brand-award-category-france-investors/ Last night it was made official. Philippe Depoux accepted on behalf of La Française Real Estate Managers a Brand Diamond in the France / Investor category. The European Real Estate Brand Institute honors the strongest brands in the European Real Estate industry for their activities in brand management and their overall positioning. 

    Awards are given based on the opinion of more than 109,000 real estate industry experts on over 1,400 brands from 45 European markets.

    Runners-up included AXA Investment Managers and Amundi Asset Management

     

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    news-2458 Tue, 22 Jun 2021 15:09:32 +0200 Avis : Fonds Commun de Placement « La Française Inflection Point Multi Trends » (futur « La Française Actions €CO2 Responsable ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-commun-de-placement-la-francaise-inflection-point-multi-trends-futur-la-francaise-actions-eurco2-responsable/ Cet avis fait suite à la lettre aux porteurs qui a été diffusée le 21 mai 2021 vous informant de la mise en nourricier du FCP « La Française Inflection Point Multi Trends » sur le compartiment « La Française LUX Inflection Point Carbon Impact Euro » (classe F EUR - LU0840091218) (compartiment de la SICAV La Française LUX). Le 23 juin étant un jour férié au Luxembourg, cette opération s’effectuera sur la valeur liquidative du 24 juin 2021.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Actions €CO2 Responsable ».

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2454 Tue, 15 Jun 2021 09:09:17 +0200 Réunion de la réserve fédérale américaine des 15 et 16 juin : discussion sur la réduction progressive des achats d’obligations, nouvelles projections économiques et de taux directeurs (respectivement graphique SEP et DOT). /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunion-de-la-reserve-federale-americaine-des-15-et-16-juin-discussion-sur-la-reduction-progressive-des-achats-d-obligations-nouvelles-projections-economiques-et-de-taux-directeurs-respectivement-graphique-sep-et-dot/ Nous nous attendons à ce que le FOMC maintienne la fourchette cible des fonds fédéraux à 0-0,25 %. Nous nous attendons également à ce que le Comité maintienne un rythme combiné de 120 milliards de dollars par mois pour les achats d'actifs (80 milliards de dollars par mois pour les titres du Trésor et 40 milliards de dollars par mois pour les titres adossés à des créances hypothécaires d'agences).

    Cependant, les derniers commentaires de certains membres du FOMC (Kaplan, Harker) suggèrent que la FED pourrait commencer des discussions sur la réduction des achats lors de la prochaine réunion. Lors de la conférence de presse, Jerome Powell ne devrait pas donner d’indications quant à la teneur exacte de ces discussions.  Il faudra attendre les « minutes » de la réunion pour connaitre les détails. Il est probable que M. Powell insiste sur le fait que la réduction progressive des achats est prématurée puisque la Réserve fédérale est loin d'avoir réalisé de "nouveaux progrès substantiels", en particulier après les chiffres relativement décevants de création d’emploi en avril et en mai. 
     
    Afin d'équilibrer le ton de la Fed, M. Powell réaffirmera l'orientation "dovish" de la politique monétaire. Les « dots » médian ne devraient pas bouger en 2023, malgré les révisions positives sur la croissance et l’inflation. 

    En ce qui concerne ces projections économiques, le FOMC devrait rehausser la croissance et l'inflation en 2021 après la parution d’indicateurs économiques très rassurants depuis la réunion de mars. Pour 2022 et 2023, nous ne voyons pas de changement significatif notamment sur les projections d'inflation. Lors de la conférence de presse, nous pensons que le président de la FED, Jerome Powell, réitérera que l'inflation réalisée élevée reflète largement des facteurs transitoires.

    En résumé, il nous semble que la Fed devrait maintenir une communication équilibrée en conservant une posture accommodante malgré les nouvelles discussions sur la réduction progressive des achats.
    Dans ce scénario, logiquement peu de réactions à attendre de la part des marchés financiers si ce n’est peut-être des courbes de taux légèrement plus pentues. 

    disclaimer

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997
     

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    news-2452 Tue, 15 Jun 2021 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers confirme son expertise immobilière avec l'obtention d'un deuxième label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-confirme-son-expertise-immobiliere-avec-lobtention-dun-deuxieme-label-isr/ Paris, le 15 juin 2021 : La Française accélère le déploiement de sa stratégie durable en immobilier. Six mois seulement après l’obtention de son premier Label ISR (Investissement Socialement Responsable) pour la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Grand Paris Patrimoine, La Française REM, annonce la labellisation ISR d’un deuxième fonds immobilier « LF Multimmo Durable » : un fonds de fonds, géré en architecture ouverte et accessible uniquement aux investisseurs professionnels que sont les compagnies d’assurance.

    LF Multimmo Durable investira dans des actifs immobiliers en direct et au travers de fonds collectifs immobiliers. Il adopte une approche multicritère d’amélioration des caractéristiques E, S, G (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) des actifs et poursuit un objectif spécifique de réduction des émissions de CO2 du fonds.

    Marc-Olivier Penin, Directeur Général, La Française Real Estate Managers – pôle Retail, ajoute « Labéliser ce deuxième fonds traduit notre volonté de constituer et de proposer un portefeuille d’actifs qui répondent tous à des critères élevés en matière d’ESG. Cette démarche vise à assurer leur compatibilité avec les évolutions des demandes des utilisateurs, des investisseurs et de la future réglementation. »

    Virginie Wallut, Directeur Recherche et ISR Immobiliers, La Française Real Estate Managers complète avec « L’obtention de notre premier Label ISR a permis de fédérer l’ensemble des départements autour d’un projet commun avec des résultats tangibles et des jalons annuels. Aujourd’hui, la démarche ESG fait partie du quotidien des équipes et ce deuxième label vient reconnaitre une dynamique transversale. »

    Le Label ISR, créé et soutenu par les pouvoirs publics, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.

    Le Label ISR a été attribué à LF Multimmo Durable par AFNOR Certification, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Il est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de LF Multimmo Durable.

    Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
    Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :

    • les objectifs recherchés par le fonds,
    • la méthodologie d’analyse et de notation des actifs immobiliers mise en oeuvre par la société de gestion de portefeuille,
    • la prise en compte des critères ESG dans la construction et la vie du portefeuille,
    • la politique d’engagement ESG vis-à-vis des parties prenantes clés
    • la transparence renforcé,
    • et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.

    Risques associés aux SCPI d’entreprise et aux SCP : Risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts.

    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Les SCPI peuvent également recourir à l’endettement.

    La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

    Le potentiel de développement du Grand Paris pourrait ne pas bénéficier dans sa globalité aux investisseurs.

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    news-2450 Thu, 10 Jun 2021 11:03:23 +0200 Flash marché : La surprise de l’inflation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marche-la-surprise-de-linflation-1/ Inflation : des signes annonciateurs L’inflation a impacté les marchés ces dernières semaines, avec beaucoup d’incertitudes quant au caractère plus ou moins transitoire de ces pressions inflationnistes.

    En effet, depuis maintenant plusieurs mois les signes d’inflation se multiplient dans nos économies. L’un des signes les plus évidents de ces pressions provient du marché des matières premières avec des hausses très significatives pour la majorité d’entre elles. Depuis la fin de l’année 2019 (soit avant que commence la crise liée à la pandémie), le minerai de fer est ainsi en hausse de 69%, le cuivre de 61% et le nickel de 21%, et ces hausses ne se limitent pas aux métaux industriels, mais touchent aussi les matières premières agricoles avec le blé et le maïs en progression respective de 17% et 60%.

    Le marché de l’immobilier n’est pas en reste lui non plus, poussant les matériaux de construction à la hausse (bois en progression de 229% depuis fin 2019…) et certaines banques centrales comme la Nouvelle-Zélande ou le Canada à envisager des mesures pour limiter l’accès au crédit. La très forte demande de biens (compensant la fermeture d’une grande partie des services) a aussi provoqué une rupture dans les chaines d’approvisionnement des semi-conducteurs, avec des effets là aussi inflationnistes sur plusieurs catégories de biens (électronique, voitures d’occasion, etc..).

    Seule l’énergie, finalement, ne montre pas de hausse spectaculaire sur cette période (+3,73%) en lien avec le très fort ralentissement des vols commerciaux depuis mars 2020. 

    L’effet sur nos économies

    Conséquence directe de ces hausses de prix, les prix à la production s’envolent dans nos économies (PPI américain en hausse de 9,5% sur 12 mois, plus haut depuis juillet 2008) ce qui devrait se répercuter, au moins en partie, sur les prix à la consommation étant donné le très fort taux d’épargne actuel des ménages. 

    Les mesures monétaires et budgétaires entreprises par les banques centrales et les gouvernements depuis avril dernier sont bien évidemment les causes principales de ce mouvement inflationniste soudain : baisse de taux (pour les banques centrales ayant encore cette possibilité), augmentation de la taille des bilans et relances budgétaires d’une ampleur jamais vue depuis l’après deuxième guerre mondiale. Et même s’il est possible que les politiques monétaires deviennent graduellement moins accommodantes, ceci devrait se faire de manière très progressive afin de ne pas « endommager » la reprise, quitte à prendre le risque d’être un peu en retard. 
    Si on rajoute à tout cela des effets de base qui eux aussi ont et vont continuer à avoir en 2021 des effets positifs sur l‘inflation, la conclusion semble inéluctable : s’il n’y a pas d’inflation maintenant, alors il n’y en aura jamais, tout semblant en effet aligné pour que l’inflation rebondisse fortement. Est-ce que l’inflation va être en moyenne à des niveaux inconnus depuis 15 ans dans les principales économies développées ? nous penchons en ce sens. 

    L’inflation, un effet momentané ?

    Pour autant, la question la plus importante à se poser aujourd’hui concerne le caractère transitoire ou non de cette inflation. Si on écoute le discours de la Réserve Fédérale Américaine et que l’on partage sa grille de lecture, alors oui, cette inflation est transitoire, et il est illusoire d’espérer avoir une inflation structurelle plus importante tant que le marché de l’emploi reste aussi loin du plein-emploi. 
    Il est en effet très probable, qu’une grande partie de l’inflation que nous connaissons actuellement soit transitoire. Le prix des voitures d’occasion se normalisera une fois les problématiques d’approvisionnement réglées, les effets de base vont naturellement se tarir et la relance budgétaire américaine pourrait avoir atteint ses limites ce qui limitera la poursuite de la hausse des matières premières. Du côté de l’immobilier, Le caractère passager de l’inflation maintiendrait les taux de rendement de ces actifs sous pression et soutiendrait leur valorisation. 
    Le graphique ci-dessous montre d’ailleurs que l’inflation actuelle provient en très grande majorité de secteurs touchés de plein fouet par la crise du Covid-19.

    Source : CEIC. Biens et services liés au Covid-19 : Immobilier, voitures d’occasion, location véhicules, billets d’avion, télévisions, jouets, ordinateurs. 

    Pour autant, il nous semble que cette thématique de la reflation devrait encore perdurer dans les marchés actuels et guider les choix d’allocation des prochains mois, et ce pour deux raisons. 

    La première est purement psychologique, elle tient au fait que les chiffres d’inflation à venir vont être élevés, qu’ils vont très probablement le rester jusqu’en début d’année prochaine à minima, et que cela a historiquement un impact sur la psyché des investisseurs. 
    La deuxième raison concerne l’incertitude actuelle et le fait que personne ne sait avec précision comment vont évoluer les prix des services qui sont en cours de réouverture ni quelles seront exactement les conséquences de cette crise tant en ce qui concerne les choix de développements futurs des pays (transition écologique, infrastructure, digitalisation…) que leurs choix concernant la façon de les financer (nouvelles dettes, rééquilibrage fiscal, etc..). C’est cette incertitude, couplée aux forts chiffres d’inflation, qui devrait continuer à guider les marchés financiers pendant encore quelques mois à minima.

    Les classes d’actifs à privilégier 

    L’environnement actuel devrait engendrer des changements d’allocations d’actifs au moins pendant un certain temps, et ce mouvement est déjà en cours.

    Dans ce contexte, nous privilégions les entreprises qui bénéficieront d’un environnement inflationniste comme les banques, qui verront leurs marges de transformation progresser ou les entreprises bien positionnées dans leur secteur et plutôt cycliques (matières premières, énergie) qui pourront répercuter la hausse des prix à leurs clients. Concernant les supports, nous favorisons les actions, le High-Yield, les subordonnées financières et les dettes émergentes. Historiquement, le High-Yield et les dettes subordonnées affichent des performances largement positives dans les phases de reflation accompagnées d’une forte croissance. La bonne inflation est bonne pour les entreprises et les actifs à haut rendement.

    Cette phase devrait par ailleurs rester très positive pour les actifs réels comme l’immobilier, la détention d’immobilier locatif permettant de bénéficier d’une revalorisation des loyers en période de hausse de l’inflation puisque ces derniers sont indexés sur des indices dont l’inflation est la composante principale. Cela concerne les actifs immobiliers détenus en direct, mais aussi indirectement pour l’immobilier détenu au travers de fonds, notamment des SCPI.

    Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. Les appréciations formulées n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer d’autres sociétés de gestion. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. Les performances passées ne préjugent pas des performances à venir. 
    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org
    La Française Asset Management - Société par Actions Simplifiée au capital de 17 696 676 € - RCS PARIS B 314 024 019.
    La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432.

     

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    news-2448 Wed, 09 Jun 2021 15:02:34 +0200 La BCE tiendra sa réunion trimestrielle de politique monétaire le 10 juin. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-bce-tiendra-sa-reunion-trimestrielle-de-politique-monetaire-le-10-juin/ Vous trouverez ci-dessous ce que nous en attendons :
  • Nous nous attendons à ce que la BCE maintienne ses taux d'intérêt à un niveau historiquement bas.
  • Nous ne prévoyons aucun changement significatif dans le programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP) et aucune indication que le programme sera liquidé avant mars 2022. En termes de formulation, nous pensons que la BCE pourrait s'engager à des achats PEPP " plus élevés " au troisième trimestre tout en soulignant la flexibilité pendant les mois d'été. La formulation précédente était " significativement plus élevé ", ce qui se traduit par un ralentissement modeste au T3 par rapport au T2.
  • Nous pensons que la communication sur la fin potentielle du PEPP sera reportée à septembre.
  • Nous nous attendons à ce que les perspectives d'inflation et de croissance soient sensiblement modifiées, reflétant la réouverture des économies, le déploiement de la vaccination et la hausse des prix des matières premières :
    • Sur le front de l'inflation, la BCE a précédemment estimé que l'inflation culminerait au dernier trimestre 2021 à 2% ; nous nous attendons à ce que ce chiffre soit révisé à la hausse, à environ 2,8%. Nous nous attendons à ce que Mme Lagarde insiste sur le fait que les pressions inflationnistes s'avéreront temporaires.
    • Les changements pourraient être moins prononcés du côté de la croissance. Nous pensons que la BCE attendra davantage de preuves que la croissance s'accélère réellement avant de réviser à la hausse son objectif de croissance de 4 % pour 2021. Néanmoins, nous pensons que la BCE prévoit une croissance de 4,2% en 2021.
  • Nous nous attendons également à ce que Mme Lagarde communique sur le risque climatique et sur le fait qu'ignorer le risque climatique serait dangereux pour les banques centrales.
  • Enfin, Mme Lagarde pourrait répéter la communication de Mme Schnabel concernant la hausse des taux depuis le dernier comité :  "La hausse des taux est la conséquence d'un regain d'optimisme des investisseurs et c'est précisément ce que nous voulons voir."
  • La BCE devrait reporter les décisions les plus difficiles à prendre (PEPP) à septembre et maintiendra toutes les options ouvertes. La réunion de jeudi ne devrait pas avoir d’impact important sur les marchés.

    disclaimer

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2446 Mon, 07 Jun 2021 11:39:50 +0200 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-3/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une modification à la documentation réglementaire du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV « La Française » concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. Ainsi, les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2445 Mon, 07 Jun 2021 11:36:21 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-3/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une modification à la documentation réglementaire du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV « La Française » concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. Ainsi, les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site 
    www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

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    news-2444 Mon, 07 Jun 2021 11:33:31 +0200 Avis : Compartiment « La Française Global Floating Rates » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-global-floating-rates-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une modification à la documentation réglementaire du compartiment « La Française Global Floating Rates » de la SICAV « La Française » concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations. Ainsi, les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Global Floating Rates » disponible sur le site www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2443 Mon, 07 Jun 2021 11:29:39 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-8/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV « La Française » concernant :
  • Les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres, les garanties s’y rapportant ainsi que la rémunération générée par ces opérations ;
  • La maturité des titres.
  • Modifications concernant les opérations d’acquisitions et cessions temporaires de titres
  • Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.

    Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.

    Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.

    Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.

    • La maturité des titres

    Le compartiment aura désormais la possibilité d’investir dans des titres dont la maturité peut aller au-delà d’un an au plus par rapport à la date d’échéance du compartiment. Cependant la maturité moyenne du portefeuille n’excédera pas la date d’échéance du compartiment. Ainsi, il sera précisé ceci la documentation réglementaire :

    « La stratégie d’investissement consiste à gérer de manière discrétionnaire un portefeuille d’obligations émises par des entités privées ou publiques. Le fonds pourra investir dans des titres dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2026, soit un an au plus par rapport à l’échéance du fonds. Cependant, la maturité moyenne du portefeuille n’excédera pas le 31 décembre 2025. »

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur le site www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2429 Mon, 07 Jun 2021 10:12:32 +0200 Flash marché : La surprise de l’inflation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-marche-la-surprise-de-linflation/ Inflation : des signes annonciateurs L’inflation a impacté les marchés ces dernières semaines, avec beaucoup d’incertitudes quant au caractère plus ou moins transitoire de ces pressions inflationnistes.

    En effet, depuis maintenant plusieurs mois les signes d’inflation se multiplient dans nos économies. L’un des signes les plus évidents de ces pressions provient du marché des matières premières avec des hausses très significatives pour la majorité d’entre elles. Depuis la fin de l’année 2019 (soit avant que commence la crise liée à la pandémie), le minerai de fer est ainsi en hausse de 69%, le cuivre de 61% et le nickel de 21%, et ces hausses ne se limitent pas aux métaux industriels, mais touchent aussi les matières premières agricoles avec le blé et le maïs en progression respective de 17% et 60%.

    Evolution matières premières depuis décembre 2019

    Source : Bloomberg. Evolution du prix des contrats futurs en dollar

    Le marché de l’immobilier n’est pas en reste lui non plus, poussant les matériaux de construction à la hausse (bois en progression de 229% depuis fin 2019…) et certaines banques centrales comme la Nouvelle-Zélande ou le Canada à envisager des mesures pour limiter l’accès au crédit. La très forte demande de biens (compensant la fermeture d’une grande partie des services) a aussi provoqué une rupture dans les chaines d’approvisionnement des semi-conducteurs, avec des effets là aussi inflationnistes sur plusieurs catégories de biens (électronique, voitures d’occasion, etc..).

    Seule l’énergie, finalement, ne montre pas de hausse spectaculaire sur cette période (+3,73%) en lien avec le très fort ralentissement des vols commerciaux depuis mars 2020.

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    news-2413 Tue, 08 Jun 2021 07:59:00 +0200 La Française innove et intègre la plateforme IZNES /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-innove-et-integre-la-plateforme-iznes/ La Française, groupe de gestion avec plus de 55 milliards d’euros d’encours, intègre IZNES, la plateforme pan-européenne d’investissement en parts d’Organismes de Placements Collectifs (OPC) et de tenue de registre en Blockchain. Partie prenante depuis le lancement du projet en 2017, La Française a contribué à donner forme à IZNES et rend désormais accessible sur la plateforme, à la suite d’une phase de test poussée réussie, un premier véhicule, LF Trésorerie ISR, fonds monétaire « flagship » qui pèse près de 8 milliards d’euros en capitalisation (au 24/05/2021).
    La Française offre ainsi à ses clients investisseurs institutionnels la possibilité d’adopter un nouveau parcours client simplifié. Toutes les opérations de souscription ou de rachat du fonds peuvent en effet être réalisées en temps réel. Les avantages de la plateforme IZNES pour les clients investisseurs institutionnels de La Française sont nombreux :

    • Accéder à une base produits complète, bénéficiant de l’ensemble des caractéristiques et documents concernant les fonds ;
    • Visualiser en temps réel les souscriptions et rachats, avec des heures de cut-off très proches de celles du prospectus ;
    • Accéder au registre inscrit en blockchain mis à jour en temps réel, garantissant immuabilité et traçabilité.

    Thierry Gortzounian, Chief Operating Officier de La Française AM Finance Services conclut « La Française place le client au centre de son dispositif. Après notamment le lancement de notre propre plateforme digitale de distribution de solutions d’investissement dédiée aux investisseurs particuliers, La Française poursuit sa démarche d’innovation au service de ses clients et intègre la plateforme IZNES. Nous offrons ainsi à nos clients institutionnels, français et internationaux, un canal de souscription additionnel par rapport aux circuits habituels. Nous accompagnons les mutations qui s’opèrent dans le secteur de la gestion d’actifs, et sommes fiers d’avoir participé au projet d’innovation IZNES. »

    Classe d’actifs : Monétaire
    Fonds et Parts : La Française Trésorerie ISR / Part I
    Code ISIN : FR0010609115
    Horizon : Plus de 3 mois
    Profil de Risque et de Rendement sur échelle de 1 à 7 (7 représentant un risque plus élevé ainsi qu’un
    rendement potentiellement plus élevé) :
    1 (risques associés : risque discrétionnaire, risque de taux, risque de crédit, risque de perte en capital, risque de contrepartie)

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    news-2409 Fri, 21 May 2021 09:47:05 +0200 «Tout ce qui brille n'est pas de l'or» - William Shakespeare /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tout-ce-qui-brille-nest-pas-de-lor-william-shakespeare/ Par Nina Lagron, CFA, Head of Large Caps, La Française AM. En bonne voie pour limiter le réchauffement climatique mondial sous le seuil de 2° C, l'Union européenne a mis en place une politique législative ambitieuse pour réduire les émissions d'au moins 60 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 1990. La loi européenne sur le climat va plus loin en proposant un objectif juridiquement contraignant de zéro émission nette de gaz à effet de serre d'ici 2050. D'autres normes d'émission de CO2 pour les voitures et les véhicules utilitaires (règlement UE 2019/631) ont été fixées par le Parlement européen et mises en application à compter du 1er janvier 2020. Parallèlement à cette législation, le marché européen enregistre une envolée des ventes de véhicules électriques neufs. Selon l'Association des constructeurs européens d'automobiles, les ventes de véhicules électriques neufs, qui comprennent les véhicules tout électriques et les véhicules hybrides rechargeables, ont bondi de 51,8 %, s'établissant à 110 630 rien que pour le troisième trimestre de 2019. Mais s'agit-il d'une question de « green-washing » et quels sont les impacts environnementaux cachés des véhicules électriques ? Existe-t-il réellement des voitures à faibles émissions de CO2 ? 

    Impacts environnementaux
    Les transports représentaient 24 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone provenant de l'énergie en 2018 (Source : AIE) et les véhicules de tourisme (voitures et bus) représentaient 45 % de cette quote-part. Compte tenu du potentiel de réduction et de l'impact correspondant sur les émissions mondiales, le développement de la technologie des véhicules électriques est essentiel pour atteindre les objectifs climatiques. 

    Cependant, il est important, dans le cadre d'une décision éclairée, de ne pas être aveuglé par la promesse de zéro émission de gaz d'échappement pour les véhicules électriques en mode 100 % électrique, mais plutôt de prendre en considération toutes les sources associées d'émissions de gaz à effet de serre résultant de toutes les sources directes et indirectes de production de pollution au CO2, visées comme des émissions de Scope 1, 2 et 3. Celles-ci incluent les émissions associées à la fabrication et à l'extraction, au traitement et à la distribution des sources d'énergie (énergie électrique et carburants). Une étude publiée dans la revue Nature Sustainability (Vol 3 juin 2020, Réductions des émissions nettes issues des voitures électriques et des pompes à chaleur dans 59 régions du monde au fil du temps) a confirmé que les technologies des véhicules électriques valaient la peine d'être développées, compte tenu des économies de CO2 par rapport aux voitures conventionnelles. Cependant, la source d'électricité a un effet sur les émissions du véhicule électrique, qui varieront selon la zone géographique et son utilisation de sources énergétiques spécifiques (p. ex. gaz naturel, nucléaire, charbon, éolien…) pour la production d'électricité. À titre d'exemple, dans une étude menée par des scientifiques allemands et présentée à l'institut Ifo le 17 avril 2019, les véhicules électriques, compte tenu de la production de batteries et du bouquet énergétique allemand, généreraient même encore plus de CO2 que les modèles diesel. Par conséquent, des disparités existent selon les pays et la source d'énergie.

    Par ailleurs, le débat s'intensifie selon la technologie, de plus les consommateurs soucieux de l’environnement devront se méfier des promesses de vente parfois trop belles pour être vraies. Comme l'indique une étude récente publiée par Transport & Environnement (11/2020) intitulé « Véhicules Hybrides rechargeables : l'Europe se dirige-t-elle vers un nouveau dieselgate ? », trois des véhicules hybrides rechargeables (PHEV) les plus populaires vendus en 2019 ont généré des émissions de 28 à 89 % supérieures à celles annoncées, dans des conditions de test optimales. Alors que les PHEV affichent de faibles émissions de CO2 qui ne dépassent généralement pas le tiers d'une voiture à moteur thermique classique, ces trois véhicules testés par Emissions Analytics, mandaté par Transport & Environnement aux fins de l'étude, n’ont pas été en mesure d'atteindre les objectifs promis de réduction des émissions de carbone, même en démarrant avec une batterie complètement chargée. Et les résultats sont encore plus éloignés des objectifs lorsque l'on démarre avec une batterie vide, produisant alors jusqu'à huit fois plus d'émissions de CO2 qu'annoncé.

    Les nouvelles réglementations en matière de financement vert pourraient freiner les fabricants déclarant les PHEV comme des « investissements durables » dès 2026 et ainsi accélérer la transition vers les véhicules entièrement électriques, rapprochant l'Europe de son objectif climatique. Certains États membres proactifs de l'UE ont déjà exclu les PHEV des exonérations fiscales, ce qui a entraîné une augmentation des ventes de véhicules électriques à batterie (Source : electrive.com, Is this the end of plug-in hybrid sales in the EU). Cependant, il est important de ne pas perdre de vue le fait que la transition vers les véhicules électriques n'entraîne pas toujours de fortes réductions des émissions de gaz à effet de serre, la production d'électricité n'étant pas encore décarbonée. Une évaluation précise des émissions de Scope 1, 2 et 3 sur l'ensemble du cycle de vie du véhicule est nécessaire pour évaluer au cas par cas les constructeurs de voitures électriques et leur capacité à contribuer, favorablement et au rythme souhaité, à limiter le réchauffement climatique mondial à bien en dessous de 2° C. La disponibilité de données précises pour quantifier les émissions de Scope 1, 2 et 3 est essentielle. 

    En conclusion, gardez à l'esprit que tout ce qui brille n'est pas totalement vert !

    Avertissement
    Ce document est destinée aux investisseurs non professionnels au sens de la directive MiFID II. Elle est fournie à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destinée à être utilisée comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprétée comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

     

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    news-2408 Thu, 20 May 2021 16:30:55 +0200 Le travail à distance favorise-t-il les marchés de bureau dans les villes B ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-travail-a-distance-favorise-t-il-les-marches-de-bureau-dans-les-villes-b/ Par Virginie Wallut, Directrice Recherche et de l’ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. La possibilité de travailler à distance a minima deux jours par semaine devrait induire un éclatement du choix géographique des résidences des salariés, qui favoriseraient les villes-B réputées pour offrir un meilleur cadre de vie. 

    Ces marchés présentent traditionnellement un caractère défensif et des performances plus stables dans le temps. Le graphique ci-dessous représente un ratio de l’offre immédiate par rapport à la demande placée. Ce ratio est un indicateur de la tension des marchés. Un ratio faible indique un marché sous-offreur. Un ratio élevé est le signe d’un marché où la demande peut peiner à absorber l’offre. 

    Equilibre offre/demande dans une sélection de villes allemandes

     

     

     

     

     

    Source : CBRE, PMA, La Française REM Research

    Historiquement, les marchés des villes B sont plus équilibrés avec une production d’offre neuve mieux proportionnée à la demande, spécialement en période de crise. Cette situation est sans doute due à des conditions de financement plus restrictives sur les marchés régionaux et donc à une meilleure maitrise des lancements de projets spéculatifs. Les marchés immobiliers des villes B sont mieux positionnés pour faire face à un ralentissement de la demande et absorbent plus rapidement un éventuel excès d’offre dû au décalage qui existe entre le lancement d’un projet et sa livraison. En 2020, la demande placée a diminué de manière moins importante dans les villes B que dans les villes A, en raison du tissu économique des villes B. Il est composé de grosses PME et des PMI plus agiles et plus rapides dans leurs décisions immobilières que les grands groupes qui portent la demande placée des villes A. Par ailleurs, si l’offre a augmenté de manière relativement limitée, dans les villes B (+5% en un an), elle a augmenté de manière plus marquée dans les villes A, (+ 20% en un an). Ce graphique montre toutefois que les villes A cachent des situations géographiques hétérogènes avec des localisations en centre-ville qui présentent les mêmes caractéristiques défensives que les villes B et des périphéries qui présentent des situations beaucoup plus exposées aux crises. La maîtrise de l’offre tient sans doute dans les centres-villes des villes A à la rareté du foncier plutôt qu’à une éventuelle frilosité des banques. 

    Cependant, les indicateurs quantitatifs ne racontent pas toute l’histoire. La crise sanitaire a accéléré la polarisation des marchés bureaux. Le télétravail ne va pas provoquer un arrêt de la demande de bureaux mais va induire de nouveaux besoins qui ne pourront pas être accueillis sur l’ensemble du parc de bureaux actuels pour des raisons techniques. Nous anticipons d’un côté une accélération de l’obsolescence de certains actifs bureaux qui ne répondront rapidement plus aux demandes des utilisateurs. De l’autre côté, nous anticipons une concentration de la demande pour les bureaux répondant aux nouvelles attentes des utilisateurs (actifs flexibles, durables, connectés, avec une gamme de services élargie, une accessibilité renforcée, garantissant des conditions sanitaires satisfaisantes). Seuls les bureaux les plus modernes pourront répondre aux nouveaux modes de travail. Plus que jamais, la qualité des actifs est essentielle. Or les villes B sont confrontées à un manque d’offres de dernière génération. Fin 2020, seuls 16% des parcs de bureaux des villes B avaient été construits dans les 20 dernières années. Cela signifie que 84% des entreprises sont implantées sur des immeubles ayant été livrés il y a plus de 20 ans, immeubles sur lesquels des travaux importants sont nécessaires pour pouvoir déployer des organisations hybrides.

    En conclusion… avec nos experts de terrain

    Nous pensons que les marchés des villes B présentent des caractéristiques défensives particulièrement intéressantes dans la phase du cycle immobilier dans laquelle nous sommes. Pour autant, il est essentiel de bien évaluer les caractéristiques des actifs à l’aune des nouveaux usages afin de ne pas courir le risque de voir se matérialiser des pressions baissières sur les loyers et les valeurs vénales au fur et à mesure de la libération des surfaces par les locataires en place. Mark Wolter, Country Head - Allemagne et Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, ajoute « La grande diversité du marché allemand est un atout dans ce contexte. Elle permet de mettre en lumière les atouts de nombreuses villes B prospères. »  Sandra Metzger, Directrice générale adjointe de La Française Real Estate Managers - Allemagne, conclut « La qualité des bâtiments est essentielle dans un environnement en pleine évolution. Nous sommes tous les jours face à des utilisateurs qui recherchent activement des espaces de bureaux flexibles, modernes et durables. Or ce type de surfaces est encore trop rare dans la plupart des villes B allemandes, ce qui représente une opportunité intéressante de création de valeur. »

    CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
     

     

     

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    news-2400 Thu, 06 May 2021 16:18:22 +0200 Débats et Opinions de l’Agefi : Transition énergétique & climat /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/debats-et-opinions-de-lagefi-transition-energetique-climat/ Retrouvez l’intervention de Laurent Jacquier-Laforge durant la table ronde Débats et Opinions organisée par l’Agefi sur la « Transition énergétique et climat ». LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE, DÉSORMAIS AU COEUR DES RÉFLEXIONS DES INVESTISSEURS
    Outre la recherche d’opportunités sur de nouveaux univers d’investissement spécifiques, la démarche de nombreux gérants et institutionnels consiste à intégrer le facteur climat dans les processus de gestion, pour accompagner la transition énergétique des entreprises dans l’ensemble des secteurs. Entre cadres volontaires et normes réglementaires, les incitations sont de plus en plus fortes.

    « Nous cherchons à anticiper les variables macroéconomiques, sous contrainte de changement climatique » Laurent Jacquier-Laforge, global head of sustainable investing du groupe La Française
     

     

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    news-2398 Wed, 05 May 2021 14:44:14 +0200 Avis : AMPRIAM (FR0013258340) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-ampriam-fr0013258340/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du FCP AMPRIAM, ci-après le « Fonds » a décidé d’élargir l’univers d’investissement du Fonds en y intégrant la possibilité d’investir dans des « Callables » et « Puttables ». Les « Callables » sont des obligations offrant un rendement attractif mais dont le contrat permet à l'émetteur de les rembourser avant l'échéance. Les « Puttables » sont quant à elles, des obligations offrant un rendement progressif en fonction de la durée de portage.

    Cette modification n’est pas soumise à agrément de l’AMF étant donné que les fourchettes maximales d’exposition en vigueur restent identiques.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 12 mai 2021.
    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com

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    news-2396 Mon, 03 May 2021 14:58:15 +0200 Tous les regards rivés sur l’inflation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tous-les-regards-rives-sur-l-inflation/ Par François Rimeu, Stratégiste Senior, La Française AM L’évolution de l’inflation dans les mois et trimestres qui viennent est l’un des sujets les plus importants pour les marchés financiers, avec beaucoup d’incertitudes quant à la persistance dans le temps des pressions inflationnistes que nous connaissons actuellement.

    En effet, depuis maintenant plusieurs mois les signes d’inflation se multiplient dans nos économies. L’évolution du prix des matières premières en est l’un des signes les plus évidents : depuis fin 2019 (soit avant que la pandémie ne commence), le minerai de fer est en progression de +133 %, le cuivre de +58 % et l’aluminium de +33 % ; et ces hausses se retrouvent aussi du côté agricole avec le blé qui monte de 27 % et le maïs de 54 % (Source : Bloomberg). Pour le moment, ces hausses ont surtout eu des impacts sur les prix à la production, mais il est très probable que les entreprises essayent de les répercuter sur les prix à la consommation surtout étant donné le niveau actuellement élevé des taux d’épargne. Les marchés immobiliers sont eux aussi en forte hausse dans la plupart des économies développées, comme par exemple aux Etats-Unis ou en Allemagne où les prix progressent de +12 % sur les 12 derniers mois (Source : Bloomberg).

    Ces effets sont principalement liés aux actions monétaires et budgétaires entreprises par les banques centrales et les gouvernements depuis maintenant un an, avec des baisses de taux généralisées (ou augmentation de taille du bilan) et des plans de relance d’une ampleur quasiment jamais vu depuis l’après-guerre. Ces effets proviennent aussi de la crise de la Covid-19, avec une demande de biens en forte hausse pour compenser la non-accessibilité d’une grande partie des services.

    Couplé à tout ceci, il faut aussi considérer les effets de base très importants que nous allons connaitre sur les chiffres d’inflation à la fois en Europe et aux Etats-Unis. L’inflation américaine devrait en effet accélérer fortement dans les deux mois qui viennent, avec une inflation sous-jacente qui devrait frôler les 4 % et une inflation « core » autour de 3 % ; si les effets de base vont ensuite s’atténuer, l’inflation « core » (hausse généralisée des prix, hors éléments extrêmement volatiles tels que les matières premières agricoles ou énergétiques) devrait tout de même rester autour de 2.5 % à horizon fin 2022, soit un niveau bien suffisant pour la Réserve Fédérale américaine. La situation européenne est différente puisque même si là aussi nous assisterons à des effets de base poussant l’inflation à 2 % en fin d’année, celle-ci devrait redescendre ensuite rapidement autour de 1 %.

    Dernier élément, certaines sous composantes de l’inflation semblent montrer des signes de rebond à horizon quelques mois ; c’est la composante immobilière (avec l’équivalent des loyers pour les investissements locatifs) et c’est aussi par exemple le cas des voitures usagées. Au-delà des attentes déjà élevées, il faut donc prendre en compte une probabilité non nulle que les chiffres soient plus forts que nos estimations actuelles.

    Cette hausse de l’inflation, couplée à des taux réels aujourd’hui extrêmement bas, devrait entraîner une hausse des taux nominaux américains dans les mois qui viennent. Il n’est pas du tout inenvisageable de voir le 10 ans américain à 2 % à horizon quelques mois. 

    disclaimer

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    news-2394 Wed, 28 Apr 2021 09:38:12 +0200 High Yield Point Marché /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/high-yield-point-marche/ La semaine passée a été marquée par un retour de l’aversion au risque du fait de la hausse des contaminations au COVID-19 en Asie, et plus spécifiquement en Inde. Cependant, les publications macroéconomiques sont restées positives, notamment les inscriptions au chômage aux Etats-Unis et les PMI en Europe. Du côté des Banques Centrales, la BCE a laissé, sans surprise, ses taux directeurs inchangés et a souligné qu’elle restait prête à ajuster ses programmes d’achat pour empêcher un durcissement injustifié des conditions financières. Dans ce contexte, les principaux indices actions ont reculé avec l’Euro Stoxx 50 et le S&P 500 affichant des baisses de -0.5% et -0.1% respectivement. Malgré un léger écartement de spreads (+2bps), l’indice Global High Yield affiche une performance stable sur la période.
     

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    news-2391 Tue, 27 Apr 2021 17:36:23 +0200 Optimisme prudent de la FED : pas d'empressement à agir, pas d'orientation spécifique sur le "tapering" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/optimisme-prudent-de-la-fed-pas-dempressement-a-agir-pas-dorientation-specifique-sur-le-tapering/ La Réserve fédérale (FED) devrait maintenir son discours accommodant lors de la prochaine réunion du Comité (FOMC) les 27 et 28 avril. La Fed devrait revoir à la hausse son appréciation concernant l'état général de l'économie américaine après la publication de données macro-économiques de très bonne facture ces dernières semaines (sur l'emploi et sur les secteurs les plus touchés par la pandémie) et en raison d’une campagne de vaccination en avance sur les prévisions.

    Cela dit, la Réserve fédérale devrait conserver une posture très prudente, notamment en raison du niveau d'incertitude concernant la crise du Covid-19. Le président Powell devrait réaffirmer que les membres doivent noter des "progrès supplémentaires substantiels" en matière d'emploi et d'inflation avant de normaliser leur politique.

    La FED ne devrait pas non plus modifier sa communication ou donner des indications quant au moment où elle réduira ses achats de titres du Trésor et de titres adossés à des créances hypothécaires (MBS). Cette annonce devrait se faire au second semestre de l'année (réunion de juin au plus tôt, très probablement lors du symposium de Jackson Hole en août). M. Powell soulignera également que l'achèvement du « Quantitative Easing » est une condition nécessaire avant que la Fed n'envisage une hausse des taux.

    Dans l'ensemble, nous nous attendons à un ton plus optimiste, mais nous ne pensons pas que cela aura un impact significatif sur les marchés, sauf si M. Powell signale que le moment de réduire le montant des achats est arrivé. Mais là encore, nous ne pensons pas que cela se produira lors de cette réunion.

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    news-2387 Tue, 20 Apr 2021 09:27:07 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès d’AG2R LA MONDIALE un immeuble de bureaux rue de Valmy à Montreuil (93) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-d-ag2r-la-mondiale-un-immeuble-de-bureaux-rue-de-valmy-a-montreuil-93/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’AG2R LA MONDIALE, un immeuble de bureaux au 26 rue de Valmy à Montreuil (93), au cœur du quartier tertiaire du bas Montreuil, limitrophe de Paris. L’ensemble immobilier de 17 008 m² sur 6 niveaux (R+6), bénéficie de 204 emplacements de stationnement intérieurs. Il est entièrement loué à deux locataires dont une administration pour 98% des surfaces.
     
    Cet actif, qui a fait l’objet d’une évaluation ESG (Environnemental, Social et Gouvernance), présente de remarquables qualités en termes de biodiversité avec la présence d’une cour intérieure aménagée en verger et la végétalisation de la toiture et des terrasses qui seront gérées de manière durable selon la Charte d’Entretien Durable des espaces verts de La Française REM. Par ailleurs, un contrat d’approvisionnement en énergie renouvelable limite l’impact carbone de son exploitation. La performance énergétique du bâtiment sera améliorée notamment par la sensibilisation des locataires. Il est par ailleurs bien desservi par les transports en commun (métro lignes 1 & 9), équipé d’un local vélo sécurisé et fera l’objet d’un plan de développement des mobilités douces. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière.

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, souligne : « Cette acquisition illustre parfaitement notre stratégie d’investissement durable et notamment celle adoptée pour notre SCPI labellisée ISR LF Grand Paris Patrimoine et intégrée progressivement sur toute la gamme de SCPI immobilier d’entreprise gérées par La Française REM, dont Epargne Foncière. Nous souhaitons remercier AG2R LA MONDIALE ainsi que l’ensemble des intervenants à la transaction pour leur professionnalisme et disponibilité qui ont permis d’intégrer cet actif dans notre patrimoine dans les meilleures conditions. » 

    Isabelle Clerc, Directeur de l’immobilier de placement chez AG2R LA MONDIALE, indique que « la cession de ce bel immeuble dans un secteur tertiaire majeur où nous conservons une exposition immobilière correspond à notre stratégie de rotation dynamique des actifs. Nous sommes ravis de la concrétisation de cette transaction avec La Française Real Estate Managers. »

    Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associés ainsi que les Cabinets Jeantet et Fairway Avocats. AG2R LA MONDIALE était conseillé par l’office notarial Thibierge Notaires. 

    L’opération a été réalisée par le département Capital Markets de Knight Frank dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Savills.

    Cette acquisition a été financée par la Banque Européenne du Crédit Mutuel conseillée par l’étude Victoires Notaires associés et le cabinet Archers.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2386 Mon, 19 Apr 2021 14:22:18 +0200 Crise sanitaire, crise économique : quels avenirs pour l’immobilier? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/crise-sanitaire-crise-economique-quels-avenirs-pour-l-immobilier/ La crise sanitaire et économique que nous traversons a accéléré certaines tendances avec un impact significatif et durable sur l’immobilier. Comment cela se répercute-t-il en termes de stratégie d’investissement ? Découvrez les « 3 questions à… Philippe Depoux », Président de La Française REM, dans la revue de l’IEIF Réflexions immobilières. La crise sanitaire et économique que nous traversons a accéléré certaines tendances avec un impact significatif et durable sur l’immobilier. Comment cela se répercute-t-il en termes de stratégie d’investissement ? En termes de création de nouveaux véhicules ? En termes de performance future ? Comme vous le soulignez, ces crises n’ont pas provoqué de rupture majeure mais ont accéléré des tendances déjà à l’oeuvre, que nous avions bien identifiées. Ce qui nous permet de ne pas avoir à opérer de rupture majeure dans notre stratégie d’investissement et d’aborder les conséquences de la crise sanitaire avec un patrimoine bien positionné. Si l’on regarde les impacts macro-économiques de ces crises, et leurs impacts sur l’immobilier, voici les grandes tendances.

    • Un statut de valeur refuge préservé pour l’immobilier.

    Comme l’immobilier continue d’offrir une prime de risque élevée, il devrait en toute logique continuer d’attirer les investisseurs dans un contexte de taux d’intérêt historiquement bas et de liquidités abondantes cherchant à être placées.

    • Une polarisation des valeurs et une renaissance de la prime de risque.

    La recherche de sécurité devrait entraîner un repricing différencié selon la qualité intrinsèque des actifs. Ainsi les actifs core devraient voir des valeurs bien défendues quand les actifs secondaires connaîtront des ajustements à la baisse. Pour autant, les actifs à vraie création de valeur devraient continuer à attirer les acteurs en fonds propres, avec un repricing à la clé.

    • La rareté, soutenant les valeurs et la résilience des loyers.

    Le fly to quality se matérialise ici. À La Française, nous privilégions depuis longtemps une approche core,  tant pour nos produits retail qu’institutionnels. Nous croyons et constatons que, quel que soit le cycle immobilier, les éléments de rareté sont des soutiens puissants à la valorisation des actifs. Nous continuerons donc à privilégier les localisations centrales, les coeurs de métropoles, tant en France qu’en Europe. L’équilibre offre/demande commande les évolutions de loyer, là aussi nous sommes convaincus de la résilience des loyers tertiaires dans les secteurs de rareté.

    • La flexibilité des baux et la rétention des locataires.

    Le manque de flexibilité des baux traditionnels pèse sur les utilisateurs en quête d’optimisation des coûts et faisant face à des besoins de trésorerie. Les propriétaires qui sauront proposer des solutions immobilières flexibles devraient tirer leur épingle du jeu. Il faut savoir comprendre les problèmes court terme de nos locataires et les gérer en privilégiant la valorisation long terme des actifs. La crise sanitaire devrait être suivie d’une crise économique qui pourrait induire une fragilité financière chez les utilisateurs des secteurs les plus touchés par la crise sanitaire. La Française porte une attention renforcée au risque crédit locataire sur son patrimoine et sur ses acquisitions ; la durée contractuelle du bail ne doit en effet pas nous aveugler sur les potentiels risques de défaillance financière des locataires les plus fragiles.

    • Modularité et repositionnement des actifs.

    Les évolutions des usages imposent de réfléchir en amont à la convertibilité future des actifs. Lors des travaux de restructuration, La Française étudie des scénarios alternatifs de changements d’usage pour les actifs dont l’usage actuel est menacé. Le surcoût lié à ces conversions est largement compensé par la préservation de la valeur de l’actif à long terme Digitalisation et collaboration. Le développement et la pérennisation du télétravail au-delà de la crise sanitairebamènent tous les utilisateurs d’espaces tertiaires à repenser les modes de travail et d’organisation. La question de l’utilisation des locaux est au centre de ces réflexions. Recherche d’économie, d’efficacité, de sens. Le lieu physique est largement concurrencé par la technologie dans sa capacité à nous mettre en relation. La Française a la conviction qu’il continuera à y avoir une demande active pour l’immobilier conçu comme facilitateur de liens, de rencontres, de transmission ou encore de créativité par le collectif.

    • Services, flexibilité et durabilité.

    L’avenir de l’immobilier tertiaire dépendra de la faculté des bailleurs ET des occupants à intégrer dans l’actif une véritable approche de durabilité, de flexibilité d’usage et apport de services.

    • Proximité et relocalisation.

    Les différentes périodes de confinement ont mis en lumière la complexité de chaînes d’approvisionnement à l’échelle mondiale et la forte dépendance à l’Asie pour un certain nombre de produits stratégiques. L’année 2021 devrait être marquée par un recul du phénomène de globalisation avec un probable phénomène de relocalisation des chaînes d’approvisionnement et de certaines industries, avec en conséquence immobilière une probable nouvelle vie d’actifs (stockage, transformation).

     

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    news-2383 Fri, 16 Apr 2021 15:34:27 +0200 Une BCE attentiste en avril avant une réunion difficile de juin /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-bce-attentiste-en-avril-avant-une-reunion-difficile-de-juin/ Nous nous attendons à ce que la Banque centrale européenne (BCE) confirme sa politique monétaire en vigueur. La BCE confirmera probablement les mesures prises en mars pour accélérer le rythme des achats dans le cadre du programme d'achat d'urgence en cas de pandémie (PEPP), sachant que ce rythme sera revu en juin avec les nouvelles prévisions économiques. Les conditions financières ne se sont pas resserrées depuis la réunion précédente, mais le conseil général suivra de près l'enquête sur les prêts bancaires qui sera publiée le 20 avril.
     
    Christine Lagarde gardera un ton très accommodant en raison de la faiblesse des perspectives d'inflation à moyen terme, et ce malgré la hausse des pressions à court terme. Afin de maintenir un large consensus au sein du conseil, elle devrait communiquer fortement sur la flexibilité du PEPP si les conditions financières devaient changer significativement dans un futur proche.
     
    En ce qui concerne les perspectives économiques à court terme, le conseil général maintiendra probablement un ton prudent en raison des taux élevés d'infection au COVID-19 et des confinements dans divers pays européens. A plus long terme, la BCE pourrait avoir une vision plus optimiste en raison de l'amélioration des indicateurs économiques, des campagnes de vaccination en cours et de l'amélioration de l'environnement international.
     
    Comme d'habitude, la présidente Lagarde devrait souligner le rôle clé du "Next Generation EU package" et sur l'importance de le rendre opérationnel sans délai.
     
    Globalement, nous ne pensons pas que cette réunion aura un impact significatif sur les marchés financiers.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2378 Thu, 15 Apr 2021 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers conclut deux acquisitions viticoles pour la SCPI « LF Les Grands Palais » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-conclut-deux-acquisitions-viticoles-pour-la-scpi-lf-les-grands-palais/ La Française Real Estate Managers (REM), experte en matière d’investissement viticole depuis plus de quarante ans, annonce l’acquisition de deux entités viticoles pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Les Grand Palais. Cette SCPI, lancée en 2020, vise à constituer un patrimoine diversifié de propriétés viticoles situées en France, dans des Appellations d’Origine Protégées (AOP) notoires et reconnues, bénéficiant d’un potentiel de valorisation dans le temps. Parcelle Pomerol :

    La première acquisition porte sur une parcelle de vigne d’environ 35 ares située dans la prestigieuse AOP Pomerol. L'exploitation a été confiée par bail à long terme à un exploitant de l’appellation, Romain Rivière, qui conduira la vigne suivant le cahier des charges de l’agriculture biologique.  Le vin produit, issu des vignes de cette parcelle, sera commercialisé sous l’étiquette « Château La Croix Taillefer » (AOP Pomerol). 

    Château Saint-Pierre de Corbian, Saint-Estèphe :

    Le second investissement est à Saint-Estèphe. Il s'agit d'une entité d'environ 4 hectares sur de beaux terroirs de cette appellation communale du Médoc.

    C'est le prestigieux voisin, Château Le Boscq, Cru Bourgeois Exceptionnel, qui en assurera l'exploitation.

    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de Gestion est de 20 ans. La SCPI ne garantit pas la revente des parts. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI. La sortie n'est possible que s'il existe une contrepartie à l'achat ou à la souscription. Risques associés : risque de marché, risque de contrepartie, risque lié à la concentration, risque lié à la gestion discrétionnaire, risque lié à la liquidité, risque lié à l’endettement (effet de levier), risque de perte en capital et de variabilité des distributions.

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    news-2377 Wed, 14 Apr 2021 10:45:38 +0200 Débats et Opinions de l’Agefi : ESG & marchés obligataires /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/debat-et-opinions-de-l-agefi-esg-marches-obligataires/ « Nous devons préserver l’équilibre des portefeuilles, aussi nous devons nous donner la possibilité de sélectionner les entreprises qui se transforment, afin de les aider à financer leur transition et non pas d’exclure des secteurs aveuglément » Marie Lassegnore, Gérante et responsable ESG Fixed Income et Cross Asset à La Française AM. Retrouvez l’intervention de Marie Lassegnore durant la table ronde Débats et Opinions organisée par l’Agefi sur l’ « ESG et les marchés obligataires ». OBLIGATAIRE ESG

    DES ENRICHISSEMENTS MAJEURS DES PROCESSUS D’INVESTISSEMENT

    Les sociétés de gestion s’appuient désormais sur de solides capacités d’analyse extra-financière internes. L’intégration des facteurs ESG se décline dans les portefeuilles d’émetteurs crédit et souverains. Historiquement focalisée sur les marchés actions, sur le comportement des entreprises cotées en Bourse, l’analyse ESG (environnement, social, gouvernance) n’en est pas moins particulièrement adaptée à l’approche des investisseurs obligataires : une analyse de la solvabilité des émetteurs, qui s’appuie sur l’ensemble des facteurs susceptibles d’affecter le modèle économique d’une entreprise ou l’équilibre budgétaire d’un Etat, sur un horizon moyen-long terme. « Nous intégrons dans notre analyse crédit, y compris dans les stratégies qui ne sont pas explicitement ISR (investissement socialement responsable), les facteurs qui nous paraissent « matériels » pour le risque », indique Nathalie Pistre, directrice recherche et ISR d’Ostrum Asset
    Management.

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    news-2376 Tue, 13 Apr 2021 09:17:03 +0200 Dette subordonnée, l’approche ESG de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/dette-subordonnee-lapproche-esg-de-la-francaise/ L'engagement dans l'investissement responsable Comportement de la classe d’actifs depuis le début de l’année

    La dette subordonnée bancaire AT1 CoCo enregistre une performance de 1,9%1. Les autres types de dettes subordonnées (assurance, entreprise, financière Tier 2) ont une performance proche de 0% ou sont en territoire négatif. Cette surperformance s’explique par une sensibilité moins importante des CoCo aux variations de taux. 


    1 : Source : La Française, données au 17 mars 2021.

    Bilans bancaires

    Les réglementations bancaires ont poussé les banques ces dernières années à augmenter leurs ratios de solvabilité et réduire leurs expositions aux créances douteuses (NPL). Le graphique ci-dessous montre que les ratios de fonds propres sont à un niveau record et les ratios de créances douteuses ont fortement baissé (passant de 6,2% en mars 2015 à 2,8% en septembre 2020). Ainsi les bilans des banques n’ont jamais été aussi robustes. 


    Source : European Banking Authority (EBA; données à fin septembre 2020).

    Approche durable des dettes subordonnées par La Française 

    La philosophie historique de La Française Sub Debt (fonds commun de placement de droit français) se base sur 3 piliers :

    • Liquidité : portefeuille granulaire avec plus de 70 émetteurs et plus de 130 titres2
    • Diversification : investissement dans les entreprises financières et non-financières, avec une allocation sectorielle flexible
    • Qualité : notation moyenne du portefeuille A-2 avec des sociétés principalement notées Investment Grade.

    Nous avons remarqué que l’approche en qualité dispose de grandes synergies avec une approche en sélectivité. Ainsi l’intégration des critères ESG dans La Française Sub Debt est une évolution logique et n’a entrainé de bouleversement ni dans le processus de gestion ni dans le portefeuille.

    Concrètement, nous nous différencions aujourd’hui par notre analyse fondamentale où contribuent l’analyste crédit d’une part et l’analyste ESG de l’autre, sur ce que nous appelons les « fiches crédit rédigées à 4 mains ». Ces fiches permettent une analyse complète des dossiers de La Française Sub Debt.

    2 : Source : La Française, données au 26 février 2021.

    Une approche en qualité depuis l’origine…

    Avant la labellisation du fonds, nous accordions déjà une importance aux facteurs extra financiers. A titre d’exemples, voici deux entreprises exclues de notre univers investissable avant l’intégration des critères ESG :
     

    • CPI Property Group (immobilier commercial en Europe Centrale et Allemagne) : rachat d’Orco Property Group par le biais d’entreprises écran pour contourner la loi des OPA. Cette opération a d’ailleurs fait l’objet de poursuite outre-Atlantique
    • RWE (services aux collectivités en Allemagne) : nous avons été concernés très tôt par la transition énergétique et les risques régulatoires encourus par les services aux collectivités. En effet, l’entreprise a été confrontée au changement de la politique énergétique allemande suite à Fukushima (2011) et a scindé ses activités. Ainsi, nous nous étions retrouvés à détenir la 
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    news-2375 Mon, 12 Apr 2021 10:40:10 +0200 Avis : PREVALOR (FR0013366952) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-prevalor-fr0013366952/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du FCP PREVALOR, ci-après le « Fonds » a décidé d’élargir l’univers d’investissement du Fonds en y intégrant la possibilité d’investir dans des « Callables » et « Puttables » en direct. Les « Callables » sont des obligations offrant un rendement attractif mais dont le contrat permet à l'émetteur de les rembourser avant l'échéance. Les « Puttables » sont quant à elles, des obligations offrant un rendement progressif en fonction de la durée de portage.

    Cette modification n’est pas soumise à agrément de l’AMF étant donné que les fourchettes maximales d’exposition en vigueur restent identiques.

    Par ailleurs, dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base.

    La rédaction de l’indicateur de référence du Fonds PREVALOR est par conséquent modifié comme suit :

    « €STR capitalisé + 3,085 % »

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’aura pas d’impact sur le calcul des commissions de surperformance et n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 16 avril 2021.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds.

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    news-2370 Tue, 06 Apr 2021 09:52:27 +0200 Avis : UFF OBLIGATIONS 3-5 A (FR0013018868), Fonds nourricier du Fonds OBLIGATIONS 3- 5 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-uff-obligations-3-5-a-fr0013018868-fonds-nourricier-du-fonds-obligations-3-5-m/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du FCP OBLIGATIONS 3-5 M, ci-après le « Fonds maître » a décidé d’élargir l’univers d’investissement du Fonds maître sur les pays émergents hors OCDE jusqu’à 20% de son actif net. Cette modification permettra, dans un  contexte de taux particulièrement bas, de gagner en flexibilité, de capter des opportunités  d’investissement et d’augmenter la diversification du Fonds maître tout en respectant un cadre de  risque strict.

    Par conséquent le FCP UFF OBLIGATIONS 3-5 A (ci-après le « Fonds nourricier ») sera impacté par cette  modification effectuée sur le Fonds maître. 

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 8 avril 2021. 

    Les autres caractéristiques du Fonds nourricier demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds nourricier et du Fonds maître disponibles sur le site www.uff.net 

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    news-2369 Tue, 06 Apr 2021 09:23:02 +0200 Avis : UFF OBLIGATIONS 3-5 (Part P - FR0011540111 ; Part RE - FR0010431601 ; Part C - FR0007387642 ; Part RP - FR0010431593), Fonds nourricier du Fonds OBLIGATIONS 3-5 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-uff-obligations-3-5-part-p-fr0011540111-part-re-fr0010431601-part-c-fr0007387642-part-rp-fr0010431593-fonds-nourricier-du-fonds-obligations-3-5-m/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du FCP OBLIGATIONS 3-5 M, ci-après le « Fonds maître » a décidé d’élargir l’univers d’investissement du Fonds maître sur les pays émergents hors OCDE jusqu’à 20% de son actif net. Cette modification permettra, dans un contexte de taux particulièrement bas, de gagner en flexibilité, de capter des opportunités d’investissement et d’augmenter la diversification du Fonds maître tout en respectant un cadre de risque strict.

    Cette modification permettra, dans un contexte de taux particulièrement bas, de gagner en flexibilité, de capter des opportunités d’investissement et d’augmenter la diversification du Fonds maître tout en respectant un cadre de risque strict. 

    Par conséquent le FCP UFF OBLIGATIONS 3-5 (ci-après le « Fonds nourricier ») sera impacté par cette modification effectuée sur le Fonds maître.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 8 avril 2021.
    Les autres caractéristiques du Fonds nourricier demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds nourricier et du Fonds maître disponibles sur le site www.uff.net

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    news-2368 Tue, 06 Apr 2021 09:07:25 +0200 Avis : OBLIGATIONS 3-5 M (FR0012890317) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-obligations-3-5-m-fr0012890317/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management du FCP OBLIGATIONS 3-5 M, ci-après le « Fonds » a décidé d’élargir l’univers d’investissement du Fonds sur les pays émergents hors OCDE jusqu’à 20% de son actif net. Cette modification permettra, dans un contexte de taux particulièrement bas, de gagner en flexibilité, de capter des opportunités d’investissement et d’augmenter la diversification du Fonds tout en respectant un cadre de risque strict.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est prévue pour le 8 avril 2021.

    Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds.

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    news-2366 Thu, 01 Apr 2021 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) confirme son engagement durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-confirme-son-engagement-durable/ La Française REM se fixe un objectif de réduction des émissions de CO2 conforme à l’Accord de Paris pour participer activement à la lutte contre le réchauffement climatique L’immobilier, parce qu’il s’intéresse à des actifs physiques réels, a un rôle essentiel à jouer dans la transition vers une économie plus durable et un monde plus écologique. Il joue un rôle pivot dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique.

    Consciente de sa responsabilité en tant que leader sur le marché des Sociétés Civiles de Placement Immobilier (Source IEIF au 31.12.2020 en termes de capitalisation), via notamment son parc immobilier de plus de 4.000.000 m², La Française REM est résolument engagée dans une démarche durable. La gestion active de son portefeuille existant et une politique d’investissement sélective visent à offrir à ses investisseurs performance financière et durabilité, synonyme de protection de la valeur des actifs dans le temps.

    « Alors que les enjeux ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) pouvaient apparaître de (très) long terme à beaucoup d’acteurs il y a encore quelques années, ils s’inscrivent désormais dans un horizon compatible avec l’horizon de détention des actifs immobiliers. La résilience des actifs immobiliers doit s’anticiper. » précise Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier.

    Suite à la signature de l’Accord de Paris, la France a défini une feuille de route pour lutter contre le réchauffement climatique dans la Stratégie Nationale Bas Carbone. La Francaise REM entend prendre sa part dans l’ambition nationale en se fixant un objectif de réduction des émissions de CO2 de son portefeuille compatible avec une trajectoire climatique 1.5°C. Ainsi, elle s’assure de répondre aux réglementations en vigueur et d’anticiper les réglementations à venir.

    La stratégie adoptée est celle de l’ERC (Eviter, Réduire, Compenser). La meilleure façon  de limiter les émissions de CO2 est de s’attacher, en premier lieu, à les éviter. Dès lors  que les émissions de CO2 n'ont pu être pleinement évitées à un coût raisonnable, il convient de réduire le volume restant par des solutions de minimisation comme la mise en œuvre de travaux de rénovation énergétique, l’adaptation des systèmes énergétiques et le suivi de Plans Pluriannuel de Travaux (PPAT verts). En dernier recours, des mesures compensatoires seront engagées pour financer des pièges à carbone.

    « S’employer à suivre une trajectoire, c’est œuvrer dès à présent pour la pérennité de la valeur de nos actifs à long terme » insiste Marc-Olivier Penin, Directeur général La Française REM qui ajoute « Le coût de l’inaction s’accroît de manière exponentielle. Si les actions d’amélioration des caractéristiques durables des actifs sont réalisées régulièrement en respectant leur cycle de vie, le coût additionnel demeure très marginal comparé à la perte de valorisation qu’encourent les actifs gérés sans prendre en compte les critères ESG. » Et Philippe Depoux, Président de La Française REM, de conclure « En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de ses investisseurs, La Française REM porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Nous sommes fiers de pouvoir annoncer que, fort de cet engagement, c’est aujourd’hui, la totalité de la gamme de Sociétés Civiles de Placement Immobilier d’immobilier d’entreprise gérées par La Française REM, société de gestion du Groupe La Française, qui est alignée avec l’article 9 du règlement Disclosure. »

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

    Lexique :
    Règlement UE n°2019/2088 SFDR / Disclosure

    • Objectifs➔ Établir des règles de transparence harmonisées pour les acteurs des marchés financiers en matière de durabilité
    • Classification des fonds en fonction du degré de prise en compte des critères ESF :
       Les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « faisant la promotion de caractéristiques environnementales ou sociales, ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ». (article 8)
      Les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « ayant un objectif d’investissement 

    durable ». (article 9)

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    news-2365 Fri, 26 Mar 2021 16:46:45 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement d’Entreprise « CMNE Participation PME France » suite à la labélisation de son fonds maître le FCP « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-dentreprise-cmne-participation-pme-france-suite-a-la-labelisation-de-son-fonds-maitre-le-fcp-la-francaise-actions-france-pme/ Dans le cadre de la labélisation « Relance » du FCP La Française Actions France PME (ci-après le « Fonds Maître »), fonds maître de votre FCPE CMNE Participation PME France (ci-après le « FCPE »), la société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du Fonds Maître afin de prendre en compte dans son processus d’investissement des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG »). Cela a pour conséquence de modifier le prospectus de votre FCPE. La communication liée à la prise en compte de critères ESG dans la gestion du Fonds Maître sera limitée au prospectus.

    Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent avis.

    La modification de votre FCPE ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 31 mars 2021.

    Les autres caractéristiques du FCPE demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCPE « CMNE Participation PME France » disponible sur le site www.la-francaise.com
    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2364 Fri, 26 Mar 2021 16:42:16 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Profil Performance » suite à la labélisation de son fonds maître le FCP « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-profil-performance-suite-a-la-labelisation-de-son-fonds-maitre-le-fcp-la-francaise-actions-france-pme/ Dans le cadre de la labélisation « Relance » du FCP La Française Actions France PME (ci-après le « Fonds Maître »), fonds maître du FCP La Française Profil Performance (ci-après le « FCP »), la société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du Fonds Maître afin de prendre en compte dans son processus d’investissement des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG »). Cela a pour conséquence de modifier le prospectus de votre FCP. La communication liée à la prise en compte de critères ESG dans la gestion du Fonds Maître sera limitée au prospectus.

    Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent avis.

    La modification de votre FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 31 mars 2021.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Profil Performance » disponible sur le site www.la-francaise.com
    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2363 Fri, 26 Mar 2021 16:29:02 +0100 Avis : modification du Fonds Commun de Placement « La Française Actions France PME » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-modification-du-fonds-commun-de-placement-la-francaise-actions-france-pme/ Dans le cadre de la labélisation « Relance » du FCP La Française Actions France PME (ci-après le « FCP »), la société de gestion La Française Asset Management a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP afin de prendre en compte dans son processus d’investissement des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG »). La communication liée à la prise en compte de critères ESG dans la gestion du FCP sera limitée au prospectus.

    Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent avis.

    Cette modification du FCP ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 31 mars 2021.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du FCP « La Française Actions France PME » disponible sur le site www.la-francaise.com
    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2360 Fri, 26 Mar 2021 08:57:59 +0100 La Française REM acquiert un immeuble de bureaux situé allée de Grenelle à Issy-Les-Moulineaux (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-situe-allee-de-grenelle-a-issy-les-moulineaux-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Covivio, un immeuble de bureaux sis 3 Allée de Grenelle à Issy-Les-Moulineaux (92). L’actif se situe au sein du quartier Forum Seine, un secteur tertiaire reconnu et dynamique, proche des bords de Seine et du parc de l’Ile Saint-Germain. L’immeuble est à proximité de la station « Issy–Val de Seine » du RER C et du tramway T2. Les lignes 12 et prochainement la 15 du métro sont accessibles également.

    L’immeuble développe près de 11.000 m² et offre des plateaux divisibles de 1 300 m² ainsi que 163 emplacements de stationnement. Il possède une offre de services de qualité correspondant à la demande actuelle des utilisateurs, notamment un restaurant d’entreprise et de nombreuses terrasses et espaces extérieurs.

    Depuis 2017, date de sa livraison, il accueille un groupe français multinational de transports.

    Le bâtiment, labelisé BREEAM Very Good et HQE Excellent, présente de remarquables qualités environnementales qui le classent parmi les meilleurs actifs de sa catégorie, notamment grâce à de faibles consommations d’énergie. Les mobilités douces sont largement favorisées avec la présence de bornes de recharge pour véhicules électriques, un local à vélo sécurisé et la proximité des transports en commun. Par ailleurs, la toiture du bâtiment est végétalisée, favorisant ainsi la biodiversité.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de :

    • a Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine,
    • deux Sociétés Civiles Immobilières gérées par La Française REM, dont LF Multimmo et Qualimmo,
    • l’Organisme de Placement Collectif en Immobilier, LF OPSIS Patrimoine.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides, le Cabinet Jeantet ainsi que par Fairway Avocats et Covivio par l’office notarial Cheuvreux.

    Les deux parties ont été assistées par CBRE.

    L’acquisition a été partiellement financée par la banque BayernLB, conseillée par l’étude Rochelois et LPA-CGR Avocats.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
    Risques associés de l’OPCI : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risque de concentration, risques liés à l’endettement, risque de contrepartie, risques liés aux marchés financiers.

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    news-2359 Thu, 25 Mar 2021 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert pour un client institutionnel un Grand Cru Classé de Margaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-pour-un-client-institutionnel-un-grand-cru-classe-de-margaux/ Reconnue pour son expertise viticole développée ces quarante dernières années au fil d’acquisitions de renom et de la gestion de quarante propriétés viticoles, La Française Real Estate Managers (REM) a signé avec un institutionnel français de premier plan un mandat portant sur la constitution d’un portefeuille de propriétés viticoles françaises haut de gamme. Dans ce cadre, La Française REM a finalisé l’acquisition de Château du Tertre, un cinquième Grand Cru Classé du Médoc en 1855. Situé à Arsac, en Gironde, le domaine de près de 80 hectares, dont 52 hectares de vignes en AOP Margaux, bénéficie d’un prestigieux terroir et commercialise par la place de Bordeaux ses trois vins : Château du Tertre, Les Hauts du Tertre et Tertre Blanc. Afin de s’inscrire dans une perspective de long terme, un bail rural de 25 ans a été établi avec la famille HELFRICH, représentée par Joseph HELFRICH, reconnue pour sa grande expertise dans la viticulture ainsi que dans la distribution des vins.  

    Cyril Carteron, Directeur des produits de diversification de La Française REM conclut, « Nous remercions notre client investisseur pour sa grande confiance et sommes ravis de l’aboutissement de près de neuf mois de travail avec la finalisation de cette acquisition rare. Seulement huit Grands Crus Classés du Médoc, dont le Château du Tertre, ont été vendus ces dix dernières années. Les mandats dédiés pour compte d’Institutionnels témoignent de notre savoir-faire en matière d’investissement viticole. » 

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée notamment par l’Etude notariale 14 Pyramides, Paul Hastings sur les aspects juridiques et KPMG en matière de fiscalité. 

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    news-2356 Fri, 19 Mar 2021 09:00:00 +0100 Krach 2020, enseignements et perspectives ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/krach-2020-enseignements-et-perspectives/ Par François Rimeu, Stratégiste Senior, La Française AM La crise de la Covid-19 que nous connaissons depuis maintenant un an a eu et continuera à avoir de nombreuses répercussions. La transition technologique en cours a été grandement accélérée devant la nécessité de trouver de nouvelles façons de faire fonctionner nos économies alors que par ailleurs, la désindustrialisation en place depuis des décennies dans la plupart des pays d’Europe a mis sur le devant de la scène notre dépendance aux grands centres de production émergents. 

    Au-delà de ces prises de conscience, cette crise aura aussi fait éclater le dogme de Bruxelles concernant les déficits budgétaires. Ce que la Banque Centrale Européenne appelait de tous ses vœux depuis de nombreuses années est aujourd’hui une réalité avec un soutien budgétaire d’une ampleur quasiment inédite. Ce constat est vrai dans la grande majorité des pays développés, les États-Unis en tête. Un autre dogme n’a d’ailleurs pas résisté à la crise, celui concernant la mutualisation de la dette dans la zone Euro. En effet, le « Next Generation EU recovery fund » participera à la relance européenne en ciblant les zones les plus touchées par cette crise, au grand dam de certains pays nordiques.

    Grâce à l’action extrêmement forte des pouvoirs publiques (bien plus forte qu’au sortir de 2008), la situation macro-économique est aujourd’hui en nette amélioration, avec une croissance mondiale attendue autour de 6% en 2021. Sur le plan sanitaire également, la situation s’améliore avec des vaccinations dont le rythme accélère, ce qui devrait permettre une réouverture progressive des économies entre le 2ème et le 3ème trimestre. Et si l’on considère l’épargne disponible chez les consommateurs, il y a de fortes probabilités que ces prévisions de croissance s’améliorent encore dans les mois qui viennent. Ces bonnes nouvelles ont logiquement eu un impact important sur les marchés financiers, avec des marchés actions en forte progression, des matières premières elles aussi en forte hausse et des marchés obligataires qui voient leurs taux monter depuis quelques semaines. 

    La grande question aujourd’hui réside dans le caractère pérenne ou non de l’augmentation des prévisions d’inflation. L’inflation va fortement augmenter au cours de l’année 2021, en lien avec des effets de base très positifs (Q2 aux USA, Q4 en zone Euro), mais au-delà des effets temporaires, quelle va être la dynamique de prix dans les secteurs des services lors de leur réouverture ? La relocalisation des industries sera-t-elle réelle et amènera-t-elle de l’inflation ? Difficile de répondre à ces questions aujourd’hui et difficile d’avoir un avis tranché sur la valorisation des points morts d’inflation. 

    Dans ce contexte, les perspectives sur les marchés actions nous semblent favorables, avec une nette préférence pour les secteurs « value » qui profitent de la hausse des taux (dont les banques). Nous sommes plus prudents sur les valeurs technologiques dont les niveaux de valorisation auront de plus en plus de mal à se justifier. Nous sommes aussi prudents sur les taux d’intérêt gouvernementaux et le crédit de bonne qualité à cause des niveaux de taux encore très bas, particulièrement aux Etats-Unis. Les actifs obligataires européens devraient mieux s’en sortir (beaucoup moins de pression inflationniste en zone Euro, moins de relance budgétaire, moins de croissance…). Les actifs à spreads importants (notamment les titres à haut rendement dits spéculatif « high yield ») devraient eux profiter de l’amélioration macro-économique, avec un effet de resserrement de spread qui contrebalancera l’effet négatif de la hausse des taux. Enfin, nous sommes très négatifs sur les taux réels américains : avec une croissance de 7% en 2021, une relance budgétaire de 10% de PIB (sans compter celle votée en décembre) et un consommateur dans 

    une forme insolente, la Réserve Fédérale (FED) n’a selon nous pas besoin de maintenir des conditions financières aussi accommodantes. 

    Source: La Française AM

    Disclaimer
    This commentary is intended for non-professional investors within the meaning of MiFID II. It is provided for informational and educational purposes only and is not intended to serve as a forecast, research product or investment advice and should not be construed as such. It may not constitute investment advice or an offer, invitation or recommendation to invest in particular investments or to adopt any investment strategy. Past performance is not indicative of future performance. The opinions expressed by La Française Group are based on current market conditions and are subject to change without notice. These opinions may differ from those of other investment professionals. Published by La Française AM Finance Services, head office located at 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, a company regulated by the Autorité de Contrôle Prudentiel as an investment services provider, no. 18673 X, a subsidiary of La Française. La Française Asset Management was approved by the AMF under no. GP97076 on 1 July 1997.

     

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    news-2354 Wed, 17 Mar 2021 18:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert « Village 3 », un immeuble de bureaux à La Défense (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-village-3-un-immeuble-de-bureaux-a-la-defense-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Unibail-Rodamco-Westfield, « Village 3 » un immeuble de bureaux situé dans l’ensemble immobilier « Les Villages » sur les communes de Nanterre et Puteaux (92). Situé au sein du secteur Arche Sud dans le quartier Valmy, à proximité de la salle Paris La Défense Arena et à 300 m du pôle multimodal « La Défense - Grande Arche », l’ensemble immobilier « Les Villages » répond à la demande de centralité des utilisateurs qui bénéficient ainsi de nombreux services et ce dans un environnement sans voiture qui privilégie les circulations douces.

    « Les Villages » ce sont 8 bâtiments construits dans les années 1980 offrant une succession de trois places dans un esprit village.  

    L’immeuble « Village 3 », d’une surface de 6.700 m² développée sur 9 étages, a été entièrement restructuré à neuf en 2016 et bénéficie des certifications NF HQE Rénovation niveau Excellent, BREEAM Conception Very Good et BREEAM In-Use Excellent for asset management and for building management, qui répondent aux exigences des fonds gérés par La Française REM.

    Cet actif, qui a fait l’objet d’une évaluation ESG (Environnemental, Social et Gouvernance), donne la part belle au confort et à la qualité de vie des occupants par ses volumes spacieux, traversants et très lumineux, les finitions de très grande qualité, induisant pérennité et qualité d’usage et son implantation en périphérie de la dalle de La Défense qui permet un accès aux espaces verts voisins tout en bénéficiant des services et transports à proximité immédiate. Enfin, les énergies renouvelables sont utilisées, notamment par l’approvisionnement en énergie verte pour les parties communes et le recours à des réseaux de chaleur et de froid durables.

    Il est loué intégralement à un opérateur français spécialisé dans la cyberdéfense pour une durée restante de sept ans et demi, qui a pris à bail dans ce secteur plus de 35.000 m² ces 5 dernières années et à deux commerces situés en rez-de-chaussée. 

    Le positionnement de cet opérateur s’inscrit dans le projet « Campus Cyberdéfense », dédié à la cybersécurité, prévu dans ce secteur. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine (60%) et des Sociétés Civiles LF Multimmo (20%) et Qualimmo (20%).

    Pour cette opération, La Française REM était conseillée par Allez & Associés ainsi que Fairway Avocats et Unibail-Rodamco-Westfield par Ginisty & Associés. 

    Les deux parties étaient assistées par CBRE.

    L’acquisition a été partiellement financée par la banque BayernLB, conseillé par l’étude Rochelois et LPA-CGR Avocats.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2353 Wed, 17 Mar 2021 09:02:31 +0100 Confirmation du biais dovish de la FED : des taux plus élevés ? Pas d'inquiétude ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/confirmation-du-biais-dovish-de-la-fed-des-taux-plus-eleves-pas-d-inquietude/ Le 17 mars, nous nous attendons à ce que la FED maintienne une politique monétaire accommodante, notamment en raison d’un marché du travail encore loin du plein emploi. La Réserve Fédérale Américaine (FOMC) devrait réaffirmer que l'orientation actuelle de sa politique monétaire est adéquate. La FED continuera à surveiller les conditions financières qui restent favorables. Nous ne pensons pas qu'elle adoptera des mesures telles que l'extension de maturité moyenne de ses titres (WAM) visant à limiter les rendements à long terme. Par conséquent, la FED poursuivra probablement ses achats d'actifs au rythme actuel, soit au moins 80 milliards de dollars de bons du Trésor et 40 milliards de dollars de titres adossés à des créances hypothécaires (MBS) par mois.

    Lors de la conférence de presse, le président Jérôme Powell devrait également répéter que la FED n’est pas particulièrement inquiète de la hausse transitoire de l’inflation. Lors de cette réunion, le FOMC devrait également souligner que le ralentissement des achats d’actifs reste prématuré.

    Du côté du " dot plot ", nous nous attendons à ce que la majorité des membres du comité positionne une hausse en 2023 contre aucune hausse en décembre. Cela ne devrait pas engendrer de réactions excessives de la part des marchés dans la mesure où les taux courts américains anticipent d’ores et déjà une normalisation monétaire courant 2023.

    Dans l'ensemble, nous pensons que cette réunion confirmera le biais accommodant de la FED, ce qui pourrait être légèrement négatif pour les parties longues de la courbe américaine.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2343 Fri, 12 Mar 2021 09:17:41 +0100 L’approche en qualité de La Française Sub Debt renforcée par l’obtention du Label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-approche-en-qualite-de-la-francaise-sub-debt-renforcee-par-l-obtention-du-label-isr/ La Française AM a le plaisir d’annoncer que son fonds « flagship » investi en dette subordonnée, La Française Sub Debt, pesant près de 1 milliard d’euros*, a obtenu le prestigieux Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. La Française Sub Debt est un portefeuille diversifié d'environ 130 titres de dettes subordonnées avec une notation moyenne émetteur Investment Grade de A- (Source : La Française, au 26/02/2021), co-géré par Paul Gurzal, Head of Credit et Jérémie Boudinet, Gérant Crédit.

    Classifié « article 8 » selon le règlement Disclosure (Sustainable Finance Disclosure Regulation - SFDR), l’objectif du fonds est d’obtenir une performance annualisée supérieure à 7 % sur un horizon de placement recommandé supérieur à 10 ans en s’exposant notamment sur des titres de dettes subordonnées présentant un profil de risque spécifique et différent de celui des obligations classiques et en investissant dans un portefeuille d’émetteurs préalablement filtrés selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG).

    L’approche de gestion du fonds reste inchangée depuis sa création en 2008 et se base sur trois fondamentaux : la liquidité, la diversification et la qualité. La sélection des titres intègre désormais une analyse extra financière poussée, réalisée par La Française Sustainable Investment Research (centre de recherche ESG du groupe) selon un modèle propriétaire. En concertation avec l’équipe de gestion, et grâce à un dialogue permanent, les critères ESG des émetteurs publics et privés de l’Union européenne, la Suisse, le Royaume-Uni et la Norvège viennent enrichir l’analyse crédit et la sélection des émetteurs. La stratégie de gestion historique du fonds demeure intacte car alignée avec l’approche de sélectivité ESG mise en place depuis le 10 mars 2021.

    Jean-Luc Hivert, Président et Global Head of Investments de La Française AM, conclut, « La Française s'engage pleinement en faveur de l'investissement durable depuis 2008. Convaincue du rôle de la finance dans cette transition, notre stratégie est de proposer une gamme de fonds ouverts en cours de commercialisation 100% durable d’ici fin 2022. La labellisation de La Française Sub Debt était pour nous essentielle et naturelle sur une classe d’actifs certes très spécifique mais ô combien à l’image de l’expertise de pointe obligataire développée de longue date par La Française AM. Elle représente une nouvelle avancée dans notre engagement pour une finance durable. Désormais, La Française AM a 7 fonds labellisés (actions, crédit et monétaire) soulignant ainsi notre positionnement de pointe sur les stratégies durables et plus particulièrement bas carbone, développée sur les actions, le crédit et les obligations d’état. Actuellement, nous déployons notre stratégie durable sur l’ensemble de nos classes d’actifs afin de proposer une gamme durable multi-asset. »

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    news-2329 Wed, 10 Mar 2021 09:19:22 +0100 Pas de nouvelles mesures, mais un ton très consensuel /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pas-de-nouvelles-mesures-mais-un-ton-tres-consensuel/ La BCE tiendra sa prochaine conférence de presse le 11 mars. Le Conseil des gouverneurs conservera très probablement un ton très accommodant afin de maintenir des conditions de financement très favorables et pour que les taux bas continuent à se répercuter sur l'économie réelle, le but restant de soutenir la reprise et la convergence de l'inflation dans les pays européens vers l'objectif de 2 %.

    Nous n'attendons pas de nouvelles mesures ni d’augmentation de l'enveloppe du PEPP (Programme d'achat d'urgence en temps de pandémie de 1 850 milliards d'euros).

    Mme Christine Lagarde devrait en revanche communiquer avec fermeté sur le nouveau mantra de la BCE, à savoir une approche "holistique et à multiples facettes" pour évaluer des conditions financières. Malgré le ralentissement récent des achats de PEPP, elle pourrait aussi signaler des mesures potentielles pour lutter contre la menace d'une forte hausse des rendements, toutes les options étant ici ouvertes. Il est probable qu'elle réaffirmera également l'importance de la flexibilité du PEPP.

    En outre, la BCE actualisera ses projections macroéconomiques. Nous n'attendons pas de changements sur la croissance (+3,9 % en 2021, +4,2 % en 2022). L'inflation globale pourrait être révisée à la hausse en 2021 (+1%) en raison des récentes surprises positives en matière d'inflation et de la hausse du prix du pétrole. Nous ne prévoyons pas de révisions majeures du profil d'inflation “core” (1,4 % en 2023) étant donné l'opinion inchangée sur le degré actuel de ralentissement de l'économie.  

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    news-2328 Tue, 09 Mar 2021 18:43:03 +0100 Sustainability-Related Disclosure: JKC Fund - La Française JKC China Equity - La Française JKC Asia Equity /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/sustainability-related-disclosure-jkc-fund-la-francaise-jkc-china-equity-la-francaise-jkc-asia-equity/ Article 10 of Regulation (EU) 2019/2088 Transparency of the promotion of environmental or social characteristics and of sustainable investments on Websites 1. Financial product referred to in Article 8(1) and Article 9(1), (2) and (3): 
    (a) a description of the environmental or social characteristics or the sustainable investment objective; 
    (b) information on the methodologies used to assess, measure and monitor the environmental or social  characteristics or the impact of the sustainable investments selected for the financial product, including its data  sources, screening criteria for the underlying assets and the relevant sustainability indicators used to measure 
    the environmental or social characteristics or the overall sustainable impact of the financial product; 
    (c) the information referred to in Articles 8 and 9; 
    (d) the information referred to in Article 11. 
    The information to be disclosed pursuant to the first subparagraph shall be clear, succinct and understandable  to investors. It shall be published in a way that is accurate, fair, clear, not misleading, simple and concise and in  a prominent easily accessible area of the website. 

    2. The ESAs shall, through the Joint Committee, develop draft regulatory technical standards to specify the  details of the content of the information referred to in points (a) and (b) of the first subparagraph of paragraph 
    1, and the presentation requirements referred to in the second subparagraph of that paragraph. 
    When developing the draft regulatory technical standards referred to in the first subparagraph of this  paragraph, the ESAs shall take into account the various types of financial products, their characteristics and  objectives as referred to in paragraph 1 and the differences between them. The ESAs shall update the  regulatory technical standards in the light of regulatory and technological developments. 
    The ESAs shall submit the draft regulatory technical standards referred to in the first subparagraph to the Commission by 30 December 2020. 
    Power is delegated to the Commission to supplement this Regulation by adopting the regulatory technical  standards referred to in the first subparagraph in accordance with Articles 10 to 14 of Regulations (EU) No 1093/2010, (EU) No 1094/2010 and (EU) No 1095/2010.

    This document covers the Sub-funds “La Française JKC China Equity” and “La Française JKC Asia Equity”, two compartments of JKC Fund SICAV. 
    By promoting, among other characteristics, environmental and social characteristics, these sub-funds fall under the definition of Article 8 of regulation (EU) 2019/2088 mentioned above.
    For more information about the two Sub-funds, the prospectus of JKC Fund can be accessed through the following link: https://jkcapitalmanagement.com/documentation/

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    news-2326 Tue, 09 Mar 2021 15:07:23 +0100 Information sur le Règlement « Disclosure » Article 6 - Immobilier (SCPI) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-sur-le-reglement-disclosure-article-6-immobilier-scpi/ Cette communication est réalisée dans le cadre de l’application au 10 mars 2021 du règlement (UE) 2019/2088, dit « Règlement Disclosure ou SFDR » adopté par le Parlement européen et le Conseil de l’Union Européenne le 27 novembre 2019 et portant sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Le règlement Disclosure impose aux investisseurs de nouvelles obligations de reporting, inspirées de l’Article 173 de la loi de transition énergétique française de 2015 et établit des règles harmonisées à l’échelle de l’Union Européenne en matière de transparence et de communication d’informations extra-financières.

    Ce règlement impose aux investisseurs d’expliquer : 

    • Comment ils prennent en compte les risques liés au développement durable dans leurs décisions d’investissement ;
    • Quelles sont les incidences négatives éventuelles de leurs produits et de les mesurer ; 
    • Quelles sont les caractéristiques des produits financiers qu’ils présentent comme durables.

    Le règlement Disclosure s’impose à la fois à La Française Real Estate Managers en sa qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatif (FIA) et en tant que gestionnaire de FIA, et à votre SCPI en tant que FIA.

    L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés en trois catégories ci-après détaillées :

    • Article 8 : concerne les produits qui promeuvent, entre autres caractéristiques, des caractéristiques environnementales et/ou sociales ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ;
    • Article 9 : concerne les produits financiers qui poursuivent un objectif d’investissement durable
    •  Article 6 : concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales et qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.


    Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.

    Le risque en matière de durabilité (SR pour « Sustainability risks ») se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante sur la valeur de l’investissement produits financiers qui intègrent les risques en matière de durabilité dans les décisions d’investissement doivent le décrire

    La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités. 

    Ces risques se regroupent autour de cinq grandes familles :

    1.    Risques réputationnels
    2.    Risques de corruption et de blanchiment de capitaux
    3.    Risques de responsabilité liés au changement climatique
    4.    Risques physiques liés au changement climatique
    5.    Risques de transition liés au changement climatique
    6.    Risques liés à la biodiversité 

    Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion actuellement mis en œuvre dans votre SCPI, la classification applicable à votre SCPI et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 6*. 

    Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, à toutes fins utiles, le code de bonne conduite du Groupe La Française qui définit les engagements et les valeurs du Groupe, notamment en matière environnementale et en termes de gouvernance : Code de bonne conduite GLF - 2021 (calameo.com)

    *Cette communication concerne les SCPI gérées suivantes :

    -    LF GRAND PARIS HABITATION
    -    LF LES GRANDS PALAIS
    -    LF RENOVIMMO
    -    MULTIHABITATION 10
    -    MULTIHABITATION 2
    -    MULTIHABITATION 3
    -    MULTIHABITATION 4
    -    MULTIHABITATION 5
    -    MULTIHABITATION 6
    -    MULTIHABITATION 7
    -    MULTIHABITATION 8
    -    MULTIHABITATION 9
    -    MULTIHABITATION
    -    UFG PIERRE & VACANCES CONSEIL IMMOBILIER MOSELLE
    -    UFG PIXEL 1
     

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    news-2325 Tue, 09 Mar 2021 15:07:00 +0100 Information sur le Règlement « Disclosure » article 6 - Immobilier (OPCI) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-sur-le-reglement-disclosure-article-6-immobilier-opci/ Cette communication est réalisée dans le cadre de l’application au 10 mars 2021 du règlement (UE) 2019/2088, dit « Règlement Disclosure ou SFDR » adopté par le Parlement européen et le Conseil de l’Union Européenne le 27 novembre 2019 et portant sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers.
    Le règlement Disclosure impose aux investisseurs de nouvelles obligations de reporting, inspirées de l’Article 173 de la loi de transition énergétique française de 2015 et établit des règles harmonisées à l’échelle de l’Union Européenne en matière de transparence et de communication d’informations extra-financières.

    Ce règlement impose aux investisseurs d’expliquer : 

    • Comment ils prennent en compte les risques liés au développement durable dans leurs décisions d’investissement ;
    • Quelles sont les incidences négatives éventuelles de leurs produits et de les mesurer ; 
    • Quelles sont les caractéristiques des produits financiers qu’ils présentent comme durables.

    Le règlement Disclosure s’impose à la fois à La Française Real Estate Managers en sa qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatif (FIA) et en tant que gestionnaire de FIA, et à votre OPCI en tant que FIA.

    L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés en trois catégories ci-après détaillées :

    • Article 8 : concerne les produits qui promeuvent, entre autres caractéristiques, des caractéristiques environnementales et/ou sociales ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ;
    • Article 9 : concerne les produits financiers qui poursuivent un objectif d’investissement durable ;
    • Article 6 : concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales et qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.


    Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
    Le risque en matière de durabilité (SR pour « Sustainability risks ») se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante sur la valeur de l’investissement produits financiers qui intègrent les risques en matière de durabilité dans les décisions d’investissement doivent le décrire. 

    La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités. 

    Ces risques se regroupent autour de cinq grandes familles :

    1. Risques réputationnels
    2. Risques de corruption et de blanchiment de capitaux
    3. Risques de responsabilité liés au changement climatique
    4. Risques physiques liés au changement climatique
    5. Risques de transition liés au changement climatique
    6. Risques liés à la biodiversité 

    Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion actuellement mis en œuvre dans votre OPCI, la classification applicable à votre OPCI et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 6*. 

    Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, à toutes fins utiles, le code de bonne conduite du Groupe La Française qui définit les engagements et les valeurs du Groupe, notamment en matière environnementale et en termes de gouvernance : Code de bonne conduite GLF - 2021 (calameo.com)

    *Cette communication concerne les OPCI suivants :

    • LF Cerenicimmo +
    • LF Opsis Patrimoine
    • LF Opsis Epargne Immobilière
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    news-2324 Tue, 09 Mar 2021 14:50:11 +0100 Information sur le Règlement « Disclosure » article 9 - Immobilier (SCPI) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-sur-le-reglement-disclosure-article-9-immobilier-scpi/ Cette communication est réalisée dans le cadre de l’application au 10 mars 2021 du règlement (UE) 2019/2088, dit « Règlement Disclosure ou SFDR » adopté par le Parlement européen et le Conseil de l’Union Européenne le 27 novembre 2019 et portant sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Le règlement Disclosure impose aux investisseurs de nouvelles obligations de reporting, inspirées de l’Article 173 de la loi de transition énergétique française de 2015 et établit des règles harmonisées à l’échelle de l’Union Européenne en matière de transparence et de communication d’informations extra-financières.

    Ce règlement impose aux investisseurs d’expliquer : 

    • Comment ils prennent en compte les risques liés au développement durable dans leurs décisions d’investissement ;
    • Quelles sont les incidences négatives éventuelles de leurs produits et de les mesurer ; 
    • Quelles sont les caractéristiques des produits financiers qu’ils présentent comme durables.

    Le règlement Disclosure s’impose à la fois à La Française Real Estate Managers en sa qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatif (FIA) et en tant que gestionnaire de FIA, et à votre SCPI en tant que FIA.

    L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés en trois catégories ci-après détaillées :

    • Article 8 : concerne les produits qui promeuvent, entre autres caractéristiques, des caractéristiques environnementales et/ou sociales ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ;
    • Article 9 : concerne les produits financiers qui poursuivent un objectif d’investissement durable ;
    • Article 6 : concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales et qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.


    Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
    Le risque en matière de durabilité (SR pour « Sustainability risks ») se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante sur la valeur de l’investissement produits financiers qui intègrent les risques en matière de durabilité dans les décisions d’investissement doivent le décrire. 

    La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités. 

    Ces risques se regroupent autour de cinq grandes familles :

    1. Risques réputationnels
    2. Risques de corruption et de blanchiment de capitaux
    3. Risques de responsabilité liés au changement climatique
    4. Risques physiques liés au changement climatique
    5. Risques de transition liés au changement climatique
    6. Risques liés à la biodiversité 

    Nous vous informons que nous avons identifié, pour votre SCPI, un objectif d’investissement durable, qui est celui de lutte contre le réchauffement climatique (développé dans la note d’information). Plus précisément, votre SCPI vise une faible exposition aux émissions de carbone en vue de la réalisation des objectifs de limitation du réchauffement planétaire à long terme fixés par l’accord de Paris.

    Votre SCPI, entre de ce fait dans la classification de l’article 9 du règlement Disclosure*.

    Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, à toutes fins utiles, le code de bonne conduite du Groupe La Française qui définit les engagements et les valeurs du Groupe, notamment en matière environnementale et en termes de gouvernance : Code de bonne conduite GLF - 2021 (calameo.com)

    Nous restons à votre disposition pour tout complément d’informations,

    Bien cordialement,
    La Société de gestion

    * Cette communication concerne les SCPI gérées suivantes :

    • LF GRAND PARIS PATRIMOINE 
    • CREDIT MUTUEL PIERRE 1
    • EPARGNE FONCIERE
    • LF EUROPIMMO (ex LFP EUROPIMMO)
    • LF OPPORTUNITE IMMO (ex LFP OPPORTUNITE IMMO)
    • SELECTINVEST 1
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    news-2322 Wed, 10 Mar 2021 09:01:00 +0100 Information sur le Règlement « Disclosure » article 9 - Valeurs mobilières /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-sur-le-reglement-disclosure-article-9-valeurs-mobilieres/ Nous invitons les détenteurs de parts des produits listés, à prendre connaissance de la communication réalisée dans le cadre de l’application au 10 mars 2021 du règlement (UE) 2019/2088, dit « Règlement Disclosure ou SFDR » adopté par le Parlement européen et le Conseil de l’Union Européenne le 27 novembre 2019 et portant sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Les produits concernés sont : La Française Actions Euro Capital Humain, LA FRANCAISE CARBON IMPACT 2026, LA FRANÇAISE INFLECTION POINT MULTI TRENDS, La Française Obligations Carbon Impact
    Le règlement Disclosure impose aux acteurs financiers de nouvelles obligations de reporting, inspirées de l’Article 173 de la loi de transition énergétique française de 2015 et établit des règles harmonisées à l’échelle de l’Union Européenne en matière de transparence et de communication d’informations extra-financières.

    Ce règlement impose aux acteurs financiers d’expliquer : 

    • Comment ils prennent en compte les risques liés au développement durable dans leurs décisions d’investissement ;
    • Quelles sont les incidences négatives éventuelles de leurs produits et de les mesurer ; 
    • Quelles sont les caractéristiques des produits financiers qu’ils présentent comme durables.

    Le règlement Disclosure s’impose à La Française Asset Management en sa qualité de société de gestion. 

    L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés par La Française Asset Management en trois catégories ci-après détaillées :

    • Article 8 : concerne les produits qui promeuvent, entre autres caractéristiques, des caractéristiques environnementales et/ou sociales ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ;
    •  Article 9 : concerne les produits financiers qui poursuivent un objectif d’investissement durable ;
    • Article 6 : concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales et qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.

    Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.

    Le risque en matière de durabilité se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait potentiellement ou effectivement avoir une incidence négative importante sur la valeur de l'investissement du produit financier. 

    La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités. 

    La société de gestion identifie ces risques autour de trois grandes familles :

    1.    Risques physiques liés au changement climatique
    2.    Risques de transition liés au changement climatique
    3.    Risques liés à la biodiversité 

    Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion mis en œuvre dans votre fonds, la classification applicable à votre fonds et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 9. 

    Par conséquent à la date du 10 mars 2021, votre fonds est géré selon un processus d'investissement intégrant les facteurs ESG, et a un objectif d'investissement durable spécifique.

    Vous pourrez trouver ci-après, de plus amples informations concernant l'inclusion de critères ESG (environnementaux, sociaux et de qualité de la gouvernance) dans la politique d'investissement appliquée par la société de gestion, la charte sur l'investissement durable, le rapport de stratégie climatique et responsable, la politique d'engagement et d'exclusion : cliquer ici 
     

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    news-2321 Wed, 10 Mar 2021 09:00:00 +0100 Information sur le Règlement « Disclosure » article 8 - Valeurs mobilières /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-sur-le-reglement-disclosure-article-8-valeurs-mobilieres/ Nous invitons les détenteurs de parts des produits listés, à prendre connaissance de la communication réalisée dans le cadre de l’application au 10 mars 2021 du règlement (UE) 2019/2088, dit « Règlement Disclosure ou SFDR » adopté par le Parlement européen et le Conseil de l’Union Européenne le 27 novembre 2019 et portant sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Les produits concernés sont : LA FRANCAISE TRESORERIE ISR, LA FRANCAISE SUB DEBT
    Le règlement Disclosure impose aux acteurs financiers de nouvelles obligations de reporting, inspirées de l’Article 173 de la loi de transition énergétique française de 2015 et établit des règles harmonisées à l’échelle de l’Union Européenne en matière de transparence et de communication d’informations extra-financières.
    Ce règlement impose aux acteurs financiers d’expliquer : 

    1. Comment ils prennent en compte les risques liés au développement durable dans leurs décisions d’investissement ;
    2. Quelles sont les incidences négatives éventuelles de leurs produits et de les mesurer ; 
    3. Quelles sont les caractéristiques des produits financiers qu’ils présentent comme durables.

    Le règlement Disclosure s’impose à La Française Asset Management en sa qualité de société de gestion. 
    L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés par La Française Asset Management en trois catégories ci-après détaillées :

    • Article 8 : concerne les produits qui promeuvent, entre autres caractéristiques, des caractéristiques environnementales et/ou sociales ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ;
    • Article 9 : concerne les produits financiers qui poursuivent un objectif d’investissement durable ;
    • Article 6 : concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales et qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.

    Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
    Le risque en matière de durabilité se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait potentiellement ou effectivement avoir une incidence négative importante sur la valeur de l'investissement du produit financier. 

    La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités. 

    La société de gestion identifie ces risques autour de trois grandes familles :

    1.    Risques physiques liés au changement climatique
    2.    Risques de transition liés au changement climatique
    3.    Risques liés à la biodiversité 

    Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion mis en œuvre dans votre fonds, la classification applicable à votre fonds et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 8. 
    Par conséquent à la date du 10 mars 2021, votre fonds est géré selon un processus d'investissement intégrant les facteurs ESG, et promeut les caractéristiques ESG.

    Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, de plus amples informations concernant l'inclusion de critères ESG (environnementaux, sociaux et de qualité de la gouvernance) dans la politique d'investissement appliquée par la société de gestion, la charte sur l'investissement durable, le rapport de stratégie climatique et responsable, la politique d'engagement et d'exclusion 

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    news-2320 Wed, 10 Mar 2021 09:01:00 +0100 Information sur le Règlement « Disclosure » article 6 - Valeurs mobilières /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-sur-le-reglement-disclosure-article-6-valeurs-mobilieres/ Nous invitons les détenteurs de parts des produits listés, à prendre connaissance de la communication réalisée dans le cadre de l’application au 10 mars 2021 du règlement (UE) 2019/2088, dit « Règlement Disclosure ou SFDR » adopté par le Parlement européen et le Conseil de l’Union Européenne le 27 novembre 2019 et portant sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers. Les produits concernés sont : AMPRIAM ; AVENIR CROISSANCE PATRIMOINE ; CAP HARMONIE ; CONSERVATEUR RENDEMENT 2022 ; CRYSTAL CONVERTIBLES ; ESPERLUETTE PRIVILEGE ; LA FRANCAISE ACTIONS MONDE ; LA FRANCAISE AMLEAGUE EURO 45 ; LA FRANCAISE CONVERTIBLES DYNAMIQUE ; LA FRANCAISE EURO INFLATION ; LA FRANÇAISE INFLECTION POINT TREND PREVENTION ; LA FRANCAISE MULTI-ASSET INCOME ; LA FRANCAISE MULTISTRATEGIES OBLIGATAIRES ; LA FRANCAISE OBLIGATIONS LT ; LA FRANCAISE PATRIMOINE FLEXIBLE ; LA FRANÇAISE PEA FLEX ; LA FRANCAISE PROFIL PERFORMANCE ; LA FRANCAISE PROTECTAUX ; LA FRANÇAISE RENDEMENT EMERGENT 2023 ; LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2022 ; LA FRANCAISE SERENI FLEX ; LA FRANÇAISE STRATÉGIES OBLIGATAIRES ; LE SÉCULAIRE ; LM HARMONY ; MEDI AUDACE ; MEDI OBLIGATIONS VARIABLES ; OBLICONTEXT 2023 M ; OBLIGATIONS 3-5 M ; PATRIMOINE CROISSANCE ; PCA EQUILIBRE ; PCA MODERE ; PREVALOR ; UFF ALLOCATION STRATÉGIES A ; UFF ALLOCATION STRATÉGIES ; UFF OBLICONTEXT 2023 A ; UFF OBLICONTEXT 2023 ; UFF OBLIGATIONS 3-5 A ; UFF OBLIGATIONS 3-5 ; LA FRANCAISE ACTIONS FRANCE PME ; LA FRANCAISE ALLOCATION ; LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS ; LA FRANÇAISE GLOBAL COCO ; LA FRANCAISE GLOBAL FLOATING RATES ; LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2025 ; LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 PLUS ; LA FRANCAISE RENDEMENT GLOBAL 2028 ; PCA DYNAMIQUE

    Le règlement Disclosure impose aux acteurs financiers de nouvelles obligations de reporting, inspirées de l’Article 173 de la loi de transition énergétique française de 2015 et établit des règles harmonisées à l’échelle de l’Union Européenne en matière de transparence et de communication d’informations extra-financières.

    Ce règlement impose aux acteurs financiers d’expliquer : 

    • Comment ils prennent en compte les risques liés au développement durable dans leurs décisions d’investissement ;
    • Quelles sont les incidences négatives éventuelles de leurs produits et de les mesurer ;
    • Quelles sont les caractéristiques des produits financiers qu’ils présentent comme durables.

    Le règlement Disclosure s’impose à La Française Asset Management en sa qualité de société de gestion. 

    L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés par La Française Asset Management en trois catégories ci-après détaillées :

    • Article 8 : concerne les produits qui promeuvent, entre autres caractéristiques, des caractéristiques environnementales et/ou sociales ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ;
    • Article 9 : concerne les produits financiers qui poursuivent un objectif d’investissement durable ;
    • Article 6 : concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales et qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.

    Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.

    Le risque en matière de durabilité se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait potentiellement ou effectivement avoir une incidence négative importante sur la valeur de l'investissement du produit financier. 

    La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités. 

    La société de gestion identifie ces risques autour de trois grandes familles :

    1.    Risques physiques liés au changement climatique
    2.    Risques de transition liés au changement climatique
    3.    Risques liés à la biodiversité 

    Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion mis en œuvre dans votre fonds, la classification applicable à votre fonds et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 6. 

    Par conséquent à la date du 10 mars 2021, votre fonds est géré selon un processus d'investissement intégrant les facteurs ESG, mais ne promeut pas les caractéristiques ESG, et n’a pas d'objectif d'investissement durable spécifique.

    Vous pourrez trouver  ci-après, de plus amples informations concernant l'inclusion de critères ESG (environnementaux, sociaux et de qualité de la gouvernance) dans la politique d'investissement appliquée par la société de gestion, la charte sur l'investissement durable, le rapport de stratégie climatique et responsable, la politique d'engagement et d'exclusion : cliquer ici 
     

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    news-2318 Mon, 08 Mar 2021 14:00:00 +0100 La Française AM aligne son offre durable à la doctrine AMF et au reglement disclosure /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-aligne-son-offre-durable-a-la-doctrine-amf-et-au-reglement-disclosure/ Le 10 mars 2021 marque la mise en application de la Doctrine AMF 2020-03 et du Règlement Disclosure (Sustainable Finance Disclosure Regulation - SFDR). Ces règlementations, applicables respectivement pour la commercialisation des fonds en France et en Union Européenne, concernent la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur financier afin de permettre une plus grande transparence et une base de comparaison pour l’investisseur final. A la lumière de ces nouvelles réglementations, La Française AM, société de gestion du Groupe La Française, affiche une gamme de fonds ouverts à la commercialisation majoritairement durable. Alors qu’à fin janvier 76% des encours des fonds ouverts en cours de commercialisation intégraient des critères durables, au 10/03, La Française AM progressera encore avec :

    • 87% des encours* classifiés en « Approches fondées sur un engagement significatif dans la gestion », selon la classification AMF ;
    • 87% des encours* alignés « Articles 8 ou 9 », selon le règlement Disclosure. Les produits « article 9 » ont des objectifs définis et quantifiables en matière de risques ESG (Environnemental, Social et Gouvernance). Ce sont des produits ayant un objectif social ou environnemental, alignés avec la définition des investissements durables. De leur côté, les produits « article 8 » n’ont pas d'objectif ESG déterminés mais prennent en considération les critères ESG en vue de la construction de leurs portefeuilles.

    Dès le 10 mars 2021, les investisseurs de La Française AM auront accès à une communication renforcée en matière de durabilité, comme l’impose la Doctrine AMF et le Règlement Disclosure. Ces informations supplémentaires donneront aux clients qu’ils soient particuliers ou institutionnels des repères indispensables quant au caractère durable de chaque fonds d’investissement.

    La Française AM s’est fixé comme objectif une gamme de fonds ouverts à la commercialisation 100% durable à fin 2022. Fort de cette première avancée, la société de gestion La Française AM poursuit le processus de transformation de ses fonds pour l’atteinte de cet objectif.

    *Données au 28/02/2021


    Lexique :

    Doctrine AMF 2020-03 : 

    • Objectifs  Assurer la cohérence de la communication sur les fonds et éviter le « ESG washing ».
    • Classification des fonds
      • Approches fondées sur un engagement significatif dans la gestion
      • Approches fondées non significativement engageants
      • Approches n’atteignant pas les standards des communications centrales ou réduits 

    Règlement UE n°2019/2088 SFDR / Disclosure 

    • Objectifs ->Établir des règles de transparence harmonisées pour les acteurs des marchés financiers en matière de durabilité.
    • Tous les fonds doivent répondre à l’article 6 visant à la transparence de l’intégration des risques en matière de durabilité 
    • Option de classification des fonds :
      • Tous les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « faisant la promotion de caractéristiques environnementales ou sociales, ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ». (article 8)
      • Tous les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « ayant un objectif d’investissement durable ». (article 9)
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    news-2316 Mon, 08 Mar 2021 14:00:00 +0100 Fusion réussie, Epargne Foncière deviendra la plus importante SCPI du marché français /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fusion-reussie-epargne-fonciere-deviendra-la-plus-importante-scpi-du-marche-francais/ Les associés se sont prononcés : Epargne Foncière deviendra la plus importante Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) du marché français avec 4,3 Milliards d’euros de capitalisation, soit plus de 6 % de la capitalisation totale du marché au 31/12/2020. (Source : IEIF). Le 15 janvier, les associés se sont réunis en Assemblée Générale Extraordinaire et ont voté en faveur de la fusion absorption de Multimmobilier 2, Eurofoncière 2 et Pierre Privilège par la SCPI Épargne Foncière. Cette opération de fusion, à effet rétroactif au 1er janvier 2021, est soumise à l’obtention du Visa de l’Autorité des Marchés Financiers.

    Marc-Olivier Penin, Directeur général de La Française Real Estate Managers commente « Ce nouvel ensemble bénéficiera de la visibilité accrue d’Épargne Foncière sur le marché français voire sur les marchés européens et permettra d’attirer de nouveaux capitaux essentiels à la poursuite du renouvellement et de la régénération du patrimoine de la SCPI. Aujourd’hui plus que jamais, les SCPI à large capitalisation comme Epargne Foncière sont les mieux armées pour maintenir de bons fondamentaux immobiliers, afficher des niveaux de performance en phase avec le marché et poursuivre une dynamique positive, des atouts nécessaires à la bonne gestion de liquidité du fonds. »

    Cette opération de fusion répond à une logique de recherche de taille et de surface financière importante pour pouvoir mettre en œuvre des projets d’investissements ambitieux. L’enjeu du rapprochement s’articule autour de quatre grands axes étroitement liés, créant ainsi un cercle vertueux :

    Le 15 janvier, les associés se sont réunis en Assemblée Générale Extraordinaire et ont voté en faveur de la fusion absorption de Multimmobilier 2, Eurofoncière 2 et Pierre Privilège par la SCPI Épargne Foncière. Cette opération de fusion, à effet rétroactif au 1er janvier 2021, est soumise à l’obtention du Visa de l’Autorité des Marchés Financiers.

    Marc-Olivier Penin, Directeur général de La Française Real Estate Managers commente « Ce nouvel ensemble bénéficiera de la visibilité accrue d’Épargne Foncière sur le marché français voire sur les marchés européens et permettra d’attirer de nouveaux capitaux essentiels à la poursuite du renouvellement et de la régénération du patrimoine de la SCPI. Aujourd’hui plus que jamais, les SCPI à large capitalisation comme Epargne Foncière sont les mieux armées pour maintenir de bons fondamentaux immobiliers, afficher des niveaux de performance en phase avec le marché et poursuivre une dynamique positive, des atouts nécessaires à la bonne gestion de liquidité du fonds. »

    Cette opération de fusion répond à une logique de recherche de taille et de surface financière importante pour pouvoir mettre en œuvre des projets d’investissements ambitieux. L’enjeu du rapprochement s’articule autour de quatre grands axes étroitement liés, créant ainsi un cercle vertueux :

    • La taille 

    La taille d’une SCPI est un paramètre primordial pour traverser les cycles financiers et immobiliers. Plus une SCPI revêt une taille importante, plus elle offre une diversification et une mutualisation des risques importante et plus elle est en mesure de mettre en œuvre des projets d’investissements ambitieux pour rénover, rajeunir et renouveler son patrimoine. Avec une capitalisation de 4,3 milliards d’euros, la SCPI Epargne Foncière aura, après fusion, un patrimoine immobilier composé d’environ 440 actifs et présentera la répartition suivante : 
     

     

    • La collecte

    Maintenir une dynamique de collecte permet de renouveler le patrimoine de la SCPI, afin d’éviter l’obsolescence technique et locative des actifs. Pour les SCPI absorbées, il s’agit de bénéficier de la réputation d’Epargne Foncière et ainsi d’une dynamique commerciale accrue.

    • La performance

    La performance reste l’un des principaux critères de sélection pour l’épargnant et la taille d’Epargne Foncière devrait permettre à la SCPI de maintenir son niveau de distribution sur valeur de marché, qui est supérieur à la moyenne du marché depuis 2011. (Source : IEIF)

    Epargne Foncière, grâce à sa taille et sa dynamique de collecte, sera en mesure de renouveler son patrimoine immobilier afin de répondre au mieux à la demande actuelle des locataires utilisateurs. Elle assurera ainsi un taux d’occupation financier élevé et minimisera le coût des travaux de rénovation, deux facteurs qui soutiendront son niveau de distribution.

    • La liquidité

    Un dernier facteur déterminant pour une SCPI est la fluidité de son marché des parts. Les demandes de retrait, généralement entre 1% et 2% de la capitalisation chaque année, sont naturelles dans la vie d’une SCPI et se gèrent aisément avec une collecte régulière. Epargne Foncière est une SCPI à large capitalisation qui bénéficie d’une forte notoriété et d’une excellente dynamique commerciale, autant de caractéristiques qui contribuent à sa bonne liquidité.

    Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers conclut, « Cette opération de fusion au caractère inédit, par son ampleur et la taille du nouvel ensemble, représente pour chacune des SCPI concernées de véritables opportunités. Elle est le fruit d’une longue réflexion et d’un travail commun des équipes de La Française REM avec les membres des conseils de surveillance de chaque SCPI. Le vote favorable en première convocation des assemblées générales représentant 60 000 associés est une marque de confiance en l’avenir et un nouvel élan pour cette grande SCPI. »

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2311 Fri, 05 Mar 2021 11:02:11 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-7/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une précision au compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV « La Française » concernant les catégories d’actions dites « hedgées » (couvertes) du compartiment, comme suit : « Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2310 Fri, 05 Mar 2021 10:55:34 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-2/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications d’ordre règlementaire au compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV « La Française. Ces modifications sont relatives à la mise en conformité du processus d’investissement du compartiment appliquant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG »). Par ailleurs, nous avons ajouté une précision concernant les catégories d’actions dites « hedgées » (couvertes) du compartiment, comme suit :

    « Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »

    Vous trouverez le détail de ces modifications en annexe 1 de ce présent avis.
    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entreront en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2307 Wed, 03 Mar 2021 17:20:04 +0100 L’AMF, l’AFG, l’ASPIM, France Invest, l’Anacofi, la Cie CIF, la CNCGP et la CNCIF mettent en garde le public contre la recrudescence des usurpations de nom d’acteurs autorisés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lamf-lafg-laspim-france-invest-lanacofi-la-cie-cif-la-cncgp-et-la-cncif-mettent-en-garde-le-public-contre-la-recrudescence-des-usurpations-de-nom-dacteurs-autorises/ L’Autorité des marchés financiers et les associations de professionnels du secteur de la gestion d’actifs et de patrimoine lancent un appel commun à la plus grande vigilance des épargnants face à l’utilisation frauduleuse, de plus en plus fréquente, du nom d’intermédiaires ou de produits financiers autorisés, à desfins d’escroqueries. Devant l’ampleur du phénomène, elles rappellent les bons réflexes à avoir avant tout investissement. L'AFG invite les sociétés de gestion à publier ce communiqué sur leur propre site internet et à le diffuser à leurs clients afin de renforcer ensemble la lutte contre ces activités frauduleuses.
     
    Pour en savoir plus, cliquer ici

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    news-2305 Fri, 05 Mar 2021 11:41:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Global Coco » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-global-coco-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-2/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une précision au compartiment « La Française Global Coco » de la SICAV « La Française » concernant les catégories d’actions dites « hedgées » (couvertes) du compartiment, comme suit : « Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »
    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site www.la-francaise.com


    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
     

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    news-2304 Fri, 05 Mar 2021 11:35:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-carbon-impact-2026-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-1/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications d’ordre règlementaire au compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » de la SICAV « La Française. Ces modifications sont relatives à la mise en conformité du processus d’investissement du compartiment appliquant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG »). Par ailleurs, nous avons ajouté une précision concernant les catégories d’actions dites « hedgées » (couvertes) du compartiment, comme suit :

    « Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »
    Vous trouverez le détail de ces modifications en annexe 1 de ce présent avis. 

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entreront en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com


    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
     

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    news-2303 Fri, 05 Mar 2021 10:38:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-1/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une précision au compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV « La Française » concernant les catégories d’actions dites « hedgées » (couvertes) du compartiment, comme suit : « Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »
    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site www.la-francaise.com


    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
     

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    news-2287 Fri, 05 Mar 2021 09:00:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-6/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une précision au compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV « La Française » concernant les catégories d’actions dites « hedgées » (couvertes) du compartiment, comme suit : « Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2286 Fri, 05 Mar 2021 09:00:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Obligations Carbon Impact » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-obligations-carbon-impact-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications d’ordre règlementaire au compartiment « La Française Obligations Carbon Impact » de la SICAV « La Française. Ces modifications sont relatives à la mise en conformité du processus d’investissement du compartiment appliquant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG »). Ainsi, vous trouverez le détail de ces modifications en annexe 1 de ce présent avis.

    Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entreront en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Obligations Carbon Impact » disponible sur le site www.la-francaise.com

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2278 Fri, 05 Mar 2021 09:00:00 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise/ Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter une précision au compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV « La Française » concernant les catégories d’actions dites « hedgées »* (couvertes) du compartiment, comme suit : « Les actions « H »* couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »

    *Ces actions ne sont pas autorisées à la commercialisation en Belgique

    Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site www.fundinfo.com.

    Le prospectus en vigueur ainsi que les documents d’informations clés pour l’investisseur (Key Investor Information Documents, « KIID ») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais.

    Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège de la SICAV et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.

    Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2265 Mon, 01 Mar 2021 09:40:24 +0100 Avis : Brexit – OPC éligibles au PEA /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-brexit-opc-eligibles-au-pea-1/ Conformément à l’ordonnance 2020-1595 du 16 décembre 2020 et de son arrêté d’application du 22 décembre2020, nous vous informons du choix de La Française Asset Management de maintenir l’éligibilité au régime PEA desOPC éligibles à ce jour, notamment à l’issue de la période de transition (soit au-delà du 30 septembre 2021).

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur des OPC disponible.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2262 Mon, 01 Mar 2021 09:00:00 +0100 Avis : Brexit – OPC éligibles au PEA /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-brexit-opc-eligibles-au-pea/ Conformément à l’ordonnance 2020-1595 du 16 décembre 2020 et de son arrêté d’application du 22 décembre 2020, nous vous informons du choix de La Française Asset Management de maintenir l’éligibilité au régime PEA des OPC éligibles à ce jour, notamment à l’issue de la période de transition (soit au-delà du 30 septembre 2021).

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur des OPC disponible sur ce site 

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-2258 Fri, 19 Feb 2021 11:58:35 +0100 Innovation et engagement durable à La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/innovation-et-engagement-durable-a-la-francaise/ Depuis de nombreuses années, La Française fait rimer innovation et engagement durable

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    news-2253 Fri, 12 Feb 2021 11:10:38 +0100 Convictions d’investissement 2021 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/convictions-d-investissement-2021/ Un renouveau ou une accélération des tendances actuelles ? L’année 2020 aura été particulièrement agitée, avec des marchés volatils mais des performances finalement résilientes. Du fait des politiques publiques de soutien, à la fois monétaires et budgétaires, la perspective d’un environnement de taux durablement bas semble confortée. 

    Les classes d’actifs obligataires seront donc de nouveau guidées par la recherche de rendement qui domine depuis plusieurs années. Les obligations subordonnées et les obligations à haut rendement font logiquement partie de nos choix d’allocation pour 2021. Ces deux classes d’actifs offrent en effet des rendements attractifs et resteront des solutions d’investissement à considérer pour de nombreux investisseurs.

    Du côté des actions, sauf dérapage du scénario sanitaire, nous restons dans une vision constructive des indices, avec une préférence pour les zones américaines et émergentes. Nous privilégions les secteurs plutôt cycliques, capables de profiter du rebond, en restant à l’écart des valeurs les plus affectées par la crise comme l’aérien ou l’hôtellerie. 

    Enfin, La Française Asset Management réaffirme sa forte conviction sur l’investissement ESG et notamment sur la thématique du carbone. Au-delà de notre engagement qui nous amènera à une gamme de fonds ouverts 100% ESG dans les deux années à venir, nous croyons à la poursuite de la surperformance de ces thématiques en 2021 et au-delà. 

    Jean-Luc HIVERT
    Président de La Française Asset Management

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    news-2249 Wed, 10 Feb 2021 17:53:14 +0100 Sommes-nous en train de passer d'une économie dominée par la politique monétaire à une politique budgétaire ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/sommes-nous-en-train-de-passer-dune-economie-dominee-par-la-politique-monetaire-a-une-politique-budgetaire/ Par François Rimeu, Senior Strategist, La Française AM Le soutien offert par les banques centrales depuis la crise de 2008 a été considérable. 

    Cela a commencé en novembre 2008, lorsque la Réserve fédérale américaine a introduit le premier assouplissement quantitatif (« Quantitative easing »). Depuis, les banques centrales du monde entier (Banque centrale européenne, Banque d'Angleterre, Banque du Japon, etc.) ont lancé une série de politiques d'assouplissement quantitatives de différentes tailles (QE 2, QE 3...) sur une variété d'actifs financiers (obligations d'État, obligations d'entreprises, actions...). Sans le soutien monétaire offert par les banques centrales, il est très difficile de savoir comment les crises de 2008 ou 2011 auraient évolué. L'assouplissement quantitatif a certes des défauts, mais il a permis à certains pays d'enregistrer des déficits budgétaires considérables sans craindre une flambée de leurs taux d'intérêt à long terme.

    Il est clair depuis un certain temps que la politique monétaire a accompli tout ce qu'elle pouvait avec un impact marginal de chaque nouvelle mesure d’assouplissement de plus en plus faible. La Banque centrale européenne le confirme depuis des années et, plus récemment, la Réserve fédérale américaine aussi.

    L'heure est venue d'intervenir sur le plan budgétaire. En vérité, c'était déjà le cas avant la crise du Covid-19, et ça l’est à fortiori encore plus après.

    Dans les années à venir, le scénario le plus probable est le maintien de politiques monétaires extrêmement accommodantes et des politiques budgétaires expansionnistes. Le maintien des politiques monétaires accommodantes n’est pas une option étant donné les besoins de relance budgétaire et le faible risque inflationniste à long terme (au-delà des effets de bases très positifs en 2021). Avant la crise du Covid-19, les gouvernements étaient, pour la plupart, quelque peu réticents à l'idée d'afficher des déficits budgétaires très importants, craignant un risque inflationniste, une incapacité potentielle à rembourser leur dette ou toute autre conséquence négative potentielle. Ces raisons semblent avoir perdu de leur substance au cours des douze derniers mois et font pâle figure au regard de la crise traversée par une grande majorité des pays développés.

    Plus important encore, dans le contexte actuel, ce serait un suicide politique pour tout parti de promettre une réduction des dépenses budgétaires. Le chômage est élevé et continue à se dégrader, les entreprises de services sont toujours fortement touchées par la pandémie et l'incertitude reste très élevée. Le rythme de vaccination prévue permet de formuler quelques espoirs sur la deuxième moitié de l’année, mais cela sera trop tard pour nombres d’entreprises. Ce n’est cependant certainement pas le moment de réduire les dépenses budgétaires, la population ne le comprendrait pas avec pour conséquence de probables troubles sociaux qui seraient très difficiles à gérer dans la situation actuelle.  

    À l'heure actuelle, personne ne sait quelle est la limite à cette relance budgétaire. L’inflation ? la perte de crédibilité des banques centrales ? Une confiance des investisseurs qui s’érode envers certains pays ?  Beaucoup de possibilité et peu de certitudes hormis le fait que la relance budgétaire devrait rester très importante dans les années qui viennent. Jusqu’à ce que la limite apparaisse…   


    Avertissement :

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2247 Thu, 11 Feb 2021 09:00:00 +0100 Roland Rott nommé Head of ESG & Sustainable Investment Research pour le Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/roland-rott-nomme-head-of-esg-sustainable-investment-research-pour-le-groupe-la-francaise/ Le Groupe La Française a commencé à développer sa stratégie innovante ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) en 2008 et a franchi des étapes importantes depuis. En 2014, le Groupe a ainsi intégré un centre de recherche ESG multi-actifs, récemment rebaptisé La Française Sustainable Investment Research (LF SIR) . Aujourd'hui, le Groupe est ravi d'annoncer que Dr Roland Rott, CFA, Mananging Director de LF SIR, a été nommé Head of ESG & Sustainable Investment Research pour le Groupe La Française.

    Le Groupe La Française gère plus de 10 milliards d'euros (au 31/12/2020) d'investissements durables, toutes classes d'actifs confondues. En tant que Head of ESG & Sustainable Investment Research, Roland Rott continuera à travailler en étroite collaboration avec Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing pour le Groupe La Française, afin de définir et mettre en œuvre la stratégie ESG du groupe. 

    Roland dirige les activités de recherche et d'engagement en investissement durable avec une équipe de cinq analystes ESG. En outre, il est responsable des données et des méthodologies ESG, du pilotage des projets ESG et est impliqué dans le développement de produits ESG et leur marketing avec les équipes d'investissement et de distribution de l’ensemble des entités du groupe.

    Roland a rejoint le Groupe La Française en 2016 et a été promu Managing Director du centre de recherche ESG en 2018. Sous sa direction, La Française Sustainable Investment Research, située à Londres, est devenue le centre d'expertise du groupe en investissement durable, couvrant toutes les classes d'actifs : actions, obligations et immobilier coté.

    Roland Rott, Head of ESG & Sustainable Investment Research pour le Groupe La Française, a déclaré : « Pour répondre à nos ambitions, je concentrerai notre recherche sur l’investissement durable et sur la stratégie d'investissement durable pour les sociétés de gestion du Groupe La Française. Au cours des deux dernières années, l'équipe LF SIR a joué un rôle déterminant dans la conception de solutions d'investissement ESG et a développé une palette d’outils exclusifs ESG et de gestion des risques climatiques, que nous continuerons d'étendre à toutes les classes d'actifs. »

    Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing pour le Groupe La Française, a conclu : « La nomination de Roland au poste de Head of ESG & Sustainable Investment Research pour le Groupe La Française permet une cohérence dans la qualité de la recherche fournie à nos équipes de gestion. En outre, la contribution de Roland permettra de transformer avec succès les fonds ouverts de La Française AM en une gamme de produits 100 % durable d'ici la fin de 2022. » 

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    news-2238 Tue, 09 Feb 2021 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert son premier actif basé à La Haye aux Pays-Bas /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-son-premier-actif-base-a-la-haye-aux-pays-bas/ La Française Real Estate Managers a acquis auprès d'un investisseur institutionnel, un immeuble de bureaux au cœur du quartier des affaires de La Haye (Pays-Bas). L’immeuble est situé au 69/71 Anna van Saksenlaan, à proximité immédiate de la gare ferroviaire « Laan van NOI » et de l'autoroute A12.

    L'immeuble de bureaux de cinq étages (R+5), achevé en 2003 et récemment rénové par le locataire, dispose de 9 324 m2, de 55 places de stationnement intérieur (en sous-sol) et de 52 places de stationnement extérieur. Le bâtiment et ses équipements intègrent pleinement les exigences en matière de durabilité : bâtiment labellisé A-energy, parking pour les vélos largement dimensionné, points de recharge électrique et ruche sur le toit. 

    Cet immeuble de bureaux de grand standing est entièrement loué à la FMO, la banque néerlandaise de développement des entreprises qui y a installé son siège social.

    Jens Goettler, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir une quatrième propriété au Randstad, le poumon économique des Pays-Bas. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie d'investissement, qui combine critères financiers et critères ESG. Situé dans une ville réputée pour l'abondance de ses espaces verts, classée parmi les premières villes des Pays-Bas en matière d’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, nous sommes convaincus que cet immeuble restera attractif sur le long terme. En outre, le quartier de Beatrixkwartier se développe en zone à usage mixte avec des bureaux, des crèches, un club de remise en forme, un centre de conférence, etc. et attire diverses organisations internationales et de grandes entreprises. »

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de trois Sociétés Civiles de Placement Immobilier : LF Europimmo, Epargne Foncière et Multimmobilier 2.

    La Française Real Estate Managers a été conseillée par DLA Piper Netherlands sur les aspects juridiques et par Savills Netherlands sur l’audit technique préalable et comme conseiller à l’achat.
     

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    news-2233 Fri, 05 Feb 2021 09:37:37 +0100 La Française asset management vise une gamme de fonds ouverts 100% investissement durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-asset-management-vise-une-gamme-de-fonds-ouverts-100-investissement-durable/ La Française Asset Management (LFAM – société de gestion du Groupe La Française) annonce son ambition de disposer d’une gamme de fonds ouverts 100% investissement durable d’ici fin 2022. Cet objectif s’inscrit dans la continuité de la stratégie du Groupe La Française dont 73 % des encours des fonds ouverts LFAM répondent déjà aux critères de durabilité et dont sept sont labellisés. (31/12/2020) C’est depuis 2008 que le Groupe La Française construit son approche ESG (environnemental, social et gouvernance) de façon innovante avec des étapes emblématiques comme le lancement d’une stratégie Carbon Impact à l’occasion de la signature de l’Accord de Paris en 2015. Aujourd’hui, le groupe déploie sa stratégie durable sur l’ensemble de ses classes d’actifs et sera ainsi en mesure de proposer une offre durable multi-asset.

    Le Groupe La Française a investi dans les moyens et ressources nécessaires pour atteindre ces objectifs à travers notamment son centre de recherche ESG propriétaire basé à Londres : La Française Sustainable Investment Research (LF SIR). Ses équipes ont travaillé à la mise en oeuvre de méthodologies innovantes de mesures mais aussi de projection des émissions de carbone.

    « Nos ambitions sont fortes. Engagée depuis 2008, LFAM continuera à répondre aux attentes des clients en matière d’investissement durable via une gamme complète de solutions sur l’ensemble de nos classes d’actifs », précise Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments et Président de LFAM.

    « Notre engagement marque une nouvelle étape de notre évolution tournée vers l’investissement durable. La rigueur de nos méthodologies et la montée en puissance de nombreux spécialistes au sein du Groupe sont les gages de la transformation de La Française AM en un acteur engagé », conclut Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing, Groupe La Française.

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    news-2232 Fri, 05 Feb 2021 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert un ensemble immobilier de bureaux situé à Marquette-Lez-Lille (59) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-ensemble-immobilier-de-bureaux-situe-a-marquette-lez-lille-59/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de la SCI du Pont de l’Abbaye associant BATIXIA, la Caisse d’Epargne Hauts de France et la Caisse des Dépôts un ensemble immobilier de bureaux multi-locataires situé au 300 rue de Lille à Marquette-Lez-Lille, dans le parc tertiaire RIVEO, à dix minutes en voiture des gares de Lille Flandres et Lille Europe. Cet ensemble immobilier d’une surface globale de 6 466 m² comprend deux immeubles en R+3 offrants des plateaux divisibles. Les actifs sont certifiés HQE tertiaire.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de SCI LF MULTIMMO INVEST.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Graf Notaires. La SCI du Pont de l’Abbaye a été conseillée par l’office notarial Arsenal Notaires Associés à Lille.  Cette transaction a été réalisée par l’intermédiaire du cabinet conseil BEAUMARIS à Lille dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP RE.
     

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    news-2230 Wed, 03 Feb 2021 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux à Saint-Ouen (93) auprès de Keys REIM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-saint-ouen-93-aupres-de-keys-reim/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’un fonds géré par Keys REIM, un immeuble de bureaux dans un programme comprenant également une résidence étudiante et un hôtel. Il est situé au 64, rue des Rosiers à Saint-Ouen à proximité du Boulevard Périphérique et de la toute nouvelle station, « Saint-Ouen » sur la ligne 14. 

    Cet actif, livré en août 2020, développe 4 109 m² sur 6 niveaux et possède une terrasse de 380 m² au 5ème étage ainsi que de nombreuses terrasses donnant sur le cœur d’ilot qui abrite le jardin de l’hôtel. Ces arguments ont séduit la société Pick Up Services, filiale du groupe La Poste, qui a pris à bail la totalité de l'opération plus de 18 mois avant sa livraison, en vue d'y installer son nouveau siège social.
     

    L’immeuble est labellisé BREEAM Very Good et WELL Silver, une certification visant le bien-être des occupants. Outre ses parois végétalisées, l’actif présente de remarquables qualités environnementales, notamment grâce à ses systèmes énergétiques très performants et la gestion de son éclairage particulièrement étudiée (fractionnement spatial et crépusculaire, détection de présence) qui participe également au confort de travail pour l’utilisateur.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le Cabinet Jeantet. Keys REIM a été conseillée par l’office notarial Alcaix & Associés.  Les deux parties ont été assistées par Jones Lang Lasalle.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-2220 Wed, 20 Jan 2021 11:16:00 +0100 La BCE devrait rappeler que la "politique fiscale" est la solution ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-bce-devrait-rappeler-que-la-politique-fiscale-est-la-solution/ La BCE tiendra sa conférence de presse le 21 janvier prochain. Les attentes du marché sont très faibles suite aux annonces de décembre dernier (Augmentation de la taille du Programme d'achat d'urgence en cas de pandémie, nouvelles opérations de refinancement ciblées à plus long terme, etc...), ainsi nous n'attendons pas beaucoup de cet événement :

    • Christine Lagarde gardera probablement un ton très conciliant mais ne discutera pas de la modification des outils de politique monétaire de la BCE.
    • La récente chute de l'euro par rapport au dollar américain diminue la pression sur la BCE pour qu'elle commente les mouvements des taux de change. Néanmoins, après l'appréciation de l'euro l'année dernière, elle pourrait réaffirmer qu'elle "continuera à surveiller l'évolution du taux de change".
    • La BCE ne commentera probablement pas le "bruit" politique aux Pays-Bas, en Allemagne ou en Italie (surtout pas en Italie).
    • En outre, la BCE rappellera probablement que la politique budgétaire doit être la principale réponse à la situation économique actuelle.

    Dans l'ensemble, nous n'attendons pas de réaction significative du marché lors de cette réunion de la BCE.

     
    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2215 Tue, 19 Jan 2021 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un actif situé à Cologne, Allemagne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-actif-situe-a-cologne-allemagne/ La Société Civile de Placement Immobilier LF Europimmo, représentée par La Française Real Estate Managers, a acquis un immeuble à usage mixte à Cologne, en Allemagne, auprès de Primus Siebte ImmoInvest GmbH, société du groupe WvM Immobilien + Projektentwicklung. L’actif se trouve au 310-316 Venloer Str. dans le quartier d'Ehrenfeld, un excellent emplacement commercial en périphérie de Cologne, le principal centre économique de la région de Rhénanie du Nord-Westphalie. Avec la station de métro Venloer Str. à seulement 170 mètres, cet actif est idéalement situé et facile d'accès. 

    Construit en 1965 et entièrement réaménagé au deuxième semestre 2020, cet immeuble de trois étages (R+2) offre 30 mètres de devanture, 2 824 m2 de surface commerciale, 790 m2 de bureaux, 482 m2 d'espaces de stockage et 63 places de stationnement (en sous-sol). 

    Le bien est entièrement loué à trois locataires : un enseigne de la grande distribution (Rewe Markt GmbH), une pharmacie (DM-Drogerie Markt GmbH + Co. KG) et un espace de coworking (Unicorn Workspaces).

    Jens Goettler, Directeur général de La Française Real Estate Managers – Allemagne, a déclaré : « Situé dans un quartier très animé et densément peuplé de la ville de Cologne, cet immeuble commercial devrait, compte tenu de sa visibilité unique et du trafic piétonnier, offrir au fonds des revenus stables et sûrs, tout en bénéficiant de l'évolution démographique de la zone. »

    La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Clifford Chance Deutschland LLP pour les aspects juridiques et de TA Europe Real Estate GmbH pour les aspects techniques de la due diligence. L'actif a été introduit par JLL. 


    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-2213 Thu, 14 Jan 2021 10:00:00 +0100 La Française Actions France PME reçoit le Label « Relance » pour sa contribution à la reprise de l’économie française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-actions-france-pme-recoit-le-label-relance-pour-sa-contribution-a-la-reprise-de-leconomie-francaise/ La Française, groupe de gestion d’actifs avec près de 53 milliards d’euros en actifs sous gestion (au 30/11/2020), est fière d’annoncer que son fonds La Française Actions France PME a reçu le Label gouvernemental « Relance », créé dans le cadre de l’Accord de Place du 19 octobre 2020. Le Label « Relance » distingue les fonds d’investissement capables de mobiliser rapidement des ressources nouvelles pour soutenir les entreprises françaises, et en particulier les PME et ETI. Pour les investisseurs, ce label permet d’identifier les placements qui répondent aux besoins de financement à long terme des entreprises françaises et qui contribuent ainsi à une reprise rapide et durable de l’économie française. Cette démarche fait d’autant plus sens suite à la crise sanitaire sans précédent que nous connaissons.

    À tout moment, La Française Actions France PME, dont l’objectif est de réaliser une performance nette de frais supérieure à celle de l'indice Enternext PEA PME 150 dividendes non réinvestis, est exposé à hauteur de 75% minimum de son actif en valeurs françaises de petites et moyennes tailles (PME) et de tailles intermédiaires (ETI). Depuis le changement de gestion intervenu en février 2014, le fonds, qui pèse plus de 77 millions d’euros en capitalisation, a surperformé son indice de référence : 99,95 % contre 56 % au 31/12/2020.

    Jérôme Fauvel, gérant senior du fonds depuis 2014, déclare « Ce label vient reconnaitre notre accompagnement sur le long terme des PME et ETI françaises et témoigne de notre confiance dans leur robustesse. » 
    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments et Président de La Française AM conclut, « Il est de notre devoir, en qualité de société de gestion responsable, d’orienter les capitaux des investisseurs vers des solutions d’investissement qui collectivement pourront contribuer à soutenir la relance, tout en proposant une solution de diversification de leur épargne. »

    Performance part C : 24,68 % vs 14,42 % en 2020 ; 25,16 % vs 14,25 % en 2019 ; -26,9 % vs -27,92 % en 2018 ; 19,26 % vs 23,8 % en 2017 ; 18,85 % vs 9,08 % en 2016 ; 31,32 % vs 20,09 % en 2015

     

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    news-2212 Tue, 12 Jan 2021 15:14:42 +0100 Information aux porteurs de parts de l'OPCI CERENICIMO+ /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-porteurs-de-parts-de-lopci-cerenicimo-1/ Nomination des membres du Conseil de Surveillance Après clôture de l’appel à candidature lancé en date du 1er octobre 2020

    • Monsieur Jean-Luc BRONSART
    • Monsieur Philippe Georges DESCHAMPS
    • Monsieur Guillaume MAISSE

    Ont été nommés en qualité de membres du Conseil de Surveillance de LF CERENICIMO+ pour une durée de trois ans. 

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    news-2210 Mon, 11 Jan 2021 09:21:46 +0100 Reconstitution de la prime de risque immobilière : vers une segmentation des marchés immobiliers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reconstitution-de-la-prime-de-risque-immobiliere-vers-une-segmentation-des-marches-immobiliers/ de Virginie Wallut, Directeur de la recherche immobilière et de l’Investissement Socialement Responsable, La Française Real Estate Managers Face au choc exceptionnel induit par la crise sanitaire, l’immobilier a conservé toute son attractivité grâce à une prime de risque immobilière élevée, i.e. la différence entre le rendement locatif des actifs immobiliers à l’acquisition et les taux sans risque. Avec le taux des obligations souveraines proche de zéro en Europe, la prime de risque immobilière européenne s’élevait à 316 pbs (1) fin septembre, un niveau 68% supérieur à sa moyenne long-terme qui s’élève à 188 pbs. La politique monétaire européenne devrait prolonger les niveaux bas des taux souverains en 2021, de quoi maintenir l’attractivité de la pierre.

    Toutefois, une nouvelle perception des risques liée à la détention des actifs immobiliers se fait jour et devrait entraîner une reconstitution de la prime de risque de manière spécifique à chaque actif. Il ne sera alors plus possible de parler de marché immobilier unifié. Des divergences de trajectoires significatives devraient apparaitre entre classes d’actifs immobilières et à l’intérieur de chaque classe d’actifs. Alors que jusqu’en 2019, le rendement additionnel des actifs secondaires s’amenuisait au fur et à mesure que convergeaient les taux de rendement des actifs core et secondaires
    (Graphique 1), la crise sanitaire devrait entraîner dans son sillage une nouvelle hiérarchie des taux, soulignant la polarisation des marchés entre actifs core et actifs secondaires. A la fin du troisième trimestre 2020, le rendement additionnel offert par les actifs secondaires restait à un niveau plancher de 50 pbs, vs une moyenne long-terme de 145 pbs.

    (1) Q3 2020 data, PMA 

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    news-2206 Fri, 18 Dec 2020 13:52:07 +0100 Avis aux porteurs – La Française PEA Flex /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-la-francaise-pea-flex/ La société de gestion a pris la décision de s’adjoindre le conseil en investissement de Veritas Institutional GmbH, société de gestion du groupe La Française, qui a développé un modèle quantitatif propriétaire visant à limiter les pertes en phases de marchés baissiers : Risk@Work. Ce modèle éprouvé sur des portefeuilles diversifiés patrimoniaux répond, selon la société de gestion, aux besoins d'une clientèle patrimoniale principalement concernée par les fonds flexibles, et à un contexte de marché toujours plus volatil.

    Dans cet esprit, à compter du 1er janvier 2021, Veritas Institutional GmbH transmettra à titre de recommandation, à la société de gestion un taux d’exposition globale qu’elle pourra appliquer à l’allocation du portefeuille déterminée par la société de gestion afin de limiter les impacts de baisse de marché.

    En ajoutant la dimension liée au modèle quantitatif « Risk @Work » de Veritas Institutional GmbH, l’objectif de gestion et la méthode d’allocation globale de l’actif net sont modifiés :

    • Dans l’état actuel, la gestion repose uniquement sur une allocation discrétionnaire des investissements visant à surperformer son indice de référence.
    • A partir du 1er janvier 2021, l’objectif du fonds sera de surperformer son indice de référence tout en recherchant à limiter son niveau maximal de perte sur une année. La gestion s’appuiera sur les recommandations de Veritas Institutional GmbH, qui lui transmettra un taux d’exposition globale qu’il conviendrait d’appliquer à l’allocation du portefeuille afin de limiter les impacts de baisses de marché. En contrepartie, il sera possible que cette exposition ajustée limite également la capacité du fonds à capter la performance des marchés en phase haussière.

    Cette modification n’est pas soumise à agrément de l’AMF étant donné que les fourchettes maximales d’exposition en vigueur restent identiques.

    Par ailleurs, dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser à compter du 1er janvier 2021 le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’Ester, et est égal à l’Ester augmenté de 8,5 points de base.

    La rédaction de l’indicateur de référence composite du fonds La Française PEA Flex est par conséquent modifiée comme suit :

     « 50% Stoxx Europe 600 euro (dividendes réinvestis) + 50% €STR capitalisé + 0,085 % »

    Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’aura pas d’impact sur le calcul des commissions de performance et n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française PEA Flex »

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    news-2202 Tue, 15 Dec 2020 12:00:00 +0100 Le Label ISR immobilier, décerné à la SCPI LF Grand Paris Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-label-isr-immobilier-decerne-a-la-scpi-lf-grand-paris-patrimoine/ La Francaise Real Estate Managers (REM), première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) en termes de capitalisation (IEIF, 30/09/2020) et avec plus de 25 milliards d’euros d’actifs sous gestion (31/10/2020), est fière d’annoncer la labellisation ISR (Investissement Socialement Responsable) de sa SCPI LF Grand Paris Patrimoine. Ce label vient reconnaître le sérieux et l’ambition des engagements de la SCPI et de sa société de gestion en matière d’investissement socialement responsable. Pionnière en la matière, La Française REM a pu capitaliser sur son expertise accumulée depuis 2009 pour déployer une méthodologie éprouvée, que le label vient confirmer comme étant fiable, robuste et pérenne.

    Le label ISR permet à chacun de constater les efforts et les moyens mis en oeuvre par La Française REM pour atteindre les engagements pris pour chacun des quarante-huit actifs immobiliers composant LF Grand Paris Patrimoine (au 30/06/2020). Le rapport ESG (Environnemental, Social et Gouvernance) de la SCPI, d’ores et déjà disponible sur le site internet de La Française, détaille la politique de sélection et de gestion des actifs. Celle-ci est fondée sur une évaluation réalisée à l’aide d’une matrice ISR qui analyse une centaine de critères ESG. En toute transparence, sont publiés les dix-sept leviers d’amélioration (i.e. les actions concrètes menées par la société de gestion) identifiés pour LF Grand Paris Patrimoine, dont : le recours systématisé aux énergies renouvelables, la gestion optimisée de l’énergie, de l’eau et des déchets, l’analyse de la résilience des actifs face aux risques climatiques physiques et la volonté de contribuer à faire de l’ensemble des parties prenantes (occupants, fournisseurs et collaborateurs) des éco-acteurs.

    Virginie Wallut, Directrice Recherche et ISR – immobilier de La Française Real Estate Managers, précise, « L’intégration des critères extra-financiers dans la politique de sélection et de gestion des actifs de LF Grand Paris Patrimoine, se structure autour de cinq objectifs qui contribuent collectivement à la protection de la valeur des actifs du fonds :

    • La réduction de l’empreinte carbone du portefeuille ;
    • La progression de la résilience de notre portefeuille face aux risques climatiques ;
    • La progression des mobilités douces ;
    • L’amélioration de la connectivité des immeubles et
    • La fédération de l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement autour de notre démarche ESG. »


    Marc-Olivier Penin, Directeur général de La Française Real Estate Managers, confirme et souligne « La gestion immobilière de LF Grand Paris Patrimoine est une gestion prospective et a pour objectif d’investir aujourd’hui dans les bureaux et les localisations de demain. Sa
    stratégie d’investissement repose sur une double approche : identifier les potentiels de création de valeur liés au développement du projet Grand Paris et accompagner la transition de ses actifs dans le sens d’une amélioration de leur positionnement durable pour mieux répondre à la demande des utilisateurs, des investisseurs et des futures régulations ».

    La Française REM est un acteur engagé. Plutôt que d’exclure les actifs les plus compromis sur le plan ESG, la philosophie d’investissement de LF Grand Paris Patrimoine est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers précise « Une politique reposant sur l’investissement dans des immeubles neufs peut être intéressante mais aura peu d’impact. L'enjeu principal est bien celui de l'amélioration du parc existant pour atteindre les objectifs climatiques et écologiques et pour réduire véritablement les externalités négatives du secteur immobilier. A ce titre, nous travaillons déjà à une nouvelle labellisation pour un autre véhicule immobilier ».

    Le Label ISR, créé et soutenu par les pouvoirs publics, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable. Il occupe la première place en Europe en nombre de fonds labellisés (Novethic, 31/03/2020).

    Le Label ISR a été attribué à la SCPI LF Grand Paris Patrimoine par AFNOR Certification, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Il est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.

    Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)

    Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :
    - les objectifs recherchés par le fonds,
    - la méthodologie d’analyse et de notation des actifs immobiliers mise en oeuvre par la société de gestion de portefeuille,
    - la prise en compte des critères ESG dans la construction et la vie du portefeuille,
    - la politique d’engagement ESG vis-à-vis des parties prenantes clés,
    - la transparence renforcé,
    - et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.

    Risques associés aux SCPI d’entreprise : Risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts.

    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Les SCPI peuvent également recourir à l’endettement.

    Le capital investi n’est pas garanti.

    La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

    Le potentiel de développement du Grand Paris pourrait ne pas bénéficier dans sa globalité aux investisseurs.

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    news-2200 Mon, 14 Dec 2020 09:23:59 +0100 « Bâtiments, villes et territoire durables – Nouveaux usages et modèles économiques » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/batiments-villes-et-territoire-durables-nouveaux-usages-et-modeles-economiques/ La Française a participé à la création du Livre Blanc « Bâtiments, villes et territoire durables – Nouveaux usages et modèles économiques » porté par Finance Innovation ». Aux côtés de Béatrice Guedj, Directrice Recherche et Innovation - Swiss Life Asset Managers France, et Ronan Guelec, Directeur Santé, Logement Social - CGI Business Consulting, Pierre Schoeffler, Conseiller du Président - La Française, a piloté la rédaction de l’Axe 2 « De nouveaux modèles économiques ». Ces modèles reposent largement sur de nouvelles propositions de valeur le plus souvent développés par les Proptech. La digitalisation, au sens de la collecte et de la mise en réseau de données massives couplée au déploiement d'intelligence artificielle pour les traiter, y joue en rôle déterminant, au service de la durabilité. La digitalisation de l'immeuble au premier chef est étendue à l'utilisateur afin d'intégrer ses besoins et usages, puis aux parties prenantes du territoire. 

    Réunis par un engagement commun, plusieurs acteurs proposent au fil de ce document une trentaine de domaines d’innovations prioritaires (DIP), représentant autant de pistes pour l’avenir des territoires.

    Extrait « La transformation industrielle majeure n’est [ …] pas l’automatisation des tâches, mais l’augmentation de la connectivité, créant des masses considérables de données qui sont la matière première des nouvelles chaînes de valeur et des leviers de performance, en particulier dans l’immobilier. »
     
    Nous vous invitons à télécharger le livre blanc ici

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    news-2198 Wed, 09 Dec 2020 14:05:49 +0100 Modification du Compartiment La Française Inflection Point Actions Euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-du-compartiment-la-francaise-inflection-point-actions-euro/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Inflection Point Actions Euro » que la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter des modifications au compartiment comme suit :
  • précision apportée à l’objectif de gestion du compartiment à savoir que le fonds accordera une importance particulière au capital humain dans le processus d’investissement ;
  • le compartiment axera désormais son approche extra-financière à travers un score « capital humain » tout en conservant son approche en sélectivité ;
  • le compartiment pourra désormais investir à hauteur de 80% minimum de l’actif net sur des marchés actions des pays membres de la zone euro en lieu et place de minimum 90% actuellement ;
  • le compartiment pourra désormais être exposé dans la limite de 10% maximum de l’actif net aux marchés actions hors Zone Euro, y compris les marchés émergents ;
  • un risque lié à la gestion discrétionnaire a été ajouté ;
  • un risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés a été ajouté ;
  • le compartiment sera désormais dénommé « La Française Actions Euro Capital Humain »
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    news-2197 Tue, 08 Dec 2020 14:38:32 +0100 Des annonces au sujet du PEPP et du TLTRO largement attendues par le marché /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/des-annonces-au-sujet-du-pepp-et-du-tltro-largement-attendues-par-le-marche/
  •  En ce qui concerne le PEPP (programme d'achat d'urgence en cas de pandémie), nous prévoyons une augmentation de l'enveloppe d'environ 500 milliards d'euros et une prolongation du délai de la mi-2021 à la fin de l'année 2021. L'horizon de réinvestissement pourrait également être prolongé au-delà de la date de fin actuelle, à savoir décembre 2022.
  • Nous ne prévoyons pas de fusion entre le PEPP et le PPA (Programme d'achat d'actifs). En outre, nous ne prévoyons pas le renouvellement de l'enveloppe temporaire du PPA.
  • Nous prévoyons des TLTRO (opérations de refinancement ciblées à plus long terme) à des conditions attrayantes : des échéances LT (au moins 3 ans), des taux bas (-1%), un multiplicateur à 8-9x (vs 6x) et peut-être quelques changements sur les allocations d'emprunt et le benchmark des prêts.
  • Tant pour le PEPP que pour le TLTRO, nous pensons que l'accent sera mis sur la durée plutôt que sur l'intensité des achats d'actifs.
  • La BCE va également mettre à jour ses projections macroéconomiques :
    - Nous pourrions assister à un renforcement des prévisions de croissance en 2020 après les importantes surprises à la hausse du troisième trimestre, mais les perspectives pour le début de 2021 se sont assombries en raison des mesures prises pour endiguer le virus. 
    - Nous pourrions assister à une baisse des prévisions  d’inflation suite à la hausse de l'euro.
    - N'oubliez pas que nous disposerons également pour la première fois des projections pour 2023. Nous prévoyons que l'inflation prévue d'ici 2023 sera, à nouveau, inférieure à l'objectif (environ 1,4% d'inflation de base)
  • Nous attendons des commentaires sur la force de l'euro, mais la BCE ne peut rien y faire. 
  • Nous nous attendons à ce que le ton général soit clairement dovish pour maintenir des conditions financières favorables.
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    Les annonces du PEPP et du TLTRO sont largement attendues par le marché, il sera donc difficile de surprendre sur l’aspect dovish. Nous pourrions voir des taux légèrement plus élevés. 
     

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2192 Mon, 07 Dec 2020 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert l’immeuble de bureaux « Le Patio » situé à Villeurbanne (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-l-immeuble-de-bureaux-le-patio-situe-a-villeurbanne-69/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Covivio, un immeuble de bureaux, multi-locataire, situé à Villeurbanne (69), au 35/37 Rue Louis Guérin, à proximité du Parc de la Tête d’Or et du 6ème Arrondissement de Lyon. Restructuré à neuf en 2013 par Covivio, il développe 12 760 m² et offre des plateaux allant de 700 m² à 2 600 m², ainsi que 216 emplacements de stationnement. 

    Il dispose d’un restaurant inter-entreprises, d'une cafétéria ainsi que d'un large patio ouvert aux occupants. 

    Il est labellisé HQE Rénovation, BREEAM et BBC-Effinergie Rénovation et est entièrement loué à 13 locataires. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier suivantes : Epargne Foncière, Eurofoncière 2, Multimmobilier 2 et Pierre Privilège.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le Cabinet Jeantet. Covivio a été conseillé par l’office notarial Cheuvreux.  
    Les deux parties ont été assistées par CBRE Lyon.


    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2188 Mon, 30 Nov 2020 12:30:46 +0100 Projet de fusion SCPI et suspension du marché des parts /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/projet-de-fusion-scpi-et-suspension-du-marche-des-parts/ La Française travaille depuis plusieurs mois sur le projet de fusion-absorption des SCPI Eurofoncière 2, Multimmobilier 2 et Pierre Privilège par la SCPI Epargne Foncière. En conséquence, le marché des parts des SCPI Eurofoncière 2, Multimmobilier 2 et Pierre Privilège s'en trouve suspendu à compter du 30 novembre 2020.

     

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    news-2180 Fri, 27 Nov 2020 11:30:00 +0100 Une révolution s’opère pour les SCPI du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-revolution-s-opere-pour-les-scpi-du-groupe-la-francaise/ La Française Real Estate Managers, première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) en termes de capitalisation et de collecte brute avec 880 millions d’euros collectés (source : IEIF, 30/09/2020) et plus de 25 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 30/09/2020), annonce le lancement d’Agil’Immo. Cette innovation, qui s’adresse aux personnes physiques investissant dans les SCPI gérées par La Française Real Estate Managers, simplifie considérablement l’accès à l’épargne immobilière et redéfinit « l’accessibilité » de la pierre-papier.

    C’est une nouvelle étape pour les SCPI du Groupe La Française : jusqu’alors, les épargnants en SCPI étaient contraints d’investir une somme précise, correspondant à un nombre de parts multiplié par le prix de ces parts.

    Désormais, avec Agil’Immo, La Française Real Estate Managers propose une nouvelle façon d’épargner en SCPI : c’est l’associé qui définit librement le montant de sa souscription, au-delà d’un minimum qui varie selon les SCPI. L’épargnant s’affranchit ainsi de toute notion de nombre de parts et de valeur de part.

    Agil’Immo est un service optionnel qui vient compléter la souscription classique en « nombre de parts ». Avec Agil’Immo, l’associé choisit entre deux options. Ces options, semblables à celles proposées dans le cadre de l’assurance-vie via les versements programmés, peuvent se cumuler et ainsi accélérer la constitution du patrimoine immobilier de l’épargnant :

    1) L’associé peut opter pour des versements réguliers à un rythme adapté (mensuel, bimestriel, trimestriel ou semestriel) avec un engagement d’un an minimum ;

    A titre d’illustration, un épargnant souhaite mettre en place une épargne immobilière au travers d’une SCPI qui privilégie les investissements franciliens. La mise en place de ce service requiert un versement initial d’environ 300 € minimum et un versement mensuel programmé dès 30 €.

    2) L’associé peut également opter pour le réinvestissement de tout ou partie de la distribution des futurs acomptes trimestriels en fonction de ses besoins.

    Ces deux options pourront être adaptées dans le temps. De plus, dans le cadre des versements réguliers et du réinvestissement de la distribution, la totalité de l’épargne versée est rémunérée, ce qui permet d’accélérer la constitution du patrimoine immobilier.

    Marc-Olivier PENIN, Directeur général de La Française Real Estate Managers conclut, « L’innovation est dans l’ADN de La Française. Nous avons créé la première SCPI viticole, la première plateforme de souscription 100 % dématérialisée de SCPI et avons mis en place dès 2018 le bulletin de souscription à exécution successive qui a permis de souscrire en nombre de parts par versements programmés. Agil’Immo, c’est une nouvelle avancée. Avec Agil’Immo, nous continuons d’innover en rendant plus que jamais l’épargne immobilière accessible à tous ! »

    Agil’Immo sera disponible sur toute la gamme de SCPI gérées par La Française Real Estate Managers à partir du premier trimestre 2021.

    Risques associés aux SCPI d’entreprise : Risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts.
    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Les SCPI peuvent également recourir à l’endettement.
    Le capital investi n’est pas garanti.
    La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2179 Thu, 26 Nov 2020 15:00:00 +0100 La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global récompensée par le label FNG /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lux-inflection-point-carbon-impact-global-recompensee-par-le-label-fng/ La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a reçu le label Forum Nachhaltige Geldanlagen (FNG) 2 étoiles pour les fonds communs de placement durables. Le Label est attribué pour l'année 2021. La Française, groupe international de gestion d'actifs disposant de plus de 51 milliards d'euros d'actifs sous gestion et d'une méthodologie prospective de quantification des émissions carbones développée par son centre de recherche propriétaire en investissement durable, est fière d'annoncer que La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a reçu le label Forum Nachhaltige Geldanlagen (FNG) 2 étoiles pour les fonds communs de placement durables. Le Label est attribué pour l'année 2021. 

    Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année. 
    Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par l'auditeur indépendant, l'Université de Hambourg.

    La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :

    • Présentation transparente et facile à comprendre de la stratégie de développement durable du fonds dans le cadre du Code de Transparence élaboré par Eurosif et du Profil de durabilité établi par FNG
    • Exclusion de l'armement et des armes
    • Exclusion de l'énergie nucléaire (y compris l'extraction d'uranium)
    • Exclusion du charbon (exploitation minière et production d'électricité)
    • Exclusion de la fracturation hydraulique et des sables bitumineux
    • Exclusion en cas de violation systématique et/ou grave des principes du Pacte mondial des Nations Unies
    • L'ensemble du portefeuille du fonds est contrôlé au regard de critères de développement durable (responsabilité sociale et environnementale, bonne gouvernance d'entreprise, objectifs de développement durable des Nations Unies ou autres).

    La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a obtenu deux étoiles sur les trois possibles, pour sa stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète qui lui a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et des stratégies en matière de sélection et de dialogue.

    La Française LUX – Inflection Point Carbon Impact Global : Le fonds vise à contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme.

    Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing à La Française, a conclu : « Le label FNG est, à notre avis, l'un des plus sélectifs qui existe aujourd'hui et nous sommes fiers que notre approche en matière d'investissement ait été récompensée par le label 2 étoiles. Le label FNG et le label ISR français, également attribué au fonds, attestent de la qualité de la stratégie de développement durable du fonds et permettent de guider l’investisseur dans sa recherche de fonds durables, gérés avec professionnalisme. » 

    Le label FNG et le label français ISR ne peuvent en aucun cas être interprétés comme une garantie de performance ou de sécurité ou une invitation à investir dans le fonds.

    Avertissement
    Le label FNG et le label français ISR ne peuvent en aucun cas être interprétés comme une garantie de performance ou de sécurité ou une invitation à investir dans le fonds
    DOCUMENT À CARACTÈRE PROMOTIONNEL RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS NONPROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF II.
    Les informations contenues dans ce communiqué ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution www.acpr.banque-france.fr, Autorité
    des Marchés Financiers www.amf-france.org, Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF) www.cssf.lu.
    La valeur des investissements et de tout revenu fluctuera (cela peut être en partie le résultat des fluctuations des taux de change) et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant total investi. Si le Groupe La Française émet des opinions, celles-ci sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions ne sont pas contraignantes et peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. La Française Asset Management, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous N GP97076 le 1er juillet 1997.
    La politique d'investissement responsable du groupe est disponible ici : https://www.lafrancaise.com/fileadmin/docs/CharteInvestissementDurableLaFrancaiseFR.pdf
    Le code de transparence du groupe est disponible sur :
    https://www.lafrancaise.com/fileadmin/docs/Actualites_reglementaires/AFG_Code_de_transparence_Expertise_Actions.pdf
    Le prospectus de La Française LUX a été approuvé par la CSSF le 9 mars 2020. La SICAV Lux a été constituée le 28/10/1998 (sous la dénomination « global strategy »). Le compartiment La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a été créé en 2015.
    Pour des informations plus détaillées concernant le fonds d'investissement, veuillez-vous référer au prospectus et au document d'information clé pour l'investisseur (KIID), qui doivent être lus avant tout investissement. Le dernier prospectus, le document d'information clé pour l'investisseur et les rapports annuels et semestriels sont disponibles sur demande à La Française AM, 128 boulevard Raspail, 75006 Paris – France :
    contactvaleurmobilieres@lafrançaise-group.com ou au www.la-francaise.com.

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    news-2177 Thu, 19 Nov 2020 17:40:17 +0100 L’ISR : une urgence qui doit devenir une évidence /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-isr-une-urgence-qui-doit-devenir-une-evidence/ par Virginie Wallut, Directeur Recherche & de l’ISR Immobilier et Marc-Olivier Penin, Directeur Général, La Française Real Estate Managers. Le monde change. Les risques environnementaux et sociétaux se multiplient et les initiatives pour y faire face aussi. A La Française, notre objectif est d’être porteur de solutions. Nous apportons notre contribution à cette communauté d’acteurs qui œuvrent, en pionnier, à améliorer la résilience des villes pour créer les conditions du « vivre ensemble ». Nous adaptons nos actifs immobiliers au regard des transitions nécessaires du fait du changement climatique et des défis sociétaux pour que notre patrimoine tertiaire et résidentiel réponde aux tendances de demain.

    A La Française, une vraie conviction et des actions concrètes
    Nos convictions en matière ESG (Environnement, Social et Gouvernance) sont fortes et ancrées depuis longue date. Elles sont portées par l’ensemble des entités du Groupe La Française au niveau du directoire et des directions générales. Elles sont déclinées selon les différentes classes d’actifs et nourries par des centres de recherche et d’expertise qui échangent sur les meilleures pratiques propres à chaque classe d’actifs. Les actifs immobiliers jouissent d’une position particulière. Une gestion active de ces actifs réels permet à la société de gestion d’avoir un impact réel et quantifiable. En 2019, les différentes actions mises en place ont permis à La Française Real Estate Managers de réduire les émissions de GES de son patrimoine  de 2,5% après une réduction de 4,8% en 2018.

    L’horizon temporel se resserre. Les impacts du changement climatique s’accélèrent - multiplication des feux de forêt, des épisodes de canicule, des phénomènes de sécheresse et d’inondation, hausse des effets néfastes sur la santé, érosion de la biodiversité. Alors que ces enjeux pouvaient apparaître de (très) long terme à beaucoup d’acteurs il y a encore quelques années, ils s’inscrivent désormais dans un horizon compatible avec l’horizon de détention des actifs immobiliers. La résilience des actifs immobiliers doit s’anticiper. La philosophie d’investissement de La Française est d’accompagner la transition de ses actifs sous gestion dans le sens d’une amélioration continue de leur positionnement responsable. Cette politique a certes un coût, mais si les actions sont réalisées progressivement aux moments opportuns pour chacun des actifs, ce coût reste très marginal comparé à la perte de valorisation qu’encourent les actifs gérés sans prendre en compte les critères ESG. Le resserrement progressif des réglementations nationales et européennes favorise l’émergence d’une valeur verte et plus certainement encore d’une décote des actifs non durables, qui seront étiquetés impropres à leur usage actuel par le plus grand nombre (locataires et investisseurs). 

    La nécessaire évolution de tous les métiers de la chaîne immobilière
    Le manque de données ESG en matière immobilière, et plus particulièrement pour le tertiaire, est criante comparé aux données disponibles pour les actifs financiers. Conscient de son positionnement comme acteur incontournable des marchés immobiliers français au regard de l’importance de son patrimoine sous gestion, La Française Real Estate Managers collabore avec de nombreux organismes de place français et européens dans un triple but : (i) faire reconnaître les spécificités des actifs immobiliers par rapport aux valeurs mobilières (ii) harmoniser les différentes démarches réglementaires nationales et européennes afin que la gestion ESG ne rime pas uniquement avec reporting de données et (iii) établir des indicateurs communs afin de permettre une comparaison aisée des démarches des différentes sociétés de gestion. A ce titre et après trois années de réflexion intense au sein du groupe de travail de l’ASPIM, nous saluons la parution du décret étendant le label ISR aux fonds immobiliers.  

    Concrètement, depuis 2009, La Française Real Estate Managers procède à des audits environnementaux en parallèle des audits techniques. La société de gestion s’appuie en interne sur une équipe de trois personnes réunies au sein de la Direction de la Recherche & de l’ISR Immobilier. Cette équipe travaille en étroite collaboration avec la Direction des Investissements qui prend en compte les critères ESG dès la phase de pré-évaluation des actifs. La phase d’évaluation ESG définitive est analysée et validée par la Direction de la Recherche & de l’ISR Immobilier.

    La phase d’évaluation ESG définitive est confiée à des Bureaux d’Etudes Techniques (BET) spécialisés et formés à l’utilisation d’un outil développé en interne par l’IT. Cet outil unique permet d’évaluer les caractéristiques durables d’un actif et sa capacité à répondre à la demande de demain. Les BET définissent des axes d’amélioration dans le cadre de la politique de gestion ESG déployée et quand c’est le cas, en vue de l’obtention d’un label ISR. Les équipes d’asset management, quand elles prennent ensuite le relais sont responsables de l’amélioration des taux d’occupation des actifs mais également du déploiement des leviers d’amélioration identifiés sur chaque actif au moment de la phase d’acquisition. Les évaluations ESG ainsi que les plans d’amélioration sont accessibles à l’ensemble des collaborateurs via la plateforme interne IT de La Française.

    La « durabilité », c’est l’affaire de tous
    La Française Real Estate Managers porte une attention particulière au rôle central qui est le sien pour fédérer l’ensemble des parties prenantes (externes et internes) autour de sa démarche ESG. Nous déployons des efforts notables de pédagogie auprès des acteurs intervenant sur nos actifs afin de démultiplier les effets bénéfiques de notre démarche. Parce que l’utilisation des actifs peut représenter jusqu’à 30% des consommations énergétiques/ émissions de GES, il est primordial d’impliquer les locataires dans la poursuite de nos objectifs. A cet effet, La Française Real Estate Managers a mis en place un outil de collecte et de reporting des données de consommations énergétiques qui bénéficiera à nous propriétaire mais également à nos locataires en leur permettant de répondre aux obligations du dispositif éco-énergie tertiaire (ex. décret tertiaire). Autre exemple, après avoir modifié ses contrats de fourniture d’électricité pour sécuriser un approvisionnement 100% renouvelable des consommations énergétiques des parties communes des actifs d’une Société Civile de Placement Immobilier du groupe, La Française Real Estate Managers va proposer à ses locataires d’étendre aux parties privatives le recours aux énergies renouvelables. Une réflexion spécifique est menée pour les actifs résidentiels que la multiplication des occupants et leur caractère non professionnel rendent toutefois plus difficile à atteindre.

    Afin de fédérer nos fournisseurs autour de notre démarche et les inciter à adopter une démarche durable, nous mettons en place des critères ESG qui serviront de base à la sélection de nos prestataires. Nous avons expliqué notre démarche environnementale, structurée autour de trois axes forts - réduction des émissions de GES, réintroduction de la nature dans la ville et participation à une ville plus inclusive - à l’ensemble de nos Property Managers pour qu’ils adaptent la gestion quotidienne de nos actifs et qu’ils concourent avec nous à l’atteinte de ces objectifs. 

    En interne, l‘idée d’une formation élargie à un large éventail de collaborateurs se traduira par un plan inédit de formation programmé sur une année et embarquera plus de 200 collaborateurs issus de 18 services différents (de l’Asset Management aux Ressources Humaines en passant par l’IT). Ce plan sera adapté à chacun. Autre innovation, cette formation sera assurée grâce à l’expertise développée en interne.

    Paru dans "Immoweek Le Magazine", septembre/octobre 2020

    COMMENTAIRE A DESTINATION DES INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF II.
    Publié par la société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers qui a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
     

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    news-2174 Thu, 12 Nov 2020 13:51:45 +0100 Reprise de la pandémie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reprise-de-la-pandemie/ Par Akram Gharbi, Gérant High Yield, La Française AM La recrudescence des contaminations de Covid-19 en Europe a poussé les gouvernements à adopter de nouvelles mesures restrictives pour lutter contre l’épidémie et relâcher la pression sur les services de soins. 

    Ainsi, La France, le Royaume-Uni, l’Irlande, le Pays de Galles et la Grèce ont opté pour un 2ème confinement. D’autres pays comme l’Espagne, l’Italie, la Belgique et les Pays-Bas ont choisi, pour l’instant, des mesures plus ciblées comme la fermeture des restaurants, des bars et des couvre-feux avancés…

    Les marchés ont réagi négativement à ces annonces avec une baisse des actions européennes et américaines de, respectivement, 7,5% et 5,6% la semaine du 26 octobre1. Les spreads de crédit se sont également écartés de +30pb2 avec une sous-performance des Etats-Unis et de l’Europe (+36pb et +31pb respectivement)

    Quels impacts pour les marchés ?

    « Peut-on s’attendre à une réaction des marchés de crédit similaire à celle de mars avec un écartement des spreads d’environ 550pb ? » 

    La configuration actuelle est différente du mois de mars 2020 sur plusieurs points. 
    Tout d’abord, au niveau sanitaire :

    • Les scientifiques disposent aujourd’hui d’une meilleure connaissance du virus : les délais de rétablissement et sorties de l’hôpital sont plus rapides.  
    • Les avancées sur le vaccin sont plus significatives : 13 candidats vaccins sont en phase 3 (dernière phase d’homologation) et les scientifiques tablent sur des résultats pour la fin d’année (ex : Moderna et Astra Zeneca avec l’Université d’Oxford)3.

    Puis économique :

    • Les mesures de confinements sont plus souples que la première fois : 
      Plus localisées géographiquement : concernent certains pays européens et non pas 90% des économies mondiales comme en mars (avec les principales économies émergentes, les Etats-Unis et l’Europe) 
      Plus ciblées sectoriellement : l’industrie, le BTP et autres secteurs ne sont pas concernés cette fois-ci. 
       
    • Les entreprises ont réalisé l’essentiel de leurs programmes de refinancement pour 2020 et T1 2021. Pour rappel, le volume des émissions primaires sur le High Yield américain totalise 300Md$ depuis le début d’année (soit deux fois plus que la moyenne des émissions sur les 5 dernières années) et les émissions primaires pour le High Yield Euro sont de 60Md€. Ainsi, l’effet de surprise et le risque d’une crise de liquidité sera moindre que lors du premier confinement4.  
       
    • Les retombées de dette obligataire au cours des 2 prochaines années sont relativement limitées aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis, suite aux importantes opérations de refinancement et de rallongement des maturités obligataires effectuées au cours des dernières années :
      - En Europe, environ 50Md€ de dettes obligataires High Yield sont exigibles à horizon fin 2022 (dont 20Md€ en 2021 et à 80% sur des émetteurs « BB » qui ont un accès plus aisé au marché), ce qui représente moins de 15% de l’encours total High Yield européen. 
      - Aux Etats-Unis, près de 170Md$ de dettes obligataires High Yield sont exigibles à horizon fin 2022 (dont moins de 60Md$ en 2021 et à 50% sur des émetteurs « BB »), ce qui représente également moins de 15% de l’encours total HY US5

    Par conséquent, nous estimons que ces faibles montants de maturités à horizon 2 ans (<15% des encours aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis) viennent limiter le risque de refinancement pour les émetteurs et par conséquent le risque de défaut prospectif sur le marché du High Yield européen et américain. En effet, malgré l’impact de la pandémie COVID-19 sur les ratios de crédit de la plupart des émetteurs High Yield, nous estimons qu’ils seront en mesure de se redresser opérationnellement au cours des deux prochaines années afin de pouvoir se refinancer sur le marché dans de meilleures conditions.

    « Qu’en est-il des défauts d’entreprises ? Ces nouvelles mesures sanitaires vont-elles impacter à la hausse les anticipations de défauts et, ce faisant, les spreads à court-moyen terme (à horizon 3-6 mois) ?»

    L’impact des nouvelles mesures sanitaires dépendra de deux paramètres : la généralisation de ces nouvelles mesures à d’autres régions/pays dans le monde et leur durée.

    • Si le confinement est de courte durée (4/6 semaines) et n’est pas généralisé : l’impact sur les entreprises sera relativement faible. Ecartement des spreads High Yield de 70 à 100pb, localisé sur certains secteurs (retail, restauration, hôtellerie, loisirs...) et sans impact significatif sur les taux de défauts à moyen terme.
    • Si le confinement est plus long que prévu (2 à 3 mois) et se généralise à d’autres pays/régions : l’impact sur les entreprises sera plus important. Ecartement des spreads High Yield de 100 à 300pb. L’ensemble du marché High Yield serait alors concerné par une hausse plus significative des taux de défaut sur les secteurs les plus sensibles (retail, restauration, hôtellerie, loisirs...).

    En résumé, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives sur l’impact des nouvelles mesures sanitaires en Europe. L’incertitude sur l’évolution de l’épidémie reste importante. 

    Les conséquences sanitaires d’une 2ème vague seront probablement plus faibles que la 1ère, grâce aux avancées médicales et la capacité de la population et de la communauté médicale à mieux appréhender la pandémie. 
    Sur le plan économique et la solvabilité des entreprises, les conséquences sur la marché du crédit ne devraient pas être similaires à la 1ère vague (+550pb) en raison des soutiens déjà mis en place par les banques centrales, de la situation actuelle de liquidité des entreprises qui ont largement couverts leurs besoins de trésorerie pour la fin d’année et le T1 2021 et, enfin, du choix des gouvernements de mieux cibler les mesures sanitaires. 

    Nos convictions

    A ce stade, il convient d’être attentif à l’exposition sectorielle, la qualité des émetteurs et la structure du capital pour être en mesure d’absorber les deux scénarios mentionnés plus haut. 

    Ainsi, nous restons très prudents dans notre allocation sur les secteurs qui sont les plus impactés par cette épidémie, notamment : le retail hors alimentaire, la restauration, l’hôtellerie, l’immobilier commercial et tertiaire (bureaux, commerce), les loisirs (voyage, jeux, sport, cinéma, théâtre, parc d’attraction), transport aérien et tous les secteurs qui sont liés (location, services aéroportuaires…).

    Nous sommes également très vigilants quant à la qualité des émetteurs et à notre position dans la structure de capital des émetteurs opérants dans ces secteurs. 

    Sur les secteurs que nous considérons comme sensibles, nous sommes majoritairement exposés à des émetteurs Investment Grade/Fallen Angel ou « BB ».

    Notre exposition sur des émetteurs purs High Yield porte sur des obligations Senior/Secured. 

     1 Source : Bloomberg, indices Eurostoxx 50 et S&P 500.
     2 Source : Bloomberg, BofAML, indice global (HW00), euro (HE00), US (H0A0), 30/10/2020.
     3 Source : Bloomberg, 30/10/2020.
     4 Sources : Bloomberg, 30/10/2020.
     5 Sources : Bloomberg, 30/10/2020.

     

    AVERTISSEMENT
    Publication exclusivement destinée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF II.

    • Risques associés à la classe d’actigs – High Yield : perte en capital, taux, crédit, défauts, investissement en titres high yield dits spéculatifs, émergents, obligations convertibles, contrepartie, titres de créance subordonnés, dérivés, liquidité liée aux acquisitions et cessions temporaires de titres et/ou contrats d’échange sur rendement global (TRS). 

    Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. 
    Ce document est destiné uniquement à l’information de la personne à laquelle il a été remis par le Groupe La Française. 
    Cette présentation est réalisée par La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997 ; La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 et enregistrée à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org, Registre des Intermédiaires en Assurance (ORIAS) www.orias.fr
     



     

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    news-2173 Tue, 10 Nov 2020 09:18:46 +0100 Les mesures de soutien économique ont-elles réduit les risques associés aux capitaux Additional Tier 1 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-mesures-de-soutien-economique-ont-elles-reduit-les-risques-associes-aux-capitaux-additional-tier-1/ Par Jérémie Boudinet, Credit Fund Manager, La Française AM Alors que l'épidémie de Covid-19 est toujours présente à des degrés divers selon les pays, la situation financière des banques est-elle suffisamment solide pour supporter la détérioration de leurs bilans, et quelles sont les implications pour les détenteurs d'obligations « contingent convertibles » (CoCos) Additional Tier 1 ? 

    Après la crise financière de 2007-2008, les banques ont passé plus de dix ans à renforcer leurs réserves de fonds propres, jusqu'à la fin de l'année 2019. L'on estimait alors qu'à l'échelle mondiale, les banques détenaient environ 5 000 milliards de dollars américains de fonds propres au-delà des exigences réglementaires du Pilier 1 (Source : Banque des règlements internationaux, mai 2020). Aujourd'hui, les organismes de réglementation et les pouvoirs publics assouplissent les exigences de fonds propres, permettant aux banques d'opérer avec des réserves de liquidités et des niveaux de fonds propres temporairement moindres (recommandations au titre du Pilier 2, volant de conservation des fonds propres, ratio de couverture de liquidité…). La Banque centrale européenne a même demandé aux banques de cesser de verser des dividendes ou de racheter des actions jusqu'à la fin de l'année 2020 au moins, pour favoriser la réorientation des capitaux vers les activités de prêts et soutenir leurs bilans. Mais les implications d'un tel ensemble de mesures sur les CoCo AT1 suscitent une inquiétude croissante.

    Le non-paiement des coupons est-il une préoccupation majeure ? 

    Le principal risque qui se profile sur le marché des AT1 est-il le non-paiement des coupons ? Nous pensons au contraire qu'il y a très peu de chances que les autorités exercent des pressions sur les banques pour qu'elles annulent les coupons, une affirmation clairement étayée par un certain nombre de facteurs, dont plusieurs déclarations du régulateur. Andrea Enria, président du Conseil de surveillance prudentielle de la BCE, a déclaré : « La BCE ne prévoit pas de suspendre les paiements de coupons sur les obligations bancaires subordonnées, même après avoir incité les prêteurs à suspendre les dividendes pour préserver le capital. » De plus, les économies potentielles liées à la suspension des paiements de coupons sur les AT1 sont minimes par rapport à la suspension des dividendes, alors que les implications d'une telle mesure sur la confiance des investisseurs et sur l'accès des banques au financement seraient désastreuses. Ce point de vue a été confirmé par le Parlement européen en novembre 2020, qui déclarait dans un rapport sur les réserves de capitaux que « les distributions de coupons sur les instruments satisfaisant aux critères de capitaux AT1 ne devraient pas être limités ».

    Les résultats publiés pour le deuxième et le troisième trimestres 2020 ont également été assez rassurants, la quasi-totalité des banques européennes ayant prouvé qu'elles étaient en mesure de renforcer des ratios de solvabilité confortables et plus élevés qu'à la fin 2019, grâce à la suspension des dividendes, l'assouplissement prudentiel et les mesures nationales sur les garanties des prêts pour soutenir l’économie. 

    Avec le recul, nous considérons le secteur bancaire européen comme étant partiellement « administré » par les organismes de réglementation. Ces derniers limitent la distribution des dividendes et peuvent contrôler l'accès des banques aux liquidités illimitées et bon marché de la banque centrale afin de faire face à l'environnement actuel de taux très bas. Ils appellent également à davantage de consolidation, avec des opérations de fusions-acquisitions significatives, telles que la fusion entre Bankia et CaixaBank et celle d'UBI Banca avec Intesa Sanpaolo. Il y a quelques années, les banques étaient censées éviter de devenir « too big to fail », c'est-à-dire si grosses qu'une faillite aurait des répercussions systémiques désastreuses. C'est aujourd'hui le contraire, ce qui à notre avis est positif pour la stabilité du système bancaire et donc pour la poursuite des paiements de coupons des AT1.

    Avertissement    

    La dette subordonnée et les obligations contingentes convertibles conviennent aux investisseurs professionnels tels que définis ci-dessous. Les services de simple exécution d'ordres ou « execution only » sont réservés aux investisseurs professionnels. Les investisseurs de détail sont exclus du marché cible positif.

    Les investisseurs professionnels présentent les caractéristiques suivantes :

    • Bonne connaissance des transactions et produits financiers pertinents
    • Expérience dans le secteur financier 

    La dette subordonnée et les obligations contingentes convertibles ne conviennent pas aux investisseurs de détail à moins qu'ils ne disposent de conseils en placement professionnels ET que l'investissement soit effectué à des fins de diversification uniquement ou qu'ils aient signé un mandat de portefeuille discrétionnaire.

     

    disclaimer

    CE DOCUMENT EST RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIFID II. Il est fourni exclusivement à des fins d'information et d'éducation, n'est pas destiné à être utilisé comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (www.acpr.banque-france.fr) en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF (www.amf-france.org) sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

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    news-2171 Fri, 06 Nov 2020 14:57:06 +0100 Charte sur l’Investissement Durable (ID) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/charte-sur-l-investissement-durable-id/ Le monde change. L’urgence d’agir, de faire sa part pour devenir acteur de ce changement est aujourd’hui une évidence. En tant que société de gestion responsable et engagée, nous analysons que ces changements majeurs sont autant d’opportunités de reconsidérer l’avenir et de faire de l’épargne un moyen d’agir qui profite à tous. Investir pour s’investir. La Charte Investissement Durable (ID) du Groupe La Française constitue le document de référence des pratiques du Groupe pour l’intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son activité de gestion pour compte de tiers.

    Elle est structurée en trois points :

    a. Philosophie d’investissement
    b. Déclinaison par classe d’actifs
    c. Pilotage de la démarche d’investissement.
     

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    news-2169 Thu, 05 Nov 2020 15:43:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Sogelym Dixence deux immeubles à Villeurbanne (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-sogelym-dixence-deux-immeubles-a-villeurbanne-69/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA auprès de Sogelym Dixence deux immeubles à Villeurbanne (69), au 17/19 Avenue Albert Einstein. Les actifs sont très bien situés au pied du Tramway T1 et T4 et en face du Campus Universitaire de La Doua. 

    L’ensemble immobilier qui développera au total 14 802 m² comprendra un immeuble de bureaux et un établissement d’enseignement supérieur. Les deux immeubles sont entièrement loués dans le cadre de deux baux de 10 et 11,5 ans fermes. L’opération, qui sera certifiée BREEAM Very Good, sera livrée à la fin du 3T 2021.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides et le Cabinet Jeantet. 

    Sogelym Dixence a été conseillé par l’office notarial Alcaix et Associés.  

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-2168 Tue, 03 Nov 2020 11:14:39 +0100 Économie à faible émission de carbone : relance verte post-covid et reprise durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/economie-a-faible-emission-de-carbone-relance-verte-post-covid-et-reprise-durable/ Il est bien connu que chaque crise économique représente une bouffée d'air frais pour la planète, mais cela se fait au détriment de la santé financière des entreprises, de l'emploi, des salaires, du bien-être social, de la croissance mondiale et la liste ne s'arrête pas là. Cependant, à chaque crise sa reprise : lorsque la respiration dans le contexte de laquelle les gaz à effet de serre ont diminué est compensée par les nouvelles émissions liées au redémarrage de l'économie. Par exemple, les émissions de CO2 ont diminué de 1,4 % l'année suivant la crise financière de 2008, mais elles ont augmenté de 5,1 % en 2010 lorsque l'activité économique a commencé à se redresser.

    Mais la prise de conscience a évolué depuis la dernière crise mondiale, notamment depuis 2015 après la réunion de la COP21 qui a conduit à l'Accord de Paris. Il s'agissait d'un grand pas vers un nouveau paradigme, dans le cadre duquel la possibilité d'avoir un mode de production plus écologique devenait un véritable but et dans lequel des objectifs quantifiables étaient fixés. La société d'aujourd'hui lutte contre la pandémie de Covid-19 et ses implications économiques négatives.

    La crise de la Covid-19 a été très brutale, sans précédent et spectaculaire dans sa propagation mondiale. Alors que la majorité de la population mondiale était confinée à domicile, nous avons suivi les terrifiantes actualités de cette pandémie se propageant rapidement, affectant la vie de millions de familles et faisant pression sur la capacité des infrastructures sanitaires de nombreux pays. Néanmoins, nous avons également observé les répercussions positives incroyablement rapides sur l'environnement : air pur et ciel clair grâce à la baisse des niveaux de particules fines en suspension dans les grandes villes.

    En effet, pendant le confinement, la consommation de charbon a chuté massivement avec la baisse de la demande d'électricité et selon l'AIE, nous avons assisté à la plus forte baisse mondiale de la consommation de charbon depuis la Seconde Guerre mondiale. Au total, 2,6 milliards de tonnes métriques de CO2 ne seront pas émises, car nous prévoyons une baisse de la demande mondiale en énergie de -6 % en 2020, ce qui est sept fois pire que ce que nous avons observé après la crise de 2008.

    Aujourd'hui, les décideurs politiques peuvent considérer cette pandémie comme une opportunité d'intégrer l'environnement dans la reprise économique : fixer de nouvelles règles afin de relancer l'économie, tout en intégrant et en considérant l'impact qu'elles peuvent avoir sur la planète. Nous nous concentrerons sur l'évolution de ces progrès et sur la possibilité de combiner la relance avec les investissements nécessaires pour limiter la hausse des températures mondiales.

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    news-2166 Thu, 29 Oct 2020 17:23:16 +0100 Elections américaines : quelles conséquences pour le climat ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/elections-americaines-quelles-consequences-pour-le-climat/ Par Nina Lagron, CFA Responsable Gestion Actions Grandes Capitalisations Alors que le monde entier attend avec impatience le résultat des élections américaines, un rapide retour en arrière nous rappelle que le choix du futur locataire de la Maison-Blanche n’a pas beaucoup d’importance pour les marchés financiers, qui dépendent principalement de réalités macro et micro économiques.

    Les actions et les obligations ont prospéré durant les mandats de B.Obama et de D.Trump, tandis que le dollar américain s’est renforcé de façon marginale sous B.Obama et s’est affaibli sous D.Trump. Les petites différences de rendement enregistrées durant les mandats de ces deux présidents ne justifient en rien l’angoisse des investisseurs.

    Est-ce que la politique a un impact significatif sur les secteurs ?
    A nouveau, la réponse est assez simple, comme l’illustrent les deux séries chronologiques qui montrent le rendement de divers secteurs sous les ères B.Obama et D.Trump. Le changement de Président n’a eu que très peu d’impact sur le classement du rendement des secteurs du S&P.

    • Sous B.Obama et D.Trump, les trois secteurs les plus performants étaient les mêmes : la consommation cyclique, les valeurs technologiques et la santé
    • En outre, sous ces deux administrations, les deux secteurs les moins performants étaient le secteur financier, suivi de l’énergie.

    Cette répartition sectorielle contredit les prévisions, nourries au début de la présidence de D.Trump :

    • À l’époque, l’espoir qu’une vague de dérèglementation stimule la rentabilité était élevé dans le secteur financier. Mais ce secteur se retrouve une nouvelle fois à l’avant-dernière place.
    • Avec toutes les promesses de D.Trump visant à « restaurer la grandeur des États-Unis », à relocaliser des emplois manufacturiers et à imposer des barrières douanières à la concurrence « déloyale », les investisseurs s’attendaient à ce que le secteur industriel prospère durant son mandat. Cependant, celuici termine à la sixième place, tout comme sous la présidence de B.Obama.
    • Avec un ancien promoteur immobilier à la Maison-Blanche, de nombreuses personnes s’attendaient à un meilleur rendement du secteur immobilier. Bien que profitant de taux d’intérêt extrêmement bas, les valeurs immobilières sont passées du pied du podium durant les années B.Obama, à la huitième place sous D.Trump.
    • Les grandes entreprises technologiques, ouvertement hostiles à D.Trump, s’attendaient à subir la loi d’un Président vindicatif déchaînant les enfers de la réglementation sur les acteurs majeurs du secteur, mais ce ne fut pas le cas.
    • Bien que positif, le rendement généré par les énergies fossiles était mauvais durant les années B.Obama. Durant les années D.Trump, l’énergie était le seul secteur à afficher un rendement négatif, ce qui est assez inhabituel pour une administration républicaine, en particulier celle de D.Trump, qui s’est félicitée d’avoir allégé le fardeau réglementaire des sociétés d’extraction d’énergies fossiles.

    Ces quatre premiers points peuvent s’expliquer relativement simplement en citant l’ancien président Bill Clinton « C’est l’économie, imbécile ! », ce qui signifie que les tendances globales fondamentales à long terme ne peuvent pas être modifiées. Néanmoins, le dernier point concernant l’énergie mérite une analyse plus approfondie, en particulier du point de vue de l’investissement durable :

    Les énergies fossiles ne sont certainement pas la chasse gardée des Républicains. Durant les années Obama, la production américaine de pétrole a augmenté de plus de 75 %, car la fracturation hydraulique et le forage horizontal permettaient d’extraire les hydrocarbures efficacement des roches. C’est également le président
    B.Obama, qui, non seulement, signa un projet de loi mettant fin à 40 ans d’embargo sur les exportations de pétrole brut, mais permit également au projet d’oléoduc Keystone, vivement critiqué, d’avancer.

    Malgré les grandes promesses de campagne du candidat D.Trump, la production d’électricité au charbon chuta de près de 25 % durant sa présidence, en raison du prix bon marché de l’essence et de la baisse des prix des énergies renouvelables. En 2016, le charbon américain a produit deux fois plus d’électricité que les énergies
    renouvelables. En 2020, l’électricité renouvelable est sur le point d’atteindre le niveau de production d’électricité au charbon, selon les dernières prévisions du gouvernement.

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    news-2164 Tue, 27 Oct 2020 14:27:11 +0100 BCE : toujours une approche attentiste ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bce-toujours-une-approche-attentiste/ Jeudi, la Banque centrale européenne devrait maintenir la posture attentiste adoptée en septembre et gagner du temps pour collecter des données en amont de la réunion de décembre et les nouvelles projections des services de la BCE. Néanmoins, les risques qui pèsent sur les perspectives économiques européennes et les disparités entre les pays augmentent à nouveau, avec une forte augmentation des nouvelles infections et le renouvellement des mesures de confinement. En outre, les derniers indicateurs concernant l'inflation ont été décevants. 
     
    Par conséquent, la banque centrale devrait signaler qu'elle est prête à engager un assouplissement supplémentaire si la crise s'aggrave. Nous pensons que la BCE va laisser toutes les options ouvertes jusqu'à la prochaine réunion. Nous attendons également de Christine Lagarde qu'elle souligne l'importance de la coordination entre la politique budgétaire et la politique monétaire et qu'elle pousse les gouvernements à faire davantage pour redresser l'économie de la zone euro.
     
    Dans l'ensemble, cette réunion ne devrait pas avoir d'impact matériel sur les marchés financiers.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2156 Mon, 19 Oct 2020 17:37:01 +0200 Transition profonde grâce à l'innovation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/transition-profonde-grace-a-l-innovation/ Par Apolline Brilland, Analyste / Gérant – Global Equities ZEROe - ouvrir la voie à la décarbonisation à grande échelle dans l'industrie aéronautique

    « Flygskam » ou « Flight shaming » est un mouvement d'origine suédoise qui appelle à des restrictions du transport aérien en raison de son impact environnemental. Et le mouvement gagne du terrain. Selon l'opérateur aéroportuaire public suédois Swedavia, le nombre de passagers qui voyagent en avion en transitant par les aéroports suédois a chuté de 4 % en 2019 en raison d'une baisse notable du trafic intérieur. Ce mouvement, qui s'est étendu à l'ensemble de l'Europe dans le sillage du mouvement Friday for Future (vendredis pour l'avenir), pourrait être considéré comme anecdotique, mais il met en évidence l'impact du comportement des consommateurs sur le réchauffement climatique mondial. Les consommateurs sont de plus en plus soucieux du climat et nous pensons que le développement durable jouera un rôle croissant dans le comportement des utilisateurs.

    Alors qu'à l'échelle mondiale, les transports de toutes sortes, y compris routier, contribuent à hauteur d'environ un cinquième de toutes les émissions, l'industrie aéronautique représente au total 1 Gt d'émissions de CO2, soit l'équivalent d'environ 3 % des émissions mondiales totales de CO2 issues de la combustion d'énergies fossiles.1. Cependant, en raison de l'évolution des habitudes de consommation et de l'augmentation de la mobilité intercontinentale, les émissions provenant du transport aérien ont augmenté rapidement au cours des dernières décennies.

    Actuellement, les voyageurs soucieux du climat n'ont que deux choix possibles : voler ou ne pas voler (et utiliser un autre moyen de transport). Il y a toutefois eu des initiatives intéressantes dans l'industrie de la construction aéronautique au cours des dix dernières années qui ont conduit aux premiers développements d'avions électriques, visant principalement des transporteurs relativement petits mais ne permettant jusqu'à présent de parcourir que de très courtes distances.

    Le programme Seaplane to e-Plane de Harbour Air a effectué son premier vol commercial en décembre dernier. Équipé d'un système de propulsion entièrement électrique magniX de 750 chevaux, ce Havilland Beaver prévu pour 6 passagers marque le début d'une nouvelle ère dans l'aviation : celle de l'électricité. Néanmoins, à cause du poids des batteries et de leur temps de charge, les avions électriques ne sont pas adaptés aux vols plus longs ou de plus de dix passagers.

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    news-2155 Mon, 19 Oct 2020 16:48:58 +0200 Inventaire La Française LUX - Sustainable Real Estate Securities 30/06/2020 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/inventaire-la-francaise-lux-sustainable-real-estate-securities-31-06-2020/ news-2151 Fri, 16 Oct 2020 09:59:47 +0200 Investissement responsable: "Bienvenue dans la jungle des labels !" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/investissement-responsable-bienvenue-dans-la-jungle-des-labels/ par Perrine Dutronc, Sustainable Investing Specialist, Groupe La Française Il n’y a pas de définition partagée du concept de « finance durable », ce qui laisse une grande marge d’interprétation quand on parle d’investissements durables.

    Les stratégies d’investissement durable peuvent ainsi être basées sur des thèmes environnementaux ou sociaux comme le changement climatique ou le capital humain, reposer sur des exclusions, viser à être les meilleures de leur catégorie, afficher les progrès les plus importants, ou laisser augurer de futurs progrès…

    Les objectifs des investissements durables peuvent également varier de façon considérable tout comme leur mise en musique. Enfin la grande diversité du vocabulaire utilisé (durable, responsable, ISR, ESG, vert, climat, éco, transition), rend la lecture des offres de produits d’investissement responsable, qui par ailleurs se multiplient, délicate pour la plupart des investisseurs.

    Des labels ont été élaborés pour répondre à ce manque de clarté et rendre les produits financiers durables plus faciles à comprendre. Ils attestent de la qualité du processus.

    Mais les labels ne peuvent pas rationaliser ce qui est à l’origine fragmenté. Ils sont de plus considérés comme un outil visant à influencer les normes, les réglementations et éventuellement un futur écolabel européen. Aujourd’hui, de nombreux pays de l’UE se disputent le devant de la scène pour imposer leur vision des investissements responsables ou verts et participer à la définition de la norme.

    Nous avons répertorié en Europe pas moins de neuf labels différents et 800 fonds labellisés, pour un total de 60 000 fonds (au 31 décembre 2019). Bien que cela ne représente que 1 % du marché total, le nombre de fonds labellisés a doublé en un an.

    Sur les neuf labels, cinq peuvent être qualifiés d’ESG (Environnement, Social et Gouvernance) et quatre de « verts ». Cependant, la frontière entre le label ESG et le label vert est floue. Par exemple, les labels ESG comportent la lettre « E » pour l’environnement et prennent donc également en compte les critères verts, tandis que les labels verts imposent un minimum de critères/normes ESG. Entre les deux types de labels, il s’agit d’une question de proportion et de priorité plutôt que d’une distinction fondamentale dans l’approche, comme l’illustre le tableau ci-dessous.

    Dans la jungle des labels, deux d’entre eux, à savoir le « label ISR » français et le label belge « Towards Sustainability », font la course en tête, avec environ 300 fonds labellisés chacun, soit près des trois quarts du nombre total de fonds labellisés et 90 % du total des actifs gérés par des fonds labellisés.

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    news-2149 Tue, 13 Oct 2020 14:53:48 +0200 Information associés SCPI Gamme Multihabitation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-associes-scpi-gamme-multihabitation/ Sylvie Blot, Directrice Résidentiel de La Française, vous présente une photographie arrêtée au 30 septembre des SCPI fiscales de la gamme Multihabitation. Virginie Walut, Directrice de la recherche et de l’ISR immobilier, vous présente un point marché sur le résidentiel.

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    news-2139 Thu, 08 Oct 2020 09:00:00 +0200 Hyundai Investments et La Française signent une joint-venture et acquièrent un premier immeuble de bureaux à Essen, en Allemagne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/hyundai-investments-et-la-francaise-signent-une-joint-venture-et-acquierent-un-premier-immeuble-de-bureaux-a-essen-en-allemagne/ La joint-venture HILF Euro Office a été créée par Hyundai Investments et La Française pour investir dans des bureaux modernes de taille moyenne dans les quartiers d'affaires établis de villes ciblées en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Irlande. Le profil de risque du protefeuille est core/core+. 

    La joint-venture, représentée par La Française Real Estate Managers, a acquis un immeuble de bureaux entièrement loué dans la ville d'Essen. L'accord porte sur une transaction de cession-bail avec RWE, qui est l'un des plus grands fournisseurs d'énergie en Allemagne. La durée du bail est de 17,5 ans.

    L’actif est situé Altenessener Str. 27 dans le nord du centre-ville d'Essen et fait partie du Campus RWE, qui comprend plusieurs immeubles de bureaux appartenant ou loués à RWE.

    L'immeuble de bureaux de six étages, achevé en 2009, offre des espaces de bureaux modernes et de qualité. Les surfaces disposent d'un plafond avec un système de refroidissement intégré et un chauffage avec récupération de chaleur. Outre la surface de bureaux de 11 754 m², l'immeuble comprend également une salle de marché de 2 949 m² qui abrite les activités de trading d’énergie de RWE. Les plans des étages de l'immeuble permettent également une utilisation multilocataires. Chaque étage peut être divisé pour aménager jusqu'à quatre unités de bureaux différentes.

    David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers, a déclaré : « Il s'agit d'une nouvelle stratégie qui vise à diversifier l'exposition des investisseurs coréens à des immeubles de bureaux modernes et bien loués tant dans les principales villes européennes que dans les villes de second rang (tier 2). Le plan d'affaires de la joint-venture permettra d'examiner les possibilités de gestion des actifs du portefeuille sur une période de détention pouvant aller jusqu'à 8 ans. D'autres acquisitions sont prévues au cours des 12 prochains mois. » Shawna Yang, Directrice Relations Investisseurs Asie, a ajouté : « La Française continue d'attirer les capitaux sud-coréens sur le marché immobilier européen, qui montre des signes positifs à la fois en termes de valorisation que de valeur locative. »
     

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    news-2137 Fri, 02 Oct 2020 16:57:06 +0200 La Française renforce sa politique d'exclusions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-sa-politique-d-exclusions/ Le groupe La Française a une vision positive de l’entreprise et sa philosophie d’investissement repose sur l’analyse des trajectoires des stratégies mises en place par ces structures. Cependant, à l’aune des crises et des défis auxquels notre vivre ensemble fait face, nous ne pouvons plus faire l’économie de certaines exclusions. Cependant, à l’aune des crises et des défis auxquels notre vivre ensemble fait face, nous ne pouvons plus faire l’économie de certaines exclusions. Des technologies bien spécifiques portent en elles des conséquences négatives qui s’étendent sur trop d’années pour les laisser perdurer ou même laisser le temps de la transition. C’est pourquoi nous avons mis en place une politique d’exclusion sur la base des principes décrits ci-dessous.
    Le groupe La Française met en œuvre deux types d’exclusions :

    Les exclusions que nous qualifions de normatives : elles correspondent à des éléments partagéset ayant acquis une dimension universelle, parfois même réglementaire dans certains pays. C’est par exemple le cas des armements controversés dont l’exclusion repose en général sur des  conventions signées par de nombreux pays dont la France comme la Convention d’Ottawa sur les mines anti-personnelles et celle d’Oslo sur les armes à sous-munition. La Française exclut donc les armes controversées de l’ensemble de ses activités.

    Le Groupe a également décidé de mettre en place des exclusions d’intérêt général. Ces exclusions concernent des produits qui, s’ils sont du ressort de la liberté individuelle, nuisent néanmoins à l’intérêt général en raison de leurs effets négatifs sur la santé et/ou l’environnement.

    Il s’agit de l’exclusion du tabac qui relève de la santé publique. A ce titre le Pacte Mondial(1) (Global Compact) des Nations-Unies a exclu la possibilité pour les producteurs de tabac d’être signataires du Pacte Mondial tout comme cela avait été fait initialement pour les entreprises produisant ou vendant des mines anti-personnelles ou des armes à sous-munition(2). Cette décision a été prise en 2017 à la suite de plusieurs rapports de l’OMS(3) démontrant les impacts en termes de mortalité et de santé publique de la consommation de tabac dont le "Global Tobacco Epidemic report, 2017".

    Il en est de même pour le charbon qui relève tout à la fois de la lutte contre le changement climatique et de la santé publique. Le charbon est une source d’énergie peu couteuse mais qui est de loin la plus polluante des sources d’énergie en termes d’émission de CO2 par kWh produit(4). Dans le cas du charbon, l’exclusion est particulièrement nécessaire, car la construction de nouvelles centrales électriques alimentées au charbon dont la durée de vie moyenne est de 40 ans entrainerait des émissions bloquées de CO2 (locked-in emissions) à un horizon 2060 à un moment où le monde devra déjà être neutre en émissions carbone nettes. S’il est donc impératif de réduire la consommation de charbon, il est urgent de ne pas soutenir des investissements qui figeraient des émissions de CO2 pour des dizaines d’années à venir.

    Certaines exclusions nous semblent devoir s’appliquer au niveau du Groupe et de l’ensemble de ses métiers : valeurs mobilières, immobilier, private equity et financement de l’économie réelle. Ainsi,

    - Le Groupe renforce sa politique d’exclusion des armements controversés soit désormais :
    • les mines anti-personnelles,
    • les armes à sous-munition,
    • les armes biologiques et chimiques,
    • le phosphore blanc,
    • et l’uranium appauvri.

    - Le Groupe s’engage à exclure les principaux acteurs liés au charbon thermique et à en sortir totalement (sortie totale d’ici à 2040) mais progressivement dans la logique d’accompagnement qui est la sienne.

    (1) www.globalcompact-france.org
    (2) www.unglobalcompact.org/participation/join/who-should-join
    (3) OMS : organisation mondiale de la santé ; www.who.int/tobacco/global_report/2017/executive-summary/en/
    (4) www.rte-france.com/eco2mix/les-emissions-de-co2-par-kwh-produit-en-france

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    news-2129 Fri, 25 Sep 2020 14:34:55 +0200 Quelle direction prendre après la pandémie de Covid-19 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quelle-direction-prendre-apres-la-pandemie-de-covid-19/ Par Gilles Seurat, Multi Asset Fund Manager, La Française AM Dans le monde de l'après-Covid, bon nombre d'inconnues demeurent, notamment sur le virus en soi : quand développerons-nous un vaccin, la planète devra-t-elle affronter une deuxième vague, etc. ? Ces sujets sont tous très sensibles et continuent d’être déterminants pour l’appétit au risque des investisseurs - chaque nouvel article de presse sur un vaccin étant littéralement acclamé par les marchés financiers, la remontée récente des cas en Europe étant un sujet d’inquiétude. Malheureusement, il est extrêmement difficile d'avoir une longueur d'avance sur ces questions, d'autant que même les médecins semblent déconcertés.

    Cependant, il y a des choses que nous savons d'ores et déjà et qui peuvent contribuer à structurer notre allocation d'actifs.

    Il semble que les gouvernements aient décidé de dépenser autant d'argent que possible. Les déficits se creusent et atteignent des niveaux records : pour 2020, les prévisions annoncent -9,6 % pour l'ensemble de la zone euro, -17 % pour les États-Unis et -13,3 % pour le Royaume-Uni. (Source : Bloomberg). Et il semble que ce ne soit qu'un début. Tout comme les banques centrales ont prolongé/intensifié leurs mesures d'assouplissement quantitatif à de nombreuses reprises par le passé, les gouvernements dépenseront sans doute plus à l'avenir si la croissance s'avère décevante.

    Il est clair que les dépenses d'aujourd'hui se traduiront par un ratio dette/PIB nettement plus élevé demain. Un jour ou l'autre, il faudra rembourser cette dette supplémentaire. Elle pèsera donc certainement sur la croissance future. Cela signifie que le resserrement monétaire n'est pas une option, car les gouvernements ne pourront tout simplement pas supporter des taux plus élevés.

    Avant la crise du Covid-19, nous considérions déjà que les taux ne pouvaient pas monter en raison de tendances à long terme, telles que la digitalisation et le vieillissement des populations. Désormais, le tableau est encore plus clair : il est temps de s'habituer aux taux négatifs, car ils sont là pour durer. Dans le contexte actuel, la dette publique australienne à long terme, dont la courbe de taux est très pentue, est un actif que nous apprécions.  

    Les devises sont également touchées. Le dollar américain a perdu de son éclat suite aux baisses de taux de la Fed - le portage est désormais minime avec des taux d'intérêt réels profondément négatifs. A moyen terme, une baisse du dollar semble envisageable avec pour conséquence des marchés émergents qui se reprendraient, bénéficiant d’une baisse du coût de la dette en monnaie locale. Toutefois, à court terme nous sommes plus prudents car la dynamique sanitaire est nettement moins bonne en Europe qu’aux Etats-Unis. La volatilité devrait donc rester de mise mais nous restons positifs à terme sur la dette émergente.

    En ce qui concerne les autres actifs risqués, comme les actions, le marché reste tiraillé entre des performances économiques très mauvaises et un assouplissement budgétaire et monétaire spectaculaire. Le positionnement des investisseurs, qui était extrêmement prudent en avril, s’est normalisé en très grande partie. Si les gérants systématiques sont encore sous exposés aux actifs risqués, les gérants discrétionnaires sont quasiment revenus à leur positionnement historique moyen. Le marché ne bénéficie donc plus de ce facteur de soutien. On pourrait donc entrer dans une phase de consolidation pendant laquelle la discrimination serait plus importante. Les fondamentaux devraient ainsi devenir à nouveau le principal facteur explicatif. Dans ce contexte, avec des politiques monétaires encore plus accommodantes, nous favorisons les actifs de rendement dans nos allocations. Ceci nous amène à privilégier la dette financière subordonnée (AT1), ainsi que les crédits aux entreprises (notés « investment grade » et à haut rendement). Les obligations, qui ont sous-performé les instruments dérivés pendant la crise, disposent aujourd'hui d'un potentiel de rattrapage. Concernant les obligations périphériques souveraines, nous suivons de près les obligations grecques, qui présentent un profil risque/rendement attrayant et font désormais l'objet d'acquisitions par la BCE dans le cadre de son programme d’achats d’urgence face à la pandémie (PEPP).

    Au sein des actions, notre préférence va aux grandes capitalisations qui ont beaucoup moins souffert que les petites. La tendance baissière du dollar devrait se traduire par de meilleures performances pour les actions américaines, en tenant compte de la couverture du risque de change. 

    Avertissement

    Les stratégies d’investissement Sub Debt sont disponibles uniquement pour les investisseurs professionnels comme défini ci-après. Les services d’exécution ne peuvent être fournis qu’aux investisseurs professionnels. La clientèle non-professionnelle est hors scope (cible négative).

    Les investisseurs professionnels ont les caractéristiques suivantes : 

    • bonne connaissance des produits financiers et des transactions ; 
    • expérience dans le secteur financier. 

    Ces stratégies ne sont pas disponibles aux investisseurs non-professionnels à moins qu’ils reçoivent des conseils en investissement de professionnels ET que l’investissement dans la stratégie soit pour un objectif de diversification uniquement ou qu’ils aient signés un mandat.  

    CE DOCUMENT EST DESTINE AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIFID II. Il est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destinée à être utilisée comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprétée comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

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    news-2123 Mon, 26 Oct 2020 15:44:00 +0100 Réunions Associés SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunions-associes-scpi/ Marc Bertrand, Président de la Française Rem, Marc Olivier Penin, Directeur général de La Française REM, Thierry Molton, Directeurs des Actifs Immobilier Entreprise, Virginie Wallut, Directeur Recherche & ISR Immobilier de La Française REM ont tenu les réunions Associés SCPI de la Française les lundi 21 et mardi 22 septembre 2020. Retrouvez les échanges en visualisant la restranscription des réunions :

    Replay Lundi 21 septembre  Replay Mardi 22 septembre 
    Crédit Mutuel Pierre 1
    Sélectinvest 1
    LF Grand Paris Patrimoine
    LF Opportunité Immo
    LF Europimmo

    Epargne Foncière
    Multimmobilier 2
    Eurofoncière 2
    Pierre Privilège

     

     


    Avertissement : CECI EST UN DOCUMENT PROMOTIONNEL A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF2. Les informations contenues dans ces vidéos ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Elles sont considérées comme exactes au jour de leur établissement, n’ont pas de valeur contractuelle et sont sujettes à modification. Publiées par La Française AM Finance Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Real Estate Managers, société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016000 006 443 – Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce et Gestion Immobilière.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org

    Crédit Mutuel Pierre 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-32 en date du 1er septembre 2017 /Sélectinvest 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-38 en date du 1er septembre 2017 / LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n°18-25 en date du 21/08/2018 / LF Opportunité Immo a reçu le visa AMF SCPI n°17-36 en date du 1er septembre 2017 / LF Europimmo a reçu le visa AMF : SCPI n°19-18 en date du 20 août 2019 /  Épargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n°17-33 en date du 1er septembre 2017 / Multimmobilier 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-08 en date du 28 mars 2017 / Eurofoncière 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-34 en date du 1er septembre 2017  /Pierre Privilège a reçu le visa AMF SCPI n°17-37 en date du 1er septembre 2017. 

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    news-2122 Thu, 24 Sep 2020 09:00:00 +0200 La Française acquiert un troisième actif à Amsterdam /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-acquiert-un-troisieme-actif-a-amsterdam/ Trois Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI), Epargne Foncière, Mulitmmobilier 2 et LF Europimmo, représentées par La Française Real Estate Managers, ont acquis un immeuble de bureaux dans la ville d'Amsterdam auprès d’Avignon Capital. L’actif est situé au 16 Danzigerkade au bord de l'IJ dans le quartier dynamique de Houthavens, un pôle créatif en plein essor conjuguant loisirs et emplois dans la partie nord du quartier d'affaires d'Amsterdam. La zone favorise les occupations à usage mixte avec bientôt 2 700 logements et vise à être reconnue comme une zone durable et neutre pour le climat au cœur d'Amsterdam. 

    Achevé en 2018, cet immeuble de bureaux de six étages offre 6 812 m2 de surface et 55 places de parking (dont 49 places couvertes). Il est entièrement loué à cinq locataires : une agence de publicité, un distributeur d'horlogerie, un fabricant et distributeur d'appareils photo instantanés, un fournisseur d'espaces de coworking et une société de production. 

    Jens Goettler, Directeur Général, La Française Real Estate Managers - Allemagne a déclaré : « Nous sommes ravis d'acquérir une troisième propriété à Amsterdam avec un espace de bureau aussi performant et flexible. Houthavens, dont la majeure partie des actifs existants est déjà louée, est l'un des rares quartiers d'affaires d'Amsterdam où de nouveaux projets sont encore possibles. Cet investissement s'inscrit parfaitement dans notre stratégie immobilière ESG qui privilégie les acquisitions dans des programmes à usage mixte.»

    La Française Real Estate Managers a été conseillée par Houthoff sur les aspects juridiques et par Savills Pays-Bas sur les aspects techniques de la due diligence.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2118 Mon, 21 Sep 2020 09:27:41 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-1/ La société de gestion après analyse des conditions sur les marchés visés a estimé qu'il était dans l'intérêt des actionnaires de réduire le montant minimum d’actifs sous gestion en deçà duquel le fonds est investi en titres du marché monétaire. Par conséquent le fonds sera investi en titres du marché monétaire jusqu’à ce que le montant d’actif sous gestion atteigne 5 millions d’euros et non plus 7 millions d’euros, afin de permettre aux actionnaires investis de bénéficier des conditions actuelles du marché.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 25 septembre 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2028 » disponible sur le site www.la-francaise.com.

    Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant

    Représentant en Suisse :
    ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, 8050 Zurich

    Agent payeur en Suisse :
    NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, 8024 Zurich

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    news-2113 Mon, 21 Sep 2020 09:00:00 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise/ La société de gestion après analyse des conditions sur les marchés visés a estimé qu'il était dans l'intérêt des actionnaires de réduire le montant minimum d’actifs sous gestion en deçà duquel le fonds est investi en titres du marché monétaire. Par conséquent le fonds sera investi en titres du marché monétaire jusqu’à ce que le montant d’actif sous gestion atteigne 5 millions d’euros et non plus 7 millions d’euros, afin de permettre aux actionnaires investis de bénéficier des conditions actuelles du marché.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 25 septembre 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2028 » disponible sur le site www.la-francaise.com

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    news-2112 Tue, 22 Sep 2020 15:53:00 +0200 Le label ISR, décerné à six fonds La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-label-isr-decerne-a-six-fonds-la-francaise/ La dimension responsable est présente depuis une dizaine d’années au sein du groupe. La dimension responsable est présente depuis une dizaine d’années au sein du groupe. Mais, c’est depuis l’intégration de son centre de recherche extra-financière initiée en 2014 que La Française a développé une méthodologie de quantification de scores E, S et G et s’est dotée d’un process innovant de mesure et de projection des émissions ‘carbone’ à partir des données brutes des entreprises (Low Carbon Trajectory - LCT). La méthodologie LCT permet de modéliser les émissions des entreprises dans le temps et de déterminer si les entreprises des secteurs à fortes émissions de GES sont en ligne avec l’objectif de limiter le réchauffement climatique à +2 degrés. Cette approche, appliquée à la gestion crédit, représente un changement majeur pour le métier de gérant de fonds, car elle permet d’évaluer les risques et opportunités liés au changement climatique d’un portefeuille de valeurs mobilières donné.  

    En parallèle de ces innovations, La Française déroule sa gamme de fonds durables et annonce l’obtention pour deux fonds additionnels, La Française Obligations Carbon Impact et La Française Trésorerie, du Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France le 27/07/2020, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. 

    La Française Obligations Carbon Impact a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée supérieure à 3 ans, une performance nette de frais supérieure à l'indice Barclays Capital Euro Aggregate Corporate coupons réinvestis, en investissant dans un portefeuille d'émetteurs Investment Grade filtrés préalablement selon des critères ESG et analysés sous l’angle de leur compatibilité avec la transition énergétique selon une méthodologie définie par la société de gestion. Le Fonds s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investis (scopes 1 et 2) au moins 50% inférieure à celle de l’univers d’investissement comparable représenté par l’indicateur de référence.

    La Française Trésorerie a pour objectif de rechercher les opportunités de marché sur des maturités à court terme, dans le but d’offrir une performance égale à l’EONIA capitalisé, après déduction des frais de gestion. 

    Ainsi, six fonds gérés par La Française AM figurent parmi la liste officielle du ministère des finances des fonds labellisés ISR (www.lelabelisr.fr) :

    • LA FRANCAISE OBLIGATIONS CARBON IMPACT
    • LA FRANÇAISE TRESORERIE
    • LA FRANÇAISE CARBON IMPACT 2026
    • LA FRANÇAISE INFLECTION POINT ACTIONS EURO
    • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT EURO
    • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL

    Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française, conclut, « En parallèle à l’innovation méthodologique constante du groupe, La Française élargit sa gamme de solutions durables en réponse à la demande croissante des investisseurs particuliers et institutionnels. »

    Le label ISR distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ». (www.lelabelisr.fr)

    Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :

    • les objectifs généraux du fonds,
    • la méthodologie d’analyse et de notation des critères ESG (Environnemental, Sociétal, Gouvernance),
    • l’interprétation de ces derniers dans la stratégie d’investissement du fonds,
    • la politique d’engagement ESG,
    • la transparence de gestion,
    • et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.
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    news-2109 Tue, 15 Sep 2020 09:39:33 +0200 La Française Real Estate Managers s’engage sur l’achat d’énergie 100 % renouvelable d’origine française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-s-engage-sur-l-achat-d-energie-100-renouvelable-d-origine-francaise/ Début 2020, La Française Real Estate Managers (REM) s’est fixée une feuille de route ambitieuse qui place les moteurs sociaux et environnementaux au cœur de sa stratégie.  Le Groupe La Française a choisi explicitement pour son pôle immobilier trois axes privilégiés :

    • Réduire ses émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) ;
    • Réintroduire la nature en Ville ;
    • Rendre la Ville plus inclusive.

    Le secteur du bâtiment, qui représente 26 % des émissions de GES du pays1, est un enjeu clef pour l’atteinte des objectifs ambitieux de neutralité carbone fixés par la France à horizon 2050. Dans le cadre de la mise en œuvre de sa stratégie ESG immobilière, et plus particulièrement la candidature d’une de ses Société Civiles de Placement Immobilier à la labélisation ISR, La Française REM vient de contractualiser l’achat d’énergie renouvelable avec la société ENALP.

    Cette énergie est 100 % renouvelable, d’origine hydraulique. Elle est produite par la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), 1er producteur français d’électricité exclusivement renouvelable et concessionnaire du Rhône et s’accompagne de garanties d’origine et de certifications de l’organisme européen TÜV SÜD.

    Dans un premier temps, cet engagement porte sur les parties communes de 17 actifs de bureaux, gérées par La Française REM, et correspond à une consommation de 16 000 MWh/an (ce qui représente, à titre de comparaison, l’approvisionnement de près de 1 500 habitations).

    En termes d’empreinte carbone, ce choix d’énergie permet d’éviter, chaque année, le rejet de près de 47g de CO2 par kWh utilisés2 par rapport à l’utilisation du bouquet énergétique français.

    A titre de comparaison, la quantité d’émissions évitée, grâce à la signature du contrat avec ENALP, équivaut à la quantité de CO2 émise en une année pour le chauffage de près de 900 habitations.3

    Au cours des prochains trimestres, La Française REM prévoit de déployer progressivement cet engagement vers d’autres actifs en y associant de plus en plus ses locataires-utilisateurs.

    En faisant le choix de l’énergie renouvelable d’origine française, La Française REM, pionnière en matière de développement durable avec le lancement dès 2009 du premier OPCI dédié à l’immobilier ISR, confirme son positionnement d’acteur actif et engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique.

    1 Source : OID
    2 Source : ADEME : mix France = 53 g de CO2 par kWh – hydraulique = 6 g de CO2 par kWh (en production)
    3 Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr

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    news-2107 Mon, 14 Sep 2020 16:37:02 +0200 Réunions associés SCPI : diffusion exclusivement en direct sur notre site Internet /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunions-associes-scpi-diffusion-exclusivement-en-direct-sur-notre-site-internet/ Compte tenu de l’évolution défavorable des conditions sanitaires sur les dernières semaines, nous avons fait le choix de ne pas maintenir ces réunions "en présentiel" pour des raisons de sécurité évidentes. Ces réunions seront néanmoins filmées et diffusées en ligne et en direct sur notre site https://www.la-francaise.com/fr/ aux horaires précédemment communiqués, rappelés ci-dessous,

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    news-2102 Thu, 10 Sep 2020 09:32:55 +0200 De quelles options dispose encore la BCE pour stimuler la reprise ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-quelles-options-dispose-encore-la-bce-pour-stimuler-la-reprise/ La BCE tiendra sa conférence de presse ce jeudi 10 septembre Voici ce que nous en attendons :

    • Elle mettra à jour ses projections macro-économiques. Nous ne nous attendons pas à des changements importants (les projections de la BCE sont déjà basses), mais nous pensons qu'elle pourrait revoir à la baisse ses prévisions de PIB et d'inflation, envoyant ainsi un signal accommodant au marché.
    • L'euro s'est considérablement renforcé au cours de l'été, ce qui plaide en faveur d'une plus grande stimulation monétaire (surtout avec une inflation et une inflation « core » très faibles). Même si nous n'anticipons pas l'annonce de telles actions, Mme Lagarde devra signaler pouvoir assouplir sa politique monétaire avant la fin de l'année. Quelles sont les options de la BCE ?
    • Les banquiers centraux savent que leurs « paroles » peuvent avoir un effet sur les marchés, ils peuvent donc « parler » de l'euro dans le contexte de la politique monétaire. Mentionner que la force de l'euro est un problème pour la BCE est un moyen facile et peu coûteux d'intervenir. Mais si cela ne fonctionne pas, cela peut mettre en danger la crédibilité de la BCE.
    • Achats d'actifs : la taille des programmes actuels pourraient augmenter, ils pourraient fusionner, voir leur durée augmenter...
    • La BCE pourrait mentionner que la réduction du taux de dépôt est une option, peut-être couplée à de nouveaux TLTRO (avec de meilleures conditions) afin de contrebalancer les effets négatifs sur les banques.
    • La BCE pourrait également annoncer un objectif d'inflation plus élevé ou une flexibilité concernant un éventuel dépassement de l'inflation. Cependant, pour être efficace, la BCE doit être crédible, ce qui n'est plus le cas sur le front de l'inflation.

    La BCE se trouve dans une situation très difficile : inflation core très faible, inflation globale négative, appréciation de l'euro... Historiquement, ces développements auraient conduit à une réponse très ferme et immédiate de la BCE. Le problème ici est que la BCE est presque à court d'options : elle pourrait réduire le taux de dépôt, mais quel serait l'impact d'un passage de -0,5% à -0,6% ? Elle peut augmenter la taille des programmes, et elle le fera à un moment donné, mais là encore, les répercussions sur l'inflation et l'euro ne sont pas évidentes. La BCE peut s'inquiéter de l'appréciation de l'euro et de la très faible inflation, mais cela ne signifie pas qu'elle peut faire grand-chose à ce sujet.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2100 Wed, 09 Sep 2020 11:49:45 +0200 Patrick Rivière, "L'invité du mois" du magazine Gestion de Fortune /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/patrick-riviere-invite-du-mois-du-magazine-gestion-de-fortune/ Retrouvez l'entretien de Patrick Rivière, Président du directoire de La Française, pour le magazine Gestion de Fortune. Son parcours

    Diplômé de l’Institut de science fnancière et d’assurances (ISFA), Patrick Rivière commence sa carrière en 1983, chez Cholet-Dupont, avant de rejoindre Fimagest en 1985. Après le rachat en 1996 de cette entité par Générale de Banque, il est nommé à la tête de Générale de Banque Asset Management.
    Dans le cadre de l’acquisition de cet établissement par Fortis, il devient ensuite CEO de Fortis Investment Management. Fin 1999, il arrive chez Invesco pour diriger Invesco Continental Europe. C’est en 2008 qu’il entre à l’UFG avant le rapprochement de celle-ci avec La Française des Placements, dont il est nommé directeur général jusqu’à sa nomination à la présidence du directoire du groupe La Française, le 11 mai 2020.

    "J'aime anticiper les tendances produits"
    Créée en 1975, La Française s’est imposée au fl des ans comme un acteur qui compte dans le paysage de la gestion d’actifs, non seulement dans le domaine de l’immobilier, mais aussi dans celui des valeurs mobilières. Depuis une dizaine d’années, le groupe s’est organisé autour de ces deux piliers pour conquérir de nouveaux segments de clientèle, en France comme à l’étranger,
    avec un modèle multi-boutique et des expertises ESG. Nous avons rencontré Patrick Rivière, son nouveau président du directoire, depuis mai 2020, qui s’explique sur ses ambitions

    Dans quelles circonstances avez-vous été nommé président du directoire de La Française ?
    Ma nomination est intervenue dans des circonstances singulières, en période de confnement, mais c’est un hasard de calendrier car le départ de Xavier Lépine, d’un commun accord avec l’actionnaire majoritaire, le Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), avait déjà été programmé depuis un certain temps. J’avais rejoint Invesco quelques mois avant l’éclatement de la bulle des technos et été nommé numéro deux de l’UFG [laquelle a ensuite fusionnée avec l’ex-La Française des Placements, ndlr] quelques jours avant la faillite de Lehman Brothers. J’ai toujours eu le sens du timing ! Plus sérieusement, ma nomination à ce poste traduit avant tout une logique de continuité dans le management du groupe.

    Quelle gouvernance a été mise en place ?
    Je suis entouré d’une équipe qui se compose de Pascale Auclair, membre du directoire depuis mai 2018, et de deux nouveaux membres, Marc Bertrand et Philippe Lecomte. Pascale Auclair est secrétaire générale du groupe, qu’elle représente auprès des associations professionnelles et des instances de place. Elle en est le porte-parole. Elle est aussi responsable de la recherche et de l’investissement socialement responsable.
    Bénéficiant d’une expérience d’une vingtaine d’années au sein du groupe, Marc Bertrand pilote l’ensemble des activités immobilières, qui incluent la plateforme « innovation » digitale. Cette plateforme fédère les activités identifées comme des « business clés » pour le futur. Il représente La Française auprès des instances immobilières de place. Philippe Lecomte, qui a rejoint le groupe en 2012, prend la responsabilité du développement, en France et à l’international. Il conserve la responsabilité de la plateforme de distribution transversale. Il est également en charge des participations. Enfn, il pilote l’offre « produits » du groupe et la communication externe.

    Quelles sont vos spécialités ?
    La fusion de début 2009 a permis d’élargir l’offre de produits (immobilier, fxed income, fonds diversifés, actions…) et d’élargir la base de clientèle (retail, institutionnels, indépendants du patrimoine…). Nos activités reposent depuis l’origine sur deux piliers : immobilier et actifs fnanciers. Nous avons aussi accru nos efforts à l’international. En 2019, La Française a fnalisé l’acquisition du groupe allemand Veritas. Les expertises apportées par les équipes de gestion, basées à Hambourg et à Francfort, sont venues compléter celles de nos propres équipes, basées à Paris, avec un accent mis sur la gestion du risque (suivant la méthode Risk@Work). Nous y cultivons une approche quantitative, en complément d’une approche fondée sur des convictions profondes.

    Propos recueillis par Michel Lemosof

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    news-2099 Wed, 09 Sep 2020 09:13:35 +0200 La Française Real Estate Managers se dote d’une nouvelle organisation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-se-dote-d-une-nouvelle-organisation/ Aujourd’hui regroupé sous une même enseigne en France et à l’International, La Française Real Estate Managers, le pôle immobilier du Groupe La Française se restructure et favorise une organisation délibérément orientée clients. Deux directions dédiées à des segments de clientèles distincts ont ainsi été créées :

    • Une direction « Retail », couvrant l’ensemble de l’offre immobilière à destination des clients particuliers et plus particulièrement les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) dont La Française REM est classée 1ère société de gestion en termes de capitalisation (Source IEIF 30/06/2020) ; 
    • Une direction « Institutionnelle », couvrant l’offre de gestion de mandats immobiliers dédiés aux institutionnels sur des stratégies Core/Core+, Value Added et Opportunistes en France et à l’International.


    Clientèle Retail

    Marc-Olivier Penin, Directeur Général de La Française Real Estate Managers, a la responsabilité du pôle immobilier dédié à la clientèle Retail en France et à l’international et notamment de la gestion de la gamme SCPI du groupe. Il renouvelle la structure managériale de son pôle : Thierry Molton, succède ainsi à Eric Allard, à la suite de son départ en retraite, et est nommé Directeur des Actifs Immobilier Entreprise.

    Forte d’une expérience de plus de 40 ans dans la création et la gestion de fonds collectifs en immobilier (SCPI), La Française s’impose toujours comme une référence auprès de la clientèle de particuliers.
    La gamme de SCPI du Groupe – gérées ou commercialisées – en direct ou via les contrats d’assurance vie, a collecté 670 millions d’euros auprès des investisseurs particuliers français ces 6 premiers mois de l’année (au 30/06/2020). En janvier 2020, La Française a innové en lançant sur ce segment la 1ère SCPI viticole. 


    Clientèle Institutionnelle

    David Rendall, prochainement nommé Directeur Général de La Française Real Estate Managers, prend la responsabilité de la plateforme immobilière en France et à l’International dédiée aux investisseurs institutionnels. Depuis l’intégration de Cushman & Wakefield Investors en 2014 par La 

    Française, David Rendall a contribué au succès du développement de l’expertise immobilière du Groupe à l’international notamment en Asie où La Française dispose d’un bureau à Séoul. 

    Son équipe est renforcée par l’arrivée de Leslie Villatte, Directeur Investissements et Développement Business Immobilier Institutionnels – France.

    L’appétence sur la classe d’actif Immobilier des investisseurs institutionnels français et étrangers ne se dément pas sur ce 1er semestre 2020. La Française, dispose de trois centres de gestion, en France, en Allemagne et au Royaume Uni et d’une équipe de développement et de levée de fonds couvrant les marchés de l’Europe, l’Asie et du Canada.

    La Française, engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique et souhaitant accompagner la demande croissante pour des solutions d’investissement immobilières responsables, a également mis en place une direction transverse « Recherche et ISR - Immobilier » sous la responsabilité de Virginie Wallut.
     

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    news-2097 Thu, 09 Jul 2020 12:00:00 +0200 Le quatrième rapport « Stratégie responsable et climatique du Groupe La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-quatrieme-rapport-strategie-responsable-et-climatique-du-groupe-la-francaise/ Le changement climatique et la nécessaire prise en compte des externalités environnementales générées par l’activité économique influenceront ces tendances. Notre « raison d’être » s’articule ainsi autour des quatre points suivants :

    Raison d’être

    1- Vision : Le monde traverse une période de rupture marquée par des crises écologiques, sociales et plus récemment sanitaires. Cette rupture rend pour partie obsolètes les leviers de performances passés.

    2- Mission : Contribuer à définir les bases de nouveaux référentiels et à activer de nouveaux leviers de performance qui doivent avoir un impact positif à la fois sur la rentabilité et sur leurs implications sociales et environnementales.

    3- Promesse : Mettre en oeuvre notre capacité d’innovation pour créer de la valeur et faire de l’épargne un acte d’engagement utile sur le plan individuel par la rentabilité de l’investissement comme sur le plan collectif via son impact social et environnemental.

    4- Message : Changer de regard, de point de vue, pour changer les choses.

    Implication à l’égard du changement climatique

    Le groupe La Française analyse les grandes tendances qui devraient structurer les marchés financiers à long terme dans les domaines :

    a) Economique : une évolution de la mondialisation et l’accélération du progrès technologique.
    b) Monétaire : la persistance de taux d’intérêt bas.
    c) Démographique : la poursuite du développement de grandes métropoles.

    Les externalités environnementales sont de plusieurs ordres, elles impactent l’économie de façon multiple et doivent donc être intégrées et analysées de manière différenciée. A titre d’illustration, la constante de temps du changement climatique liée aux émissions de gaz à effet de serre, c’est-à-dire le temps nécessaire pour que les dommages associés se matérialisent pleinement, est de l’ordre de 80 ans. Il est donc impératif de déterminer un taux d’actualisation intergénérationnel pour déterminer la valeur actuelle des dommages. En ce qui concerne le changement dans la biodiversité et les écosystèmes liés à l’emprise physique de plus en plus forte des activités humaines sur les espaces naturels, origine probable de la pandémie du Covid-19 comme de la plupart des zoonoses, la constante de temps est très courte (de l’ordre du mois) mais c’est un événement répétitif dont la fréquence pourrait augmenter fortement (H1N1, SRAS, etc.).

    Le groupe La Française a une sensibilité particulièrement forte aux effets du changement climatique sur les marchés financiers. Notre métier de gérant d’épargne couvre un large panel de classes d’actifs et permet au groupe d’occuper un poste d’observation privilégié du développement de la finance climatique. Une partie des actifs gérés par le groupe porte sur des compartiments de marché peu liquides avec des risques physiques et de transition particulièrement délicats à gérer car s’inscrivant dans des détentions de long terme. C’est pourquoi le groupe La Française a massivement investi dans des groupes de travail, des publications, des réflexions avec ses clients et des produits financiers autour de ce thème central. Cette forte sensibilité au climat s’est traduite par des recherches approfondies sur le sujet et le développement d’approches et de gammes de produits d’investissement dédiés.

    Stratégie durable
    Plus généralement, le groupe La Française analyse que les facteurs Environnementaux, Sociétaux et de Gouvernance (ESG) affectent significativement les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie du groupe est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix s’effectue sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation (forward looking).

    En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le groupe La Française porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être valorisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires associées au changement climatique et aux défis sociaux qu’elles impliquent.

    Le présent rapport de synthèse vise à exposer les initiatives du groupe La Française en matière d’investissement durable. Il s’inscrit dans le respect les obligations d’information relatives au décret de « l’Article 173 VI ». Il est établi conformément aux recommandations du groupe de travail sur le reporting des risques financiers liés au climat (TCFD, pour Taskforce on Climate-related Financial Disclosures).

    Il traite à la fois de notre philosophie liée à l’investissement durable, la manière dont elle est intégrée à nos processus d’investissement, des objectifs et indicateurs liés à cette stratégie.

    Le TCFD qui cible essentiellement les risques et les opportunités liés au climat, fait de ce dernier le fil conducteur du présent rapport puisqu’il influence l’ensemble des classes d’actifs que nous gérons. La structure elle-même du rapport reprend les lignes directrices de la TCFD en quatre temps : Gouvernance, Stratégie, Gestion des risques et Indicateurs et objectifs.

    L’ensemble des rapports, codes de transparence, politique de vote et d’engagement, charte de l’investissement durable, rapports méthodologiques et indicateurs du groupe la Française sont publiés ici

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    news-2096 Tue, 15 Sep 2020 10:00:00 +0200 De l'empreinte carbone à la gestion des risques climatiques /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-l-empreinte-carbone-a-la-gestion-des-risques-climatiques/ Les marchés financiers sont de plus en plus conscients de l’importance des données ESG pour la prise de décision. Les émissions de carbone sont l’un des ensembles de données les plus développés disponible pour l’analyse des investissements. Ces données sont essentielles pour les modèles de données ESG, l’empreinte carbone et l’évaluation des risques climatiques. Dans ce rapport, nous examinons les propriétés et la qualité des données sur les émissions de carbone, à la fois rapportées et estimées. (1)

    Les défis liés aux données ESG sont bien connus : niveaux d’information, normes de reporting, cohérence temporelle, séries chronologiques, audit, matérialité et agrégation, pour n’en nommer que quelques-uns. En effet, de ce point de vue, les ensembles de données portant sur le carbone peuvent être considérés comme plus matures que d’autres, car certains de ces défis sont déjà traités par des organisations établies comme WRI, CDP, SBTi et bien d’autres.

    Néanmoins, au vu de l’importance des données relatives au carbone dans notre processus d’investissement, nous avons décidé de ne pas utiliser les estimations communiquées par des fournisseurs de données tiers, notamment en raison des écarts importants qui existent entre les données de différents fournisseurs. Dans ce rapport, nous abordons certains des défis liés aux lacunes et inconsistances des données disponibles et présentons la solution que nous proposons : la création d’une vaste série chronologique d’émissions de carbone couvrant tous nos titres de participation et la plupart de nos titres obligataires.

    Alors que nous continuons à intégrer toujours plus les informations ESG dans nos processus d’investissement, nous revenons à l’essentiel en examinant les données relatives aux émissions de carbone comme un élément clé des ensembles de données ESG. L’analyse de l’empreinte carbone est un exemple d’utilisation des données sur le carbone bien établi, mais limité. Par conséquent, nous utilisons des outils analytiques complémentaires basés sur nos données relatives au carbone et notre modèle d’estimation, ce qui nous permet d’anticiper et d’évaluer de manière plus exhaustive les risques et les opportunités climatiques. Grâce à cette intégration, nous sommes en mesure de concevoir des solutions d’investissement comme nos stratégies « Carbon Impact » qui contribuent à fournir le capital nécessaire à la transition vers une économie zéro carbone.

    (1) Sauf indication contraire, les termes suivants sont utilisés comme synonymes : émissions de carbone, émissions de GES et émissions de CO2e. Tous ces termes incluent les gaz à effet de serre suivants : dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4), oxyde nitreux (N2O) et gaz fluorés (HFC, PFC, SF6, NF3).

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    news-2094 Fri, 04 Sep 2020 11:07:43 +0200 Quelles opportunités dans le monde d'après ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quelles-opportunites-dans-le-monde-dapres/ Le monde d'après ? A. DES ANTICIPATIONS ECONOMIQUES EN AMELIORATION
    Aidées par l’assouplissement des mesures de confinement et par la poursuite des plans de relance, les économies rebondissent, en particulier aux Etats-Unis :

    • Aux Etats-Unis, le taux de croissance du 2ème trimestre ressort meilleur qu’anticipé, tiré par le secteur manufacturier et l’immobilier (4ème hausse consécutive des indicateurs avancés d’activités, consommation en hausse sur 1 an, production et commandes de biens durables se reprennent, les permis de construire augmentent).
    • En Zone Euro, les chiffres de croissance sont globalement en ligne avec les anticipations avec des disparités, les indicateurs avancés d’activités demeurent en zone d’expansion bien qu’un ralentissement soit observé sans remise en cause du rebond attendu au 3ème trimestre1.

    Les résultats des entreprises, très déprimés en termes absolus, ont également surpris positivement au cours de l’été :

    • Aux Etats-Unis, 64,8% ont surpris positivement sur le chiffre d’affaires et 82,7% sur le résultat net, en forte hausse par rapport au 1er trimestre2;
    • En Europe, 61,4% ont surpris positivement sur le chiffre d’affaires et 55,6% sur le résultat net3.

    Après les avoir suspendues durant la crise, les entreprises communiquent de nouveau sur les perspectives de leur activité, ce qui constitue un facteur de soutien.

    La prudence demeure cependant avec la crainte de voir la reprise s’essouffler au-delà du rebond initial de l’activité. Les taux de chômage pénaliseront en effet la reprise de la consommation sur le moyen terme (variation du taux de chômage aux Etats-Unis de +10,2% sur un an), en particulier dans les secteurs les plus exposés aux contraintes sanitaires comme le tourisme, la restauration ou les loisirs. Bien que le pire de la crise semble derrière nous, le calendrier est sensible à court terme, avec la reprise possible de la pandémie, les élections américaines, la reprise des tensions entre la Chine et les Etats-Unis (Ouighours, tensions sur les valeurs technologiques, Hong Kong…), les tensions en méditerranée entre la Turquie et certains pays européens. A plus long terme, il faudra également gérer les stocks de dette accumulés notamment par les Etats suite aux différents plans de relance, mais aussi par certaines entreprises.

    B. DES MARCHES TOUJOURS FAVORABLEMENT ORIENTES
    Pour l’heure, les marchés demeurent insensibles à ces risques et poursuivent la tendance débutée mi-mars.

    - Sur les marchés d’actions américains,

    • Le MSCI World en Euro, bien que toujours négatif depuis le début de l’année à -2,28% au 31 août, a repris +37,89% depuis le point bas du 23 mars.
    • Le Nasdaq 100 en Euro, affiche une performance exceptionnelle de +60,67% depuis le point bas du 16 mars, lui permettant d’afficher une performance sur l’année de +30,16%.

    - Sur les marchés d’actions européens,

    • Le CAC 40 affiche également une reprise importante depuis le 18 mars avec +31,76% bien que la performance 2020 demeure négative à -17,24%.
    • Même tendance pour l’Euro Stoxx avec une hausse de +37,16% depuis le 18 mars et une performance 2020 de -12,62%.

    - Sur les marchés des taux,

    • Les taux 10 américains se sont contractés de près de 1.2 point passant de 1,92% à 0,69%, malgré une légère tension sur août (+12 points de base).
    • Même constat du côté des taux européens : le taux allemand est passé de -0,19% à -0,39% (+12 points de base sur août), le taux français de 0,12% à -0,09% (+10 points de base sur août), le taux portugais de 0,44% à 0,42%, le taux espagnol de 0,47% à 0,40%, le taux italien de 1,41% à 1,09%.

    Sur les marchés du crédit,

    • Les primes de risque tendent à se normaliser après le très fort écartement connu durant la crise, tout en demeurant sur des niveaux supérieurs à ceux de début janvier.
    • Sur l’investment grade : les spreads de la Zone Euro et des Etats-Unis s’établissent aux 31 août à respectivement 92 et 151, contre 63 et 112 début janvier (après un pic à 199 et 389)4
    • Sur les dettes High Yield : au niveau global le spread est passé de début janvier à fin août de 335 à 477 (avec un pic à 895), en Zone Euro de 268 à 403 (pic à 708), aux Etats-Unis de 315 à 459 (pic à 887), dans les émergents de 427 à 588 (pic à 1072).5
    • Sur les dettes subordonnées : les spreads des AT1/CoCos se sont écartés de 168 points de base depuis le début de l’année (passant de 324 à 493, avec un pic à 1898 le 23 mars), de 112 points de base pour les hybrides d’entreprise et de 40 points de base pour les subordonnées d’assurance.6

    C. QUELLES OPPORTUNITES DANS « LE MONDE D’APRES » ?

    Appréhender la totalité des changements induits par la crise sanitaire inédite semble prématuré. Cependant, certaines transformations sont d’ores et déjà visibles :

    • Transition technologique : la pandémie a accéléré la digitalisation et le recours au télétravail. Les besoins en outils informatiques et de communication au sens large ont augmenté, ce qui a particulièrement favorisé les valeurs technologiques américaines.
    • Modification des modes de consommation à la fois en termes de transport, de commerce et de loisirs. Accélération du transfert entre commerce physique et e-commerce. Les entreprises devront s’adapter rapidement.
    • L’accélération de la transition énergétique : bien que certains secteurs soient tentés d’abandonner les efforts de transition pour privilégier la relance, nous considérons qu’au contraire, la reprise devrait amplifier cette transformation sous l’impulsion des plans de relance que la plupart des gouvernements souhaitent orienter vers une économie durable.

    A plus court terme, nous considérons qu’avec les plans de relance des banques centrales et les meilleures perspectives économiques qu’anticipées initialement par les prévisionnistes (taux de défaut plus faibles qu’anticipés, saison des résultats meilleure qu’attendue, croissance des Etats revue en hausse), les actifs risqués demeureront particulièrement attractifs, bien que certains épisodes de volatilité seront à gérer d’ici la fin de l’année.

    La recherche de rendement par les investisseurs sera confortée par l’annonce historique du changement de « philosophie » de la Fed, annoncée par J. Powell lors du Jackson Hole symposium fin août, privilégiant la reprise économique à la maitrise de l’inflation et actant ainsi le maintien des taux bas.

    1 Sources : Bloomberg, août 2020
    2 Sources : Bloomberg, S&P500, 31/08/2020
    3 Sources : Bloomberg, Stoxx Europe 600, 31/08/2020
    4 Sources : Bloomberg, BofAML, indices IG € (ER00), IG US (C0A0)
    5 Sources : Bloomberg, BofAML, indices HY € (HE00), global (HW00), US (H0A0), Emergent (EMUH)
    6 Sources : Bloomberg, Crédit Suisse, indices AT1 (CCEUTOBS index), Hybrides (ECHITOBS index), subordonnées d’assurance
    (CICITOBS index)

     

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    news-2088 Thu, 03 Sep 2020 09:00:00 +0200 La Française annonce l’arrivée de Philippe Depoux à la Présidence de La Française Real Estate Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-annonce-l-arrivee-de-philippe-depoux-a-la-presidence-de-la-francaise-real-estate-managers/ La Française annonce la nomination future de Philippe Depoux en tant que Président de La Française Real Estate Managers, afin de poursuivre le développement de la stratégie immobilière du groupe. Il succédera ainsi à Marc Bertrand et deviendra également membre du Directoire du groupe La Française. Ces nominations seront proposées aux prochains Conseils de Surveillance des deux structures à compter du 30 septembre 2020.

    Recentrée autour de deux activités que sont l’immobilier et les actifs financiers, La Française place l’immobilier, qui représente aujourd’hui 50% des encours totaux gérés, au cœur de sa stratégie de développement. Au cours des dix dernières années, les encours en immobilier du Groupe ont en effet plus que quadruplé pour atteindre 25 milliards d’euros, grâce à un leadership reconnu en France et une expansion à l’international. La Française ambitionne de poursuivre et d’accélérer ce développement sur une classe d’actifs devenue incontournable pour l’ensemble des investisseurs dans le contexte actuel de taux durablement bas, et qui, à la suite de la pandémie du COVID-19, devra faire face à de nouveaux enjeux. 

    Âgé de 58 ans et diplômé de Sup de Co Rouen (NEOMA), Philippe Depoux a effectué depuis 1986 l’’essentiel de sa carrière au sein du monde de l’immobilier institutionnel français et international. D’abord en charge des activités acquisitions, ventes et expertises chez GAN Immobilier, GROUPAMA Immobilier, puis Global Head of Transactions chez Axa REIM, il prend à partir de 2006 la Direction Générale de la Société Foncière Lyonnaise, puis de GENERALI Immobilier France en 2009 et de Gecina en 2013. Depuis 2017 il était le Directeur Général de la Compagnie Lebon. Administrateur de l’IEIF, du Club de l’Immobilier et de l’ONG PUI, Philippe Depoux s’est vu décerner 4 Pierres d’Or au cours de sa carrière.

    En rejoignant La Française, Philippe Depoux poursuivra la croissance et la diversification de l’offre immobilière du groupe sous une seule et même marque « La Française Real Estate Managers » en France et à l’international. Il pilotera l’ensemble des activités de la ligne métier immobilier ainsi que la plateforme innovation du Groupe et représentera La Française dans les instances de place immobilières. 

    « Je suis très honoré de rejoindre La Française. Ce groupe à belle notoriété a su développer une activité immobilière tournée vers l’excellence et la solidité, sous l’impulsion de Marc Bertrand, un ami dont je salue ici le travail. Je suis impatient de mettre à profit mon expérience au service de La Française et de son actionnaire, afin de poursuivre et d’accélérer son développement en matière immobilière » précise Philippe Depoux. 

    Dans le cadre de cette nouvelle gouvernance, Philippe Depoux, sera entouré d’une équipe de direction expérimentée :

    • Marc-Olivier Penin, Directeur Général, La Française Real Estate Managers, en charge de l’offre immobilière à destination des clients particuliers incluant notamment les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) ;
    • David Rendall, nouvellement nommé Directeur Général, La Française Real Estate Managers, en charge de l’offre de gestion de mandats immobiliers dédiés aux institutionnels sur des stratégies Core/Core+, Value Added et Opportunistes.

    « Marc Bertrand aura accompagné pendant plus de 20 ans le Groupe dans l’expansion de son expertise en immobilier : il a apporté notamment son sérieux et son pragmatisme à ce développement et je tenais personnellement à le remercier pour son engagement tout au long de ces années. L’arrivée de Philippe Depoux est un évènement important pour notre Groupe. Je suis convaincu que sa connaissance des différents secteurs de l’immobilier et son expérience à l’international, nous permettront d’écrire avec succès le Tome II de La Française en immobilier, » souligne Patrick Rivière, Président du Directoire du Groupe La Française.
     

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    news-2081 Wed, 05 Aug 2020 14:09:52 +0200 Rétrospectivement, quelles ont été les stratégies d'investissement gagnantes et perdantes pendant la période de confinement ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retrospectivement-quelles-ont-ete-les-strategies-d-investissement-gagnantes-et-perdantes-pendant-la-periode-de-confinement/ Par François Rimeu, Senior Strategist, La Française AM Le principal point important (au-delà de la dynamique sanitaire) durant ces derniers mois aura été d’écouter attentivement les banques centrales et de comprendre les conséquences de leurs actions. Face à une récession mondiale de grande ampleur, les banques centrales ont libéré des fonds presque illimités, poussant les taux nominaux encore plus bas et augmentant les prévisions d'inflation (ce dernier point ayant été largement aidé par les politiques budgétaires très expansionnistes). Les banques centrales voulaient, et veulent toujours, pousser les taux réels encore plus bas. 

    Si l'on examine les stratégies d'investissement gagnantes des six derniers mois, on constate qu'elles sont toutes logiques étant donné le mouvement de taux d'intérêt réels que l’on a connu.
    Des stratégies d'investissement gagnantes :

    • Les métaux précieux, avec l'or et l'argent qui montent en flèche ; historiquement, il existe une forte corrélation négative entre l'or/argent et les taux d'intérêt réels.
    • Actions : lorsque les taux réels baissent, les conditions financières s'améliorent, ce qui est généralement positif pour les actions. Il existe cependant des écarts importants selon les secteurs. Les secteurs qui ont surperformé sont ceux avec un biais "long de sensibilité", comme les actions « croissance », ainsi que ceux qui ont un biais technologie ou santé. La corrélation entre le ratio P/E du secteur technologique et les taux réels est supérieure à 90 %, ce qui signifie que les investisseurs sont prêts à payer de plus en plus cher lorsque les taux d'intérêt réels diminuent.
    • Les obligations d'État des pays développés (y compris la dette périphérique) et des obligations Investment Grade, grâce aux actions des banques centrales.

    Des stratégies d'investissement perdantes :

    • Actions encore une fois : les secteurs de l'hôtellerie, de l'aéronautique, de la finance et de l'énergie sous-performent, en lien direct avec la crise sanitaire. La sous-performance des financières est en partie due aux politiques monétaires « dovish » des banques centrales.
    • Certains pays émetteurs de dette émergente, par exemple l'Équateur ou l'Argentine, qui avaient une capacité très limitée à lever des capitaux sur les marchés financiers.
    • À l'heure actuelle, le marché des obligations à haut rendement ne s'est pas encore normalisé, contrairement à celui des obligations « investment grade » bénéficiant d’une meilleure notation.
    • Le dollar américain, du moins par rapport aux devises du G7. Depuis des années, l'écart positif des taux d'intérêt entre les États-Unis et les autres pays développés a contribué à la force du dollar. Toutefois, en lien avec les mesures de relance des banques centrales en général et le la Fed an particulier, l'écart s'est réduit, poussant le dollar américain à se déprécier. 

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2076 Tue, 04 Aug 2020 10:00:00 +0200 La Française REM acquiert un immeuble CINASPIC à Paris (75) dans le 10e arrondissement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-un-immeuble-cinaspic-a-paris-75-dans-le-10e-arrondissement/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de l’IRTS (Institut Régional de Travail Social), un immeuble CINASPIC (Constructions et Installations Nécessaires Aux Services Publics d'Intérêt Collectif) situé dans le 10e arrondissement de Paris, sur l’avenue Parmentier à proximité de la Place de la République. L’actif date de la fin du 19e siècle. Il s’agit d’un ancien couvent en pierres composé de quatre ailes entourant une grande cour centrale, sa surface est de 4 469 m² en R+4. Il s’agit d’un « Sale and Leaseback » pour une durée ferme de 12 ans. L’immeuble est classé Etablissement recevant du public (ERP) de type R (enseignement) et peut accueillir 930 personnes dont 820 au titre du public et 110 au titre du personnel. Cet immeuble bénéficie d’une excellente desserte aux transports en commun avec un accès à la station Goncourt (Ligne 11) à 100 mètres et aux différents métros situés Place de la République à 600 mètres.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine.

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides ; l’IRTS a été conseillé par l’office notarial Etude LEXFAIR ; les deux parties ont été conseillées par BNP Paribas Real Estate.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent
    être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2074 Wed, 29 Jul 2020 17:15:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Batipart, Covea et les ACM un immeuble de bureaux en cours de construction situé à Malakoff (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-batipart-covea-et-les-acm-un-immeuble-de-bureaux-en-cours-de-construction-situe-a-malakoff-92/ La Française Real Estate Managers (REM), pour le compte de l’ERAFP (Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique) et deux Sociétés Civiles de Placement Immobilier (LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière) a acquis auprès de Batipart, Covea et les ACM un ensemble immobilier à usage de bureaux, situé au pied de la ligne 13 du métro, boulevard Charles de Gaulle à Malakoff (92). En cours de construction par GA Promotion dans le cadre d’un contrat de promotion immobilière, l’ensemble développera plus de 20 000 m² et visera une triple certification HQE « Très Performant », BBC Effinergie et WELL niveau « Gold ». Les bureaux seront intégralement loués à un grand compte utilisateur dans le cadre d’un bail en l’état futur d’achèvement commercial d’une durée ferme de 9 ans. La livraison est prévue au 4T 2021.

    Il s’agit de la première cession réalisée dans la cadre de l’activité de fonds de développement lancée en 2018 par Batipart et ses partenaires. Pour cette opération de cession, Batipart accompagnera La Française Real Estate Managers jusqu’à la livraison finale de l’immeuble.

    La transaction a été réalisée par l’intermédiaire de Knight Frank Capital Markets. Dans cette opération, La Française REM était conseillée par le cabinet d’avocats Jones Day sur les aspects juridiques, l’étude notariale Allez et Associés sur les aspects notariaux, le cabinet d’avocats KPMG sur les aspects fiscaux, Denjean & Associés sur les aspects comptables, le cabinet d’avocats Archers sur le financement, Artelia sur l’audit technique. Les vendeurs étaient conseillés par le cabinet d’avocats De Pardieu Brocas Maffei et l’étude notariale Cheuvreux.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-2073 Thu, 30 Jul 2020 10:00:00 +0200 Quel impact a eu le confinement sur vos SCPI ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quel-impact-a-eu-le-confinement-sur-vos-scpi/ Entretien avec un expert, Marc-Olivier Penin, Directeur Général, La Française Real Estate Managers. La Française REM, première société de gestion de Société Civile de Placement Immobilier en termes de capitalisation (IEIF, au 31/12/2019) a encaissé normalement les loyers du 1er trimestre 2020 et a procédé, conformément aux prévisions, à la distribution des acomptes du premier trimestre.

    Durant tout le confinement et dès les annonces gouvernementales, ce sont 2 000 locataires que la société de gestion a contactés et 600 demandes d’accompagnement qui ont été traitées.
    Dans cette phase délicate pour les entreprises, La Française REM a adopté une démarche responsable vis-à-vis de ses locataires, réalisant des négociations au cas par cas. La société de gestion, en tant qu’acteur responsable et dans l’intérêt de ses porteurs de parts a :

    • Consenti des efforts de reports de loyers en priorité vers les entreprises de taille modeste et les plus touchées ;
    • Privilégié une politique d’accompagnement sélective et négociée avec les entreprises de taille plus importante dont le secteur d’activité a été particulièrement touché. Des gestes commerciaux ont donc été marginalement réalisés, le plus souvent accompagnés de renouvellement des baux ;
    • Adopté une conduite de fermeté vis-à-vis des demandes de locataires de taille importante, dont le secteur d’activité n’a pas été spécialement affecté par la crise ou dont les capacités financières sont jugées importantes.

    Ainsi, sur l’intégralité de la gamme de SCPI de La Française, ce sont près de 75 à 80 % des loyers qui ont pu être encaissés sur le deuxième trimestre. Ce résultat se situe dans la fourchette haute des scénarios qui ont pu être réalisés durant le confinement. Le parc de bureaux a, sans surprise, affiché une plus grande résilience que des secteurs comme les commerces ou l’hôtellerie. Ces derniers ne représentent qu’environ 15% du parc immobilier global géré par La Française et 50% d’entre eux opèrent dans le secteur de l’alimentaire et n’ont pas été impactés par le confinement.

    Après intégration de l’effet des charges sur les loyers, les distributions du 2e trimestre seront maintenues à hauteur des distributions du 1er trimestre pour deux importantes SCPI du Groupe. Pour la majeure partie des autres SCPI gérées par La Française, ce sont 65 à 70 % des acomptes habituels qui seront distribués fin juillet au titre du deuxième trimestre. Et pour une dernière SCPI, plus orientée PME, l’acompte distribué sera à hauteur de 50% de l’acompte initialement prévu. La société de gestion a volontairement décidé de répercuter la baisse conjoncturelle des revenus sur les distributions de ce trimestre, sans avoir recours à ce stade aux réserves des SCPI, et privilégie une stratégie de retour aux acomptes habituels sur le second semestre 2020.

    Document informatif à destination des investisseurs non-professionnels au sens de la directive MIFID II.
    Les investissements réalisés ne préjugent pas des investissements à venir. Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.

    Risques SCPI : risque de perte en capital, risque de liquidité, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur, risque lié au recours à l’endettement de la SCPI. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée est de 10 ans. Avant toute souscription, prenez connaissance des statuts et caractéristiques principales disponibles auprès de la Société de gestion.

    Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour de l’auteur. Ils n’ont pas de valeur contractuelle.
    La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26/06/2007 et a reçu l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61UE en date du 24/06/2014 - www.amf-france.org
    Publié par La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - www.acpr.banque-france.fr ; et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.

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    news-2072 Mon, 27 Jul 2020 15:05:37 +0200 Réunion du FOMC, rien de nouveau mais restez à l'écoute pour Jackson Hole /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunion-du-fomc-rien-de-nouveau-mais-restez-a-l-ecoute-pour-jackson-hole/ La Réserve fédérale américaine tiendra sa réunion du FOMC les 28 et 29 juillet prochains. Veuillez trouver ci-dessous ce que nous attendons :
     

    • Un discours qui confirmera que les taux resteront bas pendant une longue période.
    • La Fed confirmera la poursuite de l'expansion de son bilan au rythme actuel et conservera sa flexibilité.
    • Elle maintiendra son soutien aux marchés du crédit.
    • Elle n'augmentera pas sa posture accommodante : l'incertitude reste élevée, mais l'économie s'est redressée plus rapidement que la plupart des prévisions économiques (ventes au détail, emploi, etc.).
    • Elle réaffirmera leur opposition aux taux négatifs.
    • Elle ne mettra pas en place un contrôle de la courbe des taux (« Yield-Curve control »). Le sujet est toujours en discussion, mais nous pensons que les membres de la Fed préféreront attendre une plus grande clarté macroéconomique avant d'agir.
    • Elle communiquera que l’examen stratégique sur l'inflation est toujours en cours mais ne fournira pas d'autres informations. La conférence de Jackson Hole (28 août) pourrait être l’occasion  appropriée pour présenter certaines conclusions. 

    Dans l'ensemble, il devrait s'agir d'un non-événement pour les marchés financiers.
     

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2070 Tue, 28 Jul 2020 10:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux à Valbonne (06) dans la technopole Sophia Antipolis /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeube-de-bureaux-a-valbonne-06-dans-la-technopole-sophia-antipolis/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Valimmo, un immeuble de bureaux situé à Valbonne, dans la commune de Sophia Antipolis à proximité de l’A8 reliant Antibes, Cannes et Nice. Livré en septembre 2016, commercialisé et géré par la foncière Valimmo, cet actif qui développe 3 906 m² et comprend 155 places de parking dont 10 pour personnes à mobilité réduite (PMR) est entièrement loué à 4 locataires dont une pépinière d’entreprise exploitée par la Communauté d’Agglomération de Sophia Antipolis. Valimmo a démontré son savoir-faire en équipant l’immeuble d’une toiture photovoltaïque en auto consommation permettant aux exploitants une réduction des charges communes. Sa situation proche de l’A8, dite « La Provençale lui permet d’accéder à l’aéroport de Nice Côte d’Azur en 15 minutes. Cette commune, considérée comme la première technopole d’Europe et la deuxième au monde après la Silicon Valley, crée chaque année 800 nouveaux emplois en moyenne grâce à la demande croissante des entreprises de s’y implanter. Ses 1 600 hectares d’espaces verts font partie des caractéristiques qui démarquent cette technopole du reste de l’Europe et répondent également aux objectifs ESG de La Française.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Etude 14 Pyramides ; Valimmo a été conseillé par Maître DOLO, les deux parties ont été conseillées par BNP Real Estate. Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2069 Fri, 24 Jul 2020 11:34:59 +0200 Label ISR en immobilier, La Française dans les starting blocks ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/label-isr-en-immobilier-la-francaise-dans-les-starting-blocks/ Tandis que la création du Label Investissement Socialement Responsable (ISR) pour les fonds d’investissement alternatifs immobiliers vient d’être annoncée, La Française, acteur engagé à participer aux efforts qui visent à diriger des capitaux vers le financement de la transition énergétique et écologique et à promouvoir le mieux vivre ensemble, finalise le dossier de candidature de son premier fonds collectif en immobilier. A l’obtention du label, La Française disposera d’une gamme complète de fonds, en valeurs mobilières et immobiliers, bénéficiant du Label ISR.

    Pour créer de la valeur utile et durable, La Française privilégie trois axes pour sa stratégie ISR en matière d’immobilier : 

    • Réduire les émissions de Gaz à Effet de Serre en favorisant un recours massif aux énergies renouvelables et en limitant les consommations énergétiques pour anticiper les obligations liées au décret tertiaire ;
    • Réintroduire la nature en Ville, pour atténuer dans la biodiversité et les écosystèmes les changements liés à l’emprise physique de plus en plus fort des activités humaines ; 
    • Rendre la Ville plus inclusive, pour répondre au "Vivre Ensemble", seul projet de société démocratique acceptable.

    La philosophie d’investissement du Groupe La Française est d’accompagner la transition des actifs les plus compromis sur le plan ESG dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base de l’évaluation de leur capacité d’adaptation et d’innovation. 
     

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    news-2067 Thu, 23 Jul 2020 10:53:50 +0200 La COVID aura eu du bon aussi ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-covid-aura-eu-du-bon-aussi/ Interview avec Marie Lassegnore, Credit Fund Manager, La Française AM Quels ont été les impacts de la COVID sur les enjeux climatiques ?

    Alors que la majorité de la population mondiale se confinait chez elle, nous avons été spectateurs de nouvelles catastrophiques liées à la pandémie. Mais nous avons également été témoins des impacts positifs du confinement sur l’environnement à savoir un air plus pur et un ciel dégagé grâce à la baisse des niveaux de particules en suspension dans l'air au sein des grandes villes.

    Selon l’Agence internationale de l’énergie, nous prévoyons une baisse de la demande énergétique mondiale de 6 % en 2020, ce qui représente sept fois ce que nous avons vécu après la crise de 2008. Cette baisse de la demande énergétique et la prise de conscience mondiale sur la qualité de l'air (et de l'amélioration de la santé qui en découle) sont deux facteurs motivant la fin de l'économie et de l'industrie du charbon.

    En effet, durant le confinement, la consommation de charbon a chuté suite à une diminution de la demande en électricité ; certains pays n'avaient plus besoin d'allumer leurs centrales à charbon pour disposer d'une capacité d’énergie de secours. Il s’agit de la plus importante baisse de la demande de charbon depuis la Seconde Guerre Mondiale (AIE, Global Energy Review, 30/04/2020).  Le Royaume-Uni n’a pas fait usage de charbon pendant deux mois, entre le 11 avril et le 15 juin (ce qui est la plus longue période jamais enregistrée, selon le National GRID ESO). Les Etats-Unis ont eu recours à davantage d’énergies renouvelables. A titre de comparaison, il y a 10 ans, 50 % de l’électricité produite venait du charbon (Bloomberg New Energy Finance).

    Cette tendance devrait se poursuivre avec la baisse des coûts d’exploitation des énergies renouvelables. 

    Comment la règlementation pourra-t-elle influencer la production des émissions carbone ?

    Les gouvernements des 50 plus grandes économies du monde ont engagé plus de 12.000 Mds de dollars pour l’aide à la crise sanitaire. Pour l'instant, seuls 54 Mds de dollars ont été consacrés aux priorités de l'économie post-carbone, ce qui reste modéré mais représente un signe positif. (Bloomberg New Energy Finance).

    En France par exemple, l’aide de 7 Mds d’euros dédiée à Air France est assortie de conditions écologiques dont la réduction du nombre de vols intérieurs, pouvant être remplacés par le train. Le développement du secteur aéronautique devra s’inscrire dans le cadre d’une consommation grandissante de carburants alternatifs pour atteindre la neutralité carbone.

    Autre exemple au Canada où le gouvernement a annoncé la création de 10,000 emplois dans son industrie pétrolière pour mener des opérations de nettoyage des puits inactifs et ainsi soutenir leurs objectifs environnementaux :  Le Canada a également mis en place, pour les grandes entreprises, des facilités de prêts en contrepartie d’un plan de transition énergétique. 

    En Chine, le plan de relance de 800 Mds de dollars financera en grande partie de nouvelles infrastructures telles que des stations de recharge électrique, la 5G ainsi que des systèmes ferroviaires. Cette relance inclut un plan de 1,4 Md de dollars pour promouvoir les véhicules électriques.

    Plus près de nous et face à la crise de la COVID, la Commission Européenne a adopté un plan d’aide de 750 Mds d’euros appelé «Next Generation EU » qui vient en complément du budget pluriannuel (2021-2027) de plus de 1 000 Mds d’euros. Ce plan comprend des subventions visant à aider particulièrement les pays et les entreprises les plus impactés. Les subventions seront accordées pour des projets spécifiques et à condition que les investissements ne nuisent pas aux objectifs climatiques et environnementaux fixés dans le Green Deal. Si le plan est ratifié par le Parlement Européen, 30 % de l’aide, soit plus de 500 Mds d’euros, seront alloués pour la lutte contre de réchauffement climatique et l’atteinte des objectifs de transition énergétique. Il s'agit d'une dynamique très positive pour le déploiement futur des actifs verts en Europe. Actuellement, le « Green Deal » représente environ 25 % du budget de l'UE, permettant de financer les transports propres, la rénovation des bâtiments, le développement des énergies renouvelables. 

    DOCUMENT PROMOTIONNEL. CE DOCUMENT EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour de l’auteur sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement.  La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2063 Tue, 21 Jul 2020 17:27:11 +0200 Le télétravail, une solution court terme aux dépens de l’innovation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-teletravail-une-solution-court-terme-aux-depens-de-l-innovation/ de Virginie Wallut, Directeur de la recherche immobilière et de l’Investissement Socialement Responsable, La Française Real Estate Managers La crise sanitaire devrait accentuer les mutations des actifs immobiliers et notamment de l’offre bureaux, venant accélérer l’obsolescence de certains actifs ne permettant pas de répondre aux nouveaux usages.

    La période de confinement associée à la propagation de la Covid a validé la possibilité de télétravailler mais elle a également montré les limites de ce mode de travail pour le salarié et le développement de l’entreprise. Du point de vue du salarié, il n’y a pas plus inégalitaire et excluant qu’une société où chacun travaillerait à la maison derrière son ordinateur, rendu à ses propres conditions de vie et de logement.

    Du point de vue de l’entreprise, aborder le télétravail sous le seul angle financier et n’y voir qu’une réduction des coûts induite par la diminution de surfaces revient à omettre le rôle central du bureau dans le développement des entreprises. Si l’on se réfère aux premières analyses du télétravail suite au déconfinement, l’exploitation, qui est l’optimisation du court terme, gagne en productivité mais l’exploration, qui est l’invention de l’avenir, devient plus difficile. Prôner le 100 % télétravail, c’est adopter une vue court-termiste du développement d’une entreprise.

    Par ailleurs, la Covid a changé l’équilibre du télétravail. Alors qu’auparavant l’employé était à l’origine de la demande, il semblerait que certaines entreprises veulent désormais imposer le télétravail à leurs salariés. Il nous semble possible voire probable que la jurisprudence ou la législation française imposerait alors aux employeurs une forme de compensation à l’égard de leurs salariés. En l’état actuel de la législation, il n’est pas possible pour une entreprise d’imposer le télétravail. Si le salarié refuse, il faudra l’indemniser. La diminution des coûts due à une réduction des surfaces louées en bureau serait (partiellement) annulée par les indemnisations liées au télétravail.

    Nous anticipons une multiplication des entreprises mettant en place un système hybride permettant de mixer présence des salariés aux bureaux et possibilité de télétravailler. Plusieurs éléments joueront alors un rôle clé dans l’attractivité des actifs bureaux. Les bureaux devront donner envie aux salariés/clients d’y venir et donc :

    • Être fédérateurs. Incarner l’identité/culture de l’entreprise (pour les collaborateurs et les clients), être un symbole fort qui participe à créer un sentiment d’appartenance ;
    • Être confortables et serviciels pour créer et développer la notion « d’expérience » sur le lieu de travail, se sentir bien, vouloir y revenir ;
    • Être un lieu d’hypercommunication. Les espaces devront être flexibles et reconfigurables en multipliant les possibilités de collaborer et d’interagir.

    Les actifs de bureaux devront également permettre le télétravail, c’est-à-dire :

    • Être centraux, hyper accessibles, proches des nœuds intermodaux de transports ;
    • Être connectés : afin d’assurer un accès égal à l’information entre ceux qui travaillent sur site et ceux qui télétravaillent.

    L’attractivité des métropoles en matière d’opportunités économiques, de connections et de relations sociales restera ainsi un élément clé de la demande sur le long terme, et ce, en dépit des craintes actuelles concernant la distanciation. Les mouvements de fond déjà à l’œuvre dans la transformation des villes avant la COVID continueront de porter les changements avec notamment une attention particulière portée à la qualité de vie et aux caractéristiques soutenables des villes et des bâtiments.  

    DOCUMENT INFORMATIF. CE DOCUMENT EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour de La Française Real Estate Managers sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement.  La Française Real Estate Managers est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016000 006 443 – Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce et Gestion Immobilière.

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    news-2060 Wed, 15 Jul 2020 14:16:04 +0200 Il est trop tôt pour que la BCE resserre ses conditions financières /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/il-est-trop-tot-pour-que-la-bce-resserre-ses-conditions-financieres/ Aucun changement de politique majeur n'est attendu lors de la prochaine réunion de la BCE.
  • Aucun changement du Pandemic Emergency Purchase Programme (PEPP). Les attentes autour d’une augmentation de la taille du PEPP ont grandi à la suite de la dernière réunion de la BCE, mais des déclarations récentes de certains membres (Isabel Schnabel, François Villeroy de Galhau) pourrait signifier qu'une expansion du PEPP n'est pas garantie. Une communication prudente de la part de Mme Lagarde d'ici la fin de l'été sera nécessaire pour éviter un resserrement des conditions financières.
  • Aucun changement du côté du quantitative easing (QE), mais une expansion du QE pourrait être nécessaire plus tard cette année si la BCE n'augmente pas la taille du PEPP. 
  • La BCE pourrait commencer à acheter des "fallen angels", surtout après la dernière enquête sur les prêts bancaires qui a montré un resserrement des conditions de crédit pour les ménages. Cela étant dit, la communication n'a pas été très forte sur ce sujet récemment (seul M. Panetta en a parlé récemment). Par conséquent, il serait surprenant que la BCE décide d'inclure la dette des junk-rated dans son programme d'achat. C'est néanmoins une possibilité.
  • Aucun changement sur le taux de dépôt.
  •  
    Dans l'ensemble, cette réunion de la BCE devrait être un "non-événement". Les chiffres macroéconomiques et d'inflation ont rebondi un peu plus vite que prévu, mais il est bien trop tôt pour que la BCE resserre ses conditions financières.

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2059 Wed, 15 Jul 2020 09:14:46 +0200 La SCPI LF Europimmo acquiert son deuxième actif au Royaume-Uni /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-lf-europimmo-acquiert-son-deuxieme-actif-au-royaume-uni/ La Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Europimmo, représentée par La Française Real Estate Partners International, a acquis son deuxième actif au Royaume-Uni auprès de Pencross Assets Limited. L’immeuble est sis 17-18 Haywards Place EC1, ce qui est considéré comme un emplacement de choix à Clerkenwell (un quartier de Londres), à proximité de la station Farringdon Thameslink et London Underground. La station sera bientôt renforcée par l'ouverture de la ligne Elizabeth (Crossrail), devenant ainsi l'une des rares stations de Londres à offrir un échange entre le service nord/sud Thameslink et la ligne Elizabeth, ainsi que le réseau de métro de Londres par les lignes Circle, Hammersmith & City et Metropolitan.


    Le bâtiment de style entrepôt a fait l'objet d'une rénovation de façade et d'une extension en 2018 et offre maintenant environ 1.021 m2 de bureaux sur six étages (R+3). L’immeuble est entièrement loué à quatre locataires.

    Le prix net vendeur s’élève à £15.56 millions et le taux de rendement initial ressort à 4,22 %. La Française Real Estate Partners International a été conseillée par Crossland Otter Hunt, tandis que le Vendeur a été conseillé par Cyril Leonard.

    David Rendall, CEO de La Française Real Estate Partners International déclare : « Nous sommes ravis de signer une deuxième propriété au Royaume-Uni si rapidement après l'acquisition du 90 Bartholomew Close en avril 2020. » 

    Peter Balfour, Directeur des investissements de La Française Real Estate Partners International - UK, ajoute : « L’acquisition du 17-18 Haywards Place est dans la lignée de nos derniers investissements visant à se concentrer sur des bâtiments attractifs et adaptés aux besoins actuels de nos locataires et bénéficiant des améliorations de l'infrastructure des transports à Londres. »

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-2057 Fri, 10 Jul 2020 11:27:45 +0200 Alors que la campagne présidentielle américaine s'intensifie, à quoi peut-on s’attendre du côté des marchés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alors-que-la-campagne-presidentielle-americaine-s-intensifie-a-quoi-peut-on-s-attendre-du-cote-des-marches/ Par François Rimeu, stratégiste senior, La Française AM La crise de Covid-19 a mis le président Trump dans une situation quelque peu difficile, conduisant certains à s'interroger sur ses chances de réélection en novembre. En effet, compte tenu de ce que le président Trump a mis en place pour les entreprises au cours de son mandat, il y a de bonnes raisons de s'inquiéter si certaines de ces mesures devaient être annulées en cas de victoire de Biden. Mais est-ce si simple ?
      
    Examinons rapidement quelques-unes des principales caractéristiques du projet de M. Biden :

    • Augmenter l’ impôt sur les sociétés, de 21% à 28%, et sur les ménages aisés ; 
    • Augmenter le salaire minimum (de 7,5 $ à 15 $ de l'heure) ;
    • Fournir un financement de 1 700 milliards de dollars pour les infrastructures et le Green New Deal.

    Il faut aussi noter qu’en cas de victoire de Biden, il y aurait sans doute moins de tensions politiques à travers le monde, ce qui serait à priori positif.
     
    Si le programme de Biden contient donc des points à positifs pour les actifs risqués, certains points sont de nature à faire potentiellement peur aux investisseurs, le sujet principal étantl'augmentation des impôts sur les sociétés qui pourrait avoir, selon les estimations de marché, un impact de -20% sur les actions américaines pendant son mandat en raison de la baisse des bénéfices. (Source : JPM)
     
    Cependant, pour que Biden puisse faire adopter son programme après son élection, il devra obtenir une nette majorité au Congrès, sinon les républicains le bloqueront très probablement. Et à l'heure actuelle, si on en croit les sondages, le scénario le plus probable – et celui que les marchés anticipent actuellement – est une victoire de Biden sans majorité. Ce scénario ne serait à priori pas négatif pour les marchés actions, il serait globalement neutre et laisserait à Biden une très faible marge de manœuvre.  

    Même si les démocrates remportent l'élection présidentielle américaine, il resterait d’ailleurs à voir dans quelle mesure ces hausses d'impôt sur les sociétés seraient mis en œuvre : le programme de M. Biden a été structuré avant le Covid-19 et, compte tenu du contexte économique actuel, la reprise des entreprises et la croissance de l'emploi seraient probablement prioritaires et limiterait donc les hausses d’impôts possibles. 

    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMUNIQUE DE PRESSE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-2052 Mon, 06 Jul 2020 17:19:01 +0200 Toute cette liquidité doit trouver à se loger /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/toute-cette-liquidite-doit-trouver-a-se-loger/ par Fabrice Jacob, CEO JK Capital Management Ltd., société du Groupe La Française basée à Hong Kong La très bonne performance des marchés boursiers chinois en juin ne nous a pas totalement surpris. Les mesures prises par le gouvernement chinois pour empêcher une "deuxième vague" de coronavirus ont été drastiques et, admettons-le, efficaces. Nous avons vu comment des quartiers entiers de Pékin ont été fermés à la mi-juin lorsqu'environ 100 nouveaux cas ont été identifiés à proximité d'un marché alimentaire. Plus récemment, le comté d'Anxin, dans la province du Hebei, situé à 150 km de Pékin, a complètement enfermé ses 400,000 habitants après seulement 18 nouveaux cas signalés.

    La règle qui prévaut dans toute l'Asie a été de rouvrir les économies locales sans laisser entrer et sortir de voyageurs, d’où qu’ils viennent. Les frontières restent hermétiquement fermées et les procédures de quarantaine sont strictement appliquées aux rapatriés. Même dans le petit triangle qui comprend Hong Kong, Macao et Shenzhen, où nous sommes basés, rien n'indique que les frontières rouvriront de sitôt en dépit du fait que ces trois villes n'ont pas ou peu eu de nouveaux cas depuis des semaines, voire des mois.

    Cette politique semble avoir bien fonctionné à en juger par les chiffres macroéconomiques, la Chine étant en tête de la reprise aux côtés de Taïwan et de la Corée: le PMI manufacturier officiel de la Chine est passé de 50.6 en mai à 50.9 en juin, battant le consensus Bloomberg de 50.4. Le PMI non manufacturier a montré la même tendance, passant de 53.6 en mai à 54.4 en juin (le consensus de Bloomberg était de 53.5). Le PMI manufacturier de Caixin a également montré une accélération du redressement en juin avec une lecture de 51.2, contre 50.7 en mai (le consensus de Bloomberg était de 50.5). La production industrielle était de 4.4% plus élevée en mai 2020 qu'elle ne l'était en mai 2019, les bénéfices industriels étaient 6.0% supérieurs à ce qu'ils étaient il y a un an. Les ventes au détail étaient toujours inférieures de 2.8% en mai 2020 à ce qu'elles étaient en mai 2019, mais il s'agissait toujours d'une nette amélioration par rapport aux -7.5% enregistrés en avril. Il est largement attendu que les chiffres de ventes de juin montrent une augmentation en glissement annuel alors que le rythme de reprise s'accélère.
     
    Alors que l'image macroéconomique de la Chine s'améliore, nous prévoyons un effet d'entraînement positif sur le reste de l'Asie à mesure que le commerce reprendra. La Chine jouera très probablement encore une fois son rôle de locomotive économique pour la région.

    Le seul pays sous notre couverture qui reste préoccupant est l'Inde où le nombre de nouveaux cas de Covid-19 continue d'augmenter de jour en jour contrastant fortement avec tous les autres pays d'Asie. De plus, la tension militaire au Ladakh, à la frontière de la Chine et de l'Inde, a fait au moins 20 morts au début du mois et a ouvert une nouvelle période de tension entre les deux pays au pire moment possible. Les perspectives macroéconomiques de l'Inde sont désastreuses, Moody's anticipant désormais une baisse de -3.1% du PIB cette année civile tandis que Crisil, la filiale indienne de S&P, prévoit une baisse de 25% du PIB pour le trimestre d'avril à juin.

    Les données macroéconomiques de la Chine sont l'une des raisons des performances exceptionnelles des marchés chinois ce mois-ci. L'autre raison est l'injection de liquidités par les banques centrales occidentales qui se dirige vers les marchés émergents. Selon Bloomberg, les investisseurs étrangers étaient des acheteurs nets d'actions chinoises "A" (les actions de Chine continentales cotées à Shanghai et Shenzhen) à hauteur d’environ USD 7.4mds en juin.

    Nous pensons que ce flux de liquidités ne s'arrêtera pas là, car la Chine ouvre activement ses marchés financiers aux investisseurs étrangers - les banques et les compagnies d'assurance peuvent désormais être contrôlées à 100% par des capitaux étrangers.

    Alors que les marchés financiers onshore s'ouvrent de plus en plus, nous anticipons que MSCI augmentera à nouveau la pondération des actions A dans ses indices. Avec son approche graduelle, MSCI n'a encore inclus que 20% de son objectif de pondération en actions « A », laissant la place  pour cinq fois plus d’actions « A » dans tous ses indices globaux et émergents.

    L'assouplissement quantitatif en cours de la Fed et de la BCE ne se terminera pas de sitôt même s'il est déjà vraiment spectaculaire : avec la poursuite de la propagation du Covid-19 en Occident, davantage d'injections de liquidités sont à prévoir. Pour mettre les chiffres en perspective, Gavekal, une société de recherche macroéconomique, a calculé que le programme actuel de dépenses publiques des États-Unis liées au Covid-19, totalisant déjà USD 3,700mds, équivaut en dollars d'aujourd'hui près de 4 fois le coût de la guerre du Vietnam, 24 fois le coût de l'ensemble du programme spatial Apollo de la NASA et 20 fois le coût du plan Marshall qui a reconstruit l'Europe après la Seconde Guerre mondiale.

    Toute cette liquidité doit trouver à se loger alors que les taux d'intérêt sont négatifs ou proches de zéro dans les pays développés. Les marchés émergents, et en particulier les marchés chinois avec leur profondeur, en sont les bénéficiaires logiques, ainsi que l’immobilier de luxe et les objets de collection. 

    Après avoir adopté une politique budgétaire et monétaire prudente lors de l'éclosion du Covid-19, la PBoC a maintenu les taux d'intérêt chinois à un niveau attractif : une obligation d'État chinoise à 10 ans produit rapporte 200bps de plus que son équivalent américain et 330bps de plus que son équivalent allemand.

    Pour terminer, le marché de Hong Kong a connu une forte activité au cours du mois de juin avec la cotation de Netease et JD.com. Ces deux sociétés ont agi de manière préventive avant l'éventuelle radiation forcée de leurs ADR de la Bourse de New York, aux côtés de tous les autres ADR chinois que le Congrès américain souhaite voir expulsés du Nasdaq. Cela représente potentiellement USD 1,500mds de valeur boursière répartie entre environ 250 sociétés qui devraient se transférer de New York à Hong Kong, Shanghai ou Shenzhen au cours des deux à trois prochaines années. 

     Source chiffres : Bloomberg

    Document informatif pour les investisseurs non professionnels tels que définis par la MIFID II. Les informations contenues dans ce document sont publiées par JK Capital Management Limited. Les informations et les documents fournis aux présentes ne sauraient en aucun cas représenter un conseil, offre, sollicitation ou une recommandation d'investissement dans des placements particuliers. La valeur des investissements et les revenus qu'ils procurent sont fluctuants (ce qui peut être dû en partie aux fluctuations des taux de change) et les investisseurs ne sont pas assurés de récupérer la totalité de leur capital. JK Capital Management Limited considère que, à sa connaissance, les informations contenues dans le présent document sont exactes à la date de leur publication. Toutefois, aucune garantie n'est donnée quant à l'exactitude, l'adéquation ou l'exhaustivité des informations. Les opinions exprimées par l’autheur n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Ni JK Capital Management Limited, ni ses sociétés affiliées, directeurs ou employés n'assument de responsabilité (y compris de responsabilité civile) quant aux erreurs ou omissions dans ce rapport. JK Capital Management Ltd est une limited company régulée par la SFC de Hong Kong, dont le siège social est situé à Rm 1101 Chinachem Tower, 34-37 Connaught Road Central, Hong Kong. 

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    news-2049 Mon, 06 Jul 2020 14:22:00 +0200 Avis aux porteurs – UFF OBLICONTEXT 2021 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-uff-oblicontext-2021/ Les porteurs de parts du fonds UFF OBLICONTEXT 2021 sont informés qu’à compter du 8 juillet 2020 la documentation règlementaire du fonds sera modifiée. A compter de cette date, les produits de taux callable et puttable seront précisés dans la documentation juridique du fonds maître OBLICONTEXT 2021 M. Ainsi, les obligations callable et puttable seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds maître et nourricier UFF OBLICONTEXT 2021.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds UFF OBLICONTEXT 2021.

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    news-2048 Mon, 06 Jul 2020 14:14:00 +0200 Avis aux porteurs – OBLICONTEXT 2021 M /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-oblicontext-2021-m/ Les porteurs de parts du fonds OBLICONTEXT 2021 M sont informés qu’à compter du 8 juillet 2020 la documentation règlementaire du fonds sera modifiée. A compter de cette date, les produits de taux callable et puttable seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callable et puttable seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds OBLICONTEXT 2021 M.

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    news-2047 Mon, 06 Jul 2020 14:05:00 +0200 Avis aux porteurs – UFF OBLICONTEXT 2021 A /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-uff-oblicontext-2021-a/ Les porteurs de parts du fonds UFF OBLICONTEXT 2021 A sont informés qu’à compter du 8 juillet 2020 la documentation règlementaire du fonds sera modifiée. A compter de cette date, les produits de taux callable et puttable seront précisés dans la documentation juridique du fonds maître OBLICONTEXT 2021 M. Ainsi, les obligations callable et puttable seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds maître et nourricier UFF OBLICONTEXT 2021 A.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds UFF OBLICONTEXT 2021

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    news-2042 Fri, 26 Jun 2020 14:59:15 +0200 Une reprise exceptionnelle /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-reprise-exceptionnelle/ A la suite d’une chute historique des marchés tant dans la durée que dans l’ampleur, les marchés ont réalisé un rebond tout aussi exceptionnel. Si cette remontée a dans un premier temps déconcerté bon nombre d’investisseurs du fait de la décorrélation avec l’économie réelle, elle est aujourd’hui expliquée et comprise.
    Si nous revenons à la situation d’il y a deux mois, nous étions dans une configuration où les agences de notation, très critiquées pour leur lenteur à la suite de la crise de 2008, ont pris le pli inverse et ont massivement dégradé les entreprises en un temps record et sans distinction.

    Les agences ont en effet évalué l’impact de la crise sur les fondamentaux des entreprises avant que ne soient annoncées les mesures de soutien des banques centrales et des Etats.

    De ce fait, les agences, et une partie du marché, prévoyaient un nombre de défauts à venir extrêmement important. Par exemple, en mars,S&P Global Ratings a déclaré que le taux de défaut pour les obligations High Yield se dirigeait vers 10% pour les 12 prochains mois, plus du triple du taux de 3,1% qui a clôturé 2019. Ou encore une prévision à 17% pour le secteur de l’énergie US selon Fitch Ratings1.

    Or depuis un mois, les marchés ont pu affiner cette analyse et s’apercevoir que l’image avait fondamentalement changé. Cette situation exceptionnelle a eu une réponse tout aussi exceptionnelle, jamais reçue lors des crises précédentes :

    • Les Banques centrales qui avaient mis 4 ans à apporter une réponse durant la crise de 2008, ont injecté massivement des liquidités dans les marchés financiers pour apaiser la situation.
    • Les Etats ont mis de côté la gestion des déficits publics pour venir en aide aux entreprises nationales et protéger les emplois.

    1Source : Bloomberg, mars 2020
     

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    news-2041 Thu, 25 Jun 2020 17:25:36 +0200 Marché immobilier de bureaux, constat et prévisions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-immobilier-de-bureaux-constat-et-previsions/ de Virginie Wallut, Directeur de la recherche immobilière et de l’Investissement Socialement Responsable, La Française Real Estate Managers Pour bien apprécier les effets de la crise sanitaire, il est important de se rappeler la situation qui prévalait début 2020. 

    Début 2020, les actifs immobiliers de bureaux étaient plébiscités par les investisseurs. J’en veux pour preuve le montant des investissements en Europe. Au premier trimestre ils atteignaient 66 milliards d’euros, établissant un nouveau record, supérieur de 37% au 1T2019 (Source : BNP RE). L’attractivité des actifs découle directement de la prime de risque immobilière, c’est-à-dire de la différence de taux qui existe entre le taux sans risque, celui de l’OAT 10 ans par exemple en France, et les taux de rendement nets offerts par les actifs immobiliers. A la fin du premier trimestre 2020, cette prime de risque s’élevait à titre pour Paris à 276 points de base pour les actifs bureaux dits prime, c’est-à-dire les actifs de très bonne qualité dans les meilleures localisations notamment le quartier d’affaires de Paris (Source : La Française GREIM Research). Cette prime de 276 pbs est à comparer à la moyenne long terme (celle qu’on a calculé depuis le T1 2000) qui s’élève à 166 pbs (Source : La Française GREIM Research). La crise sanitaire porte de nombreuses incertitudes mais il y a une chose sur laquelle les différents analystes économiques semblent s’accorder, c’est le fait que les taux sans risque vont rester durablement bas. Ce qui devrait permettre aux actifs immobiliers de continuer à offrir une prime de risque significative. Ainsi les actifs immobiliers de bureaux devraient continuer à offrir un couple rendement/risque particulièrement attractif. Si on compare ces actifs à d’autres classes d’actifs, l’étude de l’IEF portant sur le marché immobilier français constate au 31/12/2018 un rendement plus élevé que les obligations et une volatilité nettement moindre que celle des actions, quelle que soit la période étudiée : 5, 10, 20 ou 30 ans.

    Intéressons-nous maintenant au marché locatif de bureaux. Fin 2019, les marchés locatifs français et plus largement européens étaient globalement caractérisés par une demande soutenue et une offre à des niveaux historiquement faibles. De nombreux centres ville affichaient des taux de vacance inférieurs à 3% (Source : CBRE). C’était le cas notamment dans Paris Quartier Central des Affaires où la vacance s’élevait à 1,4%, avec des situations encore plus marquées de pénurie d’offres en Allemagne notamment à Berlin, Munich ou Hambourg (Source : CBRE). Pour le futur, que prévoyons-nous ? Les nombreuses incertitudes face à l’évolution de la situation économique devraient entraîner de nouveaux équilibres de marché, avec des rapports de force dans les négociations entre locataires et propriétaires qui devraient devenir plus favorables aux locataires. Cependant nous prévoyons des équilibres assez différenciés selon les marchés et la situation qui prévalait avant le Covid-19. 
    Dans les localisations les plus centrales et notamment Paris QCA, nous anticipons une augmentation limitée de la vacance. A ce titre, la situation à la fin du premier trimestre 2020 nous incite à rester confiant sur la solidité de ces marchés. A titre d’exemple, le taux de vacance de Paris QCA, fin mars 2020 s’élevait à 1,39% quand celui de Berlin plafonnait à 1,27% (Source : CBRE). La vacance de Lyon en France et Hambourg en Allemagne affichaient même une baisse au premier trimestre 2020 à 2,8% et 2,6% respectivement (Source : CBRE). A moyen terme, pour ces localisations de centre-ville, nous prévoyons que le ralentissement de la demande permettra à ces marchés de gagner en fluidité et nous anticipons une relative stabilité des valeurs locatives pour les actifs prime avec cependant une meilleure hiérarchisation des actifs, c’est-à-dire que l’écart entre le loyer des actifs de meilleure qualité et les loyers des actifs de qualité secondaire devrait augmenter

    Les premières couronnes c’est-à-dire la banlieue proche de Paris, qui ont connu une hausse modérée de leurs loyers au cours des dernières années, devraient bénéficier d’un effet report plus accentué de la part de sociétés parisiennes en recherche d’économies, susceptibles de s’intéresser à des actifs bien desservis, aux portes de Paris et capables de répondre à des mouvements de consolidation. Dans ces marchés, nous anticipons un regain d’intérêt des utilisateurs pour le capacitaire des immeubles, c’est-à-dire le nombre de personnes que peut accueillir un immeuble, notamment dans un contexte où les mesures de distanciation sociales semblent appeler à durer.

    Dans les localisations plus excentrées, qui sont souvent des marchés offreurs tel que la Boucle Nord en Ile-de-France ou les périphéries de villes de Madrid ou Milan, nous anticipons une baisse des valeurs locatives. Le repositionnement de leurs valeurs locatives souvent amorcé avant la crise sanitaire devrait se poursuivre avant que ces marchés puissent retrouver une réelle attractivité.

    Dans les marchés où l’offre est actuellement faible et où le volume des projets en construction est limité, les fondamentaux de marché devraient soutenir les performances des actifs bureaux. Les localisations centrales du Grand Paris ou des marchés régionaux français tels que Lyon, Bordeaux, Rennes ou Nantes par exemple, présentent donc des fondamentaux solides et une situation de départ favorable pour absorber une baisse ponctuelle de la demande.  Qu’en est-il de la demande ?

    Dans leur grande majorité, pendant le confinement, les utilisateurs ont ajourné leur décisions et remis à plus tard la concrétisation de leurs projets immobiliers. A court et moyen terme, on ne s’attend cependant pas à un arrêt de la demande locative (même en période de crise, les entreprises continuent à effectuer des déménagements ne serait-ce que pour rationaliser les coûts). On s’attend donc à une évolution de la structure de la demande avec l’apparition de nouveaux moteurs qui illustreraient un changement dans la stratégie des utilisateurs.

    Deux forces contraires devraient s’opposer : la hausse du télétravail d’un côté qui entraînerait une baisse du volume transactionnel global et de l’autre côté de nouveaux impératifs sanitaires qui entraîneraient une hausse de la surface par employé. Nous nous attendons à ce que la baisse induite par une expansion du télétravail soit compensée par un arrêt, et même un reflux du phénomène de densification à outrance que certaines entreprises avaient mis en place ces dernières années. En ce qui concerne le développement du télétravail, si certaines voix se font fortes pour anticiper un monde où l’entreprise serait durablement virtuelle ; d’autres voix au moins aussi nombreuses sont là pour rappeler que l’entreprise n’est pas pur esprit et qu’elle doit s’incarner. Le bureau constitue l’élément central du projet d’entreprise nécessairement collectif et du sentiment d’appartenance des collaborateurs.

    Un dernier mot sur les premières leçons du télétravail qu’on a pu tirer suite au déconfinement : le télétravail semble fonctionner pour tout ce qui est formel, organisé, prévu, transactionnel et bien sûr pour le travail individuel mais il ne semble pas donner de bons résultats pour l’informel, l’innovant, le collectif, le développement de nouvelles relations. Avec le télétravail l’exploitation qui est l’optimisation du court terme gagne en productivité mais l’exploration qui est l’invention de l’avenir devient plus difficile. Nous sommes assez confiants sur le fait que les entreprises sauront garder un biais long-terme dans la gestion de leur politique immobilière. 

    Après plusieurs années de hausse de la demande, nous nous attendons donc à un recentrage de la demande. Alors qu’avant les projets immobiliers répondaient souvent à un fort enjeu de captation/rétention des talents et de stratégie d’expansion, les décisions immobilières devraient être désormais davantage partagées entre les directions des ressources humaines, les directions financières et de la RSE, c’est-à-dire de la Responsabilité Sociale des Entreprises. Les demandes devraient se concentrer sur des actifs permettant d’accueillir les nouvelles organisations des entreprises dont les maîtres mots devraient être santé des employés, connectivité et modularité/flexibilité.


    DOCUMENT INFORMATIF. CE DOCUMENT EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour de La Française Real Estate Managers sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement.  La Française Real Estate Managers est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016000 006 443 – Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce et Gestion Immobilière.
     

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    news-2040 Tue, 30 Jun 2020 10:00:00 +0200 Le fonds LF Real Estate Value-Added cède en VEFA un immeuble de bureaux rue La Fayette (Paris IXe) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-fonds-lf-real-estate-value-added-cede-en-vefa-un-immeuble-de-bureaux-rue-la-fayette-paris-ixe/ La Française Real Estate Managers, conseillée par La Française Real Estate Partners, vient de conclure, avec un investisseur institutionnel français, la VEFA d’un immeuble de bureaux situé au 65 bis rue La Fayette (Paris IXe), pour le compte du fonds d’investissements professionnel spécialisé LF Real Estate Value-Added (LF REVA), fonds lancé en 2018 en partenariat avec Demathieu Bard Immobilier. le Groupe DEMATHIEU BARD pour le futur siège de son antenne parisienne. L’immeuble bénéficiera d’une labellisation BREEAM « Very Good ».

    Le fonds « LF REVA » dispose d’une capacité globale d’investissement de 300 Millions d’euros. Il a déjà engagé six opérations en Ile-de-France et à Lyon. Ces projets portent principalement sur des bureaux et logements mais comprennent également une résidence service seniors. Les prochains mois devraient offrir à « LF REVA » de nouvelles opportunités d’acquisition de fonciers ou d’actifs à restructurer.

    L’acquisition et la gestion des actifs du fonds sont confiées par la société de gestion La Française Real Estate Managers à La Française Real Estate Partners, conseiller du fonds et filiale du groupe dédiée aux investisseurs institutionnels. Demathieu Bard Immobilier intervient notamment en qualité de promoteur dans l’ensemble des opérations immobilières qui sont mises en œuvre au niveau du fonds.

    Risques associés : risques liés aux investissements d’une manière générale, absence d'antécédents d'exploitation, risques liés au marché immobilier visé dans la stratégie d’investissement, risques de contrepartie, risques liés au contrat de promotion immobilière, risques liés à la gestion (gestion discrétionnaire de la société de gestion, risques liés au recours à l’endettement, risque de taux), risques fiscaux, risque d’illiquidité, porteurs défaillants, défaut de répondre à un appel de fonds, dilution lors des closings successifs, conflits d'intérêts potentiels, risque de perte en capital.
     

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    news-2033 Thu, 18 Jun 2020 09:29:00 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-4/ Les mesures de soutien à l’économie mises en place par les Banques centrales suite à la crise sanitaire confortent la société de gestion dans la conviction que les taux resteront durablement bas. Dans ce contexte, la stratégie à échéance sur les marchés obligataires à haut rendement déployée par le fonds demeure grandement plébiscitée.

    La société de gestion après analyse des conditions sur les marchés visés a estimé qu'il était dans l'intérêt des actionnaires de prolonger la période de commercialisation du fonds de 3 mois afin de profiter des niveaux de rendement potentiellement attractifs qu'ils présentent.

    Le fonds sera par conséquent fermé à la souscription le 30 septembre 2020 et non plus le 30 juin 2020.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 24 juin 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2025 »

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    news-2028 Fri, 19 Jun 2020 10:10:18 +0200 Gardez une perspective de long terme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gardez-une-perspective-de-long-terme/ Dans les périodes comme celle que nous traversons, marquées par une forte baisse des revenus ou des flux de cash à court terme, les investisseurs peuvent avoir le réflexe d’envisager de vendre leurs actions. Pourtant, la modélisation montre que vous avez peut-être tout intérêt à garder un portefeuille de qualité axé sur le long terme.

    • Le graphique ci-dessus montre qu’un investissement fictif dont les revenus ou les flux de cash auraient chuté de 40 % la première année n’enregistre finalement pas une forte baisse de valeur sur le long terme.
    • Ce même scénario pourrait avoir lieu cette année 2020, où de nombreuses entreprises ont connu des pressions intenses sur leurs revenus au 1er semestre. Selon nous, cela signifie qu’il est possible de surmonter les problèmes de revenus ou de flux de cash à court terme en privilégiant les entreprises de grande qualité (avec des business models durables, générant une trésorerie stable sur le long terme et fortes de dirigeants compétents, d’avantages concurrentiels et de produits innovants).
    • Même si la perspective d’un effondrement des revenus a de quoi effrayer et peut entraîner de violents mouvements des actions, nous avons la conviction qu’un portefeuille d’entreprises robustes peut préserver sa valeur dans le temps, car le marché reconnaîtra la stabilité de ses flux de trésorerie sur le long terme.

     

     

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    news-2027 Thu, 18 Jun 2020 14:33:51 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-3/ Les mesures de soutien à l’économie mises en place par les Banques centrales suite à la crise sanitaire confortent la société de gestion dans la conviction que les taux resteront durablement bas. Dans ce contexte, la stratégie à échéance sur les marchés obligataires à haut rendement déployée par le fonds demeure grandement plébiscitée.

    La société de gestion après analyse des conditions sur les marchés visés a estimé qu'il était dans l'intérêt des actionnaires de prolonger la période de commercialisation du fonds de 3 mois afin de profiter des niveaux de rendement potentiellement attractifs qu'ils présentent.

    Le fonds sera par conséquent fermé à la souscription le 30 septembre 2020 et non plus le 30 juin 2020.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 24 juin 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur ce site
    Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant

    Représentant en Suisse :
    ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, 8050 Zurich

    Agent payeur en Suisse :
    NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, 8024 Zurich

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    news-2021 Thu, 11 Jun 2020 15:30:22 +0200 Flash Dettes Subordonnées /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-dettes-subordonnees/ Quelles perspectives après le rebond ? Les dettes subordonnées émises par les établissements bancaires, compagnies d’assurance et entreprises non-financières ont été logiquement très fortement impactées par la crise sanitaire et économique de ces derniers mois, mais ont vu leurs valorisations se redresser significativement ces dernières semaines, à l’instar des marchés Actions ou des obligations High Yield. 

    À y regarder de plus près, le tableau tend néanmoins à se complexifier, avec différentes problématiques afférentes aux structures subordonnées : suspensions ou non des paiements de coupons, exercices ou non des options de remboursement anticipé (« calls ») ou encore changements des réglementations et législations bancaires. 

    Nous faisons ici un point sur les valorisations actuelles du marché, les problématiques spécifiques aux obligations subordonnées et les tendances fondamentales des émetteurs.

                                       

    Comme on peut le constater sur le graphique ci-dessus, les performances des classes d’actifs de dettes subordonnées ont été rapidement et lourdement affectées par la propagation et les conséquences du Covid-19. Les dettes bancaires Additional Tier 1 (AT1, aussi appelées CoCos) ont subi un recul sans précédent de 29% entre le 21 février et le 19 mars, contre -16% pour les dettes subordonnées d’assurance, -15% pour les dettes non-financières Hybrides Corporates et -11% pour les dettes bancaires Tier 2 sur la même période (indices iBoxx € pris en référence). La sous-performance importante des AT1€ vient de plusieurs facteurs, dont un caractère plus « High Beta » par rapport aux autres segments, des pondérations plus importantes sur des émetteurs italiens et espagnols et un « repricing » massif des souches en fonction des probabilités de calls des titres. Nous avons cependant constaté une fois de plus durant cette période combien les CoCos demeuraient plus liquides dans les moments de stress que d’autres segments de dettes subordonnées, voire même plus liquides que certains pans du segment Investment Grade, en dépit de leur caractère pourtant potentiellement plus volatil.

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    news-2018 Tue, 09 Jun 2020 14:14:53 +0200 Quo Vadis "Après le rebond" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quo-vadis/ Par Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, La Française AM. La crise sanitaire s’atténue progressivement en occident, aux Etats-Unis et particulièrement en Europe où la situation s’améliore de façon spectaculaire. Du coté économique, les dégâts causés au secteur privé sont bien visibles dans la majorité des secteurs d’activité.

    Toutefois, le gigantisme des plans de soutien à l’économie et les interventions de banques centrales ont soutenu les marchés et permis un rebond important sur l’ensemble des actifs risqués. Les principaux indices d’actions affichent désormais sur l’année 2020 des baisses qui n’ont plus rien à voir avec la baisse due à une crise économique majeure et historique. Cette reprise est évidemment portée par l’afflux de nouvelles liquidités, mais aussi par la baisse massive des taux d’intérêt aux Etats-Unis et par le sentiment que les banques centrales et les Etats n’ont plus de limite d’intervention face à la situation actuelle et à de possibles rechutes à venir.

    Cette vision « macro » va désormais devoir être validée par la réalité des entreprises et constitue selon nous une nouvelle phase du volet financier de l’étourdissante crise Covid-19.


    Morphologie d’une crise historique – phases I à III 
    La violence de la chute du marché action a été la plus importante jamais observée avec plus de 33,8% de baisse sur le MSCI World Net TR € entre le 19/02/2020 et le 23/03/20201.
    Les interventions significatives des banques centrales ont permis de stabiliser le marché qui a rebondi fortement (rebond le plus fort historiquement, + 43,5% sur le MSCI World Net TR € entre le 23/03/2020 et le 08/06/2020) une fois que les investisseurs étaient persuadés que les plans de soutien gouvernementaux suffiraient pour permettre à l’économie d’être sauvée. 


     

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    news-2016 Tue, 09 Jun 2020 10:07:29 +0200 Réunion du Federal Open Market Committee (FOMC) : Les attentes des marchés sont-elles trop élevées ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunion-du-federal-open-market-committee-fomc-les-attentes-des-marches-sont-elles-trop-elevees/ La Réserve fédérale américaine tiendra sa réunion du FOMC demain mercredi 10 juin. Veuillez trouver ci-dessous ce que nous attendons :
  • La fourchette cible pour le taux des fonds fédéraux devrait rester inchangée à 0 - 0,25%. Les membres de la Fed ont exprimé à plusieurs reprises leur opposition à des taux négatifs.
  • Pas de changement à prévoir concernant l'IOER (intérêt sur l'excédent de réserve). 
  • Pas d'annonce de contrôle de la courbe des taux : si le comité avait eu l'intention de faire une annonce aussi significative, nous pensons que leur communication aurait été beaucoup plus forte et plus claire. Mais nous pensons également qu'ils laisseront cette option ouverte pour les prochaines réunions.   
  • Une aggravation des projections macroéconomiques avec un ton très prudent, continuant à noter des "risques considérables" pour les perspectives. La prévision d'inflation sera inférieure à l'objectif (2 %) au moins jusqu'à la fin de 2021. 
  • Un "dots plot" dovish avec un point médian ne montrant aucune hausse avant la fin de 2022. 
  • Une approche "wait and see" concernant les politiques monétaires non conventionnelles. Nous pensons qu'ils aimeraient attendre jusqu'en septembre et pour plus de clarté macroéconomique avant de s'engager dans de nouveaux soutiens monétaires.
  • Nous avons le sentiment que les attentes des marchés sont peut-être un peu trop élevées sur cet événement et nous ne serions pas surpris d'assister à une réaction de marché négative sur les taux américains (taux plus élevés) pendant et après la réunion. 
     
    DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMUNIQUE DE PRESSE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour de La Française AM sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
     

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    news-2014 Mon, 08 Jun 2020 10:28:35 +0200 A mesure que la campagne électorale américaine s'intensifie, nous anticipons de plus en plus de volatilité sur les marchés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-mesure-que-la-campagne-electorale-americaine-s-intensifie-nous-anticipons-de-plus-en-plus-de-volatilite-sur-les-marches/ par Fabrice Jacob, CEO JK Capital Management Ltd., société du Groupe La Française basée à Hong Kong Donald Trump est-il un tigre de papier ? C'est un sentiment croissant en Asie alors que nous assistons à sa diatribe quotidienne contre le gouvernement chinois qui ressemble de plus en plus à une stratégie électorale pour battre Joe Biden en novembre qu’à autre chose. L’agressivité croissante des Etats-Unis envers la Chine, qui contraste de façon frappante avec le manque de réaction de Pékin, nous fait nous demander quelles mesures Trump pourrait prendre qui nuiraient suffisamment à la Chine pour la faire céder à ses demandes ? Et d’ailleurs, que demande Trump ? La réponse est tout sauf limpide. Réformer son système politique peut être ? Ce ne serait qu’un vœu pieux.

    Une mesure prise en mai a ciblé Huawei. Cependant, les sanctions prises contre Huawei avaient été signalées longtemps auparavant au point que la société a eu beaucoup de temps pour stocker les puces américaines dont elle a besoin pour produire ses équipements de télécommunications 5G. Compte tenu des dommages que la Chine et les États-Unis pourraient se faire mutuellement si la Chine réagissait aux sanctions de Huawei en interdisant toutes les exportations de puces américaines vers la Chine, nous pensons qu'un accord sera probablement conclu avant que Huawei ne soit à court de composants américains. Le fait que le fabricant de puces de Huawei, TSMC, ait annoncé le même jour qu'il construira une usine d’USD 12mds en Arizona pour fabriquer des semiconducteurs, y compris très probablement des puces destinées à Huawei, n'est pas un hasard. Pékin a menacé pendant des mois de publier une liste de « sociétés non fiables » regroupant les entreprises américaines que la Chine est prête à bannir, et avait utilisé des journaux contrôlés par l'État pour chuchoter les noms de Boeing, Apple, Cisco et Qualcomm. 

    Face à l’adversité de l’administration américaine, la stratégie chinoise consiste, de façon intéressante, à adopter une politique d’ouverture à l’égard des entreprises américaines. En effet, les investissements directs étrangers (IDE) des États-Unis en Chine sont approuvés de manière assez systématique et sont restés remarquablement stables à environ USD 15mds année après année. Un bon exemple est Tesla qui a ouvert en octobre dernier son usine d’USD 5mds avec des incitations financières substantielles fournies par la municipalité de Shanghai. A l’opposé, les IDE chinois aux Etats Unis se sont effondrés sans surprise, passant d’USD 46mds en 2017 à USD 5mds en 2019. 
     
    Sur la question de Hong Kong pour laquelle Pékin a décidé ce mois-ci de promulguer une loi sur la sécurité nationale, la réaction de l'administration Trump a également été très bruyante mais manquant de substance. Punir Hong Kong, où 1200 entreprises américaines opèrent, et ses 7 millions d'habitants, qui sont plus des victimes que des agresseurs, manquerait la véritable cible du gouvernement Trump qui est la Chine. Et frapper directement la Chine pourrait se retourner contre les États-Unis si la Chine prenait des mesures contre les intérêts américains sur son sol. En d'autres termes, la Chine n'est ni l'Iran ni la Corée du Nord. La Chine et les États-Unis n’ont jamais eu plus besoin l'un de l'autre qu’aujourd’hui. C'est pourquoi nous ne souscrivons pas à la théorie largement répandue ces jours-ci d'une nouvelle guerre froide entre les deux pays. 

    Si Trump voulait infliger un véritable coup à la Chine, il n'y aurait, à notre avis, qu'une seule décision à prendre : couper toutes les banques chinoises du dollar américain. Cela aurait un impact catastrophique sur la Chine et l'économie chinoise et déclencherait très probablement une crise mondiale, sinon une véritable guerre. Tant que les radicaux de Washington ne mentionnent même pas cette option « nucléaire », nous considérons la rhétorique anti-chinoise en cours comme une simple stratégie électorale.

    En d'autres termes, d'ici novembre, nous anticipons qu’il y aura de plus en plus de bruit et de volatilité sur les marchés à mesure que la campagne électorale américaine s'intensifie. Néanmoins, le contexte géopolitique n'influencera pas notre approche d'investissement fondamentale et ne nous distraira pas de l'analyse macroéconomique que nous faisons de chaque pays de notre univers. Et sur ce front, la reprise post-COVID est en cours. Les ventes de voitures en Chine en avril ont augmenté de 4.4% en glissement annuel et devraient avoir connu une croissance à deux chiffres en mai. Les ventes immobilières en avril n'ont baissé que de 2.1% en glissement annuel, restant plus ou moins à leur niveau de 2019. Lors de son Congrès National du Peuple, la Chine a annoncé un plan de relance budgétaire de RMB 4,000mds qui porterait l’effort fiscal total à environ 4% du PIB, à peu près similaire à ce qu'il avait été pour répondre à la crise financière mondiale de 2009. Dans son discours de clôture, Li Keqiang, le Premier Ministre de la Chine, a clairement indiqué que des mesures de relance monétaire étaient à attendre par le biais de baisses des taux d'intérêt et d'une accélération de la croissance du crédit. Les grandes banques sont invitées par le gouvernement central à prêter 40% de plus cette année aux petites et moyennes entreprises que l'année dernière.

    En dehors de la Chine, nous avons vu les taux d'intérêt baisser en mai de 25 points de base en Corée (à 0.50%) et de 40 points de base en Inde (à 4%). Nous avons été surpris par la décision de la banque centrale indonésienne de maintenir ses taux d’intérêt inchangés à 4.5% malgré l’impact du COVID-19 sur l’économie. C'est sans doute en partie la raison du fort rebond de la roupie. La devise a gagné 3.3% par rapport à l'USD en mai, portant son gain au cours des deux derniers mois à 10.7%. 

    Source chiffres : Bloomberg

    Document informatif pour les investisseurs non professionnels tels que définis par la MIFID II. Les informations contenues dans ce document sont publiées par JK Capital Management Limited. Les informations et les documents fournis aux présentes ne sauraient en aucun cas représenter un conseil, offre, sollicitation ou une recommandation d'investissement dans des placements particuliers. La valeur des investissements et les revenus qu'ils procurent sont fluctuants (ce qui peut être dû en partie aux fluctuations des taux de change) et les investisseurs ne sont pas assurés de récupérer la totalité de leur capital. JK Capital Management Limited considère que, à sa connaissance, les informations contenues dans le présent document sont exactes à la date de leur publication. Toutefois, aucune garantie n'est donnée quant à l'exactitude, l'adéquation ou l'exhaustivité des informations. Ni JK Capital Management Limited, ni ses sociétés affiliées, directeurs ou employés n'assument de responsabilité (y compris de responsabilité civile) quant aux erreurs ou omissions dans ce rapport. JK Capital Management Ltd est une limited company régulée par la SFC de Hong Kong, dont le siège social est situé à Rm 1101 Chinachem Tower, 34-37 Connaught Road Central, Hong Kong.

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    news-2013 Thu, 04 Jun 2020 15:52:53 +0200 Marché Actions : les opportunités de l’ESG /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marche-actions-les-opportunites-de-l-esg/ L’ESG, un générateurd'alpha en temps de crise ESG signifie Environnemental, Social et Gouvernance. Les investisseurs appliquent de plus en plus ces facteurs non financiers dans le cadre de leur processus d'analyse pour identifier les risques importants et les opportunités de croissance. La crise du SRAS-CoV2 est le test décisif ultime pour les entreprises dont les directions ont intégré des facteurs ESG. Ces facteurs extra-financiers sont en fait au cœur des stratégies de nombreuses entreprises. Toute organisation qui adopte une approche holistique de la création de valeur est déjà sur une longue route de transformation, ce qui la rend plus flexible. Celle-ci est donc plus apte à absorber les chocs à court terme. Ainsi, les chocs négatifs inattendus peuvent être mieux absorbés compte tenu du caractère flexible et avant-gardiste de cette approche déjà intégrée. Les entreprises intégrant des facteurs ESG sont nettement plus agiles et plus souples.

    Au cours du récent repli du marché des actions, les sociétés ESG solides ont surperformé leurs pairs sur les marchés baissiers et haussiers. Certes, l'horizon considéré est court, et il convient d’être prudent. Il sera intéressant d’analyser ces performances dans leur globalité à la fin de l’année 2020.

    Nous pourrions imaginer que des facteurs principalement techniques tels que les biais sectoriels aient joué un rôle dans la surperformance depuis le début de l’année 2020. Cependant, même lorsque ceux-ci sont neutralisés, les entreprises ESG compétitives surperforment dans la plupart des secteurs.

    Sur le plan régional, la surperformance est plus prononcée en dehors de l'Europe, notamment aux États-Unis, où la prise en compte des facteurs extra-financiers est plus récente et donc moins courante. Les différences de réglementations sociales et environnementales entre l'Europe et les États-Unis peuvent également conduire à des différences plus marquées entre les entreprises ayant des normes ESG supérieures à la moyenne. 

    Sur les marchés baissiers, c’est surtout, selon nous, la force des facteurs sociaux et de gouvernance qui a conduit à cette résilience relative : la forte gestion du capital humain a permis une protection sans faille des employés et un processus de réorganisation qui ont largement minimisé les perturbations. Les investisseurs estimaient ainsi que ces entreprises pouvaient reprendre leurs activités plus rapidement que leurs homologues.

    Simultanément, une gouvernance forte a conduit à une communication transparente avec les investisseurs et à une prise de conscience, de la part des entreprises, de leurs responsabilités vis-à-vis de leurs parties prenantes. Les investisseurs ont été rassurés et ont eu une plus grande visibilité.

    De nombreux observateurs ont été surpris lorsque les sociétés ESG à haut score ont surperformé leurs groupes de pairs sur les marchés haussiers - d’autant plus que les actions cycliques ont surperformé les actions défensives.

    Au creux du marché, une fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour les actions ESG et les investisseurs ont profité de la baisse des cours des actions pour rediriger les flux vers les investissements ESG dont ils n’avaient initialement pas profité, expliquant en partie la force du rebond par la suite.  Il pourrait être utopique de croire que le monde d’après la crise sera radicalement plus écologique que le monde d’avant. Toutefois, si une proportion importante des mesures de relance gouvernementales sont orientées vers des infrastructures durables et une mobilité électronique, cette hypothèse est plausible. La crise climatique n’a pas été suspendue par la pandémie actuelle. Au contraire, celle-ci est maintenant considérée comme une menace encore plus importante pour l’Humanité.

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    news-2012 Thu, 04 Jun 2020 14:15:38 +0200 Les petites capitalisations pour bénéficier du rebond du marché /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-petites-capitalisations-pour-beneficier-du-rebond-du-marche/ Comment les investisseurs peuvent-ils se positionner pour profiter du rebond du marché à venir ? Nous pensons que les petites capitalisations pourraient surperformer les grandes dans le prochain mouvement haussier. Les petites capitalisations surperforment pendant les rebonds des marchés

    • Par le passé, les petites valeurs ont eu tendance à dominer les rebonds des marchés. Comme on le voit sur le graphique ci-dessus, lors des trois dernières récessions, pendant les douze mois qui ont suivi les planchers du marché, l’indice Russell 2000 s’est adjugé 38 % contre seulement 22 % pour le S&P 500.
    • En raison de la préférence des investisseurs pour la sécurité relative et la liquidité des grandes sociétés, les petites capitalisations affichent une sous-performance considérable depuis le début de l’année, de sorte que leurs valorisations sont devenues très faibles et les rendent potentiellement intéressantes.
    • La sous-performance des petites capitalisations est telle que leur prix présente actuellement une décote par rapport aux grandes valeurs, alors qu’elles sont habituellement assorties d’une prime. Cette décote est la plus importante observée en vingt ans en termes de trailing PE.
    • Les investisseurs souhaitant passer à l’offensive pendant le rebond qui finira par survenir apprécieront peut-être de s’exposer à des petites capitalisations de grande qualité.
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    news-2011 Wed, 03 Jun 2020 14:49:25 +0200 La résilience ne peut se constater qu'après une crise mais elle doit s'anticiper /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-resilience-ne-peut-se-constater-qu-apres-une-crise-mais-elle-doit-s-anticiper/ de Virginie Wallut, Directeur Recherche & Analyses Immobilières à La Française Real Estate Managers L’irruption du Covid-19 a modifié la perception des risques environnementaux. Ils ne se résument plus au seul risque climatique dont l’horizon d’impact est progressif. Le risque sanitaire, parce qu’il a un impact immédiat devient tout à coup un enjeu majeur. Entraînant dans son sillage un regain d’intérêt pour la dimension sociale ou sociétale de l’ESG, il confirme que la résilience de la ville est l’affaire de tous. Si la résilience ne peut se constater qu’après une crise, elle doit s’anticiper. En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le Groupe porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires du fait du changement climatique et des défis sociétaux.
    L’immobilier est la structure matérielle de la cité et l’essence même de la société urbaine. Il peut être le problème et la solution. Pour créer de la valeur utile et durable, La Française s’est fixé une feuille de route qui place les moteurs sociaux et environnementaux au cœur de sa stratégie. Le Groupe a choisi explicitement pour son pôle immobilier trois axes privilégiés : 

    • Réduire ses émissions de Gaz à Effet de Serre en favorisant un recours massif aux énergies renouvelables et en limitant nos consommations énergétiques pour anticiper les obligations liées au décret tertiaire 
    • Réintroduire la nature en Ville, pour atténuer dans la biodiversité et les écosystèmes les changements liés à l’emprise physique de plus en plus fort des activités humaines, origine probable de la pandémie actuelle du Covid-19 comme toutes les zoonoses du passé 
    • Rendre la Ville plus inclusive, pour répondre au "Vivre Ensemble", seul projet de société démocratique acceptable

    Plutôt que d’exclure les actifs les plus compromis sur le plan ESG, la philosophie d’investissement du Groupe La Française est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement re-sponsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation. 

     

    DOCUMENT PROMOTIONNEL. CE DOCUMENT EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement.  La Française Real Estate Managers est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016000 006 443 – Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce et Gestion Immobilière

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    news-2010 Wed, 03 Jun 2020 13:55:58 +0200 Prochaine réunion de la BCE : s'agira-t-il d'un événement "buy the rumors sell the facts" ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/prochaine-reunion-de-la-bce-s-agira-t-il-d-un-evenement-buy-the-rumors-sell-the-facts/ La Banque centrale européenne tiendra sa conférence de presse le jeudi 4 juin. Veuillez trouver ci-dessous ce que nous en attendons :
     

    • Nous ne prévoyons aucun changement du taux de dépôt.
    • Nous nous attendons à ce que la taille du PEPP passe de 750 milliards d'euros à 1000-1250 milliards d'euros. Cette décision est la plus importante car les marchés peuvent l'interpréter comme une confirmation de l'indépendance de la banque centrale. La question de la taille du PEPP est importante, mais la communication qui y est liée sera décisive.
    • Nous espérons avoir des détails sur les réinvestissements provenant du PEPP. On pourrait dire que le PEPP n'est pas un instrument à long terme (contrairement au QE typique) et que les achats ne devraient pas être réinvestis perpétuellement, mais nous ne pensons pas que la BCE ait l'intention d'envoyer un message "hawkish" compte tenu des incertitudes actuelles.
    • Nous attendons de la BCE qu'elle inclue les "fallen angels" dans le PEPP. 
    • Nous ne nous attendons pas à ce que les termes du TLTRO soient modifiés ; le multiplicateur du « tiering » restera tel quel. 
    • Nous nous attendons à ce que les projections macro-économiques soient revues à la baisse, comme l'a déjà indiqué Mme Lagarde la semaine dernière. 

    À la suite des discours de M. Villeroy et de Mme Lagarde, les attentes des marchés ont considérablement augmenté au cours des dix derniers jours, de sorte qu'il pourrait s'agir d'un événement de banque centrale "buy the rumors sell the facts", mais le positionnement semble toujours être modeste, de sorte que nous pencherions vers une réponse modérément haussière des marchés.

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    news-2004 Thu, 28 May 2020 19:02:04 +0200 La Française Real Estate Partners acquiert un immeuble de bureaux à Lyon (7e Arr.) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-lyon-7e-arr/ La Française Real Estate Partners a acquis l’immeuble de bureaux sis 47 avenue Berthelot, situé au coeur du quartier Jean Macé dans le 7e arrondissement de Lyon. L’immeuble, récemment livré en janvier 2020, est loué en intégralité à GRDF dans le cadre d’un bail commercial d’une durée ferme de neuf ans. Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’ERAFP (Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique).

    L’actif développe une surface totale de 5 636 m² à usage de bureaux en R+6 et dispose de deux niveaux de sous-sol et 61 emplacements de stationnement. La certification environnementale visée est le label Effinergie+.

    L’ensemble immobilier se situe au coeur d’un environnement mixte tertiaire/résidentiel, dense et dynamique, qui regroupe de nombreuses entreprises nationales et internationales.

    Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude notariale Lexfair, le cabinet Herbert Smith Freehills sur les aspects juridiques et fiscaux et ARTELIA sur les audits techniques énergétiques et environnementaux. Les vendeurs étaient conseillés par CBRE et l'étude Alcaix & Associés Notaires

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    news-2001 Fri, 22 May 2020 15:39:55 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès du groupe Vinci Immobilier un hôtel 5* à Strasbourg (67) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-du-groupe-vinci-immobilier-un-hotel-5-a-strasbourg-67/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA auprès de Vinci Immobilier, un hôtel 5*. Il s’agit de la reconversion de l’ancien Hôtel de Police en hôtel haut-de-gamme, situé dans l’hyper centre-ville de Strasbourg, à proximité de la Place Kléber et de la Cathédrale, rue de la Nuée Bleue. Ce projet hôtelier sera livré au 3e trimestre 2021 et développera 6 664 m² de surface utile soit 116 chambres. Sa situation stratégique proche des rues commerçantes lui offre également une excellente desserte avec un accès rapide à l’autoroute A4 ainsi qu’à 3 lignes de bus et un tram. Cet hôtel sera exploité via un bail ferme de 12 ans par la Société Hôtelière Nuée Bleue assistée par SOGEHO, référence hôtelière en Alsace.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière. 

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides, Vinci Immobilier a été conseillé par l’Etude Valentin Schott, les deux parties ont été conseillées par Blue Bear.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-2000 Tue, 19 May 2020 09:15:38 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Mata Capital un immeuble de bureaux à Cesson-Sévigné (35) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-mata-capital-un-immeuble-de-bureaux-a-cesson-sevigne-35/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis par l’intermédiaire de Tourny Meyer auprès de Mata Capital, un immeuble de bureaux, l’Atrium, situé 2 rue Claude Chappe dans la ZAC des Champs Blancs à Cesson-Sévigné. Cette ZAC s’inscrit dans le projet de développement urbain ViaSilva. Cet actif, composé de trois immeubles, bénéficie d’une excellente desserte avec l’arrivée du métro B en décembre 2020 à la station ViaSilva située à 500 m de l’immeuble d’une part et par l’accès direct depuis la rocade, d’autre part. L’actif se situe à 9 stations de métro du centre-ville de Rennes et de sa gare TGV. 

    Le bâtiment A a été livré au 3T 2018 et les bâtiments B et C ont été livrés au 1T 2020. Ensemble, ils développent 8 004 m² de bureaux et disposent de 199 emplacements de parking. Mata Capital avait déjà acquis par l’intermédiaire de Tourny Meyer en blanc cet actif en décembre 2016 et a loué 94 % des surfaces de l’immeuble à 5 locataires avec une durée d’engagement ferme résiduelle d’environ 5,5 ans. 

    Certifié RT 2012 – 20 %, l’Atrium dispose de bornes pour voitures électriques et d’un système de chauffage DRV (à débit de réfrigérant variable) avec récupération d’énergie, ce qui en fait un immeuble vertueux qui participe pleinement à l’objectif de La Francaise REM de réduire ses émissions de gaz à effet de serre.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Graf Notaires et le cabinet Jeantet ; Mata Capital a été conseillé par l’étude Allez & Associés. Les deux parties ont été conseillées par TOURNY MEYER.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1997 Thu, 14 May 2020 11:49:42 +0200 Intégration réussie de Risk@Work dans 2 fonds français du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/integration-reussie-de-risk-work-dans-2-fonds-francais-du-groupe-la-francaise/ En 2019, La Française a finalisé l’acquisition et procédé à l’intégration du Groupe Veritas. Veritas Institutional est une société de gestion allemande, reconnue sur son marché domestique pour son modèle de gestion des risques multi asset quantitative, Risk@Work. Ce modèle est utilisé comme outil d’aide à la décision d’allocation d’actifs à risque contrôlé par des investisseurs institutionnels, ou comme outil de monitoring des risques dans la gestion de fonds. Risk@Work est en effet un outil de pilotage des risques qui opère en plusieurs étapes : après le calibrage en amont d’un risque maximum du portefeuille, soit son drawdown max autorisé sur une période déterminée, le modèle permet de calibrer le niveau d’exposition optimal pour contrôler cette perte maximale potentielle dans le temps.   

    Depuis l’acquisition, des synergies en matière de gestion intergroupe ont fait surface. La méthodologie Risk@Work a été intégrée à la gestion multi asset discrétionnaire de deux fonds gérés par La Française AM. A compter du 10 février 2020, les objectifs de deux fonds ont ainsi été modifiés en ajoutant la dimension liée au modèle Risk@Work :

    • La Française Patrimoine Flexible* est un fonds de fonds diversifié global, pouvant être exposé jusqu’à 50 % de son actif en actions et le complément en produits de taux qui a pour objectif de réaliser une performance nette de frais supérieure à celle de l'indice composite 70% Barclays Euro Aggregate All Maturity Total Return Unhedged EUR + 30% MSCI World (dividendes réinvestis), sur la période de placement recommandée de 3 ans, tout en recherchant à limiter son niveau maximal de perte, sur une année calendaire, à un pourcentage défini annuellement par la société de gestion. 
    • La Française Séréni Flex* est un fonds de fonds diversifié global, pouvant être exposé jusqu’à 30 % de son actif en actions et le complément en produits de taux qui a pour objectif de réaliser une performance nette de frais supérieure à celle de l'indice composite 50% Barclays Euro Aggregate All Maturity Total Return Unhedged EUR + 35% Eonia capitalisé + 15% MSCI World (dividendes réinvestis), sur la période de placement recommandée de 2 ans, tout en recherchant à limiter son niveau maximal de perte, sur une année calendaire, à un pourcentage défini annuellement par la société de gestion. 

    Suite à l’intégration du modèle, la perte maximum pour l’année 2020 est ainsi calibrée pour chacun des fonds à -7 % (La Française Patrimoine Flexible) et -4 % (La Française Séréni Flex) de la valeur liquidative des fonds au 01/01/2020. Cette perte maximum, respectée à ce jour (11/05/2020) en dépit de la baisse des marchés provoquée par la pandémie coronavirus, n’est toutefois pas garantie et est redéfinie chaque année. 

    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, a conclu « Dans le contexte actuel, le modèle Risk@Work, combiné à la gestion discrétionnaire, prend tout son sens. Nous donnons accès aux investisseurs particuliers à une expertise en matière de gestion des risques jusqu’alors largement réservée aux institutionnels et permettant de contenir la perte maximale. »
     

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    news-1996 Thu, 14 May 2020 10:14:24 +0200 La Française lance une nouvelle solution d'investissement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-une-nouvelle-solution-d-investissement/ Fort du succès commercial rencontré par les millésimes précédents et de la pertinence de cette solution d’investissement dans le contexte de taux bas actuel, La Française lance un nouveau fonds à échéance. Les explications par Akram Gharbi Gérant High Yield chez La Française AM.

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    news-1994 Wed, 13 May 2020 09:55:44 +0200 Le Conseil de surveillance du Groupe La Française nomme Patrick Rivière Président du Directoire et adopte une nouvelle gouvernance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-conseil-de-surveillance-du-groupe-la-francaise-nomme-patrick-riviere-president-du-directoire-et-adopte-une-nouvelle-gouvernance/ Dans sa séance du 11 mai 2020, le Conseil de Surveillance du Groupe La Française a nommé Patrick Rivière en qualité de Président du Directoire, en remplacement de Xavier Lépine En effet, après 20 ans au sein du Groupe, Xavier Lépine a pris la décision, à l’issue d’un processus de réflexion interne entamé il y a plusieurs mois, de quitter le Groupe en parfait accord avec la direction du groupe Crédit Mutuel Nord Europe afin de poursuivre des projets personnels. 

    Le Conseil de Surveillance a par ailleurs adopté une nouvelle gouvernance avec la nomination de deux nouveaux membres du Directoire. Marc Bertrand et Philippe Lecomte rejoignent à cette occasion le Directoire du Groupe La Française au côté de Pascale Auclair.

    Dans le cadre de cette nouvelle gouvernance, Patrick Rivière, qui occupait jusqu’alors la fonction de Directeur Général, s’est entouré d’une équipe de direction solide et plus que jamais engagée au service de la réussite du Groupe. 

    • Pascale Auclair, membre du Directoire depuis mai 2018, conserve ses missions de Secrétaire Général du Groupe, et prend à l’occasion de la mise en place de cette nouvelle gouvernance, la responsabilité de la Recherche et de l’Investissement Socialement responsable. Elle continuera à être par ailleurs la porte-parole du Groupe sur la dimension réglementaire et à représenter le Groupe dans l’ensemble des associations professionnelles et instances de place. 
    • Bénéficiant d’une d’expérience de plus de vingt ans au sein du groupe, Marc Bertrand pilotera l’ensemble des activités de la ligne métier immobilier incluant également la plateforme innovation, en forte synergie avec le métier immobilier et qui vient fédérer les nouvelles activités identifiées comme des business clés de demain. Il représentera La Française dans l’ensemble des instances de place immobilières. 
    • Arrivé chez Groupe La Francaise en 2012 pour accélérer l’expansion du groupe à l’international, Philippe Lecomte, prendra la responsabilité du développement du groupe, en France comme à l’international il conserve la responsabilité de la plateforme de distribution transversale, et sera en charge des synergies avec les participations du groupe. Il pilotera, dans son entièreté, l’offre produits du Groupe La Française et sa communication externe.

    Ces nominations sont effectives depuis le 11 mai 2020.

    Cette nouvelle organisation intervient après une année 2019 marquée par une croissance forte avec une collecte de 5,6 milliards d’euros. Elle est ainsi adaptée à la poursuite de développement du Groupe et de son modèle multi-boutiques, désormais structuré autour de deux piliers métiers « core », que sont l’Immobilier et les actifs financiers, et d’une plateforme de distribution transversale. 

    Malgré le contexte de forte turbulence lié à la crise sanitaire, Le Groupe La Française entend poursuivre en cette année 2020 un développement ambitieux. L’ensemble des équipes de gestion et des équipes commerciales du Groupe sont mobilisées afin de continuer à offrir à ses clients et partenaires un haut niveau de qualité de service.


    Eric Charpentier, Directeur Général du CMNE, déclare : « Je souhaite remercier Xavier Lépine pour la qualité de notre coopération pendant toutes ces années, sa forte contribution au développement du Groupe et son enthousiasme de bâtisseur. Je me félicite de la nomination de Patrick Rivière et de la nouvelle équipe de direction, qui sauront parfaitement répondre aux évolutions en cours et poursuivre avec succès le développement du Groupe La Française. »


    Patrick Rivière déclare : « Ensemble depuis plus de 12 ans, nous avons œuvré avec Xavier Lépine pour permettre au Groupe d’être parmi les leaders européens sur des expertises différenciantes à forte valeur ajoutée. C’est une nouvelle page qui se tourne pour le Groupe, qui plus est dans l’environnement de crise que nous connaissons. Avec cette nouvelle gouvernance et le recentrage du Groupe opéré depuis plus de 2 ans, je suis convaincu que nos expertises de rendement, d’actifs réels, de crédit obligataire, de gestion systématique avec le model Risk@Work ou encore d’investissement durable ainsi que l’implication sans faille de nos équipes, auront plus que jamais leur place pour répondre aux besoins de nos clients et partenaires. Un défi que Pascale, Marc, Philippe et moi-même sommes prêts à relever à l’aune de ce contexte inédit ».

    Marc Bertrand :  diplômé de l’EDHEC en 1992, Marc débute sa carrière en 1994 comme contrôleur de gestion à la Direction Immobilière des assurances GAN. Il rejoint l’UFG en 1999 comme responsable du contrôle de gestion. Marc a ensuite rapidement exercé des responsabilités tant fonctionnelles qu’opérationnelles, alternant entre les fonctions de DAF du groupe et de Directeur Financier immobilier. D’abord en binôme, puis seul depuis 2014, Marc dirige les activités immobilières du Groupe La Française. Fin 2019 le pilier immobilier de La Française totalise plus de 23 milliards d’euros et compte environ 140 collaborateurs.

    Philippe Lecomte : diplômé d’un DESS de l’Université de Sciences Economiques de Caen en 1991, il entame sa carrière au lancement d’INVESCO en Europe comme Head clientèle institutionnelle. Après avoir eu la charge du développement de l’Europe de l’Ouest chez INVESCO, il prend la Direction Générale de SCHRODERS en France en décembre 2003. Deux ans après, il est nommé Head of Global Financial Institution à Londres et rejoint le Comex Europe de SCHRODERS. En 2012, il rejoint Le Groupe La Française en charge du développement commercial du groupe. 

    Pascale Auclair : diplômée de l'Institut de sciences financières et d'assurance de Lyon, elle  débute sa carrière en 1983 à la Société Générale en tant que gérante d’OPCVM obligataires puis exerce chez BAFIP, Cheuvreux de Virieu. En 1992, elle rejoint Groupama où elle prend la responsabilité de la gestion de taux, puis est associée en 1994 à la création de la filiale dédiée à la gestion d’actifs du groupe et au développement vers une clientèle externe. En 1998, Pascale Auclair prend la responsabilité des équipes de gestion obligataire et diversifiée et devient en 1999 Membre du Directoire de Groupama Asset Management puis Directeur général adjoint. En 2006, elle rejoint LFP Investissements en qualité de Directeur de la Gestion puis, lors de la fusion avec le Groupe UFG en 2010, est nommée Directeur de la Gestion et Directeur général de LFP, société de gestion dédiée à la gestion des valeurs mobilières au sein du Groupe UFG-LFP, devenu Groupe La Française. Pascale Auclair a été nommé Secrétaire général du Groupe La Française en 2018.


    Patrick Rivière : diplômé de l'Institut de Science Financière et d'Assurances, il débute sa carrière en 1983 chez Cholet Dupont avant de rejoindre Fimagest en 1985. A la suite du rachat de Fimagest par la Générale de Banque en 1996, Patrick est nommé Président Directeur Général de Générale de banque asset management. Par la suite, dans le cadre de l’acquisition de Générale de Banque par Fortis, Patrick est devenu CEO de Fortis I.M.  (1998-1999). Fin 1999, Patrick débute une carrière de neuf ans chez Invesco, en tant que Chief Regional Officer pour Invesco Continental Europe, Président du Directoire d'Invesco AM SA et CEO d'Invesco AM SA. Patrick a rejoint La Française en 2008 en tant que Directeur Général du Groupe.

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    news-1992 Tue, 12 May 2020 12:30:28 +0200 COVID19 : premier round avant la rencontre climat /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/covid19-premier-round-avec-la-rencontre-climat/ Laurent Jacquier-Laforge, Responsable du développement et de l’investissement durable, recevait le Professeur Christian Gollier, Co-fondateur et Directeur de la Toulouse School of Economics. Le Professeur Gollier est spécialiste des questions liées aux risques, à l’incertitude et à la prévision en environnement incertain.

    Pour accéder au support : lfgrou.pe/P5u22F

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    news-1991 Tue, 12 May 2020 11:08:38 +0200 Innovation : un fonds à échéance intégrant une exposition aux marchés actions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/innovation-un-fonds-a-echeance-integrant-une-exposition-aux-marches-actions/ Face à cette situation inédite, quelles sont les perspectives des fonds à échéance ? Découvrez le produit innovant de La Française, intégrant une exposition aux marchés actions.
    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM répond aux questions de Philippe Delhotel, Directeur Développement France.

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    news-1990 Mon, 11 May 2020 10:54:34 +0200 Le pire est-il derrière nous ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-pire-est-il-derriere-nous/ par Fabrice Jacob, CEO de JK Capital Management Ltd, société du Groupe La Française basée à Hong Kong Le pire semble être derrière nous. Le nombre de personnes nouvellement infectées a commencé à diminuer dans la plupart des pays du monde. Les hôpitaux ne sont plus le théâtre d'un chaos apocalyptique, l’offre de respirateurs et de masques faciaux s’améliore et tout le monde parle maintenant de déconfinement et de réouverture de l'économie mondiale. La Chine est en avance sur ce front. Ce qui se passe en Chine pourrait bien être une bonne anticipation de ce à quoi s’attendre ailleurs. Malgré la réouverture du pays (et même si les déplacements d'une province à l'autre sont sous contrôle strict), les chinois restent très prudents. La circulation dans les transports publics est limitée. Les gares sont pour la plupart vides. Les ventes immobilières et les embouteillages qui sont des indicateurs d'activité typiques ont atteint un plateau après avoir commencé à augmenter en mars. Les restaurants sont à moitié vides, les centres commerciaux voient leur trafic réduit de moitié par rapport aux niveaux pré-COVID, et les fast-foods sont plus occupés en semaine que le week-end. À titre d'exemple, Yum China qui exploite la marque Kentucky Fried Chicken à travers le pays propose désormais des promotions spéciales uniquement le samedi et le dimanche. Seulement 64 % des personnes interrogées lors d’un récent sondage ont déclaré avoir visité un restaurant au cours du mois d'avril.


    De toute évidence, les gens restent très méfiants compte tenu du risque d'une deuxième vague d'infection, ce qui est bien naturelle : la province du Heilongjiang a vu une soudaine résurgence de l'épidémie en avril qui a fait frissonner le pays. Les usines sont toutes à l'œuvre et produisent selon les directives du gouvernement central qui a donné la priorité à la réouverture de l'économie, mais les carnets de commandes ne sont pas pleins car les clients étrangers restent bloqués. En conséquence, nous constatons des signes d'accumulation d’inventaire. Les propriétaires de centres commerciaux ont renoncé aux loyers lorsque les villes étaient fermées, mais c'est maintenant terminé même si la circulation piétonne reste clairsemée. De même, le gouvernement central a supprimé toutes les demandes de paiements de sécurité sociale durant la période de confinement, et les autorités locales ont supprimé l’essentiel des impôts tout en accordant des subventions aux entreprises qui ne pouvaient pas fonctionner pendant la fermeture, mais ces mesures ont également atteint leur terme.


    C’est pourquoi nous pensons que les résultats des sociétés cotées pour le deuxième trimestre pourraient être presque aussi mauvais qu'ils l'étaient pour le premier trimestre, même si la Chine a rouvert ses portes. Pour se remettre sur pied, la Chine a besoin que la pandémie soit résolument sous contrôle dans le monde entier et que les économies étrangères rouvrent. Avant que ces deux conditions ne soient remplies, nous pensons que le gouvernement central n'annoncera aucun puissant stimulus fiscal ni aucune baisse agressive des taux d'intérêt. Ce serait gaspiller des munitions.


    Jusqu'à présent, les mesures fiscales n’ont été qu’un amalgame de mesures isolées qui ne représentent, en cumulé, que 3 % du PIB. Le soi-disant « helicopter money » était limité à certaines villes et strictement axé sur la consommation, comme la ville de Nanjing offrant USD 45m de coupons à utiliser dans les restaurants à ses 8.8m d’habitants (soit moins d’USD 6 par personne). Par conséquent, il est essentiel pour la Chine que l'Europe et les États-Unis rouvrent dès que possible pour relancer la demande de produits chinois. C'est à ce moment que la Chine décidera très probablement d'agir avec force sur les fronts monétaire et fiscal, avec l'impact positif que l'on peut attendre sur les marchés boursiers.


    La bonne nouvelle est que cette réouverture devrait avoir lieu en mai, sans doute par phases. La mauvaise nouvelle est que les millions de personnes qui ont déjà été licenciées (comme dans le cas des États-Unis) ou qui sont sur le point de perdre leur emploi à la fin du confinement (comme dans le cas de l'Europe) ne vont pas dépenser d'argent en biens discrétionnaires. La reprise risque donc de prendre beaucoup de temps. Il est également probable que de nombreuses entreprises réexamineront les chaînes d'approvisionnement car l'épidémie leur a fait réaliser que leur dépendance à l'égard de la Chine est trop importante. Mais cela ne se fera pas du jour au lendemain, car des pays comme Taïwan, le Vietnam ou le Cambodge n'ont tout simplement pas la main-d'œuvre nécessaire pour remplacer la main-d'œuvre chinoise, tandis que l'Inde ne dispose pas des infrastructures nécessaires. Tout changement dans les chaînes d'approvisionnement centrées sur la Chine sera très probablement à la marge, selon nous, en particulier pour les biens de consommation électroniques.


    Dans l'intervalle, nous nous en tenons à notre opinion exprimée au début de cette année selon laquelle nous finirons 2020 avec des indices boursiers chinois supérieurs à ce qu'ils étaient au début de l'année. Les actions chinoises ont surperformé tous les marchés développés l'année dernière et surperforment à nouveau cette année. Nous pensons qu'une partie importante de la masse monétaire créée par le biais de l'assouplissement quantitatif de la Fed et de la BCE sera investie dans des actions et des obligations chinoises. Le pays offre une liquidité de marché abondante, une politique monétaire saine avec des taux d'intérêt réels positifs, une monnaie stable soutenue par une balance courante a l’équilibre et d'importantes réserves de change, une pondération des indices MSCI qui continue de croître, une économie qui peut résister à l'agitation actuelle grâce à la demande de sa classe moyenne croissante et, surtout, une grande stabilité politique.


    Si l’on s’éloigne de la Chine, on peut distinguer deux Asie très différentes entre celle du sud et celle du nord qui comprend la Corée du Sud et Taïwan. Du point de vue de la pandémie, ces deux pays ont remarquablement bien maîtrisé la propagation du virus. Ils sont souvent cités comme modèles. Taïwan (23m d'habitants) n'a eu que six morts, même s'il n'y a jamais eu de confinement, seulement des mesures drastiques nécessitant un sens élevé de la discipline individuelle. Pour mémoire, Hong Kong, où nous sommes basés, se trouve dans une situation très similaire avec 7m d’habitants et quatre morts seulement, sans confinement mais avec des frontières fermées et des mesures de distanciation sociale strictes qui sont appliquées avec un remarquable sens de l'autodiscipline.


    D'un point de vue commercial, Taïwan et la Corée se portent plutôt bien: leur secteur technologique tout puissant mené par TSMC, Samsung Electronics et SK Hynix, ne montre pas beaucoup de signes de ralentissement. Ces trois sociétés ont annoncé leurs chiffres du premier trimestre et leurs perspectives pour l'année 2020 et ont surpris les analystes de manière très positive. Ces trois sociétés étant des forces dominantes dans le secteur des microprocesseurs et des mémoires (DRAM et NAND), elles sont un baromètre essentiel pour l'ensemble de l'industrie technologique. Notre exposition à la Corée et à Taiwan est importante et nous sommes confiants quant à sa robustesse. Il n'est pas surprenant pour nous que ces marchés aient surperformé les marchés émergents depuis le début de l'année aux côtés de la Chine.


    En Asie du Sud, la situation est très différente. L'Inde est dans une situation préoccupante. Le déficit budgétaire de l'administration centrale était déjà de 3,7 % du PIB l'an dernier, et de 7 % du PIB si l’on consolide les déficits fiscaux de tous les États. Le groupe de réflexion du gouvernement fait pression pour qu’un plan de relance fiscale égal à 5 % du PIB soit lancé, mais il ne semble pas avoir gain de cause. Jusqu'à présent, le seul programme de secours fourni par le gouvernement a été d’USD 23mds de dollars, soit 1 % du PIB, ce qui n’est vraiment qu’une goutte d’eau dans l'océan. L'opinion des économistes est que le gouvernement Modi est très en retard pour tout ce qui est de prendre des mesures décisives. La Reserve Bank of India semble paralysée et cela depuis deux ans déjà, c’est-à-dire depuis le début de la crise des sociétés financières non bancaires (ou NBFC) qui avait été déclenchée par la faillite d'IL&FS. L'épidémie de coronavirus n'a fait qu'exacerber cette observation.


    En Asie du Sud-Est, nous voudrions souligner les différences que nous constatons entre deux pays qui, de loin, peuvent se ressembler : la Thaïlande et l'Indonésie.
    La Thaïlande souffre déjà largement du coronavirus car le tourisme s'est évaporé. Le tourisme représentait 11,5 % du PIB de la Thaïlande en 2019 mais avait des ramifications dans de nombreux autres secteurs de l'économie. Trois plans de relance budgétaire équivalant à 13% du PIB ont été annoncés récemment, s'ajoutant au déficit budgétaire de 2,6 % que le gouvernement avait déjà budgété avant ces mesures de stimulation. Il n'est pas surprenant que le baht thaïlandais se soit déprécié de 7,1 % par rapport à l'USD depuis le début de l'année. Mais ce qui nous préoccupe le plus à propos de la Thaïlande, c'est l'impact à long terme du coronavirus sur l'industrie du transport aérien, et plus précisément la disparition en cours des compagnies aériennes du type « low cost » que la pandémie a déclenchée et dont l'industrie touristique de la Thaïlande a grandement bénéficié. Sans les compagnies aériennes à bas prix qui acheminent des cohortes de touristes, les centres de vacances en Thaïlande pourraient bien être très différents à l'avenir.


    En Indonésie, environ la moitié du pays est confiné. Cependant, la version indonésienne du confinement n'est pas drastique : les gens peuvent vivre une vie normale dans leur village mais l’accès au village est restreint pour les étrangers. Bank Indonesia, la banque centrale, a réussi à rassurer les investisseurs étrangers qui sont d'une importance cruciale puisqu'ils contrôlent 32 % de la dette souveraine du pays. La banque centrale a entamé un exercice d'assouplissement quantitatif égal à 3 % de son PIB, a réduit son ratio de réserves obligatoires pour les banques et, surtout, a conclu un accord de swap d’USD 60mds avec la Fed américaine. Cela a suffi pour que la roupie s'apprécie de 10 % en avril après s'être dépréciée de 17 % au premier trimestre de l'année. Ce sont des mesures fortes qui nous donnent confiance dans la trajectoire à long terme de l'économie indonésienne.
     

    Document promotionnel pour les investisseurs non professionnels tels que définis par la MIFID II. Les informations contenues dans ce document sont publiées par JK Capital Management Limited. Les informations et les documents fournis aux présentes ne sauraient en aucun cas représenter un conseil, offre, sollicitation ou une recommandation d'investissement dans des placements particuliers. La valeur des investissements et les revenus qu'ils procurent sont fluctuants (ce qui peut être dû en partie aux fluctuations des taux de change) et les investisseurs ne sont pas assurés de récupérer la totalité de leur capital. JK Capital Management Limited considère que, à sa connaissance, les informations contenues dans le présent document sont exactes à la date de leur publication. Toutefois, aucune garantie n'est donnée quant à l'exactitude, l'adéquation ou l'exhaustivité des informations. Ni JK Capital Management Limited, ni ses sociétés affiliées, directeurs ou employés n'assument de responsabilité (y compris de responsabilité civile) quant aux erreurs ou omissions dans ce rapport.

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    news-1987 Wed, 06 May 2020 10:00:00 +0200 Gianni Pauwels rejoint La Française en qualité de "International Sales Manager – Belgium & Netherlands" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gianni-pauwels-rejoint-la-francaise-en-qualite-de-international-sales-manager-belgium-netherlands/ La Française, groupe de gestion d’actifs international avec plus de 69 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 31/12/2019) et des bureaux à travers l’Europe et l’Asie, poursuit sa stratégie de développement au Benelux et consolide son équipe avec l’arrivée de Gianni Pauwels au poste d’International Sales Manager – Belgium & Netherlands. Andrea Bertocchini, Head of Northern Europe et Italy, se réjouit de ce renforcement. “Même dans le contexte actuel sans précédent, La Française avance de pieds fermes dans son développement et continue d’investir. Le Benelux, notamment avec la présence historique de sociétés du groupe Crédit Mutuel Nord Europe, notre actionnaire, est l’un des marchés phares de La Française. La connaissance profonde de Gianni Pauwels de ce marché et son expérience professionnelle multi-expertise, valeurs mobilières et immobilier, permettront de soutenir nos efforts de développement et d’adapter notre offre aux besoins des investisseurs locaux. »  
    Gianni Pauwels a débuté sa carrière en 2008 avec Fortis Investments à Bruxelles au sein du département risques & reporting où il travaillait en étroite collaboration avec les équipes de gestion. En 2011, il rejoint THEAM (filiale de BNP Paribas IP) en qualité de Responsable Développement Produits Structurés pour les marchés du Bénélux et des Nordiques. Pendant deux ans, il a acquis une expérience immobilière avec Verelst & Gilen Real Estate avant de rejoindre en 2017 la banque Nagelmackers en qualité de Chef de Produits, responsable du développement de l’offre de produits structurés pour une clientèle de détail et institutionnelle.

    Gianni Pauwels détient une maîtrise et une licence en Sciences Economiques Appliquées de l’Université de Hasselt. Gianni est trilingue : Néerlandais, Anglais, Français.
     

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    news-1984 Mon, 04 May 2020 09:05:46 +0200 A crise inédite... Réponses inédites /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-crise-inedite-reponses-inedites/ Il n’y a aucun doute, la crise du Covid-19 aura des impacts économiques majeurs. A la différence des crises précédentes, le monde tourne au ralenti et fait face à de multiples incertitudes sanitaires qui contrarieront fortement un retour à la normale rapide. Il n’y a aucun doute, la crise du Covid-19 aura des impacts économiques majeurs. A la différence des crises précédentes, le monde tourne au ralenti et fait face à de multiples incertitudes sanitaires qui contrarieront fortement un retour à la normale rapide. Des pans entiers de nos économies resteront durablement affectés. Le FMI table aujourd’hui sur une récession de 3% en 2020 au niveau mondial et un rebond de 5,8% en 2021. Chaque mois de confinement efface 3% de croissance mondiale et nous n’attendons pas de fort rebond au 2ème trimestre. A ce stade, seules la Chine et l’Inde échapperaient de justesse à la récession. Pour plusieurs pays développés, le rebond ne permettra pas de revenir sur les niveaux du 4ème trimestre 2019, notamment parce que l’investissement productif des entreprises, dont les marges de manœuvre financières resteront très réduites, sera durablement impacté par le choc du confinement. Dans une moindre mesure, on peut également s’interroger sur la confiance des consommateurs, dans les mesures sanitaires des autorités post-confinement, sur un marché de l’emploi dégradé et par conséquent, sur la reprise des comportements de consommation « normaux ». 

    Face à ces impacts, pour l’heure difficilement quantifiables (les perspectives étant régulièrement révisées à la baisse avec l’allongement du confinement et une balance des risques toujours dégradée), les gouvernements et les banques centrales ont agi rapidement et fortement, de manière concertée et continueront d’ajuster leurs plans de sauvetage pour sauvegarder au mieux les emplois et les entreprises. 

    Analyse macroéconomique par région

    Aux Etats-Unis, la contraction du PIB du second trimestre est ainsi attendue à -35% en rythme annuel, les ventes au détail et la production industrielle de mars ayant enregistré leur pire mois depuis 1992. Les derniers chiffres des enquêtes PMI, parus le 23/04, font état d’une crise dont l’ampleur immédiate est supérieure à celle de 2008. Le PMI composite est en effet sorti à 27,4, soit le plus bas chiffre depuis que ces indicateurs sont calculés. La croissance 2020 devrait s’établir autour de -6% et rebondir à près de 5% en 2021.

    En ce qui concerne l’inflation américaine, une baisse de respectivement 100 et 200 points de base de l’inflation core et headline en 2020 est probable. L’amplitude est importante ,et tient notamment à la forte corrélation de cet indice au prix du pétrole, en chute libre ; elle provient également, en mars, de la chute des prix des billets d’avion (coût d’arrêt sur le transport aérien). Néanmoins, cette baisse brutale de l’inflation sera très probablement suivie d’un rebond prononcé grâce à la reprise des prix de ces mêmes secteurs.

    Au sein de la Zone Euro, les enquêtes d’activité PMI ont enregistré la chute la plus brutale de leur histoire en mars et sont attendues sur un niveau plus bas encore au mois d’avril : l’Italie est le pays le plus touché, puis l’Espagne, la France et dans une moindre mesure l’Allemagne et l’Irlande. Le choc devrait être beaucoup plus fort qu’en 2008. La croissance du PIB est estimée autour de -7% pour l’année 2020 (rebond de 5% en 2021), ce qui nous semble cohérent avec les indicateurs avancés et, en raison de biais sectoriels tels que le poids des services dans le PIB plus important, la zone Euro sera finalement plus impactée que les Etats-Unis.

    Dans cette période de confinement, le panier du consommateur a été totalement transformé, au profit de l’alimentaire et au détriment des loisirs par exemple. Toutefois, l’institut européen Eurostat recommande aux instituts nationaux de maintenir toute l’année les mêmes poids des différents biens et services dans ce panier et de conserver comme priorité d’obtenir un prix pour chaque produit, quel que soit le canal d’information. L’inflation core devrait progressivement reculer à 0,5%, en raison de la baisse de l’indice des prix dans le secteur des services, qui ne sera que partiellement compensée par l’inflation alimentaire, tandis que nous estimons que l’inflation headline passera en territoire négatif à partir du mois prochain, pour une durée d’un an. A partir d’avril 2021, l’inflation devrait retrouver ses niveaux pré-crise.

    La situation est sensiblement différente en Chine puisque le confinement fut levé dès le mois de mars (à l’exception de Hubei et Wuhan, épicentre de l’épidémie). La contraction du PIB du premier trimestre ressort ainsi à -6,8% sur un an glissant, chiffre qui nous inspire un certain scepticisme puisque difficilement réconciliable avec les données macroéconomiques dont nous disposons. Le déconfinement dans cette région, avant celui des pays développés, nous enseigne que la reprise sera longue et très progressive. Ainsi, les ventes au détail ont baissé de 16% en YTD (à fin mars 2020), mettant en exergue la difficulté des consommateurs chinois à reprendre une vie normale. De plus, l’effondrement de la demande mondiale freinera pendant plusieurs mois la reprise de l’activité industrielle chinoise.

    Les pays émergents sont particulièrement affectés puisqu’à la crise sanitaire et au ralentissement du commerce mondial, s’ajoute la chute historique des cours des matières premières.

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    news-1983 Wed, 29 Apr 2020 10:31:45 +0200 FOMC ne devrait pas changer significativement de posture, M. Powell devrait à nouveau écarter les taux négatifs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-reserve-federale-americaine-federal-open-market-committee-fomc-ne-devrait-pas-changer-significativement-de-posture-m-powell-devrait-a-nouveau-ecarter-les-taux-negatifs/ Avec plusieurs communiqués par semaine, la Fed a été exceptionnellement active en termes de communication depuis la dernière réunion du FOMC qui s'est tenue le 15 mars. Sa principale préoccupation a été d'assurer le maintien d'un flux continu de crédit dans l'économie réelle et le fonctionnement normal des marchés financiers. En résumé, la Fed achète de manière plus agressive que jamais, en diversifiant la composition de ses achats et en prêtant des dollars sur le sol américain et aux banques centrales étrangères ; toutes ces mesures sont prises de manière pratiquement illimitée.
     
    Comme la Fed a agi de manière très audacieuse entre ses réunions, nous nous attendons à ce qu'elle prenne du recul lors de cette réunion formelle du FOMC qui devrait être moins mouvementée.
     
    Toutefois, la déclaration faite à l’issue de cette réunion pourrait faire état :
      

    • D’un renforcement possible de la forward guidance: la Fed pourrait facilement s'engager à ne pas augmenter les taux jusqu'à une date définie comme par exemple la fin de l'année 2021. Au cours des prochains trimestres, nous nous attendons à ce que la Fed adopte le contrôle de la courbe des taux, tout comme l'ont fait le Japon et l'Australie. Cependant, une forward guidance plus ferme serait la prochaine étape logique avant d'opter pour le contrôle de la courbe des taux.
    •  D’un commentaire probable sur l'écart Libor-OIS, qui a commencé à se resserrer à partir d'un niveau très tendu grâce aux mesures de la Fed. La Fed pourrait annoncer des mesures supplémentaires pour aider les marchés monétaires, ou au moins s'engager à injecter plus de liquidités si l'écart ne se resserre pas assez vite.

     
    Durant les questions-réponses, M. Powell continuera probablement à rejeter la perspective de taux négatifs. Nous devons admettre que selon notre expérience en Europe, l'impact des taux négatifs sur le secteur bancaire est loin d'être positif ! 
     

    Disclaimer

    Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-1978 Thu, 30 Apr 2020 09:05:00 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-de-la-sicav-la-francaise/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2028 » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec seuil de déclenchement pour ce compartiment. La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 4 mai 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 » disponible sur le site www.la-francaise.com

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    news-1976 Thu, 23 Apr 2020 09:42:53 +0200 La gestion systématique appliquée aux actions de sociétés actives dans le secteur des infrastructures, Ve-Ri Listed Infrastructure /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-gestion-systematique-appliquee-aux-actions-de-societes-actives-dans-le-secteur-des-infrastructures-ve-ri-listed-infrastructure/ Le fonds Ve-RI Listed Infrastructure, géré par La Française AM GmbH, filiale du Groupe La Française basée à Francfort et spécialisée dans la gestion systématique*, est désormais disponible à la commercialisation en France et au Luxembourg. Une population mondiale en constante augmentation, le renforcement des échanges, l’optimisation de la production et de la distribution d’énergie et une urbanisation en expansion, sont à l’origine de besoins croissants en matière d’infrastructures. Ve-Ri Listed Infrastructure consiste en une solution de financement indirect face aux besoins croissants de ce type d’investissements. 
     
    Ve-RI Listed Infrastructure est un portefeuille détenant historiquement trente valeurs mondiales. L'objectif de placement du fonds est d'obtenir la performance la plus élevée possible. Pour atteindre cet objectif, le fonds investit principalement dans les actions de sociétés d’infrastructures cotées dites « core », à savoir les exploitants des réseaux des secteurs de l'énergie, du transport, de l'eau et de la communication. Le fonds affiche des performances annuelles qui depuis 2015, et à titre de comparaison, surperforment l’indicateur de performance, à savoir l’indice NMX Composite TR EUR, dans le contexte de marchés baissiers (2015, 2018 et YTD 2020). Performances (Part R - nets de frais à l’exception des frais de souscription) : 2015 : 5,2 % contre -0,8 % pour l’indice ; 2016 : 10,7 % contre 11,4 % pour l’indice ; 2017 : 1,5 % contre 6,7 % pour l‘indice ; 2018 : 0,5 % contre -3.4 % pour l’indice ; 2019 : 18,1 % contre 27,1 % pour l’indice ; YTD 2020 au 06/04/2020 : -15,9 % contre -27,0 % pour l’indice.

    La sélection des titres est basée sur un processus d'investissement systématique développé par La Française Asset Management GmbH, lequel se fonde sur un modèle mathématique qui retient notamment des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Il s’agit d’un système de points purement systématique, sans prévisions, basé sur des classements, dans lesquels des critères de qualité, de valorisation, de volatilité, de risque et de durabilité, dont la gouvernance de l'entreprise sont pris en compte. Le processus de sélection est mis en œuvre trimestriellement, avec l’objectif d’aboutir à un portefeuille d'au moins 30 actions équipondérées. Une limite maximale de pondération est appliquée afin d'éviter une concentration des risques dans un pays donné.

    Christian Riemann, Directeur de la Gestion de La Française Asset Management GmbH, conclut, « Ve-RI Listed Infrastructure est un outil de diversification pour l’investisseur qui lui donne accès au marché mondial des actions des sociétés actives dans le secteur des infrastructures et dont la performance est peu corrélée aux principaux indices de marché grâce à sa stratégie de gestion systématique. »

    * La gestion systématique est un concept de gestion piloté à partir de modèles mathématiques mis en œuvre en vue d'obtenir des niveaux de performance et de risque optimaux.

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    news-1974 Mon, 20 Apr 2020 09:28:32 +0200 La SCPI : un produit sain dans un marché sain /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-un-produit-sain-dans-un-marche-sain/ Dans ce contexte de crise, le marché immobilier conserve-t-il tout son attrait ? Marc Bertrand, Président de La Française REM répond aux questions de Thierry Sevoumians, Directeur Général de La Française AM Finance Services.

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    news-1973 Fri, 17 Apr 2020 10:01:19 +0200 Avis aux porteurs – Hugo La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-hugo-la-francaise/ Les porteurs de parts du fonds Hugo La Française sont informés qu’à compter du 21 avril 2020 la documentation règlementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « HUGO LA FRANCAISE » disponible sur ce site.
     

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    news-1971 Fri, 17 Apr 2020 09:48:29 +0200 La SCPI LF Europimmo acquiert son premier actif au Royaume-Uni /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-lf-europimmo-acquiert-son-premier-actif-au-royaume-uni/ La Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Europimmo, représentée par La Française Real Estate Partners International, a acquis son premier actif au Royaume-Uni auprès de la joint-venture entre Helical PLC et The Baupost Group, L.L.C. Cet immeuble de bureaux et de commerces, récemment aménagé, est sis 90 Bartholomew Close dans la cité de Londres, entre les stations de métro St Paul’s et Farringdon. Le bien est loué à 6 locataires, opérant dans des secteurs divers.

    Certifié BREEAM Excellent, l’actif a été développé par Helical PLC et livré en 2018 dans le cadre de la première phase du projet de quartier urbain mixte, Barts Square. Autrefois usine de fabrication de linoléum, l’immeuble a été réhabilité derrière sa façade victorienne d’origine. Il offre 2 230 m2 de bureaux de prestige et une surface commerciale de 595 m2 au rez-de-chaussée et au sous-sol. Le bien bénéficie d’une accessibilité sans égal grâce à la proximité de trois noeuds de transport majeurs : St Paul’s (Central Line), Barbican (Circle, Hammersmith & City et Metropolitan Lines) et Farringdon (Elizabeth Line). Il se situe également à proximité de Culture Mile, un nouvel espace culturel qui s’articule autour des trois projets de développement que sont Smithfield Market, le Centre for Music et Beech Street.

    Le prix net vendeur s’élève à £48,5 millions et le taux de rendement initial ressort à 3,9%. La Française Real Estate Partners International a été conseillé par JLL, tandis que le Vendeur a été conseillé par Ingleby Trice et Fineman Ross.

    David Rendall, CEO de La Française Real Estate Partners International déclare : « Nous sommes ravis d’acquérir ce bien et de croitre notre portefeuille d’actifs au Royaume-Uni. Cette acquisition intervient dans le sillage de l’aménagement récent d’un immeuble de bureaux sis 10 George Street, à Édimbourg, dans le cadre d’une opération réalisée par La Française pour le compte d’un client danois. »

    Peter Balfour, directeur des investissements de La Française Real Estate Partners International - UK, déclare : « La finalisation de 90 Bartholomew Close est un événement marquant et représente la première acquisition au Royaume-Uni d’un fonds La Française. Cette opération illustre notre volonté d’étoffer notre portefeuille d’actifs immobiliers sur le marché britannique. Nous sommes ravis d’avoir acquis un immeuble important faisant partie du programme immobilier Barts Square de Helical et la livraison d’autres immeubles à proximité devrait permettre de belles perspectives de croissance. 90 Bartholomew Close représente un ajout de choix au portefeuille du groupe, dont les encours sous gestion s’élèvent désormais à €23 milliards. »

    Gerald Kaye, CEO de Helical, déclare : « Malgré le contexte difficile, le moment auquel intervient cette vente montre que l’intérêt des investisseurs internationaux pour l’immobilier londonien de qualité ne faiblit pas. 90 Bartholomew Close fait partie intégrante du programme immobilier Barts Square et constitue une passerelle symbolique vers notre nouvelle offre urbaine mixte. »

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-1969 Thu, 16 Apr 2020 11:08:38 +0200 Un marché High Yield sous tension /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-marche-high-yield-sous-tension/ A ce jour, près de 2 millions de personnes ont été testées positives au Covid-19 et le nombre de décès dépasse les 120 000 dans le monde. Les mesures de distanciations sociales semblent porter leurs fruits avec un ralentissement de la progression du virus en Europe et même aux Etats-Unis qui devient le pays le plus touché. Reste certains pays émergents qui inquiètent comme la Turquie, l’Inde ou le Brésil qui pourraient voir les nouveaux cas et nombre de décès progresser rapidement.
    L’Europe et les Etats-Unis se projettent désormais dans les stratégies de déconfinement et il semble que le retour à une activité normale ne puisse être envisagée avant des mois, voire des trimestres.

    QUEL POURRAIT-ÊTRE LE COÛT ECONOMIQUE DE CETTE CRISE SANITAIRE ?
    L’exercice est rendu encore plus difficile par la nature du choc inédit ainsi que le calendrier et les modalités de sortie du confinement. A mesure que le confinement s’étend, les prévisions concernant l’importance de la récession s’aggravent.  Pour 2020, le FMI anticipe une récession de plus de 7,5% pour l’Europe, de 5,9% pour les Etats-Unis et de 3% au niveau mondial. Pour 2021, ce dernier prévoit une croissance de +4,7% pour l’Europe et les Etats-Unis et de 5,8% au niveau mondial. 

    Une chose est sure, le monde sera en récession profonde. Selon les systèmes sociaux nationaux et l’ampleur des politiques de soutien, les dettes publiques amortiront plus ou moins le choc mais les ménages et les entreprises ne seront pas épargnés.

    QU’EN EST-IL DES BANQUES CENTRALES ?
    Les banques centrales sont allées au-delà des actions prises lors des précédentes crises. Des mesures spectaculaires ont notamment été initiées par la Fed qui a augmenté son programme d’achat sur le marché secondaire (« secondary market corporate credit facility »). L’investissement initial de 20 milliards de dollars sur les programmes primaires et secondaires a été ainsi augmenté à 75 milliards de dollars1

    -    Les obligations notées BBB-/Baa3 au 22 mars 2020 et dont les notations se sont dégradées à BB-/Ba3 sont désormais éligibles aux achats de la Fed. 

    -    Les ETFs High Yield, initialement exclus, sont désormais éligibles si l’objectif du fonds est d’avoir une exposition aux marchés des obligations High Yield américaines. Cette annonce, bien qu’elle n’élimine pas les risques de défaut des sociétés américaines fragiles (B et CCC) reste très positive pour le marché du crédit en éliminant le risque majeur de dégradation des émetteurs BBB (« fallen angels ») et cantonnera une hausse généralisée des taux de défaut.

    UN MARCHE HIGH YIELD SOUS TENSION
    Les actifs risqués sont fortement pénalisés par la crise actuelle et en particulier le marché du High Yield très dépendant des données macroéconomiques et du niveau de solvabilité des émetteurs. Les spreads sur l’indice High Yield Global  se sont écartés de plus de 400 pbs depuis début février. Les marchés émergents et américains ont été plus significativement impactés avec un écartement des spreads de l’ordre de 430 pbs et 550 pbs respectivement. Par ailleurs, les émetteurs les moins bien notés (B et inférieur) ont été naturellement plus touchés avec notamment un écartement des spreads de plus de 500 pbs pour le « B » contre 380 pbs pour le « BB ».  

    L’inversion des courbes, avec la hausse anticipée des taux de défaut, a également accentué la sous-performance des obligations court-terme par rapport aux émissions plus longues. Cette inversion des courbes s’applique également aux émetteurs BB et Investment Grade.
    Récemment, l’annonce de la banque centrale américaine de procéder à des achats de dettes High Yield a provoqué un rebond significatif des valorisations.

    1 Source : FMI, avril 2020

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    news-1964 Tue, 14 Apr 2020 18:30:15 +0200 Avis aux actionnaires de La Française LUX – Multistrategies Obligataires (le « compartiment ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-multistrategies-obligataires-le-compartiment-1/ Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer temporairement un swing pricing au Compartiment avec effet à compter du 15 avril 2020 (la « Date d'entrée en vigueur ») et jusqu'à nouvel ordre. 1. Raisons de l'application du swing pricing
    L'environnement de marché actuel est sans précédent, avec des liquidités sévèrement impactées et une forte contraction de la liquidité (notamment sur certaines obligations), entraînant pour les prix des instruments négociés par le Compartiment un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs.

    Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d'administration a décidé d'appliquer un mécanisme de swing pricing au Compartiment, tel que précisé ci-dessous.

    2. Informations pratiques
    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.

    Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 2 %. Le niveau du swing pricing est fixé à 5%.

    L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus
    nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.

    Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

    Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (Key Investor Information Documents, « KIID ») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais.

    Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.

    Le prix des actions est publié en Belgique dans L’Echo et De Tijd et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services Luxembourg, 60 Avenue J.F. Kennedy, L- 1855 Luxembourg et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-1963 Tue, 14 Apr 2020 18:30:15 +0200 Avis aux actionnaires de La Française LUX – Multistrategies Obligataires (le « compartiment ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-multistrategies-obligataires-le-compartiment/ Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer temporairement un swing pricing au Compartiment avec effet à compter du 15 avril 2020 (la « Date d'entrée en vigueur ») et jusqu'à nouvel ordre. 1. Raisons de l'application du swing pricing
    L'environnement de marché actuel est sans précédent, avec des liquidités sévèrement impactées et une forte contraction de la liquidité (notamment sur certaines obligations), entraînant pour les prix des instruments négociés par le Compartiment un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs.

    Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d'administration a décidé d'appliquer un mécanisme de swing pricing au Compartiment, tel que précisé ci-dessous.

    2. Informations pratiques
    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.

    Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 2 %. Le niveau du swing pricing est fixé à 5%.

    L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus
    nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.

    Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

    Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (Key Investor Information Documents, « KIID ») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais.

    Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.

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    news-1961 Tue, 14 Apr 2020 18:23:04 +0200 Avis aux actionnaires de La Française Lux– Multi Asset Income (le « compartiment ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-multi-asset-income-le-compartiment/ Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer temporairement un swing pricing au Compartiment avec effet à compter du 15 avril 2020 (la « Date d’entrée en vigueur ») et jusqu'à nouvel ordre. 1. Raisons de l'application du swing pricing
    L'environnement de marché actuel est sans précédent, avec des liquidités sévèrement impactées et une forte contraction de la liquidité (notamment sur certaines obligations), entraînant pour les prix des instruments négociés par le Compartiment un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs.

    Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d’administration a décidé d'appliquer un mécanisme de swing pricing au Compartiment, tel que précisé ci-dessous.

    2. Informations pratiques
    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.

    Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 3 %. Le seuil de swing swing est fixé à 5%.

    L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.

    Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

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    news-1956 Tue, 14 Apr 2020 16:55:06 +0200 Avis aux actionnaires de La Française Lux – JKC Asia Bond 2023 (Le « compartiment ») /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-de-la-francaise-lux-jkc-asia-bond-2023-le-compartiment/ Nous vous écrivons pour vous informer de la décision du conseil d'administration de la Société (le « Conseil d'administration ») d'appliquer temporairement un swing pricing au Compartiment avec effet à compter du 15 avril 2020 (la « Date d'entrée en vigueur ») et jusqu'à nouvel ordre. 1. Raisons de l'application du swing pricing
    L'environnement de marché actuel est sans précédent, avec des liquidités sévèrement impactées et une forte contraction de la liquidité (notamment sur certaines obligations), entraînant pour les prix des instruments négociés par le Compartiment un écart important entre les prix réels et ceux affichés par les fournisseurs.

    Dans ces circonstances exceptionnelles, et dans le but de préserver au mieux les intérêts des actionnaires du Compartiment et d'assurer leur traitement équitable, le Conseil d'administration a décidé d'appliquer un mécanisme de swing pricing au Compartiment, tel que précisé ci-dessous.

    2. Informations pratiques
    Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.

    Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 5%. Le seuil de swing swing est fixé à 1%.

    L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.

    Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.

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    news-1951 Thu, 09 Apr 2020 17:10:19 +0200 La Française : Des bases Immobilières saines et de solides atouts pour traverser la crise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-des-bases-immobilieres-saines-et-de-solides-atouts-pour-traverser-la-crise/ Alors que nous terminons la quatrième semaine de confinement, nous comprenons chaque jour un peu plus, mais sans encore les mesurer précisément, quels seront les effets économiques de cette crise. Bien que la faible visibilité, ne serait-ce que sur la durée du confinement, invite à la prudence, nous vous proposons au-travers de cette 3e lettre d’information immobilière de nous focaliser sur les produits que vous plébiscitez. Nous aborderons les points-clés de composition et de performance de ces véhicules, notamment leur situation locative, leurs valeurs et leur taux d’occupation avant l’irruption du Covid-19.
     
    Vous découvrirez que ces produits s’appuient sur des bases immobilières solides, leur permettant de faire face à la crise que nous traversons, et nous semblent parmi les mieux adaptés au contexte économique.
     
    LES SOLIDES POINTS D’APPUI DES SCPI 

    A bien des égards, la situation du marché de l’immobilier d’entreprise en général, et des SCPI plus précisément, était particulièrement favorable en ce mois de mars 2020.
     
    L’immobilier, en tant que classe d’actifs, offre une prime de risque élevée par rapport au taux sans risque, et surtout en contrepartie d’une volatilité des prix très modérée. A ce jour, le taux de rendement des bureaux Paris QCA est de 3% pour une OAT 10 ans proche de 0%. La prime de risque de près de 300 points de base est donc supérieure d’environ 100 points de base à sa moyenne historique de 200 points de base, permettant le cas échéant de pouvoir amortir une variation des taux longs.
     
    Précisément, pour cette prime de risque attractive, mais aussi pour sa capacité à produire des distributions régulières de revenus, l’immobilier est particulièrement recherché par l’ensemble des investisseurs, petits et grands, français et étrangers. Le premier trimestre 2020 a confirmé cet engouement, qui s’était traduit par une collecte brute record de 9,7 milliards d’euros sur les SCPI en 2019.
     
    Dans un contexte de taux d’intérêts qui n’auront d’autre choix que de rester bas dans les prochaines années, il y a lieu de penser que cette originalité de l’investissement immobilier va perdurer. Aussi, si le deuxième trimestre devrait vivre un rythme de collecte différent, nous pensons que la collecte SCPI se rétablira progressivement sur les trimestres suivants.
     
    Dans cette période de forte collecte, le marché de l’investissement a logiquement été très actif. Les taux de rendement immobiliers étaient orientés à la baisse mais sans remettre en cause la notion fondamentale de prime de risque. Aussi, les expertises du patrimoine ont progressé, mais de manière relativement mesurée dans les SCPI (entre 1% et 4% en moyenne en 2019). Dans une démarche prudente, nous avons répercuté, en ce début d’année 2020, cette hausse dans les prix de souscription en valorisant la moitié de nos SCPI d’environ 2%.
     
    En termes locatifs, le marché des bureaux présente des fondamentaux sains en ce début d’année. La demande locative est ferme, plébiscitant les locaux neufs en localisation centrale. L’offre neuve est en progression, mais reste sous contrôle et cohérente avec l’évolution qualitative de la demande. La vacance locative a logiquement reculé et les taux d’occupation physiques de nos SCPI ont progressé en 2019 de +1,9 point pour atteindre 92,5% en fin d’année.
     
    La forte diversification des localisations, des secteurs et des locataires est une caractéristique majeure de l’investissement SCPI et de nos portefeuilles en particulier. Nous avons en outre choisi de recentrer nos investissements Bureaux sur des bureaux neufs ou très récents situés dans les plus grandes métropoles et les centres villes. Nous avons accéléré fortement et depuis plusieurs années les arbitrages pour alléger les portefeuilles sur les immeubles anciens et les localisations périphériques. Nous avons également fortement accru notre sélectivité sur le secteur des commerces en diminuant légèrement l’exposition globale, aujourd’hui autour de 15% et concentrée sur des actifs de qualité. À ce jour, nos véhicules bénéficient d’une exposition diversifiée aux différents secteurs immobiliers, reflétant bien la composition du marché français et européen.
     
    L’analyse complète de notre base de locataires, effectuée par nos équipes, confirme son importante diversification et sa majorité de grands utilisateurs, avec une proportion de TPE/PME contenue à 30% environ.
     
    Le recours à l’effet de levier, nécessaire pour conserver un niveau de performance correct dans un environnement de taux très bas, est resté modéré avec un taux moyen d’endettement sur les SCPI de l’ordre de 20% (sauf politique d’investissement spécifique de la SCPI).
     
    Les taux de distribution des SCPI de La Française se situent entre 4% et 5% en ayant constitué, avec des niveaux variables entre les SCPI, des réserves distribuables notamment grâce aux plus-values de cessions dégagées.
     
    La crise du Covid-19 oblige à beaucoup de modestie sur les prévisions que nous pourrions établir pour les prochains trimestres. Pour autant, il est raisonnable de conclure que le marché immobilier dans son ensemble et les SCPI en particulier abordent cette période perturbée avec une situation de départ saine.
     
    Durant ces dernières années, la politique suivie par La Française REM a visé à développer les SCPI en recentrant les portefeuilles sur les localisations et les immeubles les plus « core ». Sans préjuger de l’avenir, nous pensons que cette stratégie basée sur la recherche d’un couple rendement/risque prudent est un facteur supplémentaire de résilience de nos SCPI.
     
    Nous tenions tout d’abord à vous remercier de vos partenariats fidèles, certains depuis 3 décennies et vous formuler deux souhaits : que vous et votre entourage soyez préservés et que cette pause imposée soit la plus courte possible. Soyez assuré de notre engagement à vos côtés, tant dans la meilleure gestion des produits que par la disponibilité de l’intégralité de nos équipes. 
     

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    news-1949 Mon, 06 Apr 2020 11:15:44 +0200 Avis : Fonds « Oblicontext 2023 M » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-oblicontext-2023-m/ Nous informons les porteurs du fonds « Oblicontext 2023 M » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec seuil de déclenchement. La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 7 avril 2020.

    Les autres caractéristiques du fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « Oblicontext 2023 M » disponible sur ce site

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    news-1948 Mon, 06 Apr 2020 11:04:22 +0200 Avis : Fonds « Oblicontext 2021 M » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-oblicontext-2021-m/ Nous informons les porteurs du fonds « Oblicontext 2021 M » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec seuil de déclenchement. La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 7 avril 2020.

    Les autres caractéristiques du fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « Oblicontext 2021 M » disponible sur ce site.

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    news-1944 Thu, 02 Apr 2020 14:02:19 +0200 Quel pourrait être le coût économique de cette crise sanitaire ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-marche-gestion/ Les plans de relance des gouvernements et des Banques Centrales ont permis d’éviter la dislocation des marchés
  • La liquidité reste cependant un enjeu majeur et pèse sur les valorisations
  • Nous maintenons la prudence sur les marchés actions et émergents et privilégions les obligations d’entreprises Investment Grade et subordonnées bancaires
  • ÉTAT DES LIEUX DU COVID-19

    A ce jour, la situation sanitaire évolue sans grande surprise. Même si le doute est permis sur le réel bilan de l’épidémie en Chine, il semble que l’Europe, Italie et Espagne en tête, répliquent correctement ce que l’on connait de l’expérience chinoise. Les Etats-Unis se préparent désormais avec plus de réalisme à subir le pic de l’épidémie dans les deux prochaines semaines.

    QUEL POURRAIT ÊTRE LE COÛT ECONOMIQUE DE CETTE CRISE SANITAIRE ?

    Pour les économistes, le temps est venu de l’évaluation du coût de la crise, de ses impacts sur le bilan des banques et celui des entreprises, secteur par secteur, et bien entendu sur les déficits publics. Ces estimations, ainsi que l’impact sur les ménages via le taux de chômage, sont à modéliser en fonction des stimulus budgétaires déjà annoncés ainsi que des amortisseurs sociaux qui varient énormément d’un pays à l’autre. Les scénarios convergent vers une récession mondiale en 2020 malgré un rebond économique vigoureux entre avril et juillet, selon la levée du confinement de chaque pays. Les prévisions s’établissent entre -2,7% et -4,5% pour la zone Euro, -2% et -6,4% pour les US, entre +1,5% et 0% pour la Chine ce qui nous amène à une croissance négative mondiale en 2020 de l’ordre de -2,5% en moyenne.1
    D’un point de vue politique en zone Euro, la rapidité des engagements budgétaires a été salutaire mais on peut regretter la nouvelle occasion manquée de la zone Euro d’afficher une véritable cohésion. Nous prévoyons que les programmes de relance aillent au-delà des annonces récentes et nous ne pouvons qu’espérer une action conjointe d’envergure qui puisse marquer un tournant dans la coordination européenne.

    QU’EN EST-IL DES BANQUES CENTRALES ?

    L’intervention des Banques Centrales aura été efficace pour éviter la dislocation totale des marchés. Ils demeurent évidemment fragiles et la liquidité reste très faible sur la majorité des classes d’actifs, de celles réputées les moins liquides jusqu’à certains marchés de dette gouvernementale, comme la dette italienne ou espagnole sur lesquelles des transactions de quelques millions d’euros se révèlent encore difficiles à exécuter.

    QUEL POSITIONNEMENT ADOPTER ?

    Après le choc, la période qui s’ouvre sera tournée sur la valorisation de chaque classe d’actifs en fonction des conséquences spécifiques de la crise. Il nous semble aujourd’hui que le rebond des marchés d’actions, qui aux Etats-Unis a largement dépassé les points bas de décembre 2018, est exagéré. Nous continuons d’être également prudents sur les pays émergents sur qui de nombreux facteurs négatifs continueront de peser. Nous privilégions sur le marché du crédit, le segment de la dette subordonnée bancaire ainsi que l’Investment Grade sur lequel le marché primaire se réouvre et offre de réelles opportunités, comme cela s’était produit en janvier 2009 lors de la sortie de la crise financière.

    Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 1er Avril 2020

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    news-1943 Thu, 02 Apr 2020 11:37:16 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux situé dans le 17e arr. de Paris (75) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-situe-dans-le-17e-arr-de-paris-75/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de SCOR Investment Partners, un immeuble de bureaux situé dans le 17ème arrondissement de Paris, sur le boulevard du Fort-de-Vaux entre la Porte d’Asnières et la Porte de Clichy. Son emplacement en bordure du périphérique lui confère une excellente visibilité.  Livré en 2004 et entièrement rénové en 2011, l’immeuble développe 10 495 m² et comprend de nombreux services dont un RIE et une salle de fitness. Il est entièrement loué, pour une durée ferme de 6 ans, à un locataire unique reconnu et spécialisé dans la distribution de matériel électrique.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier suivantes : Epargne Foncière, Eurofoncière 2, Multimmobilier 2 et LF Grand Paris Patrimoine.

    Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Oudot et Associés et le Cabinet Jeantet. 

    SCOR Investment Partners a été conseillé par l’office notarial Etude LEXFAIR.  Les deux parties ont été assistées par Stratégies & Corp.

    La Banque Européenne du Crédit Mutuel qui a financée l’acquisition, a été conseillée par l’office notarial Victoires Notaires Associés et le Cabinet Archers. 

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1939 Tue, 31 Mar 2020 14:52:00 +0200 À quoi ressemblera le monde post-Covid-19 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-quoi-ressemblera-le-monde-post-covid-19/ Le rallye boursier de la fin de l’année 2019 s'est brutalement interrompu quelques semaines seulement après le début de l’année 2020, lorsque l'enthousiasme lié aux attentes d’une normalisation politique et économique a été anéanti par la propagation d'un nouveau coronavirus. Du jour au lendemain, le Covid-19 a mis à l’arrêt l'économie chinoise dans un premier temps, puis le reste du monde par la suite. Au moment où nous écrivons, près de 3 milliards de personnes1 sont en confinement, plus d'un demi-million ont été officiellement testées positives2 et plus de 24 000 sont décédées3.

    Aucune vaccination ou médicament efficace à un stade précoce n'est en vue. Le marché a réagi avec une rapidité historique en raison de l'ampleur de la crise sanitaire ainsi que du manque de visibilité concernant sa durée. La réponse des banques centrales et des gouvernements a également été sans précédent : des moyens littéralement illimités sont mis en œuvre pour soutenir tous les leviers des économies de la planète. Les niveaux des taux d'intérêt ont été poussés encore plus bas et ont donc renforcé l'attractivité à long terme du marché des actions. Malgré la gravité de la crise et le manque de visibilité concernant sa durée, nous pensons avoir identifié certains secteurs qui pourraient bénéficier de la crise actuelle et du monde post-Covid-19.

    Le graphique ci-dessous illustre la surperformance relative des entreprises écologiquement viables pendant la récession

    Les sociétés à forte intensité carbone sous-performent à l’échelle mondiale (en excluant le secteur de l’énergie)


     

    Source: Inflection Point by La Française. 23 Mars 2020. Le facteur carbone est défini comme l'intensité carbone = émissions de carbone Scope 1 & 2 en tCO2e divisé par les revenus en euros. Dans chaque super-secteur ’’ ICB’’, nous prenons les sociétés dont l'intensité carbone se situe dans le top 10% et les comparons au reste du marché. MSCI ACWI hors secteur pétrole & gaz.

    Bien que nous ne puissions pas encore être sûrs de l'impact de la crise sur la performance à long terme, cette première constatation est encourageante et corrobore nos conclusions selon lesquelles la durabilité et la prise de conscience des enjeux climatiques jouent un rôle important en influençant les valorisations des actions.

    Achevé de rédiger par Nina Lagron, CFA, Responsable de la gestion actions, le 26 mars 2020

    1 Source: The New York Times, March 26,2020. 2 Source: Forbes, March 26,2020. 3 Source: BBC, March 27, 2020

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    news-1938 Tue, 31 Mar 2020 10:00:00 +0200 Un nouveau fonds action La Française obtient le Label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-carbon-impact-2026-labellise-isr/ La Française, acteur responsable, propose un nouveau fonds à échéance bas-carbone bénéficiant du Label ISR (Investissement Socialement Responsable) Soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France le 20/12/2019, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. 

    Ainsi, quatre fonds gérés par La Française AM et intégrant les capacités de recherche extra-financière de son centre « Inflection Point by La Française », figurent parmi la liste officielle du ministère des finances des 362 fonds labellisés ISR (données disponibles au 31/01/2020, www.lelabelisr.fr) :

    • LA FRANÇAISE CARBON IMPACT 2026
    • LA FRANÇAISE INFLECTION POINT ACTIONS EURO
    • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT EURO
    • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL

    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, conclut, « L’obtention de ces labels démontre une nouvelle fois, l’engagement de La Française à participer aux efforts qui visent à diriger des capitaux vers le financement de la transition énergétique. Avec Inflection Point by La Française, nous nous sommes donnés les moyens de concevoir une méthodologie d’analyse ESG innovante et adaptée à chaque classe d’actifs afin de proposer à nos investisseurs institutionnels et particuliers, une gamme diversifiée de solutions réellement pertinentes. » 


    Le label ISR distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ».

    Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :

    • les objectifs généraux du fonds, 
    • la méthodologie d’analyse et de notation des critères ESG (Environnemental, Sociétal, Gouvernance), 
    • l’interprétation de ces derniers dans la stratégie d’investissement du fonds, 
    • la politique d’engagement ESG, 
    • la transparence de gestion, 
    • et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.
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    news-1937 Fri, 27 Mar 2020 17:05:25 +0100 La Française et l’investissement responsable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-et-l-investissement-responsable/ par Roland Rott, Directeur général d’Inflection Point par La Française & Perrine Dutronc, Conseillère en investissement responsable groupe La Française .    En quoi les critères ESG enrichissent-ils l’analyse financière ? 
    Les critères ESG complètent l’analyse financière en ce qu’ils apportent un éclairage différent à l’exercice d’évaluation d’une entreprise... Ils mettent en lumière les problématiques environnementales, sociales et de gouvernance, généralement occultées dans l’analyse financière traditionnelle. Ils enrichissent l’analyse à trois égards : (I) ils s’inscrivent dans une optique de long terme, (ii) ils permettent de mesurer l’impact des externalités et des évolutions réglementaires et (iii) ils offrent un cadre permettant d’évaluer les actifs incorporels comme le capital humain, la fidélité des clients ou la valeur de la marque. Selon le secteur ou la société concerné(e), ces critères supplémentaires peuvent altérer substantiellement le résultat de l’analyse financière et entraîner par exemple une révision, à la hausse ou à la baisse, des prévisions de chiffre d’affaires, des hypothèses de marges, de la valorisation de l’actif ou du taux d’actualisation.

    .    Quelles conséquences aura la nouvelle réglementation européenne applicable aux sociétés de gestion et aux investisseurs ? 
    La nouvelle réglementation, si elle s’applique à tous les pays de l’Union européenne (UE), harmonisera les règles du jeu entre les différents acteurs et garantira une acception commune des concepts de finance durable, d’activités vertes et de fonds d’investissement socialement responsable (ISR).  Toutefois, de nombreux pays essaient d’imposer des définitions nationales pour influencer la réglementation applicable à l’échelle de l’UE. Il est à espérer que la définition finale permettra de clarifier les choses et de définir une approche harmonisée, mais ce n’est pas ce que nous constatons actuellement. Nous convenons de la nécessité d’harmoniser les règles au niveau de l’UE, mais nous sommes conscients des conséquences indésirables que cela pourrait avoir. En effet, cela pourrait freiner l’innovation et alourdir le fardeau réglementaire qui pèse sur les sociétés de gestion et les investisseurs.

    .    Les sociétés de gestion seront-elles tenues d’investir une partie de leur encours dans des investissements ESG ? 
    Les sociétés de gestion ne seront pas obligées d’investir une partie de leur encours sur la base de critères ESG, mais il y a fort à parier que leurs clients les exhorteront à agir en ce sens et que les autorités réglementaires leur demanderont de rendre des comptes si elles décident de ne pas prendre en compte les critères ESG.

    .    Quel sera l’impact de l’investissement socialement responsable sur l’univers de l’investissement au cours des cinq prochaines années ?
    L’investissement responsable peut avoir un impact fondamental en ce qu’il réorientera les capitaux vers les secteurs nécessaires au fonctionnement d’une économie bas carbone, au détriment des secteurs à forte intensité de carbone. Le changement climatique est le sujet crucial sur lequel l’investissement socialement responsable pourra avoir un impact quantifiable.  Prendre en compte les critères ESG dans les décisions d’investissement et leur accorder une grande importance favorisera la transition dont nous avons besoin. Par conséquent, nous pensons que le secteur de l’investissement adoptera massivement l’investissement responsable pour rester utile à la société. La crise sanitaire actuelle est un point d’inflexion important et immédiat qui aura des conséquences à l’échelle mondiale. L’investissement responsable permet de mieux évaluer l’impact future  des externalités négatives qui doivent être prises en compte lorsque l’on évalue la stratégie d’une entreprise.
     

    Avertissement
    Ce commentaire s’adresse aux investisseurs non professionnels au seul sens de la directive MIF II. Il n’est fourni qu’à titre informatif et instructif. Il ne constitue en aucun cas une prévision, une étude scientifique ou un conseil d’investissement, et ne saurait être interprété comme tel. Il ne s’agit en aucun cas d’un conseil d’investissement, d’une invitation ou d’une recommandation incitant à investir dans un produit ou instrument particulier ou à adopter une stratégie d’investissement spécifique. Les performances passées ne présagent pas des résultats futurs. Les avis exprimés par La Française reposent sur la configuration actuelle des marchés et sont susceptibles d'être modifiés sans préavis. Ces avis peuvent être différents de ceux d'autres professionnels de l'investissement. Ce document a été publié par La Française AM Finance Services, une filiale de La Française, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006, Paris, et opérant en tant que prestataire de services d'investissement sous la supervision de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, sous le numéro d'immatriculation 18673 X. Inflection Point de La Française Ltd, une société de droit anglais immatriculée sous le numéro 08773186.

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    news-1935 Fri, 27 Mar 2020 11:18:46 +0100 COVID 19 : analyse du marché immobilier & impact sur nos fonds /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/covid-19-analyse-du-marche-immobilier-impact-sur-nos-fonds/ En ce début de printemps 2020, l'actualité se résume à l'irruption du COVID-19 dans la vie de chacun d’entre nous. La crise sanitaire globale s’est transformée en choc économique mondial, touchant tous les pays, toute la population et tous les agents économiques. Le cas chinois semble montrer que ce choc dure environ un trimestre et que son ampleur est très forte, à la hauteur de la baisse soudaine de quantité de travail qui en Chine avoisine 40% sur les deux premiers mois de 2020 par rapport à la même période de l'année précédente.

    Dans une économie mondialisée, financiarisée et fortement interdépendante, nous imaginons mais ne mesurons pas encore vraiment les effets de cette crise. On peut cependant constater que les mesures budgétaires prises en France et dans la zone euro pour l'amortir sont immédiates et a priori à la hauteur des enjeux : la règle du déficit public maximum à 3% du PIB est relâchée et les garanties de salaires et d'emprunts pour les entreprises sont de l'ordre de 10% du PIB.

    Le caractère largement inédit de cette crise invite à la plus grande prudence sur ses effets et développements futurs. Dans une démarche de transparence et de responsabilité envers vous, nous avons choisi de vous livrer notre vision des effets que nous anticipons sur les différents secteurs d’investissements immobiliers. Dans une perspective complémentaire, plus au contact du terrain, nous vous informons des discussions que nous entamons avec les entreprises locataires en tentant de vous donner, encore une fois au meilleur de notre visibilité actuelle, notre première anticipation des impacts sur les SCPI gérées par la Française REM.

    Les semaines et mois qui viennent vont être difficiles à plus d’un titre. Chaque crise agit généralement comme un catalyseur de changements structurels profonds. Anticiper ces mutations et déterminer les meilleures stratégies d’adaptation sont au coeur de toutes les préoccupations des équipes immobilières de La Française.

    Marc Bertrand,
    Président de La Française REM

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    news-1932 Thu, 26 Mar 2020 15:55:23 +0100 Avis : « Conservateur Rendement 2022 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-conservateur-rendement-2022/ Nous informons les porteurs du fonds « Conservateur Rendement 2022 » que la société de gestion, La Française Asset Management, a estimé qu'il était dans l'intérêt des porteurs de prolonger la période de commercialisation du fonds de 6 mois afin de continuer à profiter des opportunités qu'il présente. Le fonds sera par conséquent fermé à la souscription le 30 septembre 2020 et non plus le 31 mars 2020. 

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 mars 2020.  

    Les autres caractéristiques du fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « Conservateur Rendement 2022 » 
     

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    news-1931 Thu, 26 Mar 2020 13:59:38 +0100 Il n'y a pas de Planète B /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/il-n-y-a-pas-de-planete-b/ Une crise sanitaire mondiale avec une vitesse de propagation exponentielle, dont la temporalité et la profondeur sont inconnues, et cela dans un monde globalisé tant sur le plan des activités économiques que des marchés financiers : une seule certitude, la situation que nous vivons n’a jamais connu d’équivalent, et tout ce qui peut être dit ou fait pourra s’avérer exact… ou faux en fonction de paramètres sanitaires, puis politiques, aujourd’hui inconnus. Concrètement, la notion de flight-to-quality n’a, cette fois-ci, qu’imparfaitement fonctionné, le Bund allemand ayant également dévissé devant la crainte des déficits budgétaires et le soutien "bazooka" de la BCE mis en place. Ceci laisse à penser que la politique de taux longs à zéro pourrait se terminer faute d’appétit des investisseurs. Il faut peut-être dès lors retenir l’acceptation de refuge comme le lieu où se rassemblent des gens d’une même catégorie, où ils se sentent acceptés… le refuge devient ainsi temporaire et relatif… il en est donc des marchés financiers comme de la santé.

    Cette crise majeure nous fait vivre en accéléré le scénario que nous pensions voir se réaliser sur les 15 prochaines années. Rappelons-le, lorsque les climatologues nous interpellaient dans les années 2000 sur les conséquences du réchauffement climatique en 2100, la sensibilité des décideurs politiques et économiques était proche de zéro, la préférence pour le présent étant "humainement, économiquement et politiquement" dominante ; une valeur actuelle, pour parler mathématique, proche de 0 : (1 + 3 %)ˆ-100 = 5 % [3 % étant le taux de rendement nominal de très long terme]. Depuis la COP21, les climatologues ont réussi à convaincre les politiques de l’urgence climatique en évoquant 2030, soit une valeur actuelle qui passe de 5 % à 65 % soit (1 + 3 %)^-15. De cette accélération brutale de la valeur actuelle, soit par prise de conscience "éthique", soit par simple anticipation de nouvelles règles du jeu en cours d’élaboration, les acteurs économiques (dans une majorité de plus en plus importante) intègrent ces paramètres dans leur stratégie : transition énergétique et transition écologique (relocalisation, circuits courts etc.) deviennent incontournables. Rappelons-le, le coût de cette transition, au-moins dans sa dimension carbone, est estimé par le GIEC à 50 € la tonne de CO2, soit 2 000 Mrds € d’investissements par an, équivalent à 2 % du PIB mondial ! Ce qui nous a fait dire que, pour permettre ce financement, les taux d’intérêt longs seraient administrés pour rester bas pendant un minimum de 5 ans et plus probablement pendant une durée proche de 10 ans, le temps que les premiers investissements commencent à être rentables et que l’inflation pointe son nez (la mondialisation ayant eu comme effet bénéfique de réduire très fortement le concept de Price maker). Dans le même esprit, dans les pays développés le désordre social engendré par la mondialisation questionne de plus en plus les démocraties et les actions "S" de l’ISR et de l’ESG paraissent bien timides pour résoudre les inégalités devenues parfois insupportables (en 40 ans les prix à la consommation ont augmenté de x 3,5, le SMIC x 4… mais l’immobilier résidentiel x 10 dans les zones tendues et le MSCI total x 33).

    Dans une logique d’arbitrage entre le rendement économique à court terme dans un environnement compétitif donné et la durabilité, les deux problématiques majeures pour les entreprises sont l’organisation d’une nouvelle supply chain partiellement "déglobalisée" et plus largement une complexité à définir un nouveau cadre à la notion de productivité et d’efficience du capital dès lors que la finalité de l’Entreprise n’est plus uniquement le profit.

    Si ce n’est sa soudaineté et son universalité, la crise sanitaire s’inscrit dans la même logique d’externalité qui dans le cas présent n’avait jamais été prise en considération dans les raisonnements économiques, dans les équilibres financiers comme dans les agendas politiques…. Et sa valeur actuelle est de 100 !

    Le scénario du pire doit être envisagé, ne serait-ce que parce qu’en tant qu’hypothèse, il sera pris en compte dans les décisions gouvernementales pour l’éviter. Concrètement, sur les deux premiers trimestres de 2020, la production mondiale va s’effondrer de 30 à 40 % et si les 3e et 4e trimestre se reprennent, la production mondiale sera en baisse de 20 % sur l’ensemble de l’année.

    Quelle que soit la durée et l’ampleur de cette crise sanitaire, on peut sans grand risque affirmer que "quoi qu’il en coûte" non seulement les Etats et les Banques Centrales joueront leur rôle pour soutenir leurs populations et leurs économies mais également que les modèles économiques et sociaux seront revus en profondeur. De l’urgence climatique qui engendrait des arbitrages complexes entre l’urgence "relative", son coût, la perte de compétitivité entre concurrents nationaux comme internationaux plus ou moins sensibles à cette nécessité (de par leur règlementation nationale, cf. les climato-sceptiques et autres Trump), il parait désormais certain que la prise en compte des externalités sanitaires sera d’une toute autre ampleur et remettra en cause les modèles "de l’ancien monde".

    J’ai peur de la table rase, mais aussi de son contraire : que la peur passe en vain sans laisser de trace derrière elle. " Paolo Giordano (Contagions)

    S’il est très probable que les mesures pour assurer la liquidité seront efficaces, la question de la solvabilité se posera ensuite : quid des commandes et des fonds propres des entreprises alors que, paradoxalement, les efforts généralisés de soutien peuvent bénéficier à des passagers clandestins, i.e. notamment des entreprises ou secteurs qui n’auraient plus de sens dans ce nouveau monde entrainant une forte inflation et in fine une crise sociale et politique majeure.

    Les réponses sont massives tant de la part des Banques Centrales que des Etats mais la question fondamentale qui se pose est de savoir jusqu’où nos économies s’organiseront différemment à la sortie de cette crise ?

    Accepterons-nous l’idée, qu’une fois la crise sanitaire passée, nous changerons d’ère et que nous entrerons dans une économie de guerre où comme au début des années 40 aux Etats-Unis l’appareil productif doit être structurellement réorienté : l’augmentation des dépenses de santé qui était considérée comme une mauvaise nouvelle et celle de l’augmentation des ventes de voiture une bonne ne serait plus la bonne équation ? alors que les soldats qui sont au front sont ceux qui ont la valeur ajoutée la plus importante ?

    Le "S" de l’ESG intègre désormais le Sanitaire : si nous avions souvent du mal à quantifier mathématiquement le S de l’ESG, il est clair que désormais ce critère sera prépondérant dans l’approche au même titre que l’Environnement.

    Cependant si cette crise sanitaire crée une chute instantanée et mondiale tant de la demande que de l’offre et s’il est probable que l’organisation mondiale de la surconsommation ne sera pas reproduite, la question essentielle qui se pose est de savoir par quoi elle sera remplacée.

    Si aujourd’hui tous les gouvernements (et les Banques Centrales) adoptent une politique de soutien de leurs économies par le biais de politiques budgétaires et/ou monétaires hors normes, tous les pays ne sont pas durablement en situation de le faire, notamment à l’intérieur de l’Europe où de nombreux Etats, et non des moindres, étaient déjà en surendettement.

    Cette nouvelle économie privilégiera le Sanitaire : la santé, les services qui vont autour, l’alimentation, l’hygiène, l’éducation, l’intelligence artificielle et d’une manière plus générale le nomadisme virtuel (plus que physique)… ce qui suppose de convertir lorsque cela est possible, comme en économie de guerre, une partie des industries… et en revalorisant le modèle social aux bénéfices de ces populations.

    La question du S pour Solidaire devient la question primordiale !
    Dans une vision optimiste, même si elle est souhaitée par le secrétaire général de l’OCDE et de nombreux économistes, on peut espérer que les Etats mettent en place un Green New Deal et un Plan Marshall mondial dans une logique de solidarité pour la mise en place du nouveau monde "de relocalisation et de décarbonation" et même si aujourd’hui nous sommes incapables de chiffrer le coût de cette adaptation (y compris la socialisation des conséquences financières de la crise), il existe deux différences fondamentales par rapport aux crises précédentes : il n’y a pas eu de destructions physiques et, la crise n’étant pas d’origine financière ou économique, si la crise sanitaire ne dure pas trop longtemps, la majorité des Etats aura réussi à limiter la casse en terme de faillites d’entreprises. Le coût de la relance serait important mais ponctuel, resterait celui, colossal, de la transformation des modèles économiques et sociaux.

    Dans une approche à ce stade malheureusement plus réaliste, on peut raisonnablement penser que post crise sanitaire, les plans de relance seront très nationalistes avec une très forte priorité au court terme, considérant, largement à tort, que le problème du réchauffement climatique est partiellement réglé du fait de la chute de la consommation, des modifications de comportements des acteurs et des relocalisations qui auront lieu. La démondialisation, déjà questionnée, va forcément s’accélérer, mais les réponses seront souvent nationales pour soutenir les économies locales (y compris nationalisation des compagnies aériennes et autres secteurs clés pour l’emploi, selon les pays). De nombreux Etats déjà surendettés, vont utiliser dans les mois qui viennent leurs dernières cartouches pour soutenir leur population à court terme, globalement le "système" sortira encore plus épuisé. En Europe, la position "nationaliste" de l’Allemagne qui annonce son plan de relance et refuse, jusqu’à présent, la mise en place d’un plan Marshall / New Deal à l’échelle de l’Europe en est l’illustration.

    Il est vrai que les différences de systèmes sociaux selon les pays ne peuvent qu’inciter, au moins dans un premier temps, à des traitements différenciés : la France a un système de protection fort (chômage y compris chômage partiel), alors qu’à l’autre extrême des pays développés, le chômage aux USA va passer de 3 à 20 % de la population active avec une faible protection… et une forte augmentation des ventes d’armes car il faut bien se nourrir…

    Il est bien évidemment trop tôt pour savoir entre l’utopie et la dystopie de quel côté va pencher la balance. Dans le meilleur des cas, le choc de la crise sanitaire crée un effet d’entrainement salutaire sur le long terme avec une forte réorientation de nos économies dans une logique où les externalités négatives (sanitaire, environnementales et sociales) sont prises en compte dans l’organisation du fonctionnement de l’économie mondiale (relocalisation, décarbonation) ; dans le pire des cas, l’égoïsme national l’emporte, l’Europe et sa monnaie unique éclatent, les taux d’intérêt longs montent fortement faute d’investisseurs de long terme, le court-termisme a épuisé les ressources financières et la planète continue de se réchauffer, certes plus lentement du fait d’une récession (plus ou moins) mondiale durable qui résulte de l’ensemble de ces paramètres, mais inexorablement.

    Entre ces deux extrêmes, ce qui reste le plus probable, il faut espérer que la transition économique qui va avoir lieu ait suffisamment d’impacts pour que le retard que l’on prendra dans la transition environnementale soit supportable car en cas de crise environnementale… nous n’avons ni Etats, ni Banque Centrale… ni Planète B.

    La réponse est donc largement dans les mains des Etats, des Banques Centrales (mais aussi des populations) et singulièrement de leur capacité à adopter une forme de solidarité qui est dans un premier temps apparemment moins optimum pour l’Etat qui soutient les autres ; autrement dit de leur capacité ensemble à investir sur le moyen terme. Les exemples ont historiquement existés sur des problématiques de long terme mais rarement sur celles de court terme (y compris récemment sur l’achat des masques de protection…).

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    news-1930 Wed, 25 Mar 2020 17:56:05 +0100 Et maintenant ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/et-maintenant/ Bien qu’il soit difficile d’évaluer dès à présent les impacts économiques d’un confinement à l’échelle mondiale, dont on n’en connait d’ailleurs pas encore la durée, les économistes commencent désormais à établir des prévisions de croissance pour estimer le degré de contraction de l’activité. Une chose est sure, à la crise sanitaire majeure que le monde connait succèdera une récession mondiale sur l’année 2020.  Les questions vont maintenant s’articuler autour de l’amplitude de la récession et de la forme de la reprise espérée.

    A la différence des précédentes crises, les gouvernements et les banques centrales ont réagi rapidement et fortement à l’instar de la BCE, avec son programme de rachat d’actifs de 750 milliards d’euros, et de la Fed, avec son programme de « Quantitative Easing » sans limite de taille. Les débats s’ouvriront bientôt sur le coût de cette crise, sur la soutenabilité de la dette et sur le traitement de ces déficits au caractère totalement exceptionnel.
     
    Les marchés ont bien évidemment pris la mesure du défi auquel le monde doit faire face. L’ensemble des classes d’actifs a été impacté et le travail d’allocation d’actifs n’en n’a été rendu que plus complexe, tandis que le manque de liquidité est parfois venu compliquer le travail des gérants d’actif. Nous allons devoir affiner progressivement nos prévisions économiques pour pouvoir ajuster la valorisation des classes d’actifs dont certains paramètres ont radicalement changé.

    CRISE HISTORIQUE … PLANS DE RELANCE HISTORIQUES

    L’économie mondiale est à l’arrêt et nul ne sait combien de temps cette situation perdurera. Les économistes tentent actuellement d’adapter leurs prévisions de croissance à ce nouvel environnement hautement incertain, et le choc qui se profile aujourd’hui parait inédit. Certaines banques d’investissement prévoient pour le deuxième trimestre une contraction de -25 à -30% de l’économie américaine en rythme annualisé1, une baisse deux à trois fois supérieure à la pire baisse enregistrée dans toute l’histoire américaine. On peut tout à fait imaginer que l’Europe connaisse un choc équivalent de l’ordre de 20%. Ces chiffres sont impressionnants, avec des effets sans doute encore plus importants dans les industries les plus touchées comme le sport (-80%), les hôtels (-75%) ou encore le transport aérien (-44%, source IATA). La récession mondiale n’est aujourd’hui plus une possibilité, mais une quasi- certitude.

    Les autorités, d’abord mesurées dans leurs réponses, ont, depuis la semaine dernière, semblé prendre la mesure de l’enjeu qui se trouve devant nous. Quelles sont ces réponses ?


    1.    Réponses monétaires


    Les banques centrales ont mis en place des mesures qui nous rappellent les moments les plus difficiles de 2008 :

    • La BCE a mis en place un programme de rachat d’actifs de 750 milliards d’euros ; ce programme, nommé PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) pourra, de plus, voir sa taille augmenter si nécessaire, malgré les réticences allemandes et néerlandaises. Il pourra aussi dévier du « capital key » et ajuster ses propres contraintes si besoin. Si on ajoute à cela la possibilité pour les pays de faire appel à l’OMT2  (avec moins de contraintes qu’auparavant), l’action de la BCE nous parait crédible et le signal est puissant quant à la capacité d’action pour tout pays en « stress fiscal »3.
       
    • La Fed a baissé ses taux directeurs à 0-0.25% (soit une baisse de 150bps depuis le début du mois) et a tout d’abord annoncé reprendre son programme de « Quantitative Easing » via des achats de 700 milliards de dollars d’obligations d’Etat américain, pour ensuite rendre ce programme « open ended », c’est-à-dire sans limite de taille. La Fed a par ailleurs remis en place différents programmes de mécanismes de prêts afin de réduire les risques portant sur l’économie (CPFF (commercial papers), PDCF (primary dealers), etc..). Enfin, et peut être le plus important, la Fed a procuré des lignes de swap quasi infinies à toutes les banques centrales afin de faire face à une demande de dollar exponentielle4
       
    • Les autres principales banques centrales ont mis en place des actions du même ordre, en baissant leurs taux et / ou en augmentant leurs programmes de rachats d’actifs (Angleterre, Suisse, Japon, etc.…).

    De manière générale, après une période de flottement, ces annonces montrent que les autorités monétaires feront tout pour que le système parvienne à survivre : apport de liquidités et assouplissement des conditions de financement, pour les banques, les Etats et indirectement les entreprises.

    2.    Réponses budgétaires


    Les gouvernements ont annoncé des mesures budgétaires jamais vues auparavant ; si on peut regretter l’absence d’une réponse européenne coordonnée, tous les pays européens ont cependant dit être prêts à tout pour soutenir leur économie et accorder de multiples aides aux entreprises pour qu’elles survivent. Et ce constat est le même de l’autre côté de l’Atlantique ou de la Manche. Si ces annonces ne sont pas encore finalisées ou définitives, elles paraissent tout du moins montrer que les gouvernements ont saisi l’ampleur du défi touchant nos économies. Revenons sur certaines de ces annonces :

    • Etats-Unis : Depuis le 13 mars, le gouvernement américain a pris différentes mesures pour lutter contre la baisse de la croissance à venir : Déclaration de l’état d’urgence (50 milliards de dollars), délais de paiement des impôts (300 milliards de dollars de crédit) et, dernièrement, un accord aurait été trouvé au Sénat sur un plan de relance budgétaire massif selon un conseiller de la Maison Blanche. Ce plan devrait être signer par la Chambre des Représentants rapidement et les dernières informations évoquent 2000 milliards de dollars (soit 10% du PIB) de soutien à destination à la fois des ménages et des entreprises. Nous ne sommes pas loin de ce qui est appelé « helicopter money », surtout si l’on considère que le Trésor pourrait émettre des obligations à 50 ans (du jamais vu) pour financer cette relance, et que la Fed en sera sans doute le principal acheteur5
       
    • Allemagne : Impensable jusqu’ici, les allemands ont pourtant annoncé dernièrement des mesures importantes. Le ministre des finances Olaf Scholz a dit prévoir un budget de crise de 150 milliards d’euros, soit environ 4.4% de son PIB6.  
       
    • France : Il est très difficile de chiffrer l’ensemble des mesures annoncées, mais elles sont très substantielles : plan de relance de 45 milliards d’euros, délais pour les cotisations sociales, baisse d’impôts, garantie des prêts des PME, etc…7 

    Il est probable que d’autres plans de relance voient le jour dans les semaines qui viennent, avec un mantra qui semble partagé par la grande majorité de nos gouvernements : « quoi qu’il en coûte ».
    Il nous est impossible de savoir quel sera le futur de cette crise, mais ces différentes actions auront des impacts à long terme pour l’ensemble des marchés financiers, impacts qu’il nous faut avoir en tête afin de pouvoir analyser correctement l’état actuel de ces marchés. 

    1 Source : Bureau of Economic Analysis, mars 2020 ex: Goldman Sachs -24%, BofAML -25%, Morgan Stanley -30%
    2 OMT : Opérations Monétaires sur Titres
    3 Source BCE, mars 2020
    4 Source Fed, mars 2020
    5 Source Bloomberg, mars 2020
    6 Source Bloomberg, mars 2020
    7 Source Bloomberg, mars 2020

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    news-1929 Wed, 25 Mar 2020 17:07:55 +0100 Quels sont les entreprises ou les secteurs qui pourraient profiter de la pandémie de coronavirus ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quels-sont-les-entreprises-ou-les-secteurs-qui-pourraient-profiter-de-la-pandemie-de-coronavirus/ Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, La Française AM 1.- Quels sont les entreprises ou les secteurs qui, selon vous, pourraient profiter de la pandémie de coronavirus ?

    Nous pensons que l'effet le plus important se fera sentir dans le secteur de la technologie, car la digitalisation va jouer un rôle majeur dans le monde de l'après-Covid-19.
    Nous pensons que les hyperscalers, les opérateurs de centres de données, les concepteurs de logiciels d'infrastructure de communication, les entreprises spécialisées dans la cybersécurité, les fournisseurs de jeux en ligne et autres fournisseurs de divertissements en streaming, l'apprentissage en ligne ainsi que les entreprises proposant de reproduire des activités de plein air en intérieur seront les principaux bénéficiaires de la période de confinement actuelle. 

    2.- En quoi en profiteront-ils ?

    La crise sanitaire actuelle aura des conséquences durables sur l’organisation du travail. Dans la période de confinement actuelle, les entreprises sont obligées de mener leurs activités en recourant presque exclusivement au télétravail. Jusqu’à récemment, dans de nombreux pays, le télétravail restait une pratique marginale.
    Dans un contexte marqué par le prolongement de la période de confinement, il conviendra de développer des infrastructures de logicielles plus intégrées et plus personnalisées pour faciliter la communication et la collaboration au sein des entreprises.
    Nous pensons que la sortie du confinement se fera de manière très lente et progressive et que les entreprises continueront à recourir au télétravail pendant plusieurs mois après la fin de la période de confinement. Si ce mode de fonctionnement parvient à prouver sa résilience en période de crise, les entreprises autoriseront peut-être les salariés ayant demandé à travailler de chez eux à continuer à télétravailler.
    Les concepteurs de logiciels permettant le travail collaboratif enregistreront une croissance forte, qui devrait être durable.
    Le télétravail devenant la nouvelle norme, la demande pour de l’espace de stockage « cloud » va augmenter, ce qui devrait profiter aux hyperscalers et aux opérateurs de centres de données.
    La cybersécurité deviendra de plus en plus importante dans cette configuration de travail à domicile, dans la mesure où la totalité des échanges d’informations à lieu par le biais d’applications en ligne.
    Les amateurs de jeux vidéo découvrent actuellement les jeux en streaming et il y a fort à parier que la transition vers le streaming et les jeux en ligne va s’accélérer, et que ce secteur enregistrera une forte croissance à moyen terme.
    L’adoption des applications numériques s’accélère également dans le secteur du divertissement : les livres, podcasts, livres audio téléchargeables et évidemment le streaming vidéo profitent d’une conjoncture particulièrement porteuse. Nous pensons que la plupart des personnes ayant souscrit un abonnement à un site de streaming pendant la crise le conserveront par la suite, par souci de confort et après une expérience utilisateur concluante.

    Avertissement
    DOCUMENT A CARACTERE PROMOTIONNEL DESTINE AUX CLIENTS NON PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce communiqué ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leur évolution. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer d’autres sociétés de gestion. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.

     

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    news-1923 Wed, 25 Mar 2020 08:58:24 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » de la SICAV « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2028-plus-de-la-sicav-la-francaise/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec seuil de déclenchement pour ce compartiment. La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 26 mars 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site www.la-francaise.com.

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    news-1917 Mon, 23 Mar 2020 13:35:08 +0100 Avis : Fonds « La Française Rendement Global 2022 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-fonds-la-francaise-rendement-global-2022/ Nous informons les porteurs du fonds « La Française Rendement Global 2022» que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec seuil de déclenchement. La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 24 mars 2020.

    Les autres caractéristiques du fonds demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2022» 

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    news-1913 Mon, 23 Mar 2020 09:12:17 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-2/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » que la société de gestion, La Française Asset Management, a décidé de mettre en place un mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative liée au « swing pricing » avec seuil de déclenchement. La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 24 mars 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur le site www.la-francaise.com.

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    news-1911 Fri, 20 Mar 2020 13:48:50 +0100 Au-delà du brouillard /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/au-dela-du-brouillard/ S’astreindre dès aujourd’hui à prendre du recul pour construire l’après-crise. Comme pour les crises précédentes, les temps que nous traversons actuellement ne sont pas forcément propices à la prise de risque. Nous pensons néanmoins que l’effort doit être fait pour analyser froidement les valorisations et identifier les opportunités qui, nous le savons tous, lorsqu’elles peuvent être saisies dans ces périodes troubles, constituent souvent le socle des performances de demain.

    Certains marchés ont des airs de capitulation : Les valorisations des dettes Additional Tier 1 (CoCos) nous semblent ainsi particulièrement faibles au regard des fondamentaux.

    Sans sous-estimer les impacts économiques majeurs de cette crise, les programmes de relance annoncés par les gouvernements et les dispositifs mis en place par la Banque centrale européenne sont de nature à rassurer. Les annonces de la BCE le 18 mars en sont une preuve supplémentaire. Le temps n’est plus à la main invisible, mais bien à l’interventionnisme pour relancer au plus vite l’économie et le secteur bancaire est clairement l’axe de transmission vers l’économie réelle qu’il nous faudra préserver à tout prix.

    Les banques européennes ont la particularité d’évoluer depuis plus d’une décennie dans un contexte réglementaire hautement prudentiel, qui a massivement privilégié la solidité des bilans au détriment des actionnaires. Fortes de fonds propres gigantesques, elles présentent également une gestion du risque nettement plus prudente qui ne laissera aucune place au fameux « hasard moral », si les institutions devaient renforcer les mesures de soutien.

    La classe d’actifs des dettes subordonnées bancaires est ainsi clairement notre conviction sur le marché du crédit en raison de leurs valorisations et d’un risque de crédit extrêmement faible sur le secteur.

    Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 18 mars 2020

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    news-1909 Thu, 19 Mar 2020 10:14:41 +0100 Innovations alimentaires /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/innovations-alimentaires/ Partout dans le monde, les inquiétudes liées au coronavirus incitent les consommateurs à faire le plein de provisions alimentaires. Malgré toute l’attention portée aux détaillants de produits alimentaires, il est important de noter que l’industrie de l’alimentation n’a réalisé que peu d’innovations dans le domaine entre 1992 et 2017. Mais en 2017, l’acquisition de Whole Foods par Amazon a renversé la tendance : les commerces de détail alimentaire de toute taille améliorent désormais leurs technologies et exploitent au maximum le pouvoir d’Internet.

    • L'achat en ligne de produits alimentaires et de plats préparés devrait considérablement augmenter au cours des prochaines années. Le rachat de Whole Foods par Amazon, a provoqué un électrochoc dans l’industrie, incitant les enseignes de la grande distribution, qui disposaient de magasins physiques, à innover pour espérer survivre.
    • L'une des principales initiatives est le « click & collect », qui permet aux consommateurs de commander en ligne ou via une application mobile, et de récupérer, à l’entrée du supermarché, leurs articles déjà mis en sac. Selon nos recherches, dans les magasins ayant adopté ce service, jusqu’à 8 % des ventes sont réalisées grâce au « click & collect », et la moitié provient de nouvelles enseignes. Les enseignes existantes se lancent également dans la livraison à domicile.
    • De son côté, Amazon travaille sur deux nouvelles initiatives de l’industrie alimentaire. Amazon Ultrafast propose une livraison des produits alimentaires sous une à deux heures. Le groupe détient par ailleurs 26 épiceriesAmazon Go aux États-Unis ; leur taille est plus modeste et elles ne nécessitent pas de passage en caisse. Pour payer, les clients peuvent simplement scanner leur application et choisir les articles dont ils ont besoin.
    • Cette nouvelle vague d’innovations représente un avantage considérable pour les consommateurs. Pour les investisseurs, les ventes en ligne de denrées alimentaires apportent leur lot d’opportunités, mais aussi d’incertitudes. Historiquement, la réussite des entreprises dans ce domaine s’est traduite, entre autres, par une hausse de l’immobilier et du commerce. Pour les années à venir, elle dépendra vraisemblablement des innovations. De notre point de vue, les perdants seront ceux qui ne parviendront pas à innover rapidement ; à l’inverse, les entreprises qui lanceront des produits et services destinés à faciliter le quotidien des consommateurs devraient tirer leur épingle du jeu.
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    news-1906 Tue, 17 Mar 2020 11:18:00 +0100 Covid-2019 – Communication Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/covid-2019-communication-groupe-la-francaise/ Les récentes mesures prises par plusieurs pays européens dans la lutte contre le Covid-19 et l'annonce faite hier soir par le Président Emmanuel Macron marquent une nouvelle étape dans la crise. Par cette communication, La Française souhaite faire part à ses investisseurs et partenaires de son engagement à fournir des services de gestion d'actifs de qualité sans interruption.

    Conformément à nos obligations et à nos normes professionnelles, La Française dispose d'un Plan de Continuité d'Activité qui a fait l’objet de mises à jour et de tests réguliers. De plus, tous les employés de La Française bénéficient aujourd’hui de l’équipement nécessaire pour travailler depuis leurs domiciles dans les meilleures conditions possibles.

    Ainsi depuis ce jour, tous les employés du Groupe travaillent à distance.

    Grâce à une organisation informatique et cybersécurité en permanence upgradée, nous sommes aujourd’hui en mesure d'assurer la continuité de nos activités de gestion d'actifs en dépit de conditions actuelles de marché troublées.

    Pendant cette période singulière, les méthodes de communication à distance restent la seule option. Tous vos interlocuteurs La Française restent à votre disposition pour toute information. Les numéros de téléphone restent inchangés et en fonction.

    Soyez assurés que la Française est plus que jamais mobilisée et continuera à prendre toutes les mesures nécessaires à la poursuite de ses activités. 

    Nous vous adressons, ainsi qu'à vos proches, nos meilleures salutations, et vous souhaitons, en ces temps agités, santé et sérénité.
     

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    news-1905 Wed, 18 Mar 2020 10:53:07 +0100 Confrontation de la gamme Multihabitation reprogrammée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/confrontation-de-la-gamme-multihabitation-reprogrammee/ Communication en raison du cas de force majeure lié au contexte actuel. En raison du cas de force majeure lié au contexte actuel et afin de traiter tous les ordres d’achat et de vente quant à leur enregistrement chronologique sur les carnets d’ordre, nous vous informons que la confrontation trimestrielle concernant la gamme de nos SCPI MULTIHABITATION sera reprogrammée selon l’évolution de la situation.

    Le service client se tient à votre disposition au 01 44 56 10 53. En vous remerciant de votre compréhension.

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    news-1903 Tue, 17 Mar 2020 18:09:54 +0100 COVID-19 : la gestion de la liquidité est une priorité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/covid-19-la-gestion-de-la-liquidite-est-une-priorite/ Face au développement de l’épidémie, l’Europe se confine
  • Les économies seront au ralenti
  • Les marchés financiers au bord de la rupture
  • Les banques centrales et les Etats seront au chevet de l’économie mondiale mais il est trop tôt pour savoir si ces réponses seront suffisantes 
  • Dans cet environnement complexe, la gestion de la liquidité est une priorité
  • EN TERRITOIRE INCONNU…
    Les gouvernements et les citoyens occidentaux sont clairement entrés en territoire inconnu. L’Europe a mis quelques semaines à réaliser qu’elle allait vivre l’expérience inédite d’un confinement sévère, à l’échelle d’une grande partie de sa population. La bataille sanitaire pour maitriser la diffusion du virus et contenir le bilan humain n’a pas d’autre alternative. 

    QUELLES RÉPERCUSSIONS ?
    Les marchés financiers encaissent un choc à la hauteur des incertitudes économiques actuelles. L’économie sera quasiment à l’arrêt pendant des semaines et les impacts sur la croissance, sur les ménages et sur les entreprises sont extrêmement difficiles à estimer.

    SOMMES-NOUS DANS UNE CRISE SIMILAIRE A CELLE DE 2008 ?
    Cette crise est radicalement différente mais elle entrainera elle aussi une récession mondiale. Les réponses politiques et financières de la semaine passée et de ce week-end ne nous permettent pas d’affiner nos chiffres sur ce point, mais nous pouvons en revanche avoir confirmation de l’engagement des États et des banques centrales dans la gestion de cette crise économique. Ces dernières, parfois tâtonnantes sur la forme, rappelleront rapidement que leurs interventions n’ont pas de limite en termes de taille.

    D’autres part, les mesures de soutien à l’économie annoncées par les grands pays européens sont déjà importantes, d’autres viendront et nous savons d’ores et déjà que les budgets nationaux vont être massivement mis à contribution pour compenser les effets récessifs de cette crise. 

    Comme dans toute situation inédite, les incertitudes sont majeures pour l’économie. Les marchés financiers doivent en tenir compte et il en résulte une volatilité très importante. Mais les marchés se préoccupent également du risque de liquidité, qui peut parfois être plus dangereux que le risque économique lui-même. La combinaison de ces deux risques implique une visibilité très faible sur les marchés financiers, quelles que soient les classes d’actifs considérées.

    Pour notre part, au-delà de l’objectif immuable de protéger la performance de nos fonds, nous portons aujourd’hui une attention toute particulière, sur l’ensemble de notre gamme, à ce risque de liquidité.

    Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 16 mars 2020

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    news-1902 Tue, 17 Mar 2020 15:55:36 +0100 COVID-19 Les équipes de La Française sont opérationnelles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/covid-19-les-equipes-immobilieres-de-la-francaise-sont-operationnelles/ La crise sanitaire du COVID-19 est désormais d’ampleur mondiale, elle touche tous les pays, toute la population et tous les agents économiques. Les dispositions de prévention de la propagation évoluent quotidiennement. En tant qu’entreprise responsable, La Française a comme première priorité de contribuer par son comportement à freiner l’épidémie en cours. La deuxième priorité est d’assurer la continuité d’activité de l’entreprise et le maintien d’une relation de confiance avec les clients que sont ses investisseurs, ses partenaires mais aussi ses locataires.

    Quelles dispositions a pris La Française pour assurer la poursuite de son activité pendant toute la durée de la crise ?
    Au cours des dernières années, La Française a largement développé le télétravail de ses collaborateurs et dématérialisé ses principaux processus de souscription et de gestion. Le Groupe a ainsi été le premier à proposer une souscription 100% dématérialisée. Disposant du socle technologique et humain pour rester opérationnel et adaptable, La Française a graduellement augmenté son niveau de précautions sanitaires en encourageant le travail à distance et réduisant drastiquement les déplacements. Ce fonctionnement distant nécessite d’adapter certaines habitudes de travail mais l’ensemble des fonctions de gestion des SCPI et OPCI est assuré de manière normale et sécurisée.

    Quel impact aura cette épidémie sur l’immobilier et notamment sur les fonds gérés par La Française ?
    Le fonctionnement proprement dit des fonds n’est pas impacté par cette crise. La comptabilité, la distribution trimestrielle, la fiscalité annuelle, les assemblées générales… tous ces processus vont se poursuivre de manière quasi normale.
    Il est prévisible que les montants de collecte vont se contracter, mais nous vous confirmons que les souscriptions et demandes de retrait, lorsqu’elles seront transmises par voie digitale, seront enregistrées et traitées normalement.
    Concernant les investissements et les arbitrages, nous prévoyons que la situation actuelle va ralentir le rythme des transactions immobilières et leur signature, sans toutefois les stopper. Les SCPI et OPCI gérés par La Française ayant globalement investi la totalité de leur collecte 2019, ce ralentissement simultané de la collecte et des investissements ne devrait donc pas peser significativement sur la performance.
    Les transactions locatives vont certainement être ralenties, à la fois dans le rythme des locations mais aussi celui des congés. Les travaux de remise en état vont également être retardés. Ces phénomènes restent cependant peu volumineux et ne vont pas significativement impacter les résultats de l’année 2020.
    Les propriétaires d’immobilier commercial continueront à être protégés par des baux de long terme. La majorité des actifs détenus par le Groupe La Française, et notamment par ses SCPI, sont des immeubles de taille significative loués à des entreprises de taille importante. Bien entendu, certaines entreprises de plus petite taille pourraient rencontrer des difficultés suite au ralentissement économique observé. Les mesures massives de soutien annoncées par le gouvernement devraient permettre de soutenir l’économie en général et ces petites entreprises en particulier.
    Nous avons normalement et régulièrement encaissé le premier trimestre de loyers. L’encaissement du deuxième trimestre de loyers commencera début avril. Dans cette phase délicate pour les entreprises, nous pensons primordial d’adopter une démarche responsable vis-à-vis des clients que sont les locataires. Nous rechercherons ainsi l’équilibre entre l’exigence contractuelle découlant du bail et l’accompagnement individualisé de la situation des locataires sous forme, par exemple, de délais de paiements. A cet égard, la mesure gouvernementale annoncée le 16 mars visant « La suspension des factures d’eau, de gaz, d’électricité et de loyers pour les petites entreprises les plus en difficulté… » nous paraît justifiée sur le principe. Nous préférons néanmoins que la liberté de négociation commerciale entre bailleur et locataire soit respectée et convenir de modalités d’application adaptées à chaque situation.
    Ainsi, nos véhicules d’investissements immobiliers pourraient être provisoirement impactés en cas de support à apporter aux locataires, de légers décalages dans les programmes d’investissements ou de relocations. Mais la politique de gestion de la Société, notamment la constitution de réserves sur la majorité de nos SCPI, pourra venir soutenir la distribution en 2020.

    Quel impact aura cette crise sur le secteur immobilier ? À plus long-terme ?
    Il est évident que l’épidémie de COVID-19 n’a pas qu’un impact sanitaire sur nos concitoyens et notre pays. Les conséquences sont également visibles sur l’économie et spécialement sur les marchés financiers qui ont réagi lourdement au rapide développement de l’épidémie dans les pays occidentaux. Les prévisions de croissance mondiale ont ainsi été revues fortement à la baisse mais il reste difficile de mesurer l’ampleur des conséquences sur l’économie.
    Face à cette réalité, il est important de rappeler que l’immobilier reste un investissement de long terme, dont l’horizon de placement est au moins de 10 ans. A cette échelle, si l’on se fie à l’exemple chinois où l’épidémie a atteint son pic au bout de 3 mois et où le nombre de nouveaux cas diminue quotidiennement, l’immobilier ne devrait être que peu touché à long terme. Il est important de rappeler que lors des dernières crises financières (à commencer par celle de 2008), les taux de distribution des SCPI n’avaient pas été impactés par ces phénomènes financiers.
    Nous pouvons en revanche sans trop de risque d’erreur affirmer que ces difficultés économiques anticipées vont conduire les États à assouplir encore leur politique budgétaire et maintenir, voire accentuer ou a minima prolonger, leur politique de taux bas. Ce contexte de taux bas reste un facteur positif pour la valorisation de l’immobilier qui devrait donc, par un couple risque/rendement équilibré, maintenir son attractivité comparativement aux autres classes d’actifs.
    La crise que nous connaissons est de nature et d’ampleur inédite. La gestion et la résolution de cette crise repose sur un comportement collectif responsable et solidaire, tant du point de vue de la gestion sanitaire que des impacts économiques.
    C’est dans cet esprit que les équipes de La Française s’organisent et adaptent leurs actions pour assurer la continuité de gestion et de services aux distributeurs, investisseurs mais aussi aux quelque 6 000 locataires qui occupent les 4 millions de m² de notre patrimoine.

    Nos équipes, intégralement organisées en télétravail pour la période à venir, ont à cœur de maintenir le même niveau de service et restent bien évidemment à votre disposition.
     

    Marc Bertrand,
    Président de La Française REM

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    news-1898 Thu, 05 Mar 2020 09:48:49 +0100 Priorité à l’innovation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/priorite-a-l-innovation/ Quelles devraient être les priorités des investisseurs dans l’évaluation des investissements en actions ? Les résultats électoraux ? La politique de la Fed ? Les guerres commerciales ? Il semblerait que la stratégie d'investissement la plus efficace consiste à identifier les entreprises les plus innovantes. les entreprises innovantes enregistrent des performances régulières

    Selon les données, les innovations s'accélèrent dans de nombreux pans de l’économie. En conséquence, de nouveaux produits et services font leur apparition dans la société à vitesse grand V et chamboulent les entreprises à un rythme plus soutenu. Les entreprises qui investissent le plus dans la recherche et le développement parviennent à surperformer.

    • Les entreprises tournées vers le marché local, qui auraient dû bénéficier de la mise en place des barrières commerciales et de la réduction de l’impôt sur les sociétés sont en réalité restées en retrait.
    • Sur le long terme, il peut être plus intéressant d’investir dans l’innovation plutôt que d'axer sa stratégie en fonction de mesures politiques de court terme. À en juger l’histoire ces 150 dernières années, des domaines d’innovation et de croissance ont su apparaître même lors de périodes de récession, de dépression et de panique (voir Alger on the Money « The Resilience of Innovation »).
    • Les investisseurs auraient peut-être tout intérêt à se tourner vers des entreprises à la croissance stable sans se préoccuper de facteurs exogènes.
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    news-1895 Mon, 02 Mar 2020 14:40:00 +0100 Coronavirus : Déstabilisation des marchés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/epidemie-de-coronavirus-destabilisation-des-marches/ L’épidémie de Coronavirus auquel le monde est confronté a mis un coup d’arrêt au cycle boursier particulièrement favorable aux actifs risqués depuis fin 2018. Outre l’impact humain, cette crise aura un impact économique très fort à court terme mais la véritable clef pour élaborer des scénarios de marché sera la durée des freins portés à l’activité. Dans cet environnement troublé, il convient d’agir avec prudence et de privilégier les actifs liquides en attendant que le marché prenne pleinement en compte les impacts de cette épidémie.

    Les marchés financiers sont restés calmes tant que l’épidémie a été contenue sur le territoire chinois et ont brusquement décroché lorsque la dissémination mondiale est apparue inévitable. Au-delà du risque sanitaire, la réaction des marchés traduit les anticipations de baisse de la croissance mondiale et un ajustement massif des bénéfices d’entreprise.

    La nature de cette crise et son caractère inédit rendent compliquées les projections économiques et financières.

    Au-delà des développements d’ordre sanitaire, il existe aujourd’hui peu d’éléments économiques concrets sur lesquels s’appuyer :

    • Les premiers indicateurs économiques intégrant les effets de l’épidémie ont été publiés ce week-end. L’indice PMI chinois ressort ainsi à 35.7, bien en deçà des attentes mais surtout à des niveaux jamais vus depuis 2008. Il est en ligne avec un scénario sévère de contraction instantanée de la croissance chinoise. Probablement autour de -4%. 
    • Les indices PMI asiatiques publiés le 2 mars ne montrent pas d’effondrement. Ceci est toutefois dû au développement plus récent de l’épidémie et cela signifie donc que c’est au deuxième trimestre que nous enregistrerons le ralentissement de l’activité le plus marqué.
    • En Europe et aux Etats-Unis, les indicateurs ne reflètent pas encore les conséquences de l’épidémie. Il sera important d’y surveiller les composantes de production mais aussi celles des stocks et des délais d’approvisionnement.

    Les conséquences politiques de moyen terme pourraient être fortes, chaque gouvernement devra répondre de sa gestion de la crise et cette défense sera délicate quelle que soit sa qualité. Certains aspects politiques nous paraissent particulièrement impactants pour les marchés financiers :

    • Une action monétaire, éventuellement concertée de la part des banques centrales, notamment FED et BCE. Cela paraitra envisageable lorsque les informations d’ordre sanitaire commenceront à se traduire en données économiques concrètes. Les banques centrales pourront être efficaces face à toute disruption des marchés financiers avec des annonces ciblant la liquidité : nouveau TLTRO, relance des achats d’actifs et même baisse de taux. Pour autant, elles ne pourront en aucun cas éviter le ralentissement économique à venir.
       
    • Une réponse budgétaire significative. Cela parait plus long à mettre en œuvre dans des proportions significatives, notamment en Europe pour des questions de gouvernance. 
    • Enfin, les marchés pourraient réévaluer la probabilité de non-réélection de Donald Trump, jusqu’ici très faible. Certains chapitres des programmes démocrates pouvant alors nécessiter une prime de risque supplémentaire sur les marchés d’actions américains.

    Perspectives. La Chine est aujourd’hui très probablement en récession et il existe des scénarios crédibles de ralentissement mondial marqué ainsi que des incertitudes fortes sur la durée de ce ralentissement. Le scénario de croissance en forme de « U » avec une incertitude sur la dynamique de redémarrage est déjà projeté par certains industriels, comme BASF pour qui le ralentissement s’inscrit déjà dans le second trimestre 2020.

    Il nous semble que les marchés d’actions, et dans une moindre mesure les marchés obligataires, n’ont aujourd’hui valorisé qu’en partie seulement les dommages économiques et humains de la situation et qu’ils ne pourront obtenir de visibilité sur l’évolution de la situation avant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. 

    Dans l’intervalle, nous devons probablement nous attendre à des informations négatives, que ce soit à propos de la diffusion du virus ou bien de la tendance économique et cela ne devrait pas permettre aux marchés de rebondir durablement. Il convient donc probablement de rester prudent sur les actifs à risque.

    Il convient également de privilégier les actifs et les couvertures liquides. En effet, les rebonds de marchés baissiers sont souvent très violents et les annonces politiques pourront demander des ajustements rapides des expositions.

    Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 02 mars 2020

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    news-1894 Wed, 04 Mar 2020 10:06:06 +0100 Augmentation des prix de part pour 5 SCPI du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/augmentation-des-prix-de-part-pour-5-scpi-du-groupe-la-francaise/ La politique de gestion active de La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion du Groupe La Française, a démontré, une fois de plus, son efficacité. La sélection rigoureuse des investissements réalisés en France et en Europe conjuguée à la vente d’actifs matures ou non stratégiques a contribué à une hausse des valeurs de réalisation de toutes les SCPI du groupe. Pour cinq d’entre elles, cette bonne gestion se matérialise par une augmentation du prix de souscription de la part. Cette majoration prend effet au 1er mars et varie selon la SCPI de 1,46 % à 3,33%.

     

     

    Marc-Olivier PENIN, Directeur Général de La Française Real Estate Managers :


    « L’année 2019 a été riche en activité pour nos SCPI avec 1,2 Md€ de collecte, 1,5 Md€ en investissements et 330 M€ de cessions. La revalorisation des patrimoines de nos SCPI reflète avant tout la qualité de notre gestion, qui comprend la sélection des investissements bien entendu, mais également la gestion et la rénovation du parc immobilier existant pour répondre aux nouveaux enjeux de transition énergétique et d’usages des locataires utilisateurs. »

    SCPI d’entreprise :

    • Epargne Foncière : le prix de souscription augmente de 2,10 % allant de 810 € à 827 €, dont 62,03 € HT, soit 74,43 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,5 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur) ;
    • LF Europimmo : prix de souscription augmente de 1,46 % allant de 1 030 € à 1 045 €, dont 83,60 € HT, soit 100,32 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur) ;
    • LF Grand Paris Patrimoine : le prix de souscription augmente de 3,33 % allant de 300 euros à 310 €, dont 24,80 € HT, soit 29,76 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,60 % TTC au taux de TVA en vigueur) ;
    • Eurofoncière 2 : le prix de souscription augmente de 1,98 % allant de 252 € à 257 €, dont 20,56 € HT, soit 24,67 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,60 % TTC au taux de TVA en vigueur) ;
    • Pierre Privilège : le prix de souscription augmente de 1,55 % allant de 840 € à 853 €, dont 76,77€ HT, soit 92,12 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (9 % HT, soit 10,80 % TTC au taux de TVA en vigueur).

     

    Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. L’attention des investisseurs est attirée sur le fait que la SCPI peut recourir à l’endettement. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI.

     

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    news-1892 Tue, 03 Mar 2020 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux à Toulouse (31) dans le quartier Borderouge auprès de Keys REIM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-toulouse-31-dans-le-quartier-borderouge-aupres-de-keys-reim/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’un fonds géré par Keys REIM, le Skyline, un immeuble de bureaux, situé sur le boulevard André Netwiller dans le quartier Borderouge à Toulouse. Avec le métro situé au pied de l’immeuble et l’accès direct depuis la rocade, cet actif bénéficie d’une desserte exceptionnelle. L’immeuble se situe à 20 minutes en tramway de la gare TGV et à 15 minutes en voiture de l’aéroport de Blagnac. Livré fin 2018, l’immeuble de 2 164 m² est entièrement loué à 3 locataires avec une durée d’engagement ferme résiduelle d’environ 8 ans. 

    Certifié HQE Excellent, le Skyline vise une consommation énergétique de 97,67 kWhEP/m².an et des émissions de GES de 3 kgéqCO2/m², ce qui en fait un immeuble vertueux et participe pleinement à l’objectif de La Française REM de réduire les émissions de gaz à effet de serre produites par son parc immobilier.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1.

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Graf Notaires. Keys REIM a été conseillé par 1768 Notaires. Enfin les deux parties ont été conseillées par CBRE.


    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1890 Thu, 27 Feb 2020 10:00:00 +0100 LFIS lance une stratégie all-weather diversifiée de dérivés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lfis-lance-une-strategie-all-weather-diversifiee-de-derives/ Le nouveau fonds fait partie de la stratégie de croissance de LFIS et élargit son offre de produits Paris : Le 27 février 2020 – LFIS (2), le gérant d’actifs quantitatif parisien comptant 12 milliards d’euros d’encours sous gestion, annonce le lancement du fonds LFIS Vision - Global Derivatives Opportunities (le « Fonds »), une stratégie d'arbitrage diversifiée axée sur les produits dérivés et visant à tirer profit des dislocations sur les paramètres implicites afin de générer des rendements absolus.  

    Le Fonds s'appuie sur l'approche d'investissement de LFIS, qui combine l'analyse quantitative et qualitative, ainsi que sur une infrastructure d'investissement robuste et des modèles de valorisation propriétaires proches de ceux utilisés par les banques d'investissement. Il en résulte un fonds avec de multiples axes de diversification, au sein des différentes classes d'actifs, y compris les actions, les taux d'intérêt, les devises et les matières premières ; des zones géographiques, y compris les États-Unis, l'Europe et l'Asie ; et des instruments, y compris des options vanilles, des swaps de variance et divers instruments dérivés sur mesure. 

    GDO (l’acronyme sous lequel la stratégie est connue) a été lancé en réponse à la demande croissante des clients pour une solution exposée de manière pure aux stratégies de primes implicites présentes dans les fonds Premia de LFIS, pour lesquels la société compte un historique de performance robuste depuis 2013 et près de 5 milliards de dollars d'actifs. GDO cherche à générer des rendements stables avec une faible corrélation aux marchés traditionnels et une volatilité annualisée cible pouvant atteindre 10 % (dans des conditions de marché normales, il n'existe aucune garantie que le Fonds atteindra ses objectifs). Depuis son lancement en août 2019, le Fonds a enregistré une performance nette positive conforme à ses objectifs. 

    Yann Le Her, Associé et Gérant de portefeuille senior chez LFIS, commente : « Le lancement de GDO démontre notre engagement à répondre aux besoins de nos clients. GDO est une extension naturelle des capacités existantes de LFIS et vient s'ajouter à notre gamme de stratégies d'investissement innovantes visant à délivrer des rendements absolus. En tant que l'un des principaux acteurs de l’industrie sur la volatilité ayant fait ses preuves en matière de stratégies de produits dérivés, LFIS est particulièrement bien positionné pour fournir cette solution multi-actifs diversifiée. »

    LFIS Vision – Global Derivatives Opportunities est un fonds SIF offrant une liquidité mensuelle et disponible à la commercialisation en Europe, notamment en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Belgique, en Autriche, aux Pays-Bas, en Finlande, en Suède et au Portugal. Tout investissement dans le Fonds est soumis à des risques, y compris le risque lié au gérant d’actifs, le risque de perte, le risque de capital lié au recours à l'effet de levier et à l'investissement dans des produits dérivés et le risque de modèle. Ces risques ne sont pas exhaustifs. Pour plus d'informations sur les risques associés au Fonds, veuillez-vous reporter à la section Facteurs de Risque du Private Placement Memorandum (y compris le Supplément correspondant) disponible sur demande auprès de LFIS.

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    news-1889 Wed, 26 Feb 2020 10:55:00 +0100 La Française lance une nouvelle solution d'investissement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/2028/ Dans quel contexte de marché évoluons-nous?

    Le constat est clair, depuis maintenant plusieurs années et cela devrait perdurer, nous évoluons dans un environnement de taux bas avec près de 20% des actifs obligataires qui offrent un rendement négatif. N’oublions pas les banques centrales qui maintiennent inexorablement un discours accommodant et se tiennent prêtes à tout pour soutenir l’économie comme en attestent les trois baisses de taux successives de la Réserve fédérale américaine aux USA ou encore le nouveau programme d’achats d’actifs de la BCE pour près de 20milliards par mois. Pour pouvoir offrir du rendement, une prise de risque supplémentaire est nécessaire notamment au travers de classes d’actifs telles que les obligations dites spéculatives ou les subordonnées bancaires, ces titres offrant des rendements potentiellement plus attractifs.

    Comment évoluent les fonds flexibles dans ce contexte ?
    Ces solutions ont été pénalisées depuis de nombreuses années, les performances ne sont plus au rendez-vous en raison : 

    • du niveau des taux sans risque qui ne jouent plus leur rôle de protection dans des phases de forte baisse des marchés actions
    • des mauvais choix de gestion et de rotations importantes des portefeuilles

    Dans cette situation, investir sur les marchés High Yield et d’actions aurait été bien plus rémunérateur. A La Française, nous estimons que cet environnement devrait perdurer, c’est pourquoi dans une logique de besoins clients et de visibilité, nous avons lancé La Française Rendement Global 2028 PLUS, une nouvelle solution d’investissement combinant marchés obligataires et d’actions.

    Comment cela fonctionne t'il?
    Le fonds investi dans des obligations émises par des entités privées ou publiques qui génèrent des coupons. Ces derniers sont capitalisés sous forme d’enveloppe qui est ensuite investie de manière systématique, c’est-à-dire sans convictions gérant, sur les marchés actions mondiaux via des produits dérivés. 
    L’enveloppe investie sur les marchés actions est calibrée et elle est limitée aux seuls coupons attendus des titres détenus en portefeuille. La somme des coupons diminuant au cours de la vie du produit, l’exposition aux marchés d’actions sera logiquement dégressive.

    Dans une logique de préservation du capital, l’exposition aux marchés d’actions sera ajustée de manière trimestrielle et couplée à un mécanisme de prise de profits au-delà d’un certain niveau de performances des marchés actions. 

    Qu'attendre d'une telle solution en matière de performances ?
    3 scenarii sont possibles à l’échéance du fonds (décembre 2028)

    • Si la performance des actions est positive : l’investisseur bénéficiera d’un surplus de performance par rapport à un fonds à échéance classique.
    • Si la performance des actions est nulle sur la période : la performance du fonds sera quasi-identique à celle d’une solution à échéance classique.
    • Et enfin, si la performance des actions est négative : la performance sera légèrement inférieure à celle d’une solution à échéance classique*.

    Pourquoi choisir La Française Asset Management ?

    Nous sommes précurseurs dans les fonds à échéance et disposons de près de 20 ans d’expérience. Nous avons même été primés pour l’innovation que cela représentait lors du lancement de notre premier millésime**. Depuis, nous avons lancé près de 30 fonds et nous gérons près de 2 milliards d’euros d’encours sur ce type de stratégie.

    * La perte sur les marchés actions pourrait être compensée par le portage obligataire et les prix des titres qui tendraient vers leur valeur de remboursement

    **Les références à des classements et récompenses passés ne préjugent pas des classements ou des récompenses à venir. En fonction de la date d'édition, les informations présentées peuvent être différentes des données actualisées. ** Grand Prix de la Créativité – Le Journal de Finances 2002 

    La Française Rendement Global 2028 PLUS est un compartiment d’une Société d’Investissement à Capital Variable agréée le 14/08/2018 de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le compartiment a été agréé par l’AMF sous forme de SICAV le 30 août 2019.
    Société de gestion : La Française Asset Management – France – Agrément AMF GP 97-76 le 1er juillet 1997
    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org. ACPR www.acpr.banque-france.fr
    Commercialisateurs : La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce

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    news-1887 Tue, 25 Feb 2020 14:00:00 +0100 2019, année de croissance forte pour le Groupe La Française portée par l’immobilier et son développement international /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/2019-annee-de-croissance-forte-pour-le-groupe-la-francaise-portee-par-l-immobilier-et-son-developpement-international/ La Française enregistre une collecte de 5,6 milliards d’euros. Le Groupe affiche ainsi au 31/12/2019 plus de 69 milliards d’euros d’actifs sous gestion pour compte de tiers, et réaffirme les atouts de son modèle multi-boutiques pour répondre aux nouveaux enjeux de la gestion d’actifs. Une vision claire des enjeux actuels 

    Dans le contexte global de fortes mutations liées aux défis environnementaux et sociétaux, La Française a réaffirmé en 2019 son positionnement d’acteur responsable en structurant sa démarche autour de la création d’une direction transversale dédiée, preuve de son engagement à participer aux efforts internationaux qui visent à diriger des capitaux vers le financement de la transition énergétique et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. En qualité d’asset manager responsable, La Française est convaincue qu’il est indispensable d’intégrer ces changements majeurs. Ceux-ci sont autant d’opportunités de reconsidérer l’avenir, en identifiant de nouveaux leviers de performance, pour que l’épargne soit un moyen d’agir. C’est toute la démarche du Groupe La Française, rendue possible grâce à son centre de recherche extra-financière Inflection Point by La Française.

    Un ensemble cohérent d’expertises complémentaires : le modèle multi-boutiques

    Le Groupe débute 2020 avec une structure rationalisée, organisée autour de 2 piliers, l’immobilier et les actifs financiers. Il poursuit ainsi un développement ambitieux, grâce à une stratégie multi-boutiques assurant expertises complémentaires et solidité au Groupe, le tout leveragé par une plateforme innovation, qui vient fédérer les nouvelles activités identifiées comme des business clés de demain. Ainsi La Française, continuera à développer des solutions d’investissement sur ses expertises phares adaptées aux enjeux, et ses initiatives entrepreneuriales et innovantes telles que le développement de sa plateforme BtoC Moniwan ou encore Newtown Square et son concept d’eco-working.

    Xavier Lépine, Président du Directoire du Groupe La Française, conclut « L’année 2019 a été marquée par bon nombre de succès pour le Groupe La Française. Nous poursuivrons notre stratégie de développement en 2020, année qui s’annonce abondante en défis. Le contexte de taux bas, la réforme des retraites et la prise de conscience de la société civile des enjeux climatiques vont modifier fondamentalement l’industrie de la gestion d’actifs. La force de notre modèle, notre engagement ainsi que celui de nos collaborateurs en matière de responsabilité sociale et environnementale placent le Groupe La Française en bonne position pour répondre favorablement aux nouveaux enjeux.»

    Zoom sur les résultats du Groupe
    Une année record pour le pilier Immobilier
    Le pilier « immobilier » de La Française a collecté 3,7 milliards d’euros bruts en 2019, soit 16 % de plus qu’en 2018, portant ainsi le total de ses encours immobiliers à 23,6 milliards d’euros au 31/12/2019. 32 % de la collecte 2019 en immobilier proviennent d’investisseurs étrangers et principalement d’Asie.

    Le contexte de taux bas a agi en faveur des placements en immobilier. Le marché européen continue d’attirer les investisseurs institutionnels comme en témoigne la coacquisition de Crystal Park à Neuilly-sur-Seine avec Samsung Securities, la signature du joint-venture avec le CMNE et CPPIB (Canada Pension Plan Investment Board) pour le développement de la Foncière du Grand Paris ou encore le co-investissement dans D-Square au Luxembourg aux côtés d’investisseurs Sud-Coréens. Xavier Lépine souligne « Preuve de l’installation de La Française comme acteur incontournable pour les investisseurs étrangers : la Corée du Sud qui a été en 2019, le 2ème investisseur en France, a confié près de la moitié de ses transactions au Groupe ». Les mandats signés en 2019 représentent près de 2 milliards d’euros de collecte pour La Française et les premières semaines de 2020 confirment la poursuite de cette tendance avec la signature notamment d’un mandat avec PFA, fonds de pension Danois.

    Les particuliers ont plébiscité les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) en 2019, et La Française a très largement profité de cet engouement grâce à une gamme complète et diversifiée permettant d’atteindre un plus haut historique de collecte brute avec plus de 1,1 milliard d’euros. L’attrait pour les unités de compte au sein des contrats d’assurance-vie, laisse entrevoir de belles perspectives pour La Française et son offre immobilière en 2020.

    La Française, grâce à sa plateforme européenne d’investissement avec des centres de gestion à Paris, Francfort et Londres, a réalisé 4 milliards d’euros d’acquisitions pour le compte de fonds retail et mandats et a cédé 330 millions d’euros, dans un marché européen dynamique, notamment en France avec une hausse du volume des transactions en immobilier d’entreprise atteignant 38,6Md€ (Source : CBRE). Parmi les acquisitions les plus emblématiques :

    • Le Watt à Courbevoie (92), bureaux
    • Le M à Paris (17e), bureaux
    • Le Smart’Up à Chatillon (92), bureaux
    • Le 6B à Lyon (69), bureaux
    • L’Identity 2 à Rennes (35), bureaux
    • Le World Rugby House à Dublin (Irlande), bureaux
    • Le Steag à Essen (Allemagne), bureaux
    • Ansgari Haus, Brême (Allemagne), bureaux et commerces
    • Le Baxter Building à Amsterdam (Pays-Bas), bureaux
    • The Babel Community, immeuble de coliving à Marseille (France)

    Un pilier Actifs financiers porté par un fort développement à l’international.

    Le pilier « actifs financiers » de La Française a collecté près de 2 milliards d’euros nets portant ainsi ses actifs en valeurs mobilières sous gestion à près de 46 milliards d’euros, dont 34 % pour le compte d’investisseurs étrangers. 
     

    Avec l’intégration de Veritas, l’Allemagne est devenue le deuxième marché de La Française et représente plus de 12 % des encours du groupe. Désormais, le modèle multi-asset quantitative Risk@Work développé par Veritas, est intégré dans le process de gestion de plusieurs fonds français. Des synergies en matière de gestion font surface et la stratégie d’investissement « carbon » développé par La Française AM avec le centre de recherche extra-financière Inflection Point by La Française, s’intègre dans les fonds quantitatifs, gérés par sa filiale allemande, La Française AM GmbH. 
     
    Deux fonds crédit du Groupe ont dépassé la barre symbolique de 1 milliard d’USD sous gestion au 31/12/2019, confirmant ainsi l’attrait des investisseurs pour les solutions obligataires de La Française AM.  Au cours de l’année 2019, La Française a lancé trois nouveaux fonds à échéance dont un avec une stratégie crédit dit « low carbon ». Le groupe propose désormais aux investisseurs une gamme de solutions leur permettant de se positionner sur des créneaux porteurs liés à la limitation de la hausse du réchauffement climatique. 
     
    Les encours de LFIS ont augmenté de 6% en 2019 pour atteindre 14 milliards d’euros. Cette croissance s’explique par la performance robuste des fonds sur l’ensemble de la gamme, ainsi que par la collecte nette positive enregistrée sur la gamme de fonds Premia sur un type de clientèle plus large, notamment en provenance d’Australie et du Canada. L’année 2019 a été également marquée par la dynamique positive sur l’approche multi-actifs « Perspective » de LFIS et par le lancement de plusieurs nouvelles stratégies qui pourraient être les futurs moteurs de croissance de LFIS. 
     
    Spécialisée dans la détection et l’investissement dans des sociétés de gestion et des startups technologiques pour le compte d’institutionnels français et internationaux, NewAlpha a enregistré une collecte nette supérieure à 200 millions d’euros portant ainsi son encours géré à 2,2 milliards d’euros. 

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    news-1883 Thu, 20 Feb 2020 10:21:42 +0100 Des économies d'échelle dans le secteur des semi-conducteurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/des-economies-d-echelle-dans-le-secteur-des-semi-conducteurs/ Le secteur mondial des semi-conducteurs, qui représente plus de 450 milliards de dollars de ventes annuelles, fonctionne de manière très différente de la plupart des autres secteurs technologiques. Selon nous, il bénéficie d'un concept que nous appelons « économies d'échelle continues ». Le principe est que plus les entreprises sont de grande envergure, plus leurs barrières protectrices à l'entrée sont importantes et plus leurs marges sont élevées. Marges opérationnelles moyennes des entrepises de semi-conducteurs

    • Les marges opérationnelles moyennes des entreprises de semi-conducteurs se sont accrues, de 13,7 % au premier trimestre 2006 à 16,2 % au troisième trimestre 2019.
    • Dans le secteur des semi-conducteurs, le ralentissement de la loi de Moore1 fait que les progrès en matière de vitesse ou de capacité nécessitent davantage de capital d'ingénierie. Cet obstacle empêche les start-ups financées par capital-risque d’élaborer des produits à des coûts compétitifs pour concurrencer les grands opérateurs historiques.
    • L'investissement nécessaire pour produire du silicium de pointe, l’une des composantes principales des semiconducteurs, en est un autre. Il faut cumuler des années de dépenses d'investissement en équipements, structures et architecture de puces pour déterminer le coût total de reproduction d'un produit. Selon nous, les barrières à l'entrée créées par cette intensité capitalistique pourraient bien persister plusieurs dizaines d'années.
    • Les leaders des sous-secteurs des semi-conducteurs, en particulier dans les domaines à forte intensité capitalistique comme la fonderie, offrent aux investisseurs en technologie un potentiel de rendement élevé à long terme. En outre, nous pensons que les économies d'échelle continues devraient continuer à consolider le secteur des semi-conducteurs en faisant disparaître les sociétés de plus petite envergure, en augmentant les barrières à l'entrée et en améliorant le pouvoir de fixation des prix, ce qui devrait réduire la cyclicité du secteur et améliorer les marges à long terme.

     

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    news-1882 Thu, 20 Feb 2020 10:00:00 +0100 La Française Global Coco, enregistre un track-record notable sur trois ans /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-global-coco-enregistre-un-track-record-notable-sur-trois-ans/ La Française a le plaisir d'annoncer que La Française Global Coco, son premier fonds résolument positionné sur les dettes bancaires subordonnées « contingent convertibles » (Cocos), a fêté ses trois ans d'activité. Au total, La Française AM gère 1,4 milliards d'euros en dette subordonnée (au 31/01/2020), une classe d'actifs qui gagne du terrain depuis l'entrée en vigueur progressive des accords de Bâle III et en raison des frais d'émission de ces instruments hybrides qui demeurent relativement attractifs par rapport aux actions.

    La Française Global Coco est un portefeuille diversifié de 108 titres (84,49 % de Cocos) de 71 émetteurs globaux dont la note moyenne est A. Au 31/01/2020, son actif sous gestion est de 61 millions d'euros. Le fonds a un horizon de placement recommandé supérieur à 5 ans et affiche une performance nette cumulée depuis sa création (18/01/2017) de 27,45 % (Part I, au 31/01/2020), dépassant celle de l'indice ICE BofA Merrill Lynch Contingent Capital EUR Hedged Total Return Index (24,06 %). Au cours des trois dernières périodes de 12 mois calendaires, la part I du fonds et l'indice ont enregistré respectivement les performances nettes suivantes : 16,66 % contre 15,31 % (2019), -6,08 % contre -5,44 % (2018), 14,22 % contre 12,07 % (2017).

    Jérémie Boudinet, gérant du fonds, a déclaré : « Le marché des Cocos a connu une croissance rapide grâce à la normalisation des conditions d'émission et à la mise en œuvre progressive du cadre de Bâle III dans de nombreux pays hors de l'Europe. Les Cocos sont surtout associés aux émissions de banques européennes, mais des opportunités qui existent désormais dans d’autres parties du monde nous offrent des possibilités de diversification et d'arbitrage de rendement. Nous pensons que le secteur bancaire peut profiter des tendances fondamentales positives, car la réglementation incite à renforcer les bilans et à réduire les passifs ; de même, cela signifie une réduction considérable du risque systémique. Selon nous, les valorisations et les rendements des Cocos sont intéressants dans le contexte actuel de taux bas qui devrait perdurer, notamment par rapport à d'autres classes d'actifs dites « high beta ».

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    news-1880 Mon, 10 Feb 2020 10:39:40 +0100 Rendre la demande de logements solvable dans Paris... la vraie bonne idée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rendre-la-demande-de-logements-solvable-dans-paris-la-vraie-bonne-idee/ Benjamin Griveaux crée la polémique en proposant que la Ville de Paris co-investisse aux cotés "des classes moyennes" jusqu’à 100 000 €. Les critiques fusent de toutes parts : processus inflationniste, cadeau "électoral" fait aux classes moyennes, ou à l’inverse spéculation au profit de la Ville de Paris, voire spoliation de l’acquéreur. En tant qu’acteur de l’immobilier et observateur des différents dispositifs existants dans le monde occidental, je fais clairement partie de ceux qui, à l’inverse, trouvent que cette innovation est une des initiatives aujourd’hui nécessaires.

    Arrêtons de nous voiler la face, attendre le choc de l’offre, c’est attendre Godot qui viendrait miraculeusement faire baisser les prix. Arrêtons de parler de Ville Inclusive alors qu’elle est devenue exclusive depuis plusieurs décennies !

    De nombreux phénomènes sociétaux, économiques et financiers conduisent à une tendance structurellement haussière des prix de l’immobilier dans les zones tendues et singulièrement à Paris qui, dans les faits, font que sur un horizon de temps de plusieurs années, même si les prix peuvent temporairement baisser, ce phénomène de hausse ne pourra être endigué.

    Tout d’abord la métropolisation, ce processus de renforcement de la puissance des grandes métropoles par l’accroissement de la population, de la densité des réseaux de communication, de la concentration d’organismes de commandement dans tous les domaines (production, recherche et culture) n’est pas prête de s’arrêter, spécialement dans un pays aussi centralisé que la France. On peut peut-être le regretter mais la réalité est bien qu’elle oriente le développement mondial vers une économie d'archipel où les échanges se font moins entre nations qu'entre métropoles et la région parisienne représente 30 % du PIB national pour 23 % de la population.

    Paris est, de fait, parmi les capitales où la densité de la population est la plus élevée avec 21 000 habitants au km2 (à comparer par exemple à Séoul avec 16 000) et il est illusoire d’espérer densifier beaucoup plus en construisant des tours résidentielles. Paris se vit dans le même espace depuis 150 ans, le Grand Paris Express, avec ses 68 gares et ses 200 km de voies ferrées, permettra de créer un espace urbain connecté, désengorgera donc Paris (la densité actuelle sur le Grand Paris n’est que de 1 000 habitants par km2) et sera LA RÉPONSE institutionnelle qui permettra de stopper cette hausse de prix… mais dans 10 ans, sous réserve que les infrastructures et les programmes immobiliers résidentiels soient réalisés et financièrement abordables (paradoxalement le nombre de permis de construire et de mises en chantiers baisse…).

    Les facteurs de hausse sont bien là et aucun choc de l’offre ne peut à horizon visible s’opposer aux réalités d’aujourd’hui qu’il faut donc adresser maintenant et pas dans 10 ans. Ce phénomène de hausse n’est pas uniquement lié à la métropolisation mais tout concourt à la hausse.

    Citons, l’allongement de la durée de la vie qui fait que non seulement l’héritage se réalise beaucoup plus tard mais également que les "parents" restent beaucoup plus longtemps dans leur bien, créant ainsi un double effet négatif sur l’offre et sur la demande solvable ; l’éclatement des cellules familiales qui génère un besoin supplémentaire de logements ; la mondialisation qui crée un marché du pied-à-terre, spécialement dans les quartiers huppés où les pied-à-terre logeaient auparavant des familles entières, entrainant une gentrification progressive de tout Paris ; enfin, facteur beaucoup plus puissant, la baisse des taux d’intérêt.

    La baisse des taux d’intérêt, parfois 1 % à 25 ans, a un double effet inflationniste sur les prix de l’immobilier : d’abord elle diminue le montant à rembourser et facilite une première augmentation des prix, ensuite, comme seul le capital à rembourser devient la contrainte financière (la charge d’intérêt étant quasi-nulle) cela favorise l’allongement de la durée des crédits.
    La réalité économique est que, depuis le choc pétrolier de 1973 et singulièrement l’accélération de la mondialisation avec l’entrée de la Chine dans l’OMC en 2001, la réponse univoque des pays occidentaux pour en limiter l’impact sur leurs économies a été la création monétaire et une économie de l’endettement. L’excès de création monétaire, largement supérieure à la création de richesse, s’est reporté sur les actifs financiers comme immobiliers d’où la hausse généralisée des prix des actifs !

    La croissance reste faible et le restera durablement selon le FMI ; il faut de surcroît financer la transition énergétique ce qui va conduire à une augmentation globale de l’endettement de plusieurs dizaines de pourcent de PIB dans les années à venir. Tout concourt à ce que la BCE maintienne durablement une politique de taux d’intérêt bas… avec les mêmes effets.
    Ne pouvant résoudre à un horizon visible le choc de l’offre, il n’y a pas d’autres solutions que d’aider à solvabiliser la demande, en utilisant tous les outils possibles et en l’encadrant pour en limiter les effets de bords, ce qui n’a pas été fait jusqu’à présent.

    Ainsi, il est malheureusement clair que dans un univers où la construction de logements supplémentaires dans Paris est contrainte par la rareté du foncier, une politique trop expansive de logements sociaux se traduirait forcément par la sortie de logements privés du parc disponible et donc une inflation, tant des loyers que des prix de vente du parc privé.

    De la même manière, une foncière qui achèterait pour 20 Mds € de logements aurait incontestablement un effet bénéfique pour les locataires qui pourraient accéder à ces logements et un effet désastreux pour les autres sous le double effet de l’impact inflationniste sur les prix de vente, initiés par un tel volume d’acquisitions comme par la sortie du parc de logements privés de ce même volume de logements.

    Cette démarche renforcerait un "Paris à deux vitesses" : des logements sociaux d’un côté, des ultra-riches de l’autre… et les classes moyennes ? ailleurs !

    Alors face à cette situation, il n’y a pas de réponse unique mais un ensemble de démarches possibles auxquelles il faut avoir recours. Les actions pour créer une demande solvable reposent toutes sur une réalité - un environnement de taux bas – et un mécanisme - la séparation de la propriété dans le temps ou dans l’espace - autrement dit une "propriété réduite"… qui est mieux que pas de propriété du tout surtout si cette "propriété réduite" est d’un coût comparable à un loyer (un parc locatif abordable peut et doit aussi être créé sur ces bases).

    Le système idéal n’existe pas et chaque dispositif répond à des objectifs et des typologies de situations différentes : recherche de flexibilité, de transmission, de préparation de la retraite, de capacité financière… C’est la richesse de la panoplie qui permettra de résoudre, au moins partiellement, cette problématique qui créera la véritable ville durable du XXIe siècle ; celle qui sera inclusive !

    Prenons l’exemple des banques hollandaises, suédoises ou suisses qui prêtent en même temps à la personne et au bien. La personne rembourse sur 20 ans la moitié du crédit (les intérêts étant à sa charge) et l’autre moitié, reste attachée au bien : cela réduit de 40 % la charge de remboursement du prêt qui devient ainsi comparable à un loyer. Pour limiter l’impact inflationniste, l’Etat régule (lors de la mise à disposition du prêt) la quotité de remboursement annuel de l’emprunteur. L’acquéreur, sauf s’il peut et souhaite rembourser la totalité de l’emprunt, conserve toujours une quotité d’endettement sur son bien dont la charge est limitée aux seuls intérêts ; charge qui est bien inférieure à un loyer et il conserve la plus-value lors de la cession du bien.

    L’Angleterre pratique la séparation entre foncier et bâti mais dans un système aujourd’hui archaïque et surtout inapproprié au contexte français. Le Bail Réel Solidaire mis en place par le gouvernement actuel repose sur ce principe et permet de réduire également de 40 % le coût. Pour éviter l’effet d’aubaine et l’impact inflationniste, les transactions ne peuvent avoir lieu qu’entres acquéreurs sous conditions de ressources "sociales" ; autrement dit, ne pouvant contrôler le prix de l’actif c’est par le passif que la maîtrise des prix se réalise. Une version pour le marché privé serait évidemment bienvenue ! La séparation des biens dans l’espace peut se faire également entre les parties privatives qui seraient détenues par des personnes privées et les parties communes qui pourraient être détenues par des personnes morales qui les entretiendraient et percevraient un loyer. Mais aussi, comme le propose Benjamin Griveaux, et comme d’autres acteurs publics ou privés dans le monde, sous forme de co-détention d’un appartement.

    Les Hospices Civils de Lyon et plus récemment La Française (dans les Hauts-de-France avec son actionnaire le CMNE) ont un système très flexible d’emphytéose qui permet de réduire le prix de 30 % et donc conduit à une charge d’acquisition du logement comparable à un loyer. Le système permet à l’acquéreur de se constituer de façon certaine un capital alors qu’un loyer est "perdu" ; cependant il ne bénéficie pas de la hausse (ou de la baisse) du prix ; il ne pousse donc pas significativement à la hausse des prix.

    Dans un autre registre, Singapour offre la possibilité à sa population senior d’apporter leur logement en viager à un fonds de pension qui leur verse une rente, un beau complément de revenu pour les petites pensions !

    Beaucoup plus proche de la proposition de Benjamin Griveaux, depuis 1929 la Ville d’Oslo, via une coopérative, a mis en place un système de co-investissement avec les personnes privées. Une fraction importante de la plus-value va à la coopérative ce qui permet de réduire la démarche inflationniste. La Ville de Toronto a la même démarche mais à une échelle beaucoup plus petite et orientée vers le logement social.
    Les acteurs publics ne sont pas les seuls, des sociétés privées comme Virgil ou Acqer développent ce concept en France, le fonds d’investissement de l’université (40 Mds $ qui financent ainsi une bonne partie du fonctionnement de l’Université) développe ce concept pour augmenter le logement locatif étudiant avec une participation allant jusqu’à 100 000 $ par appartement… et il y a même des études faites par des cabinets d’audit qui quantifient les impacts du co-investissement dans le secteur du logement ! Bref, ce n'est pas aussi novateur que cela et surtout c'est une approche logique à la taille d’une des 5 villes mondes avec les conséquences que cela implique sur la cherté du logement.

    Alors, Benjamin Griveaux, propose un système où la Ville de Paris co-investit sous forme de prêt mezzanine jusqu’à 100 000 € aux classes moyennes sans autre rémunération que le partage de la plus-value sur la vente. C’est un système, sous conditions de plafonds de ressources, qui s’adresse véritablement à cette catégorie d’acquéreurs de plus en plus exclue de la Ville de Paris que ce soit comme locataire ou comme propriétaire.

    Le seul partage de la plus-value en fonction des apports respectifs est possible car les taux d’intérêts sont bas et donc le portage même sans rémunération est peu coûteux pour la Ville de Paris et ses contribuables. Il ne s’agit ni d’un don qui serait à la charge de la collectivité, ni d’une spoliation de l’acquéreur, car ce dernier concrètement ne bénéficie pas non plus d’un effet d’aubaine en prenant une plus-value sur un financement qu’il n’aurait pas payé. C’est donc fondamentalement un dispositif sain et équilibré où les parties ont des intérêts équilibrés.

    Ce dispositif est-il inflationniste ? Comme tout système qui solvabilise la demande il est potentiellement inflationniste. Mis en place par un acteur public qui gère aussi bien les conditions d’attributions (plafonds de ressources et acceptation des dossiers pour éviter la surenchère ; autrement dit maintenir l’aléa moral pour l’acquéreur comme pour le vendeur pendant la phase d’acquisition), l’impact serait contrôlé et maitrisé. On ne peut nier son impact inflationniste, mais on peut dire qu’il sera marginal compte tenu des garde-fous et qu’en tout cas il permet de rééquilibrer "le jeu entre les plus riches et les moins riches", un objectif louable qui peut être ciblé et maitrisé.

    Mais ce dispositif doit bien évidemment s’analyser dans un cadre plus large : la modification des PLU pour augmenter l’offre (surévaluation, changement de destination…), un encadrement très strict (et financièrement dissuasif pour le fraudeur) de l’application de la règlementation des B&B pour faciliter le retour dans le parc locatif privé de logements qui en sont sortis (un complément de revenu oui, un parc d’appartements pour faire du business non) des logements temporaires d’urgence dans les bureaux qui sont en attente de travaux… Il n’y a pas de solution unique mais une démarche et la mesure proposée en fait partie !

    Prenons conscience que le niveau très bas des taux d’intérêt autorise des innovations financières et que ces dernières ont pour vocation d’avoir des impacts sociaux forts qui réduisent les inégalités. En l’espèce les classes moyennes, comme les bénéficiaires de logements sociaux, doivent bénéficier de ces impacts. Ces dispositifs doivent être encadrés et sous contrôle de la Ville de Paris, c’est une évidence. Les spécialistes du "mais" doivent proposer des alternatives crédibles plutôt que de vouloir proroger ou étendre exclusivement des systèmes qui ont montré leur efficacité à exclure de la Ville de Paris ses classes moyennes.

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    news-1879 Mon, 10 Feb 2020 10:18:55 +0100 Evolution des bulletins de souscription de parts de SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-bulletins-de-souscription-de-parts-de-scpi/ A compter du 1er mars 2020, La Française fait évoluer ses bulletins de souscription de parts de SCPI. Les bulletins actuels sont donc valables jusqu’au 29 février 2020. Toute souscription à compter du 1er mars 2020 devra se faire impérativement avec les nouveaux bulletins.

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    news-1878 Thu, 06 Feb 2020 12:00:04 +0100 Avis aux actionnaires – SICAV La Française - La Française Obligations Europe SAI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-sicav-la-francaise-la-francaise-obligations-europe-sai/ Nous informons les actionnaires de la SICAV « La Française » que dans un contexte d’urgence climatique, le Groupe La Française continue la transition de sa gamme vers une démarche carbone. C’est dans ce cadre que la société de gestion a décidé de faire évoluer le fonds « La Française Obligations Europe SAI », compartiment de la SICAV « La Française » en en modifiant la dénomination et la stratégie d’investissement. Cette solution offrira la possibilité à tout investisseur de participer, à son échelle, à la transition énergétique des entreprises pour limiter le réchauffement climatique. Ce support viendra compléter la gamme de solutions carbone déjà disponibles à la souscription. Ces modifications, détaillées ci-dessous, seront effectives à compter du 12 février 2020 et implémentées dans la documentation juridique de la SICAV au niveau du compartiment :

    • Modification de la dénomination du compartiment « La Française Obligations Europe SAI » qui deviendra « La Française Obligations Carbon Impact » ;
    • Enrichissement de l’approche de gestion d’une dimension carbone, tant en termes d’objectif poursuivi par la gestion que de stratégie d’investissement déployée au sein du compartiment :

    « Objectif de gestion :
    Le fonds a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée supérieure à 3 ans, une performance nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence en investissant dans un portefeuille d'émetteurs filtré préalablement selon des critères ESG et analysés sous l’angle de leur compatibilité avec la transition énergétique selon une méthodologie définie par la société de gestion. Le fonds s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investis (scopes 1 et 2) au moins 50% inférieure à celle de l’univers d’investissement comparable représenté par l’indicateur de référence. »


    « Stratégie d’investissement :
    1. Stratégie utilisée
    ETAPE 1 : FILTRAGES QUANTITATIFS […]
    ETAPE 2 : ANALYSES CARBONE ET FINANCIERE […]
    ETAPE 3 : MESURE DE L’EMPREINTE CARBONE […]. »

    • Modification de la zone géographique des émetteurs des titres auxquels le compartiment est exposé : OCDE – hors Union européenne, Suisse, Royaume-Uni et Norvège : 0-20% (au lieu de 0-10%)
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    news-1877 Thu, 06 Feb 2020 11:34:56 +0100 Avis : Compartiment « La Française Global Coco » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-global-coco-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-1/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Global Coco » de la modification suivante : Concernant la catégorie d’actions « actions R D USD H - FR0013393857 » la fréquence de distribution des acomptes sur les sommes distribuables a été précisée dans la documentation juridique du compartiment : La société de gestion distribuera des acomptes trimestriellement en janvier, avril, juillet et octobre.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 12 février 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Global Coco » disponible sur ce site.

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    news-1875 Thu, 06 Feb 2020 10:43:55 +0100 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise-1/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » que La société de gestion a estimé qu'il était dans l'intérêt des actionnaires de prolonger la période de commercialisation du fonds de 3 mois afin de continuer à profiter des opportunités qu'il présente. Le fonds sera par conséquent fermé à la souscription le 30 juin 2020 et non plus le 31 mars 2020.

    La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 12 février 2020.

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur ce site.

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    news-1870 Tue, 04 Feb 2020 09:44:07 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux à Levallois-Perret auprès de Keys Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-levallois-perret-aupres-de-keys-asset-management/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis, en VEFA, auprès de Keys Asset Management, un immeuble de bureaux situé au 22 rue Marius Aufan. Situé à 2 minutes à pied de la station de métro Louise Michel (ligne 3), l’immeuble fait la part belle aux mobilités douces avec son espace sécurisé pour les deux roues. Cet actif, d’une surface de 3 131 m², est entièrement loué à l’opérateur d’espaces de travail flexibles Regus, une marque du groupe IWG, dans le cadre d’un bail de 9 ans fermes. L’ensemble immobilier vise la certification BREEAM Very Good et sera livré en septembre 2020. Une attention particulière a été portée à la végétalisation avec notamment la création de trois terrasses et patios végétalisés accessibles et aménagés.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1 et Sélectinvest 1 et auprès d’un fonds géré par Keys REIM. Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides et le cabinet Jeantet ; Keys Asset Management a été accompagné par B&C France dans cette opération de revalorisation et conseillé par l’office notarial Notaridge. La transaction a été réalisée par SOROVIM dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Real Estate.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-1869 Mon, 03 Feb 2020 16:40:21 +0100 Mon fils, ma bataille… Ma retraite, mon épargne… /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/mon-fils-ma-bataille-ma-retraite-mon-epargne/ Les débats actuels sont l’opportunité pour chacun d’entre nous de réfléchir sur sa vie plus tard et ne pas participer au pessimisme stupide ambiant du type "de toute façon je n’aurai pas de retraite" ! La préférence pour le présent, la procrastination facile, l’angoisse de la vieillesse, la difficulté de comprendre comment ça marche, l’information peu claire, "dans 20 ou 30 ans j’ai le temps pour m’en occuper et je ne sais déjà pas ce que je vais faire dans 6 mois (alors que par contre, une certitude, si je vis toujours, je ne travaillerai plus à 65 ans !)", tous ces propos nous les entendons et y participons d’une certaine manière.

    C’est aussi l’opportunité pour les acteurs de l’épargne de réfléchir sur ce que sera LE PRODUIT de demain qui viendra très largement se substituer au contrat en euros, ce qu’ont déjà largement amorcé les pays du Nord de l’Europe.

    Cette lettre n’apporte pas des conclusions définitives et ne prétend pas être exacte sur les données tant les paramètres sont complexes et instables. Elle a vocation à situer le cadre, donner un ordre de grandeur et faciliter la réflexion sur ce sujet qui nous concerne tous. Ceux qui ont la chance d’avoir encore un horizon de temps long peuvent donc ainsi corriger le tir des seniors qui n’ont pas vu venir le choc !

    Je ne rentrerai pas dans les polémiques actuelles sur la réforme des régimes de retraite mais quelques réalités s’imposent ; l’allongement de la durée de la vie, la pyramide des âges, la disparition de l’inflation du fait de la globalisation et de la désindexation des salaires sont autant de facteurs déterminants. Se posera donc pour les salariés ayant d’une part une capacité d’épargne et d’autre part une forte chute de leur revenu, la nécessité d’épargner pour leur retraite.

    La loi Pacte ayant par ailleurs fourni un cadre juridique et fiscal facilitant de fait la création de fonds de pension à la Française, nous pouvons donc nous livrer à quelques simulations et calculs historiques afin de pouvoir comparer la retraite par répartition, la retraite par capitalisation et la dose de retraite par capitalisation qu’il conviendrait de se constituer en fonction de l’objectif de revenu futur recherché.

    En synthèse :

    • Sur le passé, un salarié du secteur privé gagnant aujourd’hui 50 000 € net et partant maintenant à la retraite :
      • Recevra 25 000 € de retraite sur les 20 ans à venir, soit l’équivalent de 500 000 €, et peu ou prou les cotisations retraites qu’il a versé ainsi que son employeur.
      • Compte tenu de la performance historique des marchés financiers et d’immobilier de bureaux que ce soit sur les 20 ou les 40 dernières années, en mettant 2 % de son revenu de coté tous les mois, ce salarié aurait été aujourd’hui en situation de doubler le montant de sa retraite.
         
    • La réforme des retraites et la loi Pacte, spécialement pour les hauts revenus, doit inciter à se constituer une dose de retraite par capitalisation. Objectivement, les moteurs de performance - la baisse des taux d’intérêt et la globalisation - des dernières décennies ont disparu et les nouveaux moteurs de performance - technologie, intelligence artificielle, décarbonation et réduction des inégalités - ne permettent pas de faire des prévisions de rendement aussi importantes sur les décennies à venir. Un rendement attendu, net de frais de l’épargne de 3 % annuel est dès lors raisonnable. Le véritable effet de levier proviendra donc de la nouvelle fiscalité liée au Plan d’Epargne Retraite qui, pour simplifier, permet de multiplier par deux le rendement attendu et donc de pouvoir se constituer un capital retraite significatif pour un taux d’effort d’épargne mensuel relativement faible.
       
    • Ainsi, pour les acteurs de l’épargne, cela signifie que le modèle économique dominant qui reposait très largement sur le contrat en euros où le risque était pris par l’assureur en contrepartie d’une partie du sur-rendement, va être remplacé par un système où le risque est transféré à l’épargnant mais absorbé très substantiellement par l’Etat via la réduction d’IRPP.
       
    • Ce changement radical de business model tant pour la personne physique que pour l’écosystème de l’épargne est l’enjeu majeur des années à venir.
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    news-1867 Thu, 30 Jan 2020 10:00:00 +0100 Moins chères que vous ne le pensez ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/moins-cheres-que-vous-ne-le-pensez/ Beaucoup d’investisseurs pensent aujourd’hui que les actions sont relativement chères, pour la simple raison que leur fameux ratio cours/bénéfices est supérieur aux moyennes historiques. Pourtant, selon nous, ce point de vue ne tient pas compte de la faiblesse des taux d'intérêt. les primes de risque des actions mondiales indiquent que celles-ci sont relativement bon marché

    Des taux d'intérêt faibles peuvent avoir un grand impact sur les valorisations. Une façon de prendre en considération les taux d'intérêt consiste à définir le rendement exigé par les investisseurs au-delà du taux sans risque, autrement dit la prime de risque. Comme on le voit ci-dessus, plus la prime de risque demandée par les investisseurs est élevée, plus les actions sont bon marché.

    • Les primes de risque actions dans l’ensemble du monde sont proches de leur plus haut niveau depuis les vingt dernières années, celles-ci couvrant aussi la Crise financière mondiale. Cet indicateur montre que les investisseurs exigent une large rétribution en échange du risque qu’ils supportent.
    • Daprès nous, seuls trois mécanismes peuvent faire baisser les primes de risque actions à des niveaux plus proches des normes historiques : 1) une hausse des taux d'intérêt ; 2) une hausse des prix des actions ; 3) une baisse des prévisions de bénéfices. Même si la hausse des taux d'intérêt et la baisse des prévisions de bénéfices sont des risques réels, peut-être valent-ils la peine d’être pris au regard du niveau actuel de la prime de risque des actions.
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    news-1865 Thu, 30 Jan 2020 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert une auberge / résidence étudiante au sein du projet « Îlot Bacalan » à Bordeaux (33) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-une-auberge-residence-etudiante-au-sein-du-projet-ilot-bacalan-a-bordeaux-33/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès du groupe Legendre, un projet immobilier en VEFA d’un immeuble hybride, à la fois résidence étudiante et auberge de jeunesse. Dans ce cadre, La Française rend la ville plus inclusive en proposant des logements adaptés aux nouveaux usages des jeunes générations. Situé à l’entrée des Bassins à flot, face à la cité du Vin, cet actif développe une surface de 5 860 m² et sera exploité sous l’enseigne Whoo Legendre XP. Il s’inscrit au cœur du projet « Bordeaux 2030 » qui vise à faire du quartier un lieu plaisant mêlant à la fois constructions écoresponsables et symboles bordelais comme le vin, la Garonne ou encore l’héritage de l’industrie maritime.

    L’actif offrira de nombreux services mutualisés à ses clients et résidents tels qu’un espace de coworking, un fitness ou encore des emplacements de stationnement pour les vélos. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière. 

    Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Lexfair et le cabinet Jeantet ; le vendeur était conseillé par l’office notarial Dutour et Associés. Les deux parties étaient conseillées par Tourny Meyer.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1862 Mon, 27 Jan 2020 14:12:21 +0100 La Française présente sa nouvelle solution de fonds à échéance carbone. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-presente-sa-nouvelle-solution-de-fonds-a-echeance-carbone/ Marie Lassegnore, gérante /analyste Crédit, présente notre nouvelle solution de fonds à échéance carbone. Découvrez à travers cette vidéo en quoi consiste le budget carbone, comment nous mesurons la transition des entreprises et plus particulièrement la nature de leurs émissions carbone et en quoi consiste notre méthodologie de trajectoire des entreprises.

    La Française Asset Management dispose de plus de 20 ans d’expérience sur les fonds à échéance et gère près de 2mds d’Euros sur cette stratégie.

     

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    news-1860 Tue, 28 Jan 2020 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert le Galaxia à Blagnac (31) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-galaxia-a-blagnac-31/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Batipart le Galaxia, un ensemble immobilier situé au 4 rue du Groupe d’Or à Blagnac au sein de la zone aéroportuaire et du principal pôle économique de la région toulousaine. Il bénéficie d’une excellente accessibilité par la rocade fil d'Ariane et par le tram T2. Le Galaxia développe 3 bâtiments d’une surface totale de 15 205 m² de bureaux et est entièrement loué. 

    L’acquisition de cet actif s’inscrit dans la volonté de La Française de contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Le Galaxia est certifié BREEAM In-Use Good. Il présente des consommations énergétiques et des émissions de GES inférieures à la moyenne du benchmark de l’OID. Par ailleurs, il offre une gamme de services étendue à ses utilisateurs avec notamment un restaurant inter-entreprise, une cafétéria et une conciergerie.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Oudot & Associés et le cabinet Jeantet ; Batipart était conseillé par l’office notarial Cheuvreux. Les deux parties étaient conseillées par BNP Paribas Real Estate.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-1859 Wed, 19 Feb 2020 10:00:00 +0100 Retrouvez les perspectives et les convictions de gestion de La Française pour 2020 présentées par Jean-Luc Hivert /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retrouvez-les-perspectives-et-les-convictions-de-gestion-de-la-francaise-pour-2020-presentees-par-jean-luc-hivert/ Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments La Française, présente les perspectives et les convictions de gestion de La Française pour 2020.

     

    Achevé de rédiger le 05 février 2020

    Bilan 2019 et perspectives 2020

    Même si au final l’économie mondiale reste sur une dynamique satisfaisante, proche de son potentiel de long terme, l’année 2019 s’est illustrée par un contexte politique chargé. 
    Les guerres commerciales et le Brexit ont provoqué un ralentissement au 3ieme et 4ieme trimestre, 2019 
    Et pourtant, cet environnement volatil n’a pas empêché les marchés d’actions d’inscrire une année record en termes de performances, avec des banques centrales prêtes à tout pour éviter le risque d’une entrée en récession.

    Quelles perspective économiques en 2020 ?

    Dans les pays développés, le ralentissement voire la récession industrielle est toujours à l’œuvre tandis que la consommation des ménages continue de soutenir le secteur des services et la croissance dans son ensemble. 

    Aux Etats-Unis et en Europe, au moins pour les premiers mois de l’année, les indicateurs montrent que la consommation maintiendra l’économie sur son rythme de croissance actuel.
    Au-delà de ces quelques mois, l’évolution du marché de l’emploi restera la clef pour évaluer la croissance économique et le risque de contagion de la faiblesse industrielle vers le secteur des services.
    Dans les pays émergents, nous avons d’un côté le ralentissement piloté de l’économie chinoise qui va se poursuivre et d’un autre côté de nombreux pays qui enregistreront un rebond de leur croissance économique au premier semestre 2020.

    Au-dessus de cette trame économique plane la question du Coronavirus, de son impact humain mais aussi économique. C’est évidemment très difficile à prévoir. Ce que l’on doit rappeler c’est que la Chine représente aujourd’hui 20% de la croissance économique mondiale. Il est donc évident que si les mesures de confinement durent des semaines, ou des mois, l’impact sur l’économie mondiale sera significatif. Et nous devrons alors en sortie de cette crise sanitaire, estimer ce qui sera rattrapable et ce qui ne le sera pas.

    Au-delà de ces tendances, le possible relais pour la croissance se situe au niveau budgétaire. Des plans de relance ou des plans d’investissements sont effectivement discutés ici et là mais les barrières politiques seront une nouvelle fois extrêmement difficiles à lever.

    Dans les pays développés les banques centrales ont accompagné le ralentissement par des mesures de soutien, avec des baisses des taux aux Etats-Unis et en Europe et des relances de leur programme d’achats d’actifs.

    Ces banques centrales restent vigilantes et en cas de ralentissement supplémentaires, elles n’hésiteront pas à agir.

    Sur les marché émergents, les assouplissements monétaires ont déjà produit leur effet et sont en grande majorité derrière nous.

    Nos convictions de gestion

    Côté obligataire, l’environnement actuel plaide encore et toujours pour des taux d’intérêt durablement bas. Les perspectives d’inflation restent très en deçà des objectifs et les banques centrales resteront prudentes à remonter leur taux. Si la croissance se maintient ou se renforce, nous pourrons avoir une remontée limitée des taux d’intérêt long qui resteraient néanmoins sur des niveaux très bas et par conséquent très problématiques pour les épargnants.

    A court terme, les obligations des états développés ne présentent pas de risques importants mais pas non plus d’intérêt majeur. Il nous semble préférable de s’y investir via des fonds de performance absolue capables de capter de petits mouvements tout au long de l’année.

    Nous continuons de privilégier les obligations crédit avec de nouveau une préférence pour les subordonnées bancaires et un retour sur les obligations à haut rendement qui ont connu une année 2019 difficile mais qui retrouvent aujourd’hui de meilleures perspectives et restent attractives en termes de rendement.

    Enfin, nous restons positifs sur les obligations émergentes de bonne qualité et les obligations d’état dits périphériques à l’exception toutefois de l’Italie à court terme en raison du retour du risque politique.

    Sur les marchés actions notre positionnement est plus positif. La saison de publications de résultats du troisième trimestre 2019 a montré une stabilisation des prévisions de croissance de résultats en Europe. Les fondamentaux tendant à se stabiliser, les taux d’intérêt devant rester bas, nous pensons que les actifs risqués devraient continuer de progresser. 

    En ce début d’année, il nous semble opportun de rajouter progressivement des actions dans nos allocations en privilégiant la zone émergente, les secteurs liés à la croissance économique (industrie, technologie, consommation) et le secteur financier qui pourrait profiter d’une légère remontée des taux d’intérêts à long terme et de l’amélioration de l’environnement économique. 
     

     

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    news-1856 Thu, 23 Jan 2020 17:00:00 +0100 La Française innove et lance la première SCPI viticole, « LF Les Grands Palais » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-innove-et-lance-la-premiere-scpi-viticole-lf-les-grands-palais/ Le marché foncier viticole s’est mondialisé ces dernières années. Son offre demeure limitée en quantité là où la demande est en constante augmentation (Source : OIV 2018). Dans ce contexte, La Française associe deux de ses expertises historiques, la gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier et l’investissement viticole, pour lancer LF Les Grands Palais, la première SCPI viticole du marché.

    LF Les Grands Palais offre plusieurs avantages à ses associés :

    • Accéder à un placement reposant sur l’une des richesses du patrimoine français, à savoir ses vignobles ;
    • Se constituer un patrimoine foncier viticole, à travers l’investissement en parts de SCPI, selon sa capacité d’investissement ;
    • Choisir une classe d’actifs au potentiel de création de valeur pour diversifier1 son patrimoine ;
    • Allier sa passion pour le vin tout en finançant le développement du patrimoine foncier viticole français ;
    • Mutualiser les risques locatifs de l’investissement grâce au placement SCPI ; moyennant une faible liquidité et un risque de perte en capital.

    De plus, les associés de la SCPI se verront la possibilité de devenir membre du Club des Propriétaires de Grand Crus et bénéficier, moyennant conditions, d’une faculté d’achat de vin à un tarif préférentiel de différents domaines gérés par La Française Real Estate Managers.

    La SCPI LF Les Grands Palais vise à constituer un patrimoine foncier agricole composé de différentes propriétés viticoles, détenues de manière directe ou indirecte, qui seront louées par bail rural à long terme (25 ans) à des exploitants. La société de gestion, La Française Real Estate Managers, ciblera les zones géographiques situées en France et bénéficiant d’un fort potentiel économique en termes de rareté des actifs (Appellations d’Origine Protégée - AOP, secteur géographiquement délimité et droits à produire contingentés).

    La performance de LF Les Grand Palais est fonction des distributions potentielles versées aux associés voire des éventuelles plus-values. Le patrimoine agricole à vocation viticole présente un rendement récurrent moindre par rapport à d’autres classes d’actifs immobiliers, mais devrait présenter des perspectives de valorisation à long terme selon l’analyse de la société de gestion. Forte de son expérience, la valeur ajoutée de La Française Real Estate Managers consistera en la sélection de terroirs recherchés, de différentes régions, afin de profiter de la diversité et de la qualité du terroir national.

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF Les Grand Palais, conclut : « Depuis quarante ans, La Française propose à ses clients d’investir dans des domaines viticoles ciblés (Bordeaux, Bourgogne, Vallée du Rhône, …). Cette nouvelle solution d’investissement, qui repose sur deux expertises phares du groupe, allie prestige, performance et création de valeur potentielles, moyennant une prise de risque. »

    1 La SCPI pourra ne pas être diversifiée à son lancement puis très concentrée par la suite.

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    news-1855 Mon, 20 Jan 2020 14:44:40 +0100 Marchés financiers : quelles perspectives pour 2020 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marches-financiers-quelles-perspectives-pour-2020/ D’un point de vue fondamental, l’environnement global plaide pour des taux durablement bas. La recherche de rendement reste d’actualité, y compris sur des actifs plus risqués.
  • Une convergence vers la croissance potentielle des différents pays est attendue en 2020 avec une balance des risques qui reste négative
  • Des espoirs de relance budgétaire, suscités par le nouveau leadership du SPD en Allemagne et un gros point d’interrogation sur la capacité des US à livrer un nouveau plan fiscal avant les élections de novembre, constituent, s’ils se matérialisent des facteurs de tensions sur les taux
  • Les Banques Centrales et en particulier la FED, qui, depuis septembre, a réinitié des opérations de refinancement comme la BCE, conserveront un biais accommodant et continueront d’abonder les marchés de liquidités
  • La pause récente de la FED dans la réduction de son taux directeur ne devrait pas infléchir mais atténuer les baisses de taux des principales banques centrales des pays émergents, nombreuses en 2019
  • L’environnement actuel, avec un dollar et un prix du pétrole stable devrait rester peu inflationniste en 2020
  • Dans les pays développés, le ralentissement voire la récession industrielle est toujours à l’oeuvre et l’évolution du marché de l’emploi restera la clef pour monitorer le risque de contagion au secteur des services : une convergence vers la croissance potentielle des différents pays est attendue en 2020 avec une balance des risques qui reste négative. La remontée des taux d’épargne des ménages, parallèlement à la bonne tenue de la consommation est une alerte à prendre au sérieux : si elle s’avère être réellement une épargne de précaution (taux négatifs, réforme des retraites), elle ne constitue pas un réservoir de consommation future.

    Le protectionnisme va rester un sujet important avant les élections américaines, même si ces dernières semaines ont montré des signes relatifs d’apaisement et continuera de peser sur la croissance, les perspectives d’investissement et la volatilité des marchés. Cette menace demeurera omniprésente dans la balance des risques des Banques Centrales.

    Du point de vue des politiques monétaires durablement accommodantes dans le temps, deux camps s’opposent dans le marché :

    • Leur effet vertueux laisse perplexe bon nombre d’intervenants quant à leur capacité à répondre à la problématique du ralentissement global de la croissance et à l’inflation plus faible que souhaitée.
    • A l’inverse, elle convainc toujours une partie des investisseurs de ses bienfaits avec effets retard pour la croissance en 2020.

    Nous pensons que la politique monétaire a effectivement ses limites : les membres de la BCE se sont largement exprimés en ce sens. Le relais doit être pris par la politique fiscale, d’autant que le message de M. Draghi, en relançant le programme d’achats d’actifs pour une durée illimitée, était bien de créer des conditions durables de refinancement à bas coût pour les Etats. Toutefois, il faudra du temps. Des espoirs de relance budgétaire, suscités par le nouveau leadership du SPD en Allemagne et un gros point d’interrogation sur la capacité des US à livrer un nouveau plan fiscal avant les élections de novembre, constituent, s’ils se matérialisent des facteurs de tensions sur les taux. Le Brexit continuera d’alimenter les incertitudes et en 2020, le focus portera sur la relance fiscale, probablement bien plus qu’en zone Euro. Le Japon a d’ores et déjà annoncé un plan de relance. Les Banques Centrales et en particulier la FED, qui, depuis septembre, a réinitié des opérations de refinancement comme la BCE (qui n’a jamais cessé de le faire), conserveront un biais accommodant et continueront d’abonder les marchés de liquidités.

    Il y a eu un avant et un après été 2019 pour la plupart des compagnies d’assurance : la forte baisse des taux a fortement impacté leur solvabilité que les régulateurs tiennent à stabiliser voire faire remonter. Elle pousse les assureurs vers un allongement de leurs achats, le crédit IG, les dettes périphériques, ainsi que les banques, pour couvrir leur gap de duration actif/passif. Ces flux, massifs limitent toute tension majeure sur les taux, européens en particulier, et la compression des primes de risque périphériques ou de crédit IG. La recherche de rendement reste d’actualité, y compris sur des actifs plus risqués.

    Fin 2019, les indicateurs semblent montrer que la croissance économique des pays émergents a passé le point bas. Les prévisions économiques suggèrent une croissance 2020 proche de celle de 2019 ; le rythme trimestriel ne montre pas de rebond important. La croissance de la Chine montre un léger ralentissement entre 2019 et 2020. Cette stabilisation de la croissance reste néanmoins soumise aux tensions géopolitiques, à des progrès sur la résolution de la guerre tarifaire entre la Chine et les Etats-Unis et au maintien des politiques accommodantes des Banques Centrales. La pause récente de la FED dans la réduction de son taux directeur ne devrait pas infléchir mais atténuer les baisses de taux des principales banques centrales des pays émergents, nombreuses en 2019. Celles-ci disposent encore d’une marge de manoeuvre au regard de l’évolution actuelle de leur inflation qui reste, en général, à l’intérieur de l’inflation cible des Banques Centrales. L’environnement actuel, avec un dollar et un prix du pétrole stable devrait rester peu inflationniste en 2020. Le résultat des élections législatives, présidentielle et locale en Argentine, en Inde, en Ukraine, en Afrique du Sud, en Turquie, en Roumanie… ont pu modifier les anticipations des futures politiques économiques, comme en Argentine avec la défaite de M. Macri et le retour des péronistes au pouvoir et en Ukraine avec l’élection de V. Zelinsky et l’arrivée d’un gouvernement pro-réforme.

    Les fortes tensions sociales de ces derniers mois, en réponse aux inégalités économiques, à l’austérité budgétaire, à la corruption et aux privations des libertés ont augmenté la pression sur les gouvernements et les répercussions sur les politiques économiques et budgétaires se matérialiseront sur certains pays en 2020. Les relances budgétaires peuvent également jouer un rôle dans la reprise de la croissance économique mais elles restent limitées au pays ayant une solide base financière (endettement peu élevé, des déficits maitrisés, un large refinancement domestique). Nous demeurons enfin positifs sur la dette émergente IG HC.

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    news-1853 Fri, 17 Jan 2020 10:42:28 +0100 2020, répétition peu probable de 1995 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/2020-repetition-peu-probable-de-1995/ Par Jean-François Jolivalt, Gérant Multi Asset, La Française AM. Les grèves contre la réforme des retraites se poursuivent désormais depuis plus de 40 jours. Un record dans l’histoire récente de notre pays ! Le souvenir des grèves de 1995 reste bien évidemment dans toutes les têtes. A l’époque, L'INSEE avait estimé l’impact de ce mouvement social autour de -0,2% de croissance. Paris et sa région ainsi que les secteurs de l’énergie, des télécommunications, de l’éducation ou encore de la santé avaient été particulièrement touchés. 

    On peut aujourd’hui légitimement se poser la question de l’impact des grèves actuelles. Les deux épisodes partagent, il est vrai, un certain nombre de similarités : la région parisienne paye un lourd tribut. Les secteurs de la restauration, du tourisme ou encore du commerce de détail sont à nouveau les plus touchés. La comparaison s’arrête là ; 2020 n’est pas 1995. Le commerce en ligne a permis de limiter la casse sur la consommation des ménages notamment autour de la période cruciale des fêtes de Noël. Les difficultés des salariés dans les transports sont certes quotidiennes, pour autant télétravail et covoiturage se sont très largement développés, réduisant de fait l’impact des grèves sur les entreprises… à tel point que les dernières enquêtes de conjoncture se maintiennent, notamment en comparaison avec notre voisin Allemand. Les données économiques françaises n'indiquent pas de ralentissement majeur du secteur industriel malgré le coup de frein de l'industrie manufacturière mondiale. Signe que les choses ont bien changé, le dernier baromètre industriel d'Ernst & Young place a même placé la France comme le pays le plus attractif d'Europe pour les investissements étrangers. 

    Récemment Bruno Le Maire déclarait que les grèves dans les transports n'auraient qu’un impact limité sur la croissance et l'emploi. Nous partageons cette analyse. Nos prévisions font aujourd’hui état d’une croissance de +0,3% au 4ème trimestre 2019. Un compromis entre le gouvernement français et les syndicats réformistes semble se dessiner. Ce dernier développement permet d’envisager une sortie du conflit et un impact minime sur le premier trimestre de cette année. Toutefois, la marge de négociation reste limitée. Si les deux parties ne parvenaient pas à s’entendre, la croissance pourrait être orientée à la baisse. 
     

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    news-1851 Tue, 21 Jan 2020 10:00:00 +0100 La Française, mandatée par PFA pour un portefeuille de résidences seniors /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-mandatee-par-pfa-pour-un-portefeuille-de-residences-seniors/ La Française a récemment signé un mandat avec PFA, un des plus grands fonds de pension Danois, pour constituer et gérer un portefeuille de résidences seniors. Le mandat prévoit un engagement de 100 millions d'euros de fonds propres. Les actifs seront acquis neufs en VEFA et investis sur le territoire Français. PFA a saisi l'opportunité d'investir dans une catégorie d'actifs qui reste sous-représentée. En effet, le parc disponible de logements pour personnes âgées - segment solvable en croissance - ne peut accueillir en France qu'un faible pourcentage de la population âgée de 75 ans et plus. PFA a choisi La Française en tant que partenaire privilégié pour déployer une stratégie immobilière visant ces résidences seniors. La Française bénéficie aujourd’hui d'une expertise de longue date sur ce segment de marché, avec déjà plus de 330 M€ d'actifs par l'intermédiaire de mandats de gestion ou fonds collectifs détenant 18 résidences seniors. 

    « Nous sommes heureux d'investir dans une catégorie d'actifs stratégique qui offre l'avantage de biens résidentiels avec un profil « risque-rendement » intéressant et un fort impact sociétal. Avec la Francaise, nous avons trouvé un partenaire idéal qui dispose d'une expérience solide pour déployer notre vision de l’investissement immobilier à long terme », nous explique Michael Bruhn, directeur général de PFA.

    « Ce partenariat avec un acteur institutionnel de premier plan tel que PFA, permet à La Française d'accélérer son positionnement stratégique dans le secteur des résidences seniors en plein essor, répondant non seulement à une demande sociétale structurelle, mais aussi à notre démarche d'investissement durable », a déclaré Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.

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    news-1847 Fri, 17 Jan 2020 10:00:00 +0100 La Française Rendement Global 2025 dépasse la barre du milliard de dollars /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rendement-global-2025-qui-depasse-la-barre-du-milliard-de-dollars/ La Française a le plaisir d’annoncer que seulement deux ans après sa création(1), La Française Rendement Global 2025 a vu ses encours de gestion atteindre 958 millions d’euros (soit 1,075 milliard USD). Ce fonds à échéance comprend un portefeuille global diversifié de 160 émetteurs de dette High Yield, affichant une notation moyenne de B+ et avec un rendement net moyen2 de 3,48 % (source : La Française, au 31/12/2019). Il est géré par Akram GHARBI, Thibault CHRAPATY, Gabriel CRABOS et Jaafar IBARAGHEN. La Française AM gère actuellement près de 8 milliards d’euros en crédit.

    Fonds à échéance High Yield, La Française Rendement Global 2025 est le fruit de 20 ans d’expérience et de 2,3 milliards d’euros sous gestion (fonds à maturité). L’objectif de la stratégie est d’atténuer les risques de taux et de crédit, tout en s’efforçant d'offrir un taux de rendement attractif. Concernant le risque de crédit, le fonds couvre un univers d’investissement étendu qui regroupe un large éventail de pays et d’émetteurs, dont les marchés émergents. La Française accorde une place essentielle à la sélectivité dans un environnement où la qualité de crédit reste satisfaisante mais où il est essentiel de faire preuve de discernement compte tenu de l’augmentation potentielle des événements de défaut, notamment dans les secteurs cycliques, qui pâtissent particulièrement de la guerre commerciale et du ralentissement économique. La stratégie concilie portage, pour pouvoir profiter des nouvelles opportunités susceptibles de se présenter sur le marché, et arbitrage, en cas d’augmentation du risque de défaut pesant sur l’un des émetteurs détenus en portefeuille.

    Akram Gharbi, le gérant du fonds, est convaincu que les investisseurs, confrontés à la faiblesse des taux d’intérêt, n’ont pas d’autre choix que de se tourner vers des segments plus dynamiques tels que le haut rendement. « À l’exception de la hausse des taux de défaut observée aux États-Unis en 2015/2016 dans le sillage de la crise du pétrole et du gaz, le taux de défaut global des obligations à haut rendement est inférieur à 3% par an depuis 10 ans (source : Bank of America Merrill Lynch). Le haut rendement est l’une des rares classes d’actifs qui continue à offrir des performances relatives attractives. À en juger par sa collecte nette, le fonds doit son succès à la pertinence de sa stratégie d’investissement, qui lui permet de tirer son épingle du jeu dans un contexte de taux faibles ».

    La Française Rendement Global 2025 implique certains risques, dont le risque de perte en capital, le risque de taux d'intérêt, le risque de défaut lié aux émetteurs des instruments de dette, etc.

    1 Le compartiment est issu de la fusion absorption du FCP La Française Rendement Global 2025 créé le 30 août 2017, de stratégie identique et absorbé le 05/12/2018.
    Après déduction des frais courants et des frais de couverture.

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    news-1846 Thu, 16 Jan 2020 10:37:38 +0100 Marché immobilier : quelles perspectives pour 2020 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/perspective-2020/ L’année 2019 aura été une excellente année pour le marché immobilier sur fond de baisse des taux. 2020 devrait voir une extension du cycle immobilier avec des taux durablement bas voire connaître de nouvelles compressions et présenter de nouvelles poches de hausse de loyer. Sur le marché de l’investissement, les actifs immobiliers continueront à attirer les capitaux grâce à leur capacité de résilience due à une prime de risque immobilière qui reste confortable. De nouvelles compressions de taux sont attendues sur l’ensemble des classes d’actifs à l’exception du commerce. Après une compression d’environ 100 points de base sur les neuf premiers mois de l’année 2019, les taux de rendement prime bureaux, en Europe, en 2020 devraient connaître une nouvelle baisse d’un niveau au moins égal. Les actifs dits alternatifs (hôtellerie et résidentiel géré) devraient attirer un nombre croissant d’investisseurs en ce qu’ils apportent de la diversification grâce à des fondamentaux décorrélés des cycles économiques locaux. L’investissement à l’international devrait servir de relais de croissance à de nombreux investisseurs domestiques, dans des marchés où la compétition à la demande s’accentue et l’offre s’émousse. Les commerces pourraient connaître un regain d’intérêt de la part des investisseurs grâce à une poursuite du mouvement de correction des prix.

    La montée des incertitudes et le ralentissement de l’activité économique en zone euro devraient toutefois entraîner une modification de l’appétit pour le risque des investisseurs, au regard de la rémunération très faible de ce risque.

    Les marchés utilisateurs devront intégrer les évolutions liées aux nouveaux usages avec le décloisonnement des lieux de travail et des espaces de vie, le développement des services et une nécessaire flexibilité. Le marché locatif bureaux, qui a ralenti en 2019, devrait atterrir en douceur en 2020. La nouvelle année devrait voir la demande revenir vers des volumes plus conventionnels et une véritable dichotomie s’opérer entre localisations centrales et périphéries. Des poches de création de valeurs perdurent grâce à des progressions de loyers attendues dans les marchés où les tensions à l’offre s’accentuent. Le développement de zones où le tertiaire s’inscrit dans une mixité urbaine constitue autant d’opportunités.

    2020 verra le durcissement des obligations réglementaires environnementales et notamment l‘entrée en vigueur du décret tertiaire portant sur l’obligation d’amélioration de la performance énergétique des bâtiments à usage tertiaire.

    Le résidentiel devrait offrir de bonnes performances portées par le phénomène de métropolisation et la baisse du taux d’accession à la propriété. Les actifs les plus performants seront ceux qui répondent aux évolutions démographiques : une population plus urbaine avec un nombre croissant de seniors et une accélération du phénomène de décohabitation. De nombreuses initiatives devraient voir le jour pour améliorer la solvabilité des ménages qui reste un point d’attention dans la plupart des grandes métropoles européennes.

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    news-1844 Thu, 16 Jan 2020 10:19:00 +0100 Un créateur de richesse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-createur-de-richesse/ À en juger le cours de l’histoire, le rythme des changements s'accélère. Les implications sont nombreuses pour la société et les investissements, et l’impact sur la production économique des États-Unis est significatif depuis deux ans.

    • Sur le long terme, la croissance du PIB réel par habitant s’inscrit sur une tendance à la hausse. Entre 1650 et 1800, la progression du PIB réel par habitant était de 0,5 %. Entre 1800 et 1950, elle était de 1,4 % avant de s’établir à 1,9 % entre 1950 et 2019, soit presque quatre fois plus qu’en 1650.
    • La vitesse croissante des innovations joue un rôle crucial dans l'évolution du PIB, comme nous l’avons abordé par le passé dans notre article « The Enduring Force of Innovation ». Ce rythme accéléré s'avère exacte dans le segment des puces d'ordinateurs (comme le prévoyait la célèbre Loi de Moore), mais également dans les télécommunications sans fil, l'énergie, le stockage des informations et l’intelligence artificielle.
    • Malgré une croissance économique mondiale vraisemblablement inférieure à ce qu’elle n’était il y a quelques années, la tendance sous-jacente qui se construit autour des innovations reste solide. Cette dernière pourrait insuffler d’importants développements perturbateurs au cours des prochaines décennies à mesure que la nouvelle révolution technologique se met en marche (voir notre article : « A New Era Emerges: The Age of Connected Intelligence »).
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    news-1837 Thu, 09 Jan 2020 10:00:00 +0100 La Française REM acquiert un immeuble de bureaux en Vefa à Wasquehal /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-en-vefa-a-wasquehal/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’AVENTIM un immeuble de bureaux en VEFA à Wasquehal. L’actif est situé au sein du Parc du Verseau le long des Grands Boulevards reliant le parc au centre de Lille. L’immeuble, qui développe une surface utile de 5 166 m², est entièrement pré-loué à un monolocataire de renom dans le cadre d’un BEFA de 9 ans fermes. Livrable au 3T 2021, cet immeuble vise la certification BREEAM Very Good.  

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’Organisme de Placement Collectif Immobilier LF OPSIS Patrimoine.

    Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial GRAF et le cabinet JEANTET ; AVENTIM était conseillée par l’office notarial TSD Notaires. Les deux parties étaient conseillées par le Cabinet TOSTAIN et LAFFINEUR. 

    Risques associés OPCI LF OPSIS Patrimoine : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risque de concentration, risques liés à l’endettement, risque de contrepartie, risques liés aux marchés financiers.
     

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    news-1830 Thu, 26 Dec 2019 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert le Colombia à Bois Colombes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-colombia-a-bois-colombes/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis un immeuble de bureaux, le Colombia, situé au 60 avenue de l’Europe à Bois-Colombes au cœur de la ZAC des Bruyères. L’actif qui développe 10 178 m² a été restructuré en 2019. Il est loué à 87% à deux locataires. Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière et LF Grand Paris Patrimoine. 

    Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associés, le cabinet Jeantet et Archers ; le vendeur était conseillé par l’office notarial Victoires, Racine Avocats et par Crédit Foncier Immobilier (Groupe BPCE) dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Strategies & Corp.

    Cette acquisition a été partiellement financée par la banque Helaba assistée de LPA-CGR avocats. 

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1826 Wed, 25 Dec 2019 09:00:00 +0100 Avis aux actionnaires – SICAV La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-actionnaires-sicav-la-francaise/ Nous informons les actionnaires de la SICAV « La Française » qu’à compter du 27 décembre 2019, les modifications suivantes seront apportées à la documentation juridique de la SICAV Compartiments : « La Française Carbon Impact 2026 », « La Française Rendement Global 2028 », « La Française Rendement Global 2028 Plus » :

    Possibilité pour ces fonds à échéance d’investir dans des titres dont la maturité peut aller au-delà d’un an au plus par rapport à la date d’échéance du fonds. Cependant la maturité moyenne du portefeuille n’excédera pas la date d’échéance du fonds.

    Ces modifications entreront en vigueur à compter du 27 décembre 2019.

    Les autres caractéristiques de la SICAV « La Française » et de ses compartiments demeurent inchangées.

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    news-1825 Mon, 23 Dec 2019 14:08:39 +0100 Livraison du nouveau siège de la Métropole Européenne de Lille /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/livraison-du-nouveau-siege-de-la-metropole-europeenne-de-lille/ Ce vendredi 20 décembre, les équipes de Linkcity Nord-Est et de Bouygues Bâtiment Nord-Est ont livré le Biotope après 19 mois de travaux et avec 7 jours d’avance sur le calendrier prévisionnel. Alain Bezirard, Vice-président de la Métropole Européenne de Lille en charge du patrimoine métropolitain et Fabrice Lhomme, Responsable de Programmes à La Française (filiale du Groupe Crédit Mutuel Nord Europe) se sont vus remettre symboliquement les clés du bâtiment.

    Construire un bâtiment de bureaux de 30 000 m2 en seulement 19 mois : un pari ambitieux mais tenu par Linkcity Nord-Est et Bouygues Bâtiment Nord-Est. Les équipes du projet sont même parvenues à anticiper d’une semaine la livraison prévue initialement le 27 décembre.

    « Le Biotope est né de l’ambition d’implanter un bâtiment de dimension européenne, au coeur du 3ème quartier d’affaires de France. Le succès du projet témoigne de sa parfaite cohérence avec son marché et du dynamisme de la métropole en matière d’immobilier tertiaire. Il sera pour longtemps une référence majeure du territoire. »

    Laurent Mourey,
    Directeur général adjoint de Linkcity France

    « Le Biotope est un projet hors-norme à plusieurs titres. Il s’agit à la fois d’un symbole du territoire, d’un emblème architectural et d’une référence environnementale. L’ensemble a été construit dans un délai record, sans concession sur la qualité de réalisation. Un tel challenge n’aurait pu être relevé sans la collaboration exemplaire qui s’est nouée entre les acteurs. Nous avons su nous fédérer autour d’une ambition commune : la réussite totale du projet. »

    Philippe Jouy,
    Président de Bouygues Bâtiment Nord-Est

    « Le respect des attentes et du délai s’est joué en grande partie avant même le début des travaux. L’anticipation des études nous a permis de déterminer très en amont les modes constructifs et les solutions techniques qui nous ont fait gagner du temps par la suite. Au lancement du chantier, la partition était complète et précise. L’enjeu était ensuite de la jouer sans fausse note et en harmonie avec les équipes des investisseurs, de la MEL et des architectes »


    Philippe Poustoly,
    Directeur Grands Projets chez Bouygues Bâtiment Nord-Est et responsable du projet

    « Après 19 mois de travaux, le quartier d’affaires Euralille va désormais accueillir les 2 700 agents de la MEL dans un ensemble de 30 000 m² répondant à des standards environnementaux d’excellence. Il s’agit du plus grand bâtiment de bureaux construit depuis ces 10 dernières années dans la métropole lilloise. Ce nouvel investissement du Crédit Mutuel Nord Europe, par l’intermédiaire de La Française, démontre notre engagement à soutenir des projets d’urbanisme responsables. »

    Eric Charpentier,
    Directeur Général du Crédit Mutuel Nord Europe

    « La MEL reçoit aujourd’hui les clés du Biotope. Elle va mettre à profit les prochaines semaines pour préparer son déménagement qui interviendra courant mars. Ce bâtiment, en plus d’être exemplaire d’un point de vue environnemental, végétalisé, et avec une haute performance énergétique, favorisera la mise en place de nouvelles méthodes de travail et contribuera à faire de notre métropole une institution du XXIe siècle. »

    Alain Bezirard
    Vice-président de la Métropole Européenne de Lille en charge du patrimoine métropolitain

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    news-1824 Mon, 23 Dec 2019 09:23:30 +0100 Risque climatique et secteur financier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/risque-climatique-et-secteur-financier/ C’est un des sujets qui agite les milieux financiers, et ce n’est probablement que le début, mais la concordance des temps de deux publications d’acteurs français incontournables est significative. Alors que le bulletin de la Banque de France (BdF) de septembre-octobre avait pour thème "changement climatique : quels risques pour le secteur financier" ce même mois de septembre a vu Finance for Tomorrow (F4T) publier un rapport "le risque climatique en finance, concepts, méthodes et outils d’analyse" visant à fournir des clés de compréhension pour tous les acteurs, et ils devraient être nombreux, concernés par la gestion du risque climatique en finance.
    Sans compter bien évidemment deux autres rapports commis à l’été par le GIEC sur les liens entre changement climatique et agriculture d’un côté et océans et cryosphère de l’autre, ni les multiples annonces et engagements depuis le G7 de Biarritz jusqu’à la semaine pour le climat à New-York en passant par la nouvelle Présidente de la Commission Européenne et le Green Deal. 

    Les risques climatiques sont désormais bien identifiés et de trois formes : risque physique, risque de transition et risque de responsabilité. Les outils d’analyse de ces risques sont quant à eux essentiellement de deux ordres :

    • Un outil de mesure des émissions de CO2 : l’empreinte carbone.
    • Et des outils d’évaluation des risques : la part verte/part grise, les indicateurs d’impacts

    financiers, les indicateurs d’alignement à une trajectoire 2° ou encore les scores d’exposition au risque.

    A ce jour, alors que le risque de transition est de mieux en mieux compris, le risque de responsabilité représente encore un angle mort des risques climatiques tandis que le risque physique n’est souvent pas perçu comme une menace potentielle. 

    Mais l’élément clé de la finance climatique réside dans l’appropriation des métriques et des analyses en interne. Il est essentiel que le risque climat soit géré comme un risque financier classique et que l’expertise soit internalisée pour pouvoir comprendre et analyser les chiffres, affiner les méthodologies. Le risque climat doit donc prendre toute sa place au sein des organes de gouvernance, au sein de la gestion des risques classique et bien sûr dans la mise en place des stratégies d’entreprises. Le temps n’est plus à l’exercice de communication ni au traitement de ce risque par des experts isolés en dehors des systèmes d’information des acteurs financiers. La finance climat doit être au cœur de notre métier.

    Pour lire le bulletin de la banque de France

    Pour lire le rapport de F4T

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    news-1820 Fri, 20 Dec 2019 10:02:18 +0100 Lancement de l'Université de la Ville de Demain /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lancement-de-l-universite-de-la-ville-de-demain/ La Fondation Palladio et La Fabrique de la Cité, en partenariat avec l’Institut Montaigne, ont annoncé la création de l’Université de la Ville de Demain, le 17 décembre dans la Grande Galerie de l’Évolution du Muséum national d’Histoire naturelle à Paris, lors d’un dîner rassemblant une centaine de personnalités politiques, experts et dirigeants d’entreprises opérateurs de villes et d'équipements urbains. Ce nouveau rendez-vous annuel unique, dédié aux grands enjeux urbains et immobiliers et à destination des décideurs publics et privés, nationaux et internationaux, offrira à l’automne 2020 un forum commun à ceux qui gouvernent, conçoivent, financent et construisent les villes, ceux qui en parlent et ceux qui les vivent.

    C’est dans les villes, où vit déjà la plus grande part de la population mondiale, que s’expriment le plus manifestement les opportunités et les tensions propres aux grandes transitions de ce siècle : démographique, numérique, sociale et environnementale. C’est aussi dans les villes que se préparent les réponses à ces nouveaux défis planétaires. En réunissant des décideurs économiques et politiques, des chercheurs, des représentants de la société civile et des médias, la Fondation Palladio et La Fabrique de la Cité appellent les acteurs de la ville, qui portent une responsabilité commune, à s’unir pour faire face à ces enjeux inédits et coopérer pour faire émerger les solutions de demain.

    La 1ère édition de l’Université de la Ville de Demain proposera de développer une approche décloisonnée des défis à relever et d’élaborer des solutions concrètes autour de la thématique : « La ville bas carbone pour tous est-elle possible ? »

    « Oui il y a la diplomatie et les Etats pour faire avancer la négociation climatique internationale. Mais tout cela ne peut fonctionner si deux acteurs fondamentaux ne sont pas au rendez-vous, à savoir les villes d’une part et les entreprises d’autre part. Nous sommes en situation de responsabilité dès lors que nous travaillons pour, dans, et avec les villes. Comment pouvons-nous tous collectivement travailler ensemble à construire cette ville de demain, cette ville zéro carbone pour tous ? », souligne Cécile Maisonneuve, Présidente de La Fabrique de la Cité.

    « Nous avons à exercer ensemble une responsabilité. Cet exercice de la responsabilité ne peut se faire qu’avec des regards et des horizons différents. Avec La Fabrique de la Cité, qui travaille sur la ville et le futur, et la Fondation Palladio, qui réunit aujourd’hui tous les acteurs qui concourent à la construction de la ville, nous proposons avec cette Université de la Ville de Demain un mode inédit de collaboration et de coproduction pour que les villes et les lieux de vie soient les plus humains, vivables, durables, inclusifs et créateurs de valeur », ajoute Bertrand de Feydeau, Président de la Fondation Palladio.

    La Fondation Palladio et La Fabrique de la Cité ont nommé Axel Nevers pour mener à bien ce projet ambitieux et mobilisent d’ores et déjà l’ensemble des acteurs concernés autour de travaux préparatoires qui s’organiseront jusqu’à l’automne.

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    news-1819 Fri, 20 Dec 2019 10:00:00 +0100 La Française REM acquiert l'immeuble de coliving The Babel Community à Marseille /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-l-immeuble-de-coliving-the-babel-community-a-marseille/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’Axis un immeuble mixte situé au coeur de Marseille, rue de la République. Restructuré en 2017, l’immeuble, d’une surface totale de 4 032 m² est composé d’un bâtiment en pierre de taille au 70 rue de la République et d’un immeuble neuf à l’arrière, donnant sur la rue Trinquet. Il s’agit du premier immeuble en France dédié au coworking et au coliving.

    Il dispose ainsi d’appartements en coliving, d’appartements individuels, d’espaces de coworking et de salles de réunions, ainsi que d’un restaurant au rez-de-chaussée. Il bénéficie également d’un espace fitness et d’une salle de projection.

    L’immeuble est intégralement loué à l’enseigne THE BABEL COMMUNITY, leader français du marché du coliving, pour une durée ferme de 12 ans.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés, le cabinet KPMG ; Axis a été conseillé par l’office notarial Feraud - Voglimacci.

    Les deux parties étaient conseillées par CBRE.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1816 Thu, 19 Dec 2019 10:00:00 +0100 Une information qui risque de vous surprendre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-information-qui-risque-de-vous-surprendre/ Malgré l’actualité négative entourant la possible destitution de Donald Trump, la croissance et les guerres commerciales, l’indice S&P 500 est en train de signer sa deuxième meilleure performance annuelle depuis plus de 20 ans. À l’approche de la dernière ligne droite de 2019, il est temps de faire le bilan de cette année sur les marchés actions. Performances de janvier à fin novembre

    • Dans notre présentation Alger Winter Capital Markets, nous avions prévu des performances potentiellement robustes pour 2019. En effet, nous avions remarqué que les fortes baisses de valorisation sont souvent suivies par des rebonds soutenus et qu’en moyenne, la performance historique de l’indice S&P 500 s'est établie à 19 % dans les années suivant les reculs à deux chiffres des ratios PER. De fait, en 2018, le PER du S&P 500 a subi son deuxième repli le plus prononcé en trente ans en chutant de 21 %.
       
    • En 2019, le PER du marché s’est redressé de plus de 20 % et les prévisions de bénéfices à 12 mois ont aussi légèrement augmenté. Selon nous, cette hausse des PER a été soutenue par l’idée, plus répandue, que la récession serait évitée à court terme. La Fed a abandonné sa politique monétaire restrictive en raison de conditions économiques difficiles, pour une posture plus conciliante qui a fourni un nouvel élan à plusieurs indicateurs tels que les demandes de crédit immobilier et l’activité industrielle (selon les indices de directeurs d’achat, PMI).
       
    • Même si le PER du marché semble aujourd’hui élevé par rapport aux niveaux historiques, les valorisations nous paraissent plus raisonnables au regard de la faiblesse des taux d’intérêt et de la génération accrue de free cash-flow des entreprises, conséquence de la transformation de l'économie et des business models (lire Alger On the Money « Evaluating Valuations »). Une année de performances solides n’exclut donc pas la possibilité d’autres gains à l’avenir.
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    news-1813 Thu, 12 Dec 2019 10:30:00 +0100 La Française Sub Debt dépasse 1 milliard d’USD en actif sous gestion /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-sub-debt-depasse-1-milliard-d-usd-en-actif-sous-gestion/ La Française a le plaisir d’annoncer que La Française Sub Debt a atteint 923 millions d’euros (1.017 USD) en actif sous gestion. Le fonds est un portefeuille diversifié d'environ 150 titres de dettes subordonnées avec une notation moyenne BB (Source : La Française, au 30/11/2019), co-géré par Paul Gurzal, Head of Credit qui a rejoint La Française en 2008, et par Jérémie Boudinet, Fund Manager. Au total, La Française AM gère 1,4 milliard d'euros en dette subordonnée.

    Le track record de Paul Gurzal, gérant du fonds depuis sa création en 2008, et de Jérémie Boudinet attire l'attention des investisseurs professionnels en Europe. Depuis janvier dernier, le fonds a enregistré une collecte nette de 230 millions d'euros (30/11/2019).  L'horizon de placement recommandé du fonds est supérieur à 10 ans et sa performance nette cumulée s'élève à 124 % (30/11/2019) depuis sa création (20/10/2008), dépassant l'objectif de performance de 112%. Pour cette période, le rendement annualisé du fonds a affiché 7,54 %, comparé à son objectif annuel de 7 %.

    Paul Gurzal, qui reste optimiste par rapport aux perspectives de la dette subordonnée, fait remarquer : " Les dettes subordonnées représentent une alternative aux obligations High Yield, dites spéculatives. Elles permettent aux investisseurs de s'exposer à des sociétés financières et non financières qui, dans notre processus de sélection, sont pour la plupart notées Investment Grade. Les obligations subordonnées comportent des risques structurels mais peuvent ajouter un meilleur carry aux portefeuilles obligataires, car leurs rendements moyens restent largement positifs".

    Paul Gurzal détient la notation Citywire "AAA" pour sa performance ajustée au risque sur trois ans, pour la période du 30/11/2016 au 30/11/2019 (Source & copyright : Citywire).

    La part C du fonds a connu une performance nette cumulée YTD de 13,88 % au 30/11/2019 et sur les dix dernières périodes calendaires de 12 mois de : -6,45% (2018), +13,42% (2017), +5,8% (2016), -0,60% (2015), +9,11% (2014), +11,2% (2013), +35,33% (2012), -24,99% (2011), +4,89% (2010), +28,87% (2009). (Source : La Française AM) Il convient de noter qu'un investissement dans le fFonds comporte certains risques dont le risque de perte en capital, le risque de taux d'intérêt, le risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés, etc. 

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    news-1812 Mon, 16 Dec 2019 11:02:38 +0100 Retour sur la conférence de L'OID /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retour-sur-la-conference-de-l-oid/ Comment adapter le secteur immobilier à un monde à +2° voire +4° C ? L’OID (Observatoire de l’Immobilier Durable) a abordé ce sujet dans le cadre de la 11e conférence du cycle Immobilier & Prospectives qui s’est tenue au siège de La Française en partenariat avec le Plan Bâtiment Durable et la ville de Paris.

    La conférence a été introduite par Laurent JACQUIER-LAFORGE, Global head of Sustainable Investing – La Française, et animée par Gérard DEGLI ESPOSTI, Directeur ISR Immobilier et Président de l’OID.

    La première partie a vu intervenir Catherine LARRERE, Philosophe et professeure émérite – Université de Paris-La Sorbonne, qui a abordé ce sujet complexe sous l’angle de l’éthique environnementale, en citant un extrait de L’Esprit des Lois de Montesquieu (1689-1755).

    Cette prise de recul nous permet de recadrer la question du rapport entre homme et nature. Catherine Larrere nous invite à y réfléchir. Aujourd’hui, le système Terre dans son ensemble est affecté par les sociétés industrielles parce que les ouvrages des hommes survivent aux hommes (Henning Mankell). Le changement climatique est au fond le résultat, non pas de ce que nous avons voulu, mais de ce que à quoi nous n’avons pas pensé !

    La période durant laquelle l’homme a façonné très fortement la nature (anthropocène) aura des conséquences qui se produiront bien au-delà de l’extinction de l’humanité (ex : les déchets radioactifs, le changement climatique, l’érosion de la biodiversité etc.).

    Habiter la terre autrement

    Il ne suffit pas de savoir quoi faire mais de savoir comment faire, et en cela, le travailn philosophique peut être utile. Notre attitude a été longtemps de conquérir, dominer discipliner la nature dans une posture de pouvoir, d’exploitation, de destruction… mais faut-il pour autant totalement tourner le dos au passé ? Comment alors inclure la nature dans la moralité ?

    Notre existence est confrontée à des temps courts (le temps humain, de l’économie, de la politique) et les temps longs de la nature.

    La bonne durée est celle qui correspond à la fois à une durée humaine et à une durée naturelle ; et la bonne posture est de considérer l’homme comme partie de la nature, en cessant de parler de l’homme ET de la nature.

    Il ne suffit pas de parler de nature avec respect, puisque les ouvrage des hommes s’imbriquent dans la nature et survivent aux hommes. La question est : quelle signature laissons-nous ?

    L’éthique de la nature n’est pas séparée de l’éthique des hommes. Alors qu’il existe, du fait de son action, une vulnérabilité de l’Homme face à la nature, il devient nécessaire d’engager un rapport plus moral à la nature en développant les éthiques environnementales du soi et de l’attention : habiter la Terre autrement.

    Cette introduction philosophique s’est poursuivie par une table ronde à laquelle participaient Jérôme DUVERNOY, (ONERC), Jérôme GATIER, (Plan Bâtiment Durable) et Stéphanie CHEVALLIER, (Nexity).

    Le bilan des perspectives climatiques dressé par Jérôme DUVERNOY, +1,5°C en France depuis 1900, 50 % des forêts métropolitaines soumises à un risque élevé d’incendie en 2050, une sécheresse estimée en 2050 à un manque de 3Mds de m3 (d’eau ?), s’est poursuivi par la présentation d’un projet d’aménagement de ville innovant par la prise en compte de la nature et par des témoignages de bonnes pratiques.

    Davantage tournée vers la modélisation climatique et les solutions d’adaptation, la seconde partie de la conférence a permis de mesurer les évolutions passées du climat, les tendances à venir, et la manière dont elles s’appliquent d’ores et déjà à la construction des bâtiments.

    Retrouvez les vidéos de la conférence sur la chaîne YouTube de l’OID.

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    news-1811 Mon, 09 Dec 2019 14:45:12 +0100 La transition Pathway initiative /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-transition-pathway-initiative/ Une analyse de l’alignement des entreprises avec une trajectoire 2° Le Club Zero Carbon de La Française recevait le 26 novembre Nadine Viel Lamare, Directrice de la Transition Pathway Initiative (TPI)*. Une initiative que La Française apprécie et est heureuse de promouvoir.

    Post COP 21, des investisseurs institutionnels se sont creusés la tête : comment faire pour analyser les portefeuilles dans la perspective de respecter une trajectoire de réchauffement limitée à 2° ? quelles sont les sociétés dont les pratiques et les politiques sont en ligne avec les Accords de Paris? Sans outils à leur disposition, certains de ces investisseurs ont décidé de se réunir et d’en créer un, dont les principes fondateurs seraient :

    • Disposer d’un outil gratuit et utile à tous les investisseurs y compris les plus petits ;
    • Être transparents sur les données, la méthodologie et les résultats ;
    • N’utiliser que des données publiques ;
    • Bâtir des méthodologies sectorielles robustes en partenariat avec une solide référence académique : la London School of Economics (LSE).

    Début 2017, la TPI voit le jour. La méthodologie mise en place analyse les entreprises sur 2 axes :

    1. Management Quality
    s’intéresse à la gouvernance, la stratégie, les objectifs, les structures mises en place par les entreprises ; cet axe repose sur 19 questions qui sont les mêmes pour tous les secteurs étudiés ;

    2. Carbon Performance :
    analyse une performance basée sur des mesures d’intensité carbone sectorielles en comparant de manière prospective les objectifs que se donne l’entreprise avec diverses trajectoires : celle de l’Accord de Paris, la trajectoire 2° et la trajectoire inférieure à 2°. Si l’entreprise ne publie pas d’objectif, alors la tendance actuelle des émissions de CO2 est projetée dans le futur.

    Les résultats globaux de la performance carbone analysée sur 8 secteurs et 190 entreprises parmi les plus émettrices au monde montrent l’ampleur du chemin qu’il reste à parcourir… seules  16 % des entreprises analysées sont en ligne avec un réchauffement climatique de 2° ou moins, un chiffre qui monte à 30 % lorsque l’on inclut les entreprises alignées avec l’Accord de Paris dont on sait qu’il nous mène à un monde à environ 3°.

    Les ambitions du TPI sont importantes avec la volonté de couvrir plus de secteurs (les transports aériens et maritimes dans les semaines à venir), une extension du nombre des entreprises analysées pour intégrer les plus petites capitalisations boursières et répondre aux besoins du crédit et enfin, évaluer la politique des états afin d’intégrer une évaluation des dettes souveraines.

    A l’heure où nous comprenons véritablement que notre monde change, que le réchauffement climatique et ses conséquences, sociales, sur l’alimentation, en termes de flux migratoires et donc ses conséquences politiques exigent que nous produisions et consommions différemment, chacun doit pouvoir gérer son épargne avec d’autres critères que les seules références financières. Le besoin est réel de nouveaux référentiels à disposition de tous, pour inclure les questions climatiques et sociales dans les scénarios économiques et financiers. En ce sens, le TPI constitue ainsi un apport essentiel et de qualité également utilisé par la « Climate Action 100+ ».

    Alors particulier ou investisseur, épargnant néophyte ou professionnel, l’outil est gratuit, le site reprend toutes les informations nécessaires à sa bonne compréhension (en anglais il est vrai), n’hésitez plus et allez vous renseigner sur un secteur, une ou des entreprises sur le site de la TPI !

    * Nadine Viel Lamare a aussi pendant une dizaine d’année en charge de l’investissement responsable au sein du fonds de pension suédois AP1

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    news-1806 Fri, 06 Dec 2019 09:00:00 +0100 Avis aux porteurs - La Française Convertibles 2020 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-la-francaise-convertibles-2020/ Les porteurs de parts du fonds La Française Convertibles 2020 sont informés qu’à compter du 11 décembre 2019 la documentation règlementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Convertibles 2020 » 

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    news-1805 Thu, 05 Dec 2019 11:07:47 +0100 Modification de la fréquence de distribution de l’OPCI LF OPSIS Patrimoine. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-de-la-frequence-de-distribution-de-l-opci-lf-opsis-patrimoine/ Nous tenions à vous informer du changement du rythme des distributions des 3 parts de l’OPCI LF OPSIS Patrimoine à savoir : - Part Assurance : FR0010810507 - Part Elixime : FR0010899187 - Part Partenaires : FR0010672451 A l’instar des pratiques observées sur le marché des OPCI Grand Public, la distribution sera désormais réalisée à un rythme annuel.

    En conséquence, la dernière distribution trimestrielle interviendra au titre du 4e trimestre 2019, soit en janvier 2020. La distribution suivante aura lieu en janvier 2021 au titre de 2020. Cette modification n’aura aucune incidence sur la performance du fonds.

    Concernant le traitement en assurance vie, cette évolution n’a pas d’impact pour vos assurés. Elle permet également d’alléger le processus de réinvestissement des distributions pour les assureurs.
    En compte titres, seul le rythme des distributions se voit modifié.

    Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.

    Nous vous souhaitons de très bonnes fêtes de fin d’année.


    RISQUES
    Risques en capital : la SPPICAV n’offrant aucune garantie de protection en capital, la valeur liquidative peut être inférieure au prix de souscription. Risques liés à la gestion discrétionnaire : la SPPICAV peut ne pas être investie à tout moment sur les marchés ou les immeubles les plus performants et sa valeur liquidative peut avoir une performance négative. Risques liés au marché immobilier : les investissements réalisés par la SPPICAV seront soumis aux risques inhérents à la détention et à la gestion d’actifs immobiliers. Risque de concentration : la poche immobilière, constituée progressivement, pourra être investie sur un nombre limité d’actifs immobiliers ne permettant pas une dispersion des risques optimale ; de ce fait, la SPPICAV sera potentiellement exposée à un risque de concentration.
    Risques liés à l’endettement : l’endettement a pour effet d’augmenter la capacité d’investissement de la SPPICAV mais également les risques de perte. Risque de contrepartie : le défaut de paiement d’une contrepartie peut entraîner une baisse de la valeur liquidative.
    Risques liés aux marchés financiers : les investissements réalisés par la SPPICAV seront soumis aux risques inhérents à la détention et à la gestion d’actifs financiers, tels les risques action, de taux, de change, de crédit ou encore liés aux pays émergents. Le détail de ces risques est explicité dans la note détaillée de la SPPICAV.
    Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Elles ne sont pas constantes dans le temps

    AGREMENTS 
    La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE - www.amf-france.org. La société de gestion de portefeuille La Française AM a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-97076 du 1er juillet 1997. www.amf-france.org. La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par le CECEI sous le numéro 18673 X, Carte Professionnelle délivrée par la Préfecture de Police de Paris - Transaction Immobilière n° T11960. www.acpr.banque-france.fr. Avant toute souscription l’investisseur doit avoir pris connaissance du prospectus, des risques liés et des documents légaux. Les conditions liées à la liquidité sont décrites dans le prospectus de l’OPCI. Le prospectus est disponible gratuitement sur simple demande auprès de la Société de Gestion ou sur le site internet www.la-francaise.com. La SPPICAV LF OPSIS Patrimoine a reçu le Visa n°SPI20090012 en date du 22 septembre 2009 délivré par l’AMF

    Cette communication est destinée aux seuls Distributeurs, et a pour objet de leur apporter un complément d’information sur les caractéristiques des instruments financiers qu’ils peuvent être amenés à conseiller.
     

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    news-1804 Thu, 05 Dec 2019 11:07:22 +0100 We need hope ! https://blueroom.la-francaise.com/we-need-hope/ Faire [re]naitre l’espoir et faire émerger des projets liés à la nature. news-1802 Thu, 05 Dec 2019 10:28:03 +0100 La disruption au menu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-disruption-au-menu/ Alors que les plateformes de commande de repas en ligne commencent à se développer, les utilisateurs deviennent de plus en plus nombreux et nous avons de bonnes raisons de croire que cette pratique va continuer de gagner des parts de marché sur la restauration sur place et à emporter. Étant donné la transformation inhérente à l’activité de commande de repas en ligne, les investisseurs peuvent avoir envie de surveiller de plus près cet essor. L'utilisation des plateformes de commande de repas en ligne a bondi de plus de 150% aux Etats-Unis

    • Depuis 2017, les plateformes de commande de repas en ligne comme Uber Eats, GrubHub et Doordash ont enregistré une croissance de plus de 150 % aux États-Unis.
    • Ce développement s’explique par la plus grande commodité offerte aux clients et par la diversité beaucoup plus importante des choix de repas proposés. En réduisant le coût de livraison, ces plateformes ont étendu la gamme des repas, autrefois cantonnés aux pizzas et aux plats asiatiques, pour couvrir désormais presque tous les types de cuisine. La commande de repas en ligne sur des plateformes devient donc aujourd’hui une pratique courante pour de nombreux consommateurs.
    • De plus, les plateformes de commande de repas en ligne accumulent de grandes quantités de données sur les tendances de consommation, qui peuvent potentiellement servir à créer des restaurants virtuels. Ces « cuisines fantômes » n’ont pas de véritable vitrine et peuvent être installées dans des entrepôts vides à proximité des centres urbains, avec la possibilité de modifier les menus au quotidien afin de les adapter aux goûts des consommateurs. Grâce aux données des historiques de commandes des plateformes et à la flexibilité permettant de modifier constamment les menus, la restauration virtuelle pourrait devenir un concurrent sérieux pour les restaurants physiques traditionnels.
    • Il sera intéressant de surveiller cette dynamique entre restauration traditionnelle et plateformes de commande en ligne, car ces deux activités se développent grâce à de nouveaux moyens technologiques.

     

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    news-1800 Wed, 04 Dec 2019 17:47:00 +0100 Acquisition du bâtiment B du City Zen à Bois-Colombes (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acquisition-du-batiment-b-du-city-zen-a-bois-colombes-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’Union Investment, le bâtiment B de l’ensemble City Zen, un immeuble de bureaux, situé 1 place Costes et Bellonte à Bois-Colombes, au cœur de la ZAC des Bruyères. L’immeuble développe une surface de 7 800 m² et est loué intégralement à un monolocataire dans le cadre d’un bail long terme. 

    Il bénéficie des labels HQE, BREEAM Very Good et BBC Effinergie. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière et LF Grand Paris Patrimoine. 

    Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associé et le Cabinet GIDE, et Union Investment était conseillé par l’office notarial C&C ; JLL a assisté les deux parties.

    Cette acquisition a été partiellement financée par la banque Helaba. 


    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1798 Wed, 04 Dec 2019 10:00:00 +0100 Acquisition d'un immeuble de bureaux entièrement loués à l'ouest de Bordeaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acquisition-d-un-immeuble-de-bureaux-entierement-loues-a-l-ouest-de-bordeaux/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès du groupe BMG, un immeuble de bureaux entièrement loué. Situé à l’ouest de Bordeaux au sein du parc tertiaire Cadéra Nord, cet immeuble, livré en septembre 2017, développe 4 650 m². Il bénéficie également de deux terrasses au 3ème étage et de 185 emplacements de stationnement, dont 43 en sous-sol. L’arrivée de la ligne A du Tram au pied de l’immeuble est prévue en 2021. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’OPCI Grand Public, LF OPSIS Patrimoine. 

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillé par l’office notarial Allez et Associés et le cabinet Jeantet ; le groupe BMG a été conseillé par l’office notarial de l’Estuaire et CBRE Bordeaux.
    L'acquisition a été partiellement financée par la banque Palatine.   

    Risques associés OPCI LF OPSIS Patrimoine : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risque de concentration, risques liés à l’endettement, risque de contrepartie, risques liés aux marchés financiers. 
     

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    news-1796 Fri, 29 Nov 2019 11:25:11 +0100 Obligations subordonnées - Point Marché /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/obligations-subordonnees-point-marche/ Les risques géopolitiques semblent marquer une pause. Les craintes d’un « hard brexit » s’éloignent et la guerre commerciale est tempérée par une reprise des négociations. Dans cet environnement, et malgré la poursuite du ralentissement macroéconomique, les taux souverains se sont appréciés. Les marchés des dettes subordonnées et de l’Investment Grade sont actuellement portés par l’attente du début du CSPP (programme d’achat de titres d’émetteurs privés de la BCE) début novembre, et par la saison des résultats qui est positive pour les banques et qui confirme la tendance établie à la réduction des prêts non-performants et le recentrage d’activités afin d’optimiser les fonds propres. A titre d’exemple, Caixa Geral de Depositos a notamment conclu la cession de sa filiale espagnole à Abanca tandis que Santander s’est défait de sa partie portoricaine. De manière générale, nous estimons que les agences de notation sont légèrement en retard dans leur appréciation de ces améliorations bilancielles notamment en Espagne, Portugal et Irlande.  
    Dans ce contexte, les AT1 CoCos ont nettement surperformé les autres segments de dettes subordonnées depuis le début de l’année pour des raisons fondamentales. En effet, le secteur bancaire fait partie des rares secteurs à avoir réduit son levier financier même si, comme on pouvait s'y attendre, cette réduction de levier imposé par les régulateurs n'a pas été sans conséquence sur la rentabilité du secteur et des actionnaires. De plus, les AT1 ont bénéficié d’une moindre sensibilité aux mouvements de taux et d’une composante spread plus élevée que bien d’autres secteurs. 
     

    CE DOCUMENT EST RESERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF II
    Publication destinée à un public professionnel. Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et sont susceptibles d’évoluer ultérieurement. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.

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    news-1795 Tue, 03 Dec 2019 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert Identity 2 à Rennes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-identity-2-a-rennes/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès du Groupe Giboire, un immeuble de bureaux, Identity 2, situé à EuroRennes, nouveau quartier d’affaires de Rennes construit autour de la gare multimodale. Livré au 3e trimestre 2019, l’immeuble Identity 2, signé par l’agence Blanchard Marsault Pondevie, développe une surface de 7 875 m² dont 188 m² de commerces.

    La partie bureaux est louée, dans le cadre de deux baux fermes de 6 ans chacun, à Biocoop pour 4 744 m² et à Action Logement (via sa filiale Solendi Expansion) pour 921 m². L’immeuble vise la certification HQE.

    Cette acquisition a été signée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Multimmobilier 2. 

    La Française REM était assistée par l’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES. Le Groupe Giboire était assisté par l’Office Notarial du Guesclin.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

     

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    news-1793 Mon, 25 Nov 2019 15:50:11 +0100 Investir à long terme dans un monde en pleine mutation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/investir-a-long-terme-dans-un-monde-en-pleine-mutation/ Soyons sérieux, les performances des différentes classes d’actifs sur les 20 dernières années ont été portées par la globalisation avec en toile de fond la baisse des taux d’intérêts et une économie très carbonée. Ces moteurs sont aujourd’hui derrière nous et l’allocation d’actifs de long terme doit être repensée maintenant que les taux longs sans risque sont négatifs et que le réchauffement climatique est devenu un enjeu vital !
    Reprenons le raisonnement à la base et mettons-nous à la place d’un investisseur à long terme sans contrainte spécifique de distribution annuelle ou règlementaire :

    Considérations sur le calibrage des allocations d'actifs de long terme
    L'approche traditionnelle de l'allocation stratégique repose sur l'analyse du comportement des actifs en partant des fondements établis par la littérature académique :

    • La rentabilité des actifs suit un processus de retour à la moyenne de faible intensité, les rentabilités historiques moyennes ne sont donc que des estimateurs de peu de précision pour le futur ; il est nécessaire de recourir à des rentabilités attendues qui reposent sur des hypothèses d'évolution des revenus générés par les actifs ou de primes de risque par rapport au taux sans risque.
       
    • Le risque des actifs, variance/volatilité et covariances/corrélations, suit un processus de retour à la moyenne de forte intensité ; il peut être apprécié en s'appuyant sur une approche probabiliste permettant d'évaluer des intervalles de confiance à partir de données historiques de rentabilités.

      Le cadre spécifique d'une allocation de long terme sur 15 ans inspire les réflexions suivantes :  
       
    • L'horizon de 15 ans correspond grosso modo à la duration des actifs de plus-value : actions, private equity et immobilier résidentiel. Elle est supérieure aux actifs traditionnels de rendement : emprunts souverains, obligations d'entreprise, private debt, hedge funds et immobilier d'entreprise.   
       
    • A un horizon de 15 ans, l'allocation stratégique va traverser une, voire deux crises financières majeures. Le candidat naturel désigné pour la prochaine est bien sûr l'éclatement de la bulle obligataire. Dans un environnement instable généré par l'endettement historiquement très élevé des entreprises dans le monde, elle peut être enclenchée par un choc sur les taux si et/ou lorsque les politiques budgétaires prendront le relais des politiques monétaires pour soutenir la croissance. Même s’il est probable qu’à un horizon de 5 à 7 ans une politique de taux d’intérêts très bas soit maintenue et cela même si une politique de relance budgétaire était initiée en Europe. L’horizon de 15 ans interdit d’exclure une éventuelle hausse sur la totalité de la période. Elle peut aussi provenir d'un accident sur le marché monétaire interbancaire, dont le fonctionnement est profondément perturbé par des années d'assouplissement quantitatif (cf. soubresauts sur le marché du repo US). Il faut donc que l'allocation soit robuste à une telle crise. Sachant qu'une crise financière sur deux est d'origine immobilière / bancaire et une crise sur deux provient d'une bulle sur les actions, il est nécessaire de couvrir un historique long sur les marchés pour apprécier le risque avec les réserves particulières liées à un horizon de 15 ans (cf. annexe 2). 
       
    • Les ruptures économiques et sociétales en cours vont se traduire par des tendances majeures sur les marchés financiers qui ne sont pas, ou bien que très récemment, prises en compte par ces marchés. C'est une limite à l'exigence de recourir à un historique long de données. 

      Le futur du climat pour les siècles à venir va se jouer dans les 15 prochaines années en fonction de notre capacité à réduire nos émissions de carbone de moitié. Qu'il y ait ajustement du système économique à un réchauffement climatique important ou tentative d'atténuation de ce réchauffement par des mesures de transition, les équilibres mondiaux économiques, politiques et sociaux (problématique de la montée des inégalités dans de nombreux pays avec la montée corollaire du populisme) vont subir des chocs violents. Ne nous faisons pas d’illusion, si la valeur du risque climatique a pris une importance considérable récemment, la cause principale en est le risque migratoire de zones en passe de devenir invivable (45° Celsius et 65 % d’humidité) dans les 10 ans à venir (cf. annexe 1). Concrètement le GIEC estime qu’un prix du carbone à 50 dollars la tonne serait nécessaire et suffisant pour atteindre l’objectif de 1,5° d’ici 2050 si les investissements et décisions étaient pris maintenant. Ce montant représente 2 000 milliards de dollars investis par an pour la décarbonation et la transition énergétique, soit 2 % du PIB annuel mondial. Dans ce cas on pourrait dire que le coût de l’externalité carbone constitue un choc inflationniste annuel de 2 %. 

      D'autres mutations sont à l'œuvre qui sont loin d'être à maturité, telles que la métropolisation, le développement des technologies de l'information, l'émergence de la connaissance et de l'intelligence artificielle comme facteur de production aussi important que le travail et le capital, et plus récemment un arrêt de la globalisation et un début de déglobalisation. Structurantes sur un horizon de 15 ans, elles sont souvent porteuses de rendements croissants1. 15 ans, c'est la durée d'un quart de cycle de Kondratiev pour autant que ces cycles fonctionnent dans le futur. L'on est sans doute à la fin du dernier, comme l'endettement excessif, la croissance des inégalités et la langueur de l'économie le suggèrent, et à l'orée du prochain.

    1 - En économie classique, le client ou la production marginale a coût marginal croissant, c’est la loi des rendements décroissants, alors qu’en économie numérique ou d’intelligence artificielle, c’est l’information fournie par le client lui-même qui crée de la valeur (et n’engendre donc pas un coût). Lorsqu’Uber par exemple attire un nouvel utilisateur, cela se fait à un coût marginal nul pour le réseau et avec un profit marginal important car la valeur d’un réseau augmente comme le carré du nombre d’utilisateurs (cf. Rifkin, "La nouvelle société du coût marginal zéro").

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    news-1792 Tue, 26 Nov 2019 10:00:00 +0100 La Française lance La Française Carbon Impact 2026 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-la-francaise-carbon-impact-2026/ Les Accords de Paris prévoient, sur le long terme, de contenir l'élévation de la température de la planète nettement en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels. La Française, acteur responsable de la finance, a pour objectif de participer aux efforts internationaux qui visent à diriger des capitaux vers le financement de la transition énergétique et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Dans ce contexte et pour répondre à l’environnement de taux bas, La Française lance La Française Carbon Impact 2026, un fonds obligataire à échéance avec une stratégie bas carbone. Cette nouvelle solution s’appuie sur deux expertises historiques du groupe : l’investissement responsable et la gestion à échéance.

    Face au changement climatique, La Française reste convaincue que les entreprises ayant une stratégie de transformation carbone seront mieux protégées contre les risques croissants de non-conformité réglementaires et climatiques impactant leur secteur et seront plébiscitées par les investisseurs conscients des enjeux climatiques. La stratégie de La Française Carbon Impact 2026 vise à financer les acteurs économiques ayant une réelle ambition quant à leur transition énergétique, avec un objectif de réduction de leurs émissions carbone afin de lutter contre le réchauffement climatique. 

    La Française Carbon Impact 2026 a pour objectif de générer, sur la période de placement recommandée de 7 ans, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2026 émises par l’Etat français. Le fonds investira dans un portefeuille cible de 120 à 200 titres (non contractuel), dont les émetteurs seront filtrés préalablement selon des critères ESG (Environnement-Social-Gouvernance, méthodologie développée par Inflection Point by La Française) puis soumis à une deuxième étape d’intégration thématique qui allie une analyse carbone à l’analyse financière. La Française Carbon Impact 2026 s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi au moins 50% inférieure à celle d’un univers d’investissement comparable1.

    La stratégie de gestion du fonds est discrétionnaire. La Française Carbon Impact 2026 peut investir jusqu’à 100% de son actif net dans des obligations émises par des entreprises du secteur privé et ou semi public (dont des Green Bonds) de maturité inférieure ou égale au 31 décembre 2026, notées Investment Grade2 (jusqu’à 100%) ou High Yield3, dites spéculatives, (jusqu’à 70%). L’allocation géographique peut aller jusqu’à 100% dans des émetteurs de l’OCDE et jusqu’à 10% dans des émetteurs de pays hors OCDE4.

    La Française Carbon Impact Global 2026 n’est pas un fonds garanti et présente un risque de perte en capital.  

    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, conclut : « Nous avons associé deux expertises historiques du groupe, à savoir la gestion de fonds à échéance et l’investissement durable, avec le savoir-faire en matière d’analyse ESG développé par notre centre de recherche extra-financière, Inflection Point by La Française, pour créer La Française Carbon Impact 2026. Pour les investisseurs souhaitant allier potentiel de performance et approche durable, La Française Carbon Impact 2026 est une solution d’investissement pertinente. Elle privilégiera les entreprises qui ont d’ores et déjà entamé leur transition énergétique afin de réduire leur impact carbone à long-terme. En qualité d’acteur engagé dans la transition climatique, nous contribuons avec les investisseurs à l’effort collectif qui vise à limiter la hausse du réchauffement climatique. » 

    1 Composite 30% Bloomberg Barclays Global aggregate Corporate Index 70%ICE BofAML BB-B Global High Yield Index.
    2 notation supérieure ou égale à BBB- chez Standard & Poor’s ou Baa3 chez Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion.
    3 notation supérieure ou égale à B- selon Standard & Poor’s ou B3 selon Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion.
    4 Pour plus d’information sur la stratégie d’investissement, consultez le prospectus du fonds. Devises de libellé des titres dans lesquelles le fonds est investi : EUR, USD, BGP, NOK, SEK, CHF Risque de change limité à 10% maximum de l’actif net ; Le fonds peut investir jusqu’à 10% de son actif dans des parts ou actions d’OPCVM de droit français ou étranger et/ou dans des parts ou actions d’OPC et/ou de fonds d’investissement répondant aux 4 critères de l’article R214-13 du Code Monétaire et Financier. 

     

     

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    news-1791 Mon, 09 Sep 2019 14:47:00 +0200 Analyse de l'impact carbone : la clé d'un investissement réussi dans la transition énergétique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/analyse-de-l-impact-carbone-la-cle-d-un-investissement-reussi-dans-la-transition-energetique/ L’investissement durable ne cesse de croître : +34 % entre 2016 et 2018 pour atteindre 30 000 milliards de dollars d’actifs. Au cours de cette même période, l’impact investing a progressé de 79 % et les placements sur le thème de la durabilité ont augmenté de 269 % La Française est bien placée pour profiter de cette tendance à la hausse grâce à ses stratégies d’investissement en actions et obligations axées sur l’impact carbone. Toutes deux s’appuient sur une méthodologie exclusive d’évaluation de l’impact carbone :

    • Matérialité du secteur
    • Empreinte carbone
    • Étude d’impact carbone des opérations de production
    • Évaluation de l'impact carbone des produits et services
    • Évaluation prospective à l'aide des modèles de trajectoire bas-carbone

    COMMENT ALIGNER VOTRE PORTEFEUILLE SUR LE SCÉNARIO D'UN RÉCHAUFFEMENT LIMITÉ À 2°C ?

    Un budget carbone 2°C :

    L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a estimé un budget carbone global, correspondant aux émissions de carbone cumulées pouvant être produites entre 2014 et 2100 tout en maintenant le réchauffement climatique en-dessous de 2°C. Ce budget carbone est ensuite alloué aux secteurs de l’économie (agriculture, bâtiment, industrie, transport, énergie et autres). Chaque secteur connaît ainsi la voie à suivre pour réduire ses émissions et éviter le dépassement de ces 2°C, selon certaines hypothèses fondées sur la technologie.

    La couverture :

    La Française a développé ses propres trajectoires bas-carbone (alignées sur les 2°C) pour huit secteurs déjà(2) et trois autres(3) seront prêtes d'ici la fin de l'année.

    Le couloir de confiance :

    Nous analysons les objectifs, la stratégie, les investissements et autres initiatives des entreprises pour établir un couloir de confiance, qui indique la trajectoire carbone que nous estimons que les entreprises vont suivre. Cela nous permet de prévoir la performance des entreprises par rapport à la trajectoire des 2°C.

    Alignement du portefeuille :

    Nous additionnons ensuite la performance de chaque position et la comparons à la trajectoire bas-carbone pour les secteurs respectifs afin d’évaluer où se situent nos portefeuilles dans la transition vers les 2°C et déterminer comment les gérants de portefeuille pourraient investir dans chaque secteur pour soutenir une économie à faibles émissions de carbone.

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    news-1789 Thu, 21 Nov 2019 10:58:23 +0100 Objectifs de développement durable : Une croissance axée sur la durabilité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/objectifs-de-developpement-durable-une-croissance-axee-sur-la-durabilite/ Le Fonds Monétaire International a révélé en octobre que l'économie mondiale connaissait un « ralentissement synchronisé » et a donc abaissé ses perspectives de croissance pour 2019 à 3 %. Il s’agit du taux le plus faible depuis la crise financière. En 2020, la croissance devrait légèrement s'améliorer pour atteindre 3,4 %, une reprise toutefois qualifiée de « précaire ». Cet environnement macro-économique présente de multiples opportunités de croissance durable à long terme figurant parmi les objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU. Le secteur de la gestion d'actifs jouera un rôle clé dans la réalisation de ces objectifs mondiaux. La Française est depuis longtemps engagée dans l'investissement durable et est particulièrement bien positionnée pour capter les opportunités de croissance durable qui y sont liées.

    • Les ODD sont le cadre de durabilité ayant été accepté à l'échelle mondiale
    • Ceux-ci visent à relever les plus grands défis mondiaux d'ici 2030
    • Le secteur privé a un rôle clé à jouer
    • Les gérants d'actifs peuvent tirer parti des opportunités de croissance durable offertes par les ODD

    PRÉSENTATION DES ODD ET DE LEUR APPLICATION À LA GESTION D’ACTIFS
    Un projet commun pour la paix et la prospérité des populations et de la planète :

    L'Agenda 2030 des Nations Unies en faveur du développement durable devient d’autant plus pertinent pour les gérants d'actifs à mesure que le secteur s’engage dans l'investissement durable. Les objectifs de développement durable (ODD) sont au coeur de l'Agenda 2030. Ils définissent clairement les objectifs globaux de la société. Leur ambition sous-jacente est de proposer un plan commun en faveur de la paix et de la prospérité pour les populations et la planète. Il s'agit d'un plan d'investissement durable. Sur la base de ce constat, les Principes pour l'investissement responsable ont placé les ODD au coeur de leur stratégie.

    Les 17 ODD comportent un total de 169 objectifs et de 232 indicateurs pour évaluer le progrès. Les objectifs - environnementaux, sociaux et économiques
    - sont globaux et visent à relever les enjeux mondiaux les plus cruciaux : pauvreté, inégalités, changement climatique, dégradation de l'environnement, prospérité, paix et justice. Les ODD se concentrent principalement sur les pays en développement et les groupes à faibles revenus. Toutefois, après avoir évalué les objectifs des ODD, nous pensons que les entreprises d’envergure mondiale disposent de nombreuses opportunités d'atteindre ces objectifs à travers leurs produits et services.

    Le rôle du secteur privé :
    Les ODD ont remplacé les Objectifs du millénaire pour le développement en 2015 lorsqu'ils ont été adoptés lors d'un sommet historique des Nations Unies à New York. L’ensemble des 193 États membres a ratifié les ODD lors de l'Assemblée générale des Nations Unies. La réalisation de ces objectifs nécessitera une mobilisation considérable de capitaux. D’après les estimations, entre 3 300 et 4 500 milliards de dollars seront nécessaires chaque année pour atteindre ces objectifs, avec un déficit de financement de 2 500 milliards de dollars dans les pays en développement.(1) Le secteur privé a un rôle majeur à jouer dans la réalisation de ces objectifs. Cette situation doit toutefois être considérée davantage comme une opportunité que comme un devoir.

    Opportunités de croissance durable :
    Les ODD sont le cadre de durabilité ayant été accepté à l'échelle mondiale. Ils représentent également des risques macroéconomiques et des opportunités de croissance durables auxquels les investisseurs institutionnels doivent être attentifs. Les ODD pourraient par exemple donner accès à des opportunités de marché de l’ordre de 12 000 milliards de dollars d'ici 2030 rien qu’au niveau de l'alimentation et de l'agriculture, des villes, de l'énergie et des matériaux, de la santé et du bien-être, amenant potentiellement à la création de 380 millions de nouveaux emplois.(2)
    Le fait d'envisager les ODD sous l'angle d'une croissance axée sur le développement durable est un moyen efficace de s'assurer que les gérants d'actifs s'alignent sur l'agenda mondial actuel en faveur du développement durable.

    (1) Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (2014)
    (2) Commission des entreprises et du développement durable (2017)

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    news-1788 Thu, 21 Nov 2019 09:57:20 +0100 Une innovation éclairante /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-innovation-eclairante/ Les innovations d’aujourd’hui sont-elles synonymes de bénéfices environnementaux pour les États-Unis ? C’est en tout cas ce que nous pensons. Autrefois, l’utilisation de l’électricité était hautement corrélée à la croissance du PIB. Ce n’est néanmoins plus le cas aujourd'hui. Les innovations constituent un outil puissant capable de limiter la demande pour l’électrique.

    • Durant de nombreuses années, la consommation d'électricité annuelle par habitant a fortement augmenté. Après avoir atteint un pic en 2007, la moyenne mobile sur trois ans est aujourd'hui en recul de 5 %. Fait surprenant, au cours du même intervalle, la moyenne mobile sur trois ans du PIB par habitant a quant à elle augmenté de 9 %.
    • Bien que les appareils électroménagers et équipements électriques des consommateurs américains soient plus nombreux que jamais, la consommation d'électricité a cependant baissé. Pour quelle raison ? Une innovation se démarque des autres : l'éclairage LED (diode électroluminescente). Les LED utilisent un semiconducteur qui leur permet de convertir l'électricité en lumière. Contrairement aux ampoules incandescentes, qui dégagent 90 % de l'énergie produite en chaleur, les LED sont bien moins énergivores, ce qui les rend nettement plus efficaces par rapport à d'autres types d'éclairage.
    • Les ampoules LED sont moins onéreuses si l’on tient compte de leur durée de vie (de 25 fois celle des ampoules traditionnelles). Par conséquent, elles permettent de réduire à la fois la consommation énergétique et les dépenses de renouvellement. Le Ministère américain de l’énergie estime que les économies d'énergies réalisées grâce à l'éclairage LED s'élèveraient à 40 % d’ici 2030 (utilisation résidentielle, extérieure, commerciale et industrielle). Les ampoules LED limitent par ailleurs les ordures en déchetteries.
    • Existe-t-il d'autres innovations favorables pour l’environnement ? Les véhicules électriques font certainement partie de la liste des candidats car ils peuvent contribuer à réduire les émissions de CO2, qui ne diraient pas non à un coup de pouce innovateur (voir Alger On the Money « Mission émissions »).

     

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    news-1786 Mon, 18 Nov 2019 16:14:36 +0100 Prix concorde : Réinventons l'ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/prix-concorde-reinventons-l-isr/ Montée des inégalités, des températures, et changement de paradigme technologique. Le monde change indubitablement. L'urgence climatique n'est plus à 100 ans mais à 10 ans. Les facteurs de risque ont changé et la révolution technologique en cours rebat les cartes entre les entreprises, entre les secteurs et entre les pays. Face à l’urgence et aux mutations à venir, il est temps pour l’ISR de faire sa mue et de prendre son envol. Réinventons l’ISR, tel est le challenge lancé par le Club Finance Dauphine et La Française.

    Si vous avez des idées, le Prix Concorde est à vous!

    Vous êtes intéressés, mais pas encore prêts à vous lancer : Pas de panique, les équipes de la Française et le Club Finance de Dauphine sont là pour vous accompagner tout au long de la compétition pour mûrir ensemble la réflexion, et organiser des rencontres entre experts, professionnels et étudiants passionnés par le sujet. Parce que compétition rime aussi avec collaboration, l’inscription au Challenge Concorde donne accès à une série de conférences, de rencontres, et d’échanges jusqu’au 15 mars date de remise du premier projet. 

    Un seul lien pour s’inscrire d’ici le 1er Janvier 2020: https://forms.gle/rZC7orpHUwkh1pdR8 

    INTRODUCTION

    L’ISR a déjà 15 ans. Si le chemin parcouru est remarquable, les montants investis dans la finance verte ne sont pas encore à la hauteur des enjeux de l’urgence climatique. Les stratégies doivent désormais s’adapter au changement de paradigme d’un monde bas carbone et gérer la montée des risques liés au dérèglement climatique, et aux conflits géopolitiques.
    Quelle est la méthodologie optimale de la gestion d’actifs face au défi climatique ? Comment convaincre les épargnants et les institutions financières d’aller vers l’ISR ? Quel est le nouveau modèle macro, les nouveaux indicateurs de performance à prendre en compte ? Comment investir dans un monde en mutation ? Comment s’appuyer sur les nouvelles technologies pour proposer de nouvelles solutions pour une finance au service d’une croissance inclusive et durable ?
    Somme toute : Comment réinventer l’ISR ?

    Le prix Concorde viendra récompenser les solutions les plus innovantes. Les projets entrepreneuriaux proposés pourront être basés sur des solutions marketing, des robot-advisers, de nouveaux modèles d’allocation, de nouvelles variables à intégrer, de nouveaux indicateurs de performance, de nouveaux facteurs de risque à prendre en compte, de nouveaux modèles macroéconomiques, de nouvelles solutions d’investissement.  
    Attendu : Un projet entrepreneurial innovant qui vient renouveler et dépasser la vision traditionnelle de l’ISR.

    LE PRIX

    Tous les étudiants participant au prix pourront suivre une série de 3 conférences/ateliers donnés sur le thème de l’ISR par des experts de la Française sur les mois de janvier et février. Ces conférences seront données à l’Université Paris Dauphine- PSL, et seront disponibles sur le site de la House of Finance ainsi que sur la page facebook du Club Finance Dauphine. Les afterworks organisés à la fin de ces conférences seront l’occasion pour les étudiants de se rencontrer, d’échanger leurs idées et d’accueillir dans leurs équipes des compétences complémentaires. 
    Au 15 mars, les étudiants participants à la compétition devront remettre un projet synthétique présentant leur idée ou concept en deux pages.

    Les projets sélectionnés à l’issue de cette première phase seront accompagnés par des professionnels de la Française pour la seconde phase du concours qui visera à approfondir les projets (business model, financement, étude du marché, etc). Les étudiants devront défendre leur projet devant un jury prestigieux présidé par Xavier Lepine, Président du Directoire de La Française, à l’été 2020.

    Le premier prix est doté d’un montant de 5000 euros. Le coup de cœur du jury se verra de plus proposer une expérience d’intrapreneuriat avec une incubation de 6 mois dans les locaux de La Française et le bénéfice des conseils et de l’expertise des équipes de la Française. 

    La compétition ouverte à tous les étudiants des universités, des écoles de commerce ou d'ingénieur. Les équipes pluridisciplinaires sont encouragées. Des speed dating seront organisés pour faciliter la rencontre entre les participants de différentes écoles.
    Les équipes peuvent compter jusqu’à 5 membres.

     

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    news-1785 Tue, 12 Nov 2019 09:27:00 +0100 Avis aux porteurs - Crystal Convertibles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-crystal-convertibles/ Les porteurs de parts du fonds Crystal Convertibles, nourricier du fonds "La Française Convertibles Dynamique", sont informés qu’à compter du 15 novembre 2019 la documentation réglementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique du fonds maître « La Française Convertibles Dynamique ». Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds maître.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds "Crystal Convertibles" et du fonds maître "La Française Convertibles Dynamique".

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    news-1782 Tue, 12 Nov 2019 09:00:00 +0100 Avis aux porteurs - La Française Sub Debt /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-la-francaise-sub-debt/ Les porteurs de parts du fonds La Française Sub Debt sont informés qu’à compter du 15 novembre 2019 la documentation règlementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Sub Debt » 

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    news-1780 Tue, 12 Nov 2019 09:00:00 +0100 Avis aux porteurs - La Française Rendement Global 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-la-francaise-rendement-global-2022/ Les porteurs de parts du fonds La Française Rendement Global 2022 sont informés qu’à compter du 15 novembre 2019 la documentation règlementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2022 ».

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    news-1775 Tue, 12 Nov 2019 09:00:00 +0100 Avis aux porteurs - La Française Obligations LT /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-la-francaise-obligations-lt/ Les porteurs de parts du fonds La Française Obligations LT sont informés qu’à compter du 15 novembre 2019 la documentation règlementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Obligations LT »

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    news-1773 Tue, 12 Nov 2019 09:00:00 +0100 Avis aux porteurs - La Française Convertibles Dynamique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs/ Les porteurs de parts du fonds La Française Convertibles Dynamique sont informés qu’à compter du 15 novembre 2019 la documentation règlementaire du fonds sera modifié. A compter de cette date, les produits de taux callables et puttables seront précisés dans la documentation juridique. Ainsi, les obligations callables et puttables seront ajoutées à la liste des titres intégrant des dérivés autorisés dans le prospectus du fonds.

    Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Convertibles Dynamique ».
     

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    news-1771 Thu, 07 Nov 2019 14:20:00 +0100 Investir avec sagesse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/investir-avec-sagesse/ Avant d’investir, les investisseurs tiennent compte d'un ensemble de problématiques susceptibles d'impacter leur performance : sélection des classes d'actifs, stratégie d’allocation et sélections des gérants / titres, etc. Néanmoins, nombre d’entre eux n’ont pas nécessairement conscience qu’un important moteur de leur performance peut être directement lié par leur timing de décision d’achat ou de vente, en particulier dans les titres qui offrent un potentiel de hausse supérieur.

    • Le graphique ci-dessus représente, sur un horizon de dix ans, la sous-performance des investisseurs de fonds actions en raison d'un mauvais timing (représentation segmentée par la volatilité des fonds sous-jacents). Bien que la sous-performance soit limitée par rapport aux fonds peu volatils, elle est bien plus significative face aux fonds plus volatils. En effet, lorsque les investisseurs commettent des erreurs de timing dans l’achat ou la vente de leurs investissements, les pertes subies peuvent se révéler conséquentes en raison d’une plus grande volatilité.
    • Si les investisseurs tendent à sous-performer les classes d'actifs, fonds ou titres dans lesquel(le)s ils investissent, c’est notamment en raison de décisions prises à un moment peu opportun. Le risque est d’acheter à un cours trop élevé et de vendre à un cours trop bas, passant ainsi à côté du potentiel de hausse des titres.
    • Fort heureusement, il existe des méthodes qui permettent de limiter les biais comportementaux et, par conséquent, de prendre de meilleures décisions. 

     

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    news-1768 Mon, 28 Oct 2019 11:10:19 +0100 LF Grand Paris Habitation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-grand-paris-habitation/ La nouvelle SCPI fiscale PINEL du Groupe La Française, dédiée au Grand Paris. Sylvie BLOT, Directeur Immobilier Résidentiel, nous présente la SCPI LF Grand Paris Habitation, la nouvelle SCPI fiscale du Groupe La Française adossée au dispositif Pinel.

    Découvrez à travers cette courte vidéo ce que permet le dispositif PINEL, la stratégie d’investissement de la SCPI LF Grand Paris Habitation avec son approche multicritères permettant d’identifier 4 types d’opportunité d’investissement sur le Grand Paris.

    Le Groupe La Française reste un acteur incontournable sur cette thématique du Grand Paris.

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    news-1766 Wed, 23 Oct 2019 14:55:59 +0200 Acquisition en share deal de West Bridge à Levallois-Perret. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acquisition-en-share-deal-de-west-bridge-a-levallois-perret/ Amundi Immobilier pour le compte des fonds qu’elle gère, La Française pour le compte de l’ERAFP, et la Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens ont acquis en share deal, auprès de Ardian et de LaSalle Investment Management, l’immeuble emblématique West Bridge, complexe de bureaux situé à Levallois-Perret. D’une surface totale de 28 000 m², cet ensemble immobilier de bureaux est actuellement en cours de restructuration, par Baumschlager Eberle Architecture, dans le but de répondre aux nouvelles normes de performance environnementale et de bien-être des utilisateurs. Il bénéficiera des certifications BREEAM Excellent, HQE Excellent et Well Gold 2015 lors de la livraison prévue à fin 2020. West Bridge comprendra deux restaurants, un auditorium double hauteur, deux jardins et des espaces de co-working répartis sur huit étages ainsi qu’un rooftop offrant une vue à 360°. Il sera entièrement loué à la société WPP dans le cadre d’un bail en l’état futur d’achèvement (BEFA) de 12 ans ferme.

    West Bridge est situé au 145-149 rue Anatole France dans le quartier du Front de Seine, au pied de la station de métro Pont de Levallois.

    « Nous sommes ravis de cette première acquisition en partenariat avec La Française et la Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens, opération dans laquelle Amundi immobilier a joué un rôle moteur. L'acquisition de l’immeuble emblématique West Bridge en partenariat avec des investisseurs institutionnels s’inscrit parfaitement dans la stratégie d’investissement Core d’Amundi Immobilier » commente Jean-Marc Coly, Directeur Général d'Amundi Immobilier.

    « Ce partenariat entre La Française et Amundi illustre la complémentarité que peuvent avoir des investisseurs ayant la même stratégie de détention long terme. L’immeuble West Bridge, dans ses dimensions immobilières, locatives et environnementales, nous a permis d’avoir très rapidement et naturellement une convergence dans l’appréciation de ses qualités intrinsèques » précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Dans le cadre de cette opération financée par la banque Helaba, Amundi Immobilier, La Française et la Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens ont été conseillées par les cabinets Gide et De Pardieu Brocas Maffei, l’étude notariale Thibierge, KPMG et Essor. Les vendeurs ont été conseillés par Strategies and Corp dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Jones Lang LaSalle.

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    news-1763 Thu, 24 Oct 2019 09:30:00 +0200 Peut-il y avoir des gagnants dans une guerre commerciale ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/peut-il-y-avoir-des-gagnants-dans-une-guerre-commerciale/ La guerre commerciale qui oppose les États-Unis à la Chine cette année a ébranlé les marchés, impactant fortement les chaînes d'approvisionnement du monde entier. S'il semble plutôt évident d’identifier les pays qui parviennent à tirer profit de ce conflit, de plus amples recherches sont nécessaires pour distinguer les entreprises qui bénéficient de ces turbulences.

    • Le conflit commercial sino-américain a de lourdes répercussions tangibles. En glissement annuel (g.a.), les importations de biens chinois vers les États-Unis ont en effet baissé de plus de 13 %, tandis que les exportations de biens américains à destinations de la Chine ont chuté de plus de 6 %. Les importations chinoises sont négatives depuis six mois consécutifs (en g.a.).
    • Néanmoins, contrairement à la baisse des importations en provenance de Chine, d'autres pays tels que le Japon, les Philippines, la Corée, Taïwan ou encore le Vietnam observent une hausse de leurs exportations vers les États-Unis (en g.a.). En effet, à eux cinq, ces pays ont vu leurs exportations vers les États-Unis augmenter de plus de 8 % au cours des douze derniers mois.
    • Les entreprises américaines ajustent aujourd’hui leurs chaînes d'approvisionnement face à l’éventualité d'un conflit qui s'étendrait sur le long terme. Selon une récente étude par Bain & Compagny, 42 % des entreprises qui s'approvisionnaient jusqu’ici en matériaux chinois pensent avoir recours à un autre fournisseur dans l'année qui suit. Parallèlement, 81 % indiquent que la montée des tensions commerciales impactent leurs activités commerciales actuelles.
    • Certains estiment que seules les multinationales dotées de chaînes d'approvisionnement flexibles sont en capacité de limiter avec efficacité les répercussions d'une hausse des droits de douane. Pour identifier ces entreprises, des recherches approfondies se révèlent donc nécessaires. Néanmoins, les sociétés qui interviennent dans l'univers du numérique tels que les médias, le cloud et les logiciels pour entreprises sont potentiellement moins touchées que celles qui sont impliquées dans le négoce de biens physiques (industries et matériaux, notamment).
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    news-1762 Tue, 22 Oct 2019 10:00:00 +0200 La Française lance La Française Global Floating Rates, un fonds crédit pur à volatilité contenue /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-la-francaise-global-floating-rates-un-fonds-credit-pur-a-volatilite-contenue/ « What goes down, must come up ! » mais quand ? Pour minimiser l’exposition au risque de taux, La Française lance La Française Global Floating Rates, fonds crédit à taux variable C’est en réponse à une demande croissante des investisseurs pour un produit d’investissement, positionné entre les actifs de taux sans risque et les actifs crédits plus risqués, que La Française développe cette solution à faible volatilité structurelle. 
     
    La Française Global Floating Rates a pour objectif de générer, sur la période de placement recommandée de 2 ans, une performance nette de frais supérieure à celle de l’Euribor 3 mois plus 150 pdb pour l’action I, grâce à un portefeuille cible (non contractuel) de plus de 100 titres combinant les rendements des titres à taux variable High-Yield avec la faible volatilité des titres à taux variable Investment Grade. La constitution du portefeuille s’appuiera notamment sur les expertises des équipes crédit en matière de High-Yield et d’Investment Grade. 
     
    La stratégie de gestion vise à capter la prime de risque crédit tout en minimisant la sensibilité au risque de taux, en investissant dans des instruments de dette à taux variables ou fixes variabilisés. Le fonds peut investir jusqu’à 100% de son actif net dans de la dette privée et/ou dans des titres émis par des États ou assimilés (parapublics, garantis, supra nationaux) à taux fixe, variable ou variabilisé. L’allocation géographique des émetteurs des titres auxquels le fonds pourra être exposé est également flexible, pouvant aller jusqu’à 100% dans des émetteurs de la Zone Euro ou de l’OCDE, et permettant d’optimiser la diversification du portefeuille. Le fonds peut également investir, ou être exposé :

    • jusqu’à 100% dans des titres Investment Grade* ;
    • jusqu’à 50% dans des titres High-Yield** (à caractère spéculatif) ;
    • jusqu’à 20% dans des titres non notés  
    • jusqu’à 10% dans des obligations perpétuelles (dont des obligations contingents convertibles bonds – CoCos) ;
    • jusqu’à 10% dans d’autres OPCVM. 

    La Française Gobal Floating Rates n’est pas un fonds garanti et présente un risque de perte en capital.  
     
    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, précise : « La Française Global Floating Rates offre une solution de court-terme aux investisseurs désireux de capter de la performance au-delà des taux sans risque, tout en veillant à la qualité des émetteurs et en se protégeant de la volatilité des taux d’intérêt. » 


    * notation supérieure ou égale à BBB- chez Standard & Poor’s ou Baa3 chez Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion. 
    ** notation entre BB+ et B- inclus selon Standard & Poor’s ou entre Ba1 et B3 inclus selon Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion. 

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    news-1760 Thu, 17 Oct 2019 10:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers accueille le spécialiste du burger Five Guys /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-accueille-le-specialiste-du-burger-five-guys/ L’enseigne de burgers premium Five Guys a pris à bail un local commercial de 580 m² situé place Joachim du Bellay dans le 1er arrondissement de Paris. Donnant sur la Fontaine des Innocents, ce restaurant est idéalement situé à proximité immédiate du Forum des Halles et desservi par de nombreuses lignes de métro et de RER. Propriété de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière, géré par La Française Real Estate Managers (REM), cet actif a fait l’objet d’une gestion active comprenant un travail de revalorisation avec le départ du précédent locataire et la réalisation de travaux d’amélioration. 

    Depuis 1986, l’enseigne préférée des Américains - selon un sondage réalisé par Harrispoll en 2018 - s’attache à faire vivre à ses clients la véritable expérience américaine, tant grâce à l’ambiance unique de ses restaurants qu’à son authentique burger américain. Avec cette 5ème implantation à Paris, dont l’ouverture est prévue pour début 2020, l’enseigne continue son développement sur le marché français depuis son arrivée à l’été 2016. 

    « Cette transaction démontre une fois de plus l’expertise développée par le département commerces de La Française REM pour l’accompagnement des enseignes internationales dans leur développement », ajoute Loïc JARDIN, Directeur Asset Management – Commerces de La Française REM. 

    Le Département Retail de Savills a assisté la Direction Asset Management Commerces de La Française REM dans cette opération. 

    Risques associés SCPI d’entreprise: risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. 

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    news-1756 Wed, 16 Oct 2019 10:06:23 +0200 L'éco-working réinventons l'espace de travail /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-eco-working-reinventons-l-espace-de-travail/ Newtown Square, filiale du Groupe La Française développe une offre d’espace de travail flexible et d’espace de coworking pour entrepreneurs et intrapreneurs. Lancé durant l’été, cette nouvelle activité a développé un positionnement différenciant : l’eco-working. L’éco-working doit permettre à chacun d’être en capacité de porter un projet en se délestant des éléments potentiellement toxiques pour l’accomplissement de sa mission. Le concept de l’écologie de l’individu, n’a de sens que si nous pouvons considérer le cadre de travail comme "sain" pour l’utilisateur, telle la citation
    "un esprit sain dans un corps sain". C’est là qu’intervient l’éco-working.

    Pour réussir cette mission, Newtown Square s’est engagé sur un programme en plusieurs étapes afin de construire ses espaces de travail sur des bases solides et durables. 

    Le premier objectif est un engagement environnemental. Bannir la consommation de plastique et de papier au quotidien est très ambitieux.  Il y aura toujours le contenant d’une salade de fruit d’un déjeuner acheté dans le supermarché du quartier ou l’emballage d’un colis livré à son poste de travail que nous ne pourrons pas éviter, mais au quotidien nous pouvons repenser un certain nombre de choses. Chez Newtown Square, cela commence le matin, lorsque l’on arrive dans l’espace cuisine à partager. On choisit alors le format de sa tasse ou son mug pour préparer un thé éco-responsable et sans pesticides ou un café issu également d’une production respectant les mêmes process. On peut éviter d’imprimer plus que de besoin en contrôlant son nombre de crédit mensuel attribué par poste de travail. Le badge en plastique qui vous permet d’entrer le matin a disparu au profit d’une application gratuite développée par une jeune start up française "Filtdesk", que chaque membre peut avoir sur son téléphone portable.

    Le second point fort concerne la qualité de vie et le bien-être : rendre l’espace de travail beau, chaleureux et convivial. Ce second objectif a amené les équipes de ce projet à concevoir des espaces qui soient responsables en limitant les impacts environnementaux. Près de 100 % des éclairages utilisent la technologie LED, nécessitant des interrupteurs "comme à la maison" afin d’être libre d’actionner ou non l’éclairage en fonction de son besoin de lumière - ce qui est aussi une façon de responsabiliser l’individu sur la consommation d’énergie. Favorisant l’économie circulaire, le mobilier confortable et esthétique est issu de la filière de "seconde main". Toutes les plantes qui sont chez Newtown Square ont déjà connu une première vie dans des hôtels, restaurants ou entreprise. Nous les avons adoptés et en prenons soin chaque jour.

    De nombreux services sont également "engagés" dans une démarche socialement responsable. Comme proposer de faire travailler les commerçants du quartier ou opter pour des partenaires qui respectent des engagements éthiques. Les équipes en charge de l’entretien des espaces, sont tous des salariés en contrat à durée indéterminée de notre partenaire, ils n’utilisent que des produits 100 % naturels dans leur ouvrage au quotidien.

    Une partie du chemin est parcouru par ces projets menés à bien avec différentes dimensions "impact". Newtown Square et ses membres se sont engagés à accomplir un changement dans "le cadre de travail" qui se veut le plus sain. D’autres projets verront le jour, le plus emblématique sera de compenser l’émission carbone d’un poste de travail en coworking en plantant des arbres en Ile de France afin de neutraliser ses émissions. Nous poursuivrons ainsi notre chemin vers la transition.

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    news-1755 Mon, 14 Oct 2019 15:35:16 +0200 Fini le papier ! Place à la dématérialisation des bulletins trimestriels de vos SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fini-le-papier-place-la-dmatrialisation-des-bulletins-trimestriels-de-vos-scpi/ Le Règlement général de l’AMF relatif aux SCPI, modifié le 12 février 2019 et publié le 21 février 2019, a assoupli les exigences en matière de communication réglementaire aux associés. Il prévoit notamment :

    • une évolution de la périodicité du bulletin d’information, qui peut passer de trimestrielle à semestrielle.
    • une diffusion du bulletin d’information aux associés au format digital et non plus au format papier.

    Accepter la dématérialisation c'est faire le choix : 

    • d'une épargne qui préserve l'environnement, pour vos enfants, vos petits-enfants.
    • d'une gestion optimisée de votre SCPI pour réduire ses charges et améliorer ses résultats.
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    news-1753 Thu, 10 Oct 2019 10:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert une résidence de tourisme Adagio 4* à Toulouse (31) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-une-residence-de-tourisme-adagio-4-a-toulouse-31/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA, auprès de Kaufman & Broad, une résidence de tourisme 4 étoiles sous enseigne Adagio. Située à proximité des bâtiments historiques de l'Hôpital La Grave, dans le quartier Saint-Cyprien, cette résidence, dont la livraison est prévue au 1T 2022 développera 114 appartements de nouvelle génération pouvant accueillir de 2 à 4 personnes. Elle bénéficiera d’une salle de sport, d’espaces communs conviviaux ouverts sur la ville et de 20 emplacements de stationnement.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le cabinet KPMG ; Kaufman & Broad a été conseillé par l’étude du Boulevard Leclerc.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1751 Tue, 08 Oct 2019 14:16:03 +0200 Un concept et de nombreuses approches https://blueroom.la-francaise.com/concept-de-nombreuses-approches/ Malgré nos vacances ensoleillées et les mines bronzées, les nouvelles climatiques de l’été n’ont pas été bonnes. Le GIEC, en général plutôt modéré dans ses propos, a publié 2 rapports alarmants, l’un sur le lien entre changement climatique et l’usage des terres, et l’autre sur l’état de nos océans et des glaciers. news-1746 Tue, 01 Oct 2019 18:20:05 +0200 Patrimonia 2019 : Un grand merci à nos partenaires /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/patrimonia-2019-un-grand-merci-a-nos-partenaires/ Merci à tous nos partenaires pour la réussite de cette nouvelle édition de Patrimonia ! Vous étiez nombreux à venir nous rendre visite sur notre stand totalement revisité.

    Partenaire d'engagement, nous restons à vos côtés et à l'écoute de vos besoins. Nos nombreux experts ont eu plaisir à vous présenter nos solutions de rentrée et notre positionnement durable.

    Rendez-vous l'an prochain !

     

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    news-1744 Thu, 03 Oct 2019 10:00:00 +0200 A la découverte d'opportunités cachées /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-la-decouverte-d-opportunites-cachees/ Traditionnellement, les petites capitalisations sont moins suivies que les grandes par les analystes de Wall Street. Cette couverture moins importante crée des opportunités pour les investisseurs et les gérants de portefeuille prêts à conduire des recherches approfondies sur ces sociétés. les petites entreprises sous le radar

    • Au fil des ans, les analystes se sont peu à peu désintéressés des entreprises publiques pour un certain nombre de raisons, et notamment avec l’émergence de cabinets de recherche indépendants dont les travaux portent davantage sur des entreprises privées. Néanmoins, cette diminution de la couverture des entreprises publiques favorise la visibilité des grandes capitalisations au détriment des petites. En 2003, par exemple, les grandes capitalisations étaient suivies en moyenne par huit analystes de plus que les petites valeurs. Aujourd’hui, en moyenne, une grande capitalisation est couverte par 22 analystes, contre seulement 7 pour une petite capitalisation.
    • Cet écart est l’occasion pour les gérants de portefeuille, qui effectuent de profondes recherches internes, d’identifier des opportunités cachées. Cela explique peut-être pourquoi sur les 20 années précédant le 30 juin 2019, les gérants spécialisés dans les petites capitalisations ont enregistré une performance annualisée sur trois ans supérieure de 168 points de base à celle de leurs confrères axés sur les grandes sociétés.
    • Et puisque les ressources allouées par Wall Street dans la couverture des grandes capitalisations ne semblent pas être réduites de sitôt, les gérants (et actionnaires sous-jacents) spécialisés dans les petites capitalisations ont tout autant d’avenir qu’il y a vingt ans.

    1 Callan, Rapport actif vs. passif, deuxième trimestre 2019. Gérants spécialisés dans les grandes capitalisations vs. gérants spécialisés dans les petites capitalisations et l’indice Russell 1000 vs. indice Russell 2000.

     

     

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    news-1741 Tue, 01 Oct 2019 10:01:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux (1) à Düsseldorf (Allemagne) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-1-a-duesseldorf-allemagne/ La Française Real Estate Managers, conseillée par La Française Real Estate Partners International et pour le compte de la SCPI LF Europimmo, a acquis auprès d’un jointventure Revcap/Kriton, un immeuble de bureaux situé à Am Seestern 5, dans un quartier tertiaire bien établi à Düsseldorf, en Allemagne. L’immeuble est bien situé et facilement accessible par les transports en commun. L'immeuble a été construit en 2002 et a fait l'objet d'importants travaux de restructuration qui ont été achevés cette année. L'immeuble de 5 étages offre environ 10 400 m2 de bureaux et environ 270 places de stationnement intérieures. L'aménagement du bureau est flexible et l'espace est idéal pour une utilisation multilocataires. Actuellement, l'immeuble est entièrement loué à deux locataires : un important fournisseur mondial de solutions d'information et de communication et un fabricant de matériaux réfractaires de haute qualité pour les processus industriels à haute température.

    Jens Göttler, Directeur général pour l'Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : "Nous sommes ravis d'ajouter un investissement allemand de qualité à notre portefeuille. Avec le troisième plus grand aéroport d'Allemagne, Düsseldorf est facilement accessible et attire ainsi un niveau élevé d'investissements étrangers. De plus, en tant que sixième ville d'Allemagne pour sa qualité de vie, Düsseldorf prospère. Ces facteurs devraient contribuer favorablement à la valorisation de l’immeuble et soutenir la demande des locataires."

    La Française Real Estate Partners International a été conseillée par Norton Rose Fulbright sur les aspects juridiques et par TA Europe GmbH sur la Due Dilligence technique.

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    news-1740 Mon, 30 Sep 2019 16:42:43 +0200 Avec l'impact investing, retrouvez le sens du mot valeur ! https://blueroom.la-francaise.com/limpact-investing-retrouvez-sens-valeur/ Le 9 septembre 2019 La Française a eu le plaisir de faire intervenir le frère Eric Salobir* en introduction de sa Table ronde "le Mix", sur le thème de l’Impact Investing. C’est avec l’injonction “Follow the money” que le frère Eric Salobir a interpellé son auditoire.

    Follow the money c’est sans doute ce qu’il faut faire pour parler d’éthique et technologie. Ces deux mots placés dans la même phrase nous semblent une évidence aujourd’hui, mais ce n’était pas le cas il y a seulement 3 ou 4 ans… Scandales à répétition, RGPD, prise de conscience des problèmes liés a l’usage des données personnelles, ont amené le public, notamment les jeunes générations, à se questionner sur l’innovation, qui finalement n’est peut-être pas nécessairement synonyme de progrès. À tel point qu’il est légitime de se questionner : doit-on s’attendre à un éclatement d’une bulle Tech, qui pourrait être encore plus important que ce que nous avons connu avec la bulle Internet ?

    Ces réserves sont sans doute dues au fait que la nouvelle technologie numérique se fonde sur un modèle économique qui est le modèle du choix maximum et de la liberté maximum, mais aussi, en corollaire, du repère minimum et de la confiance minimum. On choisit, on compare, on saute de prestataire en prestataire et au fond il n’y a plus de lien, plus de fidélité. Et c’est avec une utilisation intensive du scoring que nous tentons de recréer de la confiance et de la sécurité. Il parait à présent naturel à chacun de noter son chauffeur VTC ou son service hôtelier ! Le numérique envahit maintenant le domaine régalien de la monnaie. Or toute monnaie repose sur la confiance car la monnaie fiduciaire n’a pas de valeur intrinsèque. Avec la crypto monnaie il n’y a finalement plus besoin de la confiance, la confiance est remplacée par des algorithmes, des Smart Contract. Et finalement, à partir de contingence financière, nous jetons les bases d’une certaine forme de société.

    Follow the money, c’est réaliser que ceux qui ont le pouvoir de donner vie aux rêves ce sont ceux qui investissent dans ces rêves et qui les transforment en projet. Les investisseurs sont donc en première ligne.

    S’il y a une éthique du business, l’éthique peut être aussi un business en soi et certains peuvent être tentés d’en faire profit en oubliant la finalité, comme ce fut le cas parfois avec l’écologie. Le cas de la voiture électrique vendue comme ne polluant pas, mais qui est rechargée avec une électricité produite au charbon est un bon exemple. Le greenwashing peut entrainer des pertes de confiance et il faut prendre gare à ce que le même phénomène ne se reproduise avec les technologies.

    En fait Il faut changer de mentalité et arrêter de penser « profit » pour penser « valeur ». C’est toujours une donnée financière, mais le profit est au compte de résultat et la valeur est au bilan, ainsi on passe d’une vision court-termiste à une vision de long terme et on se questionne :  qu’est-ce que je construis ? que vais-je léguer ?

    La bonne attitude est donc de fonder la valeur sur des Valeurs. Avoir une volonté affichée en phase avec les valeurs, c’est ça au fond l’impact investing, utiliser des flux financiers pour quelque chose qui va bien au-delà du flux financier, pour transformer la société.
     

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    news-1739 Thu, 26 Sep 2019 11:59:58 +0200 Une rentrée engagée https://blueroom.la-francaise.com/une-rentree-engagee/ Malgré nos vacances ensoleillées et les mines bronzées, les nouvelles climatiques de l’été n’ont pas été bonnes. Le GIEC, en général plutôt modéré dans ses propos, a publié 2 rapports alarmants, l’un sur le lien entre changement climatique et l’usage des terres, et l’autre sur l’état de nos océans et des glaciers. news-1732 Mon, 23 Sep 2019 09:17:28 +0200 La Française innove dans la gestion de fonds à maturité et lance deux nouvelles solutions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-innove-dans-la-gestion-de-fonds-a-maturite-et-lance-deux-nouvelles-solutions/ Fort du succès commercial rencontré par les millésimes précédents et de la pertinence de cette solution d’investissement dans le contexte de taux bas actuel, La Française lance deux nouveaux fonds à échéance :
  • La Française Rendement Global 2028, dont la stratégie de gestion est discrétionnaire et porte sur un portefeuille d’obligations internationales de maturité maximale décembre 2028. La stratégie consiste à associer le portage des titres et leur arbitrage en cas de nouvelles opportunités de marché ou d’augmentation du risque de défaut d’un émetteur en portefeuille. Elle s’appuie ainsi sur la connaissance approfondie du bilan des entreprises et des fondamentaux des Etats sélectionnés. 
  • La Française Rendement Global 2028 offre une capacité de diversification (géographique, obligations d’Etats et obligations d’entreprises, investment grade ou high-yield) et peut investir1:

    • jusqu’à 100% dans des obligations émises par des entités publiques et/ou privées des pays de l’OCDE ;
    • jusqu’à 100% dans des obligations émises par des entités publiques hors OCDE (émergents) et jusqu’à 50% dans des entités privées hors OCDE (émergents) ;
    • jusqu’à 100% dans des émissions notées Investment Grade* ou High-Yield** (à caractère spéculatif).
    • Afin de répondre à la demande croissante des investisseurs pour une solution à maturité Cross Asset, La Française innove avec La Française Rendement Global 2028 Plus, fonds à maturité pouvant être exposé aux marchés actions.

    La stratégie d’investissement1 est identique à celle de La Française Rendement Global 2028 moyennant le fait que le fonds pourra investir jusqu’à 40% sur les marchés actions via des instruments dérivés (futures) portant sur des indices représentatifs des marchés boursiers mondiaux (MSCI World €). Le gérant pilotera le niveau d’exposition aux marchés actions, décroissant dans le temps, en fonction du montant cumulé des coupons à percevoir par la poche obligataire. L’exposition aux actions sera inférieure ou égale au portage attendu sur la poche obligataire pour que la potentielle perte maximale soit compensée par les coupons de la poche obligataire (hors défauts). 

    La Française Rendement Global 2028 et La Française Rendement Global 2028 Plus ne sont pas garantis et présentent un risque de perte en capital. 

    La rentabilité de ces fonds à échéance sera le fruit à la fois de la valorisation des coupons des obligations présentes en portefeuille et des variations de capital dues à la fluctuation des taux d’intérêt et/ou des spreads de crédit. Le nouveau fonds La Française Rendement Global 2028 Plus devra permettre aux investisseurs de bénéficier d’un surplus de performance à échéance en cas de hausse des actions. 

    Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, précise : « Dans le cadre du fonds à échéance, la date de maturité des émissions étant connue et fixe, l’investisseur bénéficie d’une visibilité quant à la performance du fonds au fur et à mesure que l’on approche de sa maturité. Pionnière sur ce savoir-faire, La Française déploie cette expertise de gestion depuis plus de 20 ans maintenant. Aujourd’hui, nous innovons et allons encore plus loin avec La Française Rendement Global 2028 Plus en y intégrant un moteur de performance potentiel supplémentaire. » 

    La période de commercialisation des fonds prendra fin, au plus tard, le 31 mars 2023.
     

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    news-1731 Thu, 19 Sep 2019 15:35:58 +0200 Rendez-vous les 26 et 27 septembre à patrimonia ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rendez-vous-les-26-et-27-septembre-a-patrimonia/ Cette année encore les équipes La Française vous donnent rendez-vous à Patrimonia, Convention annuelle des professionnels du patrimoine, sur le stand H42 les jeudi 26 et vendredi 27 septembre 2019.  

    Marc-Olivier Penin, Directeur Général de La Française REM, et Virginie Wallut, Directeur Recherche & Analyses Immobilières, participeront au débat d’experts « Investissement en entreprises : immobilier d’entreprises, un marché d’investissement » qui se tiendra vendredi 27 septembre à 11h30 en Salle Saint Clair 3 et en présence de BNP Paribas REIM.

     

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    news-1725 Wed, 18 Sep 2019 12:03:02 +0200 Avis : Compartiment « La Française Rendement Global 2025 » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-rendement-global-2025-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » des modifications suivantes :
  • Le compartiment aura désormais la possibilité d’investir dans des produits de taux callable et puttable ; 
  • Par ailleurs concernant les catégories d’actions « actions D USD H - FR0013272747 » et « actions T D USD H - FR0013288982 » la rédaction concernant la possibilité de distribuer des acomptes sur les revenus a été clarifiée dans la documentation juridique du compartiment. 
  • La date d’entrée en vigueur de ces modifications est le 19 septembre 2019. 

    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2025 » disponibles sur le site www.la-francaise.com.
     

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    news-1722 Wed, 18 Sep 2019 11:53:43 +0200 Avis : Compartiment « La Française Global Coco » de la SICAV de droit français « La Française » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-compartiment-la-francaise-global-coco-de-la-sicav-de-droit-francais-la-francaise/ Nous informons les actionnaires du compartiment « La Française Global Coco » des modifications suivantes :
  • Le mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative « swing pricing » est de nouveau inséré dans la documentation juridique du compartiment. 
  • Suite au changement de véhicule le 7 décembre 2018, la description du mécanisme n’apparaissait plus alors que les porteurs du FCP « La Française Global Coco » ont été informés que le transfert d’une structure de copropriété de valeurs mobilières (FCP) vers une structure sociétale (SICAV) n’avait aucun impact sur la stratégie d’investissement. 

    • Par ailleurs concernant la catégorie d’actions « action R D USD H - FR0013393857 », la rédaction concernant la possibilité de distribuer des acomptes sur les revenus a été clarifiée dans la documentation juridique du compartiment. 

    La date d’entrée en vigueur de ces modifications est le 19 septembre 2019. 
    Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Global Coco » disponible sur le site www.la-francaise.com.

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    news-1719 Wed, 18 Sep 2019 09:11:48 +0200 Des opportunités dans les SaaS /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/des-opportunites-dans-les-saas/ L’industrie des logiciels est engagée dans une transformation durable et pluriannuelle en faveur du segment des logiciels en tant que service (software as a service, ou SaaS). Les innovations en matière d'infrastructures cloud et des technologies de réseau opérées ces 10 à 15 dernières années ont favorisé l’émergence d’un grande nombre d’entreprises SaaS innovantes sur le marché. L’intérêt pour les SaaS pourrait durer encore de nombreuses années, au détriment des modèles axés sur une acquisition des licences.

     

    Croissance des SaaS, en pourcentage des dépenses en logiciels 

    •  Les avantages des logiciels en tant que service sont nombreux : réduction des coûts initiaux, tarification à la carte, fonctionnalités mieux développées ou encore accès à des mises à jour plus régulières. De leur côté, les utilisateurs SaaS n’ont pas à assurer la maintenance de leurs infrastructures pour exécuter ces applications.
    • Les investisseurs qui investissent dans des entreprises SaaS bénéficient souvent d'une meilleure visibilité financière grâce à la récurrence des abonnements, à la hausse des taux de renouvellement et aux marges potentiellement plus élevées par rapport aux entreprises non SaaS. 
    • Les opportunités d'investissement nous semblent plus évidentes parmi les entreprises SaaS qui opèrent sur des marchés cibles plus vastes, et qui bénéficient de technologies disruptives et uniques, d'une avancée durable et compétitive, de modèles d'affaires efficaces et de revenus attrayants.
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    news-1714 Mon, 16 Sep 2019 09:40:10 +0200 La Française acquiert off-market un centre de traitement de commandes en Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour le compte d'investisseurs sud-coréens /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-acquiert-off-market-un-centre-de-traitement-de-commandes-en-rhenanie-du-nord-westphalie/ La Française, agissant pour le compte de Samsung Securities et KB Securities, a finalisé l'acquisition d'un centre de traitement de commandes d’e-commerce moderne et spécialisé d'environ 150 000 m² situé à Rheindahlen, Monchengladbach dans la région allemande Rhin Ruhr. Le bien fait l'objet d'un bail à long terme avec Amazon et constitue l'un de leurs centres de traitement des commandes les plus importants et le plus avancés d'Europe sur le plan technologique. Le centre associe la robotique et le savoir-faire d'un effectif de plus de 1 000 personnes.

    Situé dans une région d'Allemagne prospère sur le plan économique et au centre du réseau logistique européen, le bien se compose d'installations logistiques sur 3 étages, de bureaux, d'un centre de formation et de cantines, d'un parking privatif de plus de 1 000 places et de 180 zones de stationnement pour remorques. La construction a été achevée en juillet 2019.

    L'immeuble a été acquis auprès du promoteur Ixocon Immobilien GmbH & Co. KG dans le cadre d'une opération off-market. Cette acquisition représente le premier investissement en logistique réalisé par La Française pour le compte d'investisseurs sud-coréens. Pour Samsung Securities, il s'agit de la troisième opération avec La Française depuis l'acquisition du siège d'un important fournisseur d'énergies renouvelables à Bruxelles (actifs North Light et Pole Star) et depuis l'acquisition récemment annoncée pour 691 M€ du bureau Crystal Park à Paris.

    Nimit Oberoi, Directeur des investissements européens, a déclaré : « Cette acquisition démontre bien la capacité de notre réseau de sourcing à capter les rares opportunités d'investissement des promoteurs locaux et d’adapter leurs intérêts à ceux de nos clients. Nous remercions nos partenaires sud-coréens pour leur soutien permanent. »

    Jens Goettler, Directeur Général pour l'Allemagne de La Française Real Estate Partners International conclut : « Pour La Française, il s'agit d'une transaction marquante pour le compte d’investisseurs sud-coréens souhaitant diversifier leurs portefeuilles dans des thèmes d'investissement liés au e-commerce. Alors que le développement du e-commerce s'intensifie, le marché allemand de l'immobilier logistique continue à afficher des perspectives prometteuses tant en termes de valorisation que de valeur locative et nous allons continuer à rechercher des actifs de qualité pour nos clients. »

    Samsung et KB Securities ont été conseillés par Shinhan Alternative Investment Management Inc. et Bae, Kim & Lee Inc en Corée. La Française Real Estate Partners International a été conseillée par Clifford Chance pour les aspects fiscaux et juridiques, Drees et Sommer pour la due diligence technique et Hamdon Properties pour les services consultatifs de transaction. Le financement de cette opération a été assuré par DekaBank Deutsche Girozentrale.

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    news-1713 Mon, 16 Sep 2019 08:52:22 +0200 La Française lance la SCPI fiscale loi Pinel, LF Grand Paris Habitation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-la-scpi-fiscale-loi-pinel-lf-grand-paris-habitation/ Porté par le projet du Grand Paris, le marché immobilier résidentiel en Ile-de-France est caractérisé par une demande structurellement soutenue qui exerce des pressions haussières sur les prix d’acquisition dans les zones tendues. Le régime Pinel constitue une solution permettant d’offrir un logement neuf de qualité, sous réserve du respect de certaines conditions d’acquisition et de location, aux ménages aux revenus intermédiaires. Dans ce contexte et forte de son expérience et de sa connaissance du marché du Grand Paris, La Française Real Estate Managers lance la SCPI fiscale adossée au dispositif Pinel, LF Grand Paris Habitation.

    LF Grand Paris Habitation permet aux souscripteurs, en contrepartie d’un engagement de détention des parts de la SCPI sur une période estimée à 17 ans au total, de bénéficier d’une réduction d’impôt, au même titre qu’un investissement en direct, soit :

    • Une réduction d’impôt sur le revenu à hauteur de 18 % appliqués à 100 % du montant total de parts souscrites dans la limite de 300 000 € par contribuable et pour une même année d’imposition, soit au maximum 54 000 € (6 000 € par an pendant neuf ans).

    De plus, l’investissement en parts de SCPI permet l’application immédiate de la réduction d’impôt, au titre de l’année de souscription, sans délai ni calcul de prorata temporis.  

    La SCPI investira à Paris et en région parisienne, dans un patrimoine immobilier constitué d’immeubles d’habitation neufs, ou en état futur d’achèvement, ou encore ayant fait l’objet de travaux de réhabilitation leur permettant d’acquérir les performances techniques proches de celles d’un immeuble neuf, et répondant au niveau de performance énergétique fixé par décret en fonction du type de logement.

    Dans les secteurs géographiques (définis par décret) présentant un déséquilibre entre l’offre et la demande de logements, la SCPI LF Grand Paris Habitation déploiera une stratégie d’investissement visant la sélection d’opérations :

    • Situées dans les zones profitant d’important flux migratoires, proches de zones d’emploi, bénéficiant d’une véritable politique urbaine et dynamiques sur le plan économique,
    • Présentant une réelle qualité de construction et d’aménagement respectant les normes environnementales en vigueur.

    LF Grand Paris Habitation est ouverte à la souscription à compter du 16 septembre 2019 jusqu’au 15 septembre 2020, sauf clôture anticipée en cas de souscription intégrale avant cette date.

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF Grand Paris Habitation, conclut : « Notre patrimoine immobilier de 3 millions de m2, majoritairement francilien, nous confère une profonde connaissance du marché du Grand Paris. Forte de son expérience et de sa connaissance du marché et plus spécifiquement des projets de développement du Grand Paris, La Française analysera les opportunités d’investissements à saisir dès à présent et pouvant bénéficier d’un fort potentiel de création de valeur dans les années à venir. »

     

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    news-1702 Tue, 10 Sep 2019 10:01:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert le 6B auprès de 6ème Sens Immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-6b-aupres-de-6eme-sens-immobilier/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA, auprès de 6ème Sens Immobilier, un immeuble de bureaux, le 6B, situé au 132 rue Bossuet dans le 6ème arrondissement de Lyon à proximité immédiate de la gare des Brotteaux. Le 6B développe 2 838 m² de bureaux et est entièrement loué à Regus dans le cadre d’un bail de 9 ans fermes. L’immeuble, qui vise la certification BREEAM niveau Very Good, sera livré en mars 2020. Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le cabinet Jeantet ; 6ème Sens Immobilier était conseillé par l’office notarial Chaine et Associés.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-1700 Fri, 06 Sep 2019 11:08:13 +0200 Les évolutions de marché à retenir si vous avez passé deux mois à la plage ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-evolutions-de-marche-a-retenir-si-vous-avez-passe-deux-mois-a-la-plage/ Un été 2019 compliqué au regard des rebondissements quasi quotidiens ! Sans surprise, les facteurs de risque susceptibles de provoquer du stress voire des corrections n’ont pas disparu pendant la trêve estivale. La résilience des marchés d’actions est notable, en dépit d’une forte remontée de la volatilité. Les attentes sur la rentrée des banques centrales sont très fortes et ont, en toute logique, permis une forte détente des taux.

    • De nouvelles taxes de 10% à partir du 1er septembre sur 300 mds USD d’exportations chinoises vers les US annoncées par M. Donald Trump
    • Le Dollar a cassé le seuil des 7 Yuans le 4 août
    • La taxe GAFA qui vise à imposer de 3 % le chiffre d’affaires des géants du numérique adoptée par le parlement français
    • L’indice d’activité PMI industriel aux Etats-Unis a cassé la barre des 50 en août
    • Explosion de la dette souveraine argentine suite aux 15 points d’avance du candidat péroniste contre le président actuel
    • 100 % de la courbe des taux allemands affiche des rendements négatifs

    1 - LE FEUILLETON SINO-AMÉRICAIN TOUJOURS À LA UNE
    Malgré les discussions menées les jours précédents, M. Trump annonce le 1er août de nouvelles taxes de 10% à partir du 1er septembre sur 300 mds USD d’exportations chinoises vers les US. Un nouvel épisode d’escalade importante dans la guerre commerciale sino-américaine est à l’oeuvre. Un délai de quelques semaines dans la mise en oeuvre de ces nouvelles taxes est cependant décidé. Sans doute pour en atténuer l’impact sur le consommateur américain alors que les USA sont entrés en période de pré campagne présidentielle. A noter également, le placement sur liste noire de plusieurs groupes nucléaires chinois ; ces derniers n’auront plus accès aux technologies nucléaires américaines.

    La réponse chinoise est arrivée quelques jours plus tard avec de nouvelles taxes sur un panier de 75 mds USD de produits américains, de + 5 % sur le soja à + 25 % sur les voitures américaines. Le 4 août, le Dollar casse le seuil des 7 Yuans, alimentant les spéculations de nouvelles interventions de la Banque Centrale chinoise. La réponse des autorités américaines est immédiate : le Trésor américain accuse la Chine de manipulation de sa devise. Les marchés actions américains connaît leur pire journée de l’année et le taux 10 ans américain tombe à 1,7 %, connaissant sa plus forte baisse hebdomadaire depuis 2011.

    Nous continuons de penser qu’il est de l’intérêt économique et politique des 2 parties de trouver une issue favorable et le scénario central reste que nous aurons des avancées positives dans les négociations à horizon 6 mois.

    2 - DE NOUVEAUX REBONDISSEMENTS AU SEIN DU  FEUILLETON EUROPE-US
    Le Parlement français a définitivement adopté la taxe GAFA qui vise à imposer de 3 % le chiffre d’affaires des géants du numérique. Lors du G7 de Biarritz, le France s’est néanmoins engagée à la démanteler dès qu’un accord multilatéral sera finalisé. L’administration américaine décidera quant à elle au plus tard en novembre de possibles nouvelles taxes de 25 % sur l’automobile européenne...

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    news-1698 Thu, 05 Sep 2019 14:21:05 +0200 Jean-Luc Hivert devient Global Head of Investments de La Française AM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jean-luc-hivert-devient-global-head-of-investments-de-la-francaise-am/ La Française fait évoluer l’organisation de son pôle Valeurs Mobilières et nomme Jean-Luc Hivert, actuellement Directeur Général de La Française AM, en qualité de Global Head of Investments de La Française AM. Il assurera ainsi le rôle de CIO sur l’ensemble des classes d’actifs valeurs mobilières couvertes par La Française AM. Fort de plus de vingt ans d’expérience dans la gestion d’actifs, Jean-Luc Hivert s’appuie sur une équipe composée d’une quarantaine de professionnels organisée par pôle.

    Sur la gestion actions, suite à la nomination de Laurent Jacquier-Laforge en tant que Global Head of Sustainable Investing pour le Groupe La Française, Nina Lagron prend à cette occasion le rôle de Head of Large Cap Equities.

    Les autres classes d’actifs sont sous la responsabilité de :

    •  Odile Camblain le Mollé – Head of Multi Management & Private Wealth,
    • Jérôme Fauvel – Head of Small Cap Equities,
    • Paul Gurzal – Head of Credit,
    • Maud Minuit – Head of Fixed Income & Cross Asset,
    • François Rimeu – Deputy Head of Cross Asset & Senior Strategist.


    Jean-Luc sera par ailleurs épaulé dans ses nouvelles fonctions par Joel Konop qui prend la responsabilité de COO (Chief Operating Officer).

    Patrick Rivière, Directeur Général de La Française conclut, « Les compétences cross-asset couplées au professionnalisme de Jean-Luc permettront d’optimiser les synergies au sein de la gestion de La Française AM et de poursuivre le développement de solutions innovantes à hautes valeurs ajoutées pour le bénéfice de nos clients.»

    Jean-Luc a débuté sa carrière en 1997 chez Vega Finance puis chez Cyril Finance comme Gérant d’Obligations Convertibles. Il a rejoint La Française des Placements en 2001. En qualité de Co-Responsable Gestion Obligataire, Jean-Luc a innové et contribué au lancement du concept de fonds à échéance, l’un des « key differentiation factors » de La Française encore
    à ce jour.

    Il est titulaire d’un DESS « Finance » de l’Université Paris VI (1996), un MIAGE - « Méthodes Informatiques appliqués à la Gestion d’Entreprise » (1995) ainsi qu’un MASS « Mathématiques
    appliquées et sciences sociales » de l’Université Paris XII (1993).

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    news-1696 Thu, 05 Sep 2019 13:57:44 +0200 Laurent Jacquier-Laforge, est nommé Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/laurent-jacquier-laforge-est-nomme-global-head-of-sustainable-investing-du-groupe-la-francaise/ Résolument mobilisée pour la transition en faveur d’une économie durable, La Française nomme Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing. Il aura la responsabilité d’incarner et de porter en interne comme en externe l’engagement du Groupe  La Française en matière d’investissement responsable sur l'ensemble de ses expertises . Il s’appuiera notamment sur Inflection Point by La Française, centre de recherche propriétaire extra financière du groupe basé à Londres. 

    L’atteinte des objectifs de développement du Groupe à moyen terme relève à la fois de son ancrage sur le marché européen mais également de sa capacité à proposer des solutions rentables et durables, toutes expertises confondues, qui réconcilient la création de valeur avec l’engagement sociétal, environnemental et à impact positif.

    « Au-delà de ses engagements corporate, La Française a fait le choix d’intégrer dans ses expertises les conséquences des urgences climatiques, écologiques et démographiques. Pour ce faire, nous nous appuyons sur notre centre de recherche extra financière, sur le développement de solutions à impact et sur l’intégration de la mesure de l’impact dans nos scénarios économiques. Notre objectif est d’offrir des solutions d’investissement en adéquation avec les aspirations des épargnants souhaitant participer à une économie plus durable », explique Laurent Jacquier-Laforge.

    « La prise en compte des enjeux environnementaux et sociétaux est cruciale. La nomination de Laurent Jacquier-Laforge et la création d’une équipe dédiée est un gage supplémentaire de notre volonté de devenir un asset manager engagé dans un monde en profonde mutation. Il est vital de favoriser une gestion à Impact afin de faire converger les attentes de la Société civile et des investisseurs. C’est notre conviction et le rôle clé que nous nous devons d’avoir. » souligne Xavier Lépine, Président de La Française.

    Laurent Jacquier Laforge a débuté sa carrière en 1985 en tant que Responsable de la Recherche Actions au CCF puis de Svenska Handelsbanken Markets. Après plusieurs expériences au sein de sociétés de gestion telles que CDC Ixis Asset Management ou encore Fortis Investments, Laurent est nommé en 2008 Head of Equities chez Scor Global Investments. Il y passera quatre ans avant d’être nommé Head of Equities à La Banque Postale Asset Management. Laurent a rejoint La Francaise en 2014 puis a été nommé CIO Equities Global de La Française AM en 2017. Depuis son intégration au sein de La Française, il  a transformé la gamme de fonds actions en y intégrant une dimension responsable, selon une méthodologie développée par Inflection Point by La Française, société de recherche extra-financière du groupe. 

    Laurent Jacquier Laforge est diplômé DESS-DEA en Economie de l’Université Paris X Nanterre. Laurent est un membre de la SFAF.
     

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    news-1693 Thu, 05 Sep 2019 09:56:00 +0200 Une classe d'actifs oubliée ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-classe-dactifs-oubliee/ Plus de trois quarts des fonds actions aux États-Unis sont composés de grandes capitalisations, le dernier quart étant majoritairement alloué dans des petites capitalisations. Ensemble, ces deux segments représentent plus de 90 % des actifs des fonds. Les investisseurs passent-ils à côté d'une opportunité ? Les SMid, une catégorie hybride qui désigne des actions de petites et moyennes capitalisations, peuvent parfois ne pas être prises en considération par les investisseurs, alors qu’elles offrent pourtant parmi les meilleures opportunités historiques des univers des petites et des grandes capitalisations. Surperformance des SMid

     

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    news-1691 Mon, 02 Sep 2019 11:38:12 +0200 Après la mondialisation, la démondialisation ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/apres-la-mondialisation-la-demondialisation-oui/ Des signaux de plus en plus forts interrogent le modèle économique dominant des 30 dernières années : la mondialisation. Les bénéfices de la mondialisation sont incontestables que ce soit en matière de progrès technologiques, de gains de productivité, de « confort » (santé, allongement de la durée de la vie, éducation, mode de vie), de baisse de prix relatifs pour les consommateurs et de capacité à sortir de la pauvreté plus d’un milliard d’habitants (reflété par l’Indice de Développement Humain de l’ONU).

    Mais en bouleversant en même temps l’équilibre macro-économique et micro-économique des pays développés, le soutien de l’activité se traduit également par un impact négatif à très négatif sur les classes moyennes et basses.

    La mondialisation est de fait économiquement efficace et en même temps très pénible ; une forte démondialisation serait tout aussi pénible mais, de plus, probablement inefficace.

    Une monétisation de l’économie
    Même si beaucoup d’emplois sont par définition locaux, comme dans les services, la référence implicite de la rémunération de beaucoup de fonctions est affectée par les rémunérations salariales des pays bénéficiaires des délocalisations. Par ailleurs, la mondialisation a indéniablement augmenté la violence sociale dans les pays développés, l’Entreprise ne pouvant plus assurer une pérennité de l’emploi, elle-même étant sujette à une concurrence globale.

    Enfin, au-delà de l’augmentation réelle ou perçue des écarts de rémunération au sein d’une même communauté géographique entre mondialisateurs et mondialisés (le fameux coefficient de Gini), le soutien de l’activité économique dans l’ensemble des pays développés nécessite une injonction massive de monnaie. Cette monétisation accrue de l’économie, sans contrepartie équivalente de PIB, s’est partiellement reportée sur les actifs « bankable », notamment l’immobilier, dans les zones tendues, et d’une manière encore plus générale sur « les actions » – représentées par le MSCI World Total return.

    A titre d’illustration, si le SMIC net a été multiplié par 4 depuis 1980 alors que l’inflation ne l’a été que par 3,5, investir dans l’immobilier parisien (évolution du prix majoré d’un rendement locatif de 2,5 % net par an) a permis de multiplier la mise de départ par 14, soit une « inflation » 3,5 fois supérieure pour les biens réels par rapport aux biens de consommation. De même, l’inflation des actifs financiers a été considérablement plus importante que celle générale des prix, le MSCI World total return ayant été multiplié par 33 sur la même période. Celui qui détenait des actifs a donc vu sa richesse augmenter sans commune mesure par rapport à celui qui n’en n’avait pas.

    Comment les démocraties occidentales, qui revendiquent dans leur essence même la protection des minorités et en particulier de l’individu, peuvent-elles s’accommoder durablement d’un système où les inégalités croissent en fonction de la capacité à épargner ou du stock d’épargne dont une minorité hérite ?

    La réponse des populations, dans les urnes comme dans la rue, c’est le Brexit, Trump, 5 étoiles, les gilets jaunes… autrement dit la montée du populisme dans les démocraties occidentales. La crainte desdites démocraties est évidemment de se faire battre dans les urnes. Alors, leur réponse actuelle est d’adresser la question en essayant de protéger leurs ressortissants par des mesures compensatoires, de court terme, et populaires. Paradoxalement, ces mesures risquent plus d’augmenter les inégalités que de les réduire car les réponses apportées n’adressent pas véritablement le problème. La mondialisation est allée beaucoup trop loin pour qu’une démondialisation radicale se mette en route.

    L’arme des droits de douane refait surface pour résoudre cette situation mais dans les faits elle est très complexe à utiliser dans un monde globalisé.

    On ne peut pas non plus parler de guerre froide car si la problématique entre les Russes et les Américains était éminemment politique, dans les faits les échanges commerciaux entre les deux blocs étaient quasi-inexistants. Si depuis 1990 l’application de la théorie d’Adam Smith sur la richesse des nations reposait sur l’organisation des délocalisations (les écarts de coûts de main d’oeuvre), aujourd’hui le débat est centré sur la technologie et les datas dont l’importance est supérieure à celle du pétrole au XXe siècle...

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    news-1689 Fri, 23 Aug 2019 09:19:11 +0200 La Française obtient un score de 94/100 à l’Index de l’égalité femmes-hommes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-obtient-un-score-de-94-100-a-l-index-de-l-egalite-femmes-hommes/ Créé par la Loi « Liberté de choisir son avenir professionnel » promulguée en septembre 2018, l’index de l’égalité femmes-hommes des entreprises consiste à mesurer cette égalité en matière de rémunération au travers de 5 indicateurs. Pour cette première année, La Française se réjouit de ce bon résultat. Il confirme que les actions mises en œuvre depuis plusieurs années en faveur de l’égalité professionnelle et de la diversité ont eu un impact positif. Elles permettent de nous positionner comme un employeur socialement responsable. 

    Et le Groupe est allé encore plus loin dans l’égalité et la qualité de vie au travail avec le nouvel accord quadriennal conclu avec les partenaires sociaux pour la période 2019-2022. Des actions et des solutions pratiques, concrètes et adaptées sont prévues dans les domaines suivants : conciliation entre responsabilités familiales et vie professionnelle, recrutement, formation et promotion professionnelle, conditions de travail…

    Car c’est un engagement dans la durée que nous allons poursuivre ! 
     

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    news-1687 Fri, 16 Aug 2019 11:37:58 +0200 Peur d'une récession ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/peur-dune-recession/ Lorsqu’il s’agit de formuler le risque, en particulier dans un environnement de récession, il est important de bien comprendre l’histoire des États-Unis. Afin d’appréhender le risque des investissements, il est nécessaire d’évaluer le niveau attendu des bénéfices dans un contexte difficile. En quête des entreprises dont les fondamentaux pourraient faire preuve de plus de résistance

     

     

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    news-1685 Fri, 09 Aug 2019 15:00:26 +0200 Le changement climatique et ses enjeux sur le marché obligataire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-changement-climatique-et-ses-enjeux-sur-le-marche-obligataire/ Le changement climatique est une réalité qui s’impose à nous tous. Nous sommes donc à la fois victimes et responsables de cet impact environnemental. En tant qu’investisseur convaincu et engagé nous souhaitons participer activement à la transition énergétique et écologique nécessaire à la préservation de notre planète comme nous la connaissons. Nous voulons engager les actifs sous gestion vers les opportunités de cette transformation tout en les protégeant des risques qui y sont associés.

    • La température terrestre moyenne a augmenté d’environ +1 °C en 2015 par rapport à la moyenne du XXe siècle(1).
    • La fréquence d’événements climatiques extrêmes a été multipliée par plus de 7x depuis 1960(2).
    • Ceci a causé plus d’1,7 millions de morts et 4.4 milliards de blessés sur la période de 1998-2017.
    • Sur la même période, un impact économique + 251% supérieur aux 20 ans précédents de plus de 2 900 milliards de dollars(3).

    La prime de risque obligataire n’intègre pas ou peu aujourd’hui les risques climatiques. Ce risque s’explique différemment en fonction des industries. Pour le secteur pétrolier par exemple, un gros risque est celui des « stranded assets ». En effet, une étude de Carbon Tracker analyse les CAPEX de 72 explorateurs et producteurs pétroliers et démontre que dans un monde aligné avec la demande d’un scénario de + 1,75°C , $1,6 trilliards de dollars d’actifs(4) pourraient ne pas être exploités. Ceci détruirait ainsi leur valeur sur les bilans des entreprises qui les détiennent.
    Devant la nécessité d’accélérer le financement de la transition, nous avons vu le marché des obligations vertes naitre. Ce marché a grossi de manière exponentielle ces quatre dernières années suite à l’adoption du concept par des émetteurs industriels et financiers. Ces obligations sont émises en lien avec des projets d’investissement dans les énergies renouvelables, l’immobilier à haute qualité environnementale ou bien encore le financement de prêts « verts » à travers les banques.
    Tous les secteurs d’industrie n’ont néanmoins pas émis sur ce marché. En effet, quand l’activité principale est structurellement très consommatrice en énergie fossile, l’accès à ce marché est plus difficile. Ce n’est pas pour autant que l’on devrait exclure ces secteurs de la transition car ils forment la pierre angulaire d’une révolution énergétique et économique profonde et efficace. Ce sont les acteurs de la transition et nous cherchons à identifier ces entreprises qui investissent dans leur transformation pour les financer par le biais du marché obligataire.

    (1) Rapport AR5 du GIEC, 2014
    (2) Bade de données EM DAT
    (3) https://www.unisdr.org/2016/iddr/IDDR2018_Economic%20Losses.pdf

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    news-1684 Fri, 02 Aug 2019 16:00:11 +0200 L'immobilier au cœur de la problématique du réchauffement climatique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/limmobilier-au-coeur-de-la-problematique-du-rechauffement-climatique/ Dès 2009, anticipant les évolutions réglementaires, La Française a fait le choix d’intégrer au cœur de sa stratégie une démarche responsable, portée par la conviction que traiter durablement ces problématiques crée de la valeur à long terme. La Française privilégie :

    • une approche large, fondée sur trois piliers : l’environnement, le social et la gouvernance
    • une approche inclusive pour embarquer l’ensemble des acteurs qui participent à la vie des bâtiments
    • une approche ambitieuse qui ne s’intéresse pas uniquement à la production d’immeubles neufs mais traite également le parc existant

    Pour s’inscrire dans l’engagement pris par la France de diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2050, l’industrie immobilière, l’industrie la plus consommatrice d’énergie et l’une des plus grosses émettrices de GES, s’est saisie du pilier environnemental depuis plusieurs années, principalement, à travers l’obtention de certifications et de labélisations. Mais, une stratégie ISR ne peut se contenter d’être uniquement environnementale parce qu’il appartient à cette industrie de dessiner la société de demain en remodelant les villes et en créant des lieux de vie, d’échange et d’accueil. La Française a adopté, depuis 2009, une approche systémique en lançant le premier OPCI ISR en immobilier. Outre des performances remarquables en matière environnementale avec des consommations énergétiques et des rejets de GES inférieurs de 35 % et 30 % aux moyennes de marché, les fonds responsables en immobilier de La Française plébiscitent le confort, le bien-être et la santé de ses occupants et vise à embarquer l’ensemble des acteurs de la chaîne d’approvisionnement dans une démarche vertueuse. A titre d’exemple, La Française a développé un jardin d’agriculture urbaine de plus de 2 000 m² à l’ombre des tours de La Défense. Elle a ainsi créé de la valeur pour l’actif en le rendant plus liquide en pérennisant ses cash-flows, tout en participant à l’échelle du territoire à la conservation de la biodiversité, à la consolidation du lien social et à la réduction de l’empreinte carbone.

    Depuis 2014, elle a renforcé sa stratégie en développant des produits avec une approche d’utilité sociale ambitieuse. La Française a choisi de faire du logement un axe fort, conscient de son rôle fondamental comme facteur d’intégration sociale. Innovant en permanence au travers d’une offre de produits et de services sans cesse renouvelée, elle a développé des fonds thématiques à impact notamment sur le viager mais aussi la Flexipropriété qui permet de solvabiliser les ménages aux revenus intermédiaires ainsi qu’un fonds de résidences gérées. Elle mène également des opérations spécifiques de reconversion de bureaux en logements et a noué un partenariat avec des associations qui créent des lieux d’hébergement temporaire en période de vacance des actifs de bureaux.

    Sachant que l’offre neuve représente chaque année moins de 2 % du parc de bureau en Ile-de-France, La Française va encore plus loin en déployant ses efforts d’amélioration sur le parc existant. Depuis 2016, l’acquisition de tout actif, neuf ou de seconde main, fait l’objet d’un plan pluriannuel de travaux et d’un plan d’optimisation de la performance énergétique qui inclut un montant de travaux ainsi qu’un temps de retour. Cet engagement illustre les exigences de gestion de La Française qui combine performances financières et extra-financières. Elle mène également régulièrement des campagnes d’évaluation de ses portefeuilles existants sur ce même principe.

    CONCLUSION
    Grâce à son positionnement sur l’ensemble des problématiques inhérentes à la vie d’un immeuble, La Française, qui se donne pour objectif de créer de la valeur sur les actifs qu’elle gère, se positionne comme force de proposition et caisse de résonances des réflexions de place et des meilleures pratiques déployées en matière d’investissement responsable.

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    news-1681 Wed, 31 Jul 2019 11:49:23 +0200 Le streaming change la donne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-streaming-change-la-donne/ Le contenu streaming peut prendre différentes formes : extraits vidéo sur internet, services d’abonnement (Netflix, par exemple), fournisseurs de contenus traditionnels ou encore logiciels de jeux. Aujourd'hui, si près de 200 services de vidéos streaming existent, quatre entreprises dominent le secteur, et le plus gros s’adjuge même 70 % des parts de marché. En réalité, les ménages sont nombreux à utiliser des services issus de plusieurs sources.

     

    • 70 % des ménages aux États-Unis disposent d’un abonnement streaming, et 40 % des habitations ont recours à plusieurs abonnements. En moyenne, les ménages américains utilisent trois services de streaming, pour une consommation mensuelle totale de 54 heures. Les quatre principaux prestataires de streaming du moment sont : Netflix, Google, Amazon et Hulu.
    • L'émergence de cette nouvelle technologie, qui vient perturber l'écosystème des médias traditionnels, est pourtant incroyablement intéressante pour le consommateur. Contrairement à la télévision classique, qui impose bien souvent aux spectateurs un calendrier hebdomadaire régulier, les plateformes de streaming permettent au consommateur de regarder le contenu qu'ils veulent, quand ils le veulent et sur l'appareil de leur choix. Nombreux sont les ménages qui mettent pour cette raison un terme à leur abonnement câble ou de télévision traditionnel.
    • L'avenir semble prometteur pour les grands prestataires de streaming et leurs partenaires en infrastructure (fournisseurs internet et sociétés de télécommunications, qui peuvent offrir des opportunités d'investissement intéressantes).

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    news-1679 Mon, 29 Jul 2019 14:26:01 +0200 Réintroduire la nature en ville /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reintroduire-la-nature-en-ville/ C’est bon pour la planète… et pour les citoyens ! L’agriculture urbaine et périurbaine est une forme émergente ou plutôt réémergente de pratiques agricoles effectuées en ville.
    Ces activités (petits élevages, jardins, aquaculture...) ont toujours existé dans les villes ou à proximité pour des raisons pratiques d’approvisionnement alimentaire. Depuis l’antiquité, les villes ont ménagé des espaces d’habitation, d’artisanat (puis d’industrie) et d’agriculture. Si avec la croissance démographique, les champs ont progressivement disparu du centre des villes, des parcelles plus petites et de très nombreux jardins y occupent toujours une place significative. Le cycle court de production et le rendement au m² (un mètre carré de jardin peut fournir 20 kg de nourriture par an) justifient cette pratique.
    Actuellement, à l’échelle de la planète, on assiste à un intérêt croissant des divers acteurs de la société pour les projets d’agriculture urbaine en tant que vecteur de transition écologique : alimentation durable, lien social et bien-être des populations, projets participatifs, éducation à l’environnement, paysages, etc.

    C’est dans ce contexte que La Française a lancé en collaboration avec la société MUGO une étude visant à évaluer, sur un certain nombre d’actifs qu’elle gère pour le compte de ces SCPI, le potentiel de développement de la biodiversité à travers, entre autres, la mise en oeuvre de jardins d’agriculture urbaine.
    Avec cette opération d’envergure, La Française souhaite réintroduire la nature en ville, dans le but de préserver la biodiversité et de faire en sorte que les villes soient à la fois vivables, pédagogiques et nourricières, et cela grâce au végétal.

    La première l’opération pilote située à Puteaux sur le Campus AVISO (un ensemble immobilier de 18 000 m² de bureaux occupés par plus de 850 salariés) a récemment reçu la visite des membres de l’Observatoire de l’Immobilier Durable dont La Française REM est membre fondateur et à la Présidence depuis 2015.
    Le site de Puteaux a été retenu grâce à une situation géographique favorable, à proximité de l’ile de Puteaux et du bois de Boulogne, et surtout grâce à la présence d’une surface de toiture déjà végétalisée sur un substrat de 70 cm de terre végétale.

    Composé autrefois de pelouses sans intérêt et d’arbres ornementaux, cet espace était finalement peu attrayant et par conséquent peu fréquenté. « Quand on prend un projet, on voit l’état de l’existant, et le potentiel. Il n’y avait aucun usage sur les pelouses, une biodiversité réduite, pas de pédagogie avec les occupants et un entretien coûteux », a détaillé Antoine Guibourgé (Directeur de MUGO) lors de cette visite. « Le paysage se développe en ville, mais cela a un coût. Il faut que le projet soit réalisable et qu’il se maintienne dans le temps. Il fallait ici que l’entretien du nouveau site ne coûte pas plus cher que précédemment. Dans ces espaces urbains très minéraux, il s’agit dans un premier temps de créer un lieu propice au retour de la biodiversité, même de façon modeste, grâce à un jardin multifonctionnel dépassant la fonction ornementale ».

    A Puteaux, les arbres au feuillage persistant ont été remplacés par des arbres au feuillage caduque et des fruitiers afin d’appuyer le retour de la microfaune du sol. Un arbre fruitier, en plus de donner des fruits comestibles, est mellifère (le pollen des fleurs est utilisé par les abeilles pour fabriquer du miel), sert de gîte pour les oiseaux, et constitue un lieu de rencontre pour les gourmands.
    « Dès que l’on a pu remplacer les vivaces et les arbres ornementaux par des plantes comestibles en libre-service, on l’a fait », indique Antoine Guibourgé. Bourrache, sauge, thym, salades, framboisiers, groseillers et autres végétaux comestibles composent le jardin potager, dont une partie est entretenue de manière associative par les résidents qui souhaitent cultiver leurs propres plants. Le paillage de lin installé cet hiver pour protéger les jeunes plants du froid et maintenir l’humidité dans le sol a essaimé une multitude de graines qui donnent aujourd’hui de jolies plantes aux fleurs bleues, conservées parmi les autres plantes. La nature reprend ses droits ! Les 7 pensionnaires du poulailler font la joie, parmi les occupants du site, des amateurs d’oeufs bio qui apportent leurs boîtes à oeufs pour la distribution gratuite. Les poules sont nourries aux grains et aux « déchets verts ». Enfin, un peu à l’écart de ce jardin de cocagne, six ruches assureront une production de miel estimée de 10 à 20 kg par an.

    Tout a été pensé comme une expérimentation, avec pour objectif de prouver la faisabilité d’une agriculture urbaine à Paris. L’étude préalable des sols a démontré qu’ils étaient compatibles avec une activité agricole raisonnée, grâce à l’absence de métaux lourds et de particules d’hydrocarbure, même si le quai de Dion Bouton en contre-bas est fortement fréquenté par le trafic automobile.
    L’approche est celle d’un jardin circulaire : rien ne rentre (pas d’intrants chimiques), rien ne sort. Les « déchets » verts alimentent le compost tandis que l’eau de pluie est récupérée pour un arrosage réduit. En règle générale, un maraîcher doit disposer de 1 à 2 hectares en pleine terre pour vivre de son activité, à faible marge. Ce n’est donc pas ici un modèle productif. Pour le « premier printemps » de ce potager, inauguré il y a quelques mois seulement, il n’y a pas d’engagement formel sur des objectifs quantitatifs de production. Les estimations par an sont de l’ordre de 1 tonne de légumes, 145 kg de petits fruits en libre-service (framboises, cassis, groseilles), 800kg de pommes et poires, plus de 3 000 plantes aromatiques pour la production de tisanes (séchoir à disposition) et 1 500 pots de miel. Une terrasse en bois est installée au milieu du potager pour y installer un mini marché (par semaine ou par quinzaine) qui pourra être l’occasion de distribuer aux résidents les produits récoltés.

    Un des principaux objectifs de cette initiative est de favoriser le confort et le bien-être des occupants ainsi que le lien social au sein même du campus. La création de ces 2 000m² de jardins maraîchers a été ainsi très bien reçue par les occupants. Dans sa conception, le jardin accueille différents espaces : potager participatif et pédagogique (l’entretien d’une partie du site est assuré par des occupants volontaires, organisés en micro-association d’une quarantaine d’adhérents, formés par Mugo à raison de quatre sessions par an), terrain de pétanque, terrasses en bois pour les évènements des résidents en extérieurs, installation de mobilier sur les pelouses propices à l’échange, aux repas entre collègues ou à la contemplation. Par ailleurs, le RIE s’inscrit aussi volontairement dans cette démarche, en organisant des évènements de convivialité au moment des repas à l’extérieur pour profiter du jardin.

    Quels enseignements pour le secteur de l’immobilier ?

    Une telle initiative ne peut être réalisable sans la conviction et l’élan du propriétaire. Si l’annonce et la présentation du projet ont suscité un réel engouement de la part des occupants du Campus, l’expérimentation requiert néanmoins de la prudence quant à son maintien dans le temps. « Un projet d’agriculture urbaine est à prendre avec beaucoup d’humilité », indique prudemment Gérard Degli Esposti, Directeur de l’ISR immobilier – La Française REM, et Président de l’OID. Mais aujourd’hui l’engouement est tel qu’il promet de belles années à ce jardin maraîcher.

    Au-delà de l’impact de la nature sur le confort et le bien-être des citoyens, le retour de la production maraîchère en ville et la biodiversité qui l’accompagne (oiseaux, fleurs, fruits) est également une manière de valoriser des espaces souvent délaissés et peu fréquentés, et un bel exemple d’engagement sur des problématiques centrales très actuelles.

    Dépassant l’opération de marketing qui est souvent et à juste titre mise en avant, l’agriculture urbaine exerce un pouvoir attractif sur les occupants en ce sens qu’elle représente un espace de bien-être physique et moral, mais également un lieu d’expérimentation, de pédagogie et de participation citoyenne autour de la biodiversité et de l’alimentation.

    A Puteaux -les visiteurs de l’Observatoire de l’Immobilier Durable ont pu le vérifier- le jardin d’agriculture urbaine participe au développement du bien-être et au renforcement du lien social. Mais on peut également constater son rôle dans l’intégration du Campus dans le territoire comme en témoigne les nombreuses questions posées par le voisinage sur une possible et prochaine ouverture au public. Grâce à la ré-introduction de la nature en ville, parler d’intégration et de mixité sociale et urbaine lorsqu’on évoque l’immobilier tertiaire socialement responsable prend tout son sens.

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    news-1677 Wed, 24 Jul 2019 15:47:35 +0200 Stratégie Responsable et Climatique : l'Infographie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/strategie-responsable-et-climatique-l-infographie/ Pour répondre à la nouvelle structure de rapport climat présentée par la TCFD contenant quatre piliers : gouvernance, stratégie, gestion des risques, indicateurs et métriques utilisées ; La Française a publié son Rapport sur sa Stratégie Responsable et Climatique et a résumé ses principales actions ESG sous forme d’infographie.

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    news-1674 Tue, 23 Jul 2019 14:21:48 +0200 Avis aux porteurs de parts : FCP La Française Sub Debt /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avis-aux-porteurs-de-parts-fcp-la-francaise-sub-debt/ Nous informons les porteurs de parts du FCP « La Française Sub Debt » qu’à compter du 29 juillet 2019, certaines caractéristiques de la catégorie de la part F- FR0013321916 seront modifiées comme suit :
  • Dénomination de la part : Part Y
  • Souscripteurs concernés : Réservée aux clients professionnels au sens de la MIF
  • Montant minimum de souscription : 50 millions d’euros
  • Commission de souscription non acquise maximum : 5%
  • Commission de rachat non acquise maximum : 2%
  • Frais de gestion financière maximum : 0.550%
  • Période de référence de la commission de surperformance : de la date de lancement de la part au 30 juin 2021.
  • VL initiale : 1 000 euros
  • Ces modifications entreront en vigueur à compter du 29 juillet 2019.

    Les autres caractéristiques du FCP et des autres catégories de parts du FCP demeurent inchangées.
    La documentation juridique de ce FCP, décrivant l’ensemble de ses caractéristiques, est disponible auprès de LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT et sur le site www.la-francaise.com .
    Elle peut vous être adressée dans un délai de huit jours ouvrés, sur simple demande écrite, auprès de :


    · LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT
    Département Marketing
    128 boulevard Raspail
    75006 Paris

    · ou par e-mail adressé à : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com
     

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    news-1671 Mon, 22 Jul 2019 14:51:53 +0200 La stratégie responsable et climatique du Groupe La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-strategie-responsable-et-climatique-du-groupe-la-francaise/ Le troisième rapport sur la stratégie responsable et climatique du Groupe La Française adopte le format recommandé par la Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD) qui passe progressivement de statut de recommandation à celui de directive non contraignante avant sans doute de devenir une norme de droit international. L'adoption du standard TCFD de rapport extra-financier

    La TCFD est un groupe de travail nommé par le Conseil de stabilité financière avec le soutien du G20 lors de la COP21 en décembre 2015 pour définir des recommandations concernant la transparence financière des entreprises en matière de climat. Il répond au discours de Mark Carney, Gouverneur de la Banque d’Angleterre, prononcé à la Lloyd’s en septembre de la même année identifiant le climat comme un risque systémique pour la stabilité du système financier mondial. Le rapport de la TCFD publié en juin 2017 précise la structure de rapport climat attendue dans les documents de référence des entreprises. Cette structure est organisée autour de quatre piliers : gouvernance, stratégie, gestion des risques, indicateurs et métriques utilisés.

    La composition de ce groupe de travail présidé par Michael Bloomberg est éclectique : 32 membres issus du secteur financier et nonfinancier (gestionnaires d’actifs, fonds de pension, sociétés privés, entreprises d’audit et de consulting, agences de notation). Son objectif est de placer les risques et les opportunités climatiques au coeur de la stratégie des entreprises financières et non-financières, d’augmenter la transparence entre entreprises et investisseurs afin de réduire les risques d’investissement et de réconcilier le temps court des décisions financières avec le temps long des conséquences du changement climatique.
    L’analyse de scénarios est l’outil de base pour évaluer l’impact des changements climatiques à la fois en termes de risques de transition et d’opportunités (changement de réglementation, de tendances de consommation, apparition de technologies de rupture, etc.) et en termes de risques physiques (augmentation de fréquence d’événements météorologiques extrêmes, hausse du niveau des mers, raréfaction de l’eau potable, etc.).

    Le format de rapport préconisé par la TCFD est de fait totalement compatible avec l’article 173 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte d’août 2015 et son décret d’application de décembre 2015 sauf en ce qui concerne la gouvernance où il est innovant. L’article 173 demande un reporting climatique mais également sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

     

    La Française reconnait l’importance des tendances environnementales et sociétales qui façonnent le monde ainsi que le rôle croissant que ces facteurs ont sur nos industries et dans l’esprit de nos clients. En tant que gestionnaire d’actifs, nous souhaitons favoriser des changement positifs dans les politiques publiques et mobiliser nos capacités internes en vue d’apporter des solutions novatrices d’investissement responsable.

    Nous voulons faire de ces sujets la pierre angulaire de notre philosophie, au coeur de notre activité.

    Xavier Lépine - Président du Directoire La Française

    L'implication du Groupe dans le changement climatique

    Le Groupe La Française a la conviction que les grandes tendances qui devraient structurer les marchés financiers sur le long terme sont :

    • dans le domaine économique : la dynamique de la dé-mondialisation et l’accélération du progrès technologique ;
    • dans le domaine monétaire, la persistance de taux d’intérêt très faibles ;
    • dans le domaine démographique, la poursuite de la métropolisation avec, en premier plan et exerçant son influence sur l’ensemble des évolutions, le changement climatique.

    Une société de gestion a un positionnement particulièrement sensible à l’impact des changements climatiques sur les marchés financiers et, du fait de son métier de gérant sur un large panel de classes d’actifs, le Groupe la Française occupe un poste d’observation privilégiée sur le développement de la finance climatique. Une partie des actifs gérés par le Groupe porte en effet sur des compartiments de marché peu liquides, voire illiquides avec des risques physiques et de transition particulièrement délicats à gérer car s’inscrivant dans des détentions de long terme. C’est pourquoi le Groupe a particulièrement investi dans des groupes de travail, des publications, des réflexions avec ses clients et des produits financiers autour de ce thème essentiel.

    Le Groupe La Française a la conviction que les facteurs ESG affectent de façon importante les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie d’investissement du Groupe La Française est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation.

    En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le Groupe porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires du fait du changement climatique et des défis sociaux.

     

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    news-1670 Thu, 18 Jul 2019 14:28:14 +0200 Faire le lien entre risques financiers et climat /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/faire-le-lien-entre-risques-financiers-et-climat/ Analyse de scénario et climat Value-at-Risk C’est à Londres le 10 mai dernier que la vingtaine d’investisseurs(1) de 11 pays, dont La Française, ayant participé au groupe de travail pilote de l’UNEP FI sur la mise en oeuvre des recommandations en matière de reporting climatique(2) ont partagé les résultats de leurs réflexions et des études de cas menées sur l’impact sur leurs portefeuilles de différents scénarios climatiques. Le rapport : "Changing Courses", téléchargeable a été présenté et discuté lors d’une après-midi de lancement, en présence de plus de 300 personnes et après des discours introductifs de la Directrice Générale d’Aviva UK, Angela Darlington et de Sarah Breeden, Executive Director de la Banque d’Angleterre.


    Se voulant un outil permettant aux autres investisseurs de mieux comprendre comment faire le lien entre risques financiers et climat, il fournit un état des lieux des méthodologies d’analyse de scénarios climatiques puis se concentre sur la méthodologie utilisée par le groupe de travail pilote et testée par les investisseurs afin d’évaluer l’impact du changement climatique sur leurs portefeuilles. Il détaille également certaines études de cas partagées par les 20 investisseurs pilotes et synthétise leurs retours d’expérience.


    Pour La Française, participer à ce groupe de travail nous a permis de rester à l’avant-garde de la finance climatique. En tant qu’investisseurs, nous sommes exposés aux risques et opportunités climatiques dans nos portefeuilles car les entreprises dans lesquelles nous investissons doivent s’adapter dans cette période de transition vers une économie bas-carbone. Et mesurer la résilience de nos portefeuilles au changement climatique est un enjeu clé mais complexe, reposant sur de multiples hypothèses évaluant l’impact du changement climatique sur les différentes entreprises dans une vision dynamique et prospective. Un exercice jusque-là trop difficile et donc peu accessible, reposant de plus sur des méthodologies encore balbutiantes et destinées à évoluer.
    C’est pourquoi s’associer avec d’autres grands investisseurs engagés au sein de ce groupe de travail pour partager nos questions et faire avancer la réflexion de manière structurée faisait sens. Lors de la période de tests du nouvel outil que représente la Climate Value-at-Risk (CVaR) développée par Carbon Delta, nous avons pu discuter des hypothèses faites par Carbon Delta et en tant que groupe les challenger. Puis nous avons analysé avec cet outil certains de nos portefeuilles à l’aune de divers scénarios climatiques. Même si les résultats doivent encore être améliorés, la Climate VaR nous apporte un nouvel éclairage sur les risques climatiques en prenant en compte les risques de transition comme les risques physiques, en incluant des éléments prospectifs via les brevets déposés par les entreprises et enfin en proposant un choix -essentiel nous semble-t-il- de divers scénarios climatiques basés sur des projections d’un monde à 1,5°, 2°ou 3°. C’est un outil innovant qui vient compléter nos propres analyses fondamentales et que nous pensons utiliser à terme dans la gestion de nos portefeuilles comme un des éléments d’analyse de la résilience des entreprises au changement climatique.


    Nous aspirons à que le rapport "Changing Courses" permette de diffuser ce que nous avons appris à un public plus large d’investisseurs partageant les mêmes préoccupations et d’aider à une harmonisation relative des reporting climatiques des entreprises et donc des investisseurs.

     

    (1) Addenda Capital, Afore Citibanamex, Aviva plc, Bentall Kennedy, CDPQ, CDL Group, City Developments Limited, Desjardins, DNB Asset Management, Investa, KLP Kapitalforvaltning, La Française Group, La Salle Investment Management, Link, M&G Prudential, Manulife Investment Management, Nordea Asset Management, Norges Bank Investment Management, Rockefeller Capital Management, Storebrand Asset Management, TD Asset Management,
    (2) Recommandations de la TCFD, Task-force on Climate-related Financial Disclosures, www.fsb-tcfd.org

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    news-1668 Thu, 18 Jul 2019 12:10:16 +0200 La technologie génétique ouvre de nouvelles perspectives /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-technologie-genetique-ouvre-de-nouvelles-perspectives/ Vos gènes déterminent plus que la couleur de vos yeux ou votre aspect physique. La génétique a une énorme influence sur votre propension et celles de vos enfants à développer certaines maladies. La bonne nouvelle est que la recherche sur le génome (l’ensemble de vos gènes) fait des progrès considérables donnant lieu à l’approbation régulière de nouveaux médicaments destinés aux personnes qui présentent des facteurs génétiques rares. Et ces progrès offrent de nombreuses opportunités d'investissement tout au long de la chaîne de valeur du génome.

     

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    news-1661 Thu, 11 Jul 2019 11:30:00 +0200 Un avenir soutenable grâce aux low tech ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-avenir-soutenable-grace-aux-low-tech/ Le 20 février 2019 l’OID a organisé dans l’auditorium de La Française une conférence sur la traduction du mouvement "low tech" pour le secteur immobilier. Cette conférence introduite par un exposé de Philippe Bouix* s’inscrivait dans le cycle Immobilier & Prospectives.
  • Les low tech, pourquoi ?
  • La réflexion autour des low tech se nourrit d’un constat sans appel : l’épuisement des ressources entraine une surconsommation énergétique et ce cercle vicieux n’est pas tenable sur la durée. Les mines d’accès facile sont épuisées, celles ouvertes actuellement démontrent des taux de concentration en ressources beaucoup plus faibles, exigeant pour leur exploitation des investissements technologiques et des besoins énergétiques toujours plus importants, comme en atteste le gaz de schiste.
    Les énergies renouvelables, inépuisables apparaissent comme une réponse aux besoins énergétiques croissants. Mais le paradoxe est que, pour produire, stocker, transformer en quantité de plus en plus importante cette énergie, il faut une technologie elle-même très consommatrice de ressources, notamment de métaux rares.
    En parallèle, les matériaux ou objets produits et utilisés aujourd’hui démontrent très peu de "circularité". Ces ressources ont des usages dits "dispersifs", c’est le cas du plastique, recyclable un nombre limité de fois, mais également, pour des raisons d’usage, des métaux. Les objets "high tech", sont faits de nombreux composants qu’il est impossible de séparer en fin de vie. Pour des objets les plus communs, le problème vient du nombre d’alliages différents utilisés. Enfin leur utilisation sous forme micro ou nano les rend impropres à la récupération, comme avec le titane, utilisé à 95 % sous forme chimique (peinture, maquillage, crème, etc.).
    Le développement de solutions techniques "simples", dites "low tech", représente une opportunité pour faire face à la consommation énergétique accrue des usages numériques. Recyclage, modularité, réparabilité, simplicité et sobriété sont les maîtres-mots des low tech. Cela rend possible l’implication et l’autonomie des individus, et permet également le développement de communautés d’intérêt et de savoirs. Les principes de l’innovation frugale, de la résilience et de l’économie circulaire s’y retrouvent. Nous parlons là d’un bouleversement sociétal et non seulement d’une question technologique.

     

    • Low tech et immobilier

    Aujourd’hui le secteur immobilier, grand consommateur de ressources à travers l’utilisation de matériaux et les besoins en énergie, doit se poser les bonnes questions. Pour réduire son impact, faire du low tech intelligent, il y a des pistes intéressantes et disruptives comme par exemple :
    - Mutualiser l’utilisation des bâtiments. Car le bâtiment ayant le moins d’impact est celui que l’on ne construit pas et les bureaux ne sont utilisés globalement que 30 % du temps. Or, du bâti non utilisé, c’est aussi un gâchis environnemental, du fait des matières premières, de l’empreinte carbone et des effets néfastes de l’artificialisation des surfaces.
    - Construire en tenant compte du démantèlement futur. Il est nécessaire de prendre en compte les notions de réutilisation, réemploi, recyclage, économie circulaire, stockage, et valorisation des matériaux, dès la conception d’un bâtiment et en cohérence avec le contexte local.
    - Construire local. C’est-à-dire sortir de la dépendance au climat géopolitique en cessant de s’approvisionner auprès des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique. Utiliser le travail humain durable et disponible sur place plutôt que la machine consommatrice de ressources et non durable.
    - Travailler la question de la résilience pour assurer la durabilité des constructions face aux aléas climatiques de plus un plus prégnants.


    Comme on peut le constater, le mouvement low tech ne se résume pas à un raisonnement purement technique, mais bien socio-technique, organisationnel et culturel.

     


    * Auteur de L’âge des low tech : vers une civilisation technologiquement soutenable

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    news-1660 Wed, 10 Jul 2019 11:20:00 +0200 L’équipe Newtown Square se charge de tout ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-equipe-newtown-square-se-charge-de-tout/ Newtown Square, nouvel acteur de coworking et Flex office, a ouvert son premier espace d’Éco-working ce 3 juillet, boulevard du Montparnasse à Paris. Pour diriger sa nouvelle filiale qui vient bouleverser le marché avec un concept qui repose sur l’écologie de la personne, La Française a nommé Grégory NEULAT. Newtown Square, nouvel acteur de coworking et Flex office, a ouvert son premier espace d’Éco-working ce 3 juillet, boulevard du Montparnasse à Paris. Pour diriger sa nouvelle filiale qui vient bouleverser le marché avec un concept qui repose sur l’écologie de la personne, La Française a nommé Grégory NEULAT.
    Membre fondateur et porteur de ce projet, Grégory NEULAT a été nommé Directeur Général de Newtown Square. Il bénéficie d’une vingtaine d’années d’expérience dans le secteur de l’immobilier & de la finance. Il a débuté sa carrière en 2000 au Crédit Immobilier de France puis à l’Européenne de Cautionnement. En 2007, il rejoint La Française en qualité de Directeur de Participations pour sa filiale Next AM où il s’est chargé notamment de développer de nombreuses prises de participations en accompagnant celles-ci à chaque étape de leur développement. En 2013, il prend la direction du département marketing de La Française et participe à la création et mise en marché de Moniwan by La Française, première plateforme de SCPI 100 % digitale lancée en 2016. Greg NEULAT est diplômé d’IDRAC Business School.
    Pour développer l’offre Newtown Square, Grégory NEULAT s’appuiera sur :

    •    Nissa CHARA, Responsable du Développement de Newtown Square, qui bénéficie de plus de quinze années d’expérience dans l’hôtellerie et l’évènementiel en qualité notamment de Responsable Commerciale Evènementiel pour le Musée du Quai Branly ou encore Directrice Commerciale des Parcs des Expositions ;

    •    Esther LAHUERTA ESCOLANO, Architecte et Chef de Projet – Espaces Coworking de Newtown Square, qui bénéficie d’une dizaine d’années d’expérience dans l’architecture, le design, et le suivi de projets de construction en France comme à l’international pour notamment Unibail-Rodamco-Westfield.

    « Grâce à l’équipe Newtown Square et à son réseau de partenaires, je suis confiant en notre capacité à répondre aux besoins de flexibilité et à la problématique de surcharge des entrepreneurs / managers. Nos espaces associés à notre palette de services d’Éco-working permettront aux entrepreneurs et intrapreneurs de mener à bien leurs projets », conclut Grégory Neulat, Directeur Général de Newtown Square.
     

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    news-1654 Thu, 11 Jul 2019 10:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux à Essen (Allemagne) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-essen-allemagne/ La Française Real Estate Managers, conseillée par La Française Real Estate Partners International et pour le compte de la SCPI LF Europimmo, a acquis auprès de Real I.S. un immeuble de bureaux situé à Rüttenscheider Strasse, un emplacement de choix à Essen, en Allemagne. Le bâtiment a été conçu par le célèbre architecte allemand Egon Eiermann et est classé monument historique depuis 1992.

    L'immeuble, construit en 1960 et rénové en 1994, est idéalement situé à l'intersection de la Rüttenscheider Strasse et du Hohenzollernring. L'immeuble de sept étages, entièrement loué à une société de production d'électricité, offre 22.506 m2 de bureaux et 343 places de stationnement intérieur et extérieur.
    Jens Goettler, Directeur général pour l'Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : "Au-delà des qualités architecturales de la construction elle-même, son emplacement de choix à Essen, où se trouvent trois sociétés du DAX et où l'économie locale connaît une croissance intensive, devrait contribuer à soutenir durablement la demande des locataires.

    L’acquéreur a été conseillé par Clifford Chance LLP sur les aspects juridiques et fiscaux et par TA Europe GmbH sur la Due Diligence technique.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-1652 Thu, 04 Jul 2019 10:05:12 +0200 La Française acquiert le huitième immeuble de bureaux en Europe pour le compte d'investisseurs sud-coréens /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-acquiert-le-huitieme-immeuble-de-bureaux-en-europe-pour-le-compte-dinvestisseurs-sud-co/ La Française, pour le compte de la SCPI LF Europimmo, et des investisseurs sud-coréens, conseillés par Korean Investment Management (KIM), ont co-investi dans la société Luxembourgeoise DELO 1, propriétaire de l’immeuble de bureaux « D. Square », dont la superficie totale est de 31 000 m2 environ. En phase de finition, ce complexe immobilier neuf se situe boulevard Kockelscheuer, au sud du quartier des affaires du Luxembourg. Une des trois capitales officielles de l'Union européenne, Luxembourg est un emplacement privilégié où la demande est en hausse avec de grandes institutions financières, à la suite du Brexit, qui ont commencé ou annoncé le lancement de nouvelles activités.

    L'actif immobilier, au design emblématique, fait partie d'un projet d'aménagement à usage mixte. Situé dans le quartier Cloche d'Or, l’immeuble bénéficie de l’accès direct aux liaisons autoroutières avec la Belgique, l'Allemagne et la France. Le projet d'aménagement prévoit la création d’un centre commercial, d’une école internationale, d’appartements résidentiels, d’espaces verts et d’un stade. La construction d'une ligne de tramway et d'une nouvelle ligne ferroviaire améliorera davantage la connexion avec tous les principaux quartiers de bureaux et des banlieues.

    L’édifice de seize étages, qui comprend environ 29 900 m2 de bureaux, environ 1 400 m2 d'archives, 235 emplacements de parking, des restaurants d'entreprise, des salles de formation et un auditorium, est l’œuvre de deux grands architectes luxembourgeois. Construit pour répondre aux exigences de catégorie A et destiné à obtenir la mention « very good » au label BREEAM, l’immeuble de bureaux est entièrement loué, dans le cadre d'un bail à long terme de quinze ans, à un locataire unique qui figure parmi les quatre premiers cabinets d'audit et de conseil au monde. 

    David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « C'est le huitième investissement immobilier réalisé pour le compte d'investisseurs sud-coréens en Europe et le premier au Luxembourg. Grâce à notre plateforme d'investissement dont les centres de gestion se trouvent à Paris, Francfort et Londres et nos experts en développement basés à Séoul, La Française a investi plus de 2 milliards d'euros dans cinq pays européens (le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, la Belgique et le Luxembourg) ».

    Shawna Yang, Directrice des Relations avec les Investisseurs Immobiliers pour l’Asie, a tiré la conclusion : « La Française établit des ponts, rapprochant les investisseurs asiatiques et le marché immobilier européen. Notre mission consiste à trouver des actifs de qualité qui répondent aux exigences de diversification des investisseurs locaux, voire les dépassent. Dans le cas de D. Square, nos partenaires sud-coréens visent la croissance prospective, en termes de loyers et gains en capital anticipés, du marché immobilier luxembourgeois. »

    La Française et les investisseurs sud-coréens ont bénéficié des conseils de PwC et de Dentons. Le financement de la transaction a été arrangé par la Landesbank Hessen-Thüringen (Helaba), qui est intervenue en tant que prêteur et Facility et Security agent


    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1651 Fri, 05 Jul 2019 10:00:00 +0200 Paris 17e: La Française Real Estate Managers (REM) acquiert le M auprès de 6ème Sens Immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/paris-17e-la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-m-aupres-de-6eme-sens-immobilier/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de 6ème Sens Immobilier, un volume de bureaux situé 253 boulevard Pereire à Paris. Cet actif bénéfice d’une proximité immédiate avec la station de métro « Porte-Maillot » desservie par la ligne 1, le RER C et la future ligne EOLE. Le M développe 7.530 m² de bureaux. Il est entièrement loué à Wework dans le cadre d’un bail ferme de longue durée. Cet actif bénéfice d’une proximité immédiate avec la station de métro « Porte-Maillot » desservie par la ligne 1, le RER C et la future ligne EOLE. Le M développe 7.530 m² de bureaux. Il est entièrement loué à Wework dans le cadre d’un bail ferme de longue durée.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière, Crédit Mutuel Pierre 1, Sélectinvest 1, Pierre Privilège, Eurofoncière 2, LF Grand Paris Patrimoine, et LF Europimmo.

    La transaction a été réalisée par Strategies & Corp dans le cadre d’un mandat exclusif de vente. Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez et Associés, le cabinet Jeantet et par David Colin de chez Reed Smith LLP ; 6ème Sens Immobilier était conseillé par l’office notarial Lexfair et par William Stemmer du cabinet TAJ.

    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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    news-1650 Wed, 03 Jul 2019 15:00:00 +0200 La Française lance Newtown Square /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-newtown-square/ Le marché de l’immobilier d’entreprise est en pleine mutation. Répondre aux phénomènes sociétaux et démographiques mais également faire face aux nouvelles exigences d’équilibre et de bien-être au travail est aujourd’hui une nécessité. C’est dans ce contexte que La Française lance Newtown Square : une nouvelle approche de l’immobilier de bureau basée sur le Coworking et la location en Flex office, spécifiquement conçue pour faciliter le développement de projets intra et entrepreneuriaux.

    Newtown Square est née d’une volonté forte du Groupe La Française de répondre aux enjeux d’évolution des modes de travail et aux demandes émanant de ses utilisateurs avec deux éléments majeurs : le besoin de flexibilité et la nécessité de réponse à la problématique de « surcharge », phénomène de plus en plus répandu chez les entrepreneurs.
    Filiale de La Française, Newtown Square bénéficiera d’un accès au patrimoine immobilier de La Française Real Estate Managers, première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier en termes de capitalisation (IEIF, 12/2018).
    Xavier Lépine, Président du Groupe La Française, déclare : « L’avantage compétitif de Newtown Square repose sur un accès à un riche patrimoine immobilier, celui de La Française Real Estate Managers (REM). Être ainsi très en amont de la chaine de valeurs, lui permettra de se positionner sur des actifs stratégiques par leur emplacement et/ou leur potentiel de transformation. Newtown Square bénéficiera de l’ensemble des expertises intragroupe. »

    Libérer l’entrepreneuriat : l’Éco-working Newtown Square
    Si la majorité des entrepreneurs se déclarent « utiles et heureux » dans leur travail, ils sont également « durement impactés par le stress et la surcharge de travail »1. La mise en place d’une approche permettant d’alléger leur quotidien devient alors un facteur facilitant la réussite du projet. Cette démarche de dépollution du quotidien des entrepreneurs permettant de les libérer de ce qui les freinent ou les empêchent se traduit par la création d’un concept : l’Éco-working. Celui-ci repose sur le principe d’écologie de la personne, c’est-à-dire la capacité à connaître
    ses besoins et à gérer son énergie afin de préserver son équilibre.

    Plus qu’un lieu de travail, Newtown Square propose ainsi un environnement permettant aux porteurs de projet de se décharger pour mieux se recharger en énergie. « Nous pensons que
    cette approche permet de remplir toutes les conditions d’efficacité nécessaires à la réussite d’un projet entrepreneurial et à la mise en place d’un management dit « durable » »
    déclare Gregory Neulat, Directeur Général de Newtown Square.

    En premier lieu, Newtown Square a souhaité apporter de la flexibilité sur les baux mais également une solution pour des utilisateurs, soucieux de réduire leurs espaces locatifs de
    longue durée en disposant d’espaces flexibles de proximité, un service hautement attractif dans une logique d’optimisation des charges pour les entreprises.

    Clé de voute du concept d’Éco-working, Newtown Square propose une large gamme de services associés, dont une application mobile qui permet de faciliter l’accès et la gestion du quotidien dans les lieux, un service de conciergerie privée, la mise à disposition d’un assistant à l’heure ou à la journée pour soulager le porteur de projet de ses tâches et démarches administratives, le partage d’un carnet d’adresses de prestations de conseils incontournables (juridique, design, informatique, etc.), la mise en place de conférences « open source » pour favoriser l’innovation et l’acculturation, le tri sélectif, le snacking bien-être, mais également des services plus exclusifs, dits « high-end », tel l’aménagement personnalisé ou encore l’organisation d’événements.

    Les dirigeants de PME, les travailleurs indépendants ou encore les équipes des grandes entreprises détachées dans le cadre de projets « intrapreneuriaux » pourront ainsi opter pour une offre packagée en coworking ou Flex Office.

    Pour son lancement, Newtown Square privilégie la Rive Gauche de Paris et inaugure son premier espace situé 104 boulevard du Montparnasse. Idéalement situés à proximité de la gare du même nom, des lignes de métro 4, 6 et 12 et de ses nombreux commerces et lieux touristiques et culturels. Les trois derniers étages de l’immeuble exploités par Newtown Square ont été entièrement rénovés par les artisans du Compagnonnage avec une attention particulière portée sur la flexibilité et la modularité des espaces, l’éclairage et l’utilisation de matériaux nobles favorisant le confort des utilisateurs.

    Gregory Neulat, Directeur Général de Newtown Square, commente : « Nos espaces associés à notre palette de services d’Éco-working permettent aux entrepreneurs et intrapreneurs de mener à bien leurs projets en se délestant des éléments potentiellement toxiques pour l’accomplissement de leur mission. Aujourd’hui, nous inaugurons 400 postes de travail Rive Gauche, mais nous avons d’ores et déjà identifié d’autres espaces sur la Rive Droite de Paris pour un second déploiement début 2020. »

    Pour tout savoir sur Newtown Square : www.newtownsquare.fr

    1 Source : Baromètre 2019 sur la forme des dirigeants de la fondation MMA des entrepreneurs du futur.

     

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    news-1645 Tue, 25 Jun 2019 10:20:13 +0200 La Française Real Estate Partners conseille l’acquisition d’une résidence services seniors Domitys à Mulhouse (68) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-conseille-l-acquisition-d-une-residence-services-seniors-domitys-a-1/ La Française Real Estate Managers, sur les conseils de La Française Real Estate Partners, acquiert une treizième résidence auprès de l’Aegide pour le compte de l’OPPCI LF Résidences Seniors. Il s’agit d’une résidence services seniors en VEFA, située à Mulhouse (68). Elle sera construite par le promoteur Aegide et exploitée par Domitysdans le cadre d’un bail de 15 ans fermes.

    L’ensemble immobilier sera composé de 120 logements meublés allant du T1 au T3, développera une surface de 5 580 m² habitables et offrira plus de 900 m² d’espaces communs et de services. Il disposera également de 48 places de stationnement. La livraison de la résidence est prévue au cours du deuxième trimestre 2021.
    L’actif se situe au cœur du quartier Nouveau Bassin en plein renouveau, à l’entrée du centre-ville, offrant à la fois un cadre de vie agréable aux occupants et un accès aisé aux principales commodités.

    La résidence bénéficiera d’une très bonne desserte en transports en commun avec le tramway à proximité immédiate, plusieurs lignes de bus ainsi qu’une bonne accessibilité par la route via les autoroutes A36 et A35. 

    L’OPPCI LF Résidences Seniors est géré par La Française Real Estate Managers. La Française Real Estate Partners, filiale de La Française Real Estate Managers, exerce une mission de conseil en investissement immobilier et assiste La Française Real Estate Managers dans l’exécution de missions, dont le sourcing, l’acquisition et la gestion immobilière des actifs, réalisées dans le cadre de la gestion des actifs détenus par l’OPPCI.

    « En portant une attention toute particulière à la qualité des exploitants et en particulier avec Domitys qui exploite quatre résidences, nous avons réussi à constituer un portefeuille de résidences services seniors de qualité en seulement un an et demi », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Allez et Associés, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Egis sur les aspects techniques. Le financement a été assuré par la banque Crédit Foncier de France. 
     

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    news-1644 Mon, 24 Jun 2019 10:09:25 +0200 La Française partenaire de l’exposition "LEGACY" de Yann Arthus Bertrand /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/moniwan-by-la-francaise-partenaire-de-l-exposition-legacy-de-yann-arthus-bertrand/ Yann Arthus Bertrand s’installe à partir du 28 juin dans l’espace d’exposition du toit de La Grande Arche à la Défense. 1200 m² pour présenter presque 50 ans de travail photographique et cinématographie, avec 250 photos exposées et 5 de ses films diffusés dans un auditorium. Conscients que nous avons tous un rôle à jouer, La Française s'engage et s'associe à cette exposition via sa plateforme de distribution BtoC Moniwan.

    "Legacy", ou l’héritage que nous laissons à nos enfants, fait état de notre planète depuis les premières photographies prises au Kenya en montgolfière, celles des Bestiaux où les propriétaires posent avec leurs animaux, les portraits des Français, et son grand projet « la Terre vue du ciel ». Un état des lieux en images et en mots pour prendre conscience que nous sommes tous responsables de l'avenir de notre Terre.

    Avec ses photographies, ses films et la Fondation GoodPlanet, Yann Arthus Bertrand œuvre à la sensibilisation du public et à l’élaboration de solutions concrètes en faveur d’un mode de vie plus responsable, plus respectueux de la planète et de ses habitants.

    Informations pratiques
    "LEGACY", Retrospective de Yann Arthus Bertrand
    Du 28/06/2019 au 01/12/2019
    Toit de la Grand Arche
    1 parvis de la Défense 
    92800 Puteaux
    Tous les jours de 10h à 19h
    Plus d’infos https://www.lagrandearche.fr/actualites/yann-arthus-bertrand
     

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    news-1643 Tue, 25 Jun 2019 09:15:00 +0200 L'optimisation de scores ESG dans la constitution de portefeuille /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/loptimisationdescoresesgdanslaconstitutiondeportefeuille/ En septembre 2017, la Commission Recherche du Forum pour l’Investissement Responsable a lancé un groupe de travail sur le pilotage de l’allocation stratégique d’actifs, et de son complément la gestion actif-passif, dans une démarche d’investissement responsable, réunissant autour de la CDC et d’Edmond de Rotschild Asset Management un certain nombre d’investisseurs institutionnels et de gérants d’actifs dont le Groupe La Française. L’objectif du groupe de travail était de réfléchir à la possibilité d’intégrer les deux cadres d’analyse en identifiant les étapes du processus d’allocation d’actifs où une intégration des critères ESG serait susceptible d’intervenir. Un certain nombre de résultats sur l’état des lieux, les sources de données, les attentes des investisseurs ont été présentées en 2018 et début 2019, le travail final va être présenté lors de la conférence PRI in Person en septembre.

    Le cadre général de l’investissement responsable repose sur l’intégration dans les processus d’investissement de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) établis au niveau des émetteurs d’instruments financiers tandis que l’allocation stratégique d’actifs est une technique de maximisation de la rentabilité financière ajustée du risque d’un portefeuille par recherche d’un gain de diversification lié aux performances passées ou escomptées de chaque actif. Comment concilier les deux approches ? On peut donc concevoir l’allocation "responsable" d’actifs comme un exercice à deux étapes où, dans chaque classe d’actifs : actions, obligations, immobilier, capital-investissement, hedge funds, etc., on réalise une intégration des critères ESG dans les processus d’investissement propres à chaque classe dans le but d’obtenir des expositions "responsables" puis on combine ces expositions à l’aide des techniques financières classiques d’optimisation par recherche d’une frontière efficiente. Ce faisant on suppose implicitement qu’un gain de diversification entre classes d’actifs lié aux critères ESG est nul et que seuls les critères financiers sont source de gain de diversification.

    La recherche en finance actuelle contourne le problème en quantifiant autant que possible l’impact des critères ESG en termes de performances financières escomptées dans le but d’unifier le cadre d’analyse sous la bannière classique de la théorie financière. C’est le sens de l’approche "Climate Value @ Risk" proposée par Carbon Delta et appuyée un comité de pilotage sur la "Task Force on Climate-related Financial Disclosures" à laquelle participe UNEP FI et le Groupe La Française, c’est aussi le sens de la démarche proposée par "Impact Management Project", une communauté d’investisseurs et d’instances supranationales, dans la constitution d’une frontière efficiente "impact" qui prend en compte l’optimisation de scores ESG dans la constitution de portefeuille.

    La régulation a aussi son mot à dire car les investisseurs institutionnels européens sont soumis à une contrainte de couverture en fonds propres dans leur allocation d’actifs sous la réglementation Solvabilité 2. Cette réglementation ne considère que les risques financiers dans le calibrage des besoins en fonds propres et en aucune façon les risques liés aux critères ESG. L’introduction de "Green Supporting Factors" dans la régulation est parfois invoquée, mais elle introduit un certain arbitraire, et le recours à une quantification financière des critères ESG dans ce cadre également apporte une solution opérationnelle.

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    news-1642 Thu, 20 Jun 2019 19:05:03 +0200 Message d'information - Juin 2019 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/message-dinformation-juin-2019/ Un site web usurpe actuellement l’identité de filiales allemandes du Groupe et propose, en toute illégalité, d’investir dans des produits financiers. Soyez vigilants. Pour en savoir plus

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    news-1639 Thu, 20 Jun 2019 16:59:49 +0200 Innovation et indépendance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/innovation-et-independance/ Nous fêtons cette année le 243e anniversaire des États-Unis. Depuis son indépendance, le pays a su s'imposer pour son système démocratique et capitaliste favorable au changement et à l’innovation. Ces éléments constituent la force motrice du marché des actions américaines, dont la solidité surpasse celle de n’importe quel autre marché du reste du monde.

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    news-1636 Thu, 20 Jun 2019 09:24:00 +0200 Découvrez la dernière édition de "En Particulier", la Lettre de la Gestion Privée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-de-en-particulier-la-lettre-de-la-gestion-privee-1/ Alors que les innovations technologiques transforment plus ou moins subrepticement mais inexorablement notre environnement quotidien, votre lettre « En particulier », elle aussi, évolue. Vous trouverez donc ci-après, dans un format 4 pages, l’actualité du Groupe La Française sur son coeur de métier, la gestion et l’investissement immobilier. Cette lettre sera amenée dans les mois futurs à poursuivre sa mue afin de s’adapter à l’utilisation grandissante des nouveaux modes de communication. Nous profitons d’ailleurs de cet envoi pour vous proposer de mettre à jour votre adresse mail afin de pouvoir, à l’avenir, vous faire parvenir votre lettre par courriel.

    Mais l’innovation ne se limite pas à l’intégration, dans nos outils, des avancées techniques et technologiques. Pour le groupe La Française, innover signifie aussi, depuis des années, imaginer de nouveaux modes d’investissement pour redonner du sens à l’épargne comme en témoigne la remise, grâce à vos investissements dans la SCPI Pierval Santé, d’une importante participation financière à l’Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière.

    Redonner du sens, c’est aussi proposer un nouveau moyen d’accès à la propriété immobilière à ceux qui sont aujourd’hui exclus des circuits classiques : tel est l’objectif de la Flexipropriété (page 4) qui offre la possibilité à l’investisseur d’être pleinement propriétaire, à coût réduit et pendant 50 ans, de son logement. A l’approche de la trêve estivale, nous vous souhaitons un très bel été.

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    news-1634 Wed, 19 Jun 2019 10:07:31 +0200 La Française continue d'attirer les capitaux sud-coréens sur le marché immobilier français /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-continue-dattirer-les-capitaux-sud-coreens-sur-le-marche-immobilier-francais/ Samsung Securities, conseillée par La Française, a récemment conclu avec ICADE, société cotée, investisseur et promoteur dans le secteur de l'immobilier commercial, une promesse de vente portant sur Crystal Park. L’immeuble de bureaux de six étages se situe au 62-64 boulevard Victor Hugo à Neuilly-sur-Seine (92), à proximité du quartier central des affaires (QCA) de Paris et de La Défense. La Française, co-investisseur minoritaire, agira en qualité de gestionnaire d'actifs. La transaction (691 millions d'euros1 hors droits) sera finalisée en juillet 2019. Pour Samsung Securities, il s’agit du quatrième investissement en région parisienne et la deuxième collaboration avec La Française. La première collaboration portait sur l’acquisition d’un ensemble immobilier à Bruxelles (North Light et Pole Star), le siège belge d’un leader dans la production énergétique renouvelable.

    Situé dans un quartier d'affaires dynamique, l'immeuble offre plus de 39 000 m2 de bureaux, un parking souterrain avec 719 places de stationnement et un parc paysager de deux hectares. Cet ensemble immobilier a été construit en 2003 et a fait l’objet d’une rénovation en 2018. Il comprend de nombreuses installations, dont un restaurant réservé au personnel, une cafétéria, un auditorium, des salles de réunion, des services de conciergerie, un centre d'affaires, un centre de fitness, etc. Il s’agit d’un ensemble unique quant à sa proximité avec le quartier central et le quartier résidentiel prestigieux de l’ouest de Paris. Le secteur attire de nombreuses entreprises en quête d’un environnement d’exception pour ses employés.

    L’immeuble est entièrement loué à quatre locataires de référence, dont une grande société de conseil multinationale, une société cotée spécialisée dans les R&D pour l’industrie de la parfumerie et des arômes, un grand groupe du secteur des cosmétiques, et l’un des principaux fournisseurs français de services numériques et informatiques.

    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, a déclaré : « L'opération Crystal Park démontre bien la puissance de notre plateforme immobilière internationale. De la levée de fonds et du sourcing à la gestion d'actifs et de fonds, La Française est un guichet unique de l'immobilier. Nous remercions nos partenaires sud-coréens pour leur confiance renouvelée. »

    Shawna Yang, Directrice des Relations Investisseurs Immobiliers pour l'Asie, a conclu : « Pour La Française, il s'agit de la plus importante transaction jamais réalisée pour le compte d'investisseurs sud-coréens désireux de diversifier leur portefeuille en immobilier français. Le marché immobilier français continue de montrer des signes positifs tant en termes de valorisation que de valeurs locatives et nous continuerons de rechercher des actifs de qualité pour nos investisseurs asiatiques. »

    Samsung Securities a été conseillée par Mastern Investment Management, Corée. La Française Real Estate Partners a été conseillée par Maître Hervé Vinas et Jones Day (Erwan Le Douce Bercot et Flavia Poujade) ainsi que par Strategies & Corp et la société Flabeau.

    1 Avant effet des avantages commerciaux et travaux divers restant à la charge d’Icade.

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    news-1632 Wed, 16 Jan 2019 14:37:00 +0100 La Française à des ID n°11 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lafranaisedesidn11/ Comme chaque trimestre, focus sur un immeuble certifié qui répond aux exigences environnementales, sociales et sociétales des grands locataires d’aujourd’hui. Zoom ce mois-ci sur Campus Aviso, un ensemble immobilier bénéficiant d'un potager urbain en plein coeur de La Défense. Idéalement situé en bords de Seine à proximité du centre d'affaires de La Défense, il bénéficie d'une labelisation BREEAM Rénovation Very Good.

    L'écosystème d'un campus : 3 bâtiments indépendants, un RIE, un auditorium, des salles de réunion ultra-connectées, des espaces de repos, de détente et évènementiels de plus de 200 m², une cafétéria,un terrain de pétanque, une conciergerie, un campus manager, des terrasses et un jardin participatif à destination des occupants.

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    news-1631 Thu, 13 Jun 2019 10:55:14 +0200 La Française à des ID n°12 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-des-id-n-12/ Comme chaque trimestre, focus sur un immeuble certifié qui répond aux exigences environnementales, sociales et sociétales des grands locataires d’aujourd’hui Zoom ce mois-ci sur le SMART‘UP, un immeuble de plus de 23 000 m² de bureaux aux portes de Paris dynamisé par l’arrivée prochaine du Grand Paris Express !

    Le SMART’UP est un immeuble de bureaux certifié HQE (Haute Qualité Environnementale), BREEAM (niveau « Very Good ») et labellisé  BBC. L’immeuble bénéficie de nombreux services : restaurant d’entreprise, cafétéria, salle de fitness, business center, conciergerie, patios paysagers, balcons et vaste terrasse aménagée le tout dans un cadre paisible aux portes de Paris.

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    news-1630 Tue, 11 Jun 2019 10:00:00 +0200 Transformation de l’ancien siège de B. Braun Medical à Boulogne-Billancourt en un immeuble neuf d’habitation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/transformation-de-l-ancien-siege-de-b-braun-medical-a-boulogne-billancourt-en-un-immeuble-neuf-d-hab/ La Française Real Estate Partners et Demathieu Bard Immobilier transformeront l’ancien siège de B. Braun Medical à Boulogne-Billancourt en un immeuble neuf d’habitation dans le cadre du fonds LF Real Estate Value Added. La Française Real Estate Managers, conseillée par La Française Real Estate Partners, finalise la première acquisition à Boulogne-Billancourt du fonds d’investissements professionnel spécialisé LF Real Estate Value-Added (LF REVA), fonds lancé en 2018 en partenariat avec le groupe Demathieu Bard. L’ensemble immobilier à usage de bureaux, construit en 1975 et cédé par la société B. Braun Medical, va être entièrement transformé en un immeuble neuf d’habitation d’environ 5 000 m².

    Cet ensemble immobilier est situé aux 163-204 avenue du Maréchal Juin et 83 rue de Sèvres, à proximité du Pont de Sèvres, au sein du quartier « Silly-Gallieni ». L’actif comprendra 82 logements, dont 27 logements sociaux, avec emplacements de stationnement. La commercialisation de ces appartements de standing au sein d’un environnement résidentiel dynamique sera lancée au troisième trimestre 2019, pour une livraison prévue pour le quatrième trimestre 2021. Le projet architectural est mené par l’agence MP-A.

    L’acquisition et la gestion des actifs du fonds sont confiées par la société de gestion La Française Real Estate Managers à La Française Real Estate Partners, conseiller du fonds et filiale du groupe dédiée aux investisseurs institutionnels. Demathieu Bard Immobilier intervient notamment en qualité de promoteur dans l’ensemble des opérations immobilières qui seront mises en œuvre au niveau du fonds.
    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Cette acquisition menée conjointement par nos équipes et celles de Demathieu Bard Immobilier représente une excellente première opportunité pour notre fonds LF REVA, regroupant tous les fondamentaux essentiels à la création de valeur dans la chaîne immobilière. Plusieurs nouveaux projets d’investissement sont d’ores et déjà à l’étude. Cela démontre ainsi la capacité de sourcing du fonds qui dispose de 300 M€ pour déployer sa stratégie. »

    Philippe Jung, Directeur Général de Demathieu Bard Immobilier, ajoute « Cette acquisition permet de confirmer la forte complémentarité des équipes de La Francaise Real Estate Partners et de Demathieu Bard Immobilier ainsi que la capacité à s’engager sur des projets complexes avec changement d’usage. L’expérience et le savoir-faire de Demathieu Bard Immobilier permettront de livrer des appartements de standing dans un environnement de très grande qualité. »  
    Pour cette opération, le fonds LF REVA était conseillé par le cabinet 14 Pyramides sur les aspects notariaux et par DLA Piper sur les aspects juridiques.

    Risques associés : risques liés aux investissements d’une manière générale, absence d'antécédents d'exploitation, risques liés au marché immobilier visé dans la stratégie d’investissement, risques de contrepartie, risques liés au contrat de promotion immobilière, risques liés à la gestion (gestion discrétionnaire de la société de gestion, risques liés au recours à l’endettement, risque de taux), risques fiscaux, risque d’illiquidité, porteurs défaillants, défaut de répondre à un appel de fonds, dilution lors des closings successifs, conflits d'intérêts potentiels, risque de perte en capital.

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    news-1629 Fri, 07 Jun 2019 15:58:25 +0200 La nouvelle loi de Moore /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-nouvelle-loi-de-moore/ La loi de Moore veut que la vitesse et la capacité des ordinateurs doublent tous les deux ans à mesure qu’augmente le nombre de transistors dans les microprocesseurs. Elle est la force motrice de la révolution numérique mondiale. Aujourd’hui, une nouvelle version de la loi de Moore devrait permettre d’élargir et renforcer les améliorations technologiques et la qualité de vie. Croissance exponentielle de la formation des programmes d'intelligence artificielle

     

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    news-1625 Thu, 09 Jan 2020 18:01:00 +0100 LF OPSIS Epargne Immobilière : commission de souscription acquise à l’OPCI à 0% /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lfopsisepargneimmobilirecommissiondesouscriptionacquiselopci0/ La commission de souscription acquise à l’OPCI actuellement à 5%, passera à 0% pour l'année 2020. Pour l'année 2020, la commission de souscription de l’OPCI LF OPSIS Epargne Immobilière évolue temporairement.

    Cette nouvelle solution d’épargne permet aux investisseurs particuliers d’accéder simplement, via leur compte-titres, au marché de l’immobilier d’entreprise. Avec un versement initial minimum de 100 €, ces derniers peuvent se constituer un capital immobilier adapté à leur capacité d’épargne. Ils bénéficieront, par ailleurs, des avantages des OPCI, qui offrent une mutualisation des risques immobiliers liée à la diversification des actifs sélectionnés, mais également un potentiel complément de revenus et de potentielles plus-values.

    LF OPSIS Epargne Immobilière est un OPCI principalement investi en immobilier d’entreprise. Sa principale innovation réside en l’allocation de la poche immobilière qui peut atteindre jusqu’à 85% de l’actif (les OPCI distribués à la fois en Assurance-Vie et en compte-titres proposent généralement une allocation de 60% maximum en immobilier). LF OPSIS Epargne Immobilière a pour objectif d’offrir une distribution régulière de dividendes et une revalorisation de la valeur des actions sur un horizon de détention à long terme (8 ans).
     

    Risque de perte en capital et absence de garantie de revenus. Risque lié à la gestion discrétionnaire et le risque lié au marché immobilier. Risque lié à l’endettement. Risque lié à la détention d’actifs financiers (actions, produits de taux, risque de crédit). 
    Durée de placement recommandée de 8 ans. En cas de demande de rachats (remboursement de vos actions), votre argent pourrait ne vous être versé que dans un délai de 12 mois.


    La SPPICAV LF OPSIS Epargne Immobilière a reçu l’agrément n°SPI 20180025 en date du 24/07/2018 délivré par l’AMF. 
    La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-07000038 du 26/06/2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE - La Française AM a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-97076 du 01/07/1997. www.amf-france.org- La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par le CECEI sous le numéro 18673 X - Carte professionnelle : Carte Transactions sur immeubles et fonds de commerce délivrée par la CCI de Paris Ile de France le 29/07/2016 sous le numéro CPI 7501 2016 000 010 432

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    news-1620 Fri, 24 May 2019 09:15:00 +0200 IdO : l'avenir de l'économie ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/ido-lavenir-de-leconomie/ L’Internet des Objets (IdO) est en train de transformer très vite tout notre environnement. Il est important que les investisseurs comprennent bien ce thème pour pouvoir en mesurer les conséquences et les opportunités. L’IdO étend le pouvoir d’Internet au-delà des ordinateurs et des smartphones dans un vaste éventail d’objets, de processus et d’environnements. L’IdO connecte des appareils et d’autres objets pour collecter des informations précieuses, qui sont envoyées dans le cloud pour être analysées, ou même vers d’autres appareils connectés. Ces nouvelles informations permettent déjà aux entreprises et aux particuliers de prendre de meilleures décisions et de bénéficier de gains d’efficacité et de productivité.

    Les appareils liés à l'IdO connaissent un rapide essor

    D’après Gartner, il existait 11,2 milliards d’appareils connectés en 2018, et ce nombre devrait atteindre 20,4 milliards en 2020.
    • Un objet connecté à Internet peut envoyer et/ou recevoir des informations. Cela ne signifie pas qu’il dispose d’un gigantesque espace de stockage ou d’un super-ordinateur ; en revanche, il peut se connecter à de tels dispositifs.
    • Pour collecter et envoyer des informations, les appareils doivent être équipés de capteurs (par exemple, des capteurs de température et d’humidité, ou encore de qualité de l’air et de lumière). Ces capteurs permettent d’obtenir des données à partir de l’environnement et de prendre de meilleures décisions.
    Les avantages peuvent être visibles dans tous les domaines. En agriculture, par exemple, on utilise des capteurs pour mesurer l’humidité des sols et tenir compte des prévisions de précipitations afin d’apporter aux cultures l’irrigation nécessaire, et éviter ainsi des conséquences coûteuses en cas d’arrosage excessif ou insuffisant.
    • Avec l’IdO, les entreprises peuvent analyser et contrôler des objets et des environnements qui, jusqu’à présent, demeuraient hors de portée d’Internet. Pour les fournisseurs de ces appareils, de puces et de logiciels, ces perspectives offrent des opportunités de croissance des ventes ; quant aux utilisateurs de l’IdO, ils pourraient bénéficier d’une rentabilité accrue, mais ceux qui ne s’adapteront pas risquent une baisse de leurs bénéfices.

     

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    news-1612 Wed, 15 May 2019 09:13:31 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert l’immeuble Smart’up à Chatillon (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-l-immeuble-smart-up-a-chatillon-92/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès d’une entité gérée par Tishman Speyer, l’immeuble Smart’Up, situé 117-133, avenue de la République à Châtillon. Smart’Up bénéfice d’une proximité immédiate avec la station de métro « Châtillon-Montrouge » desservie par la ligne 13 et la future ligne 15 du Grand Paris. L’immeuble, certifié BREEAM, HQE et labelisé BBC, développe environ 23.000 m² de bureaux et services. Il est entièrement loué à la société Compass Group France et à une enseigne de la grande distribution, dans le cadre de baux de longue durée. 

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine, Épargne Foncière, Crédit Mutuel Pierre 1, Sélectinvest 1, Pierre Privilège et Eurofoncière 2.

    La transaction a été réalisée par Cushman & Wakefield. Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude 14 Pyramide, le cabinet Jeantet, le cabinet Saint-Honoré Partenaires ainsi que le cabinet Fairway pour le financement. Celui-ci a été structuré par la Banque Européenne du Crédit Mutuel, assistée par l’étude Victoires Notaires associés et par le cabinet Archers. Tishman Speyer était conseillé par l’office notarial Wargny Katz et le cabinet De Pardieu Brocas Maffei. 


    Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
     

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    news-1609 Tue, 14 May 2019 09:00:00 +0200 La Française lance LF IMMO TOURISME, pour profiter du dynamisme du marché du tourisme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-lf-immo-tourisme-pour-profiter-du-dynamisme-du-marche-du-tourisme/ La France est la première destination touristique au monde* et les perspectives de croissance sont d’autant plus prometteuses que l’organisation de grands évènements culturels et sportifs y auront lieu en 2023 et 2024. Pour permettre aux investisseurs professionnels de participer au développement du territoire, La Française lance LF IMMO TOURISME. Pour l’investisseur à la recherche de diversification, LF IMMO TOURISME offre un potentiel de rendement locatif élevé et décorrélé des cycles conjoncturels classiques. En effet, la performance du secteur est davantage liée aux évolutions démographiques et sociales.

    Cette Société Professionnelle de Placement à Prépondérance Immobilière à Capital Variable (SPPPICAV), gérée par La Française Real Estate Managers, a pour objectif de proposer aux investisseurs professionnels une performance à long terme, en recherchant un rendement régulier à travers une participation dans un patrimoine immobilier composé de quatre typologies d’actifs :

    • résidences tourisme (loisir et affaire),
    • villages vacances,
    • hôtels,
    • hôtellerie de plein air

    et plus généralement tout actif faisant l’objet d’un bail commercial, situés principalement en France, dans des régions à forte attractivité touristique acquis majoritairement en état futur d’achèvement. LF IMMO TOURISME pourra également prendre des participations dans des sociétés à prépondérance immobilière non cotées. Il est à noter que la SPPPICAV pourra s'endetter à hauteur de 40 % maximum de la valeur des actifs immobiliers.

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF IMMO TOURISME, précise : « La Française est reconnue pour son expertise en immobilier d’entreprise et sa capacité à innover sur le marché. Avec LF IMMO TOURISME, la stratégie d’investissement portant sur quatre typologies d’actifs complémentaires vise à optimiser la stabilité de la performance potentielle du fonds. La création du fonds, en pleine phase de constitution du secteur, devrait permettre de participer au développement du tourisme en France et d’accompagner la restructuration et la montée en gamme de l’offre prévue notamment par le plan Fabius. »

    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, conclut : « Nous avons développé une expertise en matière de résidences gérées que nous allons désormais déployer au secteur du tourisme. Nous sommes confiants sur le fait que notre sélectivité, basée à la fois sur la qualité des exploitants mais aussi sur les localisations et la valorisation immobilière, fera de nouveau la différence auprès des investisseurs. »

    La SPPICAV est géré par La Française Real Estate Managers. La Française Real Estate Partners, filiale de La Française Real Estate Managers, exerce une mission de conseil en investissement immobilier et assiste La Française Real Estate Managers dans l’exécution de missions, dont le sourcing, l’acquisition et la gestion immobilière des actifs, réalisées dans le cadre de la gestion des actifs détenus par la SPPICAV.

     

    Caractéristiques principales de LF IMMO TOURISME

    Code ISIN

    FR0013403631

    Agrément

    08/03/2019

    Forme juridique

    Société Professionnelle de Placement à Prépondérance Immobilière à Capital Variable (SPPPICAV)

    Durée de vie du véhicule

    15 ans

    Lock-up

    10 ans

    Profil Investisseur

    Clients professionnels

    Durée de placement recommandée

    15 ans minimum

    Société de gestion

    La Française Real Estate Managers

    Mission de conseil à l’investissement immobilier dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie d’investissement de la SPPPICAV.

    La Française Real Estate Partners

    Fréquence Valorisation

    31/03/2019 - 30/09/2019 : mensuelle
    01/10/2019 - 31/12/2020 : trimestrielle
    A partir du 01/01/2021 : semestrielle

    Souscription minimale

    1.000.000 € pour la première souscription, aucun minimum pour les souscriptions ultérieurs

    Commission de souscription acquise

    8% maximum

    Commission de souscription non acquise

    2% maximum

    Frais de fonctionnement et de gestion (en % de l’actif net)

    Jusqu’au 31 décembre 2021: 3% * maximum TTC dont commission de gestion : 2.70 % maximum TTC

    A partir du 1er janvier 2022 : 1,50 % maximum TTC dont commission de gestion : 1 % maximum TTC

    Pour le détail des frais se référer au prospectus.

    *Sources : BANQUE MONDIALE - IMMOBILIER DE TOURISME : DÉCRYPTAGE, MARS 2019

    Risques associés : risques de perte en capital, liés à la gestion discrétionnaire, liées au marché immobilier, liées à l’effet de levier, de contrepartie, locatifs, climatiques, de taux, de crédit, liés à l’acquisition en l’état futur d’achèvement et à la détention de participations non contrôlées. Après la période d’interdiction des rachats d’une durée de dix (10) ans, en cas de demande de rachat (remboursement) de vos Actions, votre capital pourrait ne vous être versé que dans un délai de cinq (5) ans.

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    news-1607 Fri, 10 May 2019 16:06:04 +0200 Le message caché du PIB /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-message-cache-du-pib/ En économie, il arrive souvent que l’analyse de différents composants soit bien plus parlante qu'une représentation globale. Si le PIB dans son ensemble semble conforme ou supérieur à son potentiel, certains de ses composants suggèrent une croissance continue. Les faibles dépenses cycliques pourraient refléter une nouvelle expansion

     

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    news-1605 Thu, 09 May 2019 14:39:28 +0200 4L Trophy : témoignage des deux étudiants sponsorisés par La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/4l-trophy-temoignage-des-deux-etudiants-sponsorises-par-la-francaise/ Retrouvez l’expérience d’Etienne et Arnaud, 2 participants au 4L Trophy que La Française a sponsorisé. "Nous avons passé un super raid humanitaire. C’est une super aventure qui nous ont fait découvrir une autre culture. Notre Renault 4L n’a rencontré aucun problème mécanique et a bien résisté à l’hostilité des terrains que nous traversions ! Seul le bouchon de réservoir s’est envolé sur les autoroutes espagnoles et notre allume-cigare sur lequel nous chargions  nos téléphones qui a explosé ! Nous avons roulé avec un autre équipage sur la moitié du parcours, notamment sur les pistes. Nous gardons un super souvenir des bacs à sable, des paysages, des pistes en plein milieu du désert. C’était une aventure vraiment exceptionnelle !
    Etonnamment, notre 4L fonctionne mieux maintenant que lors du départ ! Elle a bien roulé pendant toute la durée du raid. Notre objectif était de ne prendre aucune autoroute française avec notre véhicule pour éviter la surchauffe, voir un peu le paysage et nous ne serions pas aller plus vite avec les autoroutes ! Nous avons appris à la ménager mais aussi à savoir la démarrer dans n’importe quelles conditions (pente, froid, chaleur, bac à sable, etc.) ! Nous avons réussi à nous enliser quelques fois sur les pistes mais aussi sur le bivouac … mais la solidarité étant présente, nous n’y restions pas longtemps ! Nous avons aussi eu une pénalité car nos phares n’étaient pas allumés à un point de passage. D‘autre part nous avons été surpris par la 4L, c’est un véhicule agréable à conduire mais également pour voyager dedans. Nous avions de toute autre sensation dans ce véhicule des années 80.
    Les étapes étant assez courtes sur le pistes (entre 90 et 120 km), nous avions le temps pour profiter du désert, de s’orienter avec le road-book et la boussole et de profiter du bivouac. Nous avons été surpris par la bonne hospitalité des marocains mais ce sont de féroces commerciaux ! Nous avons pu faire du hors-pistes sans soucis en veillant à ne pas abîmer la 4L et de ne pas se perdre. Ce que nous avons réussi ! Nous avons terminé la course avec 30 km en trop sur le compteur à cause de nos pneus plus petit que les standards mais plus apte à s’adapter au terrain ! Nous étions 404ième à la fin du parcours.
    Aussi, la partie humanitaire était prépondérante dans le projet 4L Trophy, l’objectif étant d’apporter des fournitures scolaires/médicales/informatiques et des vêtements de sport dans les régions reculées du Maroc pour faciliter la scolarisation des écoliers. Nous avons déposé les dons à côté des dunes de Merzouga à l’association « Enfants du Désert » qui redistribue ensuite aux écoliers. Cette année, c’est près de 20 000 enfants de la Province d’Errachidia qui bénéficient de matériel. D’autre part, Norauto a également pu offrir 90 vélos pour la mobilité des enfants pour aller à l’école! Des dons financiers ont pu être donnés par les Trophystes. Ces dons permettent la construction des écoles soit 22 salles de classes. Ce sont 240 000 enfants qui ont été aidés avec des dons issus du 4L Trophy depuis la création de l’association en 2005.
    C’était une super aventure à réaliser au moins une fois dans sa vie ! Si c’était à recommencer, nous re-signons tout de suite ! Les organisateurs ont vraiment fait en sorte que l’on passe une super aventure avec tout un coté humanitaire non-négligeable permettant la scolarisation de centaines de marocains !
    Nous tenons à remercier nos sponsors , l’assureur AXA Verpillot, les opticiens Atol et Afflelou, la boulangerie Banette, Bureau Vallée, la Société Champenoise de Mécanique, Dupied Jouet, Harmonie Mutuelle, la Caisse d’Épargne, l’auto-école Annie Buisson, le garage Hevanisan, la ville de Saint-Dizier et en particulier le service des Sports, le supermarché Leclerc, mais aussi le groupe La Française, le floqueur Dalmonin, CLC Évasia et l’université de Lorraine notamment l’IUT GMP, l’IUT GCCD, l’IUT de Brabois. Nous remercions aussi toutes les personnes qui nous ont soutenus et aidés à organiser des évènements dans ce projet notamment nos parents."

                                                                                        
    Étienne et Armand
     

    La 22ème édition du 4L Trophy s’est tenue du 21 février au 3 mars 2019. Ce rallye d’orientation, plus gros événement sportif et solidaire d’Europe dédié au 18/28 ans, permet aux participants de traverser la France, l’Espagne et le Maroc. Il donne également l’occasion aux participants d’apporter des fournitures scolaires, médicales et informatiques ainsi que des vêtements de sport dans des régions reculées du Maroc. Cette course solidaire a permis la scolarisation de plusieurs centaines d’écoliers marocains.

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    news-1604 Thu, 09 May 2019 10:00:00 +0200 LFIS et Quantitative Management Initiative lancent plusieurs projets de recherche quantitative afin de faire progresser l’industrie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lfis-et-quantitative-management-initiative-lancent-plusieurs-projets-de-recherche-quantitative-afin/ Ces projets étudieront de nouvelles méthodologies dans l'investissement quantitatif et seront dirigés par des chercheurs académiques, experts dans ce domaine.
  • Deux projets de recherche financés se concentrant sur la construction de portefeuille, la gestion des risques et les implémentations pratiques
  • Parties intégrantes du partenariat entre LFIS et QMI pour faire émerger de nouvelles approches innovantes sur l’investissement quantitatif dans l’industrie de la gestion d’actifs.

  • Paris: 9 mai 2019 – LFIS (La Française Investment Solutions), le gérant quantitatif parisien au 11,5 milliards d’euros d’actifs sous gestion(1) a annoncé aujourd’hui le financement de deux nouveaux projets de recherche portant sur les thèmes importants de l’investissement quantitatif et de la gestion d’actifs, une nouvelle étape dans le cadre de son partenariat de long-terme avec Quantitative Management Institute (QMI).
    Ces projets étudieront de nouvelles méthodologies dans l'investissement quantitatif et seront dirigés par des chercheurs académiques, experts dans ce domaine. Le premier, dirigé par Hugues Langlois, professeur assistant en finance à HEC Paris, vise à développer une approche novatrice d'optimisation des portefeuilles. Cela correspond à la volonté de QMI de relever les défis de mise en œuvre dans le monde réel des stratégies quantitatives. Le deuxième projet, dirigé par Costas Xiouros, professeur associé à la BI Norwegian Business School, remet en question le modèle du CAPM. Ce projet s’aligne sur les travaux de QMI en matière de construction de portefeuille et de gestion des risques. Les résultats de la recherche seront présentés lors du Sommet Quant Vision 2020 de LFIS et QMI à Paris au début de l’année prochaine.

    Guillaume Garchery, responsable de la recherche et du développement quantitatif chez LFIS, a commenté: « Nous assistons à la poursuite de la croissance mondiale de l’investissement quantitatif et de l’appétit croissant des investisseurs pour ces types de stratégies, qui ne feront que continuer de se développer. Donner à la recherche les moyens dont elle a besoin aidera à relever les défis que nous anticipons et à mettre en lumière de nouvelles approches pour délivrer de la performance et faire progresser l’industrie. ».

    LFIS et QMI ont annoncé leur partenariat pluriannuel en mai 2018, portant sur l’alliance des mondes académiques et professionnels pour couvrir les trois grands axes de l'investissement quantitatif: l'intelligence artificielle et la génération de signaux, la construction de portefeuille et la gestion des risques, ainsi que les défis de mise en œuvre des stratégies.

    Gaëlle Le Fol, directrice scientifique de QMI, a déclaré: « Nous sommes ravis de nous associer à LFIS pour financer ces projets de recherche d'actualité. Ces projets sont parfaitement en ligne avec l’engagement de QMI à relever les défis majeurs de l’investissement quantitatif par le biais de la recherche. Nous sommes impatients de travailler avec Hugues, Costas et LFIS pour donner vie à cette recherche. »

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    news-1595 Tue, 30 Apr 2019 14:47:26 +0200 Collectionner des actions peut rapporter gros /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/collectionner-des-actions-peut-rapporter-gros/ Associer sa passion à sa stratégie d'investissement peut donner des ailes à certains investisseurs. Cette approche a toutefois prouvé ces dernières années ne pas être des plus lucratives, même pour les plus aisés qui représentent la majorité des investisseurs en objets de collection. Si collectionner des oeuvres d’art ou des voitures anciennes peut parfois rapporter de précieux gains, investir dans les actions américaines sur les 10 dernières années s’est révélé nettement plus rentable. Les actions ont surperformé les autres classes d’actifs au cours des 10 dernières années

     

     

     

    L'indice S&P 500 est un indice pondéré par la capitalisation boursière des 500 plus grandes entreprises cotées des États-Unis.
    Le HAGI TOP (Historic Automobile Group International) est l’indice global permettant de suivre les ventes des véhicules historiques exceptionnels.
    Développé par Art Market Research, l'indice AMR All Art mesure le sentiment de marché selon un large éventail de ventes aux enchères d'œuvres d'art, objets antiques et de collection depuis 1975.
    L’indice Liv-Ex Fine Wine 100 (Liv-Ex) réplique les fluctuations de prix des 100 vins les plus recherchés sur le marché secondaire.
    Keeneland est un hippodrome de renommée internationale ainsi que la première maison de ventes aux enchères de l'industrie du pur-sang.
    L’indice S&P/Case-Shiller New York Home Price mesure la variation moyenne de la valeur des biens immobiliers résidentiels à New York selon un niveau de qualité constant.
    Les indices présentés ci-dessus sont une représentation de leurs secteurs respectifs. Veuillez noter que la comparaison avec d'autres indices pourrait donner des résultats significativement différents de ceux présentés.
    Les opinions exprimées sont celles de Fred Alger Management, Inc. à fin avril 2019. Ces opinions sont sujettes à modification à tout moment et ne garantissent pas la performance future des marchés, de tout titre ou fonds géré par Fred Alger Management, Inc. Ces opinions ne visent pas à fournir des conseils en investissement et ne sauraient être considérées comme une recommandation à acheter ou vendre des titres.
    Le présent document s'adresse aux professionnels de l’investissement et investisseurs qualifiés (tels que définis par les réglementations MiFID/FCA). Fourni à titre indicatif uniquement, ce document a été préparé pour le compte des investisseurs. Il ne constitue ni une offre ni une sollicitation auprès d’une personne résidant dans une juridiction où une telle offre ou sollicitation n’est pas autorisée ou permise, ou auprès d'une personne considérée comme destinataire illégal, et doit être utilisé exclusivement par les bénéficiaires et destinataires initiaux. Le bénéficiaire initial demeure seul responsable de toute distribution ultérieure de ce document, pour laquelle il devra s'assurer
    qu’aucune législation ou réglementation locale n'a été enfreinte. Le présent document ne doit pas être distribué aux États-Unis. Toutes les opinions exprimées dans le document sont valables à la date de publication. Sauf indication contraire, les données, modèles et autres statistiques sont issus de nos archives internes. Nous attirons l’attention sur le fait que la valeur des investissements des comptes discrétionnaires et le revenu qui en découle peuvent fluctuer et qu’il est possible pour un investisseur de subir des pertes, notamment la perte du capital investi. Les investisseurs doivent être parfaitement conscients des risques associés à leurs investissements, et procéder à des investissements conformément à leurs objectifs et niveaux de tolérance au risque. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Les investisseurs dont la devise de référence est différente de celle de leurs actifs sous-jacents investis peuvent être soumis à des fluctuations de taux de change susceptibles de modifier la valeur de leurs investissements.
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    news-1590 Mon, 29 Apr 2019 09:39:39 +0200 L’Impact Social comme moteur de la croissance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-impact-social-comme-moteur-de-la-croissance/ ... Créons les conditions d’une demande inclusive de logements. La problématique du logement n’est pas tant de créer les conditions d’un choc de l’offre que de rendre inclusive la demande. Sur le plan macroéconomique on peut en théorie considérer que puisque les prix de l’immobilier montent très fortement depuis 20 ans (doublement dans les zones tendues), c’est que l’offre est insuffisante par rapport à la demande. Ce raisonnement s’appuie également sur le fait que si nous avions à faire face à la problématique d’une demande non effective (non solvable) au sens keynésien du terme, les prix s’ajusteraient automatiquement à la baisse ; or, comme les prix n’arrêtent pas de monter, ce serait donc parce qu’il n’y pas assez d’offres et que la solution consisterait à créer un choc de l’offre. A mon sens c’est partiellement une erreur de raisonnement car, si cette hausse continue des prix reflète effectivement une hausse récurrente de la demande, elle est de fait « exclusive » car elle laisse au bord du chemin une proportion encore plus importante des générations montantes qui se voit dans l’incapacité de se loger correctement et surtout d’acquérir leur logement familial, satisfaisant ainsi trois besoins : l’usage (se loger), préparer la retraite (logement remboursé), transmettre à ses enfants. Au XXe siècle, l’inflation des prix à la consommation euthanasiait le rentier ; au XXIe siècle l’inflation de l’immobilier (l’urbanisation renforcée) euthanasie les jeunes.

    A l’inverse, la génération précédente est à 70 % propriétaire de son logement, mais l’allongement de la durée de la vie a globalement fait baisser les retraites, ce qui conduit à une contradiction flagrante pour nombre de seniors « riche en patrimoine et pauvre au quotidien ».

    Tout l’enjeu de l’urbanisation, et donc de notre croissance de demain, est de faire coïncider les cash
    flows disponibles avec les besoins, ceux des juniors pour se loger comme ceux des seniors pour vivre
    décemment et le cas échéant financer leur dépendance.

    Conséquence de la globalisation et de la réalité des villes-monde, la demande devient mondiale car les
    salaires des personnes à forte valeur ajoutée s’alignent mondialement (cf. étude FMI Global Housing Watch), la demande est donc inclusive au niveau mondial mais exclusive au niveau national. Tout l’enjeu est donc de la rendre inclusive au niveau national.

    Les idées qui sont développées dans cette lettre doivent donc être adressées exclusivement à la demande non effective, c’est-à-dire, actuellement « les exclus de la hausse des prix » avec comme objectif corollaire de ralentir ce phénomène infini de hausse des prix sans pour autant prendre le risque de rentrer dans une spirale déflationniste dont les impacts seraient potentiellement pires que l’inflation. Concrètement la majorité des mécanismes décrits devraient ainsi s’appliquer sous conditions de plafonds adaptés de ressources afin d’éviter que la demande actuellement solvable qui autrement en bénéficierait ne fasse qu’entrainer encore plus haut les prix actuels.

    Les problèmes que nous avons et pouvons résoudre en même temps sont ainsi :
    Créer des mécanismes pour solvabiliser l’acquisition de logements financièrement abordables pour les
    « classes moyennes » et familles (sachant qu’il faut prendre en compte l’instabilité de la famille tant sur
    le plan professionnel que dans sa composition, phénomène particulièrement important dans les zones
    tendues). Vive la civilisation de l’usage versus la propriété !

    Associer les compagnies d’assurance à la production de logements locatifs intermédiaires et sociaux pour
    répondre à la problématique des « classes moins aisées ».

    • Augmenter le revenu des retraités quand ils sont trop modestes bien qu'en même temps nombre d’entre eux sont propriétaires d’un bien qui en regard de leurs revenus vaut très cher.
    • Gérer les incertitudes tant au niveau des individus que de l’évolution de la société.

    Contexte :
    Les inconnues sont très nombreuses quant à l’évolution du mode de vie des urbains : télétravail, coliving,
    coworking, besoins de plus ou de moins de bureaux, nomadisme professionnel subi ou choisi, nomadisme
    familial (séparation, recomposition de familles, famille monoparentale, rester chez soi le plus longtemps possible les seniors, etc.). C’est pourtant à ce niveau précis que se situe le succès ou l’échec de notre société, la difficulté étant de gérer un environnement complexe, mouvant et très incertain, dans le domaine fondamental qu'est le bâtiment, tant dans ses fonctions de logement que de lieu de travail, et cela alors même que l’intensité capitalistique très élevée nécessite à l’inverse une stabilité des paramètres. Cette quadrature du cercle nous n’avons déjà pas su collectivement bien la résoudre depuis plusieurs décennies et seule une action volontariste et disruptive des process antérieurs permettra de réussir le défi du XXIe siècle : le vivre ensemble.

    Les urbanistes, les ingénieurs et d’une manière générale les fabricants de la ville de demain peuvent nous construire une « smart city durable » où la technologie nous permettra de réduire drastiquement nos émissions de CO2 (l’immobilier étant le deuxième émetteur de C02 avec 20 % des émissions) avec des bâtiments basse consommation construits dans une logique de durabilité, un smart grid qui réduira la consommation d’énergie (10 % des émissions de CO2), une multimodalité des transports (29 % des émissions actuelles), le BIM (Building Information Modelling) qui nous permettra de construire à coût marginal faible des immeubles à fonctionnalité bureaux-logements réversible, des services démultipliés grâce aux évolutions technologiques… Mais ne soyons pas naïfs, cette ville intelligente ne coutera pas beaucoup moins cher et la question fondamentale est donc de savoir qui va financer et qui pourra habiter cette ville que nous pouvons techniquement bâtir. La ville de demain sera inclusive ou ne sera pas !

    Par ailleurs, sachant que le logement est un bien qui ne connaît que très peu de gains de productivité (les Sumériens vivaient avec le même espace de vie que nous-mêmes) et que l’OCDE a constaté que le prix des services, dont le logement, augmente d’autant plus que celui des biens industriels, sensibles aux gains de productivité, diminue, d'où la nécessité de trouver des solutions adressant de façon chirurgicale le problème.

    Il n’y aura pas d’actif sans passif et les Français l’ont bien compris lorsque dès le lendemain du drame de Notre-Dame les dons ont afflué pour financer la reconstruction !

    Et en même temps…
    Mon analyse est que seule une approche holistique reposant sur l’impact sociétal permettra de construire notre avenir et que toutes les parties que sont les pouvoirs publics, les élus locaux, les législateurs, les banques, les assurances, les investisseurs financiers, les asset managers, les promoteurs doivent en même temps définir les nouvelles règles du jeu de notre complexité. La bonne nouvelle est que tout le monde peut y gagner et qu’à l’inverse, si nous ne le faisons pas, tout le monde perdra et la perte ne se limitera pas à la problématique du logement !

    Je centrerai ma réflexion sur le Grand Paris, sachant qu’elle peut s’appliquer à toutes les zones tendues.
    Conséquence de la globalisation et des évolutions technologiques, la Ville-Monde est en train de remplacer le concept de l’Etat-Nation qui prévalait au XXe siècle. Heureuse conséquence du Colbertisme, Paris est ainsi une des 5 Villes-Monde et la seule dans l’espace communautaire européen continental. La réalisation du Grand Paris Express avec ses 200 km de métro et ses 68 gares double le réseau actuel et désenclave beaucoup de territoires de l’Ile-de-France.

    L’urbanisation accrue et une gestion, in fine, malthusienne du foncier a entrainé un déséquilibre entre l’offre et la demande et par voie de conséquence des prix de logements inabordables pour les générations montantes et 1 million de personnes mal logées en région parisienne (18 % de la population vit en Ile-de-France et produit 31 % du PIB). La charge locative représente en moyenne 25 % du revenu des foyers alors qu’une acquisition (sans apport) atteindrait plus de 50 % du revenu brut.
    Il n’en demeure pas moins que, du fait de la hausse de l’immobilier qui en moyenne a doublé en 20 ans,
    le patrimoine des ménages français qui est composé au 2/3 d’immobilier atteint ainsi 14.700 Mds € soit
    6,5 fois le PIB ou 8,5 fois le revenu brut des ménages et que le patrimoine immobilier détenu par les ménages est de 9.700 Mds €. Si l’on fait une estimation, grossière à ce stade, en se basant sur l’étude de l’Insee sur la répartition du patrimoine immobilier des ménages par tranche d’âge et en partant du principe que l’immobilier francilien vaut en moyenne le double de celui du reste de la France, on arrive ainsi à un patrimoine immobilier des propriétaires franciliens âgés de plus de 60 ans de l’ordre de 300.000 € (70 % des ménages de plus de 60 ans sont propriétaires de leur logement).

    Par ailleurs, l’allongement de la durée de la vie a créé une baisse de revenus difficilement supportable pour
    nombre de retraités qui vivent d’autant plus mal au quotidien qu’ils s’inquiètent de leur capacité à se payer leur éventuelle dépendance et voient leurs revenus encore baisser lorsque l’un des deux conjoints décède. Les retraites représentent aujourd’hui 14 % du PIB soit 320 Mds € et la charge actuelle pour l’Etat et la société rend difficilement envisageable un « geste pour tous significatif » ; et cela d’autant plus que la démographie n’est pas en faveur d’une amélioration de cette situation. Accessoirement, si je puis dire, l’allongement de la durée de la vie a retardé de quasiment une génération la transmission du patrimoine et, de fait, 85 % des personnes qui héritent ont désormais plus de 55 ans et vendent dans 80 % des cas le bien immobilier dont ils héritent.

    LES SOLUTIONS ? Il faut en même temps :
    Pour les juniors des classes moyennes :

    a) Le dispositif que nous avons créé à La Française et qui connait un très bon démarrage, la propriété
    à vie
    (50 ans minimum, plus si la personne vit plus longtemps, et rachat à prix connu à tout moment) ou
    Flexipropriété permet de réduire de 30 % le coût d’acquisition d’un logement et donc de le situer dans
    un taux d’effort des propriétaires plus proche d’un loyer que d’une propriété et également de préparer la
    retraite dans les mêmes conditions qu’un propriétaire classique. Sur le plan juridique le dispositif repose sur l’emphytéose complétée par des dispositifs correspondant à la vie des familles : flexibilité sans incertitude financière lorsque le logement est remis à la vente – besoin de s’agrandir, divorce, changement de lieu de travail, amélioration de la situation financière (travail ou héritage), décès prématuré, ou à l’inverse l’achat du « solde de la propriété » si l’amélioration de sa situation financière le permet. Dispositif attractif également pour les investisseurs de long terme qui peuvent légitiment en attendre un rendement bien supérieur au rendement locatif résidentiel classique.

    Je n’élaborerai pas plus en détails notre dispositif… le plaisir de l’exclusivité !

    Obstacles : aucun sur le plan législatif, un accueil très favorable des acquéreurs qui comprennent
    parfaitement qu’ils ne transmettront pas un capital immobilier à leurs enfants, un accueil favorable des
    municipalités (logements familiaux abordables assurant une mixité sociale plus harmonieuse), un accueil
    réservé des investisseurs institutionnels français peu enclins à prendre des risques sur l’innovation alors que ce dispositif est plus facilement audible par des investisseurs étrangers plus familiarisés à la complexité des montages de financement liés au logement.


    b) Le prêt partiellement perpétuel : pourquoi financer sur 20 ans (ou 25 ans) un bien dont la durée de vie est de plus de 100 ans ? Les banques de nombreux pays européens, notamment en Scandinavie et en Suisse, soumises aux mêmes contraintes règlementaires que les banques françaises, prêtent en même temps à la personne et au bien.

    Un exemple avec un bien de valeur 100 :

    L’emprunteur, personne physique, emprunte sur 20 ans à 2 %.

    • Il rembourse 50 de capital sur les 20 ans soit 2,5 par an.
    • Il paye les intérêts sur la totalité du capital emprunté (soit 2 par an pour simplifier le raisonnement).
    • Soit au total 4,5 par an au lieu de 7 par an s’il avait emprunté 100.
    • Au terme des 20 ans, les intérêts courent sur les 50 de capital résiduel qui n’est pas automatiquement remboursé. L’emprunteur paye les intérêts sur les 50, soit 2 % x 50 = 1, l’équivalent d’un petit loyer.
    • A son décès ou lorsqu’il vend, le capital restant dû devra être remboursé.
    • La banque est garantie par une hypothèque : le bien valait 100 en T0, en T+20, sa créance est de 50, pour qu’elle perde de l’argent, il faudrait que la valeur du bien baisse de 50 % en 20 ans…

    Obstacles : sur le plan législatif, probablement pas (l’hypothèque est valable sur 50 ans en France). Sur
    le plan règlementaire, des banques européennes soumises aux mêmes règlementation et conditions
    de refinancement le pratiquent et l’on voit même des assureurs français acquérir des titres de créances
    hypothécaires émis par des banques hollandaises reposant sur ce dispositif
    .

    c) Faciliter le retour des compagnies d’assurance sur le logement locatif : tout le monde n’a ni l’envie
    ni les moyens de devenir propriétaire, mais la construction de logements locatifs a été désertée par les
    compagnies d’assurance depuis des années et l’Etat a parallèlement mis en place des dispositifs fiscaux
    pour inciter les épargnants à investir dans la « pierre locative ». Ces dispositifs fiscaux, le dernier en date
    étant le Pinel, outre la difficulté à analyser le rapport coût/bénéfice pour la société, est manifestement
    insuffisant pour produire suffisamment de logements locatifs. Si les compagnies d’assurance n’investissent
    pas dans le logement alors que dans beaucoup de pays occidentaux il existe des foncières de logements
    dont la performance financière attire manifestement les investisseurs, c’est à l’évidence parce que le
    rendement locatif est trop bas, ou, plus exactement, que le prix de revient du bien immobilier est trop élevé pour pouvoir supporter un loyer compatible avec la capacité de paiement des loyers par les locataires. Inverser cette situation qui résulte d’une maitrise insuffisante du prix du foncier ne pourra se résoudre en quelques années si toutefois elle était même souhaitable, la déflation de la valeur des actifs ayant un effet dévastateur encore pire que l’inflation !

    Dès lors, il s’agit d’interpeller la réalité des assureurs plutôt que de les accabler : les compagnies d’assurance sont des tiers de confiance. Les souscripteurs de contrat d’assurance-vie ont déposé leur argent avec l’engagement de l’assureur de lui rendre le capital, à tout moment (même si dans les faits elle sait statistiquement que son passif ne sera jamais réclamé en même temps et qu’elle estime donc sa duration à plus de 8 ans), majoré des profits acquis. Elle gère ainsi avec un triptyque bien connu : Rendement, Risque, Règlementation (comptabilité des assureurs et Solvabilité 2) et les règles du jeu sont très claires :

    • L’OAT (10 ans) est sans risque sur le plan comptable et ne consomme aucun fonds propres, mais il ne rapporte que 0,5 %.
    • L’immobilier de bureaux rapporte 4 %, il est valorisé à valeur d’expertise sur des plans pluri-annuels, mais consomme 25 % de fonds propres.
    • L’immobilier résidentiel a les mêmes caractéristiques règlementaires que l’immobilier tertiaire mais ne rapporte que 2,5 %.
    • « Ite missa est » et ne pourra être redite que si l’un des paramètres change. En l’espèce, le rationnel inciterait qu’un acteur comme la Caisse des Dépôts, qui finance largement le logement social, intermédiaire et social via CDC Habitat, intervienne également comme garant.

    Exemple : une compagnie d’assurance investit en T0 dans un fonds de 100 millions d’euros composé de 400 logements.

    • Ces logements génèrent un revenu locatif net de 2,5 %
    • La CDC garantit à une échéance de 15-20 ans une valeur de 90 %
    • La CDC reçoit annuellement une prime de 0,25 %, ce qui ramène le rendement à 2,25 %
    • En contrepartie si à l’échéance des 15-20 ans le rendement généré par ce portefeuille est supérieur à 2,5 %, la CDC et l’assureur partagent la surperformance.
    • La garantie de la CDC, compte tenu de sa solidité, diminue considérablement la consommation de fonds propres de l’assureur (transfère de risque règlementaire) et l’immobilier résidentiel redeviendrait donc attractif par rapport à l’OAT et l’immobilier tertiaire.

    Obstacles : sur le plan financier, le risque de voir baisser l’immobilier résidentiel de plus de 10 % sur une période de 15-20 ans est très faible. Historiquement, il ne s’est manifesté que pendant les deux guerres mondiales. Au pire, s’il se manifestait, alors que le dispositif est renouvelé chaque année, en moyenne entre les mauvaises et les bonnes années, il est peu vraisemblable qu’une perte significative soit réalisée et en tout état de cause, la CDC aurait les mêmes pertes que dans la situation actuelle. La principale difficulté, outre la nouveauté, est qu’il s’agit d’un engagement hors bilan d’une entité de l’Etat ce qui rentre dans les critères d’endettement de Maastricht… et qu’il faut donc définir des règles spécifiques sur ce type d’engagement (faire par exemple admettre que l’endettement virtuel dans 15-20 ans ne porte dans les faits que sur un risque de différentiel de prix entre le prix de la garantie soit 90 et le prix de marché dans 15-20 ans d’un bien immobilier qui vaut 100, de même que pour les assurances avec solvabilité 2).

    Pour les seniors propriétaires de leur logement
    Vivre « dans et de son logement », en activant et modifiant si nécessaire le principe de l’hypothèque rechargeable créée en 2006 (reverse mortgage) : on le sait la structure de l’épargne des Français c’est la pierre et on a coutume de dire que le logement c’est le fonds de pension des Français. Cette génération a épargné dans la pierre et leur épargne financière est souvent quasi nulle. Il se trouve que l’immobilier a vu son prix multiplié par deux en vingt ans, tant mieux !
    Faisons de leur logement un fonds de pension individuel. Le mécanisme est très simple :

    - Un propriétaire consent une hypothèque sur son logement à une banque ;
    - Cette dernière lui fait tous les mois un prêt d’une somme X :

    • Les intérêts sont capitalisés (a priori un taux d’intérêt comparable aux prêts immobiliers à long terme, soit 1,70 %, alors que le Crédit Foncier qui avait créé le dispositif avec un taux de 4,7 % le pratiquait avec un versement unique, autant de « modalités peu adaptées à la problématique »).
    • Lors du décès de l’emprunteur, les héritiers reprennent le crédit (somme des versements mensuels et intérêts capitalisés) pour le rembourser s’ils souhaitent conserver le bien ou le vendent et remboursent la banque.

    Un exemple simple :

    • Un propriétaire retraité a un bien qui vaut 350.000 €
    • Une retraite de 1.800 € par mois
    • La banque lui prête 750 € (de plus) chaque mois
    • Les intérêts sont capitalisés au taux de 1,70 %
    • Il décède 20 ans plus tard
    • La banque, intérêts capitalisés compris, a une créance sur le bien de 240 K€ (le particulier aura reçu 175 K€, la différence étant les intérêts capitalisés) et un gage qui valait 350.000 € 20 ans avant, soit un taux de couverture de 164 %.

    Après toutes les subtilités sont possibles : un versement initial important qui peut ainsi aisément être transmis en avance sur héritage à sa succession permettant ainsi à son héritier d’avoir un apport lorsqu’il en a besoin, une variabilité du montant en cas de décès de l’un des deux bénéficiaires, une augmentation en cas de départen EHPAD, la refixation du taux d’intérêt capitalisé en fonction du niveau des taux, etc.

    La banque au départ fait une évaluation du bien et calcule le montant à verser mensuellement en fonction de la valeur du bien et de la table de mortalité.

    Cette démarche est moins traumatisante et spéculative qu’un viager puisqu’il n’y a pas de transmission du bien et que, dans l’hypothèse d’un décès peu après la mise en place du dispositif, la dette est très faible. Sur le viager, on constate par ailleurs que 40 % des prescripteurs sont les enfants qui bien souvent touchent ainsi le bouquet et sont certains que leurs parents pourront se payer un EHPAD en cas de besoin (les enfants sont bien souvent eux-mêmes à la retraite à ce moment-là).
     
    Sur le plan macroéconomique cette conversion d’un capital immobilier sera réinjectée directement mensuellement en consommation. Sur le plan social, elle réduit d’autant la pression sur la collectivité à aider des personnes qui objectivement n’ont pas les moyens de vivre « bien » alors qu’elles disposent d’un capital illiquide par ailleurs.

    Obstacles et rôles des parties prenantes :

    • Convaincre les banques que cette activité est rentable pour elles, comme cela fut le cas quand le prêt fut originellement accordé au retraité lorsqu’il était actif ;
    • Qu’elle s’inscrit dans la droite ligne du Plan Pacte de l’entreprise à mission ;
    • Éventuellement règlementaire. La charge en fonds propres actuellement requise (très nombreuses évolutions depuis 2006, date de la création du système) sur des financements ne reposant que sur la valeur des biens et non pas la capacité de remboursement de l’emprunteur est-elle adaptée pour faciliter le dispositif ? Faut-il créer un fonds de garantie ou un mécanisme assurantiel pour la réduire ?
    • Juridique : si nécessaire, que le législateur clarifie que ce type de prêt ne rentre pas dans le cadre du surendettement puisque dès le départ le prêt n’a pas à être remboursé par l’emprunteur mais par le bien gagé alors que la banque n’aurait pas pu/dû prêter puisque l’emprunteur n’était dans la capacité financière d’emprunter.
    • Si l’emprunteur a des héritiers, s’assurer de leur consentement puisque cela réduira leur héritage.
    • Que l’ensemble des parties ne puissent se prévaloir de l’abus de faiblesse ou du défaut de conseil.

    Un fonds de garantie spécifique pourrait venir compléter le risque de généralisation du cas Jeanne Calment où
    l’allongement de la durée de la vie entrainerait une dette supérieure à la valeur du bien immobilier. Reste à faire
    le premier pas de l’innovation bancaire !


    Augmenter la production de logements intermédiaires, mais pas seulement : le rôle du législateur et des collectivités locales
    Le pêle-mêle des interactions positives qui peuvent s’avérer de véritables « game changers » et de déclencheurs de l’intégralité du dispositif :

    • Imposer un changement radical des PLU en zones tendues en complétant le dispositif de la « hauteur maximale » par également une « hauteur minimale » de construction.
    • Une gouvernance contraignante sur la valeur du foncier, notamment celui détenu par les collectivités publiques, limitant la hausse des prix et cela notamment en fonction de la superficie construite.
    • On sait désormais construire des immeubles réversibles à moindre coût… mais la convertibilité de bureaux en logements reste soumise au permis de construire.
    • « Inciter » fortement les collectivités publiques qui ont du foncier à le céder à des bailleurs sociaux (ou promoteurs de logements sociaux voire intermédiaires locatifs) sous forme de bail à construction (séparation de la valeur entre le bâti et le foncier, usufruit et nue-propriété) afin de réduire fortement le prix de revient total des opérations de promotion.
    • La mise en place du dispositif de financement qui viendra se substituer à la taxe d’habitation doit être l’occasion d’intégrer dans la réflexion des montages financiers liés à la construction de logements subventionnés ; autrement dit, instituer un système de bonus-malus fortement incitatif pour les municipalités en fonction des constructions de logements effectuées et cela également pour les municipalités qui soutiennent activement la conversion de bureaux vides en logements pleins !

    Un point-clé est également à analyser : comment maitriser la hausse des prix de l’immobilier ?
    Outre, comme expliqué au tout début de cette lettre, de mettre des conditions aux plafonds progressifs de
    ressources pour éviter la création d’une spirale inflationniste supplémentaire, il faut aussi comprendre et
    contraindre les autres facteurs de hausse des prix.

    L’explication de la hausse des prix de l’immobilier (beaucoup plus rapide que celle des biens à la consommation) généralement fournie est sur deux axes :

    • La baisse des taux d’intérêts, le prix de vente étant alors déterminé selon la capacité d’emprunt de l’acquéreur (pour simplifier, il doit pouvoir acheter plus ou moins la même quantité de m2). Cette réponse s’avère partiellement fausse puisque concrètement c’est de moins en moins le cas.
    • Il y a plus de demande de logements que d’offre, d’où la volonté gouvernementale de créer un choc de l’offre qui une fois de plus doit, à mon sens, créer les conditions d’une demande inclusive.

    Les deux arguments ne sont que partiels et une analyse précise des bilans de construction en zone tendue devrait être faite pour déterminer sur les autres facteurs de hausse de prix et ceci afin de mettre des dispositifs efficaces :

    • Le prix du foncier qui est rare : qui le détient et ne peut-on pas en contrôler le prix, notamment quand il est détenu par une collectivité locale ou acteur public qui le cède au plus disant ?
    • Le poids du PLU qui limite fortement la densification ce qui est souvent une aberration économique, écologique et sociale.
    • Le poids des normes liées à la sécurité, environnementales et sociales (25 % de logements sociaux était une solution géniale quand le prix du foncier était à 100 ; quand il est à 400, on ne construit plus grand-chose et le cercle vicieux s’enclenche).
    • L’allongement des délais entre la promesse de vente sur le terrain et la commercialisation effective des biens construits, risque qu’il faut bien rémunérer.
    • Les augmentations des prix de construction, matériaux et main d’oeuvre.

    Une fois évalué le poids des différents facteurs expliquant la hausse des prix qui parait sans fin, le pacte social, qui pourrait être passé entre les différents acteurs, pourrait être un engagement de mission où chaque partie s’engage à jouer le jeu. Il ne s’agirait évidemment pas d’éliminer les facteurs de hausse mais de les réguler. Si les propriétaires des fonciers se voient contraints sur leur prix de vente et si les banques comme les autres parties prenantes décrites plus haut mettent en place les propositions ci-dessus alors les promoteurs peuvent produire beaucoup plus, mais l’accroissement de leur profitabilité doit être lié à la hausse des volumes et non pas de la marge unitaire (avec un IS majoré sur la fraction excédentaire de la marge unitaire) facilitée par l’accroissement de la solvabilité des ménages ; un dispositif comparable pourrait être mis en place pour les investisseurs au-delà d’un TRI qui ne doit cependant pas être fixé à un niveau trop bas, ce qui dissuaderait tout investisseur, national comme international. Ainsi, combinés aux mécanismes d’accession encadrés qui permettront aux ménages actuellement exclus d’accéder à un logement abordable, en location comme en acquisition, nous réunirions les conditions d’une forte croissance du logement sans dérives supplémentaires des prix.

    Nous sommes parfaitement dans l'esprit de la loi Pacte qui prône l'Entreprise à mission : la ville construite pour ses habitants est une mission essentielle, qui doit être portée par toutes les parties.

    La conjonction de ces évolutions par la solvabilité introduite des différents acteurs, les juniors, les seniors,
    les personnes à revenus modestes avec une implication concrète de toutes les parties prenantes créerait ce fameux choc de l’offre provoqué par cette demande inclusive et l’on verrait éclore la foultitude des projets urbains nécessaires à la vie en société au XXIe siècle. Dans cet esprit toute contrainte ou opportunité créée par la loi devrait avoir une portée limitée dans le temps. L’évolution de la Société est très rapide alors même que l’intensité capitalistique et la durabilité de la ville sont des temps très longs ; les effets de bords introduits par toutes ces lois peuvent ainsi devenir très néfastes dans le temps et les lois régissant la création de la ville devraient donc avoir des clauses de rendez-vous.

    Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de son auteur à la date de publication et sont susceptibles d’évoluer ultérieurement. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.

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    news-1583 Fri, 19 Apr 2019 15:57:11 +0200 Découvrez en 2 minutes, la SCPI LF Grand Paris Patrimoine ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-en-2-minutes-la-scpi-lf-grand-paris-patrimoine/ La Française, forte de son expertise immobilière et de sa présence historique en Ile-de-France, propose une nouvelle opportunité d’investissement : la SCPI LF Grand Paris Patrimoine. Avec plus de 35 milliards d’euros d’investissements, le Grand Paris est l’un des projets urbains les plus importants d’Europe.

    Il vise à transformer l’agglomération parisienne avec l’objectif de relancer Paris et sa région dans la compétition des mégalopoles internationales d’excellence.

    9 grands pôles d’activités ont ainsi été identifiés et seront interconnectés par un nouveau réseau de transports public, fort de nouvelles gares et de nouvelles lignes de métro 100 % automatiques.

    LF Grand Paris Patrimoine est une SCPI d’entreprise dédiée au projet du Grand Paris. Sa stratégie d’investissement de LF Grand Paris Patrimoine cible les zones dynamiques mises en valeur par le déploiement des investissements du projet du Grand Paris.

    Cette thématique d’investissement vise à capter un rendement immobilier par le développement d’un patrimoine connecté au projet du Grand Paris, proche des réseaux de transport, qui pourrait bénéficier d’un potentiel de création de valeur dans les années à venir.

     

    La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org
    LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n°18-25 en date du 21/08/2018. 
    Une notice a été publiée au BALO n°105 du 31/08/2018
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    news-1582 Wed, 17 Apr 2019 12:22:52 +0200 L'innovation reste fondamentale dans un environnement politique peu créatif /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linnovation-reste-fondamentale-dans-un-environnement-politique-peu-creatif/ Ce premier trimestre est allé au-delà de nos attentes en effaçant la quasi-totalité de la baisse des marchés du dernier trimestre 2018. La hausse est solide et constante depuis le 24 décembre. Ce premier trimestre se clôt en fanfare : aux Etats-Unis, le S&P500 est en hausse de plus de 17 % à ce jour (11 avril) (meilleur Q1 depuis 2009) sur fond d’une politique monétaire ‘redevenue’ accommodante. Le baril de pétrole est en forte hausse et atteint 68,39 USD (+25,74 %) au 29/03. En Europe, le Stoxx 600 progresse de près de 16 % à ce jour (+12,27 % au 1er trimestre). Tous les secteurs sont en progression. Les investisseurs ont toutefois privilégié les secteurs défensifs de croissance, en particulier les biens de consommation (+18 %) et le commerce de détail (+20,26 %). Le secteur cyclique des ressources de bases a également fortement progressé (+19,20 %) grâce au soutien de la banque centrale chinoise et aux anticipations positives d’un accord US-Chine.

    Alors que nous sommes à nouveau proches des points les plus hauts des marchés actions, les signaux actions fondamentaux restent tendus. Les analystes ont revu leurs attentes de résultats par action en baisse pour 2019, passant de +8 % (fin janvier) à +5 % fin mars, une réduction continue tout au long du trimestre ; un trimestre qui a été marqué par une forte décollecte des investisseurs ainsi que par des volumes d’échanges boursiers très faibles.

    En bref, il semble que tout soit sous contrôle du côté de la Fed si l’on fait abstraction du bruit politique.

    Plus fondamentalement, notre présence au "Hannover Messe", nous a permis de constater les avancées technologiques, moteurs de croissance, et notamment de la 5G et de ses applications dans le secteur industriel. Nous avons notamment assisté à la présentation de Bosch Rexroth, en partenariat avec Qualcomm et Nokia, d’une usine de production "du futur". L’arrivée de la 5G permet en effet de créer des réseaux privés, essentiels au fonctionnement en toute sécurité d’une usine de production automatisée. Auparavant, avec la 4G, il était nécessaire de paramétrer chaque machine physiquement, et un périphérique d’interactions homme-machine ("HMI") pour chaque équipement. Avec la 5G au sein des usines, il devient possible, avec seulement un système HMI, de communiquer avec plusieurs machines et robots à distance grâce à la possibilité de "découpage en tranches" du réseau, permettant ainsi de réduire les coûts d’exploitation et d’optimiser la production.

    Dans le cas exposé par Bosch Rexroth et grâce aux deux éléments essentiels que sont un sol intelligent et la 5G, des robots sont capables d‘effectuer des tâches de production et de logistique en se déplaçant de manière autonome, tout en repérant les obstacles sur leur route et en communiquant avec les autres machines de l’usine. A l’aide d’un ordinateur, un employé contrôle chaque machine opérant sur la surface en étant notamment informé de tout dysfonctionnement, cet ordinateur lui permettant également de reconnaitre les signes précurseurs d’une panne et d’agir en amont. Ces installations actuellement en phase de test pourraient être commercialisées à horizon d’un an.

    Cette technologie viendra en soutien de notre thème de la réduction des émissions carbone en participant à la réduction de la consommation d’énergie par optimisation et digitalisation des processus de production. L’innovation reste un moteur fondamental.

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    news-1580 Tue, 16 Apr 2019 09:59:36 +0200 De nouvelles opportunités sur la dette grecque /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-nouvelles-opportunites-sur-la-dette-grecque/ En 1982, la Grèce devenait le 10ème Etat-membre de l’Union Européenne. En mai 2010, la Troïka européenne (BCE-CE-FMI) engageait son premier plan d’aide à la Grèce, 110 mds €, en échange d’un plan d’assainissement du pays. Le 5 juin 2015, en n’honorant pas le remboursement d’une tranche du plan, le pays connaissait une nouvelle escalade dans la crise et une fuite historique des dépôts des banques. Un nouveau plan émergeait post Euro-group du 12 juillet 2017. Le Grexit n’a pas eu lieu…

    La Grèce revient de loin. Le pays affichera cette année et en 2020 une croissance de 2,2 % selon Eurostat, après 1,9 % en 2018, un point haut depuis 10 ans. Pour la première fois depuis 15 ans, la Grèce afficherait trois années consécutives de croissance proche de 2 %, en d’autres termes une résistance notable du pays au ralentissement économique que connaît la zone euro depuis un an. Le moteur domestique, soutenu par la hausse des revenus réels et la baisse notable du taux de chômage (10 points de baisse attendue entre 2014 et 2020 selon HSBC) est dynamique. L’investissement reste en revanche encore faible, tout comme le secteur bancaire, même si les banques n’ont plus recours à l’ELA pour accéder au liquidités BCE depuis fin 2018 et une progression, certes lente, se remet en place sur les dépôts bancaires des ménages grecs.

    Parallèlement à cette dynamique de croissance retrouvée, la performance budgétaire du pays est notable avec un surplus primaire estimé à 6,6 % cette année par le FMI, une trajectoire du montant de dette sur PIB qui s’inverse, de 188 % en 2018 à 177 % en 2019 et, enfin, un budget redevenant équilibré dès cette année. De ce constat vertueux, un point doit retenir notre attention : le caractère constitutionnel ou non des réformes passées sur les fonds de pension et les baisses de salaire dans le secteur public. Le coût de ces mesures, si elles sont jugées inconstitutionnelles, sera notable, alerte le FMI.

    Le programme de sauvetage porte jusqu’en 2022 et le pays poursuit le remboursement des tranches. Par ailleurs, à horizon 2023, les besoins de refinancement sont intégralement couverts par la réserve de liquidités du gouvernement (près de 40 mds €). Le pays a d’ores et déjà effectué son retour sur les marchés obligataires et devrait lever de nouveau des encours cette année au regard des niveaux de taux (3,50 % sur la maturité 10 ans). Au regard de la dynamique fondamentale du pays, de l’attractivité du niveau des taux grecs normés par la volatilité, les opportunités d’investissement sur la dette grecque sont réelles.

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    news-1578 Mon, 15 Apr 2019 16:20:46 +0200 Récession imminente ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/recession-imminente/ Il peut être difficile de déterminer la probabilité d'une récession aux États-Unis simplement à partir des gros titres et articles de presse. Néanmoins, l’indice économique avancé du Conference Board (LEI) constitue un indicateur fiable de la croissance économique future et son niveau actuel ne reflète pas de récession imminente. Indice économique avancé avant une récession aux États-Unis
    (évolution en glissement annuel, en %)

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    news-1577 Mon, 15 Apr 2019 15:05:24 +0200 Banques centrales accommodantes : le retour de la force /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/banques-centrales-accommodantes-le-retour-de-la-force/ Les banques centrales ont encore une fois tenu le devant de la scène ce mois-ci avec la réunion de la BCE en début de mois puis celle de la Fed un peu plus tard. Etant donné l’impact qu’ont leurs décisions sur l’ensemble des classes d’actifs, utilisons les quelques lignes ci-dessous pour les analyser :
    La BCE a tenu un discours extrêmement accommodant, et ce de plusieurs manières :

    • Modification de la "forward guidance" en promettant de ne pas remonter ses taux directeurs avant fin 2019 (vs été 2019 précédemment) ;
    • Lancement d’un nouveau TLTRO à 2 ans en septembre prochain ;
    • Baisse des prévisions de croissance et d’inflation plus importante qu’anticipé.

    On pourrait aussi mentionner le système de "tiering" évoqué par M. Draghi depuis la réunion qui, s’il était mis en place, pourrait permettre à la BCE de baisser à nouveaux ses taux directeurs.
    La réserve fédérale a, de son côté, été encore plus accommodante que la BCE relativement aux attentes de marché :

    • Fin de la réduction de la taille de son bilan en octobre de cette année ;
    • Baisse des anticipations médianes des membres de la Fed qui ne montrent plus qu’une seule hausse de taux à horizon fin 2020, alors qu’il y en avait trois auparavant ;
    • Baisse des prévisions de croissance 2019 à 2,1 % vs 2,3 % auparavant.

    Ces décisions de la Fed sont surprenantes au regard de la situation économique américaine actuelle ; celle-ci a en effet peu évolué depuis le mois de septembre alors que le message de la Fed a, lui, radicalement changé.
    Ces décisions sont en revanche beaucoup moins surprenantes quand on analyse l’évolution des conditions financières (et des marchés actions) durant cette période. Il est cependant légitime de se demander s’il était nécessaire d’aller aussi loin lors de la dernière réunion, alors que les conditions financières s’étaient déjà largement améliorées depuis le début de l’année.
    L’environnement macroéconomique a, lui, eu plutôt tendance à s’améliorer au cours des dernières semaines avec des chiffres rassurants en provenance de Chine, ce qui est cohérent avec la forte relance fiscale, budgétaire et monétaire mise en place depuis plusieurs mois ; cette amélioration n’est sans doute pas terminée. La zone Euro semble, elle, se stabiliser, et ce même si
    le secteur automobile allemand continue de peser sur la zone dans son ensemble ; nous pensons toutefois que les révisions négatives sur la croissance Euro sont maintenant derrière nous.
    Que faire dans ce contexte ? Avec une dynamique de croissance qui se stabilise, un risque inflationniste faible et des banques centrales extrêmement accommodantes, nous avons ici un cocktail a priori très favorable aux actifs de rendement dans leur ensemble. Cette situation est d’ailleurs également favorable aux actifs actions tant que les risques exogènes restent contenus. Enfin, étant donné la très forte baisse des rendements des actifs sans risque et une situation macroéconomique en amélioration, ceux-ci pourraient remonter légèrement dans les semaines qui viennent.

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    news-1571 Thu, 11 Apr 2019 10:00:00 +0200 EPARGNE ACTUELLE et La Française signent un partenariat stratégique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/epargneactuelleetlafranaisesignentunpartenariatstratgique/ EPARGNE ACTUELLE, acteur majeur du courtage d’assurances et filiale de l’assureur Aviva France, diversifie son offre patrimoniale et signe avec La Française un partenariat de distribution et d’accompagnement portant sur une gamme de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI), gérées par La Française REM, première société de gestion de SCPI en termes de capitalisation (Source : IEIF au 31/12/2018) ou commercialisées par le Groupe. Ce partenariat s’inscrit dans la continuité de la transformation d’EPARGNE ACTUELLE, qui a désormais le statut de Conseiller en Investissements Financiers (CIF), certifiée par l’Orias et inscrite au Registre des Intermédiaires en assurance, banque et finance, et lui permettra de renforcer son expertise patrimoniale auprès de ses clients.

    Isabelle Lagrange, Directrice Générale d’EPARGNE ACTUELLE commente, « Cette signature s’inscrit pleinement dans le cadre du développement de notre offre « Patrimoniale ». Nous sommes désormais en ordre de marche, aux côtés d’un leader du marché immobilier, pour transformer commercialement notre nouveau positionnement et nous affirmer comme un interlocuteur incontournable de la gestion de patrimoine. »

    « Nous sommes ravis qu’EPARGNE ACTUELLE ait sélectionné l’expertise immobilière de La Française pour étendre son offre auprès de sa clientèle patrimoniale. Ses exigences en matière de produits et de services d’accompagnement sont connues du marché et rendent ce partenariat d’autant plus valorisant pour La Française, » conclut Thierry Sevoumians, Président de La Française AM Finance Services. 

    L’accord de distribution porte sur quatre SCPI et permet de proposer aux clients patrimoniaux d’EPARGNE ACTUELLE une alternative aux supports actions et fonds euros. Ils bénéficient ainsi d’une réelle opportunité de diversification à travers la sélection de SCPI ci-après :

    • Epargne Foncière, SCPI d’entreprise créée en 1968 et investissant en France et accessoirement dans les pays membres de l’Union Européenne ;
    • LF Europimmo, première SCPI d’entreprise de la gamme européenne de La Française ;
    • Pierval Santé, SCPI d’entreprise dédiée aux actifs immobiliers de santé ;
    • LF Grand Paris Patrimoine, SCPI d’entreprise qui vise à investir sur Paris et sa région en prenant part à l’un des projets urbains les plus importants d’Europe, « Le Grand Paris ».
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    news-1554 Fri, 29 Mar 2019 10:53:51 +0100 Petites capitalisations : parées à surperformer /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/petites-capitalisations-parees-a-surperformer/ Aux États-Unis, les petites capitalisations semblent aujourd'hui bien positionnées pour enregistrer des rendements supérieurs à ceux des grandes capitalisations. La cohérence des fondamentaux par rapport aux valorisations pourrait permettre aux petites capitalisations d’inverser la sous-performance qu’elles connaissent depuis plusieurs années maintenant. La croissance des petites capitalisations : parées à superformer

    1 Le multiple cours/bénéfice permet d’évaluer une entreprise en mesurant son cours actuel par rapport à son bénéfice par action.

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    news-1552 Mon, 25 Mar 2019 17:21:24 +0100 Tendances ESG dans le secteur de l'immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tendances-esg-dans-le-secteur-de-limmobilier/ L’immobilier a été proactif sur les questions de développement durable depuis de nombreuses années et a, globalement, amélioré ses performances en termes de durabilité, notamment sur les problématiques d’émission carbone et de gestion énergétique. Il est temps cependant de regarder au-delà des questions liées au climat et à l’énergie. L’avènement des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et les grandes tendances mondiales obligent le secteur à réfléchir différemment à sa manière d’aborder la durabilité.
    La pression des investisseurs, la réduction des risques et l’amélioration de la réputation, associées à un environnement réglementaire plus strict et au besoin de programmes de réduction des coûts, vont continuer d’influencer les pratiques en matière de RSE dans le secteur, mais de nouveaux thèmes ESG émergent aux côtés de ceux existants qui, nous semble-t-il, nécessiteront des modèles de notation plus inclusifs, flexibles et liés aux ODD. Parmi ces thèmes émergents, nous en avons identifiés certains qui nous paraissent essentiels et qui sont systématiquement inclus dans notre modèle d’évaluation :

    ENVIRONNEMENT

    • Certifications et normes : au-delà des systèmes d’évaluation environnementale des bâtiments mis au point dans le monde entier (il en existerait plus de 600 différents du BREAM au LEED en passant par HQE en France) d’autres types de certifications apparaissent répondant à de nouveaux besoins. Ainsi en va-t-il de la norme et de la certification WELL étroitement liées à la santé et au bien-être. De même le nouveau phénomène de notation par la communauté apparaît comme une option et concerne non seulement les bâtiments, mais également des espaces publics tels que les places, parcs et rues.
    • Demande en énergie et changement climatique : avec des durées de vie moyenne de 50 à 100 ans, les bâtiments neufs engagent les émissions de CO2 sur des durées très longues. L’urbanisation au niveau mondial s’accroit considérablement, en Chine par exemple la consommation énergétique des bâtiments pourrait augmenter de 40 % au cours des 15 prochaines années. Selon le World Green Building Council, pour rester sur un objectif 2° C, il faut modifier considérablement notre niveau d’ambition afin d’avoir, d’ici à 2050, des bâtiments à zéro émission.
    • Utilisation de l’eau et gestion des déchets : le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau a révélé que la demande mondiale en eau douce dépasserait de 40 % l’offre en 2030. Le changement climatique, la croissance démographique, les usages, vont entrainer des pénuries d’eau de plus en plus courantes aussi bien en milieux urbain que rural. Les grandes villes risquent réellement de manquer d’eau, notamment Tokyo et Londres, aussi surprenant soit-il. Faute de nouvelles ressources, il faut travailler sur une meilleure gestion de l’eau : ainsi les eaux usées provenant de la collecte des eaux de pluie, des tours de refroidissement, des douches et toilettes pourraient être collectées et traitées. Le problème des déchets est aussi crucial et les pressions réglementaires sont de plus en plus forte pour interdire notamment la mise en décharge des déchets de construction et de démolition et améliorer le recyclage.

    SOCIAL

    • Santé et bien-être des occupants : afin de concurrencer les bâtiments à la pointe de la technologie, il est essentiel de répondre aux besoins des occupants, mais également des employeurs. Les entreprises qui font face à une pénurie de main-d’oeuvre qualifiée peuvent attirer les talents en partie grâce à des lieux de travail inspirants.
    • Urbanisme et Résilience : avec le changement climatique, le nombre de phénomènes météorologiques extrêmes a considérablement augmenté au cours des dernières années et va continuer de croître. Cela implique de prendre en compte prioritairement le facteur résilience dans les plans de conception et de construction des bâtiments. Les villes doivent mieux se préparer à de tels risques et à devenir plus résilientes dans tous les aspects du paysage urbain - physiquement, économiquement et socialement.
      Sur un marché du logement concurrentiel, on assiste à une course aux armements pour de nouvelles commodités. Les salles de sport sophistiquées et les accès aux rooftops sont de plus en plus courants, les programmes disposent à présents de salle de cinéma, des jardins communaux et d’accès à un espace de travail collaboratif.

    GOUVERNANCE

    • Gestion : il est nécessaire de redéfinir l’immobilier pour y inclure les services et les infrastructures. Les utilisateurs souhaitent aussi plus de flexibilité afin de pouvoir répondre aux besoins changeants des secteurs résidentiel et commercial. Cela nécessite une gestion des actifs et des investissements plus intensive.
    • Innovation et technologie : la disruption technologique est un phénomène à prendre en compte, bien que ce soit moins coutumier dans le monde de l’immobilier que dans d’autres secteurs. Pourtant la gestion de son image sur les réseaux sociaux par exemple est essentielle. L’adaptabilité et la réactivité face au nouvel ordre mondial doivent faire partie de l’arsenal ESG d’une entreprise.

    Au final, il nous semble qu’une approche traditionnelle des questions ESG - centrée essentiellement sur l’énergie et les problèmes connexes liés au changement climatique, ne sera pas suffisante pour comprendre et analyser les performances futures des sociétés immobilières et les attentes en matière d’immobilier durable. Les investisseurs et les analystes du secteur immobilier doivent élargir leurs horizons et élaborer des métriques ESG qui prennent en compte l’ensemble des nouveaux défis.

    L’étude intégrale rédigée par La Française Forum Securities (LFFS) et Global Property Research (GPR) est à retrouver en ligne.

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    news-1543 Thu, 21 Mar 2019 14:58:18 +0100 Vers une taxonomie verte de la commission européenne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vers-une-taxonomie-verte-de-la-commission-europeenne/ La Commission européenne travaille actuellement sur une taxonomie verte dont le but est de faciliter les investissements nécessaires pour atteindre les objectifs climatiques de l’Europe, la transition vers un économie bas-carbone et un modèle de développement durable. Or, afin de respecter ses objectifs énergétiques et climatiques à l’horizon 2030, l’Union Européenne est confrontée à un déficit d’investissement annuel supplémentaires de 150 - 177 milliards d’euros jusqu’en 2030.

    A ce titre, le secteur financier a un rôle majeur à jouer en canalisant les flux vers des activités compatibles avec le scénario climatique des Accords de Paris. Mais il n’y a pas à ce jour d’accord sur ce que représente une activité "compatible" ce qui freine le fléchage massif du capital vers ces activités. Une taxonomie de l’UE permettrait de combler ces lacunes en fournissant des informations claires et transparentes sur la durabilité environnementale aux investisseurs, aux institutions financières, aux entreprises et aux émetteurs, permettant ainsi une prise de décision en connaissance de cause. Elle s’appliquerait à définir des activités économiques, donc des produits, et ne s’attacherait donc pas aux secteurs. 

    Activités durablement vertes
    La définition "d’activité durablement verte" vient du groupe d’experts sur la finance durable (HLEG) mis en place par la Commission Européenne qui avait rendu ses conclusions en mars 2018. Elle repose sur 4 conditions :

    • Contribuer de manière substantielle à au moins un des 6 objectifs environnementaux que sont :
      1 - La lutte contre le changement climatique
      2 - L’adaptation au changement climatique
      3 - L’utilisation durable et la protection de l’eau et des ressources marines
      4 - La transition vers une économie circulaire, la prévention des déchets et le recyclage
      5 - La lutte contre la pollution (prévention et contrôle)
      6 - La protection d’écosystèmes sains
       
    • Ne pas créer d’impact négatifs significatifs sur les autres objectifs
       
    • Se conformer à des Standards Sociaux Minimum  
       
    • Se conformer à des critères de sélection techniques (TSC) 

    La taxonomie

    La taxonomie que la commission européenne souhaite mettre en place se devra de refléter les technologies existantes et les politiques en place et devra à ce titre être mise à jour régulièrement.

    Elle n’est pas un standard, ni une liste obligatoire dans laquelle investir. Alors même qu’elle ne comprendra que les activités définies comme vertes, elle ne prétend pas que : les autres activités doivent systématiquement être considérées comme brunes (mauvaises pour l’environnement). Au sein de ces autres activités, certaines peuvent contribuer positivement à l’environnement mais marginalement, d’autres être neutres, et d’autres enfin être "brunes".

    Enfin, la taxonomie inclura des activités de secteurs ayant un impact négatif sur l’environnement dans la mesure où celles-ci réduisent substantiellement leurs impacts négatifs. Le but de la taxonomie étant de favoriser la transition vers des modes de fonctionnement plus verts, et non pas uniquement des activités déjà reconnues comme vertes, cela fait sens d’y inclure des secteurs qui doivent améliorer leurs pratiques.

    Une première version de cette taxonomie verra le jour en juillet 2019 et prendra la forme d’une liste d’activités. Les investisseurs pourront s’en emparer pour évaluer la part de leur portefeuille et/ou leurs investissements à venir en ligne avec la taxomanie verte, et d’autres acteurs pourraient l’utiliser pour créer des labels. Tout reste à écrire mais il est certain que cette taxonomie servira de base à de nombreux outils encore à imaginer.
     

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    news-1534 Wed, 20 Mar 2019 15:59:58 +0100 Aurélie Fouilleron Masson, nommée Directeur Général de La Française AM GmbH /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/aurelie-fouilleron-masson-nommee-directeur-general-de-la-francaise-am-gmbh/ • Aurélie Fouilleron Masson est nommée Directeur Général de La Française AM GmbH. • Dr. Dirk Rogowski se concentre sur le développement de Veritas Institutional. Le Conseil de Surveillance de La Française AM GmbH (ex Veritas Investment) a nommé Aurélie Fouilleron Masson en qualité de Directeur Général, décision éffective à partir du 18 mars. La Direction Générale de La Française AM GmbH est désormais composée de Hauke Hess, Aurélie Fouilleron-Masson et Hosnia Said.

    Dr Dirk Rogowski, anciennement Directeur Général de Veritas Investment, continue à travailler au sein du Groupe La Française en qualité de Directeur Général de Veritas Institutional.
    Aurélie Fouilleron Masson a rejoint La Française en 2007 et depuis occupe plusieurs postes à responsabilité dont Head of Central Europe (couvrant l’Allemagne, la Suisse et l’Autriche) ou encore Global Accounts Business Manager. Aurélie Fouilleron Masson est diplômée en Marketing Stratégique de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris et de l’European School of Business (ESB - Reutlingen, Germany). 

    En qualité de Directeur Général, elle aura la responsabilité de la stratégie de développement de La Française AM GmbH en Allemagne. "Grâce à l’appui de l’équipe locale, dédiée à la création et à la commercialisation de solutions d’investissements, et à notre présence établie, je suis confiante en notre capacité à croître sur notre marché domestique mais également à l’étranger. Ensemble, nous atteindrons les ambitions de croissance que nous avons fixées avec le Groupe", déclare Aurélie Fouilleron Masson.

    Grâce à son engagement personnel et à son expertise pointue, Dirk Rogowski a repositionné Veritas Investment et ses produits dans un contexte complexe ces cinq dernières années. Avec l’ensemble de ses équipes, il a fait de Veritas Investment une société aux qualités reconnues en matière d’investissement quantitatif et a contribué à la vente de la société à La Française. En tant que Directeur Général de Veritas Institutional, Dirk Rogowski continuera à soutenir le développement du groupe La Française en Allemagne et fera la promotion de Risk@Work à l’international. 

    "Nous tenons à féliciter Aurélie et à remercier Dirk pour son travail. Son engagement a fait de l'entreprise ce qu'elle est aujourd'hui : une boutique respectée et établie dans les pays germanophones. Dans le même temps, nous nous réjouissons de poursuivre notre bonne et étroite collaboration avec lui en tant que Directeur Général de Veritas Institutional ", a déclaré Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française. 
     

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    news-1532 Tue, 19 Mar 2019 16:11:49 +0100 Evolution des modalités de souscription de la SCPI Pierre Privilège /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-modalites-de-souscription-de-la-scpi-pierre-privilege/ A compter du 1er avril 2019, le prix de souscription de la SCPI Pierre Privilège évolue. Le prix de souscription de la SCPI Pierre Privilège sera augmenté de 1,2 % passant ainsi de 830 € à 840 €.

    Il sera composé de la manière suivante :
     - Valeur nominale : 500 €
    - Prime d'émission : 340 €
     - Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 840 €.
    dont 75,6 € HT, soit 90,7 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (9 % HT, soit 10,8 % TTC au taux de TVA en vigueur)
     - Valeur de retrait : 764,4 €

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    Pierre Privilège : la note d’information a reçu le visa SCPI n°17-37 en date du 01.09.2017. La notice a été publiée au BALO n°101 du 22.08.2014, n°84 du 13.07.2016, n°106 du 2.09.2016 et n°116 du 27.09.2017 La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).
     

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    news-1528 Mon, 18 Mar 2019 13:38:23 +0100 La Française et Finaveo Partenaires annoncent entrer en discussions exclusives en vue de la cession de CD Partenaires. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-et-finaveo-partenaires-annoncent-entrer-en-discussions-exclusives-en-vue-de-la-cession/ Le Groupe La Française et Finaveo Partenaires, qui réunit conjointement Apicil Prévoyance, OFI Advisers et Groupe Crystal, entrent en discussions exclusives en vue de la cession à cette dernière de CD Partenaires, plateforme patrimoniale en architecture ouverte proposant une large gamme de produits et de services financiers, pour un total d’encours d’environ 2,8 milliards d’euros. CD Partenaires était historiquement issue du rapprochement de Cholet Dupont Partenaires et d’UFG Courtage. Cette opération demeure soumise à la réalisation de certaines conditions et au respect de procédures d’information et de consultation des salariés.

    Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française, se félicite :
    « Avec Finaveo Partenaires, dont nous connaissons très bien la direction et les actionnaires, nous avons trouvé le partenaire qui va permettre l’accélération des développements de la plateforme CD Partenaires, nous resterons proches de ce nouvel ensemble et continuerons à y apporter notre soutien.»

    Bruno Narchal, Président du Groupe Crystal, déclare :
    « Après l’acquisition de Finaveo & Associés, cette opération confortera davantage encore la position d’acteur de référence de Finaveo Partenaires sur le marché des services aux professionnels du conseil en investissement, avec un volume d’environ 5 milliards d’euros administrés ».

    EY Corporate Finance est intervenu comme conseil du Groupe La Française dans le cadre de la transaction.

     

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    news-1524 Mon, 18 Mar 2019 10:55:00 +0100 La Française annonce la finalisation de l'acquisition du Groupe Veritas /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-annonce-la-finalisation-de-lacquisition-du-groupe-veritas/ La Française, société de gestion multi-spécialiste possédant plus de 65 milliards d’euros d’actifs sous gestion, a le plaisir d'annoncer que l'Autorité fédérale allemande de supervision financière (BaFin) a approuvé l'acquisition du groupe Veritas. La Française dispose désormais en Europe, en plus de celles de Paris, d'équipes d'investissement à Francfort et à Hambourg qui proposent des services de gestion d'actifs en valeurs mobilières et en immobilier. Veritas Investment GmbH devient partie intégrante du groupe La Française et est renommée La Française Asset Management GmbH. Veritas Institutional est, quant-à-elle, affiliée au Groupe et sa marque est conservée.

    "Avec cette acquisition, nous avons atteint un tournant. Aujourd’hui nous avons en effet deux marchés domestiques : la France et l’Allemagne puisque ce dernier représente désormais presque 8 milliards d'euros (au 31/12/18), soit 12 % de l'encours total sous gestion du groupe", déclare Patrick Rivière, Directeur Général de La Française. En Allemagne, La Française compte actuellement 48 professionnels (gestion de portefeuille, investissement immobilier, back-office, administration, service clients, communication, marketing et vente) répartis sur trois centres d'investissement visant trois segments de marché :

    • La Française AM (ex-Veritas Investment), basée à Francfort : gestion actions quantitative, investissements en immobilier coté et infrastructures pour le compte des investisseurs particuliers ;
    • Veritas Institutional, basée à Hambourg : solutions multi-asset quantitatives, intégrant le modèle Risk@Work, pour les investisseurs institutionnels ;
    • La Française Real Estate Partners International, basée à Francfort : une offre complète des services de gestion d'investissements immobiliers.

    La gamme de produits du groupe s'est enrichie de 11 nouveaux fonds de valeurs mobilières, et vient ainsi étoffer l'offre existante de La Française couvrant à la fois les valeurs mobilières et les investissements immobiliers.

    "La Française dispose désormais de trois centres d'investissement en Allemagne. Les nouvelles expertises, apportées par les équipes de gestion basées à Hambourg et à Francfort, complètent ainsi la gamme existante de La Française avec des solutions quantitatives qui seront mises à disposition des investisseurs du monde entier", souligne Patrick Rivière.

    La méthode Risk@Work, mise au point par l'équipe d'investissements de Hambourg, jouera un rôle particulièrement important auprès de la clientèle institutionnelle. Cet outil innovant de gestion des risques permet aux clients institutionnels de contrôler et de gérer plus efficacement les risques en période de baisse des marchés. « Nous constatons une demande croissante de la part de clients internationaux pour une gestion efficace et fiable du risque de portefeuille. La méthode Risk@Work nous permet désormais de proposer des solutions innovantes qui servent à réduire les exigences de fonds propres pour les investisseurs institutionnels partout en Europe », conclut Patrick Rivière, Directeur Général de La Française.

    Par ailleurs, La Française, 21ème gestionnaire d'actifs immobiliers en Europe (Source : Institutional Real Estate, Inc, Global Investment Managers 2018, août 2018), offre une large gamme de solutions d'investissement immobilier aux investisseurs du monde entier. Disposant d'une équipe de 12 personnes basée à Francfort, La Française opère sur le marché immobilier allemand depuis 2015.

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    news-1523 Fri, 15 Mar 2019 17:00:00 +0100 Prendre de meilleures décisions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/prendre-de-meilleures-decisions/ Il est essentiel de prendre les décisions les plus justes pour obtenir des rendements optimaux en matière d'investissement. La psychologie comportementale révèle de nombreuses informations capitales sur le raisonnement d'un investisseur. Si les experts en économie partent du principe que l’Homme agit de manière rationnelle, c’est pourtant l’inverse qui se produit lorsque nous comptons trop sur notre propre expérience. Il existe toutefois une méthode décisive capable de nous aider à prendre de meilleures décisions.

    1 Le multiple cours/bénéfice permet d’évaluer une entreprise en mesurant son cours actuel par rapport à son bénéfice par action.

     

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    news-1522 Thu, 14 Mar 2019 16:13:34 +0100 La Française Multistratégies Obligataires récompensée pour la meilleure performance sur 4, 5 et 7 ans dans la catégorie "Rates Long Short" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-multistrategies-obligataires-recompensee-pour-la-meilleure-performance-sur-4-5-et-7-ans/ Pour la seconde année consécutive... The Hedge Fund Journal, un magazine financier international, a reconnu La Française Multistratégies Obligataires comme le fonds le plus performant sur 4, 5 et 7 ans dans la catégorie "Rates Long Short".

    Félicitations à toute l'équipe de gestion !

    Les récompenses et classements passés ne préjugent pas des récompenses et classements futurs. La Française Multistratégies Obligataires a été agréée par l'AMF le 15/12/2000 et est gérée par La Française AM, société de gestion agréée par l'AMF le 01/07/1997 sous le n° GP 97-76.

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    news-1519 Tue, 19 Mar 2019 11:15:00 +0100 Deux fonds actions La Française obtiennent le Label ISR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/deux-fonds-actions-la-francaise-obtiennent-le-label-isr/ La Française, société de gestion engagée en matière d’investissement responsable, propose désormais deux fonds actions bénéficiant du Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France le 13/02/2019, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Ce label distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ».

    Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :

    • les objectifs généraux du fonds,
    • la méthodologie d’analyse et de notation des critères ESG (Environnemental, Sociétal, Gouvernance),
    • l’interprétation de ces derniers dans la stratégie d’investissement du fonds,
    • la politique d’engagement ESG,
    • la transparence de gestion,
    • et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.

    Aussi, deux fonds actions, gérés par La Française AM et intégrant les capacités de recherche ESG de son centre dédié « Inflection Point by La Française », figurent parmi la liste officielle du ministère des finances des 194 fonds labélisés ISR (données disponibles au 07/03/2019, www.lelabelisr.fr):

    • LA FRANÇAISE INFLECTION POINT ACTIONS EURO
    • LA FRANÇAISE LUX – INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL

    Avec l’obtention de ces labels, La Française démontre sa capacité à toujours aller plus loin dans son expertise en matière de gestion d’actifs durables. Le groupe propose aux investisseurs particuliers et institutionnels des solutions d’investissement en immobilier comme en valeurs mobilières, qui reflètent son engagement au développement d’une économie durable. « Au-delà de nos engagements corporate, La Française a fait le choix de promouvoir le développement durable via ses expertises de gestion. Nous y avons consacré des moyens significatifs : acquisition d’un centre de recherche ESG, « Inflection Point by La Française », transformation de notre gamme de fonds actions et développement de solutions à impact, renforcements des équipes avec des experts en ESG… afin d’offrir des solutions d’investissement en adéquation avec les aspirations des épargnants souhaitant à leur tour participer à une économie plus durable », explique Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equities et Directeur Général, La Française AM.

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    news-1515 Tue, 12 Mar 2019 12:32:43 +0100 Transition et performance, le cas automobile /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/transition-et-performance-le-cas-automobile/ Février 2019 est à nouveau un mois positif pour les actions mondiales. La progression des principaux indices depuis le début de cette année est ainsi de l’ordre de 11 à 12 %. La hausse est homogène, elle efface quasiment la correction de la fin 2018. Une hausse constatée alors que les investisseurs s’étaient activement sous-exposés aux actions dans la phase de baisse de fin 2018 et le restent aujourd’hui. Il est vrai que nous nous sommes éloignés du point paroxystique de décembre 2018 concernant les risques politiques qui menaçaient l’activité économique et les échanges mondiaux. La possibilité de gagner du temps (Brexit et négociations sino-américaines), associée à des banques centrales plus permissives, sont des soutiens aux marchés. La question qui se pose alors est celle du risque de voir les investisseurs sous-exposés poussés à revenir sur le marché en raison de sa performance positive.

    Nous pensons ce risque faible : la détente observée quant aux questions géopolitiques est prise en compte par le marché ; la saison des résultats de l’année 2018 confirme la détérioration des anticipations de croissance et n’est pas encore intégrée par le consensus ; enfin, les conditions macroéconomiques ne devraient pas s’améliorer avant le début du 3e trimestre.

    Après un plus haut historique atteint début 2018 suivi d’une baisse de 25 %, il est intéressant de se pencher sur le cas du secteur automobile comme une illustration du comportement du marché en général.

    Un alignement des planètes a tiré le secteur jusque début 2018. Depuis un point bas (début 2009), l’automobile a profité d’une croissance de près de 12 % par an, soutenue par l’amélioration des marges via : des conditions de crédit favorables, une déflation des coûts, un sous-investissement et un effet change positif en faveur des européens. L’amélioration des conditions de crédit grâce aux politiques monétaires accommodantes des banques centrales a permis la hausse du ‘pricing power’ de l’industrie automobile, avec un effet positif de 2 % à 3 %. Cet effet, couplé à la faiblesse de l’inflation, a permis au secteur automobile de porter l’amélioration de ses marges à des niveaux historiques.

    2018 fut l’année du retournement avec une des plus fortes baisses depuis la crise financière accusant un retracement de -20 %. La performance des constructeurs automobiles européens a été pénalisée à la fois par la menace de la guerre commerciale (risque d’une hausse des tarifs douaniers de 2,5 % à 25 % pour les importations européennes vers les US) avec un impact sur les résultats des constructeurs allemands estimé entre € 1,7bn et € 2,5bn, et par la mise en place de nouveaux tests d’émission dits WLTP. Cette modification de la réglementation a pour objectif une cible d’émission de CO2 de 95 g/km en 2021 puis 75 g/km en 2025/30 et impliquera, en cas de non-respect, un risque d’amende de 95 € par gramme de CO2 supplémentaire. Le ralentissement chinois, la réduction des marges et des cashflows (qui dans certains cas ne couvrent plus les dividendes), mais aussi et surtout, la gestion d’un enjeu structurel comme la transition vers les véhicules électriques, pèsent sur l’industrie automobile.

    Depuis le point bas atteint début 2019, l’automobile européenne a pleinement accompagné le rebond du marché, surperformant l’indice global de près de 3 %. Les valorisations attractives et les résultats 2018 en moyenne au-dessus des consensus ont soutenu la hausse, mais les publications ont été assorties de discours nuancés. Les entreprises du secteur anticipent un environnement incertain et volatil en 2019. Dans cet environnement, les constructeurs premiums, bénéficiant d’un fort « pricing power », sont mieux positionnés que les acteurs dits « mass market » dont les marges de financement ont déjà commencé à diminuer, suggérant un affaiblissement de leur capacité d’action sur les prix. Les enjeux structurels, les partenariats annoncés pour l’électrique ainsi que les possibles consolidations dans le secteur imposent une sélectivité accrue.

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    news-1512 Mon, 11 Mar 2019 15:27:00 +0100 Première AT1 non rappelée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/premiere-at1-non-rappelee/ Santander a finalement décidé de ne pas rappeler son AT1 émise en Euro en 2014 à la première date de call… une première ! La banque espagnole a probablement manqué d’anticipation : elle n’a pas refinancé par anticipation ses tombées de dettes AT1 de 2019, contrairement à la plupart des autres banques. Ce manque d’anticipation n’a probablement pas permis à la banque d’obtenir l’accord des régulateurs avant le rachat, accord obligatoire avant chaque exercice de call afin de s’assurer de la suffisante capitalisation de l’émetteur et que le coût du refinancement soit au moins égal au coût de la dette actuelle.

    Cependant, ce non-rappel était largement anticipé par le marché par l’écartement des spreads de 2018 (qui rendait moins attractif ce rappel) et suite aux déclarations préalables du directeur financier. L’impact a donc été négligeable à la fois sur l’obligation de Santander non rappelée (-1 % suite à l’annonce puis +0,5 % sur les jours suivants) et sur le marché des AT1 qui a progressé de 0,2 %

    Quelles suites à l’annonce de ce premier non-rappel ? 

    L’obligation Santander émise en 2014 en question est callable tous les 3 mois, la prochaine date de call étant fixée au 13/03/2019. Bien que la banque ne soit pas autorisée à communiquer sur son intention de rappeler d’un point de vue réglementaire, nous anticipons un rappel à cette occasion, l’obligation nous paraissant décotée en rapportant 12,10 % (rendement au call annualisé) et 6,7 % à perpétuité (rendement à maturité) et Santander ayant décidé d’émettre précipitamment une nouvelle obligation début février.

    Ce non-rappel n’est pas à généraliser aux dettes subordonnées financières AT1 des autres banques et nous recommandons une gestion au cas par cas, en particulier sur la thématique des calls courts, bien que nous considérions ce risque comme modéré. Il conviendra d’être particulièrement attentif aux banques britanniques dont les obligations arriveront à maturité au 2e semestre 2019, en pleine incertitude sur le Brexit… à moins qu’un accord ne soit trouvé auparavant.

    En définitive, cet évènement n’aura pas eu de conséquence significative dans un marché des dettes subordonnées financières qui continue de progresser fortement depuis le début d’année, aidé par les fondamentaux solides des banques, par le biais accommodant des banques centrales et par la réduction de certains risques politiques.
     

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    news-1510 Fri, 08 Mar 2019 13:52:42 +0100 Des risques politiques en baisse... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/des-risques-politiques-en-baisse/ Mois de février relativement calme, permettant une poursuite du rebond observé en janvier avec des marchés actions en hausse, des taux gouvernementaux légèrement plus élevés et des marchés de crédit montrant un rebond marqué. Aux Etats-Unis, le chiffre de croissance du T4 a surpris positivement à +2,6 % en glissement trimestriel et ce malgré la plus forte baisse depuis une décennie du chiffre des ventes au détail à -1,2 % en décembre. Les indicateurs pointent pour le moment vers un léger rebond au T1 grâce à une production industrielle robuste et une hausse de l’indice PMI Service.

    Les chiffres de la zone euro montrent eux aussi un léger rebond, avec des indices PMI service et composite à 52,8 et 51,9. Début d’inversion de la tendance baissière en place depuis un an ? C’est encore trop tôt pour tirer des conclusions, mais il semblerait que le point bas de la conjoncture européenne soit maintenant derrière nous, en partie grâce aux différentes relances budgétaires mises en place dans différents pays européens.

    Les chiffres chinois n’ont de leur côté pas rebondi mais ne se sont pas non plus détériorés. Les différents plans de relance annoncés par le gouvernement chinois commencent à porter leurs fruits (nouveaux prêts en hausse) mais les effets totaux devraient mettre un peu de temps à se concrétiser. Rassurés par une conjoncture macroéconomique en léger rebond, les marchés ont aussi salué les avancées positives concernant certaines des problématiques politiques actuelles. M. Trump a en effet annoncé qu’il décalait la mise en place de la hausse des droits de douane, sans pour autant donner plus d’information sur ce report. Des efforts significatifs « auraient » été faits sur la question des transferts de technologie et de la protection de la propriété intellectuelle. Info ou intox ? Le marché a choisi d’y croire et anticipe maintenant que les négociations aboutiront de manière positive avec comme conséquence une levée des différentes taxes mises en place. Le panorama anglais s’est lui aussi légèrement éclairci avec l’annonce d’un vote le 12 mars sur l’accord négocié par T. May, vote qui serait suivi en cas de non accord par un second vote le 13 mars sur un « No deal ». Celui-ci serait à son tour suivi d’un 3ème vote en cas de non accord afin de prolonger la période de négociations. Comme il y a très peu de chances que l’accord actuel ou que le « No Deal » soient votés, une extension de la période de négociations parait l’option la plus probable. Cette extension devrait toutefois être d’assez courte durée.

    Enfin, et même si cela a aujourd’hui moins d’impact sur les marchés financiers, la situation politique italienne semble tourner en faveur de la Ligue après les résultats des élections en Sardaigne qui voient le mouvement 5 étoiles perdre beaucoup de terrain. Cette victoire de la droite suit de deux semaines une victoire semblable dans les Abruzzes. Il semble que la Ligue soit aujourd’hui très bien positionnée pour former un gouvernement, si l’actuel ne survivait pas aux prochains mois.
    Cela serait selon toute vraisemblance une nouvelle positive pour les actifs italiens.

    Dans ce contexte, nous maintenons notre préférence pour les actifs émergents, même si nous prenons des profits sur les actifs chinois qui ont très fortement progressé depuis le début de l’année. Nous restons aussi positifs sur l’Espagne, le Portugal, ainsi que sur les subordonnées financières. Les anticipations d’inflation européennes nous semblent aussi toujours trop faibles au regard des mouvements récents du pétrole.

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    news-1492 Fri, 22 Feb 2019 10:49:00 +0100 La gestion obligataire par La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-gestion-obligataire-par-la-francaise/ Jean-Luc Hivert, directeur général de La Française AM, présente la Gestion Obligataire, qui représente 23 milliards d’euros sous gestion. Quelles sont les stratégies couvertes par les équipes de gestion et en quoi La Française est un acteur légitime sur ce marché ?

    Découvrez les réponses dans cette vidéo de moins de 2 minutes.

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    news-1490 Fri, 01 Mar 2019 10:35:58 +0100 La notion d’avantage concurrentiel durable ou "moat" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-notion-d-avantage-concurrentiel-durable-ou-moat/ Un avantage concurrentiel durable (« moat ») confère aux entreprises une longueur d’avance durable par rapport à leurs concurrents, ce qui constitue un moteur avéré de surperformance. L'avantage concurrentiel durable, moteur de surperformance

    • Au cours des dernières périodes, l'indice Morningstar Wide Moat a surperformé l'indice S&P 500 et l'indice correspondant pour les entreprises « ordinaires », c’est-à-dire sans avantage concurrentiel durable.
    • Selon Morningstar, cinq facteurs sont à prendre en compte pour caractériser ce type d’avantage : les coûts de substitution (freins qui empêchent les clients de passer d'un produit à un autre), l'effet de réseau (la valeur du produit augmente avec le nombre de ses utilisateurs), les actifs incorporels (identité de marque, licences et brevets gouvernementaux), l’avantage en termes de coûts (produire des biens à un coût moindre par rapport à la concurrence) et l’efficience opérationnelle (baisse du coût unitaire moyen lorsque le volume de production augmente).
    • Une longueur d’avance importante est toujours synonyme de rendements supérieurs. Mettez toutes les chances de votre côté en choisissant un gérant de fonds dont la stratégie d’investissement est axée sur la sélection d’entreprises possédant un avantage concurrentiel durable.

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    news-1482 Tue, 26 Feb 2019 14:39:46 +0100 La révolution industrielle : Ce n'est pas en améliorant la bougie qu'on a inventé l'électricité ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-revolution-industrielle-ce-nest-pas-en-ameliorant-la-bougie-quon-a-invente-lelectricite/ Les mouvements sociaux en France auront, espérons-le, le grand mérite de faire prendre conscience à une large majorité de la population des problématiques structurelles de la France. Une grande partie des revendications actuelles portent sur le pouvoir d’achat, les travailleurs pauvres, alors que le chômage de masse de longue durée semble accepté comme un état de fait et un mal que partagerait l’Occident victime de la mondialisation et de la robotisation.

    La réalité est que le chômage n’est pas uniquement une problématique occidentale, il est fondamentalement lié à une inadéquation des "ressources locales" à être exploitées par les compétences et les investissements réalisés.

    La version contemporaine des luddites interroge les inégalités sociales et fiscales alors même que le gouvernement, en cherchant à repositionner la France dans le jeu de la compétitivité mondiale, sans être totalement orthogonal à la question du pouvoir d’achat, s’en est fortement éloigné. Une forme particulière de réplique de 1995 lorsque Jacques Chirac avait été élu sur la base de l’ascenseur social… pour mener une politique de réformes inverse quelques mois plus tard, dont Alain Juppé fit les frais, laissant les réformes inachevées. Le paradoxe ici est qu’Emmanuel Macron avait annoncé les réformes qu’il mène, mais le ressenti d’une partie de la population est qu’on ne peut pas parler d’ascenseur social (revalorisation de la notion de travail) à une population qui se voit plutôt dans l’escalier et non pas dans un ascenseur, pas même dans un ascenseur à l’arrêt. A la fracture sociale des années 1990 s’est ajoutée depuis la fracture numérique.

    Les statistiques fusent et les débats s’embrasent : le coût du travail est trop élevé en France, le déficit public ininterrompu depuis 1975 conduit à un endettement qui dépasse 100 % du PIB et pèsera sur les générations futures, les écarts entre les rémunérations augmentent (net d’impôt ?), les écarts de patrimoine augmentent sous la flambée des prix de l’immobilier… et en même temps, le coût moyen d’un collégien est de 8 710 € et pris en charge à 100 % par l’Etat, celui d’un étudiant dans le supérieur est de 11 670 € et pris à 95 % en charge, le billet SNCF est payé à 55 % par l’Etat et 45 % par le voyageur, les médicaments à 74 % par la sécurité sociale, l’hospitalisation à 91% et la garde des enfants de moins de trois ans à 62 %... le "reste à vivre", nouvelle expression à la mode, net des ponctions fiscales (directes comme indirectes) est donc d’autant plus faible que la solidarité est importante.

    Sur ce dernier point, les inégalités de revenus, le coefficient de Gini(1), qui mesure les écarts de richesse à l’intérieur d’une population donnée, indique clairement que la France n’est ni plus ni moins égalitaire que les autres pays d’Europe. On ne peut donc pas démontrer que l’existence d’une classe plus riche se ferait au détriment de la plus pauvre. Plus le coefficient tend vers 100 plus la répartition de la richesse est en faveur d’une minorité de personnes. A titre d’illustration, la Suède a un coefficient de Gini de 29 tandis que le Brésil est à 51 (caractéristique des pays émergents).

    (1) Source Banque Mondiale 

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    news-1472 Tue, 19 Feb 2019 10:51:16 +0100 La Française Real Estate Partners conseille l’acquisition d’une résidence services seniors Domitys à Châlons-en-Champagne (51) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-conseille-l-acquisition-d-une-residence-services-seniors-domitys-a/ L’OPPCI LF Résidences Seniors, sur les conseils de La Française Real Estate Partners, acquiert sa douzième résidence services seniors auprès d’Aegide et Nacarat. Il s’agit d’une résidence services seniors en VEFA, située à Châlons-en-Champagne (51). Elle sera co-construite par les promoteurs Aegide et Nacarat et exploitée par Domitys dans le cadre d’un bail de 20 ans fermes. L’ensemble immobilier sera composé de 110 logements meublés allant du T1 au T3, développera une surface de 5 260 m² habitables et offrira plus de 900 m² d’espaces communs et de services (restaurant, piscine, salle de sport, espace beauté, etc.). Il disposera également de 59 places de stationnement dont 54 couvertes. La livraison de la résidence est prévue au cours du premier trimestre 2021.

    L’actif se situe au cœur du centre-ville de Châlons-en-Champagne, en bordure du Canal Saint-Martin, au sein d’une zone d’habitation pavillonnaire et collective, riche de nombreux commerces de proximité. 

    La résidence bénéficiera d’une bonne desserte en transports en commun grâce notamment à la proximité de la gare SCNF, la présence de nombreuses lignes de bus et la proximité de l’aéroport de Châlons-Vatry.

    L’OPPCI est géré par La Française Real Estate Managers. La Française Real Estate Partners, filiale de La Française Real Estate Managers, exerce une mission de conseil en investissement immobilier et assiste La Française Real Estate Managers dans l’exécution de certaines missions réalisées dans le cadre de la gestion des actifs détenus par l’OPPCI. 

    « Cette nouvelle acquisition en centre-ville de Châlons-en-Champagne renforce davantage notre partenariat avec le groupe Aegide, au travers de la signature d’un bail de 20 ans fermes. Cela démontre également la capacité d’exécution de la Française Real Estate Partners qui conseille ici sa douzième acquisition pour le fonds. », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
    « Nous sommes ravis de cette nouvelle acquisition de Résidence DOMITYS à Châlons-en- Champagne par l’OPPCI LF Résidences Seniors, sur les conseils de La Française Real Estate Partners, client très présent sur cette classe d’actifs qui a déjà fait confiance à notre Groupe à plusieurs reprises. C’est également le fruit d’une longue relation commerciale et de confiance avec Patrice Genre, grand professionnel bien connu qui a su très tôt s’intéresser à nos Résidences Services Seniors. L’année 2019 sera également l’occasion pour nous de continuer sur ce trend positif » conclut Arnaud FETY (Chartered Surveyor – FRICS), Directeur Grands Comptes et Institutionnels du Groupe Aegide.

    La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Allez et Associés, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Egis sur les aspects techniques. Le financement a été assuré par les banques Triodos et Crédit Foncier de France. 

    Les vendeurs Aegide et Nacarat étaient conseillés par le Pôle Résidentiel du Département Investissement de JLL et par l’étude 14 Pyramides Notaires sur les aspects notariaux.

    Risques associés à l’OPPCI LF Résidences Seniors : risques de perte en capital, risque de gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risques liés à l’effet de levier, risque de défaut de l’exploitant, risque de crédit, risque de taux, risques de contrepartie, risque locatif, risque lié à la détention de participations non contrôlées et capital non garanti.

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    news-1466 Fri, 15 Feb 2019 15:00:00 +0100 OIRPC signe un partenariat avec La Française et son actionnaire le CMNE pour développer une foncière « Grand Paris » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/oirpc-signe-un-partenariat-avec-la-francaise-et-son-actionnaire-le-cmne-pour-developper-une-fonciere/ La Française et l’Office d’Investissement du Régime de Pensions du Canada (OIRPC) concrétisent un partenariat stratégique en vue de développer la Société Foncière et Immobilière du Grand Paris. Cette joint-venture entre OIRPC (80%) et la Caisse Fédérale du Crédit Mutuel Nord Europe (20%), actionnaire du groupe La Française, ambitionne d’investir dans des projets majeurs situés dans le « Grand Paris ». Avec plus de 368 milliards de dollars canadiens d'actifs sous gestion dans le monde, OIRPC continue l’expansion de son programme d’investissement et a créé une joint-venture, avec le CMNE, actionnaire majoritaire de La Française, pour développer un partenariat dans les projets immobiliers les plus emblématiques du Grand Paris. Dans un premier temps, 387,5 millions d’euros seront investis dans la joint-venture.

    La Française, avec 19 milliards d’euros d’actifs immobiliers sous gestion et forte d’une expérience de plus de 40 ans en investissements, a saisi depuis plusieurs années l'opportunité à la fois immobilière et sociétale du projet du Grand Paris Express. La Française a pris des positions sur des emplacements stratégiques à proximité des hubs du Grand Paris pour en capter la valeur immobilière, avec pour objectif la régénération urbaine des sites clés de demain.

    Bénéficiant de l’expertise et de la notoriété de La Française, la Société Foncière et Immobilière du Grand Paris, pilotée par Guillaume Pasquier, Directeur du Développement Foncières, et Anne Génot, CIO Grand Paris et European Real Estate Business Development Director, a d’ores et déjà sécurisé deux projets phares à Saint-Denis (93) et Villejuif (94). 

    "Ce nouveau partenariat en France avec un gestionnaire et investisseur immobilier de premier plan tel que La Francaise, et sa société mère CMNE, nous permettra d’investir dans un projet de développement stratégique au sein de Paris", déclare Andrea Orlandi, Directeur Général, Head of Europe, Real Estate Investments, OIRPC. "Grâce à ce partenariat, nous ciblerons des projets de régénération urbaine liés aux nouvelles infrastructures; nous sommes convaincus que le Grand Paris Express transformera considérablement la région parisienne au cours de la prochaine décennie et au-delà. Nous nous réjouissons à l’idée de développer la joint-venture, portée par la dynamique du projet Grand Paris Express."

    La joint-venture cherchera à développer le partenariat par le biais de projets de développement supplémentaires s'inscrivant dans sa stratégie globale d'investissement au-delà de Saint-Denis-Pleyel et Villejuif-Gustave Roussy.

    « Ce partenariat avec un acteur institutionnel international de premier plan permet à La Française avec le soutien de son actionnaire CMNE d’accélérer son développement en immobilier et de participer, aux côtés d’acteurs publiques et privés, à la construction de Paris en tant que « Ville Monde », dans le contexte du projet structurant que constitue le Grand Paris Express », conclut Xavier Lépine, Président du Groupe La Française.

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    news-1463 Fri, 15 Feb 2019 10:00:00 +0100 La FDA assouplit sa politique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fda-assouplit-sa-politique/ L'innovation s’accélère dans le secteur de la santé à la faveur d’un environnement réglementaire américain plus souple vis-à-vis des nouvelles approches thérapeutiques. Pour les investisseurs actifs dans ce domaine, il est important de connaître les laboratoires qui participent à cette innovation.

     

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    news-1462 Thu, 14 Feb 2019 10:00:00 +0100 Une hausse dans un environnement hostile /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-hausse-dans-un-environnement-hostile/ Net rebond des actions après une fin d’année douloureuse ! Depuis le point bas du 24 décembre 2018, le marché américain (S&P500) enregistre une hausse de près de 17 %, les marchés européens (Stoxx600 ou Eurostoxx300), comme les marchés émergents, autour de +9 %. Le S&P500 n’est plus qu’à 7 % de son point haut de septembre dernier (2930,75). Et pourtant, cette progression s’est faite dans un environnement contradictoire, voire hostile, ce qui justifie l’idée que la correction du 4e trimestre 2018 était excessive. En effet, et outre le profit warning d’Apple (-9,7 % le 3/1), le contexte reste sévère :
    i) l’économie mondiale ralentit, non seulement en Europe, mais également aux Etats-Unis (même si la durée du "shutdown" de l’administration américaine a limité la production des statistiques), cette tendance est reflétée par les derniers indicateurs avancés disponibles ;
    ii) les attentes de progression des bénéfices des entreprises sont révisées à la baisse. Ces attentes ont été approximativement divisées par deux, passant de l’ordre de +10 % à +5 % pour 2019 pour l’ensemble des marchés développés ;
    iii) les risques politiques continuent de menacer l’activité économique et les échanges mondiaux, qu’il s’agisse de l’issue du Brexit, de l’état politique de l’union européenne à la veille des élections ou des négociations commerciales sino-américaines.

    Comme l’accélération de la baisse, le rebond des marchés - au moins technique - de ce début d’année s’est concrétisé par une attitude redevenue conciliante de la Réserve Fédérale américaine et le discours de son président Jay Powell le 4 janvier qui a souligné la faiblesse de l’inflation et la volonté de la Fed d’ajuster sa politique monétaire "avec rapidité et flexibilité". Il faut aussi noter que le poids des tensions politiques était largement reflété par la baisse des prix de marché et que les gouvernements chinois et américain sont entrés dans une phase de négociation plus "constructive".

    Lorsque l’on regarde plus en détail les variations de ce début d’année en Europe, on constate que : les matières premières et le pétrole se redressent après les excès de fin 2018 ; Les taux d’intérêt sont en baisse et permettent notamment la bonne tenue du secteur immobilier (+10,7 %) ; Les secteurs cycliques rebondissent, qu’il s’agisse des matières premières (+12,4 %), de l’automobile (+11,6 %) ou des valeurs industrielles (+7,7 %) ; La distribution (+11,3 %) rebondit après sa chute du mois de décembre (-8 %) et après des ventes de Noël rassurantes. En revanche, les valeurs défensives sous-performent et les télécoms sont même en baisse de -2,4 % après la forte surperformance des 3 mois précédents.

    L’ampleur du rebond de janvier, qui a pris nombre d’investisseurs par surprise, n’indique pas une tendance pour les mois à venir. Nous conservons la perspective d’un marché sans tendance et volatil pour l’ensemble de l’année. La saison de publication des résultats annuels 2018 est entamée et si l’on constate des performances logiquement contrastées, les réactions sont moins épidermiques qu’en fin d’année, ce qui montre que les marchés étaient, alors, dans un excès de pessimisme, voire de panique.

    Dans ces marchés volatils et dans un contexte de ralentissement économique, nous continuons de privilégier les poches de croissance autour de la technologie, l’économie digitale, la consommation, comme les tendances longues liées à la mutation des économies vers l’électrification, la diminution de l’intensité énergétique et des émissions de carbone. En parallèle, nous limitons l’exposition des portefeuilles après cette phase de hausse, les marchés Actions pouvant manquer de carburant pour poursuivre cette forte dynamique haussière.

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    news-1461 Wed, 13 Feb 2019 10:00:00 +0100 La Fed fait une pause, la BCE patiente /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fed-fait-une-pause-la-bce-patiente/ En ce début d’année, la Fed a largement soutenu les actifs risqués qui ont, dans leur grande majorité, effacé les pertes de novembre et décembre. En effet, dans un discours début janvier puis lors du dernier FOMC, M. Powel s’est clairement montré flexible quant à l’assouplissement de la réduction de son bilan, actuellement sur un rythme de 50 milliards de dollars par mois. La Fed a infléchi son discours par rapport aux précédents comités en raison des incertitudes et malgré un moindre resserrement des conditions financières observable fin janvier. Dans son communiqué du 30 janvier, le comité monétaire a décrit l’activité américaine comme "solide" (et non plus "forte"). Il a par ailleurs souligné qu’il sera "patient dans la détermination de ses futurs ajustements monétaires". Une pause attendue à court terme sur l’indice d’inflation suivi par la Fed (Core PCE) milite pour un nouveau resserrement monétaire plus tard dans l’année.

    Les gouverneurs de la BCE ont opté pour une période d’attentisme jusqu’à l’estimation des nouvelles prévisions économiques en mars prochain afin de juger de la persistance des incertitudes économiques pesant sur l’activité de la Zone Euro désormais orientée à la baisse.

    Dans cet environnement qui démontre la complexité pour les Banques Centrales à sortir de leur politique monétaire ultra-accommodante, la recherche de rendement reste plus que jamais d’actualité pour les investisseurs. Les classes d’actifs émergents, le crédit à haut rendement, la dette financière subordonnée, les dettes périphériques de maturité longue notamment sont favorisés.

    Toutefois, de nombreux risques tempèrent cette ruée vers les rendements, au premier rang desquels le ralentissement macro-économique et le risque politique en zone Euro, ainsi que la publication le 17 février des recommandations de l’administration américaine sur un accord commercial de grande envergure couvrant les secteurs automobile et agricole et un traitement standardisé des investissements entrants… A suivre !

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    news-1460 Tue, 12 Feb 2019 10:24:31 +0100 Vers une correction des excès des marchés ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vers-une-correction-des-exces-des-marches/ Après l’un des pires mois de décembre pour les marchés financiers depuis plus de dix ans, voici maintenant l’un des meilleurs mois de janvier : +7,87 % pour le S&P500 après -9,18 % en décembre, +15,04 % pour le prix du baril de pétrole après -8,36 % en décembre, avec des comportements similaires pour la majorité des actifs risqués. Le changement de ton de la part de la réserve fédérale américaine a joué un rôle prépondérant dans ce retournement du sentiment de marché, comme cela avait d’ailleurs été le cas en septembre et en décembre. Avec un peu de recul, certains pourraient d’ailleurs penser que la Fed a éteint le feu qu’elle avait elle-même allumé en septembre quand elle disait vouloir aller "bien au-delà du taux neutre".

    Il n’empêche que la communication extrêmement accommodante de M. Powell et de l’ensemble des représentants de la Fed, en particulier en ce qui concerne la réduction du bilan de celle-ci, a largement contribué à rassurer les marchés. Ces derniers peuvent reprendre leur marche en avant tranquillement, la prochaine hausse de taux n’interviendra pas avant la fin du premier semestre, au plus tôt.

    Un autre paramètre à prendre en compte pour comprendre le comportement des marchés sur le mois de janvier est sans doute la "sur réaction" de ces derniers durant le quatrième trimestre de l’année dernière, en particulier en fin d’année, dans des marchés devenus peu liquides. Impact des stratégies systématiques qui amplifient les mouvements de marchés ? Capitulation des investisseurs institutionnels et particuliers après une hausse historiquement longue des actions américaines ? Quelles que soient la ou les raisons, les indicateurs que nous suivons montrent tous que les flux à destination des actifs non risqués (obligations Etat "core", monétaire) ont été historiquement très importants en fin d’année, ce qui explique en partie le rebond du mois de janvier.

    D’autres facteurs, plus fondamentaux, ont par ailleurs permis à ce rebond de se poursuivre.

    Les publications de résultats, maintenant bien engagées aux Etats-Unis, sont rassurantes avec des bénéfices se situant généralement à 70 % au-dessus des attentes des analystes, soit un chiffre proche des moyennes historiques. Ce chiffre est à relativiser étant donnée la forte baisse des attentes constatée auparavant, mais il est tout de même globalement rassurant, éloignant le spectre de l’effondrement des bénéfices, ce que certains redoutaient.

    De la même façon, les indicateurs d’activité publiés aux Etats-Unis dernièrement ont contribué à rassurer les investisseurs quant à la faible probabilité d’une récession aux Etats-Unis à court terme.

    Maintenant que les marchés semblent avoir corrigé leurs excès, quelle attitude adopter ? La situation nous semble toujours propice aux investissements dans les marchés émergents. Les primes de risque demeurent élevées, le positionnement des investisseurs assez faible et le risque de voir le dollar fortement s’apprécier semble assez faible compte tenu des dernières déclarations de la réserve fédérale. Nous conservons par ailleurs une vision positive sur le Portugal et l’Espagne, ainsi que sur les anticipations d’inflation américaine.

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    news-1458 Thu, 14 Feb 2019 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners renforce son organisation pour accompagner son développement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-renforce-son-organisation-pour-accompagner-son-developpement/ La Française Real Estate Partners renforce son organisation avec l’arrivée de Jean-Christophe Caron-Telders en tant que Senior Investment Manager au sein de l’équipe acquisition, en charge du sourcing et de l’underwriting d’actifs immobiliers pour le compte de clients institutionnels français et étrangers. Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, ajoute, « Jean-Christophe aura la responsabilité d’une nouvelle initiative en matière d’investissement autour du tourisme  et interviendra plus généralement sur l’acquisition d’actifs tertiaires pour le compte d’investisseurs institutionnels français et étrangers. Jean-Christophe arrive à un moment opportun, après une année de forte croissance avec plus de 1 milliard d’euros investis. Son expérience sur toute la chaine immobilière, avec notamment le fund-raising et la structuration de produits, nous permettra de répondre à la demande des investisseurs avec encore plus d’acuité ».

    Jean-Christophe a plus de 18 ans d’expérience professionnelle dans l’investissement immobilier paneuropéen. Il a débuté sa carrière chez SOFILO (filiale immobilière du groupe EDF) puis chez Aerium à Paris, avant de participer à l’ouverture du bureau d’Aerium Finance Ltd à Londres et de couvrir les investissements pan-européens pour le compte d’investisseurs institutionnels et de UHNWI.  Par la suite et toujours depuis Londres, il a été en charge, pendant 5 ans, des investissements et des bureaux français (Head of France) pour le compte d’un REIT australien. Il a été Head of Fund Management chez ACOFI (OPCCI et FCPI) pendant 6 ans et a rejoint La Française REM en mars 2017.

    Jean-Christophe est titulaire d’un Master Spécialisé de l’ESSEC (Finance, Immobilier et Management Urbain) et a étudié l’architecture à Paris et à Rome (DPLG). Il est membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors (MRICS) et il a également enseigné à l’Université de Cergy-Pontoise pendant 6 ans (Faculté de Droit) dans le Master 2 – Droit du financement et des investissements immobiliers.

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    news-1455 Thu, 07 Feb 2019 12:17:41 +0100 "When Brexit settles, we'll take a fresh look at UK" Patrick Rivière dans le Financial Times /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/when-brexit-settles-well-take-a-fresh-look-at-uk-patrick-riviere-dans-le-financial-times/ Patrick Rivière, Directeur Général de La Française interviewé dans le Financial Times du 28 janvier 2019 "Winemaking is a skill rarely associated with investment managers but along with asset allocation advice Patrick Rivière can serve vintages from vineyards across France.

    Mr Rivière is chief executive of La Française, wich owns 500 hectares of French vineyards and a wine production company..."

    Rédigé par Chris Flood

     

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    news-1453 Thu, 07 Feb 2019 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux à Paris (19e) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-paris-19e/ La Française Real Estate Managers (REM), pour le compte de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine, vient d’acquérir Le Campus Bellevue, un immeuble de bureaux situé dans le 19e arrondissement de Paris auprès d’investisseurs privés. La Française Real Estate Managers (REM), pour le compte de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine, vient d’acquérir Le Campus Bellevue, un immeuble de bureaux situé dans le 19e arrondissement de Paris auprès d’investisseurs privés.

    Cet ensemble immobilier de près 4 300 m² a fait l’objet d’une rénovation totale afin d’y accueillir en septembre 2018 un groupement d’écoles dans le cadre d’un bail de 12 ans fermes.

    La Française REM était conseillée par Maître GOURRET de l’étude 14 Pyramides et le vendeur par Maître LEROY de l’étude BPLM Notaires. L’opération a été réalisée par Knight Frank dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Jones Lang LaSalle ».

    La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. L’attention des investisseurs est attirée sur le fait que la SCPI peut recourir à l’endettement. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI.

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    news-1446 Thu, 31 Jan 2019 09:48:12 +0100 Et si le ralentissement était positif ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/et-si-le-ralentissement-etait-positif/ La fin du pic de croissance aux États-Unis signe-t-elle la reprise des gains sur les marchés actions ? Si la corrélation ne saute pas immédiatement aux yeux, le ralentissement de la croissance coïncide pourtant souvent avec des performances boursières positives. Historiquement, le S&P progresse généralement lors des phases de ralentissement de la croissance du PIB

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    news-1437 Tue, 22 Jan 2019 10:55:00 +0100 Les allocations vers les investissements quantitatifs devraient augmenter de 70% en 2019 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-allocations-vers-les-investissements-quantitatifs-devraient-augmenter-de-70-en-2019/ Paris, le 22 janvier 2019 – LFIS, gérant d’actifs basé à Paris comptant plus de 11 milliards d’euros d’encours, a publié aujourd’hui les résultats d’une nouvelle étude ( ) mettant en avant l’influence croissante et continue des stratégies quantitatives en Europe. Les données collectées par La Française Investment Solutions (« LFIS ») reflètent l’influence croissante de l’approche quantitative en gestion d’actifs : 

    •    Près de 3 allocataires sur 4 prévoient d’augmenter leur exposition aux stratégies quantitatives ;
    •    L’élimination des biais comportementaux a été jugée comme l’avantage le plus important de l’investissement quantitatif ; et
    •    Le manque de transparence est perçu comme le défi le plus important du machine learning dans l’industrie de la gestion d’actifs.
     

    Avec près des trois quarts des allocataires (70%) considérant les stratégies quantitatives comme un complément à leurs allocations actives existantes, les investisseurs favorisent de plus en plus les avantages des approches systématiques. Deux tiers des participants ont considéré l’élimination des biais comportementaux (38%) et l’accès à de nouvelles sources de performance (28%) comme les principaux bénéfices de ce style d’investissement.

    Arnaud Sarfati, co-fondateur de LFIS, commente, « Il est clair que l’investissement quantitatif est de mieux en mieux compris. La part des gestions quantitatives augmente dans les portefeuilles des investisseurs et nous pensons que cela continuera de croître en 2019 et à l’avenir. L’industrie de la gestion d’actifs est confrontée à la nécessité de traiter des données de plus en plus nombreuses dans un environnement de marché toujours aussi complexe, mais peut s’appuyer pour cela sur les nouvelles technologies. La convergence des styles discrétionnaires et systématiques permettra au secteur de la finance quantitative (qui inclue académiciens, gérants d’actifs et investisseurs) de travailler collectivement à la promotion du partage des savoirs et des connaissances sur les approches quantitatives ainsi qu’à faire avancer l’industrie. »
    Les données ont également confirmé la hausse continue des stratégies factorielles, qui sélectionnent les investissements sur la base de certaines caractéristiques définies, avec 60% des participants prévoyant d’augmenter leur allocation vers l’investissement factoriel contre seulement 1% prévoyant une réduction en 2019.

    Il existe cependant plusieurs défis associés au machine learning dans la gestion d’actifs, et notamment le manque de transparence. 39% des participants ont mentionné ce point comme le principal défi, suivi par le manque de raisonnement et d’imagination (32%).

    Selon Guillaume Garchery, directeur du pôle Recherche Quantitative & Développement, : « Avec des marchés devenant de plus en plus difficiles à anticiper, nous pensons que l’approche quantitative, qui permet de construire un processus de gestion reproductible, consistant et performant, servira au mieux les investisseurs. Au vue de l’augmentation des allocations vers les stratégies quantitatives et de la croissance du nombre de stratégies disponibles, il est important de rappeler que les gérants d’actifs doivent utiliser des modèles explicables, au-delà des aspects théoriques, et soient capables de présenter aux investisseurs un processus de construction de portefeuille compréhensible et viable. »

    L’évènement Quant Vision Summit, organisé par LFIS en partenariat avec Quantitative Management Initiative (QMI), a rassemblé plus de 150 professionnels de la gestion quantitative venant d’Europe et d’autres continents afin d’ériger des liens solides entre les mondes professionnels et académiques et de faciliter un dialogue essentiel sur le futur de l’investissement quantitatif. Les défis associés à cette approche, les nouveaux domaines innovants de la gestion d‘actifs ainsi que les les capacités présentes en Europe sur ces sujets ont été au cœur des débats

    FIN
    Pour plus d’informations veuillez contacter :

    Notes aux éditeurs 
    LFIS a conduit une étude propriétaire sur les participants du Quant Vision Summit en octobre 2018 à Paris. Les pourcentages sont basés sur 79 participants.

    A propos de La Française Investment Solutions
    Lancé en 2013, La Française Investment Solutions compte plus de 11 milliards d’actifs sous gestion au 31 décembre 2018 (1). La mise en place innovante de LFIS allie expertise en gestion et des capacités quantitatives spécialisées pour offrir des solutions performantes sur le long terme. Ce mélange unique de compétences offre un large choix d’investissements avec une valeur ajoutée comprenant rendement absolu, fonds de résultats d’investissements et des fonds d’investissement sur mesure qui sont adaptés aux besoins des investisseurs d’aujourd’hui. 
    LFIS fait partie du groupe La Française et son esprit entrepreneurial est soutenu par son actionnaire majoritaire le Crédit Mutuel Nord Europe. Au cours des 40 dernières années, avec plus de 605 employés et 71 milliards d’euros d’encours au 31 octobre 2018, le Groupe La Française a développé ses compétences en gestion d’actifs pour compte de tiers à travers quatre pôles principaux : les valeurs mobilières, l’immobilier, les Solutions d’Investissements et le Financement Direct de l’Économie (au 30 septembre 2018).
    1.    Source: Données LFIS non auditées au 31 décembre 2018, excluant certains actifs sous gestion recueillis durant l’année en cours et prévus à maturité au cours de l’année 2018. 
    2.    Source: Données de La Française Group non auditées.

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    news-1435 Thu, 24 Jan 2019 10:16:45 +0100 Avec plus de 3 milliards d’euros collectés, La Française GREIM dépasse ses objectifs de collecte en 2018 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avec-plus-de-3-milliards-d-euros-collectes-la-francaise-greim-depasse-ses-objectifs-de-collecte-en-2/ La Française GREIM collecte plus de 3 milliards d’euros en 2018, soit près de 40% de plus qu’en 2017, portant ainsi le total de ses encours immobiliers à plus de 19 milliards d’euros. La Française GREIM, portée par :
    - son développement sur le marché européen,
    - son implication sur le Grand Paris
    - son engagement en matière d’innovation,
    collecte plus de 3 milliards d’euros en 2018, soit près de 40% de plus qu’en 2017, portant ainsi le total de ses encours immobiliers à plus de 19 milliards d’euros.

    1/ Collecte 2018

    Clientèle Institutionnelle
    Dans le contexte actuel, l’immobilier, décorrélé des marchés financiers, représente toujours une véritable solution de diversification aux investisseurs à la recherche d’un potentiel de rendement. Avec les incertitudes liées au Brexit et devant la dynamique créée autour du développement du Grand Paris, les investisseurs institutionnels français et étrangers ont témoigné un fort intérêt pour l’immobilier et notamment l’immobilier français. 

    La Française, disposant de trois centres de gestion pouvant sourcer des actifs à travers l’Europe et d’une équipe de développement et de levée de fonds couvrant les marchés de l’Europe, l’Asie et du Canada, s’est montrée particulièrement active sur ce segment et a ainsi collecté près de 2 milliards d’euros auprès de grands institutionnels dans le cadre de mandats et de gestion de fonds immobiliers, dont près de 40% auprès d’investisseurs étrangers (hors France).

    Parmi les acquisitions les plus emblématiques réalisées dans le cadre d’un mandat pour investisseurs coréens, La Française a acquis « Le Balthazar », un immeuble de bureaux de huit étages situé Place des Droits de l’Homme à Saint Denis (93), à proximité du Stade de France. 

    Clientèle de particuliers
    La Française, forte d’une expérience de plus de 40 ans dans la création et la gestion de fonds collectifs en immobilier (SCPI), s’impose toujours comme une référence auprès de la clientèle de particuliers. Sa gamme de SCPI – gérées ou commercialisées – et plus particulièrement thématique, investissant dans l’immobilier européen, la santé ou encore sur le Grand Paris a collecté 700 millions d’euros auprès des investisseurs particuliers français. Les unités de compte immobilières dans le cadre de l’assurance-vie n’ont pas été laissées pour compte. A fin 2018, La Française gère près de 500 millions d’euros d’actifs supplémentaires sur ces véhicules.

    2/ Transactions

    La Française, grâce à sa plateforme européenne d’investissement, enregistre 2,5 milliards d’euros en transactions, dont 2,1 milliards d’euros d’acquisitions et 410 millions d’euros en arbitrages. En 2018, le Groupe a par ailleurs poursuivi sa stratégie de régénération du patrimoine permettant ainsi de soutenir les performances de sa gamme de SCPI. 

    Les acquisitions conclues en 2018 sont réparties pour 88 % sur des actifs de bureaux, 5 % sur des locaux commerciaux et 7 % sur d’autres actifs, dont les résidences gérées (seniors et tourisme), les locaux d’activités ou encore l’habitation. Parmi les acquisitions les plus emblématiques : 
    •    un actif de bureaux « L’Open » de 9 158 m2 à Issy-les-Moulineaux (92), 
    •    des surfaces de bureaux (5 645 m2) sis 100-104 Boulevard de Montparnasse à Paris (14e), 
    •    un commerce de 5 469 m2 à Nice (06), 
    •    une résidence étudiante de 4 137 m2 à Gif-Sur-Yvette (92), 
    •    une résidence de tourisme (32 appartements pour une surface de 1 975 m2) à Deauville (14), 
    •    ou encore des acquisitions à l’étranger : à Amsterdam et en Allemagne (Essen, Bamberg, Francfort). 

    « La Française est une société de gestion d’actifs … mais pas que ! Notre métier consiste à devancer les besoins des investisseurs et des locataires pour réaliser des investissements pérennes et créer ainsi des solutions d’épargne à nos clients offrant un potentiel de rendement. La Française met tout en œuvre pour atteindre cet objectif. Sa plateforme immobilière européenne en témoigne ainsi que son engagement en matière d’innovation. Sa nouvelle solution d’épargne immobilière en compte titres en est l’exemple le plus récent. Et prochainement, pour les investisseurs à la quête de diversification, un fonds collectif investi sur la thématique du viticole verra le jour », conclut Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.
     

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    news-1428 Tue, 22 Jan 2019 15:00:01 +0100 Retrouvez le dernier numéro de Stratégies et Durabilité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retrouvez-le-dernier-numero-de-strategie-et-durabilite/ Stratégies & Durabilité vous permet de découvrir les dernières actualités du monde du développement durable mais aussi les nouveautés ISR du Groupe La Française. Pour son dernier numéro qui vient de paraitre, Stratégies & Durabilité zoome sur l'ONU qui nous interpelle sur l'urgence de l'action climatique et la nécessité d'un nouveau modèle de croissance...

    Découvrez le !

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    news-1426 Mon, 21 Jan 2019 17:53:13 +0100 Evolution des modalités de souscription de la SCPI Epargne Foncière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-modalites-de-souscription-de-la-scpi-epargne-fonciere0/ A compter du 21 janvier 2019, le prix de souscription de la SCPI Epargne Foncière évolue. Le prix de souscription de la SCPI Épargne Foncière sera augmenté de 1,25 % passant ainsi de 800 € à 810 €.

    Il sera composé de la manière suivante :

    - Valeur nominale : 153 €
    - Prime d'émission : 657 €
    - Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 810 € dont 60,75 € HT, soit  72,90 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,50 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur)

    - Valeur de retrait : 749,25 €

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
    Épargne Foncière VISA AMF : la note d’information a reçu le visa SCPI n°17-33 en date du 01.09.2017. La notice a été publiée au BALO n°12 du 26.01.2018 et n°6 du 14.01.2019. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
     

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    news-1425 Mon, 21 Jan 2019 17:49:02 +0100 Evolution des modalités de souscription de la SCPI LF Europimmo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-modalites-de-souscription-de-la-scpi-lf-europimmo-1/ A compter du 21 janvier 2019, le prix de souscription de la SCPI LF Europimmo évolue. Le prix de souscription de la SCPI LF Europimmo sera augmenté de 1,48 % passant ainsi de 1 015 € à 1 030 €.
    Il sera composé de la manière suivante :
    - Valeur nominale : 800 €
    - Prime d'émission : 230 €
    - Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 1030 €
    dont 82,40 € HT, soit 98,88 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8% HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur)

    - Valeur de retrait : 947,60 €

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    LF Europimmo VISA AMF : la note d’information a reçu le visa SCPI N°14-26 en date du 29.08.2014. La notice a été publiée au BALO n°144 du 01.12.2017 et n°6 du 14.01.2019. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)

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    news-1421 Fri, 18 Jan 2019 17:10:09 +0100 La Française récompensée à la 26e édition du Palmarès des Fournisseurs de Gestion de Fortune. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-recompensee-a-la-26e-edition-du-palmares-des-fournisseurs-de-gestion-de-fortune/ C’est au Grand Hôtel Intercontinental de Paris que s’est déroulée le 14 janvier 2019, la remise des prix décernée par les Professionnels de la Gestion de Patrimoine. La Française récompensée à la 26e édition du Palmarès des Fournisseurs de Gestion de Fortune.

    C’est au Grand Hôtel Intercontinental de Paris que s’est déroulée le 14 janvier 2019, la remise des prix décernée par les Professionnels de la Gestion de Patrimoine.
    Baromètre exhaustif de la profession, ce palmarès offre une vision à la fois quantitative sur le métier reprenant les entités le plus fréquemment citées par les Conseillers en Gestion de Patrimoine interrogés, et qualitative en appelant les professionnels à se prononcer sur de plusieurs critères.

    A cette occasion, La Française, représentée par Christophe Inizan, Directeur Commercial Développement France, a été récompensée dans deux catégories : 

    • Pierre-papier : Gestionnaires de SCPI de logement en 1ere position 
    • Pierre-papier :Gestionnaires de SCPI  d’entreprise en 2e position

    Avec 18 milliards d’encours sous gestion dans l’immobilier, La Française est le leader du marché des SCPI (en terme de capitalisation source IEIF au 31/12/2018). 

    Reconnue pour son expérience en immobilier d’entreprise et résidentiel, La Française a démontré sa capacité à innover sur les marchés comme l’illustre ses SCPI sur les thèmes du Grand Paris, de la santé ou encore l’Europe qu’elle propose à ses partenaires.
     

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    news-1419 Fri, 18 Jan 2019 15:12:17 +0100 L'innovation en Chine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linnovation-en-chine/ Le boom des appareils mobiles en Chine s’est révélé favorable à l’innovation. La Chine est aujourd'hui à l’initiative de nombreuses créations liées au domaine de l’internet, dont les équivalents manquent aux États-Unis. Pour cette raison, le pays pourrait offrir de nombreuses opportunités sur le long terme. Le nombre d'utilisateurs d'Internet en Chine est presque trois fois plus élevé qu'aux Etats-Unis.

    Au cours des dix dernières années, le nombre d’utilisateurs chinois sur internet a quadruplé avec l'utilisation des smartphones, permettant ainsi aux entreprises chinoises d'accumuler d'importants flux de revenus pour soutenir la recherche et l’inventivité dans l'univers de l’internet. Les politiques gouvernementales et l’absence d’infrastructure « hors ligne », telles que les magasins de proximité et un écosystème bien établi pour la publicité télévisée, ont également favorisé le développement rapide d’internet.

    • Auparavant connues pour imiter leurs homologues aux États-Unis, les entreprises chinoises sont aujourd’hui pionnières dans l’univers internet grâce aux nombreuses offres exclusives qu’elles proposent.

    • La société chinoise Meituan offre sous sa « super application » des services tels que la réservation de produits liés à la restauration, ou encore la possibilité d’y laisser des avis, de réserver des voyages et de se faire livrer. Les plateformes de paiement mobile évolutives Alipay et WeChat Pay approchent chacune Les 1 milliard d’utilisateurs, pour un volume de paiements de plusieurs trilliards de dollars américains. De son côté, Alibaba a développé des supermarchés intelligents en combinant le commerce hors ligne et en ligne et en se démarquant des détaillants américains.

    • Malgré les inquiétudes qui planent autour de l’économie chinoise et de la guerre commerciale qui oppose le pays aux États-Unis, les investisseurs qui s'intéressent aux technologies innovantes pourraient bien trouver les perspectives à long terme de la Chine particulièrement attrayantes.

     

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    news-1414 Tue, 15 Jan 2019 09:56:08 +0100 Un début d'année en ligne avec la fin 2018 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-debut-dannee-en-ligne-avec-la-fin-2018/ Si durant cette année 2018 les marchés émergents ont été précurseurs dans la phase de correction, ils furent suivis de près par les indices européens, puis la correction du marché américain amorcée le 3 octobre a été particulièrement violente (-24 % entre le 3 octobre et le 24 décembre). Au démarrage d’une nouvelle année boursière, la question cruciale est de savoir si nous sommes proches des points bas. A cet égard, les rebonds des journées du 26 décembre (NASDAQ +6,16 % et S&P +4,96 %) ou du 4 janvier sont illustratifs à la fois de l’exagération de la correction et du risque à adopter une attitude exagérément défensive. Malgré l’impact des algorithmes et des “momentum traders” sur les marchés actions amplifiant des mouvements au-delà de la rationalité fondamentale, quelles sont les pistes qui peuvent nous aider à évaluer la situation ?

    La croissance économique mondiale est attendue autour de 3,5 % et en ralentissement (contrairement au début 2018 qui était en phase d’accélération). Si la croissance mondiale a été à peine retouchée, celle de l’Europe a été significativement détériorée. Le plongeon de l’ISM manufacturier de la première semaine de janvier (sa plus forte baisse depuis octobre 2008) a confirmé le ralentissement de l’économie américaine pour 2019 et ravivé les anticipations de dégradation de l’économie globale en fin d’un long cycle de croissance attendu pour 2020. Ce ralentissement devrait ramener la croissance américaine autour de 2 %, ce qui n’est pas une récession.

    La baisse des anticipations de croissance et des marchés a eu pour effet de faire baisser les taux longs (reflux des 10 et 30 ans). Toutefois, la relation entre les taux d’intérêt et les actions s’est distendue durant cette longue période de taux autour de zéro. Cette décorrélation s’est accentuée en janvier 2018 quand la baisse de la taxe sur les sociétés aux Etats-Unis a été financée par le Trésor à l’origine d’une prime fiscale incorporée dans les taux longs gouvernementaux. Ceci n’a pas empêché une nouvelle vague de baisse des marchés engendrée par la hausse de taux de la Fed lors de sa réunion de décembre. La Fed est ancrée dans une phase de "Quantitative tightening".  Elle devrait rester pragmatique, mais dans cet environnement on ne peut pas attendre d’expansion des multiples pour les marchés actions.

    Les profits des sociétés ont été revus à la baisse. Si les estimations de profits du consensus que nous utilisons affichent une croissance de l’ordre de 10 % pour 2019 aux Etats-Unis comme en Europe, notre estimation de croissance des profits pour 2019 est plutôt une hausse de 4 à 5 % en retenant l’hypothèse d’un ralentissement. 

    Enfin, les flux restent obstinément négatifs en ce début d’année, avec la poursuite d’une décollecte massive en actions et aucun signal de rachat sur les actifs risqués. L’accroissement du poids du cash illustre une claire aversion pour le risque.
     
    Dans ces marchés redevenus extrêmement volatils, beaucoup de mouvements nous paraissent irrationnels ou à tout le moins exagérés. 2018 nous a clairement montré que les développements géopolitiques modifient les anticipations économiques sur lesquelles nous fondons nos décisions. Une croissance économique en ralentissement, mais positive, ainsi que la progression des profits des entreprises pour la 3e année consécutive, devraient soutenir une progression des marchés en 2019 après avoir exagérément corrigé en 2018. Toutefois, la combinaison de ces fondamentaux positifs avec des questions politiques majeures non résolues maintiendront un régime de volatilité élevée et des marchés probablement sans tendance marquée. Nous adoptons une attitude prudente en termes d’exposition et de contrôle du risque, tout en maintenant une sélection de titres fondée sur la croissance et la qualité qui devrait permettre de tirer profit des opportunités issues des baisses du 4e trimestre. Une inversion de la tendance apparait difficile à envisager à court terme, même si le pessimisme généralisé offrira certainement quelques opportunités de repositionnement.
     

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    news-1412 Mon, 14 Jan 2019 09:48:05 +0100 Performances obligataires 2018 : un bilan qui défie (encore une fois) les lois du consensus /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/performances-obligataires-2018-un-bilan-qui-defie-encore-une-fois-les-lois-du-consensus/ Le grand soir n’aura finalement pas eu lieu pour les emprunts d’Etat. Avec en toile de fond l’embellie de croissance que nous avons connue début 2018, nombre de pronostiqueurs, dont nous, attendaient une année noire pour la classe d’actifs. Il n’en est rien L’obligataire souverain enregistre finalement des performances positives en 2018. L’indice américain réalise une performance de +0,8 % en Dollar (indice ML-BOA) ; un paradoxe alors que l’économie accélère nettement et que la Fed a déroulé les quatre hausses de taux prévues. En Europe, malgré le tassement des indicateurs de croissance après le pic conjoncturel du dernier trimestre 2017, la fin du Quantitative Easing de la BCE laissait suggérer une normalisation des taux à venir. Pour autant, le gisement termine sur une performance de +1 % en euro (indice ML-BOA). Quels sont donc les grains de sable qui sont venus enrayer un plan que tout le monde pensait sans accroc ? 

    Une lecture facile et rapide pourrait résumer le parcours des emprunts d’Etats à un mouvement de repli vers la sécurité dans un contexte de défiance à l’égard des actifs risqués, les sujets de tension s’accumulant (D. Trump, Brexit, tensions commerciales avec la Chine, Italie, Pétrole, etc…). Toutefois, une analyse plus fine montre que la baisse des anticipations monétaires est la principale variable explicative des mouvements de taux sur la période. 

    Plombés par une accélération prononcée de l’offre, les cours du pétrole ont plongé. Ce mouvement a eu un impact notable sur les glissements de l’inflation, ce qui s’est traduit par un effondrement des anticipations d’inflation.

    Au sein même de la zone euro, des constats assez clairs se dessinent, au premier rang desquels la nette sous-performance de l’Italie sur la période (-1,4 %) : force est de constater que le marché ne rémunère que rarement les mauvais élèves. La différence de performance est visible avec l’Espagne (+2,6 %) et le Portugal (+3,1 %). Un autre point qui interpelle est la performance des pays cœur de la zone euro, Allemagne (+2,3 %) en tête, qui ont bénéficié de leur statut de valeur refuge : le rendement de l’obligation nominale allemande à 10 ans clôture sur un niveau de 0,23 %.

    On pourrait rapidement résumer le marché obligataire 2018 au mouvement d’un balancier qui a oscillé d’un extrême à un autre.  Après avoir entrevu une forte accélération économique, le marché anticipe désormais un ralentissement brutal. La vérité se situe probablement quelque part entre ces deux antipodes. Gageons donc en cette nouvelle année, que le marché obligataire retrouve un peu de sérénité et que la valorisation des actifs reprenne prise avec les fondamentaux.

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    news-1411 Fri, 11 Jan 2019 16:34:43 +0100 Enfin une bonne nouvelle : 2018 est derrière nous... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/enfin-une-bonne-nouvelle-2018-est-derriere-nous/ Le mois de décembre a clôturé de façon sanglante une année à oublier pour les marchés financiers : -9,18 % pour le S&P500, soit le pire mois depuis février 2009, -10 % pour le baril de pétrole, -30 points de base sur les taux américains à 10 ans, etc… Nous évoquions le mois dernier la possibilité d’un rallye sur la zone émergente, et si celle-ci a bien surperformé les autres zones (-2,9 % pour le MSCI EM, indice obligataire en devises fortes positif, devises EM en hausse), elle n’a toutefois pas été immune.
    Le climat délétère en place depuis quelques mois est donc toujours d’actualité ; avec des causes identiques ? Oui, pour la plupart, mais là où les préoccupations étaient en majorité politiques il y a quelques semaines (US/Chine, Brexit, Italie…), elles sont maintenant devenues principalement fondamentales.

    La question principale semble en effet aujourd’hui être la suivante : quelle trajectoire de croissance pour 2019 ? Et surtout, quelle trajectoire pour la croissance américaine après une année 2018 record ?

    Les inquiétudes des investisseurs portent sur trois sujets principaux :

    • "L’impact positif de la relance fiscale de M. Trump arrive à son terme et, sans elle, la croissance américaine va fortement ralentir". Nous ne souscrivons que partiellement à cette inquiétude ; en effet, selon nos estimations, l’impact fiscal a représenté une croissance supplémentaire de l’ordre de +0,7 % en 2018 et devrait être à nouveau positif en 2019, autour de +0,3 % (baisse d’impôts jusqu’en avril 2019 et augmentation des dépenses fédérales de 36 Mds sur 2019).
    • "L’aplatissement de la courbe américaine signale une récession à venir". Là encore, nous ne partageons pas les craintes du marché ; la courbe des taux peut rester plate pendant une période prolongée sans que cela ne pose de problèmes. Il faut, selon nous, plutôt regarder la différence entre rendement du capital et coût du capital et cet indicateur ne signale pas de risques à court terme.
    • "La Fed a fait une erreur de politique monétaire en montant les taux alors que les conditions financières se tendent". Il est vrai que la Fed aurait pu faire une pause dans son cycle de hausse de taux au regard de la chute violente des marchés, mais il aurait fallu pour cela préparer le marché auparavant. Il aurait aussi sans doute fallu que M. Trump s’abstienne de commenter la politique monétaire. De notre point de vue l’erreur provient plutôt de la communication de M. Powell en octobre, lorsqu’il a dit que la Fed irait bien au-delà du taux neutre.

    De manière générale, nous ne sommes pas fondamentalement inquiets en ce qui concerne la conjoncture mondiale et américaine pour 2019. Un ralentissement va avoir lieu, c’est très probable, mais pas un effondrement. La très forte baisse du pétrole depuis trois mois devrait d’ailleurs se faire sentir positivement dans les chiffres de consommation à horizon mi 2019.
    Certains risques politiques restent, eux, bien présents sur le marché : le Brexit en premier lieu, avec le vote à la Chambre des communes durant la semaine du 14 janvier, et les négociations commerciales sino-américaines. Nous ne croyons toujours pas à un "hard Brexit" en ce qui concerne le premier, et il nous semble que le ton est un peu plus constructif en ce qui concerne le deuxième.

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    news-1410 Thu, 10 Jan 2019 16:35:16 +0100 2018 : Une réplique de 2008 ?! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/2018-une-replique-de-2008/ "ça va péter" - Acte 2 ; 2019, le choix de l'embarras : 1789, 1929, où 1969 En janvier 2015, je titrais ma lettre « ça va péter » pour illustrer les changements de paradigmes résultant à la fois de l’impact de la technologie, de la globalisation, du recul des pays occidentaux et des risques écologiques (la COP 21 allait se tenir 11 mois plus tard à Paris). Je concluais par une affirmation tout autant prémonitoire que péremptoire « A l’analyse risque/rendement prévalant dans la deuxième partie du XXe siècle, s’ajoutera au XXIe siècle la dimension Impact Social ; la responsabilité durable au sens social et écologique ».

    Ce qui se passe depuis dans les pays occidentaux (Brexit, D. Trump, Chine, Italie, Allemagne…) et singulièrement en France depuis 2 mois sont autant de signaux, de moins en moins faibles, des difficultés à modifier en profondeur le système ; pour ne pas dire de signes annonciateurs d’une nouvelle grande crise ; de quelque côté que l’on se tourne, 2019 se présente sous des auspices difficiles.

    Les déséquilibres accumulés, au premier desquels l’endettement, touchent d’une manière différente chaque acteur et chaque individu et laissent peu d’espoir à un quelconque équilibre mondial. On assiste, impuissant, à la fin du multi-latéralisme, les états nations/gouvernements sortent d’un système/gouvernance mis en place depuis 1945. L’ordre mondial est chamboulé au profit d’actions individuelles des états nations… Et en même temps, les mouvements sociétaux font le chemin inverse, alors que de leur côté les états se divisent, les individus se rassemblent derrière une notion de « société consciente » – l’essor des mouvements citoyens sur le climat ou les « gilets jaunes », - où les individus deviennent solidaires parce que chacun se rebelle contre son propre sort, avec une rébellion ultime, celle contre l’ordre établi et les inégalités qui sont réputées issues de cet ordre.

    Les « gilets jaunes », tels les sans-culottes et les bonnets phrygiens incitent à danser la Carmagnole « que les riches payent et répudions la dette publique », telle la banqueroute des deux tiers de 1797. Emmanuel Macron n’est que le bouc émissaire, celui dont la fonction permet d’unir une communauté qui est en train de se créer. La haine, étymologiquement venant de la chasse, entraine une volonté de curée où on forme un groupe pour défendre son identité et détruire l’autre. L’incitation à la haine se manifeste lorsque la haine est suffisamment profonde. Ce que vit la France en ce moment est clairement dangereux, le symptôme même du populisme est non seulement lorsque les intellectuels sont dévalués mais également rendus responsables de tous les problèmes du pays. Michel Foucault disait « ce n’est pas difficile, l’intellectuel c’est celui qui est coupable. Coupable d’un peu tout : de parler, de se taire, de ne rien faire, de se mêler de tout. Bref, l’intellectuel, c’est la matière première à verdict, à sentence, à condamnation, à exclusion ». Fort de l’idée que les institutions ne font plus leur travail, il existerait une sorte de justice naturelle, populaire, qui serait plus juste que les institutions. Pour compléter ce tableau, n’oublions pas l’aspect humain et en l’espèce le côté sadique du spectateur qui se réjouit qu’une personne célèbre soit mise à mal : « ton malheur est mon bonheur » Vladimir Jankélévitch ; collectivement, on aime ça.

    Les Etats-Unis et la Chine s’affrontent sur les droits de douane et la circulation maritime (de la mer de Chine à la route de la soie), les tensions autour de la Russie et du Moyen Orient (y compris l’Iran) sont loin de s’apaiser. A 100 jours du Brexit, les tensions montent en Irlande comme en Ecosse sans compter les revendications
    espagnoles sur Gibraltar. L’arrivée au pouvoir de Jair Bolsonaro met l’extrême droite à la tête de la 8e puissance mondiale (au même niveau de PIB que la France et l’Inde).

    En 1969, après l’augmentation de 35 % du SMIC, la France est rentrée dans une politique de dévaluation par rapport au Mark pour regagner une partie de la compétitivité qu’elle avait perdue. L’abandon de la convertibilité du Dollar en or dès 1971 puis la crise pétrolière n’ont cependant par permis d’enrayer ce déclin relatif et surtout la désindustrialisation qui s’est accélérée avec la globalisation. En 2019, avec l’Euro, il n’y a plus qu’à espérer que l’Allemagne emboite le pas sur l’Espagne et la France en matière de hausses salariales… et que le Dollar s’apprécie !

    Si la manifestation de la crise de 2008 fut financière, il s’agissait, rappelons-le, structurellement d’une crise de la demande. Comme pour la crise de 1929, la concrétisation fut financière mais la création puis l’explosion d’une bulle financière eut pour origine la stagnation du pouvoir d’achat (la célèbre formule d’Henry Ford, les gens peuvent choisir n’importe quelle couleur pour la Ford T du moment que c’est noir). La stagnation du pouvoir d’achat des ménages américains depuis le début des années 80 avait poussé le Président Clinton dès 1995 à soutenir la consommation des ménages par la mise en place de l’hypothèque rechargeable : la valeur de l’immobilier augmentant, les banques ont industrialisé le financement supplémentaire et la finance de marché, par le biais de la titrisation et du tranchage, a fait le reste. La mise à quasi zéro des taux courts après le 11 Septembre a accéléré le mouvement et la remontée des taux courts en 2006 a été le déclencheur de l’insolvabilité des ménages et s’est répercutée sur le secteur financier… on connait la suite.

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    news-1405 Fri, 04 Jan 2019 17:06:20 +0100 Ténacité de l'innovation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tenacite-de-linnovation/ Saviez-vous que l’innovation parvient à se développer même lors de ralentissements économiques ? Durant la crise financière mondiale, par exemple, les innovations technologiques ont prospéré. Il va donc sans dire que les technologies perturbatrices continueront vraisemblablement de se multiplier en dépit des épisodes de volatilité et de turbulences économiques qui nous attendent. Surperformance des secteurs liés à l’internet pendant et après la crise financière mondiale

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    news-1386 Tue, 18 Dec 2018 17:36:17 +0100 Réunion constructive du G20 en Argentine, le marché reprend son souffle /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reunion-constructive-du-g20-en-argentine-le-marche-reprend-son-souffle/ La réunion du G20 en Argentine en ce premier week-end de décembre était très attendue par les investisseurs. Le point d’orgue de cette grand-messe fut le diner entre Xi Jinping et Donald Trump. Celui-ci a abouti à une trêve commerciale de trois mois. En effet, M. Trump a décalé l’entrée en vigueur d’un niveau de taxes à l’importation à 25 %, initialement prévue au 1er janvier. La Chine a, quant à elle, abaissé massivement ses taxes d’importation sur les automobiles vendues sur son sol et produites aux Etats-Unis.

    En vue d’un accord à plus long terme, les Américains souhaitent débuter des discussions autour de trois sujets clefs : le vol de propriété intellectuelle, les obstacles non tarifaires et les transferts de technologie "forcés".

    Les concessions de la Chine sur ces sujets pourraient permettre la conclusion d’un accord à long terme.

    En ce début décembre, nous conservons notre exposition ‘actions’ principalement pour les raisons suivantes :  

    • des niveaux de valorisation attrayants dans plusieurs zones géographiques (notamment en Europe, en Chine et au Japon) ;  
    • une remontée des taux américains qui devrait ralentir, ce qui devrait aboutir à un affaiblissement du dollar et bénéficier à l’économie américaine ainsi qu’aux pays émergents ;  
    • des flux soutenus de capitaux entrants aux Etats-Unis et un retour vers les marchés émergents ;  
    • l’amélioration (au moins le maintien) des marges des entreprises qui devrait se poursuivre en 2019.

    Néanmoins, de nombreux risques politiques subsistent. En Europe, la situation semble se détendre quelque peu en Italie, le gouvernement de M. Salvini étant prêt à faire des concessions pour que son budget soit approuvé par la Commission Européenne. Le principal risque reste le Brexit, un vote décisif aura lieu le 11 décembre au sein du Parlement britannique pour valider l’accord négocié avec Bruxelles. Si celui-ci n’était pas accepté, le Royaume-Uni pourrait s’engager sur un territoire inconnu ; au risque d’aller vers un "Hard Brexit".

    Enfin, si ce délai supplémentaire accordé par l’administration américaine pour négocier avec la Chine est crucial, il ne suffit pas en soi. Un accord de long terme est nécessaire pour éviter une chute brutale des investissements aux Etats-Unis. Une reprise de la guerre commerciale pèserait fortement sur l’économie mondiale et les marchés financiers. L’ombre des risques politiques qui a tant marqué 2018 reste présente en 2019 et pourrait constituer la raison d’un niveau de volatilité élevée sur les marchés actions...

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    news-1385 Mon, 17 Dec 2018 10:44:20 +0100 General Electric, le prochain "Fallen Angel" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/general-electric-le-prochain-fallen-angel/ Depuis plus d’un mois, General Electric (BBB+) attire l’attention des marchés Investment Grade et High Yield, aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe. General Electric est un conglomérat historique américain qui avait atteint la plus importante valorisation du monde en 2001 avec une capitalisation dépassant les $500 milliards et qui semble maintenant en fin de cycle. Le groupe est aussi l’un des plus complexes en opérant mondialement sur une douzaine de segments différents et avec une filiale importante de services financiers, GE Capital, qui cumule une structure complexe et un endettement très important. 

    Avec un endettement brut de $115 milliards, General Electric est le 10e plus gros émetteur de gisement Investment Grade américain (indice BoA). En plus du poids de la dette, le groupe a provisionné $22 milliards pour une enquête en cours de la SEC et a $12 milliards de dette arrivant à échéance en 2019. Le tout cumulé a provoqué de fortes incertitudes sur la situation du groupe, qui se sont traduites par une chute des obligations de 10 à 20 points selon les entités émettrices en deux mois et une division par deux des actions (-56 % depuis janvier). Aujourd’hui, les obligations du groupe se négocient au prix d’une obligation notée B (investissement hautement spéculatif). 

    La situation du groupe inquiète l’ensemble du marché High Yield du fait du poids systémique que le groupe représente. Compte tenu de la dette du groupe, si GE passait en High Yield, soit une dégradation de trois crans, ce serait le plus gros émetteur avec une dette représentant 3,7 % de l’indice. Les acteurs du marché s’accordent à dire que le marché High Yield aurait beaucoup de mal à encaisser un tel montant de dette. 

    Néanmoins, nous n’anticipons pas le passage de General Electric en High Yield à court et moyen termes pour plusieurs raisons :  

    • General Electric demeure rentable sur la plupart de ses activités et peut et doit se restructurer.    
    • La capacité de GE à se désendetter évitera un passage en High Yield. Le groupe peut réduire aisément son endettement en levant au minimum $20 milliards à court terme : possible IPO de la partie Healthcare (jusqu’à 40 %), vente de la participation dans Baker Hugues, coupe du dividende etc…  
    • Le poids de la dette de General Electric dans les portefeuilles de prêts Investment Grade des cinq plus grandes banques de Wall Street peut assurer un soutien de leur part pour éviter des problèmes de liquidités. Sur la seule ligne de crédit de $19,8 milliards expirant en 2020 garantie à GE par 6 banques (sur un total de $41 milliards de lignes), la part de Morgan Stanley représente 6 % de son portefeuille de prêts Investment Grade et celle de Goldman Sachs 4 %. 

    Pour les raisons évoquées cidessus, nous sommes confiants sur la capacité du groupe à se désendetter sur les court et moyen termes et conséquemment, la réaction de marché nous semble exagérée et reflète davantage le climat obligataire plus tendu de ces derniers mois.

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    news-1383 Fri, 14 Dec 2018 10:46:30 +0100 La nouvelle génération est en route /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-nouvelle-generation-est-en-route/ Elle peut sembler lointaine l’époque où nous n’avions pas accès au streaming, au stockage sur cloud et aux applications mobiles. Et nous étions loin de nous imaginer que ces fonctionnalités seraient intégrées dans notre quotidien. Nous sommes aujourd'hui à un point d'inflexion similaire avec l'arrivée prochaine de la technologie 5G. Quelles capacités et efficacités pourrons-nous en tirer ? La technologie sans fil est de plus en plus rapide

    • La technologie sans-fil évolue par « génération », où chaque génération est plus rapide et puissante que la précédente. Comme pour de nombreuses autres technologies, le sans-fil a gagné en vitesse au fil du temps. La génération à venir est en effet près de 5 millions de fois plus rapide que la toute première (voir l'article d’Alger The Enduring Force of Innovation).
    • La 5G sera peu à peu déployée en 2019. Cette nouvelle génération permettra la création d'un réseau universel dont la vitesse égalera celle d’un ordinateur et avec une capacité de traitement et de transfert des données plus importante et plus rapide. Elle contribuera en outre à l’Internet des Objets, qui permet la communication entre les différents appareils, et fera du suivi à distance des patients, de la conduite autonome et du contrôle des infrastructures sans-fil des villes intelligentes une réalité.
    • L'évolution de la 5G devrait entraîner de profonds changements. Certains estiment que la technologie permettra de créer 275 milliards de dollars dans de nouveaux investissements et 3 millions de nouveaux emplois. De nouvelles opportunités d’investissement émergeront, notamment dans des entreprises dont les produits serviront à créer les nouvelles infrastructures nécessaires à la 5G, à savoir les fabricants de semi-conducteurs et d'équipements pour semiconducteurs, ou encore les prestataires de réseau sans-fil et d'infrastructures pour bande passante. Si certains effets de la 5G peuvent être anticipés, son impact plus global sur les consommateurs, les entreprises et l'économie pourrait bien révolutionner nos vies cette fois encore.

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    news-1382 Fri, 14 Dec 2018 09:27:56 +0100 Rallye de fin d'année ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rallye-de-fin-dannee/ Le prix du baril de pétrole s’est écroulé durant le mois de novembre avec une baisse de -22 %, ce qui fait du mois de novembre le pire mois depuis octobre 2008. Pas de craintes de récession ou de crise systémique bancaire cette fois-ci, mais une conjonction de facteurs négatifs : baisse des prévisions de croissance et donc révision à la baisse de la demande de pétrole, levée partielle des sanctions contre l’Iran, production qui surprend à la hausse aux Etats-Unis, production record de la part de l’Arabie Saoudite alors qu’elle disait dans le même temps vouloir la baisser… sans compter le positionnement spéculatif important sur le pétrole. Le contexte de marché toujours fragile en raison des incertitudes politiques explique lui aussi l’amplitude de la baisse.
    Ce mouvement a logiquement entrainé une baisse des taux cœur et des points morts d’inflation ; ces derniers ont particulièrement souffert en zone euro, les points morts d’inflation allemands à 10 ans baissant par exemple de 18 bp sur le mois, soit le mouvement le plus important depuis début 2016.
    Les discussions autour du Brexit continuent, avec l’accord conclu entre la Commission Européenne et le gouvernement britannique le 25 novembre.Les Anglais doivent maintenant faire voter cet accord par la Chambre des communes, vote  qui doit avoir lieu a priori le 11 décembre. A l’heure actuelle, il est difficile d’imaginer comment ce vote pourrait être positif. Démission de Theresa May ? Nouvelles élections ? Referendum ? Nous continuons à penser qu’il n’y aura pas de "Hard Brexit", mais le chemin risque d’être chaotique.
    Tous les investisseurs avaient aussi les yeux rivés sur le sommet du G20 qui devait se tenir en Argentine en fin de mois avec 2 sujets principaux : tension commerciale entre les USA et la Chine et discussions autour de la possible diminution de la production de pétrole de la part de l’OPEP + Russie. Et, pour une fois cette année, ces espoirs n’ont pas été déçus :

    • Accord entre Donald Trump et Xi Jinping sur une "trêve" de 90 jours dans le conflit commercial qui les oppose ;
    • L’OPEP  et ses alliés plancheraient sur un accord de réduction de la production de    1,3 million de barils par jour.

    Le dernier sujet d’importance est le revirement de M. Powell : après avoir dit le 3 octobre que la politique monétaire était encore loin du taux d’équilibre (Hawkish), il a déclaré que celle-ci en était finalement assez proche. Ce changement de ton a largement contribué à apaiser les marchés financiers.
    Un rallye de fin d’année est donc finalement envisageable, surtout sur la zone émergente (devises, taux et actions), principale bénéficiaire des évolutions récentes et zone ayant le plus souffert cette année. Un rallye en Europe est aussi envisageable mais il dépendra de la résolution ou non des problématiques politiques.

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    news-1377 Mon, 10 Dec 2018 17:20:58 +0100 Stratégie Responsable et Climatique : l'Infographie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/strategie-responsable-et-climatique-linfographie/ Après la publication de son Rapport sur sa Stratégie Responsable et Climatique en réponse aux préconisations de l’article 173 de la Loi sur la Transition Ecologique et Energétique et dans le souci de rendre plus lisible et transparente l’information La Française a résumé ses principales actions ESG sous forme d’infographie. stratégie responsable climatique

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    news-1360 Tue, 04 Dec 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners International acquiert le parc commercial QuartierWEST à Essen en Allemagne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-le-parc-commercial-quartierwest-a-essen-en/ La Française Real Estate Partners International a finalisé l'acquisition auprès de Schoofs-Gruppe du parc commercial QuartierWEST à Essen pour le compte de deux Sociétés Civiles de Placement Immobilier (Epargne Foncière et Multimmobilier 2) de La Française Real Estate Managers.

    Le parc se situe dans une zone bien établie et en plein développement dans la région urbaine d'Essen (en Allemagne). Il fait partie du quartier résidentiel d'Altenessen et du nouveau projet d’aménagement de Wohnen am Krupp-Gürtel et devrait donc bénéficier d'une clientèle croissante à proximité immédiate.


    Le pôle commercial a été achevé en 2018 et 100 % des surfaces sont louées à six locataires avec des baux à long terme.


    Le complexe offre 12 125 m2 de surfaces commerciales et hôtelières et de nombreux parkings extérieurs (environ 200) et souterrains (environ 60). QuartierWEST est idéalement situé à proximité immédiate du tramway (à 850 m seulement). De plus, l'arrêt de tramway Kronenberg (lignes 101, 103, 105 et 109) se trouve en face de l’ensemble immobilier.


    QuartierWEST est un centre commercial de deux niveaux comprenant des espaces de vente de 460 à 4 500 m2 au rez-de-chaussée, ainsi que des locaux pour le personnel et des établissements hôteliers aux deux étages supérieurs.


    Jens Göttler, Directeur Général pour l’Allemagne de La Française Real Estate Partners International a déclaré : « Nous sommes convaincus que le pôle QuartierWEST constituera un investissement de qualité à long terme pour nos SCPI. L’emplacement privilégié du bien et l'activité économique et résidentielle environnante devraient contribuer à maintenir le taux d'occupation à 100%. »


    La Française Real Estate Partners International a été conseillée par le cabinet d'avocats Clifford Chance et le consultant technique TA Europe.

    1Il s'agit d'un exemple de placement détenu dans le portefeuille. Il n'est pas indicatif des investissements futurs et ne reflète pas complètement la composition des fonds.

    Risques associés aux SCPI : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces) présente des risques, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur, qui peuvent toutefois être atténués par la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI ; cet objectif n’étant pas garanti. La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. Les SCPI peuvent recourir à l’endettement.

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    news-1358 Fri, 30 Nov 2018 09:26:00 +0100 L'effet terrifiant de la courbe des taux ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/leffet-terrifiant-de-la-courbe-des-taux/ Le thème abordé dans de nombreuses publications actuelles vous a peut-être donné la chair de poule : l'aplatissement de la courbe des taux américains. Soulignons toutefois qu’avant toute inversion, si tant est qu’il y en ait une, les marchés boursiers américains pourraient bien offrir quelques « friandises ». En effet, ces dix dernières années, les investisseurs qui, dans l'anticipation d'un « mauvais sort », se sont dépêchés de vendre leurs actions immédiatement après l’inversion de la courbe, sont passés à côté de gains significatifs. Performance des actions après l’inversion initiale de la courbe des taux

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    news-1356 Fri, 30 Nov 2018 11:02:00 +0100 La Française innove en matière de gestion d’actifs pour le compte de Sociétés Civiles de Placement Immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-innove-en-matiere-de-gestion-d-actifs-pour-le-compte-de-societes-civiles-de-placement-i/ Depuis plus de quarante ans, La Française innove en matière d’immobilier. Elle fait à présent évoluer son offre en matière de services, dans l’intérêt de ses investisseurs, afin de soutenir les performances de ses Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI).

    La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion, crée une Direction Grands Comptes dont les missions consisteront notamment à dynamiser la gestion et la commercialisation des grands ensembles immobiliers et à accroître la valorisation des actifs qu’elle gère :

     

    Le développement d’une offre de services complète pour répondre aux nouvelles exigences d’usage des locataires dans une optique de fidélisation. 

     

    Le lieu de travail est désormais revendiqué comme un lieu de vie. L’offre immobilière évolue et doit comprendre une large palette de services à valeur ajoutée pour les locataires tels que conciergerie, espaces d’animation et de partage, prestations de bien-être, food experience, potagers urbains... Au-delà de la gestion de l’actif, La Française accompagne les utilisateurs locataires dans cette mouvance de bien-être au travail, avec par exemple l’installation d’une ferme urbaine sur l’immeuble Campus Aviso (Puteaux, 92) ou encore la transformation des espaces communs en lieux de partage innovants sur Le Carillon (Nanterre, 92) et Front Office (Asnières-sur-Seine, 92).

     

    La transformation d’actifs immobiliers pour valoriser les patrimoines immobiliers des SCPI et trouver des réponses, en qualité d’acteur responsable, aux pénuries de logements dans les grandes agglomérations. Pour ce faire, La Française REM identifie les actifs éligibles aux changements d’usage (espaces de co-living, hébergements étudiants ou résidences seniors), participe à la mixité des usages des immeubles et développe des partenariats avec des acteurs externes pour accélérer la transformation.

     

    Cette direction Grands Comptes est intégrée au département Asset Management Immobilier d’Entreprise dirigé par Thierry Molton : « La mission sera transversale et devra répondre aux défis des assets managers d’apporter des services à haute valeur ajoutée à l’immeuble pour en faciliter la gestion, améliorer ses performances énergétiques et veiller au bien être des utilisateurs ». 

     

    Delphine Hamez, Directeur Asset Management Grands Comptes à La Française REM, conclut : « Le métier de la gestion d’actifs évolue. Nous devons intégrer ce mouvement et anticiper les besoins des utilisateurs pour fidéliser nos locataires et soutenir les performances de nos SCPI. »

     

     

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    news-1355 Thu, 29 Nov 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners acquiert l'immeuble de bureaux Brickwall à Lyon auprès du Groupe 6e Sens Immobilier et DCB Immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-limmeuble-de-bureaux-brickwall-a-lyon-aupres-du-groupe-6/ La Française Real Estate Partners acquiert en VEFA auprès du groupe 6ème Sens Immobilier et DCB Immobilier, les surfaces de bureaux de l’immeuble « Brickwall » à Lyon, dans le 7ème arrondissement. Les bureaux seront intégralement loués à un grand compte utilisateur dans le cadre d’un BEFA (Bail en l’Etat Futur d’Achèvement) commercial d’une durée ferme de 9 ans. La date de livraison est prévue au 4T 2020. Cette acquisition est réalisée pour le compte de l’ERAFP (Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique).

    L’acquisition porte sur près de 12 000 m² de surface utile disposant d’un restaurant interentreprises au 1er étage avec accès direct sur une terrasse, 512 m² de terrasses privatives (une à tous les étages) et 118 places de stationnement.  

    L’ensemble immobilier se situe dans la ZAC des Girondins, au sein du quartier de Gerland, une zone en plein développement qui attire aussi bien les grands comptes que les PME innovantes.  

    « L’acquisition de ce futur immeuble s’inscrit dans la continuité du développement d’un portefeuille diversifié de qualité et pérenne pour le compte de l’ERAFP et participe également à l’évolution de cette zone en plein essor, où les valeurs locatives ont un potentiel de croissance », souligne Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude notariale Lexfair, le cabinet Herbert Smith Freehills sur les aspects juridiques et fiscaux, Siena sur les audits et énergétiques et Burgeap sur les aspects environnementaux. Les vendeurs étaient conseillés par CBRE et BNP Paribas Real Estate.

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    news-1354 Tue, 11 Dec 2018 15:23:00 +0100 Une réponse à la prise en compte des enjeux de biodiversité : l'immobilier durable, responsable & désirable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-reponse-a-la-prise-en-compte-des-enjeux-de-biodiversite-limmobilier-durable-responsable-desirabl/ Peut-on encore parler d’opposition entre ville et campagne dans le monde en évolution dans lequel nous vivons. L’opposition entre ville et campagne n’est plus appropriée alors que notre planète doit faire face au défi écologique et alimentaire.

    Répondre à ce défi, c’est reconsidérer les enjeux de l’agriculture en décloisonnement les espaces confinés par l’urbanisme moderne et en accroissant les échanges entre les urbains et les ruraux.

    Devançant souvent les décisions politiques, de nombreuses solutions visant à redonner de l’équilibre, du sens et des racines émergent de plus en plus chez les agriculteurs mais aussi au sein de la société civile.

    L’agriculture urbaine en est une dans la mesure où elle participe à la fois à la préservation de la biodiversité, à la réduction de l’empreinte carbone à la production d’une alimentation saine mais aussi à la réactivation d’un lien social qui trouve désormais tout son sens dans le développement de l’économie participative.

    En tant qu’acteur important de l’immobilier, La Française REM a engagé une réflexion sur le potentiel de développement d’une agriculture urbaine sur son patrimoine francilien (Paris intramuros et première couronne).

    Un premier projet porté conjointement avec la société MUGO vient de voir le jour à Puteaux où 2 000 m² de jardins maraichers et d’espaces d’agrément ont été mis à disposition des occupants du campus Aviso.

    Au-delà du confort et du bien-être procurés par la proximité de la nature, ce jardin a pour vocation de créer du lien social en permettant aux utilisateurs de s’initier à la culture maraichère par la mise à disposition d’un jardin associatif et en leur proposant des rencontres pédagogiques trimestrielles. Les produits récoltés seront proposés dans le cadre d’un mini marché hebdomadaire.

     La Française REM se positionne ainsi comme un précurseur et entend devenir un des acteurs importants dans la gestion d’un l’immobilier durable, responsable et désirable

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    news-1353 Tue, 04 Dec 2018 09:00:00 +0100 Chaque demi-degré compte ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/chaque-demi-degre-compte/ Jeudi 18 octobre, lors de notre Club Zero Carbon, nous avons eu l’honneur d’ échanger avec Valérie Masson Delmotte*, coprésidente du 1er groupe de travail du GIEC. Elle nous a livré une synthèse des enseignements du rapport sur les conséquences d’un réchauffement climatique de 1,5°C publié par le GIEC le 8 octobre dernier.

    Le premier élément de contexte intéressant : sans ce travail, l’Accord de Paris n’aurait pu se réaliser. En effet, les pays les plus exposés aux changements climatiques, notamment les pays insulaires n’ont accepté de signer l’Accord qu’à la condition que le GIEC s’engage à faire un rapport spécifique sur les conséquences d’un réchauffement de 1,5°C.

    Ce sixième rapport repose sur 6 000 publications dont les ¾ n’étaient pas inclus dans le dernier rapport du GIEC. La communauté scientifique a donc répondu présente pour étudier ce sujet crucial pour les petits pays insulaires mais également pour l’ensemble des 195 pays signataires.

    Les principaux enseignements de ce rapport sont les suivants :

    • Nous avons déjà atteint 1°C de plus par rapport à la période préindustrielle de référence ; les effets de ces 1°C se sont déjà fait sentir, notamment via des vagues de chaleur accrues ou des pluies torrentielles. Le changement climatique ne concerne pas un futur lointain, il nous touche et nous affecte dès aujourd’hui.
    • Il y a de clairs bénéfices à limiter le réchauffement à 1,5°C plutôt que 2°C. Des bénéfices multiples qui paraissent parfois éloignés de notre quotidien (la biodiversité par exemple) mais très concrets lorsqu’ils concernent la sécurité alimentaire et la sécurité humaine.
    • Il est encore possible de limiter le réchauffement à 1,5°C en baissant nos émissions de CO² de moitié d’ici 2030 et en les ramenant à un net 0 en 2050 :
      - Cela nécessite de grands changements du côté de l’offre, qu’il s’agisse de systèmes énergétiques, de gestion des terres, de nos systèmes urbains ou industriels. Des changements qui ne seront bien évidemment rendus possibles que par un changement du système financier.
      - Cela repose également sur un changement du côté de la demande énergétique et alimentaire par exemple. Tout le monde est donc concerné.
    • Une des innovations de ce rapport est d’avoir fait travailler pour la première fois ensemble des scientifiques et des chercheurs en sciences sociales. Le rapport souligne la nécessité d’une transition éthique et juste et la nécessité d’agir par un mix atténuation et adaptation dont on contrôlerait les effets négatifs : il ne serait pas pertinent par exemple que l’adaptation passe par le développement de systèmes de climatisation émetteurs de gaz à effet de serre contribuant au réchauffement...
    • Les conditions nécessaires à la limitation du réchauffement à 1,5°C relèvent de la coopération / la volonté politique / la disponibilité des financements

    Nous sommes finalement face à 3 grands risques :

    1 - Le risque climatique.
    2 - Le risque de tarder, en faisant reposer sur des générations futures et des développements technologiques la capture de CO².
    3 - Le risque financier, la pérennité de certains secteurs découlant de la mise en place d’une transition délibérée, rapide et volontaire.

    En conclusion, chaque demi degré compte. Chaque année compte. Chaque choix individuel ou collectif compte. Et les financiers ont, en tout état de cause, un rôle important à jouer.

    * Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, chercheuse au Commissariat à l’Énergie Atomique et plus précisément au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, co-présidente du groupe de travail no 1 du GIEC (bases physiques du climat)

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    news-1352 Thu, 29 Nov 2018 09:00:00 +0100 Action climatique et nouveau modèle de croissance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/action-climatique-et-nouveau-modele-de-croissance/ Mercredi 5 septembre, le Secrétaire Général des Nations Unies António Guterres a présenté le dernier rapport de la Commission mondiale sur l’économie et le climat en rappelant l’urgence de l’action climatique ainsi que les bénéfices économiques à en tirer.

    Nous assistons à une dynamique sans précédent de transition vers une « nouvelle économie climatique », pourtant, le rythme de ces transformations n’est pas assez soutenu, l’urgence est réelle. Or l’engagement vers une économie bas carbone recèle de nombreuses opportunités et l’inaction présente des risques dont les coûts sont maintenant mesurables. « L’année dernière, les catastrophes liées au climat ont causé des milliers de morts et des pertes de 320 milliards de dollars », d’après le Secrétaire Général de l’ONU.

    Le rapport, dans une estimation qualifiée de prudente, affirme qu’une action ambitieuse en faveur du climat pourrait générer 26 000 milliards de dollars de gains économiques cumulés d’ici 2030, année butoir fixée par les Etats membres de l’ONU pour réaliser les Objectifs de Développement Durable.

    Des mesures ambitieuses dans les principaux secteurs de l’économie pourraient :

    • Générer plus de 65 millions d’emplois à faible intensité carbone en 2030.
    • Éviter chaque année plus de 700 000 décès prématurés causés par la pollution de l’air à l’horizon 2030.
    • Assurer, via une réforme des subventions et de la tarification du carbone, des recettes publiques supplémentaires estimées à 2800 milliards de dollars par an en 2030.

    La Commission préconise de se concentrer sur quatre fronts au cours des trois prochaines années :

    1 - Accélérer les efforts sur la tarification du carbone et rendre obligatoire la publication des risques financiers liés au climat :

    - Un prix du carbone d’au moins 40 à 80 $ d’ici 2020. La suppression progressive d’ici 2025, des subventions et allégements fiscaux sur les énergies fossiles et les exploitations agricoles polluantes.

    - Obligation de communiquer sur les risques financiers liés au climat conformément aux recommandations de la TCFD.

    2 - Accélérer l’investissement dans les infrastructures durables :

    - Faire des infrastructures une catégorie d’actifs à part entière.

    - L’objectif : investir au moins 100 milliards de dollars par an d’ici 2020.

    3 - Mobiliser le secteur privé et libérer l’innovation :

    - Pour toutes les entreprises du classement Fortune 500, des objectifs conformes à l’Accord de Paris.

    - Engager au moins 50 milliards de dollars de capitaux supplémentaires pour relever les défis climatiques allant au-delà du secteur de l’énergie.

    4 - Construire une approche axée sur les besoins des citoyens, qui partage équitablement les gains et assure une transition juste :

    - Établir des plans de transition énergétique avec les entreprises, syndicats et la société civile pour une transition juste pour les travailleurs et les communautés.

    - Intégrer les femmes dans cette transformation pour augmenter le PIB mondial de 28 000 milliards de dollars par an en 2025. (McKinsey).

    - Mettre davantage l’accent sur la résilience et l’adaptation de l’ensemble des politiques et des efforts.

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    news-1347 Fri, 23 Nov 2018 10:22:00 +0100 Réflexion sur les modes de gouvernance et leur impact sur l'activité économique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/reflexion-sur-les-modes-de-gouvernance-et-leur-impact-sur-lactivite-economique/ La distinction entre Société et Entreprise s’est imposée progressivement au 19e siècle avec le renforcement de la notion de personne morale qui existait déjà en droit romain avec la distinction entre agent collectif (universitas) et agent individuel (singuli) faite par le juriste Ulpien au 2e siècle.

    Dans ce cadre, la Société est une personne morale qui détient le projet d’Entreprise. Elle n’est pas détenue au même titre qu’une personne physique n’est pas détenue. L’Entreprise est une structure de relations (nexus of contracts) entre parties prenantes : actionnaires, prêteurs, salariés, fournisseurs, clients, état, collectivités locales, etc. chacun avec ses droits et ses devoirs. Cette structure de relations traduit un équilibre entre des positions et des intérêts contradictoires. C’est là où la gouvernance est utile pour générer cet équilibre avec le minimum de frictions.

    La gouvernance d’une Entreprise peut être construite sur l’internalisation au sein du conseil d’administration des parties prenantes : salariés, ONG, etc. C’est le modèle de network governance, en vigueur dans les coopératives, les mutualistes, etc. dont un des exemples les plus aboutis et les plus réussis est la coopérative basque Mondragón.

    Il est également possible de donner à l’entreprise des objectifs multiples au travers des statuts, dont des objectifs en matière ESG, selon le modèle des US Benefit Corporations créées en 2010 qui intègrent la recherche d’un impact positif sur la société civile, les employés et l’environnement en sus de la recherche de profit. Sur ce modèle, la loi Pacte a prévu la création d’entreprises à mission, sociétés à objet social étendu dans le domaine social et environnemental.

    L’intérêt des parties prenantes peut également faire l’objet d’une quantification des externalités négatives, par exemple par un mécanisme de marché sur le prix du carbone pour tenir compte de l’impact environnemental de l’activité. Le Prix Nobel d’économie attribué cette année à William Nordhaus vient couronner les travaux de cet économiste dans ce domaine.

    Quel que soit le modèle choisi, la façon dont les profits et les risques sont partagés définit les conditions de l’équilibre. Le manque de gouvernance conduit à des déséquilibres qui obèrent la croissance économique à long terme. La répartition des profits entre les actionnaires et les salariés est un exemple parmi d’autres. Actuellement la rentabilité des capitaux propres apportés par les actionnaires aux sociétés cotées est de l’ordre de 10 % en France, soit une prime de risque de 9 % par rapport aux OAT 10 ans, le double d’il y a dix ans, ceci alors que les salaires n’augmentent que très peu et que les salariés prennent une part de plus en plus grande du risque entrepreneurial au travers de la flexibilité des conditions de travail. Il en résulte des distorsions préjudiciables à l’obtention d’un optimum de croissance.

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    news-1345 Tue, 20 Nov 2018 17:48:00 +0100 La Française, expert en immobilier de commerces, accueille Sostrene Grene dans le 11e arrondissement de Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-expert-en-immobilier-de-commerces-accueille-sostrene-grene-dans-le-11e-arrondissement/ Avec plus de 2,5 milliards d’euros sous gestion en immobilier commercial à travers l’Europe, La Française s’impose comme un expert de ce segment.

    La Française REM, à travers son département dédié à la gestion de commerces en France, a pour objectif, outre la gestion du parc immobilier, d’accompagner les enseignes locataires dans leurs plans de développement. Cet accompagnement ainsi que la qualité des emplacements des actifs se reflètent dans la qualité des signatures des entreprises locataires et le faible taux de vacance du parc, inférieur à 4 % (au 30/09/2018). 

    Sostrene Grene, société créée en 1973 au Danemark et spécialisée dans la décoration d’intérieur tendance, a sélectionné un local commercial situé rue du Faubourg Saint Antoine dans le 11e arrondissement de Paris, appartenant à la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière de La Française Real Estate Managers, pour installer sa quatrième boutique parisienne. La société, en pleine expansion, occupera dans le cadre d’un bail commercial de 10 ans, un local commercial de 273 m2. La boutique est idéalement située à quelques minutes à pieds seulement de la Place de la Bastille, du métro Ledru Rollin sur la ligne 8 et du quartier très commerçant de la rue de Charonne.

    « Tout est affaire de sélection. L’emplacement attractif de ce local commercial ainsi que sa grande surface exploitable, nous ont permis d’assurer son occupation physique et financière quasi ininterrompues depuis son acquisition », conclut Loic Jardin, Directeur Asset Management – Commerces. 

    Risques associés d’Epargne Foncière : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces) présente des risques, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur, qui peuvent toutefois être atténués par la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI ; cet objectif n’étant pas garanti. La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. Les SCPI peuvent recourir à l’endettement.

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    news-1340 Fri, 16 Nov 2018 17:03:03 +0100 Xavier Lépine nommé Professionnel de l'Année /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-nomme-professionnel-de-lannee/ L’édition 2018 des “Trophées Logement & Territoires” organisée par Immoweek a élu Xavier Lépine "Professionnel de l'année". Pour la 7e année, les Trophées Logement & Territoires d'Immoweek, distinguent les acteurs de la profession de France ayant les projets en immobilier les plus innovants.

    A cette occasion, Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française, a été élu "Professionnel de l'année" pour le lancement par La Française, du dispositif inédit dans le logement : l'accession à la propriété à vie.

    Cette remise de prix a permis de partager et revenir sur l'ensemble des initiatives envisageables en matière de logement, par tous les acteurs publics et privés du secteur.

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    news-1338 Fri, 16 Nov 2018 10:47:52 +0100 La hausse des taux pénalisera-t-elle les actions ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-hausse-des-taux-penalisera-t-elle-les-actions/ La hausse des taux américains pénalisera-t-elle les cours des actions aux États-Unis ? Si de nombreux investisseurs s’inquiètent de la hausse des taux, l'analyse des valorisations actuelles des actions par rapport aux obligations révèle que les actions n’ont pas intégré dans leurs cours toute l'ampleur de la baisse des taux d'intérêt et, par conséquent, qu’elles pourraient ne pas être impactées par leur remontée.

    Les valorisations ne devraient pas être impactées par les taux d'intérêt

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    news-1337 Wed, 14 Nov 2018 15:50:10 +0100 Actions : buy the DIP* /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/actions-buy-the-dip/ L’ensemble des marchés actions a été emporté par une vague de correction en octobre de l’ordre de - 5 à - 10 %, de sorte que si les marchés européens ont amplifié leur sousperformance, le marché américain a quasiment effacé son retour positif des 9 premiers mois de 2018 ainsi que la forte résilience qui le caractérisait jusqu’à ce jour.

    En cette fin d’octobre et à la veille des élections américaines de mi-mandat nous croyons qu’il est opportun de maintenir une exposition actions significative. Les principales motivations sont :

    • des niveaux de valorisation attrayants relativement aux moyennes historiques, les marchés actions sont ainsi entrés dans des zones de survente (RSI<30) ;
    • des résultats des entreprises américaines qui confirment leur croissance soutenue en 2018 (>+20 %) et 2019 (>+10 %), ce qui leur assure un retour sur capital nettement supérieur au coût du capital malgré les hausses de taux de la réserve fédérale ;
    • des marchés émergents qui ressortent comme survendus depuis les deux chocs d’avril et mai. Ceci est particulièrement vrai pour la Chine, la baisse du renminbi a notamment compensé une large part des hausses de taxes d’importation ;
    • des flux de capitaux potentiellement positifs dans la mesure où les niveaux de cash des portefeuilles sont élevés et où les entreprises vont pouvoir redéployer leur programme d’achat d’actions après la saison de publication de leurs résultats.

    Nous pensons également que la plupart des risques politiques qui hantent les marchés depuis cet été, principalement : la guerre commerciale Chine-Etats Unis, un prix du baril qui a tangenté les USD80 par baril, un risque politique européen élevé (Brexit, déficit italien etc.) sont identifiés et largement intégrés par une prime de risque ‘actions’ revenue sur ses plus hauts niveaux historiques, alors que le marché des taux souverains est resté relativement immunisé. Si la correction de février avait suivi une forte hausse des taux US, ce n’a pas été le cas ce mois d’octobre. Compte tenu de la croissance des résultats constatée, la hausse des taux actuelle ne doit pas être un prétexte pour quitter le navire actions au niveau de valorisation actuelle.

    Plus qu’une reprise de signes macro positifs, un relâchement de la pression politique pourrait être à l’origine d’un rebond des marchés actions, notamment post élections de mi-mandat. Une détente de l’USD serait favorable à la fois à la reprise du marché américain et à la performance des émergents.


    Dans une phase de reprise des marchés, la technologie, les industrielles, les matières premières et les biens de consommations devraient afficher les meilleures performances.

    * "Acheter les points bas (du marché)" 

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    news-1336 Wed, 14 Nov 2018 15:16:01 +0100 Xavier Lépine, Président du Directoire du Groupe La Française, interviendra lors de l’événement Day One à Monaco. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-president-du-directoire-du-groupe-la-francaise-interviendra-lors-de-l-evenement-day-on/ Day One est un sommet conçu pour les décideurs et organisations qui sont les premiers à agir à l’échelle mondiale, un lieu de rencontre et de débats pour les leaders visionnaires qui souhaitent avoir un impact positif sur le monde de demain, et ouvrir la voie à un âge digital juste et inclusif. Le Groupe La Française est sponsor de cet événement organisé pour la première fois à Monaco les 29 et 30 novembre prochains.

    Le numérique transforme profondément et fondamentalement la société et les individus, le rythme de ce changement s'accélère et ouvre de nouvelles perspectives de croissance. Nous devons comprendre les visions existantes, en débattre et agir pour aider les personnes, les organisations et les entreprises à s'adapter.

     

    Le programme de Day One cherche à répondre à une problématique : Comment construire un âge digital juste et inclusif ? Pour y répondre, les sessions de débats, interventions et keynotes exploreront les thématiques suivantes :

    - Le futur de l’emploi

    - Assurer l’accès à la santé à l’ère digitale

    - Data et confiance

    - La mise en place d’un système alimentaire universel et durable

    - Les villes et territoires du futur

    - L’état des lieux de l’énergie à l’ère du digital

     

    Pour plus d’information, consultez le site de l’événement One Day

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    news-1335 Tue, 13 Nov 2018 15:10:38 +0100 Taux : Encore un rôle de valeur refuge ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/taux-encore-un-role-de-valeur-refuge/ Depuis des dizaines d’années les investisseurs sont habitués à gérer leurs allocations actions et obligataires comme deux actifs largement anti corrélés lors des périodes de stress de marché. Ce phénomène de "flight to quality" peut-il encore fonctionner dans les marchés actuels, alors que la diminution des bilans agrégés des banques centrales doit commencer dans les mois qui viennent?

    Le mois d’octobre a été un mois particulièrement difficile pour les marchés d’actifs risqués et particulièrement pour les actions. Dans le même temps, les rendements obligataires dits sans risque n’ont pratiquement pas bougé, ne réagissant que très peu à l’aversion au risque en cours. En effet du 3 au 31 octobre, le S&P 500 a baissé de - 7,31 % alors que le taux à 10 ans américain passait, lui, de 3,18 % à 3,14 %. Même phénomène en zone Euro entre le 2 octobre et le 1er novembre avec une baisse de l’Eurostoxx 50 de -5,45 % quand le taux à 10 ans allemand passait de 0,42 % à 0,40 %.
     
    Ce comportement marque une rupture avec les phases de correction des dernières années, comme cela avait déjà été le cas en février cette année. Le début d’année 2016 avait vu les taux fortement refluer, le mois d’août 2015 aussi, sans parler de la période 2011-2012. Ce comportement est, selon nous, voué à continuer tant que la conjoncture macroéconomique ne montrera pas de signes de retournement important, ce que nous n’anticipons pas à l’heure actuelle. Et cela s’explique par les raisons suivantes :  

    • Après une phase d’expansion sans précédent des bilans des principales banques centrales (Fed, BCE, BOJ, BOE), celles-ci entrent dans une phase de consolidation. La Fed a déjà commencé la réduction de son bilan ($50mrds / mois), la BCE devrait arrêter son QE en fin d’année et la BOJ est elle aussi en phase de réduction d’achat depuis le début de l’année.   
    • L’inflation, continuellement décevante depuis de nombreuses années, montre des signes de raffermissement. Les tensions salariales en particulier commencent à devenir palpables dans certains pays (Etats-Unis, Allemagne, Royaume-Uni), ce qui est logique au regard de la dynamique d’emploi actuelle ; ce mouvement devrait donc se poursuivre dans les mois qui viennent. 
    •  La "forward guidance" des banques centrales se veut de plus en plus précise depuis de nombreux trimestres afin de diminuer l’incertitude pour les différents acteurs financiers. Le revers de la médaille est qu’il est aussi difficile pour ces banques centrales de revenir sur ce qu’elles ont annoncé. La banque centrale européenne a par exemple communiqué sur un arrêt du QE en fin d’année et une première hausse de taux en septembre/octobre 2019, et il faudrait une remise en cause profonde des trajectoires de croissance et d’inflation pour que cette communication soit modifiée. Cet ancrage des taux courts se reflète logiquement sur les taux longs, les empêchant de jouer leur rôle de valeur refuge. 

    Les taux cœur devraient donc continuer à progresser, poursuivant ainsi leur normalisation, et cela même en cas de marchés actions chahutés. Sauf à ce que la conjoncture ne se retourne violemment mais, encore une fois, ce n’est pas notre scénario. 

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    news-1334 Mon, 12 Nov 2018 11:39:45 +0100 La fin du bull market ? sans doute pas /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fin-du-bull-market-sans-doute-pas/ L’accumulation de différents facteurs de stress a fini par provoquer un retournement de marché historiquement assez violent. Les marchés américains en particulier ont beaucoup souffert en octobre, le S&P 500 vivant ainsi son pire mois depuis septembre 2011 avec une baisse de près de - 7 %.

    Les sujets d’inquiétude (potentiels ou réels) sont en effet nombreux aujourd’hui : la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine, le Brexit, l’Italie, les élections de mi-mandat aux Etats-Unis, la saison des résultats, le ralentissement chinois et européen…avec comme catalyseur une communication que nous jugeons maladroite de la part de la réserve fédérale américaine. Comme en février, la hausse rapide des taux américains semble en effet avoir été le déclencheur de cette correction.

    Certains de ces risques apparaissent aujourd’hui comme réels : la croissance européenne et chinoise ou encore le devenir des problématiques politiques actuelles. Le marché a-t-il donc raison de s’inquiéter ? Oui, mais en partie uniquement.

    Tout d’abord parce qu’il faut, selon nous, tempérer certaines de ces inquiétudes.

    Une partie du ralentissement observé en Europe est en effet lié au secteur automobile allemand, ce qui ne devrait être que transitoire. La zone européenne va sans doute croitre à 1,8 % en 2018 ; c’est moins qu’attendu en début d’année mais cela reste au-dessus de sa croissance potentielle (estimée autour de 1,5 - 1,6 %).

    La Chine ralentit, mais les autorités en sont pleinement conscientes et mettent en place depuis maintenant plusieurs mois des politiques d’assouplissement afin de soutenir la croissance, sur un schéma qui a des similitudes avec 2015-2016. Le "hard landing" chinois est une crainte récurrente des marchés depuis une dizaine d’années, à tort jusqu’ici. Est-ce pour cette fois-ci ? Nous n’en sommes pas convaincus.

    Ensuite parce que le mois d’octobre a aussi vu quelques nouvelles positives :

    • Les agences de rating n’ont pas dégradé la notation de l’Italie en High Yield, ce qui devrait aider à stabiliser les taux italiens.
    • Les résultats des sociétés sont, il est vrai, en partie décevants en Europe mais ils sont encore une fois très bons aux Etats-Unis, sans craintes apparentes sur les résultats futurs.
    • Enfin, il nous semble que le ton adopté lors des discussions politiques actuelles (Brexit, Italie voire même Mr Trump) est légèrement moins véhément.

    Les fortes baisses constatées au mois d’octobre proviennent aussi en partie d’un fort "deleveraging" de l’industrie, en particulier de l’industrie des fonds systématiques. Nous avons déjà écrit à ce sujet en février de cette année, le phénomène montre aujourd’hui certaines similarités.

    La forte baisse de certains marchés nous semble donc aujourd’hui trop importante au regard de leurs fondamentaux. C’est le cas des actions américaines dont les valorisations sont aujourd’hui assez attractives ; c’est le cas aussi des points morts d’inflation qui ont souffert de la forte baisse du pétrole sur le mois.

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    news-1333 Fri, 02 Nov 2018 15:38:57 +0100 Qu'est-ce qu'un OPCVM ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quest-ce-quun-opcvm/ En quoi consiste un OPCVM, et quelle utilité par rapport à des supports d’épargne plus traditionnels comme le Livret A ou le PEL ? Pour vos clients, une explication pédagogique et illustrée, développée par La Française.

     

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    news-1332 Tue, 06 Nov 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners acquiert auprès de Pitch Promotion la future Résidence Services pour seniors Senioriales à Cannes (06) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-aupres-de-pitch-promotion-la-future-residence-services-po/ La Française Real Estate Partners, pour le compte de l’OPPCI LF Résidences Seniors acquiert auprès de Pitch Promotion, filiale d’Altarea Cogedim, une résidence services seniors en VEFA située à Cannes (06). La résidence sera exploitée par Senioriales, filiale du groupe Pierre & Vacances Center Parcs, dans le cadre d’un bail de 11 ans fermes.

    L’ensemble immobilier sera composé de 58 logements meublés allant du T1 au T3 et développera une surface de 2 395 m² habitables et 250 m² d’espaces communs et de services. Il disposera également de 19 places de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au deuxième trimestre 2020.

    L’actif se situe à 5 km à l’ouest du centre-ville historique de Cannes, au sein de La Bocca, quartier résidentiel disposant de toutes les commodités.

    L’immeuble bénéficiera d’une excellente desserte en transports en commun grâce notamment à la présence de nombreuses lignes de bus, d’une gare TER et à la proximité de l’aéroport de Cannes.  

    L’OPPCI LF Résidences Seniors est géré par La Française Real Estate Managers. Le sourcing, l’acquisition ainsi que la gestion immobilière des actifs sont assurés par La Française Real Estate Partners, Conseil en investissement immobilier dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie d’investissement du fonds et filiale de La Française dédiée aux investisseurs institutionnels. 

    « L’acquisition d’une seconde résidence pour seniors Sénioriales nous permet de renforcer notre partenariat avec cet exploitant et le groupe Pierre & Vacances Center Parcs et également de consolider notre positionnement géographique dans la région PACA », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    « Nous sommes heureux que La Française Real Estate Partners renouvelle sa confiance auprès de Senioriales. Notre modèle de résidences en ville, qui correspond aux attentes des séniors autonomes souhaitant conjuguer convivialité et sécurité, se confirme être un investissement d’avenir et ce, sur un marché où la demande locative est en forte croissance », souligne Benjamin Misery, directeur général de Senioriales. 

    « La réalisation de cette résidence service pour seniors illustre le savoir-faire de PITCH PROMOTION dans le domaine des résidences gérées sociales ou médico-sociales, après la réalisation de plusieurs EHPAD, établissements médicaux ou maisons de santé. Nous sommes particulièrement heureux de la confiance que nous témoigne La Française Real Estate Partners pour la réalisation de cette opération », ajoute Christian TERRASSOUX, Président Fondateur de PITCH PROMOTION.

    La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et SLS Ingénierie sur les aspects techniques. 

    Le vendeur était conseillé par la SCP Catherine Giraud Dimeglio et Vincent Vialatte, notaires associés. 

    Risques associés à l’OPPCI LF Résidences Seniors : perte en capital, risque de gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risques liés à l’effet de levier, défaut de l’exploitant, crédit et taux.

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    news-1330 Fri, 02 Nov 2018 10:39:19 +0100 Grande forme après 100 ans de performances /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/grande-forme-apres-100-ans-de-performances/ Cette semaine marque la 100e édition d’Alger On the Money, un programme qui vise à informer nos clients grâce à des informations essentielles. Pour commémorer cet événement, revenons sur 100 années de croissance des bénéfices et de performances boursières aux États-Unis.

    • Chez Alger, nous apprécions tout particulièrement la remarque de Benjamin Graham : « À court terme, le marché est une machine à voter, mais à long terme, c’est une balance ». Le graphique ci-dessus indique que le marché boursier américain soupèse clairement les bénéfices car sa valeur a augmenté parallèlement à celle des bénéfices par action (BPA) au cours des 100 dernières années.

    • Le S&P 500 a progressé d’environ 10 % chaque année au cours du siècle écoulé. Un investissement de 1 000 dollars début 1918 vaudrait à fin 2017 plus de 20 000 000 dollars. La question que se posent aujourd'hui les investisseurs est « quelles perspectives pour les mois à venir ? ». Selon Alger, le PER de départ est le premier indicateur de la performance des marchés boursiers (voir Alger On the Money « The Single Greatest Predictor of Future Stock Market Returns »), et si les corrélations historiques entre les valorisations de départ et les performances à 10 ans se poursuivent dans le temps, la progression annuelle du S&P 500 au cours des dix prochaines années devrait être selon nous de 7 % environ.

    • Merci de prendre le temps de lire notre commentaire hebdomadaire. Nous espérons qu’il vous sera utile. En espérant que les 100 prochaines années révèlent d'aussi solides bénéfices et de nouvelles éditions passionnantes d’Alger On the Money.

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    news-1325 Wed, 31 Oct 2018 18:23:00 +0100 Evolution du délai de jouissance de la SCPI LF Opportunité Immo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-du-delai-de-jouissance-de-la-scpi-lf-opportunite-immo/ A compter du 1er novembre 2018, le délai de jouissance de la SCPI LF Opportunité Immo évoluera selon les modalités suivantes :
    Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 1er novembre 2018 Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 1er novembre 2018
    Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6e mois qui suit le mois de souscription Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4e mois qui suit le mois de souscription


    Nous vous invitons, pour tout complément d’information, à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.

    La note d’information de LF Opportunité Immo a reçu le visa AMF : SCPI n° 17-36, en date du 1er septembre 2017. Elle est disponible gratuitement auprès de la société de gestion.
    La notice a été publiée au BALO n°105 du 31.08.2012, n°101 du 22.08.2014, n°84 du 13.07.2016, n°37 du 27.03.2017, n°116 du 27.09.2017 et n°128 du 24.10.2018. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément de l’AMF n° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE.

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    news-1323 Fri, 19 Oct 2018 14:44:26 +0200 En une minute sur internet /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/en-une-minute-sur-internet/ À mesure que le changement s'accélère et qu’internet connecte les gens les uns aux autres, l’ampleur et la vitesse auxquelles nous communiquons et innovons sont devenues telles qu’elles génèrent des flux d'informations particulièrement utiles pour de nombreuses entreprises.

     

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    news-1320 Wed, 17 Oct 2018 11:30:58 +0200 Du côté des actions :Une polarisation géographique et sectorielle comme résultante des annonces politiques /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-actions-une-polarisation-geographique-et-sectorielle-comme-resultante-des-annonces-poli/ Après un été difficile pour le marché des actions européennes, le mois de septembre reste atone malgré un léger rebond en France et en Italie. La croissance économique mondiale n’est pas remise en cause, pas plus que les résultats des entreprises attendus pour l’ensemble de l’année en Europe ; toutefois, la performance du marché européen reste négative en 2018 alors que le marché américain continue de battre de nouveaux records.

    L’analyse des performances boursières montre une claire polarisation géographique et sectorielle comme la résultante des annonces et situations politiques. Autrement dit, la prime de risque appliquée aux marchés européens, et plus particulièrement de la zone euro, reste élevée. Les flux de capitaux montrent également une défiance des investisseurs internationaux à l’égard de la zone euro, alors que les ‘fondamentaux’ militeraient pour une performance positive en 2018. Les 3 raisons ‘politiques’ que nous avions déjà soulignées restent des éléments bloquants : 

    • Guerre commerciale

    Après des mois de menaces, de récriminations, de négociations, l’Alena a disparu au bénéfice de son proche cousin, l’USMCA pour "Accord Etats-Unis-Mexique-Canada". Le Canada a rejoint le Mexique le 30 septembre dans un accord, qui ne devrait pas bouleverser la nature des échanges entre les trois pays. Cette nouvelle positive pour les échanges internationaux a été éclipsée par une nouvelle annonce du président Trump visant la mise à exécution de sa menace de taxer 200 Mds$ supplémentaires d’importations chinoises au taux de 10 % dès septembre, puis 25 % au 1er janvier 2019. La Chine réagit en annonçant de nouveaux droits de douane allant de 5 % à 10 % sur 60 Mds$ de biens américains dès ce mois d’octobre. Les US ont déjà annoncé qu’en cas de riposte, ils taxeraient la quasi-totalité des importations chinoises. Cette escalade d’annonces a accru une nouvelle fois la pression et les inquiétudes quant aux conséquences à venir de cette opposition.

    • Aucun progrès sur le Brexit au sommet de Salzbourg

    Le risque de non-accord est substantiel et devra attendre, au mieux, le sommet de décembre. Il n’y a aucune garantie qu’un accord soit trouvé avant le 29 mars à minuit, date programmée du Brexit. Le ministre britannique du Commerce, Liam Fox, estimait à 60 % la probabilité d’un "no deal". Le gouverneur Mark Carney a informé le gouvernement des risques économiques et financiers associés au Brexit.

    • Le vote du budget Italien

    Malgré la pression exercée par Luigi Di Maio, leader du Mouvement 5 Etoiles de ne pas voter le budget italien 2019 si toutes ses promesses (instauration d’un revenu citoyen, abaissement de l’âge de départ à la retraite et hausse des pensions) n’y étaient pas retenues, le ministre des Finances Giovanni Tria a tenté de maintenir le déficit à 1.6 % du PIB. Finalement, un accord entre le Mouvement 5 étoiles et la Ligue vise un déficit public à 2,4 % du produit intérieur brut entre 2019 et 2021, loin des 0,8 % espérés par Bruxelles dès l’an prochain. Cette nouvelle source de conflit avec Bruxelles maintient une tension élevée au sein de la zone euro.

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    news-1318 Tue, 16 Oct 2018 11:09:29 +0200 Marchés : quel impact pour l’élection brésilienne ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marches-quel-impact-pour-lelection-bresilienne/ Le premier tour de l’élection présidentielle a été largement dominé par le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro (du partie PSL) avec 46% des voix contre 29.3% pour le candidat de gauche du Parti des travailleurs (PT), Fernando Haddad. Bolsonaro apparait comme le grand favori du 2ème tour qui aura lieu le 28 octobre. Le réservoir de voix, à gauche, apparait assez limité pour le candidat du Parti des travailleurs, les soutiens des autres candidats de gauche (PDT et PSOL) représentant 13.1% des voix du premier tour.

    Pour le deuxième tour, le candidat du PT doit changer de stratégie pour capturer les voix du centre. Il souffre d’un retard important sur Bolsonaro. Le premier sondage de l’entre-deux tours donne 16 points d’avance au candidat Bolsonaro avec 58% des voix vs 42% pour Haddad (Source : Datafolha). Au parlement, le parti de Bolsonaro fait une percée importante dans les deux chambres, il obtient 52 députés à l’Assemblée contre 8 auparavant et devient le deuxième parti avec 10% des sièges derrière le PT qui perd 5 députés (56 sièges). Au Sénat, où il n’était pas représenté jusque-là, il obtient 4 sièges sur 81. Les 2 chambres restent très fragmentées (30 partis à l’Assemblée et 21 au Sénat), et quel que soit le candidat victorieux, il devra composer avec de nombreux partis pour constituer une majorité. Il n'est donc pas certain que l'un ou l'autre candidat soit en mesure de réussir les réformes nécessaires, notamment la réforme des retraites qui est en stand-by depuis plus de 2 ans.

    Les propositions économiques du candidat Bolsonaro, poussées par son conseiller économique Paulo Guesdes, ont une orientation clairement libérale. Elles favorisent, notamment, un désengagement de l’Etat dans les compagnies étatiques qui permettrait de réduire l’endettement public, la mise en place d’un régime parallèle de retraite par capitalisation, une baisse des taxes. Les propositions du candidat du PT sont nettement moins libérales. Elles sont favorables à la suspension de la politique de privatisation des entreprises stratégiques pour le développement national, et s’opposent à la réforme du code du travail, votée en 2017, qui visait à renforcer la compétitivité des entreprises et au plafonnement des dépenses budgétaires. Haddad est cependant perçu comme étant économiquement plus centriste que son parti. En cas de victoire de Bolsonaro, le secteur privé bénéficierait d’une plus grande ouverture à la concurrence notamment dans le secteur énergétique.

    Le marché brésilien intègre en grande partie la victoire de Bolsonaro, les investisseurs se sont positionnés en faveur de ce scénario. Depuis la fin du mois d’août le réal a été la devise émergente la plus performante face au dollar, s’appréciant de +10%. Dans le même temps, les devises émergentes ne bougeaient pas face au dollar (ref. tableau 1). Les taux locaux ont également intégré partiellement une victoire du candidat du PSL, en révisant à la baisse les anticipations de hausse du taux directeur de +40 pb sur les trois prochains mois contre +100 pb, à fin août. Enfin, la prime de risque de la dette brésilienne à 10 ans en dollar s’est réduite de 98 pb, en passant de 329 pb à 231 pb (Source : Bloomberg).

    Les conséquences des élections brésiliennes sur les marchés émergents devraient être faibles. En effet, si depuis le début du mois de septembre les anticipations d’une victoire de J. Bolsonaro ont eu un impact positif sur les actifs brésiliens (la bourse, les taux locaux, la devise et la dette externe), cela n’a pas été le cas pour les autres marchés émergents (ref. tableau 1). Les pays les plus susceptibles d’être touchés par la santé économique brésilienne seraient les pays membres du marché commun Sud-Américain (MERCOSUR), la Bolivie, le Paraguay, l’Argentine et l’Uruguay. Ils ont parmi leurs principaux clients, le Brésil (ref. tableau 2).

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    news-1317 Fri, 12 Oct 2018 11:47:52 +0200 Club Expert Flexible : forte baisse des marchés ? Décryptage avec La Française, Sycomore AM et CPR AM /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/club-expert-flexible-forte-baisse-des-marches-decryptage-avec-la-francaise-sycomore-am-et-cpr-a/ François Rimeu, Stratégiste à La Française AM, a participé au Club Expert Flexible aux côtés de Malik Haddouk, Directeur de la gestion diversifiée CPR AM, et de Stanislas de Baillencourt, Gérant chez Sycomore AM. L'émission, animée par Jean-François Filiatre et Georges de la Taille, évoque plusieurs thèmes : la baisse des marchés, la hausse des taux, et l'avenir de la gestion flexible.

    Retrouvez l'intégralité du replay ci-dessous.

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    news-1316 Fri, 12 Oct 2018 10:56:44 +0200 Découvrez la dernière édition de "En Particulier", la Lettre de la Gestion Privée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-de-en-particulier-la-lettre-de-la-gestion-privee0/ Décidemment, les années se suivent et ne se ressemblent pas. Alors que l’an dernier, nous attendions le train de réformes annoncées avec assurance par le nouveau gouvernement et sa majorité, les derniers jours de cet été ont plutôt été marqués par la valse-hésitation de nos dirigeants sur la mise en place du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu. Ce sentiment de flottement, renforcé par les soucis politiques auxquels l’exécutif est confronté, contribue à l’ambiance particulièrement lourde qui règne sur les marchés suite aux sanctions douanières prises par le Président Trump et leurs impacts sur l’ordre économique mondial. Vous trouverez en pages 2 et 5 nos analyses sur ces derniers évènements et leurs conséquences. Mais alors que Donald Trump est revenu sur les engagements pris par les Etats-Unis lors de la COP 21, Le Groupe La Française souhaite maintenir son cap et nous vous présentons comment l’investissement « vert » peut s’inscrire dans le cadre du Grand Paris. Et comme l’Autorité des Marchés Financiers vient d’agréer la dernière-née de nos SCPI consacrée au Grand Paris nous profitons de ce numéro pour mieux vous la présenter !

    Investir dans l’immobilier peut toutefois revêtir plusieurs formes. Nous avons donc tenté de vous présenter un récapitulatif des différents modes et solutions d’investissement et leur fiscalité. Nous espérons avoir su relever ce défi ! 

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    news-1315 Fri, 12 Oct 2018 10:21:47 +0200 Du côté des taux : Casino : Une attaque à tort ou à raison ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-taux-casino-une-attaque-a-tort-ou-a-raison/ Les nouvelles habitudes de consommation, centrées sur les commerces de proximité et les livraisons à domicile, ont remis en question le modèle traditionnel de la grande distribution française. Pour survivre, les acteurs français doivent évoluer et ce, au même rythme que ces nouvelles habitudes se développent. Si une consolidation du secteur est envisagée par la majorité des investisseurs, les défauts retentissants de distributeurs anglo-saxons ont accentué le poids accordé à la valorisation des dettes des acteurs dans la détermination de la prochaine entreprise en difficulté. Le complexe Casino-Rallye, connu pour ses dettes à chaque échelon et sa complexité financière a, de facto, concentré les craintes du marché sur le secteur. Sous la pression des ventes à découvert, l’action Casino avait, au 5 septembre, perdu 47 % de sa valeur depuis le début de l’année. A ce niveau, nous ne pouvons plus parler de craintes mais bien d’une attaque. Aujourd’hui, Casino nous paraît sous-évalué avec une capitalisation inférieure à la valorisation estimée de Monoprix.

    Revenons sur la structure du groupe : la majorité des dettes du groupe est détenue par la maison mère de Casino, Rallye, ce qui force Casino à verser des dividendes récurrents importants afin que Rallye puisse assurer le paiement des intérêts de ses dettes. Pour obtenir des financements, Rallye prête des actions Casino aux banques. Plus l’action Casino baisse et plus Rallye doit nantir des actions en échange de ces financements. L’idée des fonds activistes est donc de faire baisser au maximum l’action Casino pour assécher le financement de Rallye afin que celle-ci fasse défaut et que Casino soit soulagé du poids des dettes de Rallye. A ce stade, on pourrait conclure que Casino a été attaqué à raison, pour protéger son futur et lui permettre de réaliser les investissements nécessaires. Cependant, ceci est théorique.

    En pratique, Jean-Charles Naouri, PDG et principal actionnaire du groupe Casino, mène la stratégie du groupe avec succès depuis 26 ans. Certes, le groupe a une dette élevée mais nous ne considérons pas que la situation soit critique. Pour répondre à la nouvelle demande, assurer ses conditions d’offre et ses sources de financement, le groupe possède une palette d’options.

    En dehors du soutien historique des banques françaises au groupe, comme en témoigne la facilité de crédit accordée ce mois-ci à Rallye sans demande de garantie, nous considérons comme tout à fait envisageable que Casino s’allie avec un acteur du online tel qu’Amazon ou un acteur traditionnel de la grande distribution française qui offrirait des synergies et une meilleure compétitivité. De même, pour répondre à ses besoins de liquidités, le groupe possède aussi bien des actifs immobiliers que des participations monnayables à court et moyen terme tels que Cdiscount, Monoprix ou GPA en Amérique Latine.

    Casino reste une entreprise reconnue avec des sources de financement possibles lui permettant de pérenniser son future et sa transformation stratégique tout en étant un bon candidat pour une possible consolidation sectorielle. Casino a notamment révélé avoir entretenu des discussions avec Carrefour en septembre, et des rumeurs de marché véhiculent des discussions entre Casino et Auchan, ce qui serait le plus sensé d’un point de vue concurrentiel selon nous.

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    news-1314 Thu, 11 Oct 2018 17:45:02 +0200 Italie, Royaume-Uni, Etats-Unis... La rentrée est politique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/italie-royaume-uni-etats-unis-la-rentree-est-politique/ Comme prévu, mais il ne fallait pas être grand clerc pour cela, le mois de septembre n’a été qu’une succession de nouvelles politiques et il en sera très certainement de même pour le mois d’octobre.

    Commençons par l’Italie. Malgré la bonne volonté de M. Tria et ses annonces d’un déficit budgétaire inférieur à 2 % du PIB, ce sont MM. Salvini et Di Maio qui ont eu gain de cause in fine, avec un déficit 2019 prévu à 2,4 %. Le chiffre en lui-même n’est pas si alarmant que cela, surtout au regard des déficits français ou espagnol, mais il est extrêmement fragile (hypothèses de croissance sans doute trop élevées) et ne permettra pas une stabilisation de la dette italienne.

    Il est probable que la commission européenne s’offusque de ce dérapage, mais elle n’a finalement que peu de pouvoirs de sanctions réellement applicables. Le Président Mattarela, que l’on n’a pas entendu cet été, pourrait lui aussi s’inviter dans les discussions et s’appuyer sur les articles 81 et 97 (sur la soutenabilité de la dette) pour infléchir certaines positions mais cela semble difficile. Tous ces développements ne changent pas notre positionnement sur l’Italie : nous restons à l’écart tant que la situation politique ne sera pas éclaircie.

    M. Trump a, lui, de son côté, renégocié les accords de l’Aléna (USMCA) sans que ceux-ci soient modifiés de manière substantielle, mais cela pourrait lui valoir quelques suffrages en vue des élections de mi-mandat. Ses menaces vis-à-vis de la Chine ont été mises en application avec une taxe de 10 % sur 200 milliards de dollars de produits chinois importés ; le marché craignait un taux de 25 % de taxe (qui n’interviendra qu’en 2019) et les représailles chinoises sont pour le moment contenues (taxe sur 60 millards de dollars d’importations), raisons pour lesquelles les marchés n’ont quasiment pas réagi.

    Les négociations concernant le Brexit restent difficiles, avec le rejet du plan "chequers" de la part des Européens. Il reste peu d’options viables pour Theresa May, même si elle arrive à trouver un accord avec les Européens (au prix d’importantes concessions), celui-ci aura en effet beaucoup de difficultés à être voté au Parlement. La piste d’un nouveau referendum, écartée il y a encore quelques semaines, ne semble plus si improbable aujourd’hui étant donné l’impasse politique actuelle.

    Le monde émergent va, lui, en revanche un peu mieux, avec une banque centrale turque qui a enfin augmenté ses taux et une Argentine qui a obtenu suffisamment de garanties du FMI (50 mds + 7 mds) pour rassurer le marché. Tous les problèmes ne sont pas réglés, mais la situation s’est stabilisée.

    Dans ce contexte hautement incertain et dominé ce mois-ci encore par des problématiques politiques, nous maintenons des paris limités : pas d’exposition à l’Italie, peu de positions vendeuses de taux "core" ou sur la sphère financière et expositions actions proches des indices. Nous maintenons un avis légèrement positif (mais sélectif) sur les émergents.

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    news-1313 Mon, 08 Oct 2018 11:00:52 +0200 Le Rendez-vous Obligataire de La Française - 2ème édition /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-rendez-vous-obligataire-de-la-francaise-2eme-edition/ Début octobre s’est tenue la 2ème édition du Rendez-Vous Obligataire de La Française, un dialogue Clients - Gérants auquel étaient conviés une trentaine d’investisseurs institutionnels. Faisant suite à une première rencontre en février dernier, cet échange mené par 4 gérants obligataires et le CIO Jean-Luc Hivert, a de nouveau donné lieu à des débats très riches sur l’environnement macroéconomique et ses implications sur les marchés obligataires. Une bonne orientation macroéconomique mais… attention aux risques politiques ! 

    Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income & Cross Asset, a passé en revue l'environnement macroéconomique global, qui reste bien orienté en particulier aux Etats-Unis même si des risques politiques sont à surveiller.

     

     

    Les investisseurs ont ensuite pu échanger avec nos gérants experts sur des segments clés du marché obligataire :

    Inflation et dette souveraine : Sommes-nous à l’aube d’une poussée inflationniste ? Reste-t-il des opportunités sur les taux dans cet environnement politique risqué ? 


    Maud Minuit, Responsable de la gestion Obligataire et Performance absolue, a abordé le sujet des risques inflationnistes aux Etats-Unis mais aussi en Europe. Elle a ensuite illustré la nécessité d’une approche sélective au sein des pays périphériques et a rappelé le cycle vertueux actuellement en place au Portugal.

     

    Dette émergente : Un potentiel de rendement élevé grâce à de bons fondamentaux 

    Tout en soulignant le potentiel de performance élevé des marchés émergents, Georges Farré, Responsable Emergents, a fourni un éclairage de contexte sur les différentes crises récentes dans cette zone - toutes ayant des raisons individuelles et spécifiques. 

     

     

    Dette subordonnée : Une actualité macroéconomique et politique mouvementée – quels impacts sur les obligations subordonnées ? 

    Les dettes subordonnées, et plus particulièrement bancaires, sont une des spécialités de La Française depuis plus de 10 ans au sein de l’équipe Crédit de Paul Gurzal, Responsable Crédit. Ce dernier a rappelé leurs fondamentaux solides qui devraient leur permettre d’absorber des chocs bien plus importants que ceux connus ces derniers mois. La hausse des taux attendue devrait en outre bénéficier aux banques dont la qualité des actifs s’améliore.

     

    Crédit High Yield : Quelles perspectives pour les obligations Haut Rendement dans un contexte de hausse des taux ?  


    Comme confirmé par Akram Gharbi, Gérant High Yield, cette classe d’actifs demeure une de nos convictions principales. Des taux de défaut globalement faibles, des facteurs techniques favorables, une classe d’actifs bénéficiant des fondamentaux économiques et non forcément corrélée à la hausse des taux en font selon nos analyses un segment attractif. Notre préférence se porte sur le HY européen, le HY US affichant des valorisations élevées et un coût de couverture dissuasif et le HY émergent au momentum incertain malgré des valorisations attractives.

     

     

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    news-1312 Fri, 05 Oct 2018 10:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un ensemble immobilier de bureaux à Toulouse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-ensemble-immobilier-de-bureaux-a-toulouse/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Carrere, un ensemble de bureaux en VEFA d’une surface utile de 4 800 m². L’ensemble immobilier est situé au sein du secteur « Borderouge », au Nord-Ouest de Toulouse. Il s’agit d’une nouvelle zone mixte en plein développement. Le projet est composé de deux bâtiments indépendants de 2 443 m² et 2 437 m² utiles chacun. La livraison est prévue pour le 2ème trimestre 2019.

    L’ensemble est pré-loué à 60% à Loft One (société d’administration de biens).

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Multimmobilier 2 et Pierre Privilège.

    La Française REM était assistée par le cabinet notarial Montré, Cartier, l'Herminier, et Bouton-Hugues ; le vendeur, quant à lui, était assisté par l’étude Leclerc.

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    news-1308 Mon, 01 Oct 2018 18:27:17 +0200 Quelle tendance pour la dette subordonnée ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quelle-tendance-pour-la-dette-subordonnee/ Paul Gurzal, Head of Credit, La Française AM, expose ses convictions.

    Quel a été l’impact de la crise turque et de la crise italienne sur le segment des dettes subordonnées ?

    Le mois d’août a été un mois difficile pour la classe d’actifs, du fait notamment des pays émergents et de l’Italie.

    Cependant, l’impact de la crise turque sur les fondamentaux des banques est moins important qu’il n’y parait. Leurs expositions ne mettent pas, à notre avis, en danger leur profil de crédit. Nous estimons que dans le cas où la valeur de leurs filiales turques serait réduite à zéro, les fonds propres des banques resteraient solides par rapport aux exigences règlementaires.

    Pour ce qui est de l’Italie : les banques et les compagnies d’assurances détiennent de la dette publique locale, ce qui les lie financièrement à la performance de cette dernière. La volatilité de la dette publique Italienne n’est pas franchement un problème pour les banques si on exclut la restructuration de cette dernière. En effet, une partie importante de la dette publique détenue n’est pas valorisée. La solvabilité de banques italiennes telles qu’UniCredit et Intesa Sanpaolo, pourrait, à notre avis, absorber des pertes dues à la volatilité du BTP, sans que cela ne vienne remettre en cause sa conformité avec les exigences réglementaires de la BCE, ou les paiements de coupons sur les dettes Additional Tier 1 CoCos.

    Concomitamment à la fragilisation du secteur par l’actualité macroéconomique et politique, un certain nombre de fonds importants de cette classe d’actifs ont subi de la décollecte depuis 6 mois, ce qui induit mécaniquement des pressions vendeuses, notamment sur les CoCo’s et les Legacy Tier 1. Ces outflows se sont accentués pendant la période estivale, période où la liquidité est toujours moindre.

    Cela nous conforte dans l’idée qu’un positionnement sur la partie liquide du segment, avec une diversification sectorielle (banque, assurances et émetteurs non financiers) est primordial.

    Le newsflow sur la classe d’actif est-il uniquement négatif ?

    Non, bien au contraire.

    Du point de vue des risques, la tendance actuelle est bonne : le risque bancaire est en train de diminuer fortement.

    La période de résultats a été positive dans l’ensemble pour le secteur bancaire. La solvabilité des banques reste solide au regard des exigences du régulateur. (Source : Credit Suisse – ”Attractive Relative Value – Taking profits on low backend AT1 shorts” – 23 August 2018)

    La réduction des créances douteuses dans les bilans est positive pour la qualité de crédit des banques périphériques.

    Nous avons constaté une forte diminution des encours de Non Performing Loan au T2 des banques espagnoles et italiennes, avec l’accélération des cessions d’une partie de leurs portefeuilles de prêts douteux.

    Les banques ont donc, à notre avis, une trajectoire positive quant à l’amélioration de la qualité de leurs actifs et de leur solvabilité…. Reste la question de la rentabilité. La classe d’actif est-t-elle attractive selon vous ?

    Nous pensons qu’en comparaison avec d’autres segments de la classe d’actifs crédit, les dettes subordonnées restent en effet attractives.

    L’écartement des spreads a été plus important sur les subordonnées que sur le High Yield et les subordonnées bancaires et d’assurances sont aujourd’hui nettement décotées, avec des émetteurs mieux notés.

    La liquidité est bel et bien revenue sur ce segment : l’appétit des investisseurs pour les CoCo’s s’est traduit lors des émissions récentes de Rabobank, Crédit Suisse ou Bankia, qui ont été largement sursouscrites. La bonne tenue du marché témoigne de la confiance du marché vis-à-vis de la classe d’actifs.

    Enfin, dans un contexte où la première hausse de taux de la BCE ne devrait pas se matérialiser avant le mois d’octobre de l’année prochaine, la classe d’actif reste une solution potentielle.

    Suite au récent repricing, on peut attendre un rendement en euro de l’ordre de 4%, ce qui peut être intéressant pour des investisseurs en mal de rendement.

    Avertissement :

    Ce document s’adresse aux investisseurs professionnels au sens de la Directive MIF II. Il est fourni exclusivement à titre informatif et éducatif et n’est pas destiné à tenir lieu de prévision, de produit de recherche ou de conseil en investissement, et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, invitation ou recommandation d’investir dans des placements particuliers ou d’adopter une quelconque stratégie d’investissement. Les avis exprimés par le Groupe La Française reposent sur la configuration actuelle des marchés et sont susceptibles d’être modifiés sans préavis. Ces avis peuvent être différents de ceux d’autres professionnels de l’investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d’investissement sous le numéro d’immatriculation 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997

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    news-1305 Mon, 01 Oct 2018 11:50:08 +0200 Modification Produits – CMNE Participations Actions Monde /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-produits-cmne-participations-actions-monde/ Nous vous informons que dans le cadre de modifications intervenues sur son fonds maître La Française Lux - Inflection Point Zero Carbon, désormais renommé « La Française Lux – Inflection Point Carbon Impact Global », les modifications suivantes s’appliqueront sur le fonds CMNE Participations Actions Monde à compter du 01/10/2018 :
    • Objectif de gestion du fonds CMNE Participation Actions Monde : Le fonds aura pour objectif, au travers de l'investissement dans la part I du fonds maître La Française LUX - Inflection Point Carbon Impact Global, de générer une croissance du capital à long terme, en sélectionnant des valeurs selon un processus tenant compte de critères extra-financiers (sociaux, environnementaux et de gouvernance d'entreprise) ainsi que de critères visant à tendre vers une empreinte carbone neutre au niveau du portefeuille. Sa performance sera inférieure à celle du maître compte tenu de ses propres frais de gestion.
    • Stratégie d’investissement du fonds maître : 

    - Introduction de la possibilité d’investir non plus seulement sur des sociétés ayant déjà atteint une efficacité carbone supérieure à des sociétés comparables mais également celles qui démontrent une réduction significative de leurs émissions de CO2 ou qui fournissent des moyens de réduire l’empreinte carbone 

    - La sélection des actions s’opèrera selon un processus d‘investissement qui est composé en 3 phases :

              - Un filtre E.S.G. appliqué à l’univers d’investissement

              - Une évaluation environnementale, financière et stratégique de chaque entreprise appartenant à l'univers après filtrage E.S.G.

              - Une construction rigoureuse et itérative d’un portefeuille qui minimise l’empreinte carbone

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds CMNE Participations Actions Monde disponible sur le site.

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    news-1302 Fri, 28 Sep 2018 14:35:50 +0200 Point de vue sur les valorisations des valeurs de croissance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/point-de-vue-sur-les-valorisations-des-valeurs-de-croissance/ Si certains investisseurs s’inquiètent de la hausse des prix des valeurs de croissance par rapport à l’ensemble du marché, les statistiques historiques indiquent qu’à long terme, les niveaux de valorisation actuels pourraient être le point de départ de solides performances annualisées aux États-Unis. Ainsi, fin août, le ratio cours/bénéfices de l’indice Russell 1000 Growth présageait d’une possible performance annualisée sur 10 ans qui nous paraît attractive en comparaison avec nos prévisions pour les rendements des obligations, sur la base de la relation historique entre valorisations et performances à long terme. Le niveau global des valorisations est un moteur des performances à long terme Décembre 1978 à août 2018

    Le coefficient de détermination, noté « R² », dépeint le degré de mouvement d'une variable pouvant être  attribué à une autre. Dans le cas présent, quasiment 80 % de la performance à 10 ans de l’indice Russell 1000 Growth s’explique par le niveau de départ du ratio cours/bénéfices (PER).

    • Les valorisations des valeurs de croissance sont supérieures à celles du marché dans son ensemble mesuré par l’indice S&P 500. Et il y a de bonnes raisons à cela. Les valeurs de croissance présentent de meilleurs taux de croissance et de rendement du capital, ainsi qu’un endettement moins élevé (voir p. 23 de la Présentation des marchés à l'été 2018).

    • Considéré de manière absolue, le niveau de valorisation des valeurs de croissance peut être une source d’inquiétude. Toutefois, au regard des chiffres historiques, le PER de 21x de l’indice Russell 1000 Growth (au 31 juillet 2018) est corrélé au fort taux de performance annualisé sur 10 ans, d’environ 7 %, apparaissant dans la régression ci-dessus.

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    news-1297 Fri, 28 Sep 2018 09:09:00 +0200 La Française Asset Management absorbe sa filiale dédiée aux actions LFIP /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-asset-management-absorbe-sa-filiale-dediee-aux-actions-lfip/ Dans le cadre de son développement, le Groupe La Française a souhaité revoir l’organisation juridique de son pôle de Gestion Valeurs Mobilières. Ainsi, le 1er octobre prochain, les activités relatives à la gestion Actions exercées aujourd’hui par La Française Inflection Point seront transférées par fusion simplifiée à sa maison mère, La Française AM, qui regroupera l’ensemble des expertises valeurs mobilières du Groupe Cette réorganisation purement juridique n’entraînera aucun changement concernant le mode de gestion et vos interlocuteurs habituels

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    news-1296 Thu, 27 Sep 2018 10:53:28 +0200 Le Crédit Mutuel Nord Europe remporte la deuxième place de la Corbeille d’Or /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-credit-mutuel-nord-europe-remporte-la-deuxieme-place-de-la-corbeille-dor/ Mieux Vivre Votre Argent, magazine de l’épargne reconnu avec une audience de 834 000 lecteurs tous les mois (source ONE 2017), a remis lundi 24 septembre les Corbeilles de la gestion collective à l’occasion de sa 33ème édition. Devenu une référence au fil des ans, ce prix vise à récompenser les meilleures gammes des réseaux bancaires et de leurs gestionnaires à travers un nombre de catégories limité. news-1295 Wed, 26 Sep 2018 17:07:54 +0200 Un événement dans le cadre de la semaine de la Finance Responsable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-evenement-dans-le-cadre-de-la-semaine-de-la-finance-responsable/ Dans le cadre de la semaine de la Finance responsable, La Française propose un « Regards Croisés »

    Avec Corinne Lepage (Ancienne Ministre de l’environnement, Députée européenne 2009-2014, Avocate, co-présidente du mouvement des entrepreneurs pour la nouvelle économie)  et Laurent Jacquier Laforge, Chief Investment Officer Equity, Directeur de La Française AM sur le thème :

     

    Transition énergétique, transition écologique, quel rôle pour les acteurs de la finance ?

    Le mardi 2 octobre à 17h45, sur inscription auprès de communicationISR@la-francaise.com

     

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    news-1293 Tue, 25 Sep 2018 17:31:06 +0200 La Française propose une nouvelle solution d’épargne immobilière en compte titres et lance LF OPSIS Epargne Immobilière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-propose-une-nouvelle-solution-d-epargne-immobiliere-en-compte-titres-et-lance-lf-opsis/ Face à l’intérêt des épargnants pour des solutions d’investissement immobilières bénéficiant d’une fiscalité attractive, La Française innove et crée LF OPSIS Epargne Immobilière. Cet OPCI (Organisme de Placement Collectif en Immobilier) est la première solution d’épargne collective offrant jusqu’à 85% d’exposition en immobilier* accessible uniquement en compte-titres. Cet OPCI (Organisme de Placement Collectif en Immobilier) est la première solution d’épargne collective offrant jusqu’à 85% d’exposition en immobilier* accessible uniquement en compte-titres.

    LF OPSIS Epargne Immobilière bénéficie des dernières évolutions fiscales et réglementaires qui, depuis le 1er janvier 2018 et l’entrée en vigueur du Prélèvement Forfaitaire Unique (ou Flat Tax), prévoient un taux d’imposition total désormais plafonné à 30% pour les OPCI.

    Cette nouvelle solution d’épargne permet aux investisseurs particuliers d’accéder simplement, via leur compte-titres, au marché de l’immobilier d’entreprise. Avec un versement initial minimum de 100 €, ils pourront ainsi se constituer un capital immobilier adapté à leur capacité d’épargne et opter pour des versements ponctuels ou réguliers. Ils bénéficieront, par ailleurs, des avantages des OPCI, qui offrent une mutualisation des risques immobiliers liée à la diversification des actifs sélectionnés, mais également un potentiel complément de revenus et de potentielles plus-values.

    LF OPSIS Epargne Immobilière est un OPCI principalement investi en immobilier d’entreprise. Sa principale innovation réside en l’allocation de la poche immobilière qui peut atteindre jusqu’à 85% de l’actif (les OPCI distribués à la fois en Assurance-Vie et en compte-titres proposent généralement une allocation de 60% maximum en immobilier). La poche immobilière de l’OPCI sera composée d’actifs immobiliers physiques (bureaux, commerces, locaux d’activités...), détenus directement ou indirectement au travers de véhicules intermédiaires, de type SCI ou SAS, et de titres de foncières cotées française et paneuropéennes (à hauteur de 9% maximum de la valeur des actifs gérés). Une poche financière, qui représentera 10% minimum au total, contiendra des parts ou des actions d’OPCVM/FIA de droits français ou européens, des actions et obligations ainsi que des titres à sous-jacents immobiliers. Enfin, une poche de liquidité viendra compléter l’allocation globale à hauteur de 5% minimum.

    LF OPSIS Epargne Immobilière a pour objectif d’offrir une distribution régulière de dividendes et une revalorisation de la valeur des actions sur un horizon de détention à long terme (8 ans).

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF OPSIS Epargne Immobilière, conclut : « La Française est reconnue pour son expérience en immobilier d’entreprise et sa capacité à innover sur le marché. Les évolutions réglementaires et fiscales nous ont incités à trouver de nouvelles solutions d’épargne immobilière. Notre volonté étant de continuer à innover pour toujours mieux répondre aux nouvelles demandes des épargnants, LF OPSIS Epargne Immobilière est notre nouvelle solution permettant d’associer épargne régulière et immobilier ».

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    news-1284 Fri, 14 Sep 2018 10:24:56 +0200 Elections de mi-mandat : le marché y survivra-t-il ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/elections-de-mi-mandat-le-marche-y-survivra-t-il/ Si le contexte de faibles taux d'intérêt et de solides bénéfices est positif pour les actions cette année, les élections américaines de mi-mandat qui se tiendront le 6 novembre prochain dicteront l'avenir des centaines de sièges du Congrès américain. Quelle sera la réaction du marché américain ? Progression du marché à la suite des élections de mi-mandat (1986-2014)

    - Compte tenu de la situation politique à Washington D.C., l’on pourrait s'attendre à ce que la possibilité d’un changement de parti majoritaire lors des élections de mi-mandat pénalise le marché boursier.

    - Historiquement, les marchés américains ont néanmoins tendance à accueillir favorablement la période de clarté qui suit les élections, affichant en moyenne depuis 1986 une solide performance de 6 % dans les trois mois qui suivent les élections de mi-mandat. Sur cette même période, la performance moyenne s'élève même à 13 % dans les 12 mois suivant les élections. Ainsi, si l’on se fie aux passé, le marché pourrait trouver un certain confort dans le déroulement de ces élections cette année aussi.

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    news-1281 Thu, 13 Sep 2018 10:59:00 +0200 Du côté des actions, "la menace du protectionnisme" et "la volatilité du marché financier" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-actions-la-menace-du-protectionnisme-et-la-volatilite-du-marche-financier/ Aux prémices de l’été, nous avions adopté une attitude tactiquement prudente et fondamentalement positive. Deux mois se sont écoulés et nous pouvons observer de nouveaux nuages à l’horizon. La Banque Centrale Européenne, dans sa déclaration de politique monétaire, a identifié deux risques majeurs : "La menace du protectionnisme" et "la volatilité du marché financier"

    Au niveau macro-économique, les indicateurs ont continué de se détériorer dans la plupart des régions du globe. Particulièrement en Europe, la France a dû abaisser ses prévisions de croissance du PIB de 0.3pt en 2018 et 0.2pt en 2019 et l’Allemagne a vu ses commandes à l’industrie se réduire.

    "Les menaces du protectionnisme"

    Le 1er round de la guerre commerciale est désormais acté suite à la seconde portion de 50 milliards d’importations venant tout juste de prendre effet. Cela porte le total d’échanges bilatéraux taxés à 190 milliards de dollars. Le 2nd round pourrait être bien plus important avec 260 milliards de biens concernés. Enfin, même si le spectre d’une taxation des biens automobiles semble s’éloigner, celle-ci pourrait concerner 360 milliards de dollars d’importations américaines. Ce bras de fer entre les Etats-Unis et ses partenaires commerciaux a des impacts sur la confiance des entreprises, et l’investissement de celles-ci s’est sensiblement réduit depuis le début de cette guerre commerciale.

    Le risque politique ou "la volatilité du marché financier"

    L’Italie reste la première source d’inquiétude de la BCE. Au-delà des problèmes structurels de l’économie italienne, l’accession au pouvoir d’une coalition eurosceptique contribue à déstabiliser la zone euro. Alors que la 1ère version du budget européen 2019 doit être rendue pour le 27 septembre, M. Salvini milite pour plus de largesses budgétaires dans le but d’accroître les dépenses sociales, de réduire les impôts et de financer de grands projets d’infrastructure. Ces revendications mettent sous pression la dette italienne, voire celle de l’ensemble de la zone euro.

    Divergence de performance entre les marchés américains et européens

    Malgré une appréciation du dollar depuis le début de l’année, le S&P500 a surperformé le Stoxx Europe 600 de plus de 13 points (exprimé en EUR). La comparaison est encore plus criante contre les marchés émergents. Le marché américain, aujourd’hui plus que jamais, semble être un refuge pour les investisseurs.

    L’Europe reste attractive avec une valorisation à 13,7x les bénéfices des 12 prochains mois contre une moyenne 5 ans à 14,5x. Les Etats-Unis sont à 17x contre une moyenne historique à 16,4x.

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    news-1280 Wed, 12 Sep 2018 15:35:00 +0200 Du côté des taux, la volatilité est de mise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-taux-la-volatilite-est-de-mise/ Les marchés de la dette émergente ont connu un mois d’août très volatil. Les primes de risque ont atteint 375 bps au plus haut le 13 août (284 bps au 31/12/2017), concomitamment au dernier mouvement de décrochage de la monnaie turque qui a atteint, elle aussi, un plus bas contre Dollar US à 7.23 (50 % de dépréciation contre USD).

    L’Italie sera sous haute surveillance ce trimestre dans l’attente des propositions concernant son budget 2019. Cacophonie politique entre les leaders M. Salvini et M. Di Maio d’un côté et M. Tria et M. Conte de l’autre, fortes incertitudes sur le budget, révision à la baisse de la croissance et risque à terme de nouvelles élections : même si le marché semble aujourd’hui intégrer une certaine prime de risque, nous restons toujours à l’écart de l’Italie.

    Sur le front protectionniste, M. Trump conserve un ton toujours aussi agressif vis-à-vis de la Chine. Le 5 septembre se termine la consultation publique concernant les taxes sur 200 Mds$ de produits importés, et peu de doutes demeurent quant au résultat de cette consultation. Comme il est probable que les Chinois annoncent des représailles, la situation ne devrait pas se stabiliser à court terme. Des incertitudes demeurent aussi du côté de l’ALENA, avec des discussions houleuses entre Etats-Unis et Canada ; tensions que l’on retrouve d’ailleurs entre Washington et Bruxelles alors que des ouvertures pouvaient laisser espérer une issue positive il y a quelques semaines.

    Pas plus de clarté du côté du Brexit alors que les délais pour trouver un accord se réduisent à vue d’oeil. Michel Barnier a pourtant eu des propos rassurants en rappelant qu’il était prêt à proposer un accord avec un niveau de collaboration dont aucun pays tiers n’avait pu bénéficier. Mais les positions des deux camps semblent encore très éloignées sur les sujets les plus sensibles (frontière irlandaise, libre circulation des personnes, etc…) et la position de Theresa May au sein de son propre parti toujours aussi inconfortable.

    L’actualité sera aussi émergente avec une situation qui ne cesse de se dégrader en Argentine et en Turquie. Si dans le cas de l’Argentine cela devrait se stabiliser grâce au FMI, l ’évolution de la Turquie dépendra en grande partie de la volonté de ses institutions ; l’inflation galopante et une devise en chute libre demandent une très forte réaction de la banque centrale et donc que M. Erdogan accepte enfin un peu plus d’orthodoxie monétaire.

    Dans ce contexte très incertain, nous conservons aujourd’hui des convictions très modérées : exposition actions proche des indices de référence, sous-sensibilité sur les taux "core" réduite et paris émergents très spécifiques. Nous maintenons en revanche notre vue positive sur les points morts d’inflation, ceux-ci n’ayant pas réagi à la hausse des perspectives d’inflation depuis le début de l’année.

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    news-1279 Tue, 11 Sep 2018 15:06:31 +0200 Italie, Turquie, Royaume-Uni, Etats-Unis... La rentrée sera politique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/italie-turquie-royaume-uni-etats-unis-la-rentree-sera-politique/ Les tendances en place avant l’été ont perduré durant les deux derniers mois, avec encore une fois une nette surperformance des marchés d’actions américains et des problématiques politiques toujours très présentes dans le monde émergent et en Europe. Le contexte macroéconomique reste cependant globalement porteur dans la majorité des zones du globe, à l’exception de certains pays émergents, et ce même si la dynamique est moins forte qu’en début d’année.

    L’Italie sera sous haute surveillance ce trimestre dans l’attente des propositions concernant son budget 2019. Cacophonie politique entre les leaders M. Salvini et M. Di Maio d’un côté et M. Tria et M. Conte de l’autre, fortes incertitudes sur le budget, révision à la baisse de la croissance et risque à terme de nouvelles élections : même si le marché semble aujourd’hui intégrer une certaine prime de risque, nous restons toujours à l’écart de l’Italie.

    Sur le front protectionniste, M. Trump conserve un ton toujours aussi agressif vis-à-vis de la Chine. Le 5 septembre se termine la consultation publique concernant les taxes sur 200 Mds$ de produits importés, et peu de doutes demeurent quant au résultat de cette consultation. Comme il est probable que les Chinois annoncent des représailles, la situation ne devrait pas se stabiliser à court terme. Des incertitudes demeurent aussi du côté de l’ALENA, avec des discussions houleuses entre Etats-Unis et Canada ; tensions que l’on retrouve d’ailleurs entre Washington et Bruxelles alors que des ouvertures pouvaient laisser espérer une issue positive il y a quelques semaines.

    Pas plus de clarté du côté du Brexit alors que les délais pour trouver un accord se réduisent à vue d’oeil. Michel Barnier a pourtant eu des propos rassurants en rappelant qu’il était prêt à proposer un accord avec un niveau de collaboration dont aucun pays tiers n’avait pu bénéficier. Mais les positions des deux camps semblent encore très éloignées sur les sujets les plus sensibles (frontière irlandaise, libre circulation des personnes, etc…) et la position de Theresa May au sein de son propre parti toujours aussi inconfortable.

    L’actualité sera aussi émergente avec une situation qui ne cesse de se dégrader en Argentine et en Turquie. Si dans le cas de l’Argentine cela devrait se stabiliser grâce au FMI, l ’évolution de la Turquie dépendra en grande partie de la volonté de ses institutions ; l’inflation galopante et une devise en chute libre demandent une très forte réaction de la banque centrale et donc que M. Erdogan accepte enfin un peu plus d’orthodoxie monétaire.

    Dans ce contexte très incertain, nous conservons aujourd’hui des convictions très modérées : exposition actions proche des indices de référence, sous-sensibilité sur les taux "core" réduite et paris émergents très spécifiques. Nous maintenons en revanche notre vue positive sur les points morts d’inflation, ceux-ci n’ayant pas réagi à la hausse des perspectives d’inflation depuis le début de l’année.

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    news-1278 Tue, 11 Sep 2018 10:33:18 +0200 SCPI LF Grand Paris Patrimoine : Réouverture du marché des parts /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/scpi-lf-grand-paris-patrimoine-reouverture-du-marche-des-parts/ La SCPI LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa numéro 18-25 en date du 21 aout 2018. La réouverture du marché des parts a lieu à compter du 7 septembre.

     

     

     

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    news-1275 Mon, 10 Sep 2018 17:14:35 +0200 Modification Produits – La Française Protectaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-produits-la-francaise-protectaux/ La Française Asset Management, Société de gestion du fonds La Française Protectaux, a décidé de procéder à la modification de l’indicateur de référence à compter du 12 septembre 2018 :

    - Nouvel indicateur de référence : Lyxor Bund Daily (-1x) Inverse UCITS ETF – Acc (code Bloomberg : BUNS FP)

    Ce changement intervient suite à la modification de l’indicateur de référence du fonds maître La Française LUX – Protectaux.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Protectaux disponible sur le site www.la-francaise.com.

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    news-1271 Mon, 10 Sep 2018 10:00:00 +0200 La Française renforce sa présence en Allemagne avec l’acquisition du groupe Veritas /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-sa-presence-en-allemagne-avec-lacquisition-du-groupe-veritas/ La Française fait l’acquisition de Veritas Investment GmbH et de Veritas Institutional GmbH, basées respectivement à Francfort et à Hambourg. La conclusion de cette acquisition est soumise à l’approbation des autorités réglementaires.

    Le groupe Veritas, présent en Allemagne depuis 1991 et opérant d’abord depuis Francfort puis plus récemment depuis Hambourg, gère plus de 7 milliards d’euros d’actifs pour le compte d’investisseurs institutionnels et particuliers. Ce groupe déploie une approche innovante de la gestion de risques à ses investissements multi-asset.

    Cette acquisition représente une étape importante dans la stratégie de développement à l’international de La Française et souligne l’importance du marché allemand pour l’acteur français. Ainsi, La Française verra ses encours gérés en Allemagne atteindre 8 milliards d’euros d’actifs et disposera d’une force de frappe locale de quarante-huit professionnels, répartis sur deux sites : Hambourg et Francfort. 

    En Europe continentale, La Française disposera désormais, au côté de son bureau historique parisien, de 2 centres de gestion à Francfort et Hambourg couvrant les expertises valeurs mobilières et immobilières et renforçant sa plateforme de distribution internationale. 

    Avec cette acquisition, La Française atteint deux objectifs qu’elle s’est fixée dans son plan à moyen terme-2020 : dépasser la barre des 70 milliards d’euros d’actifs sous gestion, dont 25% pour compte d’investisseurs internationaux.  

    “Cette acquisition est l’aboutissement de dix-huit mois de recherche d’opportunité de croissance externe. Dans notre stratégie de développement, l’Allemagne a été rapidement identifiée comme étant un marché prioritaire. Cette acquisition nous permet d’assoir notre positionnement comme un acteur local majeur, avec une expertise en valeurs mobilières et en immobilier. Par ailleurs, l’approche risque propriétaire de Veritas, Risk@Work, reconnue sur le marché allemand ainsi que son expertise en gestion multi-asset quantitative, complètent parfaitement nos propres compétences.” commente Patrick Rivière, Directeur Général de La Française. 

    “Avec La Française, nous avons trouvé le partenaire idéal, qui reconnait notre expertise et valorise notre connaissance du marché. Ensemble, nous allons pouvoir nous développer sur notre marché local et à l’international. De plus, nous bénéficierions de la solidité de l’actionnariat du groupe La Française, à savoir le Crédit Mutuel Nord Europe.” conclut Dr. Dirk Rogowski, Directeur Général de Veritas Investment GmbH et de Veritas Institutional GmbH, soulignant ainsi l’importance de la fusion. 

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    news-1268 Thu, 06 Sep 2018 09:14:08 +0200 La Française announces the arrival of Tina Künnen as Sales Director for Germany /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-announces-the-arrival-of-tina-kuennen-as-sales-director-for-germany/ La Française, an international asset management group with over €70 billion in assets under management (30/06/2018) and offices in Europe, Asia and the Unites States, continues to pursue its development strategy for Germany and has strengthened its team with a Sales Director, Tina Künnen.

    “La Française is gaining traction on the German market. Tina, along with our Head of Sales for Germany, Kay Scherf, will continue to introduce our investment expertise, namely fixed income, absolute return and sustainable equities, to the German institutional and retail markets. As a senior business development specialist, Tina is a valuable addition to our team,” says Philippe Lecomte, CEO of La Française AM International. 

    Tina Künnen has fifteen years of experience in the finance industry. She began her career in 2003 with Reuters AG as a fund analyst, an experience which certainly proved valuable to her career development thereafter. In 2008, Tina joined AXA Investment Managers Deutschland as a sales manager, before moving on to Natixis Investment Managers in 2010, acting as Sales Director and later Head of Business and Client Development.

    Tina Künnen holds a degree in Business Administration, with a specialization in Finance and Business Informatics, from Johann Wolfgang Goethe University. 


    Tina Künnen - Sales Director
    La Francaise AM International – Niederlassung Deutschland
    Tel. +49 69 29724 - 3802
    Neue Mainzer Str. 80 | 60311 Frankfurt am Main
    Email: tkuennen@la-francaise.com

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    news-1267 Tue, 04 Sep 2018 10:04:40 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert un immeuble de bureaux en VEFA à Lyon (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-en-vefa-a-lyon-69/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de PRD Office, un immeuble de bureaux en VEFA d’une surface de 9 256 m² comprenant 124 places de parkings.

    Le projet, sis 59 rue de Saint-Cyr, est situé au nord-ouest de Lyon, au cœur du quartier de Vaise, qui constitue le troisième pôle tertiaire lyonnais. L’immeuble sera à 550 mètres de l’arrêt de Métro « Gare de Vaise » qui permet de rejoindre la Gare Part-Dieu en 20 minutes.

    Le bâtiment sera labélisé BREEAM « Very Good » et RT 2012. La livraison est prévue au 2nd trimestre 2021.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    La Française REM était assistée de l’étude notariale Montré, Cartier, l'Herminier, et Bouton-Hugues : le vendeur par l’étude Leufflen.

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    news-1266 Mon, 03 Sep 2018 10:00:00 +0200 La Française, forte de son expertise immobilière et de sa présence en Île-de-France, lance la SCPI LF Grand Paris Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-forte-de-son-expertise-immobiliere-et-de-sa-presence-en-ile-de-france-lance-la-scpi-l/ Avec un patrimoine de plus de 500 bureaux et commerces en région parisienne, représentant plus de 1,5 million de m2 et 6 milliards d’euros d’actifs sous gestion(1), La Française possède une réelle expertise du panorama immobilier en Île-de-France. Forte de ce positionnement, La Française lance LF Grand Paris Patrimoine, une Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) grand public, qui investira sur la thématique du Grand Paris. Ce projet d’infrastructure d’envergure, dans lequel le groupe est d’ores et déjà fortement engagé, est un des plus grands au monde.

    Le projet Grand Paris représente plus de 35 milliards d’euros d’investissements et implique la création de 68 nouvelles gares, 200 kilomètres de nouvelles lignes de métro 100% automatiques2 et le développement de plusieurs clusters ou sites dans la région : Saint-Denis Pleyel, Plateau de Saclay, Croissant Ouest, Villejuif-les-Ardoines...

    L’objectif de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine est d’offrir un rendement immobilier lié au développement d’un patrimoine connecté au projet du Grand Paris qui pourrait bénéficier d’un fort potentiel de création de valeur dans les années à venir3.

    Issue de la transformation et du repositionnement d’un produit existant, la SCPI affiche dès à présent une capitalisation de 770 millions d’euros et possède un patrimoine immobilier situé à près de 80% en Île-de-France4. Ainsi, le nouveau positionnement et la stratégie de la SCPI conduiront à une distribution potentielle composée de rendements locatifs et de plus-values éventuelles réalisées suite aux cessions d’immeubles.

    LF Grand Paris Patrimoine investira en Île-de-France dans les zones dynamiques, bénéficiant d’un véritable potentiel économique, et proches des nouvelles infrastructures mises en valeur par le déploiement des investissements du Grand Paris.

    D’ici le 31 décembre 2021, la SCPI ramènera à 10% maximum la part des actifs immobiliers situés en régions, via une politique d’arbitrage déjà ciblée.
    La typologie des actifs inclura principalement, à hauteur de 75% au moins, des bureaux et commerces, et, pour 25% au plus, des locaux logistiques, hôtels et résidence de services gérées (immeubles neufs, récents ou en restructuration / transformation).

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF Grand Paris Patrimoine, conclut : « La Française investit depuis plus de cinquante ans dans l’immobilier francilien. C’est un marché que nous connaissons bien et où La Française est très bien positionnée. Nous avons nos propres convictions sur les secteurs géographiques ou les typologie d’actifs à privilégier pour bénéficier au mieux du développement du projet Grand Paris. C’est cette expertise que nous partagerons avec les associés de LF Grand Paris Patrimoine. »

    Source : La Française REM – Janvier 2018

    Source : Société du Grand Paris – Janvier 2018

    La SCPI investira à Paris et dans sa région. Néanmoins, le potentiel de développement du Grand Paris pourrait ne pas bénéficier dans sa globalité aux investisseurs de la SCPI.

    Source : La Française REM, au 31 mars 2018, répartition du patrimoine immobilier en valeur vénale.

     

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    news-1264 Fri, 31 Aug 2018 09:30:00 +0200 Menacé par la dette? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/menace-par-la-dette/ De nombreux investisseurs craignent que le volume de la dette aux États-Unis et dans le reste du monde ne soit trop élevé. S'il est vrai que les niveaux de dette sont significatifs, le service de la dette, c’est-à-dire la part des résultats utilisés au paiement des intérêts et aux amortissements, est relativement faible par rapport à ses niveaux historiques. Ces deux indicateurs racontent chacun une histoire bien différente à propos de l'économie. Les Américains ne croulent pas sous le poids de la dette

    - Aux États-Unis, la dette des ménages et des entreprises non financières a grimpé, atteignant près de 30 000 milliards de dollars à fin 2017. Rapporté en pourcentage du PIB, le taux est également élevé, à 152 % (contre 127 % à la fin des années 90), mais il reste cependant inférieur au pic atteint juste avant la crise financière mondiale de 2008 (169%).

    - Néanmoins, par rapport à la moyenne historique, les ratios du service de la dette aux États-Unis sont relativement faibles. Juste avant les deux dernières récessions, ces ratios s'élevaient respectivement à 18,4 % et 17,3 %. Des taux supérieurs aux 14,9 % observés actuellement.

    - Le scénario est sensiblement le même dans le reste du monde. Dans des pays tels que l’Allemagne, le Japon et le Royaume-Uni, les ratios du service de la dette sont proches de leurs niveaux les plus bas de ces dix dernières années.

    - La faiblesse des ratios du service de la dette révèle que les paiements liés à la dette ne constituent pas un poids pour les particuliers et les entreprises emprunteurs. Ce qui signifie que les niveaux de la dette sont gérables et qu'ils ne représentent pas un frein pour l’économie.

     

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    news-1263 Tue, 28 Aug 2018 15:51:28 +0200 De la globalisation et de la construction de l'Europe... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-la-globalisation-et-de-la-construction-de-leurope/ Une certaine amblyopie intellectuelle pousse de plus en plus d’Européens à critiquer, refuser, la construction de l’Europe. « Vous bâtissiez des châteaux de sable, nous voici désormais dans la mer qui les a engloutis » devient le leitmotiv de nombreux partis « nationalistes » en Europe qui prônent le repli sur soi.

    Les arguments de ces populistes qui s’approprient la nation sont malheureusement nombreux… mais inexacts.

    La globalisation des marchés s’est effectivement réalisée sans état de droit ; la globalisation de la démocratie n’existe pas et il est vrai que le fonctionnement de marchés sans état de droit introduit deux biais : le courttermisme et le chacun pour soi. Mais la réponse n’est pas le nationalisme et le refus des marchés.

    La mondialisation a changé profondément la structure même de l’organisation sociale de l’humanité où l’habitant de la planète Terre vit une forme d’errance, sous une forme concrète ou virtuelle. On ne peut plus parler de tiers monde ou des prolétaires que l’on exploitait « gentiment » dans la deuxième partie du XIXe siècle et une grande partie du XXe mais plutôt de nomades pauvres qui se déplacent en fonction du travail, du climat, des guerres… c’est parfois plus simplement le travail qui est nomade et ces personnes produisent pour et à la place des habitants de l’autre côté de la planète ; globalement 5-6 Mds de personnes. Les nomades riches quant à eux bénéficient de la globalisation et utilisent la planète comme un terrain de jeux ; une cinquantaine de millions de personnes qui sont aussi les dirigeants économiques et politiques. Les nomades « virtuels », pour simplifier la classe moyenne occidentale, soit moins d’un milliard de personnes, ne se déplacent pas à l’autre bout de la planète voire même à quelques dizaines de kilomètres de leur lieu de naissance pour trouver du travail, ils envient les nomades riches mais surtout, et c’est là le problème fondamental, ils craignent de devenir des nomades pauvres.

    Face à la globalisation des entreprises et des marchés et à la technologie, la réponse politique des Etats démocratiques est forcément très complexe et, en tout état de cause, insuffisante en ce qui concerne les Etats européens.

    L’Etat américain, profitant de sa position de leader mondial, impose politiquement et économiquement au monde entier ses décisions. Le politique s’implique très fortement dans l’économie et va jusqu’à une interférence dans les relations entre économies/états tiers : les sanctions en Iran (interdiction à ceux qui commercent avec l’Iran de travailler avec une entreprise américaine) et en Turquie, les droits de douane pour la Chine et l’Europe. A ma connaissance, cela n’a pas entrainé de fortes réactions des entreprises américaines, partant peut-être du principe que D. Trump ayant été élu démocratiquement il bénéficierait d’une sorte de blanc-seing ?

    Les petits Etats (Suède, Suisse…) arrivent à trouver dans le jeu de la spécialisation internationale et/ou grâce à leur dotation en richesses naturelles les moyens de conserver une croissance compatible avec le maintien de leur modèle social.

    L’Europe est dans une situation très différente. Comme toujours dans le cas de la naissance d’un pays, et encore plus d’une Union, elle s’est créée dans des circonstances de guerre, dans le cas présent, le « plus jamais cela » post deuxième guerre mondiale. Cette union s’est limitée pendant longtemps à des accords commerciaux – un marché unique – et, rappelons-le, la création de la monnaie unique ne devait être qu’une étape vers une intégration plus forte qui jusqu’à présent n’a pas eu lieu, la Constitution Européenne n’ayant pas été ratifiée par les populations, à commencer par les Français. Une Europe sans constitution, c’est comme jouer de la musique sans les instruments ou comme une diplomatie sans les armes.

    Concrètement, la mondialisation de l’économie s’est réalisée avant que l’Union Européenne ne soit réellement intégrée sur le plan social, fiscal et politique sur un modèle démocratique qui aurait pu être comparable à celui des régions en Allemagne. Une erreur fondamentale a peut-être été également d’élargir l’Europe à 28 pays plutôt que de doter préalablement l’Europe des 6 de l’ensemble des outils juridiques et techniques.

    La résultante est que l’Europe est de moins en moins considérée comme un partenaire mais de plus en plus comme une proie par les Etats-Unis et la Chine. Ce sentiment d’insécurité pousse les nomades virtuels européens à se réfugier dans le populisme rebaptisé nationalisme. L’Histoire nous a enseigné à maintes fois que le populisme menait au national-socialisme.

    Si l’on veut éviter une nouvelle dérive de l’Histoire, les démocrates européens doivent donc relever le défi de revaloriser la nation comme fondement de la culture, de la sécurité, de la santé et de l’éducation et rejeter ainsi son appropriation par les nationalistes.

    L’enjeu est de taille. La droite, souvent extrême, s’est appropriée le drapeau tricolore ; comment amener l’ensemble de la population à se le réapproprier en dehors d’une fois tous les 20 ans lorsque la France gagne la coupe du monde de football ?

    Sans tomber dans le nationalisme on peut dire que cette question centrale de la Nation est d’autant plus complexe à mettre en oeuvre en Europe qu’aujourd’hui un Portugais, un Grec, un Allemand ou un Italien installé en France a les mêmes droits qu’un Français à l’exception près, une fois tous les 5 ans, des élections nationales.

    Le nationalisme n’est pas la réponse car outre le repli sur soi, c’est une vision court-termiste. Instaurer le concept de nation européenne est d’autant plus difficile que « malheureusement » nous n’avons plus d’ennemi commun qui souderait les européens ; D’où d’ailleurs la tentation de faire « de l’autre », aujourd’hui les musulmans, assimilés à l’extrémisme intégriste, cet ennemi commun face à un occident chrétien.

    « Difficile est le chemin » ; l’un des moyens, me semble-t-il, est de focaliser les énergies démocratiques dans un chemin qui ne soit pas de plein fouet celui de la concurrence mondiale mais celui de l’économie responsable, durable où l’intérêt de la planète converge avec celui de ceux qui l’habitent.

    Sur le plan sociétal, le positionnement de l’Europe face à l’absence de démocratie en Chine et aux Etats-Unisimpérialistes et ultra-libéraux de D. Trump devrait être un modèle social basé sur la protection et  articulé autour de la solidarité intergénérationnelle, intra-communautaire, entre classes sociales des différents nomades. D’une part il est vain d’espérer gagner le combat de la compétitivité à tout prix face à un modèle totalitaire comme face au modèle sociétal américain qui repose largement sur une absence de solidarité. La force de l’Europe c’est finalement une aspiration commune de la très grande majorité de la population à un certain art de vivre : une filière agro-alimentaire responsable des hommes et de la planète, le développement des énergies renouvelables, de l’économie circulaire… Si WallMart est effectivement une réussite financière, la « malbouffe » qui en a résulté et la disparition de tous les petits commerces, de plusieurs dizaines de milliers d’employés et une prolétarisation des ex-petits commerçants franchisés WallMart à la protection sociale quasi-inexistante est-il le modèle idéal pour l’Europe ? Bien sûr il serait préférable que Facebook, ses 25 000 employés et leurs quelques millionnaires salariés soient européens, mais n’est-il pas préférable que Sodexo et ses 420 000 salariés dans le monde soit une société française ? Le modèle américain n’est à l’évidence pas celui souhaité par la très grande majorité des Européens.

    A l’heure où la planète est menacée de survie et où la technologie remet en cause une grande majorité des process de production et de consommation, l’ère de la chrématistique, de la production maximum de biens de consommation sans se préoccuper de leur utilité, n’est-elle pas révolue ? Ne serait-ce d’ailleurs que parce que la main d’oeuvre est de moins en moins nécessaire pour produire et de fait la nécessité même du cercle vertueux du producteur-consommateur permettra de moins en moins le plein emploi.

    Certes un modèle sociétal et social commun unificateur de l’Europe est d’autant moins facile à réaliser (qu’une union sacrée autour d’un ennemi étranger bien identifié) qu’au sein même de l’Europe les écarts sont déjà très grands et qu’une convergence impose également des réformes perçues à l’origine comme des régressions dans les pays les plus protecteurs socialement. C’est pourquoi si l’on veut éviter la tragédie qui se dessine, ce modèle nécessite en parallèle un projet massif d’investissements reposant sur l’économie durable : décarbonation, transition énergétique et énergies renouvelables, transition écologique, digitalisation et d’une manière plus générale les projets sociétaux reposant sur l’économie de l’usage plus que de la propriété.

    Les dirigeants pro-européens vont-ils réussir à convaincre leurs élus et à se mettre d’accord entre eux sur ce plan Marshall bâti sur l’impact de la mondialisation et des risques d’effondrement qui en résultent ? C’est évidemment loin d’être acquis, mais il est clair que cette orientation existe et que la seule question qui se pose est celle de sa magnitude et de sa temporalité.

    Pour nous, Groupe La Française, notre conviction d’investisseur est qu’en terme de risque-rendement la situation est asymétrique : il nous parait évident que le modèle classique est en voie de forte réduction et que si notre réflexion s’avère inexacte ce sera parce que le protectionnisme et le nationalisme l’auront emporté, ce qui se fera forcément au détriment de l’économie et donc de la valorisation de tous les types d’actifs. A l’inverse, si notre prospective se réalise, les actifs/sociétés investis sur ces stratégies surperformeront largement les autres. C’est l’enjeu de notre fonds Carbon Impact en valeurs mobilières ou encore d’Emploi Durable mais c’est aussi celui des fonds de transition énergétique de notre filiale Acofi, les enjeux sociétaux étant également abordés dans nos fonds immobiliers, notamment autour du concept de la Propriété à Vie.

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    news-1259 Mon, 20 Aug 2018 15:59:28 +0200 Lettre aux porteurs - La Française Rendement Global 2020 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-la-francaise-rendement-global-2020/ Vous avez souscrit des parts du fonds La Française Rendement Global 2020, un fonds commun de placement de droit français, et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    Nous vous présentons ci-dessous l’opération de fusion par voie d’absorption de votre fonds La Française Rendement Global 2020 par le fonds La Française Rendement Global 2025, un fonds commun de placement de droit français.

    La Française Asset Management souhaite vous offrir la possibilité de vous positionner sur un fonds dont la gestion repose sur une stratégie similaire mais sur une échéance plus éloignée avec un univers d’investissements plus conséquent.

    La maturité moyenne des nouvelles émissions sur le marché est d’environ 5 ans, et les refinancements à moins de 5 ans sont quasi inexistants. Par ailleurs, la société de gestion considère qu’une stratégie classique de portage n’est pas dans l’intérêt des investisseurs dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d'ores et déjà captée.

    A titre d’exemple, le rendement estimé de la part I* au lancement le 23 septembre 2013 était de 5,81% contre seulement 2,19% de rendement instantané au 25 mai 2018. Cela représente une performance cumulée de la part I* de 25,73% sur la même période, soit un TRA de 5,04% :

    * cette part ne fait pas l’objet d’une offre publique en Belgique

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    news-1257 Fri, 17 Aug 2018 11:17:57 +0200 Une tendance trop marquée pour être ignorée ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-tendance-trop-marquee-pour-etre-ignoree/ Historiquement, plusieurs périodes ont été marquées par des craintes de guerres commerciales. La couverture du Time Magazine du 7 octobre 1985, intitulée « Trade Wars » (Guerres commerciales) est une illustration d’Oncle Sam qui tend un bras vers l’avant comme s'il cherchait à stopper net toute possibilité de libre-échange. Pourtant, avant et depuis cette période, ainsi que durant une bonne partie de l’histoire du commerce international, les taxes douanières sont en baisse car les pays deviennent de plus en plus connectés les uns aux autres. Droits de douane aux Etats-Unis

    - Comme l'indique le graphique ci-dessus, les taxes douanières collectées en pourcentage des importations sont en baisse (4 % en 1987 contre moins de 2 % en 2017), ce qui prouve la volonté des gouvernements de privilégier le libre-échange.

    • Pourtant, les dommages peuvent être accrus avant que des ententes mutuellement acceptables ne parviennent à être conclues. Avec la montée des craintes liées aux droits de douane, les segments boursiers potentiellement les moins exposés à ce risque devraient susciter l’intérêt des investisseurs. Les petites capitalisations, par exemple, surperforment les grandes capitalisations de plusieurs centaines de points de base depuis le début de l’année. Cette surperformance s’explique vraisemblablement par leur axe davantage « domestique » (la part des revenus étrangers des sociétés représentées dans l’indice Russell 2000 n’est que de 21 %, tandis qu’elle est de près du double pour le S&P 500, avec 39 %).

    • En outre, certaines industries pourraient être moins sensibles que d'autres face à ces enjeux commerciaux. Les valeurs internet américaines, par exemple, sont d'ores et déjà largement exclues de certains marchés tels que la Chine, et pourraient par conséquent être moins impactées par des problématiques commerciales, tandis que les gouvernements du reste du monde pourraient davantage cibler les entreprises agricoles. Ce contexte pourrait engendrer des opportunités attrayantes pour les sociétés de gestion qui adoptent une approche active en sélectionnant minutieusement leurs investissements pour distinguer les gagnants des perdants.

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    news-1254 Fri, 03 Aug 2018 10:25:47 +0200 Pourquoi nous semble t'il que le temps passe plus vite ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pourquoi-nous-semble-til-que-le-temps-passe-plus-vite/ La technologie évolue-t-elle plus rapidement qu’avant ? Ce n'est pas le produit de votre imagination, c’est la réalité. Les innovations sont développées et diffusées au sein de nos sociétés plus rapidement que jamais, au point d’avoir des conséquences majeures sur la croissance économique et l’investissement. L'adoption des innovations par les ménages américains

    - En 1900, la cuisinière avait atteint un taux de pénétration de 10 % au sein des ménages américains ; il faudra 60 années avant qu’elle n’atteigne un taux de 100 %. Les innovations technologiques plus récentes, à l’image d’Internet, des smartphones et des médias sociaux, ont été adoptées par une majorité de la population en beaucoup de moins de temps.

    - Comme nous l'avons écrit dans l’article intitulé The Enduring Force of Innovation, les progrès technologiques surviennent à un rythme exponentiel, ce qui signifie que le rythme du changement s’accélère. Dans ce contexte, les innovations les plus récentes sont développées plus rapidement et adoptées plus vite par la société.

    - Cette tendance de l'innovation à croître de façon exponentielle devrait inspirer confiance dans sa capacité à générer de la croissance de manière générale, indépendamment de la nature de la prochaine invention ou des fluctuations des cycles économiques.

    - En raison de l'augmentation du rythme des innovations, les valeurs décotées, si elles semblent bon marché, pourraient se retrouver victimes des évolutions en cours, alors que les valeurs de croissance, à l'origine de ces changements, pourraient en bénéficier.

     

     

     

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    news-1238 Fri, 20 Jul 2018 09:10:41 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert à Deauville 32 appartements de la première résidence Pierre & Vacances premium 5* en bord de mer /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-a-deauville-32-appartements-de-la-premiere-residence-pier/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis 32 appartements de la première résidence Pierre & Vacances premium 5 étoiles, située en bord de mer, ouverte en mai 2018. Cette résidence de tourisme, à 5 minutes à pied de la gare de Trouville-Deauville, s’inscrit dans le plan de réhabilitation urbain de la presqu’île de la Touques composé d’équipements publics, de bureaux, de commerces et de logements. La résidence compte 133 appartements au total, allant du 2 au 4 pièces.

    Le Groupe Pierre & Vacances-Center Parcs est le leader européen du tourisme de proximité. Aujourd’hui, avec ses marques touristiques complémentaires, le groupe exploite un parc touristique de plus de 44 000 appartements et maisons à travers l’Europe (277 sites).

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Multimmobilier 2 et Eurofoncière 2.

    La Française REM était assistée de l’étude Allez & Associés ; Pierre & Vacances Développement par l’étude Haussmann Notaires.

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    news-1237 Thu, 19 Jul 2018 10:17:44 +0200 L’UMR, conseillée par La Française Real Estate Partners, acquiert un immeuble de bureaux en VEFA à Bordeaux réalisé par le Groupe Legendre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lumr-conseillee-par-la-francaise-real-estate-partners-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-en-vefa-a-b/ Cet immeuble à usage de bureaux, situé à Bordeaux a été acquis auprès du Groupe Legendre par l’Union Mutualiste Retraite (UMR), conseillée par La Française Real Estate Partners,

    Il s’agit d’un immeuble à construire dont la livraison est prévue en Novembre 2018.  L’ensemble sera bâti autour de deux patios intérieurs, pour une surface totale d’environ 8 200 m². Il offrira des plateaux de plus de 2 000 m² divisibles en 4 lots indépendants. 

    L’immeuble est loué en intégralité à Legendre XP, filiale de Legendre Immobilier spécialisée dans l’exploitation, dans le cadre d’un BEFA (bail commercial en état futur d’achèvement) de 6 ans fermes.

    « Cette acquisition en VEFA (vente en état futur d’achèvement) s’inscrit dans la continuité du développement d’un portefeuille de qualité, sécurisé et pérenne pour le compte de l’UMR. L’immeuble bénéficie d’un emplacement exceptionnel en face de la cité du Vin, dans une ville très attractive où les opportunités d’investissement de qualité sont devenues très rares » précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude notariale Alexandre Dechin Devriendt et Hoang, le cabinet Herbert Smith sur les aspects juridiques et fiscaux, Egis sur les audits techniques, Sinteo sur les aspects énergétiques, et ICF Environnement sur les aspects environnementaux.

    Le groupe Legendre était conseillé par Maître Grégory DANDIEU, notaire associé à Bordeaux.

    Cushman & Wakefield est intervenu en tant que conseil du vendeur.

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    news-1235 Wed, 18 Jul 2018 10:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers acquiert une galerie commerciale à Nice, au cœur du nouveau quartier du Ray /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-acquiert-une-galerie-commerciale-a-nice-au-coeur-du-nouveau-quarti/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA, auprès de VINCI Immobilier, une galerie commerciale à Nice située au 63 Boulevard Gorbella, l’une des principales artères du nord de la ville. Cet ensemble commercial, développant environ 5 900 m² de surface, sera composé d’un supermarché exploité sous l’enseigne « Carrefour Market », de 6 commerces de proximité ainsi que de 317 places de parking en sous-sol. 
     
    La ligne T1 du tramway, située à 250 m de la future galerie, permettra de se rendre au centreville de Nice en moins de 15 minutes.
     
    L’investissement, réalisé au cœur du nouveau quartier Le Ray, s’inscrit dans le cadre d’un programme immobilier mixte de 300 nouveaux logements et de commerces, en lieu et place du mythique stade Du Ray, au sein d’un vaste parc paysager de 3 hectares.

    Le Ray, imaginé par l’architecte Edouard François, a été pensé pour une parfaite intégration à son environnement, avec des façades à la végétation méditerranéenne abondante et des toitures dotées de grandes jardinières pour un effet de crête végétale et de luxuriance.
    Une attention particulière a été portée à la conception des bâtiments tant pour la qualité des matériaux utilisés que pour leur végétalisation. Le Ray intègre ainsi les normes de qualité et de confort les plus exigeantes, telles que la certification NF Habitat et le label BiodiverCity ®, premier label international à prendre en compte la biodiversité dans les projets immobiliers de construction et de rénovation. 
     
    Cet investissement a été réalisé pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
     
    La Française REM était assistée par Maître Louis Gourret, Etude Pyramides 14 à Paris ; VINCI Immobilier, par Maître Amélie Dogliani, à Nice.

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    news-1232 Fri, 13 Jul 2018 11:08:17 +0200 Pas si risqué après tout ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pas-si-risque-apres-tout/ Contrairement à ce qu’on raconte, les portefeuilles concentrés, ou ceux composés de 50 titres ou moins, n’ont pas historiquement généré plus de risque que les portefeuilles traditionnels sur des périodes de 3, 5 et 10 ans, d’après une récente étude de Greenwich Associates. Par ailleurs, les investisseurs institutionnels estiment que ces portefeuilles offrent un potentiel d’alpha supérieur. Les stratégies concentrées affichent généralement un risque inférieur

     

    1,2,3 Greenwich Associates. « The Power of Focus: Looking for Alpha in a Sea of Beta », 2017.

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    news-1231 Fri, 13 Jul 2018 10:24:13 +0200 Chine : effondrement imminent ou superpuissance en devenir ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/chine-effondrement-imminent-ou-superpuissance-en-devenir/ Sabrina Ren, Portfolio Manager chez JK Capital Management Ltd., société affiliée de La Française - Juillet 2018

    Ayant constaté la forte progression des actions chinoises en 2017, la question qui nous a été le plus souvent posée par les investisseurs que nous avons rencontrés lors d’un de nos derniers roadshows européens était de savoir : « quelle est la prochaine étape ? » Le marché se dirige-t-il vers un dur retour à la moyenne, ou est-ce au contraire le début d’une nouvelle ère ? Pour notre part, nous pensons que les mouvements de l’année dernière ne sont que les prémices d’une réévaluation globale des actions chinoises, alimentée par différents facteurs et qui devrait s’étaler sur plusieurs années. Le changement structurel que connaît le modèle de croissance économique chinois en est la principale raison.

    La forte croissance des quarante dernières années a en effet laissé place à un modèle économique plus mesuré, qui privilégie la qualité et la durabilité. En d’autres termes, l’économie chinoise réalise une transition progressive d’un modèle favorisant la croissance au détriment de la qualité, à un modèle plus qualitatif et moins volontariste. Ce processus sera l’occasion pour le pays de remédier progressivement aux nombreuses faiblesses structurelles caractéristiques de l’ancien modèle, telles que son endettement important, les déséquilibres sur le marché immobilier, les surcapacités, l’épuisement des ressources et la destruction de l’environnement. Parallèlement, la Chine continuera de favoriser l’innovation et la R&D pour améliorer sa compétitivité à l’échelle mondiale. Nous pensons que les investisseurs vont progressivement prendre conscience du fait que les arguments classiques des pessimistes ne tiennent pas face à la réalité de plus en plus évidente d’une Chine performante et durable. Ce changement de perception à l’égard du pays va entraîner une réévaluation de la prime de risque associée aux actions chinoises de la part des observateurs mondiaux, amorçant une revalorisation durable de cet univers d’investissement.

    L’inclusion des actions de la Chine continentale (appelées « actions A ») dans les indices mondiaux et émergents de MSCI soutiendra également cette dynamique. Les indices MSCI sont mondialement reconnus et plébiscités par les investisseurs. En décidant d’intégrer les actions A, MSCI fait savoir au monde entier que ce marché ne doit non seulement pas être ignoré (puisqu’il est le deuxième marché boursier mondial), mais qu’il est aussi totalement accessible aux investisseurs étrangers via la plateforme Stock Connect ou dans le cadre des quotas du programme QFII. L’intégration des actions A signifie toutefois que les investisseurs utilisant les produits de MSCI comme indices de référence devront acheter des actions chinoises pour éviter tout écart de suivi. MSCI a enclenché le processus en juin 2018 avec un facteur d’inclusion initial de 2,5% ; au bout du compte, les actions cotées en Chine continentale devraient représenter environ 20 % de l’indice MSCI Emerging Markets. Une fois leur intégration achevée, probablement dans cinq à six ans, le poids de l’ensemble des actions chinoises (y compris les titres cotés à Hong Kong et les ADR) dans l’indice MSCI Emerging Markets devrait avoisiner 40%. Nous pensons donc que les titres chinois onshore et offshore vont gagner en visibilité et que ces derniers seront progressivement considérés comme une classe d’actifs accessible et prometteuse par un nombre croissant d’investisseurs.

    Malgré la volatilité récente, nous restons optimistes à l’égard des perspectives des actions chinoises à moyen et long terme. En tant qu’adeptes de la sélection des valeurs bottom-up et spécialistes des stratégies concentrées, nous pensons que le meilleur moyen de s’exposer aux opportunités offertes par la prochaine phase de croissance de la Chine est d’analyser les principaux moteurs de cette évolution et d’identifier les sociétés les mieux gérées et les plus compétitives qui seront en mesure de produire des performances régulières à long terme. Le thème de l’innovation technologique, qui se veut la force motrice du développement économique chinois pour les années à venir, devrait être avantageux. La Chine ambitionne de devenir un leader mondial dans l’innovation d’ici 2035, sachant que le pays est déjà le deuxième plus grand investisseur au monde dans la R&D et le premier déposant mondial de brevets. Cela n’aura pas échappé aux États-Unis, qui ont bien détecté la menace et cherchent maintenant à enrayer voire à stopper cette progression, qui nous semble (malheureusement pour eux) assez inexorable. Le thème de la consommation est également attractif. Les entreprises qui offrent des produits et services de qualité destinés à la classe moyenne croissante et plus exigeante en matière de confort et de qualité de vie devraient surperformer à long terme. Nous jouons également le thème de la production manufacturière de pointe. La Chine est en effet entrée dans une phase de « substitution à l’importation », à l’instar de la Corée du Sud dans les années 90. Dans cette optique, le plan stratégique « Made in China 2025 » vise clairement à augmenter la part du contenu chinois en composants et matériaux de base, notamment en ce qui concerne les composants électroniques, mémoires et logiciels avancés, qui sont actuellement fournis par des sociétés étrangères.

    On se souvient que le livre « The Coming Collapse of China » de Gordon G. Chang, publié en 2001, avait fait grand bruit en prévoyant la chute de l’économie et du système politique chinois avant 2006, et au plus tard avant 2011. Dix-sept ans plus tard, la puissance de la Chine est de toute évidence plus fermement ancrée qu’elle ne l’était en 2001 et de nombreux pays développés pourraient lui envier sa stabilité politique, quoi qu’en disent les critiques. À contre-courant de la théorie faiblissante de « l’effondrement imminent » de la Chine, nous pensons que l’économie du pays dispose de la marge de manoeuvre et des ressources suffisantes pour résoudre ses problèmes structurels, ce qui devrait ouvrir la voie à de formidables opportunités pour les investisseurs qui ont déjà compris que la deuxième économie mondiale connaît un bouleversement positif. Oded Shenkar aurait-il eu raison de prédire que la Chine sera la superpuissance du XXIe siècle dans son best-seller intitulé « Chinese Century », en affirmant que le pays dépassera les États-Unis pour devenir la première économie mondiale d’ici 2026 ? Ce scénario nous semble en tout cas plus probable.

     

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    news-1230 Fri, 13 Jul 2018 10:05:54 +0200 Du côté des actions, les tensions commerciales influencent les orientations des résultats /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-actions-les-tensions-commerciales-influencent-les-orientations-des-resultats/ Il y a deux mois nous avions adopté une attitude prudente à l’égard du marché des actions européennes afin de limiter notre exposition, alors que les prémices d’une guerre commerciale se mettaient en place. Au-delà de cette option tactique, notre opinion fondamentale restait positive quant aux perspectives de croissance des actions de la zone euro.

    Les indicateurs conjoncturels montrent un ralentissement de la croissance, mais restent toutefois compatibles avec un rythme de croissance de la zone euro supérieur à 2 %. Cette phase de ralentissement nous conduit à maintenir notre attitude prudente. Au-delà de la ponction sur la consommation liée à la hausse du prix du pétrole, deux facteurs plus fondamentaux justifient cette prudence :

    • le freinage et le ralentissement effectif du commerce mondial,
    • le risque associé d’un retournement à la baisse de l’investissement.

    Cette combinaison pourrait entrainer une croissance de la zone euro sensiblement plus faible que celle attendue et par là même une potentielle déception affectant la croissance des résultats des sociétés.

    Le président des Etats-Unis a multiplié les annonces protectionnistes au cours des derniers mois. Nous sommes désormais entrés dans la phase de leur mise en oeuvre : depuis le 1er juin les importations d’acier et d’aluminium provenant de l’UE, du Mexique et du Canada sont taxées à respectivement 25 % et 10 % et ont entrainé des réponses graduées. Les taxes sur les produits chinois effectives depuis le 6 juillet portent sur environ 35 Mds $ et Pékin a promis de répliquer immédiatement par des mesures similaires. Les Etats-Unis ne devraient pas en rester là puisque M. Trump menace de porter au total à 450 Mds $ la valeur des produits chinois taxés (soit la grande majorité des importations venues du géant asiatique et 200 Mds $ de plus qu’anticipé).

    Le risque majeur est évidemment celui d’une escalade et d’un passage vers une guerre commerciale avec des effets négatifs sur les échanges internationaux et la croissance mondiale. Le risque est également élevé pour l’économie américaine. Des états qui ont voté Trump en 2016 sont vulnérables aux mesures protectionnistes. Ainsi, l’intensité et la durée des tensions commerciales pourraient être influencées par les électeurs.

    D’ores et déjà, les marchés anticipent les effets de ce virage protectionniste des Etats-Unis et les risques de guerre commerciale sont aujourd’hui au sommet de la liste des inquiétudes des investisseurs après plus de vingt ans de « certitudes » autour de l’expansion du commerce mondial. Les marchés européens ont sensiblement corrigé le mois dernier et particulièrement ceux les plus exposés au commerce mondial comme l’Allemagne ou la Suède. Il en va de même pour les secteurs les plus exposés au commerce international qui ressortent dans le rouge, à l’instar des matériaux de base, la technologie, les titres industriels ou l’automobile. Concernant le secteur automobile, dernière cible désignée par le président Trump, les incertitudes devraient persister même si l’ambassadeur américain en Allemagne, a déclaré que Donald Trump pourrait suspendre sa menace d’appliquer un tarif de 25 % sur les importations.

    Notre prudence avant la publication des résultats du 1er semestre ce mois de juillet tient moins aux niveaux des résultats, qui devraient être plutôt bons, qu’aux commentaires des dirigeants des entreprises concernant les effets de la hausse des tarifs douaniers et de leurs impacts sur le rythme des investissements. En juin, Daimler a abaissé ses perspectives de résultats attendus pour 2018 pour refléter l’impact des tensions commerciales. ABB a également commenté ces tensions pendant qu’Assa Abloy accélère ses amortissements en Chine en raison d’un ralentissement d’activité. La guerre commerciale est prise en compte par les investisseurs. Ses développements influenceront leurs positionnements.

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    news-1229 Thu, 12 Jul 2018 14:36:51 +0200 Du côté des taux, situation inhabituelle en zone euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-taux-situation-inhabituelle-en-zone-euro/ Contrairement aux Etats-Unis, la croissance connaît un essoufflement (le consensus a déjà revu la croissance à la baisse de 2,4 % à 2,3 % pour 2018) alors que l’inflation accélère, certes de façon modérée, mais se rapproche tendanciellement de la cible de la BCE. La première estimation de l’inflation pour la zone euro est ressortie à 2 % sur le mois de juin, en glissement annuel, tirée notamment par les effets de base positifs des prix de l’énergie. L’inflation sous-jacente quant à elle demeure faible (1 % en GA), malgré la faiblesse récente de l’euro, et n’est à ce stade que faiblement impactée par les effets de second tour de la hausse des prix de l’énergie : le retour vers sa moyenne de long terme à 1,5 %, avec une accélération de l’inflation salariale, devrait se matérialiser en 2019. La BCE a relevé sa prévision d’inflation sous-jacente à 1,6 % en 2019 et 1,9 % en 2020, en ce sens elle montre ainsi sa confiance sur la convergence de l’inflation vers son objectif pour les prochains mois, même après la réduction progressive des achats mensuels. Il semble toutefois qu’elle ait encore à convaincre les marchés : les anticipations d’inflation demeurent en retard en termes de valorisation au regard du futur chemin de l’inflation, ce qui ne nous semble pas justifié. A l’exception des indexées italiennes, il est intéressant de noter leur relative résistance depuis début mai, dans le stress italien puis l’escalade dans la rhétorique de guerre commerciale qui a favorisé une fuite vers la qualité au bénéfice des taux coeur.

    L’inflation française accélère elle aussi et devrait bénéficier de la hausse des prix règlementés (+7,45 % sur le gaz au 1er juillet, plus forte hausse depuis six ans). De plus, dans le cadre du projet du Gouvernement de baisser les dépenses d’aides aux entreprises de 5 milliards d’euros, le bénéfice de taux réduits de TVA pour certains secteurs d’activité s’arrêterait. Nous estimons l’impact potentiel de ces mesures de 0,25 % sur l’inflation française. Par ailleurs, les changements de règles de calcul du rendement de l’épargne règlementée en France ces dernières années ont engendré une moindre demande des banques françaises pour l’inflation domestique, qui a nettement sous-performé l’inflation européenne sur le marché des swaps inflation : le spread est au plus bas depuis 10 ans. Deux bonnes raisons d’être positionné en faveur des anticipations sur l’inflation française.

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    news-1227 Thu, 12 Jul 2018 11:25:20 +0200 L’intelligence artificielle, une avancée à gérer avec intelligence /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-intelligence-artificielle-une-avancee-a-gerer-avec-intelligence/ En mars dernier, Cédric Villani, mathématicien et député de l’Essonne, a remis le rapport sur l’intelligence artificielle dans le cadre de la mission parlementaire que lui avait confié le Premier Ministre. Ce rapport remarquable de clarté et de pragmatisme décrit la stratégie que la France et l’Europe devraient adopter pour donner un sens à cette technologie qui vient chambouler tous les rouages de l’économie et du social.

    Sans rentrer dans les détails du plan de développement visant à renforcer l’écosystème français et européen de l’intelligence artificielle, il recommande de concentrer l’effort sur quatre secteurs prioritaires : santé, transports-mobilités, défense-sécurité et environnement. Si on voit bien les apports de l’intelligence artificielle dans les trois premiers domaines, dont certains tenaient de la science-fiction il n’y a pas si longtemps, cet accent porté sur l’environnement est extrêmement intéressant car il commence par un inventaire des impacts environnementaux négatifs provoqués par la révolution des usages et services numériques et se poursuit par les retombées bénéfiques que l’on peut en attendre. Toute l’ambiguïté de cette nouvelle ère est condensée dans ce rapport.

    C’est ainsi que l’association américaine des industriels du semi-conducteur prévoyait déjà en 2016 que les besoins en espace de stockage au niveau mondial en 2040, fondamentalement corrélés au développement du numérique et de l’intelligence artificielle, excéderaient la production disponible globale de silicium. La production d’équipements numériques est également fortement consommatrice de métaux rares, critiques, faiblement recyclables et dont les réserves accessibles sont limitées (15 ans pour l’Indium, dont la consommation a été multipliée par 7 en 10 ans). D’autant plus que certains de ces métaux sont également utilisés pour la production d’équipements nécessaires pour les énergies renouvelables (éolien, solaire). Au-delà du pic énergétique et pétrolier, il est ainsi à craindre un pic de l’utilisation des métaux, alimentant le pic énergétique et pétrolier, puisque toujours moins concentrés, ils nécessiteront plus d’énergie pour leur extraction. D’autre part, ces métaux sont source de pollution des sols lors de leur extraction et en fin de vie des équipements lorsque la filière de traitement n’est pas adaptée.

    Par ailleurs, d’ici 2040, l’énergie requise pour les besoins en calcul devrait dépasser la production énergétique mondiale. Les progrès de la blockchain pourraient également faire exploser les besoins énergétiques.

    Si le développement de l’intelligence artificielle va ainsi poser des défis gigantesques de gestion des ressources naturelles, il ouvre aussi des perspectives radicalement nouvelles pour la compréhension et la préservation de l’environnement. Que ce soit en termes d’identification et préservation de la biodiversité, de réparation des dommages environnementaux, de modélisation de l’impact des actions en faveur de l’environnement, d’optimisation de l’utilisation des ressources, de mise en valeur des énergies renouvelables ou bien comme outil facilitant les services partagés, l’intelligence artificielle peut contribuer à diminuer toutes les consommations et à amplifier toutes les actions en faveur du respect et de la restauration des écosystèmes régionaux et globaux. De la reforestation par les drones, en passant par la cartographie des espèces vivantes via les nouvelles possibilités fournies par la reconnaissance d’image, l’intelligence artificielle fournit des outils toujours plus nombreux et puissants pour réellement entrer dans la transition écologique.

    Pour terminer, voici un message de bon sens du Président de la Banque Mondiale d’origine coréenne Jim Yong Kim délivré ce printemps. Il constate que le monde est de plus en plus riche de capital productif mais que le capital naturel et le capital humain sont devenus déterminants : "S’ils renforcent et valorisent leur capital humain et leur capital naturel, tous les pays pourront s’enrichir et progresser, il ne peut y avoir de développement soutenu et solide si l’on ne considère pas le capital humain comme la composante principale de la richesse des nations".

    Ce numéro de Stratégies et Durabilité offre, comme il est d’usage, un condensé de l’actualité sur l’investissement responsable qui a retenu notre attention et décrit les développements du Groupe La Française dans ce domaine. Beaucoup de nouvelles initiatives ont été prises au cours du premier semestre de cette année par le Groupe comme vous vous en rendrez compte à la lecture.

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    news-1226 Fri, 13 Jul 2018 11:02:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un hypermarché Géant Casino situé à Avignon (84) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-hypermarche-geant-casino-situe-a-avignon-84/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès du groupe Casino un hypermarché Géant Casino.

    L’actif est situé dans le centre commercial Avignon Cap Sud à environ 3 km du centre-ville d’Avignon. L’hypermarché développe une surface totale de 11 419 m² dont 5 797 m² de surface de vente. Le groupe Casino a signé un bail d’une durée ferme de 9 ans.

    Géant Casino est une enseigne du groupe Casino. Le groupe est un des leaders du commerce alimentaire avec plus de 12 200 magasins dans le monde, implantés en France, en Amérique Latine et dans l’Océan Indien. Il fait partie des 4 principales enseignes de la grande distribution en France.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’organisme de placement collectif immobilier Multimarket. La Française REM était assistée de BNP Paribas Real Estate pour la transaction et de l’étude Montré Cartier L'Herminier Bouton-HuguesLe vendeur, quant à lui, a été conseillé par l’étude LBMB.

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    news-1225 Thu, 12 Jul 2018 10:37:37 +0200 La Française Real Estate Managers loue 2 500 m2 à « Grand Frais », à Frouard (54) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-loue-2-500-m2-a-grand-frais-a-frouard-54/ L’enseigne Grand Frais s’installe sur 2 500 m² au sein de la ZAC du Saule Gaillard dans la commune de Frouard, au nord de Nancy (54).

    L’enseigne Grand Frais créée en 1992, compte désormais près de 200 magasins partout en France. Leader incontestable sur le marché des produits frais et de l’épicerie d’ici et d’ailleurs, l’enseigne possède un concept architectural fort et élégant qui s’inspire des halles du XIXème siècle. Véritable marché à taille humaine, Grand Frais propose sur ses étals une offre incomparable, expression des savoir-faire de ses 5 univers alimentaires que sont les fruits & légumes, la fromagerie, la boucherie, l’épicerie d’ici et d’ailleurs ainsi que la poissonnerie.


    Propriété d’Epargne Foncière, société civile de placement immobilier (SCPI) gérée par La Française Real Estate Managers (REM), ce bâtiment dispose d’une très bonne visibilité et d’un parking de plus de 220 places permettant d’accueillir un nombre important de consommateurs. Le département Retail de La Française REM, première société de gestion de SCPI en termes de capitalisation (IEIF au 31/12/2017), gère un patrimoine composé de 460 actifs, soit plus de 800 000 m², répartis sur toute la France et accompagne les enseignes locataires dans leurs plans de développement.


    Cette prise à bail fait suite à de nombreux échanges avec notamment, en 2015 et 2016, l’acquisition par La Française REM pour le compte de plusieurs SCPI, d’un portefeuille composé de 8 supermarchés Grand Frais. Fort de ce partenariat, les équipes Asset Management Retail de La Française REM en étroite collaboration avec les équipes du développement de l’enseigne Grand Frais ainsi que le département activité de Colliers International de Nancy ont combiné leurs efforts pour permettre l’installation de ce magasin qui doit ouvrir ses portes au public le 22 août 2018.

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    news-1224 Wed, 11 Jul 2018 17:37:52 +0200 La Française a des ID n°10 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-des-id-n10/ Comme chaque trimestre, focus sur un immeuble certifié qui répond aux exigences environnementales, sociales et sociétales des grands locataires d’aujourd’hui

    Zoom ce mois-ci sur Le CRISCO, un immeuble rénové de grand standing à Sèvres :

     

    Le CRISCO est un immeuble convivial et connecté. Situé entre les quartiers business de La Défense, d'Issy-les-Moulineaux, et de Boulogne-Billancourt, il est à proximité de nombreux transports en commun.

    > Télécharger le dernier numéro de La Française a des Immeubles Durables

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    news-1223 Wed, 11 Jul 2018 15:19:00 +0200 Le prix du baril de pétrole peut-il atteindre 100$ ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-prix-du-baril-de-petrole-peut-il-atteindre-100/ Le 22 juin dernier, les principaux pays producteurs de pétrole, hors pays développés, se réunissaient à Vienne pour décider d’une potentielle augmentation des quotas de production. Spéculations et discussions étaient de mise après les messages contradictoires envoyés d’un côté par l’Arabie saoudite, partisane d’une hausse modérée, et de l’autre côté la Russie qui désirait, elle, augmenter les quotas de manière significative.

    L’accord trouvé est finalement assez proche de ce que prônait l’Arabie saoudite, avec une hausse d’un million de barils par jour. Cette augmentation n’est d’ailleurs que théorique puisque certains pays ne pourront pas utiliser leurs quotas, limitant la hausse réelle de production à environ 700 000 barils.

    Ce chiffre est aussi à relativiser étant donné les chocs d’offre successifs que le marché du pétrole connait depuis plusieurs mois. Le Venezuela, la Lybie et bientôt l’Iran souffrent de problématiques spécifiques limitant leur offre de pétrole. On estime que ces trois pays ont contribué ou contribueront à diminuer la production de pétrole d’environ 1,3M de barils en 2018. A cela il faut toutefois ajouter la forte augmentation de la production de pétrole de schiste américain mais qui est compensée par la hausse de la consommation mondiale.

    Au final, le marché du pétrole souffre toujours aujourd’hui d’un déficit d’offre et si l’accord trouvé le 22 juin réduit ce dernier, il ne le comble pas totalement. Hormis choc de croissance très négatif, ce qui réduirait la demande de pétrole, il nous semble donc difficile d’imaginer le prix du baril de pétrole refluer significativement depuis ses niveaux actuels. Nous ne croyons pas non plus que la demande faite par M. Trump à l’Arabie saoudite pour qu’elle augmente sa production soit couronnée de succès : celle-ci a tout intérêt à maintenir un prix du baril élevé en prévision de l’IPO d’Aramco prévue en 2019.

    Ce prix du baril élevé est une bonne chose pour l’une de nos principales thématiques, les points morts d’inflation, avec des effets de base qui vont rester positifs dans les mois qui viennent. Ce n’est en revanche, à terme, pas une bonne nouvelle pour la croissance des pays importateurs comme ceux de l’Europe ou le Japon.

    Hormis notre forte conviction sur l’inflation, nos paris sont aujourd’hui assez limités au regard des incertitudes actuelles touchant le commerce mondial. La période estivale pourrait en effet s’avérer assez volatile…

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    news-1218 Fri, 06 Jul 2018 13:55:30 +0200 Le prospectus de l’OPCI LF OPSIS Patrimoine a été mis à jour. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-prospectus-de-lopci-lf-opsis-patrimoine-a-ete-mis-a-jour/ Le prospectus de l’OPCI LF OPSIS Patrimoine a été mis à jour des points suivants :

    - Modification du sous délégataire

    LA FRANCAISE FORUM SECURITIES (SG) PTE LIMITED, société de droit singapourien, ayant son siège social sis 8 Wilkie Road #03-01 Wilkie Edge 228095 SINGAPORE

    - Modification Valeur Liquidative :

    La Valeur Liquidative est bimensuelle. Elle est établie le 15 de chaque mois, à l’exception des samedis, dimanches et jours fériés légaux ainsi que les jours de fermeture de bourse en France. Dans ces cas la Valeur Liquidative est établie le jour ouvré strictement précédent, et le dernier jour ouvré de chaque mois. Par exception, la Valeur Liquidative, à la fin du mois de décembre sera établie le dernier jour calendaire dudit mois, soit le 31 décembre de chaque année, que ce jour soit un jour ouvré ou un samedi ou un dimanche ou un jour férié légal en France (la « Date d’Etablissement de la Valeur Liquidative »).,.

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    news-1217 Thu, 05 Jul 2018 17:12:14 +0200 Politique, Economique, Technologique, des temporalités qui s'entrechoquent ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/politique-economique-technologique-des-temporalites-qui-sentrechoquent/ La seule certitude que j’ai aujourd’hui, c’est que nous entrons dans des périodes de plus en plus troublées… que le Politique sera déterminant, à court comme à long terme ; et que les problématiques s’entremêlent et rendent difficile la lecture des évolutions actuelles.

    Chacun sait que le XXe siècle fut traversé de guerres et de massacres à une échelle jusqu’alors inconnue dans l’histoire de l’Humain. Or ces guerres se trouvent liées à la civilisation elle-même et effondrent l’idée que la culture apporte la paix.

    Le grand espoir était là : du siècle des Lumières à celui des sciences, des arts et des techniques, le monde accéderait à un progrès humain, moral, social et politique. Plus les hommes devenaient savants, plus ils seraient civilisés ; plus cultivés, ils deviendraient pacifiés. Les sciences conquièrent sans cesse de nouveaux domaines, les techniques élaborent en permanence de nouveaux pouvoirs… mais les totalitarismes et les massacres de masse ont ruiné le politique et l’éthique.

    L’optimisme étant consubstantiel à l’Homme, on espérait que le XXIe siècle, dans un monde raisonné par les contraintes du réchauffement climatique, serait celui de la connaissance, facilitée par l’effondrement de l’Union Soviétique.

    Premier constat : la démographie mondiale et le réchauffement climatique

    En premier lieu, et nous en avons une prise de conscience accélérée, dans un monde globalisé et victime du réchauffement climatique, les évolutions démographiques ne sont plus à l’échelle d’une nation, ni même d’un continent, mais bien de la planète. Impossible de se contenter de l’idée rassurante d’une planète stabilisée en nombre d’habitants d’ici 30 ans, car la répartition de la population se modifie profondément, les populations occidentales et chinoises vieillissent et diminuent alors que la population Africaine est en forte croissance… dans une région du monde où le dérèglement climatique va entraîner d’importants déplacements de population.

    Certes la technologie nous laisse penser que demain le travail « humain » sera une denrée encore plus rare, mais il pourrait ne plus être une valeur en soi : l’Homme « occidental » rentre dans l’ère des aménités de la vie. Dans les faits, si les robots feront une part de plus en plus importante des travaux pénibles, et l’intelligence artificielle une grande partie des travaux répétitifs ou qui nécessitent aujourd’hui pléthore de personnes, le partage géographique de la planète sera très compliqué et l’on peut, malheureusement, raisonnablement penser qu’une part importante de la technologie devra être consacrée aux besoins de protection physique des pays occidentaux. Il faut s’attendre à des conflits issus de la problématique du partage de la planète d’une nature identique à celles qui poussent les populations à faire la guerre pour des raisons de survie : les robots, les drones, la maîtrise des technologies de l’information (le seul système GPS au monde appartient à l’armée américaine), contre des populations frappant aux portes de l’occident… perspective peu réjouissante.

    La seule réponse pacifique possible consiste à former les populations africaines pour qu’elles puissent, grâce à la technologie, gérer les conséquences du réchauffement climatique et éviter l’exode massif. Comme l’a dit Emmanuel Macron, le problème de l’Afrique c’est aussi, si ce n’est avant tout, le problème de l’Europe. Cette démarche est à l’évidence politique avant d’être technologique et l’on voit bien les difficultés à faire accepter à l’Europe, et plus généralement aux pays riches, l’idée de financer massivement le développement de l’éducation en Afrique alors que nous connaissons déjà le problème de son financement chez nous.

    Deuxième constat : les limites de la démocratie occidentale.

    La Chine est en bien meilleure posture que l’Occident pour gérer les conséquences des évolutions technologiques, climatiques ou démographiques : lorsqu’elle décide de fermer ou de déplacer des usines avec les millions de personnes « qui vont avec », le parti communiste chinois l’impose. De fait, on sent clairement les limites de nos modèles démocratiques. Lorsque l’on veut réformer le statut des cheminots ou limiter les revendications des salariés d’Air France, le pays est à la limite du blocage… et sans polémiquer davantage sur la difficulté de réformer en occident, et singulièrement en France, on pourrait prendre une foultitude d’exemples dans les relations entre membres de l’UE à commencer par la réforme de la constitution européenne qui a été rejetée par les populations et qui s’auto-bloque dans les règles actuelles de majorité à 28 membres.

    La situation politique Italienne est encore plus illustratrice des difficultés de la démocratie… et de l’Europe. L’Italie va-t-elle faire défaut sur sa dette publique ? La réponse est « très probablement » non, mais ce « très probablement » créé l’incertitude et la régulation notamment bancaire va encore plus inciter les banques à vendre les obligations italiennes (BTP) qu’elles détiennent, entropie oblige, et provoquer ainsi la crise.

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    news-1215 Thu, 05 Jul 2018 11:36:02 +0200 Charte sur l'Investissement Responsable (IR) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/charte-sur-linvestissement-responsable-ir/ La Charte Investissement Responsable (IR) du Groupe La Française est le document de référence des pratiques du Groupe en termes d’intégration des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance, (ESG) dans son activité de gestion pour compte de tiers.

    La charte est structurée en quatre chapitres : concept et démarche d’investissement, déclinaison concernant chaque classe d’actifs, mise en oeuvre dans les processus d’investissement et pilotage de la démarche d’investissement.

    Chapitre 1 : Concept et démarche d'investissement

    Le Groupe La Française est convaincu que les facteurs ESG affectent de façon importante les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Cette conviction est étayée par les travaux académiques de plus en plus nombreux qui traitent de cette question et qui viennent la confirmer. L’antagonisme opposant la performance économique et la rentabilité financière à la durabilité et à la responsabilité sociale n’est plus de mise. Les comportements responsables pour une finance durable sont en effet synonymes de flexibilité, de réactivité, d’innovation et donc de performance et de rentabilité. De fait la question n’est pas pourquoi intégrer les facteurs ESG dans les processus d’investissement, mais plutôt quelle raison invoquer pour les ignorer.

    Notre Groupe est également convaincu que le changement climatique est un élément structurant de l’avenir économique et social et que la société de demain sera basée sur une économie bas-carbone. A ce titre, il est important et urgent de prendre en compte le climat dans les décisions d’investissement. Les risques et opportunités associés au changement climatique, risques et opportunités de transition ou risques physiques, sont de nature à affecter toutes les activités et les performances financières des actifs, quels que soient les secteurs et les classes d’actifs. Non seulement il n’y a pas d’antagonisme entre performance climat et performance financière, mais de plus, des études scientifiques de plus en plus nombreuses montrent l’émergence d’un facteur carbone influençant les marchés financiers.

    La méthodologie traditionnelle appliquée dans l’Investissement Socialement Responsable (ISR) est l’exclusion des actifs non conformes. Cette méthode est mise en oeuvre par le Groupe La Française au même titre que sont également exclus les actifs sans perspectives financières. L’exclusion de secteurs économiques entiers n’apparait pas cohérente dans la mesure où les interconnections entre secteurs peuvent être fortes et les liens étroits entre secteurs exclus et secteurs inclus. Mais le Groupe ne se cantonne pas à cette méthodologie, il a l’ambition d’intégrer dans son processus d’investissement les facteurs ESG de façon aussi rigoureuse et systématique que les facteurs financiers traditionnels. Pour ce faire, le Groupe a recours à l’analyse stratégique en particulier par la mesure de la capacité d’adaptation et d’innovation propre à chaque entreprise. Ces capacités sont clefs pour faire face aux changements profonds qui régissent l’économie mondiale lesquels rendent particulièrement pertinents l’intégration des facteurs ESG.

    En pratique, le Groupe La Française a développé une version propriétaire de l’IR, dénommée Stratégie Avancée d’Investissement (SAI), qui tire son origine d’un partenariat capitalistique noué en 2014 avec la société d’étude et de recherche Inflection Point by La Française1. Cette approche combine à tous les niveaux de la gestion des actifs et sans hiérarchie, des facteurs financiers, stratégiques et ESG.

    1 Présentation en annexe

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    news-1209 Fri, 29 Jun 2018 11:41:19 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) signe avec le Groupe Giboire la promesse de vente de l’immeuble Identity 2 à Rennes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-signe-avec-le-groupe-giboire-la-promesse-de-vente-de-limme/ La Française Real Estate Managers (REM) signe avec le Groupe Giboire la promesse de vente d’un immeuble de bureaux situé à EuroRennes, au pied de la gare TGV de Rennes.

    EuroRennes constitue le nouveau quartier d’affaire de Rennes construit autour de la gare multimodale. Depuis l’été 2017 la ligne LGV permet de rejoindre Paris en 1h25. Début 2020, les 2 lignes de métro de Rennes se croiseront à la Gare confortant la place du quartier dans le centre-ville.

    Identity 2, second immeuble d’un ensemble de 3 bâtiments dont la coordination architecturale a été confiée à l’architecte Jean-Paul Viguier, a été conçu par le cabinet d’architecture Blanchard Marsault Pondevie.

    Il développera une surface utile de 7 890m² dont 188m² de commerces et bénéficiera de 70 parkings.  L’immeuble, qui vise la certification HQE, sera livré au second trimestre 2019.

    Cette promesse a été signée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Multimmobilier2

    La Française REM était assistée par l’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES. Le Groupe Giboire était assisté par l’Office Notarial du Guesclin.

    La commercialisation locative d’Identity 2 a été confiée en exclusivité à Giboire Entreprise et Commerce, filiale du Groupe Giboire.

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    news-1207 Thu, 28 Jun 2018 17:00:42 +0200 Le retour en grâce de la gestion active /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-retour-en-grace-de-la-gestion-active/ Il a été démontré que la surperformance des fonds américains actifs ou passifs est corrélée au cycle de marché ; or ce dernier donne des signes indiquant que les conditions pourraient devenir plus propices aux gérants actifs et leur donner l’opportunité de surperformer. Le retour en grâce de la gestion active dans la sphère des grandes capitalisations américaines

    - Depuis presque 50 ans, on distingue l’alternance très nette de cycles de performance relative favorables soit à la gestion active, soit à la gestion passive. Après une longue période de surperformance du style passif, nous avons vraiment le sentiment que la gestion active reprend des couleurs (cf. Alger On the Money « Tout ce qui descend doit remonter »).

    - Les gérants actifs sont des adeptes de la sélection des valeurs qui ont tendance à enregistrer de meilleures performances quand les corrélations entre actions sont faibles. Même si les corrélations dans l’indice S&P 500 sont en hausse cette année, leur tendance est globalement baissière et leur niveau est nettement inférieur à la moyenne de ces dix dernières années. Dans ce contexte, les gérants actifs dotés d’importantes capacités de recherche ont davantage de ressources pour identifier les actions à même de surperformer le marché.

    - Certains facteurs, tels que la performance des petites capitalisations américaines et la hausse des taux aux États-Unis, ont tendance à bénéficier à la gestion active vs. passive, et pourraient bien contribuer encore plus au succès des « stock pickers » (cf. Capital Markets « Party Without the Punch? », page 15).

    >Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-1206 Wed, 27 Jun 2018 14:30:53 +0200 Xavier Lépine dans Immoweek : « Le culte du non-risque conduit au super risque » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-dans-immoweek-le-culte-du-non-risque-conduit-au-super-risque/ Retrouvez l'article de Xavier Lépine, Président du Directoire du Groupe La Française, dans Immoweek mai-juin 2018. Il n’a plus de « bureau » à proprement parler, mais Xavier Lépine reçoit, boulevard Raspail, dans une salle de réunion pourtant très personnalisée. On aperçoit, en effet, en rentrant deux guitares électriques, des modèles mythiques que les fans de rock reconnaîtront au premier coup d’œil (des Gibson…), mais aussi le Trophée « Mille Mercis » d’Immoweek obtenu l’année dernière, sans oublier une carte du Grand Paris… où ne figurent pas les 600 (!) immeubles détenus par La Française (ça faisait beaucoup), mais les gares où le Fonds de Dotation Art Grand Paris, dont La Française est un des partenaires, intervient, ainsi que les projets retenus dans le cadre de l’aménagement du Grand Paris. Quelques fauteuils complètent l’ensemble, surmontés par des pochettes de disque des Beatles. Un esprit très « rock » donc (il faut l’entendre discuter de Keith Richards et de sa technique !) que l’occupant des lieux aime à l’évidence.

    Car Xavier Lépine représente ce nouveau type de patron qui n’oublie certes pas qu’il a obtenu un DEA d’économie monétaire et de finances internationales à Dauphine (ses analyses toujours percutantes et souvent originales – que l’on retrouve régulièrement dans « Immoweek Le 13 heures » – sur les enjeux actuels en sont la preuve), mais qui pratique un management beaucoup plus « cool » que dans d’autres lieux (… que nous ne citerons pas !). Il aime, en tout cas, à convaincre son auditoire en insistant toujours sur les lignes de force, les innovations et même sur la nécessaire (et parfois anxiogène) disruption. « Pierre d’Or du Professionnel de l’Année 2015 », notre homme s’est peu à peu imposé dans un sérail qui ne l’attendait pas forcément là. Car la matière immobilière le passionne : il suffit de l’entendre parler geek et millenials, transformation de bureaux en logements, nouveautés juridiques ou techniques, pour comprendre que le président du directoire de La Française est un homme qui ne rate rien de l’actualité, réfléchit. Beaucoup. Et voit loin. A la tête de la bagatelle de 70 milliards d’euros d’actifs sous gestion, il préfère parler de l’avenir, de ce qui bouge. Bref, un « institutionnel » qui n’a ni l’allure ni le discours traditionnels. Et qu’il n’est (vraiment) pas inutile d’écouter et de lire…

    [...]

    > Retrouvez l'intégralité de l'interview parue dans Immoweek mai-juin 2018 en cliquant ici

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    news-1194 Thu, 21 Jun 2018 12:04:24 +0200 Modification produits - La Française Actions France PME /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-produits-la-francaise-actions-france-pme/ La Française Asset Management, Société de gestion du fonds La Française Actions France PME, a décidé de procéder à la modification de l’indicateur de référence à compter du 2 juillet 2018 :

    - Nouvel indicateur de référence : Enternext PEA PME 150 (ENPME)

    Cet indice est plus représentatif de la composition du fonds La Française Actions France PME.

    Le fonds nourricier de La Française Actions France PME, CMNE Participation PME France est également concerné par ce changement.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Actions France PME disponibles sur le site www.la-francaise.com.

    Pour en savoir plus

    La Française Actions France PME (Part C)

    La Française Actions France PME (Part D)

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    news-1188 Wed, 20 Jun 2018 09:29:44 +0200 L’agriculture urbaine à La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lagriculture-urbaine-a-la-francaise/ La Française entreprend de végétaliser plus de 2 000 m² de toiture à Puteaux (92) pour y développer de l'agriculture urbaine.

    Dans le cadre du déploiement de sa politique d'Investissement Socialement Responsable, La Française a initié une réflexion sur une démarche d'aménagement des sites composant les patrimoines immobiliers de ses fonds et offrant de réelles perspectives de conservation de la biodiversité et de développement de l'agriculture urbaine.

    Pour le groupe, le rôle de la ville et des bâtiments dans la constitution du lien homme/nature est un enjeu stratégique. A l’instar des changements qu'engendre la révolution digitale dans de nombreux secteurs dont celui de l'immobilier, la biodiversité associée à l'immobilier est une source d'innovations techniques, sociales et sociétales.

    Ainsi, l'agriculture urbaine est un moyen pour améliorer le cadre de vie des clients-locataires de La Française. C’est aussi créer de la valeur en participant à l'échelle du territoire à la conservation de la biodiversité, en renforçant le lien social et en contribuant à la réduction de l'empreinte carbone.

    Cette première opération, menée avec l'entreprise MUGO, entreprise leader spécialisée dans l'expertise paysagère et horticole, porte sur l'aménagement de plus de 2 000 m² de terrasse sur le Campus AVISO (92), ensemble immobilier détenu par plusieurs fonds immobiliers collectifs (SCPI et OPCI) du groupe et pour lequel La Française Real Estate Managers assure la gestion.

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    news-1187 Tue, 19 Jun 2018 17:53:41 +0200 La stratégie d'investissement en Europe des SCPI La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-strategie-dinvestissement-en-europe-des-scpi-la-francaise/ Les SCPI investissent de plus en plus en Europe. Quelles en sont les raisons ? Quel intérêt pour les investisseurs en parts de SCPI ? Comment se positionnent les SCPI La Française face à cette stratégie d’investissement ? Entretien avec Philippe DELHOTEL, Directeur Commercial La Française AM Finance Services.

     

    Pour en savoir plus

    Les SCPI et l'Europe

    Retrouvez la fiche produit de la SCPI Eurofoncière 2
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    news-1186 Tue, 19 Jun 2018 16:14:34 +0200 Les SCPI et l'Europe /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-scpi-et-leurope/ Les SCPI investissent de plus en plus en Europe. Quelles en sont les raisons ? Quel intérêt pour les investisseurs en parts de SCPI ? Comment se positionnent les SCPI La Française face à cette stratégie d’investissement ? Entretien avec Philippe DELHOTEL, Directeur Commercial La Française AM Finance Services.

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    La stratégie d'investissement en Europe des SCPI La Française

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    news-1183 Tue, 19 Jun 2018 10:04:21 +0200 Du côté des actions : Ils n'ont rien appris ni rien oublié (1) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-actions-ils-nont-rien-appris-ni-rien-oublie-1/ La zone Euro est une puissance économique, mais sa survie réside dans sa capacité à mettre en oeuvre une politique économique commune. Les investisseurs ont intégré cette équation depuis la crise grecque de 2011 2012 : quelle est la cohésion du système Euro et alternativement son risque d’éclatement ? La question subsidiaire est : l’Italie est-elle son talon d’Achille ?

    Si les marchés actions n’aiment pas l’incertitude, la politique italienne de ces derniers jours a été une source d’agitation. Le rendement à 10 ans italien s’est ainsi tendu de 98bps à 3,44 %, la Bourse de Milan a perdu jusqu’à près de 6 % et les bancaires italiennes, qui portent une part importante de la dette publique italienne (plus de 600Mds €), ont été particulièrement malmenées. Le 30 mai le calme est revenu sur les marchés dès lors que le MoVimento 5 Stelle (M5S) et la Lega Nord (LN) ont pu former un gouvernement adoubé par le Président italien. Il a fallu cet épisode politique inédit pour que les marchés prennent à nouveau en compte la dimension politique et ajoutent un nouveau pic de risque autour du sujet de la cohésion de la zone Euro. Pour violent qu’il ait été, cet épisode est resté relativement cantonné pour les actions et n’a pas eu d’effet significatif sur l’Euro, alors qu’en parallèle, le Premier Ministre espagnol perdait la confiance de son parlement. Les marchés européens ont finalement rebondi, l’Euro s’est repris face au Dollar à 1,16 et les rendements obligataires se sont détendus.

    Cette capacité d’absorption de l’événement par les marchés dans l’ombre bienveillante de la BCE ne signifie pas que le risque ait disparu. Le coeur du sujet concernant l’Italie est celui de la faiblesse de sa croissance couplée à une dette publique importante (132 % du PIB). L’Italie n’est pas la Grèce de 2012, mais l’association dans un même gouvernement de deux partis extrêmes et de convictions opposées ne sont de nature à apporter ni stabilité, ni espoir de changements face à des faiblesses identifiées parmi lesquelles la capacité du pays à engager des réformes. La mise en oeuvre du "programme commun" italien proposé pèserait 6 à 7 % du PIB et si l’excédent budgétaire primaire (1,7 % du PIB) donne une marge de manoeuvre, les possibilités d’une relance par une baisse de la fiscalité sont limitées. Les rigidités de l’économie italienne pèsent sur sa productivité, son système bancaire est convalescent et peu de sociétés familiales ont été capables d’atteindre une taille critique motivant les investisseurs.

    Les actions italiennes représentent environ 7 % de l’Eurostoxx300. Elles sont marquées par le poids des banques et par la présence de sociétés tournées vers les marchés internationaux. Ces deux compartiments ont été corrélés lors de la phase de croissance retrouvée de la zone Euro dans la hausse du début d’année. A ce stade, et même si l’on peut envisager des rebonds techniques nous restons prudents à l’égard des banques italiennes qui souffriront de tout nouvel épisode de crise politique. Nous gardons une vue constructive s’agissant des sociétés ayant une exposition internationale. Elles bénéficient de la baisse de leur valorisation et de la parité Euro-Dollar. Les sociétés italiennes de taille moyenne devraient être soutenues par le PIR (plan individuel d’épargne).

    Pour la zone Euro, la prime de risque politique devrait perdurer. Bien que la croissance des résultats des entreprises continue de nous inciter à acheter sur faiblesse dans une perspective de fin d’année, la mauvaise tenue des dernières statistiques concernant la zone Euro associée au risque politique nous rend plus circonspects pour les semaines à venir à l’égard de ce marché.

    (1) M. de Talleyrand

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1181 Tue, 19 Jun 2018 17:29:00 +0200 La Française continue d’attirer des investisseurs coréens sur le marché immobilier français /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-continue-dattirer-des-investisseurs-coreens-sur-le-marche-immobilier-francais/ La Française a acquis, pour le compte de Hyundai Investment Asset Management et d’un consortium de sociétés d’investissement coréennes, « Le Balthazar », un immeuble de bureaux de huit étages situé Place des Droits de l’Homme à Saint Denis (93), à proximité du Stade de France. AEW est intervenu en qualité de vendeur pour le compte de La Caisse des Dépôts et d’un autre investisseur institutionnel de premier plan. L’actif est idéalement situé, au coeur d’un quartier d’affaires dynamique, qui compte déjà plusieurs sièges  sociaux de grandes multinationales et est facilement accessible en transports en commun (étant desservi par le RER B, des lignes de bus et la future station de métro « Stade de France »).

    Cette nouvelle transaction s’inscrit dans une série d’opérations réalisées pour le compte d’investisseurs coréens souhaitant diversifier leurs portefeuilles immobiliers. Ces derniers ont été séduits par l’attractivité du marché français et le potentiel de hausse découlant du projet du Grand Paris et de la tenue des Jeux olympiques d’été de 2024.

    Cette construction HQE, développée par Richard Meier et Atelier 2/3/4, a été livrée en 2009. Elle offre environ 32 600 m² de surface utile sur huit étages et se compose de deux bâtiments reliés par un atrium. Un grand parking de 430 places occupe également les deux niveaux de sous-sol. Les surfaces à usage de bureaux sont intégralement louées à un grand groupe de télécommunications dans le cadre d’un bail de long terme, tandis que les deux locaux commerciaux (d’une superficie totale de 590 m²) accueillent une offre de restauration. En amont de la cession, AEW a achevé la rénovation de l’actif et conclu un nouveau bail de 9 ans avec le locataire.

    Cette opération illustre parfaitement l’efficacité de la plateforme immobilière de La Française à l’international.

    La Française Real Estate Partners, la plateforme dédiée aux investisseurs institutionnels et à l’immobilier commercial direct français, s’est encore une fois démarquée en sourçant cet actif de qualité, tandis que l’équipe de développement commercial de La Française Real Estate Partners International basée à Séoul a fédéré plusieurs investisseurs coréens autour de cette transaction.

    Patrice Genre, président de La Française Real Estate Partners, a déclaré : « Nous sommes ravis d’avoir pu assister une nouvelle fois nos clients et amis coréens. Pour eux, il est crucial de choisir le gestionnaire adéquat pour garantir le bon déroulement d’une transaction transfrontalière aussi complexe. »

    Shawna Yang, Directrice des relations investisseurs Immobiliers pour l’Asie, a ajouté : « La Française renforce sa présence sur le marché asiatique. Les investisseurs coréens apprécient le fait que La Française soit capable d’identifier des actifs de qualité grâce à ses équipes d’investissement chevronnées sur le terrain. Notre track record solide (sept ans, 1,5 milliard d’euros investis dans quatre pays européens) prouve que nous sommes en mesure d’identifier des actifs répondant pleinement à leurs attentes. »

    La Française a été conseillée par le département Capital Markets de Cushman & Wakefield, par le cabinet Ashurst pour les questions juridiques et par l’étude Flusin, Miralles et Esteve concernant les aspects notariaux ; PwC a fourni une assistance sur les enjeux fiscaux, Theop sur la due diligence technique et ERM sur la due diligence environnementale.

    Le financement de la transaction a été arrangé par la Landesbank Hessen-Thüringen (Helaba), qui est intervenue en tant que prêteur et Facility et Security agent ; la banque a été conseillée par l’étude Allez & Associés et le cabinet Archers.

    AEW a été assistée par le cabinet Clifford Chance, l’étude Thiberge, le cabinet Fidal et Mazars.

    Télécharger le communiqué de presse 

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    news-1179 Mon, 18 Jun 2018 12:08:58 +0200 Le Mix Grand Paris : Retour sur le projet du Siècle /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-mix-grand-paris-retour-sur-le-projet-du-siecle/ Pour sa deuxième édition, Le Mix, nouveau concept évènementiel autour des sujets d’actualités et des tendances de demain de La Française, a réuni un panel d’Experts autour du Grand Paris : Pierre Veltz, lauréat du Grand Prix de l’urbanisme décerné par le ministère du logement en 2017 François Bertière, Président Directeur général de Bouygues Immobilier Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française Guillaume Pasquier, Responsable développement foncières chez La Française

    Avec plus de 35 milliards d’euros investis, 200km de lignes de métro et 68 nouvelles gares, la construction du Grand Paris est LE projet européen de ce siècle. En tant que société de gestion, La Française tient positivement compte de la métropolisation en intégrant dans sa politique d’investissement cette nouvelle dynamique économique et les opportunités nouvelles apportées par le développement du réseau de transport via de nouveaux véhicules d’investissement. Par sa présence accrue en amont des projets de construction, La Française pourra également capter de la valeur.

    Plus de 130 personnes était présentes sur le toit de La Grande Arche jeudi 7 juin pour suivre en direct le débat autour de trois thématiques clés :

    • Le Grand Paris aujourd’hui : actualités et Enjeux
    • Comment investir dans ce nouveau contexte ?
    • Le Grand Paris de demain

    L’intégralité des débats est aujourd’hui disponible grâce au replay de l’évènement, comme si vous y étiez ! L’accessibilité par chapitre vous permet une lecture facilitée du Mix Grand Paris.

    Les intervenants

    Pierre Veltz, ingénieur de première formation, chercheur en sciences humaines, Pierre Veltz a été, en 2009, délégué ministériel pour la mise en œuvre du cluster de Saclay, l’un des projets du Grand Paris. Il reçoit en 2017, le grand prix de l’urbanismes décerné par le ministère du logement français.

    François Bertière, ancien élève de l’Ecole Polytechnique, intègre le groupe Bouygues en 1985 en tant que Directeur général adjoint de Française de Constructions et devient en 2001, le Président directeur général de Bouygues Immobilier.

    Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française. Homme de réflexion, son sens de l’observation macroéconomique et son intuition lui permettent d’anticiper le changement de paradigme des pays et les mutations sociales et économiques. Il porte depuis plus de 5 ans le projet du Grand Paris en France et à l’International. Il fonde en 2016 avec Remi Babinet le fonds de dotation du Grand Paris Express qui vise à accompagner le volet culturel du Grand Paris.

    Guillaume Pasquier, débute sa carrière chez Procter&Gamble avant de devenir Attaché parlementaire du Député Christian Blanc. A partir de 2009, il dirige la mission de préfiguration du futur Etablissement Public Paris-Saclay, dont il devient le premier Directeur général délégué en 2011. Il est aujourd’hui Responsable Développement Foncières chez La Française.

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    news-1177 Fri, 15 Jun 2018 10:27:28 +0200 La baleine n'a jamais appris du plancton et réciproquement ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-baleine-na-jamais-appris-du-plancton-et-reciproquement/ Le mot digitalisation est bien souvent associé au terme disruption… à tort, et il me semble opportun de distinguer les différents types d’innovation pour bien comprendre que les conséquences comme les motivations de la digitalisation − présente dans tous les domaines de la vie économique − sont cependant de natures très différentes.

    Pour à la mode que soit ce terme de disruption, Clay Christensen qui a théorisé la disruption et collaboré depuis 10 ans à la mise en place des concepts de compte épargne santé aux Etats-Unis (100 Mrds $ en collectés en 8 ans) a défini les concepts par rapport aux innovations d’efficience ou d’amélioration des produits.

    - Les innovations d’efficience existent depuis la nuit des temps et consistent, par le biais du progrès technologique, à baisser les coûts de production et engendrer une croissance des profits par une amélioration du taux de marge ; c’est, lorsqu’il s’agit d’une innovation liée à la digitalisation, ce qui fait la fortune des cabinets de conseils en organisation.

    - Les innovations d’améliorations des produits sont les deuxièmes les plus répandues : les produits sont plus sophistiqués, plus chers et à plus forte marge et d’ailleurs parfois tellement complexes qu’ils ne répondent plus forcément à la demande des clients.

    Ces deux premiers types d’innovation reposent sur la résilience de l’Entreprise alors que l’innovation disruptive nécessite une radicalité essentielle qui est très difficilement compatible avec les process et la culture des entreprises établies et focalisées sur leur résilience ; ce qui évidemment n’est pas un problème pour les entrepreneurs du digital qui n’ont pas à gérer la structure historique.

    - Les innovations disruptives sont liées, comme les deux précédentes formes d’innovation, à la technologie. Mais leur nature disruptive relève de deux raisons : elles modifient le business model lui-même en ré-enchantant l’expérience client et en même temps elles bénéficient d’un rendement croissant.

    - Le plus souvent elles s’adressent aux produits et services à faible marge, ceux auxquelles les baleines ne s’intéressent généralement pas car ils sont insuffisamment rentables (ex : les taxis, Airbnb avec l’hébergement à domicile…), même si dans un deuxième temps la baleine s’adapte… et l’entrepreneur s’intéresse alors à une autre activité. Le business modèle est structurellement différent des deux premières innovations car à l’inverse de celles-ci, qui sont à rendement décroissant, une innovation disruptive est caractérisée par un rendement croissant ; chaque client rapporte plus car son coût d’acquisition décroît, notamment du fait de la viralité du processus de vente, ce qui est très rare dans les modèles classiques.

    Ce qui caractérise les dix dernières années, c’est l’accélération des modèles disruptifs qui sont rendus possibles par la technologie. Force également de constater qu’aucune grande entreprise n’a jusqu’à présent réussi à créer une innovation disruptive car cette dernière arrive toujours par le bas, les produits ou les services low-cost. Les grandes entreprises sont dans les faits, incapables de faire et d’assumer les changements radicaux internes qu’elle implique. En conséquence elles collaborent massivement avec des start-up (incubateurs, accélérateurs, corporate fund) mais il y aura une grande majorité de déceptions, car la baleine n’apprend pas du plancton et en l’espèce le plancton ne cherche pas à apprendre de la baleine mais simplement à lui prendre ses clients et à grandir ! Voire à valoriser son initiative en espérant une opération de rachat par la baleine à un prix élevé…

    Dans ce contexte d’accélération des modèles de disruption, le seul modèle que nous voyons possiblement fonctionner pour les entreprises est celui de l’intrapreunariat qui permet de rendre compatible la multitude des individus versus la centralité, les hommes versus les machines (Intelligence Artificielle), les plateformes versus les applications.

    Pour un acteur bien établi, il est de toutes façons indispensable de poursuivre a minima les innovations d’efficience et d’améliorations de produits. Les bouleversements actuels liés aux innovations disruptives sont néanmoins à la portée de beaucoup d’entreprises établies si elles sont à même de mettre en place les modes d’organisation nécessaires, notamment sur la dimension entrepreneuriale/intrapreunariale indispensable au succès de ce type de démarche.

    L’analyse Five Factors développée par notre Centre de Recherche à Londres (Inflection Point by La Française) s’inscrit dans cette logique et vise à analyser le potentiel d’adaptation des entreprises cotées et bien établies. Elle repose sur un processus d’intégration qui combine à tous les niveaux de la sélection des entreprises les facteurs de l’Investissement Responsable (Environnement, Sociétaux et Gouvernance), approche ISR désormais bien établie, avec des analyses financières et stratégiques.

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    Cette approche permet d’évaluer les risques propres à chaque entreprise par la sélection des plus performantes en termes opérationnels et financiers, et montrant la meilleure résilience grâce à la gestion de leur capital humain et organisationnel. Elle permet de cerner au mieux les risques d’exécution des stratégies, en considérant la capacité de ce microcosme que constitue l’entreprise à prendre en compte les grands défis économiques, sociétaux et environnementaux.

    Les capacités à innover et à s’adapter sont au centre de notre analyse stratégique. Cette capacité d’adaptation est contextualisée par un suivi des grands enjeux mondiaux et de leurs conséquences, ainsi que par l’identification d’éventuels points de rupture imposés par les évolutions techniques.

    L’intégration de toutes ces dimensions se fait sans hiérarchie a priori, en considérant les éventuelles boucles de rétroactions entre ces éléments et leurs différentes temporalités. Leurs interactions influencent le futur des entreprises que nous étudions et sélectionnons, l’objectif poursuivi est d’identifier dans quelle mesure leurs effets se traduiront par la récurrence de leurs flux financiers. En résumé, identifier les entreprises qui sont aujourd’hui « leaders » et ont la capacité de le rester, et celles qui ont le potentiel de le devenir.

    Par sa conception, ce processus intégré nous permet de quantifier des éléments immatériels, les hiérarchiser et suivre leur évolution dans le temps. L’analyse systématique de cet ensemble de critères permet au modèle d’apprendre et d’évoluer, enrichi par nos expériences.

    L’intégration de cet ensemble de critères extra-financiers et financiers à tous les stades de la sélection des entreprises nous donne une meilleure probabilité d’identifier les points d’inflexion qu’une analyse financière traditionnelle ne pourrait révéler. Le caractère systématique de cette analyse nous permet d’enrichir le modèle et de valider ou modifier les indicateurs clés et l’ensemble de la méthodologie.

    Le constat de l’accélération provoquée par la mutation digitale est une évidence quotidienne et concerne tous les secteurs économiques. Nulle place pour se cacher de cette vague digitale : distribution, automobile, industrie, services financiers, services à la personne… Ce phénomène tend à promouvoir l’intrapreneuriat qui doit permettre à des individus « inspirés » de créer de nouvelles organisations en association avec l’entreprise à laquelle ils appartiennent. Cette démarche permet d’introduire une gestion entrepreneuriale des idées et projets au sein d’une organisation en développant autonomie et responsabilité. L’intrapreneuriat doit permettre à une entreprise existante de mieux saisir les opportunités que son inertie naturelle laisserait facilement passer.

    Ces combinaisons d’initiatives individuelles au sein d’organisations en place peuvent potentiellement constituer des moyens d’intégrer la disruption et d’assurer la résilience des corps constitués. Elles n’excluent évidemment pas des ruptures internes et doivent être considérées comme des indicateurs et des accélérateurs du changement.

    Cliquez ici pour lire l'intégralité de la Lettre de Xavier Lépine

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    news-1173 Thu, 14 Jun 2018 10:01:58 +0200 Du côté des taux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-taux/ Le mois de mai a connu un retour violent de l’aversion au risque. Alors qu’ils n’avaient que peu ému les marchés, les résultats des élections italiennes ont finalement généré, par contagion, de fortes baisses des actifs, principalement dans la sphère obligataire.

    Nous étions positionnés sur les dettes périphériques courtes que nous avons conservées dans l’épisode de stress : nous souhaitons rester mobiles sur l’Italie au gré des phases d’inquiétude et d’apaisement à venir notamment dues aux difficultés que le gouvernement rencontrera dans la mise en oeuvre de son programme.

    Le taux 10 ans allemand a perdu jusqu’à 30 bps depuis le point haut de mi-mai et a traité à 0,20 %, bénéficiant d’un mouvement de fuite vers la qualité en zone Euro. Il parait effectivement logique de valoriser aujourd’hui plus bas la référence que sont les taux allemands en raison d’un effet possible, quoique limité, sur la croissance de la zone Euro et en raison d’un possible décalage de communication de la BCE sur la sortie de Quantitative Easing. Mais dans un scénario qui exclut une situation systémique en Italie, la trajectoire économique de la zone Euro et par ricochet la politique monétaire de la BCE n’ont pas de raison d’être fortement déviées. Ironie de l’histoire, un jour après la forte chute du rendement 10 ans allemand à 0,20 %, l’inflation allemande a été publiée mercredi à 2,2 % en glissement annuel, largement supérieure au 1,8 % attendu. Le niveau des taux coeur nous semble résolument trop bas.

    Même après sa correction récente, le pétrole en EUR a progressé depuis début 2018 de 13 %, impliquant des effets de base positifs sur l’ensemble de l’année (si les prix se stabilisent). L’anticipation d’inflation à 5 ans est actuellement de 1,45 % en zone Euro : l’inflation totale devrait se maintenir proche de 2 % d’ici l’été, ce qui n’est que très partiellement anticipé par les marchés. Aux Etats-Unis, des éléments spécifiques (guerre des prix dans les télécoms, baisse des prix des médicaments) ont impacté négativement l’inflation au deuxième trimestre 2017 et ont créé des effets de base positifs pour 2018. Au cours de l’été, les glissements annuels d’inflation américaine dans un contexte de guerre commerciale US versus le reste du monde et de tensions sur le marché du travail vont remonter vers 3 % et impacteront à la hausse les anticipations d’inflation, actuellement à 2,1 % sur la maturité 10 ans. Nous restons positifs sur les points morts d’inflation américaine et européenne.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1172 Fri, 15 Jun 2018 10:00:00 +0200 LFIS conclut un partenariat de recherche de trois ans avec Quantitative Management Initiative /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lfis-conclut-un-partenariat-de-recherche-de-trois-ans-avec-quantitative-management-initiative/ La Française Investment Solutions (« LFIS »), comptant 10,2 milliards d’euros(1) d’actifs sous gestion, annonce un partenariat avec Quantitative Management Initiative (« QMI ») pour développer de nouveaux domaines de recherche quantitative avec de possibles applications pour l’industrie de la gestion d’actifs. Le partenariat est en ligne avec l’engagement de QMI qui consiste à promouvoir la finance quantitative et sa contribution en termes de recherche, de gestion des risques et de création de valeur pour les investisseurs.

    • Un nouveau partenariat basé sur le développement de projets innovants dans le domaine de la recherche quantitative et de leurs applications à la gestion d’actifs.

    • Un effort de collaboration entre LFIS et les principaux établissements parisiens de gestion quantitative et instituts académiques.

    QMI, lancé en 2012, fait partie de la Fondation du Risque et est soutenu par l’Institut Louis Bachelier. Les projets de recherche sont effectués par des équipes provenant d’universités de premier plan telles que Paris-Dauphine et ENSAE (Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique). Cette initiative vise à produire des recherches avec des applications pratiques en encourageant la collaboration entre les professionnels de la gestion quantitative et les chercheurs universitaires. L’initiative s’appuie sur le riche patrimoine français en matière de gestion quantitative ainsi que sur un grand nombre de talents en recherche et en gestion quantitative, et cherche ainsi à promouvoir cette puissante combinaison sur une plateforme globale.

    Le partenariat entre LFIS and QMI couvrira les trois principaux axes de l’investissement quantitatif que sont l’intelligence artificielle et la génération de signaux, la construction de portefeuille et la gestion des risques, et enfin les défis de la mise en application. Un appel à projet à l’échelle mondiale sur ces thèmes sera prochainement lancé. Les projets proposés seront étudiés par un comité composé de représentants de l’université Paris-Dauphine, la Fondation du Risque, LFIS et d’autres sociétés de gestion quantitative. Le soutien de LFIS contribuera à financer les projets de recherche sélectionnés, dont les résultats seront présentés lors d’une conférence de clôture. L’initiative de LFIS sera menée par le Directeur du Pôle la Recherche Quantitative & Développement, Guilaume Garchery, et le Directeur du Pôle Factor Investing, Luc Dumontier.

    Sofiene Haj-Taieb, CIO de LFIS, a déclaré : « L’approche quantitative est une partie essentielle de l’ADN de LFIS et s’observe à travers nos stratégies premia et crédit. Nous considérons cette approche comme l’une des tendances majeures de l’industrie de la gestion d’actifs. Ce partenariat avec QMI amplifie nos efforts de recherche interne avec l’accès à un réseau de gérants et d’académiciens de talent. Nous espérons que ce partenariat soutiendra et entretiendra la future génération de talents dans l’investissement quantitatif.

    Mais avant tout, nous avons l’intention d’exploiter les résultats de ces recherches afin de permettre à nos clients d’aller au-delà des approches traditionnelles de la gestion d’actifs et de bénéficier d’un processus d’investissement reproductible, consistant et performant. »

    Gaëlle Le Fol, professeur à Dauphine et Directeur Scientifique de QMI, a déclaré : « Nous sommes ravis d’accueillir LFIS en tant que partenaire de cette initiative. Leur forte compétence dans le domaine de la recherche quantitative est une source précieuse d’idées et d’inspiration pour notre recherche. A travers ce partenariat, nous cherchons à bâtir et renforcer la collaboration entre les chercheurs et les professionnels de la gestion quantitative et à faire vivre la recherche de QMI. »

    (1) Source : LFIS. Données non auditées au 31 mars 2018, excluant certains actifs sous gestion collectés durant l’année et arrivant à maturité au cours de l’année 2018. 

     En savoir plus, télécharger le communiqué de presse 

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    news-1170 Wed, 13 Jun 2018 09:53:34 +0200 Le temps des politiques /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-temps-des-politiques/ Nous n’allons pas revenir sur les différentes étapes ayant finalement permis à la classe politique italienne de former un gouvernement, celles-ci ayant déjà fait l’objet de communications spécifiques (cf. le flash du 30 mai 2018). La situation semble aujourd’hui stabilisée, tout du moins à court terme, et certains éléments sont, selon nous, à souligner :
    • Les deux partis, le Mouvement 5 étoiles et La Ligue, alliés pour former un gouvernement n’ont pas un discours de sortie de la zone Euro. Ils critiquent ses dysfonctionnements mais n’ont pas été élus sur un programme de sortie ;
    • Les sondages montrent que les italiens veulent rester dans la zone Euro à une large majorité (2 tiers environ) ;
    • La réforme constitutionnelle de 2012 interdit la tenue d’un referendum concernant l’adhésion à la zone Euro.

    Pour toutes ces raisons, nous excluons un scénario de sortie de la zone Euro de l’Italie. Une fois cette conviction acquise, il ne faut toutefois pas oublier que le programme économique du gouvernement devrait mener, de façon quasi certaine, à des discussions difficiles avec les autorités européennes au cours des prochains mois. Pas de risque systémique donc, mais pas non plus d’appétit pour les titres longs italiens qui devraient rester volatils.

    Cette crise souveraine européenne se produit par ailleurs dans un environnement de croissance qui, bien que moins dynamique qu’en fin d’année 2017, reste bien orienté dans la plupart des pays développés. La force de la croissance américaine est d’ailleurs ici à noter. Dans ce contexte porteur, il va être intéressant d’observer le comportement des banques centrales alors que l’inflation se reprend, impactée par les effets de base positifs liés aux matières premières ainsi que par les tensions sur le marché du travail dans certains pays. Les trois banques centrales principales se réunissent en juin pour leurs comités respectifs, et elles auront par ailleurs l’occasion de se parler à nouveau à Sintra le 18 juin.

    Il nous faut aussi, encore une fois, mentionner la guerre commerciale larvée et toujours en cours entre les Etats-Unis et le reste du monde. Au-delà de leur mise en scène systématique, les déclarations de M. Trump ont de moins en moins d’impact sur les marchés financiers, mais cela ne signifie pas que cet état de fait perdurera à moyen terme. Cela explique notre positionnement assez prudent sur les marchés actions qui ont par ailleurs fait montre d’une résistance étonnante durant le mois de mai.

    Enfin, nous pensons qu’il faut profiter de l’épisode volatil du mois de mai pour réaffirmer certaines de nos convictions principales. Nous augmentons ainsi nos positions sur les points morts d’inflation et sur les positions vendeuses de taux "core". Nos positions sur les subordonnées bancaires ont elles aussi été légèrement augmentées, principalement sur des titres courts.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1169 Wed, 13 Jun 2018 09:48:04 +0200 Modification Produits – La Française Absolute Emerging Debt /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-produits-la-francaise-absolute-emerging-debt/ La Française Asset Management, Société de gestion du fonds La Française Absolute Emerging Debt, a décidé de procéder à la modification de la stratégie d’investissement à compter du 25 juin 2018 :

    - Stratégie d’investissement : La possibilité d’investir jusqu’à 10% de l’actif net dans des obligations contingentes convertibles (« Cocos ») et la possibilité d’investir dans Credit-Linked Notes (CLN).

    Les « CoCos » sont des titres hybrides, dont l’objectif est principalement de permettre une recapitalisation de la banque ou société financière émettrice, en cas de crise financière. Ces titres disposent en effet de mécanismes d’absorption des pertes, décrits dans leurs prospectus d’émission, qui s’actionnent en général si le ratio de capital de l’émetteur passe en deçà d’un certain seuil de déclenchement ou « trigger ».

    Ces changements interviennent suite aux modifications intervenues sur le fonds maitre La Française LUX – Absolute Emerging Debt.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Absolute Emerging Debt disponibles sur le site www.la-francaise.com.

    Pour en savoir plus

    La Française Absolute Emerging Debt : Part I  

    La Française Absolute Emerging Debt : Part R

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    news-1167 Tue, 20 Feb 2018 16:31:00 +0100 Découvrez en 2 minutes l’investissement en OPCI dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-en-2-minutes-linvestissement-en-opci-dans-le-cadre-dun-contrat-dassurance-vie/ Découvrez en 2 minutes l’investissement en OPCI dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie.

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    news-1166 Fri, 08 Jun 2018 14:08:44 +0200 La Française reconduite à la présidence de l'OID /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-reconduite-a-la-presidence-de-loid/ Gérard DEGLI ESPOSTI (Directeur de l'ISR Immobilier) réélu pour 3 ans à la Présidence de l'Observatoire de l'Immobilier Durable.

    Penser l'immobilier responsable. Six ans après sa création, l'OID poursuit sa mission avec une nouvelle équipe. Le Conseil d'administration réunit désormais aux côtés de La Française REM,  Amundi Immobilier, AG2R La Mondiale, ARSEG, Perial Asset Management, Poste Immo, Nexity, Société de la Tour Eiffel, Bouygues Bâtiment Île-de-France, Didier Kechemair Consultant.

     

    Le bureau nouvellement élu par les membres du conseil d'administration s'est réuni pour la première fois ce lundi 4 juin et a désigné le président en la personne de Gérard Degli-Esposti, suppléé par Eric Allard, La Française Real Estate Managers ; le vice-président : Cédric Nicard, suppléé par Benjamin Mercuriali, Perial Asset Management ; la trésorière : Odile Batsère, suppléée par Eric Berlizon, Société de la Tour Eiffel ; la secrétaire : Sandrine Lafon-Ceyral, suppléée par Caroline Tesio, Amundi Immobilier 

    Gérard DEGLI ESPOSTI entame ainsi un deuxième mandat et voit une nouvelle fois reconnu le travail réalisé au nom de La Française en matière de développement durable et d'Investissement Socialement Responsable.

     

    Pour la nouvelle équipe, l'actualité de l'OID reste chargée en cette fin de premier semestre. De la publication d'un outil open source de due diligence responsable aux réflexions prospectives sur le l'impact des millennials sur l'immobilier, de la la préparation de l'édition 2018 du Baromètre de la performance énergétique et environnementale des bâtiments aux grandes thématiques portées sur l'économie circulaire, sur l'atténuation et l'adaptation au changement climatique, sur la finance responsable, ainsi que sur le confort et le bien-être, autant de sujets s'inscrivent pleinement dans les objectifs de l'OID. Offrir un espace d'échange indépendant, susciter le débat et proposer des outils d'analyse open source.

     

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    news-1163 Fri, 08 Jun 2018 09:37:14 +0200 Vision d'ensemble : la Terre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vision-densemble-la-terre/ Les effets de l’innovation se ressentent non seulement sur les entreprises, mais aussi sur l’environnement. Un exemple de technologie innovante favorisant le développement durable est la réduction prévue des émissions de dioxyde de carbone (CO2), qui représentent une grave menace pour l’avenir de notre planète. Les implications de cette tendance peuvent séduire les investisseurs de plus en plus nombreux à vouloir profiter des bénéfices potentiels des technologies respectueuses de l’environnement. Croissance annuelle des émissions de CO2 liées à l'énergie

    • Selon les estimations, l’amélioration de l’efficience énergétique et l’adoption de sources d'énergie renouvelables et issues du gaz naturel, moins polluantes, devraient réduire de 75 % la croissance annuelle des émissions de CO2 au cours des 20 prochaines années comparées aux 2 dernières décennies.

    • Il est difficile de réduire les émissions de CO2 dans la mesure où la croissance économique mondiale est soutenue ; toutefois, l’intensité énergétique, ou volume d'énergie utilisé par unité d’activité économique, est en train de diminuer sensiblement.1

    • Tous ces changements sont dictés par l’innovation. Les nouvelles technologies et les gains d’efficacité qu’elles engendrent aident à réduire les coûts des énergies renouvelables. En effet, d’ici quelques années, le coût de l’énergie éolienne et solaire par kilowatt devrait être plus ou moins égal à celui des combustibles fossiles comme le charbon ou le gaz.2

    • Les stratégies de gestion ESG investissent la plupart du temps dans des entreprises qui permettent de générer ces gains d’efficacité d’une manière plus respectueuse de l’environnement. D’après les recherches, la présence d'investissements ESG serait aussi bénéfique à votre portefeuille qu’à Dame Nature (cf. Alger On the Money, « A New Way to Lower Risk? »).

    1 Agence américaine d'information sur l’énergie, « International Energy Outlook 2017. »
    2 Nextera Energy, Présentation investisseurs février/mars 2018.

    >Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-1160 Wed, 06 Jun 2018 18:09:05 +0200 Laurent Jacquier Laforge VS Christopher Dembik -2/2 - Assiste t'on à un ralentissement de la conjoncture économique en Europe ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/laurent-jacquier-laforge-vs-christopher-dembik-22-assiste-ton-a-un-ralentissement-de-la-conjonc/ Intégrale Placements, du lundi 4 juin 2018, présenté par Cédric Decoeur, sur BFM Business. Le face à face a opposé Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equity de La Française et Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque.

     

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    news-1159 Wed, 06 Jun 2018 18:03:24 +0200 Laurent Jacquier Laforge VS Christopher Dembik -1/2 - Assiste t'on à un ralentissement de la conjoncture économique en Europe ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/laurent-jacquier-laforge-vs-christopher-dembik-12-assiste-ton-a-un-ralentissement-de-la-conjonc/ Intégrale Placements, du lundi 4 juin 2018, présenté par Cédric Decoeur, sur BFM Business. Le face à face a opposé Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equity de La Française et Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque.

     

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    news-1144 Mon, 04 Jun 2018 17:21:16 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert les 2 premières tranches du parc d’activités Stone Hedge à Mitry-Mory (77) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-les-2-premieres-tranches-du-parc-dactivites-stone/ La Française Real Estate Managers a acquis en VEFA les deux premières tranches d’un parc d’activités situé sur la zone industrielle de Mitry-Compans, à proximité de l’A104 et de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle.

    Créée en 1972 autour de quelques entreprises de l’industrie chimique, la zone industrielle Mitry-Compans s'est ensuite développée dans différents secteurs d'activité : la métallurgie, l'agro-alimentaire, le bâtiment, le transport, la logistique et les technologies. Elle accueille aujourd’hui plus de 250 entreprises. 

    Le parc « Stone Hedge » est développé par Voltaire Développements. Il sera réalisé en 3 tranches et développera une surface totale de 8 960m². Les deux premières tranches quant à elles développeront une surface totale de 5 988 m2. La livraison est prévue au premier trimestre 2019 pour la première tranche et troisième trimestre 2018 pour la deuxième qui est d’ores et déjà pré-louée. La recherche de locataires a été réalisée par EOL.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement LF Opportunité Immo.

    La Française REM était assistée de Sorovim (Pôle Investissement) et de l’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES. Voltaire Développements était assisté de l’étude BELAIRE, DECOENE & JACQUELIN.

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1143 Mon, 04 Jun 2018 14:50:09 +0200 La Française Sub Debt : une diversification de l'allocation obligataire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-sub-debt-une-diversification-de-lallocation-obligataire/ Qu’est-ce que la dette subordonnée, quelles sont ses perspectives dans l’environnement actuel et comment notre fonds phare sur ce segment se positionne-t-il ? Retrouvez Lionel Lemarié, Directeur Commercial, et Paul Gurzal, Directeur de la Gestion Crédit.

     

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    news-1142 Mon, 04 Jun 2018 11:12:18 +0200 CD Partenaires renforce sa gouvernance et développe son offre de services /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cd-partenaires-renforce-sa-gouvernance-et-developpe-son-offre-de-services/ Dans un environnement marqué par de nombreuses mutations, liées notamment aux évolutions réglementaires et comportementales des clients finaux, CD Partenaires enrichit son offre de solutions et de services.

    Avec plus de 3 milliards d’euros d’encours (au 30/03/2018), plus de trente SCPI pouvant être souscrites de manière 100% digitale, un panel de 1 500 fonds référencés, une grande variété de solutions en assurance-vie, un large choix d’actifs non-cotés… CD Partenaires, plateforme en architecture ouverte, offre aux conseillers financiers un éventail complet de solutions d’investissement. 


    La plateforme a, également, complété son offre de services avec l’intégration d’une cellule d’ingénierie patrimoniale qui aura pour objectif notamment d’assurer une veille réglementaire constante et de proposer son expertise aux conseillers qui le souhaitent. Après le développement de l’outil « So SCPI », et convaincu de l’apport d’outils digitaux, CD Partenaires, intègre aujourd’hui l’arbitrage en ligne sur le contrat d’assurance-vie phare de la plateforme, Diade Evolution ; demain ce service sera élargi à l’ensemble des contrats proposés par la plateforme. Toujours dans l’optique d’améliorer son offre de services, CD Partenaires travaille à l’implémentation des diligences en ligne (B to B to C), afin de proposer aux conseillers un processus normé et générateur de gain de temps substantiel pour le conseiller. 


    Par ailleurs, pour répondre aux fortes ambitions de la plateforme, CD Partenaires renforce sa gouvernance avec la nomination de Christophe Descohand en tant que Directeur Général et l’arrivée de Jacques Bellamy-Brown dans quelques mois au poste de Secrétaire Général. L’équipe ainsi constituée permettra à CD Partenaires d’accélérer son développement et d’enrichir sa gamme avec des services à haute valeur ajoutée et des solutions d’investissement adaptées tant à l’environnement conjoncturel que structurel. 


    Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française, explique : « Nous souhaitons fortement accélérer notre croissance sur le segment retail et dans ce cadre la plateforme CD Partenaires constitue l’un de nos axes de développement prioritaires. Nous sommes en effet convaincus de la force de l’intermédiation et souhaitons continuer à offrir à nos partenaires des solutions d’investissement compétitives et complémentaires. Nous sommes ravis que Christophe ait accepté ce défi. »


    Christophe Descohand, Directeur Général de CD Partenaires, conclut : « Nous opérons dans un environnement en pleine mutation, aussi bien règlementaire que technologique. Nous serons omniprésents pour veiller au respect des engagements que nous avons pris vis-à-vis de nos partenaires. »

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1139 Thu, 31 May 2018 11:45:00 +0200 La SCPI en 2018 : le marché , le contexte et l'actualité des SCPI La Française - Partie 2 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-en-2018-le-marche-le-contexte-et-lactualite-des-scpi-la-francaise-partie-2/ Bilan et perspectives du marché des SCPI (collecte, performance).

    Faut-il craindre une remontée des taux ? Comment se positionne La Française dans ce marché (les derniers investissements, la gamme) ? Quelle est l’actualité des SCPI La Française ?

     

     

     

     

     

    Pour en savoir plus

    La SCPI en 2018 : le marché , le contexte et l'actualité des SCPI La Française - Partie 1

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    news-1137 Thu, 31 May 2018 09:54:00 +0200 Turbulences italiennes : La contagion entre le risque pays et le secteur financier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/turbulences-italiennes-la-contagion-entre-le-risque-pays-et-le-secteur-financier/ Les tensions sur les taux d’Etat Italiens ont rapidement impacté les dettes émises par le secteur privé du pays. En dépit des récentes avancées du secteur bancaire italien en terme de solvabilité et de réduction des encours de créances douteuses, c’est principalement les dettes du secteur financier, et en particulier les dettes subordonnées, qui ont été impactées. Finalement, le lien historique entre le secteur financier et la dette d’état reste prégnant et cela est bien compréhensible.

    Ainsi au 29 mai, les marges de crédit des indices Markit « iBoxx EUR Financials Italy » et « Germany » se sont tendus respectivement de 102 bps et de 20bps depuis le début du mois. La marge moyenne de l’indice « Iboxx Contingent Convertible Developed Market » (indice de référence correspondant aux dettes CoCos Additional Tier 1) est quant à elle passée de 335bps à 472bps pour une performance de -4,9% pour l’indice sur la période. 

    La contagion entre le risque pays et le secteur financier se joue à plusieurs niveaux. 

    Tout d’abord, les agences de notations évaluent la qualité de crédit d’une institution financière en se basant, en partie, sur le risque pays. Moody’s vient justement de placer la notation de l’Italie sous surveillance négative, ce qui pourrait avoir un impact sur la notation de certaines institutions financières en cas de dégradation de la note de l’Etat. 

    Par ailleurs, les banques et les compagnies d’assurances détiennent généralement de la dette publique locale, ce qui les lie financièrement à la performance de cette dernière. Ainsi, UniCredit détient environ 51mds€ de titres d’Etat italien pour une base de fonds propres CET1 (Common Equity Tier 1) de 47mds€. Ce qui donne au groupe UniCredit un coussin de fonds propres de 13,9mds€ par rapport aux exigences de son régulateur. Autrement dit, la banque pourrait théoriquement subir une perte nette de plus de 13mds€ (soit une perte de 27% sur les 51mds€ détenus) sans que cela ne vienne remettre en cause sa conformité avec les exigences réglementaires de la BCE et remettre en cause les paiements de coupons sur les dettes Additional Tier 1 CoCos. 

    De manière analogue, Intesa Sanpaolo détenait à fin mars 29,9mds€ de titres souverains italiens (hors titres détenus dans les activités de sa filiale d’assurance), et un coussin de fonds propres de 14,6mds€ au-delà des exigences règlementaires. Les émetteurs italiens sur lesquels nous sommes positionnés sont donc suffisamment capitalisés pour absorber un choc bien plus important sur la dette d’Etat italienne que celui que l’on vient de connaitre.

    Aujourd’hui, les coussins de fonds propres constitués par les principales banques et les compagnies d’assurances italiennes sont significatifs, notamment au regard des exigences réglementaires et des précédentes crises. En effet, en excluant le scénario d’une restructuration de la dette publique Italienne, ces coussins sont largement suffisants pour absorber une baisse importante des valorisations des titres souverains du pays. De plus, les dernières publications des résultats sont rassurantes et s’affichent depuis plusieurs trimestres sur une tendance opérationnelle positive pour les banques (cessions d’actifs non–performants et une rentabilité en amélioration), tandis que Generali poursuit l’amélioration de sa marge de solvabilité (211% à fin mars 2018). Enfin, une part significative de ces encours de dettes publiques est comptabilisée en « Held to maturity » dans les portefeuilles des banques et n’affecte donc pas leur compte de résultat ni leurs fonds propres. La volatilité des titres souverains italiens peut donc peser sur la rentabilité des banques, dans la mesure où cela a un impact sur leurs coûts de financement, et donc sur leur marge nette d’intérêts, mais cela n’est pas aujourd’hui de nature à produire un effet bilanciel significatif. 

    Achevé de rédiger le 29 mai 2018

    Avertissement :

    Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.

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    news-1131 Wed, 30 May 2018 11:45:00 +0200 Turbulences italiennes & convictions de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/turbulences-italiennes-convictions-de-la-francaise/ Nos analyses des marchés prennent pleinement en compte l’incertitude significative sur la situation en Italie mais excluent aujourd’hui le risque systématique d’une sortie de la zone Euro. Nous considérons qu’un certain nombre de mouvements de marchés a été exagéré et a pu libérer des opportunités de rebonds significatifs.

    Rappel du Contexte politique 

    M. Conte, nommé chef du gouvernement il y a quelques jours, renonce ce week-end à être Président du Conseil : le point d’achoppement avec le président Sergio Mattarella est le futur Ministre des Finances, le très Eurosceptique M. Paolo Savona. Le Président de la République a mis son veto et a maintenant les mains libres pour nommer un technocrate, sans avoir l’accord des partis arrivés en tête des élections législatives : il propose ce matin comme candidat au poste de nouveau président du Conseil, l’ancien chef des affaires fiscales au FMI, M. Carlo Cottarelli. Toutefois, M5S et la Ligue ont d’ores et déjà annoncé qu’ils ne voteraient pas la confiance dans les deux Chambres : de nouvelles élections devraient donc être annoncées, mais ne pourront se tenir avant septembre. 

    Plusieurs interrogations se posent, nous semble-t-il, si un tel scénario politique se matérialisait : 

    Quelle réaction des électeurs, dans la mesure où le Président de la République fait fi du résultat des législatives du 4 mars dernier ? Le score de la coalition de droite confirmera-t-il dans les urnes, la forte remontée de celle-ci, prégnante dans les sondages aujourd’hui ? 

    Le point est crucial mais il est bien difficile d’y répondre. A court terme, Messieurs Di Maio et Salvini campent sur leurs positions et martèlent leur volonté de gouverner. Toute nouvelle déclaration est de nature à alimenter fortement la volatilité à très court terme, d’autant que les volumes traités sur le future BTP 10 ans viennent très largement de la communauté des Hedge Funds, ce qui appelle à la prudence dans les prochains jours.

    Un gouvernement technique sera nommé pour gérer les affaires courantes avant les prochaines élections qui devraient se tenir après l’été : il ne se passera donc rien du point de vue des réformes mais cela évite la mise en place de mesures budgétaires peu orthodoxes. Le Président de la République fait aujourd’hui barrage à l’application d’une politique ouvertement sceptique envers la zone Euro et M. Berlusconi, attaché à l’ancrage européen de son pays, s’est rangé dimanche derrière M. Mattarella, ce qui augure de futures difficultés pour la coalition de droite et probablement d’une campagne électorale plus centrée sur le projet européen pour l’Italie. L’Italie devrait donc rester dans un flou politique jusqu’à l’automne, ce qui n’implique pas forcement de très grand désordre sur les marchés financiers.

    La dette italienne sous surveillance par Moody’s

    Dans ce contexte, l’agence de notation Moody’s a placé la note Baa2 de l’Italie sous surveillance et s’inquiète notamment du potentiel retour en arrière sur la réforme des retraites et des projections budgétaires du nouveau gouvernement.

    Quid de la BCE ? 

    Ses marges de manœuvre sont étroites sur la dette italienne (respect de la clef de répartition du PIB dans son programme d’achat de dettes publiques). Les événements en Italie rendent sa tâche d’autant plus difficile que la zone Euro connaît une période de croissance plus modérée, l’inflation headline devrait accélérer sur des niveaux proches de 1.8% cet été et la balance des risques se dégrade. Elle pourrait revoir légèrement à la baisse ses prévisions de croissance, qu’elle communiquera lors de la réunion du 14 juin : pour mémoire, elle l’avait revue à la hausse de 1/10ème à 2.4% pour 2018 le 8 mars dernier.

    NOS CONVICTIONS

    Le mois de mai a connu un retour violent de l’aversion au risque. Alors qu’ils n’avaient que peu émus les marchés, les résultats des élections italiennes ont finalement généré un repricing de nombreux actifs, principalement dans la sphère obligataire. Il nous semble opportun aujourd’hui d’offrir un regard factuel sur ces mouvements de marchés et d’en analyser la justification, l’ampleur et la cohérence afin d’identifier, s’il y a lieu, certaines opportunités une fois le sujet italien refermé :

    - Cette situation a logiquement généré une hausse de la prime de risque italienne depuis début mai, mais les niveaux atteints et l’aplatissement de la courbe traduisent désormais la crainte d’un risque systémique. Le rendement du BTP 2 ans est supérieur à 2.2% avec un spread de 270 bps contre Allemagne, proche du spread de 263 bps sur le 10 ans. Il est toujours particulièrement délicat de s’exprimer dans une configuration comme celle-ci mais il nous semble que la faible liquidité de ces derniers jours a joué un rôle important dans ce mouvement, avec des écartements notables des fourchettes de cotation. Plus fondamentalement, l’enjeu de moyen terme ne nous semble pas être la sortie de l’Italie de la zone Euro mais plutôt une gouvernance européenne largement compliquée par un gouvernement italien possiblement Eurosceptique. En effet, si l’on en croit les sondages, la volonté populaire italienne n’a jamais été de sortir de la zone Euro et les partis fraichement élus n’en font d’ailleurs plus une proposition. Enfin, la Constitution n’autorise pas la tenue d’un référendum à ce sujet. Ainsi il nous semble que dans l’hypothèse de nouvelles élections italiennes à l’automne 2018, les marchés pourraient, durant l’été, se focaliser de nouveau sur des fondamentaux économiques plus globaux et que les niveaux actuels pourraient être des opportunités. Nous restons positifs sur le 2 ans qui est notre position la plus longue sur les taux italiens. Ce sujet redeviendra d’actualité dès septembre avec d’autant plus de sérénité pour les investisseurs que les sondages afficheront une sortie de cette impasse politique avec par exemple, la victoire d’une coalition de droite.

    - Le taux 10 ans allemand a perdu plus de 30 bps depuis le point haut de mi-mai et a traité à moins de 0.30%, bénéficiant d’un mouvement de fuite vers la qualité en zone Euro. Le 2 ans allemand retrouve les plus bas de décembre 2017 à -0.7% et les attentes sur la hausse du taux de dépôt en 2019 de la BCE sont désormais inférieures à 15 bps contre 40 bps au plus haut cette année. Il parait effectivement logique de valoriser aujourd’hui plus bas la référence que sont les taux allemands en raison d’un effet possible, quoique limité, sur la croissance de la zone Euro et en raison d’un possible décalage de communication de la BCE sur la sortie du Quantitative Easing. Mais dans un scénario qui exclut une situation systémique en Italie, il semble que la situation n’est pas de nature à déformer de façon aussi importante la trajectoire économique de la zone Euro et par ricochet la politique monétaire de la BCE. Le niveau des taux Core nous semble résolument trop bas.

    - Après le chiffre d’inflation sous-jacente européenne décevant du mois dernier, nous attendons un retour sur des niveaux proches de 1% ce mois-ci. Même après sa correction récente, le pétrole en euros a progressé depuis début 2018 de plus de 22%, impliquant des effets de base positifs sur l’ensemble de l’année (si les prix se stabilisent). L’anticipation d’inflation à 5 ans est actuellement de 1.19% alors qu’au cours de l’été, l’inflation totale devrait remonter au-dessus de 1.8%.  Cette remontée n’est donc que très partiellement anticipée par les marchés. Nous renforçons les positions acheteuses de points morts d’inflation 5 ans en zone Euro via l’Allemagne. Aux Etats-Unis, la situation est un peu différente. Des éléments spécifiques (guerre des prix dans les télécoms, baisse des prix des médicaments) ont impacté négativement l’inflation au deuxième trimestre 2017 et ont créé des effets de base positifs pour 2018. Au cours de l’été, les glissements annuels d’inflation américaine vont remonter vers 3% et impacteront à la hausse les anticipations d’inflation qui ne sont aujourd’hui qu’à 2.1%. Nous restons positifs sur les points morts d’inflation américains.

    Achevé de rédiger le 29 mai 2018

    Avertissement :

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    news-1126 Fri, 25 May 2018 10:26:14 +0200 Alger on the money - Un pont vers l'avenir ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-un-pont-vers-lavenir/ Aux États-Unis, les infrastructures sont en chute libre. Les autoroutes, les ponts, les aéroports et les systèmes hydrauliques nécessitent des réparations. Un programme de dépenses publiques en infrastructures permettrait de doper fortement l'activité économique ainsi que le chiffre d'affaires des entreprises impliquées dans ces reconstructions. - Jusqu’en 2025, les États-Unis sont confrontés à un déficit de financement en infrastructures de 2 000 mds USD, correspondant aux investissements nécessaires moins le financement estimé. Selon l'American Society of Civil Engineers, la note globale du pays est de D+ en ce qui concerne l'état de ses infrastructures.1

    - Les administrations d’États et les collectivités locales sont responsables des infrastructures publiques dans la mesure où elles détiennent plus de 90 % des actifs en infrastructures publiques non liées à la défense2. Malheureusement, leurs dépenses dans le domaine sont à leur plus bas depuis plus de cinquante ans.3

    - En début d'année, le gouvernement de Donald Trump a proposé un plan d’investissement en infrastructures à hauteur de 1 500 mds USD.

    - Néanmoins, les législateurs sont aujourd'hui en pleines discussions pour déterminer comment financer cette éventuelle législation et aucun plan définitif n'a encore été concrétisé.

    - Les éventuels bénéficiaires d’un vaste programme de dépenses en infrastructures pourraient être les entreprises de matériaux, en particulier celles qui fabriquent des matériaux de construction tels que le granulat et le ciment, ainsi que les entreprises industrielles, notamment impliquées dans la fabrication de machines.

    1 ASCE, « Rapport d’infrastructures 2017 »

    2 Calculs du Center on Budget and Policy Priorities à partir des données du Bureau d'analyse économique des États-Unis sur les immobilisations, 2015

    3 Sur la base des investissements bruts des administrations d’États et des collectivités locales, en pourcentage du PIB en 2016, à partir des données du Bureau d'analyse économique des États-Unis.

    >Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-1121 Thu, 24 May 2018 10:06:25 +0200 La Française renforce son équipe dédiée au développement de l’offre immobilière à l’international /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-dediee-au-developpement-de-loffre-immobiliere-a-linternational/ La Française, groupe de gestion d’actifs international avec plus de 66 milliards d’euros d’actif sous gestion (au 31/12/2017) et des bureaux en Europe, en Asie et aux États-Unis, poursuit la stratégie de développement de son offre en immobilier européen et consolide son équipe avec l’arrivée d’Anne Génot au poste de Head of Real Estate Business Development, dédiée au marché européen.

    Anne Génot rejoint La Française après avoir occupé la fonction de Président de SCAPRIM Asset Management, où elle était responsable d’une équipe d’environ 40 professionnels et chargée de développer les activités de gestion d’actifs et de conseil en investissement, tout en supervisant les acquisitions. 

    Elle a démarré sa carrière à DTZ Asset Management France en tant qu’analyste financier, puis a fait un passage chez GEMCO, une filiale du Crédit Foncier. De 2005 à 2012, Anne Génot a été Vice-présidente chez RREEF (Deutsche Bank), passant plusieurs années à Londres avant de retourner à Paris. En 2012, elle a été nommée Responsable des acquisitions pour la France et la Belgique chez Allianz Real Estate, puis a rejoint SCAPRIM en 2014. Anne est titulaire d’un mastère en Management Urbain, Environnement et Services de l’ESSEC Business School, d’un diplôme d’ingénieur obtenu à l’INSA Lyon, ainsi que d’un master en Urbanisme et Aménagement de l’Institut d’Urbanisme de Lyon.

    Anne Génot sera chargée de développer l’activité auprès des investisseurs institutionnels européens, sous la responsabilité directe de David Rendall, Head of Global Real Estate Business Development. Elle sera basée à Paris et collaborera étroitement avec les deux autres centres européens de La Française dédiés à l’investissement immobilier, situés à Londres et Francfort. 

    Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International et Directeur du développement pour La Française, a déclaré : « La Française a atteint un seuil critique dans son évolution. Pour passer la prochaine étape, nous avions besoin d’un spécialiste des produits d’investissement immobiliers capable d’amener son expérience concrète des marchés. Ainsi, grâce à ses relations privilégiées avec les acteurs du marché français et à son expérience internationale, Anne jouera un rôle clé dans l’expansion de nos activités avec les investisseurs institutionnels en Europe ». 

    Lire le communiqué de presse, cliquer ici

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    news-1118 Tue, 22 May 2018 18:06:42 +0200 La SCPI en 2018 : Le marché, le contexte et l'actualité des SCPI La Française - Partie 1 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-scpi-en-2018-le-marche-le-contexte-et-lactualite-des-scpi-la-francaise-partie-1/ Bilan et perspectives du marché des SCPI (collecte, performance).

    Faut-il craindre une remontée des taux ? Comment se positionne La Française dans ce marché (les derniers investissements, la gamme) ? Quelle est l’actualité des SCPI La Française ?

    Retrouvez Thierry SEVOUMIANS, Directeur Général La Française AM Finance Services.

    Pour en savoir plus

    La SCPI en 2018 : le marché , le contexte et l'actualité des SCPI La Française - Partie 2
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    news-1115 Tue, 22 May 2018 10:28:57 +0200 L'OPPCI LF Résidences Seniors a finalisé sa levée de fonds et atteint son objectif avec près de 150 M€ de fonds propres au 31 mars 2018 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/loppci-lf-residences-seniors-a-finalise-sa-levee-de-fonds-et-atteint-son-objectif-avec-pres-de-150/ L’OPPCI (Organisme Professionnel de Placement Collectif Immobilier) LF Résidences Seniors, géré par La Française Real Estate Managers et lancé en octobre 2016, a finalisé avec succès sa dernière levée de fonds pour atteindre 150 M€ de fonds propres.

    Cette levée de fonds, réalisée auprès d’investisseurs institutionnels de premier plan, a permis de déployer concomitamment un volume d’investissement de plus de 200 M€ dette comprise.

    Au 31 mars 2018, neuf résidences étaient déjà en patrimoine, deux sous promesse et deux en cours d’acquisition. L’OPPCI comptera ainsi treize résidences réparties sur toute la France. Deux résidences ont déjà été livrées permettant de générer les premiers loyers.

    Dans une optique résolument tournée vers le sous-jacent immobilier, une attention particulière a été portée à la diversification géographique en région parisienne et dans de grandes métropoles. Ces acquisitions ont été identifiées et sélectionnées avec une stratégie axée sur des résidences neuves, urbaines, aux emplacements de qualités, visant à protéger la valeur du capital.

    L’exploitation de ces résidences a été confiée à six exploitants de premier plan après validation de leurs business models.

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers souligne : « LF Résidences Seniors est une illustration de notre capacité à proposer à notre clientèle institutionnelle une diversification sectorielle en matière de gestion immobilière. Nous avons aujourd’hui la capacité de proposer à notre clientèle une gamme complète en investissement immobilier, couvrant l’ensemble des stratégies, allant du core au value-added, et en matière de diversification géographique et sectorielle. »

    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Le fort succès de cette levée de fonds démontre l’intérêt des investisseurs pour une alternative attractive à l’investissement en logement classique ; les résidences services seniors, qui répond en outre à une tendance démographique lourde de nos sociétés occidentales. Notre sélection des dossiers, basée à la fois sur la qualité des exploitants mais aussi sur les localisations et la valorisation immobilière, ont fait la différence auprès des investisseurs. »

    Fort du développement de cette expertise et de sa capacité à déployer rapidement les capitaux confiés, La Française est aujourd’hui un acteur incontournable du marché de l’investissement en résidences services seniors. Cette capacité de sourcing et d’exécution conduit aujourd’hui d’autres investisseurs à solliciter directement La Francaise pour développer de nouveaux fonds dédiés sur cette thématique sociétale.

    Le sourcing, l’acquisition ainsi que la gestion immobilière des actifs sont assurés par La Francaise Real Estate Partners, Conseil en investissement immobilier dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie d’investissement du fonds et filiale de La Francaise dédiée aux investisseurs institutionnels.

    Pour en savoir plus, télécharger le communiqué de presse

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    news-1112 Fri, 18 May 2018 16:24:14 +0200 Du côté des actions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-actions/ Depuis 2017 nous assistons à un parfait exemple de "darwinisme économique" au sein du secteur de la distribution. Au fil des années, les plateformes de distribution en ligne sont montées en puissance jusqu’à directement concurrencer les entreprises historiques. Pour s’adapter à ces nouveaux modes de consommation nous avons repensé nos outils de gestion pour suivre ce secteur.

    En 2017, le secteur de la distribution en Europe a affiché une sous-performance de plus de 13 % par rapport au Stoxx Europe 600. La dichotomie des performances boursières illustrée ci-dessous est avant tout liée à l’inquiétude croissante des investisseurs quant à la capacité des acteurs historiques à maintenir des niveaux de marges et de génération de flux de trésorerie satisfaisants. A titre d’exemple, la marge opérationnelle de H&M est passée de 18 % en 2012 à 9 % attendu cette année.

    Les distributeurs historiques sont pris en tenaille entre :

    1) Préserver la rentabilité de leurs points de ventes physiques malgré une baisse continue de la fréquentation de leurs magasins ;

    2) Essayer de faire croître leur part de marché en ligne tout en essayant de contrôler leur distribution (en minimisant les partenaires externes comme Amazon, Zalando, Asos…)

    Pour le moment, les acteurs historiques ne parviennent pas à rassurer les investisseurs sur leurs capacités à inverser cette tendance. Cependant aux Etats-Unis, certains distributeurs comme Walmart ont fini par s’adapter et parviennent aujourd’hui à concurrencer Amazon sur internet.

    La tyrannie des plateformes

    L’émergence de plateformes internet dans différents secteurs a souvent débouché sur un quasi-monopole. Celles-ci proposent le meilleur choix de produits et regroupent le plus grand nombre de clients. Nous investissons dans ces plateformes car il nous semble qu’elles continueront à gagner des parts de marchés. Elles peuvent également être les cibles de multinationales souhaitant acquérir une présence en ligne. Récemment, le groupe de luxe Richemont a acquis Yoox – Net à Porter pour développer son canal e-commerce.

    Néanmoins nous restons très attentifs à leur valorisation qui peut atteindre rapidement des niveaux stratosphériques. En Europe, nous sommes positifs sur Asos et Zalando dans l’habillement et Just Eat dans la restauration.

    L’acte de consommation a évolué

    Celui-ci est de plus en plus digital, le "online" fait désormais intégralement partie du processus d’achat. Le consommateur s’informe, s’inspire et compare en ligne avant de réaliser un achat en magasin. Tous les secteurs de la consommation au sens large sont concernés, de la distribution aux voyages et loisirs en passant par les télécoms et les médias.

    De nombreux acteurs du luxe nous ont confirmé que plus de 80 % de leurs clients qui achètent au sein de leurs magasins ont précédemment consulté le ou les produits qui les intéressaient en ligne.

    Partant de ce postulat, nous avons développé une expertise à l’aide d’outils d’analyse de données nous permettant d’obtenir le trafic estimé et différents indicateurs. Cela nous aide à estimer les dynamiques commerciales des différentes marques.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1111 Thu, 17 May 2018 10:42:59 +0200 Du côté des taux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/du-cote-des-taux-1/ Un changement profond de paradigme qui remet en cause l’existence de fleurons du secteur…

    Le secteur de la distribution traditionnelle fait actuellement face à un important changement de paradigme avec l’émergence d’acteurs spécialisés dans le « online » tels qu’Amazon, Alibaba ou Zalando. Dans ce contexte, de nombreux fleurons du secteur connaissent d’importantes difficultés opérationnelles et les annonces de mise sous la protection des faillites se succèdent de part et d’autre du globe. L’exemple le plus retentissant est celui de Toys R Us, un symbole mondial de la distribution de jouets, qui présentait un niveau d’endettement particulièrement élevé depuis plusieurs années avant de subir les effets d’internet et du changement des modes de consommation. Les porteurs d’obligations Toys R Us 2018 ont ainsi subi une perte sèche de près de 85 % depuis début septembre 2017 (source : Bloomberg). Les histoires similaires ne manquent pas, avec par exemple Sears, une chaîne de magasins symbole de la société de consommation dans l’après-guerre, ou Radio-Shack, le spécialiste de la vente de produits électroniques aux Etats-Unis, mais également, plus proche de nous, Vivarte, le propriétaire entre autres de La Halle. Nous estimons que cette tendance devrait perdurer au cours des prochaines années, en impactant plus précisément les sociétés les plus endettées, comme nous le montre l’évolution du taux de défaut aux Etats-Unis des sociétés en catégorie Haut-Rendement présentes dans le secteur qui s’établit désormais à près de 11,5 %.

    … mais qui est également source d’opportunités d’investissement

    Le secteur de la distribution ou retail, est devenu le secteur qui offre le plus gros rendement (aux US le gisement offre un YTM moyen de 8,3 %). Ce surcroit de rendement parait attractif, cependant les taux de défaut sont en hausse. Il convient donc de faire une distinction assez fine afin d’éliminer les noms les plus exposés à la montée en puissance de la distribution "online" :

    1) Géographiquement : les pressions du "online" sont beaucoup plus importantes aux US qu’en Europe. Qui plus est les sociétés américaines ont tendance à restructurer leur dette bien plus vite. Une surpondération européenne fait donc sens, à l’exception du retail au UK.

    2) Sectoriellement : l’univers retail sur le High Yield peut se diviser en deux sous-segments, alimentaire et non alimentaire. Il est clair que les acteurs de l’alimentaire souffrent beaucoup moins. Idem au sein du secteur non alimentaire, il apparait que certains sous-segments sont moins exposés à la concurrence d’internet (instruments de musique, outils…).

    3) Positionnement : les sociétés qui ont le plus souffert de la montée d’internet sont les acteurs milieu de gamme.

    4) Cibles potentielles : le stress que rencontre le secteur va pousser à une accélération de la concentration, il convient donc d’identifier quelles sont les cibles potentielles.

    5) Structure actionnariale : de nombreux émetteurs vont avoir besoin d’argent frais pour respecter leurs covenants bancaires et pour investir. Il conviendra donc de privilégier les actifs détenus par des actionnaires ayant le plus de capacité à faire face à ce besoin.

    C’est donc pour cela que nous aimons tout particulièrement des noms comme Burger King, Casino, Picard, SMCP ou Supervalu (supermarchés US), et que nous sommes à l’inverse bien plus prudents sur des noms comme House of Fraser (grands magasins UK), Fresh Markets (supermarchés en concurrence frontale avec Amazon/Wholefood et détenus par un fonds agressif), New Look (vêtements bas de gamme détenus par un fonds déstabilisé par la chute de Steinhoff)…

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    news-1108 Wed, 16 May 2018 09:39:03 +0200 Pétrole : Outlook et conséquences ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/petrole-outlook-et-consequences/ Le consensus en début d’année semblait assez clair avec un prix du baril de pétrole qui devait évoluer selon la majorité des banques d’investissement à l’intérieur d’une fourchette assez étroite, entre $50 et $65. Ces prévisions étaient en général étayées par les arguments suivants :

    - D’une part l’Arabie Saoudite allait continuer à jouer le jeu d’une réduction de la production pour soutenir les prix en anticipation de l’introduction en bourse d’Aramco prévue à horizon 12-18 mois.

    - Et d’autre part, toute hausse significative du prix du baril allait amener une augmentation de l’offre de pétrole de schiste américain, ce qui limiterait de facto le potentiel d’appréciation du baril.

    Pourtant, le prix du baril de pétrole est en hausse continue depuis le début de l’année avec une progression de 20 % et un Brent qui dépasse les $77, soit un niveau bien supérieur aux prévisions de début d’année. Nous voyons plusieurs explications à cela. En premier lieu, il faut noter les révisions positives de la croissance mondiale depuis le début de l’année, ce qui a pour conséquence de faire remonter les prévisions de demande de pétrole. Il faut aussi noter que l’offre de pétrole de schiste américain est une offre de pétrole léger à faible densité, ce qui limite sa faculté à se substituer à une baisse de l’offre de pétrole en provenance de l’OPEC ; il est en effet plus cher à raffiner, demande plus d’investissements et offre un moins bon rendement que les pétroles plus lourds. Enfin, certains évènements spécifiques ont impacté des pays producteurs comme le Venezuela ou l’Angola, limitant l’offre de pétrole.

    Ces raisons vont-elles disparaitre à court terme ? Nous serions tentés de répondre non et donc de penser que le prix du baril ne devrait pas refluer significativement à horizon quelques mois. Quelles sont les conséquences de ce prix du baril élevé ? La première est évidente avec une inflation attendue en hausse dans les mois qui viennent, ce qui conforte notre vue positive sur les points morts d’inflation. L’inflation américaine pourrait ainsi atteindre 3 % au cours du mois de juillet de cette année, ce qui serait une première depuis 2011. Une autre conséquence, moins immédiate, sera un effet négatif, à terme, sur la croissance mondiale, soit l’inverse de ce que nous avons connu après la forte baisse des prix de 2014 à 2016. Cela n’est toutefois pas immédiat et concerne, au plus tôt, l’année 2019.

    Nous jugeons par ailleurs rassurante la stabilisation des indicateurs avancés macroéconomiques, ce qui confirme notre scénario d’une croissance mondiale proche des 4 %. Nous réduisons toutefois nos expositions actions après la hausse significative des marchés depuis 6 semaines. Nous conservons une vue haussière sur les taux européens et une vue positive sur les points morts d’inflation.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1106 Mon, 14 May 2018 18:17:38 +0200 Volatilité accrue sur la dette émergente /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/volatilite-accrue-sur-la-dette-emergente/ Le marché de la dette émergente connait depuis la deuxième moitié du mois d’avril une période de volatilité accrue. Notre conviction à horizon Q3 2018 reste néanmoins positive sur la dette émergente. La baisse des marchés qui vient d’avoir lieu, a permis de reconstituer les primes de risque et les niveaux sont actuellement ceux de janvier 2017. Le marché de la dette émergente connait depuis la deuxième moitié du mois d’avril une période de volatilité accrue. Le renchérissement du dollar US, au-delà du taux 10 ans US qui est passé de 2,8% à 3%, est certainement l’élément déclencheur de cette correction sur les actifs obligataires émergents. Le rebond du dollar a certainement plusieurs explications, mais pour l’essentiel il traduit la désynchronisation de la croissance américaine avec le reste du monde. En effet, les attentes en matière de croissance en Europe, ainsi que pour les pays émergents, se sont heurtées à des indicateurs légèrement moins bons. On connait les conséquences d’un dollar fort sur les marchés émergents, les devises se déprécient, principalement sur les pays dont les équilibres sont fragiles tels qu’en Argentine ou en Turquie.

    Pour en savoir plus, cliquer ici

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    news-1101 Mon, 14 May 2018 16:51:03 +0200 Alger on the money - Perte de poids garantie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-perte-de-poids-garantie/ Avant la fin de l’année, deux des principaux fournisseurs d'indices modifieront leur système de classification – auquel de nombreux investisseurs ont recours – en termes de secteur et d'industrie. Cette modification aura d’importantes conséquences compte tenu des milliers de milliards de dollars investis selon cette répartition, mais elle devrait également créer des opportunités pour les investisseurs. Secteurs du S&P 500 qui seront fortement modifiés

     

     

    À la fin du troisième trimestre 2018, la norme GICS (Global Industry Classification Standard), qui est utilisée par les indices S&P Dow Jones et MSCI, ainsi que par de nombreuses sociétés d’investissement, subira de profondes modifications.

    1 La version finale de la nouvelle classification n'a pas encore été dévoilée.

    >Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-1092 Fri, 04 May 2018 10:00:00 +0200 Pascale Auclair entrera au Directoire du Groupe La Française et assurera les missions de Secrétaire Général /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pascale-auclair-entrera-au-directoire-du-groupe-la-francaise-et-assurera-les-missions-de-secretaire/ Sous réserve de l’approbation du Conseil de Surveillance prévu en juin, Pascale Auclair sera nommée Secrétaire Général du Groupe, devenant ainsi le troisième membre du Directoire au côté de Xavier Lépine (Président) et Patrick Rivière (Directeur Général). Elle succèdera ainsi à Pierre Lasserre et prendra les responsabilités du Contrôle Interne & Conformité, des Risques Opérationnels & Data protection, du Juridique et des Contrôles des Risques Groupe.

    Xavier Lépine, Président du Groupe La Française commente, « Nous sommes ravis que Pascale ait accepté cette nouvelle mission et sommes certains que son expérience de nos métiers et ses qualités relationnelles et techniques seront des atouts précieux dans ses nouvelles responsabilités. Pierre nous a beaucoup apporté au cours de ces années à nos côtés au Directoire et il continuera en tant que Conseiller du Président, plus particulièrement sur le pole La Française Global Investment Solutions où il assume le rôle de Président du Conseil de Surveillance »

    « C’est une magnifique opportunité qui m’est offerte et un challenge dynamisant que de rejoindre le Directoire du Groupe La Française, groupe auquel je suis très attachée depuis de nombreuses années, et pour lesquelles mes missions précédentes seront un appui certain dans l’exercice de mes nouvelles responsabilités » commente Pascale Auclair.

    Les responsabilités de Pascale Auclair, en tant que Président du Directoire de La Française Asset Management, seront assurées par Patrick Rivière avec l’appui de Jean-Luc Hivert et Laurent Jacquier-Laforge, qui seront nommés Directeurs Généraux.

    - Jean-Luc Hivert, Directeur Général, CIO Fixed Income & Cross Asset

    - Laurent Jacquier-Laforge, Directeur Général, CIO Actions

    Pascale Auclair bénéficie de près de trente-cinq ans d’expérience dans la finance. Elle a débuté sa carrière en 1983 à la Société Générale en tant que gérante d’OPCVM obligataires puis a exercé chez BAFIP, Cheuvreux de Virieu. En 1992, elle rejoint Groupama où elle prend la responsabilité de la gestion de taux, puis est associée en 1994 à la création de la filiale dédiée à la gestion d’actifs du Groupe et au développement vers une clientèle externe. En 1998, Pascale Auclair prend la responsabilité des équipes de gestion obligataire et diversifiée et devient en 1999 Membre du Directoire de Groupama Asset Management puis Directeur Général Adjoint.

    En 2006, Pascale Auclair rejoint LFP Investissements en qualité de Directeur de la Gestion puis, lors de la fusion avec le Groupe UFG en 2010, est nommée Directeur de la Gestion et Directeur Général de LFP, société de gestion dédiée à la gestion des valeurs mobilières au sein du Groupe UFG-LFP, devenu Le Groupe La Française.

    Pascale Auclair est actuaire, diplômée de l’Institut des sciences financières et d’assurance de Lyon.

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    news-1090 Fri, 27 Apr 2018 12:19:49 +0200 Le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe remet un chèque de plus de 168 000€ à l’Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (ICM) grâce au succès rencontré par la SCPI Pierval Santé /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-groupe-credit-mutuel-nord-europe-remet-un-cheque-de-plus-de-168-000eur-a-linstitut-du-cerveau-et-d/ Le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe, La Française et Euryale Asset Management sont fiers de s’engager pour la 3ème année consécutive, et donc dans la durée, auprès de l’ICM, centre de recherche de dimension internationale sur les neurosciences. Le succès de la SCPI à fonds de partage « Pierval Santé », renforcé par l’engagement volontaire renouvelé du CMNE et de La Française, permet de soutenir cette année encore et de manière très significative la recherche médicale.

    Lancée en janvier 2014 par Euryale Asset Management, Pierval Santé est la première SCPI à fonds de partage. Elle a pour ambition de répondre à un enjeu de santé publique en rapprochant des investisseurs privés (épargnants) et des exploitants associatifs publics ou privés. En tant que fonds de partage, elle participe à l’œuvre de la Fondation ICM à hauteur de 0.01% de sa collecte annuelle et invite distributeurs et investisseurs à œuvrer pour cette même cause.

    Dans cet esprit, le CMNE (Crédit Mutuel Nord Europe) et La Française ont souhaité renforcer leur soutien à la recherche médicale en apportant leur contribution : 

    - Le CMNE fait un don à l’ICM représentant 0,50 % de la collecte annuelle de la SCPI Pierval Santé 

    - La Française, quant à elle, abonde à hauteur de 0,20 % cette même collecte. 

    C’est à l’occasion de son Assemblée Générale Fédérale et devant l’ensemble de ses administrateurs, dans un lieu emblématique symbole de son ancrage territorial, le Louvre Lens, que le CMNE a choisi de remettre ce don, au profit de la recherche médicale. Le chèque de 168 266 € remis le 26 avril à l’ICM se rapporte à la collecte réalisée en 2017 sur la SCPI Pierval Santé, dont près d’un tiers au sein du réseau Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE). 

    En 1 an, la capitalisation de Pierval Santé a augmenté de près de 120% pour atteindre, au 1er trimestre 2018, 330 millions d’euros avec 7 600 associés.  La SCPI compte aujourd’hui 42 actifs dans les secteurs de la santé (médico-social, sanitaire et soins de ville, etc.) en France et en Allemagne.

    La progression de ces chiffres illustre la pertinence de la stratégie de Pierval Santé et l’intérêt avéré des investisseurs à diversifier leur épargne sur le secteur de l’immobilier de santé. 

    La puissance de distribution du CMNE alliée au savoir-faire de La Française et l’expertise d’Euryale AM participent au succès de Pierval santé. 

    Eric Charpentier, Directeur général de Crédit Mutuel Nord Europe, souligne : « Nous sommes fiers de cette réussite, le montant du don a presque doublé en un an et donne plus de sens encore à cette action. C’est par notre implication envers notre territoire, auprès de grandes causes, que nous témoignons de notre engagement mutualiste. Les clients y sont sensibles et s’associent à cette démarche, symbole de cohésion et d’unité. »

    Xavier Lépine, Président du directoire de La Française, commente : « L’un des défis d’aujourd’hui est l’allongement de la durée de la vie. Dans une société en profonde mutation, il convient de repenser les solutions que nous pouvons apporter à nos clients. A l’innovation d’ICM, nous sommes fiers d’allier l’innovation financière en soutenant la recherche médicale menée par l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière grâce à notre engagement auprès de la SCPI à Fonds de partage Pierval Santé.» 

    Jean-Jacques Olivié, Président d’Euryale Asset Management, rappelle : « Face aux grandes mutations de notre époque, nous pouvons jouer un rôle important dans la stabilité et la pérennisation de nos modes de vie pour peu que nous sachions nous montrer inventifs et persévérants. En répondant à ces enjeux de premier ordre que sont la santé et la recherche médicale, la SCPI Pierval Santé s’inscrit parfaitement dans cette philosophie d’incidence sociétale. Des convictions que nous sommes fiers de partager avec nos partenaires depuis maintenant 3 ans et à laquelle les investisseurs ne sont pas insensibles … »

    La note d’information de Pierval Santé a reçu le visa AMF, SCPI n°13-36 en date du 6 décembre 2013. Une notice a été publiée au BALO n°151 du 18 décembre 2013. La Société de gestion Euryale Asset Management a reçu l’agrément n° GP 14000027 du 22/07/2014. Depuis janvier 2014, Next AM, filiale d’incubation du Groupe La Française détient 21,5 % du capital d’Euryale AM.

    En savoir plus, télécharger le communiqué de presse

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    news-1088 Fri, 27 Apr 2018 10:05:34 +0200 Eurofoncière 2 primée meilleure SCPI dans la catégorie SCPI à capital variable de bureaux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/eurofonciere-2-primee-meilleure-scpi-dans-la-categorie-scpi-a-capital-variable-de-bureaux/ La Française Real Estate Manager a reçu le prix de la meilleure SCPI dans la catégorie "SCPI à capital variable de bureaux" par Mieux Vivre Votre Argent pour sa SCPI Eurofoncière 2. C'est dans les locaux du Palais Vivienne dans le 2e arrondissement de Paris, que La Française a reçu son prix le 26 avril dernier.

    Les Grands Prix du magazine Mieux Vivre Votre Argent récompensent les meilleurs produits du marché avec un focus cette année sur la SCPI. La SCPI Eurofoncière 2 de La Française Real Estate a reçu le prix de la meilleure SCPI à capital variable de bureaux.

    Christophe Inizan, Directeur Commercial La Française et Arnaud Christol Responsable Commercial La Française

    De gauche à droite Christophe Inizan, Directeur Commercial La Française et Arnaud Christol Responsable Commercial La Française

    La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti.

    Les référencements à des classements et récompenses passés ne préjugent pas des classements ou des récompenses à venir.  

    Eurofoncière 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-34 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°101 du 22 août 2014, n°116 du 27 septembre 2017 et n° 39 du 30 mars 2018.

    La Française Real Estate Managers - 399 922 699 RCS PARIS La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a obtenu l'agrément AMF, n°GP-07000038 du 26 juin 2007 et ayant reçu l'agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE en date du 24 juin 2014.

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    news-1085 Fri, 27 Apr 2018 11:52:00 +0200 Alger on the money - Renouveau dans l’univers pharmaceutique /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-renouveau-dans-lunivers-pharmaceutique/ Grâce au séquençage de nouvelle génération (NGS), il est possible d’analyser le génome humain, qui correspond à l’ensemble du matériel génétique d’un être humain. Le mode de développement des traitements et de recherche sur les maladies est transformé de façon radicale par l’apparition du NGS. De plus, les outils utilisés en association avec le NGS permettent de réduire les coûts de la maladie tout en améliorant l’efficacité du diagnostic et des traitements.

    Renouveau dans l’univers pharmaceutique

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    news-1082 Tue, 24 Apr 2018 16:19:46 +0200 Lancement de LF Real Estate Value Added /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lancement-de-lf-real-estate-value-added/ La Francaise développe une nouvelle offre dédiée aux investisseurs institutionnels avec la création du fonds d’investissement professionnel spécialisé LF Real Estate Value Added (LF REVA) en partenariat avec le Groupe Demathieu Bard.

    La Française étend son expertise aux opérations immobilières Value Added avec la création d’un fonds dédié à cette stratégie. Ce fonds a pour objectif de proposer, sur un horizon de placement à long-terme, une exposition aux marchés immobiliers et à la création de valeur à travers diverses opérations immobilières. Doté de 45 millions d’euros de fonds propres à l’issue du premier closing du 31 mars 2018, l’objectif est d’atteindre une levée globale de fonds au 30 juin 2018 de 100 millions d’euros.

    La stratégie d’investissement du fonds LF REVA cible les opérations de constructions de logements, de restructurations ou rénovations de bureaux ainsi que leurs reconversions, notamment en résidences gérées ou en logements. La gestion des opérations immobilières sera confiée par la société de gestion La Française Real Estate Managers à La Française Real Estate Partners, conseiller du fonds et filiale du groupe dédiée aux investisseurs institutionnels.

    Pour répondre à l’objectif de création de valeur, le fonds dispose d’un accès à un sourcing par ses co-fondateurs ainsi qu’une grande réactivité dans la prise de décision. Il s’appuie également sur une maîtrise de l’exécution assurée par Demathieu Bard Immobilier (filiale de promotion immobilière du Groupe Demathieu Bard, partenaire du fonds).

    Avec une capacité d’investissement pouvant atteindre 250 M€, le fonds devrait réaliser 8 à 10 opérations pour une durée maximale d’investissement de 3 ans, principalement en Ile-de-France (Grand Paris).

    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, déclare : « Le lancement de ce fonds avec un promoteur très expérimenté démontre la volonté du Groupe La Française de développer des stratégies Value Added. Ce fonds répond à une double attente des investisseurs institutionnels : tendre à augmenter le rendement des fonds investis et répondre aux nouveaux besoins immobiliers et sociétaux en créant le « core » de demain ».
    Philippe Jung, Directeur Général de Demathieu Bard Immobilier, ajoute « Ce fonds, développé entre deux partenaires complémentaires qui se connaissent bien, permettra de développer des stratégies originales, et de saisir des opportunités, en particulier sur des projets de rénovation ou de changement d’usage de taille moyenne ».

    Le fonds a été créé avec la collaboration du cabinet Jones Day pour les aspects juridique et fiscaux.

    Caractéristiques principales de LF REVA

    Forme juridique FPS (Fonds Professionnel Spécialisé)
    Société de gestionLa Française Real Estate Managers
    ObjetL'objectif du fonds est de proposer à des investisseurs professionnels, sur un horizon de détention à long terme, une exposition sur les marchés immobiliers et la création de valeur à travers la construction, la restructuration, la rénovation et la reconversion d'actifs immobiliers
    Code ISINFR0013317153
    Première souscription minimum5.000.000 €
    Frais de gestion Financière3% TTC max de l'actif net annuel moyen
    Commissions de superformance

    18 % TTC au-delà d'un TRI de 12 %
    24 % TTC au-delà d'un TRI de 15 %
    30 % TTC au-delà d'un TRI de 20 %

    Durée de placement8 ans (prorogeable deux fois un an) : l'attention des investisseurs est attirée sur le fait qu'ils ne peuvent exiger, pendant toute la durée du fonds, le rachat de leurs parts.
    Période de souscription

    1er closing 31/03/2018 - 2ème closing 30/06/2018
    La période pourra être réduite ou prorogée par la société de gestion.

    Risques associés : risques liés aux investissements d’une manière générale, absence d'antécédents d'exploitation, risques liés au marché immobilier visé dans la stratégie d’investissement, risques de contrepartie, risques liés au contrat de promotion immobilière, risques liés à la gestion (gestion discrétionnaire de la société de gestion, risques liés au recours à l’endettement, risque de taux), risques fiscaux, risque d’illiquidité, porteurs défaillants, défaut de répondre à un appel de fonds, dilution lors des closings successifs, conflits d'intérêts potentiels, risque de perte en capital*

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1063 Tue, 17 Apr 2018 17:12:00 +0200 Les craintes d’une guerre commerciale sont-elles réelles ? par François Rimeu Head of Multi Asset - Senior Strategist /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-craintes-dune-guerre-commerciale-sont-elles-reelles-par-francois-rimeu-head-of-multi-asset/ Les craintes d’une vague protectionniste débouchant sur une guerre commerciale sont actuellement en train de grandir au sein des marchés financiers. Ces craintes sont-elles réelles ? Essayons de répondre à quelques questions : 1. Quelles sont les raisons derrière ces annonces du président américain ? Raisons économiques ou politiques ? nous penchons vers les raisons politiques pour plusieurs raisons :

    a. C’est une promesse de campagne, directement adressée à ses électeurs. Les mesures prises (aluminium, acier, etc..) visent à avantager directement des états qui ont voté pour lui et qui constituent sa base électorale.

    b. Les élections de mi-mandat sont dans 6 mois, le calendrier est donc parfait pour essayer de remporter une victoire politique qui renforcerait son image de « deal maker ».

    c. De manière empirique, les barrières protectionnistes ne réduisent pas de manière substantielle les déficits commerciaux. 

    2. Les mesures annoncées remettent elles en cause le scénario de croissance mondiale ? Pour le moment, la réponse est non. 


    a. L’acier et l’aluminium ne représentent que 2% des importations américaines, l’impact sera donc marginal.

    b. Les taxes annoncées par les Etats-Unis et la Chine sur $50 Mds d’importation représentent environ 0.1% de leur PIB respectif. On peut estimer l’impact sur les bénéfices des sociétés à environ 1%.

    3. Historiquement, quel a été l’impact de ces tensions commerciales et quel en a été le dénouement ?

    a. 1981 : Les Etats-Unis imposent une baisse « volontaire » des exportations japonaises de voiture. Le prix moyen des véhicules vendus augmente mais les ventes baissent et les salaires n’augmentent pas (cf Brookings Institution, 1987). Au final, l’impact sera marginalement baissier sur la croissance et l’inflation jusqu’à ce que les quotas soient retirés. Aucun gain de productivité ou de compétitivité ne sera constaté sur l’industrie automobile américaine.

    b. 2002 : Les Etats-Unis imposent une taxe de 30% sur les importations d’acier. L’impact sur les prix à la production sera bref mais significatif, ce qui peut s’expliquer par le fait qu’il n’y avait pas d’exemption à cette époque. Ces taxes seront rapidement annulées par craintes de représailles de l’union européenne. L’impact sur la croissance sera là aussi marginal.

    4. Comment les marchés réagissent-ils de manière empirique ?

    Les craintes protectionnistes ont, la plupart du temps, un impact « risk off » sur les marchés, tout du moins au départ, avec une faible visibilité et des anticipations de croissance en baisse. Ces craintes se dissipent ensuite en général, au gré des négociations et des estimations qui montrent un impact souvent plus faible que ce qui était craint par les marchés. Si l’impact sur les marchés est, in fine, le plus souvent assez faible, la phase de volatilité peut-elle durer un certain temps, de quelques semaines à plusieurs mois. 


    Nous n’avons évidemment pas de certitudes quant aux développements futurs des relations entre les Etats-Unis et la Chine, mais si on se base sur ce qu’il s’est passé historiquement, le scénario le plus probable nous semble être celui d’une phase de négociation volatile, qui devrait se terminer quand les buts politiques recherchés auront été atteints, ce qui devrait permettre aux marchés de reprendre leur vie « normale », si tant est qu’elle existe… ! 

    Avertissement :

    Document promotionnel à destination des investisseurs professionnels. Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.

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    news-1058 Fri, 13 Apr 2018 10:28:00 +0200 Alger on the Money - La balance en actions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-la-balance-en-actions/ « À court terme, le marché est une machine à voter, mais à long terme, c’est une balance », a déclaré Benjamin Graham, mentor de Warren Buffett. Autrement dit, les prix des actions évoluent au gré du sentiment à court terme, mais à long terme ils « pèsent » l’importance des entreprises, ou de leurs bénéfices. Aux États-Unis, la surperformance des valeurs de croissance sur les valeurs décotées, qui dure depuis dix ans, illustre exactement le phénomène de la « balance ».* Le style Growth « pèse » plus que le style Value

    • La croissance annuelle des BPA des valeurs de l’indice Russell 1000 Growth (6,3 %) a en effet dépassé celle de l’indice Russell 1000 Value (2,6 %) au cours des dix dernières années.

    • Cette différence de presque quatre points de pourcentage se reflète dans l'écart de performance entre les 11,6 % de l’indice Russell 1000 Growth et les 7,9 % de l’indice Russell 1000 Value sur la période de 10 ans close le 28 février 2018. Entre temps, il est arrivé que la performance des actions à court terme ait fluctué, selon la réaction des investisseurs à l’actualité et aux annonces des entreprises ; mais sur le long terme, la performance des titres reproduit la croissance des bénéfices.

    • Les fondamentaux sous-jacents des valeurs de croissance américaines restent solides, comme en témoigne la hausse estimée des chiffres d’affaires de l’indice Russell 1000 Growth pour les deux prochaines années (8 %), soit deux fois plus que pour l’indice Russell 1000 Value (4 %)** Un écart qui semble de bon augure pour la performance à long terme des valeurs de croissance.

    * Performance des indices Russell 1000 Growth et Russell 1000 Value.

    ** La croissance des chiffres d’affaires est celle des estimations du consensus FactSet. Les taux de croissance qui seront réellement enregistrés peuvent différer sensiblement de ces prévisions.

    Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-1057 Thu, 12 Apr 2018 15:31:35 +0200 Une visibilité des marchés financiers obscurcie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-visibilite-des-marches-financiers-obscurcie/ Depuis le début de l’année, des événements sont venus obscurcir la visibilité des marchés financiers.

    Craintes protectionnistes contenues

    Le président américain Donald Trump a tout d’abord annoncé des taxes sur les importations d’acier et d’aluminium, de respectivement 25% et 10%. Ces mesures ressemblent beaucoup à celles mises en place en 2002, à la différence que cette fois-ci, la plupart des pays ont été exemptés a posteriori. Au final, moins de 30% de ces importations américaines verront leurs taxes augmenter, principalement celles provenant de Chine et de Russie. L’acier et l’aluminium ne représentant que 2% des importations américaines, l’impact sera au pire marginal.

    Le président américain a ensuite annoncé des taxes de 25% sur $50 mds d’importations chinoises, ce à quoi l’Empire du Milieu a répliqué par des mesures similaires sur les importations américaines. Il faut noter que ces annonces constituent la base de négociations qui devraient durer 2 mois environ. 

    Quelle lecture faisons-nous de cette résurgence de protectionnisme ?

    Ces annonces ont une vocation purement politique avec les élections de mi-mandat qui se profilent en fin d’année aux Etats-Unis. En l’état, ces mesures ne devraient pas avoir d’impact significatif sur la croissance mondiale : elles représentent $12,5 mds de taxes effectives, soit environ 0,1% des PIB respectifs chinois et américain.

    Si les marchés peuvent rester volatils pendant encore plusieurs semaines, la croissance mondiale demeure bien orientée, et ce, en dépit de ces tensions géopolitiques (Syrie, Russie…).  

    Ces facteurs, tels que les craintes inflationnistes aux Etats-Unis puis, dans un second temps, du risque de guerre commerciale entre les Etats-Unis et ses principaux partenaires, au premier rang desquels la Chine, ont cependant soutenu 

    la baisse des taux des dettes souveraines, contrariant à court terme notre scénario de reconnexion du niveau des taux cœur aux fondamentaux économiques.

    Des valeurs technologiques en difficulté sans risque systémique

    Après des années de hausse quasi ininterrompue, les valeurs technologiques américaines sont depuis plusieurs semaines sous pression. Les problématiques sont multiples et en général spécifiques aux sociétés incriminées (Amazon, Facebook, Tesla…). Plusieurs questions se posent :

    Les valeurs technologiques sont-elles chères ? Elles le sont sans doute un peu en première lecture avec des PER autour de 25-30, mais ces valorisations s’expliquent par des taux de croissance très importants. Nous ne sommes pas du tout dans une situation similaire à celle des années 1999-2000, la majorité de ces sociétés étant devenues aujourd’hui extrêmement rentables.

    Certaines sociétés sont-elles en risque ? Il faut distinguer les business models établis, rentables (Amazon, Google, etc..) de ceux qui ne le sont pas encore (Tesla, Netflix, …) et dont les capitalisations boursières ne laissent que peu le droit à l’erreur. 

    Dans son ensemble, le secteur technologique américain ne nous semble pas survalorisé mais certaines sociétés pourraient continuer à souffrir dans les mois qui viennent. Pour autant, nous pensons que cela ne devrait pas remettre en cause la progression des indices boursiers.

    Fin de l’accélération de la dynamique de croissance

    Le rythme de croissance en zone Euro et aux Etats-Unis avait clairement connu une phase d’accélération les derniers mois de 2017. Toutefois, les enquêtes de confiance, auprès des entreprises en particulier, et les chiffres d’activité publiés sur le T1 2018 (ventes au détail, production industrielle) ont été mitigés aux Etats-Unis et en dessous des attentes en Zone Euro après les pics atteints à la fin de l’année 2017. Les derniers chiffres d’inflation publiés dans ces deux zones sont ressortis comme attendu, à l’exception de l’inflation sous-jacente en zone Euro qui a légèrement déçu, sur un niveau de 1% en rythme annuel. 

    Nous demeurons néanmoins en ligne avec le consensus sur la croissance de 2,4% en zone Euro en 2018 et légèrement en deçà des attentes du consensus sur la croissance américaine qui se situe à 2,8%. Notre conviction reste inchangée sur le fait que l’inflation américaine nous surprendra à la hausse dans les prochains mois.

    L’économie au Royaume-Uni continue de bien résister au contexte politique du Brexit : seul le commerce extérieur la pénalise. Comme le Japon, la croissance dans ces deux pays devrait évoluer sur un rythme annuel de 1,4 à 1,5%.

    Politiques monétaires accomodantes pour la BoJ et la BCE

    Le premier comité de M. Powell comme Président de la Réserve fédérale américaine s’est déroulé comme nous l’attendions : hausse des taux de 25bp et relèvement des projections de taux Fed Funds jusqu’en 2020, en réponse à des perspectives économiques en amélioration. Tout ajustement futur de la politique monétaire dépendra des données économiques et notamment des prochains chiffres d’inflation. 

    Le renouvellement de deux gouverneurs à la BoJ a clairement renforcé le caractère accommodant de la BoJ de ces dernières semaines. 

    Enfin, les dernières projections économiques de la BCE sont désormais alignées avec le consensus sur 2018 mais l’inflation a été révisée en baisse en 2019, confirmant que la BCE ne prend aucun risque sur son scénario d’inflation. Elle a retiré son biais à toute augmentation de son programme d’achats, une étape que nous attendions.

    Sur le front de la dette émergente

    Notre scénario économique sur les pays émergents se confirme. Les perspectives de croissance pour l’année 2018 viennent renforcer celles de 2017 qui étaient un bon cru : 4,8% de croissance sur l’univers EM. 

    La reprise observée en Amérique latine depuis 2 ans continue principalement en Argentine, au Brésil, en Colombie et devrait permettre de délivrer une croissance proche des 3% cette année sur le continent sud-américain. 

    En Europe émergente ainsi qu’en Asie, l’activité bénéficie de la bonne reprise du commerce mondial ainsi que des politiques monétaires (Europe et Japon) toujours accommodantes. Cette reprise, observée depuis deux ans maintenant, se fait dans des conditions rarement vues dans les pays émergents. Le niveau d’endettement est très contenu en absolu (inférieur à 50% du PIB) ainsi qu’en relatif par rapport aux pays développés, les comptes extérieurs sont en moyenne positifs et les niveaux de réserves sont au plus haut (2500 milliards USD hors Chine). L’inflation, en moyenne à 3,3% en 2017 dans les pays émergents, n’a jamais été aussi basse et les banques centrales pourraient, s’il était besoin, assouplir encore leurs conditions monétaires.

    Malgré des perspectives très positives pour les marchés obligataires émergents, la remise en cause d’accords commerciaux tels que l’ALENA (Accord de libre-échange Nord-Américain), les craintes de guerre commerciale via les mesures / menaces protectionnistes en provenance des Etats Unis, ainsi que des anticipations de normalisation plus rapides de la FED ont bout à bout contribué à fragiliser les perspectives initiales depuis mi-février.

    La normalisation de la politique monétaire US devrait continuer sur un rythme en ligne avec les attentes du marché, sans occasionner de choc sur les marchés émergents.

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    news-1056 Thu, 12 Apr 2018 14:13:20 +0200 Evolution économique et sociale et changement climatique sont-ils liés ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-economique-et-sociale-et-changement-climatique-sont-ils-lies/ Aujourd’hui et vraisemblablement pour longtemps, nous considérons que le changement climatique est un élément clé qui structure notre évolution économique et sociale.

    L’urgence est un facteur primordial. Nous faisons face aux conséquences catastrophiques du changement climatique et des actions immédiates sont nécessaires pour s’adapter à ces nouvelles réalités.

    L’Agence Internationale de l’Energie estimait en 2014 qu’il fallait investir USD 53 trillions d’ici 2035 pour atteindre les objectifs fixés par la COP21 qui donnent une chance d’éviter le pire en termes de réchauffement global. Il est inconcevable de mobiliser un tel montant de capitaux sans le soutien de l’épargne des ménages. Le rôle de la finance dans la lutte contre le dérèglement climatique est d’orienter l’épargne vers des entreprises participant à la réduction des émissions carbones afin de cantonner le réchauffement à moins de deux degrés (limite du réchauffement fixée par la COP21). Or la trajectoire estimée des indices boursiers implique actuellement un réchauffement d’au moins quatre degrés.

    Pour éviter le pire, nous ne devons pas seulement ralentir les émissions de dioxyde de carbone, mais réduire les émissions actuelles de l’ordre de 60 % d’ici 2050.

    Nous considérons que cet objectif est parfaitement compatible avec notre devoir fiduciaire de gérant : protéger l’épargne qui nous est confiée et limiter les coûts associés aux risques liés au changement climatique.

    Il est d’autant plus compatible que notre analyse stratégique des entreprises fondée sur la mesure d’innovation et la capacité d’adaptation et de réactivité a décelé d’étonnantes opportunités de génération de valeur autour des thèmes d’investissements tels que l’électrification, l’optimisation de l’allocation des ressources et la Cleantech.

    C’est pour ces raisons qu’il y a trois ans nous avons initié le fonds monde « Zero Carbon ». Ce fonds thématique maintient une empreinte carbone neutre tout en investissant dans les sociétés qui créent de la valeur grâce à la transition énergétique. Les entreprises qui fournissent des solutions énergétiques qui génèrent de la croissance supplémentaire grâce à leurs technologies, rendant possible la transition vers le bas carbone, sont au coeur de notre stratégie d’investissement. On y retrouve les thèmes clés de la digitalisation, l’automatisation et les renouvelables. Le fonds investit également dans des sociétés qui, grâce à la réduction de leur empreinte carbone, obtiennent un avantage compétitif de coût et de productivité.

    Le caractère « Impact » de ce fonds tient à la combinaison de l’intention affichée de réduire les émissions de carbone du capital investi et à la possibilité de le mesurer. Notre objectif : associer une performance

    environnementale à une performance financière et ainsi démontrer que mobiliser l’épargne pour la lutte contre le dérèglement climatique peut être source de performance financière.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1055 Wed, 11 Apr 2018 16:37:48 +0200 Xavier Lépine signe la charte de l'engagement visant à transformer 500 000m² de bureaux en logements /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-signe-la-charte-de-lengagement-visant-a-transformer-500-000m2-de-bureaux-en-logements/ Ce rendez-vous a été organisé à l'initiative de Paris-Ile-de-France Capitale Economique, en présence et avec le soutien de Julien Denormandie, Secrétaire d'Etat à la Cohésion des Territoires. Pour télécharger l'article paru dans Immoweek le 29 mars dernier, cliquez ici

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    news-1053 Wed, 11 Apr 2018 14:45:13 +0200 LF Europimmo nommée Meilleure SCPI Internationale aux Victoires de la Pierre-Papier de Gestion de Fortune /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-europimmo-nommee-meilleure-scpi-internationale-aux-victoires-de-la-pierre-papier-de-gestion-de-fo/ Les Victoires de la Pierre-Papier se sont déroulées le 10 avril dernier au Grand Hôtel de Paris pour récompenser les meilleures SCPI du marché. Cette cérémonie vise à sélectionner les produits, SCPI, OPCI et OPCVM les plus performants qui se sont distingués sur l'année écoulée et les mettre en valeur.

    L'édition 2018 a récompensé LF Europimmo par le prix de la Meilleure SCPI internationale.

    Créée en 2014, LF Europimmo est la première SPCI d’entreprise de la gamme européenne La Française. LF Europimmo investit majoritairement dans des immeubles de bureaux situés dans des marchés locatifs profonds.

     

     

    De gauche à droite :P. Delhotel Directeur Commercial La Française, Thierry Sevoumians Directeur Général La Française AM Finance Service et C. Inizan Directeur Commercial  La Française.

    Les référencements à des classements et récompenses passés ne préjugent pas des classements ou des récompenses à venir.  

     

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    news-1051 Tue, 10 Apr 2018 15:06:00 +0200 La Française Forum Securities lance son premier mandat dédié en immobilier coté Charia /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-forum-securities-lance-son-premier-mandat-dedie-en-immobilier-cote-charia/ Le groupe La Française réaffirme sa détermination à établir une présence de long terme au Moyen-Orient et à développer des solutions d’investissement innovantes à l’intention et aux côtés des investisseurs institutionnels des pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG).

    Suite à la création en 2012 par le groupe La Française d’un premier OPCI conforme à la charia à destination des investisseurs institutionnels, La Française Forum Securities, société du groupe spécialisée sur l’immobilier coté, a lancé son premier mandat dédié en immobilier coté compatible avec les préceptes de la finance islamique, pour le compte d’un fournisseur de services bancaires et d’investissement basé au Koweït.

    La Française Forum Securities est l’un des seuls spécialistes de l’immobilier coté à être en mesure d’offrir une solution d’investissement conjuguant son expertise éprouvée au fil des cycles et les capacités d’IdealRatings en matière de sélection des sociétés immobilières conformes à la charia. 

    Fondé en 2006, IdealRatings Inc. (www.idealratings.com) est un leader des marchés de capitaux islamiques et des solutions d’investissement responsable. L’entreprise couvre plus de 40 000 sociétés cotées, dont approximativement 2 000 foncières, provenant de plus de 150 pays. La solution offerte par IdealRatings permet de sélectionner les titres cotés en fonction de leur respect des lois coraniques, quels que soient les critères visés. 

    La Française Forum Securities contribue à la définition des contours de l’univers global des sociétés immobilières cotées éligibles, en sélectionnant celles qui affichent un rendement total corrigé du risque supérieur à la moyenne à partir d’un panier de 150 titres compatibles avec la charia. Le portefeuille est concentré autour de 30 à 50 valeurs uniquement.

    Jana Sehnalova, Directeur Général de La Française Forum Securities et gérante de portefeuille, a déclaré : « Après plusieurs années de travail, nous sommes fiers de pouvoir lancer cette stratégie d’investissement unique auprès de la clientèle institutionnelle axée sur la finance islamique, que ce soit au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est ou ailleurs ; nous leur offrons ainsi un moyen de diversifier leur allocation d’actifs en investissant dans des sociétés foncières respectant la charia. La classe d’actifs commence à redevenir intéressante en termes de valorisation, puisqu'elle affiche une décote à deux chiffres par rapport aux actifs nets, et les investisseurs peuvent tirer parti de notre capacité à identifier et à exploiter les anomalies de prix entre les marchés immobiliers privés et publics à l’échelle mondiale. Tablant sur l’intérêt que cette stratégie pourrait susciter, nous étudions également la viabilité d’un projet de fonds avec Groupe La Française, qui s’inscrirait dans le cadre de la gamme de produits existants gérés par le Groupe. »

    Mohamma Donia, PDG d’IdealRatings, a ajouté : « Nous sommes ravis de nous associer à un leader mondial tel que La Française, qui a œuvré à nos côtés pour s'affranchir des barrières et créer un nouveau produit innovant, adapté au secteur de la gestion d’actifs et aux marchés de capitaux islamiques. »

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1050 Mon, 09 Apr 2018 11:09:42 +0200 Les émergents : prime et taux réel attractif /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-emergents-prime-et-taux-reel-attractif/ La dette locale émergente… un réel potentiel de performance.

    Après trois années d’ajustement (2013-mars 2016), les économies émergentes ont repris des couleurs en termes, d’activité, d’équilibre des comptes, internes et externes, et d’accumulation de réserves.
    Les perspectives macro pour l’année 2018 sont positives. La croissance sera vraisemblablement plus forte qu’en 2017 pour l’ensemble des pays émergents (selon JPMorgan 5 % en 2018 / 4,8 % en 2017). L’Amérique Latine étant la région, dont le rebond par rapport à 2017 devrait être le plus notable (de 1,7 % à 2,8 %). L’inflation sur l’ensemble des pays émergents est contenue (3,3 % d’inflation moyenne EM en 2017, dont 2,9 %, au Brésil, 2,5 % en Russie). Enfin les niveaux d’endettement public restent très bas relativement aux pays développés.

    Notre scenario macro sur cette classe d’actifs est positif.

    Malgré des perspectives fort prometteuses pour le fixed income émergent, la remise en cause d’accords commerciaux tels que l’ALENA, les craintes de guerre commerciale via les mesures/menaces protectionnistes en provenance des Etats unis, ainsi que des anticipations de normalisation plus rapides de la Fed ont, bout à bout, contribué à fragiliser les perspectives initiales, ces dernières semaines.

    Aujourd’hui, nous pensons que ces inquiétudes ont été intégrées dans les marchés et qu’elles ne sont pas de nature à changer fondamentalement notre scénario central.

    Nos stratégies d’investissement portent sur la dette en devises fortes (Euro et Dollar US) ainsi que sur les taux locaux avec ou sans risque de change, selon les cas.

    La prime de risque sur la dette externe en Dollar US est actuellement autour de 3 % selon l’indice JPMorgan Global diversified. La moyenne historique de 2004 à nos jours est de 3,25 % avec un plus bas à 1,67 % en juin 2007. Cette prime de risque représente aujourd’hui 53 % du rendement de cette classe d’actifs. Dans un contexte de taux core bas, les obligations en devises fortes offrent un surplus de rendement sur du risque pays, avec de bons fondamentaux.

    La dette locale souveraine est encore plus intéressante ! C’est un marché en forte expansion dans tous les pays émergents. En termes réels2, les taux locaux sont majoritairement positifs de 1 % à 5 %. Les courbes de taux sont souvent pentues, offrant davantage d’opportunités sur les parties intermédiaires et longues. Ces stratégies peuvent être couvertes sur le risque de change, dans ce cas elles bénéficieront exclusivement du risque de sensibilité. Ou bien, elles peuvent être accompagnées du risque de change et profiteront en plus, d’un portage nominal très attractif.
    Les devises des marchés émergents ont été les variables d’ajustement pour les économies émergentes, au cours des années 2013-2016. Beaucoup d’entre elles sont aujourd’hui sous évaluées en taux de change effectif réel, elles présentent, par conséquent, un réel potentiel de performance, eu égard aux bons résultats économiques de ces pays.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1049 Fri, 06 Apr 2018 17:49:49 +0200 Protectionnisme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/protectionnisme/ Les craintes protectionnistes font un violent retour sur le devant de la scène depuis la fin du mois de février après les décisions prises par le président américain.

    Celui-ci a tout d’abord annoncé des taxes sur l’aluminium et l’acier (10 % et 25 % respectivement) pour ensuite cibler la Chine en imposant une taxe de 25 % sur une enveloppe de 60 milliards de dollars d’importations chinoises.

    L’impact sur les marchés a été significatif : baisse marquée des actions, baisse des taux et écartement des spreads de crédit. La volatilité devrait rester élevée à court terme avec les précisions attendues sur les produits ciblés et les mesures de représailles en provenance de la Chine.

    Ces nouvelles remettent-elles en cause le scénario positif sur la croissance mondiale ? Sommes nous au début d’une guerre commerciale ou seulement devant un jeu politique américain en préparation des élections de mi-mandat ?

    - Les mesures décidées sur l’aluminium et l’acier n’auront pas d’impacts significatifs sur la croissance, les importations combinées de ces deux matières premières ne représentant que 0,5 % du PIB américain. Les seuls secteurs potentiellement impactés pourraient être l’automobile et la construction.

    - Les taxes imposées aux produits chinois ne devraient pas non plus remettre en question la tendance sur la croissance américaine ou chinoise. 25% sur $60 Mds d’importations, cela représente $15 Mds de taxes effectives sur des importations chinoises vers les Etats-Unis qui représentent environ $450 Mds, soit environ 3% de taxes. Différentes études estiment l’impact à environ 1 % sur les profits des entreprises américaines.

    - La Chine n’a tout d’abord pas réagi aux premières annonces, mais a finalement décidé des représailles pour des montants équivalents.

    - M. Trump peut-il aller au-delà ? Il est probable qu’il se heurterait en ce cas à des pressions politiques de la part des lobbies et du Congrès, dans l’ensemble plus favorables au libre échange. On ne peut pourtant pas totalement exclure ce scénario même si une guerre commerciale ouverte avec la Chine semble peu rationnelle.

    Etonnamment, les anticipations d’inflation n’ont pas profité de ces nouvelles. Le marché semble craindre davantage une récession qu’une période de stagflation, qui serait pourtant la conséquence logique d’une guerre commerciale.

    A ce stade, l’impact sur la croissance mondiale nous parait donc mesuré. Les récentes déceptions du côté des chiffres d’activité ne sont pas non plus de nature à remettre en cause notre scénario, ces chiffres étant toujours largement compatibles avec une croissance mondiale autour de 4 %.

    Nous conservons donc à moyen terme une vue positive sur les marchés actions, aujourd’hui relativement peu chers vis à vis des autres classes d’actifs ; nous restons, également légèrement haussiers sur les taux et sur les points morts d’inflation.

    Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-1048 Fri, 06 Apr 2018 11:54:53 +0200 Evolution du délai de jouissance Eurofoncière 2 et Pierre Privilège /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-du-delai-de-jouissance-eurofonciere-2-et-pierre-privilege/ A compter du 6 avril 2018, les délais de jouissance des SCPI Eurofoncière 2 et Pierre Privilège évoluent. Les délais de jouissance des SCPI Eurofoncière 2 et Pierre Privilège évoluent selon les modalités suivantes :  

    Pour toute souscription à compter du 6 avril 2018, une annexe au bulletin de souscription, spécifiant ces modifications du délai de jouissance, devra être remise au souscripteur. 

    Les notes d’information des SCPI porteront également cette actualisation.

    Pour tout complément d’information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    Eurofoncière 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-34 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°101 du 22 août 2014, n°116 du 27 septembre 2017 et n° 39 du 30 mars 2018.

    Pierre Privilège a reçu le visa AMF SCPI n°17-37 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°101 du 22 août 2014, n°116 du 27 septembre 2017 et n° 39 du 30 mars 2018.

    La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014

     

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    news-1047 Thu, 29 Mar 2018 10:30:00 +0200 Retour en vidéo sur le Congrès de la CNCGP 2018 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retour-en-video-sur-le-congres-de-la-cncgp-2018/ La Française participait au Congrès de la Chambre nationale des conseils en gestion de patrimoine (CNCGP), le 27 mars dernier, au Palais des Congrès de Paris. Cet événement a rassemblé de nombreux professionnels. Echanges, discussions, partages et interventions de spécialistes étaient au programme.

    Les équipes de La Française étaient présentes pour vous recevoir sur le stand n°C20, CD Partenaires sur le stand n°19.

    A cette occasion,Lionel Lemarié, Responsable Commercial Pôle OPCVM à La Française, est intervenu sur le plateau de CLUB Patrimoine, interviewé par Bogdan Kowal.

     

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    news-1046 Thu, 05 Apr 2018 09:28:56 +0200 Cartographie 2018 des Fintech Françaises /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cartographie-2018-des-fintech-francaises/ L’écosystème Fintech français s’est très largement développé et structuré au cours des cinq dernières années : initiatives entrepreneuriales sur l’ensemble des métiers de l’industrie financière, organisation de la représentativité et de l’attractivité du secteur, essor des financements privés et publics, apparition de dispositifs d’accélération dédiés, et émergence significative de plusieurs Fintech.

    Dans le même temps, l’évolution constructive des relations entre les acteurs établis et les start-ups de l’industrie financière démocratise les innovations Fintech et offre des opportunités de développement attractives pour tous.

    Fort de ces constats, la société de gestion NewAlpha Asset Management, la start-up INVYO et le cabinet Exton Consulting ont associé leurs expertises et leurs complémentarités afin de proposer une cartographie des Fintech françaises et entrepreneuriales identifiées à fin décembre 2017. 

    Structurellement positionnées sur le secteur Fintech, en relation directe avec les entrepreneurs et les institutionnels du secteur, NewAlpha, INVYO et Exton Consulting ont consolidé leurs travaux d’identification et de classification. Avec près de 300 fintech analysées, cette cartographie est la plus complète réalisée à ce jour sur le marché français. 

    Ces sociétés impactent les métiers de la Banque, de l’Assurance et de l’Asset Management en proposant de nouveaux produits financiers ou en proposant des services transverses qui permettent à l’industrie financière d’optimiser ses processus de gestion et de commercialisation.

    La cartographie proposée par les trois partenaires positionne les sociétés par domaine d’activités et par ancienneté. Cette visualisation croisée permet d’analyser la dynamique de création Fintech en France et d’anticiper les évolutions du secteur. L’analyse et la cartographie sont téléchargeables sur https://fintech-insights.com/mapping/fintech-france/ 

    Ce qu’il faut retenir :

    • 285 Fintech françaises ont été identifiées à fin décembre 2017
    • 46% des sociétés ont une ancienneté comprise entre 3 et 5 ans
    • La dynamique entrepreneuriale reste forte puisque 30% des sociétés identifiées ont été créés entre 2016 et 2017. 
    • Les Fintech se positionnent sur des produits spécifiques ou des niches de marchés peu ou mal couvertes par les acteurs traditionnels, en misant sur l’innovation pour révolutionner l’expérience client et les modèles tarifaires.
    • Tous les segments des services financiers sont concernés par l’essor des Fintech, mais de façon encore inégale.
    • Comme dans de nombreux pays, les métiers de la banque, en particulier du financement et des paiements ont été les premiers revisités et constituent les segments les plus matures. La vague touchant les assureurs est à contrario plus récente avec 20% des créations d’entreprises sur les deux dernières années.

    « De nombreuses opérations significatives de financement et d’acquisition ont été observées en France au cours des deux dernières années. Cela illustre la place prépondérante prise par les Fintech au sein de notre industrie financière. Au vu de la richesse de l’écosystème français, nous sommes persuadés que cette dynamique se poursuivra. » indique Lior Derhy, Managing Partner chez NewAlpha AM.

    « La DSP2 récemment entrée en vigueur va intensifier la dynamique de création de Fintech en France en permettant à certaines sociétés offrant des prestations de paiement ou d’information sur comptes de bénéficier d’un statut régulé et d’élargir leurs offres. Cette réglementation européenne ouvre également la voie à l’open-banking et la saine coopétition entre start-ups et acteurs traditionnels de l’industrie qui devront s’allier pour encore mieux servir leurs clients. » se félicite Sophie Zellmeyer, directrice Fintech & Innovation chez Exton Consulting.  

     « Le grand défi que doit désormais relever la France est celui de faire de ses champions nationaux des leaders Européens voire mondiaux, comme le font l'Allemagne ou l'Angleterre dans les secteurs des paiements ou de la néo-banque. En témoignent les annonces successives de N26 ou Revolut sur leur expansion internationale », ajoute Alexandre Velut, fondateur et CEO de INVYO. 

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    news-1045 Wed, 04 Apr 2018 16:13:00 +0200 Retrouvez Christophe Inizan dans le Club Expert Immobilier de Club Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retrouvez-christophe-inizan-dans-le-club-expert-immobilier-de-club-patrimoine/ Christophe Inizan, Directeur Commercial de La Française, a participé au premier Club Expert Immobilier de l'année 2018.

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    news-1044 Tue, 03 Apr 2018 17:15:52 +0200 L’UMR, conseillée par La Française Real Estate Partners, acquiert l’immeuble du 43-47 avenue de la Grande Armée à Paris 16ème /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lumr-conseillee-par-la-francaise-real-estate-partners-acquiert-limmeuble-du-43-47-avenue-de-la-g/ Cet immeuble à usage de bureaux, situé à Paris 16ème a été acquis par l’Union Mutualiste Retraite (UMR), conseillée par La Française Real Estate Partners, auprès du Groupe Idec Invest.

    L’immeuble, construit dans les années 70, a été totalement rénové en 2017. Il offre des plateaux  moyens de plus de 350 m² et dispose d’un grand hall d’accueil et d’un jardin privatif d’environ 600 m².

    L’immeuble est loué en intégralité à BDO, un cabinet d’audit, d’expertise comptable et de conseil, dans le cadre d’un bail de 9 ans fermes.

     « Cet immeuble offre un cadre exceptionnel, un vrai havre de tranquillité permettant à notre locataire de travailler dans le calme et au milieu d’espaces verts en plein centre de Paris. Cette nouvelle acquisition pour le compte de l’UMR permet de renforcer notre partenariat avec cet institutionnel français » précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Pour cette opération, l’acquéreur  était conseillé par l’étude Flusin sur les aspects notariaux, Ashurst sur le juridique et fiscal, Nox sur les audits techniques, Sinteo sur les aspects énergétiques, et Burgeap sur les aspects environnementaux.

    Groupe Idec Invest était conseillé par l’étude Bonnart, Adler, Lavisse & Maître et le cabinet King Spalding (Aurélia De Viry).

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    news-1043 Tue, 03 Apr 2018 10:49:49 +0200 Nuages à l’horizon pour la bourse de Hong Kong /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nuages-a-lhorizon-pour-la-bourse-de-hong-kong/ Déjà fortement secoué par les mesures douanières récemment annoncées par l’administration américaine à l’encontre de la Chine, le marché hongkongais a aussi pris conscience de sa vulnérabilité.

    Le 16 mars dernier, Yan Qingmin, directeur adjoint de la CSRC (l’autorité chinoise de régulation des marchés financiers), a annoncé le lancement « imminent » de certificats de dépôt chinois (China Depository Receipts ou CDR) qui devraient faire leur entrée d’ici la fin de l’année selon les informations de Reuters. La Chine ne s’y serait pas prise autrement pour couper l’herbe sous le pied de la bourse de Hong Kong.

    Retour en arrière : en 2014, alors que la bourse de Hong Kong cherchait à remporter la cotation d’Alibaba, le caractère jugé trop rigide de la règle immuable « une action, une voix » a conduit son fondateur Jack Ma à établir une holding offshore fonctionnant sous la forme d’une entité à détenteurs de droits variables, et à réaliser son introduction à la cote américaine par le biais d’American Depository Receipts (ADR). Depuis, de nombreuses entreprises chinoises principalement issues de l’Internet lui ont emboîté le pas, et avec brio, au grand dam de la place hongkongaise. À elles toutes, elles représentent une capitalisation boursière de 4 000 milliards de dollars. Après trois années d’intense remise en question, la bourse de Hong Kong est enfin revenue sur ses principes et a complètement changé de posture, annonçant fin 2017 le lancement prochain d’un document de consultation portant sur l’autorisation des actions à droits de votes multiples, en dépit donc du sacrosaint principe « une action, une voix ». L’objectif est non seulement d’attirer les « licornes » (les startups valorisées à plus d’un milliard USD) et les géants comme le fabricant de smartphones Xiaomi, mais surtout de convaincre Alibaba et les autres sociétés cotées par ADR de revenir à Hong Kong. 

    Les autorités chinoises n’ont pas tardé à réagir face à la menace venant de Hong Kong, s’appuyant sur la vision à 25 ans du pays partagée par Xi Jinping qui mise fortement sur les technologies : ainsi, les sociétés technologiques pourront bientôt émettre des CDR sur le marché des actions A. La réforme devrait être mise en œuvre dans les plus brefs délais. Elle permettra enfin aux investisseurs individuels chinois de contribuer à la croissance de leurs porte-drapeaux nationaux actuellement cotés à New York, sans avoir à recourir à des méthodes compliquées pour contourner le système de contrôle des changes en vigueur. Tencent, la cinquième plus grosse entreprise mondiale cotée à Hong Kong, donnera ainsi accès à ses 900 millions de clients particuliers qui n’auront plus besoin d’utiliser la plateforme Stock-Connect reliant les marchés continentaux à ceux de Hong Kong.

    Coïncidence (ou pas ?), le lancement du système de CDR interviendra peu de temps après l’inclusion d’actions « A » chinoises dans l’indice des marchés émergents de MSCI, prévue pour mai 2018. 

    Peu après que les propos de Yan Qingmin aient été rapportés, Alibaba et son concurrent direct JD.com se sont déclarés prêts à sauter le pas, sachant que les deux sociétés représentent une capitalisation combinée de 500 milliards de dollars sur la base des ADR existants. 

    L’année 2018 marquera donc un tournant pour le marché des actions A chinoises, mais n’est pour l’instant pas très tendre avec la place de Hong Kong. 

    Mentions légales :

    Ce document s’adresse uniquement aux professionnels concernés et aux investisseurs qualifiés, et n’est pas destiné aux particuliers.

    Il est fourni exclusivement à titre informatif et éducatif et n’est pas destiné à tenir lieu de prévision, de produit de recherche ou de conseil en investissement, et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, invitation ou recommandation d’investir dans des placements particuliers ou d’adopter une quelconque stratégie d’investissement. Les avis exprimés par le Groupe La Française reposent sur la configuration actuelle des marchés et sont susceptibles d’être modifiés sans préavis. Ces avis peuvent être différents de ceux d’autres professionnels de l’investissement. Publié en dehors de Hong Kong par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d’investissement sous le numéro d’immatriculation 18673 X, société affiliée de La Française. Publié à Hong Kong par JK Capital Management Ltd., une société affiliée du Groupe La Française, agréée et réglementée par la Securities and Futures Commission de Hong Kong.


    Par Fabrice Jacob, CEO de JK Capital Management Ltd., une société affiliée du Groupe La Française

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    news-1042 Mon, 26 Mar 2018 18:14:00 +0200 Que faut-il attendre de la Chine face au protectionnisme américain ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/que-faut-il-attendre-de-la-chine-face-au-protectionnisme-americain/ Par Fabrice Jacob, CEO de JK Capital Management Ltd., une société affiliée du Groupe La Française

    La menace d’une guerre commerciale amorcée par les États-Unis contre, pour ainsi dire, l’ensemble de ses partenaires commerciaux ou presque fait craindre une chute des marchés financiers internationaux. Sans être explicitement désignée, la Chine semble être la cible principale de l’administration américaine. Le pays a exporté pour 506 milliards USD de marchandises aux États-Unis en 2017, affichant un excédent net de 375 milliards USD. Suite à la mise en place de droits de douane sur les panneaux solaires, les machines à laver, l’aluminium et l’acier (qui ne représentent que 6 milliards de dollars dans les exportations vers les États-Unis), la Maison-Blanche envisage un nouveau train de mesures pouvant porter sur 60 milliards de dollars de biens importés. Le président Donald Trump a déjà affirmé vouloir s’attaquer aux équipements de télécommunication, touchant donc potentiellement les ordinateurs portables et les smartphones. 

    La Chine va-t-elle riposter ? Oui, à sa façon. Elle en a en tout cas les moyens si l’on se rappelle des événements récents avec la Corée du Sud et le Japon. Le gouvernement chinois pourrait tout simplement inciter les industriels et les consommateurs à boycotter les produits américains, en tirant parti de son redoutable appareil de propagande et du patriotisme marqué de la population. Néanmoins, la Chine fera certainement preuve de tact dans la résolution de cette situation, tout simplement parce que les États-Unis ne jouent pas dans la même cour que le Japon ou la Corée. Nous nous attendons donc à une riposte. Même si nous ne savons pas ce qui se tramera en coulisses, il est certain que le gouvernement chinois ouvrira des discussions avec Trump pour éviter une véritable guerre commerciale.

    Ce risque est-il de mauvais augure pour les actions chinoises ? Il semble en effet judicieux de se détourner des grandes sociétés chinoises exportant vers les États-Unis à court terme, même s’il vaut mieux attendre de nouvelles annonces avant de tirer des conclusions. Entretemps, les secteurs technologiques tournés vers la demande intérieure pourraient constituer de bons paris. Même chose pour les entreprises du secteur de la consommation cyclique qui devraient tirer parti de la hausse des salaires, les acteurs du e-commerce ou encore les compagnies d’assurance profitant de la faible pénétration des produits d’épargne, entre autres. À moyen et long terme toutefois, il ne faut pas perdre de vue le tableau qui se dessine : à savoir la réévaluation d’un marché qui a souffert pendant des années d’une décote liée aux risques structurels affectant l’économie (fort endettement des entreprises publiques, surcapacités dans le secteur des matières premières, bulle immobilière, etc.). Étant donné que la Chine a commencé à lutter contre ces risques au cours des dernières années et qu’elle continuera sur cette voie dans un futur proche, nous anticipons une réévaluation fondamentale portée par l’amélioration du sentiment des investisseurs eu égard aux perspectives de la croissance chinoise, qui se veut de meilleure qualité tout en restant pérenne. 

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    news-1041 Thu, 29 Mar 2018 17:47:08 +0200 En Chine, des changements structurels qui pourraient être bénéfiques /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/en-chine-des-changements-structurels-qui-pourraient-etre-benefiques/ By Fabrice Jacob, CEO of JK Capital Management Ltd., une société affiliée du Groupe La Française La Chine a connu des changements structurels majeurs au cours des deux dernières semaines. Premièrement, les nominations du président et du vice-président ne sont désormais plus limitées dans le temps (même si leurs fonctions restent principalement cérémoniales). Ensuite, un remaniement en profondeur du gouvernement a été annoncé, aboutissant à une simplification de la bureaucratie qui a vu de nombreuses fonctions (réglementation des affaires, protection de l’environnement, investissements en infrastructures, etc.) être regroupées au sein d’un nombre réduit de « grandes administrations ». Il serait facile de tirer des conclusions hâtives, en pointant notamment du doigt l’obsession à priori grandissante de Xi Jinping pour le pouvoir (un défaut qui a pu avoir des conséquences dramatiques dans de nombreux pays, dont ironiquement la Chine de Mao Zedong). Sans écarter définitivement ce scénario catastrophe, nous lui accordons pour le moment le bénéfice du doute. La Chine ne manque pas de problèmes structurels qui prendront du temps à être résolus, certainement plus que les dix ans de mandat originels de la présidence chinoise. Néanmoins, les avancées réalisées au cours des deux dernières années en matière de lutte contre la pollution, d’élimination des surcapacités et de désendettement via un rééquilibrage de la dette venant du « shadow banking » vers le circuit bancaire traditionnel sont tout bonnement exceptionnelles, même de l’avis des éternels pessimistes. Mais il reste encore du chemin à parcourir étant donné le niveau d’endettement toujours élevé de la Chine, qui présente un écart du ratio crédit sur PIB de 16,7 % d’après le dernier rapport trimestriel de la Banque des règlements internationaux. Si la dette du pays paraît certes sous contrôle, le risque lié à l’impact d’un assainissement brutal du système sur la croissance du pays demeure. Réalisant comme nous tous que l’économie chinoise ne pourrait pas parvenir à atteindre une croissance durable et de qualité d’ici cinq ans, Xi Jinping a probablement décidé de ne pas voir ses efforts sapés par les actions d’un successeur. La nomination récente de son proche conseiller de longue date Wang Qishan au poste de vice-président « à vie » envoie un signal positif. Auparavant chargé de la campagne anti-corruption, il a directement ciblé le haut du panier en contribuant à l’emprisonnement d’un grand nombre de hautes personnalités politiques et a contredit les observateurs qui attendaient tout au plus la chute de quelques boucs émissaires de moindre importance. Le fait que Liu He, conseiller économique attitré de Xi Jinping et ancien directeur adjoint de la puissante Commission nationale chargée du Développement et de la Réforme, ait été nommé vice-Premier ministre est également de bon augure ; il rejoint ainsi la « dream team » des responsables entourant le président, qui ont tous réalisé un parcours solide dans leurs domaines de compétences respectifs au cours des 5 dernières années. 

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    news-1039 Fri, 30 Mar 2018 10:00:00 +0200 Alger on the Money – Un élan de croissance appelé à perdurer /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-un-elan-de-croissance-appele-a-perdurer/ Pour la première fois depuis plus de dix ans, nous prévoyons une accélération de la croissance du PIB nominal américaine au rythme de 5 %. Le PIB nominal tient compte de l’impact de l’inflation, contrairement au PIB réel souvent évoqué dans la presse. Définis en valeur nominale, les chiffres d’affaires seront un facteur décisif pour l’avenir des bénéfices étant donné le niveau élevé des marges bénéficiaires. La croissance du PIB nominal devrait accélérer en 2018

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-1038 Thu, 29 Mar 2018 16:20:46 +0200 Emerging Manager Day 2018 : Découvrez le programme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/emerging-manager-day-2018-decouvrez-le-programme/ La 11e édition des Emerging Manager day se tiendra le 11 avril, cet évènement réunira près de 600 personnes du secteur des services financiers. Evènement dédié à l’innovation dans le monde de la finance, l’Emerging Manager Day est une conférence d’une journée organisée par NewAlpha, qui se positionne à la croisée des grandes tendances de l’asset management et des nouvelles technologies financières. 

    Pour télécharger le programme, cliquez ici

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    news-1033 Tue, 27 Mar 2018 17:42:04 +0200 La Française acquiert 100 % de la joint-venture Inflection Point Capital Management UK Ltd. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-acquiert-100-de-la-joint-venture-inflection-point-capital-management-uk-ltd/ Le Groupe La Française s’apprête à prendre le contrôle total d’Inflection Point Capital Management UK Ltd (« IPCM »), sa joint-venture londonienne dirigée par le spécialiste du développement durable, Dr Matthew Kiernan. Les deux parties avaient formé ce partenariat fin 2013 dans l’optique d’accélérer le développement de la recherche en investissement responsable, des services de conseil et des produits associés. Ce changement de contrôle du capital s’accompagnera d’une refonte de la marque.

    L'acquisition d’IPCM reflète la volonté de La Française, en tant que gestionnaire européen de premier plan, de renforcer sa capacité d’innovation dans l’investissement socialement responsable (ISR). IPCM a déployé avec succès l'approche Stratégie Avancée d’Investissement (SAI) sur l’ensemble des portefeuilles actions et certains produits de taux de La Française. Cette approche SAI irrigue toute la stratégie d’investissement responsable du Groupe. Elle associe l’analyse des critères ESG (environnement, social et gouvernance) à des mesures stratégiques de la capacité d’adaptation et d’innovation, croisées avec l'analyse financière et la recherche thématique. 


    La recherche à IPCM est dirigée par Roland Rott, PhD, CFA, qui possède 15 ans d’expérience en investissement et recherche actions. Une équipe d’analystes se consacre à des secteurs et thématiques durables spécifiques dans le cadre d’une approche globale comprenant notamment l’évaluation des risques ESG, l’identification des opportunités de transition énergétique et l’analyse de portefeuille. L’équipe collabore étroitement avec les gérants de fonds dans la sélection des entreprises. Les analystes justifient en moyenne de plus de cinq ans d’expérience dans des fonctions de recherche diverses.


    L’expertise d’IPCM en matière de développement durable est intégrée au processus d’investissement actions du Groupe via une plateforme de recherche interne propriétaire, et conduit au développement d’idées et de solutions d’investissement issues de la collaboration étroite entre les analystes, les gérants et les spécialistes produits. 

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1028 Tue, 27 Mar 2018 10:22:12 +0200 A l'occasion du lancement de LF Real Estate Value Added... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-loccasion-du-lancement-de-lf-real-estate-value-added/ La Française et son équipe d'experts partageront leurs convictions sur ce thème lors d'un déjeuner le mardi 22 mai. Trois experts seront présents à cette occasion :

    • Patrice Genre : Président de La Française Real Estate Partners
    • Philippe Jung : Directeur Général Demathieu et Bard Immobilier
    • Agnès Riban : Senior Investment Manager en charge des acquisitions Value Added/Opportuniste
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    news-1027 Tue, 27 Mar 2018 09:27:16 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert la 1ère tranche du parc d’activités Urban Valley à Conflans-Sainte-Honorine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-la-1ere-tranche-du-parc-dactivites-urban-valley-a/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis en VEFA, la première tranche du parc d’activités « Urban Valley » auprès d’Atland.

    L’acquisition, qui porte sur une surface de 4 100 m² et dont la livraison est prévue au 3ème trimestre 2018, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Opportunité Immo.

    L’actif est situé à Conflans-Sainte-Honorine, au sein de la zone Les Boutries. Cette zone, située le long de la Francilienne, accueille de nombreuses entreprises ainsi qu’une variété de restaurants. Plusieurs enseignes commerciales de renom sont en cours d’implantation. Le parc développera à terme une surface totale de 7 635 m2.

    La Française REM était assistée par l’Etude Allez et Associés et par GL Conseils ; Atland par l’Etude Cheuvreux.

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1026 Mon, 26 Mar 2018 17:57:05 +0200 La Française participe à une conférence sur le thème de la propriété à vie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-participe-a-une-conference-sur-le-theme-de-la-propriete-a-vie/ "Repenser la propriété immobilière selon les âges de la vie : acquisition, liquéfaction, détention partielle"

    Organisée par la Chaire « Transitions démographiques, Transitions économiques », la Caisse des Dépôts, La Française AM, l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière, Primonial et Associés en Finance

    Le Jeudi 29 mars 2018 de 17h à 19h30 à la Caisse des Dépôts, 56 rue de Lille, 75007 Paris

     

    La montée des prix des logements dans les zones très tendues et le recul de l’âge auquel l’héritage est transmis conduisent à se réinterroger sur les alternatives à la détention-transmission traditionnelle.
    Aussi, la Chaire TDTE a recensé les différents modèles de propriété existant au sein de l’OCDE et a étudié un nouveau modèle de « propriété à vie » (propriété sans transmission).
    La Chaire s’est aussi penchée sur un autre dispositif, qui consiste en la liquéfaction du patrimoine immobilier des seniors. Ils seraient encouragés à céder leur logement à un investisseur institutionnel pour dégager des liquidités tout en garantissant leur maintien dans les lieux ; une partie de ces liquidités serait transmise aux générations suivantes.
    Ces nouveaux dispositifs concernant les différents âges de la vie feront l’objet de débats avec des spécialistes et des personnalités marquantes.

    Pour consulter le programme de la conférence, cliquer ici.

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    news-1024 Fri, 23 Mar 2018 16:55:09 +0100 La Française Forum Securities remporte le prix de «Meilleur gestionnaire de fonds immobilier durable de l'année» par Property Funds World /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-forum-securities-remporte-le-prix-de-meilleur-gestionnaire-de-fonds-immobilier-durable/ Lors du déjeuner de remise des prix du 23 mars à Londres, La Française Forum Securities a remporté le Prix du « Meilleur gestionnaire de fonds immobilier durable de l'année » de Property Funds World Awards. Property Funds World, un magazine numérique avec près de 5 500 abonnés à la newsletter dans le monde, a interrogé ses lecteurs pendant plus de 3 mois fin 2017 et début 2018.
      
    Les entreprises interrogées ont été questionnées sur les sociétés  qui se sont distinguées en 2018 dans plus de 30 catégories de gestion de fonds, juridique, technologique et de services. La Française Forum Securities a ainsi été nommée « Meilleur gestionnaire de fonds immobilier durable de l'année ».

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    news-1009 Tue, 20 Mar 2018 09:49:46 +0100 La Française renforce son organisation en Asie avec la nomination d’une Directrice Relations Investisseurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-organisation-en-asie-avec-la-nomination-dune-directrice-relations-investi/ La Française, groupe de gestion d’actifs international avec plus de 66 milliards d’euros d’actifs sous gestion (au 31/12/2017) et des bureaux en Europe, en Asie et aux États-Unis, poursuit sa stratégie de développement en Asie et consolide son équipe avec la nomination de Jennifer Choi en tant que Directrice Relations Investisseurs — Corée du Sud.

    Jennifer Choi apporte à La Française sa vaste expérience de la gestion et de l’évaluation d’actifs dans l’immobilier commercial et l’hôtellerie. Avant de rejoindre le Groupe, Jennifer était Senior Manager de l’équipe d’investissement en immobilier étranger de KIM (Korea Investment Management), en charge du sourcing et de l’analyse financière des actifs, des levées de fonds et des relations investisseurs. Elle avait au préalable travaillé près de neuf ans au sein du groupe Évaluation de Cushman & Wakefield, dont trois en étant basée à Los Angeles (Californie), où elle s’est spécialisée dans l’évaluation d’établissements hôteliers. À son retour en Corée, Jennifer Choi a été nommée Responsable Évaluation pour un large éventail d’actifs : hôtels, bureaux, commerces et industrie.

    Jennifer est titulaire d’une licence en gestion hôtelière de Pennsylvania State University.

    Basée à Séoul, Jennifer Choi sera directement rattachée au Directeur des Relations Investisseurs Asie, Shawna Yang. 

    Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International, a déclaré : « 2017 a marqué un nouveau tournant pour La Française. La signature d’une transaction majeure à Bruxelles pour le compte d’un club d’investisseurs coréens et français a porté les actifs gérés au nom d’investisseurs asiatiques à plus d’un milliard d’euros. Sachant que nous avons inauguré notre premier bureau coréen en 2016, cette croissance est exceptionnelle ! L’arrivée de Jennifer Choi est un véritable atout pour l’équipe et je suis persuadé qu’elle jouera un rôle clé dans le développement de notre expertise immobilière. » 

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-1007 Mon, 19 Mar 2018 17:19:11 +0100 LE MIX : Le Rendez-vous de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-mix-le-rendez-vous-de-la-francaise/ LE MIX, format inédit pour le nouveau rendez-vous de La Française, le mercredi 28 mars 2018. le Mix Carbon Impact réunit, dans un format inédit, un panel d'experts autour d'une même thématique et permet des échanges constructifs avec le public et les internautes. 

    En présence de :

    Line BEAUCHAMP, Ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs au Canada (2007-2011), Déléguée générale du Québec en France.

    Gilles VERMOT DESROCHES, Directeur Développement Durable, Schneider Electric France.

    Michel CAZAUGADE, Président, Groupe pasteur Mutualité.

    Christian DE PERTHUIS, Professeur d'économie à l'université Paris-Dauphine et fondateur de la chaire d'économie du climat.

    Laurent JACQUIER LAFORGE, CIO Equity, Groupe La Française.
     

    Live Point - Mercredi 28 mars 2018
    29, rue des Sablons - 75016 Paris

    Pour rester connecté à l'événement, suivez ce lien

     

     

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    news-1002 Fri, 16 Mar 2018 10:37:10 +0100 Alger on the Money - Les marchés émergents en pole position /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-les-marches-emergents-en-pole-position/ Après des performances robustes l’année dernière, les actions émergentes sont bien placées pour renouveler l’exploit en 2018, soutenues par une croissance économique qui devrait être supérieure à celle des pays développés d’après le Fonds monétaire international. La croissance bénéficiaire des marchés émergents a dépassé celle des États-Unis et du reste du monde en 2017

     

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

     

    1 Bank of America Merrill Lynch (2017) « Two for Two: Asia/EM Equities likely to double in two years. » The Inquirer

     

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    news-1001 Thu, 15 Mar 2018 16:53:58 +0100 Le Rendement by La Française - Rendement Global 2025 et Multi-Asset Income /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-rendement-by-la-francaise-rendement-global-2025-et-multi-asset-income/ Aujourd’hui, les rendements des produits d’épargne classiques tels que le livret A ou encore le fonds en euros de l’assurance vie sont très peu rémunérateurs, surtout si l’inflation est prise en compte. A titre d’exemple, le rendement moyen du fonds euros s’élevait à 4,1% en 2007, il a continuellement diminué pour atteindre 1,8% en 2016. Les résultats finaux pour 2017 sont encore attendus en déclin, au même titre que les prévisions 2018. Nous vous présentons deux solutions qui selon nous, répondent à la quête du rendement. Il s’agit de La Française Rendement Global 2025 (« RG 2025 »), un fonds international à échéance fixe, et La Française Lux Multi-Asset Income (“MAI”), un fonds multi-classes d’actifs.  

    Retrouvez la version écrite de la vidéo sur les fonds de rendement RG2025 et MAI

    Pouvez-vous nous présenter votre fonds ?

    Akram Gharbi, gérant du fonds, La Française Rendement Global 2025 François Rimeu, gérant du fonds, La Française Lux Multi-Asset Income

    o La Française Rendement Global 2025 est un fonds à échéance fixe, et constitue le 4ème millésime de la gamme Rendement Global. Le fonds a été ouvert à la commercialisation en octobre dernier et déjà atteint près de 200M€ d’encours.

    o Son objectif de gestion : obtenir une performance nette de frais supérieure à celle des obligations émises par l'Etat français libellées en EUR à échéance 2025, sur la période de placement recommandée de 8 ans à compter de la date de création du fonds jusqu'au 31/12/2025.

    o Comme son nom l’indique, le fonds dispose d’un univers d’investissement global (Europe / US / Emergents), ce qui lui permet de diversifier le risque de crédit et de liquidité des émetteurs.

    o Les titres peuvent être libellés en euro ou en devises étrangères fortes (c’est-à-dire dollar, livre sterling, franc suisse et couronne norvégienne), intégrant une couverture systématique du risque de change.

     

    o MAI a été créé en août 2015, dans un contexte de taux bas qui prévaut encore aujourd’hui. Son objectif est de générer une croissance régulière du revenu et du capital (rendement total) à moyen et à long terme.

    o MAI regroupe 4 stratégies dans un même fonds, qui ont été choisies pour leur potentiel de rendement élevé et reflètent tous une des expertises clés de La Française :

    • Les actions à fort dividende 
    • Les foncières cotées
    • Les obligations à haut rendement
    • Et les dettes émergentes

    Nous pilotons l’allocation entre ces 4 poches de façon dynamique, selon nos convictions et les niveaux de risque, et pouvons également couvrir le fonds en cas de stress sur les marchés, afin d’encore réduire le risque du portefeuille.

     

     

    Comment le fonds est-il positionné aujourd’hui ?

    Akram Gharbi, gérant du fonds, La Française Rendement Global 2025 François Rimeu, gérant du fonds, La Française Lux Multi-Asset Income

    o Nous sommes présents sur toutes les zones géographiques, et privilégions actuellement le segment des obligations à haut rendement, aussi appelé « High Yield ».

    o Le High Yield présente un potentiel de rendement plus fort que les obligations Investment Grade, mais aussi un risque de défaut plus élevé. Cependant, les taux de défaut devraient rester faibles à court / moyen terme grâce à une macroéconomie mondiale bien orientée. Par ailleurs, le High Yield est moins sensible aux variations des taux d’intérêts.

    o Le portefeuille est aujourd’hui diversifié sur plus de 130 lignes ; notre objectif est de le diversifier à plus de 160 lignes. Environ la moitié du fonds est aujourd’hui investie sur l’Europe, 40% sur l’Amérique du Nord et le reste dans les pays émergents.

     

     

    o MAI est aujourd’hui positionné sur 4 moteurs de performance, qui sont faiblement corrélées entre eux. Ainsi, en cas de forte tension sur les marchés, le fonds cherche à offrir un comportement robuste, surtout face aux fonds qui ne reposent que sur une seule classe d’actifs.

    o Le portefeuille affiche aujourd’hui plus de 100 lignes, à travers toutes les zones géographiques : Amérique du Nord, Amérique Latine ainsi que l’Europe, l’Afrique, les pays émergents et l’Australie.

    o Lors d’épisodes de stress récents, comme le Brexit en 2016 ou encore la baisse de l’Eurostoxx en 2017, nous avons fait usage de la couverture tactique, permettant à MAI de rester relativement stable malgré la baisse sur les marchés.

    Comment effectuez-vous concrètement la gestion du fonds ? 

    Akram Gharbi, gérant du fonds, La Française Rendement Global 2025 François Rimeu, gérant du fonds, La Française Lux Multi-Asset Income

    o L’équipe crédit se compose de 9 gérants analystes, dont 5 spécialisés sur le segment du High Yield qui dispose d’une forte expérience sur ce segment.

    o Nous choisissons les valeurs qui nous semblent les plus robustes en nous appuyant sur des fournisseurs indépendants de recherche de premier plan comme par exemple CreditSights ou Lucror Analytics.

    o Nous disposons également de ressources d’analyse conséquentes en interne avec des équipes spécialisées, par exemple sur les pays émergents. o Notre discipline de gestion se traduit dans nos résultats ; à titre d’exemple, le prédécesseur Rendement Global 2022, qui poursuit comme Rendement Global 2025 une stratégie à échéance globale avec un focus sur le High Yield, affiche une performance annualisée nette de 4,73% sur 3 ans1 et se place au 1er décile de sa catégorie sur 3 ans (source : Morningstar, à fin février). Le niveau de risque de RG 2025, en termes de SRRO, est de 32.

     

    Notre équipe de 3 gérants analyse régulièrement les 4 classes d’actifs en fonction de la performance espérée et de la volatilité attendue. Cela nous permet de définir les poids alloués à chacune d’entre elles.

    o Ensuite, nous confions la sélection des titres sousjacents aux équipes internes spécialisées, une pour chaque classe d’actifs.

    o Comme déjà évoqué, en cas de stress important sur les marchés, nous pouvons faire appel à notre outil de couverture tactique pour chercher à réduire l’impact d’un choc de marché sur le fonds.

    o Nous sommes satisfaits des résultats de MAI ; la part R (créée en août 2015) affiche une performance nette de +8,32% en 2016 et +6,72% en 20173. Le niveau de risque du fonds, en termes de SRRI, est de 4.4

     1 Performance de la part R du fonds La Française Rendement Global 2022, à fin février 2018, sur 3 ans glissants. Conformément à la réglementation en vigueur, les performances de Rendement Global 2025 ne pourront être affichées qu’après 12 mois d’existence révolus. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.2 SRRI = « synthetic risk reward indicator » / indicateur synthétique risque / rendement; de 1 = peu risqué à 7 = très risqué. 3 Performance de la part R à fin février. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. 4 SRRI = voir note n. 2   

    En conclusion :

    Vous l’aurez compris, dans la recherche de rémunérations intéressantes, il est désormais nécessaire de prendre plus de risque et s’orienter vers des produits ciblant des classes d’actifs à rendement potentiel plus important. RG 2025 propose une stratégie globale obligataire, à échéance fixe 2025 ; tandis que MAI repose sur une allocation dynamique entre 4 classes d’actifs différentes. Si ces produits ont retenu votre attention, rapprochez-vous de votre interlocuteur habituel pour mieux apprécier les caractéristiques du fonds en fonction de votre pays de domiciliation et de votre profil de risque.  

    Avertissements

    Risques RG 2025 : Risque de perte en capital : l'investisseur est averti que son capital n'est pas garanti et peut donc ne pas lui être restitué. Les risques spécifiques suivants peuvent entrainer une baisse de la valeur liquidative du fonds :

    Risques MAI :
    Risque de perte en capital : l'investisseur est averti que son capital n'est pas garanti et peut donc ne pas lui être restitué. Les risques spécifiques suivants peuvent entrainer une baisse de la valeur liquidative du fonds :

    Les informations présentées dans ce support ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de l’établissement du support en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du groupe La Française sur les marchés et leur évolution. Elles n’ont pas de valeur contractuelle et sont sujettes à modification. Il est rappelé par ailleurs que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Compte tenu des risques d’ordre économique et boursier, il ne peut être donné aucune assurance que le produit présenté atteigne son objectif. Pour tout complément d’information et avant toute souscription, veuillez prendre connaissance pour le produit présenté de la documentation règlementaire, des frais et des risques associés qui peuvent avoir un impact à la baisse sur la valeur liquidative du produit. Équipes de gestion actuelles, susceptibles d’évoluer dans le temps.

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    news-999 Wed, 14 Mar 2018 17:57:33 +0100 Private Equity et Private Debt : la prime d’illiquidité par rapport au Public Equity et au Public Debt est-elle justifiée ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/private-equity-et-private-debt-la-prime-dilliquidite-par-rapport-au-public-equity-et-au-public-de/ A la recherche de performance soutenable sur le long terme, les investisseurs se sont logiquement tournés vers les actifs illiquides, a priori moins directement influencés par les interventions des banques centrales.

    En novembre 2008, la Federal Reserve des Etats-Unis initie une politique massive d’assouplissement quantitatif sous la forme d’achats d’obligations qui prend fin en 2017, lorsque l’Institution monétaire annonce qu’elle va diminuer son bilan en ne réinvestissant plus le produit des remboursements de ses actifs en portefeuille, entretemps son bilan est passé de moins de 10% à plus de 30% du PIB des Etats-Unis. En mars 2015 la Banque Centrale Européenne initie la même politique avec les mêmes effets, et n’a toujours pas annoncé quand elle entend diminuer son bilan. Les effets de ces interventions se sont traduits par une forte compression mécanique des taux d’intérêt à long terme alors que les taux directeurs à court terme étaient maintenus à zéro, voire en dessous. Les actifs les plus liquides, actions et obligations, ont subi à des degrés divers la contagion de cette valorisation forcée.

    A la recherche de performance soutenable sur le long terme, les investisseurs se sont logiquement tournés vers les actifs illiquides, a priori moins directement influencés par les interventions des banques centrales. Ils ont jeté leur dévolu vers l’immobilier, mais aussi sur la dette privée (Private Debt) et le capital-investissement (Private Equity), équivalents non cotés des actions (Public Equity) et des obligations (Public Debt). Les fondations des universités américaines de l’Ivy League, dont Harvard, Yale et Princeton, réputées pour la qualité de leur allocation d’actifs, ont depuis longtemps investi plus de la moitié de leurs patrimoines en actifs illiquides. Les particuliers très fortunés (Very High net Worth Individuals) ont aussi la particularité d’avoir une majorité de leur patrimoine investis dans de tels actifs. En fait tout investisseur qui a un passif très long désire capturer dans sa performance les primes censées rémunérer l’illiquidité de ces placements.

    Télécharger Asset & Allocations dans son intégralité

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    news-998 Wed, 14 Mar 2018 14:52:48 +0100 Quels logements pour les millennials ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quels-logements-pour-les-millennials/ Retrouvez la contribution de Xavier Lépine publiée dans la revue Opérations immobilières des Editions Le Moniteur n°103 du mois de mars 2018.

    "Ils sont 16 millions en France, 2,3 milliards dans le monde et en 2030 ils représenteront 75 % de la population active... les millennials vont peu à peu imposer leurs valeurs et leurs modes de vie, autant bien les connaître pour mieux les servir. Caractérisés par une très faible attache et une folle capacité de zapping, ils ne se sentent liés à aucun produit ou service et leurs critères sont la facilité, l’efficacité et la rapidité. YOLO (You Only Live Once) et FOMO (Fear Of Missing Out) sont leurs règles de vie.

    Dans le domaine de l’épargne immobilière qui reste au centre des préoccupations car quoiqu’il advienne se loger reste une nécessité incontournable, le millennial est mobile, a de moins en moins la capacité d’acheter en pleine propriété (l’urbanisation et la rareté du foncier ont augmenté les prix) et sa vie n’a pas la linéarité des générations précédentes. En effet, sa fonction d’utilité est toute à creuser dans la mesure où elle devient clairement une juxtaposition d’utilités marginales : aucune composante n’est prépondérante pour le millennial si ce n’est sa liberté, la qualité du service, sa capacité à le customiser à sa guise et son intransigeance quant à la maîtrise de son destin. Ses besoins immobiliers, comme sa capacité financière, changent régulièrement. De plus en plus, il sera attaché aux services qui seront liés à son logement : wifi, conciergerie, garde d’enfants, équipements sportifs ou de loisirs, co-working, co-living à la carte, menus travaux…"

    Pour lire l'intégralité de l'article, cliquer ici.

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    news-997 Wed, 14 Mar 2018 11:41:08 +0100 Lettre aux porteurs - La Française Rendement 4x4 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lettre-aux-porteurs-la-francaise-rendement-4x4/ Vous avez souscrit des parts du fonds « La Française Rendement 4x4 », et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.

    Pour rappel, l'objectif du fonds est de surperfonner l'OAT 4.25% octobre 2018 sur horizon de 4 ans renouvelables. La stratégie d'investissement consiste à gérer dynamiquement un portefeuille diversifié d'obligations ayant une échéance proche de la période d'investissement fixée jusqu'en octobre 2018. Le fonds cherche à optimiser le taux de rendement actuariel moyen du portefeuille à l'échéance de la période d'investissement.

    Nous vous informons que l'échéance du fonds octobre 2018 ne sera pas renouvelée, l'actif restant du fonds ne permettant plus de mettre en oeuvre de manière optimale la stratégie de gestion. Ainsi, la société de gestion La Française Asset Management a pris la décision de liquider le fonds.

    Pour lire l'intégralité de la lettre, veuillez cliquer ici.

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    news-996 Wed, 14 Mar 2018 10:05:35 +0100 La Francaise Real Estate Managers loue IPSO FACTO (Montrouge 92) à la Croix-Rouge française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-loue-ipso-facto-montrouge-92-a-la-croix-rouge-francaise/ La Croix-Rouge française et La Française Real Estate Managers (REM) viennent de signer un bail de location de l’intégralité de l’immeuble IPSO FACTO à Montrouge. L’immeuble est détenu en indivision par les Sociétés Civiles de Placement Immobilier Sélectinvest 1 et Crédit Mutuel Pierre 1.

    IPSO FACTO, opération neuve, livrée en mai 2017 par Bouygues Immobilier, développe 14 000 m² de bureaux et de services. 

    L’identité architecturale, signée Brenac & Gonzalez & Associés, repose sur la lecture de strates superposées, chaque niveau de l’immeuble se proposant comme libre de mouvement par rapport aux autres. Des variations ainsi créées, est née une galerie couverte jalonnée de majestueux poteaux en V, desservant les halls et les espaces de restauration, ainsi que des terrasses, des patios et des loggias en double hauteur.

    Les équipes de la Croix-Rouge française devraient s’installer dans l’immeuble à l’achèvement des travaux d’aménagement, en juillet prochain.

    « Nous sommes très heureux d’accueillir la Croix-Rouge française dans IPSO FACTO. Cette prise à bail démontre toute la pertinence de son emplacement, de ses performances techniques et environnementales, répondant aux exigences de la Croix-Rouge française en termes de flexibilité, d’efficacité et de qualité de vie au travail » explique Thierry Molton, Directeur de l'Asset management immobilier d'entreprise de La Française REM.

    Dans cette transaction, La Française REM, assistée par B&C France, était conseillée par BNP Paribas Real Estate et Maître Ronite Nika Cohen ; la Croix-Rouge française était conseillée par la société Flabeau et Maître André Jacquin.

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-995 Wed, 14 Mar 2018 10:56:00 +0100 Côté actions, circonspection des investisseurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/cote-actions-circonspection-des-investisseurs/ Tout avait bien commencé dans un environnement sans rupture majeure avec 2017, nous anticipions une progression des marchés actions accompagnée par une croissance mondiale synchronisée qui supportait l’activité et les marges des sociétés et ainsi une hausse de l’ordre de 10 % des résultats par action assez homogène entre les zones géographiques.

    Jusqu’au 26 janvier les marchés actions affichaient des hausses soutenues et traitaient les hausses de taux et de la parité euro-dollar avec une certaine négligence. L’état d’esprit a significativement changé à cette date avec une correction de l’ordre de 10 % des marchés Actions. Si les taux européens sont restés inchangés (1,01 % sur l’AOT 10 ans fin février), le discours de Jérôme Powell, nouveau président de la FED, laissant anticiper des hausses de taux récurrentes en 2018 et la hausse du dix ans américain (T-Bonds US +0,15pt sur 1 mois à 2,87 % pour le 10 ans) a focalisé l’attention. Les marchés ont souligné ce changement de régime par une hausse violente de la volatilité, amplifiée par des éléments techniques. La combinaison de taux en hausse et de la reprise de la volatilité ont logiquement abouti à des taux d’actualisation plus élevés des bénéfices futurs et donc à une correction.

    Ce changement de régime semble aujourd’hui absorbé par les marchés, mais malgré une légère reprise depuis la fin de la première semaine de février, les investisseurs restent circonspects. Il est vrai que les tensions sur les taux d’intérêt restent présentes, tout comme les inquiétudes portant sur une possible accélération de l’inflation. Il est également vrai que les indicateurs avancés de la croissance économique plafonnent depuis quelques jours. Mais ces indicateurs plafonnent à un niveau élevé, cohérent avec une croissance mondiale toujours supérieure à 4 % pour l’ensemble de l’année et les publications des résultats 2017 sont sur une tendance positive. A la clôture du 1er mars, 76 % des sociétés du Stoxx 600 et 97 % du S&P500 avaient publié leurs résultats. Les chiffres d’affaires sont majoritairement au-dessus des attentes, comme les résultats nets des deux côtés de l’Atlantique. En Europe, après un début de saison en demi-teinte, les publications se sont améliorées pour atteindre un niveau de surprises positives équivalent au Q4-2016. En revanche, les attentes communiquées par les entreprises sont inférieures aux cibles indiquées les trimestres passés (30 % plus faibles que les attentes vs. 11 % au Q2-2017 par exemple). Dans ce contexte de craintes de tensions inflationnistes et d’un flux dense de publications de résultats, les secteurs sensibles aux taux (à duration longue) ont enregistré une baisse en février.

    La circonspection des investisseurs est également largement entretenue par une reprise des tensions politiques, notamment celles générées par le Président Trump affirmant une hausse à venir des barrières tarifaires pouvant peser sur le commerce mondial. Nous avions soulevé ce risque portant sur les traités commerciaux, il est devenu d’actualité. Les mesures annoncées ne devraient concerner que les importations d’acier et d’aluminium (avec des exceptions) et pourraient être mises en place dès la fin mars. Mais les propos du Président Trump combinés à la récente démission de son conseiller économique à la Maison Blanche Gary Cohn, laissent anticiper un possible durcissement des conditions commerciales concernant les échanges avec les Etats-Unis et de manière à peine voilée la relation commerciale, financière et de concurrence avec la Chine. Cette démission pèsera sur le risque générant une pression sur les marchés actions, le dollar US et donc sur le Yen et enfin sur les actions en Asie.

    Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-994 Tue, 13 Mar 2018 09:44:16 +0100 Taux VS risques inflationnistes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/taux-vs-risques-inflationnistes/ La volatilité sur les marchés actions a notamment été alimentée par de fortes craintes inflationnistes, mais la lecture de l’évolution du marché des obligations indexées sur l’inflation donne un message plus modéré.

    En effet, dans le dernier mouvement de hausse des taux nominaux core qui a démarré début décembre, la hausse des taux réels bien plus que la hausse des anticipations d’inflation a soutenu ce mouvement. Les taux réels ont suivi les révisions à la hausse des perspectives de croissance. Les valorisations demeurent donc attractives sur les points morts d’inflation et leur rebond viendra de surprises à la hausse sur la publication des chiffres d’inflation, ce dont nous sommes convaincus cette année, aux Etats-Unis : en particulier, l’inflation sous-jacente, sur laquelle les attentes restent timides, devrait être tirée par le cycle économique. La courbe des points morts d’inflation demeure plate sur ces deux zones et la prime sur les maturités les plus longues nous semble toujours très faible au regard de la dynamique du cycle économique à l’oeuvre. Nous sommes donc positifs sur les points morts d’inflation US et euros et privilégions les maturités longues.

    Le nouveau directeur de la Réserve fédérale américaine est entré en fonction et a d’ores et déjà affiché sa confiance sur le rythme d’inflation à venir. Des membres du Board de la FED, de plus en plus nombreux, évoquent ouvertement la nécessité d’un resserrement monétaire plus important. Et nous y croyons : la réforme fiscale votée en décembre s’est accompagnée de nouvelles mesures de dépenses budgétaires depuis le début de l’année et ces deux éléments, à intégrer par la FED, devraient soutenir la révision à la hausse de leur perspective de croissance du PIB pour 2018 ; l’inflation devrait accélérer tout comme l’inflation salariale au regard des tensions sur le marché du travail, autant de raisons pour normaliser un peu plus rapidement la politique monétaire. Les taux courts américains devraient donc continuer de se tendre. Toutefois, la FED, comme les autres banques centrales des principaux pays développés, sera attentive à toute remontée trop brutale des taux, susceptible de fragiliser la dynamique de croissance.

    En zone euro, les taux réels demeurent très bas versus le reste du monde et au regard de la conjoncture : comme aux US, leur normalisation accompagnera la fin du QE de la BCE. Leur bas niveau les rend vulnérables à toute communication en ce sens de la BCE et aux évènements Outre-Atlantique.

    La reconnexion des taux des pays coeur aux fondamentaux économiques demeure notre scénario central mais ne se fera pas en ligne droite !

    Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-992 Fri, 09 Mar 2018 17:30:20 +0100 Retour de la volatilité ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retour-de-la-volatilite/ Comme nous l’avons déjà mentionné à de nombreuses reprises depuis plusieurs semaines, le mois de février a été marqué par un retour violent de la volatilité. Au-delà des considérations techniques ayant amené ce mouvement (voir flash), penchons-nous sur les raisons fondamentales qui pourraient expliquer le coup d’arrêt récent porté à la bonne dynamique des marchés actions depuis la fin de l’été 2017.

    La hausse des taux ?

    Ce n’est sans doute pas une bonne nouvelle mais elle est légitime dans le contexte de croissance mondiale et de normalisation monétaire qui prévaut… et il est tout de même difficile d’imaginer qu’une hausse de 50 points de base des taux, en supposant que l’amplitude du mouvement reste modérée, puisse avoir un impact très négatif sur les bénéfices. Cette hausse ne nous semble pas de nature à remettre en cause la bonne santé des secteurs immobiliers ni avoir un impact potentiel conséquent sur le refinancement des sociétés américaines.

    La hausse de l’inflation ?

    La relation entre l’inflation et les bénéfices des entreprises n’est pas simple à analyser. Les actions étant des actifs réels, elles doivent profiter de l’inflation via une hausse de leurs bénéfices. Mais ce constat ne reste vrai que jusqu’à un certain niveau, une inflation trop importante augmentant l’incertitude et donc les primes de risque. Historiquement, les valorisations des marchés sont à leur maximum pour une inflation entre 3 % et 3.5 %, or l’inflation, même en redressement, est encore loin de ce standard et ne constitue donc pas une menace.

    La baisse des liquidités excédentaires ?

    Il faut garder en tête que de manière globale, les bilans des banques centrales sont encore en augmentation et que cela va rester vrai a minima jusqu’en fin d’année. Nous n’anticipons pas de retrait brutal des liquidités excédentaires à court ou moyen terme.

    La politique protectionniste de Donald Trump ?

    Il faut prendre un peu de recul face aux récentes annonces : même si elles entraient en vigueur, elles n’impacteraient que modestement la croissance via le commerce mondial, et n’ont que rarement donné lieu, historiquement, à une escalade des mesures protectionnistes. Cela reste toutefois un point de vigilance si ces mesures étaient appliquées à des secteurs clefs.

     

    Pour toutes ces raisons, nous restons positifs sur les marchés actions à moyen terme et considérons l’ajustement significatif des valorisations comme une opportunité. Nous conservons par ailleurs un biais légèrement haussier sur les points morts d’inflation, et les taux de manière générale.

    Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-989 Wed, 07 Mar 2018 16:41:37 +0100 Modification Produits – La Française Patrimoine Flexible /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-produits-la-francaise-patrimoine-flexible/ La Française Asset Management, Société de gestion du fonds La Française Patrimoine Flexible, a décidé de procéder à la modification de l’indicateur de référence, l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement à compter du 14 mars 2018.

    - Nouvel indicateur de référence : 70% Barclays Euro Aggregate Bond Index 3-5 Total Return Index Value Unhedged EUR + 30% Stoxx Europe 600

    - Objectif de gestion : Fonds flexible, le fonds a pour objectif de valoriser le capital ou de maximiser la performance sur l’horizon de placement recommandé (3 ans) 

    - Stratégie d’investissement: une prépondérance pour les grandes capitalisations dans les critères de sélection des actifs est apportée. Par ailleurs, la fourchette de sensibilité du portefeuille est ajustée à [-3 ; 5] et la fourchette de volatilité-cible à 3-9% (hors circonstances exceptionnels de marché)

    Les fonds nourriciers de La Française Patrimoine Flexible, CMNE Participation Flexible, Patrimoine Croissance et Erès La Française Patrimoine Flexible seront également concernés par ce changement.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Patrimoine Flexible disponibles sur le site www.la-francaise.com.

    Pour en savoir plus :

    La Française Patrimoine Flexible (Part I)

    La Française Patrimoine Flexible (Part R)

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    news-988 Wed, 07 Mar 2018 16:39:30 +0100 Modification Produits – La Française Séréni Flex /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/modification-produits-la-francaise-sereni-flex/ La Française Asset Management, Société de gestion du fonds La Française Séréni Flex, a décidé de procéder à la modification de l’indicateur de référence, l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement à compter du 14 mars 2018.

    - Nouvel indicateur de référence : 50% Barclays Euro Aggregate Bond Index 3-5 Total Return Index Value Unhedged EUR + 35% EONIA capitalisé + 15% Stoxx Europe 600.

    - Objectif de gestion : surperformer l'indice composite 50% Barclays Euro Aggregate Bond Index 3-5 Total Return Index Value Unhedged EUR + 35% EONIA capitalisé + 15% STOXX Europe 600 dividendes réinvestis en optimisant sa performance au moyen d'une gestion discrétionnaire combinant une diversification des investissements entre les marchés de taux, obligataires et/ou monétaires et les marchés actions dans diverses zones géographiques dans le respect des fourchettes d'expositions prédéterminées.

    - Stratégie d’investissement: une prépondérance pour les marchés actions de l’Union Européenne est apportée. Par ailleurs, la fourchette de sensibilité du portefeuille est ajustée à [-1 ; 6].

    Le fonds nourricier de La Française Séréni Flex, CMNE Participation Quiétude est également concerné par ces changements.

    Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Séréni Flex disponibles sur le site www.la-francaise.com.

     

    En savoir plus :

    La Française Séréni Flex (Part I)
    La Française Sééni Flex (Part R)

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    news-985 Tue, 13 Mar 2018 09:00:00 +0100 La Française renforce son équipe de développement international centrée sur l’Asie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-de-developpement-international-centree-sur-lasie/ La Française, groupe de gestion d’actifs international avec plus de 66 milliards d’euros d’actif sous gestion (au 31/12/2017) et des bureaux en Europe, en Asie et aux États-Unis, poursuit sa stratégie de développement en Asie et consolide son équipe avec l’arrivée de Kelly Choi au poste d’International Sales Manager.

    « La Française continue son avancée sur les marchés asiatiques. Nous sommes fiers d’accueillir des collaborateurs passionnés et dynamiques comme Kelly pour soutenir nos efforts de développement commercial sur ces marchés », a commenté Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International. 

    Kelly Choi justifie d’une expérience de 5 ans dans la gestion d’actifs, ayant assumé des fonctions de développement des ventes (en se concentrant sur la région de la Grande Chine) pour plusieurs entreprises du secteur, dont PineBridge Investments Asia et Baring Asset Management. 

    Elle est titulaire d’une licence de droit de l’université du Kent et d’un Master en comptabilité et finance de la London School of Economics.

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    news-984 Thu, 08 Mar 2018 10:02:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Suitcase Hospitality les murs d’un hôtel 4 étoiles à Paris (09) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-suitcase-hospitality-les-murs-dun-hotel/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Suitcase Hospitality, les murs d’un hôtel 4 étoiles au sein du 9eme arrondissement de Paris.

    L’actif, situé au 17 rue de Milan, est à proximité de la gare Saint-Lazare et de nombreuses lignes de métro. L’environnement est mixte avec des immeubles de bureaux de grandes entreprises internationales, des logements et plusieurs lieux touristiques et salles de spectacles majeurs (Pigalle, Montmartre, le Casino de Paris, La Grande Comédie, Le Moulin Rouge, …). 

    Il s’agit d’un hôtel 4 étoiles (ancienne clinique réhabilitée à neuf), d’une surface utile de 1 922 m² et de 56 chambres réparties sur 7 niveaux et un niveau de sous-sol. Au dernier étage, des chambres supérieures offrent une vue imprenable sur les toits de Paris et le Sacré Cœur, dans un esprit loft avec terrasse. Il est également doté d’un spa avec piscine, hammam et sauna, d’un bar-lounge, et d’un salon privatisable donnant sur un patio végétalisé. La livraison a eu lieu en novembre 2017.

    Un bail de douze ans ferme a été signé avec Suitcase Hospitality, groupe hôtelier, qui reste détenteur du fonds de commerce et exploitant de l’hôtel. 

    « Le développement de notre parc hôtelier est actuellement très dynamique sur le Grand Paris et dans de grandes métropoles françaises comme Bordeaux. Nous sommes très satisfaits de collaborer en toute confiance avec La Française REM, le leader des Asset Managers, pour nous accompagner sur la partie Murs de certains de nos hôtels en exploitation », précise Jean-Baptiste Martin, co-fondateur de Suitcase Hospitality.

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    La Française REM était conseillée par la société Tourny Meyer (Benoit Joncoux) et l’étude Oudot & Associés.  

    Suitcase Hospitality a été conseillé notamment par Vanessa Lemetayer (notaire), René-Pierre Andlauer (Avocat associé du cabinet Cornet Vincent Segurel), Frasson Gorret Avocats, French Hôtel (AMO-coordinateur FF&E), ACPH (AMO) et In Extenso (Olivier Petit et Samuel Couteleau).

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    news-982 Mon, 05 Mar 2018 16:07:38 +0100 Jérôme Fauvel, Responsable Small Caps de La Française dans C'est Votre Argent sur BFM Business. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jerome-fauvel-responsable-small-caps-de-la-francaise-dans-cest-votre-argent-sur-bfm-business/ Jérôme Fauvel, Responsable Small Caps de La Française a participé à C'est Votre Argent sur BFM Business le 02 mars 2017. Jérome Fauvel, Responsable Small Caps de La Française, participait à l'émission C'est Votre argent sur BFM Business le 02 mars 2018 en compagnie d'Alexandre Baradez, Chef Analyste chez IG, Alain Pitous, Président de Talence Gestion, Régis Bégué, Stratégiste chez Lazard Frères Gestion et Christophe Dembik, Responsable de la Recherche Economique chez Saxo Banque.

    Présentée par Marc Fiorentino et Aïcha Hmissi, journalistes à BFM Business reviennent sur ce qu'i ne fallait pas oublier cette semaine...

     

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    news-980 Fri, 02 Mar 2018 11:00:15 +0100 Alger on the money - L’intelligence artificielle a le vent en poupe /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-lintelligence-artificielle-a-le-vent-en-poupe/ Si l’intelligence artificielle (IA) semble évoquer l’antihéros d'un roman de science-fiction, en réalité, c’est en train de devenir un outil professionnel d’une grande valeur. Grâce à elle, les entreprises peuvent désormais traiter d'énormes quantités de données pour identifier des tendances et adopter une perspective qui leur permet de prendre des décisions en temps réel, et d’affiner leurs prévisions.

     

    1 McKinsey.

    Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-979 Tue, 06 Mar 2018 10:00:00 +0100 La Française, expert en immobilier de commerces /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-expert-en-immobilier-de-commerces/ Avec plus de 2,5 milliards d’euros sous gestion en immobilier commercial à travers l’Europe, La Française s’impose comme un expert de ce segment.

    En 2012, La Française, à travers sa filiale de gestion La Française Real Estate Managers (REM), a créé un département dédié à la gestion de commerces en France sous l’impulsion de Thierry Molton, Directeur de l’Asset management immobilier d’entreprise. Six experts, répartis par zone géographique et sous la direction de Loïc Jardin, Directeur Asset Management – Commerces, gèrent près de 1,7 milliard d’euros d’actifs, représentant près de 460 actifs, plus de 800 000 m2, près de 680 baux et 98 000 000 euros en loyers annuels.

    Le patrimoine immobilier géré par La Française REM s’étend sur la France entière (50% à Paris et en région parisienne et 50% dans les grandes métropoles de province) et regroupe trois principales catégories d’actifs : les commerces en pieds d’immeubles (42%), les retail parcs (27%) et les supermarchés (29%). Le complément, à savoir 2%, est investi en centres commerciaux.

    « La Française REM a pour objectif, outre la gestion du parc immobilier, d’accompagner les enseignes locataires dans leurs plans de développement. Cet accompagnement ainsi que la qualité des emplacements des actifs se reflètent dans la qualité des signatures des entreprises locataires et le faible taux de vacance du parc, inférieur à 4%. » déclare Loic Jardin, Directeur Asset Management – Commerces.

    La Française REM traite avec les plus grandes enseignes de l’équipement de maison, du prêt-à-porter et de la grande distribution. Au cours du dernier trimestre, La Française REM a réalisé trois belles signatures dans la catégorie des actifs « pieds d’immeubles » situées dans le marché très concurrentiel de Paris :

    • Avenue de WAGRAM, Paris 8e – Quartier Ternes : installation de l’enseigne « Maison du Monde » sur 1 117 m² ;
    • Rue Chauveau Lagarde, Paris 8e – Quartier Madeleine : installation des « Nouveaux Ateliers » sur 114 m2 ;
    • Rue d’Amsterdam, Paris 9e – Quartier Saint Lazare : installation d’Okaïdi sur 300 m2.

    En plus de ces 1,7 milliards d’euros, La Française gère également 800 millions d’euros d’actifs immobiliers de commerces à travers ses filiales La Française Real Estate Partners (entité dédiée à l’acquisition et la gestion immobilière notamment dans le cadre de mandats pour les clients institutionnels) et La Française Real Estate Partners International (entité dédiée à la gestion des actifs immobiliers situés hors de France).

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    news-978 Thu, 01 Mar 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert l’ensemble immobilier Wood Park à Marcq-en-Barœul (59) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-lensemble-immobilier-wood-park-a-marcq-en-baroeul/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de TMC Property et la SCI Agicha un ensemble de bureaux situé le long des grands boulevards à Marcq-en-Baroeul (59). L’ensemble est composé de six bâtiments en R+1, développant une surface totale de 4 374 m² avec 141 emplacements de parking.

    L’actif est situé à 250 mètres du tramway qui permet de rejoindre la Gare Lille-Flandres en 14 minutes. 

    Les bâtiments A à E, livrés en janvier 2017, sont entièrement loués, le bâtiment F sera livré courant 2018. Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Eurofoncière 2 et Crédit Mutuel Pierre 1.

    La Française REM, TMC Property et SCI Agicha ont été conseillés par TOSTAIN ET LAFFINEUR. L’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES a représenté l’acquéreur dans le cadre de cette acquisition et l’étude Philippe DELATTRE, Arnaud VERMUNT, Juliette BONDUELLE-HAIRE, Pierre-Elie MARTIN et David BENVENISTE, les vendeurs.


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    news-975 Wed, 28 Feb 2018 11:32:45 +0100 La saison des résultats outre-Atlantique est terminée et a été positive /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-saison-des-resultats-outre-atlantique-est-terminee-et-a-ete-positive/ Contrairement aux précédentes, la semaine dernière a été plutôt calme. En termes d’événements macro, pas grand-chose à signaler. On notera tout de même :
    • La Fed a publié mercredi soir les minutes de son dernier comité (31 janvier). Le ton était plutôt « hawkish », à l’image du communiqué. Les membres de la Fed ont indiqué revoir à la hausse leur prévision de croissance. Les arguments invoqués sont la robustesse des chiffres macro, les conditions financières toujours très accommodantes, la réforme fiscale votée en décembre et le dernier package de dépenses supplémentaires de 300 milliards de dollars. Les participants ont par ailleurs convenu qu’une croissance plus forte aurait pour conséquence des hausses de taux plus fortes qu’attendues précédemment.
      Il est intéressant de noter que les taux se sont tendus sur la publication de ce rapport (+5bps à 2,95% sur le 10 ans américain), mais que le mouvement ne s’est pas poursuivi, depuis les taux américains sont revenus pour finir la semaine inchangés. Une grande partie du « newsflow » négatif sur les taux est maintenant derrière nous. Quelles seront les mauvaises nouvelles supplémentaires ?Nous pensons que la partie courte de la courbe américaine est aujourd’hui sur des niveaux de valorisation plus neutres, et retrouve donc du potentiel de baisse de taux en cas de stress de marché. 
    • Concernant le Yen, les chiffres publiés sont venus conforter notre vue positive. La balance commerciale est en effet sortie supérieure aux attentes à 373 milliards de Yen, avec des exportations en forte hausse à +12,2% sur 12 mois glissants.
      Par ailleurs, les investisseurs sont en ce moment très short de Yen contre dollar américain (USD) : -13,5 milliards USD sur les marchés de futures, un chiffre équivalent au positionnement de marché fin 2013, quand les Abenomics étaient le principal thème de marché. Enfin, la devise est très peu chère, en particulier contre dollar.
      Par ailleurs, les investisseurs sont en ce moment très short de Yen contre dollar américain (USD) : -13,5 milliards USD sur les marchés de futures, un chiffre équivalent au positionnement de marché fin 2013, quand les Abenomics étaient le principal thème de marché. Enfin, la devise est très peu chère, en particulier contre dollar.

    Nous conservons une vue positive sur les indices boursiers, d’autant que la saison des résultats qui s’achève aux États-Unis a de nouveau été satisfaisante (78% de surprise positive sur les résultats, 76% sur les chiffres d’affaires).

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

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    news-973 Wed, 28 Feb 2018 11:13:52 +0100 “Perspectives d’inflation US” par Gilles Seurat, Fund Manager – Cross Asset & Absolute Return /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/perspectives-dinflation-us-par-gilles-seurat-fund-manager-cross-asset-absolute-return/ Nous attendons une hausse de l’inflation américaine dans les prochains mois, de 2.1% sur un an glissant à environ 2.8% en Juillet. Cette hausse devrait venir principalement d’effets de base positifs sur l’énergie et devrait être suivie d’un tassement vers une inflation légèrement supérieure à 2% vers la fin d’année. L’inflation core (en excluant l’énergie) devrait monter de 1.8% en Janvier à environ 2.4% en décembre.

    Les marchés pourraient poursuivre leur révision d’anticipations d’inflation à la hausse de manière modérée, mais nous n’attendons pas de remontée violente des points morts d’inflation. Les facteurs désinflationnistes de long terme comme la démographie vont continuer de peser sur les attentes pendant encore longtemps.

    Les taux nominaux pourraient continuer de monter légèrement, mais nous pensons que les prix approchent maintenant de niveaux de valorisation plus raisonnables.

    Dans notre scenario, la Fed monte ses taux de manière ordonnée, ce qui permet une poursuite de la hausse des indices boursiers, ces derniers étant aidés par une forte croissance des résultats et des valorisations pas encore trop chères.

    Nous pensons que les actions Euro devraient également afficher de belles performances dans cet environnement, mais cette performance pourrait toutefois être pénalisée par la force de l’Euro.

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    news-970 Tue, 27 Feb 2018 10:38:34 +0100 Investissement de conviction par Amy Zhang, gérante du fonds Alger SICAV – Alger Small Caps Focus /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/investissement-de-conviction-par-amy-zhang-gerante-du-fonds-alger-sicav-alger-small-caps-focus/ Amy Zhang, gérante du fonds Alger SICAV – Alger Small Cap Focus, nous explique les avantages clés d’adopter une stratégie concentrée dans l’univers des petites capitalisations. Avec plus de 20 ans d’expérience en investissement, Amy Zhang a rejoint Alger, une société pionnière dans l’investissement growth, en février 2015. Le processus d’investissement cherche à construire un portefeuille concentré de petites sociétés exceptionnelles qui ont déjà fait leur preuves, qui mettent au point des technologies révolutionnaires et qui alimentent la croissance de leur revenue sur le long terme.

     

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    news-966 Mon, 26 Feb 2018 18:05:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert les plateaux de bureaux de l’immeuble de La Coupole, Paris (14) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-les-plateaux-de-bureaux-de-limmeuble-de-la-coupole/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis d’une part auprès d’une filiale du groupe Crédit Agricole, conseillée en exclusivité par SODICA Immobilier et d’autre part, auprès d’un institutionnel français assisté par Amundi Immobilier, un immeuble de bureaux dans le 14ème arrondissement de Paris.

    La Française REM a ainsi reconstitué la pleine propriété du volume composé des bureaux donnant sur le boulevard du Montparnasse. L’immeuble, situé au 100-104 boulevard du Montparnasse, au pied du métro Vavin, abrite également le célèbre restaurant La Coupole au sein d’un volume séparé.

    Cet investissement a été réalisé pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.

    L’immeuble, qui développe une surface utile de 5 645 m² répartis sur 9 étages, comporte également un commerce en rez-de-chaussée et 75 places de parking.

    La Française REM était assistée par l’étude Allez et Associés, le premier vendeur par Maître Jérôme ADER et le second vendeur par l’étude BOUVAT-MARTIN, BENICHOU & ESCARGUEIL-VANDERHEYDEN.

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    news-965 Wed, 28 Feb 2018 17:59:00 +0100 La Française Real Estate Partners International signe une deuxième acquisition(1) à Amsterdam /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-signe-une-deuxieme-acquisition1-a-amsterdam/ La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte d’un Organisme de Placement Collectif en Immobilier réservé aux institutionnels de La Française, un immeuble de bureaux situé au Muiderstraat 1 dans le centre d’Amsterdam.

    La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte d’un Organisme de Placement Collectif en Immobilier réservé aux institutionnels de La Française, un immeuble de bureaux situé au Muiderstraat 1 dans le centre d’Amsterdam.

    Le bâtiment de 5 étages, rénové en 2012/2013, offre 2 731 m² de surface utile à usage de bureaux et centre d’affaires et est intégralement loué.

    Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Nous réalisons ainsi notre deuxième acquisition aux Pays-Bas. L’offre limitée d’espaces de bureaux modernes à Amsterdam et la demande actuellement forte devraient avoir un impact positif sur la valorisation de l’actif et les niveaux de loyer. Nous continuons de rechercher des opportunités d’investissement similaires en termes de qualité et de profil. »

    La Française Real Estate Partners International a été assistée par le cabinet Houthoff Buruma et par CBRE Netherlands.

    Exemple d’investissement détenu dans le portefeuille. Celui-ci n’est pas représentatif des investissements futurs et ne saurait refléter entièrement la composition du fonds.

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    news-962 Thu, 22 Feb 2018 10:45:05 +0100 L’inflation aux Etats-Unis est sortie à +2.1% contre +1.9% attendu pour le mois de janvier 2018 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-inflation-aux-etats-unis-est-sortie-a-2-1-contre-1-9-attendu-pour-le-mois-de-janvier-2018/ Le moins que l’on puisse dire c’est qu’on ne s’ennuie pas ! La volatilité en intra journalier est restée assez élevée tout au long de la semaine dernière, avec une tendance à la diminution, surtout en fin de semaine dernière.

    La direction aura tout de même été assez claire, en tout cas en ce qui concerne les indices actions avec une semaine de rebond marquée : +4% pour le S&P 500, +3% pour les actions euro ou encore +5% pour les actions des marchés émergents. 

    Comportement moins linéaire pour les marchés obligataires et pas forcément facile à lire : les taux américains se sont tendus assez fortement suite aux chiffres d’inflation largement au-dessus des attentes mercredi dernier. Ils sont ainsi passés en une journée de 2,82% à 2,94%, la hausse se faisant principalement via la composante inflation, ce qui semble assez logique. Depuis, le marché revient, le 10 ans étant actuellement à 2,86%, soit très proche des niveaux pré chiffres d’inflation.

    Enfin, le dollar continue de baisser, ce qui nous semble logique étant donné les annonces de déficits fiscaux abyssaux que nous prépare l’administration Trump. On pourrait approcher des déficits fiscaux comparables à ceux de 2008, mais sans crise économique…

     

    Les évènements à retenir de la semaine dernière :

    • Evidemment le chiffre d’inflation (« the most important inflation figure ever » si on en croit les banques d’investissement…) qui sort à +0,3% sur l’inflation core (+0,349% sans arrondi) contre +0,2% attendu pour le mois de janvier 2018. L’inflation core sur 12 mois et l’inflation headline sont respectivement à +1,8% (+1,7% attendu) et +2,1% (+1,9% attendu). L’inflation est un chiffre très satisfaisant, qui tend à confirmer le très bon chiffre d’inflation salariale d’il y a 2 semaines. Mais comme ce dernier, il va mériter confirmation dans le sens où certaines sous composantes paraissent étranges (+1,7% d’inflation sur les vêtements sur le mois par exemple). Et ne pas oublier non plus qu’il y a eu un changement de méthodologie, ce qui « brouille » l’analyse du chiffre. Mais même hors composantes « étranges », cela reste un bon chiffre ;
    • Ventes aux détails américaines : très décevantes et chiffres révisés à la baisse sur décembre. Un impact négatif sur la croissance est attendu au T1. Là aussi, les chiffres ne sont pas évidents à lire dans la mesure où les conditions climatiques peuvent expliquer ce mauvais chiffre ; 
    • Chiffres Immobilier américain : excellent chiffre, très au-dessus des attentes ;
    • Croissance euro en ligne avec les attentes à 0,6% sur le T4 (2,7% en rythme annuel). C’est un très bon chiffre ;
    • On est obligé de mentionner le chiffre du chômage français qui passe de 9,5% à 8,9% en 1 mois ! 
    • Chiffres japonais très mauvais : croissance décevante et commandes de machine très en dessous des attentes.

    Le marché n’est pas toujours facile à lire en ce moment, la journée où l’inflation est tombée étant par exemple « spéciale » (baisse massive des indices actions pour remonter très fortement ensuite...). Nous conservons toutefois une vision positive action à moyen terme : la croissance est très bonne, les résultats des entreprises sont très bien orientés et les valorisations ne sont pas excessives. L’inflation remonte, oui, mais les points morts d’inflation sont déjà sur des niveaux assez élevés et les taux réels se sont déjà bien tendus. Nous jugeons toujours le potentiel de hausse de taux à court terme assez faible étant donné les niveaux actuels. 

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

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    news-953 Fri, 16 Feb 2018 10:29:45 +0100 Alger on the money - Les indicateurs avancés signalent des conditions stables /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-les-indicateurs-avances-signalent-des-conditions-stables/ De nombreuses tendances pèsent actuellement sur l’inflation aux États-Unis et permettent ainsi à la Fed d’opérer prudemment le resserrement de sa politique monétaire. Nous pensons que le risque de récession est faible dans l’immédiat, dans la mesure où chaque grande récession des 75 dernières années est survenue à la suite d'un relèvement important du taux Fed Funds et/ou d'une accélération de l’inflation.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-940 Wed, 14 Feb 2018 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Sogelym Dixence, l’immeuble de bureaux Sadena à Villeurbanne (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-sogelym-dixence-limmeuble-de-bureaux-sa/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de Sogelym Dixence, pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière et Multimmobilier 2, un immeuble de bureaux situé rue Antoine Primat à Villeurbanne, à 8 minutes par le tramway de la Part Dieu.

    Livré en avril 2017, l’immeuble certifié HQE niveau « très bon », développe une surface de 13 624 m² en R+4 et offre 157 emplacements de parking.

    La Française REM était assistée par l’étude Allez et Associés et par Cap Performance.

    Sogelym Dixence était assisté par Alcaix et Associés.

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-939 Tue, 13 Feb 2018 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert l’immeuble de bureaux Cap 9 à Lyon (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-limmeuble-de-bureaux-cap-9-a-lyon-69/ La Française Real Estate Managers (REM) a acquis auprès de la Foncière du Rhône, pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière et Multimmobilier 2, un immeuble de bureaux situé au nord-ouest de Lyon, au sein du quartier de Vaise.

    L’actif est à proximité de la station de métro « Gorge de Loup » située à six arrêts de la Gare de Lyon Part-Dieu.

    L’immeuble, Cap 9, développe une surface utile de 7 175 m² dont 6 011 m² de bureaux et 1 164 m² d’activités en R+5. Il offre 56 parkings dont 12 places extérieures et 44 en sous-sol. L’actif est d’ores et déjà loué auprès de 6 locataires de qualité.

    La Française REM et la Foncière du Rhône étaient conseillées par Jones Long Lasalle et respectivement par l’étude 14 Pyramides & Associés et l’étude Salichon & Associés.

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-938 Mon, 12 Feb 2018 13:59:56 +0100 L’asset manager 4.0 et les millennials : A la recherche du syndrome de Stockholm /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lasset-manager-40-et-les-millennials-a-la-recherche-du-syndrome-de-stockholm/ Tous les acteurs de la vie économique sont aujourd’hui envahis, voire disruptés par celui qui détient la data.

    De fait, dans le monde digital qui nous irrigue un peu plus chaque jour, la relation client ne repose plus sur l’historique de la relation physique entre le client et son vendeur mais sur les données que l’on détient sur lui et le data mining que l’on en extrait. Les vendeurs expérimentés en produits technologiques de la Fnac sont largement remplacés par les informations trouvées sur internet, y compris, et peut être avant tout, par les commentaires de la communauté sur le produit convoité que lui aura automatiquement proposé son système d’informations. 

    De ce produit acheté sur le net une offre de produits complémentaires vient immédiatement se proposer à nous, tel le bon vendeur de livres d’autrefois avec la mention "ont aussi acheté"… sans compter que dans les jours qui suivent, les offres multiples de produits et services informatiquement reconnus comme susceptibles de nous intéresser viennent nous solliciter.

    C’est ainsi qu’en une décennie, c’est le détenteur des données qui devient leader dans la chaine de création de valeur grâce à la connaissance du client par le big data et data mining qui permet de savoir quoi lui proposer. Une approche holistique du client prend alors le dessus sur une approche instantanée.

    De cette première étape, le détenteur des données remonte ensuite la chaîne de valeur en intégrant verticalement les produits ou les services : c’est Google qui va vendre demain de l’immobilier, c’est aujourd’hui Amazon qui disrupte UPS et Fedex en intégrant la chaine du dernier kilomètre (le livreur Amazon via une reconnaissance visuelle et un code entre chez le client pour le livrer en son absence), c’est Orange qui rachète Groupama Banque. C’est demain Nespresso qui proposera du café équitable aux clients dont ils sauront par d’autres sources de données qu’ils ont une fibre "générosité impact investing".

    Les millennials, un nouvel acteur économique à part entière regroupant les natifs de 1980 à 2000, baignent dans cette culture et représentent aujourd’hui un vrai challenge pour les activités "traditionnelles" y compris les 2.0 d’entre elles. La malheureuse expérience de Pepsi avec le bad buzz qui a suivi sa campagne publicitaire démontre la complexité de s’adresser à cette cible. 16 millions en France, 2,3 milliards dans le monde, les millennials représenteront, en 2030, 75 % de la population active… autant bien les connaître pour mieux les servir !

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine

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    news-937 Mon, 12 Feb 2018 13:54:17 +0100 L'attractivité du secteur bancaire européen /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lattractivite-du-secteur-bancaire-europeen/ Les raisons de notre optimisme sur les actions et les obligations subordonnées.

    - Accélération de la croissance économique au niveau mondial, ce qui devrait se traduire, outre la hausse des volumes des crédits aux entreprises et aux particuliers, par la poursuite de la réduction des stimuli monétaires et devrait par conséquent favoriser la remontée des taux. C’est en substance ce que nous observons depuis le début de l’année. Les banques étant très sensibles à la hausse des taux, elles sont donc bien positionnées pour en profiter. Les prix des obligations subordonnées « CoCos » ont aussi tendance à réagir favorablement aux mouvements de hausse de taux (hors épisodes de volatilité importants, comme ce fut le cas ces derniers jours), ce qui est unique dans l’univers obligataire actuel, grâce notamment à leur corrélation partielle avec le comportement des actions bancaires européennes.


    - Les activités non bancaires et génératrices de commissions (Asset Management, Banque privée et assurance) connaissent un développement important et permettent aux banques de compenser dans une certaine mesure la pression sur les revenus nets d’intérêts. Cette tendance, devrait se poursuivre sur les prochains trimestres et contribuer à l’amélioration de la profitabilité du secteur bancaire. Les banques les mieux positionnées pour en profiter sont Crédit Agricole (CASA), Intesa Sanpaolo, Caixabank et, dans une moindre mesure, UniCredit et ING.

    - Au niveau de la solvabilité, la finalisation des accords de Bâle 3 (surnommés « Bâle 4 ») a finalement accouché d’une souris. Globalement, la règlementation contraignante est derrière nous. Les banques européennes sont dans leur grande majorité restructurées, assainies et avec des niveaux de capital suffisants. Les banques sont donc dans une situation plus favorable pour améliorer le retour de capital à l’actionnaire, financer la croissance organique additionnelle et/ou financer la croissance externe. A titre d’illustration, UBS vient d’annoncer un plan de rachat d’actions de CHF2bn, ABN fera le point sur sa solvabilité au premier trimestre 2018, idem pour ING Group. Il faudra s’attendre à d’autres mises à jour dans les prochains mois/trimestres, donc de potentielles bonnes nouvelles pour la classe d’actifs actions en termes de distribution de dividendes. Pour les obligations bancaires, les réglementations actuelles et à venir obligeront les banques à maintenir des ratios de solvabilité confortables, ce qui est également positif, tout en leur laissant le temps de se préparer à cette dernière vague règlementaire. Les établissements de crédit doivent en effet maintenir des niveaux de solvabilité supérieurs à leurs exigences afin de pouvoir payer les coupons des dettes subordonnées Additional Tier 1 (CoCos).

    - Les mesures de l’UE et de la BCE en vue de réduire le poids des créances douteuses dans le bilan des banques seront aussi une bonne nouvelle. En effet, en plus de libérer de la capacité de financement, le nettoyage du bilan, notamment des banques italiennes, devrait se traduire par une amélioration de la rentabilité, par une meilleure croissance du PNB et une plus forte baisse du coût du risque. Des bilans assainis de ce point de vue permettront aux banques de faire progresser leur Return on Equity grâce à la diminution des provisions et devraient favoriser des rehaussements de notations auprès des agences S&P, Moody’s et Fitch.

    - La réduction des coûts reste une priorité pour le secteur bancaire. Si un meilleur contrôle des coûts est nécessaire pour des raisons de rentabilité, c’est aussi une nécessité face à la montée en puissance des « Fintech » qui sont capables de proposer certains services à des coûts plus attractifs. Il faut donc s’attendre à la poursuite de la baisse des coefficients d’exploitation.

    - Le retour à terme de la consolidation. Si nous ne croyons pas à des opérations significatives en 2018, nous estimons néanmoins que des discussions et appels à la consolidation resteront au coeur de l’actualité à moyen terme. De manière assez simple, dans un environnement de pression sur la croissance du PNB, la réduction des coûts est indispensable. Or, pour des banques ayant une présence dans plusieurs pays de la zone euro, procéder à une croissance externe dans l’un des pays de présence est le meilleur moyen d’afficher des gains de productivité importants. Toutefois, les obstacles réglementaires, notamment sur les surcharges de solvabilité imposées aux grands établissements systémiques, constituent pour le moment un frein à cette tendance.

    - Malgré une très belle performance boursière réalisée par le secteur depuis la mi-2016 (+65 %), la valorisation des actions bancaires reste attractive, à 0,95 fois l’actif net, compte tenu de la croissance bénéficiaire attendue et des perspectives d’augmentation des dividendes au cours des prochains trimestres. Au 7 février 2018, les obligations subordonnées CoCos offrent en moyenne des rendements de 2,9 % (rendements aux premières dates de calls), ce qui demeure attractif dans l’environnement obligataire actuel.

    Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-936 Fri, 09 Feb 2018 17:48:56 +0100 Fin de conte de fées sur les marchés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fin-de-conte-de-fees-sur-les-marches/ Tout continuait à très bien aller sur les marchés financiers en ce début d’année, avec une croissance mondiale continuellement revue à la hausse et ce, sur toutes les zones.

    L’adoption de la réforme fiscale et la remontée des prix du pétrole avaient amené de nouvelles raisons de revoir à la hausse les prévisions de bénéfices, ce que confirme d’ailleurs pour le moment la saison des résultats des entreprises avec de très bons résultats outre-Atlantique et des résultats solides en Europe, même si les chiffres d’affaires sont impactés par la hausse de l’Euro sur le 4e trimestre.

    Mais la question que tout le monde se pose actuellement concerne la direction des taux, leur potentiel de hausse et si ces mouvements peuvent impacter les marchés actions, comme c’est le cas depuis quelques jours. A l’heure où nous écrivons ces lignes, le 10 ans américain est à 2,8 % et le 10 ans allemand à 0,73 %, soit des hausses respectives de 0,4 % et 0,32 % depuis le début de l’année. Si d’aventure ce mouvement de hausse s’amplifiait, cela pourrait être de nature à remettre en cause le scénario de « Goldilocks » que connaissent les marchés financiers depuis environ un an. Penchons-nous donc sur ce qu’anticipent les marchés obligataires à l’heure actuelle :

    - Aux Etats-Unis, le marché anticipe des taux courts à fin 2019 à 2,41 %, soit entre 4 et 5 hausses de taux, 3 cette année et entre 1 et 2 en 2019. Ces anticipations nous semblent cohérentes.

    - En zone euro, le marché anticipe 0,5 % de hausse de taux à horizon fin 2019. La BCE nous a laissé entendre jusqu’ici une fin de QE en fin d’année et une 1ère hausse de taux environ 6 mois plus tard. 0,5 % de hausse de taux sur le 2e semestre, cela nous semble là aussi correctement valorisé.

    Sur les parties longues de la courbe, les taux réels restent bas, surtout en zone euro, et une hausse supplémentaire est toujours possible. Il faut toutefois garder en tête que l’inflation reste aujourd’hui contenue et que sans accélération de cette dernière, nous serons toujours en dessous des cibles de la BCE fin 2019.

    Nous conservons une vue haussière sur les taux, principalement sur les parties longues allemandes, mais avec un budget de risque réduit après le fort mouvement que nous venons de connaitre. La croissance soutenue et les bons résultats des sociétés devraient par ailleurs permettre aux marchés actions de poursuivre leur hausse à moyen terme, sauf forte accélération des tensions obligataires.

    Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie

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    news-935 Fri, 09 Feb 2018 09:29:25 +0100 Evolution du délai de jouissance Epargne Foncière et Multimmobilier 2 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-du-delai-de-jouissance-epargne-fonciere-et-multimmobilier-2/ A compter du 9 février 2018, le délai de jouissance des SCPI Epargne Foncière et Multimmobilier 2 évolue Le délai de jouissance des SCPI Epargne Foncière et Multimmobilier 2 évolue selon les modalités suivantes :

    Délai de jouissance applicable
    aux parts émises avant le
    9 février 2018
    Délai de jouissance applicable
    aux parts émises à compter du
    9 février 2018 
    Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du mois qui suit le mois de souscriptionLes parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4e mois qui suit le mois de souscription

     

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    news-922 Mon, 12 Feb 2018 12:07:00 +0100 Une visite de l'ICM au programme pour nos partenaires /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-visite-de-licm-au-programme-pour-nos-partenaires/ Nos partenaires Conseillers en Gestion de Patrimoine ont eu la chance de visiter l'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM) à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Au cours de cette visite privée, menée par Albin Gaudaire, Directeur du Mécenat, il leur a été présenté l'Institut, les start-ups incubées par l'ICM ainsi qu'une application concrète des dons reçus, notamment à travers la SCPI Pierval Santé.

    Durant cette visite, Margot Morgiève, chercheuse en sciences sociales de la santé mentale à l'ICM, a également pu présenter une application concrète des dons que l'ICM reçoit. Elle a ainsi présenté une solution alliant à la fois intelligence artificielle et nouvelles technologies permettant d’améliorer la vie quotidienne des personnes souffrant de Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC). Cette application permet de mettre en lumière l’avancée technologique de l'ICM dans la recherche médicale.

    L’ICM est un centre de recherche à dimension internationale, réunissant malades, médecins et chercheurs dans le but de mettre en place rapidement des traitements contre les lésions du système nerveux afin de les appliquer sur les patients. Un enjeu à la fois scientifique et médical.

    La SCPI Pierval Santé, commercialisée par La Française et gérée par Euryale Asset Management, s'engage à reverser annuellement une quote-part des frais de collecte au profit de l'ICM.

    N’oubliez pas que chaque don à titre privé / personnel permet, au-delà de notre partenariat avec l’ICM, de faire avancer rapidement la recherche et accélérer la découverte de traitements innovants mis au service des patients.

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    news-920 Thu, 08 Feb 2018 09:45:52 +0100 L’inflation salariale américaine est sortie vendredi dernier à +2,9% sur 12 mois contre +2,6% attendu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-inflation-salariale-americaine-est-sortie-vendredi-dernier-a-2-9-sur-12-mois-contre-2-6-attendu/ Un seul sujet la semaine dernière : les marchés de taux !

    Le 10 ans américain n’en finit plus de monter : 2,65% à fin janvier et 2,85% vendredi dernier, le plus haut depuis 2014. Le 10 ans allemand suit le mouvement et passe de 0,63% à 0,75%, le plus haut depuis 2015. Les raisons de ce mouvement ?

    • Réunion de la Fed plutôt rigide. Le ton du communiqué était plus confiant sur l’inflation ;
    • Chiffres économiques toujours bien orientés (confiance consommateur, conference board, PMI chinois, ISM Manufacturier…) ;
    • Mais le chiffre le plus important de la semaine dernière est l’inflation salariale américaine qui sort vendredi dernier à +2,9% sur 12 mois contre +2,6% attendu. Jusqu’à maintenant, les salaires n’avaient pas beaucoup monté aux Etats-Unis et leur accélération fait craindre aux investisseurs une accélération de l’inflation et un resserrement plus fort de la Fed.

    Les marchés actions, qui avaient été jusque-là relativement insensibles à la hausse des rendements obligataires, ont nettement corrigé la semaine dernière. A priori rien à voir avec les annonces de résultats, toujours très bien orientées (+15% de croissance des résultats sur 12 mois en zone euro par exemple). 

    Donc l’interrogation est de savoir où s’arrêteront les taux ?

    • Sur les taux courts, nous trouvons que l’évaluation du marché reflète déjà assez bien la très bonne tenue des indicateurs macroéconomiques et ce qu’ont signalé les différentes banques centrales. A moins d’imaginer un changement radical de discours, nous pensons qu’il reste assez peu de place à une réévaluation des politiques monétaires. Ce changement nous semble difficilement envisageable car il viendrait ajouter davantage de volatilité à des marchés déjà très agités, et il pourrait entamer la crédibilité des banques centrales longuement acquise ;
    • Sur les taux longs, la question est plus ardue. Les facteurs désinflationnistes de long terme restent largement valables : démographie, taux d’endettement élevé des Etats et des ménages, concurrence accrue avec l’explosion d’internet. Par ailleurs, de nombreux assureurs et fonds de pension aux passifs très longs ne devraient pas tarder à émerger pour profiter de niveaux de taux plus attractifs. Le marché peut toujours continuer à s’emballer, mais de notre côté les valorisations nous semblent aujourd’hui plus attractives (3,1% pour un taux 5 ans américain dans 5 ans).

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

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    news-918 Wed, 07 Feb 2018 18:03:56 +0100 LF Opportunité Immo, une SCPI innovante /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-opportunite-immo-une-scpi-innovante/ Découvrez en un clic LF Opportunité Immo, une SCPI investie en locaux d’activités Découvrez en un clic LF Opportunité Immo, une SCPI investie en locaux d’activités :

    > En savoir plus sur la SCPI LF Opportunité Immo

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    news-917 Wed, 07 Feb 2018 16:59:01 +0100 Les Rencontres de Raspail - Nouvelle année, nouvelle formule ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-rencontres-de-raspail-nouvelle-annee-nouvelle-formule/ Mardi soir, La Française a inauguré les Rencontres de Raspail avec ses Clients Privés.

    Les équipes de la Gestion Privée du Groupe La Française ont convié leurs clients à partager leurs perspectives pour 2018. 

    Au programme : 

    • Point sur la situation économique dont seul Michel DIDIER, président de COE-Rexecode, a le secret 
    • Décryptage complet des évolutions fiscales avec l’Ingénieur Patrimonial, Lara LEVEQUE, abordant :  
      • les impacts du passage au prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu, 
      • le regain d’attractivité du dispositif PEA 
      • et les spécificités du nouvel Impôt sur la Fortune Immobilière
    • Présentation de la nouvelle offre immobilière du Groupe La Française par Jacques BELLAMY-BROWN, Directeur du pôle Gestion Privée
    • Cocktail dînatoire durant lequel les invités ont pu échanger avec les intervenants 

    La Française remercie ses invités pour ce gage d’intérêt pour les thématiques abordées.

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    news-916 Tue, 06 Feb 2018 14:03:54 +0100 Les indices boursiers sont en baisse de 5%, le Vix explose à la hausse… /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-indices-boursiers-sont-en-baisse-de-5-le-vix-explose-a-la-hausse/ Les investisseurs semblent gagnés par la panique alors que les fondamentaux continuent de surprendre à la hausse. Notre analyse

    Lundi, le S&P 500 a baissé de -4.1%, ce qui est sa pire performance quotidienne depuis le 18 aout 2011. Tous les indicateurs montrent que cette baisse est liée à un excès de positionnement, dans la foulée de la baisse de la semaine dernière. En effet, les fondamentaux restent robustes tant sur le plan macroéconomique (l’ISM américain et le PMI européen étaient très forts) que microéconomique avec des résultats des entreprises qui surprennent positivement les attentes des investisseurs. Toutes les zones géographiques ont été impactées avec des baisses des indices boursiers d’ampleurs similaires ce matin. La hausse des rendements obligataires a pu également contribuer à fragiliser certaines stratégies systématiques.

    La hausse de l’indice de volatilité VIX a été exacerbée par rapport aux autres actifs financiers à cause d’ajustements de stratégies systématiques vendeuses de futures sur le VIX. Ce dernier a connu la hausse la plus importante de son histoire (+20 points). Le niveau actuel du VIX implique une variation quotidienne moyenne de 2% du S&P 500, ce qui représenterait un changement radical par rapport à l’environnement de faible volatilité qui prévalait jusque-là. A titre de comparaison, la baisse du S&P de vendredi était la première supérieure à 2% depuis 2016. La volatilité réalisée en 2018, quoique élevée à 18%, ne justifie pas le niveau actuel du VIX.

    La question actuelle est de savoir si la hausse de la volatilité de lundi a nettoyé les positions vendeuses de volatilité ou si il en reste à déboucler.

    Les stratégies systématiques (volatilité ciblée, risk parity, CTA…) pourraient contribuer à plus de ventes dans les prochains jours. Ceci dit, et même si à très court terme la volatilité devrait rester élevée, il y a une divergence importante entre les fondamentaux, tous très bons, et les prix des actions au cours des derniers jours. Nous pensons donc que la correction de marché est une opportunité d’achat à moyen terme.

     

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    news-914 Fri, 02 Feb 2018 11:26:56 +0100 Evolution des modalités de souscription de la SCPI Epargne Foncière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/evolution-des-modalites-de-souscription-de-la-scpi-epargne-fonciere/ Les modalités de souscription de la SCPI Epargne Foncière évoluent.

    A compter du 2 février 2018, le prix de souscription de la SCPI Epargne Foncière augmente de 1,91 % et composé de la manière suivante :

    • Valeur nominale : 153 €
    • Prime d'émission : 647 €

    Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 800 €

    dont 60,00 € HT, soit  72,00 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,50 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur)

    • Valeur de retrait : 740 €

     Nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur commercial pour tout complément d’information. 

    Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.

    Epargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n°17-33 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°116 du 27 septembre 2017 et n°12 du 26 janvier 2018.

    La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)

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    news-912 Fri, 02 Feb 2018 09:46:35 +0100 Alger on the money - L’empire du numérique influence positivement les utilisateurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-lempire-du-numerique-influence-positivement-les-utilisateurs/ Les entreprises du numérique bénéficient des effets de réseau, c’est-à-dire de la hausse de leur valeur commerciale pour chaque nouvel utilisateur conquis. Ce concept s'appliquait aussi au téléphone à ses prémices, et à Internet à l’heure actuelle. Avant d’investir dans les grandes entreprises d’Internet, il est primordial de bien comprendre l'ampleur et les taux de croissance que les effets de réseau leur apportent.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-911 Fri, 02 Feb 2018 09:20:51 +0100 Impact Investing – une dynamique portée par des changements réglementaires /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/impact-investing-une-dynamique-portee-par-des-changements-reglementaires/ L’article 173 de la loi sur la transition énergétique oblige les investisseurs institutionnels et les gérants à analyser leur portefeuille sous l’angle des critères extra-financiers et de la lutte contre le réchauffement climatique. Ce texte constitue une réelle opportunité pour les fonds à impact, dont les objectifs sont non seulement financiers, mais aussi sociaux ou environnementaux.

    « Le problème de l’accès à l’information se pose aux gérants dans tous les domaines. Les entreprises peuvent tout autant nous tromper sur leurs engagements en matière d’évolution de cash-flows (flux de trésorerie) que de lutte en matière de réchauffement climatique. Nous avons l’habitude en tant que gérant de traiter ce type de sujets, de retravailler les données. Par ailleurs, depuis un an et les premiers travaux pour se mettre en conformité avec l’article 173, les entreprises comme l’ensemble de l’écosystème financier ont évolué. Il existe de plus en plus d’officines qui proposent des méthodologies, dialoguent avec les entreprises et les incitent à modifier leurs pratiques. Les méthodes et les mesures progressent. A terme, des normes vont émerger. En attendant, nous pouvons déjà évaluer les choix faits en matière de transition énergétique par les entreprises : critiquer certains process, privilégier d’autres. De nombreuses études démontrent maintenant que les sociétés qui sont bien gérées du point de vue des critères extra-financiers, et pas seulement financiers, enregistrent une meilleure performance boursière. D’un point de vue statistique, nous pouvons par exemple démontrer que depuis 2014, les entreprises qui émettent le moins de carbone ont enregistré une meilleure performance boursière que la moyenne. Les flux de capitaux vont s’orienter en priorité vers ces sociétés, elles auront plus de facilité à se financer que leurs homologues, une meilleure rentabilité et des cash-flows plus conséquents, ce qui incitera les autres à améliorer leurs pratiques et à diffuser des informations plus précises. »

    Pour retrouvez l’ensemble des prises de parole de Laurent Jacquier Laforge, Responsable de la gestion actions de La Française dans le Grand Débat Impact Investing paru lundi 29 janvier dans Option Finance, cliquez ici

     

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    news-908 Fri, 26 Jan 2018 15:51:04 +0100 L’approfondissement sociétal s’impose naturellement dans la nouvelle économie digitale... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-approfondissement-societal-s-impose-naturellement-dans-la-nouvelle-economie-digitale/ Comment éviter Jeremy Rifkin, l’homme de « La Troisième Révolution Industrielle », le chantre de l’énergie décentralisée, économiste et essayiste influent, lorsqu’il explicite dans son dernier ouvrage « La nouvelle Société du Coût marginal Zéro » le grand changement de paradigme que constitue l’émergence de l’économie sociale et solidaire à côté de l’économie capitaliste.

    L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.

    Son argumentaire repose sur les travaux des marginalistes autrichiens, tels que Friedrich Hayek, mais aussi sur les travaux de Frédéric Bastiat : en économie capitaliste de marché le profit se fait à la marge, que se passe-t-il donc si les coûts marginaux de production s’effondrent et tendent vers zéro ? Cette question est née de l’observation que la digitalisation permet la production et la distribution de nombreux biens et services à coût marginal quasi-nul dans de nombreux domaines qui relèvent de l’économie de la connaissance : édition, communication, divertissement, entre autres. L’Internet des objets ne fera que renforcer cette tendance. Sachant qu’à long terme le prix est égal au coût marginal, les profits disparaissent et les salaires par la même occasion. Et pourtant la demande de ces biens et services ne fait que croître, alors comment les produire ? Par les « communaux collaboratifs » répond Jeremy Rifkin, ceux ci sont des organisations qui regroupent des ressources communes et les utilisent collectivement en dehors de l’économie de marché. Utopie ? Peut-être mais des millions de ces communaux existent déjà : associations, fondations, clubs, coopératives, collectivités de toute sorte, qui sont finalement le pendant des Gafa, ces géants supranationaux de l’Internet, et se nourrissent du même terreau : la digitalisation. L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.

    Dans cette vision optimiste, l’économie ne se résumera plus au dilemme entre le marché et l’Etat et les craintes de l’économiste hongrois Karl Polanyi que le marché autorégulateur conduise à un désencastrement de l’économique et du social propice à un réflexe protectionniste dans la société resteront lettre morte.

    L’avenir du capital social serait donc brillant, il n’en est finalement pas de même pour l’environnemental qui pourtant fait tellement parler de lui. Anne-Caroline Prévot, Directrice de recherche CNRS au Centre d’Ecologie du Museum d’Histoire Naturelle, apporte un éclairage dérangeant mais explicatif des revirements sur les Accords de Paris. Il s’agit de l’amnésie environnementale prédominante dans nos sociétés sans que nous en ayons pleinement conscience. Ce concept repose sur l’hypothèse suivante : l’environnement naturel dans lequel nous grandissons constitue pour chacun d’entre nous la référence d’une nature « normale » et c’est à partir de ce niveau que nous mesurons les évolutions de la nature plus tard dans nos vies. L’engrenage est en place : de génération en génération l’urbanisation et les dégradations de l’environnement augmentent mais chaque nouvelle génération considère le niveau dégradé de cette nature comme un niveau « normal ». Cette extinction de l’expérience de nature rend difficile l’appréhension des impératifs de préservation, tels que la biodiversité par exemple. Anne-Caroline Prévot illustre le propos par un exemple amusant : en étudiant les dessins animés Disney depuis 1937, révélateurs de ce que nos sociétés occidentales ressentent de la nature, elle a observé que plus on avance dans le temps plus le nombre et la durée de scènes dans des paysages naturels diminuent, plus le nombre d’espèces animales s’atrophie. A partir des années 1980 la végétation a même complètement disparu !

    Ce numéro de Stratégies et Durabilité offre, comme il est d’usage, un condensé de l’actualité sur l’investissement socialement responsable qui a retenu notre attention et décrit les développements du Groupe La Française dans ce domaine. Le « One Planet Summit » est le point d’orgue de ce dernier semestre riche de nouvelles initiatives, dont beaucoup sont à mettre au crédit du Groupe La Française comme vous vous en rendrez compte au fil des pages.

    En savoir plus, téléchargez le dernier numéro de Stratégies et Durabilité.

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    news-901 Thu, 25 Jan 2018 09:22:22 +0100 Le taux des obligations américaines à 5 ans se situe à 2,44%, niveau le plus élevé depuis 7 ans /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-taux-des-obligations-americaines-a-5-ans-se-situe-a-2-44-niveau-le-plus-eleve-depuis-7-ans/ Les marchés financiers étaient fermés le lundi 15 janvier aux États-Unis pour cause de "Martin Luther King day". La semaine dernière ne restera pas dans les annales.

    Les tendances en place restent toutefois les mêmes :

    • Légère tension sur les taux américains (+6bps) et rien à signaler sur les taux Euro ;
      • Nous sommes à 2,44% sur les taux américains à 5 ans, niveau inconnu depuis 7 ans. Le marché prévoit aujourd’hui plus de 3 hausses de taux aux États-Unis pour l’année 2018 dont 2 hausses avec plus de 60% de probabilité pour le mois de juin 2018. Cela ne laisse que peu de marge d’erreur en cas de surprise. De quelles surprises peut-il s’agir ?
      • Une croissance plus faible qu’attendu au T1, ce qui arrive régulièrement aux États-Unis (pour des raisons climatiques souvent), raison pour laquelle on assiste fréquemment à une tension obligataire au T4 / T1 pour revenir ensuite ;
      • Un retournement du pétrole : le prix du baril a franchi les 70$ pour la 1ère fois depuis 2015 pour des raisons qui sont parfois conjoncturelles. Cela pourrait se retourner, surtout avec un marché très acheteur de pétrole.
    • Hausse des marchés actions, +1% environ la semaine dernière.

    Côté macroéconomie, pas énormément de chiffres à commenter :

    • La plupart des chiffres viennent de Chine : une croissance au-dessus des attentes sur le T4 à 6,8%, des ventes au détail très légèrement en dessous mais toujours autour de 10% sur 12 mois et une production industrielle légèrement au-dessus. Bref, rien à signaler, tout va bien ;
    • Production industrielle américaine très au-dessus des attentes mais chiffre révisé à la baisse sur le mois précédent. Au total, c’est légèrement positif ;
    • Mauvais chiffres immobiliers aux États-Unis avec les mises en chantier très décevantes ;
    • Et enfin, hausse de taux au Canada, comme prévu par le marché.

    Dernier point, la saison des résultats est lancée aux États-Unis et pour le moment, c’est tout bon !

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-900 Wed, 24 Jan 2018 10:53:36 +0100 Perspectives et Convictions 2018 par Pascale Auclair /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/perspectives-et-convictions-2018-par-pascale-auclair/ Perspectives et convictions sur l'évolution des taux et des actions pour l'année 2018.

    L’année 2017 s’est terminée sur un rythme de croissance supérieur à celui anticipé en début d’année du fait d’une accélération en Zone Euro, au Japon et en Chine.

    Il ne nous semble pas y avoir de raisons pour que l’année 2018 ne soit pas elle aussi bien orientée :

    Les indicateurs avancés des principales zones sont sur des niveaux élevés et indiquent une croissance mondiale de l’ordre de 4% pour les prochains trimestres, soit le rythme le plus important depuis 2010. 
    Cette croissance apparait aujourd’hui beaucoup plus synchrone que lors des années précédentes. Sur les 25 principales économies mondiales, 24 sont aujourd’hui en territoire d’expansion. 
    Les perspectives des zones émergentes sont bonnes, et ce malgré le fléchissement anticipé de l’activité chinoise. 

    Les pressions inflationnistes restent elles très faibles, que ce soit en zone Euro, aux Etats-Unis ou dans le monde émergent. Les facteurs soutenant cette tendance seront encore là en 2018 mais certains aspects militent pour une accélération :

    • Le rebond des prix des matières premières,
    • L’amorce d’un cycle d’inflation salariale
    • L’amorce d’un cycle d’inflation salariale induite par les taux de chômage des pays industrialisés, proches désormais de leur niveau d’équilibre. 

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    news-893 Tue, 23 Jan 2018 10:08:37 +0100 Les encours de la stratégie Alger Small Cap Focus franchissent les 650 millions USD /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-encours-de-la-strategie-alger-small-cap-focus-franchissent-les-650-millions-usd/ La SICAV Alger Small Cap Focus affiche désormais plus de 50 millions USD d’actifs sous gestion

    La Française, groupe international et multi-spécialiste de gestion d’actifs avec plus de 65 milliards d’euros sous gestion, et Fred Alger Management, Inc. (« Alger »), société de gestion d'actifs new-yorkaise leader dans l’investissement sur les valeurs de croissance, sont fiers d’annoncer que les encours de la stratégie Alger Small Cap Focus ont dépassé les 650 millions USD et que la SICAV-Alger Small Cap Focus Fund, (le « Fonds ») a atteint 52,3 millions USD d'actifs gérés.

    Le fonds est caractérisé par un portefeuille ciblé comptant généralement moins de 50 valeurs à forte conviction. La philosophie du gérant, Amy Zhang, est étayée par la performance solide qu’a enregistré le fonds depuis son lancement. Au 31 décembre 2017, ce dernier avait en effet surperformé son indice de référence (le Russell 2000 Growth) de plus de 450 pb depuis sa création et de plus de 700 pb depuis le début de l’année. La durée de placement recommandée pour le fonds Alger SICAV—Alger Small Cap Focus est de plus de cinq ans.

    Amy Y. Zhang, CFA, Senior Vice President de Fred Alger Management, Inc., (le gestionnaire de portefeuille délégué de la SICAV Alger) possède 22 années d’expérience de l’investissement et est une spécialiste des actions de croissance de petite capitalisation. Elle se focalise sur des petites entreprises qu’elle juge exceptionnelles, et qui ont le potentiel de devenir de grandes entreprises tout en conservant leurs atouts uniques. 

    « Nous recherchons des sociétés à la pointe de l’innovation, qui sont susceptibles de transformer leur secteur et de bousculer l’ordre établi », affirme Amy Zhang. Elle ajoute : « Notre objectif est d’identifier des opportunités dans les secteurs de croissance, tels que les technologies et la santé. » Amy est appuyée par une équipe dédiée de quatre analystes (et peut compter sur les ressources de l’équipe d’investissement d’Alger comptant plus de 50 collaborateurs), qui fournissent une recherche bottom-up, fondamentale et originale afin de dénicher des opportunités à haute conviction parmi les sociétés de petite capitalisation. Tous les membres de l'équipe d’investissement suivent la philosophie d'investissement d’Alger mise en œuvre depuis plus de 50 ans consistant à investir dans les sociétés qui connaissent un « changement dynamique positif ».

    Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International, a déclaré : « La stratégie d’Amy Zhang de miser sur un portefeuille ciblant les « meilleures idées » se démarque clairement des autres fonds axés sur les petites capitalisations, ce qui la rend particulièrement attractive pour les investisseurs européens. »

    La Française et Alger collaborent depuis 2015 sur le plan de la distribution de fonds, du développement de marché et de la diversification de produit. 

    Alger SICAV, véhicule OPCVM de droit luxembourgeois, permet aux investisseurs résidant en dehors des États-Unis d’accéder au Fonds sur des classes libellées en dollar et en euro (couvert). Alger s’est associé à La Française dans le cadre de la distribution des compartiments d’Alger SICAV en Europe continentale.

     

    Avertissement

    Ceci est un document promotionnel. Ce communiqué de presse s’adresse à la clientèle professionnelle au Royaume-Uni et dans la CE uniquement. Les informations contenues dans ce communiqué ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. La valeur des investissements et des revenus peuvent fluctuer (cela peut en partie être le résultat des fluctuations des taux de change) et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant total des capitaux investis. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leur évolution. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer d’autres sociétés de gestion. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française AM International a conclu un accord avec Alger Management Ltd l’autorisant à distribuer les produits de Fred Alger Management Inc. en Europe

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    news-891 Wed, 24 Jan 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners achète auprès du Groupe Altarea Cogedim une résidence services seniors à Puteaux (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-achete-aupres-du-groupe-altarea-cogedim-une-residence-services-sen-1/ La Française Real Estate Partners acquiert en VEFA, auprès du Groupe Altarea Cogedim, une résidence services seniors située à Puteaux.

    La résidence sera exploitée par Cogedim Résidences Services sous la marque « Cogedim Club » dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois. La livraison est prévue au quatrième trimestre 2019. Cette acquisition est réalisée dans le cadre d’un mandat pour le compte de l’Erafp.

    L’ensemble immobilier sera composé de 75 logements meublés (du T1 au T3) et développera près de 4 120 m² sur 5 niveaux dont plus de 400 m² d’espaces communs. Il disposera également de 19 emplacements de stationnement. 

    Idéalement située au cœur de Puteaux, la résidence profitera à tous les seniors du bassin de population de l’ouest parisien où la demande est forte. «Nous sommes très heureux de l’acquisition de cette résidence senior située dans un endroit stratégique de la région parisienne qui facilitera le rapprochement familial des seniors.» précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Pierre MICHEL (PMI) sur les aspects techniques. Les vendeurs étaient conseillés par l’Etude ALEXANDRE DECHIN DEVRIENDT et HOANG sur les aspects notariaux et par le cabinet Blatter, Seynaeve & associés pour les aspects juridiques et fiscaux.

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    news-884 Fri, 19 Jan 2018 15:47:09 +0100 Les modifications fiscales 2018 qui vous concernent /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-modifications-fiscales-2018-qui-vous-concernent/ Remaniement de la taxe d’habitation...

    A compter de 2018, un nouveau dégrèvement est mis en place progressivement, en fonction du revenu fiscal de référence du contribuable. Pour 2018, le dégrèvement sera de 30 %, puis de 65 % en 2019, pour être totalement supprimée en 2020.

    Réduction des cotisations 

    Les cotisations salariales maladie et chômage prélevées sur les salaires sont supprimées. La cotisation maladie de 0,75 % est supprimée dès janvier, alors que la cotisation chômage sera abaissée en deux temps, de 1,45 point en janvier et de 0,95 point en octobre.  

    Hausse de la contribution sociale généralisée (CSG)

    La CSG augmente de 1,7 point. Cette hausse concerne tous les salaires, mais aussi les revenus du patrimoine ou encore les produits de placements.

    • La baisse puis l’exonération de la taxe d’habitation ainsi que la réduction des cotisations devraient participer à une hausse du pouvoir d’achat mais cette hausse sera compensée par l’augmentation de la CSG.  

    Prélèvement forfaitaire unique

    Les revenus mobiliers et les plus-values de cessions de titres des particuliers sont soumis désormais à un prélèvement forfaitaire unique (PFU). Le PFU, aussi appelé « flat tax », consiste en une imposition à l’impôt sur le revenu à un taux forfaitaire unique de 12,8 % auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux de 17,2 %, soit une taxation globale à 30 %.

    Les contribuables pourront toutefois renoncer à cette modalité de taxation et opter sur l’ensemble de leurs revenus au barème progressif.

    • La flat tax, avec un taux à 12,8% comparée à la première tranche de l’impôt sur le revenu de 14%, confirme l’allègement de l’impôt.    

    Déductibilité des prélèvements sociaux

    Les prélèvements sociaux sur les revenus du placement et les revenus du patrimoine sont portés de 15.5% à 17.2%.

    La fraction de CSG déductible passe donc de 5.1% à 6.8% lors de la liquidation de l’impôt sur le revenu dû au titre de 2018.

    • La CSG est déductible de l’impôt sur le revenu à hauteur de 6,8% mais elle n’est pas déductible lorsqu’elle s’applique aux revenus soumis au prélèvement forfaitaire unique.

    La CSG appliquée aux revenus du placement et aux revenus du patrimoine n’est déductible de l’impôt sur le revenu qu’en cas d’option pour le barème.    

    Prélèvement forfaitaire unique et assurance vie

    Il n’y aucun changement pour les produits afférents à des versements antérieurs au 27 septembre 2017, il est donc maintenue une imposition à l’impôt sur le revenu ou au prélèvement forfaitaire libératoire au taux de 35%, 15% ou 7.5%, auxquels s’ajoutent les prélèvements sociaux au taux de 17.2%.

    En revanche, les produits issus des versements postérieurs au 27 septembre 2017 sont soumis à la flat tax de 30%.

    Il existe une dérogation pour les contrats de plus de 8 ans : le taux forfaitaire dérogatoire de 7,5 % continuera de s’appliquer lorsque le montant total des encours, net des produits, détenus par l’assuré sur l’ensemble de ses contrats n’excède pas un seuil de 150 000 € pour une personne seule ou 300 000 € pour un couple.

    • Il reste intéressant de souscrire un nouveau contrat après le 27 septembre 2017 et d’effectuer des rachats en priorité sur ce dernier car ils seront soumis à la flat tax qui est inférieure au taux du prélèvement forfaitaire libératoire jusqu’à présent applicable.  

    Impôt sur la Fortune Immobilière

    A compter de 2018, l’ISF est supprimé et remplacé par l’impôt sur la fortune immobilière (IFI), dont l’assiette est limitée aux actifs immobiliers détenus par le redevable au 1er janvier de l’année. Sont concernés tous les biens et droits immobiliers détenus directement par le redevable mais également les titres de sociétés (exemple : SCPI, OPCI) à hauteur de la valeur représentative de tels biens immobiliers, y compris lorsqu’ils sont détenus via un contrat d’assurance-vie.

    Pour le reste, peu de changement : le seuil d’entrée reste fixé à 1 300 000 €, l’abattement de 30 % sur la résidence principale est maintenu, le barème reste inchangé et la réduction ISF-dons est conservée, de même que le dispositif de plafonnement. La réduction ISF-PME est en revanche supprimée. Toutefois, les versements éligibles effectués entre la date limite de déclaration 2017 et le 31 décembre 2017 peuvent être imputés sur l’IFI dû au titre de 2018.

    • L’impôt de fortune immobilière devient un moyen de limiter la pression fiscale puisque les actifs financiers ne seront plus taxables en 2018.   

    Prélèvement à la source

    Le Conseil constitutionnel a jugé conforme à la Constitution la loi de finances rectificative pour 2017 qui aménage la réforme du prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu. Les modalités d'imposition pour 2018 resteront donc inchangées par rapport à celles en vigueur en 2017, les dispositifs concernant l'année de transition étant simplement reportés d'un an.

    L'impôt sur le revenu sera prélevé en 2018 sur les revenus de 2017 et en 2019 sur les revenus de 2019, mais il n'y aura pas de double prélèvement en 2019 sur les revenus 2018. Un crédit d'impôt spécifique applicable sur les revenus de 2018 sera calculé automatiquement par l'administration fiscale. Attention tout de même, les autorités ont mis en place un dispositif très strict afin d’éviter les abus. Les revenus considérés comme “exceptionnels” resteront en effet imposés, comme par exemple, les indemnités versées pour dédommager un changement de résidence ou de lieu de travail, les sommes liées à la participation et l’intéressement non placées sur un plan d’épargne salariale, les sorties en capital de produits d’épargne comme le Perp. 

    • Une clause de la loi de finances rectificative pour 2017 prévoit de taxer toutes les « gratifications surérogatoires » touchées en 2018. Un mot nouveau que les fiscalistes ont dû aller chercher dans le dictionnaire pour comprendre que cela visait « tout ce qui va au-delà de ce qui est nécessaire ».

    En conclusion, la tendance est généralement plus favorable mais chaque situation supposera une analyse plus précise pour déterminer le sort que réservent à chacun les réformes de 2018. Toutes ces évolutions sont l’occasion de revoir les opérations patrimoniales déjà réalisées pour les réajuster de façon cohérente. Nous nous tenons à votre disposition pour vous conseiller sur ces nouvelles opportunités.

    Lara LEVESQUE
    Responsable Ingénierie Patrimoniale
    Groupe La Française

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    news-881 Fri, 19 Jan 2018 10:08:53 +0100 Alger on the money - Cloud Computing : le septième ciel /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-cloud-computing-le-septieme-ciel/ Le cloud computing (informatique en nuage), qui permet aux particuliers et aux entreprises d’accéder à partir de n’importe quel appareil à des ressources partagées, apporte d’importantes économies d'échelle. Ces économies créent un véritable cercle vertueux grâce à une réduction des coûts et une hausse des revenus, encourageant ainsi la technologie à poursuivre son développement rapide dans le temps.

    Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-880 Thu, 18 Jan 2018 18:25:56 +0100 Information aux porteurs de parts de l'OPCI CERENICIMO+ /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/information-aux-porteurs-de-parts-de-lopci-cerenicimo/ Nomination des membres du Conseil de Surveillance

    Après clôture de l’appel à candidature lancé en date du 4 octobre 2017

    • Monsieur Jean-Luc BRONSART
    • Monsieur Philippe Georges DESCHAMPS
    • Monsieur Guillaume MAISSE

    Ont été nommés en qualité de membres du Conseil de Surveillance de LF CERENICIMO+ pour une durée de trois ans. 

     

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    news-878 Fri, 19 Jan 2018 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) renforce son expertise dans les parcs d’activités, avec l’acquisition d’EVERLAND à Genas (69) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-renforce-son-expertise-dans-les-parcs-dactivites-avec-lac/ La Française Real Estate Managers a acquis en VEFA, le parc d’activité « EVERLAND » auprès d’Icade.

    L’acquisition, qui porte sur deux bâtiments et dont la livraison est prévue pour juillet 2018, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Opportunité Immo et se situe à Genas, à proximité de l’A43-A46 et de l’aéroport et la gare Lyon Saint-Exupéry.

    Conçu par Soho-Architectures, le parc d’activités « EVERLAND » est une opération mixte d’activités et de bureaux nouvelle génération et offre une surface totale de 2 440 m² et 34 emplacements de parking. Il se situe sur la zone d’activités everEst Parc, entre le pôle économique Mi-Plaine, le parc d’expositions Eurexpo Lyon et les divers sites économiques des communes voisines et profite ainsi du dynamisme du secteur. everEst Parc est certifié depuis mars 2013 HQE Aménagement.

    La Française REM et Icade étaient assistés par l’étude MONTRE (Guillaume CARTIER), l’étude ALCAIX et associés (Maitre Amaury GASCHIGNARD) et SOROVIM.

     

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    news-877 Thu, 18 Jan 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners acquiert la future Résidence Services pour seniors « La Girandière » à Saint Germain-en-Laye (78) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-la-future-residence-services-pour-seniors-la-girandiere/ La Française Real Estate Partners acquiert auprès de Demathieu Bard Immobilier et Réside Etudes (en copromotion) une résidence services seniors en VEFA située à Saint-Germain-en-Laye (78), pour le compte de l’OPPCI (Organisme Professionnel de Placement Collectif Immobilier) LF Résidence Seniors.

    La résidence sera exploitée par Réside Etudes Seniors sous sa marque La Girandière (Groupe Réside Etudes) dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois.

    L’ensemble immobilier sera composé de 58 logements meublés (du T1 au T3) et développera 2 545 m² habitables sur 5 niveaux et 720 m² d’espaces communs et commerces. Il disposera également de 24 emplacements de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au premier trimestre 2020.

    La future résidence sera située au Nord-Ouest de la ville de Saint-Germain-en-Laye, au sein de l’éco-quartier Lisière Pereire, réaménagé par la ville de Saint-Germain-en-Laye, en lisière de forêt. Le projet de développement de l’éco-quartier comprend la réalisation de 5 000 m² de bureaux, 400 logements, une crèche, une résidence hôtelière, un EPHAD, 100 logements étudiants, des commerces ainsi que la résidence services seniors. 

    L’immeuble bénéficiera d’une bonne desserte en transports en commun grâce à la proximité immédiate de la gare « Saint-Germain-en-Laye Grande Ceinture » desservie par la ligne L et l’arrivée de la future ligne de Tram 13 en 2020.

    « Nous sommes très fiers de cette première acquisition d’une résidence services pour seniors exploitée par Réside Etudes Seniors, qui représente également la première vente en bloc pour seniors du groupe Réside Etudes à un investisseur institutionnel », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et SLS Ingénierie sur les aspects techniques. 

    Les vendeurs étaient conseillés par l'étude Michelez Notaires. 

    L’architecte de l’opération est l’agence: Lehoux-Phily-Samaha.

     

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    news-872 Tue, 16 Jan 2018 10:10:09 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) renforce sa présence à Nantes (44) avec l’acquisition du Vendôme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-renforce-sa-presence-a-nantes-44-avec-lacquisition-du-ven/ La Française Real Estate Managers a acquis auprès du Groupe Lamotte, pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) Multimmobilier 2, un immeuble de bureaux situé à Euronantes, au sein de la ZAC du Pré-Gauchet sur l’ilot 1F.

    L’actif bénéficiera d’une proximité immédiate avec la Gare de Nantes et sera accessible depuis le boulevard Stalingrad.

    Le Vendôme développera une surface utile de 6 979 m² répartie en R+8, dont 6 716 m² de bureaux et 263 m² de commerces. Il offrira 56 places de stationnement dont 24 automatisées. 

    L’ensemble immobilier, dont la livraison est prévue en juillet 2019, vise une certification BREEAM Very Good.

    La Française REM et le Groupe Lamotte étaient conseillés par Tourny Meyer et respectivement par l’étude Oudot & Associés et par l’étude Jean-Martial Nicolas.

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    news-871 Mon, 15 Jan 2018 12:05:18 +0100 Une année 2018 aussi bonne que 2017 ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-annee-2018-aussi-bonne-que-2017/ L’environnement macroéconomique anticipé pour 2018 constitue un soutien important pour les marchés actions mondiaux et laisse présager une nouvelle performance positive après une excellente année 2017.

    La croissance mondiale synchronisée de l’ordre de 4 % supportera l’activité et les marges des sociétés. Les résultats par actions devraient ainsi croître d’environ 10 % et rester synchronisés entre les zones géographiques.

    Au-delà d’une accélération de l’activité mondiale, les résultats par actions devraient progresser aux Etats-Unis grâce à la croissance du revenu disponible des ménages et à la réforme fiscale actuellement finalisée par les chambres. Cette progression des bénéfices devrait au moins partiellement compenser la normalisation de la politique monétaire américaine engagée par la Fed.

    Les profits des sociétés européennes, et plus particulièrement ceux des entreprises de la zone euro, devraient progresser à un rythme supérieur à 10 % grâce à la fois à l’accélération de l’activité et à la sensibilité positive de la zone euro à la croissance des pays émergents.

    Nous resterons néanmoins attentifs :

    • Aux ruptures de tendances que la digitalisation de l’économie engendre et qui affectent un secteur d’activité dans son ensemble lorsqu’elles se révèlent.
    • A la vigueur de l’Euro pour les sociétés européennes exportatrices dont la trajectoire bénéficiaire serait entachée par une devise trop forte.

    Nous pensons toujours que les secteurs de croissance devraient avoir la faveur des investisseurs même si nous pourrions enregistrer des rebonds ‘techniques’ et occasionnels des secteurs faiblement valorisés.

    La progression visible de la production industrielle soutiendra avec le décalage habituel de l’ordre de 12 à 18 mois les investissements qui sont restés en deçà des attentes en 2017. C’est en cela que les différentiels de croissance entre les secteurs doivent être significatifs avec une préférence pour les valeurs technologiques et industrielles.

    Nous privilégions les entreprises engagées dans une politique soutenue d’investissement avec une rentabilité significativement supérieure au coût du capital.

    Quels sont les éléments auxquels nous restons attentifs dans ce scénario plutôt constructif à l’aube de cette année 2018 ?

    Outre les tensions géopolitiques, les points d’attention sont ceux liés à la normalisation des politiques monétaires des principales banques centrales et notamment la diminution du flux des liquidités à partir de 2018. La hausse des taux va renchérir les conditions de crédit et probablement générer plus de volatilité dans les marchés. Ces tensions mettront évidemment en évidence la valorisation absolue historiquement élevée des classes d’actifs risqués. Dans les portefeuilles, nous serons également attentifs à contrôler les risques de change qui affectent significativement les performances relatives des marchés.

    Pour en savoir plus, télécharger la dernière édition d'Orientations et Stratégie

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    news-869 Fri, 12 Jan 2018 13:59:13 +0100 Vers une hausse modérée des taux... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vers-une-hausse-moderee-des-taux/ La reconnexion des taux des pays coeur aux fondamentaux économiques prendra du temps : en effet, la dichotomie très claire entre la dynamique de croissance et celle décevante à ce stade, sur l’inflation, aura un effet modérateur sur tout mouvement haussier des taux.

    Il faut également garder en tête que les bilans combinés des banques centrales vont continuer à croitre en 2018 pour trouver un point d’équilibre en fin d’année, ce qui limite le potentiel de hausse, tout du moins lors du 1er semestre.

    Ce contexte monétaire accommodant constitue un soutien pour les dettes périphériques en zone Euro et également une force de rappel dans un mouvement de forte tension sur les taux européens. La hausse des rendements gouvernementaux que nous prévoyons devrait ainsi rester contenue, ce qui est clef pour les autres classes d’actifs obligataires.

    Après une année de performances très positives sur le crédit européen, les marges s’établissent à des niveaux historiquement faibles. Nous anticipons que la proportion de crédit IG acheté par la BCE augmentera par rapport aux autres classes d’actifs éligibles à son programme d’achat et limitera ainsi l’impact sur les valorisations.

    Nous maintenons une forte conviction sur les subordonnées bancaires en raison de l’impact de la reflation anticipée sur les résultats des banques, de l’assainissement des bilans dans le sud de l’Europe et de la pression réglementation qui pourrait s’apaiser après la signature de l’accord Bale IV.

    Du côté du High-Yield, les taux de défaut resteront très faibles et bien en dessous des moyennes historiques, mais les valorisations sont tendues et la liquidité un point de vigilance.

    Les fondamentaux sont bons mais nous surveillerons :

    • les flux en provenance des investisseurs qui s’allègent en raison des performances réalisées,
    • le levier financier des entreprises US qui reste élevé, rendant les entreprises les plus endettées sensibles à une Fed plus agressive,
    • le prix du baril qui pourrait jouer les trouble-fêtes.

    Enfin, côté dettes émergentes, les flux d’investissement vont se poursuivre en 2018 car les primes de risque demeurent très attractives relativement aux marchés développés et relativement aux dettes Corporates.

    Dans un contexte riche en élections, les marchés locaux, répondant aux spécificités domestiques devraient continuer de performer grâce à des niveaux de taux réels élevés.

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    news-868 Thu, 11 Jan 2018 14:42:49 +0100 Perspectives et convictions 2018 : L’embellie se confirme /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/perspectives-et-convictions-2018-lembellie-se-confirme/ L’année 2017 s’est terminée sur un rythme de croissance supérieur à celui anticipé en début d’année du fait d’une accélération en Zone Euro, au Japon et en Chine. Il ne nous semble pas y avoir de raisons pour que l’année 2018 ne soit pas elle aussi bien orientée :

    - Les indicateurs avancés des principales zones sont sur des niveaux élevés et indiquent une croissance mondiale de l’ordre de 4 % pour les prochains trimestres, soit le rythme le plus important depuis 2010.

    - Cette croissance apparait aujourd’hui beaucoup plus synchrone que lors des années précédentes. Sur les 25 principales économies mondiales, 24 sont aujourd’hui en territoire d’expansion.

    - Les perspectives des zones émergentes sont bonnes, et ce malgré le fléchissement anticipé de l’activité chinoise.

    Les pressions inflationnistes restent, elles, très faibles, que ce soit en zone Euro, aux Etats-Unis ou dans le monde émergent. Les facteurs soutenant cette tendance seront encore là en 2018 mais certains aspects militent pour une accélération :

    - Le rebond des prix des matières premières, initié début 2016, va entrainer des effets de base positifs en 2018.

    - L’amorce d’un cycle d’inflation salariale induite par les taux de chômage des pays industrialisés, proches désormais de leur niveau d’équilibre.

    La Fed et son nouveau Président M. Powell devraient continuer à normaliser la politique monétaire américaine sur un rythme légèrement plus important que celui anticipé par le marché. Le chemin d’inflation aux US sera notamment déterminant pour la conduite de la future politique monétaire américaine.

    Les achats d’actifs de la BCE vont, eux, assez fortement diminuer en 2018 et devraient s’arrêter en fin d’année.

    Nous surveillons, par ailleurs, tout changement de cap de la Banque du Japon sur sa politique de contrôle de la courbe des taux...

    Pour en savoir plus, télécharger la nouvelle formule d'Orientations et Stratégie

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    news-865 Mon, 08 Jan 2018 15:11:36 +0100 Une année 2018 globalement bien orientée pour les marchés financiers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/une-annee-2018-globalement-bien-orientee-pour-les-marches-financiers/ L’année 2017 s’est terminée sur un rythme de croissance supérieur à celui anticipé en début d’année du fait d’une accélération en Zone Euro, au Japon et en Chine et l’année 2018 devrait être elle aussi bien orientée :
    • Les indicateurs avancés des principales zones sont sur des niveaux élevés et indiquent une croissance mondiale de l’ordre de 4% pour les prochains trimestres, soit le rythme le plus important depuis 2010.
    • Cette croissance apparait aujourd’hui beaucoup plus synchrone que lors des années précédentes. Sur les 25 principales économies mondiales, 24 sont aujourd’hui en territoire d’expansion. 
    • Les perspectives des zones émergentes sont bonnes, et ce malgré le fléchissement anticipé de l’activité chinoise.

    Les pressions inflationnistes restent, quant à elles, très faibles, que ce soit en zone euro, aux Etats-Unis ou dans le monde émergent. Les facteurs soutenant cette tendance seront encore là en 2018 mais certains aspects militent pour une accélération :

    • Le rebond des prix des matières premières.
    • L’amorce d’un cycle d’inflation salariale induite par les taux de chômage des principaux pays industrialisés proches désormais de leur niveau d’équilibre.

    La Fed et son nouveau Président M. Powell devraient continuer à normaliser la politique monétaire américaine sur un rythme légèrement plus important que celui anticipé par le marché. Le chemin d’inflation aux Etats Unis sera notamment déterminant pour la conduite de la future politique monétaire de la Fed.

    Les achats d’actifs de la BCE vont, quant à eux, assez fortement diminuer en 2018 et devraient s’arrêter en fin d’année. 

    Nous surveillerons par ailleurs tout changement de cap de la BoJ sur sa politique de contrôle de la courbe des taux.

    Au regard de ces éléments, Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income & Cross Asset et Laurent Jacquier Laforge, CIO Equities partagent leurs convictions pour 2018.

    1/ Nos convictions côté obligataire 

    « Une reconnexion des taux des pays cœur aux fondamentaux économiques prendra du temps : en effet, la dichotomie très claire entre la dynamique de croissance et celle décevante à ce stade, sur l’inflation, aura un effet modérateur sur tout mouvement haussier des taux. » déclare Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income et Cross Asset. « Il faut également garder en tête que les bilans combinés des banques centrales vont continuer à croitre en 2018 pour trouver un point d’équilibre en fin d’année, ce qui limite le potentiel de hausse, tout du moins lors du premier semestre. »

    Directionnel

    Si la normalisation des courbes obligataires se poursuit, le contexte monétaire accommodant constituera un soutien pour les dettes périphériques en zone euro et également une force de rappel dans un mouvement de forte tension sur les taux européens. La hausse des rendements gouvernementaux que nous prévoyons devrait ainsi rester contenue, ce qui est clef pour les autres classes d’actifs obligataires.

    « Dans un contexte où les taux allemands et japonais demeurent sur de bas niveaux, toute remontée significative des taux sera considérée comme une opportunité pour investir les liquidités sur les emprunts d’Etat, américains en particulier », commente Jean-Luc Hivert.

    Le crédit Investment Grade

    Après une année de performances très positives sur le crédit Européen, les marges s’établissent à des niveaux historiquement faibles. Nous anticipons que la proportion de crédit Investment Grade acheté par la BCE augmentera par rapport aux autres classes d’actifs éligibles à son programme d’achat et limitera ainsi l’impact sur les valorisations.

    La dette subordonnée

    Nous maintenons une forte conviction sur les subordonnées bancaires en raison 

    • De la reflation anticipée sur les résultats des banques,
    • De l’assainissement des bilans dans le sud de l’Europe 
    • De la pression réglementaire qui pourrait s’apaiser après la signature de l’accord Bâle IV.

    Le crédit High Yield 

    Du côté du High-Yield, les fondamentaux restent bons et les taux de défaut très faibles et bien en dessous des moyennes historiques mais les valorisations sont tendues et la liquidité est un point de vigilance. Nous surveillerons donc :

    • Les flux en provenance des investisseurs qui s’allègent en raison des performances réalisées,
    • Le levier financier des entreprises américaines reste élevé, rendant les entreprises les plus endettées sensibles à une Fed plus agressive, 
    • Le prix du baril qui pourrait jouer les trouble-fêtes. 

    Les marchés émergents

    Les flux d’investissement vont se poursuivre en 2018 car les primes de risque demeurent très attractives par rapport aux marchés développés et aux dettes Corporate. 

    2018 sera une année chargée en élections dans de nombreux pays émergents, principalement en Amérique latine. Dans ce contexte, les marchés locaux, répondant aux spécificités domestiques devraient continuer de performer grâce à des niveaux de taux réels élevés.

    2/ Nos convictions côté actions

    « L’environnement macroéconomique anticipé pour 2018 constitue un soutien important pour les marchés actions mondiaux et laisse présager une nouvelle performance positive après une excellente année 2017, » déclare Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equities.

    Des résultats par action orientés à la hausse

    La croissance mondiale synchronisée de l’ordre de 4 % soutiendra l’activité et les marges des sociétés. Les résultats par actions devraient ainsi croître d’environ 10% et rester synchronisés entre les zones géographiques. 

    Au-delà d’une accélération de l’activité mondiale, les résultats par action devraient progresser aux Etats-Unis grâce à la croissance du revenu disponible des ménages et à la réforme fiscale actuellement finalisée par les chambres. 

    Les profits des sociétés européennes, et plus particulièrement ceux des entreprises de la zone euro, devraient progresser à un rythme supérieur à 10 % grâce à la fois à l’accélération de l’activité et à la sensibilité positive de la zone euro à la croissance des pays émergents. 

    Il faudra néanmoins être très attentif :

    • Aux ruptures de tendances que la digitalisation de l’économie engendre et qui affectent un secteur d’activité dans son ensemble lorsqu’elles se révèlent
    • A la vigueur de l’Euro pour les sociétés européennes exportatrice dont la trajectoire bénéficiaire serait entachée par une devise trop forte.

    Quels secteurs privilégiés ?

    Nous pensons toujours que les secteurs de croissance devraient avoir la faveur des investisseurs même si nous pourrions enregistrer des rebonds ‘techniques’ et occasionnels des secteurs faiblement valorisés. 

    La progression visible de la production industrielle soutiendra avec le décalage habituel de l’ordre de 12 à 18 mois les investissements qui sont restés en deçà des attentes en 2017. C’est en cela que les différentiels de croissance entre les secteurs doivent être significatifs avec une préférence pour les valeurs technologiques et industrielles. 

    « Nous privilégions les entreprises engagées dans une politique soutenue d’inves¬tissement avec une rentabilité significativement supérieure au coût du capital » précise Laurent Jacquier Laforge. 

    ****

    Points d’attention au-delà de ce scénario constructif

    Outre les tensions géopolitiques (Corée, Iran, politique internationale de Donald Trump...) les autres points d’attention sont ceux liés à la normalisation des politiques monétaires des principales banques centrales et notamment la diminution du flux des liquidités à partir de 2018. La hausse des taux va renchérir les conditions de crédit et probablement générer plus de volatilité dans les marchés. Ces tensions mettront en évidence la valorisation absolue historiquement élevée des classes d’actifs risquées. 

    Dans les portefeuilles, nous serons également attentifs à contrôler les risques de change qui affectent significativement les performances relatives des marchés.

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    news-864 Tue, 09 Jan 2018 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners acquiert auprès de Demathieu Bard Immobilier la future Résidence Services pour seniors les Essentielles à Soisy-sous-Montmorency (95) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-aupres-de-demathieu-bard-immobilier-la-future-residence-s/ La Française Real Estate Partners acquiert auprès de Demathieu Bard Immobilier une résidence services seniors en VEFA située à Soisy-sous-Montmorency (95), pour le compte de l’OPPCI (Organisme Professionnel de Placement Collectif Immobilier) LF Résidences Seniors. La résidence sera exploitée par les Essentielles dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois.

    L’ensemble immobilier sera composé de 121 logements meublés (du T1 au T3) et développera 5 948 m² habitables et 1 619 m² d’espaces communs et commerces. Il disposera également de 52 emplacements de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au premier trimestre 2020.

    La future résidence sera située au centre-ville de Soisy-sous-Montmorency à la limite d’Enghien-les-Bains et au sein d’un environnement résidentiel bénéficiant de nombreux commerces, services et équipements publics. 

    Le site sera facilement accessible en transports en commun grâce à la proximité de la gare « Champs de Courses d’Enghien » du Transilien H, et à la présence de 2 lignes de bus en face de l’immeuble. 

    « Cette deuxième acquisition d’une résidence seniors gérée par les Essentielles permet d’une part, de renforcer notre partenariat avec cet exploitant, et d’autre part, de développer notre portefeuille de résidences services pour seniors en Ile-de-France», précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    La Française Real Estate Partners était conseillé par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridique et fiscaux et P.M.I. sur les aspects techniques. 

    Le vendeur était conseillé par l'étude Rochelois-Besins & Associés.

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    news-863 Thu, 11 Jan 2018 10:44:00 +0100 Découvrez la dernière édition de la Lettre de la Gestion Privée " En Particulier" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-de-la-lettre-de-la-gestion-privee-en-particulier-2/ Réforme des retraites, de l’assurance chômage, de la formation professionnelle, réforme fiscale, mise en oeuvre du prélèvement à la source… 2018 va être rythmée par ces différents chantiers.

    L’industrie financière n’est pas épargnée par cette accélération du changement : deux nouvelles réglementations européennes, dont nous présentons les grandes lignes en page 7, sont d’ores et déjà entrées en application le 3 janvier. Une nouvelle directive sur la commercialisation des produits d’assurance sera transposée en cours d’année et devrait s’appliquer à compter du second semestre. Ces différents textes ont un impact direct sur les modalités d’entrée en relation et sur la documentation que nous devons vous remettre à chaque étape de notre relation. Afin d’alléger les conséquences de cette inflation réglementaire, le groupe La Française s’est engagé dans un processus de digitalisation. Engagée depuis plus d’un an dans ce chantier, La Française a d’ailleurs eu le plaisir de voir l’une de ces réalisations récompensée.

    Mais l’innovation ne se résume pas à l’évolution technologique. Elle réside aussi dans la capacité à offrir de nouvelles opportunités d’investissements : vous trouverez dans ce 27e numéro de votre lettre nos projets dans le cadre du Grand Paris. 2018 s’annonce donc comme une année de changement. Mais quelles que soient les évolutions, l’ensemble de l’équipe se tient à votre disposition pour décrypter notre nouvel environnement et vous souhaite une excellente année.

    Pour en savoir plus, téléchargez le dernier numéro de la Lettre de La Gestion Privée " En Particulier"

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    news-861 Fri, 05 Jan 2018 09:29:45 +0100 Alger on the money - La révolution est en cours /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-la-revolution-est-en-cours/ Le développement d’un nombre croissant d’appareils dotés d’un accès à internet et de capteurs entraîne une baisse du coût de la technologie, qui devrait favoriser l’adoption massive des appareils connectés. Les entreprises spécialisées dans l’exploitation des volumes massifs de données personnalisées et celles qui sont en passe de devenir expertes de l’automatisation seront les premières bénéficiaires de la révolution de l’Internet mobile.
  • Selon les estimations, le nombre d’appareils connectés est désormais supérieur à la taille de la populationmondiale. Il devrait en outre progresser de plus de 30 % par an, soit plus de 20 milliards d’appareils d’ici 2020.
  • Deux tendances importantes vont accompagner l’essor de l’Internet mobile. La première est une explosion des données collectées, qui favorisera la personnalisation avancée des publicités et des expériences en ligne.
  • La seconde concerne le développement de l’automatisation, qui devrait améliorer l’efficacité des machines au service des humains et permettre leur fonctionnement autonome, avec par exemple une voiture qui se rendrait seule dans une station-service pour faire le plein lorsque le réservoir est presque vide.
  • Les entreprises spécialisées dans les paiements, les réseaux sociaux et les plateformes mobiles seront particulièrement avantagées par les possibilités de personnalisation, tandis que les fabricants d’appareils et les distributeurs de biens de consommation ou de produits alimentaires qui utilisent la technologie bénéficieront des progrès en matière d’automatisation. Ces deux tendances devraient en outre dynamiser les sociétés de services cloud et les fabricants de puces électroniques.
  • Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-860 Thu, 04 Jan 2018 10:02:52 +0100 La Française s’engage encore et toujours plus en faveur du climat /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-sengage-encore-et-toujours-plus-en-faveur-du-climat/ En étant membre de l’initiative Climate Action 100+ La Française s'engage à travailler avec les entreprises les plus polluantes afin de les faire évoluer vers une véritable politique climat adaptée.
  • L’initiative qui vient d’être lancée lors du One Planet Summit du 12 décembre dernier regroupe 225 investisseurs représentant $26.300Mds qui se regroupent afin de peser plus auprès de ces entreprises et de leur poser les mêmes questions notamment sur 3 thèmes : la gouvernance du climat, la mesure des émissions de GES en ligne avec l’objectif de 2° de l’accord de Paris et le reporting selon les recommandations du TCFD;
    • En signant la lettre de soutien au TCFD (le groupe de travail sur la transparence en matière de reporting climatique) aux côtés de 237 entreprises mondiales représentant plus de $6.300 Mds de capitalisation boursière, nous souhaitons apporter notre appui à la mise en œuvre des recommandations du TCFD. Les entreprises et organisations soutenant la TCFD  couvrent l’ensemble de la chaîne économique – des sociétés émettrices d’actions et de dette via les plus grandes agences de notation, les bourses jusqu’aux investisseurs;
    • En soutenant l’EEFIG, Energy Efficiency Financial Institutions Group, pour le travail réalisé jusqu’ici et l’engagement dans la 3ème phase de ses travaux sur le financement de l’efficacité énergétique.

     

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    news-851 Fri, 22 Dec 2017 10:46:28 +0100 Alger on the money - Un prochain moteur de croissance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-un-prochain-moteur-de-croissance/ Le rebond des bénéfices des entreprises américaines et les possibles baisses d’impôts à venir pourraient se traduire par une hausse des investissements supérieure à l’ensemble de l’économie américaine. Il devrait en résulter une hausse des gains de productivité qui offrirait aux investisseurs l’opportunité de se repositionner en vue d’une nouvelle vague de croissance.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-848 Thu, 21 Dec 2017 10:07:24 +0100 La Française Real Estate Partners International acquiert une surface commerciale à Bad Kreuznach /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-une-surface-commerciale-a-bad-kreuznach/ La Française Real Estate Partners International a fait l’acquisition d’une surface commerciale située au Schwabenheimer Weg 5 dans une zone commerciale au nord-est de la ville de Bad Kreuznach, pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Europimmo.

    L’activité commerciale de Bad Kreuznach est fortement concentrée dans cette zone, qui s’étend de la gare ferroviaire aux limites nord-est de la ville. La zone commerciale est facilement accessible depuis les autoroutes B428, BAB61 et BAB60. Éloignée de seulement 80 km environ de Francfort-sur-le-Main, la ville de Bad Kreuznach se situe également à environ 40 km de Mayence (capitale de la Rhénanie-Palatinat) et à 40 km de la capitale de la Hesse, Wiesbaden. 

    Le bâtiment, entièrement rénové de 15 400 m2 (constitué d’un rez-de-chaussée et d’un premier étage), offre des surfaces commerciales et des espaces de stockage et dispose de 560 places de parking en extérieur. L’actif est intégralement loué dans le cadre d’un bail de 13 ans ferme à un locataire unique : une chaîne d’hypermarchés.

    Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne à La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « La Française cherche de plus en plus à diversifier le patrimoine de ses SCPI à la fois en termes de typologie d’actif et d’implantation géographique. La consommation des ménages augmente en Allemagne et nous avons bien l’intention de poursuivre notre stratégie de diversification en Allemagne en continuant à sourcer des actifs commerciaux de qualité. »

    La Française Real Estate Partners International a été assistée par les cabinets Clifford Chance LLP et TA Europe.

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    news-847 Thu, 21 Dec 2017 10:05:13 +0100 La Fed a relevé son taux directeur et continue à réduire son bilan /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fed-a-releve-son-taux-directeur-et-continue-a-reduire-son-bilan/ Comme évoqué dans notre dernière actualité macroéconomique, la semaine dernière a été rythmée par les nombreuses banques centrales, qui ont tenu leur comité.

    A tout seigneur, tout honneur : la semaine dernière a eu lieu la conférence de la Fed, avec l’ultime « show » de Janet Yellen, avant le passage de bâton à Jerome Powell.

    • Conformément aux attentes, remontée du taux directeur de +0,25% et poursuite de la politique de réduction de bilan ;
    • Forte révision de la croissance pour 2018 de +2,1% à +2,5%. Le chômage est revu à la baisse à hauteur de -0,2% pour atteindre 3,9% pour 2018 et 2019. Le communiqué a un ton plus optimiste concernant le marché de l’emploi américain ;
    • Le rythme des hausses de taux anticipé reste inchangé.

    La Fed prend note de la bonne santé de l’économie sans être particulièrement perturbée par une éventuelle surchauffe. Le marché bouge globalement assez peu. 

    Jeudi dernier, nous avions la conférence de presse tenue par Mario Draghi pour la BCE :

    • Ils ont révisé à la hausse leur chiffre de croissance pour 2018 de +1,8% à +2,3%. Le ton du discours concernant l’activité en zone Euro était très positif en général. A juste titre, nous avons quand même un PMI composite à 58 !
    • Révision également de l’inflation headline pour 2018 de +1,2% à +1,4%, ce qui n’est pas vraiment une surprise. En revanche, la BCE fait une première prévision concernant l’inflation pour 2020 à +1,7%. Cette prévision est décevante, nous ne sommes pas encore à l’objectif de la BCE … dans 3 ans !

    Difficile d’avoir une lecture très rigide de la BCE. Les taux euro diminuent, tirés à la baisse par les taux réels. Les taux allemands reviennent sur des niveaux de cherté vus en mars dernier. A titre d’exemple, en achetant une obligation allemande 2026 indexée sur l’inflation, l’investisseur consent à une perte de pouvoir d’achat certaine de plus de 10% à l’échéance. A nos yeux, cette valorisation n’est pas cohérente avec une économie euro en très bonne santé. 

    Enfin, un mot sur la Suède. La devise est sous-évaluée, l’inflation atteint la cible de la banque centrale, la croissance est excellente… nous attendons donc un mouvement de resserrement de la Riksbank prochainement.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-845 Wed, 04 Oct 2017 12:08:00 +0200 Appel à candidature au Conseil de Surveillance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/appel-a-candidature-au-conseil-de-surveillance/ Cet OPCI, agréé par l’Autorité des Marchés Financiers – AMF, le 3 mars 2017, a été créé sous la forme d’un Fonds de Placement Immobilier (FPI).

    A ce titre, il vous est possible de vous porter candidat au conseil de surveillance du FPI.

    Le conseil de surveillance est l’organe qui contrôle la gestion effectuée par la société de gestion.

    Participer au conseil de surveillance c’est l’occasion d’échanger directement avec la société de gestion sur les décisions stratégiques qu’elle entend mener et les résultats de votre FPI, c’est aussi l’occasion de rencontrer d’autres porteurs. Outre l’intérêt intellectuel, vous êtes ainsi au cœur du produit et suivez de près l’évolution de votre investissement. Le conseil de surveillance se réunit au minimum 2 fois par an. 

    Pour présenter votre candidature

    Il vous suffit d’adresser le formulaire de candidature dûment complété (pour télécharger le formulaire, cliquez ici) par e-mail à l’adresse balscpn@lafrancaise-group.com ou par courrier postal à La Française Real Estate Managers, 128 boulevard Raspail - 75006 Paris avant le 31 décembre 2017.

    Qui désignera les membres du conseil de surveillance

    L’ensemble des porteurs de parts du FPI seront consultés par correspondance et désigneront les membres du conseil de surveillance, pour un mandat de 3 ans, parmi les candidats qui leur seront soumis (de 2 à 9). Toutefois, conformément à la règlementation, si le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir (9), les candidats seront nommés d'office membres du conseil de surveillance.

    La direction de la clientèle est à votre écoute au 01 44 56 10 45 pour tout complément d’information.

    Pour votre bonne information, vous trouverez ci-après un extrait du règlement de l’OPCI LF Cerenicimo + portant sur le conseil de surveillance du FPI.

    ARTICLE 15. NOMINATION DESIGNATION - MODALITES DE L’ELECTION DES MEMBRES

    15.1. Composition du Conseil de Surveillance

    Les membres du Conseil de Surveillance sont élus par les Porteurs et parmi ceux-ci. 

    Le Conseil de Surveillance est composé de deux (2) membres au moins et de neuf (9) membres au plus, dont un président élu par les membres. 

    15.2. Election des membres du Conseil de Surveillance

    En vue de l’élection des membres du Conseil de Surveillance, la Société de Gestion procède à un appel de candidature qu’elle publie sur son site internet ainsi que dans le document d’information périodique. 

    Les Porteurs répondent à cet appel à candidature sur le site internet de la Société de Gestion dans les trois (3) mois suivant sa publication. La candidature comporte les éléments permettant de justifier de l’indépendance du candidat à l’égard de la Société de Gestion des sociétés qui lui sont liées au sens de l’article R. 214-43 du Code monétaire et financier. 

    Une personne physique ou morale ne peut exercer simultanément plus de cinq (5) mandats en qualité de membre du conseil de surveillance d’un fonds de placement immobilier. L’exercice d’un mandat est incompatible avec l’exercice de toute autre fonction susceptible de créer un conflit d’intérêts. 

    Les Porteurs élisent directement les membres du Conseil de Surveillance en votant par correspondance ou à distance par voie électronique. 

    Le droit de vote de chaque Porteur est proportionnel au nombre de Parts qu’il détient. 

    Seront élus membres du Conseil de Surveillance, dans la limite des postes à pourvoir, ceux des candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix favorables à leur élection parmi les Porteurs s’étant exprimés. En cas de partage des voix, le candidat élu sera celui possédant le plus grand nombre de Parts ou, si les candidats en présence détiennent le même nombre de Parts, le candidat le plus âgé. 

    Les élections des membres du Conseil de Surveillance ont lieu au moins tous les trois (3) ans. 

    La durée du mandat de membre du Conseil de Surveillance est de trois (3) ans. Le mandat est renouvelable deux (2) fois. 

    Lorsque le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir, les candidats sont nommés d’office membres du Conseil de Surveillance. 

    En cas de décès ou de démission d’un membre du Conseil de Surveillance conduisant à un nombre de membres inférieur au nombre prévu à l’article 15.1 ci-avant, le Conseil de Surveillance procède à une nomination à titre provisoire afin de remplacer le membre vacant jusqu’à l’échéance de son mandat. Cette nomination intervient dans un délai de trois (3) mois à compter du jour où se produit la vacance. Sont nommés les candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix à la précédente élection après ceux déjà nommés membres du Conseil de Surveillance. 

    Lors de la première réunion suivant l’élection ou la désignation des nouveaux membres, le Conseil de Surveillance élit son président à la majorité simple. 
     

    ARTICLE 16. REUNION DU CONSEIL DE SURVEILLANCE - CONVOCATIONS - DELIBERATIONS

    16.1. Réunions du Conseil de Surveillance

    Le Conseil de Surveillance se réunit en France au moins deux (2) fois par exercice sur convocation de son président ou sur demande motivée d’un tiers au moins de ses membres, soit au siège social de la Société de Gestion, soit en tout autre lieu indiqué dans l’avis de convocation. 

    Les réunions du Conseil de Surveillance peuvent avoir lieu par voie de visioconférence ou de téléconférence. 

    Si la réunion a lieu au siège social de la Société de Gestion, celle-ci met à la disposition du Conseil de Surveillance les locaux nécessaires à la tenue de la réunion, ainsi que le personnel et les moyens techniques permettant d’assurer le secrétariat du Conseil de Surveillance. 

    La Société de Gestion assiste aux réunions du Conseil de Surveillance. 

    Le président fixe l’ordre du jour de la séance qui peut être complété à la demande d’un membre jusqu’à la veille de la séance. 

    Il est tenu un registre de présence des membres du Conseil de Surveillance. 

    Les rapports du Conseil de Surveillance sont approuvés à la majorité simple de ses membres. 

    La première réunion du Conseil de Surveillance suivant la constitution du FPI se tient au plus tard dans les douze (12) mois de l’agrément du FPI. 
     

    16.2. Quorum et majorité

    Le Conseil de Surveillance ne délibère valablement que si la moitié au moins de ses membres sont présents. 

    Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés. Chaque membre est titulaire d’un droit de vote. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante. 

    Si le Conseil de Surveillance a lieu en visioconférence ou téléconférence, sont réputés présents pour le calcul du quorum et de la majorité, les membres du Conseil de Surveillance qui participent à la réunion par des moyens de visioconférence ou de téléconférence.

    16.3. Mandats de représentation

    Un membre du Conseil de Surveillance peut donner, même par lettre, télécopie ou courrier électronique, mandat à un autre membre de le représenter. Cette procuration, donnée par écrit au président, ne peut être valable que pour une séance du Conseil de Surveillance. 

    Chaque membre du Conseil de Surveillance ne peut disposer, au cours d’une même séance, de plus de deux procurations. 

    ARTICLE 17. PROCES-VERBAUX DES REUNIONS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

    Les délibérations du Conseil de Surveillance sont constatées dans un procès-verbal. 

    Les procès-verbaux sont dressés et les copies ou extraits des délibérations sont délivrés et certifiés conformément à la législation et à la réglementation applicables. 

    ARTICLE 18. POUVOIRS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

    Le Conseil de Surveillance est chargé d’une mission de suivi de la gestion du FPI. 

    Le Conseil de Surveillance ne dispose d’aucun pouvoir de gestion et ne peut pas s’immiscer dans la gestion du FPI. 

    Les membres du Conseil de Surveillance sont tenus à la discrétion sur les informations présentant un caractère confidentiel et données comme telles par le président. 

    Chaque fois qu’il le juge nécessaire et au moins une fois par an, le Conseil de Surveillance établit un rapport rendant compte de sa mission. 

    A l’occasion de l’élaboration de ses rapports, le Conseil de Surveillance peut demander toute information complémentaire à la Société de Gestion, qui est tenue de répondre par écrit dans un délai de huit (8) jours ouvrés. 

    Les rapports du Conseil de Surveillance sont tenus à la disposition des Porteurs au siège de la Société de Gestion et sont disponibles sur le site internet de la Société de Gestion. Lorsqu’un Porteur demande à recevoir un rapport sous format papier, les frais liés à son expédition sont à sa charge. 

    Les membres du Conseil de Surveillance sont responsables des fautes personnelles commises dans l’exécution de leur mandat. Ils n’encourent aucune responsabilité à raison des actes de la gestion et de leur résultat. 

     

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    news-844 Wed, 20 Dec 2017 09:43:00 +0100 Forts d’une offre complémentaire, Moniwan et Testamento s’associent /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/forts-dune-offre-complementaire-moniwan-et-testamento-sassocient/ Moniwan, première plateforme de distribution de solutions d’investissement en immobilier collectif 100% dématérialisée dédiée aux particuliers, et Testamento, fintech d’anticipation successorale, signent un partenariat.

    4 ans après avoir lancé son site, Testamento a trouvé son public et collabore avec les banques, compagnies d’assurance et mutuelles pour démocratiser l’anticipation successorale. En effet, Testamento permet de réaliser en quelques clics un Kit Info Succession gratuit et personnalisé. Le Kit Info permet à l’individu de comprendre comment se passerait sa succession si elle n’était pas préparée, puis d’agir selon ses besoins. Un testament peut même être réalisé en ligne puis enregistré par un notaire, partenaire de Testamento. 

    Afin d’apporter une offre toujours plus complète à leurs clients respectifs, Moniwan et Testamento s’associent et partagent leurs savoir-faire complémentaires.

    « Nos clients veulent être acteurs de leur épargne et de leur avenir. Les solutions de Testamento nous ont séduits car elles rendent un service utile et simple d’utilisation, en adéquation avec l’ADN de Moniwan. Il nous est apparu naturel de mettre les services de Testamento à disposition de nos clients, qui apprécient les démarches rapides et efficaces. » commente Christophe DESCOHAND, Directeur de Moniwan.

    « La philosophie même de Moniwan, ‘Rendre le client maitre de son avenir’ est tout à fait compatible avec Testamento. Nos clients apprécient les approches axées sur la simplicité avec des parcours utilisateurs nouvelle génération. Nous sommes ravis de démarrer ce partenariat », ajoute Virgile DELPORTE, CEO de Testamento.

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    news-842 Thu, 21 Dec 2017 10:09:00 +0100 L’UMR, conseillée par La Française Real Estate Partners, acquiert l’immeuble signature Blackpearl à La Défense /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lumr-conseillee-par-la-francaise-real-estate-partners-acquiert-limmeuble-signature-blackpearl-a/ Cet immeuble à usage de bureaux, situé à Courbevoie, au sein du quartier de La Défense a été acquis par La Française Real Estate Partners auprès de 6ème Sens Immobilier. L’acquisition a été réalisée pour le compte de l’Union Mutualiste Retraite (UMR) dans le cadre d’un mandat.

    L’immeuble de huit étages, à la forme triangulaire, a fait l’objet d’une restructuration menée par le Studio Vincent Eschalier. Le parement en pierre a laissé place à une façade, faite de voiles en aluminium de couleur bleue nuit et la hauteur sous plafond a été augmentée de 50 cm par étage. L’ensemble est surplombé par un impressionnant dôme cuivré coiffant un rooftop accessible de 300m², faisant du Blackpearl un immeuble iconique dans le paysage de La Défense. 

    L’immeuble est loué en intégralité à Acensi, spécialiste du conseil en système d’information, dans le cadre d’un bail de 9 ans.

    « Nous sommes très heureux que cette première collaboration avec l’UMR aboutisse à l’acquisition d’un immeuble emblématique doté d’une véritable signature architecturale,» précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude 14 Pyramides sur les aspects notariaux, Fidal sur le juridique et fiscal, Nox sur les audits technique, environnemental et énergétique.

    6ème Sens Immobilier était conseillé par l’étude Alexandre Dechin Devriendt Hoang, le cabinet TAJ, et par Alex Bolton Partners dans le cadre d’un mandat exclusif de vente.

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    news-841 Thu, 14 Dec 2017 11:18:00 +0100 Rescrit fiscal MIF II /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rescrit-fiscal-mif-ii/ En conformité avec les nouvelles règles applicables aux rétrocessions de commissions issues de la directive 2014/65/UE du Parlement européen et du Conseil du 15 mai 2004 relative aux marchés d’instruments financiers (MIF II), certains fonds émettent désormais des parts dont les frais de gestion ne prévoient plus un flux de rétrocession destiné à être reversé et conservé par la société de gestion de portefeuille (« parts T »).

    Tout arbitrage de parts du fonds vers les parts T bénéficiera du rescrit fiscal MIF 2 jusqu’au 31/12/2018 (courriers du 16 mars 2017 et du 31 octobre 2017 de la Direction de la Législation Fiscale qui confirme que ces opérations d’échange bénéficient du sursis d’imposition prévu à l’article 150-0 B du CGI), à condition que les souscriptions dans les parts T soient immédiatement précédées d’un rachat par un même porteur, pour un produit équivalent au nombre de parts rachetées et sur la même date de valeur liquidative. 

    Courrier du 16 mars 2017, cliquez ici

    Courrier du 31 octobre 2017, cliquez ici

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    news-840 Fri, 15 Dec 2017 10:26:41 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert l’immeuble de bureaux Cap Lendit à La Plaine Saint-Denis (93) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-limmeuble-de-bureaux-cap-lendit-a-la-plaine-saint/ La Française REM a acquis auprès de Primonial REIM, pour le compte de ses Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) La Française Pierre, Sélectinvest 1 et Epargne Foncière, un immeuble de bureaux, « Cap Lendit », situé sur la Place aux Etoiles au sein de la ZAC Landy Pleyel de Saint-Denis.

    L’immeuble bénéficie d’un emplacement exceptionnel au pied de la station « Stade de France – Saint-Denis » sur la ligne D du RER et à seulement 350 mètres de la future gare du Grand Paris, le Hub Saint-Denis Pleyel, dont l’arrivée est prévue en 2025. 

     

    L'immeuble « Cap Lendit » développe environ 10 000 m² de surface utile, répartis sur 5 étages et 2 niveaux d’infrastructures et 169 places de parkings.

    La partie bureaux est entièrement louée dans le cadre d’un bail de 6 ans fermes et le rez-de-chaussée est loué à cinq commerces dont une grande marque de la distribution urbaine, une brasserie et une pharmacie qui bénéficient d’un important flux de piétons.

    La Française REM et Primonial REIM étaient assistés par l’étude Allez et Associés et par Strategies & Corp.

    Télécharger le communiqué de presse

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    news-837 Thu, 14 Dec 2017 09:49:31 +0100 La Française a des ID n°9 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-des-id-n9/ Comme chaque trimestre, focus sur un immeuble certifié qui répond aux exigences environnementales, sociales et sociétales des grands locataires d’aujourd’hui

    Zoom ce mois-ci sur Le HUB un immeuble neuf de haut standing à Levallois-Perret :

     

    Le HUB est un immeuble agréable et moderne. Situé aux portes de Paris et à proximité des transports en commun et du centre-ville de Levallois-Perret, il bénéficie d’un emplacement privilégié.

    > Téléchargez le dernier numéro de La Française a des Immeubles Durables

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    news-836 Tue, 19 Dec 2017 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners achète auprès du Groupe Altarea Cogedim une résidence services seniors à Vannes (56) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-achete-aupres-du-groupe-altarea-cogedim-une-residence-services-sen/ La Française Real Estate Partners acquiert en VEFA auprès du Groupe Altarea Cogedim, une résidence services seniors, située à Vannes (56). La résidence sera exploitée par Cogedim Résidences Services « Cogedim Club » dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois. La livraison est prévue au troisième trimestre 2019. Cette acquisition est réalisée pour le compte de l’Erafp dans le cadre d’un mandat.

    La résidence Cogedim Club, d’une surface de plus de 5 000 m², prévoit la réhabilitation d’un cloître du 17ème siècle abritant 22 logements ainsi que la construction d’un bâtiment neuf de 60 logements.

    L’ensemble immobilier se situe en plein cœur de l’hyper-centre de Vannes, au sein d’un environnement résidentiel regroupant tous les services et commerces de proximité. Il bénéficiera d’une bonne desserte grâce à la présence de la gare TGV. 

    « L’acquisition de cette future résidence services pour seniors en Bretagne renforce la diversification géographique du portefeuille détenu par l’Erafp, avec une stratégie ayant pour objectif de sécuriser les flux et d’apporter une protection du capital. De plus, le passage à 2h30 du trajet Paris-Vannes renforcera l’attractivité de la ville,» précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Pierre MICHEL (PMI) sur les aspects techniques. Les vendeurs étaient conseillés par l’Etude ALEXANDRE DECHIN DEVRIENDT et HOANG et par le cabinet Blatter Seynaeve & associés sur les aspects fiscaux. La construction sera réalisée par LINKCITY Grand Ouest.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-834 Wed, 13 Dec 2017 10:42:01 +0100 Le taux de chômage est inchangé mais les salaires n’augmentent toujours pas avec +2,5% sur 12 mois /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-taux-de-chomage-est-inchange-mais-les-salaires-naugmentent-toujours-pas-avec-25-sur-12-mois/ Des deux côtés de l’Atlantique l’actualité de la semaine dernière était sur le front politique.

    Aux Etats-Unis, deux bonnes nouvelles :

    • Le Sénat a voté vendredi 1er décembre sa mouture de la réforme fiscale. Ce vote a permis d’effacer complètement le micro stress de marché du vendredi après-midi lié aux déclarations du Général Flynn. Les indices ont donc ouvert lundi dernier à leur plus haut historique. Les actions américaines font un parcours impressionnant depuis l’élection de M. Trump : +29% de performance avec des corrections très contenues (3% maximum),
    • La semaine dernière le congrès a voté une extension des dépenses gouvernementales jusqu’au 22 décembre, ce qui va permettre d’éviter un arrêt jusque-là. Un vrai accord reste à trouver entre les deux parties à ce sujet.

    Outre-Manche, la situation semble se débloquer avec un accord entre le Royaume-Uni et l’Union Européenne. Le montant de la facture semble être fixé, tout comme le dossier de la frontière irlandaise et le statut des européens résidents au Royaume-Uni. Enfin ! serions-nous tentés de dire tant cet accord a mis longtemps à accoucher. Les véritables discussions ne démarrent que maintenant, avec un accord à trouver sur les échanges commerciaux. La livre sterling s’est légèrement appréciée face à l’euro suite à cette nouvelle (+1,4%). 

    Du côté des chiffres macroéconomiques, nous noterons le rapport mensuel d’emploi américain. Le taux de chômage est inchangé à hauteur de 4,1%. Cependant, nous sommes à nouveau déçus par les salaires qui n’augmentent toujours pas (+2,5% sur 12 mois). 

    Cette semaine va être très chargée : Fed, Banxico, Banque d’Angleterre, BCE et la Banque nationale suisse... Rien que ça !

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  


    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-833 Wed, 13 Dec 2017 10:18:52 +0100 Grand Paris, une transformation permanente possible... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/grand-paris-une-transformation-permanente-possible/ A l'occasion du Simi, retrouvez la chronique de Guillaume Pasquier, Directeur du développement foncières La Française, parue dans Immoweek.

    Entre la consultation internationale de 2008 pour le Grand Paris et l'appel à projets de 2017 pour Inventons la Métropole du Grand Paris, de nombreuses étapes ont été franchies. Guillaume Pasquier les met en évidence. Surtout, le directeur du développement foncières de La Française fait valoir que si la première consultation va permettre de doter la région capitale d'une colonne vertébrale, la seconde recèle de nombreux facteurs qui permettent d'être optimiste quant à la réalisation des projets. Autant d'étapes qui lui font dire que le Grand Paris peut devenir "un processus de transformation permanente"...

    A près de dix ans d'intervalle, les concepteurs de la ville ont été sollicités deux fois pour contribuer à la réflexion sur le Grand Paris. En 2017 comme en 2008, architectes, urbanistes, bureaux d'études, constructeurs ont ajouté à leur charge habituelle une somme exceptionnelle de travaux pour imaginer la métropole du 21ème siècle.

    >Cliquez ici pour télécharger l'intégralité de la chronique

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    news-832 Wed, 13 Dec 2017 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners annonce la signature d’un bail Figaret Paris au 67 avenue Victor Hugo à Paris 16ème /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-annonce-la-signature-dun-bail-figaret-paris-au-67-avenue-victor-h/ La Française Real Estate Partners annonce la signature d’un bail avec l’enseigne Figaret Paris au sein de l’immeuble situé au 67 avenue Victor Hugo,Paris 16ème , géré pour le compte d’un grand investisseur institutionnel.

    Cette boutique, située à 150 mètres de la place Victor Hugo, a ouvert le 8 décembre. L’enseigne Figaret, contrôlée désormais par le holding d’investissement Experienced Capital Partners, développe son réseau retail sur les meilleurs emplacements.

    « Nous nous réjouissons de cette signature qui est une nouvelle illustration de notre savoir-faire dans le secteur du commerce. Nous sommes heureux d’accompagner ainsi Figaret dans son développement et de lui livrer un ouvrage spécifiquement adapté à ses besoins » indique Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-830 Mon, 11 Dec 2017 15:40:15 +0100 Les enjeux du Grand Paris par Xavier Lépine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-enjeux-du-grand-paris-par-xavier-lepine/ "La réussite du Grand Paris nécessite aussi de l’innovation immobilière" Quels sont les enjeux du Grand Paris ?

    Paris est vue par beaucoup comme étant uniquement une ville touristique mais la réalité est que Paris est également une ville d’activités. Dans tous les secteurs d’activités vous trouvez un des 10 leaders mondiaux qui est installé à Paris, cela va de L’Oréal à Carrefour en passant par Bouygues, Axa ou encore BNP ce qui est quelque chose d’unique au monde. Développer Paris, c’est se donner la capacité de faire de Paris la capitale de l’Europe. C’est un projet très important, nous parlons d’une trentaine de milliards d’investissements publics, mais c’est aussi un projet d’aménagement du territoire puisqu’in fine sur les 15 ans à venir nous devrions avoir environ 75 milliards d’euros d’investissements de bureaux, de commerces et de logements bien évidemment. C’est également un projet de société, qui donne la capacité à 2 millions de personnes d’être transportées chaque jour. En comparaison le Grand Londres c’est 500 000 personnes, 500 000 voyageurs par jour tandis que pour Le Grand Paris ça sera 2 millions de personnes. Créer le Grand Paris c’est créer des hubs d’activité à l’échelle régionale, c’est-à-dire pour tout ce qui est autour de Saclay, l’innovation et la recherche, la santé autour de Villejuif, l’aéronautique autour du Bourget, ou encore les médias vers la Plaine Saint-Denis. C’est également créer des conditions d’une sérendipité optimale aussi bien pour les habitants que pour l’activité économique. C’est un enjeu qui est probablement unique au XXIème siècle pour lequel Paris s’est doté de moyens aussi bien financiers que politiques pour réussir ce projet.

    Comment La Française s’inscrit-elle dans ce projet du Grand Paris ?

    La Française est un acteur significatif de l’investissement immobilier. Nous avons déjà un patrimoine d’une quinzaine de milliards d’euros dont une grande partie en région parisienne avec plus de 550 immeubles qui sont essentiellement jusqu’à présent des immeubles de bureau mais également un peu d’immeuble d’habitation. Jusqu’à présent nous intervenions principalement pour ne pas dire uniquement par l’acquisition d’immeubles étant déjà construits ou en pleine construction avec la vocation d’être loués afin de délivrer des revenus récurrents aux investisseurs qu’ils soient des institutionnels ou des personnes privées. En l’espèce le projet du Grand Paris va être organisé différemment aussi bien par les pouvoirs publics qui ont décidé de fonctionner par appels à projet mais aussi pour nous La Française : il ne s’agit pas ici de développer ou d’acquérir un immeuble mais de développer des éco-quartiers. Cela permet à La Française de se positionner en tant qu’investisseur très en amont en ayant une activité de foncière. Concrètement pour La Française, il s’agit d’une part de créer une SCPI qui pourra investir ou investira et sera dédiée au Grand Paris mais surtout et cela de manière peut-être plus originale de participer à l’élaboration de ce Grand Paris en développant une foncière. Nous sommes dans une levée de fonds initiale de l’ordre de 200 millions d’euros qui a vocation à atteindre 1 milliards d’euros pour investir et participer à ce merveilleux projet.

    Quelles solutions pour l’immobilier résidentiel ?

    Il est évident que la problématique du Grand Paris repose avant tout sur la rareté du foncier et comment rendre compatible le revenu des ménages pour se loger que ce soit en location, ou en acquisition en même temps dans des bureaux qui eux, peuvent supporter des prix plus élevés. Il faut créer des quartiers, des centres de vie où les gens peuvent en même temps travailler car nous avons vu que les modalités de travail évoluent. Il faut créer des centres de loisirs et des centres d’habitations qui doivent tous pouvoir vivre ensemble. L’approche que nous avons retenu en ce qui concerne le logement qui est le premier poste de dépense des ménages a été de dire que nous allons créer un système de propriété à vie qui repose sur un concept qui est à mi-chemin entre le « leasehold » anglais et le système des Hospices de Lyon dans lequel la personne peut acquérir pour une durée prédéterminée la propriété et donc l’usage de son logement. Ceci permet de rendre compatible le revenu des personnes avec leur premier poste de dépense qui est le logement.

     

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    news-829 Tue, 12 Dec 2017 14:00:00 +0100 Avec près de 2,2 milliards* d’euros collectés, La Française Global REIM dépasse ses objectifs de collecte en 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avec-pres-de-22-milliards-deuros-collectes-la-francaise-global-reim-depasse-ses-objectifs-de-co/ La Française Global REIM, grâce au déploiement de sa plateforme immobilière européenne, collecte près de 2,2 milliards d’euros en 2017, dont 1 milliard d’euros en mandats, portant ainsi le total de ses encours immobiliers à près de 16 milliards d’euros.

    2017 marque le début d’un nouveau positionnement pour La Française qui a remporté trois sites emblématiques de l’appel à projets « Inventons la Métropole du Grand Paris ». Désormais, La Française étoffe son métier originel en tant que spécialiste de l’investissement et de la gestion pour compte de tiers. Elle adopte une logique d’investissement visant la création de valeur autour des projets d’infrastructure du Grand Paris en procédant à l’achat de fonciers en développement ou en redéveloppement.

    1/ Collecte 2017

    Dans le contexte actuel de taux d’intérêt stables et de croissance plus soutenue, l’immobilier offre une véritable solution de diversification aux investisseurs en recherche de rendement potentiel.

    Institutionnel : La Française poursuit sa stratégie de développement en France et à l’international auprès de la clientèle institutionnelle et voit progresser sa collecte en immobilier qui atteint près de 1,2 milliard d’euros. 

    A l’international, la tendance amorcée en 2016 se poursuit : la clientèle asiatique, à la recherche de diversification, se distingue et compte pour plus de 16 % de la collecte. Les encours sous gestion pour cette clientèle représentent près de 900 millions d’euros d’actifs immobiliers en Europe. En effet, la plateforme immobilière internationale de La Française aux centres de gestion basés à Paris, Francfort et Londres, permet d’apporter des solutions d’investissements diversifiés, par zone géographique, stratégie et thématique aux investisseurs désireux d’accéder aux principaux marchés européens sous diverses formes (fonds ouverts, fonds dédiés, mandats et club deals).

    En 2017, La Française a réalisé un nouveau co-investissement, représentant la plus importante transaction unitaire de son histoire, pour deux clients institutionnels coréens de premier plan. Cette récente acquisition immobilière, « North Light & Pole Star » à Bruxelles, illustre parfaitement cette capacité de sourcer des biens de qualité et de répondre aux besoins des investisseurs en matière de diversification et de rendement. 

    La levée de fonds de 1 milliard d’euros auprès d’une clientèle institutionnelle française et internationale illustre le savoir-faire de La Française en matière de solutions d’investissements dédiées. 

    Retail : La Française poursuit sa croissance auprès de la clientèle de particuliers et enregistre une progression de 25% pour atteindre une collecte de près de 1 milliard d’euros :

    • A l’instar du marché de la SCPI qui enregistre une collecte historique au 1er semestre 2017, La Française a collecté près de 800 millions d’euros en 2017 sur sa gamme de SCPI. Cette collecte est largement soutenue par des véhicules qui investissent dans les grands marchés européens, et notamment l’Allemagne, pour leur potentiel de rendement et leur cadre fiscal attractif. 
    • Avec près de 200 millions d’euros collectés sur les produits en unités de compte, le phénomène se poursuit en 2017. En termes de véhicules, la SCP s’avère toujours très attractive de même que l’OPCI grand public de La Française, notamment grâce à sa commercialisation active en partenariat avec une grande compagnie d’assurance. 

    2/ Transactions

    Outre la finalisation d’une opération de valorisation entamée depuis plus de 3 ans (IPSO FACTO à Montrouge - 92), l’année 2017 a été marquée par une forte activité avec près de 2,8 milliards d’euros de transactions, dont 2,3 milliards d’euros en investissements et plus de 400 millions d’euros en arbitrages.

    Ces acquisitions sont réparties pour 68 % sur des actifs de bureaux, 13 % sur des locaux commerciaux et 19 % sur d’autres actifs, dont les résidences gérées (seniors et tourisme), les locaux d’activités, l’habitation et des actifs de diversification.

    En France, La Française confirme son statut d’acteur immobilier incontournable avec 1,6 milliard d’euros d’acquisitions, dont les plus emblématiques : un actif de commerces à Paris (19e), un immeuble de bureaux «Le Hub » à Levallois Perret (92), le Cityscope à Montreuil (93), une résidence de tourisme à Cavalaire-sur-Mer (83)… 

    Avec près de 700 millions d’euros de nouvelles acquisitions, la dynamique d’acquisition en Europe se poursuit. Les SCPI du groupe ont ainsi investi notamment à Francfort, Stuttgart, Hambourg, Berlin et, pour la première fois, en Irlande. 

    « Notre gestion immobilière repose sur une équipe de 140 personnes dont 120 sont présentes en France, 15 en Allemagne, à Francfort, et 5 au Royaume-Uni. C’est grâce aux synergies créées avec l’ensemble des équipes que nous sommes en phase avec nos objectifs de développement et pouvons œuvrer avec succès lors de cette phase intense de diversification des investissements », conclut Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.

    « La Française est un acteur significatif de l’investissement immobilier. L’organisation des métropoles telle que parfaitement illustrée par le projet du Grand Paris nous permet encore plus de capter une clientèle internationale. Leur organisation par les pouvoirs publics qui ont décidé de fonctionner par appel à projet induit également une nouvelle organisation de notre part : il ne s’agit pas ici de développer ou d’acquérir un immeuble mais de développer des éco-quartiers. Cela permet à La Française de se positionner en tant qu’investisseur très en amont en ayant une activité de foncière. » souligne Xavier Lépine, Président de La Française.

    *projection basée sur la collecte déjà réalisée au 30/11/2017, chiffres non définitifs.

    Téléchager le communiqué de presse

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    news-826 Fri, 08 Dec 2017 09:29:55 +0100 Alger on the money - L'importance du rapatriement des bénéfices réalisés à l'étranger /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-limportance-du-rapatriement-des-benefices-realises-a-letranger/ Les législateurs de Washington envisagent une révision du code des impôts afin de favoriser le rapatriement aux États-Unis de liquidités importantes. Selon Goldman Sachs, leur montant pourrait atteindre près de 1 000 milliards de dollars, et permettrait aux entreprises établies aux États-Unis d’accroître et d’optimiser leurs dépenses au sein du marché intérieur. Pourquoi cette mesure est-elle importante et quelles sont les opportunités d’investissement associées ?

    1 Goldman Sachs (2017) « Overseas Cash Repatriation Would Boost Shareholder Returns and Growth Investments ». Opinions sur les actions américaines.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-825 Thu, 07 Dec 2017 18:04:46 +0100 Croissance, volatilité et risques politiques - La lettre Orientations et Stratégie n°185 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/croissance-volatilite-et-risques-politiques-la-lettre-orientations-et-strategie-n185/ Aux Etats-Unis, les ISM sont au plus haut depuis plus de dix ans ce qui amène logiquement les marchés à réajuster à la hausse leurs prévisions de croissance pour 2018 au moment où la réforme fiscale américaine semble finalement pouvoir être votée.

    A l’intérieur de la zone euro, la tendance au raffermissement de la croissance est encore plus forte avec des enquêtes de confiance des ménages au plus haut depuis 17 ans ! Comme dans le même temps, les nouvelles sont aussi positives en provenance du Japon et que les pays émergents ne montrent pas de signes de faiblesse, nous vivons aujourd’hui dans un monde de croissance forte et synchrone.

    De façon logique, ce contexte se traduit par de fortes croissances des bénéfices des sociétés. En moyenne, sur l’année 2017, les bénéfices des sociétés ont cru de +12 %, les marchés émergents étant les plus dynamiques avec une hausse de 21 % de leurs bénéfices. Et pour la première fois depuis 2010, ces estimations seront restées stables tout au long de l’année. Dans ce contexte, la hausse des marchés actions européens cette année ne semble donc pas disproportionnée, l’Eurostoxx large étant en progression de +11,2 %. De plus, contrairement à la plupart des actifs obligataires dont les valorisations commencent à devenir excessives, les marchés actions ne semblent pas aujourd’hui particulièrement chers, à l’exclusion peut être des marchés américains, sur certains secteurs.

    La dynamique de croissance étant forte aujourd’hui et l’"output gap" significatif, il nous semble que la croissance européenne devrait encore être dynamique l’an prochain, ce qui devrait induire des marchés actions porteurs en 2018. Au regard des fondamentaux, donc, aucune raison de ne pas allouer significativement nos budgets de risque en actions… avec toutefois quelques points de vigilance :

    La très faible volatilité des actifs financiers incite à la prudence. Les volatilités implicites n’ont jamais été aussi basses, elles sont poussées à la baisse par des investisseurs à la recherche de rendement. Cela fragilise le marché, car si un choc d’importance survenait, la réaction des marchés pourrait surprendre par son ampleur.

    Les risques politiques et géopolitiques restent très présents et, s’ils sont aujourd’hui largement ignorés par les marchés, ils n’en restent pas moins prégnants. La situation en Corée du Nord n’a ainsi eu aucun impact jusqu’ici, mais un dérapage ne peut être exclu. De même, les enquêtes visant M. Trump n’ont pas non plus beaucoup fait réagir les investisseurs… pour l’instant.

    L’idée n’est pas d’être alarmiste, l’excellence des fondamentaux constituant une bonne force de rappel à moyen terme, mais de garder en tête que certains risques ne sont pas ou peu pris en compte par le marché. A cet égard, nous notons aussi que certains actifs comme le Franc Suisse ou le Yen semblent aujourd’hui constituer des protections intéressantes pour des portefeuilles surpondérés en actions. Juste au cas où…

    >Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du dernier numéro d'Orientations et Stratégie

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    news-823 Wed, 06 Dec 2017 18:40:02 +0100 Déception sur l’inflation core zone euro, qui s’établit à 0,9% contre 1% attendu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/deception-sur-l-inflation-core-zone-euro-qui-s-etablit-a-0-9-contre-1-attendu/ Du côté de la macroéconomie, cela reste très bon, et nous avons l’impression d’écrire cela toutes les semaines depuis quelques mois maintenant !
  • Etats-Unis : l’amélioration côté immobilier se confirme avec des ventes de maison en forte accélération et des dépenses de construction, elles aussi bien orientées. La confiance du consommateur est au plus haut, la croissance du 2ème trimestre a été revue légèrement à la hausse et l’ISM Manufacturier est à 58,2 soit un niveau toujours très élevé,
  • Zone euro : déception à nouveau concernant l’inflation qui s’établit à 1,5% contre 1,6% attendu sur le headline et surtout à 0,9% contre 1% attendu sur le core. Les indices PMI Markit Manufacturiers restent bien orientés à 60,1 et les révisions de la croissance à la hausse continuent,
  • Chine : indice PMI globalement en ligne.
  • M. Powell a été confirmé par le Sénat et a donné son 1er discours officiel. Il n’y a rien de nouveau, c’est le même discours que Mme Yellen c’est-à-dire poursuite de la hausse graduelle des taux, surveillance de l’inflation, baisse du bilan programmé...

    Première bonne nouvelle concernant le Royaume-Uni depuis longtemps : il semblerait que les autorités européennes et britanniques aient trouvé un accord concernant la somme que doit payer le Royaume-Uni. Elle serait autour de 50 milliards d’euros.

    Nous rentrons dans une période très fournie en chiffres macroéconomiques et concernant les banques centrales. En effet, les 2 semaines qui viennent pourraient bouger un peu plus que celles que nous venons de vivre.

    Peu de mouvements sur les marchés actions la semaine dernière, ni sur les marchés de taux d’ailleurs avec un Bund toujours proche de 0,30%, ce que nous trouvons encore beaucoup trop faible.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

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    news-822 Thu, 07 Dec 2017 17:39:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un parc d’activités à Bobigny (93) auprès d’Opium /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-parc-dactivites-a-bobigny-93-aupres-dopium/ La Française Real Estate Managers a acquis auprès du promoteur Opium (Sas International Investissement) pour le compte de sa Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Opportunité Immo, un parc d’activités situé au 103 rue Henri Gautier dans la ZI « Les Vignes » à Bobigny. L’actif est à proximité immédiate de l’autoroute A86.

    L’ensemble, livré en septembre 2016, développe une surface utile de 5 225 m² dont 4 451 m² d’activités, 674 m² de bureaux et 57 emplacements de parking. 

    La Française REM était conseillée par l’étude Montre-Cartier-L’Herminier-Bouton Hugues ainsi que par le Département Industriel et Logistiques de Cushman & Wakefield et Opium par l’étude Michelez.

    Lire communiqué de presse

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    news-821 Fri, 08 Dec 2017 10:05:00 +0100 La Française Real Estate Partners acquiert la future Résidence Services pour seniors des Jardins d’Arcadie à Lorient (56) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-la-future-residence-services-pour-seniors-des-jardins-da/ La Française Real Estate Partners acquiert auprès de Bouygues Immobilier et d’Acapace une résidence services seniors en VEFA située à Lorient (56), pour le compte de l’OPPCI (Organisme Professionnel de Placement Collectif Immobilier) LF Résidences Seniors. La résidence sera exploitée par les Jardins d’Arcadie dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois.

    L’ensemble immobilier sera composé de 80 logements meublés (du T1 au T3) et développera 4 167 m² sur 4 niveaux dont plus de 670 m² d’espaces communs. Il disposera également de 37 places de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au premier trimestre 2020.

    La future résidence sera située à proximité du centre-ville de Lorient, au sein d’une zone d’habitation pavillonnaire et collective riche de nombreux commerces de proximité, à 1km du nouveau Centre Hospitalier Bretagne Sud et à proximité immédiate de la rive du Scorff.

    Elle bénéficiera d’une bonne desserte en transports en commun avec l’arrivée de la ligne Grande Vitesse en 2017 et la présence de 13 lignes de bus desservant l’agglomération. 

    « Cette première acquisition d’une résidence seniors gérée par les Jardins d’Arcadie permet de porter à cinq le nombre d’exploitants sur le fonds LF Résidences Seniors et contribue à notre objectif de diversification au sein de l’OPPCI. Nous espérons que cette résidence sera la première d’un long partenariat avec les Jardins d’Arcadie.», précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    La Française Real Estate Partners était conseillé par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaaux et par Builders & Partners sur les aspects techniques. Les vendeurs étaient conseillés par l'étude Thibierge.

    Lire le communiqué de presse

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    news-820 Wed, 06 Dec 2017 14:30:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un parc d’activités en VEFA à Croissy-Beaubourg (77) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-parc-dactivites-en-vefa-a-croissy-beaubourg-77/ La Française Real Estate Managers a acquis auprès de Greestone Immobilier pour le compte de la SCPI LF Opportunité Immo, un parc d’activités au sein de la zone d’activité Pariest à Croissy-Beaubourg.

    L’ensemble se situe à proximité de l'aérodrome de Lognes, au croisement de l'autoroute A4 et de la Francilienne.

    Le parc, dont la livraison est prévue pour septembre 2018, sera composé de trois bâtiments et proposera une vingtaine de lots d’environ 300 m² et 45 m² de surfaces de bureaux permettant d’accueillir des PME et des PMI. 

    Greestone Immobilier était conseillé par l’Etude Notariale Monassier et La Française REM par l’Etude notariale Pyramides 14. DBX Conseil a assisté le vendeur et l’acquéreur. 

    Lire le communiqué de presse

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    news-819 Tue, 05 Dec 2017 12:12:00 +0100 La Française Real Estate Partners renforce son organisation pour accompagner le développement de son activité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-renforce-son-organisation-pour-accompagner-le-developpement-de-so/ La Française Real Estate Partners renforce son organisation avec l’arrivée de Yann Dauloudet en qualité d’Investment Manager.

    Son expérience significative lui permettra de répondre aux attentes des clients institutionnels en termes de sourcing d’opérations et de suivi des acquisitions d’immeubles bâtis ou à bâtir.

    Dans un esprit entrepreneurial orienté clients et résultats, La Française Real Estate Partners déploie des stratégies d’investissement Core/Core+ mais aussi Value Added/Opportuniste pour une clientèle institutionnelle de premier rang, désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de  sourcing, d’acquisition, d’asset management et de reporting. 

    La Française Real Estate Partners, en tant que filiale de La Française, bénéficie du réseau et de l’infrastructure du groupe. La Française gère plus de 64 milliards d’euros d’actifs, dont 15 milliards d’euros en immobilier. 

    Yann Dauloudet a près de 20 ans d’expérience en développement et investissement immobilier en France et en Grande-Bretagne. Il était depuis 2015 responsable du pôle technique au sein de CDC GPI, la structure dédiée à la gestion d’actifs de la Caisse des Dépôts et Consignations. Auparavant, il a occupé plusieurs positions en entreprise générale et promotion immobilière, notamment chez Canary Wharf Group à Londres. 

    Yann, diplômé de l’ESTP, est titulaire d'un MBA d’HEC et d’un Master of Science – GREM (Global Real Estate Master) de l’université de Wisconsin-Madison School of Business.

    Lire le communiqué de presse

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    news-816 Fri, 01 Dec 2017 09:29:00 +0100 La Française Real Estate Partners International acquiert un immeuble de bureaux* à Hambourg /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-hambourg/ La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte de deux Sociétés Civiles de Placement Immobilier de La Française (Epargne Foncière et LF Europimmo), le Victoria Office, un immeuble de bureaux situé au 73-79 Heidenkampsweg dans le quartier d’affaires très convoité et en plein développement de City Sud à Hambourg.

    Hambourg est la plus grande ville du nord de l’Allemagne et bénéficie d’une économie florissante. De nombreuses entreprises de différents secteurs comme ceux de l’aéronautique, des énergies renouvelables ou des sciences y ont établi leur siège social.

    L’immeuble de six étages a été construit en 1992 et offre environ 19 400 m2 de surface à usage de bureaux, auxquels viennent s’ajouter 293 places de parking. L’actif a été développé en vue d’accueillir des locataires multiples. Les quatre principaux locataires sont : une société ferroviaire allemande, un prestataire de services logistiques, un éditeur international de revues professionnelles et un fournisseur de solutions d’investissement en ligne.

    Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « City Sud est un emplacement innovant et en constante évolution, mêlant actifs résidentiels et de bureaux dans l’optique de favoriser un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie familiale. L’activité de développement immobilier contenue et la demande stable du marché local devraient continuer à soutenir les niveaux des loyers. »

    La Française Real Estate Partners International a été assistée par les cabinets Clifford Chance LLP et TA Europe GmbH.

    *Exemple d’investissement détenu dans le portefeuille. Celui-ci n’est pas représentatif des investissements futurs et ne saurait refléter entièrement la composition du fonds.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-814 Wed, 29 Nov 2017 17:35:27 +0100 L’activité reste solide en zone Euro, avec l’indice PMI au plus haut depuis 2011 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-activite-reste-solide-en-zone-euro-avec-l-indice-pmi-au-plus-haut-depuis-2011/ La semaine dernière fut calme pour cause de Thanksgiving. A noter tout de même :
    • Le rapprochement en Allemagne entre le SPD et le CDU, ce qui a un effet favorable sur l’euro,
    • Les chiffres économiques sont toujours très bons en zone euro avec des indices PMI au plus haut depuis 2011 (supérieur à 60 en France!) et l’indice IFO qui sort lui aussi au-dessus des attentes, 
    • Aux Etats-Unis, les données sont globalement en ligne : des chiffres satisfaisants concernant l’immobilier et l’indice de confiance des consommateurs de l’Université du Michigan, cependant des commandes de biens durables et un indice PMI un peu décevants,
    • Le procès-verbal légèrement prudent de la Fed, ce qui a aussi un effet favorable sur l’euro. 

    Il nous semble aujourd’hui que les taux allemands ont de moins en moins de raisons d’être à leurs niveaux actuels. Ils sont chers depuis très longtemps et il nous semble qu’il y ait une conjonction de facteurs qui pourraient les amener à monter dans les semaines et les mois qui viennent. Ces facteurs sont :

    • Une croissance en zone euro en accélération, révisée fortement à la hausse depuis 3 trimestres et beaucoup plus homogène que précédemment, 
    • Des matières premières bien orientées, ce qui pourrait amener des surprises positives d’inflation,
    • Une diminution de moitié du QE qui arrivera début 2018 et sans doute un arrêt en septembre. Il est possible que le marché anticipe cela.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

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    news-813 Wed, 29 Nov 2017 16:51:43 +0100 Marchés et allocations ? – Gilles Mainard dans le Club Expert Flexible /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marches-et-allocations-gilles-mainard-dans-le-club-expert-flexible/ Mardi 28 novembre, Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française a participé au Club Expert Flexible organisé par Club Patrimoine et Actusite.

    Au cours de ce Club différents sujets ont été abordés :

    • Les principaux choix de gestion sur l’année 2017
    • Les raisons de la hausse du marché américain
    • Consolidation ou rally de fin d’année ? Que se passera-t-il au mois de décembre ?
    • Les stratégies d’investissement pour 2018 

    Réponse avec Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française AM dans le Club Expert Flexible de Club Patrimoine et Actusite. Interrogé par Jean-François Filiatre et George de La Taille, Gilles Mainard était entouré de Stanislas de Bailliencourt (Gérant associé chez Sycomore AM) et Malik Haddouk (Directeur de la Gestion Diversifiée chez CPR AM).

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    news-812 Wed, 29 Nov 2017 10:08:08 +0100 La Française Real Estate Partners acquiert la future Résidence Services pour séniors Domitys située à Quincy-sous-Sénart (91) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-acquiert-la-future-residence-services-pour-seniors-domitys-situee/ La Française Real Estate Partners acquiert, auprès d’Aegide et Groupe Interpromotion (en co-promotion), une résidence services séniors en VEFA, située à Quincy-sous-Sénart (91). La résidence sera exploitée par Domitys, le leader du secteur, dans le cadre d’un bail de 11 ans et 9 mois ferme. L’acquisition est réalisée pour le compte de l’OPPCI (Organisme Professionnel de Placement Collectif Immobilier) LF Résidences Seniors.

    La future résidence services pour seniors, composée de 115 appartements meublés (du T1 au T3), développera 5 400 m² sur 3 niveaux, dont plus de 900 m² d’espaces communs et disposera de 58 places de stationnement. La date de livraison de l’actif est prévue au T1 2020.

    La résidence sera idéalement située proche du centre-ville, regroupant tous les services et commerces de proximité, et au sein d’un environnement résidentiel, entre la forêt de Sénart et la rivière l’Yerres. Elle sera facilement accessible en transports en commun depuis la Gare de Boussy-Saint Antoine (RER D et TER R) et desservie par 5 lignes de bus. 

    « Cette acquisition permet de renforcer la coopération avec le groupe Aegide Domitys et de consolider l’exposition à la région Ile-de-France du fonds LF Résidences Seniors », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.

    La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Allez et Associés sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Egis Conseil Bâtiment sur les aspects techniques. 

    Les vendeurs étaient conseillés par l'étude 14 Pyramides et par le Pôle Résidentiel du Département Investissement de Jones Lang Lasalle.

    Lire le communiqué de presse

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    news-811 Tue, 28 Nov 2017 09:43:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Linkcity un complexe hôtelier 4* qui sera exploité par Odalys à Cavalaire-Sur-Mer (83) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-linkcity-un-complexe-hotelier-4-qui-sera/ La Française REM a acquis en VEFA auprès de Linkcity Sud-Est, un complexe hôtelier de type résidence de tourisme 4 étoiles qui sera exploité par Odalys, n°2 européen des résidences de tourisme et filiale du Groupe Duval, dans le cadre d’un bail en état futur d’achèvement d’une durée de douze ans.

    Cavalaire-sur-Mer se situe entre Le Lavandou et Saint-Tropez. La commune offre 4 kilomètres de plage et est accessible via la Gare de Hyères et l’Aéroport de Toulon-Hyères. Réalisé dans un esprit traditionnel provençal, le complexe hôtelier s’érigera au cœur d’une pinède, Chemin des Canissons. Il comprendra 95 appartements pouvant accueillir 2 à 6 personnes (494 lits), pour une surface habitable de 3 267 m² en R+4 et disposera d’une piscine extérieure, d’une salle de séminaire et d’un espace SPA détente avec piscine intérieure, sauna, hammam et salle de fitness.

    La résidence, dont la livraison est prévue pour le 2ème trimestre 2019, sera conforme à la règlementation thermique 2012 et s'inscrira dans une démarche BDM (Bâtiment Durables Méditerranéens).

    L’actif a été acquis par La Française REM pour le compte de la SCPI Epargne Foncière. La Française REM était assistée par l’Etude Allez et Associés et le Cabinet Fidal et Linkcity par l’Etude de la Tour Méditerranée à Marseille.

    Lire le communiqué de presse

     

    © Atelier Xavier Bohl

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    news-810 Fri, 24 Nov 2017 18:00:43 +0100 LFIS Nommé Meilleur Groupe - Hedge Fund /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lfis-nomme-meilleur-groupe-hedge-fund/ Le 23 novembre, LFIS a été nommé Meilleur Groupe - Hedge Fund au cours de la cérémonie des Hedge Funds Review European Awards 2017. Ces prix récompensent les meilleurs hedge funds européens de l’industrie, sélectionnés par un jury composé de professionnels de la gestion d’actifs, de consultants et de journalistes. Hedge Fund Review a notamment retenu le développement significatif de LFIS depuis sa création et la réussite de son business model inédit.

    Depuis sa création en février 2013, LFIS a vu ses actifs sous gestion croître à $9.4 milliards (1). Nos deux stratégies Premia et Crédit ont été récompensées plusieurs fois par l’industrie et nos pairs pour leurs performances de premier plan sur leur marché. La base de client de LFIS s’étend désormais dehors de l’Europe, avec notamment des investisseurs d’Asie et du Canada. 

    Cette réussite atteste de la confiance de nos clients envers LFIS. Nous souhaitons particulièrement remercier nos investisseurs et nos partenaires pour leur soutien.

    (1) Données non-auditées au 31 octobre 2017.  

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    news-807 Fri, 24 Nov 2017 10:47:07 +0100 Alger on the money - Vous en avez pour votre argent /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-vous-en-avez-pour-votre-argent/ En règle générale, les investisseurs s’attendent à ce que les valeurs de croissance présentent des ratios cours/bénéfices (PER) supérieurs à ceux des actions décotées, mais tout le monde ne sait pas exactement pourquoi. Pour comprendre cet écart dans les valorisations, il faut considérer les variables qui dictent l'évolution des multiples du PER : la croissance, la rentabilité et le risque. Compte tenu des meilleures performances des valeurs de croissance au regard de ces trois variables, on peut supposer que leurs PER plus élevés sont justifiés.

    d’une meilleure rentabilité des fonds propres et de bilans moins risqués que l’indice Russell

    1000 Value.

    en croit l’histoire (voir Alger On the Money « Another Forecast from the Greatest Predictor »),

    et ce malgré leurs valorisations plus élevées que celles de l’ensemble du marché.

    croissance, et invite les investisseurs à considérer celle-ci comme une composante cruciale

    de leurs portefeuilles.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

     

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    news-806 Thu, 23 Nov 2017 10:28:49 +0100 Marc Bertrand participe à la 4e Journée Nationale des Investisseurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marc-bertrand-participe-a-la-4e-journee-nationale-des-investisseurs/ La 4e Journée Nationale des Investisseurs (JNI) se déroulera le 30 novembre 2017.

    La JNI mettra à l'honneur les initiatives souvent méconnues d'investisseurs et de leurs partenaires rendues possibles grâce à leur esprit visionnaire.  Marc Bertrand participera le 30 novembre au panel intitulé "Evolution et transformation des grandes métropoles : quelle stratégie d'investissement en immobilier en France et à l'international ? Comment les investisseurs peuvent contribuer à la conception des villes "intelligentes" pour réinventer notre manière de produire, de stocker et d'utiliser l'énergie ?"

    Quelques sujets qui seront abordés lors cette JNI 2017 : 

    •  La réglementation renforce la qualité des contrôles et l'efficacité des backs offices 
    •  L'intelligence artificielle se diffuse dans les systèmes d'information et de gestion 
    •  Les réaménagements urbains dynamisent l'immobilier 
    •  La transmission guide les choix des investisseurs éclairés 
    •  Une gestion financière taillée sur mesure 

    JNI 2017

    30 novembre 2017 - 9h00
    Hôtel Salomon de Rotschild
    11 rue Berryer - 75008 Paris

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    news-805 Thu, 23 Nov 2017 09:59:22 +0100 "Nous observons une évolution rapide des usages des espaces dans les immeubles de bureaux" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nous-observons-une-evolution-rapide-des-usages-des-espaces-dans-les-immeubles-de-bureaux/ Marc Bertrand, Président de La Française REM, nous explique les principales évolutions que connaît l’immobilier alors que la transformation des grandes métropoles en "smart cities" a à peine débuté. Il détaille les opportunités post Brexit en Europe mais aussi en anticipation du déploiement du Grand Paris. Entretien réalisé par Ludivine Garnaud, rédactrice en chef d’Instit Invest. 

    Quel est votre positionnement dans l’immobilier ?

    Sur les 64 milliards d’euros gérés par La Française, 15 milliards sont réalisés dans l’immobilier. Notre clientèle se compose pour moitié d’institutionnels (deux tiers français et un tiers étranger) et pour l’autre moitié, de particuliers français présents via les SCPI. Nous investissons essentiellement dans des bureaux (deux tiers des encours) mais aussi dans des actifs commerciaux (un quart) et pour le reste dans du résidentiel et dans les autres secteurs (logistique, hôtels…).

    En France, nous sommes exposés à hauteur de 50% sur l’Ile-de-France et de 50 % sur la province. En 2017, nous avons investi 2 milliards d’euros en France et en zone Euro. Cette présence importante et durable signifie que nous sommes consultés pour tous les projets majeurs du marché.

    Notre gestion de l’immobilier repose sur une équipe de 140 personnes dont 120 sont présentes en France, 15 en Allemagne, à Francfort, et 5 au Royaume-Uni.

    Comment appréhendez-vous le marché européen ?

    Globalement, nos investissements sont à 80% français, les 20% restants étant essentiellement réalisés en Allemagne et au Benelux, et dans une moindre mesure au Royaume-Uni et en Irlande. Notre présence en Allemagne nous a permis notamment de lancer  depuis trois ans des SCPI couvrant ce pays qui ont eu un réel succès auprès de la clientèle de particuliers français.  

    Aujourd’hui, nous observons que la gestion de fonds immobiliers est en train de vivre une intense phase de diversification des investissements. Cette diversification est notamment rendue nécessaire par l’augmentation des volumes de collecte. Investir dans la zone Euro ne modifie pas profondément les rentabilités car les taux de rendement  dans les grandes villes d’Europe sont assez comparables, situés entre 3,70 et 4,50% environ. Cependant, cet élargissement permet de se situer sur des cycles économiques et des  cycles des loyers qui peuvent être très différents d’un pays à l’autre. Ainsi, au Royaume-Uni, nous sommes en haut de cycle, en Allemagne, la croissance se poursuit, tandis qu’en France, les loyers restent bas mais avec des perspectives de croissance en net redressement.

    Avez-vous noté un « effet Brexit » sur l’année écoulée ?

    Tout d’abord, il faut rappeler le contexte. Le marché londonien a redémarré relativement rapidement après la crise financière et affichait encore récemment des taux de rendement bas avec des loyers très hauts.  Ce cycle haussier a déclenché une période de forte construction puis de livraisons d’immeubles neufs entre 2013 et 2016. Or, parallèlement, le Brexit a pour effet d’inciter certaines entreprises à quitter le pays faisant ainsi baisser la demande. Offre importante et demande hésitante ; nous sommes par conséquent dans une phase de retournement cyclique du marché Londonien. La nouveauté est que l’incertitude du Brexit incite les investisseurs à la prudence et ne facilite pas le rééquilibrage rapide du marché.

    Comment un investisseur peut-il diversifier son portefeuille tout en restant en France ?

    L’investisseur doit se demander quelles grandes villes françaises en dehors de Paris tirent leur épingle du jeu de la progression de l’activité économique, du développement des infrastructures, etc. Cela passe forcément par une analyse de la métropolisation. Lille est un exemple de réussite et dotée d’un joli potentiel. Située à une heure de Paris et à une heure et quart de Londres, elle a su tirer parti de sa géographie. Les projets urbains de rénovation y sont très prometteurs. De même, Bordeaux et Nantes, deux villes bien desservies par le TGV, offrent de belles opportunités en centre-ville. A l’inverse, Rouen et Orléans pourtant situées à une heure de Paris ont vu leur activité quelque peu aspirée par la région capitale.

    L’analyse de ces différents marchés implique l’analyse de la politique menée par les villes. Plus précisément, il faut analyser l’équipe en charge du développement urbain au niveau de l’agglomération. Lyon, de ce point de vue, est modèle car la politique menée au niveau de la communauté urbaine lui donne aujourd’hui une place à part notamment en immobilier d’entreprises. Elle n’a rien à envier en termes de dynamisme à d’autres villes européennes comme Milan, Düsseldorf…

    Quelles opportunités va offrir le projet Le Grand Paris ?

    C’est un projet urbain de grande qualité et ambitieux qui prévoit un quasi doublement des infrastructures de transport. Certaines zones vont évidemment tirer parti de ces investissements massifs, comme par exemple Saint Denis Pleyel qui va bénéficier d’une gare géante, interconnexion à termes aussi importante que Paris St Lazare.

    En revanche, nous estimons qu’il y a actuellement dans le Grand Paris une surpondération des projets en bureaux, singulièrement sur les gares d’importance secondaire. Sur ces zones, il nous semble que le logement doit être privilégié  car la demande reste forte pour ce type de biens. Ce rééquilibrage est nécessaire mais reste dans les faits compliqué pour les municipalités pour qui la création de logement implique implacablement d’importants investissements en équipements publics, avec peu de ressources supplémentaires à mettre en face.

    Qu’en est-il de la diversité sectorielle ?

    De nombreux choix sont offerts à l’investisseur. Ce dernier doit garder à l’esprit que ce sont les besoins sociaux et démographiques qui dictent l’évolution des nouveaux besoins en termes de bâtiments. Ainsi, nous notons des opportunités intéressantes dans les résidences étudiantes ou pour jeunes actifs, ou encore dans les résidences de tourisme, les résidences seniors non médicalisées pour une population encore autonome à la recherche de services de distraction, sans oublier les résidences pour la gestion de la dépendance type Ehpad. Tous ces biens n’offrent certes des taux de rendement pas très élevés mais des cash flows très visibles et très longs. 

    Investissez-vous dans des immeubles connectés ?

    Il est clair qu’aujourd’hui un immeuble qui ne « connecte pas », c’est-à-dire un immeuble dans lequel  le wifi ou les portables ne passent pas  sera disqualifié à la location. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Les immeubles récents intègrent une  gestion technique très sophistiquée des bâtiments (GTB). Je note avec un certain amusement qu’il il y a encore un écart très important entre le mode de construction des bâtiments et l’usage qui en est fait. Par exemple, un bureau d’étude pourra évaluer une consommation d’énergie pour un immeuble de bureaux qui sera très différente de celle constatée par la suite en occupation réelle. Il faut rester vigilant à ce que la technologie déployée reste à la portée des utilisateurs. A défaut de comprendre la technologie, l’humain passe au système D qui est généralement assez énergivore.

    Nous observons également une évolution rapide des usages des espaces et des services dans les immeubles de bureau Ainsi, les restaurant d’entreprises  ne sont  plus des « cantines » mais sont  devenus des lieux de vie occupés du matin au soir avec une décoration créative et conviviale propice aux nouveaux modes d’organisation et de travail des entreprises. Un même lieu peut ainsi avoir plusieurs usages, telle est la principale transformation observée. Au-delà de cette logique d’optimisation, de nouveaux lieux de convivialité apparaissent : un potager dans la cour d’un immeuble, une salle de sport au rez-de-chaussée, une salle de musique...  Cet ajout de nouveaux services a un coût d’exploitation, et nous faisons le constat que seuls les immeubles de taille significative peuvent absorber ces nouveaux coûts. Rationaliser et développer ces services pour les « démocratiser » vers des immeubles de taille plus modeste est un enjeu fort pour les gestionnaires que nous sommes. 

    Les investisseurs intègrent-ils de nouveaux critères liés au développement durable dans leurs demandes ?

    Plus l’investisseur est important, plus généralement il a une approche mature en matière d’ISR. La demande de reporting sur les critères ISR est en train de se renforcer, soutenue par les nouvelles règlementations. Aujourd’hui, pour un investisseur du Nord de l’Europe, il est impensable d’investir dans un actif ou un fonds non ISR. Chez les petits investisseurs, l’approche est différente. Ils ne sont certes pas opposés à l’ISR mais ils attendent que la démonstration de l’utilité économique soit faite . A nous de leur expliquer le cercle vertueux créé par la rénovation des immeubles en tenant compte des nouvelles normes. Une telle rénovation permet en effet de louer plus rapidement et parfois d’augmenter les loyers. La demande pour occuper des immeubles respectant les nouvelles normes fait d’ailleurs évoluer le marché de manière beaucoup plus rapide que la seule pression du législateur.

    Marc Bertrand participera le 30 novembre, dans le cadre de la Journée Nationale des Investisseurs, au panel intitulé : « Evolution et transformation des grandes métropoles : quelle stratégie d’investissement en immobilier en France et à l'international ? Comment les investisseurs peuvent contribuer à la conception des villes "intelligentes" pour réinventer notre manière de produire, de stocker et d’utiliser l’énergie ? »

    Pour plus d'informations, cliquez ici

     

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    news-803 Wed, 22 Nov 2017 17:41:13 +0100 L’inflation « core » aux États-Unis est sortie légèrement au-dessus des attentes, à 1,8% contre 1,7% attendu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-inflation-core-aux-etats-unis-est-sortie-legerement-au-dessus-des-attentes-a-1-8-contre-1-7-attend/ La semaine dernière fut légèrement agitée (comme la précédente) avec des marchés actions qui corrigent un peu à l’instar des spreads de crédit.

    Il n’est pas évident de savoir exactement d’où provient cette légère correction. Mais de notre point de vue cela est lié à :

    • Une correction classique après un assez fort mouvement haussier 
    • Une saison de résultats un peu moins bonne que prévue en zone euro, avec quelques risques spécifiques qui font prendre conscience au marché de la cherté de certains actifs (société Altice par exemple)
    • Des nouvelles toujours moyennes en provenance des marchés émergents avec encore des risques spécifiques importants et des chiffres chinois qui ralentissent. Cela était attendu pour la Chine, mais ce n’est jamais une bonne nouvelle pour le marché.

    L’inflation aux États-Unis est sortie légèrement au-dessus des attentes avec l’inflation core à 1,8% contre 1,7% alors que l’inflation headline passe à 2% comme attendu. Les ventes au détail sont en ligne et les chiffres immobiliers sont très bien orientés. Dans le même temps, la réforme fiscale américaine a passé la 1ère étape (la plus facile…) en étant validée en Chambre des Représentants. Ce fut plutôt une semaine constructive aux États-Unis.

    En zone euro, les chiffres continuent eux aussi d’être bien orientés (Zew - niveau de confiance des investisseurs, production industrielle, croissance allemande…) avec une balance courante au plus haut et avec M. Draghi qui est de plus en plus confiant quant à la solidité de la croissance pour les années à venir.

    En outre, c’est un peu moins bon en Chine avec des ventes au détail et une production industrielle en-dessous des attentes. La Chine est la seule grande zone où les surprises économiques sont négatives (chiffres qui sortent sous le consensus de marché).

    La situation ne s’améliore pas en Turquie avec des déclarations (assez habituelles il est vrai) de M. Erdogan critiquant ouvertement sa banque centrale. Il est peu probable que celle-ci intervienne à court terme et cela serait pourtant selon nous le seul moyen pour lutter efficacement contre la défiance actuelle des marchés. La devise est peu chère mais le flux de nouvelles est négatif et devrait le rester à minima jusqu’aux prochains chiffres d’inflation début décembre. Nous avons donc coupé la position.

    Le 5ème round de négociation Nafta a commencé la semaine dernière. Rien n’en ressort pour le moment, mais nul doute que cela aura un impact sur les actifs mexicains cette semaine.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-802 Tue, 21 Nov 2017 11:19:00 +0100 CERTIVIA : 3 ans après, des objectifs atteints au profit des séniors /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/certivia-3-ans-apres-des-objectifs-atteints-au-profit-des-seniors/ Avec un patrimoine acquis de près de 250 biens, Certivia, premier fonds Institutionnel dédié au viager et créé il y a 3 ans, confirme ses ambitions et sa forte vocation sociétale en dépassant son objectif à mi-parcours.

    En effet, les crédirentiers ayant à ce jour cédé leur bien en viager à Certivia ont sensiblement amélioré leurs conditions de vie tout en se maintenant dans leur logement : en moyenne, ils ont reçu un bouquet de 80 000 € au moment de la vente et perçoivent une rente mensuelle de 1 000€, soit une augmentation de leurs revenus de plus de 50%.

    L’impact social de cette action innovante est significatif comme en témoignent les motivations recueillies auprès des crédirentiers ayant fait confiance à Certivia : pour 45% des avis exprimés à Certivia, il s’agit de faire face à une situation de précarité actuelle ou à venir et/ou de protéger le conjoint ; pour 24% des crédirentiers, Certivia leur permet d’effectuer des donations de leur vivant à leurs proches et enfin, 25% des crédirentiers déclarent vendre à Certivia afin d’améliorer leur quotidien et profiter de leur retraite, tandis que 6% le font avec pour objectif d’adapter et de rénover leur logement.

    Certivia confirme ainsi son implication à vocation sociale et accroit son ambition puisque le fonds vise désormais 450 biens d’ici septembre 2019, un objectif supérieur aux 400 acquisitions prévues initialement. Certivia démontre ainsi clairement la pertinence de son modèle novateur qui s’inscrit pleinement dans la mouvance de la finance responsable et solidaire.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-801 Wed, 22 Nov 2017 09:35:56 +0100 Le fonds à échéance : une solution adaptée à la recherche de rendement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-fonds-a-echeance-une-solution-adaptee-a-la-recherche-de-rendement/ La Française vous fait découvrir en quelques minutes cette approche adaptée à une recherche de rendement tout en diversifiant ses placements.

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    Le fonds obligataire à échéance par La Française, une approche combinant plusieurs caractéristiques clés qui en font une solution adaptée à la recherche de rendement tout en diversifiant ses placements.

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    news-799 Thu, 23 Nov 2017 08:49:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) Acquiert le 70 rue de Villiers à Levallois-Perret (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-70-rue-de-villiers-a-levallois-perret-92/ La Française REM a acquis pour le compte de trois Sociétés Civiles de Placement Immobilier (Multimmobilier 2, Pierre Privilège et Eurofoncière 2), un immeuble de bureaux situé au 70 rue de Villiers à Levallois-Perret (92).

    L’actif est idéalement situé dans le quartier Ouest des Affaires qui accueille plusieurs entreprises prestigieuses.

    En cours de restructuration, l’immeuble développera 3 575 m², répartis en R+7. Les deux niveaux de sous-sol accueilleront 98 places de parking. La livraison est prévue en septembre 2018. Une certification BBC Effinergie Rénovation PEQA est visée.

    La Française REM était assistée de l’étude 14 Pyramides.

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    news-797 Wed, 22 Nov 2017 09:24:00 +0100 La Française renforce son équipe Fixed Income avec le recrutement d’une Responsable de la gestion obligataire /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-fixed-income-avec-le-recrutement-dune-responsable-de-la-gestion-ob/ Pour développer son pôle de gestion obligataire pesant près de 9 milliards d’euros d’actifs sous gestion, La Française recrute une Responsable de la gestion obligataire, Maud Minuit, au sein du pôle Fixed Income et Cross-Asset dirigé par Jean-Luc Hivert.

    Basée à Paris, l’équipe Fixed Income et Cross-Asset de La Française se compose de vingt-deux gérants répartis en trois pôles d’expertises couvrant l’ensemble des classes d’actifs obligataires. Elle représente près de 45% des encours gérés du groupe et est mise en œuvre au sein d’une gamme de fonds ouverts mais également de fonds dédiés et mandats pour une clientèle française et internationale.

    Maud Minuit dispose d’une expérience de 18 ans dans la gestion de taux multi-classes d’actifs. Précédemment responsable de la gestion taux et change chez Groupama AM, elle a développé notamment une expertise sur les obligations indexées sur l’inflation via la gestion du fonds Euro puis du lancement d'un fonds Global en 2009. Maud a également développé une expertise en gestion total return avec le lancement en 2009 d’un des premiers fonds de performance absolue obligataire. A partir de 2012, Maud Minuit a dirigé l’équipe de gestion de taux et change composée de six personnes. 

    Au-delà de son expertise technique obligataire, Maud Minuit a acquis une expérience solide dans la relation clients (reporting, appel d’offres, road show, développement produit…) qui viendra en appui des équipes commerciales France et internationale. 

    Maud Minuit est titulaire d’un DESS en Stratégies Financières et Epargne Collective de l’Université de Poitiers.

    Le profil et les compétences de Maud Minuit sont ainsi un atout pour la stratégie et la dynamique du groupe sur cette expertise : gestion de convictions, capacité technique et incarnation de l’expertise.

    En qualité de Responsable de la gestion obligataire, Maud encadrera une équipe de gérants et dirigera les expertises de gestion monétaire, obligataire, Total Return Obligataire et Inflation. Son expérience contribuera à forger les convictions et le savoir-faire du groupe et se reflètera dans la prise de décision d’allocation.

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    news-795 Mon, 20 Nov 2017 10:12:35 +0100 Guillaume Pasquier présente le Projet Grand Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/guillaume-pasquier-presente-le-projet-grand-paris/ La Française lauréate pour 3 sites emblématiques de l’appel à projets « Inventons la Métropole du Grand Paris ». À cette occasion, Guillaume Pasquier, Responsable du développement des foncières revient sur la stratégie de La Française sur le Grand Paris et son projet de foncière sur cette thématique.

    Quel intérêt porte La Française pour le projet du Grand Paris ?

     

    Le projet du Grand Paris est le plus grand projet d’infrastructures en Europe, visant à maintenir la place de Paris comme ville-monde.

    La colonne vertébrale du Grand Paris est la construction du Grand Paris Express, un nouveau système de métro automatisé qui représente un investissement de 32 milliards d’euros. Dans les 10 prochaines années nous prévoyons une augmentation de deux fois la taille du réseau métropolitain actuel avec 200km de lignes de métro et 68 nouvelles stations. Ce projet, ainsi que le contexte post-Brexit et les JO 2024 viennent amplifier cette dynamique de reprise économique et renforce l’optimisme quant aux perspectives de croissance du Grand Paris.

    Le Groupe La Française, via notre Président Xavier Lépine, est un fervent ambassadeur de ce projet de construction et d’évolution de la ville depuis plusieurs années. Nous avons la conviction que ce projet changera l’ampleur de Paris car il crée de nombreuses opportunités de développement. Il aura également un impact sur chaque classe d’actif des marchés immobiliers de la région.

     

    Quelles étapes sont déjà enclenchées ?

     

    Depuis 40 ans, La Française développe son expertise immobilière dans la région parisienne où nous gérons un portefeuille de plus de 750 acquisitions et plus de 1 millions de m². Notre expérience en tant qu’entreprise française, nous offre une position stratégique dans l’implémentation de stratégies d’investissement liées au projet Grand Paris. C’est pourquoi La Française lance un projet de foncière, avec une portée plus large que nos fonds collectifs traditionnels, exclusivement dédié au Grand Paris.

    Nous avons déjà défini nos critères et stratégies d’investissement :

    o Nous nous positionnerons en amont sur des projets, y compris l’achat de fonciers à développer ou redévelopper.

    o Nous souhaitons investir dans des quartiers porteurs du Grand Paris avec un fort potentiel de création de valeur grâce à la proximité de futures gares.

    o Notre stratégie vise la constitution d’un portefeuille diversifié incluant les bureaux, commerces et logements, commercialisés via un dispositif innovant.

    La Française a participé à l’appel aux projets « Inventons la Métropole du Grand Paris », et a candidaté pour plusieurs opportunités de développement autour des nœuds clés du Grand Paris. En octobre 2017, nous avons remporté 3 sites emblématiques du Grand Paris qui représentent notre stratégie d’investissement. Ils sont au sein d’une stratégie de développement urbain et seront desservis par les nouvelles lignes de métro. 

     

    Quelles sont nos prochaines étapes ?

     

    Nous allons poursuivre l’analyse d’autres sites liés aux projets du Grand Paris, avec un potentiel de développement de grande ampleur qui s’inscrit dans le temps. La Française continue à rechercher des investisseurs qui croient en notre stratégie et le potentiel de transformation du Grand Paris, avec une capacité d’investissement d’un milliard d’euros ou plus. Nous vous offrons la possibilité d’investir dans les quartiers de demain du Grand Paris, de contribuer à leur développement et d’en recueillir les fruits de long terme.

     

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    news-794 Mon, 20 Nov 2017 09:59:19 +0100 La Française Real Estate Partners annonce la signature du bail du premier supermarché ALDI à Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-annonce-la-signature-du-bail-du-premier-supermarche-aldi-a-paris/ La Française Real Estate Partners annonce la signature du bail du premier supermarché ALDI à Paris au sein de l’immeuble dont elle a la gestion pour le compte d’un investisseur institutionnel. L’immeuble est situé au 129 boulevard Davout (Paris 20ème) et abrite également une nouvelle résidence étudiante.

    Le groupe ALDI est un des leaders européens de la grande distribution avec 8 000 points de vente. Il développera son nouveau concept adapté au centre-ville sur une surface totale de 980 m². Les clients bénéficieront de 95 places de stationnement directement reliées au local. L’ouverture est prévue le 22 novembre.

    « Cette nouvelle signature pilotée en direct par l’équipe que j’anime illustre notre savoir-faire en matière de commerces » indique Patrice Genre, président de La Française Real Estate Partners. « De plus, les futurs locaux ont été restructurés en collaboration avec l’enseigne afin de livrer un ouvrage adapté à ses besoins ».

    Lire l'intégralité du communiqué

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    news-793 Wed, 22 Nov 2017 11:55:00 +0100 La Française présente à la convention professionnelle Actualis Associés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-presente-a-la-convention-professionnelle-actualis-associes/ La Française participe à la convention des 27 et 28 novembre 2017. Actualis Associés, groupement de cabinets indépendants de conseil en stratégie patrimoniale qui a vocation de générer les synergies entre ses membres en respectant leur indépendance dans l'exercice de leur profession, organise sa convention annuelle les 27 et 28 novembre dans les locaux de l'APREP. A cette occasion, La Française participe à plusieurs tables rondes.

    Les thématiques abordées, auxquelles participe La Française, permettront aux participants d'obtenir des réponses à leurs interrogations patrimoniales.

    La Française participera à plusieurs tables rondes lors de cette convention: "Politique & économie les nouveaux défis"? 


    Lundi 27 novembre

    10h00 Table ronde Les vertus de la croissance avec ou sans inflation, avec la participation de Pascale Auclair, Président de La Française AM

    15h30 -16h30 Table ronde Immobilier, Remontée des Taux : Danger ou pas sur la Sécurité et le Rendement, avec la participation de Christophe Inizan, Directeur Commercial de La Française AM

    Mardi 28 novembre 

    9h30 - 10h30  Table ronde PRIIP's et Architecture ouverte des Contrats d'Assurance Vie - Réglementation et Enjeux de la Digitalisation, avec la participation de Thierry Sevoumians Directeur Général de La Française Finance Services

    Convention Actualis Associés
    27 et 28 novembre 2017
    locaux de l'APREP, 26 rue Montholon - 75009 Paris

     

     

     

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    news-792 Thu, 16 Nov 2017 15:23:51 +0100 La Française sponsor des Rencontres Fin&tech /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-sponsor-des-rencontres-fintech/ La 6e édition des Business SPEED Meetings Fin&Tech se déroulera le 29 novembre prochain. Réunissant tous les acteurs de l'écosystème financier, la 6e édition des Business SPEED Meetings Fin&Tech, rendez-vous bi-annuel de la filière finance et innovation, se déroulera le 29 novembre 2017 à Paris.

    Cette journée sponsorisée par La Française permettra la rencontre entre nouvelles fintech labellisées et futurs partenaires. 

    Rencontres Fin&tech - 29 novembre 2017
    FRENCHTECH Central Station F
    55 boulevard vincent auriol, 5 parvis Allan Turing, 75013 Paris

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    news-790 Wed, 15 Nov 2017 18:22:06 +0100 La croissance en Zone Euro est maintenant estimée à +2,2% en 2017 (contre +1,7% aux estimations de printemps) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-croissance-en-zone-euro-est-maintenant-estimee-a-2-2-en-2017-contre-1-7-aux-estimations-de-printe/ La réforme fiscale américaine avance, mais difficilement. Le sénat américain a fait des propositions assez éloignées de celles des députés, ce qui pourrait décaler l’application de cette réforme à 2019.

    L’impact sur le marché est pour le moment étonnant avec un dollar qui progresse mais très légèrement, et des taux américains qui montent, ce qui est assez contre intuitif. De façon assez logique, les actions corrigent même si ce mouvement avait commencé antérieurement à cette nouvelle : on a effacé toute la hausse post BCE.

    La Commission Européenne a de son côté revu les prévisions de croissance européenne à la hausse : +2,2% vs +1,7% en 2017 et +2,1% vs +1,8% en 2018. Cela est logique étant donné le rythme actuel de croissance (autour de +2,5%) et confirme la bonne santé de l’économie européenne.

    La semaine a aussi été marquée par les troubles au Moyen-Orient et la répression en Arabie Saoudite. La situation est globalement instable entre Iran, Liban, Arabie Saoudite et Yémen, ce qui pousse les prix du pétrole à la hausse. 

    Du côté macroéconomique, peu de chiffres cette semaine, qui restent toujours bien orientés ; rien à signaler de ce côté.

    Les marchés bougent un peu depuis quelques jours : après avoir fortement baissé post BCE, les taux repartent à la hausse sans qu’il y ait d’évènement à noter. Dans le même temps, les actions baissent et le crédit souffre un peu, ce qui est très rare sur le passé récent. Un peu de volatilité aussi autour des spreads périphériques qui se sont resserrés de 9bps une journée pour faire le mouvement inverse le lendemain. 

    Nous avons augmenté nos positions vendeuses de sensibilité en début de semaine, ainsi que nos positions longues dollar vs Euro. Nous commençons aussi à acheter un peu d’actions européennes après la baisse des derniers jours, sachant que nous n’avions plus du tout d’exposition.

     

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-789 Thu, 16 Nov 2017 11:19:00 +0100 Moniwan reçoit le prix du projet le plus innovant en matière d’évolution digitale /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/moniwan-recoit-le-prix-du-projet-le-plus-innovant-en-matiere-devolution-digitale/ La cinquième édition des Trophées de l’Asset Management s’est déroulée le mardi 14 novembre, avec la participation d’une centaine de professionnels. Organisée par Option Finance, Funds Magazine et en partenariat avec Deloitte, le groupe La Française s’est vu remettre le prix du projet le plus innovant en matière d’évolution digitale pour son projet Moniwan.

    Le prix de l’innovation digitale par Option Finance

    Créé en 2016, Moniwan est le premier projet digital récompensé. Ce prix a pour vocation à encourager et à valoriser une initiative digitale innovante. Il vise particulièrement à récompenser, le recours à une solution digitale, permettant ou ouvrant la voie à une modification du business model, une amélioration de l’efficacité opérationnelle et du capital humain à travers :

    • L’expérience client 
    • La Recherche et Processus d’investissement 
    • Le processus opérationnel
    • La gestion des talents
    • La dématérialisation
    • Les domaines technologiques

    L’innovation chez La Française

    Le projet Moniwan a permis l’accélération significative de l’adoption de projets innovants au sein du modèle opérationnel du groupe La Française. 

    Tout d’abord, nous avons adopté une méthode organisationnelle agile et flexible : 

    • Intelligence Collective : mise en relation des compétences de chacun sur un projet commun, peu importe le service. Chaque membre du projet est responsabilisé sur son domaine de compétence, sous l’égide d’un management horizontal.
    • Usage optimal d’outils collaboratifs : planification et workflow digitalisés 

    Par la suite, nous avons mis en place une dynamique d’évolution du site pour assurer sa promotion et sa visibilité. Les optimisations continues des projets et processus ainsi que les actions marketing digitales sont réalisées en "test and learn". Toutes les actions sont objectivées et mesurées afin d’analyser leur efficacité et d’améliorer les prochaines campagnes.

    Le mot de Christophe Descohand

    "Nous sommes très fiers de recevoir ce prix de la part de la profession après avoir reçu l’adhésion de nos clients et du marché, ce n’est que le début de l’histoire, nous travaillons chaque jour à l’évolution de Moniwan pour toujours mieux accompagner les investisseurs dans les réponses à leur projet de vie."

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    news-788 Wed, 15 Nov 2017 11:18:13 +0100 Pierre Papier, quelle stratégie suivre ? – Marc Bertrand dans le Club Expert Immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pierre-papier-quelle-strategie-suivre-marc-bertrand-dans-le-club-expert-immobilier/ Marc Bertrand était l'invité du dernier Club Expert Immobilier. Retrouvez son intervention

    Différents sujets ont été abordés au cours de ce Club :

    • Une nouvelle collecte record 
    • Quel impact de l’IFI sur la collecte ?
    • Des prévisions pour 2018 ?
    • Les stratégies d’investissement pour 2018

    Réponse avec Marc Bertrand, CEO de La Française Global REIM dans le Club Expert Immobilier de Club Patrimoine et Actusite.

    Interrogé par Jean-François Filiatre et George de La Taille, Marc Bertrand était entouré de Jean-Marc Coly (Directeur Général Amundi Immobilier), Laurent Fléchet (Président de Primonial REIM) et Eric Cosserat (Président de Périal).

    Emission enregistrée le 14/11/2017.

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    news-786 Tue, 14 Nov 2017 09:27:32 +0100 Pourquoi investir sur les marchés de dette émergente fait toujours sens aujourd’hui /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pourquoi-investir-sur-les-marches-de-dette-emergente-fait-toujours-sens-aujourdhui/ A l’heure où les investisseurs peinent à trouver des rendements attractifs sans augmenter drastiquement le niveau de risque pris, il semble nécessaire de s’intéresser au marché de la dette souveraine émergente.

    Bien que ce dernier ait nettement progressé depuis deux ans et alors que les banques centrales du monde développé cherchent une issue à leurs programmes de « quantitative easing », cette classe d’actif peut permettre de remplir au moins quatre des objectifs de tout investisseur : placer son argent dans un secteur en pleine croissance, profiter de fondamentaux économiques solides, obtenir un taux de rendement attractif et diversifier ses paris.

    La profondeur du marché de la dette souveraine des pays dits émergents ne cesse de s’accroître et démontre qu’il est nécessaire de s’intéresser de près à cette classe d’actif. Le marché de cette dette libellée en devises fortes (USD, Euro et Yen) est en effet passé de 400 milliards de dollars en 2004 à 900 milliards aujourd’hui. De même, celui de la dette libellée en devises locales est passé de 1 600 milliards de dollar en 2004 à 7 500 milliards cette année. 

    Par ailleurs, les fondamentaux économiques solides des pays émergents suscitent, à juste titre, un intérêt toujours vif de la part des investisseurs. Au global, le différentiel de croissance continue de se creuser avec les pays développés : 2,3 points en 2016 (1,6% de croissance réelle dans les marchés développés contre 3,9% dans les EM) contre 2,4 points attendus cette année (2,1% dans les marchés développés contre 4,5% dans les marchés émergents). Ceci se réalise sans creusement du déficit budgétaire toujours autour de 3,5%. Le niveau d’endettement reste inférieur de moitié à celui des marchés développés à 47%. Par ailleurs, quatre ans après l’épisode du « taper tantrum », les comptes courants des principaux pays émergents se sont améliorés (Afrique du Sud, Brésil, Inde, Indonésie, Turquie). Enfin, l’inflation reste contenue autour de 3% attendus pour 2017, ce qui laisse des marges de manœuvre importantes aux banquiers centraux de ces pays. 

    Une approche sélective est bien sûr nécessaire pour aborder ce marché très diversifié qui compte plus de 60 pays répartis sur tous les continents et englobe toute l’échelle des notations, de « l’investment grade » au « high yield ». Une telle démarche est d’autant plus indiquée dans l’environnement global  actuel caractérisé par la volonté des grandes banques centrales de sortir de leur programme de « Quantitative Easing ». Alors que la croissance des prix peine à remonter dans le monde développé, des stratégies de sortie « agressives » de la part de la FED ou de la BCE paraissent peu vraisemblables. D’autre part, une action synchronisée de ces dernières permettra de limiter l’impact sur les devises du G3 et donc la volatilité des devises émergentes. 

    Dans ce contexte, les rendements des dettes émergentes devraient continuer à susciter l’intérêt des investisseurs : 5,50% de rendement pour la dette en dollar (J.P. Morgan EMBI Global Diversified Composte) avec une notation moyenne à BB+ et 6% pour la dette locale (J.P. Morgan GBI-EM Global Diversified Unhedged). 

    Marine Marciano-Rimeu, 

    Gérante Marchés Emergents La Française Asset Management

    Équipe de gestion actuelle, susceptible d’évoluer dans le temps. Information à jour disponible sur le portail web de La Française (www.la-francaise.com)
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    news-785 Mon, 16 Oct 2017 16:00:00 +0200 La Française et GPR lancent un nouvel indice axé sur l’immobilier coté international durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-et-gpr-lancent-un-nouvel-indice-axe-sur-limmobilier-cote-international-durable-1/ Les fonds de retraite, les investisseurs institutionnels dans leur ensemble et la clientèle de banque privée accentuent l’intégration de facteurs responsables dans leurs stratégies d’investissement. Du fait de son empreinte carbone particulièrement élevée, le secteur immobilier est naturellement une cible de choix dans la lutte contre les changements climatiques ; de plus en plus conscients de leur responsabilité à cet égard, les investisseurs cherchent à s’engager.

    Dans ce contexte, Global Property Research (GPR), fournisseur de services pour les grands établissements financiers spécialisé dans les indices de valeurs foncières sur mesure, et La Française, groupe de gestion expert en immobilier, sont fiers de vous annoncer le lancement d’un nouvel indice, dédié à l’immobilier coté international durable, pour la clientèle institutionnelle : le GPR IPCM LFFS Sustainable GRES Index, qui définit un nouveau standard en matière d’investissement responsable dans le secteur de l’immobilier coté.

    Inflection Point Capital Management UK Ltd. (IPCM) et La Française Forum Securities (LFFS), sociétés du groupe La Française, vont collaborer avec GPR sur la conception et la mise à jour continue de ce nouvel indice qui comprendra jusqu’à 150 sociétés mondiales durables, sélectionnées en fonction de leurs activités dans l’immobilier, de leur performance ESG et de leur capitalisation boursière. GPR sera chargé de constituer et de gérer l’indice.

    IPCM, société de conseil en investissement, spécialisée dans le développement durable, du groupe La Française, a recours à son propre modèle d’analyse ESG / développement durable pour mesurer la performance des entreprises au niveau de leur empreinte carbone, de leur utilisation de matières premières, d’une utilisation efficiente de l’eau et de l’électricité ainsi que de leur efficacité énergétique, mais également sur les questions de santé et sécurité, de gestion des ressources humaines et de gouvernance globale. Afin d’établir le score final et de parvenir au classement le plus juste, IPCM rassemble et synthétise les données, informations et analyses récoltées auprès d’une large palette de sources, dont celles de LFFS, qui évalue les démarches ESG des entreprises en se fondant sur sa recherche interne et les entretiens menés avec les dirigeants. GPR calcule la performance de l’indice au moyen d’une méthodologie interne en se focalisant sur les 150 premiers composants affichant la meilleure performance ESG, et effectue un rééquilibrage trimestriel.

    Jeroen Vreeker, Responsable de l’équipe indicielle de GPR, a déclaré : "Le critère durabilité est de plus en plus pris en compte dans les indicateurs sous-tendant les investissements dans l’immobilier coté. L’indice GPR IPCM LFFS Sustainable GRES couvre plus de 60 % de la capitalisation boursière totale de l’indice élargi GPR General Quoted et reste hautement diversifié d’un point de vue sectoriel et géographique. Il représente un complément idéal à la gamme de solutions indicielles sur mesure de GPR." 

    Matthew Kiernan, Directeur Général d’IPCM, a ajouté : "La demande pour des solutions d’investissement plus durables dans l’immobilier croît de manière exponentielle dans le monde entier. Les sociétés immobilières de premier plan et qui possèdent une vision de long terme ont bien identifié cette tendance et apportent de réelles innovations. Ce nouvel indice offre justement aux investisseurs une occasion unique de repérer et de se positionner sur les sociétés d’avant-garde les mieux dirigées."

    Jana Sehnalova, Directeur Général de LFFS, a commenté : "L’indice GPR IPCM LFFS Sustainable GRES définit un nouveau standard pour les investisseurs en immobilier coté qui sont sensibles aux changements climatiques. Dans un contexte de demande locative croissante pour les biens durables et de durcissement des contraintes réglementaires, les sociétés dont les sous-jacents présentent des caractéristiques environnementales supérieures et un engagement solide sur les questions sociales et de gouvernance devraient surperformer sur le plan financier.

     

    > Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez-ici

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    news-783 Fri, 10 Nov 2017 09:34:40 +0100 Alger on the money - Les bienfaits d'1% de plus /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-les-bienfaits-d1-de-plus/ Beaucoup de personnes considèrent qu’épargner revient à sacrifier des plaisirs dans le présent face à un avenir inconnu et difficile à prévoir. Heureusement, il est possible d’obtenir des résultats significatifs en ajustant légèrement un plan d'épargne existant et en l’associant à des placements intelligents.

     

    1 En supposant que le revenu annuel du foyer s'accroît de 2% par an.

     > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-782 Wed, 08 Nov 2017 17:50:48 +0100 La Française soutient les rencontres de la finance durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-soutient-les-rencontres-de-la-finance-durable/ Les rencontres de la finance durable dérouleront le 14 novembre 2017 à Paris La Défense Organisée par SKEMA Business School et  l'Observatoire International de la Finance Durable, les rencontres de la finance durable se tiendront le mardi 14 novembre prochain à Paris La Défense avec le soutien de La Française et la participation de Laurent Jacquier Laforge.

    Au programme 

    16h à 17h L’investissement socialement responsable 

    Introduction : Amaury Goguel et Dhafer Saidane

    Intervenants 

    - Nicolas Deconchon - SK 2006

    - Jean-Philippe Marsan - Novethic

    - Raphael Durand - Alumni FMI

    - Pierre-Yves Le Stradic - EthiFinance

    17h15 à 19h30 L’information extra-financière : source, normalisation et pertinence

    17h15 - 17h30 - Pascale Viala Directrice Corporate Business Development - SKEMA Business School

    17h30 - 18h00 - Etat de l'art en Finance durable au sein de l’OIFD de SKEMA 

    - Dhafer Saidane et Sabrina Roszak

    - Amaury Goguel et Fédi Kalai

    - Raluca Sandu, Anne Baraquier et Isabelle Buflier

    - Baptiste Lepotier et Ali Kabbadj

    18h00 – 18h15 – Introduction de la Table Ronde – Christian de Boissieu et Christophe Dispas

    18h15 - 19h15 - Table Ronde

    - Laurent Jacquier Laforge - La Française

    - Philippe Desfossés – Erafp 

    - Patrick de Cambourg - Autorité des normes comptables


    Les Rencontres de la finance durable
    Mardi 14 novembre 2017
    K Center - Campus de SKEMA
    Pôle Léonard de Vinci La Défense

     

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    news-781 Wed, 08 Nov 2017 17:16:58 +0100 De l'art de la diversification - La lettre Orientations et Stratégie n°184 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-lart-de-la-diversification-la-lettre-orientations-et-strategie-n184/ Près de la moitié des entreprises présentes dans les grands indices développés ont publié leurs résultats pour le troisième trimestre 2017.

    Les bons chiffres de croissance des derniers trimestres portent logiquement leurs fruits : les chiffres d’affaires sont en augmentation marquée (+5 % en Europe ; +7 % au Japon) et les résultats croissent entre +7 % aux Etats-Unis et +16 % en zone euro. Le taux de surprises positives apparaît toutefois plus élevé aux US qu’en Europe. Par ailleurs, les rendements obligataires restent à des niveaux historiquement bas (0,38 % pour une obligation allemande à dix ans) et la Banque Centrale Européenne a annoncé le 26 octobre qu’elle allait réduire ses montants d’achats mensuels tout en les prolongeant jusqu'en septembre.

    L’investisseur est donc tenté d’adopter une allocation fortement surpondérée sur les actions – en particulier Japon et zone euro - et sous-sensible sur les marchés obligataires. Chacun de ces paris est très logique au regard des fondamentaux, pour autant la construction d’un portefeuille bien équilibré en termes de risque ne peut s’appréhender comme la simple somme de convictions fondamentales, dès lors qu’elles peuvent potentiellement être corrélées.

    Ainsi, les actions japonaises et européennes bénéficient toutes deux d’un dollar fort par le truchement des marges d’exportations. Or, un dollar fort est souvent lié à une politique budgétaire plus expansive ou une politique monétaire plus restrictive, donc à des taux d’emprunts d’Etats plus élevés. On voit donc que détenir des actions japonaises et européennes d’une part, et être sous-sensible en duration de l’autre, n’offre pas toute la diversification nécessaire. Cette corrélation s’est notamment fait sentir début 2017 quand baisse des rendements obligataires, sous-performance des actions japonaises et européennes et baisse du dollar se sont conjuguées.

    Au-delà de nos convictions de gestion, une partie cruciale de notre travail en allocation d’actifs consiste donc à identifier ces facteurs exogènes clefs qui vont conditionner le comportement des diverses classes d’actifs, enfin de construire une allocation équilibrée en risque par rapport à ces facteurs, dont la trajectoire est souvent difficile à anticiper.

    Aujourd'hui, nous restons positifs sur les actions de la zone euro qui bénéficient d’une croissance forte. Nous conservons une diversification sur les actions japonaises, ces dernières sont poussées par la politique monétaire très accommodante de la banque du Japon et des profits en forte augmentation. La diversification sur les actions émergentes et la dette émergente reste pour nous pertinente, car l’activité poursuit son rebond et surtout ces classes d’actifs profitent d’un dollar plus faible, à l’inverse de nos paris sur les actions euro et japonaises.

    Sur la poche obligataire des zones développées, nous restons négatifs sur les obligations allemandes dont le niveau ne reflète pas la nette amélioration du cycle économique en zone Euro. En revanche, nous trouvons la partie très longue de la courbe américaine attractive : d’une part elle permet d’amortir les éventuels chocs de marchés sur les actions, mais elle est aussi beaucoup moins chère que la courbe allemande au regard de ses fondamentaux.

    >Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du dernier numéro d'Orientations et Stratégie 

     

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    news-778 Tue, 07 Nov 2017 16:24:58 +0100 L’inflation « core » en zone euro sort à 0,9%, en deçà des attentes de marché. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-inflation-core-en-zone-euro-sort-a-0-9-en-deca-des-attentes-de-marche/ La semaine a été assez chargée compte tenu de nouveaux éléments :
    • M. Trump a choisi M. Powell comme prochain Président de la Fed. Le marché n’a pas réagi à cette nomination qui était plutôt attendue. La politique monétaire ne devrait pas être très différente de celle menée précédemment, M. Powell ayant une pensée assez proche de celle de Mme Yellen. On notera toutefois qu’il est avocat de formation et pas économiste comme à l’accoutumée. On peut donc s’attendre à ce qu’il mette davantage l’accent sur la réglementation du secteur bancaire. L’impact potentiel est donc plutôt du côté des actions bancaires américaines
    • Un rapport d’emploi américain plutôt faible (inflation salariale à +2,4% sur 12 mois contre +2,7% attendu), l’ISM américain des services très fort à 60,1 (plus haut depuis 2005)
    • L’estimé flash de l’inflation core zone euro est sorti très nettement sous les attentes à +0,9 sur 12 mois contre +1,1% attendu. Nous allons scruter de près le chiffre officiel car les conséquences sur la politique de la BCE peuvent être importantes
    • La réunion de la Fed a entériné la hausse de décembre. Le marché a entendu le message et anticipe cette hausse à 92%. Toutefois, le dollar ne monte pas contre l'euro sur la semaine et nous avons donc pris nos profits sur notre position "long" tactique (dollar contre euro)
    • Le « Super Jeudi » de la Banque d’Angleterre, avec le rapport d’inflation et la décision sur la politique monétaire. Le comité a décidé à 7 voix contre 2 de monter son taux directeur de 25bps pour atteindre 0,5%. Toutefois, le discours de M. Carney n’était pas particulièrement rigide et la livre a baissé. Le marché anticipe très peu de hausses supplémentaires (2 sur les trois prochaines années) et nous pensons que cette prudence est justifiée par le Brexit, une croissance en berne et une politique budgétaire restrictive

    Les marchés ont globalement réagi avec une baisse des rendements obligataires (respectivement -6bps et -7bps pour les 10 ans américain et britannique). Les courbes périphériques ont elles aussi très bien performé : -16bps pour l’Italie sur la semaine.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

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    news-776 Tue, 07 Nov 2017 14:36:45 +0100 Moniwan by La Française : Un an déjà ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/moniwan-by-la-francaise-un-an-deja/ Première plateforme de distribution de solutions d’investissement en immobilier collectif 100% dématérialisée, dédiée aux particuliers, Moniwan a été lancée par La Française en octobre 2016.

    Un an après, elle enregistre une collecte de plus de 15 millions d’euros sur son offre SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). 

    Moniwan atteint ainsi ses objectifs de lancement : démocratiser la pierre-papier et la positionner auprès d’une clientèle de jeunes actifs. 40% des souscriptions ont en effet été réalisées auprès d’investisseurs âgés de moins de 44 ans. 

    Le succès de la plateforme tient à son approche différenciante cumulant :

    • Un parcours orienté « expérience client » :

    Une approche par les projets de vie et des contenus pédagogiques, qui permettent aux utilisateurs de devenir acteur de leur épargne et un service clients expérimenté et réactif.

    • Des avantages exclusifs :

    Tels que Monigo, option privilégiée par la majorité des souscripteurs permettant de gommer tout ou partie du délai de jouissance (jusqu’à 5 mois comme prévu par la documentation règlementaire de la SCPI).

    • Un programme de fidélité et de parrainage en ligne. 

    Pour Christophe Descohand, Directeur de Moniwan, « L’accueil du client est le seul critère objectif qui permet de juger de la pertinence de Moniwan. Et pour l’instant, les voyants sont au vert. Néanmoins, rien n’est acquis. Nous allons faire évoluer la plateforme pour répondre toujours mieux aux besoins des investisseurs ». 

     

    Lire l'intégralité du communiqué

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    news-774 Tue, 31 Oct 2017 17:54:05 +0100 Bien qu’attendu, la prorogation du QE de la BCE a fortement fait baisser les taux périphériques /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bien-qu-attendu-la-prorogation-du-qe-de-la-bce-a-fortement-fait-baisser-les-taux-peripheriques/ La semaine n'a pas été favorable pour le fonds avec des devises émergentes qui souffrent et la BCE qui a provoqué une réaction prudente du marché.

    Concernant les devises des marchés émergents, plusieurs facteurs jouent actuellement en leur défaveur. De manière générale, la prochaine nomination à la tête de la Fed rend incertaine la politique monétaire américaine ce qui, couplée à des chiffres macro-économiques positifs aux Etats-Unis, a un impact haussier sur le dollar. De plus, un certain nombre de raisons spécifiques impactent certaines de nos positions (discussions ALENA pour le peso mexicain, tensions diplomatiques pour la livre turque). Où en sommes-nous ?

    • Les taux américains sont quasiment revenus sur les points hauts de l’année à 2,47%. Sur ces niveaux, il nous semble que le potentiel de hausse est assez faible, surtout avec des banques centrales européenne et canadienne qui ont délivré des messages prudents la semaine dernière 
       
    • Les risques spécifiques sur les devises des marchés émergents sont réels, et il n’est pas illogique que dans un environnement haussier des taux américains, cela ait un impact important sur ces devises. Cela étant, l’ajustement nous parait être déjà considérable pour des pays dont la situation économique reste bien orientée

    En termes de valorisation et de portage, ces positions restent aujourd’hui selon nous intéressantes relativement aux autres actifs de rendement. Il est possible que la situation actuelle perdure encore quelques temps, mais nous pensons que la « logique » de portage reviendra à moyen terme.

    La BCE a tenu sa réunion la semaine dernière avec un résultat conforme aux anticipations du marché : extension à septembre 2018 et un rythme d’achat qui passe de 60 milliards à 30 milliards d'euros. C’est exactement ce que la majorité des banques publiaient avant la réunion et pourtant, cela a eu une réaction très prudente sur le marché avec une forte baisse des taux sur toutes les courbes (et surtout sur Espagne / Italie) et une forte baisse de l’euro qui passe de 1,18$ à 1,16$. Logiquement, cette baisse de l’euro a un impact très positif sur les actions européennes qui progressent de +2% environ.

    Mis à part cela, la course à la tête de la Fed semble être entre Powell et Taylor, Politico a publié un article la semaine dernière stipulant que Yellen et Warsh n’étaient plus considérés. Par ailleurs, les républicains ont adopté le budget, point nécessaire à une possible réforme fiscale aux Etats-Unis.

     

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-770 Thu, 26 Oct 2017 18:19:11 +0200 Alger on the money - Un indicateur avancé qui inspire confiance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-un-indicateur-avance-qui-inspire-confiance/ L’indice économique avancé du Conference Board (LEI) vise à reproduire les pics et les creux du cycle économique américain et à prévoir ses points d’inflexion. Sa performance positive cette année est de bon augure pour les investisseurs.

     

    1 L’indicateur LEI est un composite regroupant 10 aspects de l'économie tels que les heures de travail dans le secteur manufacturier et les attributions de permis de construire.
    2 Evercore Group LLC (2017) « Special Economic Report. » Evercore ISI.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-768 Thu, 26 Oct 2017 09:16:52 +0200 Wiztopic lève 3,7 millions d’euros auprès de NewAlpha Asset Management et d’investisseurs privés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/wiztopic-leve-37-millions-deuros-aupres-de-newalpha-asset-management-et-dinvestisseurs-prives/ NewAlpha Asset Management, via son fonds de venture capital dédié aux FinTech*, est l’investisseur leader de la levée de fonds de 3,7 millions d’euros réalisée par Wiztopic. Le fonds réalise ainsi son premier investissement dans une société franco-américaine.

    Créée à Paris en 2014 par Jérôme Lascombe et Raphaël Labbé, Wiztopic est l’éditeur SaaS de la solution logicielle de référence des communicants du secteur de la finance et des sociétés cotées. Wiztopic leur permet de gérer, référencer, diffuser par tous les canaux, notamment sociaux, et mesurer la performance de leurs informations, en conformité avec les contraintes de leur secteur.

    Aux côtés de NewAlpha Asset Management interviennent aussi des business angels issus du secteur financier comme Pierre-Antoine Dusoulier (Saxo Bank, Ibanfirst), François Le Corno (3i), Gérard Augustin-Normand (Richelieu Finance) et Didier Rousseau (Weave).

    « Notre ambition est d’être la page d’accueil et l’outil quotidien de tous les communicants de la finance en Europe et aux USA, indique Jérôme Lascombe, Président de Wiztopic. Nous cherchions des investisseurs capables d’accélérer notre croissance dans le secteur financier et à l’international. NewAlpha Asset Management s’est rapidement imposé comme une évidence. »

    « En signant avec les acteurs leaders de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs, Wiztopic a déjà démontré des résultats impressionnants. Nous sommes heureux de contribuer au développement de la société » déclare Jonathan Cohen Sabban, Directeur de Participations chez NewAlpha Asset Management. 

    « Nous avons choisi dès le départ de concentrer nos efforts sur les clients les plus exigeants, ceux qui produisent des informations sensibles, contraintes ou réglementées, précise Raphaël Labbé, CEO de Wiztopic. Nous aidons ces grandes entreprises internationales, pour la plupart cotées, à digitaliser la gestion et la distribution de leurs informations avec une approche axée sur la data. Le volume de contenus gérés par les utilisateurs de Wiztopic double chaque trimestre. »

    « Wiztopic aide les grands acteurs de la finance et les sociétés cotées à transformer une fonction clé: la communication et la gestion de l’information corporate et financière » ajoute Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha Asset Management.

    *Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiquer de presse

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    news-764 Wed, 25 Oct 2017 17:30:24 +0200 La saison des résultats se poursuit aux États-Unis et est positive comme attendu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-saison-des-resultats-se-poursuit-aux-etats-unis-et-est-positive-comme-attendu/ Contrairement à la semaine dernière, les taux 10 ans américain et allemand prennent respectivement 10 bps et 5 bps pour revenir à 2,37% et 0,45%. Ces mouvements s’expliquent à priori par :
    • Le vote du budget 2018 aux Etats-Unis, préalable obligatoire à une potentielle réforme fiscale américaine
    • Une réunion entre Donald Trump et John Taylor qui s’est bien passée ; comme ce dernier est à priori plutôt rigide (cf. la « règle de Taylor »), l’impact a été haussier sur les taux
    • Des rumeurs concernant la BCE et des achats qui représenteraient 200 milliards d'euros maximum en 2018, ce qui irait dans le sens de 30 milliards d'euros pendant 6 mois, soit moins que ce que le marché avait en tête

    Rien à signaler sur les actions, avec des marchés quasiment étales sur la semaine à l’exception du Japon qui progresse de +1,5%. Cela s’explique par les élections le week-end dernier et la victoire d'Abe (qui aurait la « super majorité »), gage de stabilité sur la politique monétaire japonaise.

    La saison des résultats est maintenant en cours aux Etats-Unis, avec 78 résultats tombés sur le S&P 500 (78% au-dessus des attentes, 9% en ligne et 12% en dessous, pour un résultat global 1% au-dessus des estimés). Bref, c’est une bonne saison, comme attendu. Pour le moment, cela ne fait pas payer les actions américaines.

    Quelques mots sur les négociations de l'ALENA entre le Mexique, le Canada et les Etats-Unis. Les négociations sont difficiles, les Etats-Unis veulent faire payer leur déficit commercial par leurs partenaires (sic !), ce qui est évidemment refusé par le Canada et le Mexique. Bref, on se reverra au prochain round de négociations dans un mois, nous ne croyons pas à une rupture de l'ALENA par les Etats-Unis.

    Jeudi prochain aura lieu une réunion très importante de la BCE, avec une annonce de son plan de réduction de QE. Nous n’avons pas d’opinion forte sur l’annonce à proprement parler.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

     

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    news-760 Wed, 25 Oct 2017 09:35:48 +0200 Le Groupement Les Lumières Pleyel, représenté par Sogelym Dixence, remporte le concours « Inventons la Métropole du Grand Paris » sur le site du Franchissement Pleyel à Saint-Denis. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-groupement-les-lumieres-pleyel-represente-par-sogelym-dixence-remporte-le-concours-inventons/ Le Groupement Les Lumières Pleyel, représenté par Sogelym Dixence, a été désigné hier lauréat de l’Appel à Projets « Inventons la Métropole du Grand Paris » sur le site du Franchissement Pleyel à Saint-Denis.

    Pour Les Lumières Pleyel, les opérateurs immobiliers du groupement : Europequipements, Crédit Agricole Immobilier, Engie Avenue, NFU (Nouvelles Fonctions Urbaines) et le groupe Arcade, ont constitué avec le mandataire Sogelym Dixence une équipe pluridisciplinaire regroupant plus de 50 partenaires (architectes, opérateurs immobiliers et investisseurs, acteurs culturels et start up innovantes, bureaux d’étude et constructeurs). 

     

    Les Lumières Pleyel sont situées au sein du quartier Pleyel, le long du faisceau ferroviaire Nord-Europe et de part et d’autre de la plus grande gare du Grand Paris Express, Saint-Denis Pleyel (nœud de correspondances entre les lignes 14, 15, 16 et 17 du Grand Paris Express, la ligne 13 du métro parisien et les lignes D et H du réseau Transilien, dès 2023). 

     

    Le projet représente un ensemble mixte de plus de 176 000 m2 de bureaux, logements, hôtel, résidence étudiante, commerces et équipements culturels et sportifs, avec une livraison envisagée entre 2023 et 2028. Il comprend un immeuble pont qui franchira le faisceau ferroviaire. Il entend faire de Pleyel à la fois une porte d’entrée du Grand Paris et un symbole architectural fort, véritable signal urbain à l’échelle de la Métropole. Un parc en pleine terre de 7 000 m² vient compléter l’ensemble.

     

    A mi-chemin entre le Stade de France et les docks de Saint-Ouen, c’est l’émergence d’un nouveau quartier, à proximité immédiate du futur village olympique érigé pour Paris 2024. 

     

    Les Lumières Pleyel veulent incarner une nouvelle manière de co-construire la ville. Elles souhaitent ainsi inventer un nouveau modèle urbain pour Saint-Denis et la Métropole du Grand Paris avec plusieurs ambitions majeures :

    • Inventer une nouvelle qualité de vie et de ville
    • Dessiner une nouvelle figure urbaine à l’échelle de la Métropole du Grand Paris
    • Concevoir une architecture ouverte à la lumière naturelle et qui relie les territoires
    • Valoriser les espaces publics et les nouvelles mobilités
    • Organiser une densité urbaine vertueuse et aérée
    • Composer le premier quartier décarboné francilien
    • Fédérer les énergies autour du territoire de la culture et de la création

    « Le jury d’Inventons la Métropole du Grand Paris vient de retenir une proposition ambitieuse qui va doter le territoire d’une nouvelle figure urbaine remarquable, tant sur le plan architectural que sur le plan social et culturel. C’est la récompense du travail collectif du groupement d’entreprises que nous avons réunies et qui s’engagent avec enthousiasme pour ce projet et ce territoire dynamique », s’enthousiasme Christophe CONDAMIN, Directeur Général de Sogelym Dixence entouré de ses partenaires opérateurs, Olivier PELAT, Président d’Europequipements, Sylvie DAO, Présidente d’Engie Avenue, Marc OPPENHEIM, Directeur Général de Crédit Agricole Immobilier et Benjamin DELAUX, Président de NFU/HABX.

    Le projet architectural 

    L’équipe architecturale, menée par l’agence norvégienne Snøhetta, architecte principal et paysagiste, compte dans ses rangs l’agence Baumschlager Eberle Architekten, architecte du bâtiment pont, et les agences Chaix & Morel et Associés, Ateliers 2/3/4/, Mars Architectes, Maud Caubet Architectes et Moreau Kusunoki.

    « Nous sommes très fiers de faire partie de cet équipe d’architectes vigoureuse et internationale, et de pouvoir participer à un projet d’une telle ampleur pour la région parisienne. Ensemble, nous avons créé une proposition à la fois créative et interdisciplinaire qui met en valeur la diversité et l’innovation. Nous nous réjouissons de pouvoir continuer à travailler en collaboration avec Sogelym Dixence sur ce projet. » déclare le fondateur et architecte de Snøhetta Kjetil TRÆDAL THORSEN.

    L’objectif des Lumières Pleyel est de développer un panorama urbain à l’identité forte, un nouveau skyline pour le territoire. Le quartier se dessine ainsi sur un mouvement doux et variable qui se propage comme une vague urbaine. Ce mouvement de liaison s’étend du Nord au Sud, avec comme point de démarrage la figure de la Tour Pleyel, traverse le faisceau de la gare de l’architecte Kengo Kuma et se développe en ondes bâties et paysagères.

    La position centrale des Lumières Pleyel à l’échelle du territoire et sa vocation de « quartier pivot » entre les deux rives du faisceau ferroviaire appellent deux objectifs majeurs : faire œuvre de couture urbaine et inventer un lieu singulier où la densité urbaine et la nature participent à créer une expérience unique. 

    Emblématique des Lumières Pleyel, située à mi-hauteur des bâtiments, la ligne des jardins suspendus dessine une « vague verte » particulièrement frappante en termes d’innovation et de signature architecturale. Identitaire, inspirante, elle est l’un des éléments-clés qui ont participé à définir des règles du jeu pour les architectes des Lumières Pleyel. Visible depuis de nombreux horizons métropolitains, elle invite les Franciliens à animer une ville aussi minérale que végétale, une ville hybridée, vertueuse, qui invente un nouvel environnement urbain.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-759 Wed, 25 Oct 2017 09:29:56 +0200 Les Rencontres de Raspail de La Française Gestion Privée /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-rencontres-de-raspail-de-la-francaise-gestion-privee/ L'équipe de La Française Gestion Privée a invité les participants, le 11 octobre dernier, à partager les perspectives de ses experts dans le cadre des Rencontres de Raspail. L'équipe de La Française Gestion Privée a invité les participants, le 11 octobre dernier, à partager les perspectives de ses experts dans le cadre des Rencontres de Raspail le 11 octobre dernier.

    Conférences au programme de ces rencontres :

    "La rentrée économique" par Michel DIDIER , Président du Conseil d'Orientation Stratégique de La Française,

    "Perspectives et convictions pour la fin de l'année 2017" animée par Odile CAMBLAIN, Responsable de la Gestion, Pôle Gestion Privée,

    "LF Cérénicimmo + : un produit fiscalement attractif  "

    par Bertrand CROQUELOIS, Responsable du Pôle Marketing Immobilier.

    La conclusion de la soirée a été apportée par Jacques BELLAMY-BROWN, Directeur Général La Française Gestion Privée.

     

     

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    news-758 Tue, 24 Oct 2017 12:21:36 +0200 NewAlpha AM, membre fondateur du "Swave", le 1er incubateur de place dedié aux FinTech /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-am-membre-fondateur-du-swave-le-1er-incubateur-de-place-dedie-aux-fintech/ Spécialiste de l’investissement dans l’industrie financière entrepreneuriale, NewAlpha Asset Management (« NewAlpha ») a lancé en novembre 2015 le premier fonds français de Venture Capital* dédié aux startups FinTech.

    NewAlpha annonce aujourd’hui le lancement du Swave, le 1er incubateur de place entièrement dédié aux FinTech.

    Soutenu par l’Etat et piloté par Paris&Co, cette plateforme d’innovation offrira un espace d’hébergement et d’accompagnement de 2500 m² au sein de la Grande Arche, en plein cœur du quartier de La Défense. L’objectif est de créer un écosystème favorable à l’innovation, créateur d’emplois, et de contribuer ainsi à l’attractivité internationale de la Défense pour les FinTech européennes.

    Cette initiative, portée par les quatre membres fondateurs de l’incubateur, NewAlpha, Société Générale, Crédit Municipal de Paris et Exton Consulting, opèrera en lien étroit avec les acteurs de la recherche et de l’enseignement supérieur (Institut Louis Bachelier) ainsi que les instances territoriales.

    « L’incubateur physique s’inscrit dans la continuité naturelle des actions d’accompagnement déjà mises en place par NewAlpha auprès de son écosystème. S’associer avec Paris&Co et les autres membres fondateurs nous a semblé idéal car le projet s’inscrit dans un véritable engagement public-privé de valorisation du secteur FinTech à l’international. » Lior Derhy, Directeur du Private Equity chez NewAlpha AM.

    « Le positionnement historique de NewAlpha sur le financement de l’entrepreneuriat et sa volonté de créer des passerelles avec les institutionnels nous ont séduit dans notre quête du partenaire idoine pour Le Swave » Edouard Plus, Responsable du Swave.

    Avec plus de 150 start-ups rencontrées sur les douze derniers mois, NewAlpha apportera son expertise d’analyse et de sélection dans le secteur des FinTech, ainsi qu’une capacité de financement potentiel à travers son fonds de Venture Capital NewAlpha FinTech*. 

    Plus d’une trentaine de jeunes entreprises innovantes seront sélectionnées pour constituer la première promotion de Swave autour des quatre axes d’innovation suivants :

    • La néo-finance : nouvelles façons de concevoir les modèles de banque et d’assurance traditionnels
    • La cybersécurité : accès aux données, cryptage des données, lutte contre le hacking, blockchain
    • L’intelligence artificielle, le big data et le machine learning
    • La finance de demain : finance durable, finance climat, finance solidaire, la regtech

    L’appel à projet se terminera le 17 novembre et l’incubateur ouvrira ses portes le 8 décembre 2017.

    *Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-756 Fri, 20 Oct 2017 10:37:39 +0200 La Française participe au Forum Economique du Grand Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-participe-au-forum-economique-du-grand-paris/ Rendez-vous le 27 octobre pour la 6e édition du Forum Economique du Grand Paris Lancé par La Tribune et le Journal du Grand Paris, le Forum Economique du Grand Paris propose une actualité de l'avancement et des enjeux de différents chantiers.

    Cette 6e édition qui aura pour thème "logement - Vous avez dit choc d'offres" suite aux différentes réformes annoncées par le gouvernement et se déroulera à la Maison des Travaux Publics de Paris.

    A cette occasion, Guillaume Pasquier, Responsable Développement Foncières du Groupe La Française, interviendra sur ce thème.

    Forum économique du Grand Paris
    27 octobre 2017 - 9h00
    Maison des travaux Publics
    3 rue de Berri - Paris 8e

    Télécharger le programme, cliquez ici

     

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    news-754 Fri, 20 Oct 2017 15:37:00 +0200 La Française lauréate pour 3 sites emblématiques du Grand Paris - "Inventons la Métropole" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-laureate-pour-3-sites-emblematiques-du-grand-paris-inventons-la-metropole/ Suite à la consultation lancée par Métropole Grand Paris portant sur 57 sites visant à construire une métropole résiliente, innovante et durable, La Française a remporté 3 d’entre eux au sein de groupements d’entreprises.

    En participant à ces projets emblématiques de la Métropole du Grand Paris, La Française affirme son rôle d’acteur du développement du Grand Paris et s’engage en amont des projets de construction sur une durée très longue.

    Le Grand Paris, le plus grand projet d’infrastructure européen du XXIe siècle qui affirmera Paris comme l’une des 5 métropoles mondiales, poursuit son développement porté par les appels à projets lancés par la Métropole Grand Paris et La Française est fière de participer à ce projet de Ville Inclusive.  

    Par ce nouveau positionnement, La Française étoffe son métier originel en tant que spécialiste de l’investissement et de la gestion pour compte de tiers. "La Française adopte une logique d’investissement visant à la création de valeur autour des projets d’infrastructure du Grand Paris en procédant à l’achat de fonciers en développement ou en redéveloppement. Ces 3 sites marquent ainsi une étape importante pour notre projet de Société de Foncière et Immobilière sur la thématique du Grand Paris." explique Xavier Lépine, Président de La Française. 

    La Française proposera ainsi un accès à des actifs emblématiques de la construction du Grand Paris. Les portefeuilles incluront des logements, des bureaux, des commerces et activité et favoriseront la création de quartiers "verts" en ligne avec les plus hauts standards environnementaux et sociétaux, philosophie d’investissement de La Française. 

    "Ces actifs permettent de donner corps à notre projet de foncière : nous offrons une réelle visibilité sur des sites clés de la construction du Grand Paris aux investisseurs institutionnels en France et à l’international qui souhaiteront participer à ce projet d’une envergure exceptionnelle. Nous poursuivons également la recherche d’autres opportunités foncières." souligne Guillaume Pasquier, Directeur du développement des Foncières de La Française.

    Associée à des professionnels de l’aménagement et de l’immobilier (des groupes de BTP et de la promotion immobilière, des cabinets d’architecte, des urbanistes, des paysagistes, des bureaux d’études, des utilisateurs innovants, etc.), La Française est désormais positionnée sur des sites d’envergure de 30 000m² à 150 000m² sélectionnés en fonction des critères suivants :

    • Une gare en proximité
    • Une transformation urbaine de grande ampleur qui s’inscrit dans le temps
    • Une mixité de typologie de constructions.

    D’autres opportunités du même type sont à l’étude, soit dans le cadre d’autres cessions publiques, soit via des échanges directs avec des propriétaires privés. 

    Les projets attribués aux groupements dont La Française est membre sont :

    • "Le franchissement Pleyel", à Saint-Denis, avec Sogelym Dixence (mandataire du groupement « Les Lumières Pleyel »)
      La future gare « Saint-Denis Pleyel » sera l’un des principaux nœuds de transport du Grand Paris. L’environnement est porteur avec en particulier une grande partie des équipements prévus pour les JO de 2024 et d’importants développements alentours. Ces éléments font de ce site l’un des plus importants projets de développement urbain de la région parisienne.

     

    • Les Ardoines, à Vitry-sur-Seine avec LinkCity Ile-de-France (mandataire du groupement "Démonstrateur métropolitain")
      L’arrivée du métro du Grand Paris va permettre la mutation de cette vaste zone industrielle. L’ambition est de faire émerger un quartier d’affaire afin de répondre notamment aux besoins des entreprises pharmaceutiques et biotech très présentes dans ce secteur. Le nouveau quartier résidentiel déjà en construction à proximité renforce le potentiel d’expansion du site.

     

    • Pont de Rungis, à Thiais et Orly, avec LinkCity Ile-de-France (mandataire du groupement « Parcs en Scène »)
      Un nouveau quartier à dominante résidentielle émergera autour de la gare de la ligne 14 du métro "Pont de Rungis" entre les deux pôles d’emplois d’Orly et de Rungis. Le projet prévoit de faire du site un lieu de destination unique dans la métropole du Grand Paris avec la construction d’un équipement dédié à des manifestations de "e-sport" et tout l’écosystème connexe à cette nouvelle discipline. 

    Lire l'intégralité du communiqué de presse, cliquez ici

     

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    news-753 Wed, 18 Oct 2017 09:51:22 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert le Cityscope, un immeuble de bureaux à Montreuil (93) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-cityscope-un-immeuble-de-bureaux-a-montreuil-9/ La Française REM a fait l’acquisition de l’immeuble de bureaux « Cityscope » situé 3 rue Franklin à Montreuil, auprès d’InfraRed Capital Partners (représenté par Hemisphere) et Générale Continentale Investissements.

    « Cityscope » est idéalement localisé aux portes de Paris, dans la zone « cœur de ville » en face du centre commercial Grand Angle.  L’immeuble de 40 000 m2 est réparti sur vingt-six étages et offre 386 emplacements de parking en sous-sol. L’ensemble immobilier est desservi par six lignes de bus et se situe à seulement 200 mètres de la station « Mairie de Montreuil » sur la ligne 9 du métro. 

    Montreuil est le premier pôle tertiaire à l’Est de Paris et la troisième ville la plus importante de la première couronne parisienne. Elle accueille près de 3 000 entreprises et plus de 30 000 salariés ; deux facteurs de soutien de la demande locative. L’immeuble, entièrement restructuré en 2009, offre aujourd’hui des espaces de travail modulables et lumineux et bénéficie de deux certifications environnementales : BREEAM In-Use Very Good et HQE Exploitation « Excellent ». Outre son architecture moderne, il propose un cadre de travail des plus agréables avec une conciergerie, un restaurant inter-entreprises, une terrasse, des espaces verts et de co-working.

    L’immeuble est entièrement loué à une dizaine de locataires du secteur public et privé, dans le cadre de baux de 6 ou 9 ans fermes.

    Marc Bertrand, Président de La Française REM, ajoute, « Cityscope est un bel atout pour nos SCPI. La qualité des prestations et les conditions de location compétitives rendent cet immeuble très attractif pour les utilisateurs, et son excellent taux d’occupation devrait venir conforter la performance de nos SCPI. »  

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de 6 SCPI (La Française Pierre, Epargne Foncière, LF Europimmo, Multimmobilier 2, Sélectinvest 1 et Pierre Priviliège) gérées par La Française REM. 

    Les vendeurs étaient conseillés par Gide, l’Etude Lebreton, le cabinet Racine, BNP Paribas Real Estate et Savills.

    L’acquéreur était assisté par l’Etude Allez et Associés, le Cabinet Jeantet et Stratégies and Corp. 

    Lire l'intégralité du communiqué, cliquez ici

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    news-752 Tue, 17 Oct 2017 11:11:16 +0200 Conférence "biodiversité : vers un urbanisme inventif" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/conference-biodiversite-vers-un-urbanisme-inventif/ Dans le cadre du cycle "Immobilier & Prospective", l'Observatoire de l'Immobilier Durable organise une conférence sur la biodiversité le 18 octobre 2017 sur le thème : "Biodiversité : vers un urbanisme inventif?" Peut-être encore plus grave que le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité est l'un des enjeux écologiques les plus graves... 

    La conférence se déroulera dans les locaux de La Française et sera animée par Gérard Degli-Esposti, Directeur de l'ISR Immobilier à la Française Real Estate Managers, avec l'intervention de Philippe Clergeau, Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle et consultant en écologie urbaine.

    La conférence sera suivie d'une table ronde d'experts à laquelle participera Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.

    Conférence OID et Plan Bâtiment Durable - Biodiversité : Vers un urbanisme inventif
    Mercredi 18 octobre 2017 - 
    8h15
    128 boulevard Raspail - Paris 6e

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    news-747 Fri, 13 Oct 2017 12:30:45 +0200 Pascale Auclair, Meilleur directeur de gestion de l'année ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pascale-auclair-meilleur-directeur-de-gestion-de-lannee/ A l'occasion du Global Invest Forum qui a eu lieu le 12 octobre, Pascale Auclair, Président de La Française AM, a remporté l'award du Meilleur directeur de gestion de l'année. Près de 500 professionnels ont assisté à la seizième édition du Global Invest Forum de L'Agefi.

    L'objectif de ce congrès est de récompenser les acteurs qui se sont illustrés pendant l'année. 

    En partenariat avec l'AFG, six prix ont été décernés le 12 octobre :

    • Prix du Meilleur fournisseur d’ETF 
    • Prix du Meilleur gérant 
    • Prix du Meilleur directeur de gestion 
    • Prix de la Meilleure société de gestion
    • Prix du Meilleur investisseur institutionnel 
    • Prix de la Femme Manager, en association avec L’AFG 

    A cette occasion, Pascale Auclair, Président de La Française AM, s'est illustrée en remportant le prix du Meilleur directeur de gestion.

     

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    news-746 Fri, 13 Oct 2017 11:06:14 +0200 Alger on the money - Petites capitalisations, gros potentiel /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-petites-capitalisations-gros-potentiel/ Les petites capitalisations sont traditionnellement moins suivies que les grandes par les analystes de Wall Street. Cette couverture moins importante crée des opportunités pour les investisseurs et les gérants de portefeuille prêts à conduire des recherches approfondies sur ces sociétés.  

     

    1 Callan (2017) « Historical Active Management Premiums by Asset Class and Style. » Quatrième trimestre 2016.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-743 Thu, 12 Oct 2017 17:10:51 +0200 Fermeture anticipée de la période de commercialisation du fonds à échéance La Française Rendement Global 2022 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fermeture-anticipee-de-la-periode-de-commercialisation-du-fonds-a-echeance-la-francaise-rendement-gl/ Le fonds à échéance La Française Rendement Global 2022 a été lancé en septembre 2014, et face à la forte progression d’encours du fonds, la Société de gestion a décidé d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation au 31 octobre 2017.

    Cette décision vise à préserver l’intérêt des souscripteurs existants, la Société de gestion considérant que l’encours actuel constitue un niveau optimal pour gérer au mieux le portefeuille. 

    Comme indiqué dans le prospectus et toujours dans l’intérêt des porteurs, la méthode de valorisation du fonds changera à l’issue de la période de commercialisation. Le fonds sera valorisé au cours bid à compter du 2 novembre 2017. 

    Afin de satisfaire la demande continue des investisseurs pour cette stratégie et confiante dans sa pertinence au regard du contexte actuel, La Française a lancé, fin août 2017, un nouveau cru au sein de sa gamme de fonds obligataire à échéance : La Française Rendement Global 2025.

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    news-741 Thu, 12 Oct 2017 10:44:38 +0200 Baisse du chômage aux Etats-Unis et inflation salariale en hausse… Effet ouragan ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/baisse-du-chomage-aux-etats-unis-et-inflation-salariale-en-hausse-effet-ouragan/ Très gros chiffres cette semaine, avec les ISM qui sortent au plus haut depuis 10 ans et un rapport d’emploi difficilement lisible, mais dans le sens d’une inflation salariale en hausse.

    Nous savions que les ouragans auraient des effets difficiles à évaluer sur l’activité de septembre, nous sommes servis.

    Le détail du rapport d’emploi montre une forte baisse du taux de chômage de 4,4% à 4,2%, avec en plus un taux de participation qui augmente, sauf que tout cela s’est fait avec des destructions d’emploi, ce qui manque pour le moins de cohérence. Du coup, il est assez compliqué d’accorder beaucoup de crédit à ce rapport, y compris à la composante inflation salariale en hausse à 2,9%. Malgré tout, couplé aux deux ISM (eux aussi affectés, le plus haut précédent en 2005 sur le non manufacturier était lié à Katrina), cela fait monter les taux américains et le dollar.

    Autre sujet de la semaine et qui va nous occuper pour les prochaines semaines : la nomination du prochain président de la Fed. Quatre candidats semblent se détacher : Yellen, Powell (même ligne que Yellen), Warsh (rigide) et Cohn (plus compliqué à lire). En fonction du positionnement de chacun sur les différents sujets de la Fed, cela aura sans doute des conséquences sur les taux, le dollar et le secteur bancaire.

    Enfin, il ne faut pas oublier la réforme fiscale qui « pourrait » voir le jour en fin d’année, mais qui là aussi est très incertaine.

    Bref, la situation américaine n’est à l’heure actuelle pas évidente à déchiffrer, avec beaucoup de choses que nous ne maitrisons pas.

    En Europe, nous avons eu les minutes de la BCE qui ne nous apprennent pas grand-chose et peu de chiffres macro d’importance (ventes au détail légèrement décevantes). L’actualité a été dominée par les velléités d’indépendance de la Catalogne, ce qui a brièvement fait souffrir l’Espagne (sur les taux et les actions). Nous sommes en attente, en espérant que le stress augmente pour pouvoir en profiter (sachant que la probabilité que la Catalogne devienne indépendante est d’environ 0%), mais cela a peu de chance d’arriver.

    La semaine prochaine commence la saison des résultats aux Etats-Unis. Les attentes sont pour le moment à +5,5% de croissance des résultats sur les 12 derniers mois (ce qui est assez bas) et qui devrait donner lieu à des résultats au-dessus des attentes comme d’habitude.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-738 Tue, 10 Oct 2017 10:07:09 +0200 La Française et GPR lancent un nouvel indice axé sur l’immobilier coté international durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-et-gpr-lancent-un-nouvel-indice-axe-sur-limmobilier-cote-international-durable/ Les fonds de retraite, les investisseurs institutionnels dans leur ensemble et la clientèle de banque privée accentuent l’intégration de facteurs responsables dans leurs stratégies d’investissement. Du fait de son empreinte carbone particulièrement élevée, le secteur immobilier est naturellement une cible de choix dans la lutte contre les changements climatiques ; de plus en plus conscients de leur responsabilité à cet égard, les investisseurs cherchent à s’engager.

    Dans ce contexte, Global Property Research (GPR), fournisseur de services pour les grands établissements financiers spécialisé dans les indices de valeurs foncières sur mesure, et La Française, groupe de gestion expert en immobilier, sont fiers de vous annoncer le lancement d’un nouvel indice, dédié à l’immobilier coté international durable, pour la clientèle institutionnelle : le GPR IPCM LFFS Sustainable GRES Index, qui définit un nouveau standard en matière d’investissement responsable dans le secteur de l’immobilier coté.

    Inflection Point Capital Management UK Ltd. (IPCM) et La Française Forum Securities (LFFS), sociétés du groupe La Française, vont collaborer avec GPR sur la conception et la mise à jour continue de ce nouvel indice qui comprendra jusqu’à 150 sociétés mondiales durables, sélectionnées en fonction de leurs activités dans l’immobilier, de leur performance ESG et de leur capitalisation boursière. GPR sera chargé de constituer et de gérer l’indice. 

    Lire l'intégralité du communiqué, cliquez-ici

     

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    news-735 Mon, 09 Oct 2017 11:49:28 +0200 LF Europimmo, une SCPI européenne /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lf-europimmo-une-scpi-europeenne/ Découvrez en un clic LF Europimmo, une SCPI investie en immobilier européen Découvrez en un clic LF Europimmo, une SCPI investie en immobilier européen :

     

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    news-732 Mon, 09 Oct 2017 09:15:55 +0200 La Française Real Estate Partners International acquiert un immeuble de bureaux à Stuttgart /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-stuttgart/ La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte de deux Sociétés Civiles de Placements Immobiliers (SCPI) de La Française, LF Europimmo et Pierre Privilège, un immeuble de bureaux situé au Mittlerer Pfad 13-15 dans le quartier de Weilimdorf à Stuttgart.

    Stuttgart est l’un des premiers marchés de l’immobilier de bureaux en Allemagne et se démarque grâce à des taux d’occupation élevés et des loyers stables.

    L’ensemble développe 30 270 m2 et se compose de deux bâtiments : le principal, construit en 1993, offre une surface utile de 22 960 m2 sur six étages, tandis que le secondaire, construit en 2001, développe 7 310 m2 sur cinq étages. Les deux bâtiments sont loués au constructeur automobile, Dr. Ing. h.c. F. Porsche AG, dans le cadre d’un bail de 9 ans et demi.

    Jens Goettler, Managing Director pour l'Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Il s'agit de notre deuxième acquisition pour des SCPI de La Française dans la ville de Stuttgart, où nous anticipons une hausse des loyers. En raison du faible rythme de construction et de la stabilité de la demande, les taux d’occupation pourraient rester élevés et contribueraient à générer des rendements à long terme. Cette vingtième acquisition effectuée en Allemagne, dont quatorze pour le compte de nos SCPI, porte les encours gérés dans le pays à plus de 800 millions d'euros. »

    Lire l'intégralité du communiqué, cliquez-ici

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    news-731 Mon, 09 Oct 2017 09:06:05 +0200 Patrimonia 2017, challenge relevé ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/patrimonia-2017-challenge-releve/ Cette année encore, La Française et toutes ses équipes étaient présentes à Lyon pour la Convention Patrimonia, le rendez-vous annuel des professionnels du patrimoine. Cette édition était placée sous le signe des Challenges de demain.  

    Des équipes mobilisées

    Des équipes commerciales à la communication, en passant par nos gérants, les équipes de La Française étaient présentes cette année pour répondre à toutes vos questions. La qualité des différents échanges qui ont eu lieu et leur fructuosité ont grandement participé au succès de cette édition.

    Des expertises mises en avant

    Immobilier, Valeurs Mobilières, Gestion Pilotée, Digitalisation... Les différentes expertises de La Française étaient bien représentées à la convention. Parmi les produits présentés sur notre stand, il était possible de retrouver :

    Un accueil à 360°

    De nombreuses animations étaient proposées sur notre nouveau stand. Nos partenaires pouvaient participer à un questionnaire portant sur les expertises de La Française, un tirage au sort a été effectué parmi les bonnes réponses et l'heureuse gagnante a remporté une caméra Giroptic Io pour smartphone. Chacun pouvait également repartir avec un souvenir de sa visite grâce à la borne photo qui permettait d'imprimer sa photo et de s'envoyer un gif par e-mail.
    Sur les réseaux sociaux, La Française était également fortement présente avec plus de 70 tweets vus plus de 36 000 fois, aimés et retweetés plus 580 fois.

    Merci à tous nos partenaires pour cette nouvelle édition riche en échanges !

     

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    news-730 Fri, 06 Oct 2017 11:04:12 +0200 Les banques centrales ? Encore ? - La lettre Orientations et Stratégie n°183 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-banques-centrales-encore-la-lettre-orientations-et-strategie-n183/ Depuis une semaine, je suis interpellé sur le thème de l’édito du mois… "Les banques centrales bien sûr !", avec inévitablement à chaque fois la même réaction : "Encore ??". Et oui, encore…

    Nous pourrions évoquer la Corée du Nord, le referendum catalan ou encore les élections allemandes, mais in fine, avoir la bonne lecture des banques centrales reste crucial pour une allocation d’actifs pertinente.

    Donc, que s’est-il passé de ce côté en septembre ? La banque d’Angleterre a surpris le marché en adoptant une posture beaucoup moins accommodante en raison d’une inflation toujours élevée, ce qui a logiquement provoqué une forte hausse des taux courts. Dans la même veine, la banque centrale canadienne a, elle, monté ses taux pour la 2e fois, là encore en surprenant le marché. Enfin, pour en finir avec les surprises, la réserve fédérale américaine n’a pas semblé très préoccupée par les chiffres décevants d’inflation en les qualifiant de "transitoires" et a réaffirmé ainsi qu’une hausse de taux en décembre était probable. Il n’y a finalement que la BCE qui ait délivré un message plutôt accommodant, même si on peut sans doute assez largement l’attribuer à la force de l’euro.

    Si on ajoute à cela un début d’annonce de réforme fiscale aux Etats-Unis, la réduction du bilan de la Fed ou les rumeurs de nomination de Kevin Warsh à la tête de cette dernière, il n’est pas très étonnant de voir les taux monter de 30 bp environ sur le mois de septembre. Comme les chiffres macroéconomiques restent très bien orientés en Europe et aux Etats-Unis, il est légitime de se demander si les astres sont enfin alignés pour une hausse des taux plus significative qu’à l’accoutumée. A cette question, nous sommes tentés de répondre plutôt non…

    En effet, l’inflation reste en dessous des objectifs des banques centrales et leurs glissements devraient être négatifs à horizon mars 2018. Cela n’est pas de nature à accélérer le rythme de hausse des taux des banquiers centraux à horizon 6 mois. "L’output gap" reste de plus élevé en Europe avec un taux de chômage encore loin de ses niveaux de 2007, ce qui donne du temps à la BCE pour graduellement réduire sa politique extrêmement accommodante. Enfin, la somme des bilans des banques centrales continue à augmenter (19 000 Mds…) et cette liquidité doit bien s’investir quelque part…

    Bref, si nous n’avons toujours pas envie de détenir des obligations souveraines "core" qui restent chères, nous ne pensons pas que les conditions soient aujourd’hui réunies pour assister à un krach obligataire. Nous adoptons ainsi une posture moins agressive que le mois dernier en réduisant notre sous-sensibilité.

    Concernant les actions, nous maintenons notre avis positif sur les actions européennes et les actions émergentes qui restent attractives relativement aux autres classes d’actifs. Cela nous semble être aussi le cas pour les obligations émergentes qui offrent un rendement ajusté du risque que nous jugeons plus intéressant que celui du crédit "corporate" dans son ensemble.

    >Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du dernier numéro d'Orientations et Stratégie 

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    news-728 Wed, 04 Oct 2017 09:45:10 +0200 Transaction majeure à Bruxelles pour La Française Real Estate Partners International /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/transaction-majeure-a-bruxelles-pour-la-francaise-real-estate-partners-international/ La Française Real Estate Partners International, représentant un club d’investisseurs coréens et français, a acquis la participation de 60 % de Belfius dans la joint-venture avec AG Real Estate. Cette joint-venture est propriétaire du siège belge du Groupe ENGIE. AG Real Estate continuera de gérer l’actif pour le compte des copropriétaires. Le financement de la transaction est assuré par la banque allemande Landesbank Helaba.

    L’actif se compose de deux bâtiments - North Light et Pole Star - situés dans le quartier de la Gare du Nord de Bruxelles. Construits en 2011 et 2014, les deux biens, d’une superficie de 77 000 m², forment un complexe de bureaux « verts » de grande qualité. L’actif est entièrement donné en location à ENGIE, la durée des baux non échus s'établissant à environ 13 ans. Les bâtiments présentent des caractéristiques de durabilité (énergie géothermique optimisée, système de chauffage et de refroidissement par géothermie, panneaux solaires et système sophistiqué de régulation de la climatisation, etc.) qui ont permis à la tour du complexe dernièrement construite (Pole Star) d’obtenir la note « Très bien » au classement BREEAM. 

    Avec la venue de nouveaux occupants publics et privés, tels que le Gouvernement flamand, Allianz, Beobank, Accenture et Publicis One, nous assistons à une véritable renaissance du quartier de la Gare du Nord. Celui-ci bénéficie non seulement de la consolidation de l’activité économique, où des bureaux de plus petite taille se transforment en nouvelles structures plus importantes, mais aussi du meilleur réseau de transports publics de la capitale belge. Les dernières transactions significatives font également affluer les investisseurs immobiliers dans ce quartier. 

    Pour mener à bien la transaction, La Française Real Estate Partners International a réuni deux investisseurs coréens - Samsung Securities et Hyundai Marine & Fire - et une société civile de placement immobilier géré par La Française REM. Hyundai Investments Asset Management représentait les investisseurs coréens.

    David Rendall, Chief Executive Officer de La Française Real Estate Partners International, commente : « Cette transaction signe plusieurs accomplissements pour La Française : il s’agit de sa première transaction à Bruxelles pour le compte de deux nouveaux clients coréens, et de son premier co-investissement entre une société civile de placement immobilier et des investisseurs coréens. Elle constitue notre cinquième transaction pour le compte d’investisseurs coréens. Son volume total s’élève à plus de 1,3 milliard d’euros couvrant quatre marchés (Londres, Stuttgart, Paris et désormais Bruxelles). Cette transaction témoigne de notre capacité à apporter une réponse aux besoins des clients coréens, grâce à l’étroite collaboration entre notre bureau de Séoul et nos équipes sur le sol européen. Nous sommes ravis d’avoir acquis un bien d’une telle qualité, loué à un locataire de choix, et de pouvoir compter sur AG Real Estate en tant que partenaire local. »

    Amaury de Crombrugghe, Chief Investment Officer d’AG Real Estate, ajoute : « AGRE est fière de pouvoir s’associer à des partenaires aussi précieux et d’une telle renommée, capables d’apprécier à sa juste valeur la qualité du bâtiment que nous avons conçu pour ENGIE il y a quelques années. Nous sommes convaincus qu’il s’agit de la première joint-venture parmi de nombreuses autres transactions majeures à venir avec La Française. »

    Dirk Vanderschrick, Chief Executive Officer de Belfius insurance : « Nous sommes heureux d’avoir conclu un accord avec “La Française” et ses prestigieux investisseurs coréens. Belfius Insurance continuera à diversifier et à augmenter son portefeuille immobilier. »

    Michel Kröger, Head of International Real Estate chez Helaba déclare : « Helaba se réjouit de cette transaction, qui marquera un nouveau renforcement de ses relations avec La Française. Ce contrat témoigne également de l’intérêt grandissant des investisseurs asiatiques pour l’Europe et, à proprement parler, pour nos marchés cibles.»

    La Française a été conseillée par PwC, Linklaters et Cushman & Wakefield (expertise). La transaction a été financée par Helaba et assistée par JLL et DLA Piper.

    AG Real Estate et Belfius ont été toutes deux assistées par le cabinet Loyens & Loeff.

    En savoir plus, téléchargez le communiqué de presse

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    news-726 Tue, 03 Oct 2017 13:57:53 +0200 L’inflation surprend légèrement à la baisse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/l-inflation-surprend-legerement-a-la-baisse/ Retour au calme cette semaine, avec très peu de chiffres macro, comme d’habitude en fin de mois.

    La semaine prochaine sera en revanche très chargée avec les ISM et les rapports d’emploi aux Etats-Unis, même si les chiffres seront brouillés par l’impact des ouragans en septembre.

    A noter cette semaine :

    • Les commandes de biens durables qui sortent bien aux Etats-Unis, au-dessus des attentes

    • L'inflation en zone Euro qui sort légèrement sous les attentes

    • Une annonce de plan fiscal de Monsieur Trump aux Etats-Unis. Cela a logiquement fait réagir les taux américains, mais pas de manière importante, le marché étant « lassé » des déconvenues liées au président. Au mieux, la réforme serait validée en fin d’année

    • Un discours de Madame Yellen en milieu de semaine qui confirme le biais légèrement rigide du dernier FOMC (Federal Open Market Committee)

    Bref, pas grand-chose, et pas beaucoup de mouvement sur les marchés non plus, mis à part quelques prises de profits sur les marchés émergents, mais là encore, pas de manière excessive. Le seul mouvement légèrement notable est la hausse du dollar qui passe de 1,195 à 1,18.

    De manière générale, le mois de septembre a vu :

    • Les taux monter de 20-25 bps 

    • Les banques centrales délivrer des messages globalement plutôt rigides

    • Le dollar arrêter sa chute

    Il faut maintenant s’interroger sur la suite de ce mouvement. L’asymétrie est clairement moins positive qu’elle ne l’était en début de mois et la poursuite du mouvement demandera une confirmation des chiffres macro et surtout d’inflation.

    Comme les effets de base sont plutôt positifs pour le mois à venir, surtout après la hausse du pétrole des dernières semaines, il est probable que nous soyons rassurés mi-octobre lors de la parution du CPI (Consumer Price Index) américain, même si cela ne devrait être que transitoire. 

    N'oublions pas que les résultats micro commencent dans 15 jours, ce qui devrait comme d’habitude soutenir le marché actions.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

     

     

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    news-725 Mon, 02 Oct 2017 15:58:56 +0200 Découvrez la dernière édition de la Lettre de la Gestion Privée "En particulier" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-de-la-lettre-de-la-gestion-privee-en-particulier-1/ A l’heure où nous écrivions notre dernière lettre de la Gestion Privée, les résultats des élections législatives n’étaient pas encore connus. L’entrée au Palais Bourbon d’une majorité écrasante bousculant les équilibres traditionnels, a permis au Président de la République d’engager son programme de réforme.

    Code du travail, formation professionnelle, retraite, fiscalité du patrimoine… les sujets devraient se succéder à un rythme soutenu.

    La fiscalité est bien sûr un thème qui nous tient particulièrement à coeur ; mais plutôt que de nous faire l’écho des différentes hypothèses plus ou moins fondées qui font la une des journaux, nous avons choisi de ne vous communiquer dans cette lettre que des informations certaines. Nous attendrons donc le vote de la prochaine loi de finances pour vous livrer l’ensemble des nouveautés en matière de fiscalité du patrimoine. Mais il ne fait aucun doute que notre prochain numéro Spécial Fiscalité sera particulièrement riche. En attendant, nous vous proposons d’examiner plus précisément le statut de Loueur en Meublé Non Professionnel, statut qui concerne la majorité des bailleurs, en vous présentant non seulement l’aspect fiscal mais aussi les domaines d’investissement immobilier auxquels il peut s’appliquer.

    Et nous revenons plus en détail sur l’OPCI LF Cerenicimo+ dont nous vous avions annoncé la création en mai dernier.

    Pour en savoir plus, téléchargez le dernier numéro de la Lettre de la Gestion privée "En Particulier"

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    news-718 Tue, 26 Sep 2017 13:59:48 +0200 Suite à l’amélioration de la notation du Portugal, le mouvement sur les taux a été rapide et violent /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/suite-a-lamelioration-de-la-notation-du-portugal-le-mouvement-sur-les-taux-a-ete-rapide-et-violent/ La Fed s’est réunie cette semaine et a délivré un message en ligne avec le précédent, ce qui peut être interprété comme légèrement rigide puisque la faible inflation aurait pu donner un ton un peu plus prudent. Voici les quelques points à retenir :
    • Dots (prévisions des membres de la Fed sur la remontée des taux) inchangés sur 2017 et 2018, mais légèrement revus à la baisse pour 2019 et le long terme
    • Commentaires économiques rassurants, y compris sur le marché de l’emploi avec une baisse des anticipations du taux de chômage
    • Commentaires « classiques » au sujet des ouragans : impact difficile à évaluer et à priori transitoire (trajectoire de la croissance en V)
    • Baisse du bilan de la Fed entamée, on commence avec 10 milliards de dollars par mois, comme prévu

    Les marchés ont eu une réaction légèrement rigide, mais de très courte durée, nous sommes déjà quasiment revenus sur les niveaux pré-FOMC (Federal Open Market Committee). Bref, pour le moment, le marché n’y croit pas et hormis une hausse de la probabilité de hausse des taux en décembre (passage de 50% à 65%), le rythme de hausse sur 2018 / 2019 est toujours aussi éloigné des dots. 

    Les chiffres économiques européens restent toujours aussi forts avec les PMI sortis largement au-dessus des attentes à 56,7. Ces chiffres sont très forts en Allemagne et en France. Mais tout cela ne peut faire passer sous silence la "news" qui a fait plaisir à tout le monde ici, l’upgrade du Portugal par S&P !

    Le mouvement a été rapide et violent avec une contraction du spread par rapport au Bund de presque 50bps sur la semaine. On attend avec impatience le même type de mouvement sur le Mexique !

    Le mouvement ne nous semble pas encore terminé, avec comme objectif un rendement similaire à ce que l’on a sur l’Italie, soit encore 30bps de resserrement.

    D’un point de vue plus général, il nous semble que les conditions ne sont pas très loin d’être réunies pour que les banques centrales accélèrent un peu leur rythme de resserrement monétaire :

    • Croissance homogène dans le monde et en zone Euro
    • La Fed n’est plus seule à resserrer : le Canada a commencé, les anglais ne sont pas loin et la BCE en a très envie (mais attention, sans faire monter l’Euro surtout..)
    • Les matières premières se tiennent bien

    Le problème reste évidemment l’inflation, mais il suffirait sans doute de chiffres un peu au-dessus des attentes pendant 2 mois pour que cette thèse prenne du volume.

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    news-715 Tue, 26 Sep 2017 17:19:00 +0200 La Française Real Estate Partners International acquiert un immeuble de bureaux "prime" à Berlin /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-prime-a-berlin/ La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) Epargne Foncière de La Française, un immeuble de bureaux "prime" situé au 25 Mühlenstrasse dans le quartier dynamique et en plein essor de Mediaspree (à l’est de Berlin).

    Mediaspree, qui s’étend le long de la rivière Spree, constitue l’un des plus importants projets de développement de la capitale. Étant donné sa situation idéale, celui-ci a déjà attiré plusieurs entreprises des secteurs de la mode, de l’informatique, des communications et des médias. 

    L’actif (baptisé M-Eins) offre près de 13 300 m2 d’espace de bureaux ainsi qu’une terrasse sur le toit de 400 m2, disposant d’une vue imprenable. Il a été achevé au 2e trimestre 2017 et pourrait recevoir une certification DGNB de niveau Gold. Chacun des sept étages du bâtiment est potentiellement divisible en trois plateaux louables. L’actif est intégralement loué à Zalando dans le cadre d’un bail de long terme. Fondée en 2008, Zalando est la première plateforme européenne de vente d’articles de mode en ligne. Cet immeuble de bureaux moderne, délivré conjointement par OVG Real Estate GmbH et LBBW Immobilien, bénéficie d’un emplacement privilégié à proximité directe des transports en commun (stations Warschauer Strasse et Ostbahnhof).

    Lire l'intégralité du communiqué, cliquez ici

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    news-714 Wed, 20 Sep 2017 09:22:07 +0200 La Française acquiert le 21 Charlemont, un immeuble de bureaux situé à Dublin /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-acquiert-le-21-charlemont-un-immeuble-de-bureaux-situe-a-dublin/ Le bâtiment est intégralement pré-loué à la société de communication ViaSat Cette acquisition, d’un montant avoisinant les 45 millions d’euros et réalisée pour le compte de trois Sociétés Civiles de Placements Immobiliers (SCPI) du groupe (Epargne Foncière, LF Europimmo et Multimmobilier 2), constitue la première incursion du groupe La Française sur le marché irlandais. La Française a été conseillée par Savills Ireland et Matheson.

    Situé au cœur du quartier d’affaires de Dublin et surplombant le Grand Canal, cet immeuble « Grade A » (premium) offre 3 475 mètres carrés d’espaces de bureaux répartis sur 6 étages. De nombreuses multinationales sont implantées aux alentours, dont Zendesk, Google, Amazon, KPMG, Deloitte, MetLife et Accenture.

    Le 21 Charlemont – conçu par Rohan Holdings – a été l’un des premiers immeubles de bureaux à Dublin développés dans une optique spéculative à être mis en chantier au cours du cycle actuel. Le projet a démarré en avril 2015 et devrait être achevé dans les jours à venir. Il avait été annoncé en juin dernier que l’immeuble a été intégralement loué dans le cadre d’un bail de prélocation à la société de communications ViaSat, au prix de 313 €/m².

    Lire l'intégralité du communiqué

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    news-711 Tue, 19 Sep 2017 17:26:09 +0200 Le taux de chômage au Royaume-Uni se situe au plus bas depuis 1975 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-taux-de-chomage-au-royaume-uni-se-situe-au-plus-bas-depuis-1975/ Alors que les rendements obligataires n’ont fait que baisser de début juillet jusqu’à la semaine dernière, nous avons observé cette semaine un rebond marqué : +13bps pour le 10 ans américain, +10bps pour le 10 ans allemand et surtout +24bps pour le 10 ans britannique.
  • L'actualité britannique est en effet chargée : le chiffre de chômage a été publié à 4,3%, au plus bas depuis 1975 ! Dans la même veine, l’inflation est sortie supérieure aux attentes à 2,9% sur un an glissant. La courbe britannique a ensuite fortement décalé suite à un changement de ton radical de la Banque d’Angleterre. Alors que jusque-là elle avait un biais très accommodant, elle a changé son fusil d’épaule et on a même entendu Gertjan Vlieghe, le membre le plus prudent, dire que si l’économie continue sur ce rythme, une hausse allait être nécessaire dans les prochains mois. Le marché a revu immédiatement les anticipations de hausses de taux de la BOE, en passant de 20% à 70% de probabilité de hausse de taux à horizon fin d’année. 
  • L'inflation américaine est sortie supérieure aux attentes (+0,4% d’augmentation des prix en août contre +0,3% attendu, soit +1,9% sur un an glissant), ce qui a poussé également les rendements à la hausse. Le dollar a aussi bénéficié de ce chiffre et affiche une performance positive cette semaine. 
  • Etonnamment, le tir nord-coréen n’a pas eu d’impact notoire à la baisse sur les taux. Il semblerait que les marchés ont assez été alertés sur le danger, et ne croient pas à l’escalade militaire. C’est un changement notable de comportement avec les semaines précédentes où l’impact était alors très visible. 
  • Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-704 Mon, 18 Sep 2017 11:14:47 +0200 Rendez-vous à Patrimonia ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/rendez-vous-a-patrimonia/ Comme chaque année, La Française sera présente à Patrimonia.

    Les 28 et 29 septembre prochains, venez découvrir notre nouveau stand, emplacement H42, et rencontrez les équipes commerciales de La Française.

     

    Nos gérants Valeurs mobilières seront également présents : 

    • Jean-Luc HIVERT, CIO Fixed Income & Cross Asset
    • Gilles SEURAT, Gérant Cross Asset & Total Return
    • Arthur DAVID-BOYET, Spécialiste Produit Gestion Premia & Gestion Actions Couvertes

     

    …Pour discuter avec vous de nos produits phare : 

    • Rendement Global 2025,
    • Multi Asset Income
    • Multistratégie Obligataire,
    • Premia

     

    Mais aussi nos experts Immobilier pour revenir sur quelques-unes de nos SCPI :

    • Epargne Foncière,
    • Eurofoncière 2,
    • ELF Europimmo,
    • Multimmobilier 2

    Au programme :

    • Jeudi 28/09 à 14h

    Retrouvez Pierre SCHOEFFLER, Conseiller du président en charge de la RSE, à l’atelier : 

    « Les SCPI comme on ne vous en a jamais parlé »

    L’atelier sera animé par Emmanuel BEGAT (MEBS) et avec la participation de Jean-Marc COLY (AMUNDI), Laurent FLECHET (PRIMONIAL REIM) et Jean-Christophe ANTOINE (VOISIN SAS), pour un décryptage des différentes évolutions des SCPI.

     

    Rendez-vous dès maintenant sur twitter @FrancaiseGroup pour retrouver toutes les informations !

     

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    news-701 Fri, 15 Sep 2017 09:00:00 +0200 Alger on the Money - Champions du changement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-champions-du-changement/ L’innovation se répand à un rythme exponentiel et transforme les secteurs économiques plus vite qu’elle ne l’a jamais fait auparavant. Cette tendance a de nombreuses conséquences en ce qui concerne l’identification des opportunités d'investissement. Le rythme d’adoption des innovations s’accélère

     

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

     

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    news-696 Tue, 12 Sep 2017 14:38:32 +0200 L’activité en zone Euro reste solide /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lactivite-en-zone-euro-reste-solide/ La semaine a été animée sur plusieurs tableaux :
    • Au niveau macroéconomique : de bons chiffres continuent de témoigner d’une activité toujours solide en Zone Euro (PMI à 55,7, ventes au détail à +2,6% sur les 12 derniers mois) et aux Etats-Unis (ISM des services à 56)
    • Jeudi, la BCE a tenu compte de cette bonne dynamique et a révisé à la hausse ses perspectives de croissance, mais a revu à la baisse ses prévisions d’inflation, en prenant en compte la remontée de l’Euro. Sans cela, le discours de Mario Draghi ne nous a pas apporté de clarifications supplémentaires sur les futures actions de la BCE. Rendez-vous donc au prochain meeting le 26 octobre pour des annonces sur la réduction à venir du programme d’achats d’actifs de la BCE
    • La Banque du Canada a surpris en augmentant pour une deuxième fois consécutive son taux directeur. Le marché ne mettait que 50% de probabilité à cette hausse, du fait de la faiblesse de l’inflation. La BOC a donc passé outre et s’est concentrée sur l’activité qui est pour le coup très dynamique
    • Enfin, les Etats-Unis n’étaient pas en reste avec dans le désordre l’accord de Trump sur le plafond de la dette, la démission de Stanley Fischer (numéro 2 de la Fed) et l’arrivée sur le territoire américain de l'ouragan Irma prévue dans les prochaine heures…

    Les marchés ont réagi avec une baisse marquée des taux d’emprunt des Etats. Les taux américains baissent de 14 bps cette semaine, alors que les taux allemands perdent 8 bps. Les anticipations monétaires en Zone Euro ont été poussées plus loin, avec seulement 34% de probabilité d’avoir une hausse de taux de la BCE d’ici décembre 2018.

    Nous pensons que le repricing a été trop loin et avons profité du niveau très bas des taux pour vendre de la duration allemande.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-694 Mon, 11 Sep 2017 16:28:41 +0200 "More of the same" - La lettre Orientations et Stratégie n°182 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/more-of-the-same-la-lettre-orientations-et-strategie-n182/ La pause estivale n’a finalement pas apporté de réponses claires aux principales questions que les acteurs des marchés financiers pouvaient se poser avant l’été.

    En premier lieu, la politique de M. Trump et ses conséquences sont toujours aussi difficiles à analyser et à prévoir. Après 2 mois d’emballement général en fin d’année dernière, les marchés semblent maintenant n’accorder qu’un crédit limité à ses différentes déclarations. Dans ce contexte, une réforme fiscale, même de faible ampleur, serait vue comme une avancée très positive après des mois de cacophonie politique.

    Les doutes que l’on pouvait avoir sur l’inflation sont toujours bien présents, que ce soit sur l’inflation globale ou l’inflation salariale, et cela ne devrait pas s’arranger avant la fin de l’année avec des effets de base attendus négatifs. Il est difficile de savoir ce qui pourrait accélérer l’inflation quand on voit l’exemple du Japon (et des Etats-Unis dans une moindre mesure) dont le taux de chômage n’en finit plus de baisser sans que cela ait le moindre impact sur les salaires. Question théorique qui doit animer les diners des banquiers centraux mais qui rend la trajectoire des taux difficile à prévoir même si ceux-ci restent fondamentalement très chers.

    Les chiffres macroéconomiques restent, eux, de bonne, voire de très bonne, facture avec une croissance globale voisine de 4 % au 2e trimestre, soit le niveau le plus élevé depuis 2010. Cette dynamique protège les actifs financiers dits "risqués" dans un environnement toujours dominé par les liquidités offertes par les banques centrales et les très faibles rendements des actifs sans risque.

    La seule nouveauté provient finalement de Corée du Nord qui force les Etats-Unis et la communauté internationale dans son ensemble à réagir. L’impact sur les marchés est pour le moment sporadique et minime, la volatilité étant déjà presque revenue sur ses plus bas après s’être légèrement tendue durant le mois d’août. Bref, comme disent nos voisins anglais : "more of the same".

    La rentrée va donc être dominée comme à chaque début de trimestre par les banques centrales. Une annonce de tapering est attendue de la part de la BCE même si la hausse de l’euro devrait tempérer le discours de M. Draghi. Dans le même temps, la Fed devrait annoncer la baisse très progressive de son bilan accompagné sans doute d’un discours là aussi très prudent.

    >Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du dernier numéro d'Orientations et Stratégie

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    news-693 Mon, 11 Sep 2017 15:35:39 +0200 VIA AM sélectionnée pour le 16ème Investissement d'Emergence /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/via-am-selectionnee-pour-le-16eme-investissement-demergence/ Le fonds d’incubation et d’accélération de Place Emergence alloue 50 M€, son plus important ticket d’investissement, à VIA AM pour la qualité de sa gestion systématique actions et son approche innovante de l’analyse financière et comptable.

    Emergence, le fonds d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales de la Place de Paris, et NewAlpha Asset Management, gérant délégataire de la SICAV, annoncent la sélection de VIA AM(1), premier investissement réalisé par le compartiment Emergence Actions II lancé en juin 2017 avec un objectif de 300 millions d’euros.

    Emergence Actions II apporte 50 millions d’euros au fonds VIA Smart Equity Europe(2), soit le plus important investissement réalisé par Emergence depuis sa création en 2012. Lancé en mars 2016, le fonds VIA Smart Equity a pour objectif de réaliser une performance long terme supérieure au MSCI Europe dividendes nets réinvestis, avec un profil de risque similaire.

    Cet apport permet au fonds VIA Smart Equity Europe d’une part de dépasser le seuil des 150 millions d’euros et d’atteindre ainsi une taille critique pour renforcer sa présence auprès des investisseurs internationaux, et d’autre part de bénéficier du label Emergence décerné par le Comité d’Investissement de la SICAV composé des plus grands investisseurs institutionnels français.

    VIA AM a développé des stratégies de gestion actions et de performance absolue systématiques fondées sur une technologie propriétaire qui analyse de manière systématique les informations économiques et comptables de 3 000 sociétés cotées dans le monde (dont 600 en Europe). Cette approche permet une analyse financière particulièrement objective et facilite les comparaisons entre sociétés.

    (1) VIA AM est agréée par l’AMF sous le numéro GP-15000029
    (2) Lancé en mars 2016, VIA Smart-Equity Europe (SI) a pour code ISIN LU1369528622

    Pour en savoir plus, télécharger le communiqué de presse

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    news-692 Mon, 11 Sep 2017 11:48:02 +0200 La Française lance un nouveau fonds à échéance, La Française Rendement Global 2025 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-lance-un-nouveau-fonds-a-echeance-la-francaise-rendement-global-2025/ Fort du succès commercial rencontré par le millésime précédent et de la pertinence de cette solution d’investissement dans le contexte de taux actuel, La Française lance une nouvelle édition de son fonds à échéance : La Française Rendement Global 2025.

    Dans le cadre du fonds à échéance, la date de maturité des émissions étant connue et fixe, l’investisseur bénéficie d’une visibilité quant à la performance du fonds au fur et à mesure que l’on approche de sa maturité. La rentabilité du fonds sera le fruit à la fois de la valorisation des coupons des obligations présentes en portefeuille et des variations de capital dues à la fluctuation des taux d’intérêt et/ou des spreads de crédit.
     

    La stratégie de gestion est discrétionnaire et porte sur un portefeuille d’obligations internationales de maturité maximale décembre 2025. La stratégie consiste à associer le portage des titres et leur arbitrage en cas de nouvelles opportunités de marché ou d’augmentation du risque de défaut d’un émetteur en portefeuille. Elle s’appuie ainsi sur la connaissance approfondie du bilan des entreprises et des fondamentaux des Etats sélectionnés.

    La Française Rendement Global 2025 offre une capacité de diversification et pourra investir1:

    • jusqu’à 100% dans des obligations émises par des entités publiques et/ou privées des pays de l’OCDE ;
    • jusqu’à 100% dans des obligations émises par des entités publiques hors OCDE (émergents) et jusqu’à 50% dans des entités privées hors OCDE (émergents) ;
    • jusqu’à 100% dans des émissions notées Investment Grade*, High Yield** (à caractère spéculatif) ou sans notation.

    La période de commercialisation du fonds prendra fin, au plus tard, le 31 mars 2020.
     

    Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income de La Française, précise : « Dans la recherche de performance, le secteur du crédit et notamment les émissions notées BB ou B offre, selon nous, le meilleur rapport rendement / risque, d’autant que les taux de défauts restent relativement bas : le taux de défaut moyen long terme est de 4,3% (sur 20 ans à juin 2017)***. Le fonds sera positionné majoritairement sur le crédit Europe / US et la dette émergente, deux des expertises phares de La Française sur la gestion des taux.»

    Pour en savoir plus sur ce nouveau produit, lisez le communiqué de presse.

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    news-691 Mon, 18 Sep 2017 09:17:00 +0200 Entre robot et homme, quels emplois pour le futur ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/entre-robot-et-homme-quels-emplois-pour-le-futur/ La Française organise une table ronde le 4 octobre 2017 dans le cadre de la semaine de la Finance Responsable. Pour la semaine de la Finance Responsable, La Française organise une table ronde "entre robot et homme, quels emplois pour le futur" et vous invite à partager les réflexions des intervenants et permettre de faire progresser la compréhension des enjeux liés à l'emploi durable.

    Cette table ronde sera animée par Pierre Schoeffler, conseiller du Président en charge de la RSE, en présence de Xavier Lépine Président du Directoire La Française.

    Avec la participation de : 

    Patrick Braouezec, Président de Plaine Commune
    Alexis Masse, Secrétaire Confédéral CFDT en charge du numérique et de l'ISR
    Sébastien Ricard, Directeur du Développement Durable et des Affaires Publiques - PAPREC GROUP
    Marylène Vicari, Cofondatrice et Directrice du Liberté Living Lab

    "Entre robot et homme, quels emplois pour le futur ?"
    17h45 mercredi 4 octobre 2017 - 128 boulevard Raspail - 75006 Paris 

    Inscrivez-vous à l'adresse mail suivante : communicationISR@lafrancaise-group.com

     

     

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    news-687 Wed, 06 Sep 2017 14:22:16 +0200 L’inflation en zone Euro dépasse les attentes et accélère légèrement en août /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linflation-en-zone-euro-depasse-les-attentes-et-accelere-legerement-en-aout/ Les marchés sont encore une fois restés très volatils avec un biais risk off en début de semaine suite à l’escalade des tensions géopolitiques avec la Corée du Nord.

    Mais rapidement, les données macroéconomiques du début de mois reprennent le dessus. Les chiffres d’activité sont très bons dans l’ensemble, confirmant ainsi la solidité de la reprise mondiale.

    Aux Etats-Unis :

    • La croissance du deuxième trimestre est révisée en hausse à +3,0% contre +2,6% précédemment. Les dépenses de consommation et l’investissement sont plus forts que prévu. Mais l’ouragan Harvey pourrait peser sur la croissance du troisième trimestre
    • L'activité dans le secteur manufacturier accélère fortement sur le mois. L’indice ISM ressort à 58,8, son plus haut niveau de l’année
    • Cependant le rapport des créations d’emplois pour le mois d’août est faible. Elles sont inférieures aux attentes (156 000 créations contre 180 000 attendu) avec un taux de chômage en légère hausse à 4,4% et un chiffre d’inflation salariale en baisse à 2,5%. Attention quand même à ne pas sur-interpréter ce chiffre, car en règle générale, les créations d’emplois sont plus volatiles sur l’été

    En Chine, les données macroéconomiques restent robustes. Le PMI manufacturier sort plus fort qu’attendu à 51,7 pour le mois d’août contre 51,4 en juillet. Les perspectives de croissance demeurent solides pour la deuxième partie de l'année.

    En Europe, tous les signaux sont au vert avant la réunion de la BCE prévue la semaine prochaine, à l’exception de la hausse de l’euro qui risque de devenir un sujet de préoccupation pour les banquiers centraux, comme mentionné dans les minutes de la réunion précédente. 

    • L'inflation accélère très légèrement, principalement en raison des prix de l’énergie. Pour le mois d’août, l’inflation zone Euro progresse plus fortement qu’attendu à +1,5%, soutenue principalement par l’inflation en Allemagne à +1,8%
    • La confiance économique atteint son plus haut niveau depuis 10 ans. Elle a accéléré sur le deuxième trimestre, soutenue par l’ensemble des pays. Cette embellie ne s’est cependant pas encore traduite par une hausse des salaires

    Le sentiment des investisseurs reste aujourd’hui très positif en Europe, mais la hausse de l’euro commence déjà à peser sur les actions européennes et pourrait mettre en danger la reprise économique avec des risques à la baisse sur l’inflation.

    La semaine prochaine, l’élément central sera la réunion de politique monétaire de la BCE avec la mise à jour des prévisions économiques :

    • Sur l’inflation, les perspectives devraient être révisées à la baisse pour mi 2018 et 2019
    • Globalement, nous n'attendons aucun changement de communication de la BCE concernant sa stratégie de sortie (tapering du QE). En effet, la BCE a clairement indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à une modification d’orientation de la politique monétaire avant l’automne
    • Mario Draghi devrait rester prudent au regard des pressions inflationnistes encore trop faibles, la tendance étant loin d’être ancrée

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-683 Tue, 05 Sep 2017 11:38:51 +0200 SCPI : évolution des modalités de confrontation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/scpi-evolution-des-modalites-de-confrontation/ Depuis le 1er septembre, la fréquence de confrontation de la SCPI UFG PIERRE & VACANCES et la date de confrontation des SCPI de la GAMME MULTIHABITATION et LFP RENOVIMMO ont été modifiées :

    Depuis le 1er septembre, la fréquence de confrontation de la SCPI UFG PIERRE & VACANCES et la date de confrontation des SCPI de la GAMME MULTIHABITATION et LFP RENOVIMMO ont été modifiées :

    • SCPI UFG PIERRE & VACANCES

    La prochaine confrontation aura lieu le 20 septembre 2017.

    • SCPI de la gamme MULTIHABITION et LFP RENOVIMMO

    La prochaine confrontation aura lieu le 20 septembre 2017.

    Nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel pour tout complément d’information.


    La Française Real Estate Managers - 399 922 699 RCS PARIS - 128, boulevard Raspail 75006 PARIS. Agréments : AMF n° GP-07000038 du 26.06.2007 (www.amf-france.org), AIFM du 24.06.2014 au titre de la directive 2011/61/UE

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    news-681 Fri, 01 Sep 2017 16:56:27 +0200 Alger on the Money - Sommes-nous exubérants ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-sommes-nous-exuberants/ Bien que la confiance des investisseurs puisse sembler trop élevée, le marché américain n’affiche pas en ce moment l’exubérance qui accompagne habituellement les sommets boursiers. Traditionnellement, les actions américaines enregistrent des hausses de prix importantes dans les années précédant leurs plus-hauts. Or le marché, à ce jour, ne semble pas avoir atteint ce seuil. Rendement médian du S&P 500 sur 2 ans et rendement actuel sur 2 ans

     

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

     

    1 Au 30/06/2017

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    news-680 Tue, 29 Aug 2017 12:06:44 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert 24 cottages Villages Nature® Paris à Villeneuve-Le-Comte (77) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-24-cottages-villages-nature-paris-a-villeneuve-le-com/ La Française REM a acquis, pour le compte de la SCPI Multimmobilier 2, 24 cottages en bord de lac au sein de la nouvelle destination écotouristique de Villages Nature® Paris située à Villeneuve-Le-Comte (77), à 6 km au sud de Disneyland Paris et facilement accessible en voiture par l’autoroute A4 ainsi que le RER A.

    Les cottages de la gamme « Country Premium », acquis en VEFA, seront livrés à la fin de l’été 2017 et seront répartis ainsi : 16 cottages T3 de 59 m² et 8 cottages T4 de 71 m² en moyenne. Ils bénéficieront de prestations de très grande qualité et disposeront notamment de terrasses d'environ 20 m², totalisant ainsi une surface habitable de 1 511 m². Chaque cottage, à l’ambiance chaleureuse et authentique entre palettes végétales et matières brutes, pourra accueillir jusqu’à 8 personnes.

     

    Un BEFA de 12 ans ferme a été signé avec Villages Nature Tourisme, filiale à 50/50 des groupes Pierre & Vacances Center Parcs, leader des vacances en Europe et inventeur de la résidence de tourisme, et Eurodisney S.C.A, déjà bien implanté dans la région via notamment l’exploitation des Parc Disneyland® Paris et Walt Disney Studios® ainsi que sept hôtels à thème d’une capacité maximale de 5 800 chambres.

     

    Destination de vacances inédites, basée sur la rencontre entre l’Homme et la Nature, Villages Nature® Paris constitue une innovation majeure en matière de tourisme familial durable.

     

    La Française REM et Villages Nature® Paris étaient assistés par l’étude Monassier ainsi que Maître Robert Theret pour La Française REM.  

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-678 Mon, 28 Aug 2017 18:20:21 +0200 Le secteur manufacturier reste très dynamique en zone Euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-secteur-manufacturier-reste-tres-dynamique-en-zone-euro/ L’élément central de la semaine est le "symposium économique" de Jackson Hole qui commence aujourd’hui jusqu’à demain, il s'agit d'un rendez-vous incontournable des banquiers centraux chaque année.

    Le thème cette année est « comment promouvoir une économie mondiale dynamique ». Les discussions devraient porter sur la stabilité financière et la croissance.

    • Janet Yellen ouvre les hostilités aujourd’hui. Aucune surprise ! Le sujet reste centré sur la réglementation financière. Ce discours n’apporte rien de nouveau tant sur l’économie que la politique monétaire

    • Mario Draghi parlera ce soir. Peu d’attente également car la BCE a déjà prévenu qu’il n’y aurait aucune annonce de changement de politique monétaire avant la réunion de septembre.

    Nous conservons donc inchangée notre vision sur la politique monétaire aux Etats-Unis et continuons d’anticiper une hausse de taux supplémentaire d’ici la fin d’année avec le commencement de la réduction du bilan de la FED.

    Les attentes du marché nous semblent toujours trop faibles avec une probabilité pour une hausse des taux sur décembre de 30% aujourd’hui.

    Parallèlement, le risque politique aux Etats-Unis reste très présent. Donald Trump a brandi la menace d’un « shut-down » du gouvernement en amont des discussions sur le relèvement du plafond de la dette au Congrès.

    Concernant la macro-économie, nous avons retenu deux chiffres :

    • En Europe, les chiffres confirment l’embellie. Le secteur manufacturier reste très dynamique comme le montrent les enquêtes PMI, en hausse à 57,4 sur le mois d’août

    • Aux Etats-Unis, les données restent plus mitigées. Le secteur de l’immobilier commence à montrer des signes de ralentissement. Les ventes de maisons neuves sont en baisse de 9,4% sur le mois de juillet, au plus bas depuis 7 mois.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-674 Wed, 23 Aug 2017 14:33:17 +0200 Accélération de la croissance en zone Euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acceleration-de-la-croissance-en-zone-euro/ Le sentiment de marché demeure encore très volatil. Après un rebond en début de semaine, suite à la détente des tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Corée du Nord, les marchés terminent la semaine sur une note négative.

    Les indices actions sont en baisse suite à la montée des risques politiques aux Etats-Unis et à l’attaque terroriste à Barcelone.

    Les marchés américains sont les plus impactés, sur fond de rumeur que le conseiller à la Maison Blanche, Gary Cohn et d'autres, abandonneraient l'administration, mettant ainsi en doute l’implémentation du programme pro-croissance.

    Du côté microéconomique, la saison de publication des résultats se termine. Globalement cette saison a été satisfaisante (surtout aux Etats-Unis), ce soutien au marché est maintenant derrière nous.

    Les minutes des réunions des Banques Centrales étaient publiées cette semaine et laissent apparaitre certaines inquiétudes:

    • Côté FED, les discussions étaient sans surprise fortement axées sur l’inflation et montrent une plus forte inquiétude quant aux perspectives de rebond. Les membres du FOMC apparaissent également plus divisés par rapport à la faiblesse des derniers mois

    • Côté BCE, des inquiétudes sont visibles sur la devise, quant au risque d’une trop forte appréciation de l’euro qui pourrait peser sur les conditions financières.

    Les chiffres macroéconomiques publiés cette semaine sont satisfaisants:

    • Aux Etats-Unis, les ventes au détail augmentent plus fortement que prévu à +0,6% sur le mois de juillet, ce qui devrait soutenir la croissance au 3ème trimestre

    • En Europe, la croissance économique pour le 2ème trimestre s’est accélérée. La seconde estimation de la croissance du PIB ressort à +0,6% sur le trimestre

    • Seule la Chine montre quelques signes de ralentissement sur les données d’activité du mois, avec un léger fléchissement de la production industrielle et des ventes au détail

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-672 Tue, 22 Aug 2017 18:09:09 +0200 Le défi d’Emmanuel Macron : Jupiter et Schumpeter /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-defi-demmanuel-macron-jupiter-et-schumpeter/ “Président Jupitérien” fait partie de ces expressions qui trouvent leur fondement dans les changements profonds de Société qu’elles reflètent et le besoin de nommer ces ruptures : les changements de paradigmes post crise de 2008, la disruption née des changements des business modèles issus de la digitalisation (Uber, Airbnb…) ; en l’espèce, c’est une posture d’autant plus originale qu’il s’agit non seulement d’un adjectif qualificatif hautement valorisant mais que l’auteur n’est autre que le Président lui-même qui s’est auto-qualifié de Dieu des dieux.

    Certains pourraient y voir un péché d’orgueil alors qu’il s’agit en réalité d’une nécessité absolue pour concrétiser l’utopie économico-écologique (Cf. ma lettre de février 2017, la digicratie ou le populisme) et ne pas tomber dans la dystopie d’un monde en perdition fait de diktats sans dictature.

    Des échecs des politiques économiques des pays occidentaux des 40 dernières années et singulièrement ceux de la France, le pouvoir de l’Etat est sorti affaibli alors même que les régulations n’ont fait qu’augmenter ; le principe de précaution l’emportant le plus souvent sur la créativité et la nécessaire protection des plus faibles créant un cercle vicieux d’appauvrissement à long terme. Pablo Picasso disait que l’ennemi principal de la créativité est le bon sens. On imagine aisément sa réaction s’il était confronté à la logorrhée administrative des dernières années ; excès de règles de tous genres qui d’ailleurs ont créé autant d’opportunités à des start-ups venant disrupter les rentes de “régulation”.

    L’analyse, certes facile, du passé démontre aisément que la Destruction Créatrice énoncée en tant que principe économique par Schumpeter s’est souvent traduite en France, et d’une manière générale en Occident, par un mélange de manque de courage politique (y compris dans de nombreuses entreprises), de mandats politiques complexes (durée, processus), de règles administratives trop lourdes parce qu’il est plus “facile” (politiquement et économiquement) à court terme de protéger les industries en déclin que de soutenir une innovation consubstantiellement hasardeuse et moins populaire. L’Etat a d’ailleurs toujours recherché un équilibre par nature instable entre être un facilitateur de l’innovation, qui reste du domaine du secteur privé, et avoir une fonction de protecteur de ceux qui sont victimes de cette innovation (de la technologie comme de la mondialisation).

    Par son approche pragmatique de droite et en même temps de gauche, Emmanuel Macron, en dirigeant par ordonnances et avec un pouvoir présidentiel fort, s’inscrit résolument dans une logique facilitant l’évolution Schumpétérienne, la seule réellement créatrice de richesses pour la collectivité.

    La question centrale est ainsi déplacée vers quel type de création destructrice la Société évolue-t-elle et à partir de là quel est le rôle de l’Etat dans sa fonction de protection/d’accompagnement de la création en cours.

    Parmi tous les changements liés à la globalisation et à la digitalisation, la relation au travail est, me semble-t-il, le plus important. L’Entreprise ne peut plus s’engager dans un plan de carrière pour ses collaborateurs car elle mute en permanence, l’obsolescence du “travailleur” est de plus en plus rapide : remplacé par un autre moins cher ailleurs, par une nouvelle technologie qui supprime son poste, par l’arrêt de certains produits ou services, au final une temporalité de plus en plus courte. Le droit du travail est de moins en moins adapté et peine à trouver les réponses : pour caricaturer, un chauffeur UBER est-il réellement auto-entrepreneur alors qu’il ne fixe pas le prix de la course, qu’il peut être sorti du système s’il est mal noté par les clients et qu’il ne se constitue aucun fonds de commerce qu’il puisse céder ? Le développement du statut d’auto-entrepreneur dans les métiers où la variabilité de la charge de travail est importante, y compris dans les métiers qualifiés, devient la règle pour les jeunes et se substitue partiellement à l’enchaînement des CDD.

    On ressent ainsi que l’évolution de la Société se traduira nécessairement par plus de “précarité” quelle que soit la forme juridique à venir du Contrat de Travail, l’Etat accompagnant cette évolution économique par son encadrement juridique, la flexi-sécurité –pour prendre là également un terme à la mode– la précarité de l’emploi ne devant pas se traduire par une précarité sociale.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine

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    news-668 Thu, 17 Aug 2017 09:23:09 +0200 La Française Real Estate Partners International acquiert un immeuble de bureaux* dans le Schwedler Carré (Francfort) auprès de Deutsche Asset Management /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-dans-le-schwedler-c/ La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte de deux SCPI (Sociétés Civiles de Placements Immobiliers) de La Française, un immeuble de bureaux de six étages auprès de Deutsche Asset Management.

    L’actif est situé au 53 Ferdinand-Happ-Strasse dans le quartier mixte du East End, l’un des plus dynamiques de la ville de Francfort-sur-le-Main. L’implantation récente de la Banque Centrale Européenne, qui y a pris ses quartiers en 2010, a attiré de nombreux autres grands locataires dont des fintechs et des prestataires de services.

    L’immeuble, baptisé « Campus 53 », a été construit en 2011 dans un nouveau quartier mêlant bureaux, commerces et immeubles d’habitation (le Schwedler Carré) situé juste derrière la rue principale Hanauer Landstrasse et à seulement 500 mètres de la station ferroviaire Ostbahnhof. 

    Le bâtiment de 6 730 m2 est intégralement loué dans le cadre d’un bail de dix ans à un locataire unique : une agence publicitaire internationale.

    « Campus 53 » bénéficie d’une grande entrée de style loft au rez-de-chaussée, d’espaces de bureaux modernes du 1er au 5ème étage et de plateaux de coworking (avec des salles de conférence, de détente et une cafétéria) au dernier étage. Les installations techniques sont très satisfaisantes et incluent un système de chauffage et de climatisation géothermique. Les espaces de bureaux sont aisément divisibles et peuvent donc s’adapter aux différents besoins des locataires. Un parking de 58 places s’étend également sur deux niveaux de sous-sol.

    Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne au sein de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Campus 53 constitue une réelle valeur ajoutée à notre portefeuille actuel. Le potentiel de performance à long terme de l’actif est attrayant puisqu’au regard des emplacements limités dans l’Ostend (East End), nous devrions assister à une augmentation des loyers à l’avenir, ce qui aurait un impact positif sur la rentabilité de notre investissement. »

    Exemple d’investissement détenu dans le portefeuille. Celui-ci n’est pas représentatif des investissements futurs et ne saurait refléter entièrement la composition du fonds.

    La Française Real Estate Partners International a été assistée par les cabinets Ashurst LLP et TA Europe.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-666 Wed, 16 Aug 2017 14:28:56 +0200 Attendue à +0,2%, l’inflation américaine sort en dessous des prévisions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/attendue-a-02-linflation-americaine-sort-en-dessous-des-previsions/ Cette semaine, les marchés ont été marqués par les chiffres économiques et le bruit géopolitique:

    Du côté économique, nous avons observé (avec un sourire en coin) le dollar remonter mardi après un rapport JOLTS américain (ouverture de postes au mois de juin) meilleur qu’attendu. Pourquoi étions-nous amusés ? Simplement car habituellement le marché ignore complètement ce chiffre, baromètre secondaire du marché de l’emploi. Les investisseurs étaient juste très positionnés acheteur EUR/USD et ont pris des profits, ce qui a fait baisser l’Euro – le chiffre était une simple excuse.

    Le chiffre américain de la semaine était l’inflation, qui sort sous les attentes à +0,1% sur le mois contre +0,2% attendu. Etonnamment, le dollar n'a pas baissé tant que ça vendredi : 

    -0,15% face à l'Euro. Les membres de la Fed ont pourtant un discours très prudent : alors qu’il voyait auparavant deux hausses cette année, Monsieur Kaplan (membre votant de la Fed) trouve maintenant qu’il faut être « patient ».

    Le marché anticipe maintenant moins de deux hausses d’ici fin 2019. Nous pensons que cet excès de pessimisme n’est pas justifié au regard d’un marché de l’emploi qui se tend et d’un dollar qui a baissé cette année.

    Sur le front géopolitique, le « Fire and fury » de Monsieur Trump a bien sûr beaucoup pesé sur les actifs risqués, avec des actions qui terminent la semaine dans le rouge (Eurostoxx 50 et actions chinoises respectivement en baisse de -2,5% et -4,0%). Nous pensons que les bonnes nouvelles fondamentales macroéconomique et microéconomique finiront par prendre le dessus.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-662 Fri, 11 Aug 2017 09:32:45 +0200 Alger on the Money - La patience peut coûter cher /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-la-patience-peut-couter-cher/ Identifier les hauts et les bas des marchés actions est un exercice frustrant pour les investisseurs soucieux de positionner leurs portefeuilles en fonction de leurs perspectives de marché. Nombre d’entre eux guettent actuellement un repli, susceptible de créer des « opportunités d’achat ». Toutefois, l’histoire suggère que la tendance actuelle à la hausse pourrait se maintenir encore quelque temps.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-659 Tue, 08 Aug 2017 11:02:18 +0200 Le secteur manufacturier américain reste dynamique tandis que les services déçoivent /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-secteur-manufacturier-americain-reste-dynamique-tandis-que-les-services-decoivent/ Comme chaque première semaine du mois aux Etats-Unis, de nombreux chiffres ont été publiés. Nous retenons en particulier :
    • Les indicateurs avancés ISM, qui donnent le pouls à court terme de l’économie américaine. Le secteur manufacturier reste dynamique (56,3, proche de son point haut), alors que les services déçoivent à 53,9. Nous notons par ailleurs le rebond des composantes prix, ce qui augure d’une inflation plus ferme dans l’avenir proche. Ces chiffres plutôt satisfaisants n’ont pas suffi à inverser la tendance sur le dollar et les taux américains qui ont continué à chuter jusqu’à jeudi
    • Vendredi, le rapport d’emploi est sorti et a surpris positivement : les créations d’emploi sont élevées, et l’inflation salariale est légèrement plus élevée qu’attendu. Peu après, dans l’après-midi, Gary Cohn, le Monsieur Economie de l’administration Trump, a déclaré travailler sur des baisses d’impôts pour les entreprises et des incitations pour rapatrier le cash détenu à l’étranger. Ces deux événements ont retourné le marché, avec un dollar qui termine la semaine finalement proche de son niveau de départ.

    Ces chiffres viennent conforter notre vue d’une économie américaine toujours en bonne santé. Nous continuons de penser que le marché n’anticipe pas assez de relèvement monétaire aux Etats-Unis.

    A noter également la forte remontée des points morts d’inflation européens, aidée par le rebond du baril.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-655 Thu, 03 Aug 2017 09:05:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble de bureaux à Toulouse (31) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-a-toulouse-31/ La Française REM a acquis « Le Colombo », un immeuble de bureaux situé à 5kms du centre-ville de Toulouse, au sein du pôle tertiaire Balma Gramont. L’immeuble, sis au 6 avenue Georges Pompidou, bénéficie d’une bonne accessibilité avec la présence du métro A et de la rocade à proximité.

    L’actif est composé de 2 bâtiments, entièrement loués à 6 locataires de qualité. Le principal locataire (22% de la surface) a confirmé sa volonté de renouveler son bail. L’actif, encore sous garantie décennale, développe une surface totale de 7 663 m² et bénéficie de 214 emplacements de parking, soit 1 place/36 m².

    Cette acquisition a été réalisée pour le compte de 2 SCPI (Epargne Foncière et LF Europimmo) gérées par La Française REM.

    Le vendeur et l’acquéreur étaient assistés par CBRE ; l’étude notariale de l’acquéreur a été réalisée par « Oudot et Associés » et celle du vendeur par « Me BERNECOLI ». 

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    news-653 Mon, 31 Jul 2017 17:34:21 +0200 Les chiffres macroéconomiques confirment que l’économie américaine est en bonne santé /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-chiffres-macroeconomiques-confirment-que-leconomie-americaine-est-en-bonne-sante/ Voici les points qui ont retenus notre attention cette semaine :
    • Les stocks de pétrole mardi sont sortis nettement sous les attentes. Le baril affiche un gain de +8,4% sur la semaine, et a poussé les taux américains à la hausse
    • Les chiffres macroéconomiques américains avec le PIB du 2ème trimestre qui était évidemment attendu. Il sort finalement à +2,6% contre +2,7% espéré. Nous avons donc la confirmation que la faiblesse du premier trimestre n’était que transitoire. L’économie américaine se porte donc toujours plutôt bien. Le point négatif était l’indicateur du coût du travail, qui continue de croître à un rythme très faible. La hausse des salaires, levier principal d’une véritable reprise de l’inflation, n’est toujours pas présente
    • La Fed a sans surprise laissé son taux inchangé mercredi soir, et le communiqué a été perçu comme prudent à la marge
    • En zone Euro, les chiffres d’inflation ont surpris à la hausse, surtout en Allemagne qui affiche +1,7% sur un an glissant. Malgré tout, la réaction sur les taux allemands est timide, avec une variation sur la semaine de +0,02%
    • Enfin, les résultats des entreprises sont sortis globalement de bonne facture : 57% de surprises positives en Europe et 77% aux Etats-Unis. Du grand classique, mais qui aide tout de même le S&P à franchir un nouveau record.

    Nos convictions restent globalement inchangées. Nous continuons de penser que les taux américains sont trop bas et que le marché anticipe trop peu de relèvement monétaire par la Fed. Nous restons donc positifs sur le dollar. 

    Nous pensons que les taux américains vont davantage monter que les taux Euro, et cela se matérialise : +6bps pour le 10 ans américain contre +2bps pour le Bund cette semaine.

    Nous restons positifs sur les actions Euro et sur les marchés émergents. Ces deux zones affichent une bonne conjoncture macroéconomique et nous pensons que les flux positifs vont continuer.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-649 Tue, 01 Aug 2017 09:00:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès de Standard Life Investments un immeuble neuf de bureaux à Levallois-Perret (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-standard-life-investments-un-immeuble-neu/ L’immeuble, baptisé « HUB » et livré en mai 2017 par BDP Marignan, se situe au 4 Place du 8 mai 1945, en face de la Gare de Clichy-Levallois accessible par la ligne L qui relie notamment La Défense à la Gare Saint-Lazare. La ligne 3 et la future ligne 14 du métro se situent également à proximité. L’actif, labellisé BREEAM Very Good et HQE Excellent, développe une surface totale de près de 15,000m² sur 8 étages de bureaux et 1 niveau dédié aux services au RDC. Il bénéficie de prestations en ligne avec les plus hauts standards.

    L’actif est acquis par La Française REM pour le compte des SCPI Epargne Foncière, LF Europimmo, Multimmobilier 2, Sélectinvest 1, La Française Pierre, Eurofoncière 2 et Pierre Privilège. 

    La Française REM était assistée par l’étude notariale « 14 Pyramides » et le Cabinet Jeantet sur les aspects locatifs. Standard Life Investments était assisté par l’étude notariale « Oudot et Associés » et par CBRE.

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    news-647 Fri, 28 Jul 2017 11:25:06 +0200 Alger on the Money - Une nouvelle méthode pour diminuer le risque ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-une-nouvelle-methode-pour-diminuer-le-risque/ Les investissements ESG ont un fort potentiel d’atténuation des risques car ils garantissent une plus grande stabilité des bénéfices. Les entreprises bien notées selon des critères ESG ne sont pas seulement bénéfiques pour la société. Elles le sont pour votre portefeuille également.

    Source : Bank of America Merrill Lynch (selon performance médiane du BPA sur la période 2005-2015)

    • Les entreprises qui présentent les meilleures notes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) sont celles dont la volatilité des bénéfices par action (BPA) a augmenté le moins vite sur 5 ans.
      À l’inverse, les entreprises les moins bien notées selon des critères ESG sont celles qui ont vu la volatilité de leurs BPA croître le plus rapidement (cf. graphique).

    • La stabilité des bénéfices est un élément à ne pas négliger. Au cours de la période 2005-2015, les cours des actions des entreprises aux notes ESG élevées ont moins baissé que ceux des autres actions.1

    • Au sein du secteur ESG, les notes environnementales, sociales et de gouvernance individuelles varient beaucoup d’une entreprise à l’autre ; c’est pourquoi, il peut être avantageux de privilégier une gestion active des portefeuilles d’investissement ESG.

    1 Bank of America Merrill Lynch (2016) “ESG: good companies can make good stocks.” Equity Strategy Focus Point.

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-645 Wed, 26 Jul 2017 10:05:17 +0200 Semaine compliquée pour M. Trump, avec l’annulation du vote de la réforme de la santé /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/semaine-compliquee-pour-m-trump-avec-lannulation-du-vote-de-la-reforme-de-la-sante/ La semaine a été calme sur le front des chiffres macroéconomiques, l’actualité était davantage sur les fronts politique et banques centrales.

    Sur le plan politique d’abord, avec l’incontournable M. Trump, qui a de nouveau vécu une semaine chaotique : lundi, deux sénateurs républicains ont annoncé qu’ils ne soutenaient pas le texte de réforme de la santé. Le vote du « Better Care Reconciliation Act », connu sous le nom de Trumpcare, a été annulé dans la foulée. Avec littéralement aucune loi votée au congrès depuis son arrivée pour 42 projets de loi, le début de la présidence Trump est clairement un échec. La fin de semaine n’a pas été plus calme, avec l’annonce du FBI que les transactions immobilières de Trump avec des personnalités russes allaient faire l’objet d’un examen. 

    Ce contexte politique a un impact négatif sur le dollar et fait baisser les taux américains. Nous trouvons toujours que les taux américains sont trop bas et que le marché devrait anticiper davantage de hausses de taux de la part de la Fed.

    Jeudi, Mario Draghi a fait son possible pour paraitre prudent. Les marchés obligataires ont bien entendu le message, mais étonnamment l’Euro a continué de monter après le discours. Cette divergence renforce notre conviction que l’Euro devrait baisser à nouveau, et nous avons renforcé ce pari en profitant de bons niveaux de marché.

    La saison des résultats bat son plein, nous attendons la semaine prochaine plus de 40% de l'indice Stoxx 600. Nous pensons que les résultats devraient être bons étant donné la vigueur des chiffres macroéconomiques.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-642 Wed, 28 Jun 2017 14:01:00 +0200 Notre nouvelle plaquette corporate vient de sortir ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/notre-nouvelle-plaquette-corporate-vient-de-sortir/ Résolument différente des précédentes, elle a pour but d’être une « carte de visite » du Groupe, plus représentative de l’image et de l’esprit de La Française, que descriptive de ses activités.

    Il en existe une version en français et une en anglais ; vous ferez la différence aisément sur la couverture (la ligne du bas est en bleue sur la version française et en or pour la version anglaise).

    La plaquette est disponible en flipbook grâce aux liens ci-dessous :

    Cliquez ici pour découvrir la plaquette version française

    Cliquez ici pour découvrir la plaquette version anglaise

    Découvrez, partagez et bonne lecture !

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    news-640 Thu, 20 Jul 2017 11:31:53 +0200 La Française a des ID n°8 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-des-id-n8/ Comme chaque trimestre, focus sur un immeuble labellisé qui répond aux exigences environnementales, sociales et sociétales des grands locataires d’aujourd’hui. A l'honneur ce trimestre, IPSO FACTO, un immeuble dernière génération aux portes de Paris.

    IPSO FACTO, un immeuble à l'architecture contemporaine avec une identité forte et aux espaces communs agréables et modulables participant au bien-être des utilisateurs.

    > Téléchargez le dernier numéro de La Française a des Immeubles Durables

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    news-639 Thu, 20 Jul 2017 11:19:59 +0200 L'avenir du capitalisme est dans la croissance durable /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lavenir-du-capitalisme-est-dans-la-croissance-durable/ Dans son livre "Sapiens", Yuval Noah Harari, professeur d’histoire à l’Université Hébraïque de Jérusalem, développe une théorie sur le credo capitaliste. Si le capitalisme a joué un rôle décisif dans l’essor de la science moderne et l’avènement de notre société technologique, il n’en demeure pas moins un credo, fondé sur un humanisme libéral, nullement inscrit dans les gênes de l’homo sapiens. Ses fondements sont profondément religieux comme l’a souligné Max Weber dans son livre "L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme". En effet la croyance libérale dans la nature libre et sacrée de chaque individu vient directement de la croyance chrétienne traditionnelle dans les âmes individuelles libres et éternelles. Du coup, on est troublé par le fait que l’Investissement Socialement Responsable prend ses sources au XVIIe siècle aux Etats-Unis dans la Société religieuse des Amis, aussi appelée Quakers, profondément attachée à la liberté des convictions et à la responsabilité personnelle.

    Mais revenons à "Sapiens", le capitalisme y est décrit à l’origine comme une théorie à la fois descriptive et prescriptive du fonctionnement de l’économie. Peu à peu le capitalisme s’est doté d’une éthique fondée sur le dogme que la croissance économique est le bien suprême car tout le reste en dépend : la justice, la liberté, voire le bonheur. La liaison avec la science devient indispensable si l’on veut rendre ce message intelligible car la croyance en une croissance économique perpétuelle va à l’encontre de la connaissance que nous avons de l’univers physique. L’économie mondiale est exactement arrivée à ce point de rupture : l’endettement colossal accumulé depuis plus de trente ans rappelle "l’hiver" du cycle de Kondratieff et l’arrivée du "printemps" suppose soit une purge douloureuse de cet endettement par destruction créatrice, soit sa dilution dans une croissance apportée par la nouvelle ère technologique du digital, de l’intelligence artificielle, de l’Internet des objets, de la robotisation, des nano et des biotechnologies, des énergies renouvelables, etc. Bref dans une croissance durable car moins consommatrice de matières premières mais plus de matière grise.

    Dans ce numéro de Stratégies & Durabilité, l’actualité du monde et de la France témoigne de ce nouveau monde en train d’émerger et de l’ancien monde qui n’en finit pas de s’éteindre. L’actualité de La Française témoigne elle du dynamisme et de l’engagement de notre société dans la croissance durable.


    > Cliquez ici pour télécharger le dernier numéro de Stratégies & Durabilité

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    news-637 Tue, 18 Jul 2017 14:17:23 +0200 Première banque centrale du G10 après la Fed à remonter son taux, en dépit d’une inflation toujours faible /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/premiere-banque-centrale-du-g10-apres-la-fed-a-remonter-son-taux-en-depit-dune-inflation-toujours/ Après un début de semaine calme, mercredi a été une journée intéressante :
    • Janet Yellen a eu un discours accommodant, insistant sur le fait que les projections économiques sont très incertaines. En particulier, elle a indiqué que la vigueur de la remontée de l’inflation restait une inconnue. Le marché a eu une réaction assez marquée, avec un taux 10 ans américain en baisse de 5 bps et des marchés émergents en forte hausse.
       
    • La Banque du Canada tenait son comité et a augmenté son taux directeur comme attendu. Les banquiers centraux avaient largement préparé le terrain ces dernières semaines, mais le ton était encore plus rigide que prévu, ce qui a fait monter les taux et le dollar canadien. Nous trouvons que ce mouvement est très fort, d’autant que l’inflation reste faible au Canada. Nous avons donc initié une position vendeuse de dollar canadien contre couronne norvégienne, cette dernière n’ayant pas réagi à des chiffres d’inflation élevés. 

    Au global, les marchés obligataires ont consolidé leur baisse des dernières semaines à travers une baisse des taux réels. Les marchés actions affichent une performance intéressante (+1,7% sur l’Eurostoxx, +3,9% pour le MSCI EM notamment).

    Le change émergent est en hausse (+1,3% pour la livre turque, +2,3% pour le réal brésilien, et +1,7% pour le peso mexicain). Nous conservons nos positions dans ces devises qui offrent un carry important dans un contexte d’inflation émergente en reflux. Nous sommes d’autant plus confiants dans ces positions que ces devises sont très peu chères en valorisation d’un point de vue historique.

    Nous conservons également inchangée notre exposition en actions Euro (15%). La saison des résultats qui arrive devrait être un catalyseur positif pour ce thème. Nous attendons une croissance de 11% des bénéfices par action.

     

    Cette semaine, le mouvement principal a été l’initiation d’un short dollar canadien face à la couronne norvégienne.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

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    news-632 Thu, 13 Jul 2017 11:06:40 +0200 Alger on the Money - Gare à l’écart de production ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-gare-a-lecart-de-production/ L’écart de production est un outil important. Aux États-Unis, son niveau actuel indique que l’économie américaine a un potentiel de croissance, ce qui pourrait soutenir le cours des actions à court terme. L’écart de production suggère que l’économie a une marge de croissance

    > Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-630 Mon, 17 Jul 2017 09:09:00 +0200 Le Fonds de dotation du Grand Paris Express accueille ses premiers mécènes /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-fonds-de-dotation-du-grand-paris-express-accueille-ses-premiers-mecenes/ Le Fonds de dotation du Grand Paris Express a réuni pour la première fois son cercle des mécènes. Aux côtés des entreprises fondatrices (BETC et La Française), 9 premiers mécènes se sont engagés à soutenir la programmation artistique et culturelle à venir tout au long des 200 km de nouvelles lignes de métro du Grand Paris : Bouygues Construction, Eiffage Génie Civil, Vinci Construction, Nexity, Demathieu Bard, Engie, Herrenknecht, HP BTP et SEGAT. Grâce aux 4 millions d’euros d’ores et déjà collectés pour les trois prochaines années, le Fonds de dotation va pouvoir soutenir dès 2017 les premiers projets artistiques et culturels sur les territoires du Grand Paris.

    Les premières entreprises s’engagent pour un Grand Paris de la culture et de la création

    Le Grand Paris Express présente une programmation culturelle comprenant des oeuvres originales dans les gares, des créations mobiles et du spectacle vivant, à l’échelle de l’ensemble du territoire métropolitain. Ce programme, dont la direction artistique a été confiée à José-Manuel Gonçalvès (directeur du Centquatre-Paris), a pour objectif de construire un patrimoine urbain sans équivalent : la première collection d’art public, d’architecture et d’innovation urbaine à l’échelle d’une métropole.

    Les premiers mécènes de ce programme sont :

    • Mécènes fondateurs : BETC et La Française
    • Grands partenaires : Bouygues Construction, Eiffage Génie Civil, Vinci Construction
    • Mécène principal : Nexity
    • Mécènes : Demathieu Bard, Engie, Herrenknecht, HP BTP, SEGAT

    Présidé par Rémi Babinet, cofondateur de l’agence de publicité BETC, le Fonds de dotation amplifie son action et poursuit sa recherche de nouveaux partenaires pour associer le plus grand nombre d’acteurs à ce projet exceptionnel, d’intérêt national.

     

    Un soutien concret aux projets artistiques dès 2017

     

    Dès 2017 et jusqu’à l’ouverture des premières gares - formidable tremplin vers les Jeux Olympiques de 2024 et l’Exposition Universelle 2025 - le Fonds de dotation aura ainsi à cœur d’accompagner les projets de soutien à la jeune création, l’organisation d’événements fédérateurs sur les chantiers, ainsi que de nombreuses actions artistiques permettant de mobiliser la jeunesse des territoires. Grâce au Fonds de dotation, les entreprises pourront également soutenir la création des œuvres originales dans les gares

     

    « Nous remercions chaleureusement les premiers mécènes qui se sont engagés à nos côtés. C’est un signe de confiance des entreprises qui vont contribuer à donner chair au nouveau Paris en accompagnant cette aventure extraordinaire, celle de la métamorphose de notre capitale. Le Grand Paris Express va être le moteur d’une transformation jamais vue depuis le XIXème siècle. Cette ambition, la puissance publique ne peut la conduire seule : il est primordial de faire comprendre cet enjeu, de le partager avec les entreprises et les acteurs économiques, pour que ce projet prenne toute sa dimension. »

    Rémi Babinet, Président du Fonds de dotation du Grand Paris Express

     

    > Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici.

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    news-629 Tue, 11 Jul 2017 15:10:26 +0200 Hausse de l'indice ISM non manufacturier à 57,4 aux Etats-Unis le mois dernier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/hausse-de-lindice-ism-non-manufacturier-a-574-aux-etats-unis-le-mois-dernier/ Le mouvement de tension obligataire se poursuit cette semaine avec des taux allemands qui prennent encore 10bps et atteignent leur point haut de l’année à 0,56%, nous observons le même mouvement sur les taux américains, les taux canadiens, etc. Cette semaine a été assez homothétique même s'il n'y a pas eu de nouvelles spécifiques, mais le fort positionnement de marché déclenche certainement des débouclements de positions un peu violents, ce qui explique le mouvement.

    La BCE continue de communiquer, avec un ton qui nous semble vouloir apaiser les tensions actuelles en mettant l’accent sur le caractère graduel du message, sur le fait que les mesures accommodantes sont toujours justifiées, mais pour le moment, avec un impact proche du néant.

    Le pricing des taux courts euro implique aujourd’hui une 1ère remontée de taux en juin 2018 et 25bps de hausse au total sur l’année. Cela impliquerait un arrêt du QE assez brutal (passage de 60 milliards d'euros par mois jusqu’en décembre 2017 puis 0 à partir de juin 2018), Monsieur Draghi ayant toujours dit que les hausses de taux seraient postérieures à l’arrêt du QE. Ce n’est pas impossible, mais c’est un scénario qui nous semble déjà assez agressif. Etant donné la trajectoire d’inflation, nous ne pensons pas que le mouvement puisse aller beaucoup plus loin sur les taux courts allemands. Sur les taux longs, il reste un peu de place, les taux réels ne sont toujours pas très élevés mais là encore, la position ne nous semble plus très loin de ses objectifs et donc plus très asymétrique. A l’inverse nous trouvons qu’il reste de la place sur les taux courts américains.

    Les chiffres macro-économiques Euro sont restés bien orientés avec des productions industrielles très fortes en Allemagne et en France. Du côté des États-Unis, notons le très bon chiffre d’ISM à 57,4 et  les bons chiffres du chômage même si l’inflation salariale ne remonte toujours pas.

    Les actions sont stables sur la semaine et restent collées sur les points post élection, autour de 3440 sur l’Eurostoxx. Nous avons toujours la même opinion : la macro-économie se porte bien, la micro-économie également avec des attentes de croissance autour de +15% sur l’année, le marché n’est en hausse que de +5% depuis le début de l'année et les valorisations sont proches de leur moyenne historique. Dans un monde où les liquidités excédentaires vont continuer à rester importantes et vont donc devoir être investies, il nous semble que les actions Euro restent intéressantes. Il est cependant possible que nous ayons un peu de volatilité si les tensions obligataires persistent.

    Nous avons effectué des modifications cette semaine, principalement avec des prises de profit sur les banques Euro et taux Euro.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-623 Mon, 10 Jul 2017 14:19:48 +0200 Le Carbone : un nouveau facteur de performance sur les marchés d'actions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-carbone-un-nouveau-facteur-de-performance-sur-les-marches-dactions/ La gestion factorielle basée sur des facteurs de performance spécifiques sur les marchés d’actions connait un succès de plus en plus marqué auprès des investisseurs. Sur un total de 41 milliards d’euros de collecte des Exchange Traded Funds en Europe durant l’année 2016, près de 4 milliards ont porté sur des produits d’investissement de ce type.

    L’objectif de la gestion factorielle en actions est en effet de surperformer les indices traditionnels tout en réduisant le risque du portefeuille. Le moyen d’y parvenir est de tirer profit d’anomalies de marché statistiquement identifiés et expliqués par des biais comportementaux ou réglementaires. Cinq facteurs principaux sont mis en avant aussi bien par le monde de la finance académique que par les praticiens: growth vs value, high vs low momentum, small vs big caps, low vs high volatility, high vs low quality. Typiquement on observe une surperformance de l’ordre de 2 % sur une base annuelle entre le portefeuille constitué du quart des sociétés présentant les valeurs les plus basses et le portefeuille constitué du quart des sociétés présentant les valeurs les plus hautes de chaque facteur.

    La littérature académique ne reconnaissait pas jusqu’en 2014 l’existence d’un facteur low vs high carbon footprint sur les marchés d’actions significatif ou suffisamment stable en termes de rentabilité ajustée du risque. En revanche elle avait identifié la présence d’une prime de risque sur les rentabilités attendues des entreprises fortement émettrices de carbone et reconnaissait que la transparence de l’information sur les émissions de carbone bénéficiait à la valorisation et à la liquidité de ces entreprises. Un des arguments conceptuels mis en avant par les climato-sceptiques en finance était l’hétérogénéité des entreprises fortement émettrices de carbone en termes de sensibilité au prix de l’énergie ou de risque relatif au marché dans son ensemble.

    Ces entreprises appartiennent en effet essentiellement à quatre secteurs : extraction de matières premières énergétiques, production d’électricité, matériaux de base et industrie ayant peu de points communs si ce n’est une forte intensité capitalistique. Ces secteurs représentent environ 25 % de la capitalisation de l’indice boursier MSCI ACWI et sont responsables de 90 % des émissions de carbone par les entreprises composant l’indice. Mais rien ne permet d’affirmer que cette hétérogénéité est plus forte que, par exemple, les valeurs jouissant d’un haut niveau de volatilité des cours ou les entreprises de qualité médiocre.

    Télécharger Asset & Allocations dans son intégralité

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    news-620 Fri, 07 Jul 2017 18:10:20 +0200 Fonds phares : bilan 1er semestre / perspectives 2nd semestre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fonds-phares-bilan-1er-semestre-perspectives-2nd-semestre/ Le 1er semestre étant écoulé, Gilles Grenouilleau Directeur Commercial Retail, voulait faire un rapide point commercial avec vous sur ce qui s’est passé et sur nos perspectives de fin d’année.

     

    Sur la partie immobilière, et plus particulièrement en immobilier collectif, la première partie de l’année a démarré sur les chapeaux de roues en matière de collecte, ce qui placera sans nul doute l’année 2017 comme un grand millésime.

    A ce jour, nous avons près d’1 milliard d’euros d’actifs en processus d’acquisition, ce qui nous permet d’augmenter nos enveloppes de collecte en direct ou en UC de plus de 250 M€ pour l’année 2017. 

    Il n’était pas question pour nous de collecter sans avoir des investissements de qualité en regard !

    Il n’y aura pas de rupture dans la collecte de nos produits que vous avez plébiscités, à savoir : Epargne Foncière, Multimmobilier 2, Opportunité Immo, Europimmo, voire Multimmo. 

    Concernant le marché des OPCVM, nous sommes satisfaits du 1er semestre.

    Notre choix de fonds phare a été piloté par le match Euro - UC avec donc des solutions recherchant un couple risques/rendement cohérent.  

    Parmi les produits que nous vous avons proposés, on peut noter le succès du fonds La Française Rendement Global 2022 et La Française Multistratégies Obligataires qui intègrent une approche de Performance Absolue avec une gestion flexible. 

    Nous bénéficions aussi d’une expertise en Performance Absolue avec le fonds LFIS Premia, un portefeuille de stratégies diversifiées, décorrélé des marchés.

    Enfin nous n’oublions pas non plus la gestion sous mandat et la mise en place de fonds dédiés qui apportent un vrai plus en matière de service. 

    Pour le 2nd semestre, nous continuerons à vous proposer cette gamme de fonds phares, et travaillerons sur de nouvelles thématiques, avec La Française Multi-Asset Income, qui a un objectif de distribution revu annuellement et La Française Zero Carbon, un fonds Action axé sur les enjeux climatiques.

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    news-619 Fri, 07 Jul 2017 15:16:22 +0200 La Française publie son premier rapport « article 173 » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-publie-son-premier-rapport-article-173/ Le rapport du Groupe La Française prévu par l'article 173 de la loi de Transition Ecologique et Energétique de 2015 vient de paraître.

    Ce rapport contient "les modalités de prise en compte dans la politique d'investissement des critères relatifs au respect d'objectifs sociaux, environnementaux et de qualité de gouvernance et sur les moyens mis en œuvre pour contribuer à la transition énergétique et écologique" comme prévu par la loi.

    Dans ce premier rapport, l'accent est mis sur la philosophie d'investissement du Groupe la Française, la SAI, appliquée à toutes les classes d'actifs, qui combine une approche environnementale, sociétales et de gouvernance avec une analyse stratégique et l'analyse financière traditionnelle. Cette combinaison permet d'avoir une vision dynamique et intégrée des facteurs de performance et de risque attachés à chaque actif. 

    Le rapport contient une revue des portefeuilles actions, obligations d'entreprise et immobilier d'entreprise gérés par le Groupe, à la fois sous l'angle ESG et l'angle climat avec un focus sur les véhicules phares:  Zero Carbon sur les actions, Obligations Europe SAI et Immo SR 1 pour l'immobilier.

    > Cliquez ici pour accéder au rapport 

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    news-616 Wed, 05 Jul 2017 10:14:26 +0200 Le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe remet un chèque de plus de 76 000€ à l’Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (ICM) grâce au succès rencontré par la SCPI Pierval Santé /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-groupe-credit-mutuel-nord-europe-remet-un-cheque-de-plus-de-76-000e-a-l-institut-du-cerveau-et-de/ Comprendre et traiter les maladies et les traumatismes du système nerveux constituent un enjeu majeur à l’échelle mondiale ; l’Institut du Cerveau et de la Moëlle épinière (ICM) est un centre de recherche de dimension internationale, sans équivalent dans le monde.

    Créé à Paris, à l’initiative des professeurs Gérard Saillant, Yves Agid et Olivier Lyon-Caen, l’ICM est la concrétisation d’un nouveau modèle en matière de recherche en neuroscience :

    • Institut international de recherche de 22 000 m²
    • Au cœur de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière
    • 600 chercheurs français et internationaux

    L’institut regroupe des moyens techniques exceptionnels : 3 IRM, un hôpital de jour, un centre de ressources biologiques, des plateformes technologiques mutualisées pour favoriser rencontres et échanges entre professionnels…

     

    Lancée en janvier 2014 par Euryale AM, Pierval Santé est la première SCPI à fonds de partage. Elle a pour ambition de répondre à un enjeu de santé publique en rapprochant des investisseurs privés (épargnants) et des exploitants associatifs publics ou privés. En tant que fonds de partage, elle participe à l’œuvre de la Fondation ICM à hauteur de 0.01% de sa collecte annuelle et invite distributeurs et investisseurs à œuvrer pour cette même cause.

    Dans cet esprit, le CMNE (Crédit Mutuel Nord Europe) et La Française ont souhaité renforcer leur soutien à la recherche médicale en apportant leur contribution : 

    • Le CMNE fait un don à l’ICM représentant 0,50 % de la collecte annuelle de la SCPI Pierval Santé 
    • La Française, quant à elle, abonde à hauteur de 0,20 % cette même collecte.

    Le chèque de 76 930€ remis le 4 juillet à l’ICM se rapporte à la collecte réalisée en 2016 sur la SCPI Pierval Santé, dont près d’un tiers au sein du réseau Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE).

    En 1 an, la capitalisation de Pierval Santé a quasiment triplé pour atteindre à la fin du

    1er trimestre 2017 près de 150 millions d’euros avec un nombre d’associés supérieur à 3 600.  La SCPI compte aujourd’hui 27 acquisitions dans les secteurs de la santé (medico social, soins de ville, etc.) en France et en Allemagne.

    La progression de ces chiffres illustre la pertinence de la stratégie de Pierval Santé et l’intérêt avéré des investisseurs à diversifier leur épargne sur le secteur de l’immobilier de santé. 

    La puissance de distribution du CMNE alliée au savoir-faire de La Française et l’expertise d’Euryale AM participent au succès de Pierval Santé. 

    Eric Charpentier, Directeur général de Crédit Mutuel Nord Europe, souligne : « Nous sommes très fiers de cette réussite. Nous assumons notre rôle d’acteur engagé sur nos territoires à travers des investissements porteurs de sens. Les clients y sont sensibles et d’année en année ils nous rejoignent dans cette démarche sociétale. Il est essentiel que chacun d’entre nous continue de s’y investir. »

    Thierry Sévoumians, Directeur du développement France chez La Française, commente : « Les problématiques de dépendance spécifiques aux maladies neurodégénératives constituent un enjeu majeur pour les années à venir. En nous engageant auprès de Pierval Santé, nous sommes très fiers de contribuer à soutenir la recherche médicale menée par l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière en parfaite adéquation avec notre démarche sociétale. » 

    Jean-Jacques Olivié, Président d’Euryale Asset Management, rappelle : « Pour la 1ère fois une SCPI permet de lier finance et philanthropie. Pour consolider et approfondir cette démarche innovante, l’ICM participe également, dans un esprit public-privé-associatif, à notre comité scientifique afin de nous accompagner dans la vision de ce que sera la médecine de demain. Une vraie synergie s’est créée ».

    De gauche à droite : M. Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française, Pr. Patrick Vermersch, vice-doyen de la faculté de médecine de Lille, Pr. Gérard Saillant, Président de l’ICM, M. Eric Charpentier, Directeur Général du CMNE

    Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse 

     

     

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    news-614 Tue, 04 Jul 2017 14:54:29 +0200 Forte réaction des taux souverains suite aux discours des banquiers centraux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/forte-reaction-des-taux-souverains-suite-aux-discours-des-banquiers-centraux/ Changement de ton cette semaine! Nous avions déjà eu quelques changements à la marge dans le discours des banquiers centraux depuis quelques semaines, mais cela est devenu plus concret à l’occasion du forum de la BCE à Sintra.

    Le discours de Mario Draghi a lancé les hostilités, celui de Mark Carney (gouverneur de la Banque d'Angleterre) a confirmé les dires d'Andy Haldane (économiste en chef de la Banque d'Angleterre), et Stephen Poloz (gouverneur de la Banque du Canada) a lui réitéré le changement de ton de la BoC. Avec une Fed qui avait été perçue comme rigide lors du dernier FOMC, cela fait maintenant quatre grandes banques centrales qui indiquent une volonté de réduire le biais très accommodant de leurs politiques.

    De plus, l’inflation en zone euro est sortie légèrement au-dessus des attentes, l’impact sur les taux a été immédiat et conséquent : +22bps sur les taux européens et britanniques, +14bps sur les taux américains et +30bps sur les taux canadiens. Très logiquement, le dollar a baissé contre l'euro, la livre sterling et le dollar canadien, en lien avec la compression du spread de taux.

    Dans le même temps, le pétrole reprend quelques couleurs, ce qui entretient évidemment le mouvement sur les taux.

    Rien n’a changé du côté macroéconomique, et l’inflation, même si elle est un peu meilleure que prévu, ne montre pas non plus de signes d’amélioration notable.

    Ce mouvement est aussi sans doute en partie lié au positionnement excessif des fonds systématiques (risk parity, minimum variance, etc) qui étaient tous très long de taux et d’actions. Ces positionnements agressifs sont probablement encore présents dans le marché, ce qui pourrait continuer à alimenter le mouvement la semaine prochaine. Il faut se rappeler de mai 2015 avec un mouvement de hausse de 100bps sur les taux allemands.

    Les actions européennes reviennent en hausse de seulement +5% depuis le début de l'année malgré une très bonne dynamique micro-économique.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-610 Mon, 03 Jul 2017 11:25:23 +0200 Pascale Auclair face à Thibault Prébay dans Intégrale Placements /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pascale-auclair-face-a-thibault-prebay-dans-integrale-placements/ Retrouvez l’intervention de Pascale Auclair dans Intégrale Placements sur BFM Business.

    Pascale Auclair, Directeur général de La Française AM était face à Thibault Prébay, Directeur général adjoint de Financière Arbevel, le vendredi 30 juin dans Intégrale Placements sur BFM Business.

    Ils ont débattu sur les thèmes suivants : 

    • Comment les grandes banques agiront-elles face au ralentissement de l'inflation ?
    • Avec l'arrivée de l'été, comment adapter son allocation d'actifs ?

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    news-609 Fri, 30 Jun 2017 14:39:16 +0200 Carrefour - Jérôme Fauvel était dans Achat Vente sur Fortuneo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/carrefour-jerome-fauvel-etait-dans-achat-vente-sur-fortuneo/ Jérôme Fauvel, Gérant Actions à La Française, était l'invité de l'émission Achat Vente le 23 juin 2017 face à Antoine Verlain pour échanger autour de l'action Carrefour. Jérôme Fauvel a évoqué les points suivants : 

    • L'introduction de sa filière brésilienne en bourse au Brésil
    • Lancement du process d'introduction en bourse de sa filière Foncière Carmila
    • Nomination d'Alexandre Bompart au poste de Président Directeur Général
    • Perspective d'amélioration financière

     

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    news-607 Fri, 30 Jun 2017 11:39:12 +0200 Alger on the Money - Relâcher la pression sur les résultats d’entreprises /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-relacher-la-pression-sur-les-resultats-dentreprises/ Le nombre des réglementations américaines atteint des niveaux historiques. Par conséquent, le potentiel est également très élevé pour Washington d’initier des réformes visant à déréguler et à réduire les coûts réglementaires pour les entreprises américaines. Cette situation présente des avantages pour de nombreuses entreprises, petites ou grandes, et pour les investisseurs actions.

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-606 Thu, 29 Jun 2017 11:56:44 +0200 Le logement dans le Grand Paris - Retrouvez le dernier numéro de Immobilier & Perspectives /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-logement-dans-le-grand-paris-retrouvez-le-dernier-numero-de-immobilier-perspectives/ Le logement a toujours eu une place à part dans le patrimoine des Français. Outre les valeurs qu’il véhicule, l’immobilier au sens large et le logement en particulier revêtent de nombreux attributs.

    Le marché résidentiel est durablement soutenu par des facteurs structurels : une démographie toujours dynamique par rapport aux autres pays d’Europe de l’Ouest, un mouvement de décohabitation qui s’intensifie, la préparation de la retraite, et plus généralement le désir d’accéder à la propriété. De manière plus conjoncturelle, le bas niveau des taux de crédit, malgré la remontée amorcée en toute fin d’année dernière, a précipité les acquisitions depuis quelques trimestres. En effet, les taux d’emprunt toujours très bas ont nettement contribué à resolvabiliser les ménages.

    De plus, la classe d’actif immobilier continue de représenter la valeur refuge, dans un contexte de forte volatilité persistante des marchés financiers. Ces nombreux facteurs de soutien assurent une activité régulière sur les marchés de l’acquisition de logements et leur conjonction a favorisé un redémarrage sensible des prix, en particulier en Ile-de-France.

    En effet, cette forte demande des Français en matière de logements se concentre de plus en plus, à l’instar des populations, vers les métropoles, attirant une très grande part de l’activité économique. Les déséquilibres territoriaux se sont donc exacerbés au cours des dernières années, entraînant des trajectoires divergentes dans l’évolution des prix résidentiels : les grandes villes enregistrent des progressions parfois marquées des prix des logements, tandis que la demande pour les zones plus secondaires s’est considérablement ralentie, entrainant une baisse des valeurs...

    L’exemple le plus criant est sans nul doute l’Ile-de-France. Malgré les crises successives observées depuis 2008, les prix n’y ont finalement que peu fléchi et sur une courte période. Ils ont largement rebondi depuis, puisque les estimations prévoient un nouveau record de prix dans Paris, en 8 800 €/m² en juillet 2017. La hausse des prix dans la Capitale aura, par ricochet, un impact haussier sur sa périphérie. Les enjeux sont gigantesques. La part des dépenses de logements n’a cessé d’augmenter de manière très nette au cours des dernières décennies, impactant considérablement le budget des ménages alloué à d’autres postes de dépenses. La consommation, par exemple, pâtit de cette réalité, et freine, au final, la croissance de l’économie dans toutes ses composantes. Ainsi les analystes constatent que la robustesse de l’économie allemande est notamment issue d’une meilleure répartition de l’activité et des lieux de résidence sur le territoire (malgré une densité nettement plus élevée qu’en France), car elle accroit la compétitivité des entreprises et la consommation des ménages, en maintenant les loyers des différentes villes à des niveaux raisonnables.

    Le projet du Grand Paris a été conçu pour répondre à cette problématique. La construction de 200 km de voies de métro automatique, jalonnées de 68 nouvelles gares autour de Paris permettra une accessibilité accrue de certaines zones, aujourd’hui peu recherchées par les ménages. Elles contribueront à élargir les territoires susceptibles d’offrir des terrains à construire, afin d’agrandir le parc de logements. 70 000 nouveaux logements devraient ainsi être livrés chaque année pendant 25 ans, afin de répondre à la hausse de la population francilienne (13 millions d’habitants attendus en 2030 contre 12 millions recensés en 2014) et assurer une meilleure fluidité du marché immobilier résidentiel, en réduisant les inégalités.

    Du point de vue de l’investisseur institutionnel, l’importante baisse des taux pour les bureaux et les commerces a rendu les rentabilités distribuées par les actifs de logements nettement plus attractives car plus proches de celles offertes par les investissements en immobilier d’entreprise. En outre, le faible taux de rémunération proposé par les taux d’emprunt d’état a mécaniquement restauré une prime de risque sensiblement plus favorable.
    La ligne 15 du Grand Paris, la seule ligne de métro qui ne desservira aucune station située dans la capitale, reflète bien la volonté de dépasser le périphérique pour englober la proche périphérie.
    La Française souhaite participer activement à la construction du Grand Paris. Nous étudions ainsi des dispositifs innovants qui permettraient de proposer aux ménages, un accès facilité car à moindre coût, aux logements neufs, y compris en région parisienne. Le projet du Grand Paris nous offre une occasion unique d’adoucir les frontières entre les territoires, en les rendant plus accessibles, afin d’accroitre l’offre globale de logements pour améliorer les conditions de vie d’un plus grand nombre.

    > Cliquez ici pour télécharger le dernier numéro d'Immobilier & Perspectives

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    news-601 Tue, 27 Jun 2017 17:42:20 +0200 Le prix du pétrole poursuit sa baisse et touche de nouveaux points bas sur l’année /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-prix-du-petrole-poursuit-sa-baisse-et-touche-de-nouveaux-points-bas-sur-lannee/ Le calendrier était peu chargé sur la semaine en termes de chiffres macroéconomiques, sans évènement majeur, les banques centrales étant derrière nous.

    Le pétrole reste le principal « driver » des marchés sur la semaine et pèse sur le sentiment global. Les prix du baril continuent de baisser et touchent de nouveaux points bas sur l’année, ce qui porte la performance depuis le début de cette année proche des -20%. Il s'agit de la plus forte baisse enregistrée sur un premier semestre depuis 1997.

    Le pétrole est clairement un point de vigilance aujourd’hui. Si la baisse devait s’accentuer, les impacts potentiels pourraient être importants, sur les classes d’actifs et les banques centrales, avec des risques sur la croissance et les perspectives macro-économiques mondiales. Pour le moment, nous continuons de penser que cette baisse est transitoire.

    Au Royaume-Uni, les négociations sur le Brexit avec l’Union Européenne ont commencé cette semaine. David Davis (ministre délégué au Brexit) a mis en avant les espoirs pour « un partenariat fort » avec l’Union Européenne, après le départ du Royaume-Uni. Cela est certainement une première étape dans une bonne direction, d’autant plus que Theresa May est actuellement marginalisée suite aux résultats des élections anticipées.

    Nous pensons qu’il n’est pas improbable que le sentiment de marché s’oriente progressivement vers un scénario de « soft » Brexit dans les mois qui viennent, mais nous n’oublions pas que nous sommes seulement au début des négociations, ce qui laisse toujours la place aux incertitudes.

    Du côté de la Chine, MSCI a annoncé l’inclusion des actions chinoises A dans l’indice MSCI Emerging Markets. Cela devrait se faire progressivement en deux étapes (mai puis août 2018) et représentera un poids de 0,7% de l’indice. Cette décision était très attendue. Nous n’attendons pas d’implications ou d’impacts importants sur les marchés.

    En Europe, la publication des PMI sur juin ressort sous les attentes. Le PMI composite est en baisse à 55,7 vs 56,8 au mois précédent. La composante Services est en baisse à 54,7 mais l’activité manufacturière est en hausse à 57,3 soit le plus haut niveau depuis 6 ans.

    Malgré cette baisse, l’activité reste robuste et affiche sa plus forte croissance sur le trimestre, soutenue par une reprise globale.

    La Banque Centrale Européenne a également publié son bulletin économique, et confirme que l’inflation devrait rester proche de ses niveaux sur les prochains mois.

    Aux Etats-Unis, la croissance des PMI ralentit également pour le mois de juin. Le PMI composite est en baisse à 53,0 contre 53,6 au mois précédent, mais les composantes emploi et nouvelles commandes restent solides.

    Globalement, les marchés actions sont volatils sur la semaine avec une surperformance des marchés émergents. Les taux sont légèrement en baisse.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-597 Tue, 27 Jun 2017 09:40:00 +0200 NewAlpha recoit le soutien du fonds French Tech Accélération et annonce le closing final de son fonds de Venture Capital dédié aux Fintech /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-recoit-le-soutien-du-fonds-french-tech-acceleration-et-annonce-le-closing-final-de-son-fond/ Spécialiste de l’investissement dans l’industrie financière entrepreneuriale, NewAlpha Asset Management (« NewAlpha ») a lancé en novembre 2015 le premier fonds français de Venture Capital* dédié aux startups FinTech. Avec l’apport de 15 M€ du fonds French Tech Accélération, géré par Bpifrance, dans le cadre de l’initiative publique French Tech, financée par le Programme d’investissements d’avenir (PIA), la société boucle la levée de ce fonds de venture capital au montant de 56 M€ dans le délai qu’elle s’était fixé.

    Souscrit par des investisseurs institutionnels français (banque, assurances, caisse de retraite), le fonds géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de participations dans des sociétés innovantes du secteur des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.

    Prioritairement investi dans des startups françaises non cotées dans les différents secteurs FinTech, le fonds bénéficie d’un important deal flow européen grâce à l’écosystème unique constitué par NewAlpha avec ses actionnaires, investisseurs, sociétés de gestion partenaires et par son expertise dans le domaine de l’incubation et de l’accélération de sociétés entrepreneuriales en France et à l’international.

    NewAlpha a été le fonds de Venture Capital français le plus actif en 2016 dans le secteur FinTech. Il fut notamment leader sur les levées de fonds des startups HEOH, iTrust, Unilend, Lydia, TrackInsight et très récemment Wikifolio, premier investissement européen du fonds.

    Ces sociétés bénéficient du dispositif d’accompagnement et d’accélération que NewAlpha met en œuvre depuis plusieurs années dans le cadre de ses fonds d’incubation dédiés au secteur financier.

    Le Fonds French Tech Accélération, créé dans le cadre de l’Initiative publique French Tech en 2014 et doté de 200 millions d’euros sur 5 ans est géré par Bpifrance. Il est financé par le Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), piloté par le Commissariat général à l'investissement (CGI) pour investir dans des structures d’accélération privées (accélérateurs, startup studios, fonds d’investissement d’accélération…). Près de 70M€ ont aujourd’hui été engagés par le FTA dans plus de 10 opérations 

    Lior Derhy, Directeur du Private Equity chez NewAlpha indique: « Avec ce fonds, nous avons souhaité allier notre expertise dans l’industrie financière aux meilleures pratiques du Venture Capital et de l’incubation. Plusieurs centaines de sociétés ont été rencontrées par l’équipe depuis fin 2015, ce qui conforte la profondeur et le dynamisme des opportunités FinTech en France et en Europe. L’évolution constructive des relations entre les acteurs établis et les start-ups de l’industrie devrait conduire à une forte démocratisation des innovations FinTech et offrir des opportunités d’investissement attractives. »

    Pour Bpifrance « Nous sommes heureux d’accompagner l’équipe New Alpha dans la levée de leur fonds NewAlpha Fintech qui repose sur un modèle d’accompagnement opérationnel par immersion dans l'écosystème de partenaires de New Alpha dans l’industrie financière. »

    Antoine Rolland, CEO de NewAlpha conclut: « La stratégie de développement de NewAlpha s’appuie sur l’élargissement de nos champs de compétences naturellement centrées sur l’innovation. Le positionnement, aujourd’hui reconnu, de notre fonds FinTech traduit notre expertise et notre capacité à proposer des solutions d’investissement créatrices de valeur à la fois pour les investisseurs institutionnels et pour les entrepreneurs. » 

    *Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-595 Thu, 22 Jun 2017 15:56:45 +0200 La Française partenaire des Assises de la Pierre Papier et de l'Investissement Immobilier 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-partenaire-des-assises-de-la-pierre-papier-et-de-linvestissement-immobilier-2017/ La Française participera aux Assises de la Pierre Papier le 26 juin 2017 à Paris. Fort du  succès des précédentes éditions des Assises de la Pierre Papier,  l'Agefi et Pierre Papier.fr organisent la 6e édition des Assises de la Pierre Papier qui se tiendra le lundi 26 juin au Méridien Etoile à Paris.  

    Evènement de référence dédié aux CGP/CGPI, banquiers privés, investisseurs institutionnels... ce rendez-vous unique est l'occasion de bénéficier de témoignages d'experts et de rencontrer les professionnels de la pierre-papier et de l'investissement immobilier.  

    Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Manager, interviendra lors de la conférence qui débutera à 9.15 sur le thème "investissements immobiliers : jusqu'où ?" 

    Cette journée sera également sera également ponctuée par la remise de prix pour deux catégories, les prix quantitatifs et le prix qualitatif.

    Pour en savoir plus, téléchargez le programme

    Assises de la Pierre-Papier et de l'Investissement Immobilier
    lundi 26 juin 2017
    Méridien Etoile
    81 boulevard Gouvion Saint-Cyr
    75017 Paris

     

     

     

     

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    news-594 Thu, 22 Jun 2017 16:18:06 +0200 Gilles Mainard dans le Club de la Bourse sur BFM Business /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gilles-mainard-dans-le-club-de-la-bourse-sur-bfm-business-1/ Mercredi 21 mai, Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française a participé à Intégrale Bourse sur BFM Business. Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française, était dans le Club de la Bourse sur BFM Business, aux côtés de Stéphane Cadieu, directeur des marchés financiers chez Crédit Mutuel Arkéa et Xavier Robert, responsable trading et arbitrage chez Oddo BHF. Et Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York.

    Intégrale Bourse, du mercredi 21 mai 2017, présenté par Vincent Touraine, sur BFM Business.

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    news-590 Wed, 21 Jun 2017 16:54:18 +0200 Multihabitation 10 : les premiers investissements à quelques mois de la clôture ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/multihabitation-10-les-premiers-investissements-a-quelques-mois-de-la-cloture/ Créée en juillet 2016, la SCPI fiscale Multihabitation 10 est adossée au dispositif Pinel. Actuellement en cours de commercialisation, elle se clôturera le 14 septembre 2017.

    A ce jour, la Société de gestion a d’ores et déjà identifié trois actifs situés dans les Hauts-de-Seine (92) et dans le Val de Marne (94) représentant 1 330 m² pour 25 logements. 

    Exemples d’investissement, ne constituent pas un engagement quant aux futures acquisitions

    Zoom sur le dispositif Pinel :  

    En investissant dans des programmes d’habitation de qualité situés dans des zones géographiques dynamiques et respectant les plafonds de prix, de loyers et de ressources des locataires en vigueur, Multihabitation 10 offre à ses associés une réduction d’impôt sur le revenu attractive.

    Cette réduction d’impôt de 18%, sur la base de 100% d’un montant souscrit dans la limite de 300 000 € et répartie de manière linéaire sur une période de 9 ans, représente un avantage fiscal total maximum de  54 000 € sur 9 ans.

    L’investissement en part de SCPI Multihabitation 10 permet l’application immédiate de la réduction d’impôt annuelle de 2 %, au titre de l’année de souscription, sans délai ni calcul de prorata temporis.Le bénéfice de la réduction d’impôt est soumis à l’obligation pour l’associé de conserver ses parts pendant une durée de 9 années à compter de la mise en location du dernier logement composant le patrimoine de la SCPI et au maximum 17 ans, compte tenu de la période inhérente à la vente du patrimoine.     

    Votre conseil en investissement auprès de vos clients ne doit pas se baser sur les seuls avantages fiscaux procurés par ce produit et doit prendre en compte ses autres caractéristiques.

    Vous remerciant une nouvelle fois pour votre confiance, nous vous invitons, pour tout complément d’information, à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.

    Risques associés : Multihabitation 10 est une SCPI fiscale dont la réduction d’impôt entre dans le champ d’application du plafonnement global des avantages fiscaux à 10 000 euros du revenu imposable. Ce placement à long terme, dont la durée de détention des parts est estimée à 17 ans au total, ne bénéficie d’aucune garantie de rendement ni de protection du capital investi. L’avantage fiscal ne pouvant être transmis, sa liquidité s’en trouve limitée. Compte tenu de la constitution du patrimoine, les premiers revenus seront des revenus financiers et seront distribués au titre du 1er semestre 2019 (versement au 2nd semestre 2019), sous réserve des taux de placement.

    La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org). Multihabitation 10 : visa AMF, SCPI n°16-23, en date du 26/08/2016. Une notice a été publiée au BALO n°109 du 09/09/2016 et n°148 du 09/12/2016.

    La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par le CECEI sous le numéro 18673 X, carte Professionnelle délivrée par la Préfecture de Police de Paris - Transaction Immobilière n° T11960 - www.acpr.banque-france.fr

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    news-589 Wed, 21 Jun 2017 15:32:16 +0200 Kering (KER) - Jérôme Fauvel était dans Achat Vente sur Fortuneo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/kering-ker-jerome-fauvel-etait-dans-achat-vente-sur-fortuneo/ Jérôme Fauvel, Gérant Actions à La Française, était l’invité de l’émission Achat Vente le 16 juin 2017 face à Antoine Verlain pour échanger autour de l'action Kering. Jérôme Fauvel a notamment abordé les points suivants :

    • Présentation du groupe Kering.
    • Plus d'éléments sur le taux de croissance de Gucci.
    • Qu'en est-il pour le groupe sur le plan financier ?

     

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    news-587 Wed, 21 Jun 2017 09:18:54 +0200 Forte déception sur l’inflation américaine, qui ralentit significativement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/forte-deception-sur-linflation-americaine-qui-ralentit-significativement/ Le point majeur de la semaine était le meeting de la FED pour le mois de juin.

    La FED a relevé ses taux de +25bps comme attendu. En dépit de chiffres d’inflation plus faible, la FED poursuit sa politique de normalisation monétaire, la plupart des membres du FOMC continue d’anticiper une hausse de taux supplémentaire d’ici la fin d’année.

    Au niveau des projections économiques (SEP), la FED s’attend toujours à un marché de l’emploi plus robuste mais avec une inflation plus faible seulement pour l’année 2017. L’inflation devrait retourner progressivement vers les 2%, la faiblesse récente devrait être transitoire.

    La question de la réduction du bilan de la FED devrait être évoquée au prochain meeting de septembre, et pourrait éventuellement commencer avant la fin de l’année à un rythme très graduel.

    Le biais est donc plus rigide qu’attendu, si l’on regarde la réaction des marchés post meeting, avec un rebond des taux core et du dollar.

    Cependant, la probabilité pour une hausse des taux en fin d’année est inférieure à 40%. Les marchés restent beaucoup plus prudents que la FED. Nous continuons de penser de notre côté, que les anticipations de marchés sont trop pessimistes sur l’économie. Nous maintenons notre biais vendeur de duration inchangé.

    Par ailleurs, la banque du Japon a laissé sa politique monétaire identique.

    macro-économique de la semaine dernière, les chiffres continuent de décevoir aux Etats-Unis. Les ventes au détail pour le mois de mai sont plus faibles que prévu (en baisse de -0,3% sur le mois) mais la révision du mois dernier est positive. L’inflation sort nettement sous les attentes. Le headline CPI ralentit à +1,9% sur l’année contre +2,2% au mois précédent. La partie core est plus faible également à +1,7%, en baisse pour le 3ème mois consécutif. Bref, nous constatons toujours très peu de pressions inflationnistes à ce stade...

     

    En Europe, l’environnement macro-économique reste orienté positivement. La production industrielle continue de rebondir (avec une hausse de +0,5% par rapport à avril) tirée par le secteur de l’énergie. Sur l’inflation, le CPI final pour mai ressort comme attendu à +1,4%.

    En Chine, les ventes au détail et la production industrielle (respectivement en hausse de +10,7% et +6,5% sur les 12 derniers mois) restent bien orientées.

    Les marchés actions et les taux étaient en légère baisse sur la semaine. Le marché du pétrole reste sous pression, les prix continuent de baisser suite aux chiffres d’inventaire qui restent globalement élevés.

    Cette semaine devrait être plus calme, les banques centrales étant derrière nous.

    Nous avons effectué quelques changements sur le portefeuille: 

    • Augmentation de notre exposition sur le dollar canadien et initiation d'une position de spread sur les taux canadiens contre les taux américains, suite aux commentaires rigides du gouverneur de la banque centrale.
    • Renforcement de notre thème sur les pays émergents: achat de Réal brésilien contre dollar
    • Prise de profit au Royaume-Uni sur notre spread de Gilt.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-577 Fri, 16 Jun 2017 16:58:12 +0200 La Française REM réalise une opération de valorisation pour Sélectinvest 1 et Crédit Mutuel Pierre 1 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-realise-une-operation-de-valorisation-pour-selectinvest-1-et-credit-mutuel-pierre-1/ La Française REM (Real Estate Managers) a engagé depuis plus de 3 ans le rajeunissement du patrimoine immobilier de deux de ses SCPI phares : Sélectinvest 1 et Crédit Mutuel Pierre 1.

    L’immeuble SUD AFFAIRES a été détruit pour laisser place à IPSO FACTO, immeuble livré par Bouygues Immobilier en mai 2017 et détenu à 66 % par Sélectinvest 1 et à 34 % par Crédit Mutuel Pierre 1.

     

    Cet immeuble dernière génération aux portes de Paris, situé rue de la Vanne à Montrouge (92) et accessible depuis le métro (ligne 4) et le RER B, développe une superficie de 14 000 m2 et 300 places de parkings. Conçu par l’Atelier d’Architecture Brenac & Gonzalez, IPSO FACTO, divisible verticalement et horizontalement, s’articule autour de deux halls lumineux et offre des patios arborés et des terrasses paysagées. Il proposera un espace de co-working, des tisaneries… et un restaurant à thème, de quoi répondre aux nouvelles exigences des utilisateurs.

     

    Outre ses qualités architecturales et ses nombreux services, IPSO FACTO, certifié HQE Excellent et BREEAM Very Good, est en mesure de réaliser jusqu’à 40% d’économies d’énergie par rapport à la RT 2012, grâce notamment à la production de chaleur et de froid par la géothermie sur sondes. 

     

    Thierry Molton, Directeur de l’Asset Management Immobilier d’Entreprise de La Française REM, conclut, « Face à l’obsolescence de l’immeuble SUD AFFAIRES et convaincus par l’attrait croissant du secteur de Montrouge pour les utilisateurs, notamment avec l’avancement du projet Grand Paris, nous avons, avec cette valorisation de grande ampleur, simultanément créé de la valeur pour nos SCPI Sélectinvest 1 et Crédit Mutuel 1 et allongé la durée de vie de l’actif.» 

    Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici

     

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    news-575 Fri, 16 Jun 2017 15:16:05 +0200 Alger on the Money – Money in Motion — L’ESG est au bout du chemin /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-money-in-motion-lesg-est-au-bout-du-chemin/ Le transfert de richesses des baby boomers aux générations suivantes s’annonce comme l’un des plus importants de l’Histoire : plus de 30 000 milliards de dollars sont en jeu. Que pensez-vous que les jeunes générations valorisent ?

     

    1 U.S. SIF Foundation, « Report on Sustainable and Responsible Investing Trends in the United States », 2016
    2 Étude U.S. Trust Insights on Wealth and Worth®, 2016. Parmi les investisseurs « millennials », 28 % possèdent des actifs ESG et 57 % envisagent d’en ajouter à leurs portefeuilles. Parmi ceux de la « génération X », 24 % possèdent des actifs ESG et 31 % envisagent d’en ajouter à leurs portefeuilles.
    3 The Journal of Investing, « Can ESG Add Alpha », Zoltan Nagy, Altaf Kassam, Linda-Eling Lee, Été 2016.

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-573 Wed, 14 Jun 2017 17:23:09 +0200 La Française organisatrice d’une visite privée à l’ICM le 21 juin 2017. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-organisatrice-dune-visite-privee-a-licm-le-21-juin-2017/ C’est à l’occasion de l’Assemblée Générale de la SCPI Pierval Santé qu’une visite privée est organisée pour les gestionnaires de patrimoine à l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.

    C’est à l’occasion de l’Assemblée Générale de la SCPI Pierval Santé qu’une visite privée est organisée pour les gestionnaires de patrimoine à l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.

    L'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière est situé à l’hôpital de la Pitié Salpetrière à Paris.

    En savoir plus sur l'ICM, cliquez ici

    Mercredi 21 juin 2017 de 8.45 à 10.30 

    Institut du Cerveau et de la Moelle épinière

    Hôpital Pitié Salpetrière

    47, bd de l’Hôpital

    75013 Paris

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    news-572 Wed, 14 Jun 2017 10:46:07 +0200 Découvrez la dernière édition de la Lettre de la Gestion Privée "En particulier" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-de-la-lettre-de-la-gestion-privee-en-particulier-3/ Après une campagne électorale à rebondissements et en attendant les élections législatives, nous avons le plaisir de vous adresser ce nouveau numéro de votre lettre de la Gestion Privée.

    Vous y retrouverez nos rubriques habituelles sur la conjoncture, les marchés immobiliers, les marchés de valeurs mobilières ainsi que la présentation de plusieurs supports d’investissement. Mais une fois n’est pas coutume, nous avons souhaité consacrer notre page "Décryptage" à un sujet qui préoccupe un nombre de plus en plus important de nos concitoyens : la gestion des avoirs et des intérêts de personnes ne disposant plus de la capacité d’y pourvoir seules.

    Après le mandat de protection future, entré en vigueur le 1er janvier 2009, permettant à chacun d’organiser son éventuelle dépendance à venir, le gouvernement a mis en place par l’ordonnance 2015-1288 du 15 octobre 2015 la procédure d’"habilitation familiale" visant à simplifier les démarches des proches d’une personne vulnérable.

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    news-569 Tue, 13 Jun 2017 09:57:44 +0200 La décarbonisation des portefeuilles s'impose dans la gestion d'actifs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-decarbonisation-des-portefeuilles-simpose-dans-la-gestion-dactifs/ Laurent Jacquier Laforge, Responsable de la gestion actions de La Française, est l'invité du Grand Débat d'Option Finance sur la décarbonisation des portefeuilles. Portée par les obligations réglementaires des investisseurs institutionnels, la décarbonisation des portefeuilles prend une place de plus en plus importante dans la gestion d’actif. Et elle va bien au-delà de l’ajout d’un critère supplémentaire de sélection car les investisseurs institutionnels comme les gérants qui les servent en sont maintenant convaincus : la lutte contre le réchauffement climatique est "disruptive". Elle va conduire les spécialistes de l’investissement à revoir leur horizon d’investissement, à intégrer la notion d’impact et donc à ne plus privilégier une rentabilité financière à court terme. Une véritable révolution plébiscitée par les institutionnels qui s’engagent pour l’avenir de la planète.

    Les participants à cette table ronde sont :

    • Laurent Jacquier Laforge, Responsable de la Gestion Actions de La Française
    • Philippe Desfossés, Directeur de l'ERAFP
    • Denis Lehman, Directeur des gestions d'Aviva Investors France
    • Bruno Fine, Président, Fondateur et Directeur de la gestion de Roche-Brune Asset Management
    • Pierre Georges, Directeur chez Standard & Poor's

     

    La Française, l'ISR et la gestion bas carbone

    La Française fait dialoguer responsabilité et stratégie. Anticipant et décryptant les grandes tendances avec pragmatisme et engagement, La Française privilégie dans ses choix d’investissement une approche de long terme qui prend en compte aujourd’hui les défis de demain. Elle a pour cela développé l’ISR via une approche propriétaire, la SAI – stratégie avancée d’investissement – qui allie critères financiers et recherche stratégique. Cette méthode innovante de sélection de valeurs s’inscrit dans la durabilité en intégrant, en plus des facteurs ESG, les deux critères supplémentaires que sont la capacité d’innovation et la réactivité des entreprises. Aujourd’hui, l’ensemble de la gestion actions de La Française est ISR. Avec l’ISR, La Française répond à l’appétence de ses clients pour des produits responsables sur des thématiques clairement identifiées. Ainsi, le fonds Zero Carbon propose une solution à des investisseurs qui souhaitent profiter des opportunités liées à la transition énergétique, tout en gérant les risques d’investissement liés à ces changements.

    Décarbonisation : ce qu'il faut retenir

    L’article 173 de la loi sur la transition énergétique impose un reporting aux investisseurs institutionnels sur leur gestion des risques liés au climat, et plus largement sur l’intégration de paramètres environnementaux et sociaux dans leur politique d’investissement. Rien que sur l’assurance vie, les encours sous gestion concernés sont faramineux. Mais ce changement est aussi majeur car il introduit une véritable rupture. Les investisseurs institutionnels comme les gérants qui les servent sont en effet convaincus que la lutte contre le réchauffement climatique est « disruptive ». Elle ne concernera donc pas une part marginale des portefeuilles, mais s’invitera dans l’ensemble des portefeuilles institutionnels. Elle va ainsi conduire les spécialistes de l’investissement à revoir leur horizon d’investissement, à intégrer la notion d’impact et donc à ne plus privilégier une rentabilité financière à court terme. Tous les participants à la Table ronde bas carbone ont en effet souligné la nécessité de sortir du diktat des reportings annuels car une gestion ISR et a fortiori à bas carbone doit s’appréhender sur le long terme. Autre évolution indispensable : les investisseurs institutionnels, les gérants, mais aussi les agences de notation ou encore les fournisseurs d’indice doivent s’entendre sur des normes de places – idéalement européennes – qui puissent permettre une certaine comparabilité entre les politiques d’investissement mises en oeuvre et leurs impacts réels sur l’environnement.

    Si cette étape de normalisation est indispensable, elle ne remet pour autant pas en cause la capacité d’innovation des gérants. Et dans ce domaine, la lutte contre le réchauffement climatique les inspire. Ils sont ainsi nombreux à avoir pu isoler un facteur carbone qui agit comme une prime de risque sur les actions. De leur côté, les investisseurs institutionnels aussi souhaitent utiliser les nouvelles technologies afin d’être plus vertueux en matière d’environnement, mais aussi plus efficaces. C’est notamment ce qui a été fait à travers l’initiative lancée par ERAFP avec amLeague et Cedrus Asset Management. Au lieu de lancer un appel d’offres classique, le fonds de pension a demandé aux sociétés de gestion de montrer leur expertise sur la gestion à bas carbone en gérant un mandat virtuel sur la plateforme en notionnel. Une méthode gagnant/gagnant pour l’institutionnel et les sociétés de gestion. Pour le premier, il s’agit en effet d’être plus efficace et de tester véritablement les capacités des gérants et pour les seconds de montrer à l’ensemble des investisseurs potentiels leur savoir-faire.

    Si ce mandat concerne une gestion actions, toutes les classes d’actifs peuvent être concernées par la gestion bas carbone et plus particulièrement l’immobilier et l’obligataire. Les spécialistes de l’immobilier ont en effet pu constater que les immeubles avec des écolabels responsables se louaient plus facilement et à des niveaux de loyer supérieurs que les autres types d’immeuble. Ils affichent donc un meilleur rendement. De même, le marché des «green bonds» représentait à fin 2016 quelque 190 milliards d’euros, contre 90 milliards en 2015. S’il constitue encore un segment de niche, sa croissance est exponentielle. De même, sa dynamique est très intéressante car il ne cesse de s’élargir en termes d’émetteurs, de zones géographiques, de classes d’actifs ou encore de qualité de notation. Autre changement : si les économies occidentales mènent encore le marché, les pays émergents ont fait une énorme percée récemment. Des évolutions à suivre.

     

    > Pour retrouver l'intégralité de la table ronde, cliquez ici

    > Cette article est également consultable sur le site OPTION FINANCE en cliquant ici

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    news-567 Tue, 13 Jun 2017 10:45:23 +0200 Révision à la hausse du PIB, avec la demande interne comme principal moteur /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/revision-a-la-hausse-du-pib-avec-la-demande-interne-comme-principal-moteur/ La semaine a été marquée par le meeting de la BCE et le résultat des élections au Royaume-Uni.

    La BCE n’a pas surpris les marchés et laisse les taux inchangés. Comme attendu, elle a marginalement modifié sa " forward guidance " en supprimant le biais à la baisse sur les taux directeurs. Mais le message reste globalement prudent.

    Les prévisions de croissance ont été revues à la hausse, les risques apparaissent désormais plus " équilibrés " mais les prévisions d’inflation sont, en revanche, revues à la baisse pour les trois prochaines années et notamment pour l’année prochaine de façon plus importante qu’attendu (principalement en raison de la baisse des prix de l’énergie), respectivement de -0,2% à +1,5%, -0,3% à +1,3 et -0,1% à +1,6% pour les années 2017, 2018 et 2019.

    La vision reste donc prudente et Draghi a souligné la nécessité d’être patient du fait de la faiblesse de l’inflation. Pour le moment, il n'y a aucune discussion sur un calendrier de ralentissement du QE.

    Au Royaume-Uni, le résultat de l’élection crée la surprise, le parti conservateur de Theresa May perd sa majorité absolue au Parlement. Le parti conservateur a gagné 315 sièges tandis que le parti travailliste de l'opposition, dirigé par Jeremy Corbyn, compte 261 sièges.

    Après l’annonce des résultats, la livre baisse d’environ -2%, mais les autres marchés sont restés calmes sans risque de contagion.

    Comme aucun parti n'a obtenu la majorité absolue, le Royaume-Uni est confronté à un parlement divisé. On devrait donc s’orienter vers la mise en place d’un gouvernement de coalition, ce qui pourrait potentiellement retarder les négociations de Brexit avec l'Union Européenne.

    Nous pensons que l’incertitude politique va demeurer à moyen terme. Nous n’avons pas de fortes convictions aujourd’hui et maintenons notre biais long GBP, dans l’attente d’une réappréciation de la devise, et notre vision vendeuse sur les taux, avec des budgets de risque limités.

    Du côté macro-économique, les principaux indicateurs de la semaine sont la publication de l’ISM des services aux Etats-Unis et la publication finale du PIB pour le premier trimestre en zone Euro.

    L’ISM non manufacturier ressort très légèrement inférieur aux attentes à 56,9 contre 57,5 sur avril mais la décomposition est bonne, notamment avec le fort rebond de la composante sur l’emploi à 57,8 contre 51,4 le mois précédent. L’activité devrait rester robuste dans le secteur des services. Le PIB du premier trimestre en zone Euro est révisé en hausse à +0,6%. La demande interne reste le principal contributeur à la croissance.

    Du côté des marchés, les actions sont restées plutôt calmes sur la semaine. Les taux sont légèrement en hausse et le pétrole poursuit sa baisse après une publication des stocks américains nettement supérieurs aux attentes.

    Cette semaine, le point majeur sera le meeting du FOMC pour juin. La FED devrait augmenter ses taux de +25bps (ce qui est totalement attendu par les marchés), et publiera ses nouvelles prévisions économiques.

    Peu de changements dans le portefeuille : nous avons légèrement renforcé notre exposition aux actions européennes et notre position vendeuse sur l’euro.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-566 Mon, 12 Jun 2017 09:42:39 +0200 Banco Popular - Point de vue sur les marchés par Paul Gurzal /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/banco-popular-point-de-vue-sur-les-marches-par-paul-gurzal/ Le Conseil de Résolution unique de l’Union européenne a décidé le 7 juin 2017 de placer la banque espagnole Banco Popular en résolution, sous recommandation de la BCE qui a estimé que l’entité était sur le point de faire faillite, du fait de la détérioration rapide de sa situation de liquidité.

    En conséquence, le régulateur européen a déprécié intégralement la valeur des actions de la banque et de ses dettes Additional Tier 1 (CoCos) et de convertir les instruments de dettes Tier 2 en de nouvelles actions, qui ont été transférées à Banco Santander pour une valeur de 1 euro. La perte pour les porteurs des dettes subordonnées est totale (taux de recouvrement de 0%). La dette AT1 est présente dans les indices mais reste marginale (<0.3%). Les dettes seniors et les dépôts de la clientèle de Banco Popular sont sauvegardés et sont transférés à Banco Santander. Aucune aide d’Etat ne sera sollicitée lors de cette transaction.

    De son côté, Santander reprend donc le bilan de Banco Popular pour 1 euro symbolique et lance une augmentation de capital de 7Mds€ afin de pouvoir effectuer un « nettoyage » du bilan de Banco Popular en augmentant significativement les provisions sur les actifs douteux et expositions immobilières, bien au-delà des niveaux moyens du secteur espagnol. Ainsi, l’acquisition de Banco Popular aura un impact neutre en termes de solvabilité pour Santander et lui permet d’augmenter significativement sa part de marché en Espagne.

    Nous jugeons que l’impact pour le marché des dettes subordonnées est au final positif, notamment à en juger par la réaction du marché ces dernières semaines et suite à l’annonce de la résolution. Il n’y a pas eu d’effet de contagion sur les CoCos des autres banques espagnoles, qui ont pu d’ailleurs placer de nouvelles obligations CoCos sur le marché ces dernières semaines (CaixaBank et Banco Sabadell). D’autre part, les CoCos espagnoles réagissent favorablement à cette décision et se situent en hausse (au 7 juin à mi-journée) par rapport à la veille de la décision. Cela montre que le marché fait la part entre les problèmes spécifiques à une banque et le reste du secteur, dont la santé financière s’est nettement améliorée ces dernières années. 

    La Française, en raison des fondamentaux que nous jugions insuffisants et trop dégradés par rapport au positionnement « premium » de son fonds, qui se concentre sur des émetteurs européens de bonne qualité, n’a aucune souche subordonnée de Banco Popular dans son fonds La Française Sub Debt. La Française Sub Debt (Part C FR0010674978) a été créé le 20/10/2008 et affiche des encours au 31/05/2017 de 665 millions d’euros et une performance annualisé de 8.25% depuis sa création, par rapport à son objectif de gestion de 7% sur un horizon de placement recommandé supérieur à 10 ans (performance cumulée nette de frais sur 1 an de 13.02% contre 7% ; sur 5 ans de 65.32% contre 40.26% et depuis la création du fonds : 97.93% contre son objectif de 79.07%).  Par ailleurs, nous n’avions pas de positions en dette subordonnée de Banco Popular sur les fonds de crédit gérés par La Française AM. L’expertise Obligataires de La Française pèse plus de 18 milliards d’euros (au 31/03/2017), dont plus de 11 milliards d’euros sur l’expertise Crédit.

    Cet évènement de marché valide notre stratégie de sélection des émetteurs en fonction de leurs fondamentaux, et non uniquement en raison de leur attractivité potentielle en termes de rendements. 

    Risques Associés : Risque de perte en capital, risque de taux, risque de crédit, risque de contrepartie, risque lié à la détention d’obligations convertibles, risque de marché actions, risques de conflits d’intérêt potentiels.

    Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

    Les informations contenues dans cette présentation ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leur évolution.

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    news-564 Thu, 08 Jun 2017 09:36:33 +0200 "Paris, a global city for Real Estate investments" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/paris-a-global-city-for-real-estate-investments/ Ces 6 et 8 juin, respectivement à Tokyo et à Séoul, Paris La Défense, en collaboration avec Business France (organisme institutionnel qui a pour vocation de promouvoir la France auprès des investisseurs internationaux), a organisé deux roadshows sur la thématique « Paris, a global city for Real Estate investments. » Comprendre comment Paris se positionne au niveau européen et au niveau mondial permet aux investisseurs internationaux d’envisager les atouts de ce marché en pleine mutation. Xavier Lépine, Président du Groupe La Française, a été invité, aux côtés d’autres acteurs du marché immobilier français, afin de faire rayonner l’attractivité du Grand Paris et de Paris La Défense grâce à son témoignage d’investisseur pour compte de tiers, devant une trentaine d’investisseurs et acteurs économiques locaux pour chacune des conférences.

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    news-562 Thu, 08 Jun 2017 09:15:52 +0200 NewAlpha AM renforce ses équipes avec l’arrivée d’un responsable des Dues Diligences Opérationnelles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-am-renforce-ses-equipes-avec-larrivee-dun-responsable-des-dues-diligences-operationnelles/ Reconnu comme l’un des leaders mondiaux de l’incubation de sociétés de gestion et acteur innovant dans le Private Equity, NewAlpha Asset Management (« NewAlpha »), annonce l'arrivée d’Adrien Auric au poste de Responsable des Due Diligences Opérationnelles. Face à la croissance et la diversification de ses activités, ce recrutement s’inscrit dans la volonté de NewAlpha de renforcer ses capacités d’analyse et de suivi des investissements.

    Avant de rejoindre NewAlpha, Adrien Auric était en charge des Due Diligences Investissement chez Reinhold & Partners, société de conseil spécialisée travaillant pour des investisseurs institutionnels Top Tier. Adrien a également été Directeur Indépendant de fonds dans diverses juridictions (France, Irlande, et Luxembourg).

    Adrien a travaillé 7 ans pour JP Morgan, initialement (2007 – 2009) en tant que Responsable des Due Diligences Investissement de J.P. Morgan Mansart Investissement (JPMMI), la société de gestion dédiée et régulée de la Banque d’Investissement. En 2009, il est nommé Directeur Général et Directeur des Opérations de JPMMI. Il y a notamment développé le business des fonds structurés et le lancement d’une nouvelle activité de plateformes de fonds alternatifs UCITS, en supervisant et coordonnant toutes les équipes de gestion des risques.

    Auparavant, Adrien a passé 3 ans chez Olympia Capital Management en charge des équipes de Due Diligence Investissement, de Middle et Back offices, et 8 ans chez Ernst & Young où il a occupé diverses fonctions managériales au sein des départements Audit Bancaire, Assurance et Immobilier et Transactions Services.

    M. Auric est diplômé de Sciences Po Paris (section Eco Fi) et a une maîtrise de droit des affaires et fiscalité de l’Université de droit Paris II Assas.

    Antoine Rolland, CEO de NewAlpha Asset Management : « La mission de NewAlpha est de découvrir et soutenir le développement des meilleurs talents de la gestion d’actif de demain. Fort de 23 années d’expérience en finance, dont plus de 12 dans le secteur des hedge funds, Adrien vient compléter le savoir-faire de NewAlpha en terme de due diligence et renforcer la qualité et l’exhaustivité de nos processus. Adrien possède une expertise de longue date dans le secteur de la gestion alternative sur les aspects de contrôle des risques et des opérations, et de middle office. Son expérience antérieure en matière d’audit et de comptabilité sera un atout précieux pour comprendre et répondre aux besoins des clients. »

    « Je suis très enthousiaste de rejoindre une organisation en plein développement qui a acquis une excellente réputation en terme de sourcing et de sélection de gérants entrepreneuriaux à travers le monde. Les investisseurs proactifs se tournent de plus en plus vers des sociétés de gestion plus petites et récentes afin de bénéficier de sources de performance diversifiées et innovantes. Un processus de due diligence efficace et rigoureux est nécessaire afin de capturer les meilleurs talents avant qu’ils ne deviennent des acteurs plus établis. » ajoute Adrien Auric.

    En tant que Responsable des Due Diligences Opérationnelles, Adrien Auric reportera directement à Antoine Rolland Président de NewAlpha.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-560 Tue, 06 Jun 2017 16:54:03 +0200 Pas de tensions salariales supplémentaires malgré un taux de chômage en baisse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pas-de-tensions-salariales-supplementaires-malgre-un-taux-de-chomage-en-baisse/ La semaine a été marquée par les indicateurs d’activité aux Etats-Unis, d’abord correctement orientés avec des revenus des ménages en hausse de +0,4% sur le mois, soit un chiffre rassurant et qui montre un rebond après un premier trimestre décevant.

    L’ISM Manufacturing, le PMI Chicago et l’ADP sont eux aussi bien sortis en milieu de semaine mais les chiffres de création d’emploi ont été en revanche très décevants vendredi, avec une inflation salariale qui ne progresse pas, toujours à +2,5% sur les 12 derniers mois. Ce début de semaine verra la suite des chiffres américains importants avec l’ISM non manufacturier et les commandes de biens durables.

    Les chiffres d'emploi ont de nouveau fait baisser les taux et le dollar. Malgré cela, nous conservons nos positions avec l’analyse suivante :

    • Le positionnement de marché est nettoyé sur ces actifs. Le biais très vendeur de duration n’est plus présent dans le marché et ce dernier n’est plus acheteur de dollar. Il est en revanche très acheteur d’euro (au plus haut depuis 2013) et très vendeur de dollar canadien (niveau le plus bas enregistré)
    • Les chiffres d’activité américaine confirment pour le moment un rebond de la croissance au deuxième trimestre, les chiffres du premier trimestre ont été revus à la hausse
    • La valorisation de marché concernant la politique monétaire américaine reste très accommodante avec uniquement trois hausses de taux à horizon fin 2019. Pour une économie au plein emploi, avec une croissance stable autour de 2% et une inflation proche de la cible (même si elle est décevante à court terme), cela ne nous parait pas correctement valorisé.

    L’asymétrie de ces thèmes semble de plus en plus en notre faveur (positionnement, indicateurs techniques, sentiment).

    En Europe, les chiffres de PMI ont été publiés, toujours bien orientés. La croissance portugaise est sortie au-dessus des attentes et la croissance italienne a été revue à la hausse. En revanche, le risque politique italien est en hausse avec une possibilité d’élections anticipées en fin d’année. Les chiffres chinois sont eux en ligne et globalement plutôt rassurants.

    Les marchés restent globalement très peu volatils, tant sur les actions, que sur les taux ou les devises. Jeudi prochain, la BCE pourrait nous amener un peu de volatilité avec un potentiel changement de ton même si les chiffres d’inflation que nous avons eus cette semaine (en dessous des attentes à 0,9% sur le core) devraient tempérer leurs ardeurs. Le même jour, le 08 juin, nous aurons les élections au Royaume-Uni avec des sondages qui semblent montrer un resserrement. Nous avons un peu étudié la question et il semblerait que si le taux de participation est élevé, cela risque d’être serré et qu’à l’inverse, s'il est faible, la victoire devrait être suffisamment large pour Theresa May.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-557 Mon, 05 Jun 2017 16:07:25 +0200 Jean-Luc Hivert, Directeur de la Gestion diversifiée et obligataire vous présente LF Multi Asset Income. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jean-luc-hivert-directeur-de-la-gestion-diversifiee-et-obligataire-vous-presente-lf-multi-asset-inc/ Créé en aout 2015, dans un contexte de taux bas qui prévaut encore aujourd’hui, LF Multi Asset Income cherche à capter des rendements potentiellement plus attractifs. LF Multi Asset Income regroupe quatre classes d’actifs, choisies pour leur potentiel de rendement élevé et qui reflètent toutes une des expertises clés de La Française :

    • Les actions à haut rendement
    • Les foncières cotées
    • Les obligations d’entreprise dites « High Yield »
    • Les obligations émergentes

    Jean-Luc Hivert revient sur la stratégie de LF Multi Asset Income et les objectifs de performance et de rendement du fonds.

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    news-554 Fri, 02 Jun 2017 10:23:40 +0200 Alger On the Money - Les petites capitalisations pourraient tirer profit des propositions fiscales /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-les-petites-capitalisations-pourraient-tirer-profit-des-propositions-fiscales/ Certaines propositions formulées par la nouvelle administration et de la majorité républicaine à la Chambre des représentants abaissent l’impôt sur les sociétés, rendant les taux d’imposition américains plus conformes à ceux pratiqués dans le monde. Comment tirer le meilleur profit possible des changements potentiels ?

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

     

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    news-550 Thu, 01 Jun 2017 09:37:24 +0200 NewAlpha annonce son sixième investissement Fintech dans la start-up autrichienne wikifolio.com /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-annonce-son-sixieme-investissement-fintech-dans-la-start-up-autrichienne-wikifoliocom/ Spécialiste de l’investissement dans l’industrie financière entrepreneuriale, NewAlpha Asset Management (« NewAlpha ») a lancé en novembre 2015 le premier fonds français de Venture Capital* dédié aux startups FinTech. Le fonds réalise aujourd’hui son sixième investissement, le premier à l’international, en menant la levée de fonds de wikifolio.com, le leader européen du social trading. 

    wikifolio.com facilite l’accès aux investissements financiers. La plateforme permet à des particuliers et des gérants professionnels de publier leurs stratégies d’investissement en temps réel au travers de portefeuilles virtuels appelés wikifolios. Les portefeuilles les plus plébiscités sont répliqués par des certificats cotés sur la Bourse de Stuttgart (EUWAX). Grâce à ces certificats, les épargnants peuvent investir sur les wikifolios de leur choix et bénéficient de leur performance : la plateforme assure un suivi en temps réel et en transparence totale des ordres d’achat, de vente et des commentaires réalisés par les gérants. 

    Depuis son lancement en 2012, la société a connu une forte croissance : plus de 17,500 portefeuilles virtuels, 6,300 certificats wikifolios cotés et 12 milliards d’euros de transactions. Ces certificats font ainsi partie des produits les plus fréquemment échangés sur l’EUWAX. En 2017, wikifolio.com a déjà enregistré une augmentation de ses actifs sous gestion de plus de 40%. 

    NewAlpha est l’investisseur leader de cette levée de fonds. Elle inclut également des actionnaires historiques de wikifolio.com qui confirment ainsi leur volonté de soutenir la croissance de la société. 

    Andreas Kern, fondateur et PDG de wikifolio.com, se réjouit de l’arrivée de ce nouvel investisseur : « L’expertise internationale et l’expérience de NewAlpha sont autant d’atouts pour poursuivre notre stratégie de croissance internationale, notamment sur le marché français. » 

    « wikifolio.com a déjà obtenu des résultats impressionnants depuis sa création. Nous avons été séduits par son business model innovant qui démocratise la gestion d’actifs », commente Jonathan Cohen Sabban, Directeur de Participations chez NewAlpha. 

    « wikifolio.com est le premier investissement hors de France de notre fonds de Venture Capital dédié aux startups FinTech* et s’inscrit dans notre stratégie de développement international. Nous ambitionnons d’investir dans les sociétés FinTech les plus dynamiques d’Europe et sommes ravis de débuter avec wikifolio.com dont l’activité est en ligne avec notre expertise historique, la gestion d’actifs », ajoute Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha.

    NewAlpha est le fonds FinTech VC le plus actif en France en 2016. Souscrit par des investisseurs institutionnels, notamment le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe (« CMNE »), le fonds géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de participations dans des sociétés innovantes du secteur des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs. 

    *Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-548 Wed, 31 May 2017 16:39:46 +0200 VIDEO : Amy Zhang explique la stratégie Small Cap Focus d’Alger, Partenaire de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/video-amy-zhang-explique-la-strategie-small-cap-focus-dalger-partenaire-de-la-francaise/ Amy Zhang, Senior Vice President et Portfolio Manager à Alger, nous explique comment la stratégie Small Cap d'Alger se distingue des autres.

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    news-547 Wed, 31 May 2017 11:43:28 +0200 La Française Investment Solutions Actif d’Or de l’Innovation 2017 des Actifs du Patrimoine de l’Agefi. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-investment-solutions-actif-dor-de-linnovation-2017-des-actifs-du-patrimoine-de-lagef/ Organisés depuis 2006 par l’Agefi, les Actifs du Patrimoine récompensent les produits financiers collectifs, contrats d’assurance-vie ou solutions de prévoyance-retraite les plus innovants du marché.

    La Française Investment Solutions a reçu l’Actif d’Or de l’Innovation pour le fonds LFIS Vision Ucits – PREMIA lors de la remise des prix organisée par l’Agefi le 30 mai 2017, place Valhubert dans le 13e arrondissement de Paris.

    Arnaud Sarfati, Président Directeur Général de La Française Global Investment était accompagné d’Arthur David-Boyer, Responsable Offre Partenaires et de Luc Dumontier Directeur du Pôle Factor Investing, Gérant de portefeuille Senior,  pour recevoir ce prix.

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    news-543 Tue, 30 May 2017 15:47:45 +0200 La croissance américaine au 1er trimestre a été revue à la hausse (+1,2% contre +0,7% initialement prévue) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-croissance-americaine-au-1er-trimestre-a-ete-revue-a-la-hausse-12-contre-07-initialement-p/ Le sentiment de marché s’améliore sur la semaine, l’attention des investisseurs semblant se détourner progressivement des incertitudes politiques aux Etats-Unis vers les fondamentaux macro robustes et des perspectives de croissance plus fortes.

    Les actions américaines affichent de nouveaux records suite à la publication des minutes du FOMC, les marchés émergents rebondissent fortement malgré la dégradation par Moody’s de la note de crédit de la Chine (passage de Aa3 à A1). Seuls les marchés européens terminent la semaine en légère baisse avec des taux core plus bas également.

    Les points majeurs de la semaine étaient le meeting de l’OPEP et la publication des minutes du FOMC.

    Comme attendu, les membres de l’OPEP ont décidé la prolongation du gel de production pour 9 mois de plus jusqu’en mars 2018, mais les marchés semblent déçus, le prix du baril glissant à nouveau sous les 50 dollars.

    Les minutes du FOMC confirment que la situation actuelle justifie un resserrement des conditions monétaires très prochainement. La prochaine hausse des taux sur le mois de juin est d’actualité et reste largement anticipée par les marchés aujourd’hui.

    En Europe, toutes les données macro continuent d’être très bonnes. Les enquêtes PMI indiquent que la croissance en zone Euro reste soutenue. Le PMI manufacturier ressort en hausse à 57,0 après 56,7 le mois précédent. De plus, l’indicateur de confiance des affaires, l’IFO, en Allemagne, atteint son plus haut niveau depuis 1991.

    Aux Etats-Unis, les données macro publiées cette semaine restent mitigées. Le marché de l’immobilier reste faible sur le mois d’avril, les ventes de logements existants et de nouveaux logements sont en nette baisse.

    Les PMI markit montrent pour leur part une légère amélioration de l’activité après la faiblesse du 1er trimestre. Le PMI composite est en hausse pour le deuxième mois consécutif à 53,9 sur mai.

    Enfin, la croissance américaine du 1er trimestre est révisée en hausse à +1,2% contre +0,7%, la consommation et l’investissement contribuant plus fortement que prévu.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-542 Mon, 29 May 2017 11:13:06 +0200 Gilles Mainard dans le Club de la Bourse sur BFM Business /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gilles-mainard-dans-le-club-de-la-bourse-sur-bfm-business/ Vendredi 26 mai, Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française a participé à Intégrale Bourse sur BFM Business.

    Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française, était dans le Club de la Bourse sur BFM Business, aux côtés de Vincent Lequertier, gérant senior et responsable de l'allocation d'actifs chez WeSave. Mikaël Jacoby, responsable trading Europe continentale chez Oddo BHF.  Et Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York.

    Intégrale Bourse, du vendredi 26 mai 2017, présenté par Vincent Touraine, sur BFM Business.

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    news-537 Tue, 23 May 2017 11:14:47 +0200 Conséquence d’un scandale de corruption touchant actuellement le président brésilien /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/consequence-dun-scandale-de-corruption-touchant-actuellement-le-president-bresilien/ La semaine dernière a enregistré le retour du risque politique, et pour une fois, cela ne vient pas d’Europe. Aux Etats-Unis, Donald Trump est attaqué sur 2 fronts :
    • Pour avoir demandé à James Comey, alors patron du FBI (licencié par Trump depuis), d’arrêter son enquête sur un de ses proches (Michael Flynn, ex conseiller à la sécurité nationale), cette requête constitue une obstruction à la justice
    • Pour avoir « partager » des informations classifiées avec la Russie via Sergueï Lavrov (ministre russe des affaires étrangères)

    La réaction du marché a été assez violente mardi et mercredi, avec un 10 ans américain qui perd 20bps, le yen qui prend 3% et les actions qui baissent de 3%. Cela revient un peu depuis, principalement à cause d’une vidéo montrant James Comey déclarant qu’on ne lui a jamais rien demandé de tel… Bref, le marché avait besoin d’une excuse pour corriger après ces quelques semaines d’euphorie. Cela ne change pas grand-chose selon nous à la dynamique en place, et la probabilité de voir Donald Trump destitué nous semble à ce stade très faible. La probabilité de le voir mener une réforme fiscale aussi d’ailleurs…

    Le 2ème stress politique de la semaine est en provenance du Brésil avec le chef de l’Etat, Michel Temer, impliqué dans des scandales de corruption (il a été enregistré encourageant la corruption de deux juges et aurait touché des pots de vin d’une entreprise de 2010 à 2015). La réaction a été très importante puisque les actions brésiliennes perdent 8% et la devise 7%... La suite la plus probable est un départ de Michel Temer avec quelques millions de personne dans la rue et potentiellement de nouvelles élections à terme.

    D'un point de vue macro-économique, pas grand-chose de marquant pour les marchés mais on peut quand même relever :

    • La croissance portugaise bien au-dessus des attentes à 2,8%
    • Des chiffres américains « moyens » (la Fed de Philadelphie est au-dessus mais l'immobilier est décevant)
    • Des chiffres chinois légèrement décevants, surtout sur la production industrielle, les ventes au détail étant quasiment en ligne
    • Enfin, un taux de chômage à 9,6% en France, au plus bas depuis mars 2012. L'ancien président François Hollande aura donc fait baisser le chômage pendant son mandat

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-535 Tue, 23 May 2017 09:44:13 +0200 La Française Investment Solutions agrandit son équipe de Recherche Quantitative et Développement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-investment-solutions-agrandit-son-equipe-de-recherche-quantitative-et-developpement/ La Française Investment Solutions (« LFIS »), comptant 6 milliards d’euros d’encours, annonce le recrutement d’un analyste quantitatif senior, dans le cadre d’un projet de recrutement plus large visant à renforcer son expertise en gestion quantitative et maintenir le fort développement de la société de gestion.

    Christian Naumovic a rejoint le pôle Recherche Quantitative et Développement de LFIS en tant qu’analyste quantitatif senior. Un recrutement supplémentaire dans les prochains mois est également prévu, amenant ainsi les effectifs de l’équipe à 5 professionnels.

    Christian possède plusieurs années d’expérience en tant qu’analyste quantitatif, exerçant précédemment chez Thomson Reuters mais également chez Deutsche Bank et Natixis Asset Management. Le recrutement de Christian devrait permettre d’accélérer le perfectionnement des processus de sélection, de construction de portefeuille et les modèles d’optimisation de portefeuilles. Son travail soutiendra l’offre de gestion alternative et de solutions dédiées de LFIS, notamment sur ses expertises phares que sont le crédit et l’investissement factoriel (« Risk Premia »). Christian exercera au siège parisien de LFIS sous la supervision du Directeur du Pôle Recherche Quantitative et Développement, Guillaume Garchery.

    Sofiene Haj-Taieb, Directeur des investissements de LFIS, commente : « L’approche quantitative est un élément essentiel de l’ADN de LFIS. Nous sommes market-neutral, examinant et analysant l’ensemble des classes d’actifs et des instruments financiers afin d’identifier des opportunités concrètes pour réaliser des performances absolues. Nos processus d’investissement et de contrôle des risques utilisent également une approche quantitative, permettant de répondre aux attentes de nos clients en termes de performances robustes et régulières. Le recrutement de Christian renforce significativement notre capacité à déployer notre expertise quantitative sur l’ensemble de nos activités, en parallèle de notre croissance. »

    Les chiffres du présent communiqué de presse n’ont pas été audités.

    Pour lire l'intégralité du communiqué de presse, cliquez ici

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    news-534 Mon, 22 May 2017 12:02:41 +0200 Jérome Fauvel sur BFM TV dans « C’est votre argent » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/jerome-fauvel-sur-bfm-tv-dans-cest-votre-argent/ Retrouvez l’intervention de Jérôme Fauvel dans l’émission hebdomadaire « C’est votre argent » de BFM Business.

    Jérôme Fauvel, Responsable Small Caps de La Française, était dans C'est Votre Argent sur BFM Business, aux côtés de Michel Ruimy, économiste et professeur à l'Escp-Europe, Françoise Rochette, responsable de l'allocation d'actifs chez Mandarine Gestion et Christian Bito, président directeur général et fondateur de CBT Gestion. Ainsi que Pauline Tattevin, journaliste à BFM Business.

    C'est votre argent, du vendredi 19 mai 2017, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.

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    news-533 Fri, 19 May 2017 14:29:20 +0200 Les Trophées du Revenu 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-trophees-du-revenu-2017/ Le 18 mai avait lieu la cérémonie des Trophées du Revenu des meilleurs sicav et fonds au Tribunal de commerce de Paris.

    Le CMNE a été récompensé d’un Trophée D’Or par Le Revenu pour la Gamme Sicav et Fonds Obligations Europe sur Trois Ans dans la catégorie banques à réseau.

    Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income, est allé chercher ce prix qui récompense la gestion.

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    news-531 Fri, 19 May 2017 08:31:00 +0200 Alger on the Money - Cette tendance est-elle une chance ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-cette-tendance-est-elle-une-chance/ Cette saison, les analystes de Wall Street se montrent optimistes : ils prévoient une hausse de 12 % du BPA des entreprises du S&P 500 par rapport à l’année dernière au T1 2017. Nous serions alors dans la plus longue période d’accélération des résultats en 5 ans, avec le plus fort taux de croissance. Plusieurs raisons expliquent cette tendance haussière.  

     

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-529 Tue, 16 May 2017 12:02:00 +0200 Le MPC* reste très accommodant pour le moment /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-mpc-reste-tres-accommodant-pour-le-moment/ Pas de surprise en ce qui concerne les élections françaises, et aucune réaction du marché, cet événement étant déjà "pricé" à 100%.

    La saison des résultats continue et approche de son terme : c’est la meilleure saison depuis la crise de 2008 dans quasiment toutes les zones et les résultats sont particulièrement impressionnants en Europe et au Japon. Autre point positif, les estimations pour les années 2017 et 2018 ne sont pas revues à la baisse au contraire des cinq dernières années.

    La banque d'Angleterre a délivré un message globalement prudent avec un vote 7-1 pour le maintien de la politique accommodante (le marché attendait 6-2 ou 5-3). Logiquement cela a fait baisser la livre sterling et les taux britanniques. Nous avons aussi eu les chiffres d’inflation au Japon, très mauvais, ce qui n’est pas surprenant étant donné les précédents chiffres d’inflation. Là encore, réaction logique avec un yen qui baisse. Enfin, les chiffres les plus attendus de la semaine sont parus vendredi après-midi aux Etats-Unis avec l’inflation, légèrement décevante, et les ventes au détail, elles aussi décevantes mais avec des révisions à la hausse ; au final, les chiffres ne sont pas très bons mais pas catastrophiques non plus. Les taux rallient fortement sur ces données.

    Enfin, il faut noter que les matières premières sont à nouveau au cœur des discussions de marché : baisse du pétrole, baisse du minerai de fer et chiffres un peu décevants en Chine la semaine dernière. Ainsi le marché est gentiment en train de se refocaliser sur la combinaison Chine / Matières premières depuis une dizaine de jours. C’est selon nous assez classique du "stop and go" en Chine, avec beaucoup de stockage en début d’année et un dégonflement de positions spéculatives. Nous restons "Long" de ressources de base.

    * Monetary Policy Committee (Bank of England)

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-528 Wed, 17 May 2017 15:54:00 +0200 La Française REM acquiert auprès de Weinberg Capital Partners deux immeubles de bureaux à Puteaux (92) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-rem-acquiert-aupres-de-weinberg-capital-partners-deux-immeubles-de-bureaux-a-puteaux-9/ Après la tour Aviso en septembre 2014, La Française REM (Real Estate Managers) a fait l’acquisition des deux derniers immeubles de bureaux qui composent le site Aviso, situés 49 quai de Dion Bouton à Puteaux (92).

    La Française REM a réalisé cette acquisition pour le compte de son OPCI La Française IMMO SR2 et de deux de ses SCPI, Epargne Foncière et Multimmobilier 2. Ces deux acquisitions permettent ainsi aux fonds gérés par La Française REM d’être propriétaires de l’ensemble des actifs composant le site.

    L’immeuble « Seven Seine », d’une surface d’environ 4 500 m2, a fait l’objet d’un programme de rénovation visant la certification « BREEAM Rénovation Very Good ». Le bâtiment C, d’une surface de 3 600 m², a quant à lui été rénové en 2010. Le site Aviso propose de nombreux services tels qu’un auditorium, des salles de réunion mutualisées, un restaurant d’entreprise entièrement rénové en 2011 ainsi qu’un jardin privatif. 

    La Française REM était représentée par Cushman & Wakefield dans le cadre d’un mandat de conseil à l’acquisition et par l’Etude Allez et Associés. Le vendeur, Weinberg Capital Partners, était conseillé par Ares Avocats et C&C Notaires.

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    news-523 Mon, 15 May 2017 16:11:28 +0200 La Française signe un partenariat avec Investeam Canada /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-signe-un-partenariat-avec-investeam-canada/ La Française, société de gestion d’actifs basée à Paris, poursuit sa stratégie d'expansion internationale aux côtés d’Investeam Canada.

    Dans le sillage de cinq années de développement réussi en Europe et plus récemment en Asie avec l’ouverture d’un bureau local à Séoul (Corée du Sud) et près de 1 milliard d’euros d’actifs immobiliers sous gestion pour le compte de clients coréens, La Française a signé un accord de commercialisation avec Investeam Canada. L’objectif du partenariat est de promouvoir l'expertise immobilière de La Française en Europe auprès des investisseurs institutionnels canadiens. 

    S’appuyant sur plus de quarante ans d’expérience en matière de gestion d’actifs, La Française gère plus de 63 milliards d'euros d'encours, dont 15,3 milliards dans l’immobilier. Le groupe propose une gamme complète de solutions, directes et indirectes, en immobilier d’entreprises à une clientèle institutionnelle en Europe, en Asie, au Royaume-Uni et au Moyen-Orient. La Française propose des stratégies d’investissement Core/Core plus, Value Added et Opportuniste sur les marchés immobiliers français, allemands, britanniques et suédois. En outre, La Française est la première société de gestion de société civile de placements immobiliers en France1.

    Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International et Directeur du développement international, a déclaré : « La stratégie d’expansion internationale de La Française est ambitieuse. C’est pourquoi, nous souhaitons étendre notre activité au Canada, quatrième plus grand marché de fonds de pension au monde, et sommes prêts à déployer les efforts nécessaires pour créer et entretenir des relations à long terme avec les investisseurs institutionnels locaux. Dans cette optique, nous avons choisi de nous associer à Investeam Canada. Son track record et la qualité et l'expertise de leurs équipes font, pour nous, toute la différence. »


    Christophe Vandewiele, Managing Director d’Investeam Canada, a ajouté : « La Française est un nouvel entrant sur le marché canadien ; nous sommes convaincus que l’expertise immobilière de La Française et sa gestion reconnue sauront gagner la confiance des investisseurs institutionnels. »

    1 Source : IEIF, au 31/12/2016, en termes de capitalisation ; Société Civile de Placement Immobilier.

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    news-520 Wed, 10 May 2017 17:38:56 +0200 Le prix du pétrole diminue et est au plus bas depuis novembre 2016 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-prix-du-petrole-diminue-et-est-au-plus-bas-depuis-novembre-2016/ La semaine a été marquée par plusieurs points intéressants :

    La baisse du pétrole avec un Brent qui passe sous les 50 dollars, au plus bas depuis novembre. Cette baisse s’effectue dans un contexte de hausse de taux, ce qui est assez rare. Toutefois, les points morts baissent donc le marché n’est pas non plus complètement illogique.

    Les chiffres américains sont sortis globalement en ligne avec les attentes :

    • L’indicateur avancé ISM a déçu sur la partie manufacturière mais surprend à la hausse sur le secteur du service
    • Le rapport d’emploi affiche un taux de chômage au plus bas depuis 2007 à 4,4%, mais avec une forte déception sur les salaires qui rechutent (+2,5% sur les 12 derniers mois, on retrouve les niveaux de début 2016). La Fed se retrouve confortée dans sa stratégie de hausse de taux graduelle

    La Fed, justement, a publié un communiqué assez terne. Elle considère que la faiblesse du PIB du premier trimestre est purement transitoire. Le marché anticipe complètement une hausse de 25 bps à son rendez-vous de juin.

    La forte compression sur les spreads des obligations périphériques : Portugal -25 bps, Italie -20 bps, Espagne -18 bps. Le risque politique Euro est revu nettement à la baisse.

    Le joli rebond également des actions Euro, en particulier des banques.

    La thématique Achat sur le marché des changes a également été constatée, avec un Yen en baisse marquée. Nous nous laissons porter sur ce thème initié la semaine dernière post élections.

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    news-519 Wed, 10 May 2017 10:30:22 +0200 Faites la connaissance d'Amy Zhang, Gérante de la stratégie Small Cap Focus d’Alger, Partenaire de La Française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/faites-la-connaissance-damy-zhang-gerante-de-la-strategie-small-cap-focus-dalger-partenaire-de-l/ Amy Zhang, Senior Vice-president et Portfolio Manager à Alger, explique son parcours et sa philosophie d’investissement

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    news-516 Fri, 05 May 2017 15:44:12 +0200 Alger on the Money - Récolter les fruits de l’innovation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-recolter-les-fruits-de-linnovation/ Les entreprises les plus innovantes voient leurs ventes — et leurs cours — croître plus rapidement que les autres.

    POUR EN SAVOIR PLUS

    Consultez notre présentation : "Capital Markets: Observations and Insights—Earnings Resurgence"

     

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

     

    1 Baruch Lev et Suresh Radhakrishnan, "The Stock Market Valuation of R&D Leaders". 

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    news-514 Fri, 05 May 2017 11:05:42 +0200 La Française reconnue pour son développement à l'international par Option Finance /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-reconnue-pour-son-developpement-a-linternational-par-option-finance/ Option Finance classe La Française parmi les 50 sociétés de gestion qui comptent, dans la catégorie championnes de l'année. Créé par Option Finance et Funds Magazine en partenariat avec Deloitte, ce classement sélectionne les sociétés de gestion du marché français ayant connu une année importante sur le plan de leur collecte, leur dynamique internationale ou leurs projets internes.

    La Française est classée dans la catégorie des championnes de l'année pour son dynamisme, avec un développement à l'international qui lui a permis d'enregistrer une augmentation de 50 % de sa collecte à l'international pour atteindre 1.5 milliard d'euros en 2016, mais aussi sa politique de croissance  externe et son positionnement vers le retail avec notamment Moniwan, fintech de distribution de SCPI en ligne destinée aux particuliers.

    Pour retrouver le classement d'Option Finance des championnes de l'année, cliquez ici

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    news-513 Fri, 05 May 2017 09:52:33 +0200 La Française présente au Forum de la Gestion Institutionnelle /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-presente-au-forum-de-la-gestion-institutionnelle/ Le 18 mai prochain les équipes commerciales instit seront présentes au Forum de la Gestion Institutionnelle, organisé par L’AGEFI au Pavillon Dauphine. Cette 12ème édition propose un programme de débat variés sur des thématiques d’actualité et répartie sur la demi-journée.

    Marc Bertrand interviendra lors du débat « Infrastructure, immobilier, fonds de dette privée, private equity… quelle place des actifs réels dans les portefeuilles des investisseurs institutionnels ? », avec comme autres intervenants Vim Vermeir (AG Insurance) et Joël Prohin (Caisse des dépôts).

    Pour en savoir plus, cliquez ici

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    news-510 Wed, 03 May 2017 09:50:56 +0200 La Française réalise une collecte de plus de 3 milliards d’euros sur le premier trimestre 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-realise-une-collecte-de-plus-de-3-milliards-deuros-sur-le-premier-trimestre-2017/ La Française enregistre une collecte de 3,1 milliards d’euros au premier trimestre 2017 auprès de ses diverses cibles de clientèle. Les encours du groupe affichent ainsi une progression significative de + 6%, passant de près de 60 milliards d’euros au 31/12/2016 à 63,7 milliards d’euros au 31/03/2017, la clientèle internationale représentant plus de 14%.

    La collecte depuis le début de l’année est soutenue par un fort intérêt sur les expertises phares du Groupe :

    • les valeurs mobilières long terme avec notamment la gestion obligataire multistratégies,
    • l’immobilier, qui demeure une classe d’actifs très demandée dans le contexte économique actuel,
    • l’intérêt continu sur les fonds de La Française Investment Solutions,
    • ainsi que les offres de solutions de trésorerie.

    La contribution à ce résultat de tous les piliers d’activité du groupe et de l’ensemble des segments de clientèle démontre et valide, une fois encore, la pertinence du business model de La Française.

    La Française maintient ainsi sa forte croissance grâce à une activité au-dessus de ses objectifs et un effet de marché positif.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-506 Tue, 02 May 2017 15:53:06 +0200 Ce niveau de chiffre d’affaires au-dessus des attentes n’a pas été atteint depuis 2009 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/ce-niveau-de-chiffre-daffaires-au-dessus-des-attentes-na-pas-ete-atteint-depuis-2009/ La semaine a été très chargée avec évidemment les résultats du 1er tour des élections françaises mais pas uniquement.

    Les marchés ont salué des résultats conformes aux sondages qui donnent, à priori, peu de chance au Front National d’accéder à la présidence. La réaction a été immédiate, dès l’ouverture, et assez violente :

    • +4% pour les actions Euro
    • +7% pour les bancaires Euro
    • -20 bps sur les spread bund / OAT

    Aujourd'hui, le marché semble valoriser un risque quasi nul de victoire du Front National. 

    Beaucoup de chiffres économiques ont été publiés la semaine dernière. L’inflation zone Euro a corrigé l’effet saisonnier de Pâques avec un print d’inflation au plus haut depuis 2013 sur l’inflation core à 1,2% alors que l’inflation globale est à 1,9%. Ce chiffre contrebalance le discours de la BCE la veille, plutôt dovish, avec un Mario Draghi qui met l’accent sur le fait que l’inflation reste basse et qu’elle va mettre du temps à revenir « inférieure mais proche de 2% ». De nombreux chiffres américains ont également été communiqués, avec surtout la publication du PIB au 1er trimestre. Celui-ci était attendu décevant, comme souvent lors des 1ers trimestres, ce qui a été vérifié avec une croissance de 0,7% au 1er trimestre (contre 1% attendu). Ce chiffre est à relativiser par le fort impact négatif des inventaires à -0,9% et par « l’employment cost index » (ECI), sorti lui à 0,8%, au plus haut depuis fin 2007. La Fed ayant déjà dit qu’il fallait regarder au-delà des effets transitoires sur le PIB, la combinaison de l’ECI + chiffres de PIB est selon nous sans doute légèrement positive pour le dollar et négative pour les taux américains.

    La réforme fiscale par l’administration Trump a été annoncée la semaine dernière. Cette réforme, si appliquée tel quel, représenterait la réforme la plus importante jamais effectuée et couterait 20% du PIB sur 10 ans… Ce qui ferait évidemment bondir l’endettement américain. Il n’y a aucune chance qu’elle soit validée au Congrès en l’état, raison pour laquelle les marchés n’ont absolument pas réagi à l’annonce : après l’échec sur la réforme de la santé, les marchés vont maintenant attendre de voir les lois votées, ce qui devrait prendre un certain temps.

    Pendant ce temps, la saison des résultats continue et elle est de très bonne facture en zone Euro : 75% de surprises positives sur le chiffre d’affaires, cela représente ce que nous avons connu de mieux depuis au moins 10 ans.

    Il nous est difficile de remettre beaucoup de risque sur la zone Euro après ces élections dans la mesure où les marchés avaient déjà beaucoup réagi à l’ouverture. Les modifications que nous avons effectuées concernaient donc principalement le Japon et plus particulièrement le yen. Celui-ci a beaucoup payé contre dollar depuis le début de l’année, les actions japonaises sont négatives depuis le début de l’année, les résultats micro japonais sont très bons. Nous pensons qu’il y a un rattrapage à effectuer sur cette zone. Nous avons préféré vendre du yen plutôt que d’acheter des actions japonaises, même s'il s'agit du même trade.

    Nous avons également vendu un peu de sensibilité sur les Etats-Unis et rajouté des points morts d’inflation là aussi aux Etats-Unis.

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-505 Thu, 27 Apr 2017 16:05:35 +0200 Gilles Mainard dans le Club de la Bourse - BFM Business /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gilles-mainard-dans-le-club-de-la-bourse-bfm-business/ Gilles Mainard, responsable du pôle flexible de La Française AM était dans le Club de la Bourse du 26 avril 2017. Ce Club de la bourse du 26 avril 2017 était animé par Grégoire Favet, sur BFM Business.

    Pour le débrief de la séance du mercredi 26 avril 2017, Gilles Mainard était entouré de Didier Borowski, responsable de la macroéconomie chez Amundi. Kalil Djebali, analyste marchés chez XTB France. Et Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York et Sabrina Quagliozzi, correspondante de BFM Business à New York. 

     

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    news-504 Thu, 27 Apr 2017 11:16:51 +0200 Gilles Mainard dans le dernier Club Expert Flexible de Club Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gilles-mainard-dans-le-dernier-club-expert-flexible-de-club-patrimoine/ Mardi 25 avril, Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française a participé au Club Expert Flexible organisé par Club Patrimoine et Actusite. Ce Club Expert Flexible, animé par Jean-Pierre Corbel et Georges de La Taille portait sur 3 thèmes : 

    - Après le 1er tour des élections présidentielles français, le risque s'est-il éloigné ?

    - Que faire avec les taux européens ?

    - Que faire avec les allocations d'actifs avant l'été ?

    Outre Gilles Mainard,  Malik Haddouk (CPR AM), Alexandre Taïeb (Sycomore AM) et Nadine Trémollières (Stamina AM) sont intervenus lors de cette émission.

     

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    news-502 Tue, 25 Apr 2017 17:12:37 +0200 Malgré quelques déceptions, bon début de saison pour les résultats d’entreprises américaines /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/malgre-quelques-deceptions-bon-debut-de-saison-pour-les-resultats-dentreprises-americaines/ Une semaine pour rien sur les marchés avec peu de volatilité et des intervenants toujours en attente du résultat des élections françaises.

    La volatilité a légèrement rebaissé et les taux euro se sont un peu tendus (+6bps sur 10 ans) après les déclarations de Benoit Coeuré évoquant que les risques de l’économie européenne n’étaient plus orientés à la baisse, en contradiction avec les propos de messieurs Draghi et Praet. Les chiffres chinois ont surpris à la hausse (vente aux détail / production industrielle / GDP), à l’inverse des ventes aux détails britanniques.

    Point à noter : Theresa May a décidé de provoquer des élections anticipés en Grande-Bretagne le 8 juin pour tenter d’avoir une majorité plus franche, ce qu’elle devrait obtenir. Cette nouvelle est prise de manière positive par les marchés (GBP +2% vs EUR), et cela a provoqué quelques changements de vues sur le Gilt et la Livre de la part de certaines banques.

    Les résultats d'entreprises aux États-Unis sont un peu mitigés pour le moment avec quelques loupés non anticipées comme GS ou IBM mais les résultats d’ensemble restent corrects (75% supérieurs aux attentes, c’est conforme à l’historique).

    Enfin, aux États-Unis la réforme des impôts pourrait / devrait arriver avant la fin de l’année si on en croit le secrétaire du trésor américain et la « rumeur » dit que D. Trump pourrait refaire une tentative sur l’Obamacare.

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    news-497 Mon, 24 Apr 2017 06:29:14 +0200 Flash - Elections présidentielles 2017 - Une phase de soulagement s'amorce au lendemain du premier tour /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/flash-elections-presidentielles-2017-une-phase-de-soulagement-samorce-au-lendemain-du-premier-t/ Les urnes ont parlé. Ce résultat de premier tour élimine une partie importante du risque de sortie de la France de la Zone Euro. Les pronostics de reports des voix des candidats éliminés apportent un réel optimisme pour les marchés d'ici le second tour. Il nous est ainsi possible de revenir progressivement à une gestion plus en phase avec nos perspectives économiques et notre scénario central.

    Les résultats serrés lors du premier tour des élections …

    Nous nous attendions à des scores relativement serrés lors de ce premier tour de scrutin, pour autant ces résultats sont relativement en ligne avec les récents sondages. Le second tour opposera donc Marine Le Pen à Emmanuel Macron. Compte tenu des reports de votes annoncés, nous gagnons en visibilité pour le second tour. Tout l’enjeu sera pour le candidat élu d’avoir une réelle majorité aux législatives de juin prochain. D’ici là, il sera possible de connaître quelques fluctuations sur les marchés financiers auxquelles nous serons bien entendu attentifs.

    ... ne modifient pas l’environnement général avant le second tour

    Les séances boursières de la semaine dernière ont vu les indices d’actions françaises réaliser de meilleures performances que leurs homologues européens. L’écart sur le marché obligataire entre les taux d’intérêt à 10 ans allemand et français (Spread Bund/OAT) s'est à nouveau resserré. En outre, les taux français et périphériques devraient, en relatif, profiter de cette levée du risque politique.

    Dans ce contexte, nous revenons à des positions plus en phase avec l’amélioration de la tendance économique depuis le début de l’année

    En ce début de second trimestre 2017, les indicateurs économiques sont de bonne facture. Les résultats d’entreprises sont conformes voire supérieurs aux anticipations. La tendance à moyen terme est par ailleurs prometteuse. De ce fait, sauf évènement imprévisible, et dans l’hypothèse de l’élection d’Emmanuel Macron, candidat pro-européen, les marchés devraient lui réserver un accueil plutôt favorable.

    Nous choisissons donc d’adopter un biais plus optimiste à court terme dans la mesure où les craintes majeures se sont dissipées. Notre stratégie d'investissement redevient largement guidée par les fondamentaux et moins empreinte du risque politique.

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    news-496 Thu, 08 Jun 2017 14:29:00 +0200 Alger on the Money – Tout ce qui descend doit remonter /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/alger-on-the-money-tout-ce-qui-descend-doit-remonter/ Le pourcentage de gérants actifs surperformant le S&P 500 suit des cycles. Or la surperformance a récemment atteint un creux. Il y a lieu d’espérer une amélioration.

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-493 Wed, 12 Apr 2017 18:00:00 +0200 Les entreprises des nouvelles technologies, acteur majeur des marchés locatifs - Retrouvez le dernier numéro de Immobilier & Perspectives /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-entreprises-des-nouvelles-technologies-acteur-majeur-des-marches-locatifs-retrouvez-le-derni/ Les élections françaises auront rarement autant été suivies par les marchés financiers que pendant ces dernières semaines. Les marchés de taux ont réagi de manière significative aux difficultés de M. Fillon, qui faisait figure de grand favori, en intégrant le risque d’élection de Mme Le Pen.

    Le spread entre les taux longs français et allemands s’est ainsi considérablement écarté pour atteindre plus de 80 points de base, avant de revenir autour de 64 points de base fin février. Ils ont toutefois été les seuls marchés à réellement prendre en compte ce « risque », les marchés d’actions ou de devises ne réagissant qu’à la marge.


    Dans ce contexte, le mouvement le plus surprenant concerne sans doute les taux courts allemands qui ont baissé de manière très importante tout au long du mois, atteignant des points bas. Ces niveaux de taux sont difficilement explicables par les chiffres macro-économiques, qui montrent une accélération de la croissance européenne et ceux de l’inflation, qui surprennent à la hausse en zone euro.


    Le stress engendré par les élections françaises explique sans aucun doute une partie du mouvement observé sur les taux allemands. Cette déconnexion entre fondamentaux économiques d’une part et niveaux de taux d’autre part durera sans doute tant que la BCE n’adoptera pas une posture moins accommodante. Si la trajectoire vertueuse des chiffres macro-économiques se confirme, cela devrait arriver durant l’année 2017, avec comme conséquence une remontée progressive des niveaux de taux allemands.

     

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    news-489 Tue, 18 Apr 2017 14:05:54 +0200 Nettement inférieur aux attentes, inflation core et inflation headline déçoivent les investisseurs. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/nettement-inferieur-aux-attentes-inflation-core-et-inflation-headline-decoivent-les-investisseurs/ Pas grand-chose de neuf côté macroéconomie cette semaine. Des chiffres d’inflation britannique en ligne, un ZEW (indicateur de sentiment économique) bien orienté en Allemagne, des PPI (indicateurs de prix) en dessous des attentes aux États-Unis et un indice Michigan (indicateur de confiance des consommateurs) qui continue à croitre. Le chiffre le plus marquant concerne l’inflation américaine qui surprend à la baisse de manière importante, à la fois sur l’inflation core et sur le headline (2% sur le core, 2.4% sur le headline). En un mot, la photo globale reste positive même si graduellement, les effets de base positifs sur l’inflation se tassent.

    C’est le début de la saison des résultats aux États-Unis ; saison qui démarre par les bancaires, avec de très bons résultats. Cela devrait rythmer les 3 prochaines semaines, et comme d’habitude, cela devrait soutenir le marché.

    Mais ces chiffres sont totalement passés derrière les nouvelles géopolitiques avec M. Trump qui continue de faire l’exact opposé de ses promesses de campagne. Cette semaine, il a donc :

    • Décidé d’envoyer une « armada » près de la Corée du Nord, de bombarder la Syrie et d’envoyer les plus gros missiles non nucléaires sur l’Afghanistan à l’inverse du non interventionnisme qu’il prônait auparavant.
    • Dit que la Chine ne manipulait pas sa monnaie
    • Déclaré qu’il respectait beaucoup Yellen
    • Déclaré que l’Otan n’était finalement pas obsolète

    Bref, confusion sur les marchés : rally du Yen et des taux et légère baisse des actions. La situation continue donc d’être dominée par la politique au sens large puisque les élections françaises restent l’une des incertitudes majeures. À noter que les taux euro reviennent sur leur point bas de l’année et que les taux américains sont eux aussi sortis de leur fourchette 2.30/2.60.

    Semaine sans beaucoup de volume à attendre la semaine prochaine, c'est Pâques !

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    news-484 Thu, 13 Apr 2017 09:45:44 +0200 La Française renforce son équipe Gestion Actions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-son-equipe-gestion-actions/ Pour accompagner le développement de sa gamme actions ISR, La Française renforce son organisation avec l’arrivée de Nina Lagron en qualité de Senior Portfolio Manager sous la direction du CIO Equities, Laurent Jacquier-Laforge. Trilingue, Nina apporte au groupe plus de vingt ans d’expérience sur les marchés financiers. Cette ancienne sportive de haut niveau a évolué professionnellement pour devenir une experte reconnue de la gestion actions pays émergents. Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equities, commente : « Il s’agit là d’un atout majeur qui contribuera à permettre à La Française d’atteindre ses ambitions de gestion en matière d’actions ISR et renforcera ses capacités de gestion globale, notamment pour la stratégie mondiale ‘Zero Carbon’ ».

    Avant de rejoindre La Française, Nina Lagron a occupé plusieurs fonctions dont notamment celle de gérante actions émergentes chez Amundi, pendant plus de sept ans, en charge des zones Europe, Moyen-Orient et Afrique. Elle était la première femme gérante d’un fonds actions investi exclusivement au Moyen-Orient, majoritairement en Arabie Saoudite. Par la suite, Nina a été co-gérante du fonds « GemEquity » chez Gemway Assets durant plus de deux ans.

    Nina est diplômée d’une maîtrise en gestion et d’un diplôme troisième cycle en finance de l’Université Paris IX – Dauphine. Nina est également diplômée du CFA - Chartered Financial Analyst.

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    news-482 Tue, 11 Apr 2017 18:05:08 +0200 Les Coupoles Distrib Invest : La Française nommée dans la catégorie « Meilleure initiative en matière de communication digitale » /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-coupoles-distrib-invest-la-francaise-nommee-dans-la-categorie-meilleure-initiative-en-matier/ Les Coupoles de Distrib Invest visent à valoriser la transparence en matière de communication financière des sélectionneurs de gérants et distributeurs de fonds. La Française est nommée dans la catégorie « Meilleure initiative en matière de communication digitale » aux côtés de Cyrus Conseil et d’Amundi AM.

    Au total, près d’une cinquantaine d’établissements ont été retenus pour répondre au Questionnaire des Coupoles Distrib Invest dont 18 ont ensuite été nommés :

    • Audace en matière d’architecture ouverte
    • Audace dans la prise en compte des attentes clients
    • Audace en matière de développement et de transmission des compétences
    • Meilleure initiative en matière de communication digitale, dans laquelle La Française est nommée
    • Meilleure initiative en matière d’éducation financière
    • Meilleure première participation

    La cérémonie de remise des prix aura lieu le 29 juin prochain à l’Hôtel Potocki – 27 Avenue de Friedland, 75008 Paris.

    Pour plus d'informations sur les Coupoles de Distrib Invest, cliquez ici.

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    news-481 Tue, 11 Apr 2017 17:32:21 +0200 La Française présente au Grand Forum du Patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-presente-au-grand-forum-du-patrimoine/ Le Grand Forum du Patrimoine se déroulera le 20 avril au Grand Hôtel Intercontinental Opéra de Paris. Créé et organisé par le magazine Gestion de Fortune, cet événement a pour objectif de favoriser les échanges de points de vue entre les professionnels de la gestion de patrimoine, universitaires...

    Cette journée sera ponctuée de débats et d'ateliers, Patrick Ribouton Directeur du développement des activités viticoles à La Française, participera à l'atelier n°2 "Diversification" "Personne physique, morale ou holding patrimonial, comment diversifier vos placements?"  

    Pour consulter le programme, cliquez ici

    Grand Forum du Patrimoine 20 avril 2017 
    Grand Hôtel Intercontinental Opéra

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    news-479 Tue, 11 Apr 2017 09:10:56 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un immeuble BREEAM Very Good à Bordeaux (33), pour le compte de son OPCI La Française Immo SR2 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-immeuble-breeam-very-good-a-bordeaux-33-pour/ La Française REM a acquis un actif à usage de bureaux en VEFA à Bordeaux, au cœur du pôle tertiaire Ravezies. A sa livraison, l’immeuble accueillera les équipes de la Délégation Régionale et de la branche Commerce d’EDF à Bordeaux, dans le cadre d’un bail 9 ans fermes. L’immeuble, situé au 280 avenue Emile Counord, bénéficiera d’une excellente accessibilité avec la présence du tramway C, à proximité immédiate. Il développera une surface totale de 4 501 m² et bénéficiera de 182 emplacements de parking. Sa livraison est prévue pour le 2ème trimestre 2018.

    L’ensemble développé par Kaufman & Broad sera certifié BREEAM Very Good.

    Le vendeur et La Française REM ont été assistés par CBRE. Le vendeur et La Française ont été assistés respectivement par les études notariales Cheuvreux  et OUDOT & Associés.

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    news-477 Mon, 10 Apr 2017 14:36:53 +0200 Chômage en forte baisse malgré de faibles créations d’emplois /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/chomage-en-forte-baisse-malgre-de-faibles-creations-demplois/ Cette semaine encore, nombreuses publications macroéconomiques avec des chiffres américains moyens (ISM services qui déçoit et des chiffres de nonfarm payroll bien en dessous des attentes). Cela étant dit, tout n’est pas décevant puisque les commandes de biens durables sont en ligne et que malgré de faibles créations d’emploi, le taux de chômage baisse fortement aux États-Unis à 4.5%. En résumé, ces chiffres sont plutôt neutres. Conclusion similaire en zone euro avec des chiffres de PMI finaux qui bougent peu et des chiffres de production industrielle positifs en Allemagne mais décevants en France. Enfin, le PMI en Chine en peu en décélération, mais rien de marquant.

    Les informations principales de la semaine étaient plutôt côté politique et banques centrales :

    • La Réserve fédérale américaine commence à parler de la baisse de son bilan. Ce sujet va nous animer pendant de longs mois : comment la Fed va-t-elle diminuer son bilan ? À quel rythme ? Avec quelle communication ? Quel impact sur le rythme de hausse de taux ?
    • La Banque centrale européenne continue de clarifier son message, toujours dovish, avec des commentaires venant de Praet et Draghi
    • Rencontre entre monsieur Trump et son homologue chinois : pour le moment, rien à signaler
    • Et bien sur Philippe Poutou qu’on ne peut passer sous silence cette semaine

    Il ne s’est rien passé sur les marchés actions cette semaine, mais joli rally obligataire avec des taux qui baissent d’environ 10bps à peu près partout.

     

    François Rimeu, Gérant du fonds La Française Allocation
    Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management
    Équipe de gestion actuelle, susceptible d’évoluer dans le temps. 

    Points clés
     Objectif de gestion : obtenir, sur l’horizon de placement recommandé, une performance nette de frais supérieure à celle de l’Euribor 1 mois capitalisé majoré de 3.5%
     
     Horizon de placement recommandé : 2 ans
     
     Volatilité ex-post : 10% maximum (hors circonstances exceptionnelles de marché, le niveau de volatilité n’est toutefois pas garanti)

    Profil de Risque/Rendement : 
     7 = risque le plus élevé
     1 = risque le plus faible mais ne signifie pas « sans risque »
     Niveau non garanti, qui pourra évoluer dans le temps.
     
     Principales informations commerciales
     
     
     * Les frais affichés correspondent à l’exercice clos le 31 décembre 2016 et peuvent varier d’un exercice à l’autre. Les frais courants incluent les frais de gestion propres à la société de gestion et externes (commissaires aux comptes, dépositaire, distribution…), les frais indirects liés à l’investissement dans des OPCVM ou fonds d’investissement et les commissions de mouvement.
     La commission de surperformance est calculée dès lors que le fonds surperforme l’indice Euribor 1 mois majoré de 3.5%. Elle est fixée à 20% TTC maximum de cette surperformance et plafonnée à 2% TTC de l’actif net.

     La Française AM Finance Services bénéficie d’une rétrocession sur les frais de gestion de ce produit au titre d’une convention de distribution passée avec La Française Asset Management.
     
     Facteurs de risque - pour plus d’informations sur ces risques, consultez le prospectus du fonds

    •  
    • Le fonds n’offre ni garantie, ni protection du capital investi ; l’investisseur est exposé à un risque de perte en capital.
    • Le portefeuille peut ne pas être investi à tout moment sur les classes d’actifs les plus performantes et l’évolution de la volatilité peut être défavorable aux stratégies mises en œuvre. La valeur liquidative du fonds pourra fluctuer à la baisse en fonction des conditions de marché.
    •  
    • Les marchés actions, les taux d’intérêt, les dettes d’entreprises, les taux de change peuvent varier défavorablement aux expositions prises par le portefeuille.
    • Cet effet peut être accru sur les actifs moins transparents ou aux fluctuations plus marquées tels que dettes à caractère spéculatif de notation financière plus faible, ou titres des marchés émergents.
    • La surexposition peut amplifier les mouvements de marchés, à la hausse comme à la baisse ; les opérations d'arbitrage peuvent subir des mouvements défavorables ; lors de la conclusion des contrats à terme, la contrepartie peut faire défaut ; conflits d’intérêts potentiels lors de la conclusion d’opérations de cessions/acquisitions temporaires de titres. 

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française. 

    La Française Allocation a retenu votre attention ?
     Rapprochez-vous de votre conseiller pour analyser avec lui son adéquation à votre situation financière. Préalablement à toute souscription, prenez le temps de consulter le Document d’Informations Clés pour l’Investisseur (DICI) ainsi que le prospectus du fonds, notamment les sections détaillant l’ensemble des risques associés à cet investissement ainsi que ses frais sur www.la-francaise.com
     
     La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-474 Thu, 06 Apr 2017 08:11:43 +0200 Petites capitalisations, grandes opportunités /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/petites-capitalisations-grandes-opportunites/ Croissance, synergie, économie d’échelle et diversification constituent les principales raisons pour lesquelles de nombreuses grandes entreprises se lancent dans des fusions-acquisitions. Les entreprises de petite taille en sont souvent la cible.  

    • L’activité de fusions-acquisitions reste dynamique. Le nombre de concrétisations devrait croître en 2017 dans la mesure où 75 % des chefs d’entreprise américains envisagent de mener à bien une opération dans les 12 mois à venir, selon le baromètre de la confiance des entreprises américaines publié par EY. Il s’agit du pourcentage le plus élevé jamais enregistré parmi les 15 enquêtes menées depuis la création du baromètre.
    • Les anticipations de hausse des taux d’intérêt pourraient impacter le financement des transactions. Toutefois, le marché boursier est proche de son plus haut niveau et les actions représentent une option de paiement répandue. En outre, si la trésorerie des entreprises hors des États-Unis peut être rapatriée à des taux plus favorables, cela pourrait contribuer à soutenir la dynamique des fusions-acquisitions.
    • Dans ces conditions, les investisseurs pourraient envisager une exposition aux petites capitalisations.

    > Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain

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    news-472 Tue, 04 Apr 2017 17:05:12 +0200 La Française partenaire du Prix Philippe Séguin 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-partenaire-du-prix-philippe-seguin-2017/ Le Prix Philippe Séguin, créé en 2010, est devenu l’un des événements les plus emblématiques de la vie associative de Sciences Politiques et revient cette année encore pour une 8ème édition, le 5 avril. Ouvert à tous les étudiants de Sciences Politiques, toutes années confondues, il réunit chaque année plus de 250 candidats.

    Au cours de cette soirée, organisée par Sciences Polémiques et le BDE Sciences Politiques, le prix d'éloquence sera décerné par un jury dont Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française et de personnalités dont Jean-Pierre Raffarin, Frédéric Beigbeder, Francis Szpiner, Fédéric Mion, Pierre Séguin...

    Prix Philippe Seguin
    5 avril 2017  
    27 rue Guillaume - Paris 6e

     

     

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    news-471 Tue, 04 Apr 2017 10:29:46 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un parc d’activités à Vénissieux/Feyzin (69), pour le compte de sa SCPI LF Opportunité Immo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-parc-dactivites-a-venissieuxfeyzin-69-pour/ La Française REM a acquis, auprès d’em2c Promotion Aménagement, un actif à usage d’activités en VEFA à Vénissieux/Feyzin - le parc SUD ACCESS - au sein d’un secteur en pleine expansion avec notamment un EHPAD, un pôle hospitalier et un hôtel Ibis à proximité immédiate. Ce secteur, très bien desservi par les axes autoroutiers et les transports en commun, regroupe des synergies fortes de l’activité économique de la Métropole de Lyon avec les zones industrielles de Corbas, Vénissieux, Saint-Priest et la Vallée de la Chimie. Le site est situé au pied du tramway.

    L’ensemble, comprenant 2 bâtiments divisibles chacun en dix lots, développera une surface totale de 5 090 m² à usage d’activité et bureaux et bénéficiera de 60 emplacements de stationnement.

    Les travaux ont débuté et la livraison de la première tranche est prévue au 2ème trimestre 2017.

    Cet actif a été acquis par la SCPI LF Opportunité Immo auprès d’em2c Promotion Aménagement, filiale du Groupe em2c.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-468 Mon, 03 Apr 2017 14:34:26 +0200 Légèrement sous les attentes, ce chiffres devrait freiner les rumeurs de tapering rapide de la BCE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/legerement-sous-les-attentes-ce-chiffres-devrait-freiner-les-rumeurs-de-tapering-rapide-de-la-bce/ Cette semaine a été riche de publications économiques :
  • Chiffres bien orientés aux États-Unis avec entre autres la confiance des consommateurs au plus haut depuis plus de 15 ans
  • Un IFO allemand (indicateur du climat des affaires) lui aussi au-dessus des attentes mais une inflation qui déçoit assez largement en zone Euro. Cette déception provient à la fois de l’Allemagne, de l’Espagne et de l’Italie. Au final, l’inflation sort à 1.5% contre 1.8% attendu et l’inflation core à 0.7%. Cela devrait mettre un frein aux rumeurs de tapering (réduction du programme de rachat) soudain de la part de la Banque centrale européenne. Sur le sujet de la BCE, il faut aussi mentionner une « rumeur » selon laquelle le marché aurait mal interprété le dernier discours de Mario Draghi. Cela a évidemment été considéré par le marché comme un facteur favorable à des taux bas.
  • Indicateur manufacturier Chinois rassurant, encore une fois.
  • Au final, et même si les mouvements de la semaine ont été plutôt faibles, ces chiffres sont positifs pour le dollar et négatifs pour l’euro.

    Il faut aussi mentionner les stocks de pétrole plus faibles qu’attendus, avec pour conséquence une remontée du prix du baril. Dans le même temps, il semblerait que les discussions entre les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole soient plutôt constructives ce qui laisserait penser que l’accord pourrait être prolongé.

    Enfin, Theresa May a officiellement activé l’article 50. Commence maintenant une longue période de négociations, sans doute volatile pour certaines positions que nous avons en portefeuille mais sur lesquelles nous pensons être aujourd’hui très bien rémunérés pour le risque pris.

    A la semaine prochaine.

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    news-465 Mon, 03 Apr 2017 10:39:43 +0200 Moniwan est désormais accessible sur Bourse Direct /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/moniwan-est-desormais-accessible-sur-bourse-direct/ Moniwan, première FinTech de distribution digitale de SCPI dédiée aux particuliers, s’associe à Bourse Direct, le leader du courtage en ligne en France.

    Ce partenariat unique offre la possibilité à chaque investisseur particulier d’accéder sur Bourse Direct de manière 100% dématérialisée à l’investissement immobilier collectif, grâce aux avantages de la plateforme Moniwan tout en bénéficiant de la qualité de son service client. 

    Six mois après son lancement, Moniwan a déjà reçu la confiance de nombreux clients. En les accompagnant dans leur apprentissage pas à pas, Moniwan leur permet d’accéder simplement à l’investissement immobilier collectif, dès 200€ investis, au travers de son approche 100% digitale. 

    Christophe Descohand, Directeur du développement de Moniwan, explique : « Nous sommes fiers de cette collaboration avec Bourse Direct, un des acteurs historiques de l’investissement financier en ligne. Ce premier partenariat en marque blanche illustre avec succès la pertinence de l’accès digital à la classe d’actifs de l’immobilier auprès des épargnants ! »

    Elargissant son offre multi-classe d’actifs, Bourse Direct offre à sa base fidèle d’investisseurs particuliers une nouvelle solution d’investissement en leur donnant accès aux atouts de l’investissement immobilier collectif, essentiellement tertiaire (bureaux, commerces…). 

    Catherine Nini, Président du Directoire & Directeur général de Bourse Direct, commente : « L’accompagnement de nos investisseurs au quotidien est une priorité ; aujourd’hui nous nous réjouissons d’ajouter une nouvelle brique à notre offre en leur facilitant l’accès à une gamme encore plus large grâce à ce partenariat. »

    Pour se faire, il suffit dès à présent à chaque client de Bourse Direct de se rendre sur le site pour accéder à l’ensemble de l’offre Moniwan : https://www.boursedirect.fr/fr/scpi/offre

    « L’attractivité des SCPI atteint un nouveau record historique en 2016 , confirmant sa place de placement financier privilégié des français. En tant que leader sur ce marché , démocratiser cet investissement à l’ensemble des épargnants est notre priorité ! » conclut Patrick Rivière, Directeur général de La Française.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-461 Thu, 30 Mar 2017 09:48:23 +0200 L’OPCI RASPAIL détenu par CNP ASSURANCES et géré par La Française a acquis auprès de PRIMONIAL REIM l’immeuble 20 rue de la Baume à Paris 8ème /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lopci-raspail-detenu-par-cnp-assurances-et-gere-par-la-francaise-a-acquis-aupres-de-primonial-reim/ Cet immeuble de bureaux d’environ 6 000 m² au cœur du QCA* vendu par PRIMONIAL REIM pour le compte d’un autre grand institutionnel français a été acquis par l’OPCI RASPAIL détenu par CNP ASSURANCES et géré par LA FRANCAISE. L’immeuble construit en 1925 a été entièrement restructuré en 2015-2016 par PRIMONIAL REIM et bénéficie du label BREEAM Very Good. Il est aujourd’hui loué à GRESHAM Banque Privée et IMG Models.

    Cet investissement s’inscrit dans la stratégie de l’OPCI qui vise à proposer un rendement régulier et à rechercher une appréciation à long terme de la valeur intrinsèque de ses actifs immobiliers.

    Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude Wargny Katz pour les aspects notariaux, Baker&McKenzie pour le juridique et fiscal, Siena pour l’audit technique, Burgeap pour l’audit environnemental et Thermaviva pour l’audit énergétique.

    Le vendeur était conseillé par Orfeo Développement pour les sujets techniques, l’étude Allez & Associés pour les aspects notariaux et Strategies and Corp pour la transaction.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-459 Wed, 29 Mar 2017 11:32:44 +0200 SCPI LF Europimmo Augmentation du prix de part et du délai de jouissance, du délai de jouissance pour LF Opportunité Immo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/scpi-lf-europimmo-augmentation-du-prix-de-part-et-du-delai-de-jouissance-du-delai-de-jouissance-pou/ A compter du 3 avril 2017, la SCPI LR Europimmo et la SCPI LF Opportunité Immo ont pris des décisions concernant leurs paramètres de souscription. SCPI LF Europimmo :

    A compter du lundi 3 avril 2017, la Société de gestion a pris deux décisions concernant ses paramètres de souscription :

    Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 3 avril 2017Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 3 avril 2017
    Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4ème mois qui suit le mois de souscriptionLes parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6ème mois qui suit le mois de souscription
    Nominal
    Prime d'émission
    800,00€
    215,00€
    Prix de souscription1 015,00€

    Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 1 015 € dont 81,20 € HT, soit 97,44 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8% HT, soit 9,60% TTC au taux de TVA en vigueur).

     

    La valeur de retrait, à partir du 3 avril 2017, s'établit comme suit :

    Prix de souscription
    Commission de souscription
    1 015,00€
    - 81,20€
    Valeur de retrait933,80€

    Pour en savoir plus

    > Consulter la fiche de la SCPI LF Europimmo


    SCPI LF Opportunité Immo :

    A compter du lundi 3 avril 2017, la Société de gestion a pris la décision d’augmenter le délai de jouissance de la SCPI, afin de prendre le temps nécessaire pour acquérir le patrimoine immobilier, tout en restant très sélectif dans ce marché concurrentiel

     

    Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 3 avril 2017Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 3 avril 2017
    Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4ème mois qui suit le mois de souscriptionLes parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6ème mois qui suit le mois de souscription


    Pour en savoir plus

    > Consulter la fiche de la SCPI LF Opportunité Immo
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    news-454 Tue, 28 Mar 2017 10:54:53 +0200 Marchés atones face à ce chiffre pourtant élevé, toujours en attente de visibilité aux US. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marches-atones-face-a-ce-chiffre-pourtant-eleve-toujours-en-attente-de-visibilite-aux-us/ Semaine creuse côté macroéconomie mais des chiffres intéressant publiés en Grande Bretagne :
  • L’inflation surprend à la hausse, avec une inflation core à 2%, plus haut depuis 3 ans et une inflation headline à 3.2%, là aussi un point haut
     
  • Les ventes aux détails elles aussi bien au-dessus des attentes, et croissance de 4% en glissement annuel.
  • En bref, tout va toujours bien au UK. Notons que malgré ces chiffres (et les commentaires hawkish de la semaine dernière), la Livre Sterling (GBP) et le Gilt bougent peu. Certaines banques commencent à passer acheteuses de GBP (Morgan Stanley et Barclays par exemple) pour la première fois depuis le Brexit.
     
    Les indices manufacturiers (PMI) de la zone euro sont aussi sortis très forts (56.7 pour le composite), plus haut depuis 2011. Là encore, peu de réaction du marché. Ce manque de réaction s’explique sans doute par le vote actuellement en cours concernant la réforme de la santé aux États-Unis. Vote prérequis pour que les réformes fiscales et dépenses d’infrastructure puisse être inscrites à l’agenda. Étant donné les très fortes attentes que ces réformes ont suscitées depuis l’élection de Trump, le marché craint une déception qui mettrait à mal la thématique « reflation ».
     
    Bref, une semaine sans mouvements marquants mais qui, côté macroéconomie, confirme la dynamique récente.

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    news-453 Wed, 22 Mar 2017 16:51:46 +0100 La Française récompensée au Palmarès des fournisseurs de Gestion de Fortune /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-recompensee-au-palmares-des-fournisseurs-de-gestion-de-fortune0/ Nous avons le plaisir de vous annoncer que La Française a été récompensée lors du Palmarès des fournisseurs de Gestion de Fortune le 10 janvier 2017.
  • Première place, dans la catégorie Pierre-papier : Gestionnaires de SCPI logement
  • Deuxième place, dans la catégorie Pierre-papier : Gestionnaires de SCPI d'entreprise
  • Ces prix viennent récompenser la notoriété du Groupe, la qualité de nos produits, des équipes commerciales et du service apporté. C’est l’ensemble de la chaine qui est évaluée, alors Bravo à tous les collaborateurs pour cette réussite commune !

    Thierry Sevoumians, Directeur Général de La Française AM Finance Services, a répondu aux questions de Jean-Denis Errard pour Gestion de Fortune à l’occasion de ces récompenses.

    Comment a évolué la collecte cette année ?

    La classe d’actif immobilière dans son ensemble et les SCPI en particulier ont été des produits particulièrement phare en 2016 : à la fois très demandés, très préconisés et très courtisés. Nous avons ainsi dû faire face à plus de demandes que d’offres !

    Cela a eu pour conséquence pour nous, la nécessité de gérer des enveloppes de collecte pour assurer une bonne gestion du produit et ne pas dénaturer/diluer sa performance. Qui plus est, le produit s’ouvre à de nouveaux acteurs : même au sein des CGP, il devient incontournable dans les préconisations. Et côté réseaux bancaires également, il revient au-devant des vitrines, de nombreux asset managers jusque-là absents s’intéressent aussi aux produits immobiliers. De sorte que le produit se retrouve aussi bien en direct qu’au travers de contrats d’assurance-vie, les assureurs aussi ayant libérés quelque peu leur commercialisation..

    Dans ce contexte, La Française a collecté 720M€ en SCPI auprès du Retail (au 31/12/2016). Cette collecte, qui s’est accélérée dès le début 2016, constitue un record historique pour La Française. La fin de l’année n’a pas dérogé à cette tendance, ce qui est de bon augure pour 2017.

    Comment expliquez-vous cette appréciation en forte hausse des CGPI ?

    J’aime à dire qu’aujourd’hui le produit immobilier offre un « alignement des planètes » entre le distributeur, qu’il soit CGP ou assureur, et le client final. Qui plus est, le produit offre de véritables atouts et est particulièrement compétitif tant en terme de rendement que par la simplicité de son fonctionnement. Tout pour en faire un succès auprès des CGP ! 

    L’offre La Française n’est pas en reste puisque nous continuons à enrichir notre palette produits. Au programme : diversification géographique, axe thématique ou sectoriel. Autant de leviers qui permettent au produit de s’émanciper et de devenir une classe d’actifs à part entière, ce qui explique l’appréciation en forte hausse des CGP qui trouve dans cette offre des réponses aux multiples besoins de leurs clients.

    Quels sont vos projets et axes de développement pour 2017 ?

    Dans un contexte de fortes demandes, notre rôle est d’accompagner le partenaire en lui apportant des services, en développant l’animation et la proximité et en simplifiant son quotidien grâce à la digitalisation.

    Nous allons continuer à renouveler notre offre (LMNP, OPCI, démembrement…) et à pousser nos produits phare : SCPI d’entreprise (ex Epargne Foncière), SCPI thématiques (ex Pierval Santé) ou encore celle offrant diversification géographique (ex LF Europimmo et Europimmo Market).

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    news-451 Mon, 13 Mar 2017 16:03:00 +0100 La Française à la Convention annuelle de l'ANACOFI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-la-convention-annuelle-de-lanacofi/ Le jeudi 16 mars prochain se tiendra la Convention Annuelle et l’Assemblée Générale de l’Association nationale des Conseillers Financiers (ANACOFI), au Carrousel du Louvre.

    Un événement qui rassemble des membres et invités issus des domaines bancaires, financiers et des assurances.

     A cette occasion, La Française tiendra un stand pour présenter ses produits et services aux visiteurs. Les équipes vous accueilleront de 9h à 21h30 sur le stand A14.


    Pour en savoir plus sur l’ANACOFI, cliquez ici.

    Jeudi 16 mars de 9h à 21h30
    Carrousel du Louvre
    99 rue de Rivoli, 75001 Paris

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    news-448 Mon, 20 Mar 2017 16:32:53 +0100 Sans surprise, la Fed monte ses taux encouragée par des chiffres macroéconomiques bien orientés. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/sans-surprise-la-fed-monte-ses-taux-encouragee-par-des-chiffres-macroeconomiques-bien-orientes/ La Réserve fédérale (Fed) a monté ses taux, comme prévu, avec un discours plutôt dovish (favorable à la baisse des taux) et donc des taux américains et un dollar qui baissent. Cette hausse de taux se fait dans un contexte de chiffres macroéconomiques bien orientés mais il faut quand même noter une petite divergence entre « soft data » (ISM, etc… tous les données qui donnent une indication sur le futur), très bons, et « hard data » (production industrielle etc… qui nous disent ce qu’il s’est passé réellement sur les mois passés) qui sont eux moins bien orientés. La Fed d’Atlanta publie par exemple une estimation du PIB du premier trimestre basée sur les chiffres tombés depuis le début de l’année et qui pointe vers une croissance américaine autour de 1%, bien en dessous des attentes du marché. Un potentiel de déception existe donc sur les prochains mois aux États-Unis, et ce sans parler de l’incertitude liées  à M. Trump.

     Autre sujet américain du moment : le plafond de la dette. Depuis cette semaine, le plafond a été atteint, ce qui signifie que les États-Unis ne peuvent plus augmenter leur endettement sans repasser devant le Congrès. Ils ont de la trésorerie et d’autres possibilité pour tenir jusqu’au mois de juin, mais cela devrait animer les marchés dans les mois qui viennent. M. Trump doit faire augmenter ce plafond ce qui en toute logique ne devait pas poser de problèmes avec une majorité républicaine, mais il est tout de même probable que ceux-ci veillent à ce que la dette n’explose pas. Hors, le programme de M. Trump a besoin d’une dette beaucoup plus importante. Là encore, déception possible, et il est étonnant que cette problématique ne soit pas plus commentée.

     La Banque d’Angleterre a elle légèrement surpris le marché ; pas de changement de sa politique mais des commentaires plus hawkish (favorables à la hausse des taux) que prévus.
    Les élections aux Pays Bas auront finalement été un non évènement, avec un petit score pour les partis euro sceptiques. C’est positif pour les marchés même si cela n’a pas eu d’impact sur la prime de risque OAT / Bund.

     Enfin, à noter quelques commentaires plutôt hawkish en provenance d’un membre de la BCE qui pèsent sur les taux Euro et un baril de pétrole qui a continué sa chute en début de semaine. Il est depuis stabilisé et les derniers commentaires en provenance d’Arabie Saoudite sont rassurants. La chute sur les 2 dernières semaines est violente avec une baisse de 14%, cela devrait selon nous se stabiliser.

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    news-444 Mon, 20 Mar 2017 14:25:00 +0100 Où s’arrêteront les taux allemands ? - La lettre Orientations et stratégies n°177 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/ou-sarreteront-les-taux-allemands-la-lettre-orientations-et-strategies-n177/ Les élections françaises auront rarement autant été suivies par les marchés financiers que pendant ce mois de février. Les marchés de taux ont réagi de manière sensible, avec un spread OAT / Bund qui atteint plus de 80 points de base, avant de revenir en fin de mois autour de 64 points de base. Ils ont toutefois été les seuls marchés à réellement prendre en compte ce "risque", les marchés d’actions ou de devises ne réagissant qu’à la marge. Dans ce contexte, le mouvement le plus surprenant concerne sans doute les taux courts allemands qui
    ont baissé de manière très importante tout au long du mois, atteignant des niveaux records pour le taux à 2 ans à -0,95 %, ou proches des niveaux records pour le taux à 5 ans à -0,60 %.

    Ces niveaux de taux sont difficilement explicables par les chiffres macro-économiques qui montrent une accélération de la croissance européenne depuis plusieurs mois et des indicateurs d’activité sur des niveaux très élevés (indice PMI euro zone au plus haut depuis 2011).

    Ils ne s’expliquent pas non plus par les données d’inflation, puisque depuis 2 mois les chiffres d’inflation surprennent à la hausse en zone euro avec une inflation aujourd’hui à 2 % et ce même si l’inflation "core" reste, elle, il est vrai, à un niveau inférieur à celui ciblé par la BCE.

    Le stress engendré par les élections françaises explique sans doute une partie du mouvement observé sur les taux allemands mais il faut plutôt se tourner vers les achats de la BCE en dessous du taux de dépôt pour expliquer la violence de ces mouvements.

    Cette déconnexion, entre fondamentaux économiques d’une part, et niveaux de taux d’autre part, durera sans doute tant que la BCE n’adoptera pas une posture moins accommodante. Si la trajectoire vertueuse des chiffres macro-économiques se confirme, cela devrait arriver durant l’année 2017, avec comme conséquence une remontée progressive des niveaux de taux allemands.

    La force des chiffres macro-économiques reste en revanche toujours un soutien pour les actifs actions
    de manière générale
    , bien aidés par une saison de résultats de très bonne facture, que ce soit aux Etats-Unis, en Europe ou au Japon. Dans un schéma sans crise politique européenne, ce mouvement haussier devrait perdurer, notamment sur les actions européennes aujourd’hui peu détenues par les investisseurs.

    > Pour téléchargez l'intégralité du dernier numéro d'Orientations & Stratégie, cliquez ici

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    news-442 Thu, 16 Mar 2017 17:11:38 +0100 Un point sur l'immobilier en ce début 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-point-sur-limmobilier-en-ce-debut-2017/ Thierry Sevoumians, Directement Développement France de La Française, était l'invité du Club Expert Immobilier de Club patrimoine et Actusite. Thierry Sevoumians était entouré de Anthony Fradet (Amundi), Alexandre Claudet (Voisin), Jean Pitois (PERIAL) et Daniel While (Primonial).

    Cette édition du Club Patrimoine était articulée autour de 3 questions :

    • La tension sur les taux créé-t-elle un problème de valorisation sur les Pierre Papier ?
    • Le risque politique et financier : l'euro au centre des débats
    • Quels investissements après ce nouveau record en terme de collecte pour les SCPI (+30%) et les OPCI (+66%) ?

    Retrouvez son intervention ci-dessous.

     

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    news-437 Wed, 15 Mar 2017 09:47:04 +0100 Découvrez la nouvelle brochure GREIM 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-nouvelle-brochure-greim-2017/ La Française Global Real Estate Investment Manager, une plateforme immobilière globale créatrice de solutions et d’opportunités d’investissement. Grâce à son équipe et ses différentes expertises, c’est aujourd’hui un expert reconnu et une offre immobilière complète.

    Découvrez l’équipe commerciale, la plateforme de gestion, les différents métiers de La Française Global REIM ainsi que sa capacité d’investissement dans la nouvelle plaquette 2017.

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    news-435 Mon, 13 Mar 2017 12:15:57 +0100 Le rapport d’emplois laisse la porte grande ouverte à une hausse des taux américains /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-rapport-demplois-laisse-la-porte-grande-ouverte-a-une-hausse-des-taux-americains/ Le sentiment de marché reste positif cette semaine. Les taux se tendent et les indices sont en hausse à l’exception des marchés émergents. Les actions euro rallient suite au discours de la Banque centrale européenne (BCE) et le secteur bancaire surperforme nettement. Les éléments les plus attendus étaient le meeting de la BCE suivi du rapport d’emploi américain.

    La BCE garde son programme de rachat d’actifs et ses taux inchangés, comme attendu, mais revoit à la hausse les perspectives de croissance et d’inflation pour 2017-2018, perspectives inchangées pour 2019.

    • Croissance : +1.8% vs +1.7% sur 2017 et +1.7% vs +1.6% sur 2018 
    • Inflation : +1.7% vs +1.3% sur 2017 et +1.6% vs +1.5% sur 2018

    L’institution européenne prend donc acte de l’amélioration de la situation économique et de la reprise cyclique en cours mais considère toujours les pressions inflationnistes trop faibles. Même si les risques ont diminué, il est encore trop tôt pour réduire le programme de rachat.

    Nous commençons à penser que la BCE commence à aborder un ton très légèrement hawkish (favorable à une hausse des taux) afin de s’orienter très progressivement vers une politique monétaire moins accommodante. Néanmoins, la banque centrale demeurera très prudente tant que le risque politique en Europe ne sera pas dernière nous.

    Côté macroéconomie, données mixtes publiées sur la semaine :

    • Allemagne : les commandes à l’industrie sont décevantes et affichent leurs plus forte baisse depuis 2009 (-7.4% sur février) mais la production industrielle surprend à la hausse (+2.8% sur le mois) soutenue principalement par la composante manufacturière.
    • Zone Euro : la croissance du quatrième trimestre 2016 ressort à +0.4% avec une bonne contribution de la demande interne.
    • Chine : la balance commerciale affiche un déficit pour la première fois en 3 ans avec une baisse des exportations et une hausse des importations mais les chiffres sont probablement affectés par le calendrier du nouvel an chinois. Au niveau de l’inflation, les PPI accélèrent nettement à +7.8% en rythme annualisé sur février mais l’inflation CPI ralenti à +0.8% annualisé vs +2.5% en janvier.
    • États-Unis : le rapport d’emploi est robuste. Les créations d’emploi sont en hausse de +235K sur février après +238K en janvier. Le taux de chômage baisse à +4.7%. Côté inflation salariale, la hausse est très modeste : +0.2% pour les heures travaillées sur le mois. Ce rapport laisse toute la latitude nécessaire à la Réserve fédérale (Fed) pour monter ses taux la semaine prochaine. La probabilité d’une hausse sur mars atteint 98%. Autant dire que la hausse des taux est complétement attendu par les marchés maintenant. Tous les membres de la Fed ont eu un discours plutôt hawkish dernièrement. Nous pensons que ce changement de ton est soutenu par les bons chiffres macroéconomiques et attendons 2 hausses supplémentaires d’ici la fin d’année.

    La semaine prochaine sera marquée par les meetings des banques centrales : le FOMC de la Fed sera le plus scruté suivi par les banques centrales d’Angleterre et du Japon.

    A la semaine prochaine.

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    news-431 Thu, 09 Mar 2017 16:58:32 +0100 L’uchronie et Marine Le Pen… et les marchés dans tout cela ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/luchronie-et-marine-le-pen-et-les-marches-dans-tout-cela/ Si Pétain avait eu une crise cardiaque en 1940, nous serions aujourd’hui communistes : l’armistice n’aurait pas été signée en juin 1940 laissant le temps à l’URSS de s’organiser pour vaincre Hitler sans le soutien des américains… Et l’Europe occidentale ferait partie de l’URSS qui ne se serait pas effondrée. Si Marine Le Pen avait été élue en mai 2017, que se serait-il passé ? La question reste bien évidemment très théorique, et c’est en cela que l’on peut parler d’uchronie utopique, car chacun sait que cela n’aura pas lieu… "Ce n’est clairement pas le plus probable" nous explique en choeur les politologues (le Front National fait le plein de ses voix au premier tour et il faudrait un taux d’abstention de l’ordre de 60 % pour qu’elle passe au 2e tour). Une fois passées les incertitudes politiques en Europe, les marchés, qui depuis août dernier sont résolument orientés à la hausse en dépit du Brexit, des élections américaines et du référendum italien, salueront la reprise de la construction européenne qui ne manquera pas d’arriver conjointement avec les réformes qui seront engagées.

    Cependant, la pantalonnade de la série B actuelle de la campagne présidentielle, l’effondrement des partis politiques traditionnels, la déferlante populiste en occident et une vague d’attentats orchestrée par DAESH pourrait conduire à l’improbable.

    Comment réagiraient les marchés si l’improbable arrivait et que la promesse de souveraineté
    monétaire, législative, territoriale du Front National se mettait en oeuvre ?

    Toutes les grandes maisons de gestion et les instituts économiques et politiques concluent unanimement que la situation inédite à laquelle nous aurions à faire face peut entrainer au mieux une paralysie du pays pendant la durée de son mandat et au pire un effondrement à travers un arbre de décisions :

    • Aura-t-elle la majorité au parlement en l’état actuel du système électoral ? La réponse est Non.
    • Peut-elle changer la loi électorale des législatives entre son élection et les législatives afin d’introduire la proportionnelle et obtenir une majorité absolue ou relative aux chambres ? La réponse est également Non.

    Contrainte dès le premier jour de son mandat à une cohabitation qui ne ressemblera pas à grand-chose compte tenu du fractionnement entre les différentes tendances de la droite, de
    la gauche, du centre et de "En Marche", une Union Nationale dirigée par Marine Le Pen n’aura
    pas lieu et le référendum populaire sera le mode de fonctionnement "normal" d’une présidente populiste.

    Clairement  anti-Europe,  Marine  Le  Pen  pourrait  soumettre  un  référendum  (du  fait  de l’absence de majorité probable des 3/5 du Parlement réuni en Congrès) sur le "Frexit" soutenu par la pression de la rue et en s’appuyant sur l’article 11 de la constitution autorisant le Président de la République à faire un référendum sur l’organisation des pouvoirs publics. Supposons alors que le Conseil Constitutionnel n’invalide pas le référendum conduisant à une sortie de l’Euro...

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine

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    news-430 Thu, 09 Mar 2017 14:33:40 +0100 La Française Real Estate Manager renforce son organisation pour accompagner son développement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-manager-renforce-son-organisation-pour-accompagner-son-developpement/ La Francaise Real Estate Managers renforce son organisation avec l’arrivée de Jean-Christophe Caron-Telders en tant que Senior Investment Manager, en charge du sourcing d’actifs immobiliers (bureaux, commerces, locaux d’activités, hôtels…) pour le compte de fonds discrétionnaires. Jean-Christophe a plus de 15 ans d’expérience professionnelle dans l’investissement immobilier paneuropéen. Il a débuté sa carrière chez SOFILO (filiale immobilière du groupe EDF) puis chez Aerium à Paris, avant de participer à l’ouverture du bureau d’Aerium Finance Ltd à Londres et de couvrir les investissements pan-européens pour le compte d’investisseurs institutionnels et de UHNWI. Par la suite et toujours depuis Londres, il a été en charge, pendant six ans, des investissements et des bureaux français (Paris et Lyon) pour le compte d’un REIT australien (General Property Trust).

    Jean-Christophe Caron-Telders a plus récemment rejoint ACOFI Gestion en 2011 en qualité de directeur de fonds immobiliers (OPPCI et FCPI).

    Jean-Christophe est titulaire d’un Master Spécialisé de l’ESSEC (MUES - Finance, immobilier et management urbain) et a étudié l’architecture à Paris et à Rome (DPLG). Il est membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors (MRICS) et également enseignant à l’Université de Cergy-Pontoise depuis 6 ans (Faculté de Droit) dans le Master 2 – Droit du financement et des investissements immobiliers.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-427 Mon, 06 Mar 2017 12:24:23 +0100 Encouragés par des chiffres macro positifs, les membres de la Fed semblent s’accorder sur une hausse des taux proche /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/encourages-par-des-chiffres-macro-positifs-les-membres-de-la-fed-semblent-saccorder-sur-une-hausse/ Semaine marquée par la baisse du stress politique autour des élections françaises et par la préparation par la Réserve fédérale (Fed) d'une hausse de taux à venir le 15 mars. Bonjour à tous,

    Le marché veut voir Fillon, Juppé ou Macron comme président, et les sondages vont plutôt dans ce sens avec Le Pen qui semble plafonner. Bref, ce n’est quasiment plus un sujet aujourd’hui avec une prime de risque taux allemand (Bund) / taux français (OAT) revenue sous les 60bps.

    Côté Fed, et à la suite de chiffres macroéconomiques toujours positifs (ISM Manufacturier à 57.7 et non-manufacturier à 57.6), tous les porte-paroles s’exprimaient avant la période de « black-out » qui précède sa réunion, et tous ont eu un discours favorable à une hausse des taux (hawkish) visant clairement à préparer le marché. Même les speakers habituellement dovish (c’est-à-dire favorable à une baisse des taux) ont adopté un ton hawkish. En un mot, hormis cataclysme dans les 10 jours qui viennent, la Fed continuera à monter ses taux.

    Côté publications, nous avons aussi eu tous les chiffres d’inflation zone euro. Ces derniers montrent une inflation headlines qui continue de monter et atteint 2% pour la première fois depuis 2013. L’inflation core reste elle en revanche faible à 0.9%. La Banque centrale européenne (BCE) publiera ses nouvelles prévisions macroéconomiques lors de sa réunion du 9 mars, et s’il est probable qu’elle remonte ses prévisions 2017, la faiblesse de l’inflation core devrait les amener à conserver un discours assez neutre. Le core PCE est aussi sorti aux États-Unis (indicateur d’inflation important pour la Fed), stable à 1.7%. Enfin les chiffres d’activité chinois sont sortis légèrement au-dessus des attentes, ce qui continue de rassurer le marché.

    La seule mini déception de la semaine concerne le volet politique, le président Trump n’ayant apporté aucune précision lors d’un discours pourtant attendu. Pour le moment, le marché continue à acheter les promesses mais viendra un moment ou l’adage « buy the rumors, sell the news » pourrait se vérifier.

    Dans les deux prochaines semaines nous attendons des nouvelles de toutes les banques centrales:

    • Réunion de la BCE : légèrement hawkish, le discours va confirmer le rebond de la croissance européenne et les prévisions économiques devraient être revues à la hausse. Cependant, probablement pas de déclaration d’importance avant les élections françaises et une inflation core toujours basse.
    • Réunion de la Fed : le marché prend en compte une hausse des taux dans les valorisations, on attend maintenant le discours pour voir si on se dirige vers 3 ou plutôt 4 hausses sur l’année. On opterait plutôt pour un côté toujours très « data dependant », en attendant les précisions de la politique du Président Trump.
    • Réunion de la Banque d’Angleterre : là encore, attitude sans doute « wait and see » avant l’activation de l’article 50 et le début des négociations. Les chiffres macroéconomiques continuent d'être de bonne facture mais de manière moins prononcée qu’en fin d’année dernière. Le marché continue d'adopter une posture très négative sur la Grande Bretagne, cette semaine n’a pas été différente avec une prime de risque États-Unis vs Grande-Bretagne qui passe de 121 à 130bps.

    A la semaine prochaine.

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    news-422 Mon, 27 Feb 2017 15:54:11 +0100 Les taux courts allemands continuent de baisser malgré une macroéconomie en amélioration /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-taux-courts-allemands-continuent-de-baisser-malgre-une-macroeconomie-en-amelioration/ « More of the same »… Le rallye sur les taux courts allemands continue, encore plus prononcé que la semaine passée. Pour quelles raisons ? Les élection française évidemment, mais aussi un écartement des swap spreads du fait des achats de papiers des banques centrales. On se retrouve avec des niveaux de taux allemands extrêmes (en restant poli…) et totalement déconnectés des fondamentaux économiques :

    • Croissance attendue en Europe : 1.5%
    • Inflation attendue pour l’année : 1.5%
    • Indicateurs avancés : Indicateur manufacturier Eurozone à 56, au plus haut depuis 5 ans ; indicateurs ZEW et IFO, très bien orientés, etc…

    Ainsi, la situation macroéconomique s’améliore, tout va dans le bon sens, et pourtant les taux allemands n’en finissent pas de baisser. Alors oui, l’inflation core reste à 0.9%, oui il y a un risque politique, mais cela nous apparait comme pris en compte de manière extrême sur les taux courts allemands alors que les autres marchés ne considèrent quasiment pas ce facteur dans les valorisations (Euro, Action, volatilité…).

    Les 3 semaines qui viennent vont être très chargées en nouvelles macroéconomiques et politiques :

    • Inflation Euro le 28 février
    • BCE le 09, FED le 15 et BOE / BOJ le 16 mars
    • Activation article 50 les 9/10 mars en Grande Bretagne
    • Election aux Pays Bas le 15 mars
    • Annonce du plan fiscal du président Trump autour de mi-mars (à priori…)
    • Indice manufacturier américain le 1er mars

     A la semaine prochaine.

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    news-418 Thu, 23 Feb 2017 16:08:41 +0100 L'analyse du Marché immobilier d'entreprise /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lanalyse-du-marche-immobilier-dentreprise/ Marc Bertrand (Président La Française REM) nous livre son analyse sur le Marché immobilier d'entreprise en 2016 et le comportement des SCPI dans ce marché.

    L’environnement de taux historiquement bas que l’on connaît depuis maintenant deux ans et la démocratisation des produits immobiliers collectifs font de la SCPI un produit très demandé.

    Les SCPI ont beaucoup collecté ces dernières années, doit-on s’inquiéter d’un effondrement des valeurs ? Quelles stratégies peuvent être mises en place pour gérer les distributions ?

     

    Pour quelle raison, la SCPI LF Europimmo fait désormais partie des SCPI phare de la gamme La Française ? Retrouvez toutes les réponses en vidéo.

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    news-417 Thu, 23 Feb 2017 11:00:57 +0100 La digicratie ou le populisme, l'impérieuse nécessité d'une utopie économico-écologique ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-digicratie-ou-le-populisme-limperieuse-necessite-dune-utopie-economico-ecologique/ La mondialisation qui ne s’est réellement amorcée que depuis 30 ans s’est organisée de manière Top Down - les traités internationaux, les accords bilatéraux, multi-latéraux, avec un certain nombre de concepts corollaires : le capital étant mobile, les centres de production se sont déplacés là où la main d’oeuvre était la moins couteuse. La bonne vieille formule "Kal (capital) + W (travail)" bat son plein. Dans sa première phase, cette globalisation a été largement profitable aux pays développés comme aux pays en voie de développement : l’exportation de biens d’équipements, d’usines clés en mains, la construction d’infrastructures dont bénéficiaient les deux blocs. La deuxième phase s’est clairement faite au détriment de l’occident en pleine schizophrénie : acheteur de produits de masse aux plus faibles coûts, reposant sur le concept de "l’offre crée la demande" et du "the one fits all", producteur qui perdait ses emplois : la primauté du travail à faible coût/valeur ajoutée et du capital. D’une certaine manière cette seconde phase s’est également faite au détriment des pays émergents eux-mêmes : le travail dans des conditions inhumaines, la mise en danger de l’écosystème environnemental et social.

    La globalisation a ainsi permis à plusieurs milliards de personnes d’accéder à un niveau de vie correct, mais elle s’est aussi traduite par la paupérisation des classes moyennes en Occident. La relance du pouvoir d’achat amorcée par l’administration Clinton en 1995 via la création de l’hypothèque rechargeable, après avoir fonctionné pendant 10 ans, s’est terminée par la crise des sub-primes, la crise mondiale que l’on connait… Et l’élection de Donald Trump en 2016.

    La lutte des classes qui s’était toujours accompagnée (à l’exception de la crise de 1929) par une amélioration générale du niveau de vie (la naissance des classes moyennes) s’est traduite depuis plusieurs décennies par une augmentation inédite des écarts entre mondialisateurs et mondialisés mais surtout par une dégradation des niveaux de vie (perçus ou réels) des mondialisés.

    La paupérisation des classes moyennes se traduit logiquement par la montée du populisme… de droite comme de gauche, le repli sur soi, la stigmatisation de "l’autre", du "nanti au chômeur profiteur d’un système perverti et injuste"… au mieux le retour en force de la doctrine Monroe (l’Amérique aux américains), au pire le national-socialisme.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine

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    news-415 Thu, 23 Feb 2017 09:48:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert quatre actifs de commerces pour le compte de trois SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-quatre-actifs-de-commerces-pour-le-compte-de-trois/ La Française REM, acteur majeur de l’investissement en immobilier de commerces, a acquis quatre supermarchés, situés à Paris (7e, 11e et 16e) et à Nanterre (92), pour le compte de trois SCPI : Epargne Foncière, Eurofoncière 2 et Pierre Privilège. Ces actifs bénéficient d’emplacements stratégiques, au sein de quartiers résidentiels établis.

    Les commerces développent une surface de vente totale de 5 523 m² et sont exploités par le groupe Casino sous les enseignes « Franprix » et « Supermarché Casino ». Les actifs Franprix Bourdonnais (7e) et La Tour (16e) ont récemment été rénovés, le Casino Chemin Vert (11e) est à proximité immédiate de l'îlot Breguet, qui fait l'objet d'un vaste projet de rénovation urbaine et le Casino de Nanterre a, quant à lui, été livré fin 2015. La durée moyenne des baux est de 12 ans.

    La Française REM était assistée par Guillaume Cartier. Le vendeur était assisté par Maître Anne MUZARD de l’étude LBMB.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-414 Thu, 16 Feb 2017 12:28:49 +0100 Gilles Mainard dans le Club de la Bourse : Retour sur les actualités des marchés financiers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gilles-mainard-dans-le-club-de-la-bourse-retour-sur-les-actualites-des-marches-financiers/ Retrouvez l’intervention de Gilles Mainard dans le Club de la Bourse du 14 février 2017. Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible, La Française AM, était accompagné de Christian Cambier, gérant de Focal, Frédéric Rozier, conseiller en investissement chez Meeschaert Gestion Privée et Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York.

    Ils sont revenus sur les résultats de la séance du jour et sur les actualités du moment des marchés financiers.

     

    Le Club de la Bourse est présenté par Grégoire Favet, sur BFM Business.

    (Re)découvrez l'intégralité de l'émission :

     

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    news-412 Tue, 14 Feb 2017 17:38:01 +0100 La prime de risque continue de s’écarter lentement à l’approche de l’élection française /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-prime-de-risque-continue-de-secarter-lentement-a-lapproche-de-lelection-francaise/ Après le calendrier politique américain, l’attention des marchés se tourne vers la politique européenne et le risque lié à l’élection française. La prime de risque entre les taux allemands et français s’écarte gentiment un peu plus tous les jours : il valait 30bp début novembre, 50bp en début d’année et 73bp aujourd’hui. Le marché craint une victoire d’un parti voulant sortir de l’Euro et revenir au Franc, et étant donné l’incertitude autour de cette élection, c’est un scénario qu’il va sans doute être difficile à évacuer avant les élections. Bref, si on suit ce raisonnement, pas grand-chose de bon à attendre de l’environnement politique européen à court terme et compliqué d’imaginer la prime de risque française revenir de manière significative.

    Logiquement, cela pèse sur les actions européennes et sur les banques, malgré des résultats microéconomiques de bonne facture. C’est sans doute ce qu’il y a de plus difficile à réconcilier à l’heure actuelle : les chiffres macro et micro économiques sont bons, mais on a une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

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    news-408 Tue, 07 Feb 2017 09:30:19 +0100 Les SCPI toujours aussi intéressantes pour les épargnants ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-scpi-toujours-aussi-interessantes-pour-les-epargnants/ Marc Bertrand, CEO de la Française GREIM, était l’invité de Sicavonline. Durant cette émission il est revenu sur la collecte record de La Française GREIM en 2016 (près de 5 milliards d’euros de collecte) avec un rendement moyen de 4,5 %.

     

    Cette collecte nécessite d’investir sur des niches de diversification (hôtels, résidences gérées…) et d’autres zones géographique, l’investissement est devenu européen.

    Les loyers, toujours en bas de cycle, laissent entrevoir des perspectives de croissance.

    En cas de remontée des taux, plusieurs scénarios sont possibles : scénario à la japonaise, c’est-à-dire des taux ainsi qu’une croissance molle ou le scénario à l’américaine, la remontée des taux entraînera la reprise de l’économie.

    Pour Marc Bertrand, le scénario à l’américaine est le plus plausible.

    Il conseille également de sélectionner ses SCPI en fonction du profil de l’investisseur et de diversifier son portefeuille de SCPI grâce à des SCPI thématiques (santé, européenne…)

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    news-407 Fri, 20 Jan 2017 12:00:00 +0100 Fitch confirme la note de La Française Global AM à High standards /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fitch-confirme-la-note-de-la-francaise-global-am-a-high-standards/ Les sociétés de gestion notées « High Standards » possèdent une plate-forme opérationnelle et de gestion que Fitch considère de qualité élevée par rapport aux niveaux communément exigés par les investisseurs institutionnels internationaux.  

    En savoir plus, téléchargez le rapport de notation (en anglais)

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    news-405 Wed, 01 Feb 2017 17:49:57 +0100 Le dernier numéro de Stratégies & Durabilité est paru /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-dernier-numero-de-strategies-durabilite-est-paru/ Stratégies & Durabilité est un outil complet qui vous permet de découvrir les dernières actualités du monde du développement durable mais aussi les nouveautés SAI du Groupe La Française. Le nouveau numéro de Stratégies & Durabilité vient de paraître. Cette nouvelle édition zoome sur la stratégie "emploi durable".

    N'hésitez pas à le consulter !

    Bonne lecture,

    > Pour en savoir plus, cliquez-ici

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    news-404 Tue, 31 Jan 2017 10:34:22 +0100 La Française participe au IVe Forum Grand Paris « Innover pour réussir » le 1er février 2017 à Paris. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-participe-au-ive-forum-grand-paris-innover-pour-reussir-le-1er-fevrier-2017-a-paris/ Retrouvez Xavier Lépine, Président du Directoire La Française dans le cadre de la table ronde « les nouvelles approches des investisseurs »

    Réunissant plusieurs centaines de décideurs politiques et économiques de haut niveau, ce Forum a pour objectif de mobiliser les acteurs économiques majeurs et les investisseurs internationaux qui viendront présenter leurs contributions concrètes au projet du Grand Paris, et faire de la région capitale un modèle de métropole intelligente, performante et attractive. 

    Plusieurs thèmes seront abordés : les nouvelles tendances de la compétition internationale, les nouvelles approches des investisseurs, les nouvelles énergies du Grand Paris, les nouvelles donnes après le Brexit pour les Global Cities européennes… Xavier Lépine, Président du Directoire La Française, participera à la table ronde « les nouvelles approches des investisseurs » de 9h50 à 10h45.

    Ce forum s’achèvera avec l’intervention de Bernard Cazeneuve, Premier Ministre.

    IVe Forum Grand Paris, le 1er février 2017

    27, Avenue de Friedland

    Paris 8e

    > Pour en savoir plus, téléchargez le programme 

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    news-401 Mon, 30 Jan 2017 17:29:30 +0100 Chiffre légèrement inférieur aux attentes, tiré vers le haut grâce à un rebond de l’investissement. Notre analyse : /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/chiffre-legerement-inferieur-aux-attentes-tire-vers-le-haut-grace-a-un-rebond-de-linvestissement/ La semaine a été animée par la publication d'une série de chiffres macroéconomiques. Aux États-Unis, nous avons eu le PIB du T4 qui est inférieur aux attentes à 1.9%, mais ne remet pas en cause la bonne tenue de la macroéconomie américaine. Le chiffre est pénalisé par le déficit commercial plus large qu’anticipé mais si l’investissement a rebondi, ce qui est de bon augure pour les trimestres à venir. Par ailleurs, le PMI (indicateur manufacturier) est sorti au-dessus des attentes, ce qui va dans le même sens.

    Au Royaume-Uni, le PIB du T4 a surpris positivement. L’économie a progressé de 2.2% sur l’année 2016. Belle performance en cette année marquée par le Brexit ! D’ailleurs les investisseurs ont continué de déboucler leurs positions vendeuses sur la livre sterling, ce qui permet à cette dernière d’afficher un très beau +1.6% cette semaine contre Dollar et Euro.

    L’économie de la Zone Euro continue sa trajectoire très encourageante, avec cette semaine les indicateurs avancés PMI : très beau chiffre sur le secteur manufacturier allemand, bonne tenue en France également avec la confiance du consommateur au plus haut depuis 2007.

    • Sur les taux, le mouvement de tension s’est poursuivi. Notre vision de moyen terme reste inchangée, nous continuons de penser que les obligations allemandes restent très chères.
    • Nous restons positifs sur les actions euro, nous pensons que le positionnement des investisseurs est faible et que l’expansion des bénéfices devrait contribuer à faire de 2017 un bon millésime.

    A la semaine prochaine.

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    news-398 Fri, 27 Jan 2017 08:51:38 +0100 Marc Bertrand Pierre d'Or dans la catégorie Asset, Property, Facility Managers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marc-bertrand-pierre-dor-dans-la-categorie-asset-property-facility-managers/ Marc Bertrand remporte le premier prix dans la catégorie Asset,Property, Facility Managers. C'est lors la Grande Soirée de Gala des "Pierres d'Or 2017" organisée par Immoweek que Marc Bertrand a reçu le premier prix pour catégorie Asset, Property, Facility Managers.

    A cette occasion, Immoweek a publié un portrait de Marc Bertrand.

     

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    news-394 Mon, 23 Jan 2017 12:15:19 +0100 Soulagement sur les marchés après un discours raisonné de la première ministre britannique sur le Brexit /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/soulagement-sur-les-marches-apres-un-discours-raisonne-de-la-premiere-ministre-britannique-sur-le-br/ Après un lundi calme (Martin Luther King Day, jour férié aux États-Unis), la semaine a démarré mardi avec le discours très attendu de la première ministre britannique Theresa May sur le Brexit.

    Le marché était inquiet d’un discours potentiellement très dur (la volatilité implicite était à son plus haut depuis cinq mois) mais finalement le ton était plutôt raisonné avec des mots tels que « Le 23 juin n'a pas été le moment où la Grande-Bretagne a choisi de se retirer du monde. Ce fut le moment où nous avons décidé de construire une Grande-Bretagne vraiment mondiale ». Soulagement donc pour les marchés, et la devise britannique reprend 3% face au dollar sur la journée. Nous restons convaincus que la Livre est sous-évaluée et que le positionnement du marché est trop vendeur. 

    L’autre événement majeur de la semaine était la réunion mensuelle de la Banque centrale européenne. Personne n’attendait un mouvement significatif de son Président, Mario Draghi… et nous n’avons pas été déçus. Discours très neutre et les réponses aux questions des journalistes n’ont pas apporté de couleur particulière sur une éventuelle réduction du programme de rachat d’actifs. Malgré tout, le mouvement de tension sur les taux d’intérêt amorcé mardi s’est poursuivi. Nous restons convaincus que le marché sous-anticipe le changement de ton de la BCE et que les taux allemands demeurent trop chers. 

    Le dernier événement important de la semaine se déroule alors que j’écris ces lignes. Le discours de D. Trump sera naturellement scruté de près.

    À la semaine prochaine.

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    news-390 Thu, 19 Jan 2017 15:59:24 +0100 1 mois 1 clin d'oeil Janvier 2017 : Rétrospective 2016 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/1-mois-1-clin-doeil-janvier-2017-retrospective-2016/ Que diriez-vous d'un rapide regard dans le rétroviseur avant de nous laisser happer par une nouvelle année qui s'annonce d'ores et déjà riche en évènements clés ?

    Vous retrouverez ci-dessous la rétrospective des 12 derniers dessins mensuels qui s'accompagne de tous nos meilleurs vœux pour 2017 !

    Bonne (re)découverte donc et rendez-vous dans quelques semaines pour notre 8ème saison des "1 mois, 1 clin d'œil".

    Pour redécouvrir la rétrospective 2016, cliquez ici

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    news-389 Thu, 19 Jan 2017 14:15:22 +0100 La Française et amLeague signent un partenariat stratégique et lancent une nouvelle offre répliquant l’indice amLeague_Euro 45 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-et-amleague-signent-un-partenariat-strategique-et-lancent-une-nouvelle-offre-repliquant/ amLeague confie la gestion et la commercialisation de la stratégie d’investissement visant à surperformer l’indice Euro Stoxx 50 en répliquant son indice amLeague_Euro 45 à La Française, membre historique et fondateur de sa plateforme, permettant ainsi dans un premier temps aux investisseurs institutionnels d’investir dans une gestion actions active regroupant les meilleurs gérants présents sur amLeague. Antoine Briant, CEO et fondateur d’amLeague explique, « L’infrastructure de la plateforme amleague a fait ses preuves et l’indice amLeague_Euro 45 aussi. En confiant à La Française, notre partenaire, la gestion de la stratégie mais également sa commercialisation auprès d’une cible d’investisseurs institutionnels, segment où La Française est particulièrement actif, nous répondons à notre double attente : qualité et expertise dans la gestion et la commercialisation. »

    Avec cette nouvelle stratégie, dont la gestion sera assurée par l’équipe expérimentée de Laurent Jacquier Laforge, CIO Equities, La Française diversifie son offre en actions Européennes. Patrick Rivière, Directeur Général de La Française ajoute, « Les clients sont à la recherche de solutions d’investissement innovantes et nous sommes convaincus de l’intérêt de transformer la recherche amLeague en produits achetables. Notre objectif commun sera donc de générer de l’alpha en répliquant l’indice amLeague_Euro 45 et d’apporter une solution d’investissement performante et différenciante aux investisseurs institutionnels.»

    L’objectif consiste donc à répliquer la stratégie propriétaire amLeague-Euro 45 Index, composé de 45 titres, représentatif de l’univers actions de la zone Euro. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures mais force est de constater les bons résultats de l’indice amLeague_Euro 45 : depuis sa création le 05/10/2010 : +71.36% contre +44.63 % pour l’Euro Stoxx 50 NR.

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    news-387 Wed, 18 Jan 2017 16:15:56 +0100 Date de réouverture et augmentation du délais de jouissance Multimmobilier 2 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/date-de-reouverture-et-augmentation-du-delais-de-jouissance-multimmobilier-2/ Nous tenions à vous informer de la réouverture du marché des parts de Multimmobilier 2 à compter du 8 février 2017. A cette date, le délai de jouissance de la SCPI va être modifié selon les modalités suivantes. Délai de jouissance antérieurNouveau délai de jouissance

    Les parts souscrites portent jouissances le 1er jour du 4ème mois qui suit le mois de souscription.

    Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6ème mois qui suit le mois de souscription.

    Risques SCPI : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement.

    Multimmobilier 2 : la note d’information a reçu le visa SCPI n°16-22 en date du 23.08.2016. La notice a été publiée au BALO n°101 du 22.08.2014, n°154 du 24.12.2014, n°42 du 8.04.2015, n°155 du 28.12.2015, n°55 du 6.05.2016, n°76 du 24.06.2016 et n°106 du 2.09.2016. La Société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF n° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE.

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    news-384 Wed, 18 Jan 2017 09:44:26 +0100 La Française réorganise son pôle de gestion Valeurs Mobilières /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-reorganise-son-pole-de-gestion-valeurs-mobilieres/ Au cours des cinq dernières années, La Française a connu une forte croissance tant par sa dynamique de développement que par l’internationalisation de ses expertises grâce à ses partenariats stratégiques qui lui ont permis d’étoffer ses savoir-faire. Afin d’assurer plus de synergies entre ses différents pôles et ses affiliés, La Française réorganise son pôle de gestion Valeurs Mobilières.

    C’est ainsi que sous la direction de Pascale Auclair, Global Head of Investments, Jean-Luc Hivert et Laurent Jacquier Laforge prennent en charge respectivement, l’expertise « Fixed Income et Cross Asset » et l’expertise « Equity ».

    Laurent Jacquier Laforge, avec plus de trente ans d’expérience, devient CIO Equities Global, en charge de l’ensemble de la gamme Actions ISR proposée par La Française, la gestion small caps et le suivi des partenariats, au premier rang desquels IPCM société de recherche extra-financière, ou tels que ceux noués avec Alger ou JK Capital Management. En effet, La Française a engagé depuis plusieurs années des partenariats stratégiques avec des sociétés de gestion étrangères spécialisées. En qualité de CIO Equities Global du groupe et dans l’intérêt de l’investisseur, Laurent Jacquier Laforge identifiera ainsi les potentielles collaborations produits et synergies de recherche.

    Jean-Luc Hivert, dix-neuf ans d’expérience de la gestion d’actifs, devient CIO Fixed Income & Cross Asset, responsable de plus de 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion et d’une équipe de vingt-six experts. A ce titre, il se voit confier la gestion Cross Asset ainsi que l’activité gestion sous mandat et gestion pilotée du groupe, dont la responsabilité opérationnelle revient à Odile Camblain-Le Mollé.

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    news-381 Mon, 16 Jan 2017 15:42:07 +0100 Un chiffre qui pourrait influencer les décisions de tapering de la BCE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-chiffre-qui-pourrait-influencer-les-decisions-de-tapering-de-la-bce/ Semaine extrêmement calme, sans banques centrales, sans chiffres macroéconomiques significatifs et sans mouvement de marché important. Les actions développées sont très légèrement en baisse, les actions émergentes en hausse, les taux baissent légèrement et le dollar recule un peu…Et encore, ces différents mouvements tendent à être contrebalancé par la journée de vendredi. Les actions développées sont très légèrement en baisse, les actions émergentes en hausse, les taux baissent légèrement et le dollar recule un peu…Et encore, ces différents mouvements tendent à être contrebalancé par la journée de vendredi.

     

     

    Cette semaine, notons tout de même :

    • Conférence de presse du futur président Trump n’a pas offert davantage d’éclaircissements sur les mesures à attendre lors de sa prise de fonction
    • Ventes aux détails aux États-Unis, globalement en ligne avec les attentes
    • Les minutes de la réunion de la Banque centrale européenne nous apprennent que la décision de réduire le programme de rachat d’actifs (tapering) du mois dernier a été prise à un très large consensus et que « quelques-uns » étaient pour un tapering plus fort. Cela va dans le sens de nos positions vendeuses de taux euro
    • Réserves de change chinoises qui continuent de baisser, logique avec une devise toujours sous pression et donc une banque centrale obligée d’intervenir pour soutenir sa monnaie. C’est à peu près la même chose qu’en début d’année dernière, et cela fait quelques mois que cela dure, mais le marché est maintenant convaincu que tout est sous contrôle…
    • Le début des annonces de résultats d’entreprises aux États-Unis avec les banques qui lancent la saison. Résultats bien orientés, et donc soutien au marché ; pour le moment, c’est du classique.

    Les semaines qui viennent seront dominées par la continuation des annonces de résultats, que nous anticipons de bonne facture et qui devraient offrir un soutien aux actions, tout du moins les premières semaines. Nous aurons aussi la BCE jeudi, qui ne devrait rien annoncer. Possibilité toutefois de voir les intervenants questionner M Draghi, président de l’institution, sur les derniers chiffres d’inflation sortis au-dessus des attentes, spécialement en Allemagne.

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    news-379 Tue, 17 Jan 2017 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners renforce son organisation pour accompagner le développement de son activité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-renforce-son-organisation-pour-accompagner-le-developpement-de-son/ La Francaise Real Estate Partners renforce son organisation avec l’arrivée de Benjamin Fanget en tant qu’Investment Manager. Dans un esprit entrepreneurial orienté clients et résultats, La Francaise Real Estate Partners déploie pour le compte de ses clients des solutions dédiées à partir de stratégies Core/Core+ mais aussi Value Added/Opportuniste.

    La Francaise Real Estate Partners s’adresse aux clients institutionnels Français et internationaux de premier rang désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de sourcing, d’acquisition, d’asset management et de reporting.

    La Francaise Real Estate Partners, filiale du Groupe La Française, bénéficie du support de ce leader en Asset Management avec plus de 58 milliards d’euros d’actifs gérés, dont un patrimoine immobilier d’une valeur de plus de 14 milliards d’euros.

    Benjamin Fanget a rejoint La Francaise Real Estate Partners en tant qu’Investment Manager au sein de l’équipe acquisition. Il viendra renforcer cette équipe et interviendra notamment sur l’acquisition de résidences gérées et plus généralement sur l’acquisition d’actifs tertiaires pour des clients institutionnels français et étrangers.

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    news-378 Mon, 16 Jan 2017 07:00:00 +0100 Laffitte Capital Management, nouvel investissement d'émergence /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/laffitte-capital-management-nouvel-investissement-demergence/ Le fonds d’incubation de Place Emergence poursuit son soutien aux sociétés de gestion françaises et leur apporte son label, facteur d’attrait auprès des investisseurs internationaux. Paris, le 16 janvier 2017 – Emergence, le fonds d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales de la Place de Paris, et NewAlpha Asset Management, gérant délégataire de la SICAV, annoncent la sélection de Laffitte Capital Management(1). Laffitte CM est le neuvième investissement réalisé par le compartiment Emergence Performance Absolue depuis sa création en 2012.

    Emergence Performance Absolue apporte 20 millions d’euros au fonds Laffitte Dynamic Strategies. Lancé au dernier trimestre 2016, ce fonds a pour objectif de réaliser une performance absolue décorrélée à travers des stratégies discrétionnaires tendant à corriger les inefficiences des marchés actions. Cet apport permet à Laffitte CM d’ajouter à sa gamme de fonds un véhicule avec un objectif de rendement et volatilité plus élevé.

    Créée fin 2007 par ses quatre associés toujours présents dans la société, Eric Robbe, Arnaud Yvinec, David Lenfant et Gabriel Teodorescu, Laffitte CM a développé une expertise approfondie sur les stratégies d’investissement décorrélées de l’évolution des marchés actions. Avec près 400 millions d’euros d’actifs gérés, Laffitte CM a doublé sa taille en 2016 grâce à des souscriptions significatives provenant d’une clientèle internationale qui représente aujourd’hui plus de 60% de ses encours.

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    news-376 Wed, 11 Jan 2017 12:56:23 +0100 Découvrez la dernière édition de la Lettre de la Gestion Privée "En particulier" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-de-la-lettre-de-la-gestion-privee-en-particulier/ L’année 2016 restera sans nul doute sur le plan politique l’année de toutes les surprises : vote des britanniques en faveur du Brexit, élection aux Etats-Unis de Donald Trump, refus en Italie de la réforme constitutionnelle de Matteo Renzi sans compter, en France, les surprises jalonnant les deux primaires organisées avant l’échéance électorale de 2017.

    Mais 2016 nous a aussi réservé, contre toute attente, de bonnes surprises sur les marchés financiers : après un début d’année pour le moins difficile, l’été, comme nous le signalions en septembre, a été des plus calmes et la fin d’année redonne des couleurs à nos portefeuilles.

    Le Groupe La Française a poursuivi son développement et l’année écoulée devrait nous permettre d’afficher un total d’encours proche des 60 milliards d’euros. L’immobilier cette année encore a été un des moteurs de la croissance du groupe : il nous a donc semblé nécessaire de faire le point sur l’immobilier tertiaire.

    Pour en savoir plus, téléchargez le dernier numéro de la Lettre de la Gestion Privée.

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    news-372 Mon, 09 Jan 2017 16:20:50 +0100 Forte accélération de l’inflation, facteur qui pourrait venir soutenir un potentiel tapering de la BCE /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/forte-acceleration-de-linflation-facteur-qui-pourrait-venir-soutenir-un-potentiel-tapering-de-la-b/ L’année commence comme la précédente s’est terminée, avec de bons chiffres de croissance sur à peu près toutes les zones et des indicateurs d’activité également très bien orientés. Pour exemple :

    • Nonfarm Payroll américain : l’indicateur d’emploi sort comme attendu mais avec une inflation salariale qui progresse de 2.9% en glissement annuel. Cela confirme un marché du travail qui se tend et va dans le sens d’une Réserve fédérale moins accommodante
    • Inflation Euro : 1.1%, légèrement au-dessus des attentes (avec une inflation allemande à 1.7% soit largement supérieure aux attentes). Cet indicateur est important à plusieurs titres : d’une part cela confirme que le risque de déflation a quasiment disparu en zone euro, mais surtout cela peut mettre la Banque Centrale européenne dans une situation difficile si l’inflation allemande continue à se tendre. Les autorités allemandes commencent à être de plus en plus audibles à ce sujet, arguant du fait que les épargnants allemands touchent aujourd’hui environ -2% de rendement réel sur leurs dépôts. En un mot, la probabilité d’un tapering plus tôt que prévu augmente, ce qui n’est pas du tout pris en compte dans les valorisations

    Le début d’année est aussi marqué par les dorénavant fameux tweets de M. Trump qui communique sur les Chinois, les Mexicains, General Motors… et fait annuler la construction d’une usine par Ford au Mexique. Il va falloir s’habituer à ce type de communication ; certains ont déjà développé des algorithmes basés sur ces tweets…

    Du fait de la hausse du dollar et de flux de capitaux sortant, le marché monétaire chinois est sous forte pression en ce début d’année. Les autorités sont intervenus de manière massive pour « punir » les positions vendeuses sur la devise chinoise en faisant bondir les coûts d’emprunt sur des niveaux jamais vus. Le but est de limiter les sorties de capitaux et de ralentir le rythme de baisse du Yuan. On constate que cela fonctionne sur les deux derniers jours avec une devise chinoise qui rebondit, mais cela risque d’être difficile à tenir si le dollar continue de s’apprécier.

    Maintenant que les principaux chiffres macroéconomiques du mois sont sortis, le marché va se focaliser sur :

    • La saison des résultats américain qui commence le 13 janvier
    • La prise de fonction de Donald Trump le 20
    • Et les Banques centrales évidemment avec en premier la BCE le 19

    En termes de vues de marché, tout cela renforce nos vue baissière sur les taux euro, qui est exprimé beaucoup plus franchement aujourd’hui dans notre portefeuille. Les marchés actions peuvent eux continuer de monter un peu, mais le parcours récent et les attentes assez élevées limitent le potentiel de court terme selon nous, et ce même si côté macroéconomie tout est bien orienté. Nous sommes toujours partagé sur le dollar qui reste cher et assez positionné.

    A la semaine prochaine.

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    news-368 Fri, 20 Jan 2017 10:22:00 +0100 Valeurs mobilières - Perspectives et convictions /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/valeurs-mobilieres-perspectives-et-convictions/ Malgré des perspectives de croissance 2017 plutôt positives, il convient de garder à l’esprit certains points de vigilance : les tentations protectionnistes du président Trump et les difficultés budgétaires de mise en œuvre de son programme, les échéances électorales européennes ou encore les conséquences du Brexit.

    Pour autant, la croissance mondiale semble connaître une accélération, modeste à ce stade, mais soutenue par des signaux positifs convergents :

    • Une amélioration des indicateurs macroéconomiques,
    • Une reprise sensible des anticipations d’inflation,
    • Une hausse des taux.

    Ainsi, l’expansion aux Etats-Unis s’accélère, toujours tirée par la consommation interne, tandis que la Chine montre à la fois une maîtrise du ralentissement attendu de sa croissance et un véritable rééquilibrage entre exportations et consommation au sein de son économie.

    La zone euro reste sous la menace d’un évènement électoral négatif mais connaît néanmoins des signes d’amélioration tangible. La poursuite de la baisse du taux de chômage constituera un facteur de soutien important pour les revenus des ménages, assurant ainsi un socle de croissance par la consommation. Enfin, le Royaume-Uni est à ce jour étonnement résilient à la perspective du Brexit.

    La Réserve Fédérale américaine est venue, le mois dernier, conforter ces attentes positives avec un rythme de normalisation des taux monétaires aux US prévu en accélération à partir de 2017. 

    La BCE, quant à elle, a annoncé un tournant majeur de sa politique monétaire. La réduction, certes prudente, du montant de ses achats d’actifs est un premier pas dans l’inflexion de son programme de Quantitative Easing qui devrait diminuer progressivement au cours des deux prochaines années.

    Au regard de ces éléments, Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income & Cross Asset et Laurent Jacquier Laforge, CIO Equities partagent leurs convictions pour 2017.

    > Cliquez ici pour découvrir l'intégralité de nos perspectives et convictions pour 2017.

     

    Retrouvez l'interview de Pascale Auclair :

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    news-364 Mon, 26 Dec 2016 14:14:12 +0100 L’inflation, une classe d’actifs qui devrait continuer d’attirer les investisseurs en 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/linflation-une-classe-dactifs-qui-devrait-continuer-dattirer-les-investisseurs-en-2017/ Semaine extrêmement calme en amont de la trêve des confiseurs.

    Les taux ont retracé une partie de leur mouvement (-7bps sur le 10 ans allemand et -4bps sur le taux US) alors que les indices boursiers ont peu évolué (+0.9% pour l’EuroStoxx 50, +0.2% sur le S&P 500 mais -1.8% pour l’indice MSCI Emerging Markets).

    Peu de publications macroéconomiques. L’indicateur américain des services est venu confirmer la bonne tenue de la macroéconomie du pays. Vu dans leur globalité, les indicateurs restent positifs et battent le consensus. Pour chacune des principales zones du globe, on note une surprise économique positive ce qui signifie qu’en moyenne, les chiffres macroéconomiques de chaque zone battent le consensus. 

    Alors que certains marchés restent sur des niveaux extrêmes (actions euro et américaines surachetées, taux américains survendus), il est intéressant de noter le fort retour du 10 ans allemand dont le Relative Strength Index (indicateur d’analyse technique permettant de déterminer la puissance d’un mouvement ou si nous sommes face à une situation de sur-achat ou sur-vente) revient sur des niveaux médians.

    Le contexte de marché global est à la reflation et à la reconstitution des primes de terme. Par ailleurs, les anticipations de politique monétaire semblent assez complaisantes aujourd’hui. Les économistes anticipent un glissement d’inflation à 2.5% à horizon début 2017, ce qui devrait faire perdurer l’engouement pour cette classe d’actifs l’année qui arrive.

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    news-363 Thu, 22 Dec 2016 18:22:45 +0100 Prime à la qualité - Retrouvez le dernier numéro de Immobilier & Perspectives /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/prime-a-la-qualite-retrouvez-le-dernier-numero-de-immobilier-perspectives/ Après le choc du Brexit, l’élection de Donald Trump lors des récentes élections américaines a, à nouveau, secoué la planète. Tout à fait inattendue, cette victoire du Républicain a également surpris par son ampleur, puisqu’il a emporté une large adhésion à la fois du peuple et des grands électeurs américains. Les marchés financiers ont vite réagi. Les bourses mondiales ont reculé dès le nouveau président connu, au Japon en particulier et, dans une moindre mesure, en Europe. De même, les taux longs sont  sensiblement remontés aux Etats-Unis, plus modérément dans les pays européens.

    Après quelques semaines, les slogans de campagne de Donald Trump ont laissé place à un discours plus mesuré et la baisse des marchés boursiers n’aura finalement été qu’un soubresaut. Bien plus, d’importants capitaux se sont déplacés vers les places boursières américaines. Les marchés anticipent en effet une croissance plus soutenue aux Etats-Unis, portée par la relance économique proposée par le nouveau Président, mais celle-ci devrait s’accompagner d’une forte hausse de la dette du pays et par ricochet de l’inflation. Les rendements des taux longs sont ainsi toujours orientés à la hausse.

    > Cliquez ici pour télécharger le dernier numéro d'Immobilier & Perspectives

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    news-360 Thu, 22 Dec 2016 10:14:45 +0100 Tous nos vœux pour le meilleur /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/tous-nos-voeux-pour-le-meilleur/ La Française vous souhaite bonheur, sérénité et le meilleur à partager en 2017 !

     

    A l’occasion de ses vœux, La Française a souhaité rappeler l’engagement de ses collaborateurs auprès des associations soutenues : SOS Sahel, Le Carillon, Green Cross, Fondation Un pas avec toi, _blank, Solidarité sida, L214 et Crystal Kids.

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    news-359 Wed, 21 Dec 2016 15:17:09 +0100 La Française a des ID n°7 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-a-des-id-n7/ Comme chaque trimestre, focus sur un immeuble labellisé qui répond aux exigences environnementales, sociales et sociétales des grands locataires d’aujourd’hui. A l’honneur ce trimestre :

    Le 50, route de la reine, immeuble de bureaux à l'architecture contemporaine avec une identité forte et aux espaces communs agréables participant au bien-être des utilisateurs, en plein cœur de Boulogne-Billancourt.
     

     

    > Cliquez ici pour téléchargez le dernier numéro de la lettre La Française a des Immeubles Durables

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    news-357 Tue, 20 Dec 2016 12:01:03 +0100 Fortement surpris par la posture de la Fed, les marchés réagissent rapidement : hausse du dollar et des taux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fortement-surpris-par-la-posture-de-la-fed-les-marches-reagissent-rapidement-hausse-du-dollar-et/ Le sentiment de marché reste orienté à la prise de risque cette semaine.

    La majorité des indices progresse, à l’exception des marchés émergents : les actions américaines affichent de nouveaux records alors que les bourses européennes effacent les pertes de l’année. De leur côté, les taux core remontent fortement.

    Cette semaine l'attention des marchés était portée sur la réunion de la Réserve fédérale américaine :

    • Cette dernière a surpris les marché avec un ton plutôt favorable à une hausse des taux. Comme on pouvait s'y attendre, l’institution américaine a relevé la fourchette cible du taux des fonds fédéraux de 25 pb à 50/75 pb pour la deuxième fois de ce cycle, mais a annoncé un resserrement plus rapide que prévu de la politique monétaire
    • Le principal changement vient des projections économiques qui montrent un rythme de hausse des taux plus rapide en 2017, les membres de la Fed anticipant maintenant trois hausses par an pour les trois prochaines années
    • On constate une réaction importante des marchés : le dollar remonte au plus haut depuis 2003 (essentiellement contre Yen et Euro) , et le 2 ans américain revient sur un plus haut de 7 ans… De plus, madame Yellen (présidente de la Fed) a clairement souligné que les projections ne prenait pas en compte les effets potentiels d’une politique fiscale plus inflationniste 
    • Néanmoins, madame Yellen a souhaité minimiser le changement en précisant qu’il restait très modeste

    Du côté macroéconomie, les surprises continuent d'être positives et soutiennent le sentiment du marché :

    • États-Unis : les pressions inflationnistes sont en hausse sur novembre, les effets de base du prix de l’énergie restent positifs. L’indice des prix à la consommation est en hausse pour le quatrième mois consécutif et les indices de prix à la production reviennent en croissance positive (+1.5% en roulement annuel) et efface la déflation. De plus, les anticipations d’une politique commerciale plus restrictive et d’une augmentation des dépenses budgétaires devrait soutenir l’inflation à moyen terme
    • Chine : après des indicateurs manufacturiers (PMI) rassurants la semaine dernière, les données d’activité sortent également supérieures aux attentes : production industrielle et vente aux détails en hausse avec une stabilisation de la croissance des investissements. La dynamique de croissance pour le quatrième trimestre est donc orientée positivement
    • Europe : les indicateurs manufacturiers montrent toujours des signes d’amélioration de l’activité pour la fin d’année. La moyenne du quatrième trimestre pour le PMI composite reste la plus forte de l’année à 53.7 contre 52.9 au trimestre précédent
    • Pétrole : bonnes nouvelles également, les prix restent soutenus suite à la décision des producteurs non membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole de s’aligner sur les baisse de production décidées par l’OPEP

    Qu’en pensons nous ?

    • Croissance / Inflation : concernant l’inflation, les perspectives se sont raffermies depuis le milieu d’année et devraient continuer à s'améliorer. Le rythme de la hausse des taux est légèrement plus fort qu'en septembre et l'économie américaine demeure forte.

    Une des question reste de savoir si ce rallye sur le thème de la reflation des actifs pourrait encore continuer plus longtemps ou s’il est exagéré à ce stade ? 

    • Le changement de ton de la Fed, plus favorable à une hausse des taux, peut rester un soutien à court terme
       
    • Cependant, quand nous regardons les niveaux de marché, nous pensons qu’une partie importante des nouvelles anticipations post-élections reste basée sur des spéculations sur ce que le Président ou le Congrès pourraient mettre en place. Beaucoup des effets positifs potentiels de la politique de Donald Trump semblent être aujourd’hui pris en compte par les marchés

    • Le mouvement haussier a été aussi très rapide et très fort alors que les effets attendus d’une politique fiscale plus expansionniste et d’une hausse des dépenses publiques ne devraient se faire sentir qu'en 2018
       
    • Aujourd’hui, les indicateurs techniques nous montrent que les marchés sont globalement surachetés (actions et dollar) et que les taux core sont survendus. Le sentiment de marché est extrêmement positif. Les valorisations sont globalement chères et le positionnement des investisseurs à nouveau plus important
       
    • Cela laisse peu de place en cas de déception. Nous continuons de penser que la normalisation des politiques monétaires restera très graduelle. La force du dollar et l’environnement global de croissance modérée demeurent des sujets de préoccupation
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    news-354 Mon, 19 Dec 2016 10:37:27 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert, auprès de Bouygues Immobilier, l’immeuble de bureaux Saint Ex Office à Toulouse, pour le compte de la SCPI Epargne Foncière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-de-bouygues-immobilier-limmeuble-de-burea/ L’immeuble, en état futur d’achèvement, sera situé dans la zone aéronautique et développera une surface d’environ 3 850 m² répartis sur 5 étages. Il s’inscrira dans une démarche de certification NF HQE Bâtiment Tertiaire. L’immeuble sera loué en totalité au groupe toulousain InSitu, spécialisé dans la location de surface de bureaux avec prestations de services associées, dans le cadre d’un bail long terme. Cette nouvelle résidence d’affaires, futuriste et totalement novatrice, conçue sur la base d’espaces de travail collaboratifs, sera pensée pour des grandes entreprises en quête de nouveaux modes de travail.

    Les travaux de l’immeuble, dessiné par l’architecte toulousain Serge ZILIO, débuteront au 2ème trimestre 2017, et la livraison est prévue au 3ème trimestre 2018.

    Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’Etude 14 Pyramides Notaires à Paris, le vendeur était conseillé par l’Etude du Boulevard Leclerc à Toulouse, et le Preneur par BNP Paribas Real Estate.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-351 Thu, 15 Dec 2016 09:54:38 +0100 La Française Real Estate Partners International acquiert un immeuble de bureaux « prime » à Amsterdam (Pays-Bas) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-un-immeuble-de-bureaux-prime-a-amsterda/ La Française Real Estate Partners International (auparavant La Française Forum Real Estate Partners) a acquis auprès de Real I.S. Investment GMBH un immeuble de bureaux durable (Label A) baptisé « Hollandia » et situé sur l’île d’Oosterdokseiland, projet de développement majeur du centre d’Amsterdam, qui est la plus grande ville des Pays-Bas. Conçu par le cabinet d’architecte néerlandais Jo Coenen & Co Architecten et achevé en 2007, l’actif offre une surface utile totale de 9 950 m2 sur 12 étages surplombant l’IJ. Idéalement situé, il se trouve à seulement dix minutes de l’autoroute A10 et à proximité directe de la gare d’Amsterdam-Central.

    Hollandia est intégralement loué à un locataire unique : TomTom International B.V. Dynamique et attrayante, l’île d’OosterDoksEiland (ODE) accueille de nombreuses entreprises, notamment du secteur technologique.

    Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne chez La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « il s’agit de notre première acquisition aux Pays-Bas pour le compte des SCPI de La Française. La position centrale du bâtiment, qui sera renforcée par l’ouverture d’une station de métro en 2018, ainsi que ses volumes flexibles permettront d’attirer et de fidéliser des locataires de qualité. Cette transaction s’intègre parfaitement à notre stratégie axée sur l’investissement dans les quartiers dynamiques des centres-villes. »

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    news-349 Tue, 13 Dec 2016 09:16:59 +0100 Avec près de 2 milliards* d’euros collectés, La Française Global REIM poursuit sa forte croissance en 2016 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avec-pres-de-2-milliards-deuros-collectes-la-francaise-global-reim-poursuit-sa-forte-croissance/ La Française Global REIM s’appuie sur sa plateforme internationale pour collecter près de 2 milliards d’euros en 2016, portant ainsi le total de ses encours immobiliers à plus de 14,5 milliards d’euros. Les investisseurs internationaux, dont un tiers en provenance d’Asie, comptent pour près de 19 % des encours totaux. En l’espace de six ans, les encours sous gestion de La Française Global REIM ont été multipliés par 2,5. 1/ Collecte 2016

    Dans le contexte actuel de taux d’intérêt bas et l’incertitude géopolitique qui s’est instaurée notamment à la suite du BREXIT et des élections présidentielles US, l’immobilier offre une véritable solution de diversification aux investisseurs en recherche de rendement potentiel.

    Conformément à sa stratégie de développement en France et à l’international, La Française Global REIM voit son savoir-faire reconnu en expertise immobilière auprès des institutionnels ; en témoigne la collecte de plus de 1,2 milliard d’euros. 

    En 2016, la clientèle asiatique se distingue et compte pour plus de 25 % de la collecte. En effet, La Française Global REIM est en mesure d’apporter des solutions d’investissements diversifiés, par zone géographique, stratégie (Core/Core +, value added, opportuniste) et thématique (bureaux, commerces, immobilier géré) aux investisseurs désireux d’accéder aux principaux marchés européens sous diverses formes (fonds ouverts, fonds dédiés, mandats et club deals) : 

    • Cette année a été marquée par la pénétration des marchés asiatiques et l’acquisition de nouveaux clients de premier plan. La Française Global REIM, à travers ses filiales La Française Real Estate Partners et La Française Real Estate Partners International, gère aujourd’hui, pour le compte d’investisseurs asiatiques, près d’un milliard d’euros d’actifs immobiliers en Europe (Royaume-Uni, Allemagne et France). Les récentes acquisitions immobilières : Tour So Ouest à Levallois-Perret (92) ou encore le 115 rue Montmartre à Paris (2e arrondissement) illustrent parfaitement cette capacité de sourcer des biens de qualité et d’accompagner les plus grands investisseurs internationaux dans leur recherche d’actifs sur le marché européen.

    • La création de fonds locaux (donc adaptés à une demande locale) ou de fonds européens thématiques dont le sourcing et la gestion des actifs sont confiés aux équipes de La Française Real Estate Partners International basées à Francfort, sont des réponses aux besoins des investisseurs internationaux.

    La Française REM, dans un marché des particuliers très avide de cette classe d’actifs, poursuit sa croissance auprès de cette cible et enregistre une progression de plus de 30% pour atteindre une collecte de près de 800 millions d’euros :

    • Plus de 650 millions d’euros pour sa gamme de SCPI largement renouvelée notamment avec des véhicules au positionnement original qui investissent dans les grands marchés européens pour leur potentiel d’investissement et leur cadre fiscal attractif. 

    • Avec 130 millions d’euros collectés sur les produits en unités de compte, le phénomène amorcé en 2015 se poursuit en 2016. En termes de véhicules, la SCP s’avère toujours très attractive de même que l’OPCI (nous avions lancé l’un des premiers OPCI grand public en 2009), sur lequel nous identifions de réelles opportunités de collecte en format ouvert ou dédié. 

    • 10 millions d’euros pour les produits de diversification viticole, une année record avec 3 produits commercialisés. 

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    *projection basée sur la collecte déjà réalisée au 30/11/2016, chiffres non définitifs.

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    news-347 Mon, 12 Dec 2016 11:56:13 +0100 Bien que prolongé, le programme de la BCE diminue dans sa taille, perturbant les vues des investisseurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/bien-que-prolonge-le-programme-de-la-bce-diminue-dans-sa-taille-perturbant-les-vues-des-investisse/ L’issue du referendum italien a été conforme aux sondages, ce qui en ferait presque une surprise. Comme indiqué à plusieurs reprises, ce résultat était assez largement anticipé par le marché, et son impact a donc été extrêmement faible pour ne pas dire nul. Cela ne veut pas dire que les implications à moyen terme n’existent pas, mais pour le moment, le marché n’est pas focalisé là-dessus.

    La réunion de la Banque centrale européenne constituait le second évènement de la semaine, avec une petite surprise à la clef. Le marché attendait une prolongation de six mois et un montant d’achat inchangé, finalement l’institution européenne a annoncé neuf mois de prolongation et des montants qui baissent de 80 Mds€ à 60 Mds€ à partir de mars. La BCE n’annonce pas non plus d’augmentation des obligations non CAC, mais une possibilité d’acheter en dessous du taux de dépôt. Cela a d’abord été compris comme un signal favorable à une hausse des taux par le marché, entrainant un mouvement vendeur d’obligations, ces dernières sont cependant revenues rapidement. 

    Depuis cette réunion, on observe plusieurs mouvements : 

    • Vendeur périphériques sur les parties longues de courbe Logique dans le sens où les achats en dessous du taux de dépôts protègent les paries courtes de courbe alors que les parties longues souffrent d’achats moins importants (et de la non augmentation des non CAC)
    • Vendeur Euro  Plus surprenante en première lecture, mais cela s’explique sans doute par un ancrage très fort des taux courts euro
    • Acheteur actions euro et bancaires  Logique pour les bancaires, les courbes se pentifiant, moins clair pour les actions euros en général. Ces dernières profitent des dernies bons chiffres d’activité, de la baisse de l’euro, et du fait que certaines incertitudes soient maintenant derrière nous.

    Bref, le marché est acheteur sur les actions, y compris les euro ce qui est nouveau, il demeure « tendu » sur les taux, et plus que jamais vendeur sur le dollar.

    Qu’en pense-t-on ?

    • Toujours la même chose sur les taux : l’inflation nous parait correctement prise en compte dans les valorisations pour la partie américaine et « l’euphorie » de croissance créée par la victoire de Trump nous parait, au minimum, prématurée. Sur la partie euro, nous trouvons en revanche les taux toujours trop chers.
    • Sur les actions, nous trouvons la zone États-Unis toujours chère et les prévisions de croissance des bénéfices devraient être revues à la baisse (+12% attendu en 2017). Là encore l’effet Trump nous parait plus que pris en compte dans les valorisations. Les actions euro quant à elles devraient continuer à bien se comporter si l’euro demeure orienté à la baisse.
    • Enfin, sur les devises, nous avons toujours du mal à partager l’optimisme ambiant sur le dollar… toujours pour les mêmes raisons.

    La semaine prochaine, notre attention sera portée sur la réunion de la Réserve fédérale américaine, avec une incertitude à peu près nulle. Le discours pourrait en revanche avoir un peu d’importance.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-340 Tue, 06 Dec 2016 09:33:33 +0100 L’or noir revient sur ses plus hauts de l’année après un accord inattendu de l’OPEP /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lor-noir-revient-sur-ses-plus-hauts-de-lannee-apres-un-accord-inattendu-de-lopep/ Semaine marquée par l’annonce d’un accord lors de la réunion de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole qui s’est tenue à Vienne.

    L’organisation a annoncé diminuer sa production de 1.2 millions de barils (incluant les pays hors OPEP), ce qui n’était pas du tout anticipé par le marché. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’or noir progresse de +12% en 2 jours et revient sur ses points haut de l’année. Dans un contexte de marchés obligataires stressés, ces derniers sont également impactés avec une nouvelle hausse des taux, de l’ordre de 15bp en 2 jours. Le mouvement est toutefois plus mesuré sur la semaine.

    Les chiffres américains continuent de sortir robustes : indicateurs manufacturiers, révision du produit intérieur brut, taux de chômage… Tous sortent au-dessus des attentes. Les seuls chiffres décevants sont les dépenses de consommation et l’inflation salariale mais sinon, tout est bon. De même en Chine avec des chiffres d’activité de bonne facture.

    Bref, tout cela va toujours dans le sens des dernières semaines : reflation, taux plus hauts, actions américaines et dollar plus hauts, même si les mouvements sur la semaine sont finalement assez limités.

    Les marchés sont restés focalisés sur deux évènements :

    • Referendum constitutionnel italien du 4 décembre où le « Non » est sorti vainqueur, comme attendu par les marchés. 
    • La réunion BCE du 8 décembre : rumeurs de tapering, ajustements techniques, potentiel statu quo… Beaucoup d’incertitudes demeurent. Beaucoup de questions pour une réunion sans doute structurante pour le début d’année 2017. 

    Nous pensons toujours que les marchés vont trop loin dans leur lecture reflationniste et pro croissance, et qu'ils seront déçus par la réalité du début 2017. 

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    news-339 Mon, 05 Dec 2016 16:54:19 +0100 La semaine des marchés vue par François Rimeu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-semaine-des-marches-vue-par-francois-rimeu1/ Semaine marquée par l’annonce d’un accord lors de la réunion de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole qui s’est tenue à Vienne.

    L’organisation a annoncé diminuer sa production de 1.2 millions de barils (incluant les pays hors OPEP), ce qui n’était pas du tout anticipé par le marché. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’or noir progresse de +12% en 2 jours et revient sur ses points haut de l’année. Dans un contexte de marchés obligataires stressés, ces derniers sont également impactés avec une nouvelle hausse des taux, de l’ordre de 15bp en 2 jours. Le mouvement est toutefois plus mesuré sur la semaine.

    Les chiffres américains continuent de sortir robustes : indicateurs manufacturiers, révision du produit intérieur brut, taux de chômage… Tous sortent au-dessus des attentes. Les seuls chiffres décevants sont les dépenses de consommation et l’inflation salariale mais sinon, tout est bon. De même en Chine avec des chiffres d’activité de bonne facture.

    Bref, tout cela va toujours dans le sens des dernières semaines : reflation, taux plus hauts, actions américaines et dollar plus hauts, même si les mouvements sur la semaine sont finalement assez limités.

    Les marchés sont aussi focalisés sur les deux évènements de la semaine prochaine :

    • Referendum italien : La prime de risque Bund / BTP (taux allemand / taux italien) perd plus de 20 bps suite à une rumeur selon laquelle la Banque centrale européenne était prête à intervenir « au cas où ». Le risque nous parait moins asymétrique dans notre sens, et nous avons réduit notre position sur ce thème. Le « non » est attendu, mais un stress majeur de marché n’est pas attendu. Cela devrait donc se passer « correctement », et sans drame.  
    • BCE le 8 décembre : rumeurs de tapering, ajustements techniques, potentiel statu quo… Beaucoup d’incertitudes demeurent. Beaucoup de questions pour une réunion sans doute structurante pour le début d’année 2017. 

    Quelques mouvements dans le portefeuille cette semaine :

    • Réduction de nos positions sur le BTP après la contraction de la prime de risque
    • Réduction du biais acheteur de sensibilité américaine après la réunion de l’OPEP, les chiffres américains n’allant clairement pas dans notre sens
    • Réduction des positions émergentes 

    Nous pensons toujours que les marchés vont trop loin dans leur lecture reflationniste et pro croissance, et qu'ils seront déçus par la réalité du début 2017. Il faut toutefois constater que les derniers évènements ne vont pas le sens de nos positions, surtout en ce qui concerne l’OPEP, ce qui amène des allégements de positions.
     

    Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.  
     
    La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.

    Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.

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    news-335 Fri, 02 Dec 2016 15:42:03 +0100 Regus et La Française Real Estate Managers signent un partenariat pour le développement d’une offre de services commune de bureaux flexibles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/regus-et-la-francaise-real-estate-managers-signent-un-partenariat-pour-le-developpement-dune-offre/ Christophe Burckart, Directeur Général de Regus France, et Thierry Molton, Directeur de l'Asset Management Immobilier d'Entreprise de La Française Real Estate Managers (REM), ont signé ce jour un accord de partenariat qui permettra d’une part à Regus d’accélérer le développement de son réseau en France et d’autre part à la Française REM de proposer à ses utilisateurs une offre complète de bureaux flexibles.

    Les termes de ce partenariat s’articulent autour d’un nouveau mode de coopération entre propriétaire et opérateur permettant à chacune des deux parties de bénéficier de la performance opérationnelle des centres Regus et affirmant ainsi une volonté forte de croître ensemble. Ce partenariat vient aussi répondre à la mutation des usages et des modes de travail plébiscités par les entrepreneurs en quête de solutions flexibles, segment de marché sur lequel La Française REM souhaite jouer un rôle important, au travers du réseau et de l’expertise Regus. 

    Christophe Burckart, Directeur Général de Regus, témoigne : « Ce partenariat unique dans son genre en France accélère encore plus le développement de Regus sur le territoire, pourtant déjà très dynamique avec 80% de croissance de notre présence durant les deux dernières années. Notre ambition d’être présents au plus près des entreprises de toute nature, avec une offre flexible adaptée à leur taille et à leurs besoins, se verra de ce fait facilitée grâce à ce rapprochement avec l’acteur majeur de l’Asset Management en immobilier : La Française REM ».

    Thierry Molton, ‎Directeur de l'Asset Management Immobilier d'Entreprise de La Française REM, se félicite : « Je suis très heureux de la signature de ce partenariat. Il est l’aboutissement d’une réflexion menée par La Française REM sur la flexibilité des immeubles et l’usage des locaux. La Française REM gère l’un des plus grands patrimoines tertiaires répartis sur l’ensemble du territoire français et l’expertise de Regus nous permettra d’offrir des solutions plus flexibles à nos utilisateurs. Cette couverture large du territoire permettra par ailleurs à Regus d’accélérer son développement en France ».

    Dans le cadre de ce partenariat, BNP Paribas Real Estate a joué un rôle de conseil prépondérant dans la mise en place des dispositifs. Guillaume Delattre, Vice-Président de BNP Paribas Real Estate Advisory France, précise : « La capacité des grands investisseurs et Asset Managers à proposer à leurs clients utilisateurs de nouveaux usages et de la flexibilité dans leurs immeubles est devenue essentielle pour mieux les fidéliser ou pour les conquérir. Ce partenariat entre un leader de l’Asset Management français et le leader mondial des centres d’affaires et de coworking s’inscrit parfaitement dans cette logique ».

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    news-334 Fri, 02 Dec 2016 13:43:02 +0100 1 mois = 1 clin d'oeil, novembre 2016 : USA - And the winner is... /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/1-mois-1-clin-doeil-novembre-2016-usa-and-the-winner-is/ Donald Trump serait-il plus efficace que les banquiers centraux ? Si la question paraît provocante, il faut toutefois constater qu’en matière de réveil de l’inflation, le nouveau locataire de la Maison Blanche a fait en un mois ce que les banquiers centraux n’ont pas réussi à faire depuis plusieurs années.

    Relance budgétaire via de lourds investissements dans les infrastructures, coupes dans les dépenses publiques, réductions d’impôts… le nouveau programme de Donald Trump met clairement le cap vers la croissance avec en corollaire un impact évident sur l’évolution des prix.

    La politique devient ainsi plus que jamais un facteur clé dans l’analyse des tendances financières, le Referendum italien de ce week-end ne risque d’ailleurs pas de démentir ce constat.

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    news-332 Thu, 01 Dec 2016 10:20:33 +0100 Marc Bertrand est nommé aux Pierre d'Or 2017 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/marc-bertrand-est-nomme-aux-pierre-dor-2017/ Cette année encore, La Française figure en bonne place dans la liste des nominations aux Pierres d'Or 2017. Marc Bertrand est nommé dans la catégorie Asset/Property Managers.

    Les résultats seront dévoilés lors de la Grande Soirée de Gala des "Pierres d'Or 2017" qui se déroulera le 25 janvier 2017.

    En attendant, vous êtes invités à voter.

    Attention, les votes seront clos le 7 décembre à minuit.

    > Cliquez ici pour voter

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    news-331 Tue, 29 Nov 2016 18:16:21 +0100 La Hausse des taux traversera t'elle l'Atlantique ? Gilles Mainard dans le Club Expert Flexible /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-hausse-des-taux-traversera-telle-latlantique-gilles-mainard-dans-le-club-expert-flexible/ Gilles Mainard, gérant au Pôle Flexible de La Française était dans le dernier Club Expert Flexible de Club Patrimoine et Actusite le 24 novembre dernier. Présenté par Jean-Pierre Corbel et Georges de la Taille, ce Club Expert Flexible avait pour thèmes :
     - La Hausse des taux traversera t'elle l'Atlantique ?
    - Actions, what else ? Mais où ? Us, Europe, Émergents ?
    - Quelle stratégie sans boussole

    Pour répondre à ces questions, Gilles Mainard était entouré de Christian Bito de CBT Gestion et Malik Haddouk de CPR AM.

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    news-330 Tue, 29 Nov 2016 15:20:08 +0100 Pascale Auclair dans Intégrale Placements : Comment expliquer la décollecte sur l'assurance vie ? PMI et progression de l'activité dans la zone euro /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pascale-auclair-dans-integrale-placements-comment-expliquer-la-decollecte-sur-lassurance-vie-pm/ Retrouvez l'intervention de Pascale Auclair dans Intégrale Placements du 25 novembre 2016 Le face à face a opposé Pascale Auclair, Directeur général de La Française AM et Thibault Prebay, Directeur général adjoint de Financière Arbevel qui se sont interrogés sur la question suivante :

    - Comment peut on expliquer la décollecte sur l'assurance vie du mois d'octobre ?

    - PMI et progression de l'activité dans la zone euro.

    Intégrale Placement est présentée par Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur, sur BFM Business

     (Re)découvrez l’intégralité de l'émission :

     

     

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    news-325 Tue, 06 Dec 2016 09:00:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) reconstitue la pleine-propriété d’un immeuble de bureaux Avenue Hoche /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-reconstitue-la-pleine-propriete-dun-immeuble-de-bureaux-ave/ La Française REM a acquis les 5 derniers niveaux d’un immeuble à usage de bureaux, situé au 24, avenue Hoche dans le 8ème arrondissement de Paris, au sein du secteur « QCA Etoile ». Cette acquisition permet à La Française REM de reconstituer la pleine propriété de cet actif pour le compte de la SCPI Sélectinvest 1 qui possédait déjà le RDC et les 5 premiers niveaux.

    L’acquisition porte sur 5 plateaux de bureaux, d’une surface utile totale de 1 256 m², et 4 emplacements de parking en sous-sol, loués à deux locataires dont la société d’exploitation de l’hôtel du Royal Monceau, situé en face de l’immeuble.

    La Française REM était assistée de l’Etude Oudot et Associés.

    > Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse

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    news-323 Tue, 29 Nov 2016 12:14:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un ensemble immobilier à Boulogne-Billancourt pour le compte de plusieurs fonds /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-ensemble-immobilier-a-boulogne-billancourt-pour/ La Française REM a acquis un actif à usage de bureaux auprès de Delta Immo, fonds dédié à la MAIF et géré par Swiss Life REIM (France). L’ensemble immobilier est situé au 50 route de la Reine à Boulogne-Billancourt. Cette commune constitue actuellement le troisième parc d’entreprises francilien après Paris et La Défense.

    L’ensemble immobilier, composé de deux bâtiments, développe une surface utile totale de 6 414 m². Le premier bâtiment, d’une surface utile de 4 655 m² répartis sur sept niveaux, est entièrement loué aux Nouveaux Constructeurs et dispose de 78 emplacements de parking. Le deuxième est loué à la société Esprit de Corp.

    L’ensemble est certifié BREEAM Very Good, HQE conception et exploitation et BBC.

    > Cliquez ici pour retrouver l'intégralité du communiqué de presse

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    news-320 Tue, 22 Nov 2016 09:23:50 +0100 La Française Real Estate Partners International acquiert un actif commercial à Lübeck /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-international-acquiert-un-actif-commercial-a-luebeck/ La Française Real Estate Partners International (anciennement La Française Forum Real Estate Partners) a racheté à TRIUVA Kapitalverwaltungsgesellschaft mbH (TRIUVA) un actif commercial dans la ville hanséatique de Lübeck, au 47-53 Breite Straße, pour le compte de deux SCPI (Europimmo Market et Multimmobilier 2) gérées par la Française.

    Lübeck, située dans le Land de Schleswig-Holstein, dispose du plus grand port de voyageurs d’Europe (ferries) ainsi que d’un réseau de transports publics très efficace.

    Construit dans les années 1950 et entièrement rénové en 2002/2003, l’actif de quatre étages se compose de trois bâtiments adjacents et offre une surface utile de 6 005 m2 à usage commercial, résidentiel et de bureaux. Il est facilement accessible en transports publics et comprend trois locaux commerciaux loués à des entreprises de renom telles que H&M, Hallhuber et Roland Schuhe, qui se partagent plus de 45 mètres de vitrine. Les espaces résidentiels et de bureaux sont situés dans les étages supérieurs. 

    Jens Goettler, Managing Director pour l'Allemagne à La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis le 47-53 Breite Straße, qui constitue notre deuxième investissement à Lübeck. Le taux d’emploi ainsi que le pouvoir d’achat élevés dans la ville sont deux des facteurs qui font de cet emplacement une opportunité attractive pour nos SCPI françaises. »

    La Française Real Estate Partners International était assistée par Hogan Lovells et TA Europe. JLL est intervenu en tant qu’agent. TRIUVA était assistée par JONES DAY (conseil juridique).

    > Cliquez ici pour téléchargez l'intégralité du communiqué de presse

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    news-317 Mon, 21 Nov 2016 15:07:41 +0100 Le dollar continue de progresser face à l’Euro et aux autres devises développées /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-dollar-continue-de-progresser-face-a-leuro-et-aux-autres-devises-developpees/ Après une semaine dernière agitée – doux euphémisme – les investisseurs sont restés focalisés sur les futurs impacts de l’élection américaine.

    Comme parfois, les classes d’actifs ont réagi de manières très différenciées :

    •  Peu de mouvements somme toute sur les marchés actions avec des indices qui consolident le rebond. Le couple rendement/risque nous semble peu attractif, la remontée des taux venant entamer les valorisations relatives des actions.
    •  La forte tension sur les taux américain entamée la semaine dernière post élection (+37bps sur le taux américain à 10 ans) s’est poursuivie cette semaine (+18bps). Le marché a jugé le ton du discours de Janet Yellen plutôt en faveur d’une hausse des taux, ce qui a entretenu le mouvement.
    •  En conséquence, le dollar a fortement monté contre l’ensemble des devises du G10 : +2.5% contre Euro et +3.6% contre Yen.

    Les chiffres macroéconomiques n’ont pas présenté d’intérêt majeur et ne sont de toute façon pas un facteur d’influence du marché en ce moment.

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    news-309 Thu, 17 Nov 2016 10:00:00 +0100 La Française Real Estate Partners renforce son organisation pour accompagner le développement de son activité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-renforce-son-organisation-pour-accompagner-le-developpement-de-son-2/ La Francaise Real Estate Partners renforce son organisation avec l’arrivée de Christophe Fleury en tant que Senior Asset Manager. Christophe Fleury a rejoint La Francaise Real Estate Partners en tant que Senior Asset Manager en charge de la gestion et de la valorisation des actifs immobiliers pour des clients institutionnels français et étrangers.

    Christophe Fleury a plus de 20 ans d’expérience en gestion d’actifs et en investissement immobilier aussi bien en bureaux qu’en commerces. Il a notamment travaillé 8 ans en tant qu'Asset et Acquisition manager chez Bail Investissement puis chez ING Real Estate avant de rejoindre, en 2007, Redevco France en tant que Directeur de portefeuille en charge de la valorisation des actifs.

    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Son expérience significative lui permettra de répondre aux attentes des clients institutionnels en termes de gestion de leurs actifs immobiliers. Son expertise en commerces permettra en outre de développer l’activité de La Française Real Estate Partners dans le secteur du commerce. »

    Christophe est diplômé de l’Institut Supérieur de Gestion.

    > Retrouvez l'intégralité du communiqué de presse en cliquant ici.

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    news-308 Tue, 15 Nov 2016 12:10:16 +0100 Etudiants, La Française à votre rencontre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/etudiants-la-francaise-a-votre-rencontre/ La Française participe à trois forums écoles au mois de novembre. Pour rappel, les forums sont des moments privilégiés où les entreprises et les étudiants se rencontrent et échangent sur les métiers de l’entreprise.

    Les étudiants profitent des forums pour déposer leur CV et pour les entreprises, c’est l’occasion de peut-être rencontrer un futur stagiaire/ alternant/ junior (CDI).  

    Les forums sont également une bonne occasion pour rendre La Française visible auprès des étudiants. Ces forums permettent de nous faire connaitre auprès des jeunes en bac+4/5. 

    17 novembre : Forum école de commerce SKEMA à Lille. 

    Participants : 

    • Manon THIL, Chargée du recrutement
    • Adrien HARDY, Analyste Investissement
    • Lisa DUTOUR, Marketing et Communication 
    • Julia BRUN, Stagiaire RH

    22 novembre : Forum école d’ingénieur ENSAI à Bruz, près de Rennes

    Participants : 

    • Olivier ULMER, Directeur informatique
    • Pierre Harouimi, Ingénieur Financier
    • Manon THIL, Chargée du recrutement
    • Julia Brun, Stagiaire RH

    29 novembre : Forum inter-écoles à La Défense 

    Ecoles présentes : 

    • SKEMA
    • Institut de l’Internet et du Multimédia
    • Ecole sup d’ingénieurs de Léonard de Vinci
    • Ecole de Management Léonard de Vinci

    Participants :

    • Grégory NEULAT 
    • Manon THIL, Chargée du recrutement
    • Julia Brun, Stagiaire RH
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    news-304 Mon, 14 Nov 2016 14:21:23 +0100 L’une des pires semaines de l’histoire récente… /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/lune-des-pires-semaines-de-lhistoire-recente/ Le candidat Trump a été élu et les marchés, évidemment, montent ! Magnifique paradoxe que ce marché qui craint un évènement pendant des semaines pour le saluer quand il se produit…

    La lecture des marchés à la victoire de Trump semble être la suivante : il va faire de la relance budgétaire, couper les dépenses publiques (Obamacare), baisser les impôts et investir dans les infrastructures. Tout cela est bon pour la croissance et même si les déficits peuvent s’en trouver un peu creusés, ce n’est pas un souci. Ce scénario positif pour la croissance l’est aussi pour inflation, expliquant le très fort mouvement des 2 derniers jours. Mouvement que l’on peut également expliquer par le positionnement très prudent des investisseurs avant le vote. 

    Cette analyse du marché ne sera plus nécessairement d’actualité la semaine prochaine et il convient de demeurer très prudents. Les discours protectionnistes pourraient revenir sur le devant de la scène et modifier assez radicalement cette lecture. 

    Probablement encore beaucoup de volatilité à anticiper puisque globalement, personne ne sait à quoi s’attendre…

    Essayons de prendre du recul et regarder les choses de manière objective :

    • Positionnement du marché qui demeure défensif, facteur technique important

    • Pas de réponses aux questions du marché concernant Trump à espérer dans les prochains jours/semaines. Au mieux quelques déclarations, mais rien de précis.

    • Le marché n’aime pas le vide : en l’absence de nouvelles informations, il continue de vivre sa vie en fonction d’autres données : Chiffres macro et micro-économiques etc... C’est ce qui s’était passé il ya quelques mois lors de l’épisode Brexit. 
    • Cette élection risque tout de même de limiter les flux vers certains actifs potentiellement au centre de la « problématique Trump » : Mexique en tête, et plus globalement une partie du monde émergent.

    Nous ne sommes pas inquiet sur les actions tant que les taux ne montent pas de manière trop importante : macroéconomie positive, micro-économie positive également, sous-positionnement des investisseurs. Nous ne pensons pas non plus que les taux puissent continuer leur mouvement haussier très longtemps : la croissance américaine reste orientée à la baisse depuis plusieurs années, et hormis le chiffre de croissance du troisième trimestre, le début d’année était assez calme. Le risque que le marché « overshoot » existe, mais ce n’est pas notre scénario central, surtout étant donné le positionnement déjà vendeur des investisseurs. 

    Enfin, les mouvements sur le dollar nous semblent surprenants. De notre point de vue la politique de Trump devrait être un facteur de baisse pour le dollar, mais ce dernier paye, même contre devises G3. 

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-303 Fri, 16 Sep 2016 14:12:00 +0200 Découvrez la dernière édition des cahiers du comité de prospective /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-la-derniere-edition-des-cahiers-du-comite-de-prospective/ Que dire de l'impact macro-économique de la destruction créative que provoque les révolutions technologiques du numérique ? Les Cahiers du Comité de Prospective se présentent sous la forme d'un Compte rendu du Comité de Prospective. Rédigé par Jacques Ninet, Conseiller pour la recherche du Groupe La Française, ce numéro 4 des Cahiers du Comité de Prospective fait suite à la séance du 8 juin 2016 consacrée à l'Economie numérique.

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    news-302 Tue, 20 Sep 2016 13:54:00 +0200 2 nominations pour La Française aux trophées 2016 du Forum de la Gestion d'Actifs de l'AGEFI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/2-nominations-pour-la-francaise-aux-trophees-2016-du-forum-de-la-gestion-dactifs-de-lagefi/ Pascale Auclair et le Groupe La Française sont nommés à ces trophées, visant à récompenser les acteurs clés du marché. Le Forum de la Gestion d'Actifs, organisé par l'Agefi, a pour but de mettre en valeur les professionnels de la gestion d'actifs en France et de les récompenser par catégorie d'activité.

    A cette occasion, La Française est nommée dans deux catégories :

    • Pascale Auclair, Directeur Général de La Française Asset Management, dans la catégorie "Meilleur directeur de gestion"
    • La Française, dans la catégorie "Meilleure société de gestion"

    Les résultats seront dévoilés lors de la remise des Trophées 2016 du Forum de la Gestion d'Actifs le 6 octobre à 18h.

    > Pour plus d'informations, cliquez ici.

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    news-301 Tue, 04 Oct 2016 12:29:00 +0200 La Française annonce l'arrivée d'un responsable Développement Foncières /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-annonce-larrivee-dun-responsable-developpement-foncieres/ Engagée dans l'accompagnement et le développement du Grands Paris, La Française annonce la nomination de Guillaume Pasquier au poste de Responsable Développement Foncières.

    Fort de plus de 15 ans d’expérience à l’interface des secteurs public et privé, il aura la responsabilité du développement et de la mise en œuvre des projets de foncières au sein du Groupe La Française.

    Âgé de 40 ans, Guillaume Pasquier a obtenu son diplôme d’ingénieur aux Mines de Nancy en 2000, ainsi qu’un Master de Sciences Po Paris en 2004. Il débute sa carrière en tant qu’Analyste systèmes d’information chez Procter&Gamble avant de devenir Attaché Parlementaire du Député Christian Blanc. En 2007, il part aux Etats-Unis et travaille en qualité de Chargé de mission auprès du CEO d’une société de conseils spécialisée dans les questions environnementales. En 2008, il occupe le poste de Conseiller dans le Cabinet de Christian Blanc, Secrétaire d’État au développement de la région capitale. Il participe ainsi à la construction du projet pour le Grand Paris. A partir de 2009, il dirige la mission de préfiguration du futur Etablissement Public Paris-Saclay, dont il devient le premier Directeur général délégué en 2011. En plus de la création de l’établissement, Guillaume a assuré le pilotage d’un des projets d’aménagement emblématiques du Grand Paris.

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    news-300 Fri, 07 Oct 2016 12:19:00 +0200 Xavier Lépine participera au colloque IEIF le 8 novembre 2016 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-participera-au-colloque-ieif-le-8-novembre-2016/ L’IEIF (Institut de l’Epargne Immobilière & Foncière), lieu privilégié d’échanges et de réflexions pour les professionnels de l’immobilier et de l’investissement organise un colloque ayant pour thème « Les nouvelles frontières de l’immobilier ».

    A cette occasion, Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française interviendra à la table ronde : « Grand Paris : vers une mégapole du futur. Premières réalisations et nouvelles ambitions ».

    Il sera aux côtés de François Bertière, Président de Bouygues Immobilier, Olivier Wigniolle, Directeur Général d’Icade ; FRICS et Philippe Yvin, Président du Directoire de la Société du Grand Paris.

    Le colloque IEIF – Les nouvelles frontières de l’immobilier : nouvelles stratégies, nouveaux actifs, nouveaux territoires

    Le 8 novembre 2016 8h30 – 17h30

    Fédération Nationale du Crédit Agricole

    48 rue La Boétie – 75008 Paris

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    news-299 Tue, 11 Oct 2016 12:06:00 +0200 Moniwan première Fintech de distribution digitale de SCPI dédiée aux investisseurs particuliers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/moniwan-premiere-fintech-de-distribution-digitale-de-scpi-dediee-aux-investisseurs-particuliers/ Après huit mois d'incubation au sein du Groupe La Française, Moniwan est aujourd'hui lancée.

    Première plateforme de distribution digitale de solutions d’investissement et 100% orientée « expérience client », Moniwan permet aux particuliers d’investir en direct en immobilier collectif, au travers de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) dans un premier temps, et prochainement sur d’autres solutions d’épargne.

    Au premier semestre 2016, la pierre papier affiche un nouveau record historique, représentant l’un des placements financiers privilégiés des français pour gérer leur épargne et préparer leur retraite. 

     

    Pour répondre à cette demande, Moniwan permet à tous les particuliers d’investir en direct dans les SCPI. Accessible dès 200€, la plateforme démocratise l’investissement en immobilier collectif en accompagnant les investisseurs tout au long de leur démarche. Son approche 100% digitale répond à leur volonté de prendre en mains leur décision d’épargne, en adéquation avec la tendance sociétale du « DIY » (Do It Yourself).

    Un service unique et novateur

    Moniwan suit étape par étape chaque investisseur : la définition de son projet de vie, la simulation de son projet d'investissement et sa réalisation via la souscription en direct.

    N'hésitez pas à relayer sur les réseaux sociaux !

    Facebook : https://www.facebook.com/MoniwanFr

    Twitter : https://twitter.com/Moniwan_FR

    Linkedin : https://www.linkedin.com/company/moniwan

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    news-298 Wed, 12 Oct 2016 11:43:00 +0200 Retour sur la 20ème édition du trophée de la gestion du patrimoine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retour-sur-la-20eme-edition-du-trophee-de-la-gestion-du-patrimoine/ La cérémonie de la 20ème édition du Trophée de la Gestion de Patrimoine s’est déroulée le 11 octobre 2016 dans les locaux de La Française. Créé en 1996, le Trophée de la Gestion de Patrimoine est la première manifestation qui récompense les meilleurs conseillers et gestionnaires de patrimoine, en réseau ou indépendants. Ce concours national s'appuie sur un jury de professionnels reconnus.Cedric Decoeur de BFM Business a animé la cérémonie en présence de Thierry Sevoumians (Directeur Général de La Française AM Finance Services) et Jérôme Barré (Président du jury). Olivier Rozenfeld de FIDROIT est également intervenu sur le thème « Digitalisation : défi ou opportunité ? » Voici le palmarès de la 20ème édition :

    • Eugenia Bastos Gomes d’Experts en Patrimoine – Catégorie Espoirs
    • Eric Jacquot d’UFF – Catégorie Professions indépendantes
    • Yvan Viallon de VYP Finance – Catégorie Banques – Assurances - Etablissements financiers

    L’édition 2016 était organisée par La Française avec le soutien de Franklin, Gestion de Fortune, Harvest, Morningstar, H24 Finance, Club Patrimoine et BFM Business.Toute l’équipe du Trophée adresse ses félicitations aux gagnants et vous donne rendez-vous l’année prochaine pour la 21ème édition !

    > Découvrez ci-dessous le live tweet de l'intervention d'Olivier Rozenfeld

    "Les FinTechs : des laboratoires pour les établissements bancaires" @ORozenfeld au #TropheeGestionPatrimoine pic.twitter.com/6KCAkkQK57

    — La Française (@FrancaiseGroup) 11 octobre 2016

    "Le #digital remet le client au cœur du dispositif" @ORozenfeld #TropheeGestionPatrimoine

    — La Française (@FrancaiseGroup) 11 octobre 2016

    "Changement de paradigme qui va obliger à la création de valeur autre que la performance financière" @ORozenfeld #TropheeGestionPatrimoine

    — La Française (@FrancaiseGroup) 11 octobre 2016

    "Les professionnels doivent s'emparer du chantier #numerique où les #fintechs ne seront qu'un ingrédient des services du #CGP" @ORozenfeld

    — La Française (@FrancaiseGroup) 11 octobre 2016

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    news-293 Tue, 23 Feb 2016 17:23:00 +0100 Ça craque ! Où sont les points de repères ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/ca-craque-ou-sont-les-points-de-reperes/ L’année dernière pratiquement jour pour jour j’écrivais "Ça va péter" où j’évoquais les fortes probabilités d’occurrence d’une crise liée à la combinaison de multiples facteurs : de la mondialisation à la disruption, du surendettement des Etats à l’inégalité de la répartition des richesses, de la montée des risques géo-politiques aux risques écologiques. Les marchés sont généralement mono-maniaques mais depuis le début de l’année, c’est bien un sentiment de craquage généralisé auquel nous assistons.

    Nous assistons de fait à une dégradation de l’environnement sur la quasi-totalité des points macro-économiques et politiques, et observons concomitamment une anticipation de l’érosion de la profitabilité des entreprises, les chefs d’entreprises annonçant des perspectives modestes pour 2016. Stratégie de communication ou réalisme…

    La perte de confiance dans les Banques Centrales : plus de la moitié des pays occidentaux ont des taux à moyen terme négatifs. De fait, ce ne sont plus des taux de marché mais des taux longs "administrés" par les Banques Centrales pour assurer la soutenabilité de la dette accumulée depuis 30 ans. La conséquence est connue, il n’y a plus de rémunération ni du risque ni du temps et de fait, ayant perdu largement les repères de valorisation, les marchés oscillent entre l’espoir et la peur d’une nouvelle action de la BCE ; la nouvelle perception de l’action des Banques Centrales, pompiers ultimes du système, indique aussi à quel point le système est aujourd’hui sous l’effet de soins palliatifs qui font migrer son fonctionnement du rationnel à l’irrationnel.

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    news-292 Mon, 12 Sep 2016 17:15:00 +0200 Le commerce de centre-ville : une valeur sûre dans un environnement en profonde mutation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-commerce-de-centre-ville-une-valeur-sure-dans-un-environnement-en-profonde-mutation/ 2015 s’était ouverte sur l’espoir d’un bonus de croissance permis par la baisse du prix des matières premières. Elle se clôture dans l’incertitude et la nervosité, largement provoquées par un réel effondrement du prix du pétrole et des matières premières (-35 % sur l’année pour le Brent et -25 % sur l’indice CRB…), conjuguées à la résurgence des inquiétudes sur la Chine et le ralentissement de l’économie mondiale.

    Les marchés affrontent en ce début d’année des perspectives bien ternes, avec des banques centrales toujours aux commandes mais dont les politiques monétaires sont devenues divergentes de part et d’autre de l’Atlantique. Ce phénomène accroit le stress ambiant. En termes macro-économiques, l’infléchissement de la croissance mondiale se confirme. La zone euro, quant à elle, devrait connaître une croissance plus porteuse, d’autant qu’elle bénéficie toujours de la stimulation monétaire et de la hausse de la parité USD/EUR. 

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    news-291 Tue, 15 Mar 2016 17:11:00 +0100 De l'impact de la défense publique sur la productivité... du secteur privé ! ... aux enjeux du Grand Paris /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-limpact-de-la-defense-publique-sur-la-productivite-du-secteur-prive-aux-enjeux-du-grand/ 57 % de dépense publique rapportés au Produit Intérieur Brut (PIB) (contre 44 % en 1978)… Combien de fois avons-nous entendu ce ratio synonyme d’une fonction publique responsable de tous les maux de la France, à commencer par le chômage. Dans ma lettre du 9 juillet 2012 “Dépenses publiques, dette et croissance…”*, j’analysais les liens entre les dépenses publiques, la dette et la croissance sur longue période, i.e. depuis le dernier excédent budgétaire de 1974 et, pour faire simple, les conclusions** étaient :

    • Le taux de croissance de la dépense publique, déflaté de l’inflation, sur les 40 dernières années était de 2,4 % alors que le taux de croissance du PIB n’était que de 1,7 % ;
    • Le financement de cet accroissement s’est fait par le déficit public et donc la croissance de la dette qui a augmenté de 6 % en moyenne annuelle sur la période ;
    • Le nombre de fonctionnaires par habitant est passé de 7,2 % à 8,3 %, ce qui, ramené à la population active, a fait passer le pourcentage de fonctionnaires de 17,8 % à 20,6 % ;
    • Une analyse plus fine de la nature des dépenses publiques fait ressortir que les prestations sociales et les intérêts de la dette sont les principales explications de ces dérives : +2,75 % par an de prestations sociales pour 1,7 % de croissance du PIB et + 6 % par an pour les intérêts de la dette.
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    news-288 Mon, 27 Jun 2016 16:55:00 +0200 L'Europe ou la pulsion de vie : appels aux européens /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/leurope-ou-la-pulsion-de-vie-appels-aux-europeens/ Si l’Europe est le supplément d’âme de l’humanité, la désunion voilà la faiblesse ontologique de l’humanité ! 1886 – Nietzsche : "La folie des nationalités explique pourquoi les peuples européens sont devenus de plus en plus étrangers les uns aux autres, et cette pathologique ignorance réciproque dure encore aujourd’hui ; elle a porté au pinacle des politiciens à la vue courte et à la main leste, qui ne se doutent même pas que leur politique de désunion ne peut être nécessairement qu’un intermède… On feint de ne pas voir… Les signes qui annoncent avec le plus d’évidence que l’Europe peut s’unifier."

    Nietzsche, "Par-delà le bien et le mal" (1886)

    > Retrouvez l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine en cliquant ici

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    news-287 Tue, 31 May 2016 16:02:00 +0200 De l'évolution de la Pierre-Papier sur les 30 prochaines années… /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/de-levolution-de-la-pierre-papier-sur-les-30-prochaines-annees/ Créée, il y a à peine 55 ans, la Pierre-Papier n’a pas encore atteint l’âge de la maturité. N’oublions pas la règle d’or, jeunisme oblige, la maturité est égale à la racine carrée de l’âge multipliée par 10, soit dans quelques 25 ans pour la Pierre-Papier ! Cette maturité pour la Pierre-Papier se présente sous les meilleurs auspices quelque soit l’angle sous lequel on l’aborde.

    Sur le plan économique, l’urbanisation croissante associée au vieillissement de la population en occident et aux progrès technologiques (« smart grid », véhicules 100 % électrique sans conducteur, etc.) se traduira par une forte croissance des actifs immobiliers.

    Parallèlement, les taux d’intérêts auront été maintenus à des niveaux très bas sous le poids conjugué de multiples facteurs. Bien évidemment la dette accumulée par les Etats les aura incités à rendre le service de la dette supportable alors même que la globalisation et surtout les nouveaux modèles économiques (économie de la connaissance, digitalisation, économie circulaire…) auront consacré l’avènement de l’essence même du capitalisme : produire plus pour moins cher ; l’information sera le bien le plus échangé et son coût marginal de production est faible et décroissant.

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    news-286 Thu, 30 Jun 2016 15:50:00 +0200 Amsterdam : un marché des bureaux de plus en plus attractif /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/amsterdam-un-marche-des-bureaux-de-plus-en-plus-attractif/ 6e puissance économique européenne et 5ème exportateur mondial de marchandises, les Pays-Bas ont connu une croissance économique très dynamique de 1,9 % en 2015, supérieure à celle de l’Allemagne. La progression du PIB a été portée par la demande intérieure et des exportations en nette augmentation. La zone portuaire de Rotterdam a généré une activité intense. Le taux de chômage s’est encore réduit, en particulier chez les jeunes, et se situe à 6,6 %, très en deçà de la moyenne européenne (9,1 %). Au 1er trimestre, la croissance a atteint 0,5 % et devrait s’établir à 2,4 % en 2016 selon les prévisions publiées par le Bureau pour l’analyse de la politique économique (CPB) en août dernier. Plus globalement, les prévisions macro-économiques et démographiques s’avèrent systématiquement supérieures à celles des autres pays de la zone euro.

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    news-278 Wed, 09 Nov 2016 13:05:42 +0100 Présidentielle US : qu'avons-nous mis en place ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/presidentielle-us-quavons-nous-mis-en-place/ À l’approche de cette élection, nous avions étudié les différents scénarii et réalisés des stress-tests afin d’adapter nos portefeuilles dans une approche de pilotage du risque. Nous avions fait l’hypothèse qu’une élection d’Hillary Clinton ne provoquerait pas d’onde de choc, tandis que l’élection de Donald Trump se traduirait à court terme par une phase de défiance sur les actifs risqués américains. Nous avions alors testé la résilience de nos portefeuilles à une victoire de D. Trump. Cet exercice théorique de « stress test » nous a semblé plus que nécessaire à la veille de ce scrutin important.

    Le comportement de nos portefeuilles a été analysé dans divers scénarii de fort regain d’aversion au risque en retenant principalement deux d’entre eux :

    • Le premier intègre les chocs suivants :
      • S&P500 : -10% : choc sur les actions américaines et autres zones par ricochet
      • USD/EUR : -5% : choc sur le dollar
      • MXN/USD : -20% : choc sur les devises émergentes telles que le Peso mexicain
      • Taux US 10 ans : +25bp : remontée des taux américains, avec la Réserve fédérale en embuscade
      • Taux mexicains 10 ans : +75bp : remontée des taux émergents
      • Prime de risque dette privée USD : +15bp à +50bp selon les notations : dégradation du marché de la dette d’entreprises
      • Corrélations long terme : diffusion de l’impact de ces chocs extrêmes aux autres places financières dans les proportions enregistrées sur longue période
    • Le second reprend les mêmes chocs sur les actifs risqués américains, mais fait l’hypothèse d’un mouvement de « flight to quality » à court terme sur les taux gouvernementaux (-25bp) et prend en compte une matrice des corrélations sur une période plus courte et plus récente. Il est par nature un peu moins impactant sur les portefeuilles multi-classes d’actifs et nous semble plus probable.

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    news-277 Mon, 07 Nov 2016 18:17:00 +0100 À quelques jours de l’échéance, les résultats des sondages restent très volatils et stressent les investisseurs /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-quelques-jours-de-lecheance-les-resultats-des-sondages-restent-tres-volatils-et-stressent-les-in/ Globalement, les chiffres macroéconomiques sont bons sur la semaine : indicateurs manufacturiers globalement en ligne aux États-Unis, bien orientés en Chine, de même en Europe, chômage en ligne aussi aux États-Unis avec une inflation salariale qui augmente et une croissance qui sort au-dessus des attentes.

    Côté microéconomie, la saison des résultats se poursuit sur une tendance similaire : c’est positif, et largement au-dessus des attentes.

    Mais le sujet n’est pas là : le marché ne bouge qu’en fonction des sondages sur les élections américaines. Trump remonte dans les sondages, la probabilité de le voir gagner est passée (si on en croit les instituts de sondage) de 13% fin octobre à 33% aujourd’hui, et les marchés stressent : baisse des actions, baisse du dollar vs devises G3, augmentation des primes de risques périphériques, etc… ce n’est pas encore très violent, mais c’est une lente baisse avec chose extrêmement rare : 8 séances consécutives de baisse pour le S&P 500.

    Comme à l’approche du Brexit ou tout évènement politique, il est selon nous important de prendre du recul et d’analyser les choses froidement :

    • Les marchés ne savent pas évaluer le risque politique,
    • Lors d’évènements binaires attendus, les ajustements se font extrêmement rapidement,
    • La réaction des marchés lors des 2-3 premiers jours n’est pas toujours cohérente au regard de ce qu’il se passe lors des semaines qui suivent,
    • Et enfin, il faut prendre en compte la structure du marché au moment où l’évènement a lieu.

    Donc, qu'est-ce que cela nous dit ?

    1/ Tout d’abord que le marché est aujourd’hui très peu acheteur de risque. L’élection américaine est dans la tête des investisseurs depuis longtemps et ils ont tous en mémoire le choc du Brexit. Tout le monde s’est donc préparé, avec des positionnements prudents sur les actions etc… 

    2/ Ensuite que la toile de fonds macro et microéconomique est en amélioration, facteurs à priori favorable aux actifs risqués

    3/ Que les marchés vont certainement baisser fortement si Trump est élu. Parce que les marchés sont comme ça, les prévisions deviennent auto-réalisatrices, et que cela sera constituera sans doute des points d’achat très attractif.

    Donc le but est d’arriver sur l’évènement avec un portefeuille suffisamment allégé pour pouvoir profiter de niveaux de marchés très dégradés en cas de victoire de Trump, mais avec tout de même un peu de risque, la prise est de risque étant déjà aujourd’hui bien rémunérée.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-276 Mon, 24 Oct 2016 17:14:00 +0200 Un point d'inflexion ? Stratégie d'investissement, digitalisation et démocratie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-point-dinflexion-strategie-dinvestissement-digitalisation-et-democratie/ Si l’origine du capitalisme fut un capitalisme de conquête, c’est-à-dire détenu par des créateurs d’entreprises devenus pour quelques-uns des empires mondiaux, 90 % des investisseurs sont aujourd’hui orientés vers le paiement de prestations futures : [...] [...] le capitalisme de retraite où les entreprises sont détenues majoritairement par les fonds de pension et les compagnies d’assurances pour le compte des assurés.

    De même la quasi-totalité des opérateurs sur les marchés de capitaux le sont pour compte de tiers, y compris les banques pour compte propre car somme toute ce sont bien des salariés qui interviennent sur les marchés.

    Il résulte de cette situation que les CEO des sociétés cotées, ainsi d’ailleurs que ceux des établissements financiers et d’assurance soumis à des régulations et des reportings de plus en plus pointilleux, ont les yeux rivés sur les résultats trimestriels de leur entité car leur mandat est clair : être en capacité de payer des prestations futures et/ou de rester solvable. Il ne s’agit pas uniquement de la pression court-termiste des résultats futurs mais également de la prise de risque qui par construction se doit globalement d’être limitée.

    Sur la période 1990-2007, l’intégration des pays en voie de développement et de la Russie dans le monde capitaliste a créé les conditions d’une croissance mondiale forte et globalement déflationniste via les délocalisations, puis par les gains de productivité induits de la technologie. L’alpha et l’omega : il est plus aisé de se partager un gâteau qui grossit !

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    news-247 Mon, 31 Oct 2016 14:56:00 +0100 Croissance américaine au troisième trimestre /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/croissance-americaine-au-troisieme-trimestre/ Une croissance robuste au trimestre trois pour les Etats-Unis, aidée par une forte contribution des exportations.

    Une semaine chargée qui se termine par un chiffre attendu par le marché tout entier : la croissance américaine du troisième trimestre.

    Revenons tout d’abord sur le début de semaine, marqué par la poursuite du mouvement vendeur obligataire, provoqué au départ par un chiffre de croissance britannique meilleur qu’attendu. Ce mouvement a été ensuite entretenu par les commentaires du Président de la Banque centrale européenne (BCE) qui déclare que des taux négatifs pendant une période trop prolongée ne sont pas souhaitables. Au total les taux se tendent d’environ 15-20cts sur la semaine et presque 30cts depuis le début du mois d’octobre.

    Les publications économiques de la semaine ont été de bonne facture : indicateur PMI euro bien orienté et PMI américain en accélération, permettant une croissance à 2.9% aux États-Unis vs 2.6% attendu. La décomposition de ce chiffre est de plus plutôt rassurante même si la contribution de la consommation décélère. Ces chiffres ont évidemment eux aussi contribué à entretenir le mouvement de correction obligataire.

    Les résultats des sociétés américaines continuent également de tomber, jusqu’ici cela reste une bonne saison :

    • 275 annonces sur 500 pour le S&P 500, indice des plus grosses capitalisations américaines.
    • 75% au-dessus, 6% en ligne et 19% en dessous : mieux que d’habitude.
    • Croissance d’une année sur l’autre : +3% contre environ -1% attendu avant la saison.

    La question que tout le monde se pose maintenant est la suivante : où s’arrête cette correction obligataire ? Nous la pensons probablement proche de la fin, au moins pour les prochaines semaines :

    • Le mouvement a été très violent, entretenu par le deleveraging des modèles systématiques. Les marchés sont maintenant clairement survendus, et notre biais contrariant nous pousse à aimer ce type de positions
    • Les investisseurs ne sont pas long d’actifs obligataires de pays développés. Ils sont très long de dette d’entreprises, mais ont fait grossir leur positions cash relativement à leurs positions sur les govies
    • Nous ne croyons pas à un tapering de la BCE et nous pensons que la BCE va poursuivre son programme de rachat d’actifs. Oui l’inflation va augmenter via les effets de base dans les mois qui viennent, mais redescendre ensuite et en demeurant inférieur à l’objectif de la BCE.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-246 Tue, 25 Oct 2016 14:53:00 +0200 Le marché anticipe aujourd'hui très nettement la défaite de D. Trump /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-marche-anticipe-aujourdhui-tres-nettement-la-defaite-de-d-trump/ Mais de quoi peut bien discuter la Banque Centrale Européenne lors de ses conseils ?
    • Journaliste : « Avec vous discuté de la prolongation du programme de rachat d’actifs ? »
    • M. Draghi : « Non »
    • Résultat : les taux montent, l’euro monte, les actions baissent
    • Cinq minutes plus tard, une autre question :
    • Journaliste : « Avec vous discuté d’une potentielle diminution du programme ? »
    • M. Draghi : « Non »

    Résultat : les taux rebaissent, l’euro baisse, les actions remontent

    On a donc absolument rien appris de la BCE cette semaine, et toutes les questions sont repoussées à décembre…

    Pendant ce temps, les publications de résultats s’accélèrent ; pour le moment, les résultats sont bons et en agrégé 2%, au-dessus des attentes (principalement sur les valeurs bancaires). Cela a permis aux marchés de monter légèrement sur la semaine, sans excès.

    Pas énormément de chiffres macroéconomiques cette semaine. Indice américain des prix à la consommation en ligne, avec des effets de base qui commencent à se faire sentir ; cela devrait continuer et dépasser 2% en fin d’année. En ligne aussi en zone euro, mais sur un niveau bien plus bas. Stock de pétrole en baisse mais cours stable sur la semaine. Vente aux détails en ligne aux États-Unis. Bref, rien qui ne vienne fondamentalement changer la donne.

    Pas grand-chose non plus la semaine prochaine, mis à part les indices manufacturiers de la zone euro. Le marché est toujours focalisé sur l’élection présidentielle américaine du 8 novembre, la poursuite des résultats des sociétés et toujours la Réserve fédérale américaine en ligne de mire pour décembre.

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    news-245 Mon, 17 Oct 2016 14:50:00 +0200 66% de probabilité de hausse du taux FED en décembre, en nette hausse par rapport au mois précédent (52% en septembre) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/66-de-probabilite-de-hausse-du-taux-fed-en-decembre-en-nette-hausse-par-rapport-au-mois-precedent/ Les deux semaines précédentes avaient été assez chargée en actualités, c’est beaucoup moins le cas cette semaine.

    Les taux ont toujours tendance à monter mais les mouvements sont finalement assez limités sur la semaine, à l’exception du taux britannique (Gilt). Les actions ne bougent pas non plus et restent cantonnées dans un canal assez étroit. Les devises bougent « un peu » plus, sans que cela soit très violent.

    Que retenir de cette semaine ?

    • Le pétrole continue à se tendre gentiment
    • La pression sur Deutsche Bank diminue
    • La saison des résultats a commencé aux États-Unis avec Alcoa, très décevant, mais surtout avec les premières banques américaines vendredi, toutes au-dessus des attentes. Nous allons sans doute avoir, comme d’habitude, une saison de résultats supérieurs aux attentes (les prévisions ayant été revues à la baisse lors des semaines précédentes) ce qui devrait soutenir le marché actions dans les 15 jours qui viennent
    • « Rien à signaler » dans les minutes de la Fed, elles confirment la division du FOMC et leur volonté de monter les taux en décembre sauf catastrophe, mais c’est déjà ce qui est anticipé par le marché (probabilité : 66%)
    • Le dollar monte, contre à peu près toutes les autres devises, ce qui n’est pas très positif pour les marchés émergents sur la semaine
    • Trump continue de baisser dans les sondages

    Cette semaine, nous avons la BCE jeudi. Le marché n’attend pas grand-chose mais espère quelques indications sur ce que la BCE pourrait annoncer en décembre. Il n’y a pas de notre point de vue de gros potentiel de déception et nous pourrions assister à une clarification quant au message de potentiel « tapering » (réduction du programme d’achats d’actifs) qui avait perturbé le marché il y a 2 semaines. Cela devrait donc être plutôt accommodant de notre point de vue.

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    news-244 Mon, 10 Oct 2016 13:57:00 +0200 À ce stade, la cause de ce mouvement reste nébuleuse ; une chose est sûre : le marché croit de plus en plus à la thèse du hard Brexit /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/a-ce-stade-la-cause-de-ce-mouvement-reste-nebuleuse-une-chose-est-sure-le-marche-croit-de-plus/ Semaine « un peu » mouvementée sur les marchés, voire très mouvementée si on est investisseur britannique.

    Mardi, une nouvelle a en effet « légèrement » surpris le marché, une « source » de la BCE laissant fuiter que le « tapering » (réduction du programme d’achat ndlr) de la BCE se ferait en réduisant le rythme d’achat de 10 mds€ / mois. « Tapering ??? Quel tapering ??? » Voilà ce qu’ont dû se dire tous les intervenants devant leur écran quand la nouvelle est tombée. Cette rumeur a depuis été démentie, expliquée, et tout cela est sans doute orchestré par la BCE pour préparer le marché et juger de sa réaction, mais ça a tout de même donné lieu à un peu de volatilité et à une tendance pour la semaine, en tout cas en ce qui concerne les marchés obligataires.

    Le lendemain, chiffre d’ISM Non-Manufacturier TRES fort aux États-Unis, après un chiffre d’ISM Manufacturier très correct en début de semaine. Cela efface complètement les mauvais chiffres du mois précédent qui avaient pesé lourd dans le choix de la Fed de ne pas monter les taux. 

    Concomitamment à cela, commentaires d’un des lieutenants de Carney à la Banque d’Angleterre (BoE) qui laisse entendre que oui, peut-être que la BoE s’est trompée sur ses prévisions économiques au Royaume-Uni post-Brexit, et que la situation est meilleure qu’attendue. C’est le type de nouvelle que nous attendions pour que nos positions vendeuses d’emprunt d’État britannique délivrent.

    Enfin, vendredi, énorme mouvement sur la livre sterling, qui le matin perdait -6% pour remonter ensuite de +4%. La cause de ce mouvement est pour le moment nébuleuse (options à barrière qui tapent leurs strikes dans un marché avec peu de volume…) mais il n’empêche que le marché est aujourd’hui en train d’appuyer globalement sur le Royaume-Uni :

    • Le déficit courant est énorme
    • L’impact sur l’économie après les déclarations de T. May (Hard Brexit) devrait être important
    • Donc on appuie sur la devise, ça fait augmenter les perspectives d’inflation, avec impact négatif sur les taux
    • Et in fine, cela forcera peut être la banque centrale à réviser sa position accommodante pour protéger sa devise et lutter contre une inflation non désirée

    Bon, ça, c’est le scénario de la semaine, qui peut s’inverser si d’un seul coup T. May et A. Merkel deviennent les meilleures amies du monde, mais c’est compliqué à imaginer à court-terme.

    Enfin, nous avons eu les chiffres de l’emploi non-agricole aux États-Unis vendredi, qui sont globalement en ligne et qui confirment une hausse de taux probable de la Fed en décembre.

    Pas mal de mouvements dans le fonds cette semaine : 

    • Augmentation des positions de spread long bancaires vs. EuroStoxx en début de semaine, et prise de profits vendredi après une assez forte surperformance des bancaires
    • Réduction des positions vendeuses de sensibilité, principalement sur la dette britannique mais aussi un peu sur les emprunts d’États allemands. Le fonds reste vendeur de sensibilité Core mais n’est plus vendeur au global. Nous allons essayer cette fois-ci de ne pas rendre intégralement nos profits au prochain retour des taux…
    • Achat de Yen vs USD après que celui-ci ait regagné 3%
    • Augmentation des positons de spread long 30 ans États-Unis vs 30 ans allemand

    À noter que la présence de spreads dans le portefeuille créé une volatilité factice dans le fonds, les positions EUR et USD ne clôturant pas à la même heure. Quand il y a de la volatilité sur les taux, cet effet peut être significatif sur une journée.

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    news-243 Mon, 10 Oct 2016 13:55:00 +0200 Double podium pour La Française aux Trophées 2016 du Forum de la Gestion d’Actifs de l’Agefi /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/double-podium-pour-la-francaise-aux-trophees-2016-du-forum-de-la-gestion-dactifs-de-lagefi/ Pascale Auclair et le Groupe La Française ont fini sur le podium de leurs catégories respectives.

    Le Forum de la Gestion d’Actifs, organisé par L’Agefi, a pour but de mettre en valeur les professionnels de la gestion d’actifs en France et de les récompenser par catégorie d’activité.

    A cette occasion, Pascale Auclair arrive second « Meilleur directeur de gestion » et le Groupe La Française se classe en tant que 3ème « meilleure société de gestion ».

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    news-237 Mon, 03 Oct 2016 12:23:00 +0200 Patrimonia 2016 : Arthur David-Boyet sur la Gestion Premia pour Club Patrimoine TV /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/patrimonia-2016-arthur-david-boyet-sur-la-gestion-premia-pour-club-patrimoine-tv/ A l’occasion de la 23ème édition de Patrimonia, Arthur David-Boyet, Responsable Offre Partenaires chez La Française Global Investment Solution, a répondu aux questions de Jean-Pierre Corbel pour Club Patrimoine TV sur la gestion Premia.

    Arthur David-Boyet explique comment fonctionne la gestion diversifiée – décorélée et ses stratégies d’investissements.

    Emission du 30 septembre 2016, présentée par Jean-Pierre Corbel sur Club Patrimoine TV

    Retrouvez la participation d’Arthur David-Boyet sur Club Patrimoine TV ci-dessous :

     

    Avertissement :

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    news-234 Mon, 03 Oct 2016 11:56:00 +0200 Fort rebond suite à un accord préliminaire de baisse de la production de l’OPEP… affaire à suivre ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/fort-rebond-suite-a-un-accord-preliminaire-de-baisse-de-la-production-de-lopep-affaire-a-suivre/ Semaine chargée ! La semaine a été marquée par la pression grandissante que les marchés financiers mettent sur la Deutsche Bank (importante banque allemande).

    Sous pression depuis de nombreux mois, « L’affaire DB » a connu de nouveaux épisodes depuis une dizaine de jours :

     

    • Annonce d’une amende de 14 Mds$ par les autorités américaines entrainant une baisse violente du titre et toutes les conséquences qui vont avec (secteur bancaire en baisse, taux qui payent, etc…)
    • La direction de la Deutsche Bank annonce ensuite que cette amende sera largement réduite faisant rebondir du titre (et, encore une fois, tout ce qui va avec)
    • Et jeudi soir, nouvel épisode avec un groupe de très gros Hedges Funds qui ont annoncé avoir arrêté toute activité avec la Deutsche Bank

    Le marché semble se reprendre un peu en fin de journée (grâce à l’amende qui serait de nouveau rabaissée…), mais nul doute que l’on assiste à de nouveaux épisodes dans les semaines qui viennent.

    La banque respecte pourtant tous les ratios règlementaires et dispose de cash mobilisable de manière significative, alors d’où vient le problème ?

    Le problème vient de la trop faible capitalisation de la banque, environ 14 Mds€ aujourd’hui, et du climat de défiance actuel qui ne leur permet pas de faire appel au marché obligataire pour se refinancer. Donc au moindre problème, le marché anticipe une augmentation de capital et une dilution des actionnaires, ce qui provoque l’effondrement des cours, et rend la recapitalisation encore plus difficile, le prix n’arrêtant pas de chuter. In fine, la problématique, c’est évidemment la confiance : tant que « le marché » estime que la Deutsche Bank est suffisamment solide pour passer cet épisode, tout finira par s’arranger. En revanche, si les autres acteurs financiers commencent à douter de la future existence de la banque, cela peut aller très vite.

    Enfin, cette histoire présente également un aspect politique. En effet, cela fait plusieurs mois que les allemands se battent pour que les pays européens, Italie en tête, arrêtent de soutenir leur secteur bancaire avec de l’argent public, ce qui avait créé des tensions importantes entre les dirigeants des pays cet été. Il leur est donc très difficile pour eux de soutenir publiquement la Deutsche Bank.

    Autre point d’importance, la réunion de l’OPEP aurait (notez l’utilisation du conditionnel) abouti à un consensus sur une réduction de la production en novembre la réduisant à 500K baril par jour. Reste à voir si cela se met réellement en place mais pour le moment, le pétrole paye et retourne proche des points hauts à 48-49$ le baril.

    Et enfin, cette semaine a eu lieu le premier débat entre D. Trump et H. Clinton. Comme d’habitude, les marchés ont beaucoup de mal à évaluer les évènements politiques mais cela donne toujours lieu a un peu de volatilité. Clinton est finalement jugée gagnante, 

    Mis à part cela, les chiffres publiés sont corrects:

    • Zone Euro : très bon indicateur du climat des affaires et inflation en ligne, sans accélération
    • États-Unis : décevant sur l’immobilier, en ligne sur les commandes bien durables en prenant les chiffres révisés en compte, la confiance consommateur demeure très bonne, tout comme les indicateurs Chicago PMI et le Michigan.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-233 Tue, 27 Sep 2016 11:54:00 +0200 La FED semble préparer le marché pour une hausse des taux en décembre… si rien ne se passe entre temps /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fed-semble-preparer-le-marche-pour-une-hausse-des-taux-en-decembre-si-rien-ne-se-passe-entre-tem/ Don’t fight the Fed, don’t fight the Fed, don’t fight the Fed… Voilà ce qu’on devrait se répéter jour après jour, plutôt qu’essayer de se mettre en face des Banques centrales…

    Ce n’est pourtant pas compliqué, il suffit d’acheter à peu près n’importe quel actif ne comportant pas trop de risque spécifique, de préférence avec une composante rendement, et ça paye, encore et toujours plus.

    Nous avons donc eu cette semaine les réunions de la Banque centrale japonaise (BoJ) et de la Réserve fédérale (Fed), notre lecture est la suivante :

    • Au Japon, la BoJ n’a rien annoncé de nouveau, si ce n’est qu’elle passe d’un « QE » à un « QQE », ajoutant un facteur « qualitatif » à son programme de rachat d’actifs avec comme but avoué de pentifier les courbes de taux. De notre point de vue, c’est surtout le constat d’une Banque centrale qui n’a plus beaucoup d’options et on observe depuis la réunion un aplatissement des courbes japonaises… 
    • La Réserve fédérale n’a pas monté ses taux, ce qui ne nous surprend pas dans la mesure où le marché anticipait une faible probabilité de hausse, facteur historiquement bloquant. Le langage se veut un peu plus favorable à une hausse et semble vouloir préparer le marché à ce que cette dernière arrive en décembre. Enfin… s’il ne se passe rien d’ici là.

    Dans le même temps, l’institution a revu les perspectives de croissance et de taux d’équilibre à long terme à la baisse. Le marché conclu alors à une politique en faveur de taux bas. Résultat, les actions payent, et les taux baissent fortement.

    À la suite de la réunion de la Banque centrale européenne, le marché semblait hésiter quant au chemin à prendre. La réponse ce jeudi été très clair : si la Fed est en faveur de taux bas, on achète du rendement, encore du rendement (y compris les actions pour les dividendes).

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-232 Mon, 19 Sep 2016 11:51:00 +0200 Pas (encore) de baisse de confiance consommateurs, l’économie UK résiste mieux qu’attendu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/pas-encore-de-baisse-de-confiance-consommateurs-leconomie-uk-resiste-mieux-quattendu/ Le léger stress entrevu en fin de semaine dernière suite à une Banque centrale européenne moins accommodante qu’anticipé par le marché et à une potentielle hausse de taux américains reste présent dans le marché, sans que la direction et les facteurs de risque ne soient très clairs.

    Le marché semble être un peu perdu ce vendredi et hésite quant à la direction à prendre :

    • Est-ce que l’on reprend le chemin classique : Banques centrales accommodantes, on achète donc tout, et en priorité ce qui rapporte le plus ?
    • Est-ce que l’on commence à vendre un peu, en attendant les réunions des Banques centrales américaines et japonaises, les élections aux États-Unis et en considérant que certains actifs commencent à être vraiment chers ?
    • Est-ce que l’on reste positionné sur les marchés émergents, qui ont beaucoup payé et collecté en 2016, et sont un segment potentiellement à risque si les taux américains se tendent ?
    • Quid des valeurs bancaires ? Elles ont beaucoup de potentiel si les taux se tendent et que la pente des courbes s’accentue mais en même temps leur « Return on Equity » et rentabilité sont suspectes

    Bref, beaucoup de questions, et des signaux conflictuels, ce qui explique sans doute pourquoi les marchés ont passé la semaine à rebondir avant de rechuter.

    Au menu de la semaine, nous avons eu :

    • Des ventes aux détails décevantes aux États-Unis, des indicateurs mineurs d’activité plutôt bons et l’inflation sortie légèrement au-dessus des attentes
    • Des chiffres britanniques toujours bien orientés (chômage / vente au détail). La Banque d’Angleterre s’est aussi réunie et a maintenu ses taux inchangés tout en notant que l’économie se comporte un peu mieux que prévu ; elle conserve tout de même un discours en faveur de taux bas.
    • Des chiffres chinois bien orientés (production industrielle, vente au détail)

    Le marché nous parait toujours dangereux de manière générale, avec des positionnements très marqués de la part des investisseurs, des actifs globalement chers et des banques centrales qui selon nous arrivent en bout de course.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-230 Mon, 07 Nov 2016 11:28:27 +0100 Grand Paris : L’intervention de Xavier Lépine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/grand-paris-lintervention-de-xavier-lepine/ Découvrez l’intervention de Xavier Lépine au séminaire Franco-chinois du Grand Paris.

    Le 19 octobre dernier, Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française participait au séminaire franco-chinois sur le Grand Paris. Ce séminaire permettait aux investisseurs chinois de rencontrer les acteurs français impliqués dans le projet du Grand Paris afin de présenter les opportunités d’investissement et l’environnement financier et juridique.

     

    A cette occasion, Xavier Lépine est intervenu lors de la première session. Il s’est exprimé sur « Les projets immobilier et les Centres d’Affaire du Grand Paris » ainsi que sur une comparaison avec les principales métropoles européennes. Il est revenu sur l’évolution des frontières de la capitale, l’impact de la révolution de l’usage (“Uberisation”) sur le développement des métropoles.

     

    Lors de son intervention, Xavier Lépine a déclaré « L’Ile-de-France, avec 150 000 personnes œuvrant dans la recherche et développement, constitue en outre la plus grande base de chercheurs au monde ».

    Découvrez ci-dessous le film du Grand Paris : 

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    news-228 Wed, 14 Sep 2016 11:03:00 +0200 La finance responsable, autrement /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-finance-responsable-autrement/ À l'occasion de la semaine de la Finance responsable, La Française invite 4 experts à présenter leur solution originale. L’occasion de débattre autour de réalisations singulières.

    Avec les interventions de :

    Ghislain d’Alançon, Président Directeur-Général de HEOH

    Thibault Couturier, Vice-Président de Finansol

    Fabrice Vernay, Président Fondateur de HERB

    Perrine Dutronc, Managing Director – IPCM

     

    Cette réunion sera animée par Pierre Schoeffler, Global Asset Allocation and SRI Advisor Groupe La Française

    A cette occasion une borne de don Heoh dédiée à Green Cross sera mise en place.

    Lundi 26 septembre 2016 – 17h30

    Inscription impérative par mail : communicationISR@lafrancaise-group.com

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    news-227 Wed, 14 Sep 2016 11:00:00 +0200 Xavier Lépine, président du directoire du Groupe La Française, intervient le 14 septembre lors des colloques recherche Palladio. /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-president-du-directoire-du-groupe-la-francaise-intervient-le-14-septembre-lors-des-c/ Dans le cadre de sa mission, le Pôle Recherche Palladio organise une fois par an le « Colloque International de Recherche sur l’immobilier et la construction de la ville » dont l’objectif premier est de provoquer la rencontre entre chercheurs et professionnels.

    Xavier Lépine interviendra lors de la 5ème édition intitulée « La Société des urbains – Regards sur un écosystème ». A cette occasion Xavier Lépine prendra la parole à 11h15 sur le thème « De l’économique comme outil de mesure ». Il sera aux côtés d’Alain Bentejac, président d’Artelia, à propos des travaux des boursiers Palladio 2015 :

    • Romain Desforges, doctorant en urbanisme-aménagement, Université Paris Est, Lab’Urba
    • Raphaël Languillon, post-doctorant, Université de Chuo à Tokyo
    • Roberta Zarcone, doctorante en architecture, Université Paris Est, labo GSA, ENSA Paris-Malaquais

    Retrouvez tout le programme de la 5ème édition en cliquant ici. 

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    news-226 Tue, 06 Sep 2016 10:00:00 +0200 Après le temps politique, le temps des marchés.... Il est venu le temps des illusions ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/apres-le-temps-politique-le-temps-des-marches-il-est-venu-le-temps-des-illusions/ Pour une fois l’été fut calme, les marchés ont oublié le crack de début d’année, le Brexit de mi-année et la torpeur estivale ont incité le peu d’activité des marchés à prolonger les tendances avec ce qu’il faut de volatilité pour rompre la monotonie des travailleurs aoûtiens !

    Alors profitons de ce répit pour tenter de comprendre ce qui se passe structurellement.

     

    Plusieurs constats et réflexions viennent à l’esprit :

    • Les économies et les marchés  financiers ont été soutenus entre 1990 à 2007 par la globalisation et l’intégration économique dans la mondialisation des pays émergents. La création de richesse était bien "palpable".
    • Depuis 2007, c’est l’assouplissement monétaire et le quantitative easing qui soutiennent les marchés financiers et l’économie.
    • Depuis la crise, l’économie industrielle n’est toujours pas repartie et c’est l’économie dans les services qui a pris le relais, cette dernière étant beaucoup moins inflationniste pour ne pas dire déflationniste.
    • La digitalisation et l’uberisation de la Société liquéfient une partie du "capital" des ménages ; cette meilleure utilisation du capital (louer une chambre en Airbnb revient à mobiliser un capital jusqu’alors stérilisé) contribue à la déflation.
    • Au total, le rôle des Banques Centrales et singulièrement de la BCE est devenu primordial.

    Le "temps de la formation de la crise" de l’euro, comme celle des sub-prime a été d’une douzaine d’années, de la formation de la bonne idée salvatrice à sa transformation en désastre. 

     

    La crise de l’euro fut résolue à grand renfort de discours "le temps des marchés doit s’adapter au temps politique" et d’interventions de la Banque Centrale Européenne qui s’est substituée au pouvoir politique via les multiples plans d’intervention pour soutenir les pays périphériques en rachetant leur dette. 

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    news-224 Wed, 07 Sep 2016 09:23:00 +0200 NewAlpha investit via son fonds fintech dans Unilend, n°1 français du financement participatif pour les PME /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-investit-via-son-fonds-fintech-dans-unilend-n1-francais-du-financement-participatif-pour/ Spécialiste de l’investissement dans l’industrie financière entrepreneuriale, NewAlpha Asset Management (« NewAlpha ») a lancé en novembre 2015 le premier fonds français de Venture Capital dédié aux Fintech.

    En investissant 2,5 millions d’euros dans Unilend, le fonds réalise son troisième investissement sur un secteur très porteur et apporte à la société les moyens d’engager une nouvelle phase de son développement.

    Aux côtés des fondateurs d’Unilend, NewAlpha rejoint ainsi un actionnariat solide et motivé composé de Ventech, Bpifrance et 360 Capital Partners.

    Pionnier en France du crédit aux PME financé par des particuliers, Unilend propose aux emprunteurs d’accéder à une nouvelle forme de financement simple, direct, et sans garantie, via des prêts consentis par des investisseurs particuliers et institutionnels. Ceux-ci peuvent ainsi diversifier leurs placements en prêtant directement aux PME et contribuer à financer l’économie.

    Grâce à une communauté de 10 600 prêteurs actifs en France, supérieure à celle de l’ensemble des autres plateformes réunies, Unilend a permis, en moins de trois ans, de financer plus de 270 projets français de tous secteurs économiques. En juillet 2016, Unilend a été la première plateforme de prêt à franchir les 20 millions d’euros exclusivement en financement participatif.

    Les besoins de financement des TPE/PME françaises sont estimés à 90 milliards d’euros par an. Estimé à 200 millions d’euros en 2015, le marché français du financement participatif sous forme de prêt est en forte croissance en 2016 et dispose d’un potentiel de développement très important au vu des montants atteints au Royaume-Uni (4,5 milliards d’euros) ou aux Etats-Unis (15 milliards d’euros).

    « La qualité d’une plateforme s’apprécie au regard de la qualité des dossiers mis en ligne, de sa capacité à traiter des volumes considérables d’opérations, tout en développant une relation proactive avec sa communauté de prêteurs et d’emprunteurs. Nous avons trouvé chez Unilend tous ces éléments ainsi qu’une équipe, des actionnaires et une technologie de nature à assurer son développement, notamment auprès des investisseurs institutionnels », précise Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha. Nicolas Lesur, directeur général et fondateur d’Unilend, ajoute : « L’entrée au capital d’un acteur de premier plan du monde de la finance est une reconnaissance du succès commercial et technologique d’Unilend et démontre la solidité de son modèle d’analyse de crédit. L’investissement de New Alpha confirme ainsi la validité des choix stratégiques d’Unilend et le potentiel de croissance de la plateforme auprès des investisseurs institutionnels ».

    Jean Bourcereau, associé chez Ventech Captial et investisseur historique d’Unilend, ajoute : « Au-delà du montant investi, l’entrée de NewAlpha au capital d’Unilend est avant tout un partenariat stratégique et industriel qui va permettre à Unilend d’accélérer son développement en s’appuyant sur la très forte expertise de NewAlpha dans l’industrie financière entrepreneuriale et institutionnelle ».

    « Nous créons des passerelles entre les entrepreneurs de l’industrie financière et les acteurs institutionnels », conclut Antoine Rolland, Président de NewAlpha.

    Souscrit par des investisseurs institutionnels, notamment le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe (« CMNE »), le fonds2 géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de participations dans des sociétés innovantes du secteur des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.

    2 Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF

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    news-223 Mon, 12 Sep 2016 09:17:00 +0200 Au plus bas depuis 2010. Est-ce que ce chiffre va empêcher la remontée des taux FED ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/au-plus-bas-depuis-2010-est-ce-que-ce-chiffre-va-empecher-la-remontee-des-taux-fed/ Semaine beaucoup plus intéressante que les précédentes, et un peu plus mouvementée sur les marchés.

    D’abord avec la publication d’un indicateur de l’industrie Services aux États-Unis, sorti largement en dessous des attentes à 51.4 contre 54.9 attendu, soit le chiffre le plus faible depuis 2010. Logiquement, après un indicateur manufacturier déjà en dessous des attentes et une croissance américaine décevante au premier semestre, les anticipations de hausse de taux aux États-Unis ont largement diminué, et l’ensemble des taux a baissé.

    L’évènement le plus attendu de la semaine a eu lieu jeudi : réunion de la Banque centrale européenne (BCE). Les marchés attendaient :

    • Au mieux une annonce d’extension du programme de rachat d’actifs après mars 2017, avec modifications techniques et potentielle baisse de taux
    • Au pire une annonce de modifications techniques couplée à une sorte de pré annonce d’extension du programme de rachat

    Ils n’ont rien eu du tout, monsieur Draghi (Président de la BCE) réitérant les messages de la dernière réunion et ne donnant pratiquement aucune indication quant à la prolongation de son programme. Il a aussi eu une communication moins alarmiste que prévu concernant les trajectoires de croissance et d’inflation, disant que l’ajustement était en cours et que la politique monétaire de la BCE fonctionnait très bien.

    Quel résultat ? Le marché commence à se dire que l’institution européenne sera potentiellement moins accommodante que prévu… du coup, les taux montent d’environ 15-20bps et les actions baissent un peu, la bourse américaine affiche une baisse de 1% aujourd’hui, ce qui ne lui était plus arrivé depuis le Brexit.

    Cela fait plusieurs semaines que nous communiquons sur le fait que ce marché est potentiellement dangereux :

    • Tous les modèles systématiques sont acheteur de risque, de matières premières, de taux et d’actions américaines
    • La volatilité est très basse, et le marchés est extrêmement vendeur de volatilité
    • La corrélation entre les actifs monte graduellement 
    • Les actifs obligataires sont très chers (même s'il est vrai que cela fait un moment que cela dure…)
    • La rentabilité des sociétés financières américaines est en baisse, et les marchés à risque sont tirés en haut par la baisse des rendements obligataires (prime de risque relative) 

    Bref, les conditions sont réunies pour qu’une correction ait lieu, avec un marché de taux qui corrige, un marché actions qui baisse, une volatilité qui monte et potentiellement des modèles systématiques qui sont obligés de s’ajuster, ce qui aura pour effet d’amplifier le stress.

    Cela ne va pas forcément se passer ainsi, on peut avoir une BCE au ton favorable à une nouvelle baisse des taux cette semaine, ce qui viendrait calmer tout cela, mais le scénario de baisse est selon nous le plus probable aujourd’hui.

    Chose très étrange, les devises se comportent à l’envers de ce que nous aurions anticipé étant donné l’environnement. Une Réserve fédérale attentiste et une BCE moins accommodante que prévu, logiquement, cela aurait dû se traduire par une hausse de l’euro contre le dollar. Pourtant, c’est l’inverse qui se passe. Et même chose sur le Yen au Japon. 

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-222 Fri, 02 Oct 2015 09:15:00 +0200 Xavier Lépine, guest speaker at the International Conference for a Green and Inclusive Economy, October 6th & 7th 2015 in Geneva /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-guest-speaker-at-the-international-conference-for-a-green-and-inclusive-economy-octo/ In the presence of Mikhail Gorbachev, Nobel Peace Prize winner and founder of Green Cross International, Xavier Lépine, alongside other panelists, will discuss what issues should be addressed at the upcoming COP21 Climate Paris in Paris (November 30th to December 11th, 2015.

    This debate will be moderated by Adam Koniuszewski (CEO of Green Cross International).

    Brice Lalonde (Special Advisor for Sustainable Development at the UN Global Compact), Bettina Laville (Committee Founder and Chairperson of the Committee 21 scientific Club France Sustainable Development) and Antoinette Guhl (Assistant to the Mayor of Paris in charge of the social economy, social innovation and circular economy) will also participate.

    More specifically, Xavier Lépine’s discussion topic will cover:  “Global warming demands immediate attention and action on behalf of world citizens. Since 2008, all eyes are focused on the world of finance. Now, asset managers have the opportunity to make a positive contribution, thereby creating a win-win situation for both investors and low carbon emitters. The creation of innovative “zero carbon” investment strategies simultaneously creates incentive for corporations and long term performance perspectives for investors. “Strategically aware investing” is no longer an option. It’s a requirement.”

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    news-189 Wed, 14 Sep 2016 10:27:00 +0200 Forte activité avec une collecte proche de 4 milliards d’euros /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/forte-activite-avec-une-collecte-proche-de-4-milliards-deuros/ Avec près de 4 milliards d’euros de collecte, largement portée par le segment institutionnel et international, et une contribution positive de chaque pôle métier, La Française affiche plus de 57 milliards d’euros d’encours au 31/07/2016. Le business model multi-affilié de La Française continue de faire ses preuves ; il offre une large palette de solutions d’investissements complémentaires et adaptées à des cycles économiques différents, permettant de répondre aux attentes des investisseurs dans diverses conditions de marchés.

    La stratégie de développement déployée par La Française en France et à l’international, avec notamment la dynamique positive en Asie et en Europe, fait progresser de manière significative les encours du groupe de près de 9 % au 31/07/2016 par rapport au 31/12/2015.

    Valeurs mobilières et solutions d’investissement

    Dans un contexte de taux historiquement bas, les investisseurs sont à la recherche de performances et de rendement mais force est de constater que, post Brexit, ils demeurent attentistes et hésitent à s’exposer aux classes d’actifs davantage risqués. 

    Dans ce contexte, les fonds Fixed Income de dettes privées, High Yield ou multistratégie (« unconstrained »), les fonds à échéance ou encore les produits structurés du groupe La Française continuent de convaincre les investisseurs français et internationaux. 

    A leur côté, les fonds de performance absolue et les solutions dédiées d’investissement tels que ceux mis en œuvre par La Française Global Investment Solutions ont à eux seuls généré plus de de 2,2 milliards d’euros de collecte nette YTD au 31/07/2016. 

    Immobilier

    Les fonds collectifs en immobilier, tout comme les investissements en immobilier direct, ont également rencontré un vif succès avec une collecte YTD au 31/07/2016 proche de 1,4 milliard d’euros :

    • Les Société Civiles de Placement Immobiliers (SCPI) ont collecté 389 millions d’euros, 
    • Les autres véhicules (SCP, OPCI, SPPICAV) ont collecté près de 600 millions d’euros, dont plus de la moitié en provenance d’Asie, 
    • L’activité mandat déployée par La Française Real Estate Partners, spécialisée dans des solutions dédiées à partir de stratégies Core/Core+ mais aussi Value Added et Opportuniste, poursuit son développement avec plus de 360 millions d’euros de collecte.

    A fin juillet 2016, notre collecte nous permet une progression de nos encours significative qui dépasse déjà notre objectif de fin 2016, confortant la stratégie de développement multi-expertises mise en œuvre par La Française. La collecte en provenance de l’international reste significative et cette tendance devrait se prononcer d’ici la fin de l’année." commente Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française.

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    news-186 Mon, 18 Jul 2016 11:45:00 +0200 Un chiffre en hausse depuis 2015 : suffisant pour convaincre la Fed de remonter ses taux ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/un-chiffre-en-hausse-depuis-2015-suffisant-pour-convaincre-la-fed-de-remonter-ses-taux/ La semaine dernière, les marchés hésitaient entre risques systémiques et macro bien orientée. Ils ont choisi et ils parient sur un marché haussier ! Il faut dire que les nouvelles sont plutôt rassurantes, même si pour certaines, ce ne sont que des bonnes nouvelles de court-terme :

    • La problématique des banques italiennes et de Monte dei Paschi di Siena « devrait » se régler dans les jours / semaines à venir, ou en tous cas, le marché l’espère. Le fonds Atalante (encore doté de 1.75Mds) devrait servir à racheter une partie des prêts non performants de la banque, ce qui devrait faire baisser la pression. On parle maintenant d’un fonds Atalante II pour terminer de régler le problème. Enfin, il s’agit surtout de mutualiser le problème plus que de le régler vu que ces créances douteuses vont être rachetées par d’autres banques italiennes, et à un prix qui ne permet pas vraiment d’imaginer une plus-value quelconque. En attendant, la difficulté est repoussée à plus tard, et cela suffit au marché pour le moment…
    • La saison de rémunérations aux États-Unis a commencé et elle est pour le moment très classique, avec 65% d’annonces au-dessus des attentes, 15% neutre et 20% en dessous. En agrégé, on est 0.17% au-dessus des attentes, là aussi très classique, mais suffisant pour rassurer les investisseurs. Enfin, comme le dit notre affiche au mur: "les salaires américains sont bons, et les marchés aiment ça pendant les deux premières semaines".
    • Les chiffres macroéconomiques continuent à être très bien orientés avec des ventes aux détails américaines et des chiffres chinois (nouveaux prêts, production industrielle, croissance…) au-dessus des attentes. La production industrielle a un peu déçu en Europe, mais rien d’alarmant.
    • Rumeur de plan de relance au Japon après la réélection très large de Shinzo Abe au Japon, et rumeur «monnaie hélicoptère» (méthode directe de financement pour lutter contre la déflation) après la visite de l’économiste américain Ben Bernanke au Japon le week-end dernier.
    • Inflation zone Euro en ligne, et inflation aux États-Unis un peu au-dessus des attentes.


    Logiquement, les marchés actions sont donc en hausse et les taux montent. On peut noter que le yen a particulièrement réagi suite aux nouvelles japonaises avec une baisse de plus de 5% contre le dollar américain.

    Ce mouvement de prises de risques peut continuer encore un peu la semaine prochaine dans la mesure où la saison des résultats américains ne fait que commencer et que le meeting de la Banque centrale européenne est jeudi prochain. Les chiffres macroéconomiques sont quand même très bons. Il ne faut toutefois pas devenir euphoriques non plus, la situation des banques européennes n’étant toujours pas bonne et les indicateurs de risque petit à petit moins bien orientés.

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    news-185 Tue, 02 Aug 2016 11:43:00 +0200 Largement en dessous des 2.5% attendus : cohérent avec des actions américaines au plus haut historique ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/largement-en-dessous-des-25-attendus-coherent-avec-des-actions-americaines-au-plus-haut-historiq/ Au beau milieu de l’été, une semaine intéressante sur les marchés marquée par les annonces de deux banques centrales (Réserve Fédérale et Banque du Japon) et la publication du PIB américain.

    Rien n’était attendu de la Réserve Fédérale (Fed) qui publiait juste son compte rendu, pas de conférence de presse. Le communiqué note la bonne tenue du marché de l’emploi, mais le ton reste au global toujours plutôt favorable aux taux bas.La probabilité d’une hausse de taux cette année (septembre ou décembre) est restée inchangée autour de 50% après la publication. L’impact sur les marchés a été davantage observé sur le dollar, qui a baissé significativement.

    De notre côté, nous continuons de penser que l’amélioration de l’emploi et la baisse des risques externes (Chine, Europe) devrait permettre à la Fed de monter son taux en septembre ou en décembre. 

    Situation complètement différente au Japon, où un assouplissement supplémentaire de la politique était fortement attendu. En effet, l’inflation reste très faible (-0.4% sur an an au global et +0.4% en excluant l’énergie et la nourriture) et le gouvernement avait fait savoir qu’il considérait qu’un geste monétaire était nécessaire pour accompagner le paquet fiscal en cours de bouclage. M. Kuroda, gouverneur de la Banque du Japon, a choisi de doubler son rythme d’achats d’actions mais a laissé inchangés ses autres leviers (taux d’intérêt, achats d’obligations). Au final le marché est déçu et le Yen reprend sa hausse face au dollar, aidé par des flux de rebalancement de fin de mois.

    Notre analyse est que les achats d’actions ne vont pas changer la donne en termes macro (impact sur l’inflation japonaise probablement négligeable). Le cas du Nikkei est plus difficile à trancher (flux positifs mais macro négative).

    Le PIB américain au 2ème trimestre est sorti largement sous les attentes (+1.2% annualisé contre +2.5% attendu). À nuancer toutefois, car l’impact des stocks est significatif. Nous pensons toutefois que le dollar devrait rester sous pression à court terme

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-184 Mon, 08 Aug 2016 11:41:00 +0200 Hausse des taux Fed d’ici fin 2016 : renforcée par un rapport d’emploi US meilleur que prévu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/hausse-des-taux-fed-dici-fin-2016-renforcee-par-un-rapport-demploi-us-meilleur-que-prevu/ Deux événements sont venus marquer cette semaine : la réunion de la Banque d’Angleterre et le rapport d’emploi américain. Hier, la Banque d’Angleterre a assoupli significativement sa politique monétaire : baisse du taux directeur, préannonce d’une baisse supplémentaire dans les prochains mois, augmentation du programme de rachat d’actifs et achats de dettes d’entreprises. La Banque d’Angleterre suit globalement les mêmes recettes que la Banque centrale européenne. Ce programme a pour vocation d’atténuer le choc sur l’activité liée au Brexit. Ce package étant largement supérieur aux attentes des investisseurs, la réaction a ainsi été très logique :

    • Baisse des taux longs britanniques et globaux
    • Baisse de la livre Sterling
    • Hausse des marchés actions

    Le rapport d’emploi américain nous a également surpris par sa robustesse : 255 000 créations d’emplois contre 180 000 attendues par le consensus. Autre point intéressant, l’inflation salariale a dépassé les attentes à +0.3% sur le mois de juillet. Ce chiffre vient prendre le marché par surprise après le PIB décevant de la semaine dernière. Logiquement, les taux courts américains se sont tendus aujourd’hui. De notre côté, nous sommes convaincus que le marché est encore trop pessimiste sur les perspectives de montée de taux de la Réserve Fédérale. Nous conservons donc la position à la hausse des taux courts américains.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-183 Tue, 16 Aug 2016 11:40:00 +0200 Déçus par des données macro faibles, les marchés restent incertains sur la hausse des taux /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decus-par-des-donnees-macro-faibles-les-marches-restent-incertains-sur-la-hausse-des-taux/ Sentiment très positif cette semaine sur les marchés. Tous les indices actions sont en hausse : nouveau record pour le marché américain tandis que les marchés européens reviennent sur les niveaux d’avant le Brexit.

    Le pétrole poursuit également son rebond sur fonds de rumeurs de gel de la production.

    Côté macroéconomie,  les points importants de la semaine ont été la publication des données d’activité en Chine et des chiffres de consommation décevants aux États-Unis.

    En Chine, les chiffres d’activité pour juillet sont plutôt décevants et en-dessous des attentes :

    • La production industrielle ralentit à +6% d’une année sur l’autre vs +6.2% en juin,
    • La demande interne et l’investissement sont faibles également,
    • Au niveau du commerce extérieur, les exportations reculent et les importations chutent.

    L’activité reste donc très modérée en Chine. Le momentum de croissance montre des signes de ralentissement pour le début du troisième trimestre. Ce n'est pas une surprise, la question est plus de voir à quel rythme s’opère ce ralentissement. La politique monétaire devrait donc rester accommodante sur les prochains mois.

    Aux États-Unis, la publication des ventes au détail de juillet est clairement décevante (inchangée vs +0.4% attendue). De plus, les prix à la production sont en baisse de -0.4%, soit la plus forte baisse sur un an.

    En réaction à ces chiffres plutôt faibles, les taux des pays développés se détendent fortement et le dollar baisse contre toutes les devises du G10, du fait d’une absence de signe d’inflation. Les marchés sont déçus et la probabilité d’une hausse des taux américain pour la fin 2016 chute à 40%.

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-182 Mon, 22 Aug 2016 11:39:00 +0200 Avec +3.8% sur le Crude, la remontée du pétrole s’amplifie sur la semaine /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avec-38-sur-le-crude-la-remontee-du-petrole-samplifie-sur-la-semaine/ En cette semaine du 15 août, très peu de volumes sur les marchés. Les indices boursiers européens corrigent, l’Eurostoxx perd 2.9% et les taux des pays les mieux notés montent légèrement.

    En termes de publications macroéconomiques, notons la sortie de l’inflation américaine et zone euro, légèrement en dessous les attentes (respectivement +0.8% et +0.2% d’une année sur l’autre). 

    L’Australie a publié son rapport d’emploi, malgré un taux de chômage en baisse (5.7%) les chiffres ne sont pas de qualité : toujours plus de destruction dans les CDI et de créations dans les CDD. Le tout avec une inflation salariale qui reste très basse. 

    Le marché est dans l’attente du sommet de Jackson Hole, la semaine prochaine, où comme chaque année les grands argentiers vont se réunir. Nous serons très attentifs au discours de Janet Yellen, présidente de la Fed : le marché anticipe à 50% une hausse de taux cette année, et 0.15% de hausse de taux par an pour les années suivantes. Nous restons convaincus que cette estimation n’est pas cohérente avec des données macroéconomiques correctes et des risques externes en nette diminution. 

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    news-181 Wed, 31 Aug 2016 11:37:00 +0200 Faible en apparence, le PIB affiche +2.4% si l’on retire l’effet stock /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/faible-en-apparence-le-pib-affiche-24-si-lon-retire-leffet-stock/ C’est la fin des vacances pour la plupart d’entre nous, mais pas encore tout à fait pour les marchés.

    L’été a été calme, très calme, presque soporifique après la remonté des marchés post Brexit. On peut quand même noter le pétrole qui revient sur ses points hauts de l’année, et les actifs de rendement qui n’arrêtent pas de payer : tout a continué à se resserrer avec des investisseurs toujours à la recherche de rendement.

    Quelques chiffres quand même cette semaine : PMI corrects en zone Euro, bons chiffres américains sur l’immobilier sur les commandes de biens durables, et révision du PIB du second trimestre, stable aux États-Unis (un peu décevant, le marché attendait un meilleur chiffre). Enfin, Janet Yellen, présidente de la Fed, parle ce vendredi à Jackson Hole et semble, pour une fois, légèrement plus favorable à une hausse des taux…

    Quelle est la situation aujourd’hui ?

    • Les chiffres macroéconomiques sont corrects
    • Plus personne ne parle du Brexit (et pour le moment, les chiffres britanniques sont rassurants)
    • Les banques centrales demeurent accommodantes
    • L’inflation reste basse
    • Les taux sont très bas
    • Tout le monde cherche du rendement avec des flux très important sur High Yield, les émergents etc…
    • Les actions américaines et émergentes payent
    • La volatilité est toujours plus basse
    • Et la liquidité du marché faible, voire très faible

    Cette situation peut perdurer encore un moment : tant que des signes d’inflation ne se font pas sentir, il y a peu de chances de voir les banques centrales modifier leurs postures, et donc la recherche de rendement restera un thème important.

    Quels sont à priori les évènements à surveiller pour la fin d’année ?

    • Les banques centrales, évidemment : Les réunions de la Banque centrale européenne commencent le 8 septembre, avec potentiellement des informations sur la poursuite ou non du programme de Quantitative Easing en mars 2017. Suivent la Réserve Fédérale et la Banque du Japon le 21 septembre.
    • Les problématiques politiques : Élections américaines en novembre, référendum en Italie en octobre / novembre
    • L’inflation : On attend des effets de base positifs pour la fin d’année, les taux réels sont déjà très bas, cela pourrait faire remonter les taux.
    • Tout ce qui sortirait le marché de son anesthésie grandissante..Tout le monde fait la même chose, sur les mêmes actifs, avec aucune volatilité et un marché creux. Tous les modèles systématiques ont des budgets de risque importants. Bref, s’il y a une alerte avec augmentation de volatilité, tout est en place pour que cela accélère de manière significative.

     

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-179 Fri, 22 Jul 2016 11:18:00 +0200 Les marchés immobiliers européens post-brexit /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-marches-immobiliers-europeens-post-brexit/ Cécile Blanchard, Director of Real Estate Market Research et David Rendall, CEO de La Française Forum Real Estate Partners et Head of International Real Estate Business Development reviennent sur l’impact du Brexit sur les marches immobiliers européens. Éclairage sur la manière dont cette décision historique pourrait affecter le marché immobilier européen

    Événement largement inattendu, le Brexit a bouleversé la sphère politique britannique, avec des effets secondaires substantiels pour les marchés financiers internationaux et de lourdes conséquences stratégiques à long terme. L'Union européenne sera amputée d'environ 13 % de sa population, 18 % de son PIB et d'un chantre du libre-échange.

    Le climat d'incertitude aura un impact négatif perceptible sur la croissance du PIB du pays et de ses principaux partenaires commerciaux. Pourtant, l'assouplissement de la politique monétaire et budgétaire britannique devrait soutenir la demande.

    La conséquence la plus notable du Brexit est l'effondrement généralisé des taux d'intérêt sur les emprunts d'État à 10 ans : 30 points de base dans la zone euro, 40 points de base aux États-Unis et 60 points de base au Royaume-Uni ; malgré des taux d'intérêt déjà négatifs, le Japon et la Suisse n'ont pas été épargnés. En conséquence, l'écart élargi des rendements des bureaux « prime » et la dépréciation de la livre sterling qui s'en est suivie devraient soutenir le marché britannique de l'investissement immobilier.
    Le marché immobilier d'Europe continentale profite d'une hausse des primes de risque et d'une réorientation possible de la demande de la City de Londres vers les principales métropoles de l'UE.

    Le Brexit n'est pas nécessairement un événement isolé. D'autres événements politiques importants sont prévus dans l'Union européenne au cours de l'année à venir : le référendum en Italie en novembre, les élections présidentielles en France et les élections fédérales en Allemagne en 2017. Les événements historiques fondamentaux expliquant le verdict, avancés par Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française, dans « La Lettre, Édition spéciale - 27 juin 2016 » continuent de façonner le paysage politique et pourraient engendrer un résultat semblable ailleurs en Europe.

    > Cliquez ici pour télécharger l’intégralité de la lettre.

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    news-162 Tue, 15 Mar 2016 16:50:00 +0100 NewAlpha réalise son premier investissement FinTech avec Heoh /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-realise-son-premier-investissement-fintech-avec-heoh/ NewAlpha annonce aujourd’hui l’investissement initial de ce fonds qui a mené l’augmentation de capital de 2,3 millions d’euros de la société Heoh, permettant à celle-ci d’accélérer le développement de sa plateforme technologique innovante de dons sur terminaux de paiement. Spécialiste de l’investissement dans l’industrie financière entrepreneuriale à travers le monde, NewAlpha Asset Management ("NewAlpha") a lancé fin novembre le premier fonds de Venture Capital dédié aux FinTech.

    Pionnière de l’économie collaborative, Heoh entend collecter 60 millions d’euros pour le compte d’ONG dans les 5 ans à venir tout en offrant aux commerçants et aux acteurs du paiement un service solidaire innovant et complémentaire aux solutions existantes.

    Ghislain d’Alançon, spécialiste des moyens de paiement, et Antoine Vaccaro, spécialiste de la philanthropie, ont créé Heoh en 2012 afin d’offrir aux consommateurs un moyen simple et direct de financer des mouvements caritatifs grâce à un nouveau circuit de collecte de fonds sur terminaux de paiement électronique et cartes bancaires. En 2013, Heoh a été labellisée "Entreprise Innovante en Finance Solidaire" par le pôle de compétitivité international Finance Innovation.

    Pour assurer son développement, Heoh a noué des partenariats majeurs avec des leaders de l’industrie du paiement (Ingenico Group, AVEO Groupe, banques), de l’IT (IBM, Microsoft, Les Comptoirs, Astek…) et des grandes ONG. 

    Ses objectifs sont ainsi :

    • accroître la capacité de financement des associations
    • réduire les coûts de collecte des dons
    • permettre aux acteurs du paiement, aux commerçants et aux ‘conso-donateurs’ de disposer d’un outil commun et innovant de promotion de l’économie solidaire

    Heoh a levé 3,4 millions d’euros au cours des 12 derniers mois pour financer son innovation technologique et opérationnelle et proposer aujourd’hui sa ‘GoodTransaction’.

    Cette proposition de valeur, exportable par ailleurs, s’inscrit dans un contexte propice au financement innovant. Le financement des ONG se trouve dans une situation critique (moins d’intervention gouvernementale, morosité économique …) alors que les besoins sociaux, culturels, humanitaires, écologiques et médicaux augmentent. Dans le même temps, les nouvelles aspirations de responsabilité sociale influent considérablement sur la consommation et provoquent de nouvelles exigences pour les enseignes.  L’augmentation attendue du nombre de paiements par carte constitue un autre catalyseur du développement des ‘conso-donations’.

    "Le champ d’applications et les évolutions possibles de la technologie développée sont très vastes et impactent l’ensemble des moyens de paiement, de facturation et de gestion pour compte de tiers. La qualité du management de Heoh, les pilotes réalisés en 2015, ainsi que les marques d’intérêt de nos investisseurs pour la valeur ajoutée d’Heoh dans leurs propres activités, nous paraissent très prometteurs", précise Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha.

    Ghislain d’Alançon, Président et fondateur de Heoh, ajoute "la renommée de New Alpha, la qualité de son écosystème constitué notamment de banques et de compagnies d’assurance, et les relations partenariales déjà tissées avec cette équipe, nous confortent dans nos moyens et notre ambition de développer à grande échelle nos solutions tout en améliorant la qualité de l’expérience client.

    Souscrit par des investisseurs institutionnels, le fonds géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de projets innovants et prometteurs dans les différents secteurs des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.

    "L’investissement dans Heoh, un acteur innovant dans le monde des paiements, s’inscrit parfaitement dans la démarche socialement responsable que souhaite promouvoir NewAlpha au sein de l’industrie financière", conclut Antoine Rolland, Président de NewAlpha.

    > Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici

    Découvrez Heoh en vidéo

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    news-161 Mon, 14 May 2018 16:48:00 +0200 Qu’est-ce qu’une SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/quest-ce-quune-scpi-societe-civile-de-placement-immobilier/ La Française Real Estate Managers, leader du marché SCPI en capitalisation (IEIF 2017), vous fait découvrir en 2 minutes l’investissement en SCPI (Société Civile de Placement Immobilier).

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    news-151 Thu, 26 May 2016 18:28:00 +0200 Gonet La Française Advisors reçoit l’agrément de la FINMA et recrute Bénédict Fatio pour mener son développement sur le Marché Suisse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gonet-la-francaise-advisors-recoit-lagrement-de-la-finma-et-recrute-benedict-fatio-pour-mener-son-d/ Gonet La Française Advisors S.A., entité créée à l’initiative du groupe de gestion international La Française et de la banque privée suisse Gonet&Cie pour distribuer en Suisse les solutions d’investissement de La Française et de ses affiliés, dont le fonds La Française Lux-Inflection Point Gonet Swiss Equity géré par Gonet&Cie, a le plaisir d’annoncer qu’elle a reçu l’autorisation de la FINMA pour exercer en qualité de distributeur.

    Gonet La Française Advisors S.A. annonce également le recrutement de Bénédict Fatio comme Managing Director en charge du marché Suisse. Bénédict Fatio rejoint Gonet La Française Advisors S.A. en provenance de Lombard Odier, où il exerçait depuis plus de dix ans dans la promotion interne et externe des produits et des solutions d’investissements de Lombard Odier Investment Managers, à New York et à Genève.

    Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International, commente : « Nous nous réjouissons de profiter de la vaste expérience multi-produits de Bénédict Fatio, comme de sa profonde connaissance des besoins des investisseurs, pour accélérer notre développement et profiler notre gamme de produits sur le marché Suisse. »

    > Lire le communiqué de presse

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    news-150 Thu, 26 May 2016 18:25:00 +0200 Vétusté, obsolescence, ISR & données /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/vetuste-obsolescence-isr-donnees/ Gérard Degli-Esposti et Pierre Schoeffler, respectivement directeur de l’ISR immobilier et conseiller du président en charge de la RSE à La Française, analyse les enjeux des Big data et des Stranded Assets.

    Big Data et Stranded Assets, ces deux concepts récents nés l’un dans l’économie numérique, l’autre dans la finance climatique, trouvent toute leur pertinence dans le domaine de l’investissement en immobilier. Quel que soit leur positionnement dans la chaine de valeur, l’exploitation des données constitue aujourd’hui et plus que jamais pour les asset managers en immobilier, un enjeu crucial de gestion des risques et des opportunités.  

     

    De la vétusté…

     

    Pendant longtemps le propriétaire a pensé que pour créer de la valeur il suffisait de maintenir l’actif en bon état de conservation en réalisant des travaux de grosses réparations suivant un cycle de rénovation défini sur le principe de vétusté. 

     

    Ce cycle long établi à partir de " l’indéfinissable " état d’usure se déclinait, en complément des actions de maintenance poussée jusqu’à l’analyse prédictive, en opérations programmées d’embellissement, de rénovation et de restructuration qui inauguraient in fine un nouveau cycle de création de valeur. 

     

    Par la mise en conformité et la prise en compte de l’innovation technologique, le propriétaire se donnait bonne conscience dans un marché évoluant essentiellement au gré des fluctuations économiques. 

     

    L’immobilier renforçait ainsi son caractère " immobile et pérenne ", et la question de l’arbitrage relevait le plus souvent de l’opportunité conjoncturelle. 

     

    Jusqu’à 2008 et l’une des pires crises économique à laquelle le monde ait été confronté. 

     

    … à l’obsolescence

     

    Dans un environnement macroéconomique incertain entrainant une baisse prononcée de la demande, l’industrie immobilière doit faire face à la profonde mutation que connaissent avec la révolution technologie et plus particulièrement le développement du numérique les modes de production et de consommation. 

     

    L’apparition de nouveaux business model qui transforment la nature même des organisations et des espaces physiques dans lesquels ils créent de la valeur a pour conséquence un déséquilibre de plus en plus marqué entre l’offre et la demande. 

     

    Ce que le marché a qualifié d’obsolescence est un phénomène que de nombreux économistes associent à la destruction créatrice chère à Joseph Schumpeter(a). L’obsolescence apparaît lorsque l’offre n’est plus en mesure de répondre à la demande. Sous l’impulsion de la révolution digitale, l’entreprise se dématérialise et se laisse de plus en plus séduire par des modèles plus adaptés et moins contraignants en terme d’engagement contractuel créant ainsi les conditions d’apparition d’une obsolescence des modèles existants. 

     

    L’obsolescence qu’il ne faut pas confondre avec la vétusté n’est pas une nouveauté. Ce qui est nouveau, c’est son accélération. Désormais, l’obsolescence boostée par l’innovation s’installe plus vite que la vétusté et il n’est plus du tout rare de voir des actifs obsolescents mais pas vétustes. 

     

    De l’obsolescence…

     

    Si l’asset manager en immobilier est désormais " bien armé " pour lutter contre la vétusté des actifs, il le doit en grande partie à l’utilisation par les property managers et les exploitants d’outils de gestion technique avérés et performants. Le développement de la gestion technique centralisée avec l’exploitation des données qu’elle produit permet une programmation " raisonnable " des travaux de conservation et d’amélioration. La masse et la grande variété de ces données stockées, actualisées et analysées en temps réel constituent un fantastique gisement de productivité et d’économie. Dans le contexte de rupture que nous subissons aujourd’hui, la connaissance de son patrimoine et le partage de cette connaissance est désormais plus qu’une nécessité. 

     

    Face à l’obsolescence, l’asset manager en immobilier apparaît plus désarmé. Du moins pour l’instant. Les facteurs d’obsolescence sont en effet multiples. Le professeur Jean Carassus(b) en distingue six: l’obsolescence territoriale liée à la position de l’actif dans son environnement, l’obsolescence architecturale liée à sa qualité intrinsèque, l’obsolescence économique liée à ses coûts d’exploitation, l’obsolescence sociologique liée au confort et au bien-être des occupants, l’obsolescence technique liée l’état de fonctionnement de ses équipements et enfin l’obsolescence réglementaire liée aux non conformités. 

     

    En complément de la vétusté, L’obsolescence introduit ainsi une nouvelle approche plus centré sur l’utilisateur par la prise en compte de la qualité de l’environnement intérieur et des aménagements des espaces de travail. Plus orientée finalement sur une approche de type ESG, c’est-à-dire intégrant de façon explicite les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance, qui constituent les trois piliers de l’analyse extra-financière. 

     

    Pour les propriétaires, l’immobilier devient un actif financier pour lequel l’élaboration de plans stratégiques obéit à une logique financière de rentabilité des investissements tenant compte de la création de valeur et de son maintien par la maîtrise des risques d’obsolescence. 

     

    … à l’investissement socialement responsable…

     

    L’investissement socialement responsable (ISR) qui consiste à intégrer les critères ESG(c) dans les processus d’analyse et de choix d’investissements ne répond pas à une conception philanthropique de l’activité, mais à la conviction qu’une gestion efficace en termes de réglementation environnementale et sociale ne peut que s’avérer favorable à la performance sur le long terme. 

     

    L’investissement en immobilier occupe une place centrale au cœur de la problématique de l’ISR par sa dimension environnementale évidente (réduction de l’empreinte carbone – biodiversité – mobilité..), sociale (confort et bien être, politique servicielle…) et de gouvernance (politique d’achat, relation avec les locataires…). Alors que le monde des valeurs mobilières développe de multiples associations, instituts de recherche et coalitions d’investisseurs pour la promotion de l’ISR, le monde de l’immobilier n’est pas en reste, en témoigne l’importance gagné par le GRESB (Global Real Estate Sustainability Benchmark) qui regroupe plus de 700 membres de par le monde, investisseurs institutionnels comme gérants d’actifs. La mission du GRESB est explicitement de créer et de maintenir la valeur immobilière en évaluant et améliorant les meilleures pratiques de prise en compte des critères ESG. A l’opposé du concept de Stranded Assets qui désigne les actifs ayant subi une obsolescence accélérée et irrémédiable les transformant en quasi-passif, le GRESB oppose les Green Stars, actifs particulièrement performants dans la mesure, la gestion et le déploiement des critères ESG appliqué au patrimoine immobilier. 

     

    En effet, le processus d’intégration des critères ESG permet de prévenir efficacement les risques d’obsolescence, de perte de valeur et de mauvais positionnement par rapport à la demande des utilisateurs. En analysant des écarts entre l’offre et la demande, L’ISR permet in fine l’évaluation d’un indice d’obsolescence de référence. La démarche de type de celle développée à la Française dans les valeurs mobilières dénommée SAI pour Strategically Aware Investing qui intègre, en plus des critères ESG classiques de l’investissement ISR, des critères tirés de l’analyse stratégique des firmes tels que l’adaptabilité à l’environnement et la capacité d’innovation, apporte encore une dimension supplémentaire à l’asset management immobilier. De là à établir une correspondance entre l’ISR et l’obsolescence, il n’y a qu’un pas que certains asset managers immobilier n’hésitent plus à franchir. 

     

    … et au Big Data

     

    Le développement de l’ISR en immobilier comme d’ailleurs sur toute classe d’actifs passe par la compilation et le croisement de multiples données, en complément des données financières traditionnelles. 

     

    La valeur d’un bien se déchiffre grâce à une analyse fine de son environnement. C’est pourquoi l’obtention d’une grande variété de données contextuelles sur un bâtiment est désormais indispensable à la compréhension de son fonctionnement et sa mise en valeur. 

     

    Cette évolution de fond impacte les 4 grandes dimensions immobilières. Premièrement, la vie dans l’immeuble avec des données comportementales de plus en plus fines. Ensuite l’immeuble en lui-même avec ses caractéristiques techniques, sa traçabilité, sa performance mais aussi ses services et sa gestion. Puis la vie autour de l’immeuble ou comment l’immeuble communique avec la ville. Et enfin le marché. 

     

    Cette connaissance permet aussi de mieux mesurer l’attractivité de l’immeuble dans son territoire. Cette attractivité se définit d’abord par l’accès à un certain nombre de services et de fonctions, aisés et faciles tant pour les salariés que pour les clients et les partenaires. L’accès aux biens, aux données et les prestations techniques offertes par le territoire vont également entrer en ligne de compte. 

     

    La somme des données produites par les hommes et par les machines, collectées et stockées sur des serveurs pour devenir rapidement et facilement utilisables constituent ce qu’on appelle aujourd’hui le Big Data. Si au cours de ces dernières années, les outils et la technologie ont permis d’accélérer les traitements et d’améliorer les analyses, il faut toutefois rester modeste au niveau des marchés immobiliers face au volume de dossiers traités. Les machines et les algorithmes sont encore loin de remplacer l’expertise humaine. Mais jusqu’à quand ? 

     

    Il va pourtant falloir se préparer à accumuler les données de plus en plus nombreuses en matière d’analyse prédictive, d’attractivité, d’expertise et de connaissance du marché. Savoir les analyser confèrera certainement à terme un avantage concurrentiel fondée sur une meilleure compréhension du comportement des nouveaux usages dans les différents lieux de vie, permettant ainsi de mieux cerner les opportunités commerciales de demain. L’analyse des données va offrir de formidables opportunités en matière de gestion des risques et d’aide à la décision en matière d’acquisition et d’arbitrage. 

     

    Parmi les outils développés, Le BIM(c) est en train de prendre pied dans les immeubles neufs. Il sera un jour possible de circuler dans son immeuble en réalité augmentée pour visualiser l’ensemble des équipements. Cela permettra d’affiner les coûts de maintenance, mais surtout les CAPEX, un immeuble produisant lui-même son Plan Pluri Annuel de Travaux. Cette base de données qui utilise les logiciels de CAO/DAO traite les composants techniques du bâtiment sous forme d’objet disposant d’une représentation graphique, d’attributs alphanumériques et d’un comportement prédéfini. 

     

    En attendant son développement encouragé par les pouvoirs publics, certains propriétaires ont d’ores et déjà développé des outils permettant de créer de la valeur par l’analyse croisée des données produites par l’exploitation immobilière, l’usage du bâtiment et les données externes. 

     

    La Française REM a, par exemple, adapté son outil DiagTech initialement développé pour constituer une base de données techniques et établir un plan pluriannuel de travaux, en y intégrant une critériologie liée à l’obsolescence. En croisant à partir de l’analyse de 80 critères la mesure de la vétusté à celle de l’obsolescence, le DiagTech devient un outil d’aide à la décision pour l’investissement et l’arbitrage. Utilisé dès la phase de due diligence il permet également de définir l’éligibilité de l’actif à l’ISR. L’importance du patrimoine géré grâce au DiagTech a permis à La Française REM de déterminer ses propres indices de référence et de pouvoir ainsi classer n’importe quel actif. Cette approche " hybride " et " multimodale " lui permet de tenir ses marges dans un monde en disruption permanente. 

     

    La révolution des données est bien en train de restructurer le secteur de l’immobilier en profondeur, tant dans les pratiques que dans la conception même des biens immobiliers. 

     

    La course à la " donnée-marché " est bel et bien enclenchée.

    • Géarard Degli-Esposi, directeur de l’ISR immobilier, président de l’OID
    • Pierre Schoeffler, conseiller du président, en charge de la RSE

     

    Article paru dans Immoweek, le 6 avril 2016.

     

    (a) La « destruction créatrice » désigne le processus continuellement à l’œuvre dans les économies et qui voit se produire de façon simultanée la disparition de secteurs d’activité économique conjointement à la création de nouvelles activités économiques. L’expression est associée à l’économiste Joseph Schumpeter (1883-1950) qui en assure une large diffusion avec la parution de son livre Capitalisme, Socialisme et Démocratie publié en anglais aux États-Unis en 1942, traduit en français en 1951. 

    (b) L’immobilier et le bâtiment: valeur, développement durable et 3e révolution industrielle (Réflexions immobilières n 66 – 4e trimestre 2013) par Jean Carassus: professeur à l’Ecole des Ponts Paris Tech, directeur du Mastère Spécialisé « Immobilier, Bâtiment, Energie » – membre du Bureau du Plan Bâtiment Durable et au sein de ce Plan, membre du Groupe Réflexion Bâtiment Responsable 2020-2050 

    (c) BIM (Building Information Modeling): Le BIM consiste en des méthodes de travail et en une maquette numérique paramétrique 3D qui contient des données intelligentes et structurées. Le BIM est le partage d’informations fiables tout au long de la durée de vie d’un bâtiment ou d’infrastructures, de leur conception jusqu’à leur démolition. La maquette numérique quant à elle est une représentation digitale des caractéristiques physiques et fonctionnelles de ce bâtiment ou de ces infrastructures.

     

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    news-147 Mon, 30 May 2016 17:41:00 +0200 Le pétrole atteint les 50$ le baril… fin de l’effet désinflationniste ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-petrole-atteint-les-50-le-baril-fin-de-leffet-desinflationniste/ Semaine marquée par un fort rebond des actions suite à trois évènements :
    • Forte baisse des craintes au sujet d'une éventuelle sortie de la Grande Bretagne de l’Union Européenne. De nouveaux sondages concernant l’issue du référendum montrent en effet une forte avance pour au vote pour le maintien au sein de l’Union Européenne. La devise britannique a augmenté de 4%. 
    • Accord entre la Grèce et ses créanciers pour le déblocage d’une nouvelle tranche d’aide (10.6Mds€). Le FMI maintient la pression et réclame toujours aux créanciers européens un abattement de la dette, qui pourrait être appliqué en 2018.  
    • Enfin, le pétrole poursuit sa hausse. La corrélation entre pétrole et marchés actions a baissé, mais la bonne tenue du prix du baril reste un élément positif.

    Les membres de la Fed continuent à tenir un discours accommodant. Yellen parle ce vendredi à Harvard mais n’y fera a priori pas mention de la politique monétaire. Le sujet sera en revanche abordé le 6 juin prochain lors d’un second discours.

    Les évènements à venir sont les suivants : 

    • Chiffres d'activité chinois le 1er juin
    • Réunion de la Banque Centrale Européenne le 2 juin
    • ISM Services (indice de l'activité du secteur tertiaire aux Etats-Unis) et chiffres du chômage le 3 juin

    Pas grand-chose à attendre de la BCE mais les autres chiffres pourraient avoir un impact significatif.

    Nous ne comprenons en effet pas pourquoi les taux des pays dits « Cores » réagissent aussi peu (mis à part les banques centrales évidemment) :

    • Le pétrole poursuit sa remontée et est maintenant en progression d’environ 20% depuis le début de l’année.
    • Les derniers chiffres économiques sont sortis de manière plutôt bien orientés en zone euro et aux États-Unis (fort rebond des surprises économiques)
    • Les membres Fed parlent d’une même voix et semblent vouloir préparer le marché à une hausse en juin / juillet

    Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.

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    news-144 Wed, 01 Jun 2016 17:25:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès du Groupe Legendre un immeuble de bureaux à Rennes pour le compte de plusieurs SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-du-groupe-legendre-un-immeuble-de-bureaux-a/ La Française REM a acquis un immeuble à usage de bureaux auprès du Groupe Legendre, situé dans le quartier de la Courrouze, dans le Sud-Ouest de Rennes au pied de la future ligne B du métro à proximité immédiate de la rocade.

    L’actif développe une surface utile de 10 000 m² répartis sur 8 niveaux desservis par 4 ascenseurs et dispose de 255 emplacements de parking. La structure joue avec le béton brut nu à l'extérieur, et le verre laissant pénétrer la lumière naturelle et filtrer la lumière artificielle la nuit.

    L’immeuble est entièrement loué à six locataires dont notamment le Groupe Legendre, dans le cadre d’un bail de 9 ans fermes, occupant 5 000 m² de ce bâtiment, ainsi que Envivo (sur 4 étages et près de 3000 m²) ou encore Adidas.

    Cet actif a été acquis par deux véhicules SCPI (Epargne Foncière et Multimmobilier 2) gérés par La Française REM.

    Le Groupe Legendre et la Française REM étaient assistés par Tourny Meyer ainsi que de l’Etude Oudot & Associés pour l’Acquéreur et l’Etude Mallèvre pour le Vendeur. 

    > Pour en savoir plus, téléchargez l'intégralité du communiqué de presse

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    news-141 Wed, 08 Jun 2016 16:08:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un Go Sport à Nantes (44) pour le compte de sa SCPI Epargne Foncière /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-go-sport-a-nantes-44-pour-le-compte-de-sa-scpi/ La Française REM a acquis un actif à usage commercial auprès d’AEW Europe situé sur la Place de Bretagne dans l’hyper centre de Nantes (44).

    Le local commercial accueillant Go Sport développe une surface utile de 3 144 m² ventilée sur 3 niveaux et bénéficie d’une très bonne visibilité sur la place de Bretagne avec un linéaire de façade de plus de 50 m.

    Le quartier environnant est dynamique et jouit de la présence de nombreuses enseignes nationales et internationales à forte notoriété telles que H&M, Zara ou Monoprix.

    La Française REM était assistée par l’Etude Cartier et par Knight Frank et AEW Europe était conseillé par l’étude Alexandre Dechin Devriendt et Hoang. 

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse

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    news-140 Thu, 09 Jun 2016 15:44:00 +0200 HEOH et VISA Europe présentent une borne de dons sans contact /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/heoh-et-visa-europe-presentent-une-borne-de-dons-sans-contact/ Heoh, le premier investissement FinTech de NewAlpha AM, lance avec Visa Europe une nouvelle solution pratique de dons

    Visa Europe et HEOH se mobilisent pour mettre le don sans contact au service de la préservation du Patrimoine. 

    A l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités locales, Visa soutient HEOH dans la collecte et le développement des dons sans contact.

    Cela se traduit par l’installation de bornes physiques dans un certain nombre de monuments publics ; ces bornes permettront aux visiteurs de faire un don en utilisant leur carte Visa sans contact. Les dons ainsi collectés seront dédiés à la restauration des Monuments et à la préservation du Patrimoine.

    Associant l’expertise d’HEOH en termes de solutions innovantes de collecte de dons et l’engagement de Visa dans la démocratisation des nouveaux moyens de paiement, cette initiative ouvre la voie à de nouveaux usages du sans contact, déjà présent dans le quotidien des Français.

    Simple, rapide et sécurisé, le sans contact facilite le passage à l’action des visiteurs de ces monuments qui souhaitent apporter leur contribution à des projets d’intérêt public.


    > Pour en savoir plus sur Heoh, consultez www.heoh.net ou téléchargez le communiqué de presse

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    news-139 Thu, 09 Jun 2016 15:28:00 +0200 Eiffel Investment Group concrétise avec Aviva France un nouveau mode de financement alternatif /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/eiffel-investment-group-concretise-avec-aviva-france-un-nouveau-mode-de-financement-alternatif/ Eiffel Investment Group, premier incubé du fonds Emergence de NewAlpha, annonce un partenariat avec Aviva France et le lancement de Prêtons Ensemble

    Prêtons Ensemble, nouveau fonds conçu par Aviva France en partenariat avec Eiffel Investment Group, est destiné à financer l’économie réelle en s’appuyant sur les meilleures plateformes de prêts en ligne en Europe et plus particulièrement en France.

    Le fonds Prêtons Ensemble souhaite fédérer plusieurs investisseurs et compte déjà pour son lancement Aviva France à hauteur de 50 millions d’€ et AG2R LA MONDIALE pour 20 millions d’€.

    Le fonds a un objectif de 100 millions d’euros à 8 ans à destination majoritairement des PME et TPE. 

    Fabrice Dumonteil, Président Directeur Général d’Eiffel Investment Group : "Avec l’essor du crowdlending, les petites entreprises, qui forment le coeur de l’économie, ont enfin accès à un mode de financement alternatif. Eiffel a déjà financé, via des plateformes de prêts en ligne, 10 000 petites entreprises. Aujourd’hui elles sont principalement au Royaume-Uni. Prêtons Ensemble va maintenant permettre de financer des milliers de TPE-PME françaises, tout en contribuant à soutenir les plateformes de prêts en ligne les plus prometteuses."                                                                  

    > Pour en savoir plus, consultez www.eiffel-ig.com ou téléchargez le communiqué de presse

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    news-138 Thu, 16 Jun 2016 14:56:00 +0200 ACOFI Gestion finance cinq parcs éoliens de 55 MWc via son Fonds PREDIREC EnR 2030 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acofi-gestion-finance-cinq-parcs-eoliens-de-55-mwc-via-son-fonds-predirec-enr-2030/ ACOFI Gestion annonce la conclusion de la première opération de son fonds de prêts obligataires en euros dédié aux infrastructures en énergies renouvelables, PREDIREC EnR 2030. Il vient de financer cinq parcs éoliens pour un montant de 12,5 M€ sur une durée de 12 ans.

    Ces cinq parcs éoliens, répartis dans plusieurs départements du Nord de la France, représentent une puissance cumulée d’environ 55 MWc. Leur production annuelle de 130 GWh correspond à la consommation électrique de 32 000 foyers français et 81 000 tonnes de CO2 économisées.

    Ces projets ont été développés par Valorem, l'un des pionniers français des énergies renouvelables en France. Valemo, filiale de Valorem dédiée à l'exploitation et la maintenance des parcs, assure la maintenance de ces actifs ainsi que la supervision de leur exploitation. A travers cette opération, Valorem se donne les moyens de financer ses développements futurs tout en conservant et en rationalisant son portefeuille historique. 

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse

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    news-136 Thu, 19 May 2016 12:55:00 +0200 ACOFI Gestion lance le fonds PREDIREC EnR 2030 labellisé Transition Energétique et Ecologique pour le Climat (TEEC) par EY /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acofi-gestion-lance-le-fonds-predirec-enr-2030-labellise-transition-energetique-et-ecologique-pour-l/ ACOFI Gestion annonce le lancement de PREDIREC EnR 2030, Fonds de prêts obligataires en euros destiné à répondre aux besoins des acteurs des filières éolienne ou photovoltaïque sur des durées de 5 à 15 ans. Il dispose déjà de 45 millions d’euros de capacité d’investissement.

    Les financements apportés permettent aux acteurs du secteur des énergies renouvelables de rester propriétaires de leurs portefeuilles d’actifs et de conserver la gestion de leurs parcs tout en menant d’autres projets en France et à l’international.

    Le fonds PREDIREC EnR 2030 met en place des prêts amortissables ou in fine d’une maturité de 15 ans maximum, dont le remboursement est adossé aux contrats d’achat d’énergie à long terme. Le dimensionnement de ces prêts dépend principalement de la LTV ratio (loan-to-value) (maximum 66 %). Pour les investisseurs l’encours initial des prêts et le rendement attendu sont strictement adossés aux seuls flux de revenus attachés aux contrats d’achat. Le rendement cible attendu est de 5%.

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    news-135 Wed, 18 May 2016 12:52:00 +0200 Xavier Lépine participe à la création du fonds de dotation du Grand Paris Express pour l'art et la culture /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-participe-a-la-creation-du-fonds-de-dotation-du-grand-paris-express-pour-lart-et-la-c/ Le premier Conseil d'administration du Fonds de dotation du Grand Paris Express, présidé par Remi Babinet (BETC) et co-fondé avec Xavier Lépine (La Française) s'est tenu ce mardi 17 mai 2016.

    Il s'accompagne d'une programmation artistique et culturelle confiée à Jérôme Sans (cofondateur du Palais de Tokyo) et José-Manuel Gonçalvès (directeur du CENTQUATREPARIS) sur l'ensemble du territoire métropolitain.

    Le Fonds de dotation vise à recueillir des fonds privés pour accompagner le volet culturel du projet urbain le plus ambitieux d’Europe.

    Dès le 4 juin 2016, la Société du Grand Paris organise les premières manifestations publiques de son programme artistique et culturel à l'occasion du démarrage des premiers travaux du métro. D'ici 2022, et l'ouverture des premières gares du réseau, formidable tremplin vers les Jeux Olympiques de 2024 et l'Exposition Universelle 2025, de nombreuses actions artistiques seront lancées le long du parcours du futur métro pour révéler la richesse et la diversité culturelle du Grand Paris et contribuer à incarner une nouvelle identité métropolitaine.

    Pour mener à bien ce projet culturel d'une ampleur géographique et temporelle inédite, la Société du Grand Paris a créé le Fonds de dotation du Grand Paris Express, destiné à recueillir les contributions des partenaires qui partagent sa vision pour ce projet d'intérêt national. Toutes les entreprises impliquées dans la transformation et la vie de la métropole francilienne - constructeurs, transporteurs, promoteurs, commerçants, entreprises, mécènes -, et toutes celles qui se sentent concernées par ce projet d'avenir qu'est le Grand Paris Express sont invitées à soutenir la mise en œuvre d'une programmation culturelle exigeante, fédératrice et innovante.

    Le Fonds de dotation est présidé par Rémi Babinet (BETC). Il est fondé par ce dernier avec Xavier Lépine (La Française).

    Au Conseil d'administration siègent des acteurs variés de l'économie et de la culture, dont Mouloud Achour (Journaliste), François Barré (expert culturel auprès de la Société du Grand Paris), Jacques Bungert (Courrèges), Véronique Chatenay-Dolto (DRAC Île-de-France), Jean-Yves Le Bouillonnec (Député-Maire de Cachan, président du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris), Amandine Lepautre (La Société Anonyme), Lucie Maurel Aubert (Banque Martin Maurel), Catherine Perenet (Société du Grand Paris) et Philippe Yvin (président du directoire de la Société du Grand Paris).

    "Nous allons avoir la chance de vivre une aventure extraordinaire qui est celle de la métamorphose de notre capitale. Nouvelle échelle, nouvelles circulations, dynamiques, projections, le futur métro Grand Paris Express va être le moteur d'une transformation jamais vue depuis le XIXème siècle. Il est primordial de faire comprendre cet enjeu, de le partager avec les habitants pour que le projet prenne toute sa dimension sociale. Grâce à la création nous pourrons jouer collectif, dialoguer, rayonner ; participer à faire émerger une culture "post-périph" et à construire le récit du Grand Paris." Rémi Babinet, Président de BETC et Président du Fonds de dotation du Grand Paris Express.

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse ou cliquez ici  

    Crédits : Société du Grand Paris - Les membres du Fonds de dotation du Grand Paris Express

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    news-134 Wed, 18 May 2016 12:47:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès du Groupe Lagardère un immeuble de bureaux à Paris pour le compte de plusieurs SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-du-groupe-lagardere-un-immeuble-de-bureaux-a/ La Française REM a acquis un immeuble à usage de bureaux, situé au pied du métro « Montgallet » dans le 12ème arrondissement entre les pôles tertiaires « Gare de Lyon » et « Place de la Nation ». L’actif développe une surface utile de 20 166 m² en R+8 et dispose de 227 emplacements de parking en sous-sol. Il bénéficie de deux entrées indépendantes sur la rue Jacques Hillairet et la rue Hénard. Les plateaux, flexibles et divisibles, d’une surface de 2680 m² sont en premier jour. 

    L’immeuble est loué à sept locataires dont notamment l’ESA et le CNES.

    Cet actif a été acquis par huit fonds SCPI gérés par La Française REM.

    La transaction a été réalisée par Cushman & Wakefield dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas REM.
    Hubert Wargny de l’Etude Wargny Katz était le notaire du vendeur, Romuald Sachet, Etude Allez et Associés le notaire de l’Acquéreur. 
    Dans le cadre du financement les conseils étaient David Franco du Cabinet Fairway pour l’acquéreur et Paul-Henri Cabissole du Cabinet Archers pour le prêteur. Le notaire de la banque était Bertrand Bonneau.

    Le financement bancaire a été arrangé par Natixis, en qualité d’Agent, aux côtés de Banque Européenne Crédit Mutuel, Banque Postale Crédit Entreprises et Banque Palatine.

    > Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse

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    news-132 Tue, 10 May 2016 12:45:00 +0200 La Française Real Estate Partners réalise 2 nouvelles acquisitions pour le compte de l’ERAFP à Paris auprès de Groupama Immobilier /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-realise-2-nouvelles-acquisitions-pour-le-compte-de-lerafp-a-paris/ Dans le cadre de son mandat de gestion d’actifs pour le compte de l’Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique (l’ «ERAFP»), La Française Real Estate Partners a réalisé deux nouvelles acquisitions auprès de Groupama Immobilier dans le cadre de la gestion dynamique du patrimoine des compagnies d’assurances du groupe Groupama :
  • Un immeuble haussmannien, situé au 10 rue Auber à Paris, à usage de bureaux et de commerces, développant une surface totale de 3 403 m². Les baux bureaux ont fait l’objet de renouvellements en parallèle d’un programme de travaux réalisé par Groupama immobilier en 2015, la totalité de l’immeuble étant louée, dont la partie commerce à HSBC.
  • Un ensemble haussmannien, situé au 73 rue de Vaugirard à Paris, à usage principal de bureaux, développant une surface totale de 4 017 m². Les bureaux ont été loués par Groupama Immobilier à Expertise France, agence sous tutelle des Ministères des Affaires Etrangères et de l’Economie, à effet de juillet 2015, après une rénovation livrée en avril 2014.
  • Eric Donnet, Directeur général de Groupama Immobilier, indique : « Ces deux opérations sont emblématiques de la nouvelle stratégie menée par les équipes d’Asset Management Tertiaire. Celles-ci consistent en la restructuration et le repositionnement des actifs des compagnies d’assurance en actifs prime, pour en optimiser la valorisation ».

    Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Ces deux acquisitions d’immeubles restructurés et exceptionnellement situés s’inscrivent dans la continuité du développement d’un portefeuille de qualité, sécurisé et pérenne pour le compte de l’ERAFP ».

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    news-129 Tue, 19 Apr 2016 12:31:00 +0200 La Française Real Estate Partners renforce son équipe d’Asset Management pour accompagner le développement de son activité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-renforce-son-equipe-dasset-management-pour-accompagner-le-develop/ La Française Real Estate Partners renforce son équipe d’Asset Management avec l’arrivée de Jean-Charles Le Scrill, Directeur Technique, et Eric Tubin, Analyste Financier. Dans un esprit entrepreneurial orienté clients et résultats, La Française Real Estate Partners déploie pour le compte de ses clients des solutions dédiées à partir de stratégies Core/Core+ mais aussi Value Added/Opportuniste. 

    La Française Real Estate Partners s’adresse aux clients institutionnels Français et internationaux de premier rang désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de sourcing, d’acquisition, d’asset management et de reporting. 

    La Française Real Estate Partners, filiale du Groupe La Française, bénéficie du support de ce leader en Asset Management avec plus de 53 milliards d’euros d’actifs gérés, dont un patrimoine immobilier d’une valeur de 15 milliards d’euros.

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse en intégralité

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    news-128 Thu, 14 Apr 2016 12:28:00 +0200 La Financière Responsable promue par Emergence /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-financiere-responsable-promue-par-emergence/ Le fonds d’incubation de Place Emergence répond à l’intérêt croissant des investisseurs pour l’investissement durable, manifesté par les engagements pris lors de la COP21.

    Emergence, fonds de Place d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales, et NewAlpha Asset Management, gérant délégataire de la SICAV, annoncent la sélection de La Financière Responsable, sixième société retenue par le compartiment Emergence Actions, qui clôt ainsi son programme d’investissement de 200 millions d’euros.

    Emergence Actions apporte 25 millions d’euros au fonds UCITS LFR Euro Développement Durable spécialisé sur les actions ISR de la zone Euro. Cet apport permet à La Financière Responsable d’accélérer le développement de son fonds phare, et vient s’ajouter aux 70 millions d’euros déjà sous gestion.

    Il s’agit du seul fonds ISR sélectionné par le Comité d’Investissement d’Emergence composé de certains des plus grands investisseurs institutionnels de la Place de Paris. Ceci au moment où l’ouverture des investisseurs institutionnels, notamment des assureurs, pour la gestion ISR progresse fortement(1).

    De surcroît, ce fonds permet en France aux investisseurs institutionnels de répondre aux obligations de reporting extra-financier prônées par la loi relative à la transition énergétique.

    La Financière Responsable se démarque dans l’univers de l’ISR par une méthodologie originale, innovante et proche du terrain. Investisseur de conviction, La Financière Responsable sélectionne les entreprises sur la base de leurs fortes perspectives de croissance et donc de rendement, pour une durée moyenne d’investissement de 3 à 5 ans.

    En complément de la stratégie et de la santé financière de l’entreprise, le processus d’investissement capte également les dimensions sociale, environnementale et de gouvernance par l’analyse de plus de 80 indicateurs extra-financiers comparés au secteur concerné, réunis au sein de l’Empreinte Ecosociale©. Cette méthode privilégie ainsi la diversité et la pertinence des facteurs contribuant à accroître la performance globale de l’entreprise.

    Formalisée sous le terme ‘Gestion Intégrale IVA©’, cette approche permet à La Financière Responsable d’analyser finement la création de valeur de l’entreprise pour ses partenaires internes comme externes, et de renforcer considérablement la lisibilité sur son évolution.

    La qualité de cette recherche extra-financière entièrement réalisée en interne a été récompensée chaque année de 2011 à 2014 par le statut de Jeune Entreprise Innovante attribué aux entreprises de moins de 8 ans par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Depuis sa création, La Financière Responsable a été la seule société de gestion à bénéficier du crédit impôt recherche au titre de l’ISR.

    Depuis 6 ans, La Financière Responsable apporte à ses clients investisseurs institutionnels, organismes sans but lucratif et gérants d’épargne salariale, d’excellentes performances financières au travers de ses fonds et notamment du fonds LFR Euro Développement Durable. Depuis 1er janvier 2010, date de mise en place de la méthode, la performance du fonds s’élève à 48,42% contre 22,22% pour l’EuroStoxx 50(2),(3), avec un faible taux de rotation et une volatilité significativement plus faible que celle du marché.

    Pour ce 6ème investissement d’Emergence Actions, comme pour les cinq précédents auprès de Focus Asset ManagersFinancière ArbevelTalence GestionFinaltis et Fideas Capital, le fonds d’incubation apporte à ses investisseurs la performance des fonds sélectionnés et une participation à leur développement via un mécanisme de partage de revenus.

    La Financière Responsable est la onzième société incubée par Emergence au travers de ses deux compartiments Actions et Performance Absolue qui ont alloué un montant total de 350 millions d’euros depuis 2012. Emergence contribue à attirer des investisseurs internationaux vers la gestion entrepreneuriale française.

    > Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici.

    (1) Enquête Novethic/Forum pour l’Investissement Responsable 2014

    (2) Au 31 mars 2016 le FCP LFR Euro Développement Durable - Part M, FR0010649350 – Indice de référence EuroStoxx 50 Dividendes Nets Réinvestis.

    (3) Les performances passées ne préjugent en rien des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.

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    news-127 Wed, 13 Apr 2016 12:24:00 +0200 Retour sur la conférence de l'OID et du GRESB /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/retour-sur-la-conference-de-loid-et-du-gresb/ La conférence du 13 avril sur la thématique Santé et bien-être dans l’immobilier tertiaire a été un succès, presque 100 personnes ont répondu présentes à l’invitation de l’OID et du GRESB.

    La Française GREIM, en la personne de Gerard Degli-Esposti, est à la présidence de l’OID, il était donc naturel pour le groupe d’accueillir cet événement dans nos locaux.

    La conférence a porté sur les nouvelles opportunités de création de valeur et de gestion des risques que la promotion de la santé et du bien-être offre pour les investisseurs, les sociétés de gestion et les foncières. Un regard pratique concernant les nouveaux outils (par exemple WELL et GRESB) a complété la perspective d'investisseurs institutionnels, de foncières et d'utilisateurs.

    Marc Bertrand, Directeur général de La Française REM, et Loïs Moulas, Directeur général de l’OID, ont introduit l’événement.

      


    Pour plus d'informations, cliquez ici

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    news-125 Mon, 25 Apr 2016 11:55:00 +0200 "Espoirs et menaces des politiques des banques centrales", le 27 avril, Bruxelles /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/espoirs-et-menaces-des-politiques-des-banques-centrales-le-27-avril-bruxelles/ Investisseurs et professionnels de la finance se réuniront ce 27 avril 2016 au Cercle de Lorraine à Bruxelles autour de Luc Coene. Gouverneur Honoraire de la Banque Nationale de Belgique et Membre du Conseil de Surveillance de la BCE, qui fera une intervention pourtant sur les espoirs et menaces des politique des banques centrales.

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    news-124 Wed, 06 Apr 2016 11:52:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert auprès du Groupe CARLE un ensemble en VEFA à Toulouse pour le compte de son OPCI Immo SR 2 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-aupres-du-groupe-carle-un-ensemble-en-vefa-a-toulou/ La Française REM a acquis un immeuble à usage de bureaux en VEFA, situé en façade de la zone de la Cartoucherie, nouvel éco-quartier de Toulouse, et à moins de 5 km du centre-ville. L’actif développe une surface de 4 128 m² en R+6 et 30 places de stationnement en sous-sol. Il bénéficie d’excellentes prestations d’un point de vue technique et architectural visant à optimiser le confort de ses futurs occupants, notamment des balcons en façades et une terrasse en toiture offrant une vue panoramique sur l’Ouest Toulousain.
     
    L’immeuble est actuellement loué à hauteur de 55% à une administration dans le cadre d'un bail de 9 ans fermes.
     
    La date de livraison prévisionnelle est fixée au 31 mars 2017 par le Groupe CARLE qui construit et commercialise 12 000 m² de bureaux sur l’éco-quartier de la Cartoucherie.
     
    Cet actif a été acquis par l’OPCI Immo SR2, s’inscrivant dans la démarche ISR du Groupe La Française.
     
    La Française REM et le Groupe CARLE étaient assistés par CBRE.

    > Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici

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    news-121 Tue, 15 Mar 2016 11:45:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert un ensemble en VEFA à Marcq-en-Barœul pour le compte de son OPCI Immo SR 2 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-un-ensemble-en-vefa-a-marcq-en-baroeul-pour-le-compt/ La Française REM a acquis un ensemble mixte en VEFA loué à 100%, situé sur le Parc Europe, à Marc en Baroeul (59), à proximité de la métropole Lilloise. L’actif bénéficie d’une excellente divisibilité (7 lots privatifs) et est constitué d’un bâtiment en R + 2 à usage de bureaux et de locaux d’activités. Il totalise 4 609 m² de surface utile et 145 emplacements de parkings extérieurs, sur une parcelle de 7 800 m² environ.

    L’immeuble est entièrement loué à l’Apave dans le cadre d'un bail de 9 ans fermes.

    La date de livraison prévisionnelle est fixée au 2ème trimestre 2016 par le promoteur Carré Promotion.

    La Française REM était assistée par l’Etude SCP Montre et par Arthur Loyd.

    > Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici

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    news-120 Mon, 14 Mar 2016 10:58:00 +0100 La Française renforce sa présence en Asie /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-renforce-sa-presence-en-asie/ La Française annonce l’ouverture d’un nouveau bureau à Séoul (Corée du Sud) et la nomination de Shawna Yang au poste de Directrice Relations Investisseurs pour l’Asie.

    Shawna Yang apporte sa grande expérience de la collaboration avec des investisseurs institutionnels coréens, aussi bien sur son marché local qu’à l’international. Auparavant Responsable du département Capital Markets de Cushman & Wakefield (C&W) en Corée du Sud, elle avait pour mission d'assister les investisseurs coréens dans leurs investissements transfrontaliers, ainsi que les investisseurs étrangers souhaitant investir dans l’immobilier coréen. Avant de rejoindre C&W, Shawna Yang occupait le poste de gérante de fonds immobiliers chez Mirae Asset Global Investment, en charge des transactions d’investissement directes en Corée du Sud, en Inde et à Hong Kong. Alors qu'elle était basée à Hong Kong et à Singapour, elle a également fait partie de l’équipe relations investisseurs / collecte de fonds en contact avec des investisseurs coréens et étrangers.

    Shawna Yang travaillera à Séoul sous la responsabilité directe de Philippe Lecomte, Directeur du développement international de La Française, et va tirer parti de son expertise dans la levée de fonds. Philippe Lecomte a déclaré : "Shawna Yang entretient un dialogue permanent avec les investisseurs institutionnels coréens et a joué un rôle essentiel dans plusieurs opérations d’investissement internationales de premier ordre. Sa nomination renforce la plateforme opérationnelle de La Française en Asie et souligne l’importance du marché coréen comme source d’investissements extérieurs et comme implantation où le groupe a déjà établi des relations avec les clients".

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    news-117 Thu, 25 Feb 2016 10:33:00 +0100 NewAlpha annonce une opération d'accélération avec le gérant allemand Prime Capital /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/newalpha-annonce-une-operation-dacceleration-avec-le-gerant-allemand-prime-capital/ NewAlpha Asset Management (« NewAlpha »), spécialiste mondial de l'accélération de jeunes sociétés de gestion, a le plaisir d'annoncer un accord de seeding avec Prime Capital AG (« Prime Capital »). Fondée en 2006 à Francfort, Prime Capital est une société de gestion et de services financiers indépendante tournée vers la clientèle institutionnelle. Elle est spécialisée dans les actifs alternatifs, en particulier fonds et mandats de performance absolue, d'infrastructure et de dette privée. Prime Capital gère 5,4 milliards d'euros d'actifs et emploie actuellement plus de 50 professionnels répartis entre Francfort, Londres et Luxembourg.

    NewAlpha investira un montant substantiel dans le fonds Gateway Target Beta UCITS de Prime Capital, par le biais d'un fonds géré pour le compte de grands investisseurs institutionnels européens souhaitant renforcer leur exposition à des stratégies d'investissement innovantes. Grâce à cet investissement, le fonds Gateway Target Beta UCITS affichera un encours proche de 40 millions d'euros.

    L'objectif d'investissement du fonds Gateway Target Beta UCITS est de générer une performance positive régulière par le biais d'une stratégie d'investissement visant des résultats analogues à ceux de certains indices de hedge funds diversifiés, investis sur les marchés internationaux d’actions et de crédit.

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    news-115 Thu, 18 Feb 2016 10:27:00 +0100 La Française prend une participation majoritaire dans Forum Securities Limited /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-prend-une-participation-majoritaire-dans-forum-securities-limited/ Deux ans après l’annonce de leur partenariat stratégique et le succès rencontré suite au lancement de La Française Lux – Forum Global Real Estate Securities Fund, Forum Partners va céder une participation de 80 % de sa filiale Forum Securities Limited à La Française (sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires).

    La transaction devrait être achevée au cours du premier trimestre 2016.

    Forum Securities Limited (« Forum Securities ») est une société de conseil en investissements enregistrée auprès de la SEC qui gère les portefeuilles de placements privés d’institutions et de family offices, avec une approche axée sur le long-only et les stratégies sur les titres fonciers publics mondiaux couverts. L’entreprise a été fondée en 2009 et emploie sept collaborateurs à plein temps, dont six occupent des fonctions dans l’investissement, le conseil ou la recherche. Les collaborateurs sont de sept nationalités différentes et parlent une dizaine de langues à eux tous. Forum Securities est implantée à Greenwich, Connecticut (États-Unis), Singapour et Londres. L’équipe est reconnue pour son approche qui sort des sentiers battus.


    La nouvelle plateforme rebaptisée 
    La Française Forum Securities sera intégrée au Groupe La Française ce qui permettra de renforcer à la fois les capacités de reporting et de back-office de Forum Securities, ainsi que les fonctions de développement et de relation client. Par cette opération, La Française va continuer son développement international avec une présence élargie aux États-Unis et aux marchés asiatiques. Côte à côte, les deux sociétés vont étendre leur gamme de produits pour inclure notamment : des solutions autour des infrastructures/matières premières, un fond immobilier coté conforme à la Charia, des fonds immobiliers cotés durables, des fonds immobiliers cotés axés sur des secteurs spécifiques et d'autres stratégies personnalisées qui répondent aux besoins des investisseurs.

    La gamme de produits existante sera toujours gérée par l’équipe de Forum Securities, qui se verra renforcée pour soutenir la croissance prévue de l’offre. Jana Sehnalova, actuellement gérante de portefeuille au sein de l’équipe de Forum Securities Limited, assumera les fonctions de Responsable Mondiale et Directrice Exécutive de La Française Forum Securities et sera placée sous la supervision de Pascale Auclair, Responsable Mondiale des Investissements de La Française Global Asset Management (GAM).

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    news-114 Fri, 12 Feb 2016 10:19:00 +0100 Découvrez l'interview de NewAlpha dans Fintech Mag /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/decouvrez-linterview-de-newalpha-dans-fintech-mag/ "L’innovation porte davantage sur de nouveaux usages que sur des véritables ruptures technologiques" - Lior Derhy et Jonathan Cohen-Sabban ont répondu aux questions de Fintech Mag le 3 février dernier. A l'occasion du lancement du premier fonds d'investissement exclusivement dedié aux Fintechs, Lior Derhy, Membre du directoire et Directeur du Private Equity et Jonathan Cohen-Sabban, Directeur de participations, ont rencontré Fintech Mag.

    Au cours de cette entretien, le développement de NewAlpha, les spécificités du premier fonds Fintech et la place de la France dans ce domaine ont notamment été évoqués.

    > Pour lire l'interview dans son intégralité, cliquez ici

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    news-112 Fri, 05 Feb 2016 09:51:00 +0100 Le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique atteint la barre des 100 M€ financés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/le-fonds-predirec-leasing-strategique-atteint-la-barre-des-100-meur-finances/ Dédié au financement des équipements industriels stratégiques, le fonds de dette PREDIREC Leasing Stratégique est le fruit d’un partenariat entre ACOFI, précurseur pour la création et la gestion de fonds de prêts à l’économie et ChetWode, spécialiste reconnu des financements industriels.

    C’est en compagnie de l’équipementier automobile Saint Jean Industries avec 15,8M€ déployés à l’occasion d’une opération de sale and leaseback (cession-bail), que Le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique vient de franchir la barre des 100M€ d’opérations financées.

    Ce Fonds issu d’un partenariat conclu entre ACOFI et ChetWode a réuni en deux closing à l’été 2014 puis début 2015, plus de 200 millions d’euros auprès d’investisseurs institutionnels.

    Quand l’outil de production se fait levier de croissance
    Avec des opérations unitaires comprises entre 5 et 25M€, le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique, est dédié aux financements  des actifs industriels des PME et ETI. La stratégie d’investissement permet d’apporter des financements aux sociétés faisant face à des situations souvent complexes, en valorisant et en rachetant leurs outils de production. En soutenant les projets de croissance et d’investissement des PME et ETI, le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique intervient au cœur même du tissu économique et ouvre des perspectives à de nombreuses PME/ETI industrielles en Europe, leur permettant de faire de leur outil de production un véritable levier de croissance.

    A propos d’ACOFI :
    ACOFI construit des produits et solutions d’investissement répondant aux attentes des grands investisseurs et investisseurs institutionnels. Ses initiatives portent principalement sur les actifs réels et les prêts directs à l’économie et couvrent quatre grandes thématiques, l’immobilier d’entreprise, les infrastructures dans le secteur de l’énergie, le financement spécialisé des entreprises industrielles et le secteur public. ACOFI Gestion est une société de gestion AIFM, agréée par l’AMF depuis 1997 qui gère et conseille près de 2 Md€ en fonds de prêts et d’actifs réels. ACOFI a conclu fin 2014 un partenariat stratégique de long terme avec Groupe La Française (groupe Crédit Mutuel Nord Europe). Ce partenariat se concrétise par une prise de participation dans un premier temps de 20% de Groupe La Française dans le capital d’ACOFI Gestion participation qui sera portée à 55% en 2020. (www.acofi.com


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    news-108 Wed, 27 Jan 2016 09:37:00 +0100 ACOFI Gestion annonce l’entrée du Fonds Européen d’Investissement dans son Fonds PREDIREC Innovation 2020 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/acofi-gestion-annonce-lentree-du-fonds-europeen-dinvestissement-dans-son-fonds-predirec-innovation/ Le Fonds Européen d’Investissement (FEI) entre à hauteur de 30 M€ dans Prédirec Innovation 2020 Fonds dédié au préfinancement du Crédit d’Impôt Recherche (CIR) des PME et petites ETI innovantes. La stratégie d’investissement menée par ACOFI Gestion consiste à financer des PME ou des ETI via l’acquisition des créances de Crédit d’Impôt Recherche (CIR) échues ou courues y compris sur des programmes de recherches pluriannuels de TPE et PME. Le rendement attendu pour les investisseurs est 2,5% et la taille finale du fonds devrait atteindre 100 M€.

    Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI, a indiqué "Ce fonds crée de nouvelles opportunités en matière de création d’emplois, de croissance et d’innovation en France. Il s’agit du premier investissement du Groupe BEI dans un fonds de dettes diversifié en France : un nouvel instrument financier au service de l’innovation française. En continuant à enrichir sa palette d’instruments financiers, le FEI et la BEI accroissent le soutien européen aux entreprises innovantes françaises pour développer leur activité, investir et croître. Nous ciblerons notre action sur les moyennes et très petites entreprises, mais également les petites ETI afin de faciliter le financement de leurs programmes de recherche et d’innovation."

    A propos d’ACOFI :

    ACOFI construit des produits et solutions d’investissement répondant aux attentes des grands investisseurs et investisseurs institutionnels. Ses initiatives portent principalement sur les actifs réels et les prêts directs à l’économie et couvrent quatre grandes thématiques, l’immobilier d’entreprise, les infrastructures dans le secteur de l’énergie, le financement spécialisé des entreprises industrielles et le secteur public. ACOFI Gestion est une société de gestion AIFM, agréée par l’AMF depuis 1997 qui gère et conseille près de 2 Md€ en fonds de prêts et d’actifs réels. ACOFI a conclu fin 2014 un partenariat stratégique de long terme avec Groupe La Française (groupe Crédit Mutuel Nord Europe). Ce partenariat se concrétise par une prise de participation dans un premier temps de 20% de Groupe La Française dans le capital d’ACOFI Gestion participation qui sera portée à 55% en 2020. (www.acofi.com

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    news-102 Fri, 22 Jan 2016 18:13:00 +0100 La Française Real Estate Managers (REM) a acquis pour le compte d’un grand institutionnel français un immeuble en bloc à Joinville le Pont /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-a-acquis-pour-le-compte-dun-grand-institutionnel-francais-u/ La Française REM a signé fin 2015 une vente en l’état futur d’achèvement à usage exclusif d’habitation en plein coeur de Joinville le Pont. Cette opération comptera 53 logements – toute typologie confondue – pour une surface de 3 084 m² ; ainsi que 61 place de parkings en sous-sol.

    L’ensemble est localisé rue de Paris, dans le quartier de la ZAC des Hauts de Joinville qui assure le réaménagement du centre-ville.

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    news-101 Wed, 06 Jul 2016 17:57:00 +0200 Xavier Lépine : "L’évolution de la propriété immobilière sur les 30 prochaines années…" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-levolution-de-la-propriete-immobiliere-sur-les-30-prochaines-annees/ Xavier Lépine a écrit un article paru dans Réflexions Immobilières n°77 sur la pierre-papier et son évolution.

    Créée il y a à peine 55 ans, la pierre-papier n’a pas encore atteint l’âge de la maturité. N’oublions pas la règle d’or, jeunisme oblige : la maturité est égale à la racine carrée de l’âge multipliée par 10, soit dans 25 ans pour la pierre-papier ! Cette maturité se présente sous les meilleurs auspices pour la pierre-papier quel que soit l’angle sous lequel on l’aborde. 

    Sur le plan économique, l’urbanisation croissante associée au vieillissement de la population en Occident et aux progrès technologiques (smart grids, véhicules 100 % électriques sans conducteurs, etc.) se traduira par une forte croissance des actifs immobiliers.  

    Parallèlement, les taux d’intérêt auront été maintenus à des niveaux très bas sous le poids conjugué de multiples facteurs. Bien évidemment, la dette accumulée par les États les aura incités à rendre le service de la dette supportable alors même que la globalisation et, surtout, les nouveaux modèles économiques (économie de la connaissance, digitalisation, économie circulaire…) auront consacré l’avènement de l’essence même du capitalisme : produire plus pour moins cher. L’information sera le bien le plus échangé et son coût marginal de production faible et décroissant. 

    Bouleversement des équilibres économiques

    Pour éviter une explosion sociale liée au vieillissement de la population et la problématique de son financement, l’âge de la retraite aura été repoussé à 70 ans et les services à la personne considérablement développés. L’inflation n’aura été qu’une longue parenthèse du xxe siècle liée aux reconstructions et à

    l’énergie fossile. Dans une population en croissance démographique quasi nulle, on comprend bien intuitivement que la richesse (nette de sa consommation) créée par un individu (voir graphique 1) doit couvrir les charges (éducation, santé, alimentation…) de ses phases d’inactivité (jeunesse et retraite). 

    > Pour découvrir l'intégralité de l'article paru dans Reflexions Immobilières n°77, cliquez ici 

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    news-100 Tue, 19 Jan 2016 17:28:00 +0100 Interview de Xavier Lépine : "Il n’y a plus de prix ni pour le temps, ni pour le risque" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/interview-de-xavier-lepine-il-ny-a-plus-de-prix-ni-pour-le-temps-ni-pour-le-risque/ Interview pour le journal Les Echos du 12 janvier 2016 Le Président du Directoire de La Française analyse les conséquences des mutations structurelles en cours sur le monde de la gestion : taux proches de zéro, uberisation, climat... Ces grandes tendances ont un impact majeur sur l'allocation d'actif.

    Lisez l'intégralité de l'interview réalisé par Isabelle Couet sur le site des Echos.

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    news-97 Wed, 06 Jul 2016 17:21:00 +0200 Gérard Degli Esposti dans Immoweek : "T'es fada ou quoi ?" /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/gerard-degli-esposti-dans-immoweek-tes-fada-ou-quoi/ Retrouvez l'article de Gérard Degli Esposti, Directeur de l'ISR Immobilier, dans Immoweek mai-juin 2016.

    C’est un constat qu’il va falloir désormais accepter : la vie ne sera jamais plus comme avant. C’est, en tous cas, ce que disent les plus "réalistes" des hommes. C’est une évidence : la crise économique que nous vivons a pour conséquence une profonde transformation de la société. Dans ces années de grande incertitude, les communautés s’organisent pour vivre à minima. Augmentation du chômage, du nombre d’allocataires des minimas sociaux, baisse des revenus les plus modestes et accroissement des inégalités sont source de défiance. L’accès à des droits fondamentaux tels que le droit au logement est de plus en plus compliqué pour des familles de plus en plus démunies. Il n’y a jamais eu autant de sans abris. On parle de précarité énergétique ; on réquisitionne des logements vacants et on encadre les loyers. La difficulté des gouvernants à réformer structurellement explique la réplique sociale orchestrée par un syndicalisme essoufflé. 

     

    Voici que l’économie se cherche une autre voie, plus solidaire. Un peu plus humaniste. C’est, en tous cas, ce que prédisent certains économistes : la construction d’une société mieux adaptée à la transformation donnera l’avantage à l’usage. L’économie de partage va désacraliser la propriété. Le capitalisme n’a qu’à bien se tenir ! 

     

    L'exemple de Marius, Fanny et des autres…

     

    Marius, lui, la crise il l’a connue ! Chômage, minima sociaux, petits boulots.

    Bref, précarité. Mais depuis quelques mois, Marius a retrouvé le sourire, du travail et un logement suffisamment grand pour y installer confortablement sa petite famille, son épouse Fanny et sa petite fille Manon. Ils viennent d’emménager dans un quatre pièces de fonction que son nouvel employeur, Monsieur Panisse, a mis à sa disposition dans un immeuble moderne, qui vient d’être officiellement inauguré par le ministre de la Reconstruction. Monsieur Panisse y a aussi installé ses bureaux au 9ème étage. 

     

    > Retrouvez l'intégralité de l'article paru dans Immoweek mai-juin 2016 en cliquant ici

     

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    news-93 Thu, 07 Jan 2016 17:04:00 +0100 Les équipes La Française organisent les matinées de Raspail le 20 janvier 2016 /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/les-equipes-la-francaise-organisent-les-matinees-de-raspail-le-20-janvier-2016/ Xavier Lépine et les équipes La Française Retail organisent les matinées de Raspail le 20 janvier de 9h à 13h dans leurs nouveaux locaux du 128, boulevard Raspail Paris 6e. Les équipes Retail de La Française organisent les matinées de Raspail le 20 janvier 2016 de 9h à 13h dans leurs nouveaux locaux du 128, boulevard Raspail, Paris 6e.

    Au programme :

    9h15 : Notre lecture de marchés et nos convictions pour démarrer 2016
    par Pascale Auclair

    9h45 : Au coeur de la gestion...
    Echangez directement avec nos gérants sur les thématiques suivantes : 
    - Coeur de Portefeuille 
    - Rendement
    - Actions
    - Services Gestion Privée

    11h00 : En direct de la gestion immobilière...
    Les enjeux immobiliers et nos convictions pour l'année 2016
    par Marc Bertrand

    11h30 : Les solutions d'investissements par Thierry Sevoumians

    mercredi 20 janvier de 9h à 13h
    128 boulevard Raspail, Paris 6e 
    #MatinéesRaspail

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    news-91 Mon, 18 Jul 2016 16:29:00 +0200 La Française AM mandatée pour gérer le portefeuille obligataire de FGDR /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-am-mandatee-pour-gerer-le-portefeuille-obligataire-de-fgdr/ Le Fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR) a mandaté La Française AM ainsi qu’Axa IM, Candriam et Edmond de Rothschild pour gérer son portefeuille obligataire depuis le 11 juillet 2016.

    Ce portefeuille s’élève à environ 1 milliard d’euros. La Française AM a été retenue afin d’élargir l’univers de placements et pour assurer un pilotage dynamique en s’adaptant aux conditions du marchés tout en remplissant les objectifs de gestion définis par le FGDR. 

    > Pour en savoir plus, cliquez ici.

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    news-90 Thu, 07 Jan 2016 10:23:00 +0100 Xavier Lépine a participé à l’écriture du livre « La Banque, reflet d’un monde en train de naître ». /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-a-participe-a-lecriture-du-livre-la-banque-reflet-dun-monde-en-train-de-naitre/ Cet ouvrage collectif réalisé par Athling sous la direction de Pierre Blanc a pour ambition de décrypter les évolutions de notre monde et proposer des scénarios pour le futur pour mieux inventer la banque de demain grâce à 120 visions de « non banquiers ».

    Y sont repris les thèmes chers à Xavier Lépine qui sont des enjeux d’avenir : les territoires à défricher, les évolutions du travail, les risques sociétaux et surtout les vertus de l’agilité et de l’adaptabilité.

    Retrouvez ces pages ici.

    Retrouvez les publications d’où sont extraits ces textes : « ça va péter ? » et « vers une finance plus responsable » 

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    news-88 Mon, 12 Oct 2015 17:59:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert l’immeuble « Techniparc » à Serris (77) pour le compte de sa SCPI d’entreprise LFP Opportunité Immo /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-limmeuble-techniparc-a-serris-77-pour-le-com/ La Française REM a acquis le Bâtiment A dans le « Techniparc » situé 8 avenue Christian Doppler au cœur du Parc d’entreprises Val d’Europe auprès des sociétés JERICHO & GCI. Cette acquisition est réalisée pour le compte de LFP Opportunité Immo. Créée en 2012, la SCPI LFP Opportunité Immo s’est aujourd’hui imposée dans le paysage des SCPI d’entreprise, avec un positionnement unique sur le secteur « Locaux d’activités » en réponse au besoin des PME-PMI ou d’entités locales d’entreprises de taille plus importante. La SCPI a vu sa capitalisation passer de 40 M€ au 31/12/2014 à plus de 65 M€ au 30/09/2015.

    Livré en avril 2006, le bâtiment développe une surface totale de 2724 m² à usage mixte activités/bureaux et dispose de 58 places de parking.

    L’immeuble est entièrement loué à trois locataires.

    La Française REM était assistée par l’étude l’Office Notarial « Gibert et Associés », les sociétés JERICHO & GCI par l’Etude Panhard et Associés. Pour en savoir plus, Cliquez ici pour accéder au communiqué de presse dans son intégralité.

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse

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    news-76 Wed, 03 Jun 2015 16:55:00 +0200 La Française accueille au sein de son Conseil de Surveillance Philippe Marini et Jean-Baptiste de Franssu /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-accueille-au-sein-de-son-conseil-de-surveillance-philippe-marini-et-jean-baptiste-de-fr/ Depuis 2006, La Française a choisi une structure de gouvernance qui repose sur un Directoire et un Conseil de Surveillance. Visant à répondre aux meilleurs standards en matière de gouvernance, La Française ouvre ainsi son Conseil de surveillance à deux personnalités externes au Groupe, indépendantes et véritables spécialistes du secteur immobilier et financier. Jean-Baptiste de Franssu et Philippe Marini intègrent le Conseil de Surveillance de La Française rejoignant ainsi André Halipré, Vice-Président de la Caisse Fédérale du Crédit Mutuel Nord Europe et Eric Charpentier, Directeur Général du Crédit Mutuel Nord Europe.

    Philipe MARINI

    Philippe Marini est Maire de Compiègne, Président de l’Agglomération de la Région de Compiègne (ARC) et Président du SMVO (Syndicat Mixte de la Vallée de l’Oise). Il est également membre du Conseil de Surveillance de la société Gimar et Cie depuis 1999, il en est devenu le 8 janvier 2015 le Président du collège de Gérance.

    Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, titulaire d'une licence en droit de l'université Paris II, ancien élève de l'ENA, Philippe Marini a été successivement Directeur adjoint (1979-1982) puis Directeur des services financiers du Commissariat à l'énergie atomique (1982-1989), et simultanément administrateur directeur financier de CEA industrie. Au sein du secteur financier privé, il devient ensuite membre du directoire de la Banque Arjil (1989-1994), puis vice-président du Conseil de surveillance de Kleinwort-Benson-Gimar et Cie, et avocat au barreau de Paris, président du comité permanent du centre Euroarbitrage spécialisé dans le règlement des litiges en opérations de marché. Philippe Marini a également été membre du conseil de surveillance de Guyenne et Gascogne S.A. jusqu’en avril 2010.

    Sénateur de l’Oise de 1992 à 2015, Philippe Marini est Rapporteur Général de la Commission des Finances de 1998 à octobre 2011 et accède ensuite à la Présidence de la Commission des Finances qu’il exerce jusqu’en octobre 2014. Philippe Marini démissionne de son mandat de Sénateur le 7 janvier 2015.

    Jean-Baptiste DE FRANSSU

    Jean-Baptiste de Franssu est Président de INCIPIT, Cabinet de conseil en Fusions & Acquisitions qu’il crée en 2011. Il est administrateur d’ACOFI SCA, de Petercam S.A. et Tages LLP. Il est également Président du conseil de surveillance de l’Institut pour les Oeuvres de Religion (IOR) depuis juillet 2014.

    Diplômé de l’ESC Reims et titulaire d’un DEUTS en actuariat de l’institut Pierre et Marie Curie, Jean-Baptiste de Franssu débute en tant que rédacteur financier au journal Investir. Il occupe dès 1987 la fonction de Directeur à TGF, filiale de La Caisse des Dépôts et Consignations. En 1990, il prend la direction d’Invesco Europe et devient membre du comité d’Invesco Worldwide Management en 2000, poste qu’il conserve jusqu’en octobre 2011.

    En 2007, Jean-Baptiste de Franssu est élu Vice-Président de L’EFAMA (European Fund and Asset Management Association) dont il prend la présidence en 2009 jusqu’en 2011.

     

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    news-74 Mon, 09 Nov 2015 16:50:00 +0100 1 mois - 1 clin d'oeil, octobre 2015 : BCE en fin d'année ? /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/1-mois-1-clin-doeil-octobre-2015-bce-en-fin-dannee/ 2016 sera décidément l’année des Banques Centrales

    Il aura en effet suffi en octobre d’une annonce de Mario Draghi précisant une possible prolongation début décembre du Quantitative Easing de la BCE pour débloquer des marchés financiers grippés par un été compliqué.

    Bonne nouvelle donc, même s’il serait préférable de voir des marchés entrainés par un stimulant plus naturel : une croissance économique diffuse et solide !

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    news-69 Mon, 23 Nov 2015 16:01:00 +0100 La Française nomme Pierre Schoeffler Conseiller du Président /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-nomme-pierre-schoeffler-conseiller-du-president/ La Française est plus que jamais engagée dans l’investissement responsable et la RSE. Aujourd’hui l’intégration de la dimension responsable dans les process d’investissement que ce soit dans la gestion actions, via son partenaire IPCM, ou dans l’immobilier, est opérationnelle. Les équipes et les moyens ont été déployés et continueront à l’être au niveau de chacune de ces entités afin de consolider cette approche d’intégration.

    En tant que Conseiller du Président, Pierre Schoeffler sera en charge de la RSE Groupe. Il aura pour mission de veiller à l’orientation et l’intégration de la dimension RSE de La Française et de promouvoir l’engagement du Groupe dans ce domaine, tant au niveau corporate, qu’au niveau de l’asset allocation globale ISR. Il continuera ainsi à assurer son rôle de Senior Global Asset Allocation en y incluant désormais la dimension ISR.

    « Depuis plus d’un an désormais je travaille pour La Française sur les sujets d’asset allocation. Tout naturellement il faisait sens d’intégrer dans cette mission l’investissement socialement responsable ou SAI, selon la démarche propre à La Française. Cette approche innovante s’inscrit pleinement dans la continuité de la recherche d’une performance de long terme asymétrique. Au-delà, il fait sens de porter, pour l’ensemble du groupe, son engagement RSE.» souligne Pierre Schoeffler

    Pierre Schoeffler est ingénieur diplômé de l'Ecole Polytechnique ainsi que de l'Ecole Nationale de la Météorologie. Il a commencé une carrière de chercheur en Mécanique des Fluides avant de rentrer au Crédit Commercial de France comme stratégiste de portefeuille. Il est progressivement nommé responsable de la Gestion Actif-Passif de la banque et prend la direction du Département d'Etudes Economiques et d'Analyses Financières. En 1990 il quitte le CCF pour fonder la succursale parisienne de la banque suédoise Svenska Handelsbanken et lancer les activités de banque d'investissement en France. En 2004, il quitte Svenska Handelsbanken pour fonder S&Partners, société de conseil en allocation stratégique d’actifs financiers et alternatifs dont l’immobilier.pour servir une clientèle à la fois exigeante et spécifique.

    Pierre Schoeffler est Président de S&Partners, et Senior Advisor de l'IEIF.

    Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici

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    news-68 Tue, 17 Feb 2015 15:58:00 +0100 Avec 1,1 milliard de collecte et près de 950 millions d’euros de transactions, La Française Global REIM se hisse parmi les 10 premiers acteurs européens /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/avec-11-milliard-de-collecte-et-pres-de-950-millions-deuros-de-transactions-la-francaise-global-r/ 2014 consacre la stratégie de La Française initiée sur son pôle immobilier ces deux dernières années : La Française Global REIM a ainsi réalisé plus de 1,1 Md € de collecte auprès d’investisseurs européens et asiatiques et a opéré un volume global de transactions de près de 950 M€ sur l’année en France et en Allemagne pour le compte de ses fonds immobiliers et de ses mandats.

    La plateforme immobilière européenne de La Française Global REIM, bâtie autour de La Française REM et de La Française REP, basées à Paris, ainsi que de La Française Forum REP (ex CWI), basée à Londres et Francfort, affiche des encours en hausse de 20% par rapport à 2013 atteignant son plus haut historique à 11,5 Mds €, 20% des transactions annuelles ayant été effectuées hors France.

    Les équipes d’investissement France ont réalisé 500 M€ d’acquisitions sur le marché français pour le compte des fonds gérés en bureaux et commerces.

    L’année 2014 s’illustre notamment par plusieurs opérations significatives :
    - Le Jazz – Boulogne-Billancourt (92), conçu par l’architecte Carlos Ferrater, certifié HQE, d’une surface de 6 964m² – Prix d’acquisition : 70,7 M€ (Locataire Michelin)
    - La Tour AVISO – Puteaux (92), rénovée en 2011 et labellisée HQE, d’une surface totale de 10 851m² – Prix d’acquisition : 88,8 M€ (Locataire Sony)
    - Les Panorama Seine & Dockside – Issy-les-Moulineaux (92), conçus par les architectes Patrice Novarina et Atelier midi, d’une surface utile de 9 987m² de bureaux – Prix d’acquisition : 86,5 M€ (Locataire Sodexo)

    De plus, dans le cadre des mandats confiés, La Française a acquis différents actifs de bureaux, commerces et tourismes en France à hauteur de 220 M€ pour plusieurs grands investisseurs institutionnels français.

    L’année 2014 a confirmé la montée en puissance des bureaux de gestion de Londres et Francfort en termes d’investissement et de collecte avec plus de 200 M€ de collecte en fonds et mandats, investis principalement en Allemagne.
    Le groupe a procédé au « closing » de PuRetail à hauteur de 160 M€ (hors effet de levier), vise 250M€ d’investissements dont 131M€ déjà investis en Allemagne, Suède et France. Par ailleurs La Française prépare au Royaume-Uni, le lancement tout début 2015 de UK Shopping Center, un fonds spécialisé sur le commerce.

    Les investissements en immobilier d’habitation ont connu une évolution particulièrement positive par la montée en puissance d’investissements réalisés pour le compte d’institutionnels sur le marché français et ce au-delà des investissements réalisés pour le compte des SCPI à destination du « Retail ». Par ailleurs, 2014 marque un tournant avec le succès remporté dans la compétition pour le fonds viager institutionnel CERTIVIA. On assiste donc à une institutionnalisation de notre activité habitation. Les équipes d’investissement ont ainsi réalisé au global 60 M€ d’acquisition sur l’année sur le marché résidentiel neuf en France. 

    Le rythme de collecte en SCPI auprès des partenaires s’est maintenu avec près de 330 M€ brut collectés. La stratégie d’internationalisation des investissements des SCPI de la Française a démarré au sein de certaines des SCPI existantes (Epargne Foncière, Multimmobilier 2, Pierre Privilège) mais également au travers du lancement de nouveaux véhicules tels que la SCPI LFP Europimmo fin 2014. LFP Europimmo a ainsi collecté près de 10 M€ en quelques semaines et réalisé un premier investissement en début d’année en 1ère couronne de Francfort :
    - Offenbach Harbor – Allemagne, d’une surface de 6 030m² – Prix d’acquisition : 20 M€ (Locataire Saint-Gobain)

    Les OPCI professionnels représentent près de 3 Mds € pour le compte de clients français et européens. 
    Après plusieurs années de très bonnes performances, LFP OPSIS Patrimoine, 1er OPCI Grand Public lancé en 2009, est désormais référencé dans la plupart des plateformes et contrats d’assurance vie de la place. Sous forme d’unité de compte d’assurance vie, LFP OPSIS Patrimoine est une alternative au contrat en Euro.

    L’offre immobilière du groupe s’est élargie au travers de son partenariat avec Forum Partners notamment sur la dette immobilière, le private equity immmobilier et la gestion de fonds immobiliers cotés.
    Le fonds de foncières cotées géré en performance absolue, La Française-Forum Global Securities Real Estate Income, a collecté près de 80 M€ pour sa 1er année de lancement et vise un encours de 200 M€ sur l’année, notamment au travers de son référencement sur le marché français.

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    * Classement IPE « Top 100 Investment Management Survey – Office Europe »

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    news-67 Wed, 04 Nov 2015 15:55:00 +0100 La Française et Gonet&Cie s’associent dans la distribution de fonds en Suisse /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-et-gonetcie-sassocient-dans-la-distribution-de-fonds-en-suisse/ La Française, groupe de gestion international avec plus de 50 milliards d’euros d’actifs sous gestion et plus de 500 professionnels répartis en Europe et en Asie, et Gonet&Cie, Banquiers privés suisses, annoncent la signature d’un partenariat dans le domaine de la distribution de fonds en Suisse. Cette alliance se concrétisera par la création d’une joint-venture (sous réserve de l’agrément nécessaire). 

    Riche de son expérience internationale, La Française reconnaît l’importance d’une présence locale forte comme facteur déterminant de succès pour la promotion de ses compétences de gestion et voit en Gonet&Cie le partenaire idéal pour servir une clientèle à la fois exigeante et spécifique.

    Gonet&Cie bénéficiera du savoir-faire et de la notoriété du Groupe La Française pour diversifier ses relais de croissance, développer un métier complémentaire à son activité-cœur de gestion de fortune privée et asseoir sa présence auprès des intermédiaires financiers et des investisseurs institutionnels (caisses de pensions - le système de pension suisse figure parmi les trois plus importants d’Europe - family offices, gérants indépendants, banques, etc.).

    L’entité nouvellement créée distribuera en Suisse les solutions d’investissement de La Française et de ses affiliés. 

    Les deux partenaires ambitionnent de développer également une offre spécifique et adaptée aux besoins des investisseurs institutionnels du Moyen-Orient, en s’appuyant notamment sur la présence de Gonet&Cie à Abu Dhabi.

    Cet accord de coopération sera également l’opportunité d’étudier la création d’un fonds investi en actions suisses - dont la gestion sera confiée à Gonet&Cie -, qui fera appel à l’expertise d’Inflection Point Capital Management UK Ltd., société londonienne de conseil en « Strategically Aware Investing » (SAI), une méthodologie d’analyse intégrant au-delà des critères ESG traditionnels la capacité d’innovation, l’adaptation et la réactivité des entreprises.

    Philippe Lecomte, CEO de La Française International, constate : « Jusqu’à présent La Française avait privilégié un dispositif délocalisé pour couvrir le marché suisse. Nous cherchions néanmoins un partenaire local, indispensable pour accélérer notre développement compte tenu des spécificités, notamment régionales et règlementaires, du marché suisse. Notre complémentarité avec Gonet&Cie prend tout son sens, alliant un acteur à forte notoriété locale aux forces de La Française en termes de déploiement de produits de gestion. »

    Pour Serge Robin, Associé de Gonet&Cie en charge de l’asset management : « Notre collaboration  avec La Française, un acteur de référence en pleine croissance dans la gestion d’actifs en Europe, s’inscrit dans notre stratégie de développement et de diversification valorisant de manière durable notre profil de banque suisse. Outre qu’il permet à Gonet&Cie de se positionner auprès de certains investisseurs institutionnels, ce partenariat concrétise une forte convergence d’intérêts et de convictions dans une industrie en pleine mutation. »

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    news-65 Thu, 29 Jan 2015 15:51:00 +0100 Xavier Lépine élu « Professionnel de l’année », lors de la cérémonie des Pierres d’ Or 2015 d’Immoweek /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-elu-professionnel-de-lannee-lors-de-la-ceremonie-des-pierres-d-or-2015-dimmowe/ Le monde de l’immobilier d’entreprise était réuni hier soir pour célébrer les meilleurs professionnels de l’année 2015. La très attendue « Pierre d’Or » du « Professionnel de l’Année » a été attribuée à Xavier Lépine, président du Groupe La Française, récompensant ainsi l’expertise immobilière du Groupe.

    Les Pierres d’Or ont pour objectif de mettre en valeur l’action des professionnels de l’immobilier. Elles récompensent l’un d'entre eux, par catégorie d'activité, par l'intermédiaire du vote des seuls professionnels.

    Un Grand merci à tous les votants.

    Retrouvez le portrait de Xavier Lépine paru dans le guide des Pierres d’Or 2015 : cliquez ici

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    news-64 Mon, 14 Sep 2015 15:49:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert l’immeuble « Le Chanzy » à Charenton-le-Pont (94), pour le compte de deux de ses SCPI /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-limmeuble-le-chanzy-a-charenton-le-pont-94/ La Française REM a acquis auprès de l’Immobilière Dassault l’immeuble « Le Chanzy » situé 18 avenue Winston Churchill à Charenton-le-Pont (94220), dans le prolongement du pôle de bureaux des 12e et 13e arrondissements de Paris.

    Construit dans les années 90 puis rénové en 2013, l’actif développe une surface locative totale de 4 448 m² répartie sur :

    - huit niveaux à usage de bureaux, dont le dernier permettant d’accéder à 2 terrasses privatives ;

    - et deux niveaux de sous-sol abritant des locaux d’archives ainsi que 69 emplacements de stationnement.

    L’immeuble est entièrement loué à onze locataires.

    La Française REM était assistée par l’étude 14 Pyramides Notaires. L’Immobilière Dassault était assistée de l’étude Monassier, de Catella et du Crédit Foncier Immobilier. 

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse

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    news-62 Fri, 05 Jun 2015 15:45:00 +0200 "La fin du monde ?" : le point de vue de Xavier Lépine paru dans les Echos /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-fin-du-monde-le-point-de-vue-de-xavier-lepine-paru-dans-les-echos/ Xavier Lépine donne son point de vue dans la presse en rapprochant : accélération technologique, crise financière et réchauffement climatique. « L’innovation technologique et la vague d’Internet remettent en question les modèles professionnels et les méthodes de travail favorisant l’éclosion de nouveaux « business model » (Uber, Airbnb…). Elles bouleversent aussi les cadres et les pratiques de la vie courante, provoquant de nouvelles précarités et exacerbant le sentiment d’incertitude qui plombe l’initiative et renforce les comportements attentistes. […] »

    > Pour en savoir plus, cliquez ici 

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    news-61 Wed, 25 Nov 2015 15:43:00 +0100 La Française déménage ! /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-demenage/ A partir du 14 décembre, La Française déménage et s'installe rive gauche au 128 boulevard Raspail dans le 6e arrondissement.

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    news-60 Wed, 15 Oct 2014 15:41:00 +0200 La Française Real Estate Partners renforce son organisation pour accompagner le développement de son activité /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-partners-renforce-son-organisation-pour-accompagner-le-developpement-de-son-1/ La Française Real Estate Partners renforce son organisation et annonce deux nominations. Xavier BARREYAT est nommé Directeur Financier, Directeur de l’Asset & Portfolio Management et Thomas AUBERT est nommé Investment Manager. Dans un esprit entrepreneurial orienté clients et résultats,  La Française Real Estate Partners déploie pour le compte de ses clients une offre de gestion de mandats immobiliers dédiée à partir de stratégies Core/Core+ mais aussi Value Added et Opportuniste.

    Lancée en juin 2014 et dirigée par Patrice GENRE,  La Française Real Estate Partners, s’adresse aux clients institutionnels français et internationaux de premier rang désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de sourcing, d’acquisition, d’Asset Management et de reporting.

    Xavier BARREYAT, 40 ans, rejoint La Française Real Estate Partners en tant que Directeur Financier, Directeur de l’Asset & Portfolio Management. Xavier Barreyat a la responsabilité des équipes d’Asset et de Portfolio Management. A ce titre, il assure l’ensemble de la gestion des immeubles et des sociétés gérés pour le compte d’investisseurs institutionnels.

    Xavier Barreyat a plus de 18 ans d’expérience dans les secteurs de la finance et de l’Asset Management dont 10 ans comme Directeur Financier & Responsable du Portfolio Management de DTZ Asset Management. Il a débuté sa carrière chez Deloitte en tant qu’auditeur financier.

    Xavier Barreyat est expert comptable diplômé et titulaire d’un Master en Audit de Paris Dauphine.

    Thomas AUBERT, 31 ans, rejoint  La Française Real Estate Partners en tant que Investment Manager.

    Depuis 2007 au sein de  La Française et après avoir travaillé dans l’équipe d’investissement immobilier, Thomas a été gérant d’un fonds de fonds immobilier puis gérant d’un fonds de dette immobilière. Son expérience significative lui permettra de répondre aux attentes des clients en termes de sourcing d’opérations et de suivi des acquisitions.

    Thomas Aubert est diplômé de l’ESTP et titulaire d’un Master en Finance de l’Université Paris Dauphine.

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    news-59 Fri, 08 Nov 2013 15:40:00 +0100 Xavier Lépine a signé, au nom de La Française REM la Charte pour l'efficacité énergétique des bâtiments tertiaires publics et privés /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-a-signe-au-nom-de-la-francaise-rem-la-charte-pour-lefficacite-energetique-des-batime/ Le 31 octobre 2013, Xavier Lépine a signé la Charte pour l'efficacité énergétique des bâtiments tertiaires publics et privés, aux côtés de Cécile Duflot, ministre de l'Egalité des Territoires et du Logement, Philippe Martin, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie et d'autres acteurs du secteur tertiaire.

    Pour l’événement Xavier Lépine, président du Directoire de La Française, était accompagné de Marc Bertrand, Directeur général de La Française REM, Eric Allard, Directeur de l'Asset management Immobilier d'Entreprise et Céline Croquet, Chargée de mission Développement Durable.

    Cette charte propose les critères de l’obligation de rénovation énergétique pour les bâtiments tertiaires publics et privés entre 2012 et 2020. 

    Avec près de 44% de la consommation d’énergie en France, le bâtiment est le  secteur économique le plus énergivore et génère près du quart des émissions nationales de gaz à effet de serre. Les signataires s’engagent à réduire la consommation énergétique de leurs parcs en entreprenant des travaux de rénovation sur les équipements techniques, en améliorant l’exploitation et en sensibilisant les utilisateurs.  Chacun des signataires fixe des objectifs chiffrés à atteindre et s’engage, à intervalles réguliers, à communiquer sur les résultats obtenus. 

    Les 30 signataires engagés volontaires souhaitent que cette charte éveille un mouvement d’ensemble quant à l’amélioration de l’efficacité énergétique, du bien-être des utilisateurs des locaux et de l’activité économique de la filière du bâtiment et de l’immobilier.

    «La transparence de la démarche est remarquable, a souligné Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable. Nous saurons ce que les signataires, propriétaires comme utilisateurs, ont mis en place, les coûts engendrés, les difficultés qu’ils ont rencontré, la valorisation de leurs actifs…». «C’est un bon état d’esprit qu’ont ces «pionniers», a salué Cécile Duflot. Ils ont compris que le champ d’économies est vaste et qu’ils pouvaient améliorer la valeur verte de leur patrimoine. Il faut souhaiter qu’ils provoqueront un effet d’entraînement sur les autres acteurs de l’immobilier».

    « Depuis 2010 La Française REM a élaboré  dans le cadre de l’engagement ISR du groupe, un plan d’actions visant à  prendre en compte l’amélioration de la performance énergétique  des actifs qu’elle gère. Le travail de mesures qui a été engagé dès l’origine en collaboration avec l’ADEME a servi de base pour la rédaction et la publication fin 2011 des « enseignements de la cartographie énergétique d’un parc tertiaire ». Ces enseignements ont pendant longtemps servi de référence pour mettre en avant la soutenabilité du projet  proposé  par le  Plan Bâtiment Durable. 

    Dans la continuité, La Française REM a développé des modes opératoires adaptés pour la réalisation de travaux et la mise en place des annexes environnementales. Enfin, en sa qualité de  membre fondateur de l’Observatoire de l’Immobilier Durable, La Française REM est très investie dans la réflexion sur la problématique environnementale  et met à disposition de nombreux groupes de réflexion ses retours d’expérience ainsi que ses analyses. Cette position de leader reconnue et son engagement justifient donc la décision de La Française REM de signer la charte. », Xavier Lépine, Président du Directoire du Groupe La Française.  

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    news-56 Thu, 22 Oct 2015 15:29:00 +0200 La Française Real Estate Managers (REM) acquiert le 400 Promenade des Anglais à Nice (06) /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-real-estate-managers-rem-acquiert-le-400-promenade-des-anglais-a-nice-06/ La Française REM a acquis auprès de Credit Suisse Asset Management Kapitalanlagegesellschaft mbH, l'immeuble situé au 400 Promenade des Anglais à Nice, au sein de l’Arénas, premier centre d’affaires international des Alpes Maritimes qui est actuellement au cœur de nombreux projets d'infrastructures (et notamment le projet de Tramway Est/Ouest).

    Cet immeuble est venu remplacer une église, détruite en 2003, mais réintégrée au rez-de-chaussée du nouveau bâtiment (division en volume).

    Son architecture contemporaine en forme d’ellipse se distingue au sein de l’Arénas. Le bâtiment a par ailleurs remporté la Pyramide d’Or (prix de l’immobilier d’entreprise) en 2005.

    L'ensemble est loué à 17 locataires et développe une surface utile d'environ 10 600 m² à usage principal de bureaux et offre de bonnes prestations : faux plafond, faux plancher, salles de réunions, double vitrage, chauffage / climatisation, hall d’accueil, patio intérieur.

    L’acquisition a été faite pour le compte de quatre SCPI gérés par le groupe.

    Dans cette transaction, l’Etude PYRAMIDE 14 (Maître Gourret) conseillait l’acquéreur et l’étude THIBIERGE (Maître MIARA) conseillait le vendeur. La transaction a été réalisée conjointement par CBRE et SAVILLS dans le cadre d’un mandat co-exclusif de vente.

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse

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    news-35 Thu, 11 Dec 2014 11:58:00 +0100 La Française dévoile sa nouvelle image, symbole d’unité de ses 4 piliers métiers /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/la-francaise-devoile-sa-nouvelle-image-symbole-dunite-de-ses-4-piliers-metiers/ Forte d’une notoriété tissée autour de ses quatre pôles métiers, La Française après plus de 3 ans de développement intensif finalise sa mue et présente sa nouvelle identité visuelle. Le Groupe s’approprie ainsi une nouvelle image symbolisant son nouvel ordre de marche, résolument international et ancré sur ses 4 piliers. Forte d’une notoriété tissée autour de ses quatre pôles métiers, La Française après plus de 3 ans de développement intensif finalise sa mue et présente sa nouvelle identité visuelle. Le Groupe s’approprie ainsi une nouvelle image symbolisant son nouvel ordre de marche, résolument international et ancré sur ses 4 piliers.

    Elle représente également la relation de confiance qu’elle entretient avec ses « affiliates ».

    Plus moderne, fédérateur, dynamique, et visible, cette nouvelle identité exprime les valeurs du Groupe que sont la cohésion et la responsabilité, l’audace et la créativité, l’élégance et la finesse, le tout allié à l’expérience et au savoir-faire.

    A cette occasion, le Groupe redessine son 4ème pilier, qui devient La Française Global Direct Financing, et renomme le pilier Asset Management en La Française Global Asset Management. Au sein de ce dernier, La Française des Placements prend le nom de La Française Asset Management.

    Cette démarche s’inscrit dans la dynamique de cohésion entre les différentes expertises du groupe s’articulant autour de 4 piliers métiers :
    - La Française Global AM (Asset Management) ;
    - La Française Global IS (Investment Solutions) ;
    - La Française Global REIM (Real Estate Investment Management) ;
    - La Française Global Direct Financing ;

    Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française, a déclaré : « Symboliser au travers de notre identité visuelle les nouveaux contours du Groupe était primordial pour être en parfaite cohérence avec notre positionnement, nos valeurs et nos ambitions. La force de notre Groupe repose sur ses 4 pôles métiers et notre capacité à lier et croiser ces expertises pour encore plus d’innovation au service de nos clients : ces 4 boucles en sont le parfait symbole, comme les liens que nous tissons depuis de longue date avec nos clients. »

    L’ensemble des logos sera mis à votre disposition à compter du 16 décembre 2014.

    > Pour en savoir plus, téléchargez le communiqué de presse 

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    news-33 Tue, 27 Jan 2015 11:45:00 +0100 Xavier Lépine président du Directoire La Française, nommé à deux reprises aux Pierres d’Or 2015 d’Immoweek /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/xavier-lepine-president-du-directoire-la-francaise-nomme-a-deux-reprises-aux-pierres-dor-2015-dim/ Xavier Lépine est nommé aux Pierres d’Or 2015 dans la catégorie «Manager 2015» et «Professionnel de l’année». Les Pierres d’Or ont pour objectif de mettre en valeur l’action des professionnels de l’immobilier. Elles récompensent par catégorie d'activité, un d'entre-eux par l'intermédiaire du vote des seuls professionnels.

    Les résultats des votes seront communiqués à l’occasion de la soirée des « Pierres d’Or » le 28 janvier 2015.

    Plus d’information : cliquez icihttp://www.immoweek.fr/nos-evenements/les-pierres-dor/qui-sommes-nous/

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    news-25 Mon, 27 Jun 2016 11:22:03 +0200 Brexit : point sur la situation /fr/nous-connaitre/les-actualites/detail/brexit-point-sur-la-situation/ Les Britanniques ont décidé à une large majorité (51,9%) et avec un taux de participation de plus de 70% de voter pour la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne Impacts politiques

    Ce vote, qui met fin à 43 années d’appartenance à l’Union européenne, aura des conséquences pour le Royaume-Uni et pour l’Union Européenne :

    • Le premier ministre britannique David Cameron a annoncé sa démission du gouvernement sous 3 mois ;
    • L’équilibre des votes en Écosse (favorable au maintien) augure d’un referendum sur son indépendance ;
    • Unité du Royaume-Uni profondément touchée, probable affaiblissement sur la scène internationale.

    Ce choix des Britanniques ouvre donc une période d’incertitude, synonyme de volatilité à court terme pour les marchés financiers, au Royaume-Uni comme en Europe.

    Le chemin sera long : calendrier incertain d’activation de l’article 50 qui permet la sortie d’un pays de l’Union européenne, ouverture de deux ans de négociations et approbation de l’accord à la majorité super-qualifiée (20 membres sur 27).

    A cela vient s’ajouter un agenda politique 2016-2017 très chargé qui va mettre la pression sur les partenaires européens pour maintenir l’intégrité de la zone Euro :

    • Élections législatives en Espagne ce dimanche 26 juin ;
    • Référendum constitutionnel en Italie en octobre ;
    • Élections présidentielles en novembre aux États-Unis et en 2017 en France et en Allemagne.

    Le thème de l’Europe « à la carte » pourrait trouver de plus en plus d’adeptes et fragiliser d’autant l’Union européenne. De quoi amplifier encore plus le niveau d’aversion des investisseurs étrangers envers la zone Euro.

    Impacts économiques

    Difficile de mesurer en amont les effets de ce Brexit sur la macroéconomie. Le risque parait clairement asymétrique et dépendra de la mobilisation politique à mettre rapidement en place de nouveaux accords commerciaux et à soutenir l’activité. Quelques pistes à ce stade :

    • Un choc pour l’économie britannique qui peut tomber en récession dès cette année, provoqué par une baisse de la demande intérieure, une division politique au sein du Royaume-Uni, une renégociation annoncée des accords commerciaux…
    • Une contagion plus limitée au reste de la zone Euro, compte tenu du poids non significatif des exportations européennes vers le Royaume-Uni. Néanmoins, les incertitudes vont vraisemblablement entraîner une remontée du taux d’épargne de précaution, une prudence encore plus accrue des entreprises dans leur programme d’investissements et de recrutements et un ralentissement quasi certain des flux internationaux vers la zone Euro. 

    Un seul point d’ancrage fort : la mobilisation des banques centrales. C’est à peu près la seule certitude et la réunion des six pays fondateurs de l’Union européenne ce week-end est également de bon augure. Qu’il s’agisse de la Banque d’Angleterre, de la BCE ou même de la Banque du Japon, les Banques centrales ont les moyens d’intervenir, de façon concertée si besoin, pour garantir l’accès à la liquidité et maintenir autant que possible une stabilité financière

    Impacts marchés

    On s’en doutait, les marchés réagissent forcément violemment à ce Brexit. On retiendra :

    • Actions – Forte sanction à l’international (Japon, États-Unis), relativement moindre sur le cœur de l’Europe, en particulier le Royaume-Uni
    • Zoom : Si le recul avoisine désormais les -10% sur la zone Euro depuis le début de l’année, on est loin du point bas de mi-février, pas de krach donc, même si la séance affiche une amplitude historique.
    • Devises – Recul marqué de la livre sterling, de l’euro et des devises émergentes face au dollar américain
    • Emprunts d’États zone Euro – Baisse contenue des rendements des pays cœur (valeur refuge) et écartement limité des primes de risques sur les États de la périphérie 
    • Obligations d’entreprises – Impact majeur sur les dettes subordonnées bancaires, sur les obligations spéculatives (High Yield) et les obligations convertibles mais maintien d’une certaine liquidité
    • Obligations des marchés émergents – Bonne tenue des primes de risque

    Impacts sur nos stratégies

    Nous avons profité de la hausse des actifs risqués depuis dix jours pour réduire nos expositions et aborder le référendum britannique avec une grande prudence, positionnement qui s’avère pertinent. Il est trop tôt pour considérer une modification majeure de cette stratégie.

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