Faut-il craindre une remontée des taux ? Comment se positionne La Française dans ce marché (les derniers investissements, la gamme) ? Quelle est l’actualité des SCPI La Française ?
Veuillez trouver ci-dessous nos anticipations :
En résumé, la BCE devrait persister dans une baisse graduelle de ses taux directeurs (-25 pbs) en avril puisque le processus de désinflation est en très bonne voie et qu’il est globalement conforme aux prévisions de l’institution. A moins d’un changement de communication de la banque centrale européenne, les réactions des marchés après ce comité devraient rester limitées.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Pre BCE signé François Rimeu
]]>Classification | Actions Monde |
Forme juridique | FCP OPCVM |
Code ISIN | FR00140077F8 (Action IC), FR00140077E1 (Action RC) |
Indicateur de risque | 4 (sur une échelle de 1 à 7, 7 représentant le niveau de risque le plus élevé) |
Durée de placement conseillée | Supérieure à 5 ans |
Objectif de gestion | Cet OPCVM a pour objectif de gestion la recherche d’une performance annuelle nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence Standard & Poor’s 500 sur la durée de placement recommandée. La composition de l’OPCVM peut s’écarter sensiblement de la répartition de l’indicateur. |
Indicateur de référence | Standard & Poor’s 500 |
Affectation résultat | Capitalisation |
Frais de gestion et autre frais administratifs & d’exploitation | Référer au Document d’informations clés |
Coûts d’entrée / coûts de sortie | 2 % / 0 % |
Souscription initiale minimum | 1 action |
Valorisation | Quotidienne |
Risques associés | Risque de perte en capital, risque de marché, risque lié à l’investissement en actions de petite capitalisation, risque d’investissement sur les marchés émergents, risque de change, risque lié aux obligations convertibles, risque de taux, risque de crédit, risque lié aux investissements dans des titres spéculatifs (haut rendement), risque lié à l’impact des techniques telles que les produits dérivés, risque de liquidité, risque en matière de durabilité. |
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La Française Real Estate Managers (REM), agissant pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE, a acquis off-market une résidence de coliving pour seniors, sise 13 avenue du Général Leclerc à Choisy-le-Roi (94) et exploitée par Chez Jeannette, en vertu d’un bail de 12 ans fermes.
L'actif se situe en centre-ville, au pied de la mairie et de son parc, dans un quartier bien desservi par les transports en commun (RER C, arrêt Choisy-le-Roi ; T9, arrêt Rouget de Lisle). L’actif est proche des infrastructures médicales : la clinique SMR de Choisy-le-Roi à 280 m, un cabinet infirmier à 400 m et une pharmacie à 350 m.
L’acquisition porte sur une maison de maître construite à la fin du 19ème siècle. Elle est constituée d’une bâtisse principale et de deux pavillons en retour sur les ailes droite et gauche. Avec son jardin de 300 m2 exposé plein sud, la maison s’élève sur trois étages (R+3). Elle sera transformée en habitat partagé (surface totale de 538 m2 Carrez) pour seniors avec services (responsable de maison dédié à la colocation et auxiliaires de vie), qui pourra accueillir 12 colocataires (11 chambres avec salles de bains dans la bâtisse principale et 1 appartement indépendant dans l’aile gauche). Les travaux de transformation en coliving, incluent des actions permettant d’améliorer les caractéristiques durables de cet actif (par exemple, isolation thermique par l’extérieur et l’intérieur, peintures intérieures et revêtements de sols non émissifs en polluants, récupération des eaux de pluie) et d’atteindre une bonne performance énergétique. Ils sont financés par LF Avenir Santé dans le cadre de l’acquisition.
Le concept de Chez Jeannette s’inscrit pleinement parmi les nouveaux usages de prise en charge des personnes âgées, en proposant une alternative aux solutions existantes d’accompagnement des seniors en perte d’autonomie et en développant le modèle d’habitat partagé et accompagné. L'objectif de Chez Jeannette est de fournir un service d’accompagnement, de créer du lien social et de développer un cadre de vie à domicile.
Jérôme VALADE, Directeur du Pôle Immobilier de Santé de La Française REM a conclu : « Nous sommes ravis de renouveler cette expérience de transformation en coliving aux côtés de l’exploitant Chez Jeannette avec qui nous partageons une vision commune pour la prise en charge des seniors, adaptée aux nouveaux besoins et usages. Cette réhabilitation complète d’un hôtel particulier situé en plein cœur de ville, embarquant une amélioration des performances environnementale d’un actif existant, et permettant le déploiement de l’activité d’un opérateur au service des personnes fragilisées, répond parfaitement à la stratégie d’investissement de notre fonds.
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par 14 PYRAMIDES (Me Louise Bonnet-Kinget) pour l’audit notarial, ARCHERS (Me Marlène Benoist Jaeger) pour le montage juridique, NERCO (Florence Gilg) pour l’audit technique et par les équipes de Wüest Partner pour l’audit ESG.
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LF Avenir Santé est labellisée ISR.
Risques associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.
Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.
Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
À propos de La Française
Le groupe La Française propose une offre de gestions de conviction spécialisées alliant objectifs de performance et de durabilité sur toutes vos classes d’actifs. Notre architecture multi spécialistes permet à nos gérants de se concentrer pleinement sur ce qui les passionne chacun dans sa spécialité.
Notre actionnaire, le Crédit Mutuel Alliance Fédérale, groupe mutualiste, première banque à mission, inspire notre sincérité dans l’investissement responsable qui crée une relation de confiance autour de la gestion durable. Nos équipes ont développé un savoir-faire de pointe sur les nombreuses facettes de l’ESG qui se diffuse dans toutes nos activités et analyses.
Notre approche partenariale de la relation client alliée à la créativité de nos équipes toujours à votre écoute permet la conception de solutions et services innovants adaptés à votre situation et à vos horizons de placement.
Le groupe La Française est le pôle d’expertise de gestion d’actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Avec 157 milliards d’euros d’actifs sous gestion (31 décembre 2024), nous sommes un acteur majeur de la gestion d’actifs en France et en Europe. Avec 1 000 collaborateurs mobilisés, nous sommes présents dans 10 pays, aux côtés de nos clients et proches des marchés dans lesquels nous investissons. Nos expertises spécialisées couvrent les actifs cotés et non cotés y compris l’immobilier.
Plus d’informations sur la-francaise.com
Contact La Française :
La Française :
Pascale Cheynet: +33 1 43 12 64 25 | pcheynet@la-francaise.com
Debbie Marty : +33 1 44 56 42 24 | debmarty@la-francaise.com
Steele and Holt pour La Française :
Manon Camescasse + 33 6 42 01 56 47 | manon@steeleandholt.com
Avertissement
Publié par La Française FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
Pour toute réclamation, vous pouvez contacter par e-mail le Service Réclamations à l'adresse suivante : reclamations-clients@la-francaise.com
La politique de traitement des demandes d'informations ou des réclamations clients du Groupe La Française est disponible : Politique_de_traitement_des_reclamations.pdf (la-francaise.com)
La commercialisation de la SCPI peut être arrêtée à tout moment par la société de gestion et ou le commercialisateur.
David Martin
Romain Gobert
Christophe Inizan
Gerardo DUPLAT, Head of Business Development, La Française, a commenté : « Cette série de nominations marque une étape phare de la réorganisation de l’équipe de développement, dédiée à la distribution externe en France. Sous la direction de David et avec les contributions de Romain et Christophe, nous continuerons à étendre notre présence en France et renforcer notre empreinte immobilière à travers l’Europe. »
Philippe LECOMTE, Président de La Française Finance Services (la plateforme de distribution de La Française), a conclu : « Après tous les changements structurels opérés en 2024, La Française ouvre une nouvelle page. Forte d’une gamme de produits couvrant les actifs cotés et non cotés, et d’une équipe commerciale expérimentée et multi-expertises, La Française avec le soutien de son actionnaire, Crédit Mutuel Alliance Fédérale, a posé les bases pour un développement commercial fructueux en France et à l’étranger. »
Parcours professionnels :
David MARTIN, Country Head France, bénéficie de trente-deux ans d’expérience sur les marchés financiers qu’il met au service des Investisseurs pour la construction et la gestion de leurs allocations (valeurs mobilières et immobilier). Il a débuté sa carrière en 1993 à Londres en tant que courtier sur le marché obligataire où il développe la clientèle institutionnelle française de CPR (Groupe Crédit Agricole). De 1996 à 2002, David s’ouvre à la gestion pour compte de tiers et intègre le siège parisien de CPR AM pour promouvoir l’ensemble des stratégies de valeurs mobilières développées sur mesure pour les Institutionnels français. En 2002, David rejoint La Française en tant que Directeur Commercial France (institutionnels, wholesale), champ d’action qu’il complètera par sa nomination en tant que Responsable du Développement Commercial Suisse en 2021.
David Martin est diplômé de NEOMA Rouen en finance d’Entreprise et de Marché.
Romain GOBERT, Directeur Commercial Retail France, possède quinze ans d’expérience dans l’industrie de la gestion d’actifs, occupant divers postes commerciaux. Après une courte initiation chez Edmond de Rothschild Asset Management en 2010, Romain intègre CM-CIC Asset Management en tant que responsable commercial, dédié aux investisseurs externes (wholesale, conseillers en gestion de patrimoine indépendants). En 2011, il rejoint La Française où il a passé la majeure partie de sa carrière, développant une expertise notamment en actifs cotés. Pendant dix ans, il a été Responsable commercial, dédié au Retail, avant d’être nommé Directeur Commercial Retail France, pour les actifs cotés.
Romain est titulaire d’un master en Corporate Finance (European Business School) et d’un master en Trading (ESLSCA).
Christophe INIZAN, Directeur de la stratégie commerciale immobilière, a près de trente ans d’expérience dans le secteur immobilier et la gestion d’actifs. Il débute sa carrière en 1994 au sein du promoteur immobilier SAGEC, en qualité de responsable de programme. Par la suite, il rejoint AXA en 1998, comme responsable de clientèle où il développe l’activité B to C auprès d'une clientèle privée. En 2001, il intègre l’Union Française de Gestion, devenue La Française, en tant que Responsable Commercial CGP, en charge du développement de l'offre assurantielle et immobilière. Son parcours au sein du groupe est marqué par une progression constante : en 2009, il est nommé Responsable Commercial - France, en charge des Relations Réseaux. En 2015, il élargit son périmètre en intégrant les actifs côtés et devient Directeur Commercial - Distribution Retail. En 2020, il est nommé Directeur Commercial en charge de l’offre immobilière pour le segment retail.
Christophe est titulaire d’une licence en droit de l’Université de Pau.
À propos de La Française
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Notre approche partenariale de la relation client alliée à la créativité de nos équipes toujours à votre écoute permet la conception de solutions et services innovants adaptés à votre situation et à vos horizons de placement.
La Française est le pôle d’expertise de gestion d’actifs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Avec 157 milliards d’euros d’actifs sous gestion (31 décembre 2024), nous sommes un acteur majeur de la gestion d’actifs en France et en Europe. Avec plus de 1 000 collaborateurs mobilisés, nous sommes présents dans 10 pays, aux côtés de nos clients et proches des marchés dans lesquels nous investissons. Nos expertises spécialisées couvrent les actifs cotés et non cotés y compris l’immobilier.
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Pascale Cheynet +33 1 43 12 64 25 | pcheynet@la-francaise.com
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Steele and Holt pour La Française :
Manon Camescasse +33 6 42 01 56 47 | manonnull@nullsteeleandholt.com
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Émis par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France. Elle est réglementée par l 'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, filiale de La Française.
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1Clean Industrial Deal - European Commission
2Competitiveness of European Energy - Intensive Industries
3Meeting the costs of resilience: The EU's Critical Raw Materials Strategy must go the extra kilometer
4Ibid
5Analysis of Nuclear Fuel Availability at EU Level from a Security of Supply Perspective
6Sweden open to power cable project if Germany reforms, minister say
7Renewable Revolution: A Review of Strategic Flexibility in Future Power Systems
Le Clean Industrial Deal vient donc proposer des mesures concrètes à mettre en œuvre pour venir apporter un soutien rapide à la fois aux entreprises des industries à forte intensité énergétique (eg. secteurs de l’acier, métaux, produits chimiques etc…) , qui ont besoin de se décarboner et s’électrifier sans concurrence déloyale ou complexité réglementaire ; ainsi qu’à celles du secteur des technologies propres (eg. énergie verte, véhicules électriques etc…), qui sont au cœur de la compétitivité future et nécessaires à la transformation industrielle, à la circularité et à la décarbonisation.
Le Clean Industrial Deal s’articule donc autour de plusieurs piliers dont deux majeurs (l’énergie abordable et la circularité) :
L‘énergie abordable4 , qui constitue le premier pilier, inclut des mesures visant à réduire les factures énergétiques des industries, des entreprises et des ménages à court terme, tout en augmentant le taux d’électrification de l’ensemble de l’économie avec pour objectif 32 % en 2030 contre 21,3% aujourd’hui.
La réduction des factures énergétiques pourra passer par un soutien à l'adoption de contrats à long terme d’approvisionnements en énergie propre (Power Purchase Agreements -PPAs & Contracts for Difference -CfDs) avec contre garanties pour les PME-ETI et industries à forte intensité énergétique. Des mesures fiscales sont également évoquées pour donner la possibilité de réduire la taxation de l'électricité à zéro pour les industries à forte intensité énergétique.
L’effort de réduction de la facture énergétique doit également s’accompagner i) d’une accélération du déploiement de l'énergie propre et de l'électrification en Europe, tout en réduisant les délais d'autorisation pour le déploiement des projets ; ii) du bon fonctionnement des marchés du gaz en épurant les taxes et frais actuels.
L’axe de la proposition autour de la circularité (second pilier du Clean Industrial Deal) s’inscrit dans l’ambition de l'UE de devenir le leader mondial de l'économie circulaire d'ici 2030. La proposition sur les matières premières critiques5 prévoit un objectif de taux de recyclage de 25 % à 2030. Cet objectif sera porté par des mesures de soutien pour favoriser le recyclage et ainsi limiter l’export des déchets afin de réduire la dépendance de l’UE à l’égard des matières premières. Ces dernières seront réutilisées, reconditionnées, recyclées et revalorisées dans l’économie. Le potentiel circulaire du marché européen du reconditionnement devrait passer de sa valeur actuelle de 31 milliards d’euros à 100 milliards d’euros d’ici 2030, créant ainsi 500 000 nouveaux emplois6.
Le seul point noir à ce stade est son niveau d’ambition. En effet, seuls 480 milliards d’euros d’investissement à mobiliser ont été mentionnés jusqu’alors par la Commission Européenne tandis que le Rapport Draghi préconisait 750 à 800 milliards d’euros pour redresser la barre. Une fois n’est pas coutume pour les propositions Européennes, l’intention est bonne mais son potentiel d’action ne peut se réaliser sans coordination et ruissellement homogène au niveau national.
Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources considérées comme fiables, mais le groupe La Française ne garantit pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
1The Clean Industrial Deal: A joint roadmap for competitiveness and decarbonisation
2The future of European competitiveness
3Critical raw materials - European Commission
4Affordable Energy - European Commission
5Critical Raw Materials Act - European Commission
6The Clean Industrial Deal: A joint roadmap for competitiveness and decarbonisation
En conclusion, sans surprise, la Fed devrait annoncer une pause sur ses taux directeurs en mars tout en assouplissant ou en arrêtant la réduction de la taille de son bilan. La Réserve fédérale restera déterminée à ramener l’inflation à son objectif de 2 % tout en soutenant le plein emploi. En conférence de presse, Jerome Powell répètera que l’institution doit maintenir une politique monétaire restrictive tant que la convergence de l’inflation vers l’objectif des 2 % n’est pas assurée. En conséquence, la Fed attendra d’évaluer plus clairement les répercussions économiques des réformes de Donald Trump avant d'abaisser ses taux directeurs à un niveau neutre qui se situe entre 3,0 % et 3,5 % selon les estimations (Source : Bloomberg). Dans ce cadre, le FOMC continuera à surveiller les données économiques, l’évolution des perspectives et l’équilibre des risques avant d’ajuster sa politique monétaire. Nous pensons que les marchés financiers réagiront négativement à ce comité monétaire étant donné le renforcement significatif de leurs attentes quant aux futures réductions de taux de la Fed depuis la mi-février. Sur le marché obligataire, la courbe des taux américaine devrait avoir tendance à s’aplatir.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
En résumé, nous n’attendons pas de changement majeur de la BCE en mars. Le conseil des gouverneurs baissera ses taux, probablement à l’unanimité, avec des ajustements mineurs dans ses perspectives économiques. Les réactions des marchés financiers devraient être limitées hormis changement drastique de la communication de la BCE qui ne jugerait plus sa politique monétaire comme restrictive, ce qui n’est pas notre scénario.
(*) Taux qui maintient l’économie au plein emploi avec une inflation stable, mais qui ne peut pas être observé directement.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Source : Banque Mondiale, Bloomberg, fin 2023
L’administration Trump a depuis plusieurs mois fait différentes déclarations à ce sujet et concernant les pays membres de l’Otan en particulier. Ils ont répété que chacun devrait consacrer au moins 2 % de son PIB aux dépenses militaires, conformément à une règle fixée en 2006. En 2023, seul 23 des 32 états membres respectaient cette règle. Le président américain a même évoqué souhaiter que la barre des 5 % du PIB soit atteinte.
Tout cela devrait pousser les européens, graduellement et difficilement, à augmenter leurs dépenses militaires à moyen terme. Des discussions existent déjà pour sortir ces dernières des règles de calcul d’endettement européen. Il ne semble donc pas illusoire d’imaginer que les dépenses militaires pourraient représenter entre 2,5 % et 3 % du PIB des pays de l’Union Européenne à horizon quelques années.
Nous n’avons évidemment aucune idée de la façon dont évolueront les relations entre les grandes puissances actuelles et tout ce que nous venons d’évoquer sera peut-être à oublier dans quelques mois. Malgré tout, un scénario qui demanderait des dépenses militaires substantiellement plus importantes de l’Union Européenne ne semble pas irréaliste à ce stade.
La recherche académique ne montre pas de lien solide entre dépenses militaires et investissement, et donc croissance (Source : Defense Spending and The Economy, Gordon, Adams and Gold, 1987) ; trop de paramètres rentrant en jeu. En revanche, et même si tous les papiers académiques ne sont pas d’accord, une hausse des budgets de défense pourrait entrainer une hausse de l’inflation même si celle-ci ne serait que transitoire (Source : A reexamination of the effect of rapid military spending on inflation, Nourzad, 1987).
Dans cette hypothèse, il est donc probable que les anticipations d’inflation soient orientées à la hausse et que les taux nominaux ne puissent pas baisser du fait d’une croissance nominale soutenue, ce qui favoriserait les taux réels vs nominaux. Les acteurs liés à l’armement verraient leur demande augmenter ce qui jouerait positivement sur leur rentabilité. Enfin, cela ne fait que renforcer notre conviction sur l’or qui apparait ici encore comme la valeur refuge. Au-delà des achats de banques centrales ou de la couverture que celui-ci offre contre le risque inflationniste, le risque de voir « l’ordre global » changer comme rarement dans l’histoire est sans doute le principal argument en faveur de l’or aujourd’hui.
Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources que nous considérons comme fiables, mais nous ne garantissons pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 Boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Source: Swiss Re - How big is the protection gap from natural catastrophes where you are?
Les pouvoirs publics interviennent souvent en dernier lieu pour couvrir le coût des pertes non assurées. A titre d’exemple, le gouvernement espagnol a ainsi promis un financement de plus de €10 milliards7 alloué à la reconstruction après les inondations qui ont frappées la région de Valence en octobre 2024. Face à l’ampleur des conséquences sociales, il a également reconnu la nécessité de mettre en place un plan à long terme pour transformer le territoire et l’adapter aux enjeux de l’urgence climatique qui touchent le bassin méditerranéen.
En effet, afin de se préparer aux défis à venir, les gouvernements doivent adopter des approches proactives pour évaluer les vulnérabilités. En collaboration avec les entreprises et les investisseurs, ils doivent investir dans l’adaptation et la résilience (qualité des infrastructures, préservation des ressources vitales, …), qui ne représentent, selon l’ONU8 , que 21 % du financement international alloué au climat.
Les gouvernements peuvent également agir pour remédier aux inégalités en proposant des aides financières aux populations vulnérables. Ils devraient intervenir en favorisant notamment le taux de couverture de l’assurance et la mise en place de systèmes de micro-assurance, ce qui permettraient de réduire l'impact des chocs sur les finances publiques. De plus, pour les entreprises, il s'agirait d'adapter leurs pratiques afin de réduire leur impact environnemental, tout en impliquant l’amont de la chaîne de valeur, les travailleurs et les communautés locales afin d’assurer une transition juste.
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1Barclays, Sustainable Investing Research - Winter update 2024: What's up with the extreme weather?
2Hurricanes, severe thunderstorms and floods drive insured losses above USD 100 billion for 5th consecutive year, says Swiss Re Institute | Swiss Re (December 2024)
3Los Angeles Times, Estimated cost of fire damage balloons to more than $250 billion
4Counting the cost 2024, a year of climate breakdown, Christian Aid (December 2024)
5Los Angeles Times, State Farm seeks emergency rate increase averaging 22% after L.A. fires
6Swiss Re, sigma Resilience Index 2024
7Les Echos, In Spain, the government releases 10 billion euros for flood victims
8United Nations, Climate Action Fast Facts
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Être à la hauteur de ces enjeux nécessite que les acteurs économiques soient préparés au mieux. Si l’engagement public ne garantit pas l’atteinte des objectifs annoncés, il donne certainement l’opportunité aux différentes parties prenantes de débattre de la robustesse des mesures proposées. Il crée également un effet d’entraînement sur les marchés et accompagne tous les acteurs, quel que soit leur niveau de ressources. Nous noterons d’ailleurs que cinq banques nord-américaines de taille plus réduite ont, pour le moment, pris la décision de rester membres de l’initiative NZBA et de ne pas suivre le départ de leurs compatriotes. Alors que la plupart des grandes banques membres (ou ex-membres) de l’alliance bancaire ont encore, selon un rapport récent de la Transition Pathway Initiative (TPI)13 , un long chemin à parcourir dans leur transition bas carbone, nous soulignons que le travail de l’alliance permet une prise de conscience collective relative à certains efforts restant à accomplir. La publication de nouvelles lignes directrices de la NZBA en mars 2024 soulignait, par exemple, la nécessité de traiter d’un sujet majeur – l’intégration des émissions facilitées (émissions liées aux activités de conseil sur les marchés de capitaux) aux objectifs de décarbonation des banques. En se désengageant, la redevabilité des banques vis à vis de ces initiatives disparaît. Etant donné les urgences mentionnées ci-dessus, nous pouvons bien entendu espérer que les acteurs économiques maintiendront leurs engagements environnementaux et sociaux. Néanmoins, nous pouvons raisonnablement nous demander quelles seraient leurs motivations dans ce contexte politique incertain. Les attentes des investisseurs peuvent bien entendu constituer un levier majeur d’influence poussant les différentes parties prenantes à maintenir le cap – certains d’entre eux se sont déjà exprimés publiquement sur l’importance de préserver un engagement climatique fort14 soutenu par une législation robuste15 .
Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. La référence à certaines valeurs est donnée à titre d’illustration. Elle n’a pas pour objectif de promouvoir l’investissement en direct dans ces valeurs. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources considérées comme fiables, mais le groupe La Française ne garantit pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
1Top American banks exit net zero alliance: What does this mean for their European peers? | Euronews
2HSBC, Standard Chartered, other Major Banks Exit SBTi - ESG Today
3NZBA-2024-Progress Report.pdf
4Members - United Nations Environment - Finance Initiative
5Central banks' green push hits a hurdle as Fed drops out | Reuters
6Statement on Blackrock's departure from the initiative - The Net Zero Asset Managers initiative
7McDonald's Joins The Stampede Of Corporations retreating From DEI
8WDT.2025.pdf
9JD Vance attacks Europe over free speech and migration
10Climate change target of 2C is ‘dead’, says renowned climate scientist | Climate crisis | The Guardian
11WEF _ Global _ Risks _ Report _ 2025.pdf
12Climate intuition _ Navigating the new climate era _ Building intuition for strategic decision making
13State of transition in the banking sector report 2024 - Transition Pathway Initiative
14Asset owner statement on climate stewardship.pdf
15Investors warn Omnibus package could weaken EU sustainability disclosures, harming investment and economic competitiveness
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Les derniers sondages2 semblent annoncer une victoire assez large des partis-frères de droites, l’Union Chrétienne démocrate (CDU) et l’Union Chrétienne-Sociale en Bavière (CSU), avec 29,8 % des intentions de vote. L’Alternative pour l’Allemagne (AFD, parti d’extrême droite) gagne du terrain avec 21,5 % des intentions de vote alors que les Verts (die Grünen) et le parti Social-Démocrate d’Allemagne (SPD, centre) sont respectivement à 13,1 % et 16,1 %. Trois autres partis sont actuellement autour de la barre des 5 % nécessaires pour avoir des représentants au parlement allemand. Il s’agit du parti libéral démocrate (FDP), de l’Alliance Sahra Wagenknecht (BSW, extrême gauche conservateur) et de Die Linke (extrême gauche). La transcription des sondages en sièges est aujourd’hui difficile et aléatoire dans la mesure où les résultats peuvent beaucoup varier en fonction du passage ou non de la barre des 5 % des trois partis.
Il est possible que le CDU/CSU n’ait besoin que de l’un des deux partis (les Verts ou le SPD) pour obtenir une majorité simple mais notre hypothèse de base reste cependant une grande coalition avec Friedrish Merz comme chancelier pour éviter qu’une coalition avec le SPD ou les Verts ne soit fragilisée en raison d’une faible majorité.
Le plus important n’est toutefois pas de savoir si la coalition sera construite autour de deux ou de trois partis. L’essentiel est de savoir si les opposants à toute réforme de la règle du frein à l’endettement obtiendront une minorité de blocage, c’est-à-dire plus de 33 % des sièges. En effet, pour modifier la constitution, il faut la majorité des deux tiers. L’AFD y est aujourd’hui opposé, comme le BSW et Die Linke. Le passage de la barre des 5 % de ces deux derniers partis pourrait donc suffire à rendre toute modification extrêmement difficile. Malgré tout, obtenir un consensus assez large pour qu’une modification de la règle constitutionnelle soit possible n’est pas irréaliste.
Les trois partis qui constitueraient la coalition n’ont cependant pas exactement la même ligne concernant une modification de la constitution : le SPD et les Verts sont a priori plus ambitieux que le CDU/CSU qui lui est un peu plus frileux quant aux changements profonds de la règle. Le score combiné des Verts et du SPD conditionnera donc leur poids dans les négociations avec le CDU/CSU. Plus leur score est important, plus les modifications à la règle du frein à l’endettement seront potentiellement ambitieuses. Friedrich Merz a en effet répété à plusieurs reprises qu’il n’était pas contre réformer la règle mais qu’il fallait que les nouvelles dépenses soient liées à de l’investissement.
Néanmoins, au regard des propositions de chacun de ces trois partis, c’est le CDU / CSU qui semble prôner les réformes fiscales les plus substantielles :
Les dépenses militaires pourraient être extraites de l’enveloppe du calcul de l’endettement pour « simplifier » les débats ; une hausse de ces dépenses étant de toute façon probable pour répondre aux revendications de l’administration Trump. La posture concernant l’énergie nucléaire pourrait, elle aussi, évoluer mais demandera à la fois un changement de loi et des contrôles techniques importants. Il y a en effet maintenant une courte majorité de la population en faveur de l’énergie nucléaire. (Source : Radiant Energy Group, 2024)
L’institut de recherche économique de Cologne a estimé l’impact fiscal des différents programmes à €70 milliards pour le CDU / CSU, €15 milliards pour le SPD et €32 milliards pour les Verts. Difficile donc de lier ces hausses de dépense aux différentes postures concernant la règle du frein à l’endettement, surtout pour le CDU / CSU. Il sera sans doute compliqué pour Friedrich Merz d’afficher pendant les élections une posture très « dépensière » dans la mesure où son parti a toujours été vu comme le plus vertueux mais, in fine, il ne serait pas opposé à modifier la constitution.
Il nous semble donc probable qu’une réforme de la constitution ait lieu à la suite des élections en Allemagne mais celle-ci n’est pas garantie en cas de scores au-dessus de 5% de la part des « petits » partis opposés à cette réforme. Estimer l’impact fiscal est un exercice difficile, mais il sera de toute façon faible en 2025. Selon les spécialistes de droit constitutionnel allemand, il est en effet illusoire d’imaginer une modification de la constitution avant septembre au plus tôt.
Quels impacts pour les marchés financiers ?
Il ne faut pas négliger l’impact psychologique d’une telle réforme. La perspective de voir le prix de l’électricité diminuer et les impôts baisser à la fois pour les entreprises et les ménages devrait avoir un impact positif sur la consommation et l’investissement. Les derniers indicateurs montrent d’ailleurs une légère amélioration avec des PMI qui repassent au-dessus de 50, au 31/01/2025, Source : S&P Global (c’est le cas aussi des indicateurs Sentix). Il ne faut pas non plus négliger l’effet d‘entrainement sur les autres pays de la zone Euro ; à titre d’exemple nous estimons que toute hausse du PIB allemand de 1% entraine une hausse de 0.1% du PIB français.
Pour les marchés financiers cela serait une bonne nouvelle et permettrait d’envisager des flux à destination de la zone, en particulier vers les marchés actions. Le programme du CDU / CSU semble favorable aux secteurs immobilier / infrastructure (moins d’encadrement des loyers, sous-investissement chronique qui devrait s’estomper), automobiles (ils devraient être favorables à de moindres contraintes liées au CO2), défense (augmentation des dépenses) et financiers. Avec des prévisions de croissance qui ne seraient revues que légèrement à la hausse pour l’Allemagne, la politique monétaire de la BCE ne devrait, quant à elle, pas être impactée significativement en 2025. Une telle réforme jouerait aussi positivement pour la devise Euro. Evidemment les élections allemandes ne sont pas les seuls facteurs influençant ces marchés. Il sera tout aussi important de suivre l’évolution de la politique de l’administration Trump ou encore une potentielle relance budgétaire en provenance de la Chine.
1 Croissance allemande 2024 & Déficit budgétaire 2022, 2023, 2024, Source : Bloomberg
2 Europeelects, au 10/02/2025
Le présent commentaire est fourni à titre informatif uniquement. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources que nous considérons comme fiables, mais nous ne garantissons pas qu'elles soient exactes, complètes, valides ou à propos. Ce support non contractuel ne constitue en aucun cas une recommandation, une sollicitation d'offre, ou une offre d'achat, de vente ou d'arbitrage, et ne doit en aucun cas être interprété comme tel. Publié par La Française Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
]]>L’ÈRE DU M&A DE SAUVETAGE EST RÉVOLUE DEPUIS LONGTEMPS
La Grande Crise Financière (Great Financial Crisis, GFC) de 2007-2009 a marqué un bouleversement pour le secteur bancaire mondial. Alors que les plus grands établissements américains et britanniques se retrouvaient contraints de fusionner en urgence, les institutions du continent européen ont subi une vague de nationalisations et de plans d’aides massifs. Les séquelles de la crise de l’euro ont mis en évidence les carences réglementaires et bilancielles des établissements européens, alors que la quasi-totalité des banques de pays dits « périphériques » n’avait plus accès au marché interbancaire et devait compter sur les liquidités de la BCE et de leurs banques centrales nationales pour survivre.
La mise en place des normes de solvabilité et de liquidité de Bâle 3, ainsi que la formation du Mécanisme de supervision unique de la BCE (SSM) ont accéléré les fusions dans certains des secteurs bancaires les plus fragmentés, comme en Espagne ou en Italie, avec notamment la transformation de la plupart des caisses d’épargne dans ces deux pays. Les banques devaient fusionner pour ne pas mourir.
Certaines n’ont pu échapper à leur liquidation (Banco Popular, banques vénètes en Italie…), tandis que d’autres ont dû priver leurs actionnaires de dividendes durant de nombreuses années pour former des coussins de fonds propres en accord avec les exigences croissantes des régulateurs. De nombreux groupes bancaires se sont aussi désengagés de pays qu’ils jugeaient « non-core », afin de se recentrer sur leurs géographies d’origine et diminuer leurs niveaux de levier. Ce type de M&A n’a plus cours depuis 2019 selon nous, à l’exception de la banque helvète Credit Suisse, absorbée en urgence par UBS début 2023 en raison de ses déficiences majeures de gouvernance et de liquidité.
LE M&A DE CONSOLIDATION : UNE PHASE QUI TOUCHE À SA FIN ?
La rentabilité des banques a été durement entravée par un environnement de taux bas jusqu’en 2022, par des structures de coûts élevées (notamment en banque de détail avec une rationalisation croissante des réseaux d’agences et la concurrence des banques en ligne), par d’importantes provisions pour risques de crédit et risques de litiges et par des besoins considérables de mise en réserve des résultats pour s’assurer des ratios de fonds propres confortables. La course à la taille est donc devenue un enjeu primordial pour s’assurer un effet d’échelle et des économies de coûts. Là encore, les secteurs bancaires espagnol et italien ont été aux avant-postes, notamment avec la fusion entre CaixaBank et Bankia (2020-2021), ou l’OPA hostile d’Intesa Sanpaolo sur UBI Banca (2020-2021 aussi). L’enjeu était de se ménager une position dominante sur son marché local, tout en bénéficiant d’un environnement réglementaire et comptable plus favorable aux fusions (formation de badwill et usage de crédits d’impôts différés) et de bilans moins complexes. La philosophie du « Too Big To Fail » était enterrée, avec l’assentiment des instances de régulation et de tutelle. Au-delà de la consolidation d’acteurs de premier et de second plan, de nombreuses banques ont par ailleurs ajusté leurs bilans en fonction de leurs avantages compétitifs, se renforçant ou s’allégeant sur des activités plus précises (crédits à la consommation, créances sur cartes bancaires, leasing automobile…).
La course à la taille peut cependant se heurter à certaines limites, par exemple dans les cas d’OPA hostiles pour des établissements systémiques. Deutsche Bank n’a pas su convaincre les autorités allemandes de son projet d’acquisition de Commerzbank en 2019, en raison des risques de licenciements importants qui pesaient sur l’opération, ainsi que des cibles de synergies incertaines en raison de la très faible rentabilité intrinsèque du secteur de la banque de détail allemand. Bien que l’OPA hostile de BBVA sur Banco Sabadell soit moins problématique en termes d’aspects systémiques, la complexité et la taille de l’offre lancée en mai 2024 nécessitent d’innombrables approbations et batailles de lobbying, qui pourraient décourager BBVA à terme si les autorités décident d’imposer des cessions d’actifs pour valider l’opération. Il a alors semblé plus simple de considérer les consolidations pour des banques de second rang, à l’instar des banques britanniques Nationwide et Coventry Building Society, qui ont annoncé au S1 2024 les acquisitions respectives de Virgin Money et Co-Op Bank (voir tableau en annexe pour plus de détails), ou très récemment pour la banque danoise Nykredit avec Spar Nord Bank.
Le constat semblait alors évident : il était plus simple de se consolider sur son territoire de domiciliation plutôt que s’aventurer à l’étranger, notamment pour des raisons financières (nécessité de maintien de ratios de solvabilité et de liquidité conséquents et séparés dans chaque pays, complexités prudentielles sur les périmètres de résolutions bancaires, incomplétude de l’Union bancaire européenne sur le fonds de garantie des dépôts européen, synergies moins évidentes).
LE RETOUR DU M&A DE L’HUBRIS ?
La banque italienne UniCredit, aussi présente en Allemagne et en Autriche en banque de détail, est rentrée dans la danse du M&A de grande taille de manière fracassante, en montant rapidement au capital de Commerzbank en septembre 2024, provoquant l’ire des politiques allemands et du management de la banque allemande. Certaines déclarations pouvaient même être interprétées comme du mépris, voire davantage, envers les velléités d’une banque italienne envers une banque allemande¹. L’opposition est vite devenue politique avant d’être financière, mettant en évidence des crispations nationalistes comme obstacle supplémentaire aux rapprochements transnationaux. S’il est aisé de critiquer la position allemande, posons-nous la question suivante: quelles seraient les réactions politiques et dans les milieux d’affaires si une grande banque étrangère souhaitait faire l’acquisition d’une banque française comme Société Générale par exemple?
Acquérir à l’étranger? Oui. Être acquis par des étrangers? Non merci.
Andrea Orcel, le directeur général d’UniCredit, sentant son projet de M&A en Allemagne au mieux retardé par la tenue à venir d’élections, a donc jeté son dévolu sur la banque italienne Banco BPM en novembre 2024, seulement 12 jours après que celle-ci eut annoncé une OPA sur le gestionnaire d’actifs Anima. Mener un projet d’acquisition bancaire est déjà une ambition majeure en soi, mais en mener deux de front paraît presque irréalisable, voire le signe d’un excès d’orgueil de son dirigeant, désireux de proposer à ses actionnaires un nouveau récit, alors que la baisse attendue des taux européens risque d’affecter les marges nettes d’intérêts des banques européennes. […]
]]>La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 667,00 €
Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI LF Europimmo a reçu le visa AMF SCPI n°19-18 en date du 20 août 2019.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Les points à retenir :
Qui dit incertitudes, dit opportunités pour la gestion alternative. En effet, cette dernière complète naturellement la gestion traditionnelle en exploitant les inefficiences des marchés, notamment en période de dislocation. Ainsi que ce soient des incertitudes géopolitiques, fiscales, de guerre commerciale, celles-ci sont généralement source d'opportunités pour les stratégies d'arbitrage, surtout dans des environnements incertains et volatils. Les stratégies d’arbitrage permettent en effet de capter les écarts de prix et de générer un gain potentiel.
Parmi les stratégies d’arbitrages existantes, les activités sur le crédit Investment Grade et les obligations convertibles devraient rester performantes, bien qu'une sélectivité accrue soit nécessaire pour le segment High Yield, où les risques de défaut augmentent.
Le creusement des déficits publics et les incertitudes économiques généreront de la volatilité sur les dettes souveraines. Les stratégies de valeur relative sur ces émetteurs devraient également figurer parmi les points forts de l’année.
Quelle solution d’investissement privilégier dans ce contexte ?
Face à une année 2025 qui s’annonce riche, nous pensons que le fonds Cigogne UCITS - Credit Opportunities est une stratégie qui pourrait en bénéficier, bien que tout investissement sur les marchés financiers comporte des risques de perte en capital. Cette solution repose sur une approche multi-stratégies et offre une grande flexibilité d’adaptation à différentes conditions de marché.
Le fonds Cigogne UCITS - Credit Opportunities combine l’expertise de CIC Marchés, conseiller en investissement de Cigogne Management, bénéficiant d’une expérience de près de 30 ans en matière de gestion alternative et celle de Cigogne Management, société de Gestion Alternative du Groupe La Française, spécialisée dans les stratégies d’arbitrage depuis plus de 20 ans.
La gestion alternative, de par sa recherche de performance absolue, est un complément à la gestion traditionnelle.
- Joffrey CZURDA
L’objectif de Cigogne UCITS - Credit Opportunities est d’offrir sur la période recommandée d’investissement de 3 ans, un rendement régulier (€ster + 2 à 3 % environ, quel que soit le niveau de l’€ster) tout en maintenant une volatilité relativement faible (<3%). Pour se faire, les gérants s’appuient sur un univers d’investissement très large : toutes zones géographiques, tous types d’émetteurs (publics et privés), toutes maturités et notations de dettes.
Le portefeuille est construit autour de quatre grandes stratégies :
Source : Groupe La Française au 27/01/2025
Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.www.la-francaise.com
Ce produit présente un certain nombre de risques décrits dans le prospectus, parmi lesquels les plus importants sont: les risques de perte en capital, les risques de marché, les risques de taux d'intérêt, les risques de crédit ou de défaut de paiement, les risques de liquidité, les risques de contrepartie, les risques liés à l’utilisation des produits dérivés, les risques opérationnels et de gestion et les risques de volatilité.
En résumé, conformément aux « dots » de décembre qui montraient des baisses de taux moins nombreuses pour 2025, le FOMC devrait faire preuve de prudence lors de sa réunion de janvier en marquant une pause dans sa politique d’assouplissement. La réaction des marchés financiers devrait donc être modérée mais positive grâce à l’optimisme de la Fed sur des futures baisses de taux d’ici la fin de l’année. La trajectoire des taux directeurs américains sera redéfinie lors du comité des 18 et 19 mars avec la mise à jour du « résumé des perspectives économiques » de la Fed (Summary of Economic Projections - SEP) qui dépendra en partie des répercussions potentielles du programme économique de Donald Trump.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
En conclusion, la BCE sera en mode « pilotage automatique » en janvier en attendant les nouvelles prévisions macroéconomiques publiées lors du comité monétaire du 6 mars. Cette décision de taux largement anticipée par les investisseurs et télégraphiée par les membres de la banque centrale ne devrait pas déclencher une forte réaction des marchés.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard Raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Les équipementiers automobiles accusent une perte nette de 56 000 emplois en Europe entre 2020 et 2024 tandis que BYD (fabriquant d’automobiles) a augmenté ses effectifs de 415 000 personnes entre 2021 et 2023 et multiplié par 6,5x ses ventes de véhicules faisant de lui le leader mondial des véhicules électriques.
L'échec de Northvolt : un symbole des ambitions européennes avortées
Fondée en 2017 pour concurrencer les géants asiatiques de la batterie (CATL, LG, etc.), la start-up suédoise est un symbole des ambitions de l’Europe dans la transition énergétique. Très rapidement, Northvolt lève des fonds pour des montants considérables (15 Mds€) en dette et en capital auprès de Volkswagen (actionnaire à 21 %), BMW (2,8 %), de grandes institutions financières (principalement Goldman Sachs) et plus marginalement de fonds publics. À fin 2022, Northvolt avait un carnet d’ordres pléthorique de 55 Mds$, donc un engagement fort de la part des constructeurs.
Malheureusement, le management, trop ambitieux, a cherché à construire huit usines de haute technologie quasi simultanément sur huit lieux différents et deux continents. Faute de personnel qualifié suffisant dans ces technologies de pointe, de machines-outils maîtrisées, la première usine ne produit que 1 % de son objectif initial. Ceci a mené à un retrait de commandes de clients dont BMW et à une consommation de trésorerie monumentale puisqu’il lui reste à fin 2024, 5,8 Mds$ de dettes contre 30 M$ de liquidités3. Il reste toutefois quelques mois à Northvolt pour trouver de nouveaux financements grâce à une redimensionnement de son projet.
Grâce à d’autres projets (Verkor, ACC, PowerCo, etc.), l’Europe a tout de même réussi à augmenter sa part du marché mondial de la batterie de 3 % à 17 % depuis 2017, avec un revenu annuel de 81 Mds€ en 2023 après avoir dépensé plus de 6 Mds€ du budget de l'Union européenne (UE) pour soutenir les projets transfrontaliers de batterie et l'innovation4. Mais le marché est contrôlé à 70 % par les asiatiques et la plupart des trente projets européens de gigafactories (usines produisant des batteries pour véhicules électriques) ont été conçus et construits avec l'aide d'entreprises chinoises et coréennes. Ainsi, CATL et Stellantis ont annoncé co-construire une usine de batteries au lithium en Espagne, ce qui permettra à la Chine d’étendre son empreinte manufacturière sur le sol européen.
L’industrie automobile européenne tarde donc à se transformer en termes industriels afin de résister à l’agressivité des acteurs chinois, coupés du marché américain par les interdits géopolitiques. À ceci s’ajoute la « falaise » des règlements sur le CO2 menaçant les constructeurs automobiles avec des amendes pouvant atteindre plusieurs milliards d’euros.
Le marché européen de véhicules vendus (y compris le Royaume-Uni) s’est rétréci à 13,4 millions en 20245, soit un recul de 17 % vs. 2018. La production européenne hors Royaume-Uni avait également fortement diminué de 18,5 %, à 12,2 millions en 20236. Ces moindres volumes pèsent lourdement sur la structure de coûts des équipementiers automobiles. En outre, les coûts de production sont en hausse en raison de l’inflation des prix de l’énergie, des prix de la logistique et des salaires. Mais surtout, selon Jim Fairley, CEO de Ford Motors, la construction d’une voiture à motorisation électrique nécessite 40 % de main d‘oeuvre en moins qu’une voiture thermique7. Aussi, les constructeurs en Europe annoncent des réductions de capacités (Volkswagen, Ford).
À ceci s’ajoutent les ambitions de lutte contre le changement climatique de l’UE. À partir de 2025, les émissions moyennes de CO2 des nouvelles voitures doivent être réduites de 15 % par rapport aux niveaux de 2021, avec un objectif de réduction de 37,5 % d'ici 2030. Cela impliquerait que les ventes de voitures particulières en Europe atteignent un taux de pénétration des véhicules électriques (VE) de ≥28 % en 2025 (contre 21 % au S1-24, pour que l'ensemble du marché automobile soit conforme. Les constructeurs doivent respecter ces limites sous peine de sanctions financières pouvant aller jusqu’à un montant global de 15 Mds€.
La baisse du marché et les contraintes règlementaires impliquent une restructuration profonde du tissu industriel. Ainsi, l’association européenne des équipementiers automobiles8) indique qu'environ 56 000 emplois nets ont été perdus depuis 2020. D’autres suppressions d’emplois (32 000) ont été annoncées au cours du premier semestre de 2024 seulement. […]
]]>Pour relever ce défi et ainsi réduire la complexité bureaucratique imposée aux entreprises, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a proposé une législation Omnibus en novembre 2024. La proposition vise à consolider et à simplifier la directive sur les informations en matière de durabilité des entreprises (CSRD, 2022, qui renforce les obligations d'information non financière pour les entreprises), le règlement de l'UE sur la taxonomie (2020, qui classe les activités économiques durables) et la directive sur le contrôle diligent en matière de durabilité des entreprises (CS3D, 2024, qui impose un devoir de vigilance pour identifier et traiter les impacts négatifs sur l'ensemble des chaînes de valeur). Alors que les efforts visant à simplifier les procédures administratives sont les bienvenus, la législation Omnibus proposée soulève une question cruciale : risque-t-elle de compromettre les progrès réalisés en matière d’information sur la durabilité ? De plus, étant donné la complexité de ces trois règlements (CSRD, CS3D, taxonomie de l'UE) et le contexte politique plus large au sein de l'UE, une législation Omnibus peut-elle atteindre de manière réaliste les objectifs visés ?
Le consensus s’avère difficile
Bien que motivée par de bonnes intentions, la consolidation de ces trois cadres pour parvenir à un consensus semble compliquée compte tenu des approches et des priorités contradictoires des États membres de l'UE. À titre d’exemple, la CSRD a déjà dû faire face à d'importants défis lors de son élaboration et sa mise en œuvre. À fin 2024, soit quelques mois à peine avant la publication des premiers rapports relatifs à la CSRD, certains régulateurs européens réclament encore un assouplissement du cadre de la CSRD. Ursula von der Leyen a souligné les défis posés par la surrèglementation pour les PME (petites et moyennes entreprises), tandis que d'autres dirigeants, comme l'ancien Premier ministre français Michel Barnier, ont suggéré un « moratoire » pour retarder l’application de la CSRD en France. L’ancien ministre fédéral allemand de la Justice, Marco Buschmann, a quant à lui demandé une révision du texte concernant la CSRD. Le consensus sur la CSRD n’ayant pas encore été atteint, il est peu probable qu’une législation Omnibus regroupant ces trois règlements soit finalisée à court terme. Selon Forbes, la Commission européenne devrait débattre de cette question en février 2025.
Cette multitude de textes a considérablement élargi les exigences de déclaration, rendant ainsi le processus plus complexe.
Alors que le règlement Omnibus vise à réduire le poids et le coût du reporting en matière de durabilité pour les entreprises, la CS3D va au-delà du simple reporting et des déclarations. La CS3D exige également que les entreprises instaurent des processus solides pour identifier et traiter les questions relatives aux droits de l'homme et à l'environnement. Par conséquent, le champ d'application de la législation Omnibus doit être clairement défini, et il existe essentiellement deux alternatives. En tant que réglementation globale, le champ d’application de la législation Omnibus pourrait englober celui des trois règlements (CSRD, taxonomie de l’UE et CS3D), couvrant à la fois le reporting et des aspects au-delà du reporting. Cependant, une telle approche ne réduirait pas la charge pesant sur les entreprises. Autrement, la législation Omnibus pourrait se limiter à refléter les exigences communes en matière de reporting et d’information sur la durabilité prévue par les trois réglementations. Les autres sujets seraient alors soit traités dans les textes initiaux, soit « écartés ». Cela pourrait entraîner une réduction modérée de la charge et des coûts pour les entreprises, ou au contraire, une simplification excessive au détriment de pratiques ESG solides et de normes de reporting de qualité supérieure. En outre, ces règlements demeurent sujets à d'éventuelles modifications fondées sur les retours des parties prenantes. Par conséquent, regrouper ces législations sous un cadre unique s’avère un défi considérable.
Simplification ou dérégulation des normes de reporting ESG ?
Dans un contexte de sentiment négatif, alimenté par des réglementations en matière de durabilité qui sont perçues comme un frein à la compétitivité et à la souveraineté européenne, l’inquiétude grandit quant au fait que la législation Omnibus ne soit régressive. La CSRD, le règlement de l'UE sur la taxonomie et la CS3D qui sont conçus chacun pour compléter le cadre de durabilité avec des ambitions et des champs d'application distincts, pourraient être réduits à un « autre » ensemble de règlements. Ce changement pourrait s'avérer contre-productif : lever la charge pesant sur les entreprises au détriment des objectifs de durabilité. Par exemple, la version finale de la première série de normes européennes d'information sur la durabilité (ESRS, normes de la CSRD) a déjà été fragilisée, à savoir moins d’éléments de données et une attention plus étroite accordée à la matérialité par rapport à ses versions initiales. De nouvelles simplifications, en particulier sur les concepts fondamentaux de la CSDR, pourraient s'avérer contre-productives et compromettre les efforts visant à établir des pratiques solides en matière de durabilité.
Les modifications réglementaires pourraient pénaliser les pionniers
La législation Omnibus proposée a créé une incertitude importante pour les entreprises, envoyant des signaux troublants. Les changements majeurs apportés à la CSDR risquent de pénaliser les précurseurs qui ont investi des ressources importantes pour ajuster leurs stratégies et affaiblir leurs efforts proactifs, tandis que les entreprises retardataires pourraient, paradoxalement, subir moins de perturbations. Pendant des années, les entreprises ont été encouragées à adopter rapidement les mesures de durabilité, mais en raison des révisions en cours, ce conseil apparaît maintenant presque ironique. Cette dynamique fait écho à des cas récents, comme celui de la réglementation européenne sur la déforestation, où les premiers adoptants ont été désavantagés.
La législation Omnibus proposée a créé une incertitude importante pour les entreprises, envoyant des signaux troublants. Les changements majeurs apportés à la CSDR risquent de pénaliser les précurseurs qui ont investi des ressources importantes pour ajuster leurs stratégies et affaiblir leurs efforts proactifs, tandis que les entreprises retardataires pourraient, paradoxalement, subir moins de perturbations.
Le calendrier de mise en oeuvre de la CSDR varie selon la taille des entreprises […]
]]>États-Unis : l'ESG à la croisée des chemins
Les politiques énergétiques attendues de Trump, axées sur la relance des combustibles fossiles, pourraient compromettre les progrès réalisés sous l'administration Biden. La loi sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act), saluée comme une législation transformant les investissements dans les énergies propres, pourrait faire face à des défis, notamment une réduction des financements ou une modification des dispositifs. Il convient toutefois de noter qu’une abrogation totale de l'IRA semble peu probable étant donné qu'elle risquerait de nuire à la croissance des emplois dans le secteur manufacturier national et des investissements dans les énergies propres, dont la plupart ont profité à des districts et États dirigés par des élus républicains1. De plus, un retrait de l'IRA pourrait nuire à la compétitivité du secteur des énergies propres des États-Unis face à la Chine. Toutefois, le soutien probable de Donald Trump aux combustibles fossiles et son recul sur les politiques climatiques pourraient créer des obstacles majeurs sur ce secteur, ainsi que pour les entreprises désireuses de réduire leur empreinte carbone. Si les mesures fédérales en faveur des énergies renouvelables diminuent, tandis que le soutien aux industries énergétiques traditionnelles augmente, cela pourrait ralentir et limiter la capacité des entreprises américaines à atteindre leurs objectifs de décarbonisation.
Pour les investisseurs, les perspectives sont contrastées. Les investisseurs pourraient assister à des réductions importantes des mesures climatiques fédérales et des normes de reporting. Le candidat de Trump au poste de président de la Securities and Exchange Commission (SEC)2, Paul Atkins, est fermement opposé aux règles de reporting climatique de la SEC. Toutefois, des États comme la Californie et New York devraient continuer à se fixer des objectifs climatiques ambitieux. De plus, les grands investisseurs institutionnels pourraient soutenir la demande d'actifs durables, car les risques financiers liés au changement climatique et la volonté de résilience à long terme restent des préoccupations centrales pour les gestionnaires d’actifs et les fonds de pension.
Le soutien probable de Donald Trump aux combustibles fossiles et son recul sur les politiques climatiques pourraient créer des obstacles majeurs sur ce secteur, ainsi que pour les entreprises désireuses de réduire leur empreinte carbone.
L’année dernière, les branches d’investissement de JP Morgan Chase et de State Street ont annoncé leur départ de Climate Action 100+3 tandis que Goldman Sachs a quitté la Net Zero Banking Alliance 4 en décembre (après s’être retiré de CA100 + en août). Les banques américaines sont confrontées à des pressions croissantes de la part des politiciens républicains concernant leur appartenance à des groupes d'action climatique et leurs engagements ESG, arguant que cela pourrait conduire à une violation des lois antitrust ou du devoir fiduciaire. Néanmoins, la sensibilisation accrue des institutions financières aux risques climatiques et l'importance croissante de l'investissement durable ont continué à stimuler les investissements dans ce domaine, même sans soutien fédéral. Par exemple, la plateforme « Aladdin Climate » de BlackRock permet aux investisseurs d'évaluer les risques climatiques, tandis que Goldman Sachs et Bank of America se sont respectivement engagés à verser 750 milliards et 1,5 milliard de milliards de $ au titre du financement durable d'ici 2030. À septembre 2024, Bank of America a annoncé avoir mobilisé et déployé 560 milliards de $ dans le financement durable sur les 3 années ayant suivi l’annonce de l’objectif de 1,5 milliard de milliards de $5.
Europe : la dynamique climatique devrait se poursuivre
L'Europe est en passe de renforcer son leadership en matière de financement durable, d'autant plus qu'elle s'efforce de respecter ses engagements pris lors de la COP29 à Bakou6. Avec la taxonomie européenne, le Règlement sur la publication d’informations en matière de durabilité (SFDR) et le Green Deal européen qui constituent la colonne vertébrale de sa stratégie ESG, la zone euro devrait renforcer ses exigences en matière d'investissement durable. La présidence de Donald Trump pourrait exacerber le fossé transatlantique, incitant les régulateurs européens à durcir davantage leurs normes afin de maintenir les objectifs climatiques internationaux et un avantage compétitif sur le marché mondial.
L'Europe pourrait également chercher à influencer les marchés financiers mondiaux en élargissant les exigences en matière de publication ESG pour les sociétés opérant à l'international, ce qui pourrait avoir un impact sur les multinationales basées aux États-Unis et ailleurs.
Pour les investisseurs internationaux, cette divergence pourrait faire de l'Europe le centre des actifs durables. […]
]]>La Française propose une offre de gestions de conviction spécialisées alliant objectifs de performance et de durabilité sur toutes vos classes d’actifs. Notre architecture multi spécialistes permet à nos gérants de se concentrer pleinement sur ce qui les passionne chacun dans sa spécialité.
Notre actionnaire, le Crédit Mutuel Alliance Fédérale, groupe mutualiste, première banque à mission, inspire notre sincérité dans l’investissement responsable qui crée une relation de confiance autour de la gestion durable. Nos équipes ont développé un savoir-faire de pointe sur les nombreuses facettes de l’ESG qui se diffuse dans toutes nos activités et analyses.[…]
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Nous avons conservé tout au long de l’année 2024 une vision positive sur les classes d’actifs risquées, principalement parce que nos prévisions de croissance étaient globalement moins alarmistes que celles du marché.
La sous-estimation de la croissance américaine par le consensus en particulier a été la raison de notre préférence pour les actions américaines au cours des 12 derniers mois. Les très bonnes performances des actifs risqués en 2024 nous donnent raison a posteriori. Sur les taux, les résultats ont été mitigés avec in fine des performances proches de la neutralité.
Le consensus pour 2025 diffère très largement de ce que l’on observait en 2024. Les craintes de récession ont disparu, les prévisions de croissance ont été revues à la hausse et les attentes de croissance de bénéfice sont élevées. Les valorisations ne laissent de surcroît que peu de place pour les déceptions dans une année qui risque d’être assez mouvementée en raison des incertitudes politiques et géopolitiques.
Est-ce que cela signifie que nous changeons nos allocations vers une posture plus défensive dès à présent ? Non.
Le momentum de croissance mondiale est toujours positif, surtout aux États-Unis, et le début d’année est historiquement porteur pour les actifs risqués. Il nous semble cependant opportun d’augmenter graduellement la sensibilité de nos portefeuilles sur des niveaux de taux que nous jugeons pour certains asymétriques.
Le taux d’équilibre ou taux neutre est un taux que nous ne pouvons par définition pas observer. C’est malgré tout une notion très importante pour les banques centrales (pour rappel, le taux neutre réel est égal à la croissance potentielle d’une économie) et donc, en corolaire, pour les marchés actions. Quantité de modèles existent pour tenter d’évaluer le taux neutre d’une économie, mais aucun d’eux ne fait vraiment référence. Les marchés estiment aujourd’hui que le taux d’équilibre aux États-Unis est d’environ 4 % (Swap 1Y1Y), ce qui nous semble très optimiste. De manière conjoncturelle, il est évident que le taux neutre est plus élevé que précédemment en raison des politiques budgétaires mises en place depuis l’ère Covid, mais est-ce que cela est tenable à terme ? Sur ces niveaux, la probabilité de voir ce taux d’équilibre être revu à la baisse plutôt qu’à la hausse à horizon fin 2025 nous semble forte et c’est un constat que l’on peut aussi faire pour d’autres pays comme la Grande-Bretagne par exemple.
La baisse du risque inflationniste, aussi bien aux États-Unis qu’en zone euro, est un autre facteur expliquant notre appétit grandissant pour les actifs obligataires sans risque même si là encore, certains paramètres géopolitiques pourraient nous amener à revoir notre copie.[…]
Nous vous souhaitons à tous une magnifique année 2025 !
Titre : Modification du prix de part de la SCPI Sélectinvest 1
Date : 1er janvier 2025
Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI Sélectinvest 1.
En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI Sélectinvest 1 diminue de 17,19 % et se compose de la manière suivante :
Valeur nominale : 153,00 €
Prime d'émission : 377,00 €
Prix de souscription : 530,00 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 530,00 €, dont 33,12 € HT, soit 39,75 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (6,25 % HT, soit 7,50 % TTC au taux de TVA en vigueur).
La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 496,88 €.
Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI Sélectinvest 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-38 en date du 1er septembre 2017
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Titre : Modification du prix de part de la SCPI Epargne Foncière
Date : 1er janvier 2025
Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI Epargne Foncière.
En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI Epargne Foncière diminue de 19,76 % et se compose de la manière suivante :
Valeur nominale : 153,00 €
Prime d'émission : 517,00 €
Prix de souscription : 670,00 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 670,00 €, dont 50,25 € HT, soit 60,30 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,5 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur).
La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 619,75 €.
Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI Epargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n° 21-03, en date du 16 mars 2021.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Titre : Modification du prix de part de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1
Date : 1er janvier 2025
Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI Crédit Mutuel Pierre 1.
En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 diminue de 18,87 % et se compose de la manière suivante :
Valeur nominale : 153,00 €
Prime d'émission : 62,00 €
Prix de souscription : 215,00 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 215,00 €, dont 17,20 € HT, soit 20,64 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).
La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 197,80 €.
Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-32 en date du 1er septembre 2017.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Titre : Modification du prix de part de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine
Date : 1er janvier 2025
Nous vous informons que la société de gestion La Française REM a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de sa SCPI LF Grand Paris Patrimoine.
En conséquence, à compter du 1er janvier 2025, le prix de souscription de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine diminue de 14,51 % et se compose de la manière suivante :
Valeur nominale : 150,00 €
Prime d'émission : 68,00 €
Prix de souscription : 218,00 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 218,00 €, dont 17,44 € HT, soit 20,93 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).
La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 200,56 €.
Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n 18-25 en date du 21 août 2018.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
In fine, il est probable que la communication de Jerome Powell change peu par rapport aux réunions précédentes. La force de l’économie américaine et la stabilité du marché de l’emploi devraient amener les révisions évoquées ci-dessus mais ne devraient pas changer drastiquement le message de la Fed. Si la communication est réussie, l’impact devrait être assez marginal sur les marchés obligataires.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128 boulevard raspail, 75006 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Jérôme VALADE souligne :
Depuis trois années et dans le contexte économique tendu que nous connaissons, les actifs de santé ont démontré leur rôle défensif. Portés notamment par le vieillissement de la population et l'augmentation des besoins en soins de santé, ces investissements bénéficient d'une demande soutenue et offrent une certaine résilience face aux fluctuations économiques. L'arrivée d'Astrid au sein de notre équipe contribuera au développement de ce secteur stratégique chez La Française REM.
Astrid BONDUELLE, Chargée d’investissements – Pôle Santé
Astrid apporte à La Française Real Estate Managers une expérience avérée de la chaîne de valeur de l’immobilier. Elle a débuté en 2020 chez Groupama Gan REIM en tant qu’analyste investissement, intervenant également en support à la gestion de portefeuilles immobiliers. Par la suite, elle rejoint la société de gestion immobilière Euryale où elle développe ses compétences en matière d’investissement, intervenant dans le sourcing, l’analyse et les due diligences des opportunités d’acquisitions en immobilier de santé paneuropéen.
Astrid est titulaire d’un Master 246 Management Immobilier de l’Université Paris Dauphine.
]]>En résumé, la Banque centrale européenne devrait s’en tenir à des baisses de taux progressives en dépit d’un contexte économique fragile. Toutefois, en écho aux déclarations de l’économiste en chef de la BCE, Philip Lane, Christine Lagarde pourrait signaler en conférence de presse un éventuel abandon de la stratégie de dépendance aux données dans le futur (dès que « le processus de désinflation sera achevé ») pour favoriser une approche basée sur l’analyse des risques à venir. Il y a très peu d’attentes concernant cette réunion, avec une baisse de taux de 25pbs anticipée mais rien de plus ; à la marge, il nous semble que le risque est d’avoir une surprise légèrement accommodante et donc des taux plus bas.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Un investissement de plus en plus important…
À l’origine, les pays en développement exigeaient de la part des pays développés près de 1 000 milliards de dollars par an d'ici 2030 (et 1 300 milliards de dollars d'ici 2035). Désormais, ce chiffre représente un objectif global, appelant à la mobilisation de tous les secteurs, publics et privés.
Pourquoi est-il essentiel de considérer la provenance des engagements financiers ? Selon la dernière étude du Groupe d'experts indépendant de haut niveau sur le financement climatique (IHLEG1), la lutte contre le changement climatique nécessite un investissement annuel de 6 500 milliards de dollars d'ici 2030 et de 7 600 milliards de dollars par an d'ici 2035. Sur cette somme, les marchés émergents et les pays en développement (hors Chine) ont besoin d'environ 2 400 milliards de dollars par an d'ici 2030 (1 400 milliards de dollars provenant de ressources nationales et 1 000 milliards de dollars de financements externes).
Bien que les investissements proviennent de sources variées, les coûts de financement sont cruciaux pour les bénéficiaires, en particulier pour les pays les plus vulnérables. Maximiser la part des engagements publics provenant de sources de financement externes réduirait significativement le fardeau de la dette liée au climat pour ces bénéficiaires.
Tout déficit d'investissement avant 2030 exercera une pression
supplémentaire sur les années suivantes, rendant le chemin vers la stabilité
climatique plus abrupt et potentiellement plus coûteux.
Les conclusions du rapport de l'IHLEG suggèrent que les opportunités liées aux investissements pourraient représenter 15 à 18 % du PIB mondial en 2030 (coûts évités et co-bénéfices environnementaux). Pour le mettre en parallèle, le besoin d'investissement annuel pour l'action climatique de 6 500 milliards de dollars équivaut à 6 % du PIB mondial en 2023.
… mais qui doit être accompagné
En prenant du recul, le montant réel engagé pour le financement climatique a peu de valeur, sans qu’il ne soit accompagné d'un engagement renforcé pour l'élimination progressive des combustibles fossiles. Bien que des avancées aient été réalisées l'an dernier, cette année, les efforts en dehors de l'Alliance Powering Past Coal2 pour abandonner progressivement le charbon n'ont pas été renforcés. De plus, il est essentiel que les ambitions de réduction des émissions des pays (NDC) soient rehaussées, en s'appuyant sur les progrès réalisés concernant l'article 6 de l'accord de Paris. Le Rapport « Emissions Gaps 2024 »3 met en évidence que si les efforts actuels d'atténuation se poursuivent, nous pourrions faire face à un réchauffement d'environ 3,1 °C. En revanche, si les engagements conditionnels et inconditionnels sont pleinement réalisés, la hausse des températures mondiales pourrait être limitée à environ 2,6 °C.
Lors de cette COP29, John Kerry a exprimé des doutes quant à la possibilité même de « revenir » à l'objectif de 1,5 °C. Ce « retour » impliquerait une réduction des émissions de 42 % d'ici 2030 et de 57 % d'ici 2035. Malgré ces défis, une forte augmentation des investissements du secteur privé dans l'atténuation et l'adaptation pourrait maintenir nos espoirs.
Les actifs sous gestion mondiaux ont atteint 132 000 milliards de dollars en juin 20244, dont environ 10 % sont des actifs détenus par le secteur privé5. Pour atteindre les objectifs d'investissement annuels soulignés par l'IHLEG, il suffirait de canaliser seulement 1 % à 6 % de ces actifs vers l'action climatique mondiale. Les classes d'actifs telles que le private equity, les infrastructures et le financement de projets offrent des opportunités pour optimiser l'additionnalité de l’impact, tout en générant des bénéfices sociaux et environnementaux significatifs.
Besoin de liens étroits entre financements publics et privés
En France, la mise en application de la « loi industrie verte » en octobre 2024 illustre la manière dont les capitaux privés sont mobilisés pour financer la transition climatique. Les investissements liés à la transition énergétique sont financés par l'allocation systématique d'une partie des actifs de l'assurance-vie ou de l'épargne-retraite vers du capital investissement. Des « obligations de transition »6 seront également lancées en France en janvier 2025, offrant aux PME de nouvelles solutions de financement pour leur transformation ou le déploiement de leurs solutions à la transition énergétique. Bien que ces dispositifs favorisent les résultats nationaux, des programmes d'investissement similaires sont également disponibles pour financer des projets à fort impact dans d’autres pays en développement.
La réussite des objectifs climatiques repose sur une collaboration étroite entre financements publics et privés. L'enjeu principal est de canaliser efficacement ces ressources pour maximiser leur impact, afin que l’on puisse soutenir une transition juste et équitable pour tous.
1) Accroître l'ambition et accélérer la fourniture de financements climatiques - Grantham Research Institute on climate change and the environment (lse.ac.uk)
2) 25 pays et l'UE lancent un appel à l'action pour qu'aucun nouveau charbon ne figure dans les plans climatiques nationaux - PPCA (poweringpastcoal.org)
3)Rapport sur les écarts d'émissions 2024 ; PNUE - Programme des Nations unies pour l'environnement
4) Au-delà du bilan : North American Asset Management 2024 | McKinsey
5)Global Private Markets Review 2024;McKinsey 6)Qu’est-ce qu’une obligation transition ? Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et Ministère chargé du Budget et des Comptes publics (economie.gouv.fr)
6) Qu’est-ce qu’une obligation transition ? | Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et Ministère chargé du Budget et des Comptes publics (economie.gouv.fr)
Le présent commentaire n'est fourni qu'à titre d'information. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont basées sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles des autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 128, boulevard Raspail 75006 Paris est une société de gestion de portefeuille agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société anonyme au capital de 3 871 680 € RCS Paris n° 388 555 021, le Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française. Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>La France affronte en ce moment une crise politique comme elle n’en a que rarement connu sous la 5ème république alors que sa situation économique est elle aussi préoccupante. Les derniers indicateurs PMI1 pour la France montrent en effet une situation qui se dégrade encore avec peu de chance de voir cette tendance négative s’infléchir à court terme.
Depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale en juin dernier, les actifs français ont logiquement assez largement sous-performé leurs homologues européens :
Les questions qui se posent aujourd’hui sont donc les suivantes : quels sont les scénarios envisageables et quels sont les impacts potentiels ?
Nous voyons deux scénarios principaux possibles avec de multiples ramifications ensuite :
Avant de nous pencher sur ces scénarios et les impacts, il est utile de rappeler certaines données
concernant la France :
Cas 1 :
Nous estimons aujourd’hui la probabilité de voir le gouvernement Barnier ne pas résister à une motion de censure à 50 %. Les banques d’investissement semblent un peu plus optimistes que nous avec une probabilité autour de 30 % en moyenne. Dans cette hypothèse, il nous semble probable de voir dans un premier temps le spread OAT vs Bund passer à 95-100 bps et les actions françaises sous-performer les autres indices européens de 2 à 3 %.
La suite logique serait a priori l’activation de l’article 47 de la Constitution avec un gouvernement (nouvellement nommé donc) mettant en oeuvre sa politique (et donc le budget) par ordonnance. Toutefois, il faut noter que cela ne serait possible que dans le cas d’un parlement qui aurait échoué à se prononcer. Or, un parlement qui rejette un texte est un parlement qui se prononce, ce qui rendrait cette disposition inapplicable. La suite est un débat de constitutionnalistes, ce que nous ne sommes pas, et qui verrait s’ouvrir une période très incertaine (pour plus de détails : « On est vraiment dans l’inconnu » : le scénario d’une Assemblée incapable de voter le budget agite les constitutionnalistes - Public Sénat (publicsenat.fr)).
Nous sommes au précipice d’une période très incertaine, sans doute encore une fois négative pour les perspectives de croissance, avec peu de chance de voir la situation se stabiliser avant les élections en juillet. Dans ce contexte, les agences de notation seraient logiquement sévères avec la France avec une probable dégradation de sa notation.
Cas 2 :
Dans le 2ème cas, celui où le gouvernement Barnier arriverait à survivre à une motion de censure, il y aurait inévitablement un soulagement et donc un rebond des actifs français. Un retour autour de 70bps sur le spread OAT vs Bund nous semble envisageable ainsi qu’une légère surperformance des actions françaises, de l’ordre de 1-2 %. Mais ce soulagement risque d’être d’assez courte durée :
Et même si les agences de notation donnaient du temps à la France, cela ne ferait sans doute que décaler la perte du AA à plus tard, une fois les objectifs de déficit non atteints en raison de cibles de croissance trop optimistes.
Vous l’aurez compris, nous restons aujourd’hui très prudents sur les actifs français. Les challenges à surmonter pour l’économie française sont vertigineux : vieillissement de la population, endettement, manque de productivité, etc. sans compter le fait que ces problèmes sont présents dans la plupart des économies européennes et que la situation géopolitique est pour le moins instable.
Source données : Bloomberg
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par l’auteur sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis.
Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Crystal Park dispose de solides références ESG (Environnementales, Sociales et de Gouvernance) avec une certification BREEAM Excellent et le Label EcoJardin pour son parc classé, témoignant de l'entretien écologique des espaces verts environnants.
Antoine LE TREUT, Directeur Général Adjoint, en charge du pôle institutionnel France de La Française REM, a déclaré :
« Ce refinancement s’inscrit dans la continuité d’une stratégie d’asset management ambitieuse et volontariste, visant à travailler et optimiser la valeur de nos actifs et à sécuriser les cash-flows via le renouvellement des baux. Cette opération témoigne aussi de la confiance de nos partenaires financiers pour nous accompagner dans cette démarche auprès de nos investisseurs. Je tiens à féliciter personnellement notre équipe de gestion d’actifs, Xavier BARREYAT, Cédrick BECKER et Claudia REN pour la gestion de cette opération d’envergure. »
Pour cette opération, La Française Real Estate Managers a été conseillée par Jones Day sur le volet juridique, l’Etude Allez sur les aspects notariaux et Eastdil pour l’optimisation du financement. Les prêteurs ont été conseillés par Lacourte Raquin Tatar sur les aspects juridiques et l’étude notariale Allez & Associés.
]]>A cet effet, nous vous informons que le Compartiment pourra désormais investir jusqu’à 15% de son actif net en titres émis par des entités notées « high yield » (c'est-à-dire correspondant à une notation inférieure à BBB- dans l’échelle de l’agence de notation Standard & Poors ou à Baa3 dans celle de Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion) contre 10% actuellement en cas de dégradation de la signature d’un émetteur d’un titre déjà investi dans le portefeuille.
Par ailleurs, les frais de gestion financières du Compartiment seront modifiés comme suit :
Avant la modification Après la modification | Après la modification | ||
Frais facturés à l'OPCVM | Assiette | Taux /barème | Gebührensatz |
Frais de gestion financière | Actif net | Action C : 0.904% TTC taux maximum Action D : 0.904% TTC taux maximum Action I : 0.500% TTC taux maximum Action S : 0.350% TTC taux maximum Action T : 0.500% TTC taux maximum | Action C : 0.604% TTC taux maximum Action D : 0.604% TTC taux maximum Action I : 0.350% TTC taux maximum Action S : 0.350% TTC taux maximum Action T : 0.350% TTC taux maximum Action ER : 0.604% TTC taux maximum |
Enfin, la catégorie d’action ER sera créée avec les caractéristiques suivantes :
Type d'actions | Code ISIN | Valeur liquidative d’Origine | Compartiments | Affectation des plus values | Affectation des revenus | Devise de libellé | Souscripteurs concernés | Montant min. de souscription initiale |
action ER | FR001400SVT7 | 100,00 EUR | Non | Capitalisation | Capitalisation | EUR | Tous souscripteurs, plus particulièrement destinée à la commercialisation en Espagne | 100,00 EUR |
Ces modifications prendront effet le 18 novembre 2024 et le prospectus de la SICAV La Française sera modifié en conséquence.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>L’initiative 30x30 : un objectif ambitieux, mais flou
L'objectif 30x30 pris lors de la COP15 en 2022, vise à conserver et protéger 30 % des terres et 30 % des océans d'ici 2030 par le biais d'aires protégées ou d'autres mesures de conservation efficaces. La réussite de cette initiative 30x30 demeure un défi. La grande variété des écosystèmes mondiaux et la conservation d'une partie aussi importante de la terre et de l'océan nécessitent des approches adaptées à chaque région. La complexité technique rend difficile l'application d'un modèle unique, en particulier dans les zones fortement impactées par l’activité humaine (agriculture intensive, infrastructures, industries extractives). En effet, la protection formelle d'un territoire ne garantit pas automatiquement la durabilité de ses écosystèmes. Pour garantir que les efforts de conservation soient vraiment efficaces, il est essentiel d'avoir une approche dynamique et proactive dans la gestion des ressources naturelles pour pouvoir assurer une conservation effective. Certains observateurs craignent que l'initiative 30x30 ne devienne un exercice de «greenwashing». Ils soulignent le risque de voir des zones officiellement protégées continuer à subir des exploitations en raison d'un manque d'application des réglementations.
En amont de la COP16, il s’avérait que la grande majorité des pays (85 %) étaient en retard dans l'élaboration de leurs Stratégies et Plans d'Action Nationaux pour la Biodiversité (SPANB) en raison de différents défis. Cette situation concernait notamment 12 des 17 pays dits «mégadivers», qui abritent 70 % de la biodiversité mondiale. Par exemple, le Brésil et la Colombie ont souligné le manque de temps pour mener à bien des consultations approfondies avec les parties prenantes et les populations autochtones. L'Inde a mentionné la difficulté d'adapter les objectifs globaux au contexte local et le Royaume-Uni a attribué son retard à ses nombreux changements de gouvernements. À la fin de la COP16, seuls 44 pays sur 196 avaient produit de nouveaux SPANB, et 119 pays environ avaient fixé des objectifs nationaux. Des défis persistent puisque les pays ne sont pas parvenus à un accord sur un « examen global » des progrès réalisés pour les COP17 (en 2026) et COP19 (en 2028). Ils n’ont pas non plus clairement détaillé les mesures à prendre après les examens. Enfin, aucun accord sur les indicateurs du cadre de suivi n'a été trouvé. Cela est dû en partie à l'absence d'engagements financiers concrets.
Dès lors, il apparaît que les anciens objectifs d'Aichi fixés en 2010 pour la période 2011-2020, n’ont pas atteint leurs ambitions initiales pour trois raisons notables : les retards significatifs pris par de nombreux pays, l’absence de mécanismes de suivi quantitatif contraignants et le manque de supervision internationale des normes de protection. Ces lacunes soulèvent des inquiétudes quant à la réalisation de l'objectif 30x30.
Les défis du financement de la biodiversité
Comme pour le climat, les besoins de financement restent l'un des obstacles à surmonter pour mener une action efficace en matière de biodiversité. Alors que la COP16 a établi une feuille de route pour mobiliser des ressources financières, les promesses des nations les plus riches n'ont toujours pas atteint les 200 Mds $ nécessaires chaque année pour atteindre les objectifs mondiaux en matière de biodiversité. Les promesses de contributions annoncées lors de la conférence ne se sont élevées qu'à 163 M USD. De nombreux pays en développement ont déclaré que le manque de financement en temps voulu du Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM), un important fonds multilatéral pour l'environnement, les avait empêchés de produire de nouveaux programmes d'action nationaux pour l'environnement.
L'approche de la COP16 en matière de financement de la biodiversité s’est concentrée sur trois principales sources : l'aide internationale, les investissements du secteur privé et de nouveaux instruments financiers, tels que les crédits biodiversité. Ces outils sont novateurs, mais leur impact dépendra largement de la mesure dans laquelle ils seront adoptés à l'échelle mondiale. En outre, compter sur le financement du secteur privé soulève des questions quant à l’éthique. Sans directives et supervision claires, ces mécanismes financiers peuvent servir les intérêts des investisseurs privés par rapport à ceux des écosystèmes et des communautés vulnérables.
Reconnaissance, mais absence de protection des droits des peuples autochtones
L'une des avancées les plus notables de la COP16 a été l'accent mis sur les droits des peuples autochtones. Les communautés autochtones sont reconnues comme « les gardiens de la nature », jouant un rôle essentiel dans la protection de la biodiversité étant donné leurs liens étroits et ancestraux avec la nature. Ainsi, la création d'un groupe permanent, ou « organe subsidiaire » pour les peuples autochtones a été mise en place afin de leur assurer une représentation continue et leur permettre de contribuer directement aux négociations.
Si la reconnaissance des contributions autochtones est une étape importante, elle ne garantit pas la protection des droits des peuples autochtones. En l'absence de mesures exécutoires, les communautés autochtones pourraient continuer d'être marginalisées ou exploitées par des intérêts plus puissants, notamment par des gouvernements ou des entreprises cherchant à accéder à des terres riches en ressources naturelles. La COP16 souligne que les communautés autochtones sont des partenaires dans le domaine de la conservation, mais n'offre pas d'accords contraignants pour protéger leur souveraineté et leurs moyens de subsistance.
Le défi majeur : combler l’écart entre engagements et actions concrètes
Les résultats de la COP16 ont révélé le talon d'Achille familier de la gouvernance environnementale : le fossé entre les engagements et les actions. L'histoire des COP sur le climat a montré que les accords environnementaux ambitieux échouent souvent au stade de la mise en oeuvre, enfermés dans des obstacles politiques, économiques ou logistiques. Les pays doivent non seulement aligner leurs politiques sur les objectifs de la COP16, mais aussi engager des ressources et dialoguer avec les communautés autochtones et le secteur privé pour surmonter les défis persistants pour sa mise en oeuvre. Le secteur financier peut jouer un rôle crucial dans la promotion des objectifs en matière de biodiversité en mettant l'accent sur les mécanismes et cadres de financement qui alignent les flux financiers sur les besoins de conservation.
]]>En effet, la société de gestion a décidé de faire évoluer le Compartiment vers une stratégie obligataire flexible avec une approche sectorielle sur les obligations financières. La société de gestion considère que cette nouvelle stratégie offrira aux actionnaires une exposition à un secteur qu’elle juge décoté sur le marché obligataire. Après cette opération, le Compartiment investira au minimum 70% de son actif net dans des obligations à taux fixe ou variable, des obligations subordonnées, autres titres de créances négociables et instruments du marché monétaire appartenant au secteur financier.
Par ailleurs, la société de gestion a décidé de faire passer le Compartiment en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers relative à la prise en compte des critères extra-financiers en lieu et place de la catégorie 1 actuellement. La catégorie 3 de l’instruction 2020-03 permet une communication des critères extra-financiers « limitée au prospectus » et proportionnée.
Quand cette opération interviendra-t-elle ?
Cette opération entrera en vigueur le 18 novembre 2024.
Si vous acceptez les termes de ces modifications, cette opération n’implique aucune démarche spécifique de votre action. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat de vos actions sans frais(1) à tout moment, le Compartiment n’appliquant pas de commission de rachat. |
Quel est l’impact de cette ou ces modifications sur le profil de rendement/risque de votre investissement ?
Quel est l’impact de cette opération sur votre fiscalité ?
L’opération de mutation n’a pas d’impact sur votre fiscalité. Nous vous conseillons de prendre contact avec votre conseiller habituel ou votre distributeur.
Eléments clés à ne pas oublier pour l’investisseur
Nous vous rappelons la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clé (DIC).
Les options suivantes vous sont offertes :
Les DIC et le prospectus du Compartiment sont disponibles sur les sites : www.creditmutuel-am.eu et/ou www.la-francaise.com ou auprès de : CREDIT MUTUEL ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS ou e-mail : contact-valeursmobilieresnull@nullla-francaise.com
(1) Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération.
(2) Cet indicateur se base sur l'évolution du SRI et l'évolution de l'exposition du fonds à une ou plusieurs typologies de risques.
En effet, la société de gestion a décidé de faire évoluer le Compartiment vers une stratégie obligataire flexible avec une approche sectorielle sur les obligations financières. La société de gestion considère que cette nouvelle stratégie offrira aux actionnaires une exposition à un secteur qu’elle juge décoté sur le marché obligataire. Après cette opération, le Compartiment investira au minimum 70% de son actif net dans des obligations à taux fixe ou variable, des obligations subordonnées, autres titres de créances négociables et instruments du marché monétaire appartenant au secteur financier.
Par ailleurs, la société de gestion a décidé de faire passer le Compartiment en catégorie 3 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers relative à la prise en compte des critères extra-financiers en lieu et place de la catégorie 1 actuellement. La catégorie 3 de l’instruction 2020-03 permet une communication des critères extra-financiers « limitée au prospectus » et proportionnée.
Quand cette opération interviendra-t-elle ?
Cette opération entrera en vigueur le 18 novembre 2024.
Si vous acceptez les termes de ces modifications, cette opération n’implique aucune démarche spécifique de votre action. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat de vos actions sans frais(1) à tout moment, le Compartiment n’appliquant pas de commission de rachat. |
Quel est l’impact de cette ou ces modifications sur le profil de rendement/risque de votre investissement ?
Quel est l’impact de cette opération sur votre fiscalité ?
L’opération de mutation n’a pas d’impact sur votre fiscalité. Nous vous conseillons de prendre contact avec votre conseiller habituel ou votre distributeur.
Eléments clés à ne pas oublier pour l’investisseur
Nous vous rappelons la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clé (DIC).
Les options suivantes vous sont offertes :
Les DIC et le prospectus du Compartiment sont disponibles sur les sites : www.creditmutuel-am.eu et/ou www.la-francaise.com ou auprès de : CREDIT MUTUEL ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS ou e-mail : contact-valeursmobilieresnull@nullla-francaise.com
(1) Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération.
(2) Cet indicateur se base sur l'évolution du SRI et l'évolution de l'exposition du fonds à une ou plusieurs typologies de risques.
Romain GOBERT déclare :
Guillaume complétera parfaitement l’équipe de distribution dédiée à l’expertise en actifs cotés. Son expérience avérée dans l’onboarding et ses connaissances en matière d’allocation d’actifs aussi bien sur le coté que le non-coté nous permettront de continuer à offrir une qualité de service élevée à nos partenaires – distributeurs.
Guillaume MARTIN, Responsable commercial – expertise « valeurs mobilières » (âgé de 28 ans)
Guillaume apporte à La Française une solide expérience dans le secteur de la gestion d’actifs et de la banque privée, acquise d’abord à l’international en 2018, au sein de la banque J. Safra Sarasin à Singapour, dans le département des trusts. En 2019, il rejoint Tikehau Capital, où il est initialement chargé de l’onboarding de nouveaux clients internationaux et distributeurs. Puis, en 2023, il devient responsable commercial avec pour mission de développer la distribution intermédiée (conseillers en gestion de patrimoine indépendants) pour une gamme de fonds UCITS et FIA (Private Equity, Dette Privée et Immobilier).
Guillaume est titulaire d’un master en commerce international à l’IPAG Business School.
En résumé, la réunion de la Réserve Fédérale ne devrait pas avoir beaucoup d’impact avec une baisse de taux très largement anticipée et un marché focalisé sur les résultats des élections américaines.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
le 15 novembre 2024 à 16 heures
au siège social de la Société situé 128 Boulevard Raspail – 75006 Paris,
En vue de délibérer et statuer sur l'ordre du jour suivant :
*Ce fonds n’est pas enregistré au Luxembourg
**Ce compartiment n’est pas enregistré au Luxembourg
Conformément à la législation en vigueur, les actionnaires sont informés que l’ensemble des documents prévus aux articles R 225-81 et R 225-83 du Code de commerce sont à leur disposition au siège social de la Société et qu'ils seront envoyés gratuitement à ceux d'entre eux qui en feront la demande.
Les actionnaires remplissant les conditions prévues par l’article R 225-71 du Code du commerce, peuvent demander au conseil d’administration, l’inscription de points ou de projets de résolution à l’ordre du jour. Ils devront les adresser par lettre recommandée avec avis de réception au siège social. Pour être prises en compte, ces demandes devront être reçues cinq jours avant la tenue de l’assemblée et être accompagnées du texte des projets de résolution et d’une attestation d’inscription en compte.
Tout actionnaire, quel que soit le nombre d’actions qu’il possède, a le droit de participer à cette assemblée, de s’y faire représenter par un actionnaire, par son conjoint ou le partenaire avec lequel il a conclu un pacte civil de solidarité ou d’y voter par correspondance dans les conditions prévues aux articles L 225-106 et L 225-107 du Code de commerce.
Le droit de participer pour tout actionnaire à l’assemblée ou de s’y faire représenter est subordonné à l’enregistrement comptable de ses titres, soit en son nom ou au nom de l’intermédiaire inscrit pour son compte, au deuxième jour ouvré précédant l’assemblée à zéro heure, heure de Paris.
Si vous souhaitez voter par correspondance, vous pouvez vous procurer le formulaire de vote auprès de la Société:
La Française - 128, boulevard Raspail – 75006 Paris. La demande de formulaire doit être adressée par lettre recommandée avec accusé de réception et parvenir à la Société six jours au moins avant la date de la réunion.
Les formulaires de vote à distance ne seront pris en compte qu'à la condition de parvenir à la Société deux jours avant la date de l'assemblée, accompagnés d’une attestation établie par le dépositaire de ces actions justifiant de leur enregistrement comptable datée de deux jours avant la date de l’assemblée.
En cas de vote par correspondance, vous n’aurez plus la possibilité de participer directement à l’assemblée ou de vous y faire représenter en vertu d’un pouvoir.
Le présent avis vaut avis de convocation, sous réserve qu’aucune modification ne soit apportée à l’ordre du jour, à la suite des demandes d’inscription de projets de résolutions présentées par des actionnaires.
Sauf instruction contraire, les procurations et les votes par correspondance reçus pour l’Assemblée Générale Extraordinaires du 4 novembre 2024 à 16h (date de la 1ère convocation) restent valables pour l’Assemblée Générale Extraordinaire du 15 novembre 2024 à 16h ainsi qu’aux autres Assemblées Générales successives portant sur le même ordre du jour.
Le Président du Conseil d’Administration
Nous vous informons de l’ajout du pré-centralisateur IZNES dans le prospectus.
Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 30/10/2024.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.
Les documents d’informations clés doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clés du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.
Les documents d’informations clés doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
CM-AM Convictions Euro est un fonds actions de la zone euro qui se distingue par :
Le fonds se distingue régulièrement dans sa catégorie, comme en attestent ses classements Morningstar sur différentes périodes . Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Jean-Louis DELHAY, CIO de Crédit Mutuel Asset Management et gérant principal du fonds, commente :
« L’attrait du fonds repose sur une gestion active de convictions qui s’adapte aux conditions de marché avec un cœur de portefeuille orienté qualité/croissance et une sélection d’entreprises créatrices de valeur sur le long terme. Cette approche nous a permis de traverser différents cycles de marché tout en offrant un couple rendement/risque attractif à nos porteurs. »
Eliana de ABREU, Directrice Générale de Crédit Mutuel Asset Management conclut :
« Nous sommes très fiers d'avoir atteint ce cap symbolique du milliard d'euros d'encours. C'est une belle reconnaissance du travail accompli par l’équipe de gestion. L’intérêt croissant des investisseurs témoigne de la pertinence de notre approche fondamentale et de long terme. »
CM-AM CONVICTIONS EURO | ||
Classification | Actions Euro | |
Forme juridique | Sicav de droit Français, compartiment de CM-AM SICAV | |
Code ISIN | FR0013384989 (Action IC), FR0013384963 (Action RC) | |
Indicateur de risque |
| |
Durée de placement conseillée | Supérieure à 5 ans | |
Objectif de gestion
| Cet OPCVM a pour objectif de gestion la recherche d’une performance annuelle nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence Euro Stoxx® Net Return sur la durée de placement recommandée. La composition de l’OPCVM peut s’écarter sensiblement de la répartition de l’indicateur. | |
Indicateur de référence | Euro Stoxx® Net Return | |
Éligibilité au PEA | Oui | |
Affectation résultat | Capitalisation | |
Frais de gestion et autre frais administratifs & d’exploitation
| Référer au Document d’informations clés | |
Coûts d’entrée / coûts de sortie | 2 % / 0 % | |
Souscription initiale minimum | 1 action | |
Valorisation | Quotidienne | |
| Risque de perte en capital, risque de marché, risque lié à l’investissement en actions de petite capitalisation, risque d’investissement sur les marchés émergents, risque de change, risque lié aux obligations convertibles, risque de taux, risque de crédit, risque lié aux investissements dans des titres spéculatifs (haut rendement), risque lié à l’impact des techniques telles que les produits dérivés, risque de liquidité, risque en matière de durabilité. |
Les volumes investis en immobilier commercial en Europe sont, pour le troisième trimestre consécutif, orientés à la hausse en Europe, confirmant que les marchés immobiliers sont arrivés à un point d’inflexion.
La France fait figure d’exception puisqu’elle voit ses volumes d’investissement reculer une nouvelle fois au troisième trimestre. Dans l’Hexagone, l’impact de l’assouplissement de la politique monétaire de la BCE a été largement amoindri par les questionnements sur la longévité du gouvernement de M. Barnier et le poids de la dette française. Sur les neuf premiers mois de l’année, 10,1 Mds € ont été investis en immobilier d’entreprise en France, une baisse de 11% sur un an.
Les stratégies de diversification des investisseurs se confirment avec une nette préférence pour les actifs démographiques (immobilier de santé et résidentiel géré), l’hôtellerie et la logistique. Pénalisés par l’attentisme des investisseurs, les bureaux continuent à reculer. En France, le recul est deux fois plus marqué en Ile-de-France qu’en régions (-56% vs. -28% selon les données provisoires). Les commerces regagnent en attractivité, portés par l’intérêt des investisseurs pour les enseignes de première nécessité et les retail parks. L’attrait des actifs de diversification est lié à leur profil plus défensif grâce à des fondamentaux décorrélés des cycles économiques mais aussi à leur taille, dans la mesure où les investisseurs privilégient les actifs pour lesquels il n’est pas besoin d’avoir recours au financement.
La hausse brutale et soudaine des taux sans risque sur les deux dernières années a provoqué une hausse des taux de rendements immobiliers et donc une correction des prix de l’ensemble des typologies d’actifs. En revanche, l’ampleur de ce mouvement d’ajustement varie significativement en fonction des typologies d’actifs. Les centres commerciaux et les bureaux de qualité moyenne ont affiché une hausse de leur taux de rendement de plus de 200 points de base, comparée à leur point bas. Sur la même période, les hôtels, la santé et le résidentiel géré affichent une hausse inférieure à 100 points de base. Par ailleurs, sur les neuf premiers mois de l’année 2024, les hausses des taux de rendement immobiliers ont été plus contenues : 9 points de base en moyenne pour les bureaux prime et 6 points de base pour la logistique. Certaines classes d’actifs enregistrent même des compressions de taux depuis le début de l’année. Si ces compressions de taux restent marginales, elles confirment le basculement des marchés dans un nouveau cycle.
Avec 412 000m² commercialisés au troisième trimestre, la demande placée en Ile-de-France s’élève à 1,3 millions de m² sur les neuf premiers mois de l’année, un recul de 9 % sur un an. Le climat d’incertitude lié au contexte politique français semble inciter les entreprises à décaler leurs décisions immobilières, qui par nature, s’inscrivent sur le long terme. Après un début d’année dynamique, le segment des grandes transactions a fortement ralenti au troisième trimestre sans signe annonciateur d’un retournement de marché au quatrième trimestre. A plus long terme, le rééquilibrage des modes de travail hybrides avec un retour plus marqué au présentiel, comme en témoignent les récentes annonces de certains grands groupes, pourrait permettre à la demande de rebondir.
La polarisation des marchés se poursuit. Les localisations centrales continuent d’être privilégiées par les utilisateurs, à l’instar de Paris Intra-muros qui concentre 55 % de la demande placée sur les neuf premiers mois de l’année, confirmant l’importance des enjeux de centralité. En revanche, les périphéries continuent à peiner à attirer de nouveaux utilisateurs et voit leur taux de vacance atteindre des sommets. Si les loyers prime restent orientés à la hausse dans les localisations centrales, le contexte global marqué par l’attentisme des utilisateurs n’est pas de nature à favoriser une augmentation générale des loyers. Par ailleurs, après plusieurs années de fortes indexations, les loyers des baux en cours sont supérieurs aux loyers de marchés dans plusieurs secteurs géographiques, à l’instar de La Défense ou la Boucle Nord. Dans ce contexte, les renégociations de baux se multiplient et donnent souvent lieu à des mesures d’accompagnement importantes.
]]>En résumé, nous pensons qu’il y aura une baisse de taux en octobre : les données et les enquêtes de conjoncture se dégradent et la dynamique des prix confirme que l’inflation retrouvera probablement sa cible de 2% comme prévu. Les implications sur les marchés financiers devraient être relativement limitées. En effet, la baisse d’octobre est largement attendue des investisseurs et ces derniers ont déjà pleinement intégré une baisse de taux de 25 pbs en décembre. L’attention sera désormais tournée vers la réévaluation des perspectives de croissance et d’inflation de la BCE publiée lors du comité du 12 décembre qui pourrait potentiellement montrer une décélération de l’inflation plus rapide que prévue l’année prochaine (par rapport aux prévisions du mois de septembre).
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
La baisse des taux d'intérêt est généralement favorable pour les marchés du crédit et sera probablement un moteur de performance pour les mois à venir. En 2022 et 2023, la contraction des spreads a été le principal contributeur aux rendements, soutenue par l'amélioration des fondamentaux et les afflux de capitaux importants dans cette classe d'actifs. Fin septembre, les spreads des obligations High Yield (HY) en euro ont clôturé à 342 points de base (en dessous de la moyenne sur 10 ans de 404), tandis que les spreads HY en dollar ont clôturé à 303 points de base (contre 439) (source : Bloomberg). La situation est similaire pour les obligations Investment Grade (IG).
Pour 2024 et 2025, les principaux moteurs de performance seront le « carry », à savoir le portage et la duration. Les rendements actuels de 5,7 % pour le HY en euro et de 5,5 % pour le HY en USD (nets des frais de couverture) sont bien supérieurs à la moyenne sur 10 ans, les rendant ainsi attractifs dans l'environnement de risque actuel. Ces niveaux de rendement offrent une protection contre un éventuel élargissement des spreads. Dans un scénario de baisse des taux, les obligations à duration plus longue devraient également bénéficier à la performance.
Enfin, les taux de défaut des obligations HY devraient rester stables en raison de l’environnement macroéconomique et parce que de nombreuses entreprises ont déjà refinancé leurs dettes à court terme.
Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 09/10/2024.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>Au lieu de :
« Il a pour objectif de gestion de valoriser le portefeuille, en recherchant la rentabilité sur la durée minimale de placement recommandée, tout en répondant aux critères de l'investissement socialement responsable. »
Le DIC/prospectus de l’OPCVM sera modifié en conséquence et prendra effet le 16/10/2024.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com ou www.creditmutuel-am.eu/fr.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
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Le label ISR ne garantit pas la performance du fonds.
LF Grand Paris Patrimoine a principalement poursuivi deux objectifs : réduire ses émissions de gaz à effet de serre et améliorer le confort des utilisateurs. Nos experts ont travaillé, avec l’aide des property managers, sur les critères E, S et G de chaque immeuble et chaque action a compté pour atteindre des résultats plus que satisfaisants.
En résumé, ces trois années de label ISR ont permis de faire évoluer le score ESG de la SCPI de près de 23% depuis l’évaluation initiale. Mais il n’y a pas que ce chiffre à retenir, les actions menées ont également permis :
Engagé depuis près de 15 ans dans une démarche durable, le lancement du label ISR en 2020 a donc permis à La Française REM de renforcer son processus de gestion et d’intégrer de manière pérenne l’ESG dans sa politique immobilière.
En tant que gestionnaire d’actifs immobiliers, notre mission est de protéger la valeur de nos actifs aujourd’hui et demain, pour nos investisseurs et nos locataires. C’est pour cela que nous sommes fiers de vous annoncer le renouvellement du label ISR pour la SCPI LF Grand Paris Patrimoine. La Française REM a su être au rendez-vous du décret tertiaire, et nous travaillons dans cette continuité au respect des futurs décrets et réglementations liées aux solutions de mobilité et d’énergies renouvelables.
Virginie Wallut
Les exemples d’investissement donnés ne constituent pas un engagement quant aux futures acquisitions de la SCPI.
Pour en savoir plus sur la SCPI LF Grand Paris Patrimoine, nous vous invitons à contacter votre interlocuteur commercial habituel ou à nous écrire en cliquant ici .
Risques SCPI : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans.
Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces, etc.) présente des risques : absence de rentabilité potentielle ou perte en capital, capital investi non garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI. Les SCPI peuvent recourir à l’endettement. Les caractéristiques d’endettement peuvent être différentes selon les SCPI. Vous pouvez retrouver ces éléments en vous référant à la note d’information pour en connaitre les modalités (paragraphe « Politique d’investissement ») et/ou aux statuts de la SCPI. Les risques, frais (chapitre « Frais ») et commissions associés aux produits sont consultables dans la note d’information.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org). La note d’information de LF Paris Grand Patrimoine a reçu le visa AMF : SCPI n° 18-25, en date du 21 août 2018.
Les récompenses passées ne préjugent pas des récompenses futures.
Le label ISR ne garantit pas la performance du fonds.
*Taux d'occupation : taux de remplissage de la SCPI, calculé en fonction des loyers ou des surfaces.
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Qu’est-ce qu’une Credit Linked Note ?
Le marché obligataire traditionnel présente un certain nombre de contraintes : univers d’investissement limité et profondeur de marché restreinte notamment.
Il est possible de répliquer une obligation traditionnelle de façon synthétique : on la nomme Credit Linked Note. Les CLN offrent une bien plus grande flexibilité. Toutes les caractéristiques de la CLN sont modulables: une ou plusieurs entité(s), durée et dates, devise, fréquence et type de coupon (fixe, variable, indexé à l’inflation etc..). La profondeur de marché est forte (peu de contrainte en deçà de 10 mios d’euros)
La contrepartie est que l’investisseur se verra exposé à un double risque de crédit : celui de l’émetteur (la banque de son choix) et celui de l’Entité de Référence choisie.
Qui investit dans ces Credit Linked Notes ?
Aujourd’hui l’ensemble des typologies investisseur ont recours aux CLN : investisseurs institutionnels, sociétés de gestion, organismes à but non lucratif (associations et congrégations religieuses) et entreprises dans le cadre de leur gestion de trésorerie et enfin les investisseurs particuliers !
Nous nous tenons à votre disposition pour de plus amples informations sur le sujet. N’hésitez pas à nous transmettre vos cahiers des charges pour étude.
Les informations ou éléments d’information contenus dans ce document n’ont qu’une valeur indicative et informative, l’objectif étant de décrire le mécanisme du produit. Elles ne préjugent en rien des résultats futurs et ne sauraient constituer en aucune manière une offre commerciale de la part de La Française Bank.
Quel est votre parcours professionnel ?
Hervé Portal : En 2006, je suis devenu conseiller en gestion de patrimoine indépendant (CGPI) après un début de carrière à l’Union financière de France (UFF). Pendant six ans, j’ai travaillé seul, puis j’ai recruté mon premier collaborateur il y a trois ans, et un second il y a deux ans. Enfin début 2015, j’ai racheté un cabinet et embauché quatre collaborateurs pour m’épauler. Une partie de notre clientèle exerce en profession libérale. Le fait de l’être soi-même me permet de parler le même langage et de mieux comprendre leurs besoins…
Comment évolue ce métier selon vous ?
H.P : La réglementation s’est considérablement accrue au cours des dix dernières années. En 2006, il fallait une feuille de papier, une pièce d’identité et un chèque pour engager un contrat avec un client. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui. La réglementation est devenue beaucoup trop lourde pour rendre service à notre clientèle. Dans les cinq prochaines années, beaucoup de CGP vont devoir vendre leur portefeuille de clients, faute de pouvoir s’adapter à l’inflation réglementaire. L’association peut être une solution mais elle n’est jamais aisée quand vous avez travaillé seul.
On imagine la clientèle des CGP riche et âgée… Des jeunes viennent-ils vous voir ?
H.P : Absolument. Si 80% des capitaux gérés sont détenus par des clients âgés de plus de 55 ans, des jeunes viennent nous voir et ils sont demandeurs de conseil ! Dès que possible, il est important de se construire un patrimoine et beaucoup d’entre eux l’ont compris. Notre rôle est de les accompagner sur le long terme dans cette perspective.
Quels conseils leur adressez-vous ?
H.P : Je conseille toujours à mes clients de détenir une épargne liquide d’au moins six mois de revenus pour faire face aux imprévus. On peut ensuite placer l’excédent sur des produits moins liquides mais susceptibles de générer de la performance à plus ou moins long terme. Je dis aussi à mes clients d’ouvrir un contrat d’assurance-vie par personne. Une protection en cas de divorce ou de décès du conjoint.
La digitalisation de la gestion de patrimoine constitue-t-elle un risque ou une opportunité ?
H.P : La digitalisation est un progrès mais elle ne réduit pas la demande de conseils. Celle-ci s’avère plus que jamais indispensable quel que soit l’outil à la disposition du client. Ces derniers le comprennent parfaitement et sont prêts à payer des frais en conséquence. Le conseil se rémunère. Nous sommes totalement transparents sur ce point.
Constatez-vous une certaine frilosité de vos clients malgré la faiblesse des rémunérations des actifs sans risque ?
H.P : Pas forcément. Mes clients sont investis à 70% sur des unités de compte (UC). Notre objectif n’est pas de générer une performance déraisonnable mais d’obtenir un rendement d’au moins 3% par an. Pour atteindre cet objectif, nous avons créé avec La Française le fonds patrimonial LM Harmony.
Quelle est la nature de votre relation avec le groupe La Française ?
H.P : J’ai choisi de travailler avec La Française après avoir rencontré des personnes de confiance qui m’ont donné la possibilité de bâtir le partenariat recherché. Le contact a été très bon. Nous avons créé un fonds sur-mesure, une offre lisible distribuée à 80% de mes clients. Mon objectif était de rassembler, au sein d’un seul fonds, seize lignes de fonds équipondérées. Il me paraît extrêmement important de répartir équitablement les convictions des gérants au sein d’un portefeuille de façon à en limiter la volatilité. Ce fonds a été lancé le 1er septembre 2015…
Un premier bilan ?
H.P : Les premiers résultats sont encourageants. Dans des marchés baissiers, le fonds est défensif et permet de limiter la contre-performance des indices. Je précise enfin qu’il est ouvert à tous les CGP en France.
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Ce rapport n’intègrera pas les avantages non monétaires mineurs, qu’il vous appartient de présenter à votre client.
Le calcul des frais ex post s'applique aux seuls instruments financiers concernés par la Directive MIF2 : en sont donc exclus les produits d'assurance vie, l'immobilier direct, les GFV ainsi que les produits TEPA. Les fonds de Private Equity, à ce stade, ne sont pas repris dans ce rapport.
En application de la Directive MIF2, vous devez transmettre un rapport des coûts et frais ex post pour chacun de vos clients pour lesquels vous avez réalisé un service d’investissement depuis l’entrée en vigueur de la Directive. Afin de vous assister dans votre démarche, nous vous proposons de vous fournir à partir de votre Extranet Partenaires un rapport des coûts et frais ex post, utilisable en l’état et pouvant être décliné par client.
Ce rapport sera accessible dans l’onglet "Situation clients / comptes clients". L’accès s’établira par la saisie de :
Si votre client dispose de plusieurs codes clients dans nos bases, il vous sera possible de générer un rapport global grâce à la sélection des différents codes concernés. Vous aurez toutefois la possibilité de disposer d’une restitution avec le détail par fonds.
Par ailleurs, si vous nous en faites la demande, nous pourrons vous transmettre un fichier récapitulant, pour l’intégralité de votre portefeuille de clients dont nous avons connaissance, l’ensemble des frais pour chacun d’entre eux. Dans ce cas, il vous appartiendra de produire votre propre rapport de frais ex post à partir des données de ce fichier.
Le montant des rétrocessions versées au titre de l’année 2018 (commissions sur encours) devant être pris en considération dans les calculs des coûts et frais ex-post (versement intervient au maximum fin mars), le rapport ainsi que le fichier récapitulant l’ensemble des frais seront mis à votre disposition à compter du mois d’avril 2019.
Le Groupement Foncier Viticole, plus couramment dénommé GFV, est un groupement foncier agricole non exploitant qui a pour objectif la propriété collective d’un domaine viticole en vue de sa mise en valeur par la conclusion d’un bail rural à long terme. C’est un placement original de diversification à long terme.
Le Groupement Viticole par Patrick Ribouton
Des particuliers, en nombre limité, se regroupent pour acquérir une propriété viticole. Son exploitation est confiée, par bail à long terme, à un exploitant choisi pour son savoir-faire tant technique que commercial.
Le GFV, un outil de transmission patrimoniale…
Les risques liés à l’investissement dans des parts de GFV, et notamment le risque de perte en capital au-delà de l’apport initial, sont présentés dans l’encadré "Information aux investisseurs".
Facteurs de risques des produits : Risque en capital, risque de liquidité
GFV : Risque sur les revenus et les revenus perçus en nature
TEPA Viticole : Risque d’exploitation, risque de recours à des prestataires tiers, risque fiscal, risque lié au recours à des emprunts, risque lié à l’engagement sur des contrats financiers
(source : La Française REM - 2016)
La Française REM, Société de gestion agréée par l’AMF, a acquis depuis près de 40 ans une expertise et un savoir-faire reconnus dans le domaine de l’investissement viticole.
Toujours soucieux de proposer des solutions d’investissement innovantes, La Française a imaginé dès 2013 un nouveau concept autour d’une offre TEPA viticole.
L’offre TEPA viticole vise la création et le développement d’une société propriétaire-exploitante ; chaque société créée correspondant à un Domaine viticole spécifique.
L’activité de la Société consiste exclusivement à exploiter un Domaine viticole dans toutes ses étapes de production : travail de la vigne, récolte du raisin, vinification, élevage, mise en bouteille, commercialisation des vins issus de la propriété.
L’actif de la Société sera composé principalement de vignes, de terres à vocation viticole, de bâtiments, du matériel attaché à la propriété, de stock de vins et de matières sèches (bouteilles, capsules, cartons, caisses de bois, etc.) et d’une vinothèque.
Ce type de placement comporte un risque d’exploitation qui le distingue ainsi fondamentalement de l’investissement en GFV.
Placement à la fois patrimonial et défiscalisant dont la durée est estimée à 12 ans, cette offre s’adresse à des investisseurs personnes physiques résidant fiscalement en France, possédant un patrimoine permettant de supporter ce type d’opération impliquant une prise de risque en capital et assujettis à l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF).
L’accès au capital de la Société permet aux investisseurs personnes physiques résidentes de France, agissant dans le cadre de la gestion de leur patrimoine privé et redevables de l’ISF, de bénéficier de différents avantages fiscaux (selon dispositions fiscales en vigueur) :
Réduction ISF : les clients redevables de l’impôt sur la fortune, pourront imputer sur leur impôt de l’année n un abattement correspondant à 50 % de la somme investie dans la Société et ce, dans la limite de 45 000 € de réduction. Avantage de la souscription en direct au capital d’une PME : contrairement aux holdings TEPA, FCPI, les 50 % d’abattement s’appliquent à 100 % de la somme versée par l’investisseur. Aucun droit d’entrée ne vient diminuer l’assiette de réduction.
Exonération ISF : l’investissement est exonéré d’ISF et ce, aussi longtemps que les titres sont détenus et sous réserve du respect par la Société des conditions légales requises au 1er janvier de chaque année.
Réduction IRPP : les investisseurs pourront, s’ils le souhaitent, affecter une fraction de leur versement au titre de l’augmentation de capital de la Société au bénéfice de la réduction d’IRPP. Cette réduction d’IRPP est égale à 18 % du montant du versement affecté dans la limite annuelle de 50 000 € pour les contribuables célibataires, veufs ou divorcés, ou de 100 000 € pour les contribuables mariés ou liés par un Pacs, soumis à une imposition commune (sous réserve de l’incidence du plafonnement global des niches fiscales).
Guide Pour Outil Calcul Frais Ex-Ante
Tout d’abord, les frais ex-ante c’est quoi ?
La Directive MIF II impose une parfaite transparence à l’égard du client sur les frais et coûts d’un investissement financier. Il n’induit pas de frais supplémentaires pour le client. C’est une nouvelle manière de présenter les frais.
La Française a fait le choix de vous accompagner et de mettre à votre disposition, pour les SCPI de notre Groupe que vous commercialisez, un rapport des frais ex-ante. Ce dernier est établi sur la base d’un outil de calculs de frais que nous avons développé.
Cet outil de calculs est alimenté par les données des fichiers EMT établis par chaque société de gestion. Ces fichiers regroupent l’ensemble des coûts et charges liés à la gestion de la SCPI.
Examinons ensemble un rapport des frais et coûts ex-ante.
Lecture d’un rapport des frais ex-ante
Cette présentation au client des coûts totaux doit s’accompagner d’un tableau présentant l’impact de ces derniers sur la performance de la SCPI, pendant la durée d’investissement conseillée.
Ces coûts totaux sont présentés en euro et en pourcentage, calculés sur la base du montant investi.
Ce rapport tel qu’il vous est présenté, ne concerne que les SCPI du Groupe La Française.
Les frais présentés dans le rapport ex-ante correspondent aux frais prélevés au moment où ce rapport est établi. Ils seront réajustés dans le rapport des frais ex-post.
Comment lire un rapport ?
Intéressons-nous au total des frais au titre de la 1ère année pour la SCPI Epargne Foncière, dont la durée d’investissement préconisée est de 9 ans et dont l’investissement théorique est de 10 000 €.
1 - Les frais relatifs à la transaction correspondent à la rétrocession qui vous est versée par la Française, à chaque souscription que vous réalisez. Dans cet exemple, les conditions de rémunération correspondent au barème général en vigueur, au titre de l’année 2019, soit 62,50% de la commission de souscription d’Epargne Foncière. Cette commission de souscription est de 7.50 % H.T., soit une rétrocession de 4.69 % H.T.
2 - Les paiements reçus de tiers : il s’agit des rétrocessions sur frais de gestion, la SCPI n’est pas concernée.
3 - Passons maintenant aux « Coûts indirects liés aux instruments financiers ».
On retrouve ici le solde de la commission de souscription (c’est-à-dire, la commission de souscription de la SCPI déduite de votre rétrocession) . On retrouve aussi les autres frais prélevés sur la SCPI par la société de gestion, qui correspondent à la commission de gestion à laquelle s’ajoutent les frais de transaction annuels (comme les frais de notaire liés aux acquisitions de biens immobiliers qui constituent le patrimoine de la SCPI). A noter qu’une SCPI en cours de constitution de son patrimoine aura des frais de transaction plus élevés qu’une SCPI qui dispose déjà d’un patrimoine immobilier constitué. Comme nous l’avons évoqué, l’ensemble de ces frais est précisé dans les fichiers EMT.
4 - Les coûts & charges annuels totaux estimés sont la somme des trois postes que l’on vient de dérouler.
Regardons enfin « l’impact des frais sur le rendement » de notre investissement théorique de 10 000€.
Les coûts totaux annualisés sont obtenus par l’addition des coûts et charges annuels totaux estimés auxquels s’ajoutent des postes de frais repris dans les fichiers EMT, selon la règlementation en vigueur. Les coûts totaux annualisés pour un investissement théorique de 10 000 € sont divisés par le nombre d’années de la période d’investissement préconisée, dans ce cas 9 ans. Soit un coût total annualisé de 2,10 %.
Nous vous proposons de faire un focus détaillé sur ces coûts totaux annualisés.
Focus sur les couts totaux annualisés / impact des frais sur le rendement de l’investissement théorique
Vous retrouvez dans la formule indiquée ci-dessous :
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Bertille KNUCKEY possède 14 ans d'expérience dans la gestion d’actifs. Elle a commencé sa carrière en 2010 chez F&C Asset Management (désormais Columbia Threadneedle Investments) en tant qu'analyste gouvernance et investissement responsable, couvrant les valeurs du secteur agricole et alimentaire en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient ; des compétences qu’elle développera par la suite chez La Financière de l'Echiquier. En mai 2015, elle intègre Sycomore Asset Management en tant que Gérante, spécialisée dans les valeurs européennes et Head of Sustainable and Responsible Investment.
Depuis 2019, Bertille KNUCKEY est membre de la Commission Climat et Finance Durable mise en place par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). Elle était également administratrice (2017 à 2024) et Vice-Présidente (2019 à 2024) du Forum pour l’Investissement Responsable (FIR).
Bertille KNUCKEY est titulaire d’un Master of Science en Économie Politique Internationale de The London School of Economics and Political Science (LSE), d’un Master en Environnement, Développement Durable et Gestion des Risques de Sciences Po Paris (IEP) et d’un Bachelor of Arts en Études Européennes de King's College London. Elle est titulaire du CFA UK Level 4.
La Française est présente dans dix pays, assurant ainsi une proximité avec ses clients et les marchés dans lesquels elle investit. Elle poursuit à ce titre une stratégie de développement internationale. En partageant les valeurs et engagements de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, La Française conjugue objectifs de performance et de durabilité dans sa gamme de produits cotés et non cotés.
A l’occasion de ce lancement, La Française adopte une nouvelle identité visuelle.
Je tiens à saluer l’engagement des collaborateurs du nouveau groupe La Française pendant cette phase de construction. Nous sommes prêts à relever ensemble de nouveaux défis pour proposer à nos clients une offre de gestion de conviction, spécialisée et suivant une approche ESG sincère.
déclare Guillaume Cadiou, président de Groupe La Française
« L’architecture multi-spécialistes de notre filière d’asset management nouvellement constituée et son alignement avec nos valeurs soulignent la volonté de Crédit Mutuel Alliance Fédérale d’apporter des solutions d’épargne adaptées avec le meilleur niveau de service à l’ensemble de nos clients. » complète Éric Charpentier, directeur général de la Banque Fédérative du Crédit Mutuel et du CIC.
« Je suis particulièrement fier de voir émerger notre pôle de gestion d’actifs. Sa constitution et plus largement la qualité de ses expertises permettent à Crédit Mutuel Alliance Fédérale d’assoir sa place d’acteur majeur de l’asset management. » conclut Éric Petitgand, directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
(1) Actifs sous gestion de Groupe La Française et de ses filiales ainsi que la quote-part des actifs sous gestion des activités de BLI, CIC Market Solutions, Dubly Transatlantique Gestion, distribuées par La Française AM Finance Services.
]]>Fut un temps où les banques espagnoles, irlandaises, italiennes, portugaises et grecques étaient totalement coupées des marchés interbancaires et entièrement dépendantes des facilités de financements et liquidités d’urgence de la Banque centrale européenne (LTRO, ELA)¹. Ces banques étaient qualifiées de « zombies » en raison de taux de créances douteuses et de déficits de fonds propres considérables et avec des notations financières parfois proches du défaut.
Les pays autrefois surnommés péjorativement « PIIGS » (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne) ont dû injecter des dizaines et des dizaines de milliards d’euros pour faire tenir leurs banques locales, tandis que la réglementation bancaire post-Lehman Brothers, Bâle 3, les forçaient de surcroît à aplanir à marche forcée leurs bilans, tout en les maintenant en vie grâce au statut de prêteur en dernier ressort de la BCE. Il y a eu des faillites/restructurations bancaires violentes (Bankia, Banco Espirito Santo, Banco Popular, banques italiennes vénètes, Monte dei Paschi…), de la consolidation menée au pas de charge, des années sans aucun dividende pour les actionnaires, des valorisations très décotées…
Non seulement ce temps est largement révolu, mais la santé de ces banques est désormais au beau fixe, avec des niveaux de rentabilité et de solidité financière faisant pâlir beaucoup de leurs concurrentes dites « core ». Voyons ceci en trois points : la qualité de crédit des bilans, leur solvabilité et la rentabilité.
Les banques périphériques ont eu grand peine à gérer la forte hausse de leurs encours de créances douteuses suite au double choc de la Grande crise financière de 2007-2008 et de la crise de l’euro (2009-2012). Les mesures de soutien en provenance de la Troïka, de leurs États et de diverses instances de régulation et de soutien ont été tardives (l’ État italien a largement tardé à prendre le problème de son système bancaire à bras le corps, contrairement à l’Irlande ou à l’Espagne), implantées seulement localement et souvent avec difficulté (mise en place de la structure de défaisance, bad bank, Sareb en Espagne ou de la NAMA en Irlande). L’opacité des bilans, notamment pour les banques de petites tailles locales, allait de mise avec des définitions nationales éparses de ce qui constituait alors une créance douteuse, tout comme les règles de provisionnement qui laissaient une grande part de discrétion aux banques et à leurs instances de régulation locales.
Christophe INIZAN déclare : « Déborah, par son dynamisme, son professionnalisme et sa connaissance du marché de l’épargne immobilière, complète parfaitement notre équipe de distribution intermédiée, et saura apporter un service à valeur ajoutée à nos partenaires conseillers en gestion de patrimoine. »
Déborah LEVY, Responsable commerciale – expertise immobilière.
Déborah apporte à La Française une expérience variée passée au sein de trois sociétés de gestion. Elle a passé trois ans au sein des sociétés de gestion Primonial et BNP Paribas REIM France, acquérant ainsi de solides fondamentaux en matière d’animation commerciale et de marketing opérationnel et digital. Par la suite, elle a rejoint Fiducial Gérance en 2022 en qualité de Responsable développement commerciale, en charge de l’animation d’un portefeuille de conseillers en gestion de patrimoine et d’institutionnels.
Déborah est titulaire d’un Master spécialisé en Marketing Digital et Data de Kedge Business School (Paris) et d’un Master 2 en Stratégie Marketing et Développement Commercial de l’Ecole Supérieure du Commerce Extérieur (Paris).
]]>La décision de la BCE de réduire les taux en septembre devrait donc être motivée par l'affaiblissement de la dynamique économique dans la zone euro. Malgré une hausse continue des prix des services, la BCE devrait garder confiance dans la trajectoire de l'inflation à venir (c'est-à-dire vers l'objectif de 2 % d'ici la fin de 2025). Nous pensons que les risques sont du côté « dovish » (baisse des taux d'intérêt européens et de l'euro) compte tenu de la dynamique économique actuelle. Christine Lagarde pourrait par ailleurs laisser la porte ouverte à une nouvelle baisse de taux potentielle en octobre.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
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S’attaquer au changement climatique, et plus spécifiquement à son impact sur la planète et tous les êtres vivants, nécessite une action immédiate. Le monde est confronté à des températures record, à des conflits persistants en Europe de l’Est et au Moyen-Orient et à des pressions inflationnistes continues.
Dans ce contexte, plaider pour l’éducation climatique est devenu crucial. Elle permet aux individus et aux communautés d’acquérir les connaissances, les compétences et la motivation nécessaires pour combattre le changement climatique et favoriser la résilience en période difficile. L’éducation, essentielle à la fois pour l’atténuation et l’adaptation au changement climatique, est un pilier souvent sous-estimé, mais essentiel de l’action climatique.
Considérez ceci : les enfants nés en 2020 feront face à jusqu’à sept fois plus d’événements météorologiques extrêmes que leurs grands-parents tout au long de leur vie1. Les jeunes générations sont les plus touchées et les moins bien équipées en matière d’éducation climatique. En effet, 70 % des jeunes ne peuvent pas expliquer le changement climatique, ne peuvent expliquer que des principes généraux ou n’en savent rien2. Combler ce manque de connaissances nécessite plus d’investissements. Malheureusement, l’aide gouvernementale à l’éducation est en baisse, passant de 14,7 % en 2003 à 9,7 % en 20213. Cette diminution souligne le besoin de sources de financement alternatives pour garantir une éducation climatique complète.
La société de gestion a décidé la fusion-absorption de votre fonds « LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS » par le fonds « CM-AM OBLIGATIONS ISR ».
Le fonds absorbé et le fonds absorbant sont tous les deux exposés en produits de taux. Le fonds absorbant peut être plus fortement exposé au risque actions, au risque de change et est plus fortement exposé au risque lié à l’investissement en obligations convertibles. Enfin, le fonds absorbant est géré en respectant un filtre qualitatif extra-financier et bénéficie du label ISR.
La fusion absorption entrainera une augmentation du profil rendement/risque.
Cette opération est motivée par le souhait de la société de gestion de rationaliser la gamme de ses fonds en fusionnant ces deux fonds ayant des stratégies d’investissement voisines.
La fusion-absorption aura lieu le 24/10/2024. Vos parts du fonds absorbé seront échangées contre des parts du fonds absorbant sur les valeurs liquidatives du 23/10/2024.
Attention, pour le bon déroulement de ces opérations, vous ne pourrez ni souscrire de nouvelles parts ni demander le rachat de vos parts du 21/10/2024 au 23/10/2024. Le fonds ayant une valorisation quotidienne, la dernière valeur liquidative du fonds LA FRANCAISE EURO SOUVERAINS sur laquelle pourront s’exécuter des souscriptions ou des rachats avant l’opération de fusion sera celle du 21/10/2024.
Les derniers chiffres d’emploi américains ont été assez décevants et ont même amené un (court) épisode de panique pendant le mois d’août dans un marché, il est vrai, très peu profond. Aucune raison donc aujourd’hui pour la Fed de ne pas commencer à réduire le caractère restrictif de sa politique monétaire.
Ces chiffres globalement décevants pendant l’été sont-ils annonciateurs d’une récession imminente ? Nous pensons que non. En effet, la zone Euro ralentit après un léger mieux lors du 1er semestre, mais garde la tête hors de l’eau grâce aux secteurs des services. Le ralentissement est réel aussi aux États-Unis, mais l’économie devrait toutefois conserver une croissance nominale autour de 4-5 % dans les trimestres qui viennent, un rythme dont nous rêverions en Europe. Du côté de la Chine, il n’y a pas grand-chose de nouveau à signaler. La santé de la machine exportatrice leur permet d’espérer une croissance proche des 5 % cette année.
Les marchés financiers anticipent à leur tour un cycle de baisse de taux assez agressif, en particulier aux États-Unis avec 4 baisses de taux d’ici fin 2024 et 8 à horizon 12 mois. Ces anticipations sont de notre point de vue trop agressives au regard de la santé de l’économie américaine. En effet, des incertitudes existent toujours sur le devenir de l’inflation à moyen terme sans oublier les conséquences potentielles des élections aux États-Unis. Le constat est moins vrai en zone Euro avec une conjoncture plus difficile.
En conséquence, à compter du 1er septembre 2024, le prix de souscription de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine diminue de 17,74 % et se compose de la manière suivante :
Valeur nominale : 150,00 €
Prime d'émission : 105,00 €
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Prix de souscription : 255,00 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais est de 255,00 €, dont 20,40 € HT, soit 24,48 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).
La valeur de retrait s’établit, quant à elle, à 234,60 €
Lire la Communication associés
Risques associés : risque de perte en capital, de concentration géographique, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La note d’information de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n 18-25 en date du 21-08-2018
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Le cours de l'or a atteint un nouveau record ces dernières semaines dépassant les 2400 $ l'once. Cette hausse a été opérée par les investisseurs occidentaux et est essentiellement due aux achats d'ETF sur l'or et à l'environnement financier plus favorable pour cette classe d’actifs. Nous pensons que l’or devrait continuer à s’apprécier, compte tenu notamment de la tendance baissière du dollar américain (par rapport aux autres devises) et des taux d'intérêt réels aux Etats-Unis.
La tendance haussière du prix de l'or remonte à 2022 et résultent de trois principaux facteurs que sont une demande de bijouterie soutenue, des investissements en or physique (pièces et lingots) de la part des investisseurs asiatiques et des achats massifs de la part des banques centrales des pays émergents, (notamment de la Chine) qui souhaitent diversifier leurs réserves de change et ainsi réduire leur exposition au dollar américain. Même si la Chine, après dix-sept mois consécutifs d'achats, semble faire une pause, nous pensons que les achats des banques centrales vont rester un facteur de soutien, leurs réserves d'or ne représentant que 4 à 5 % de leurs réserves de change.
Dans une allocation d'actifs tactique ou stratégique, l'or et le secteur aurifère jouent un rôle de diversification car ils sont décorrélés des autres actifs financiers. L'or peut ainsi améliorer le profil rendement/risque d'un portefeuille à moyen et long terme. Au sein d’un portefeuille, l'exposition à l'or peut être obtenue via des sociétés aurifères cotées. De plus, les producteurs d'or opèrent actuellement dans un environnement favorable : production élevée, prix élevés de l'or (prix moyen T1 24 $ 2073/oz, T2 2024 $ 2337/oz), coûts de production contrôlés (coûts de maintien moyens : 1400 $/once). Cet environnement génère du free cash flow et du retour à l’actionnaire, deux facteurs propices à l'amélioration des valorisations des entreprises. Ce rattrapage a d'ores et déjà commencé le 28 février 2024 lorsque l’indice Nyse Arca Gold Miners a bondi de plus de 44 % alors que l'or ne progressait que de 18 %.
Achevé de rédiger le 19 juillet 2024
Le présent commentaire n'est fourni qu'à titre d'information. Les opinions exprimées par l'auteur sont basées sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles de changer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles des autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion de portefeuille agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société anonyme au capital de 3 871 680 € RCS Paris n° 388 555 021, le Crédit Mutuel Asset Management est une filiale du Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
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En résumé, le FOMC devrait signaler que l'économie américaine se dirige durablement vers l’objectif de 2 % grâce à l’inflation qui a repris sa trajectoire à la baisse et à la normalisation du marché du travail. Jérôme Powell devrait donc préparer le terrain pour de future(s) baisse(s) de taux d'intérêt, peut-être dès septembre (ce qui est déjà bien anticipé par les marchés financiers), tout en soulignant une approche dépendante des données économiques. Nous pensons que la Fed communiquera plus clairement sur un assouplissement imminent de sa politique monétaire lors du prochain symposium de Jackson Hole qui se déroulera à la fin août (si les données le justifient).
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Conçue par l’agence Studio 135 Architectes, l’opération de co-promotion (PRD Office et Icade Promotion) propose au total 30 200 m2 de surface répartis sur deux immeubles (R+4) entièrement reconstruits et bénéficiant de tous les services pour contribuer favorablement à la qualité de vie des collaborateurs. Outre sa conception visant une haute efficacité énergétique, l’immeuble dispose de trois espaces de restauration, d’une salle de fitness et d’un business center… Les deux immeubles sont entourés d’espaces verts et proposent un jardin central. L’ensemble immobilier, géré par Humakey PM, sera livré en octobre 2024.
Proche du centre-ville et des commerces, le Campus WE encourage les mobilités douces avec sa proximité immédiate des transports en commun (RER A – arrêt Nanterre Ville, Bus : 159, 367, 157, 141), 240 emplacements vélos avec vestiaires sécurisés, ainsi qu’une desserte minute.
La gestion du site favorise la protection de la nature et fait l’objet d’une démarche de labellisation BiodiverCity. La gestion écologique des espaces verts répond aux exigences de la charte de gestion durable de La Française REM.
Par ailleurs, l’ensemble immobilier sera certifié HQE et BREEAM, niveau Excellent. Il bénéficiera de labels bas carbone, de labels relatifs à la qualité de vie au travail et à la connectivité ; le tout permettant d’aligner l’actif aux meilleurs standards de sa catégorie.
Au regard de la règlementation thermique, le bâtiment bénéficie d’une performance RT2012 – 30 %. Sa conception, associée à la souscription d’un contrat d’énergie renouvelable, permettra à l’immeuble d’émettre près de dix fois moins de C02 que la moyenne des immeubles situés en région parisienne.
Thierry Molton, Directeur Général de La Française Real Estate Managers, pôle Grand Public a déclaré : « Afin d’améliorer le bien-être des collaborateurs, d’attirer les talents et valoriser les espaces, nous nous sommes naturellement tournés vers Châteauform’ qui dispose d’un savoir-faire et d’un savoir-être reconnus. C’est pourquoi nous avons souhaité mettre en place ce partenariat en privilégiant une approche flexible et collaborative afin de s’adapter aux spécificités de chaque entreprise. Cette collaboration avec une entreprise à mission qui partage nos valeurs est un gage de qualité et de confiance réciproque ».
Anne Griffon, Responsable de Châteauform’ Inside a conclu : «Nous sommes particulièrement heureux et fiers de pouvoir accompagner La Française Real Estate Managers sur ce projet innovant. Nous sommes convaincus que l’association de nos savoir-faire apportera une proposition de valeur vraiment différentes aux entreprises qui souhaitent offrir une expérience attentionnée et marquante à leurs collaborateurs. »
À propos de ChâteauForm’
Fondé en 1996 par Jacques Horovitz et Daniel Abittan, Châteauform’ s’est imposé au fil des ans comme le leader européen dans l'organisation de séminaires, formations et événements d'entreprise. Sa mission : insuffler de la « chaleur ajoutée » à chaque rencontre pour inspirer les entreprises et leur permettre de révéler leurs talents.
Le Groupe rayonne aujourd’hui dans 7 pays à travers 70 Maisons, des demeures historiques et des lieux événementiels, nichés en pleine nature ou au cœur des, œuvrant ainsi au rayonnement International, notamment en préservant le patrimoine (culturel, historique et gastronomique). Cette expansion est aujourd'hui enrichie par l'offre Hospitality Inside, déployée au sein des entreprises, ainsi que par Nomad, traiteur événementiel engagé.
Pionnier de l’hospitalité dédiée aux entreprises, Châteauform’ incarne une approche humaniste, guidée par des valeurs plutôt que par des règles, visant à tisser des liens entre les individus au sein des organisations. En 2022, Châteauform’ obtient le statut de Société à Mission et met l’accent sur trois principes principaux : placer l'humain au cœur de l'entreprise, inspirer les clients en partageant leur vision axée sur le concept "révélons vos talents", et promouvoir la création d'événements durables.
À propos de La Française
La Française propose une offre de gestions de conviction spécialisées alliant objectifs de performance et de durabilité sur toutes les classes d’actifs. Notre architecture multi-spécialiste permet à nos gérants de se concentrer pleinement dans leur domaine d’expertise.
Engagé en faveur d’un investissement responsable sincère, nos équipes développent un savoir-faire de pointe sur les nombreuses facettes de l’ESG qui se diffuse dans toutes nos activités et analyses.
Notre approche partenariale de la relation client alliée à la créativité de nos équipes permet la conception de solutions et services innovants adaptés à toutes les situations et horizons de placement. Nos expertises spécialisées couvrent les actifs cotés et non cotés y compris l’immobilier.
Depuis le 1er janvier 2024, Groupe La Française est détenu à 60 % par la Banque Fédérative du Crédit Mutuel (BFCM) et à 40 % par la caisse régionale du Crédit Mutuel Nord Europe et membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
]]>En résumé, le comité monétaire de juillet sera probablement un non-événement. Nous nous attendons à ce que Christine Lagarde reste vague quant à l’orientation future de la politique monétaire dans la mesure où les projections macroéconomiques de la banque centrale seront réévaluées en septembre. Cette réunion devrait donc avoir un impact limité sur les marchés financiers.
Le présent commentaire est fourni à titre d'information uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles de marché et sont susceptibles d'évoluer sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. Crédit Mutuel Asset Management : 4, rue Gaillon 75002 Paris est une société de gestion agréée par l'Autorité des marchés financiers sous le n° GP 97 138. Société Anonyme au capital de 3 871 680 €, RCS Paris n° 388 555 021, Crédit Mutuel Asset Management est une filiale de Groupe La Française, holding de gestion d'actifs du Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
]]>Entouré d’une équipe de 32 personnes, il reportera à Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers.
« Je suis particulièrement heureux d’accueillir Antoine Le Treut, avec qui j’ai déjà eu l’occasion de travailler, chez Gecina. Il apportera à La Française REM sa connaissance fine du marché et des acteurs immobiliers français, et son expérience en tant qu’investisseur, vendeur et Asset Manager immobilier. Il sera chargé de piloter l’activité immobilière du pôle Institutionnel France, et de participer au développement commercial en lien avec les commerciaux du groupe La Française. Au cours de sa carrière, Antoine a piloté plus d’une centaine de transactions sur toutes les classes d’actifs, pour près de 16 milliards d’euros et participé à la stratégie de développement et de recentrage géographique des patrimoines gérés », déclare Philippe Depoux, Président de La Française REM. « En parallèle, David Rendall se consacre au développement international, axe prioritaire dans la feuille de route de La Française REM. Outre ses responsabilités en tant que Head of International Real Estate, David Rendall est nommé Directeur Général La Française REM UK, succédant ainsi à Peter Balfour, suite à son départ en retraite. »
Antoine Le Treut, 42 ans, Directeur Général Adjoint - Pôle Institutionnel France
Antoine Le Treut a commencé sa carrière chez Unibail Rodamco en 2005 au poste de directeur d’investissements puis directeur d’opérations Retail Corporate. Il rejoint par la suite les équipes de Gecina en 2011, comme responsable investissement, avant d’être nommé directeur des investissements en 2016 puis directeur de portefeuille en 2023.
Antoine est diplômé de l’ESSEC.
LA JOURNEE MONDIALE DE L'ENVIRONNEMENT : RAPPEL DE L'IMPORTANCE DE LA TARIFICATION DU CARBONE POUR LES INVESTISSEURS
En tant qu'investisseurs, la Journée mondiale de l'environnement (Word Environment Day) nous rappelle la dichotomie entre le développement durable et la viabilité économique. Alors que l'attention mondiale se concentre sur la nécessité toujours plus urgente de lutter contre le changement climatique, les mécanismes de tarification du carbone, Carbon Pricing Mechanisms (CPMs)(1) émergent comme un levier essentiel de la transition vers une économie bas carbone, comme en témoigne la décision prise plus tôt cette année par l'Union européenne d'élargir son système d'échange de quotas d'émission, Emissions Trading Schemes (ETS) pour y inclure le transport maritime(2), et la décision prise l'an dernier de créer un ETS supplémentaire (« ETS2 ») pour traiter les émissions de CO2 provenant des combustions de carburants dans les bâtiments, le transport routier et d'autres secteurs. Ces changements significatifs soulignent l'importance croissante que la réglementation accorde aux émissions de carbone dans différents secteurs. Cette évolution, parallèlement à la poursuite de la tendance haussière des marchés du carbone nord-américains entraînée par des réexamens réglementaires plus stricts et des ajustements de l'offre, signale un tournant vers des mécanismes de tarification du carbone plus stricts à l'échelle mondiale - et la nécessité pour les investisseurs d’en comprendre les implications financières (3).
QU'EST CE QUE LA TARIFICATION DU CARBONE, QUEL EST SON OBJECTIF ET COMMENT FONCTIONNE-T-ELLE ?
La tarification du carbone réglementaire englobe des cadres politiques tels que les taxes sur le carbone et les systèmes de plafonnement et d'échange, conçus pour attribuer une valeur monétaire aux émissions de gaz à effet de serre. D'après la Banque mondiale, il existe actuellement 75 taxes sur le carbone et systèmes d'échange de quotas d'émission dans le monde couvrant environ 24 % des émissions mondiales(4). Ces mécanismes fonctionnent soit en fixant un prix direct sur les émissions de carbone soit en instaurant un plafond des émissions fondé sur le marché assorti de quotas négociables(5). En internalisant les externalités liées aux émissions de carbone, la tarification du carbone crée fondamentalement des incitations économiques à la réduction des émissions et à l'innovation technologique. L'exemple susmentionné de l'extension du système d’échange de quotas d’émissions de l'Union européenne montre les conséquences financières concrètes pour les compagnies maritimes qui continuent de fonctionner comme par le passé : les entreprises du secteur(6) doivent acheter ou céder des quotas d'émission de l'Union européenne pour chaque tonne de CO2 (ou équivalent de CO2)(7), ce qui peut entraîner des coûts opérationnels plus élevés. Le coût de conformité devrait de manière générale être répercuté sur les clients finaux au travers de taux de fret plus élevés, ce qui pourrait affecter la compétitivité tarifaire de ces entreprises.
La tarification du carbone crée fondamentalement des incitations économiques à la réduction des émissions et à l'innovation technologique
L'exposition des entreprises à la tarification du carbone varie grandement d'un secteur et d'une région à l'autre. En effet, la récente baisse des prix du carbone dans l'Union européenne liée à l'offre excessive et à la baisse des émissions du secteur de l'électricité(8) contraste avec la dynamique haussière du programme California-Québec de plafonnement et d'échange(9), qui reflète l'interaction complexe des forces du marché dans les différentes régions. La volatilité des prix du carbone, influencée par des facteurs tels que les évolutions réglementaires et la dynamique du marché, peut avoir des impacts variables : Les entreprises opérant dans des secteurs à forte intensité de carbone, tels que l'énergie, le secteur manufacturier et le transport, sont confrontées à d'importantes implications en termes de coûts et à un risque d’échouage d’actifs physiques. Ces entreprises doivent faire face à la hausse des dépenses d'exploitation et aux éventuels coûts de conformité réglementaire, qui peuvent impacter les marges d'EBITDA et modifier la dynamique concurrentielle. Toutefois, les pionniers dans l'adoption de technologies moins émettrices - par exemple, l'adoption de carburants moins émetteurs tels que le gaz naturel liquéfié (GNL) ou l'installation de technologies économes en énergie comme les systèmes de lubrification d’air et les voiles à rotor dans le cas du secteur du transport maritime - devraient bénéficier d'incitations réglementaires et de réductions de coûts. Ces entreprises peuvent bénéficier d'avantages concurrentiels au-delà même de coûts de conformité réduits, tels qu'une meilleure position sur le marché et une meilleure réputation de marque.
L'INTEGRATION DE LA TARIFICATION CARBONE : UN IMPERATIF POUR LES INVESTISSEURS :
En ce qui concerne les investisseurs, l'évaluation de l'exposition d'une entreprise à la tarification du carbone fait donc partie intégrante d'une gestion globale des risques et de l’optimisation du portefeuille. La capacité d'une entreprise émettrice à gérer efficacement la tarification du carbone - au moyen d'une allocation d'actifs stratégique, d'améliorations de l'efficacité opérationnelle et de bonnes pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) - devient un facteur clé de sa performance financière à long terme et de sa valorisation de marché. Un nombre important de grandes entreprises cotées prennent d’ores-et-déjà un prix interne du carbone en considération, souvent pour prendre des décisions d'investissement plus éclairées (même si lorsque les prix internes du carbone sont particulièrement bas, ils peuvent être perçus comme un outil marketing). Toutefois, trop peu d'entreprises proposent un business plan intégrant de manière exhaustive les impacts de l'évolution du prix du carbone. C'est pourquoi l'intégration de la tarification du carbone dans l'analyse des investissements nécessite une compréhension approfondie des environnements réglementaires, des impacts sectoriels et des stratégies d'entreprise(10) du côté de l'investisseur, ce qui peut se traduire par les approches suivantes :
En plus de rester informé des évolutions réglementaires, l'intégration de scénarios de tarification du carbone dans les résultats, les flux de trésorerie et les mesures de valorisation des entreprises soumis aux stress tests - comme c'est de plus en plus le cas - revêt une importance croissante . En outre, il est essentiel de garder à l'esprit que la volatilité susmentionnée des prix du carbone présente à la fois des risques et des opportunités : les investisseurs peuvent envisager de diversifier leurs expositions géographiques et sectorielles afin d'atténuer l'impact de la fluctuation des prix. Toutefois, la tarification du carbone peut également induire des inefficiences de marché dont les investisseurs avisés peuvent tirer parti : les investisseurs qui utilisent des contrats à terme et des options sur le carbone peuvent capitaliser sur ces fluctuations de prix pour générer de l'alpha(11). En outre, les inefficiences dans la manière dont les entreprises sont valorisées sur la base de leur exposition au carbone peuvent présenter des opportunités d'investissement « value ». Les entreprises qui sont sous-évaluées en raison de la sous-estimation par le marché de leur capacité de gestion du carbone peuvent offrir des points d'entrée intéressants aux investisseurs. Enfin, la tarification du carbone est un domaine où l'intégration ESG et l'actionnariat actif revêtent une importance cruciale : en effet, comprendre les stratégies des entreprises dans lesquelles nous investissons, encourager la transparence dans le reporting des émissions de carbone et l'adoption de meilleures pratiques pour les réduire, contribue à créer un cadre plus complet pour identifier les facteurs de valeur.
Du point de vue des investisseurs, la Journée mondiale de l'environnement et la question de la tarification du carbone ont en commun de nous rappeler à quel point la transition structurelle vers une économie bas carbone souligne la nécessité d'une allocation stratégique à long terme aux secteurs et aux entreprises alignés sur cette transition. Cela est également souligné par d'autres évolutions réglementaires récentes, telles que l'entrée en vigueur, en 2023, du règlement(12) sur le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (EU’s Carbon Border Adjustment Mechanism (CBAM))(13) qui vise à instaurer des conditions équitables en matière de tarification du carbone pour les biens sensibles au commerce à haute intensité d’émissions.
CONCLUSION
En intégrant les considérations de tarification du carbone dans les cadres d'investissement, les investisseurs peuvent non seulement en atténuer les risques mais aussi tirer parti des opportunités offertes par la transition. L'alignement sur les objectifs climatiques mondiaux ne devrait donc pas être simplement perçu comme une réponse aux pressions réglementaires, mais plutôt comme un impératif stratégique qui favorise la création de valeur à long terme.
(1) Ce document ne couvre pas le thème des marchés volontaires du carbone (Voluntary Carbon Markets, VCM). Pour une présentation de la question, consultez le Centre d'éducation investisseur de Carbon Credits: carboncredits.com/what-is-the-voluntary-carbon-market/
(2) Réduire les émissions du transport maritime - Commission européenne (europa.eu ). Pour un résumé des développements récents et de leurs implications (application extraterritoriale, ajout de gaz à effet de serre supplémentaires (GES), etc.), consultez le Système d'échange de quotas d'émission (SEQE) de l' UE à compter du 1er janvier 2024 | Maersk
(3) North American Carbon Markets Start 2024 on Bullish Note - OPIS, A Dow Jones Company (opisnet.com)
(4) State and Trends of Carbon Pricing 2024 (worldbank.org)
(5) Tarification du carbone (worldbank.org)
(6)Seuls les navires d'un tonnage brut de 5 000 et plus entrant ou entrant dans des ports de l'UE sont concernés par cette évolution réglementaire. Réduction des émissions du secteur
(7)Les compagnies maritimes ne doivent céder des quotas que pour une partie de leurs émissions au cours d'une période de phase initiale : En 2025, 40 % des émissions déclarées en 2024 seront couvertes, passant à 70 % en 2026 pour celles déclarées en 2025 et à 100 % à partir de 2027.
(8) www.spglobal.com/commodityinsights/en/market-insights/latest-news/energy-transition/122823-bearish-eu-carbon-prices-to-continue-in-2024-on-lower-power-emissionsoversupply
(9)North American Carbon Markets Start 2024 on Bullish Note - OPIS, A Dow Jones Company (opisnet.com)
(10) Trucost TFCD Scenario Analysis-03.docx (spglobal.com)
Malgré cette résurgence de volatilité sur les taux, la relative bonne tenue des économies et des fondamentaux de crédit des entreprises permettent une poursuite de la compression des primes de risque sur le segment Investment Grade comme High Yield sur l’ensemble des zones géographiques.
Après un resserrement monétaire inédit de par son ampleur et sa vitesse, les taux de défaut sur le marché du High Yield se normalisent pour converger vers leur moyenne historique, autour de 4 % au niveau mondial. Ils sont néanmoins la résultante d’une somme d’histoires idiosyncratiques et non la conséquence d’un stress généralisé de liquidité dans le marché. La sélection de titres reste donc un élément clé sur ce segment de marché, ce qui redonne tout son attrait à la gestion active par rapport à la gestion indicielle qui captera l’ensemble des défauts de marché et notamment ceux d’émetteurs dont le poids dans les indices est important.
Pourquoi investir sur les fonds à échéance ?
Dans un scénario d’atterrissage en douceur des économies avec des baisses de taux qui se profilent, les fonds à échéance sont des produits qui ont toute leur place dans une allocation. Toute tension sur les taux ou les primes de risque constitue pour nous une opportunité d’optimiser son point d’entrée dans ce type de stratégies.
Les fonds à échéance ont le grand avantage d’être des produits simples et lisibles. La philosophie de ce type de produit est de répliquer au mieux le comportement d’une obligation au travers d’un panier d’obligations bien diversifié (entre 100 et 150 émetteurs pour notre gamme de fonds à échéance) afin d’éliminer le risque spécifique. Dans un contexte assez incertain, ils offrent ainsi aux investisseurs un rendement jusqu’à une maturité précise, ce qui apporte une certaine visibilité sur les coupons qui seront collectés et délivrés à l’échéance.
Les rapports annuels intégrés de 2023 (publiés en 2024) ont validé les prévisions de l'Agence Bancaire Européenne (ABE) réalisées dans le cadre de son exercice sur les risques climatiques en 20213 - les niveaux d’alignement (basés sur le chiffre d'affaires des contreparties4) sont extrêmement bas. En effet, alors que le pourcentage moyen des actifs éligibles à la taxonomie atteint 36,5 %, le GAR moyen (% des actifs alignés) calculé par notre équipe, sur un échantillon de 24 IF, ne s'élève qu'à 2,5 %.
Afin de gérer les attentes des parties prenantes, les IF ont activement communiqué les limites du GAR par le biais de différents canaux tels que la Fédération bancaire de l'Union européenne (FBE)5 ou leurs rapports annuels intégrés. Ils soulignent en particulier que l'indicateur est structurellement bas et trompeur, et que sa comparabilité est limitée car son niveau est fortement influencé par le modèle d'affaires de chaque structure.
Graphique 1 : Répartition du total des actifs du GAR (dénominateur) pour un échantillon de 24 IF (en %)
Par exemple, l'exposition à des sociétés non soumises à la directive Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) influencerait significativement le GAR. En outre, l'accès aux données supportant l'alignement des actifs à la taxonomie, en particulier sur le segment de la banque de détail, pose un réel défi.
d'investissement à mesure que le traité entrera en vigueur. Selon les estimations , les produits de substitution aux plastiques devraient atteindre plus de 9 milliards de $ d'ici 2027 avec un taux de croissance annuel de 16,8 %.
Quelle que soit la teneur finale du traité, ses conséquences seront profondes, en particulier pour le secteur privé, étant donné que la majorité des activités dépendent à divers degrés des plastiques.
Une étude a révélé que plus de la moitié des plastiques « à usage unique » rejetés dans le monde peut être attribuée aux actions d'une poignée d'entreprises, dont presque toutes sont pétrochimiques. En attendant un traité juridiquement contraignant, il est important que les entreprises assument la responsabilité de leurs produits et ouvrent la voie dans la lutte contre la pollution. Pour les fabricants de plastiques, l'adoption d'alternatives durables telles que les bioplastiques, qui sont dérivés de ressources renouvelables, offre une option prometteuse pour réduire l'empreinte carbone.
Représentant actuellement moins de 1 % de la production de plastiques, les bioplastiques, une alternative plus écologique, sont en voie de développement . Pour les entreprises exposées aux consommateurs, la refonte des produits afin d'encourager leur réutilisation pourrait permettre de réduire considérablement les déchets plastiques. Les recherches indiquent qu'une augmentation de seulement 10 % des réemplois pourrait réduire de moitié la quantité de plastiques polluants . Il appartient également aux consommateurs d'adopter le comportement approprié et de prendre les bonnes décisions. Pour ce 22 Avril 2024, journée de la Terre, le thème « La Planète contre les plastiques » rappelle que la société dans son ensemble peut contribuer à apporter des solutions à la pollution plastique.
Ce commentaire est fourni à titre d'information et à des fins pédagogiques uniquement. Publié par La Française AM Finance Services, siège social 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, 326 817 467 R.C.S. Paris, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, sous le n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076, le 1er juillet 1997.
]]>En résumé, nous n'attendons pas d'annonce surprise. En effet, il existe un large consensus parmi les membres de la BCE sur le fait que le mois de juin est une date clé pour la première baisse des taux. Cette réunion devrait donc avoir un impact limité sur les marchés financiers, mais elle devrait tout de même pousser les taux d'intérêt européens et l'euro à la baisse, en raison d’une probabilité renforcée de voir le cycle de baisse de taux commencer enfin
]]>La modification du délégataire de la gestion de la poche financière, La Française Asset Management, consécutivement à sa fusion prévue le 1er mai 2024 avec une société de son groupe, Crédit Mutuel Asset Management, société anonyme au capital de 3 871 680 euros, dont le siège est situé à PARIS (75002) – 4, rue Gaillon, immatriculée sous le numéro 388 555 021 RCS PARIS.
Du fait de cette fusion, Crédit Mutuel Asset Management deviendra, à cette même date, le délégataire de la gestion de la poche financière de la Société.
Ainsi, toute référence au délégataire de la gestion de la poche financière en tant que « La Française Asset Management » sera remplacée dans le Prospectus par « Crédit Mutuel Asset Management ».
Nous vous précisions que cette fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place pour la Société.
Dans la mesure où ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière constitue une mutation, La Française Real Estate Managers a obtenu l’accord du dépositaire et sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers sur ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière.
La modification du Prospectus sera effective le 1er mai 2024, date effective de la réalisation de la fusion.
De plus, cette délégation étant intragroupe, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.
Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.
]]>La modification du délégataire de la gestion de la poche financière, La Française Asset Management, consécutivement à sa fusion prévue le 1er mai 2024 avec une société de son groupe, Crédit Mutuel Asset Management, société anonyme au capital de 3 871 680 euros, dont le siège est situé à PARIS (75002) – 4, rue Gaillon, immatriculée sous le numéro 388 555 021 RCS PARIS.
Du fait de cette fusion, Crédit Mutuel Asset Management deviendra, à cette même date, le délégataire de la gestion de la poche financière de la Société.
Ainsi, toute référence au délégataire de la gestion de la poche financière en tant que « La Française Asset Management » sera remplacée dans le Prospectus par « Crédit Mutuel Asset Management ».
Nous vous précisions que cette fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place pour la Société.
Dans la mesure où ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière constitue une mutation, La Française Real Estate Managers a obtenu l’accord du dépositaire et sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers sur ce changement de délégataire de la gestion de la poche financière.
La modification du Prospectus sera effective le 1er mai 2024, date effective de la réalisation de la fusion.
De plus, cette délégation étant intragroupe, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.
Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.
]]>Entretien avec Yingwei LIN, analyste ESG, à l’occasion de la journée mondiale de la santé.
En tant qu’acteur engagé au sein de l’initiative Long-term Investors in People's Health (LIPH), quelles sont vos convictions ? Pourquoi le thème de la santé est-il majeur pour La Française et pourquoi avoir choisi LIPH ?
Yingwei LIN : Plusieurs raisons ont motivé notre engagement mais la raison principale et essentielle pour La Française est d’améliorer la santé publique et de créer les conditions d’un changement concret et significatif sur une problématique sociétale majeure.
En 2023, la thématique sociale a représenté 44% de nos engagements collectifs et individuels, en progression par rapport à 2022. Nous avons étendu notre champ d’actions dès 2022 sur la santé sous divers angles pour se saisir de problématiques plus larges que le seul capital humain.
Si le bien-être des citoyens est essentiel pour contribuer à la prospérité sociale et économique à long terme, il permet également de réduire les dépenses publiques et privées liées à la santé.
De plus, alors qu’il s’agit avant tout d’un droit fondamental pour tous, ce droit est menacé. La santé ne se limite pas qu’au bien-être physique, mental et social, mais va au-delà du seul défi de prévention des maladies ou d’accès équitable aux soins par exemple. Les déterminants sociaux1de santé notamment sont autant de facteurs qui peuvent avoir un impact significatif sur l'état de santé d'une personne.
Notre rôle est donc d’agir collectivement pour permettre des réponses efficaces et pérennes mais aussi de limiter le coût de l’inaction. Ainsi, par le biais du programme LIPH et de l'initiative Healthy Markets, nous collaborons avec ShareAction2et une coalition d’investisseurs représentant 5,8 mille milliards de dollars pour répondre à ces différents enjeux. Nous investiguons notamment 3 piliers de santé publique auprès des entreprises :
Par ailleurs, nous sommes engagés avec LIPH car le programme contribue à plusieurs Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment l’ODD 3.4 qui vise à lutter contre les maladies non transmissibles et l’ODD 2.2 qui vise à mettre fin à toutes formes de malnutrition.
Enfin, chaque 7 avril, date anniversaire de la création de l’OMS en 1948, un thème est défini pour mettre l'accent sur une problématique majeure de santé publique. Cette année, "Ma santé, mon droit"3 a été choisi pour souligner que bénéficier de conditions favorisant une bonne santé est un droit humain fondamental. Chacun a le droit d'avoir accès à des services de santé, ainsi qu'à de l'eau potable, de l'air pur, une bonne alimentation, des conditions de travail et un environnement décent.
Ce thème 2024 « Ma santé, mon droit » reflète tout à fait notre engagement au sein de LIPH démontrant ainsi que nos actions visent à traiter les problèmes les plus concrets et urgents en termes de santé.
Comment agissez-vous au sein du programme LIPH ? Quelles sont vos missions ? Vos actions ont-elles permis des avancées à ce jour ?
Y.L. : La Française a rejoint le programme LIPH au troisième trimestre 2022, faisant partie du groupe de signataires les plus actifs.
Nous avons initié notre engagement sur le pilier « santé des consommateurs » pour traiter le sujet de la malnutrition en ciblant les fabricants alimentaires mondiaux, les détaillants britanniques et l’industrie alimentaire hors domiciles. L’urbanisation s’accompagne d’une augmentation sensible de la consommation d’aliments transformés et prêts à l’emploi, et de nombreux produits riches en calorie, trop sucrés ou trop salés, entraînant une hausse des taux de surpoids et d'obésité dans les zones urbaines, périurbaines et rurales4. En 2022, dans le monde, une personne sur huit était en situation d'obésité, et le surpoids affecte près de 43 % des adultes et près de 20% des enfants et adolescents5. Ces deux facteurs constituent des risques majeurs pour de nombreuses maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète, cancers, troubles neurologiques, maladies respiratoires chroniques, troubles digestifs) causant environ 5 millions de décès en 2019.
Aux côtés d’une coalition d’investisseurs, nous avons donc cosigné des lettres adressées à 12 des plus grands fabricants alimentaires mondiaux6 . Notre ambition première est de parvenir à augmenter l’offre de produits « sains » sur le marché en demandant aux fabricants de fixer des objectifs pour accroitre la proportion des ventes de produits plus « sains » dans leur chiffre d’affaires global, et ce selon des normes reconnues qui définissent les aliments qualifiés de sains en matière de santé publique. Enfin, nous souhaitons que ce chiffre soit publié chaque année.
En 2023, nous avons mené plusieurs actions spécifiquement auprès de Nestlé en tant que leader mondial de l’industrie agroalimentaire. Lors de nos multiples entretiens, nous avons expliqué l’importance pour l’entreprise de s’engager dans une telle démarche pour devenir un modèle de son secteur en renforçant sa responsabilité sociétale et saisir les opportunités économiques qui en découlent. Grâce à un dialogue régulier, nous avons obtenu une première avancée positive de la part de Nestlé cependant insuffisante au regard de l’ambition portée par l’initiative.
Par conséquent, nous avons poursuivi notre engagement en co-signant une lettre publique adressée à la présidente de Nestlé, couplée à des déclarations et citations par voie de presse et lancer une résolution actionnariale contre Nestlé qui sera soumise au vote lors de l'AGM 2024. Cette action collective a largement été relayée dans les médias7 pour que le plus grand nombre soit informé et décide d’agir à son échelle.
Quelles sont vos ambitions pour 2024 ?
Y.L. : Nous allons poursuivre nos engagements existants et réfléchissons à la manière de maximiser notre impact. Les dialogues que nous menons avec les entreprises et les collaborations que nous avons avec diverses organisations et investisseurs nous permettent de mieux appréhender concrètement ces défis, et d'identifier les bonnes pratiques de marché.
En tant qu’investisseur, nous sommes conscients de notre responsabilité à l’égard de nos clients, de nos collaborateurs, de nos autres parties prenantes et de la société civile. Nous continuerons donc d’agir de manière individuelle et collective pour surveiller, sensibiliser et encourager les entreprises dans lesquelles nous investissons pour qu’elles améliorent leur performance en matière de durabilité.
Nous allons par ailleurs renforcer nos engagements en poursuivant nos travaux communs sur les trois piliers et plus particulièrement via des programmes sur la santé mentale des travailleurs et celle des communautés.
Sur le pilier santé des consommateurs, comme mentionné précédemment, nous déposerons une résolution lors de l’Assemblée générale de Nestlé le 18 avril prochain avec un groupe de cinq investisseurs représentant 1 680 milliards de dollars sous gestion dont le plus grand gestionnaire d'actifs du Royaume-Uni, Legal and General Investment Management (LGIM), pour donner suite à nos actions 20238.
Nous accélèrerons également notre position envers Unilever à la suite de celle de Nestlé avec la même ambition. Nous avons d’ores et déjà mené une réunion en 2024 et sommes à ce jour dans l’attente d’une réponse d’Unilever ce mois-ci pour adapter notre stratégie d’actions.
Enfin, nous resterons ouverts à de nouveaux engagements qui pourraient compléter notre thématique sociale et nous permettre de nous associer à d’autres investisseurs pour favoriser le partage d’idées et de bonnes pratiques.
Avertissement : Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.
1 Selon la définition de l'OMS, les déterminants de la santé sont les « facteurs personnels, sociaux, économiques et environnementaux qui déterminent l'état de santé des individus ou des populations » : revenu, éducation, emploi, contextes sociaux, politiques publiques par exemple.
2 ShareAction est une ONG d'investissement responsable qui s'efforce de définir les normes les plus élevées en matière d'investissement responsable. L'initiative "Long-term Investors in People's Health" (LIPH) de ShareAction soutient les investisseurs en les aidant à prendre en compte les problématiques de santé de la population - et les facteurs qui l'influencent - dans leurs décisions d'investissement, leurs votes et leurs pratiques d'engagement des entreprises. https://shareaction.org/about-us/who-we-are-2
3 Selon l’OMS, au moins 140 pays – l’ONU compte 195 pays dans le monde – reconnaissent la santé comme un droit fondamental de l’homme dans leur constitution. Pourtant 4,5 milliards de personnes, soit plus de la moitié de la population mondiale, n'étaient pas entièrement couvertes par des services de santé essentiels en 2021.
4 Urbanization and Obesity | Obesity Prevention Source | Harvard T.H. Chan School of Public Health
5 Health Obesity and overweight (who.int)
6 AG Barr, Britvic, Coca-Cola, Danone, General Mills, Kellogg’s, Kraft Heinz, Mondelez, Nestlé, PepsiCo, Premier Foods, Suntory Beverage & Food
7 Nestlé shareholders call on food giant to reduce reliance on unhealthy products I Financial Times Nestlé sous la pression de ses actionnaires pour limiter ses ventes de « malbouffe » I Les Echos Nestle Faces Investor Challenge Over Healthy Food Targets I Bloomberg https://www.independent.co.uk/business/shareholder-activists-call-on-nestle-to-tackle-reliance-on-unhealthy-food-sales-b2512322.html https://www.esginvestor.net/investors-call-out-nestle-on-unhealthy-products/ https://www.nutritioninsight.com/news/shareholders-challenge-nestle-to-lead-market-with-healthier-offerings.html https://www.nutritioninsight.com/news/shareholders-challenge-nestle-to-lead-market-with-healthier-offerings.html https://www.just-food.com/news/nestle-faces-shareholder-resolution-over-health-credentials/?cf-view
8 Shareholders file health resolution at Nestlé: https://shareaction.org/news/shareholders-file-health-resolution-at-nestl%C3%A9 Legal and General Investment Management (LGIM), Candriam, La Francaise Asset Management, Coöperatie VGZ et Guys and St Thomas' Foundation.
Ce manque de confiance de la part des banques centrales se retrouve dans la volatilité des taux, toujours très élevée même si en baisse, et aussi dans les anticipations des investisseurs. Le marché des options nous indique en effet que si juin est effectivement la date la plus probable pour commencer à baisser les taux, il existe malgré tout une dispersion d’opinion importante. (Market Probability Tracker Federal Reserve Bank of Atlanta (atlantafed.org)).
Il est par conséquent important pour certains types d’investisseurs, dont les sociétés de gestion, de voir le cycle de baisse des taux réellement commencer afin d’être rassurés quant aux orientations en matière d’investissement et d’allocation d’actifs futurs.
En ce qui concerne les marchés actions, nous avons la conviction que certains secteurs, ayant particulièrement souffert depuis le début de la hausse des taux en 2022, pourraient bénéficier de la baisse des taux à venir :
Par François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM.
]]>Plusieurs facteurs soutiennent ces progressions. La conjoncture économique tend à s’améliorer depuis quelques mois. Cette amélioration, déjà lancée depuis plusieurs trimestres aux États-Unis, est une bonne nouvelle pour les perspectives de croissance mondiale et donc pour l’évolution des bénéfices. L’évolution des prix semble elle aussi confirmer la désinflation en cours dans la plupart des pays du monde. L’inflation salariale en particulier montre des signes de déclin progressif. Cela constitue évidemment une bonne nouvelle pour les banques centrales qui peuvent maintenant envisager plus sereinement un début de cycle de baisse de taux à partir du mois de juin. Cette perspective d’assouplissement monétaire a elle aussi soutenu les cours des marchés actions.
Parallèlement à cela, la volatilité des marchés obligataires a beaucoup baissé au cours des dernières semaines. C’est le reflet d’une incertitude qui diminue et signe d’un possible regain d’intérêt pour les actifs financiers en général et les marchés actions en particulier.
Enfin, impossible de ne pas mentionner le boom de l’IA et la très forte concentration des performances en particulier sur les indices américains. Difficile de savoir aujourd’hui si les prévisions de croissance de ces sociétés sont crédibles ou non, mais cette thématique ne peut être ignorée aujourd’hui dans des allocations. Il est par conséquent important pour certains types d’investisseurs, dont les sociétés de gestion, de voir le cycle de baisse des taux réellement commencer afin d’être rassurés quant aux orientations en matière d’investissement et d’allocation d’actifs futurs.
La poursuite du mouvement désinflationniste
Les indicateurs avancés militent pour une poursuite de l’amélioration de la conjoncture et une poursuite du mouvement désinflationniste, tout du moins en zone euro. Si cela se confirme, cela pourrait permettre aux tendances en place depuis le début de l’année de se poursuivre, et ce même si la saisonnalité va devenir un peu moins favorable jusqu’en septembre.
La situation est un peu moins claire aux États-Unis qu’en zone euro en raison d’un risque inflationniste plus ancré, ce qui pourrait donner lieu à une communication moins accommodante de la part de la Réserve fédérale (Fed) au cours des prochains mois. La communication précédant le comité fédéral des marchés ouverts de la Réserve fédérale (FOMC) de juin sera particulièrement à surveiller.
Les élections américaines constitueront ensuite probablement l’évènement de la fin d’année avec sans doute une volatilité accrue. Les politiques budgétaires des deux candidats à l’élection présidentielle seront particulièrement attendues.
Convictions marchés actions
Dans le cadre d’une stratégie de diversification, nos allocations sont aujourd’hui orientées vers les actifs risqués et plus particulièrement vers les actions avec une légère préférence pour les actions européennes, très peu détenues par les investisseurs aujourd’hui et qui devraient, selon nous, profiter de l’amélioration conjoncturelle en cours. Certains secteurs, très touchés par la forte baisse de l’activité manufacturière, nous semblent à même de rebondir après des années de sous-performance, comme le secteur industriel par exemple ou encore de l’immobilier européen coté. De la même façon, cela pourrait aider les entreprises de taille moyenne à combler une partie du retard accumulée vis-à-vis des grandes entreprises, en particulier aux États-Unis.
Par François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM.
]]>Nos principales convictions :
En résumé, la Fed devrait rester prudente. Les futurs changements d'orientation de la politique monétaire (calendrier et ampleur) devraient dépendre des données. La Fed attend son heure, surtout après les récentes données sur l'inflation plus élevées que prévu. Au cours de la conférence de presse Jerome Powell répétera probablement qu'il faut davantage de preuves pour confirmer que l'inflation ralentit pour revenir à l'objectif de 2 %. Comme lors de son rapport au Congrès, il pourrait faire référence à la bonne santé de l'économie et au fait que les baisses de taux d'intérêt ne sont peut-être plus très loin. Par conséquent, le FOMC de mars devrait pousser les taux d'intérêt américains légèrement à la baisse et les actions américaines à la hausse.
Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les performances passées ne sont pas indicatives des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société régulée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>En 2024, le marché de l’investissement pourrait être alimenté par des acteurs, souvent contraints de vendre en raison de nouvelles conditions de financement ou incapables d’injecter suffisamment de capitaux pour atteindre les derniers standards environnementaux et/ou techniques. Ces ventes constitueront autant d’opportunités pour les acquéreurs disposant de capitaux propres.
Les bureaux, immanquablement touchés par une stratégie de diversification accentuée
Suite à la hausse brutale des taux directeurs et à l’instabilité des conditions financières, les volumes d’investissement en immobilier d’entreprise en Europe ont baissé de 47 % sur un an pour atteindre 131 milliards d’euros. Le bureau, une classe d’actifs marquée par les changements d’usage structurels, a enregistré la baisse la plus importante. Dans une moindre mesure, le secteur de la logistique,pénalisé par une forte valorisation des actifs, a également subi l’attentisme des investisseurs.
La baisse des investissements n’a pas impacté toutefois toutes les classes d’actifs de manière homogène. En effet, les investisseurs ont accentué leurs stratégies de diversification. De ce fait, les actifs alternatifs totalisent 27 % des volumes investis en 2023 (en relative hausse par rapport à 2022).
En termes géographiques, le Royaume-Uni et l’Espagne ont mieux résisté, enregistrant des baisses autour de 35 %, tandis que l’Allemagne, les pays nordiques et le BeNeLux ont subi les baisses les plus fortes, soit entre 55 et 60 % sur un an. La France et l’Italie sont dans la moyenne européenne avec une baisse de l’ordre de 45 %. En règle générale et pénalisé par le resserrement des conditions de financement, le segment des grandes transactions a enregistré la chute la plus significative.
Des rendements de bureaux « prime » qui suivent la hausse des taux
Après une année de nette décompression des taux de rendement immobiliers, les valeurs pourraient avoir trouver leur point d’équilibre contribuant à l’amorce d’un regain d’activité sur les marchés immobiliers. Toutefois, le nombre de transactions, notamment les grandes transactions, ayant été rares, les taux de rendement restent difficiles à estimer. A fin 2023, les taux de rendement des bureaux prime s’échelonnent entre 4 % et 5,25 % dans les capitales européennes. L’Allemagne et le BeNeLux affichent les hausses de taux les plus marquées en 2023. La perspective d’une détente des conditions financières et d’une baisse de la volatilité augure un redressement progressif du marché de l’investissement, courant 2024. A noter que l’enjeu environnemental, au cœur des stratégies immobilières, commande des décotes brunes importantes pour les actifs les plus énergivores.
Un écartement des spreads entre la demande placée et l’offre
Tandis que l’offre de bureaux n’a cessé de s’accroitre en 2023, enregistrant une hausse de 14 % sur un an, le quatrième trimestre marque une stabilisation globale, et même une légère augmentation de la demande, dans les localisations centrales, à l’instar d’Amsterdam et Bruxelles.
Les marchés européens s’inscrivent sur des trajectoires divergentes, soulignant l’importance de la diversification géographique des portefeuilles immobiliers. L’offre augmente, sur un an, de plus de 50 % à Berlin, Munich et Dublin, et s’inscrit à la baisse à Bruxelles et Milan, ainsi que dans de nombreuses localisations centrales telles que le quartier central des affaires de Paris ou Madrid. L’offre future, contrainte par la hausse des coûts de construction et le resserrement des conditions de financement, devrait toutefois être limitée.
Taux de vacance : l’écart se creuse entre actifs prime et actifs secondaires
Les attentes croissantes des utilisateurs, en matière de performance environnementale et de qualité de vie au travail, creusent l’écart entre les actifs prime et les actifs secondaires. Les loyers des actifs de dernière génération continuent à connaître des pressions à la hausse, atteignant +4,4 % en moyenne dans la zone euro sur 2023, alors que les loyers des actifs secondaires, notamment en périphérie, subissent des pressions baissières, renforcées par une hausse des mesures d’accompagnement. Si la vacance progresse globalement en Europe, elle augmente principalement en périphérie et reste majoritairement composée d’actifs secondaires, soulignant le problème d’inadéquation entre le parc de bureaux existants et les demandes des utilisateurs. Les localisations centrales continuent de souffrir d’un manque d’offre, notamment pour les bureaux neufs ou restructurés. C’est particulièrement le cas du quartier central des affaires de Munich, Paris et Amsterdam, qui affichent des taux de vacances bas de 0,7 %, 2,5 % et 3,1 % respectivement.
Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers.
Sources : CBRE, MBE, La Française REM Research
Les informations contenues dans ce document sont considérées comme exactes au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour de La Française Real Estate Managers. Elles n'ont pas de valeur contractuelle et peuvent différer des opinions d'autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris,France, 326 817 467 R.C.S. Paris et agréée par l’ACPR (« Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ») sous le n° 18673 en qualité d'entreprise d'investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers (399 922 699 R.C.S. Paris/128 Bld Raspail, 75006 Paris), a reçu l'agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l'agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org)
]]>Les gouvernements jouent un rôle crucial dans la promotion de l'égalité des sexes sur le marché du travail ; les décideurs peuvent élaborer et mettre en œuvre des politiques et des règlementations pour favoriser l’accès des femmes sur le lieu de travail. Malgré les progrès réalisés, le défi reste important et nécessite des actions plus soutenues, surtout dans un contexte de croissance molle, où l’inflation peine à reculer. Des pays comme la Suède et l'Islande ont fait des avancées notables dans la promotion de l'égalité des sexes dans le monde professionnel. En Suède, des politiques telles que des congés parentaux généreux, les quotas de femmes dans les conseils d'administration des entreprises et la priorité accordée aux services de garde d'enfants abordables ont contribué à sa réputation de chef de file en matière d'égalité des sexes. De même, l'Islande est devenue le premier pays au monde à faire inscrire dans la loi en 2018 « à travail égal, salaire égal ».
Pour les entreprises, il est essentiel de reconnaître le double rôle des femmes au sein de la population active et en dehors, assurant majoritairement la garde des enfants. En intégrant la diversité, en promouvant l'inclusivité et en capitalisant sur les compétences et les talents des femmes, les entreprises peuvent renforcer leur résilience et accroitre leur succès. La mise en œuvre de politiques favorisant l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, telles que des initiatives en faveur de la garde d'enfants et des possibilités de télétravail flexibles, permet aux femmes de participer pleinement à la vie active et de s'y épanouir. Selon le Forum économique mondial, le nombre croissant de femmes dans la population active rémunérée depuis 1970 a contribué à hauteur de 2.000 milliards de dollars à l’économie américaine2. L'intégration complète des femmes sur le marché du travail stimulerait considérablement la production économique, notamment en Europe, où l'écart d’emploi entre femmes et hommes est estimé à 370 milliards d’euros par an3.
En définitive, favoriser un environnement propice à l’épanouissement professionnel des femmes contribue au succès et à la pérennité globale des organisations dans l’environnement économique dynamique actuel. En effet, les entreprises avec une proportion plus élevée de femmes dans des postes de direction affichent généralement des rendements sur capitaux propres plus élevés, une croissance des bénéfices supérieure et de meilleures performances boursières4&5.
1 Global Gender Gap Report 2023, Forum économique mondial, juin 2023
2 Gender pay inequality, Consequences for women, families and the Economy, Comité économique conjoint du Congrès américain, avril 2016, p.11
3 The gender employment gap : Challenges and solutions, EUROFUND, octobre 2016
4 Is gender diversity profitable ? Evidence from a global survey, Peterson Institute for International Economics, février 2016
5 Delivering growth through diversity in the workplace, McKinsey & Company, janvier 2018
Le présent commentaire est fourni à titre informatif et éducatif uniquement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, 326 817 467 R.C.S. Paris, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management (314 024 019 R.C.S. Paris ; 128 bld Raspail, 75006 Paris) a été agréée par l'AMF sous le n°. GP97076 le 1er juillet 1997.
Par Claudia RAVAT, Analyste ESG, La Française AM
]]>A travers le monde, des urgences climatiques imprévues en 2023 – comme les pluies torrentielles en Asie du Sud-Est et les sécheresses en Afrique – ont coûté la vie à des milliers de personnes, causé des dommages aux infrastructures et à l’économie qui se chiffrent en milliards, et déplacé des populations vulnérables . Lors de la conclusion de la COP28, les Nations Unies (ONU) ont lancé un appel de fonds de 46,4 milliards de dollars pour 2024, afin d’apporter une aide à 181 millions de personnes dans le monde, souffrant de famine, de maladies ou contraintes à des déplacements massifs en raison de conflits, d’urgences climatiques ou d’effondrements économiques. Les trois « P » - personnes, planète, profit – sont tous menacés en cette ère de polycrise.
]]>Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
Les prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique.
Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com .
Les prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique.
Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au Compartiment d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.
Cette modification qui sera effective le 21 février 2024 n’est pas soumise à agrément AMF et n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais des Fonds qui demeurent inchangés.
Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
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Les prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique.
Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
]]>Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au Compartiment d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.
Cette modification qui sera effective le 21 février 2024 n’est pas soumise à agrément AMF et n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais des Fonds qui demeurent inchangés.
Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au Compartiment d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.
Cette modification qui sera effective le 21 février 2024 n’est pas soumise à agrément AMF et n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais des Fonds qui demeurent inchangés.
Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous détenez des actions du Compartiment et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Compartiment qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des actionnaires du Compartiment de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des actionnaires.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous détenez des parts du Fonds, nourricier du compartiment La Française Rendement Global 2028 de la SICAV La Française (ci-après « Compartiment »), et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion La Française Asset Management a décidé d’apporter les modifications suivantes à la documentation réglementaire du Fonds qui seront effectives le 21 février 2024 :
Pour faire face au risque de remboursements anticipés et pérenniser la gestion dans le temps du Fonds, la société de gestion La Française Asset Management a décidé d’ajuster la maturité des titres en portefeuille du Fonds comme suit :
« Le compartiment pourra investir dans des obligations dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2029 et/ou des obligations à échéance plus longue, mais qui disposent d’une option de rappel anticipé (« call ») inférieure ou égale au 31 décembre 2028. Le fonds n’investira pas dans des obligations perpétuelles. »
Après analyse des conditions de marchés, la société de gestion a estimé qu’il était dans l’intérêt des porteurs du Fonds de prolonger la période de commercialisation du Compartiment d’une année supplémentaire (jusqu’au 30 juin 2025), afin de profiter de niveaux de rendement potentiellement attractifs.
La société de gestion La Française Asset Management se réserve le droit d’anticiper la fermeture de la période de commercialisation si les marchés l’exigent et toujours dans l’intérêt des porteurs.
De plus, concernant le changement de méthode de valorisation : pendant la période de commercialisation jusqu’au 30 juin 2025 le fonds sera valorisé au cours ask, et au-delà de cette période le fonds sera valorisé au bid.
Ces modifications qui seront effectives le 21 février 2024 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Dans le cadre du Pacte vert pour l’Europe, adopté en 2020, l'Union européenne (UE) ambitionne d’orienter les flux de capitaux vers des entreprises durables et à débloquer les investissements nécessaires pour atteindre son objectif de neutralité climatique d’ici 2050 . Consciente que la directive sur la publication d'informations non financières ne fournissait pas de données comparables, la Commission européenne (CE) a proposé la directive sur la publication d'informations en matière de durabilité par les entreprises (directive CSRD) en avril 2021. L'objectif de la directive CSRD est d'améliorer les normes et la comparabilité des informations ESG en élargissant à la fois le champ d'application et la quantité des informations requises. Elle adopte également une approche plus normative en précisant les informations qu'une entreprise doit publier et la manière dont elles doivent l'être. Toutes les entreprises soumises à la directive CSRD doivent publier leurs informations de durabilité en utilisant les normes européennes d'information en matière de durabilité (normes ESRS), élaborées par le Groupe consultatif européen sur l'information financière (EFRAG). Plus de 50 000 entreprises doivent publier des informations au titre des normes ESRS entre 2024 et 2028, y compris les entreprises hors UE ayant une présence significative dans l'UE.
Caractéristiques des normes ESRS :
La version finale des normes ESRS est centrée sur la matérialité, ce qui permet aux entreprises la possibilité de définir les thèmes pertinents à leurs activités. La directive CSRD est la première règlementation à exiger des entreprises des évaluations de double matérialité. Selon le principe de double matérialité, on attend des entreprises qu’elles rendent compte, sur l'ensemble de leur chaîne de valeur, de l’impact des enjeux de durabilité sur leurs activités et de l’impact de leurs activités sur l'environnement et les parties prenantes. Une assurance limitée est requise pour les informations de durabilité publiées. Toutefois, la Commission européenne envisage d'étendre cette disposition à l'assurance raisonnable afin de garantir une information plus fiable, comme pour les comptes annuels.
Des règles sous pression dans l'UE et au-delà
Des retards supplémentaires dans la finalisation de la directive CSRD sont attendus en raison du lobbying et d’interférences politiques. En 2022, quatre associations, dont la Chambre de commerce américaine auprès de l'UE, ont rédigé une lettre ouverte appelant à une plus grande harmonisation entre les normes ESRS et les normes internationales d'information financière portant sur la durabilité (normes IFRS SDS), et à donner aux entreprises hors UE la possibilité d'utiliser d'autres normes nationales/internationales dans le cadre de la directive CSRD . Les normes IFRS SDS sont élaborées par l'International Sustainability Standards Board (ISSB) et sont également connues sous le nom de normes ISSB.
Selon la CE, l'EFRAG et l'ISSB ont travaillé conjointement pour améliorer la compatibilité de leurs normes de divulgation d'information. Cependant, il subsiste encore des différences importantes entre les deux. La principale est celle de la matérialité - les normes de l'ISSB sont conçues pour les investisseurs et se concentrent principalement sur la matérialité financière, tandis que les normes ESRS s'adressent à toutes les parties prenantes importantes et se concentrent sur des sujets plus larges, tels que la société, la main-d'œuvre et l'environnement. Le président de l'ISSB a fait part de l'intention du conseil de ne pas adopter le principe de la double matérialité. Cette fracture structurelle rend la mise en œuvre plus large de la directive CSRD encore plus difficile. Même si les normes ISSB représentent pour les entreprises une charge de travail moindre en matière de publication d'informations et ont suscité l'engagement d'environ 60 juridictions, nous pensons que la double matérialité est plus significative pour les entreprises et les investisseurs lorsqu'il s'agit de traiter des sujets liés à la durabilité. En novembre 2023, la CE a annoncé un retard de deux ans (jusqu'en 2026) pour l'adoption des exigences pour les entreprises hors UE. Pour les entreprises qui choisissent de reporter selon les normes de l’ISSB dès maintenant, il y aura une réticence à passer aux normes ESRS à l’avenir.
Il existe également le risque d’une intervention politique qui pourrait entraver la mise en œuvre de la directive CSRD. En octobre 2023, 42 % des membres du Parlement européen ont voté en faveur d'une résolution visant à bloquer l'adoption des normes ESRS et ont appelé à la limiter, affirmant une charge et une complexité trop importantes pour les entreprises de l'UE , pouvant affecter leur compétitivité. L'élection du Parlement européen est prévue pour 2024 et son résultat aura une incidence sur l'écosystème réglementaire. Les résultats de la consultation en cours du règlement SFDR pourraient également modifier de manière substantielle les règles de la directive CSRD, étant donné que les deux réglementations font partie du Pacte vert pour l’Europe.
Normes en constante évolution, besoin de visibilité pour les entreprises
Il y a beaucoup d'incertitude pour les entreprises, car les règles sont encore en cours d'élaboration. En octobre 2023, la CE a relevé de 25 % le seuil de taille des grandes entreprises et des petites et moyennes entreprises (PME) soumises à la directive CSRD . Les responsables européens ont déclaré que cette mesure avait été prise pour garantir la compétitivité des entreprises de l'UE . D'autres modifications sont encore à venir. En outre, le calendrier de mise en œuvre de la directive CSRD est échelonné. Comme le montre la Figure 1, la mise en œuvre est progressive en fonction de la taille de l'entreprise. Les entreprises déjà soumises à la directive NFRD doivent rendre compte de l'ensemble de leur chaîne de valeur à partir de 2024. Toutefois, les petites entreprises ou les entreprises hors UE ayant une présence significative dans l'UE auront plus de temps pour adopter les normes ESRS.
Initialement [...]
]]>L'ancien immeuble de bureaux a été rénové en 2023 aux derniers standards et transformé en établissement de soins primaires de trois étages (rez-de-chaussée et deux niveaux supérieurs). Les travaux de rénovation comprennent l'installation d'un nouveau système de climatisation, l’éclairage LED, des ascenseurs modernisés et un nouveau hall d'entrée. Le bâtiment, qui développera une surface de 2 356 m2, offrira une gamme d'espaces lumineux de traitement médical. L'immeuble propose des solutions de mobilité douce en mettant à disposition de nombreux gare-vélos et dix bornes de recharge pour véhicules électriques. À l'arrière du bâtiment se trouvent un lac et une zone sauvage qui profiteront à tous les occupants de la propriété. À l'achèvement des travaux, la propriété cible un certificat d'évaluation énergétique des bâtiments (Building Energy Rating Certificate) B1.
Le bâtiment est entièrement loué à Laya Healthcare Limited dans le cadre d'un bail de 25 ans. Laya Healthcare est le deuxième plus grand fournisseur d'assurance maladie en Irlande et gère plusieurs cliniques de soins primaires (sans rendez-vous) réparties dans toute l'Irlande. L'aménagement de Laya Healthcare comprendra un ensemble de salles de traitement, de petites salles d’intervention, des locaux de consultation, d'IRM, ainsi que des zones administratives et de repos pour le personnel.
Jérôme VALADE, Directeur du Pôle Immobilier de Santé de La Française REM a conclu : : « Loué à un fournisseur de soins de santé privé de premier plan dans le cadre d'un bail à long terme et situé dans une zone émergente à la population croissante, cet établissement de soins primaires avec de bonnes références ESG complète parfaitement notre portefeuille européen d’actifs de santé. »
Cette acquisition, dont le volume de transaction s'élève à un peu moins de 13 millions de livres sterling, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF AVENIR SANTE.
La Française REM a été conseillée par Knight Frank, Matheson pour les aspects juridiques et Hollis pour les aspects techniques et environnementaux.
***********************************************************
LF Avenir Santé est labellisée ISR.
Avec des résultats proches ou supérieurs à 90%, La Française démontre sa capacité à intégrer les critères ESG dans ses processus de gestion au sein de ses différentes classes d’actifs ainsi que sa détermination à agir au travers de sa politique d’engagement.
En l’espace de deux ans, La Française enregistre une amélioration de plus de 10 points pour atteindre près de 90% du score maximal dans les classes d’actifs immobiliers et près de 95% du score maximal pour les produits de taux corporate. La gestion active fondamentale des produits actions quant à elle demeure globalement stable à 86% du score maximum.
Enfin notons que les modules dédiés à la gouvernance et la stratégie, et aux mesures de certifications des données reçoivent chacun le score maximum de 5 étoiles.
Pour Laurent Jacquier Laforge, Responsable de l’investissement durable de Groupe La Française :
« Ces résultats sont un clair satisfecit qui nous encourage à poursuivre nos actions pour figurer parmi les acteurs actifs et influents et à rendre compte de nos impacts auprès de nos parties prenantes. Le rapprochement avec Crédit Mutuel Alliance Fédérale pour la constitution d’un pôle de gestions d’actifs nous offre l’opportunité de déployer une stratégie ESG à une couverture plus large en termes de taille d’actifs gérés et de diversité de classes d’actifs couvertes. »
Laurent JACQUIER-LAFORGE, Global Head of Sustainable Investing Groupe La Française
Le groupe La Française a signé les « Principles for Responsible Investment » (PRI)1 dès octobre 2010 pour renforcer son engagement en matière de finance durable et soutenir l’adoption des critères ESG dans l’investissement. Cette démarche souligne l’importance que la société de gestion accorde à une croissance à long terme et durable, au partage de la création de valeur, et à un meilleur niveau de transparence.
Elle s’engage ainsi à respecter les 6 principes établis par les Nations Unis en matière de gestion d’actifs :
Retrouvez nos rapports d’évaluation et de transparence dans notre page dédiée aux publications sur notre site internet.
1 Les Principes pour l'Investissement Responsable (PRI) ont été lancés par les Nations Unies en 2006. Les PRI sont une initiative créée en partenariat avec l’UNEPFI (United Nations Environment Programme Finance Initiative) et le Pacte mondial des Nations unies.
]]>Crystal Park a été acquis en 2019 par La Française Real Estate Managers, agissant pour le compte d’investisseurs institutionnels sud-coréens regroupés au sein d’un fonds géré par Mastern IM. Situé dans un environnement d'affaires dynamique, le bâtiment offre plus de 43 300 m2 d'espace de bureaux et un parc paysager de deux hectares. Cet actif, qui constitue l'un des sites emblématiques de Neuilly-sur-Seine, a été achevé en 1959 en tant que siège d'une multinationale française et a été rénové en profondeur en 2000 et 2018 par le cabinet d'architectes de renom Valode & Pistre. La propriété développe une offre de services complète incluant un restaurant de deux étages réservé au personnel du site, un auditorium, des services de conciergerie, un centre de conférence et d'affaires, un centre de remise en forme, etc. Il est unique en son genre car il offre un campus de grande qualité à proximité du centre-ville et des quartiers résidentiels recherchés de l'ouest parisien. Crystal Park dispose de solides références ESG (Environnementales, Sociales et de Gouvernance) avec une certification BREEAM Excellent et le Label EcoJardin pour son parc classé, témoignant de l'entretien écologique des espaces verts environnants.
David RENDALL, Managing Director, Institutional & International Divisions de La Française REM a déclaré : « Nous sommes heureux d'être en mesure de répondre au développement de notre locataire et nous souhaitons remercier PwC pour sa confiance renouvelée. Crystal Park est un actif unique, qui offre un environnement de travail exceptionnel à ses occupants et constitue un argument pour attirer les talents dans les entreprises locataires. »
Philippe DEPOUX, Président de La Française REM a déclaré : « Cette opération illustre une fois de plus le niveau de satisfaction de nos locataires à l'égard de nos capacités de gestion d'actifs et de la qualité de notre portefeuille immobilier. Je tiens à féliciter personnellement notre équipe de gestion d’actifs, Xavier BARREYAT, Cédrick BECKER et Claudia REN pour la gestion du Crystal Park. »
Pour cette opération, La Française Real Estate Managers a été conseillée par Ashurst.
]]>Cependant, le chemin vers le « Zéro émissions nettes » est complexe. Alors que la fenêtre d’opportunité pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5°C se rétrécit, les investisseurs se tournent vers l’un des outils les plus essentiels de leur boîte à outils de stratégie climatique : l’évaluation de la température des portefeuilles. Cette approche est plus qu'un simple symbole de l'impact environnemental d'un portefeuille ; c'est un reflet tangible du degré potentiel de réchauffement climatique que pourraient provoquer les émissions des investissements sous-jacents.
La « température » du portefeuille fournit aux investisseurs des informations cruciales sur plusieurs fronts. Premièrement, elle offre un moyen de suivre et de mesurer les progrès vers les objectifs de décarbonation. Des évaluations régulières de la température peuvent servir d'indicateur de suivi des performances, permettant aux investisseurs de déterminer si un portefeuille est sur la bonne voie pour atteindre le « Zéro émissions nettes ». Deuxièmement, les évaluations aident à identifier et à atténuer les risques financiers liés au climat. Un portefeuille axé sur des actifs à fortes émissions n’est pas seulement préjudiciable à l’environnement, mais il pourrait également être confronté à des risques financiers importants – réglementaires, de marché, de réputation et de litiges – dans un monde en transition vers des alternatives à plus faibles émissions de carbone. Enfin, une évaluation rigoureuse de la température peut améliorer la responsabilisation et la transparence, répondant à la demande croissante des parties prenantes de divulgation d’informations exhaustives sur l’approche climatique et les investissements éthiques.
Cependant, déterminer la température d’un portefeuille n’est pas une mince affaire. L’absence d’une approche universellement approuvée implique d’explorer une panoplie complexe de méthodologies, chacune avec ses forces, ses limites et ses biais intrinsèques. Qu'il s'agisse du « Climate Disclosure Project (CDP) - World Wildlife Fund (WWF) Temperature Rating », de la méthodologie « Trucost Portfolio 2°C Alignment Assessment » de S&P, de « The Paris Agreement Capital Transition Assessment » (PACTA), du modèle « Implied Temperature Rise » (ITR) de MSCI ou de la méthodologie « Carbon Impact Analytics » (CIA) de Carbon4, les investisseurs sont confrontés à un large éventail d'outils pour guider leur parcours de transition.
Mais comment comparer ces méthodologies ? Quels sont leurs mérites relatifs et potentiels inconvénients ? Comment gérer les incertitudes qui en découlent ? Et, en tant qu’investisseur, quelles conclusions tirer de l’hétérogénéité des résultats quant à la contribution estimée d’un même portefeuille à un avenir bas carbone ?
Comprendre l’éventail des méthodologies est une première étape nécessaire. Le choix de la méthodologie façonnera évidemment les stratégies climatiques des investisseurs, influençant ainsi les décisions de désinvestissement, les allocations de capital, l’engagement des actionnaires et la prise de position dans l’élaboration des règlementations. Dans un monde confronté à des défis environnementaux sans précédent, ces décisions pourraient faire la différence entre un avenir caractérisé par un changement climatique incontrôlable et le fameux monde « Zéro émissions nettes ».
]]>Il est rappelé aux actionnaires qu’en conformité avec le prospectus de la Société : (i) aucune commission de rachat n’est due en cas de rachat d’actions et (ii) ils sont autorisés à demander le rachat de leurs actions.
La version mise à jour du prospectus (intégrant notamment les changements ci-dessus) sera disponible au siège de la Société dès qu’elle aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.
Avec nos meilleures salutations,
Au nom du Conseil d’administration
L’actif, dont la livraison est prévue à la fin du premier trimestre 2026, offrira 6 200 m2 de surface habitable répartis sur 4 niveaux (R+3) et comptera 130 logements, allant du T1 au T3. Pour le bien-être des occupants, elle offrira de nombreux services dans un environnement fortement végétalisé dont la gestion sera écologique et comprendra des abris pour la faune, une salle de restauration, une salle de fitness, un salon coiffure et un salon multimédia. 5 emplacements de stationnement pour personnes à mobilité réduite sont prévus. La résidence sera exploitée par l’enseigne Happy Senior dans le cadre d’un bail ferme de longue durée. Les Résidences Happy Senior du Groupe Duval proposent à la fois tous les services du quotidien et un accompagnement de haut niveau dans le respect de l’autonomie des seniors en bonne santé.
La résidence services seniors vise la certification NF Habitat HQE Niveau Très Performant qui atteste de la qualité globale des logements et une performance RT2012-20 %, avec notamment une installation de production d’eau chaude solaire.
Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Nous sommes ravis d’avoir pu acquérir cet actif pour le compte du Crédit Mutuel Nord Europe, acteur responsable et engagé pour le développement de ses territoires. Cet actif s’inscrit également parfaitement dans la démarche durable de La Française Real Estate Managers et présente tous les fondamentaux nécessaires à la préservation de sa valeur dans le temps. »
Pour cette transaction, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Cheuvreux, le cabinet Reed Smith ainsi que Theop en tant qu’AMO.
]]>Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate managers conclut : « Il y a trois ans, La Française Grand Paris Patrimoine était l’un des tous premiers fonds immobiliers à se voir attribuer le label ISR. Ce label était pour nous l’occasion de bâtir le cadre d’une gestion plus durable et plus transparente. Dans un marché immobilier qui connaît des évolutions fortes, nous sommes plus que jamais convaincus de l’importance d’associer des critères extra-financiers aux critères financiers pour déterminer la valeur d’un bien. »
Célébrez les trois ans de Label ISR de la SCPI LF Grand Paris Patrimoine :
Risques associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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(1) Classement de la capitalisation au 30/09/2023, IEIF
2 Au 30/09/2023
]]>Les consensus de marché sont souvent dangereux, et l'année dernière n'a pas fait exception à la règle, avec une croissance américaine qui devrait terminer au-dessus de 2,5 %, soit bien au-delà des 0,3 % anticipés début 2023. En corollaire de cette vigueur américaine, les actifs risqués ont eux aussi dépassé les attentes du marché, avec une surperformance générale des actifs actions par rapport aux actifs obligataires.
À l'heure actuelle, le consensus du marché semble être le suivant : un "soft landing" généralisé, c'est-à-dire une croissance positive mais en deçà du potentiel dans les économies développées, et une inflation qui revient progressivement à la cible des banques centrales, ce qui permettra à ces dernières d'enclencher rapidement un cycle de baisse des taux.
C'est sans doute sur ce dernier point que nous sommes le plus dubitatifs, en particulier aux États-Unis. La rapide désinflation que nous avons connu en 2023 provient en premier chef de très forts effets de base négatifs qui ne devraient pas se répéter en 2024, hormis de nouvelles baisses des prix des matières premières, scénario qui nous paraît peu probable étant donné le positionnement déjà extrêmement négatif des investisseurs sur le pétrole. Une baisse de l'inflation en 2024, en particulier l'inflation core, pourrait aussi être rendue difficile par la persistance des tensions sur le marché de l'emploi. L'inflation salariale reste élevée (le constat est aussi vrai en Europe, du moins pour les pays du sud), et avec elle, l'inflation dans le secteur des services, ce qui pourrait rendre les estimations de marché quant à la trajectoire des taux directeurs de la Fed un peu trop optimistes.
La conjoncture américaine ne nous semble elle pas devoir faiblir à horizon visible. Le marché de l'emploi est toujours en très bonne santé, avec des gains de pouvoir d'achat pour les ménages. Ces derniers disposent toujours d'une épargne excédentaire significative (dont les estimations sont sans cesse revues à la hausse) et d'un coût du service de leur dette historiquement faible. La baisse du dollar est également historiquement un bon indicateur de la conjoncture à venir et plaide aujourd'hui en faveur d'un rebond des indicateurs d'activité, en particulier dans les secteurs manufacturiers.
Il ne faut toutefois pas oublier les effets de décalage des politiques monétaires restrictives qui devraient avoir un impact négatif sur le cycle en 2024. Jusqu’ici, tout semble « sous contrôle », mais cela peut vite changer, comme nous l’a rappelé la crise des banques régionales américaines en mars 2023.
La situation en zone Euro semble de son côté assez stable, avec une croissance très faible, ce qui devrait se poursuivre selon les indicateurs avancés. Le marché de l’emploi, jusqu’ici porteur, semble se détériorer en France et en Allemagne depuis quelques mois. Cela devrait aider la désinflation à se poursuivre même si la fin des différents plans visant à limiter l’impact de la hausse des prix de l’énergie pourrait, là aussi, rendre cette désinflation moins facile que prévue.
La Chine ne montre que peu de signes d'accélération de son côté. Les dernières mesures prises par le gouvernement pour soutenir le marché immobilier vont dans le bon sens, mais elles ne sont pas encore suffisantes pour redonner confiance aux consommateurs et aux investisseurs chinois. Les derniers chiffres du "credit impulse" confirment que l'économie chinoise ne se détériore plus, mais elle ne rebondit pas non plus de manière significative.
Ces derniers mois, l'inflation core a décéléré mais reste à des niveaux élevés. La croissance continue de montrer des signes de résilience aux États-Unis. Aujourd’hui dans de nombreuses économies majeures, la transmission des conditions financières vers l’économie réelle est moins fluide que par le passé et la sensibilité aux évolutions des taux d’intérêt s’est atténuée. En effet, de nombreux ménages et entreprises ont contracté des dettes à long terme à des taux bas, offrant ainsi une certaine protection contre la hausse des taux pour le moment.
Les mesures d’inflations plus basses qu’anticipées ces derniers mois en Europe, couplées à la baisse du pétrole et du gaz, ont considérablement fait baisser les anticipations d’inflation à horizon un an de l’ordre de 80 points de base (la mesure d’août 2024 est désormais anticipée à 1,80% vs 2,60% fin septembre), et l’inflation anticipée à un an dans un an est désormais attendue légèrement au-dessus de 2% en baisse d’environ 35 points de base. 1
L’hypothèse principale du marché est donc que la désinflation est suffisamment avancée pour permettre à la plupart des banques centrales des pays développés de commencer à baisser prochainement leurs taux directeurs, réduisant ainsi le risque d'un atterrissage brutal et ouvrant la voie à une reprise de croissance modérée au second semestre 2024.
Malgré les risques persistants autour de la géopolitique mondiale, dans la mesure où les chocs négatifs d’offre ont laissé place à des chocs négatifs de demande, on peut en effet envisager que l’inflation core tendra vers 2,5% d’ici quelques mois. Reste à savoir désormais si elle restera sur ces niveaux de façon durable ou si elle tendra rapidement vers 2%, compte tenu de l’impact de la dominance fiscale sur la persistance de la demande. Pour être confiants quant au retour de l'inflation à la cible de 2%, la composante services, qui est sur des niveaux très élevés, devra baisser de manière plus importante, ce qui prendra du temps étant donné les tensions persistantes sur le marché du travail. En effet, les salaires devraient augmenter plus que l'inflation en 2024, ce qui continuera d’alimenter particulièrement l'inflation des services. Parallèlement, les effets de base négatifs sur la composante énergie vont devenir positifs. Certaines mesures de soutien devraient être levées et donner un coup de pouce à l'inflation (par exemple, la réversion des baisses de TVA ou la fin progressive du bouclier tarifaire français). L'inflation alimentaire pourrait demeurer persistante, avec des risques liés à des événements climatiques extrêmes défavorables.
Les chemins de baisse de l’inflation et des premières baisses de taux anticipées par le marché nous semblent donc désormais excessifs. Nous restons donc prudents sur les premiers mois de l’année en ce qui concerne les taux courts, avec un risque de décalage des premières baisses de taux des Banques Centrales. Les parties longues des courbes vont être influencées par l’offre, notamment aux États-Unis où l’on peut craindre que le Trésor américain continue d'augmenter ses émissions en 2024, en particulier au premier semestre de l'année, mais aussi par le niveau du taux neutre vers lequel les Banques Centrales veulent converger. Aujourd’hui, en Europe, le marché anticipe un taux neutre à 2%, et ce dernier aura du mal à baisser hormis en cas de choc macroéconomique au premier semestre, ce que nous n’anticipons pas.
« Dans cet environnement, avec des anticipations d’inflation qui nous semblent attractives, des risques sur les taux courts et sur les primes de termes qui peuvent augmenter sur les parties longues des courbes, nous privilégions les taux réels 5 ans sur les prochains mois. »
- Fabien DE LA GASTINE, Responsable Taux, La Française AM
[...]
]]>Pour tout complément d’information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.
Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de concentration géographique. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 20 ans.
La note d’information ayant reçu le visa de l’Autorité des Marchés Financiers, SCPI n°19-30 en date du 29 novembre 2019 et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
Ce mécanisme peut être déclenché par la société de gestion de l’OPC lorsque des circonstances exceptionnelles l’exigent et si l’intérêt des porteurs/actionnaires ou du public le commande. Ce mécanisme permet d’étaler les demandes de rachats sur plusieurs valeurs liquidatives dès lors qu’elles excèdent un certain niveau, déterminé de façon objective et précisé dans la documentation des OPC. Lorsque les demandes de rachat excèdent le seuil de déclenchement, la société de gestion peut toutefois décider d’honorer les demandes de rachat au-delà du plafonnement prévu, et exécuter ainsi partiellement ou totalement les ordres qui pourraient être bloqués.
• Mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (Swing Pricing) :
Ce mécanisme consiste à ne pas pénaliser les porteurs/actionnaires présents dans l’OPC en cas de souscriptions ou de rachats significatifs au passif de l’OPC, en appliquant un facteur d'ajustement aux porteurs/actionnaires qui souscrivent ou rachètent des montants significatifs de l'encours, ce qui est susceptible de générer pour les porteurs/actionnaires entrants ou sortants des coûts, qui seraient sinon imputés aux porteurs/actionnaires qui demeurent dans l’OPC.
Ces deux mécanismes sont décrits dans la documentation réglementaires des OPC concernés listés en Annexe.
***
Ces mises à jour ne sont pas soumises à agrément de l’Autorité des marchés financiers et ne nécessitent aucune démarche spécifique de votre part.
Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (DIC PRIIPS, prospectus, règlement et annexe SFDR) disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Ce mécanisme peut être déclenché par la société de gestion de l’OPC lorsque des circonstances exceptionnelles l’exigent et si l’intérêt des porteurs/actionnaires ou du public le commande. Ce mécanisme permet d’étaler les demandes de rachats sur plusieurs valeurs liquidatives dès lors qu’elles excèdent un certain niveau, déterminé de façon objective et précisé dans la documentation des OPC. Lorsque les demandes de rachat excèdent le seuil de déclenchement, la société de gestion peut toutefois décider d’honorer les demandes de rachat au-delà du plafonnement prévu, et exécuter ainsi partiellement ou totalement les ordres qui pourraient être bloqués.
• Mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (Swing Pricing) :
Ce mécanisme consiste à ne pas pénaliser les porteurs/actionnaires présents dans l’OPC en cas de souscriptions ou de rachats significatifs au passif de l’OPC, en appliquant un facteur d'ajustement aux porteurs/actionnaires qui souscrivent ou rachètent des montants significatifs de l'encours, ce qui est susceptible de générer pour les porteurs/actionnaires entrants ou sortants des coûts, qui seraient sinon imputés aux porteurs/actionnaires qui demeurent dans l’OPC.
Ces deux mécanismes sont décrits dans la documentation réglementaires des OPC concernés listés en Annexe.
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Ces mises à jour ne sont pas soumises à agrément de l’Autorité des marchés financiers et ne nécessitent aucune démarche spécifique de votre part.
Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.
Les prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique.
Le prix des actions des fonds sont publiés en Belgique sur www.fundinfo.com et peuvent être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (DIC PRIIPS, prospectus, règlement et annexe SFDR) disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>• Mécanisme d’ajustement de la valeur liquidative (Swing Pricing) :
Ce mécanisme consiste à ne pas pénaliser les porteurs/actionnaires présents dans l’OPC en cas de souscriptions ou de rachats significatifs au passif de l’OPC, en appliquant un facteur d'ajustement aux porteurs/actionnaires qui souscrivent ou rachètent des montants significatifs de l'encours, ce qui est susceptible de générer pour les porteurs/actionnaires entrants ou sortants des coûts, qui seraient sinon imputés aux porteurs/actionnaires qui demeurent dans l’OPC.
Ces deux mécanismes sont décrits dans la documentation réglementaires des OPC concernés listés en Annexe.
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Ces mises à jour ne sont pas soumises à agrément de l’Autorité des marchés financiers et ne nécessitent aucune démarche spécifique de votre part.
Les autres caractéristiques des OPC demeurent inchangées, notamment leurs stratégies d’investissement, leurs profil rendement/risque et l’ensemble de leurs frais.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance de la documentation réglementaire des OPC (DIC PRIIPS, prospectus, règlement et annexe SFDR) disponible sur le site www.la-francaise.com.
Le fonds « pertes et dommages », initialement convenu lors de la COP27 et destiné à indemniser les pays n’ayant pas les moyens de s'adapter au changement climatique, a connu une certaine avancée à Dubaï avec l'accord de son « opérationnalisation » en 2024. Toutefois, d'importants détails demeurent quant à savoir qui seront les payeurs et qui seront les bénéficiaires (le statut de la Chine étant un point de désaccord majeur). En outre, le Vulnerable 20 Group a indiqué que ses membres (68) avaient perdu 525 milliards d'USD au cours des vingt dernières années en raison du changement climatique alors que le montant initial des fonds promis était inférieur à 1 milliard d'USD . Le financement envisagé est nettement inférieur aux besoins. Si la compensation des pertes subies par les pays concernés est attendue depuis longtemps, le niveau d'incertitude concernant le fonctionnement du fonds et, par conséquent, son efficacité, reste important à nos yeux.
Beaucoup attendaient avec impatience les négociations autour de l'objectif mondial d'adaptation (Global Goal on Adaptation ou GGA), un engagement collectif en vertu de l'article 7.1 de l'Accord de Paris. Malheureusement, de nombreux pays développés se sont montrés réticents à discuter du financement de l'adaptation à la suite de leurs engagements vis-à-vis du fonds « pertes et dommages ». Nous trouvons que le résultat final du cadre du GGA n'est pas très convaincant. Les Parties ont été « exhortées » à atteindre des objectifs qui, à notre avis, ne sont pas suffisamment spécifiques pour répondre réellement aux besoins des plus vulnérables (par exemple, « Atteindre la résilience face aux incidences du changement climatique » ou « Réduire les incidences du climat sur les écosystèmes et la biodiversité »). Parallèlement, la COP28 a décidé de lancer un programme de travail de deux ans sur les indicateurs permettant de mesurer les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs susmentionnés. Nous en attendons les résultats avec impatience.
Si l'issue mitigée des négociations du GGA était attendue dans une certaine mesure, certaines des discussions autour de l'article 6 de l'accord de Paris ont surpris. Certaines Parties ont même demandé un moratoire sur les marchés du carbone dans l'accord. Les éléments à prendre en compte pour « l'autorisation » des résultats d'atténuation transférés au niveau international (ITMO) (Art. 6.2) ont été édulcorés à chaque nouvelle version. Le texte final se contente d'« encourager » les Parties à inclure les éléments... à leur convenance. Nous pensons que cela remet en question la crédibilité des ITMO. En outre, l'absence de décision concernant l'évitement des émissions (Art. 6.4) souligne encore l'absence de consensus nécessaire pour trouver une voie claire vers le « Net Zero ».
Malgré ces frustrations, il y a quelques lueurs d'espoir. Pour la première fois, l'accord final fait référence aux objectifs de « tripler les énergies renouvelables » et de « doubler le taux annuel moyen mondial d'efficacité énergétique » d'ici à 2030. Initialement approuvés par le G20 en septembre, ces objectifs ont été adoptés par une coalition de 130 pays dans le cadre de l'Engagement Mondial en faveur des Energies Renouvelables et de l'Efficacité Energétique de la COP28. Une cinquantaine de producteurs de pétrole et de gaz et 29 autres compagnies pétrolières nationales ont signé un accord visant à réduire à zéro les émissions de méthane en amont et à mettre fin au torchage de routine d'ici à 2030. En tant qu'investisseurs, il est essentiel que nous continuions à dialoguer avec ces entreprises afin de comprendre leurs plans d'action et de les tenir responsables de leur mise en œuvre. Nous nous félicitons également de la Déclaration sur le Climat et la Santé, signée par 123 pays lors du sommet, qui souligne l'importance de préparer les systèmes de soins de santé à faire face à l'augmentation constante des problèmes de santé liés au climat. De même, nous saluons la Déclaration des Émirats arabes unis sur l'Agriculture Durable, les Systèmes Alimentaires Résilients et l'Action Climatique, qui a été signée par 134 pays. Elle comprend un nouvel engagement historique en faveur de systèmes alimentaires durables qui a déjà mobilisé 2,5 milliards d'USD.
Alors que le débat sur le succès de la COP28 semble se poursuivre, une préoccupation évidente et cruciale se profile à l'horizon : pour soutenir la transition et l'adaptation et pour compenser les dommages, nous ne savons toujours pas d'où proviendront les capitaux nécessaires, en particulier pour les pays en développement, à moyen et à long terme. Sur les quelques 83 milliards d'USD mobilisés lors du sommet (dont 30 milliards d'USD promis par les Émirats arabes unis au travers d’un véhicule d'investissement qui, selon eux, pourrait mobiliser 250 milliards d'USD d'investissements d'ici à 2030 ), il reste à voir ce qui sera acheminé et où. Les deux dernières semaines ont montré que le véritable défi n'est pas seulement de mobiliser des capitaux, mais aussi d'assurer leur répartition juste et efficace. En outre, un rapport de l'OCDE datant de 2022 a révélé qu'entre 2013 et 2020, le financement global de la lutte contre le changement climatique a systématiquement été inférieur à l'objectif annuel de 100 milliards d'USD défini lors de la COP15 , avec parfois un écart de plus de 45 % La COP28 se termine donc par un accord sur les combustibles fossiles, mais le plus dur n'est pas encore derrière nous. Alors que le monde est aux prises avec les effets croissants du changement climatique, la capacité du sommet international sur le climat à combler le fossé entre les promesses et la pratique sera cruciale pour déterminer la capacité de la communauté mondiale à atténuer ces défis et à s'y adapter.
2 NOUVEAU : Rapport sur les pertes des économies vulnérables au climat - CVF (thecvf.org)
3 Estimation de 792 millions d'USD. La Banque mondiale hébergera le fonds pour une période intérimaire de quatre ans.
4 Les Émirats arabes unis s'engagent à investir 30 milliards d'USD en capital catalytique pour lancer un véhicule d'investissement axé sur le climat à l'occasion de la COP28
6 Il a ensuite été réitéré lors de la COP21 et prolongé jusqu'en 2025.
]]>Comme suggéré ces dernières semaines par des membres de la Banque Centrale Européenne (BCE), le Conseil des gouverneurs (CG) devrait maintenir ses taux d'intérêt lors de la réunion de décembre. La mise à jour des perspectives macroéconomiques sera au centre de l'attention après la parution des derniers chiffres d'inflation inférieure aux prévisions de la banque centrale.
La BCE devrait indiquer des perspectives plus faibles pour la croissance et l'inflation. Elle devrait également dévoiler les projections d'inflation pour 2026, en les alignant sur l'objectif de 2 %. La BCE devrait aussi annoncer l'accélération du rythme du resserrement quantitatif (QT).
Nos principales attentes :
En résumé, au vu des récents commentaires de la plupart des responsables de la BCE, il semble que l'on assiste à un changement progressif vers une position plus dovish au sein du conseil des Gouverneurs. La présidente Christine Lagarde mettra probablement l'accent sur l'efficacité du resserrement de la politique monétaire, en notant le ralentissement de la croissance des prêts bancaires, l'affaiblissement de l'économie et le déclin plus rapide que prévu de l'inflation sous-jacente. Elle pourrait mettre en garde contre des réductions de taux d'intérêt au début de 2024 en raison des incertitudes liées à la croissance des salaires et à la faiblesse de la productivité. Il pourrait être toutefois difficile de convaincre les investisseurs…
Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les performances passées ne sont pas indicatives des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, entreprise régulée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n° 18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management a été agréée par l'AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997. GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Lors du 12e Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l'homme, une assemblée diversifiée de parties prenantes, comprenant des représentants d'ONG, des militants, des entreprises et des hauts fonctionnaires, s'est réunie dans ce qui était connu sous le nom de salle XX du Palais des Nations à Genève. La conférence s'est penchée sur l'état actuel des droits de l'homme, les progrès récents et les initiatives futures. Un appel pressant a été lancé pour cesser de séparer la crise climatique de la crise humaine, en soulignant leur interconnexion. Avec en toile de fond le 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme, les participants ont reconnu les liens complexes entre ces défis, ouvrant la voie à des discussions sur la manière dont les entreprises peuvent jouer un rôle transformateur dans l'élaboration de solutions durables. Cette affirmation souligne le rôle vital d'une action décisive pour assurer une transition climatique juste et durable.
Droits de l'homme, état et violations
La conférence a exploré le paysage mondial des droits de l'homme d'aujourd'hui, où une triade de défis – conflits politiques, changement climatique et avancées technologiques – se profile à l'horizon. L'interconnexion entre les crises climatique et humaine souligne l'impératif d'une transition juste. En particulier, la chaîne d'approvisionnement est apparue comme un point central des discussions, se révélant être un sujet à risque en ce qui concerne les violations des droits de l'homme. Les communautés autochtones, qui protègent 80% de la biodiversité restante1, sont les plus touchées par les violations des droits de l'homme, confrontées à des problèmes tels que la discrimination, l'accaparement des terres et l'exploitation des ressources, et sont les plus vulnérables aux effets négatifs du changement climatique. Il est frappant de constater que les communautés, déjà fortement touchées par le changement climatique, sont doublement accablées et victimes des initiatives de transition climatique qui impliquent des projets d'infrastructure et d'énergie renouvelable à grande échelle sur leurs terres, ainsi qu'une intensification de l'extraction minière. Le forum a souligné l'importance des droits au consentement préalable, libre et éclairé, dont la pratique est pourtant limitée, et a appelé les entreprises à s'engager auprès des communautés autochtones. Le passage d'un état d'esprit fondé sur des considérations morales à une allocation stratégique des ressources est essentiel pour favoriser des pratiques commerciales responsables et durables.
En outre, la complexité des migrations humaines, notamment en réponse au changement climatique, met en lumière des lacunes importantes dans les cadres juridiques et politiques. L'aggravation de la crise du travail forcé et du travail des enfants constitue une menace pour les hommes, les femmes et les enfants et est principalement alimentée par des intérêts économiques privés. Nous estimons qu'aujourd'hui 50 millions de personnes sont victimes de l'esclavage moderne2. Un examen plus approfondi des droits des travailleurs dans ce contexte révèle des préoccupations urgentes, concernant notamment la liberté d'association, l'accès aux voies de recours et les droits fondamentaux sur le lieu de travail. Même dans les pays les plus développés, les travailleurs se heurtent à des obstacles pour faire valoir leurs droits et négocier des conditions de travail équitables. Le forum a souligné la nécessité de mettre en place des mécanismes de protection solides et d'assurer l'accès à la justice et à la réparation pour les travailleurs victimes de violations des droits de l'homme, y compris celles qui découlent des changements induits par le climat.
Réglementations et solutions futures
Célébrant les douze ans des Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme, le forum a réaffirmé la norme mondiale. Approuvés par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies en 2011, les Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme fournissent un cadre global, « Protéger, respecter et réparer », qui définit les responsabilités des États et des entreprises en matière de droits de l'homme. Les normes de l'Organisation internationale du Travail et de l'OCDE3 ont également été discutées, soulignant l'impératif de renforcer la diligence raisonnable, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones. La nécessité d'une transparence accrue et d'une évaluation des risques des chaînes d'approvisionnement a par ailleurs été soulignée, illustrant le rôle crucial que les entreprises peuvent jouer dans le respect et la protection des droits de l'homme.
S'agissant de l'avenir, le forum a résonné comme un appel à des solutions innovantes et à des efforts concertés pour aborder le lien complexe entre l'activité des entreprises et les droits de l'homme. Les discussions ont mis en lumière les efforts du groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée (OEIGWG) pour élaborer un « instrument juridiquement contraignant visant à réglementer, en droit international des droits de l'homme, les activités des sociétés transnationales et autres entreprises ». Le groupe de travail sur les entreprises et les droits de l'homme s'apprête à remettre, en juin 2024, un rapport au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, qui explorera l'alignement des pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans le secteur financier sur les Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l'homme.
À la clôture du forum, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme a conclu en déclarant : « Je vous demande instamment de placer les droits de l'homme au centre de toutes les décisions relatives au climat lors de la COP 28 et au-delà ».
Ce document est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
Par Claudia RAVAT, Analyste ESG, La Française AM.
1Le rôle des peuples autochtones dans la conservation de la biodiversité, Claudia Sobrevila, Banque mondiale, mai 2008
2Rapport sur les estimations mondiales de l'esclavage moderne, Organisation internationale du Travail, septembre 2022
3Organisation de coopération et de développement économiques
]]>« Accompagner les entreprises dans leur transformation durable, depuis leur financement jusqu'à l'engagement actif. Tel est l'objectif de notre démarche. »
Deepshikha Singh, Head of Stewardship La Française AM.
Comment s’exprime l’engagement au sein de La Française AM, filiale de gestion d’actifs du groupe La Française ?
Deepshikha Singh : En tant que responsable du stewardship et responsable adjointe de la recherche investissement durable mon rôle est de m’assurer de la mise en œuvre de nos orientations stratégiques, en lien avec les Responsables Durabilité Groupe et Investissement durable des actifs cotés, en matière d’actionnariat actif à savoir l’exercice du droit de vote en Assemblée générale pour les émetteurs cotés, les engagements individuels directs et engagements collectifs, enfin les exclusions liées à des controverses ESG, l’ensemble en lien avec l’intérêt de nos parties prenantes : investisseurs, actionnaire, société civile.
Nous réunissons un Comité de manière trimestrielle qui rassemble les représentants de différentes fonctions au sein de la gestion d’actifs afin de diffuser les travaux d’engagement effectués par l’équipe ESG. Notre objectif au travers de l’engagement est d’encourager de meilleures pratiques ESG, favoriser l’amélioration des résultats en matière de durabilité et d’inciter les émetteurs à plus de transparence.
Pour plus d’efficacité, nous privilégions l’engagement collectif et collaboratif en rejoignant des coalitions d’actionnaires ou initiatives pour accroitre notre impact auprès d’une ou plusieurs entreprises d’un même secteur. De manière sélective, nous agissons aussi individuellement auprès des émetteurs. Nous construisons ainsi des relations de confiance et entretenons des échanges directs actifs avec eux.
La Française AM (LFAM) se considère comme un partenaire des émetteurs en lien avec sa vision long terme de l’investissement. Notre conception de l’engagement repose sur un accompagnement dans la durée pour atteindre des objectifs de durabilité plutôt que de procéder à des désinvestissements bruts.
Nous sommes également activement engagés en matière de politique publique auprès des instances gouvernementales et décideurs politiques en soutenant notamment des lettres qui leur sont adressées ou en répondant aux consultations réglementaires publiques.
En 2022, nous avons accru nos engagements avec un nombre d’actions presque triplé. Nous avons mené 130 engagements dont 5 initiatives majeures de politique publique, près de 50 engagements collectifs via des coalitions d’investisseurs et près de 80 engagements directs auprès d’entreprises.
Nous nous engageons en priorité sur 4 thèmes : le changement climatique, le capital naturel, le capital social et la gouvernance/transparence. Historiquement engagé sur le changement climatique, nous avons élargi nos actions au capital naturel compte tenu des interdépendances existantes. En 2022, nous avions également étendus nos travaux sur le capital social autour de la santé, des droits humains et des inégalités salariales.
Quels sont parmi vos récents engagements ceux qui ont permis une avancée ?
D.S. : Nous avons eu quelques engagements intéressants au cours des 12 derniers mois.
Certains nous ont conduit à devoir escalader le processus d’engagement jusqu’au désinvestissement des portefeuilles les plus concernés ou à entamer la démarche de dépôt de résolution d’actionnaire de manière conjointe dans l’intérêt de nos clients et pour respecter nos politiques et principes d’investisseur durable et responsable.
En parallèle, d’autres, plus positivement, ont permis une amélioration de la transparence des émetteurs, notamment grâce au CDP Non-Disclosure Campaign que nous menons ou au Workforce Disclosure Initiative (WDI) dont nous sommes membres actifs.
Par la même occasion, nos engagements ont amélioré notre analyse ESG qui alimentent ensuite nos décisions d’investissements.
Arrêtons-nous sur 2 cas : Téléperformance et Nestlé.
Citons la société française Téléperformance spécialisée dans les services numériques aux entreprises. Déjà visée par la fédération syndicale internationale UNI Global sur les conditions de travail contraires aux libertés fondamentales et droits humains dans ses filiales situées en Asie et en Amérique du Sud ; c’est une information du Ministère colombien sur une nouvelle enquête concernant l’entreprise sur ses pratiques de travail non conformes aux normes, qui nous a alertés. Après un dialogue infructueux avec la société et malgré l’accord mondial signé avec le syndicat des industries de services d’UNI Global Union avec qui nous avions échangé pour mieux comprendre et évaluer les contours de cet accord, nous avons recommandé à notre gestion de sortir le titre Téléperformance des stratégies liées au capital humain en raison des controverses persistantes sur les conditions de travail dans certains pays. Nous maintenons toutefois un dialogue avec l’entreprise et le syndicat professionnel pour suivre au plus près le déploiement de l’accord en collaboration avec nos pairs.
Mentionnons également notre engagement auprès du groupe suisse Nestlé sur les sujets de santé publique. Nestlé a été sollicité, au même titre que 11 autres entreprises du secteur de la production et distribution alimentaire dans le cadre de l’initiative collective Long term Investors in People’s Health (LIPH)1, via une lettre co-signée. Nous souhaitions que Nestlé s’engage à publier annuellement des objectifs quantitatifs d’investissements et de croissance des ventes de produits qualifiés de « sains » selon des profils nutritionnels reconnus et approuvés. A défaut de résultats, nous avons, avec le collectif LIPH, organisé 3 réunions d’informations en vain. D’une démarche formelle, le collectif a décidé de déposer une résolution d’actionnaire à l’occasion de l’Assemblée générale 2023 pour amener Nestlé à faire évoluer son modèle d’affaires. Après plusieurs échanges, Nestlé a accepté de s’engager à collaborer activement avec le collectif pour apporter des réponses à nos demandes sans que nous ayons eu besoin de déposer une résolution d’actionnaire. La coalition est engagée activement auprès de l'entreprise et souhaite poursuivre sa démarche eu égard aux résultats obtenus à ce jour. Aussi nous pourrions reconsidérer notre approche en vue de la saison 2024 des Assemblées générales d’actionnaires. Parce que nous privilégions dès que cela est possible le dialogue et l’accompagnement à l’exclusion, nous avons ainsi conservé les titres Nestlé dans nos portefeuilles. Nous considérons que tout changement initié par Nestlé aura un impact favorable sur l’ensemble du secteur.
Quels sont vos objectifs et ambitions dans les mois à venir ?
D.S. : En tant qu’investisseur responsable, l’engagement est un élément essentiel de notre démarche. C’est par l’engagement que les avancées en matière de durabilité sont possibles et c’est via nos actions que nous contribuons de manière concrète aux transformations durables et justes. Aussi, nous avons le devoir vis-à-vis de nos parties prenantes, de surveiller les entreprises dans lesquelles nous investissons sur toute la période de détention des titres.
Dans ce cadre, nous renforçons notre vigilance et souhaitons accélérer le rythme et la portée de nos engagements, aussi bien directs que collaboratifs, tant auprès des émetteurs qu’auprès des régulateurs et organismes de standards de place. Nous souhaitons également renforcer notre participation au sein des coalitions dont nous sommes membres pour une participation plus proactive.
Nous avons déjà diversifié nos engagements pour adresser de nouvelles problématiques comme la décarbonation des secteurs de la chimie et de l’exploitation minière, la santé mentale et le bien-être et les droits humains dans la chaîne logistique. Nous avons également accru notre engagement au sein des coalitions collectives telles que IIGCC2, CDP, WDI and Finance for Biodiversity Foundation. En France, nous avons rejoint le groupe de travail sur la Taxonomie sociale du FIR3 dont le travail a débuté en septembre dernier.
Le 13 décembre prochain, nous présenterons le guide « Unlocking Climate-Nature Nexus »4 co-rédigé avec plusieurs institutions financières et la Fondation Finance for Biodiviserty traitant des interrelations existantes entre climat et biodiversité aux côtés des représentants de EU Business & Biodiversity, PRI et de l’UNEP-FI. Avec l’IIGCC BondHolder Stewardship Group, nous avons contribué à la réalisation d’un guide de bonnes pratiques en matière d’engagement pour les détenteurs d'obligations, guide qui devrait être publié en 2024.
Nous avons également mis en place en 2023 une politique de vote spécifique à LFAM qui intègre : réponse au questionnaire du CDP, objectifs climatiques fondés sur la SBTi, résolution « say on climate » pour certains des secteurs fortement émetteurs, publication de l’écart de rémunération entre le PDG et les employés, vote contre l’élection ou la réélection d’administrateurs hommes (à l’exception du PDG) lorsque le Conseil d’administration compte moins de 40% de femmes, et le nombre de mandats du Comité de Direction. En 2024, nous suivrons de prêt ces différents points de résolutions et envisagerons de nouveaux critères liés notamment à la biodiversité.
Enfin, en 2024, nous publierons l’ensemble de nos actions et résultats au sein d’un rapport de stewardship intégré afin de rendre compte de notre création de valeur par le biais de nos activités d’engagement, vote, etc. et présenter notre contribution dans le temps sur notre écosystème.
Pour conclure, votre mot de la fin ?
D.S. : Être un investisseur responsable ne se résume pas à l’intégration des enjeux ESG dans les choix d’investissements ou à la mise en place d’une politique d’exclusion. Notre responsabilité s’affirme aussi et surtout par les actions que nous menons – engagements auprès des entreprises émettrices, via des coalitions d’investisseurs, sur des sujets réglementaires ou de normes, et par nos votes en Assemblées générales d’actionnaires. C’est par nos engagements que nous apportons des changements systémiques qui permettront de contribuer le plus efficacement possible à un avenir durable.
L’engagement n’est pas un long fleuve tranquille. Un engagement sérieux et efficace nécessite d’être proactif et ne doit pas être un seul moyen de recours. Il doit être soutenu au plus haut niveau et nécessite une formalisation, précise et ferme pour avoir le plus de chance d’aboutir.
Avertissement : Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.
1 IPH a été créée pour se concentrer sur trois piliers de la santé dans les entreprises cibles : la santé du personnel pour promouvoir un lieu de travail sain ; la santé des consommateurs pour rendre les aliments et les boissons sains plus accessibles et plus abordables pour tous ; la santé des communautés pour limiter la pollution et les autres effets secondaires des activités des entreprises sur la santé humaine. LFAM a été parmi les premiers signataires de la coalition fin 2022. 2 Institutional Investors Group on Climate Change: https://www.iigcc.org/ 3 Forum pour l’Investissement Responsable : https://www.frenchsif.org/isr_esg/ 4 https://www.financeforbiodiversity.org/ffb-foundation-launches-biodiversity-climate-nexus-guide-ahead-of-ebns/
]]>Contexte et indicateurs de développement durable liés à la dette d’Enel
L’électricien italien Enel a émis dix obligations assorties d'objectifs à atteindre en décembre 2023 (dont le montant de l’encours est d’environ 0.5 milliards d’euros – soit environ 37 % de sa dette en circulation émise sous format SLB) pour lesquelles la société devra probablement payer la pénalité. Les SLB, dont la date d’observation cible est fixée à 2023, sont liées à la réduction par Enel de l'intensité des émissions de scope 12 à 148 gCO2e/kWh. L'entreprise a réalisé des progrès significatifs en réduisant l'intensité de ses émissions de scope 1 de 372 gCO2e/kWh en 2018 à 214 gCO2/kWh en 2020, même si l’intensité du mix a par la suite légèrement augmenté.
Suite aux changements apportés à la politique énergétique européenne principalement motivés par le conflit Ukraine/Russie (ces derniers ayant retardé l’arrêt de certaines centrales à charbon), il est peu probable qu'Enel atteigne ses objectifs en matière d'émissions de carbone à la fin de l'année 2023 – comme également relevé par l’Anthropocene Fixed Income Institute (AFII). Par ailleurs, le 25 octobre dernier Enel a déclaré avoir conclu deux cessions annoncées quelques mois auparavant : elle vend premièrement l'ensemble de ses activités roumaines. Cette activité comprend la distribution, la fourniture et les services, mais aussi une capacité de production d'énergie renouvelable d'environ 600 MW. Enel vend également quatre parcs solaires au Chili, d'une capacité totale de 416 MW. Dans son dernier rapport trimestriel pour la période allant jusqu'à septembre 2023, Enel disposait d'une capacité renouvelable totale de 54,8 GW, soit 66 % de sa capacité de production : les cessions supprimeront donc environ 1,9 % de la capacité renouvelable d’Enel.
Conséquences directes
Il s'agirait de la pénalité la plus importante jamais infligée à un marché dont la première obligation a été émise par Enel en 2019. Elle pourrait entrainer une augmentation annuelle des coûts d'intérêt de l’entreprise de 27 millions de dollars. Les intérêts totaux représenteraient 1 % de la charge de la dette totale d’Enel. La probabilité de cet évènement souligne également la manière dont la crise énergétique, déclenchée notamment par l'invasion de l'Ukraine par la Russie, entrave les engagements des entreprises en matière de climat. D'autres émetteurs de SLB ont ressenti les retombées, comme Greece Public Power Corp. qui a déjà manqué un objectif similaire3.
Nous avons courant octobre pu observer une divergence des rendements de deux SLB d’Enel comparables avec une maturité à 2027 (l’un avec et l’autre sans target date 2023) indiquant potentiellement que le marché anticipait un « step-up » du coupon de 25bp sur celle dont la date d’observation cible est 2023. Cependant, le rallye de début novembre a effacé ce différentiel. De manière plus générale, la courbe d’Enel ne valorise pas aujourd’hui un « step-up » généralisé sur les dix SLB en question.
La principale menace liée à l’éventuelle non-atteinte de l’objectif serait que le marché revalorise intégralement la dette en circulation d’Enel, suite à une crédibilité de transition climatique endommagée, augmentant de ce fait le futur coût de la dette lors que l’entreprise viendra se refinancer. Les investisseurs obligataires valorisent aujourd'hui tous les SLB (ou presque) comme des obligations classiques, c'est-à-dire sans aucune probabilité qu'un « step-up » de coupon ne soit jamais activé, à la fois par simplicité de comparaison avec des titres sans « step-up », et par la difficulté d'estimer la probabilité d'atteinte des évènements de déclenchement, étant donné le grand nombre de sociétés émettrices et de titres pouvant avoir des cibles et des « step-up » différents pour un même émetteur.
Notre opinion
Il y a quelques mois, nous avons recalculé la trajectoire de décarbonation de l’entreprise via notre modèle Low Carbon Trajectory (LCT). Celle-ci illustre clairement la décarbonation drastique du mix d’Enel jusqu’en 2020 puis que son intensité remonte légèrement, pour atterrir à 229 gCO2e/kWh en 2022. Notre couloir de confiance montre qu’au vu des investissements réalisés par l’entreprise, nous ne nous attendions effectivement pas à ce qu’Enel atteigne son objectif.
Depuis, l’entreprise a communiqué qu’au S1 2023 ce chiffre s'élevait à 173 gCOe/kWh. Ce chiffre est inférieur d'environ 25 % à celui de la même période de l'année dernière, après qu'Enel ait vendu ses actifs russes4 . Malgré tout, nous n’avons pas connaissance d’investissements significatifs ou d’acquisitions qui permettraient à Enel de rebalancer son mix énergétique à temps.
La croix rouge reflète l’intensité du mix d’Enel si elle parvenait à atteindre son objectif.
Cela étant dit, la trajectoire que nous avons calculée nous communique une autre information,primordiale : même dans l’éventualité où Enel n’atteindrait pas son objectif de 148 gCO2e/kWh d’ici la fin de l’année, nous sommes confiants que cela ne remet pas en cause l’alignement à 1,5°C de l’entreprise (l’aire bleu ciel - NZE2050 - représente le budget carbone restant de ce scénario). La vente des actifs précédemment mentionnée semble ne pas avoir été motivée par une perte d'intérêt pour l'énergie verte, mais s'inscrit à priori dans le cadre de la rotation ordinaire des actifs d'Enel et d'un réalignement stratégique entre les marchés. L'entreprise s’est fixée des objectifs climatiques de plus en plus ambitieux ces dernières années et représente depuis un leader du secteur. Elle a un engagement que nous estimons pertinent et fréquemment mis à jour en matière de développement durable. Le fait de ne pas atteindre l'objectif de fin 2023 ne devrait pas être considéré comme un changement dans la stratégie de l'entreprise, mais plutôt comme un « accident de parcours » dû à des facteurs exogènes.
Cette communication est destinée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF 2.
Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont basées sur les conditions actuelles du marché et peuvent être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, entreprise régulée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement, n°18673 X, filiale de La Française. La Française Asset Management a été agréée par l'AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Par Océane BALBINOT-VIALE, Analyste ESG senior, La Française AM
2 Pour une entreprise qui génère de l’électricité et de la chaleur, les émissions de scope 1 sont les émissions résultant de la production de celles-ci au travers des actifs sous contrôle de l’entreprise en question. Les émissions de scope 1 représentent actuellement environ 39% de l’empreinte carbone d’Enel https://www.enel.com/content/dam/enel- com/documenti/investitori/sostenibilita/2022/sustainability-report_2022.pdf
4 Enel Sells Russian Unit as Gas Standoff with Europe Intensifies (Bloomberg).
]]>Des volumes d’investissement, les premiers signes d’une reprise ?
La position attentiste des investisseurs et des prêteurs en début d’année s’est traduite par des volumes d’investissement en fort recul sur les neuf premiers mois de l’année. Ce recul est particulièrement marqué sur le segment des grandes transactions, caractérisé par un plus fort recours au financement.
Sur un an, les volumes d’investissement en Europe restent orientés à la baisse avec un recul de 55 % en moyenne ; -50 % pour le Royaume-Uni, -52 % pour la France et -60 % pour l’Allemagne. La part des bureaux s’établit, fin septembre, à 30 % des volumes investis en 2023 alors qu’elle atteignait 51% en 2019. Celle des actifs de diversification continue de progresser pour atteindre 24 % fin septembre 2023.
Quelques exceptions existent, notamment en Allemagne et aux Pays-Bas, où les volumes d’investissement repartent à la hausse, avec un rebond d’environ 30 % sur le trimestre. Moins rapide que ses voisins dans la phase d’ajustement des prix, le marché français subit la concurrence d’autres pays européens qui commencent à présenter des opportunités intéressantes.
Des rendements de bureaux « prime » qui suivent la hausse des taux
Dans le sillage de la dixième hausse d’affilée des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne, les taux de rendement immobilier continuent d’augmenter partout en Europe. Par ailleurs, le coût élevé de la dette se traduit par un effet de levier négatif dans beaucoup de pays européens. Les taux de rendement de bureaux « prime » ont ainsi augmenté de 10 à 50 pbs sur le dernier trimestre, portant ainsi la hausse sur un an entre 35 et 170 pbs (Dublin 35 pbs, Londres 50 pbs, Paris 75 pbs, Bruxelles 75 pbs, Munich 150 pbs). En logistique, les taux de rendement prime ont augmenté en moyenne de 7 pbs sur le trimestre, laissant entrevoir un point d’entrée intéressant sur une classe d’actifs qui présente des fondamentaux locatifs bien orientés.
La hausse des taux de rendement varie au sein d’un même marché en fonction de la qualité et de la localisation des actifs. Une prime de risque additionnelle dépassant 150 pbs est souvent attendue par les investisseurs pour les actifs situés en périphérie. La tendance est la même pour les actifs dits obsolètes, tant en termes de durabilité que de fonctionnalité.
Une progression de l’offre difficile à inverser
A l’instar de l’Allemagne et face au ralentissement économique, les enjeux de réduction des coûts priment pour les entreprises. La demande placée* des principaux marchés de bureaux européens recule de 21 % sur un an, notamment en raison d’une réduction des surfaces prises à bail. Certains marchés, comme Paris, Lyon ou Amsterdam, voient toutefois leur demande se stabiliser voire progresser au troisième trimestre. Les entreprises recherchent en priorité des actifs de qualité, offrant des espaces de taille plus réduite et bénéficiant d’une bonne accessibilité.
En Europe, l’offre de bureaux progresse de 4 % sur un trimestre, portant la hausse sur un an à 14 %. Certains marchés se distinguent, comme Bruxelles, Amsterdam et Milan, où leur offre diminue au troisième trimestre.
Polarisation des marchés locatifs avec l’émergence d’un entre-deux
Le phénomène de polarisation des marchés locatifs évolue concomitamment à l’émergence d’un troisième segment. Jusque-là, le marché locatif s’orientait autour de deux pôles :
Au fur et à mesure que l’environnement économique s’assombrit, émerge un segment intermédiaire qui offre des solutions pour les entreprises recherchant des espaces haut de gamme, performant sur un plan environnemental et à loyers concurrentiels (du fait de leur localisation en périphérie).
La progression des taux de vacances en Europe fait ressortir un problème d’inadéquation de l’offre, tant en termes de localisation que de qualité. L’offre continue de progresser dans les périphéries mais recule dans les localisations centrales, à l’image des quartiers centraux des affaires de Paris ou Munich qui affichent des taux de vacance respectifs de 2,1% et 0,6% alors que la vacance en périphérie s’approche des 20 %. L’offre future est traversée par deux courants contraires. D’un côté le volume de libérations attendues dans les prochains 24 mois est relativement élevé et vient nourrir l’offre de seconde main alors que la production d’offre neuve est en nette diminution. Dans la région du Grand Paris, par exemple, pour chaque m² d’offre de bonne qualité correspond 2,5m² d’actifs vieillissants.
Par Virginie Wallut, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers. Novembre 2023
Sources : CBRE, Trading Economics, MBE, La Française REM Research
]]>La période estivale 2023 ressort au 4ème rang des étés les plus chauds depuis 1900 derrière 2003 et 2022 et quasi ex-aequo avec 2018. La température moyenne a été de 21,8 °C, supérieure à la normale de +1,4°C, avec des températures mensuelles moyennes au-dessus des normales de saison sur les 3 mois d’été.1
D’après le GIEC 2 , La France est située dans la partie ouest de l’Europe occidentale affectée par des événements climatiques extrêmes plus chauds et plus humides et, selon les régions, plus de précipitations ou des situations sèches propices aux feux de forêts.
Plus largement, le nombre d’événements climatiques extrêmes a augmenté de plus de 250 % depuis la période 1980 à 2013, et cette tendance à la hausse se poursuit. Face à ces évolutions climatiques, il est nécessaire pour le secteur du bâtiment de s’adapter. Les risques climatiques affecteront tous les aspects d’un bâtiment : sa structure, ses utilisations, son accessibilité, la fourniture de services, mais aussi la sécurité, la santé et le bien-être de ses occupants.3
Ainsi l’accélération manifeste du réchauffement climatique, marqué par des variations météorologiques et des amplitudes de températures élevées, précipite le calendrier d’adaptation du secteur immobilier avec un horizon de temps d’autant plus réduit.
La maîtrise des risques en matière de durabilité : un enjeu majeur
Le règlement européen SFDR définit les risques en matière de durabilité comme tout événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de gouvernance qui s’il survient pourrait avoir une incidence négative importante, réelle ou potentielle, sur la valeur de l’investissement. Ainsi les impacts matériels et sociaux des phénomènes météorologiques extrêmes constituent un risque pouvant exercer une influence plus ou moins significative sur la performance des investissements immobiliers.
En matière de gestion d’actifs immobiliers, La Française REM (LF REM) a identifié les principaux risques de durabilité auxquels elle est exposée pouvant impacter les bâtiments et leurs occupants et mène en conséquence une politique active des risques physiques liés au changement climatique : vague de chaleur, sécheresses, tempêtes et vents violents, inondations, grands froids, …
Ainsi, pour limiter les risques de durabilité, LF REM a fait le choix en 2023 d’un outil d’analyse de vulnérabilité des actifs immobiliers - « Resilience For Real Estate » (R4RE) développé par l’Observatoire de l’Immobilier Durable - combinant l’exposition des actifs immobiliers (emplacement du bien) et leur sensibilité (mode de construction, équipements techniques, usage, …).
En 2022, l’analyse des risques physiques du portefeuille immobilier de La Française REM a porté en particulier sur 5 aléas climatiques dont les vagues de chaleur (risque de dégradation du confort thermique et d’endommagement des réseaux). Il est ressorti que moins de 7% des actifs LF REM présentent une vulnérabilité forte à l’aléa vague de chaleur en 2022.
En 2023 et 2024, La Française complétera son analyse de vulnérabilité notamment sur les aléas climatiques suivants : tempêtes et vents violents, grands froids. Et parmi ses objectifs la société de gestion se fixe de réaliser une analyse de vulnérabilité sur 80% des actifs immobiliers gérés directement par LF REM en 2023 contre 67% des actifs gérés directement en 2022. A l’issue de l’analyse un plan d’action est défini si nécessaire.
Prévenir plutôt que guérir : source de performance et impact social positif
Grâce à une intégration des critères ESG et climat dans les processus d’investissement de manière aussi systématique et rigoureuse que les données financières, la société de gestion limite les risques par la réalisation d’audit ESG-Climat préalable à toute acquisition. Cette phase essentielle permet d’inclure le coût des éventuels investissements nécessaires à l’amélioration des caractéristiques durables des actifs dans les business plans et ainsi de refléter dans les prix d’acquisition proposés un « green premium » ou un « brown discount ».
Pour les projets de construction ou les opérations de restructuration, une analyse de conformité à la charte de construction durable de La Française REM est réalisée ; elle inclut notamment des mesures d’adaptation au changement climatique. Des pratiques immobilières durables peuvent non seulement permettre de protéger voire d’accroître la valeur des actifs immobiliers mais aussi d’améliorer le confort et bien être des locataires.
L’engagement de l’ensemble des acteurs du secteur immobilier est primordial. C’est pourquoi La Française REM, en tant que société de gestion d’actifs responsable et engagée, se mobilise auprès de ses parties prenantes (associés, investisseurs/distributeurs, locataires/occupants, fournisseurs et prestataires de travaux, property managers, collaborateurs, …) pour accompagner les transitions en informant, sensibilisant et fédérant sur la nécessité de la prise en compte des critères de durabilité et de gestion des risques climatiques.
Pour en savoir plus consultez notre dernier rapport « Stratégie Climatique et Responsable » Groupe La Française et notre site en matière d’Investissement Immobilier Durable.
1 Bilan climatique de l’été 2023 : 1er juin – 31 août, source Météo France
2 1er groupe de travail, 2021
3 Rapport international sur l’adaptation au changement climatique : « Buildings and Climate Change Adaptation : A Call for Action », source OID et GlobalABC
4 R4RE est une plateforme cartographique d'analyse de résilience proposée par l'Observatoire de l'Immobilier Durable (OID) comprenant notamment un outil d'analyse de risques climatiques, Bat-ADAPT.
]]>David RENDALL, Directeur Général de la Division Internationale de La Française REM, a déclaré : « Après la location de 32 000 m2 de SO OUEST l’an dernier dans le cadre d’un renouvellement de bail de 12 ans pour environ 26 700 m2 signé avec SAP et de baux à long terme pour près de 5 000 m2 avec Industrious et Meiyume, cette opération de refinancement reflète clairement un niveau élevé de confiance dans nos capacités de gestion d’actifs et la valeur sous-jacente de l’actif. »
Philippe DEPOUX, Président de La Française REM, a déclaré : « Dans une période d’incertitude sur les marchés et de taux d’intérêt élevés pour longtemps, La Française REM redéfinit la gestion d’actifs pour attirer les locataires, réduire la vacance, protéger les actifs et soutenir la valorisation des actifs. Je tiens à féliciter personnellement notre équipe de gestion d’actifs, Xavier BARREYAT, Cédrick BECKER et Valentin BIESSY pour la gestion de SO OUEST. »
Pour cette opération, La Française Real Estate Managers a été conseillée par Ashurst sur le volet juridique et Flusin Miralles Esteve sur les aspects notariaux.
]]>Thomas OSTRÉ, 34 ans, Head of Business Development – Middle East & Global Financial Institutions Relationship Manager de La Française
Thomas a neufs ans d’expérience dans la gestion d’actifs. Il a débuté sa carrière avec La Française en tant que Marketing Product Manager en 2014 et très rapidement rejoint la distribution avec Fred Alger Management à Londres, en qualité d’International Sales Manager.
Fort de son expertise produit, Thomas a su développer les segments Institutionnels et Wholesale au UK tout en accompagnant le développement de Fred Alger Management à l’international (Europe/Asia). Après quatre ans passés à Londres, il retourne à Paris et est nommé International Real Estate Business Development Manager à La Française, développant l’offre immobilière auprès d’une clientèle institutionnelle en Europe, EMEA et Canada.
Thomas OSTRÉ est titulaire d’un Bachelor of Economics and Management de La Sorbonne Université (Paris) et d’un Master en management de l’Ecole supérieure de commerce de Rouen. Il était Major de sa promotion de Master Management Immobilier de l’ESSEC Business School (Paris/Singapore). Thomas est membre de la RICS.
]]>
Globalement, le « World Meteorological Organisation » estime que la température moyenne de la surface de la terre entre 2023 et 2027 est attendue comme supérieure de 1,1°c à 1,8°C par rapport à la moyenne de la fin du 19ème siècle. Une grande partie de cette hausse résulte de nos actions
récentes. Les résultats du rapport « global stocktake1 » (qui évalue le retard pris par rapport aux ambitions de 2015 et des accords de Paris) note spécifiquement que 42% des émissions générées depuis 1850 proviennent de la période 1990-2019. Force est de constater que pour garder vivant l’objectif de 1,5°C, des politiques et engagements financiers plus ambitieux sont nécessaires.
Après plusieurs années de stagnation, voire de désillusions, cette COP a besoin de démontrer que les négociations climatiques sont toujours adaptées et peuvent apporter un réel changement, à la hauteur du challenge. Rappelons que la trajectoire de 1,5°C nécessite maintenant que les émissions mondiales baissent de 43% d’ici à 2030 vs 2019 et de 60% d’ici à 20351. Pour mémoire, depuis les accords de Paris, les émissions de CO2 étaient en hausse nette à 2021 et doivent atteindre leur sommet avant 2025 pour que la trajectoire soit envisageable.
Quelles attentes pour la COP28 ?
La présidence de la COP28 veut mobiliser les contributions publiques et privées sur les zones d’actions suivantes qui pourront contenir plus ou moins de rupture en leur sein :
Une chose est clairement différente cette année et elle réside dans la conscience générale de l’insuffisance de l’action. Le « Global Stocktake » a pour objectif de suggérer des politiques plus ambitieuses qui pourraient apporter la mesure nécessaire à une conversion positive de cette 28ème édition de la COP. Sans enfoncer de portes ouvertes, la clé de notre succès pour garder 1,5°C vivant réside dans une coopération internationale autour d’ambitions domestiques coordonnées qui dépassent le débat de la discrimination par la contribution historique mais se concentre sur le bénéfice plus uniforme pour les générations futures. « Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux au changement ».
« Le Global Stocktake est conçu comme un mécanisme d'évaluation périodique et régulier des progrès mondiaux réalisés dans la réalisation des objectifs de l'Accord de Paris. Il prend en compte les progrès réalisés par les pays liés à la mise en œuvre de l'Accord. »
Par Marie LASSEGNORE.
]]>« Présente au sein de la société de gestion depuis 2002, Eliana de Abreu a grandement contribué au développement de l’expertise extra-financière de Crédit Mutuel Asset Management, thématique au cœur du dispositif de croissance de la société de gestion. Eliana sera un atout majeur pour soutenir le développement de notre ligne métier gestion d’actifs. » déclare Daniel Baal, directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Jusqu’alors Directrice des gestions, Eliana de Abreu succèdera à Claire Bourgeois en tant que Directrice générale de Crédit Mutuel Asset Management.
Eliana de Abreu, Directrice générale de Crédit Mutuel Asset Management
Eliana de Abreu a plus de vingt ans d’expérience dans la gestion d’actifs. Elle a débuté sa carrière en 2000 en tant que gérante monétaire chez Dresdner RCM Gestion. En 2002, elle a rejoint Crédit Mutuel Asset Management en tant que gérante obligataire sur les expertises aggregate, crédit, inflation et convertibles. Elle est promue Directrice de la gestion taux en 2018 puis Directrice des gestions en 2021, en charge de soixante-dix collaborateurs et
trois-cents fonds représentant 70 milliards d’euros en actifs sous gestion (fin 2022), dont le département de Finance Responsable.
Eliana de Abreu, 46 ans, est titulaire du Magistère Banque, Finance, Assurance de l’Université Paris Dauphine ainsi que d’une double licence de mathématiques appliquées et d’économie de la même université.
]]>Il s’agit d’un site frauduleux ! Inscrit sur les listes noires de l’ACPR et AMF.
Aussi nous attirons votre attention sur le danger de recourir à ce site et sollicitation(s) qui pourraient survenir à cette issue :
Ne cliquez pas sans vérification préalable lorsque vous êtes sollicités directement par e-mail, téléphone ou quelque moyen que ce soit pour vous proposer une offre d’épargne sur ce site.
Nous vous invitions à prendre connaissance de la page Fraude du groupe La Française en cas de doute : https://www.la-francaise.com/fr/nous-connaitre/groupe-la-francaise/lutte-contre-la-fraude/
En toute circonstance, lorsque vous souhaitez souscrire, faites confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers en nous contactant directement à l’« adresse site contact ». Nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé.
Prenez connaissance des mises en garde, des listes noires de sociétés et sites non autorisés publiées par l’AMF ou de l’ACPR
Jean-Marie CELERIER déclare, « Notre objectif est de toujours mieux répondre aux besoins des clients-locataires en matière d’usage des espaces et ainsi de soutenir le taux d’occupation de notre patrimoine immobilier. Le rôle de Caroline dans ce dispositif est central pour mener à bien notre mission et son expérience en matière de conseil en stratégie de commercialisation nous sera d’une grande valeur. »
Caroline GUIRAUD, 43 ans, Responsable Animation Locative à La Française Real Estate Managers
Caroline a dix-huit ans d’expérience dans la communication, dont huit ans dans la stratégie de Property Marketing. Elle a débuté sa carrière en communication dans le cabinet d’avocats d’affaires Freshfields Bruckhaus Deringer en 2005 avant de rejoindre l’agence conseil en communication AstonWood en 2006, d’abord en tant que Chef de projets 360° puis en tant que Directrice de projets. En 2014, elle co-fonde Vizitime.fr, une plate-forme collaborative d’activités touristiques et d’expériences locales. Puis en 2015, elle rejoint le conseil en immobilier d’entreprise JLL en tant que Responsable Property Marketing pour conseiller les investisseurs-propriétaires dans le cadre de leurs stratégies de commercialisation.
Caroline GUIRAUD est diplômé de l’Institut Supérieur de Communication (ISCOM) et est titulaire d’un DUT Techniques de Commercialisation option marketing.
]]>Guillaume GENTINA, 53 ans, Responsable des Actifs Européens de La Française REM
Guillaume bénéficie de vingt ans d’expérience dans la finance et l’immobilier, intervenant à chaque étape de la chaine de valeur : acquisition, asset management, arbitrage et gestion de portefeuille. En 2001, il rejoint General Electric Medical Systems d’abord en tant que Finance Manager puis en tant que Financial Planner et Analyst Manager. En 2005, il intègre General Electric Real Estate en tant que Senior Financial Planner Manager, responsable d’un portefeuille pan-européen de près de 14 milliards d’USD. En 2007, il rejoint DTZ Investors en tant que Client Relationship and Investment Manager avant d’être nommé Deputy Finance Manager de DTZ Investors France, en charge notamment du fund management pour compte de tiers sur le plan international. En 2011, Guillaume est promu Associate Director, responsable de l’asset management d’un portefeuille (bureaux, commerces, résidentiel et hôtels) de près de 4 milliards d’euros et en charge notamment de la mise en place d’un programme de sobriété énergétique.
Guillaume GENTINA est titulaire d’un Master of Business Administration de Manchester Business School et d’un Master of Science de l’Ecole Polytechnique Universitaire de Lille.
]]>La hausse des taux s’est poursuivie en octobre de manière violente, spécialement aux Etats-Unis et dans les pays anglo-saxons, avec des parties longues de courbe qui ont beaucoup
souffert et une « désinversion » des courbes importante. Ces mouvements s’expliquent en partie par une économie américaine toujours bien orientée avec une croissance annualisée de 4,9% au 3ème trimestre, bien au-delà des prévisions des économistes et un marché de l’emploi qui ne montre que peu de signes d’essoufflement. Les autres raisons de cette correction obligataire sont les mêmes qu’au mois de septembre : des montants d’émissions importants à digérer, des primes de terme toujours faibles et des programmes de « quantitative tightening » qui se poursuivent.
Les actifs risqués ont logiquement réagi négativement à la poursuite de la hausse des taux réels avec des marchés abctions qui perdent entre 2 et 5% sur le mois et des actifs crédit qui se comportent de manière similaire. Comme illustré sur le graphique, le début du mois de novembre sera bien différent. Ces mouvements n’ont pas été sans conséquences. Les banques centrales ont notamment été très vocales concernant la hausse des taux longs, indiquant que cela participait à durcir les conditions financières et donc faisait baisser la nécessité pour elles de poursuivre leur cycle de hausse des taux. Ce constat est vrai aussi bien aux EtatsUnis qu’en Europe, hormis des surprises significatives à la hausse sur l’inflation dans les mois qui viennent.
Le mois d’octobre a aussi évidemment été marqué par le conflit au Moyen Orient dont une issue à court terme parait très improbable. Pour le moment, aucune conséquence pour les marchés et cela sera probablement le cas tant que le conflit ne s’étendra pas. L’histoire nous apprend en effet que les conséquences de ce type d’évènements sont, dans la majorité des cas extrêmement faibles, sauf en cas d’impact significatif sur les matières premières. Avec une guerre toujours en cours entre l’Ukraine et la Russie, c’est un deuxieme conflit armé d’envergure qui s’ouvre ici, et là encore, dans une zone potentiellement déstabilisatrice pour les matières premières énergétiques.
Le mois d’octobre à peine terminé, une série d’évènements a ensuite provoqué un rebond obligataire d’une violence rare, entrainant l’ensemble des classes d’actifs :
La perte de biodiversité figure parmi les limites planétaires majeures à respecter pour conserver un équilibre et permettre le développement d’un espace sûr et juste pour l’Homme. Le franchissement de cette limite représente un défi supplémentaire au regard des services écosystémiques que la nature procure et dont les sociétés dépendent.
L’urbanisation fait partie des causes majeures de pression d’origine anthropique sur la biodiversité du fait notamment de la perte et de la fragmentation des habitats naturels et semi-naturels qu’elle engendre et du manque d’espaces végétalisés. Les bâtiments et leurs aménagements constituent une partie du lieu de vie des espèces urbaines et ont ainsi un impact potentiel sur la biodiversité2.
Ainsi sous le double effet d'exigences réglementaires et d'une demande de plus en plus forte de la part des citadins pour un meilleur cadre de vie, les villes évoluent et tendent à s'affirmer durables et résilientes.
S’engager en faveur de la ville Durable implique de reconsidérer le capital naturel
Dans le cadre de ses activités immobilières, La Française Real Estate Managers (LFREM) mène des actions pour protéger autant que possible la biodiversité. Au-delà des interrelations avec le changement climatique – bénéfices d’atténuation - réintroduire la nature en ville participe d’autres services dits culturels en raison de leurs apports esthétique et spirituel (confort de vie, bien-être, santé) et de leur fonction sociale.
LFREM intervient sur toutes les étapes d’un projet immobilier, de l’acquisition en VEFA ou d’actifs déjà livrés ou de restructuration lourde à l’exploitation à travers la réalisation d’audit ESG confié à un bureau d’étude environnement externe ou via la mise en application de ses différentes chartes à l’ensemble du patrimoine géré directement :
Pour protéger les espaces naturels LFREM s’attache à limiter sa participation aux pressions sur la biodiversité. Ainsi la société exclut toute acquisition située dans des zones protégées.
Par ailleurs, LFREM applique une politique de gestion durable des espaces verts gérés directement en considérant la typologie des espaces, l’esthétique et les usages. Les prestataires chargés de la gestion des espaces verts doivent s’engager sans réserve à appliquer cette charte dans le cadre de leur activité. La charte prévoit 4 principes majeurs :
« Nous évaluons régulièrement l’impact de nos actifs en vérifiant la part de nos espaces verts gérés de manière durable. Par ailleurs, nous avons introduit un nouvel indicateur de mesure de la faune et de la flore pour certains actifs de fonds labellisés ISR via l’outil « Resilience For Real Estate » (R4RE) développé par l’Observatoire de l’Immobilier. »
Antoine Vincke, Directeur de l’ISR Immobilier LFREM
La société cherche également à maximiser la surface végétalisée des bâtis (murs et toitures végétalisés) dès que cela est opportun pour favoriser la restauration de la biodiversité. Les prestataires sélectionnés s’engagent quant à eux à mener des actions en faveur de la restauration de la biodiversité.
Des paroles… et des actes !
Récemment LFREM a commandé une étude auprès d’un expert écologue pour son site d’Ecully, situé dans la métropole de Lyon. L’objectif : évaluer les enjeux écologiques et prendre en compte au mieux la biodiversité dans les aménagements et la gestion du site.
D’une surface totale d’1,17 hectare, ce site est composé d’un actif de bureaux et d’espaces verts. Sur une zone déjà construite, l’investissement existant n’a pas créé d’artificialisation du milieu naturel et du sol. Bordé par ailleurs d’un grand parc à proximité immédiate et de milieux boisés proches, ces espaces constituent respectivement soit une zone relai pour le déplacement de la faune et de la flore soit un corridor écologique des trames verte et bleue.
Un ensemble d’actions possibles pour améliorer le potentiel d’accueil du site en faveur de la biodiversité a été identifié. Ces actions ont été évaluées selon l’intérêt biodiversité et leur facilité de mise en place, puis selon leur niveau de priorité.
-46% : selon l’Observatoire National de la Biodiversité, les populations de chiroptères (chauves-souris) ont été réduites de près de moitié entre 2006 et 2014 en France. |
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En matière d’aménagement, plusieurs habitats pour la faune seront ainsi créés. Des nichoirs pour oiseaux et chiroptères seront installés sur des arbres et/ou sur les façades du bâtiment en respectant les recommandations de pose afin d’accueillir différentes espèces dont certaines protégées (martinets, mésanges).
La charte de gestion durable des espaces LFREM sera rigoureusement appliquée avec en premier lieu l’interdiction d’utiliser des produits phytosanitaires. La taille des haies sera adaptée pour limiter son incidence sur les espèces qui s’y reproduisent (éviter les tailles de mars à fin juillet). La fréquence des tontes sera moindre et différenciée et la hauteur de tonte plus importante afin de favoriser le développement d’espèces et conserver l’humidité au sol. Les nouvelles plantations végétales seront visées par un écologue. Le choix de ces dernières portera sur des essences locales non allergènes et frugales en eau. Une attention particulière sera portée à l’éradication d’espèces exotiques envahissantes afin de prévenir toute nouvelle présence.
La pollution lumineuse liée aux éclairages artificiels sera atténuée : durée d’éclairage du bâtiment réduite et orientation lumineuse vers le bas ; les projecteurs au pied des arbres seront quant à eux supprimés pour ne pas perturber la faune nocturne (activité de chasse de certaines espèces de chauves-souris lucifuges) ou diurne (repos des oiseaux qui nicheraient dans les arbres).
A moyen terme, LFREM poursuivra son plan d’action d’amélioration de la gestion et du potentiel biodiversité du site pour favoriser la faune et la biodiversité locale et limiter les consommations en eau via notamment l’installation de dispositifs de récupération des eaux pluviales par exemple.
Pour en savoir plus sur la stratégie biodiversité responsable de La Française Real Estate Managers, consultez notre rapport dédié Stratégie climatique et Responsable et notre synthèse Panorama Durabilité.
Retrouvez l’ensemble des publications en matière d’investissement durable du groupe La Française en cliquant ici.
1 IPBES, 2019.
2 BIG by OID, octobre 2022
]]>L’équilibre entre la politique budgétaire et la politique monétaire décidera in fine du devenir de l’inflation : tant que le gouvernement américain continuera de mener une politique budgétaire expansionniste, la Fed n’aura d’autre choix que de poursuivre sa politique monétaire restrictive pour éviter une surchauffe de l’économie et donc une poursuite de l’inflation.
L’inflation américaine est à fin septembre de 3.7% après avoir atteint plus de 9% en juin 2022, avec beaucoup de disparités entre les différents secteurs d’activité (Source : Bloomberg). La baisse des matières premières et les effets de base négatifs expliquent la grande majorité de cette baisse, mais ce n’est pas le seul facteur. La fin du choc d’offre lié à la crise du Covid a aussi permis à l’inflation sur les biens de fortement ralentir, celle-ci étant aujourd’hui proche de 0 sur les 12 derniers mois. Là aussi, la baisse des matières premières énergétiques a aidé à contenir la hausse des prix via les effets de second rang. Il faut d’ailleurs noter que les effets de base vont maintenant jouer de manière positive sur l’inflation, ce qui devrait entrainer une hausse de l’inflation liée à l’énergie et aux biens.
Le pan de l’économie qui pose encore des problèmes est celui des services avec des hausses de prix encore élevées à 5.7% au cours de l’année écoulée. Cela s’explique par la composante « OER » (« owner equivalent rent », l’équivalent loyer des propriétaires) dont les variations suivent avec retard celles constatées sur le marché immobilier. Toutefois, ce n’est pas le seul facteur explicatif. Si le secteur des services demande en effet beaucoup moins de transformation de produits que celui des biens et dépend donc moins des variations des prix des matières premières, il est en revanche beaucoup plus consommateur d’emplois. L’inflation salariale et l’inflation constatée dans le secteur des services sont donc intrinsèquement liées ; ce que l’on constate historiquement.
Il est donc logique pour la Fed de vouloir rééquilibrer la demande et l’offre d’emploi, condition nécessaire à un retour à une inflation proche des 2%. Mais la politique de la Fed n’a que peu d’impact sur l’offre d’emploi, qui elle dépend des politiques migratoires, de la démographie et des préférences de chacune des catégories des demandeurs d’emploi. Le seul levier de la Fed est donc d’essayer de jouer sur la demande d’emploi, et c’est ce qu’elle tente de faire en poursuivant une politique monétaire de plus en plus restrictive afin de ralentir l’économie.
La Fed a donc raison de poursuivre une politique monétaire restrictive afin de juguler l’inflation via une modération de l’inflation salariale, mais ce n’est pas le seul facteur qui décidera du devenir de l’inflation. Les décisions politiques seront aussi et sans doute plus importantes, que ça soit via des décisions visant à augmenter ou non l’offre d’emploi ou via des politiques budgétaires plus ou moins expansionnistes.
Concernant l’offre, après l’arrêt des flux migratoires durant le Covid, on voit que ceux-ci ont repris de manière assez vigoureuse, ce qui devrait aider à rééquilibrer le marché dans les mois qui viennent. De la même façon, la hausse du taux de participation constatée depuis quelques mois, en particulier chez la population des 55 ans et +, pousse également l’offre d’emploi à la hausse. De ce côté, cela devrait donc aider la Fed, même si il reste encore du chemin à parcourir.
En ce qui concerne les politiques budgétaires, il est en revanche difficile d’être très optimiste dans la mesure où il est électoralement suicidaire de mener des politiques dites restrictives (hausse d’impôts, baisse des aides, etc..), à fortiori dans une année électorale comme 2024. Si l’histoire est un guide, on peut aussi noter que les périodes d’instabilité géopolitique, comme celle que nous vivons actuellement, vont souvent de paire avec des déficit budgétaires importants.
De François Rimeu, Stratégiste senior, La Française AM
Ces informations sont données à titre d’information.
]]>Thierry Molton, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « La dernière tranche de cette opération, réalisée en trois phases, date de 2022. Nous bénéficions ainsi de la garantie décennale sur cet actif récent, qui répond aux derniers standards énergétiques. D’autre part, l’ancrage du locataire depuis 2010 favorise la maitrise du risque locatif. L’emplacement géographique du bien, à quelques kilomètres de Bordeaux est un atout majeur pour répondre à l’essor du e-commerce. »
Cette acquisition, d’un montant légèrement supérieur à 4 millions d’euros, a été réalisée pour le compte d’un fonds collectif en immobilier.
La Française REM a été conseillée par l’étude 14 Pyramides Notaires ; le vendeur par l’étude notariale Meyssan et Associés. Les deux parties ont été conseillées par l’équipe investissement de régions de BNP PARIBAS REAL ESTATE TRANSACTION France.
]]>Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés du Compartiment disponible sur le site www.la-francaise.com.
Ces modifications qui seront effectives le 02 novembre 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Compartiment qui demeurent inchangés.
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Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant.
Représentant en Suisse :
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich
Agent payeur en Suisse :
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich
Le prospectus, DIC Priips et annexe SFDR du Compartiment seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
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]]>Le commerce est loué dans son intégralité au groupe Roche Bobois, une entreprise spécialisée dans la conception et commercialisation de mobilier design haut de gamme.
Thierry Molton, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Cette acquisition constitue un bon complément à notre portefeuille d’actifs commerces par la qualité du locataire, la visibilité et l’emplacement prime de l’actif et plus généralement sa proximité avec de nombreuses enseignes de renom. »
Cette acquisition, d’un montant de l’ordre de 9 millions d’euros « Acte en Main », a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Épargne Foncière.
La Française REM a été conseillée par l’étude 14 Pyramides Notaires ; le vendeur par Flusin & associés. Les deux parties ont été conseillées par Catella Property.
]]>Conçu par le cabinet d’architectes londonien Rolfe Judd, l’immeuble de bureaux a été construit en 1992 et offre 5 815 m² de bureaux modulables et de locaux annexes répartis entre l’entresol, le rez-de-chaussée et six étages supérieurs. Situé au sein d’un îlot, l’immeuble est l’un des rares immeubles de bureaux indépendants (offrant des douches, une cantine, une station de recharge pour véhicules électriques, des espaces protégés pour les vélos) dans le quartier de Victoria. L’immeuble est entièrement loué, dans le cadre d’un bail de 15 ans expirant en 2038, à une multinationale italienne du secteur de l’énergie qui en a fait son siège londonien il y a plus de trente ans.
Le bâtiment bénéficie d’une hauteur de dalle à dalle de 3,60 mètres. Les bureaux jouissent d’une bonne lumière naturelle avec des vues sur Londres dans les étages supérieurs, en plus d’un grand atrium central qui offre des cours paysagées au niveau du rez-de-chaussée et de l’entresol. Des travaux de rénovation, qui devraient être achevés prochainement, ont été entrepris par le locataire afin d’améliorer la performance énergétique des bâtiments et la qualité de l’espace de travail.
Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Comme il s’agit de l’un des rares immeubles de bureaux indépendants de Belgravia, la rareté du produit, ainsi que le renommé du locataire, la durée du bail et le potentiel de conversion à d’autres usages commerciaux devraient soutenir la valeur à long terme de l’investissement. De plus, comme il s’agit de notre première acquisition dans le West End de Londres, l’actif vient compléter notre portefeuille londonien existant. »
La Française Real Estate Managers a été conseillée par RX London, Ashurst sur les aspects juridiques, fiscaux et financiers et CS2 pour la due diligence technique et environnementale. Le vendeur, Grosvenor, a été conseillé par JLL.
]]>Antoine VINCKE, 46 ans, Directeur de l’ISR Immobilier de La Française REM.
Antoine a treize ans d’expérience dans l’immobilier durable. Il crée en 2010 THERMAVIVA, un bureau d’études thermiques et énergétiques. En parallèle, il était membre associé de l’Observatoire Climat Energie de Haute-Normandie (2011-2016) et Vice-Président de l’Association Normandie Eco-Entreprises (2014-2019). En 2021, Antoine rejoint La Française Real Estate Managers, en charge notamment de l’audit technique environnemental des actifs immobiliers.
Andrea BERTOCCHINI, 50 ans, Head of BENELUX & NORDICS de La Française
Andrea bénéficie de vingt ans d’expérience internationale dans la gestion d’actifs et apporte aux investisseurs une solide connaissance des actifs réels et cotés ainsi qu’une maîtrise des relations transculturelles. Il a débuté sa carrière chez Carmignac en 2003 au Luxembourg avant de rejoindre en 2006 Chahine Capital en tant que Institutional Sales Manager. En 2010, il rejoint BNP Paribas Real Estate Investment Management en tant que Business Development Manager – Benelux, Switzerland et UK, acquérant ainsi une expertise en immobilier qu’il mettra au service des investisseurs institutionnels pour leurs allocations. Andrea entame par la suite une longue expérience de neuf ans avec La Francaise durant laquelle il développe l’activité du groupe d’abord au Benelux, puis dans les Nordics et enfin en Italie. Avant de rejoindre à nouveau La Française en 2023, Andrea a passé deux années chez TOBAM en tant que Managing Director, Head of Sales EAFE.
Andrea est diplômé d’Einaudi en Italie.
]]>Nous n’en sommes heureusement pas encore là, mais il est toujours utile de rappeler qu’une guerre est par nature inflationniste et se traduit le plus souvent par des prix des matières premières en hausse. Les évènements du week-end pourraient ainsi rendre la mission des banquiers centraux encore plus difficile.
Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
Sources
Le programme propose de très bonnes performances environnementales, tant pour le confort thermique d’hiver que d’été, avec notamment des logements qui répondent aux exigences de la RE 2020 et la partie services aux exigences de la RT 2012-20%. Le projet vise la certification NF Habitat HQE niveau « Très Performant ». Le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire des logements seront assurés par une chaufferie alimentée par granulés de bois et par 300 m2 de panneaux photovoltaïques en
autoconsommation.
D’un point de vue de la biodiversité, le programme prévoit une toiture végétalisée, la replantation des rives de la rivière attenante, l’installation de nichoirs à hirondelles et à chiroptères et plus largement la gestion écologique du site. La résidence vise le label Biodivercity® niveau « Performant ».
La date de livraison est fixée à fin 2025 et l’actif sera intégralement loué dans le cadre d’un bail long terme à un exploitant expérimenté, MMV. Filiale de la Compagnie des Alpes, MMV opère depuis plus de 30 ans dans les Alpes françaises avec 21 implantations dans 16 stations prestigieuses des Alpes.
Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Les actifs de tourisme, avec leur profil défensif, prennent tout leur sens notamment dans le contexte macroéconomique actuel. La localisation prime de cet actif, ses caractéristiques durables et son exploitation par un leader du marché affichant un taux d’occupation moyen élevé, sont des facteurs qui viendront soutenir sa valorisation dans la durée. »
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Lexfair (Virginie Blanc), le cabinet Reed Smith (Carole Steimlé) ainsi que Domeka (Damien Becquart) pour les aspects techniques.
RISQUES ASSOCIES DE L’OPPCI : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risques de liquidité, risques liés à l’effet de levier, risque de contrepartie, risque locatif, risque de taux, risque de crédit, risques liés à l’acquisition en l’état futur d’achèvement, risque lié à la détention de participations non contrôlées, risques en matière de durabilité.
La SPPPICAV détient directement et/ou indirectement des immeubles dont la vente exige des délais qui dépendront de l’état du marché immobilier. Après la période d’interdiction des rachats d’une durée de dix (10) ans, en cas de demande de rachat (remboursement) de vos Actions, votre argent pourrait ne vous être versé que dans un délai de cinq (5) ans. En cas de demande de rachat (remboursement) de vos Actions, la somme que vous récupérerez, pourra être inférieure à celle que vous aviez investie, en cas de baisse de la valeur des actifs de la SPPPICAV, en particulier du marché immobilier, sur la durée de votre placement.
La durée de placement recommandée est de quinze (15) ans.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Les Grand Palais. Cette SCPI, lancée en 2020, vise à constituer un patrimoine diversifié de propriétés viticoles situées en France, dans des Appellations d’Origine Protégées (AOP) notoires et reconnues, bénéficiant d’un potentiel de valorisation dans le temps.
Cyril CARTERON, Directeur des Produits de Diversification de La Française REM conclut, « Notre objectif est de détecter les perles rares ayant un potentiel de valorisation dans la durée tout en sélectionnant des exploitants capables d’accompagner ce développement. Nous sommes convaincus que les bons fondamentaux de cette parcelle en premier cru AOP Champagne s’inscriront dans cette perspective de valorisation. »
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de Gestion est de 20 ans. La SCPI ne garantit pas la revente des parts. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI. La sortie n'est possible que s'il existe une contrepartie à l'achat ou à la souscription. RISQUES ASSOCIES : risque de marché, risque de contrepartie, risque lié à la concentration, risque lié à la gestion discrétionnaire, risque lié à la liquidité,
risque lié à l’endettement (effet de levier), risque de perte en capital et de variabilité des distributions.
Vous trouvez ci-dessous le détail des SCPI concernées par les évolutions de délai de jouissance :
SCPI | Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 01/10/2023 | Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 01/10/2023 |
ÉPARGNE FONCIÈRE | 1er jour du 4e mois suivant le mois de souscription | 1er jour du mois qui suit le mois de souscription |
LF GRAND PARIS PATRIMOINE | 1er jour du 4e mois suivant le mois de souscription | 1er jour du mois qui suit le mois de souscription |
LF EUROPIMMO | 1er jour du 6e mois suivant le mois de souscription | 1er jour du mois qui suit le mois de souscription |
LF AVENIR SANTÉ | 1erjour du 4e mois suivant le mois de souscription | 1er jour du 6e mois suivant le mois de souscription |
La société de gestion a souhaité réduire le délai de jouissance de ses SCPI Epargne Foncière, LF Grand Paris Patrimoine et LF Europimmo afin de soutenir leur collecte et faciliter leur liquidité.
Par ailleurs, dans ce contexte où la concurrence à l'acquisition est vive, la société de gestion a également décidé d'augmenter le délai de jouissance de la SCPI LF Avenir Santé afin de faciliter le déploiement d'une politique d'investissement rigoureuse qui nécessite plus de temps.
Cette modification sera effective pour les souscriptions enregistrées à partir du 1er octobre.
Pour toute question, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur commercial habituel.
Risques SCPI : risque de perte en capital, risque de liquidité, risque de concentration géographique, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée est de 9 ans.
]]>Pour présenter votre candidature
Il vous suffit d’adresser le formulaire de candidature dûment par e-mail à l’adresse : mmparabernard@la-francaise.com ou par courrier postal à La Française Real Estate Managers – Mélissa M’PARA BERNARD - 128 boulevard Raspail - 75006 Paris au plus tard le 31 décembre 2023.
Qui désignera les membres du conseil de surveillance
Tous les porteurs de parts du FPI seront consultés par correspondance et désigneront les membres du conseil de surveillance, pour un mandat de 3 ans, parmi les candidats qui leur seront soumis (de 2 à 9). Toutefois, conformément à la règlementation, si le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir (9), les candidats seront nommés d'office membres du conseil de surveillance.
La direction de la clientèle est à votre écoute au 01 44 56 10 45 pour tout complément d’information.
Pour votre bonne information, vous trouverez, ci-dessous, un extrait du règlement de l’OPCI LF CERENICIMO + portant sur le conseil de surveillance du FPI. La documentation du FPI est par ailleurs disponible sur le site internet.
« ARTICLE 15. NOMINATION DESIGNATION - MODALITES DE L’ELECTION DES MEMBRES
15.1. Composition du Conseil de Surveillance
Les membres du Conseil de Surveillance sont élus par les Porteurs et parmi ceux-ci.
Le Conseil de Surveillance est composé de deux (2) membres au moins et de neuf (9) membres au plus, dont un président élu par les membres.
15.2. Election des membres du Conseil de Surveillance
En vue de l’élection des membres du Conseil de Surveillance, la Société de Gestion procède à un appel de candidature qu’elle publie sur son site internet ainsi que dans le document d’information périodique.
Les Porteurs répondent à cet appel à candidature sur le site internet de la Société de Gestion dans les trois (3) mois suivant sa publication. La candidature comporte les éléments permettant de justifier de l’indépendance du candidat à l’égard de la Société de Gestion des sociétés qui lui sont liées au sens de l’article R. 214-43 du Code monétaire et financier.
Une personne physique ou morale ne peut exercer simultanément plus de cinq (5) mandats en qualité de membre du conseil de surveillance d’un fonds de placement immobilier. L’exercice d’un mandat est incompatible avec l’exercice de toute autre fonction susceptible de créer un conflit d’intérêts.
Les Porteurs élisent directement les membres du Conseil de Surveillance en votant par correspondance ou à distance par voie électronique.
Le droit de vote de chaque Porteur est proportionnel au nombre de Parts qu’il détient.
Seront élus membres du Conseil de Surveillance, dans la limite des postes à pourvoir, ceux des candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix favorables à leur élection parmi les Porteurs s’étant exprimés. En cas de partage des voix, le candidat élu sera celui possédant le plus grand nombre de Parts ou, si les candidats en présence détiennent le même nombre de Parts, le candidat le plus âgé.
Les élections des membres du Conseil de Surveillance ont lieu au moins tous les trois (3) ans.
La durée du mandat de membre du Conseil de Surveillance est de trois (3) ans. Le mandat est renouvelable deux (2) fois.
Lorsque le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir, les candidats sont nommés d’office membres du Conseil de Surveillance.
En cas de décès ou de démission d’un membre du Conseil de Surveillance conduisant à un nombre de membres inférieur au nombre prévu à l’article 15.1 ci-avant, le Conseil de Surveillance procède à une nomination à titre provisoire afin de remplacer le membre vacant jusqu’à l’échéance de son mandat. Cette nomination intervient dans un délai de trois (3) mois à compter du jour où se produit la vacance. Sont nommés les candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix à la précédente élection après ceux déjà nommés membres du Conseil de Surveillance.
Lors de la première réunion suivant l’élection ou la désignation des nouveaux membres, le Conseil de Surveillance élit son président à la majorité simple.
ARTICLE 16. REUNION DU CONSEIL DE SURVEILLANCE - CONVOCATIONS - DELIBERATIONS
16.1. Réunions du Conseil de Surveillance
Le Conseil de Surveillance se réunit en France au moins deux (2) fois par exercice sur convocation de son président ou sur demande motivée d’un tiers au moins de ses membres, soit au siège social de la Société de Gestion, soit en tout autre lieu indiqué dans l’avis de convocation.
Les réunions du Conseil de Surveillance peuvent avoir lieu par voie de visioconférence ou de téléconférence.
Si la réunion a lieu au siège social de la Société de Gestion, celle-ci met à la disposition du Conseil de Surveillance les locaux nécessaires à la tenue de la réunion, ainsi que le personnel et les moyens techniques permettant d’assurer le secrétariat du Conseil de Surveillance.
La Société de Gestion assiste aux réunions du Conseil de Surveillance.
Le président fixe l’ordre du jour de la séance qui peut être complété à la demande d’un membre jusqu’à la veille de la séance.
Il est tenu un registre de présence des membres du Conseil de Surveillance.
Les rapports du Conseil de Surveillance sont approuvés à la majorité simple de ses membres.
La première réunion du Conseil de Surveillance suivant la constitution du FPI se tient au plus tard dans les douze (12) mois de l’agrément du FPI.
16.2. Quorum et majorité
Le Conseil de Surveillance ne délibère valablement que si la moitié au moins de ses membres sont présents.
Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés. Chaque membre est titulaire d’un droit de vote. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante.
Si le Conseil de Surveillance a lieu en visioconférence ou téléconférence, sont réputés présents pour le calcul du quorum et de la majorité, les membres du Conseil de Surveillance qui participent à la réunion par des moyens de visioconférence ou de téléconférence.
16.3. Mandats de représentation
Un membre du Conseil de Surveillance peut donner, même par lettre, télécopie ou courrier électronique, mandat à un autre membre de le représenter. Cette procuration, donnée par écrit au président, ne peut être valable que pour une séance du Conseil de Surveillance.
Chaque membre du Conseil de Surveillance ne peut disposer, au cours d’une même séance, de plus de deux procurations.
ARTICLE 17. PROCES-VERBAUX DES REUNIONS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE
Les délibérations du Conseil de Surveillance sont constatées dans un procès-verbal.
Les procès-verbaux sont dressés et les copies ou extraits des délibérations sont délivrés et certifiés conformément à la législation et à la réglementation applicables.
ARTICLE 18. POUVOIRS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE
Le Conseil de Surveillance est chargé d’une mission de suivi de la gestion du FPI.
Le Conseil de Surveillance ne dispose d’aucun pouvoir de gestion et ne peut pas s’immiscer dans la gestion du FPI.
Les membres du Conseil de Surveillance sont tenus à la discrétion sur les informations présentant un caractère confidentiel et données comme telles par le président.
Chaque fois qu’il le juge nécessaire et au moins une fois par an, le Conseil de Surveillance établit un rapport rendant compte de sa mission.
A l’occasion de l’élaboration de ses rapports, le Conseil de Surveillance peut demander toute information complémentaire à la Société de Gestion, qui est tenue de répondre par écrit dans un délai de huit (8) jours ouvrés.
Les rapports du Conseil de Surveillance sont tenus à la disposition des Porteurs au siège de la Société de Gestion et sont disponibles sur le site internet de la Société de Gestion. Lorsqu’un Porteur demande à recevoir un rapport sous format papier, les frais liés à son expédition sont à sa charge.
Les membres du Conseil de Surveillance sont responsables des fautes personnelles commises dans l’exécution de leur mandat. Ils n’encourent aucune responsabilité à raison des actes de la gestion et de leur résultat. »
]]>Le parc comprend quatre bâtiments distincts et divisibles, récemment rénovés ou construits. Dans son ensemble, le parc offre un bon niveau de service pour le bien-être des occupants (cuisine réfectoire, espaces de repos, salle de fitness...). Il est également prévu de mettre en place une gestion durable des espaces verts ainsi qu’un éclairage LED pour la partie entrepôt. Au total, les quatre bâtiments offrent 14 968 m² de surface (9 % de bureaux, 18 % d’activités et 73 % d’entrepôt/logistique) et sont entièrement loués à 10 locataires.
Cette acquisition, pour environ 18 millions d’euros, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF OPPORTUNITE IMMO.
Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Ce parc d’activités, du fait de sa localisation stratégique pour le transport de fret et de sa conception avec quatre bâtiments indépendants, devrait contribuer pleinement à la mutualisation du risque locatif et à la valorisation du patrimoine de la SCPI. »
Dans le cadre de cette opération, La Française REM a été conseillée par l’étude notariale 14 Pyramides et le cabinet Jeantet. Le vendeur était conseillé par l’étude notariale Artois Gohelle. Les deux parties ont été conseillées par l’équipe Real Estate & Hospitality de la banque d’affaires ALANTRA.
RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Allfunds Blockchain facilite l’acheminement des ordres et offre à ses participants la possibilité de visualiser en temps réel tous les processus associés, augmentant ainsi la transparence et
l’efficacité et réduisant les coûts de distribution pour les gestionnaires d’actifs. En complément et une fois opérationnelle (date cible : 1er semestre 2024), cette nouvelle organisation permettra à la clientèle d’investisseurs professionnels de La Française de bénéficier d’heures de cut-off plus précises et d’un meilleur reporting.
Dans un premier temps clairement axé sur la distribution internationale, La Française et Allfunds Blockchain prévoient de s’appuyer davantage sur la technologie blockchain. Ils étudieront les options en utilisant la même approche, basée sur des « cas d’usage » concrets et évolutifs avec un retour sur investissement démontrable, en combinaison avec une vision stratégique de la manière dont la proposition de valeur d’Allfunds Blockchain peut ouvrir la porte à de nouvelles applications dans le secteur financier et à de nouveaux modèles de distribution autour de la tokenisation.
Thierry Gortzounian, Directeur général de La Française AM Finance Services, a déclaré : « La coopération entre Allfunds Blockchain et La Française nous permettra de continuer à améliorer la gamme de services que nous fournissons à nos clients, notamment en traitant leurs ordres de manière plus efficace dans un cadre simplifié et sécurisé. La plateforme blockchain déployée par Allfunds Blockchain facilitera l’accès aux expertises en valeurs mobilières de La Française et apportera de la valeur aux investisseurs professionnels. »
Christophe Descohand, Responsable de l’innovation de La Française AM Finance Services, a ajouté : « Ce partenariat marque une première étape dans la stratégie globale de La Française
d’associer technologie et gestion d’actifs. Ainsi, nous serons en mesure d’offrir à nos clients un traitement opérationnel amélioré à moindre coût. Nous sommes ravis du partenariat avec Allfunds Blockchain et attendons avec impatience d’être opérationnels. »
Ruben Nieto, Directeur général d’Allfunds Blockchain, a ajouté : « Nous sommes ravis et très honorés de commencer cette collaboration avec un gestionnaire d’actifs qui a toujours été à la pointe de l’innovation. Ce nouveau signe de confiance confirme notre vision de la blockchain pour l’industrie : utiliser le potentiel technologique sur les processus existants et tirer parti de ces premières étapes pour élargir son adoption. »
]]>Antoine VINCKE déclare, « Frédéric apporte à La Française Real Estate Managers une solide expérience en matière de gestion locative et technique en France comme à l’international. Aux côtés des équipes d’Asset Management de La Française REM, il créera des synergies avec nos locataires afin d’améliorer l’empreinte carbone et les caractéristiques durables de notre parc immobilier. Avec l’arrivée de Frédéric, l’équipe ISR Immobilier est désormais organisée autour de 4 pôles : technique, mobilisation des parties prenantes, réglementation et gestion de la donnée.
Frédéric ROCOLLE, 32 ans, Responsable ISR Immobilier à La Française Real Estate Managers
Frédéric a près de sept ans d’expérience de la gestion technique de patrimoine. Il a débuté sa carrière en 2016 avec l’Economat des Armées à Abu Dhabi en tant que facility manager, pilotant les opérations de maintenance et de rénovation d’un parc immobilier résidentiel et tertiaire. Après près de trois ans, il rejoint Nexity Property Management en 2019 en qualité de gestionnaire technique, apportant notamment son expertise en matière de règlementation environnementale aux occupants d’un portefeuille de plus de 250 commerces à travers la France.
Frédéric ROCOLLE est diplômé d’un Master of Science de l’Université calédonienne de Glasgow et d’un Master en génie civil de l’Ecole Spéciale des Travaux Publics.
L’actif est 100 % loué à une société interprofessionnelle de soins ambulatoires, regroupant 11 cabinets qui travaillent en lien étroit avec l’hôpital TENON et proposent une offre de soins globale et coordonnée afin d’améliorer le parcours de soins des patients : médecins généralistes, ORL (vertiges et troubles de l’audition), endocrinologue, kinésithérapeutes, sage-femmes et infirmiers.
Jérôme VALADE, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu : « Cette maison de santé pluriprofessionnelle, entièrement rénovée, bénéficiant d’une localisation centrale dans Paris intra-muros, à proximité des transports et proche de l’hôpital TENON - permettant un fort report d’activité depuis l’hôpital, est une très bonne illustration de notre stratégie d’investissement qui privilégie les actifs de médecine de ville pluridisciplinaire, bien localisés et reconvertibles, répondant au besoin de proximité des soins de premier recours. »
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l'étude 14 Pyramides pour l’audit notarial, par le cabinet Jeantet pour l’audit juridique.et par la société ISOME pour l’audit technique et ESG.
]]>Des taux directeurs inchangés à 5,25%-5,50%.
En résumé, la Réserve Fédérale devrait adopter un biais « hawkish » lors de cette conférence de presse et réitérer le message que les taux vont devoir rester élevés pour une période prolongée pour ramener l’inflation à 2%. Ce meeting pourrait donc entrainer les taux à la hausse et un aplatissement modéré des courbes.
Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>En résumé, nous nous attendons à ce que la BCE conserve un ton peu accommodant tout en gardant les taux inchangés. Lors de la conférence de presse, la présidente Lagarde s'efforcera d'éviter une communication "dovish", indiquant clairement qu'un nouveau resserrement est possible. Cette réunion pourrait entraîner une légère pentification de la courbe des taux.
Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Suite à cette autorisation, la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI LF EUROPIMMO.
En conséquence, à compter du 13 septembre 2023, le prix de souscription de la SCPI LF Europimmo diminue de 9,57 % et est composé de la manière suivante :
Valeur nominale : 800 €
Prime d'émission : 145 €
--------------------------
Prix de souscription : 945 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 945 €
dont 75,6 € HT, soit 90,72 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).
Valeur de retrait : 869,40 €
Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
]]>Suite à cette autorisation, la Société de gestion a décidé de faire évoluer les conditions de souscription de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1.
En conséquence, à compter du 13 septembre 2023, le prix de souscription de la SCPI Crédit Mutuel Pierre 1 diminue de 7,02 % et est composé de la manière suivante :
Valeur nominale : 153 €
Prime d'émission : 112 €
--------------------------
Prix de souscription : 265 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 265 €
dont 21,2 € HT, soit 25,44 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).
Valeur de retrait : 243,80 €
Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014, au titre de la directive 2011/61/UE, www.amf-france.org
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
]]>Le secteur privé a été considéré dès le départ comme un partenaire essentiel dans la poursuite de ces objectifs. En s'appuyant sur ses forces propres, à savoir l'agilité, l'innovation et les capacités d'investissement, le secteur privé a le potentiel de conduire des changements transformateurs. En alignant leurs stratégies et leurs opérations sur les ODD, les entreprises peuvent avoir un impact social et environnemental positif tout en ouvrant de nouvelles perspectives de croissance durable.
L'engagement du secteur privé à l'égard des ODD va au-delà de la simple philanthropie ou de la responsabilité sociale des entreprises. Il s'agit plutôt d'un impératif stratégique pour les entreprises afin de préparer leurs opérations à l'avenir et de garantir la création de valeur à long terme. L'adoption des ODD permet aux entreprises d'améliorer leur compétitivité, d'attirer les investissements, d'encourager l'innovation et de construire des modèles d'entreprise résilients capables de s'adapter à l'évolution du contexte mondial.
Pour les investisseurs, il est essentiel de reconnaître l'importance des ODD dans la construction du futur paysage de l'investissement. L'intégration des ODD dans les processus de prise de décision en matière d'investissement permet aux investisseurs d'aligner leurs portefeuilles sur les principes de durabilité et de contribuer à des résultats sociaux et environnementaux positifs. Cette approche consiste à intégrer des considérations environnementales, sociales et de gouvernance dans l'analyse des investissements, à rechercher activement des entreprises qui font preuve d'un engagement fort et de progrès dans la réalisation des ODD et à s'engager avec les entreprises du portefeuille pour stimuler les pratiques de durabilité.
]]>Thierry GORTZOUNIAN, Chief Operating Officer de La Française AM Finance Services a déclaré « En tant que gestionnaire d'actifs innovant et centré sur le client, La Française recherche tous les moyens capables de démocratiser l'accès à ses expertises de gestion tout en créant de la valeur pour l'investisseur final. En tant que plateforme conçue pour simplifier la gestion quotidienne de la trésorerie des investisseurs institutionnels, Cachematrix by BlackRock est un relai supplémentaire répondant à ce double objectif. »
La Française Trésorerie ISR
Classe d'actifs : Fonds monétaires à valeur liquidative variable (VNAV) » et à caractère standard
Classe d'actions : part I / FR0010609115
Objectif : L'objectif de gestion du fonds est de rechercher des opportunités de marché sur des maturités à court terme dans le but d’offrir une performance égale à l’€STR capitalisé, après déduction des frais de gestion, en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance
Indicateur synthétique de risque : 1 sur une échelle de 1 à 7, 7 représentant le risque le plus élevé
Horizon d'investissement : 3 mois
Minimum de souscription initiale : 500 000 €
Principaux risques associés : risque de perte en capital, risque de taux d'intérêt, risque
d'investissement ESG, risque de durabilité, risque de gestion discrétionnaire, risque de contrepartie.
Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
Le message de Christine Lagarde a été plus neutre, ce qui est logique étant donné la conjoncture européenne beaucoup moins bien orientée. Certains membres de la Banque centrale européenne (BCE) ont ensuite réaffirmé leurs biais respectifs, Martin Kazaks et Joachim Nagel plutôt hawkish et Mario Centeno beaucoup plus neutre.
Enfin, Kazuo Ueda, le gouverneur de la Banque du Japon, a rappelé que la politique monétaire allait rester accommodante au Japon et qu’il n’était pas certain que les pressions inflationnistes actuelles soient pérennes.
Pas de grandes surprises au global surtout au regard des « craintes » du marché autour d’une potentielle remontée du « R-Star » aux Etats-Unis. Le marché craignait que la Fed insiste sur ce point, ce qui n’a pas vraiment été le cas. A noter aussi que Kazuo Ueda a sans doute été plus accommodant que ce à quoi les marchés s’attendaient.
Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française. Ils peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>« Les turbulences traversées par le secteur financier au premier semestre ne doivent pas faire perdre de vue aux investisseurs qu’il présente des fondamentaux qui sont à notre avis sains et résilients. En effet, l’industrie bancaire européenne, à la suite de la crise de 2008, est une des plus réglementées et fait l’objet d’une surveillance stricte de la part des régulateurs, souligne Jérémie BOUDINET, responsable de la gestion Investment Grade à La Francaise AM. Nous avons la conviction que le secteur financier présente de nombreuses qualités recherchées par les investisseurs : des valeurs décotées sur le marché, un cadre réglementaire robuste qui permet une meilleure prise en compte des risques et, bien que le capital ne soit
pas garanti, un profil rendement-risque intéressant. »
L’objectif de gestion de LA FRANCAISE FINANCIAL BONDS 2027 est d'obtenir, sur la période de placement recommandée, allant de la date de création du compartiment jusqu’au 31 décembre 2027, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2027 émises par l’Etat français et libellées en EUR (OAT 2,75% à échéance au 25 octobre 2027 - code ISIN FR0011317783) en investissant dans un portefeuille d’émetteurs filtrés préalablement selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance. La stratégie de gestion du fonds est discrétionnaire. Il adopte une stratégie majoritairement investie sur des titres en EUR dans l’univers OCDE et systématiquement couverte en risque de change. Le fonds peut être exposé à la dette privée ou publique (max. 20 %) de qualité Investment Grade (jusqu’à 100 %) et à Haut Rendement (max. 50 %). Cette gestion vise à maximiser la diversification (par notation financière, subordination, typologie d’émetteur et zone géographique) du portefeuille au travers d’environ 90 émetteurs dits « mainstream » et de « niche » ayant une solide position financière.
Principaux risques associés : perte en capital, risque d’investissement ESG (le fonds utilise des critères ESG et peut être moins performant que le marché en général), risque de durabilité, risque discrétionnaire (il existe un risque que le fonds ne soit pas investi à tout moment sur les marchés ou les actifs les plus performants), risque de change, risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés, risque de taux, risque de crédit, risque de défaut lié aux émetteurs des titres de créance, risque lié aux investissements en titres « high yield » dits spéculatifs, Risque lié aux titres de créance subordonnés (l’univers d’investissement du fonds inclut notamment des obligations subordonnées. Ces titres de créance présentent un profil de risque spécifique et différent de celui des obligations classiques), Risque de liquidité.
]]>Le recyclage de l’eau, une mise en place qui tarde
La réutilisation des eaux usées, également connue sous le nom de récupération ou recyclage de l'eau, est de plus en plus reconnue comme une solution durable pour faire face à la crise mondiale de l'eau qui ne cesse de s'aggraver. Plutôt que de considérer les eaux usées comme un déchet à éliminer, elles peuvent être traitées et purifiées pour limiter la consommation d’eau douce. Ces eaux traitées peuvent être utilisées à des fins agricoles et industrielles, voir même pour la recharge des nappes phréatiques. Certains pays appliquent déjà ces méthodes à grande échelle. En Italie et en Espagne par exemple, respectivement 8 % et 14 % des eaux usées sont réutilisées. En Israël, ce chiffre grimpe à près de 85 %2 .
Avec les effets du changement climatique, plusieurs régions à travers le monde voient leur accès à l’eau diminuer drastiquement. Les Nations Unies estiment même que la demande mondiale en eau douce dépassera l’offre de 40 % d’ici 20303 . En France, par exemple, une période record de 32 jours sans pluie a été enregistrée entre janvier et février 2023, retardant le remplissage des nappes phréatiques et impactant les ressources en eau disponibles. En Afrique du Sud, la forte sécheresse subie par le pays ente 2018 et 2021, combinée à l’augmentation de la population, a contribué à accentuer la crise.
Malgré les nombreux bénéfices qu’offre la réutilisation des eaux usées, sa mise en place tarde et relève majoritairement des pays les plus exposés à des situations de stress hydrique, les plus vulnérables en d’autres termes. Par exemple, en France seulement 1 % des eaux usées sont renouvelées. Le pays est loin derrière l’Espagne et l’Italie, qui sont eux exposés à des sécheresses répétées. Autre ralentisseur, la réticence de la population quant à l’utilisation de l'eau recyclée. Néanmoins, plusieurs rapports révèlent que les eaux usées recyclées sont non seulement aussi sûres que l'eau potable traditionnelle, mais peuvent être moins toxiques que certaines sources d’eau douce exploitées4 . Une campagne de communication serait nécessaire pour traiter les objections et relever le doute. Enfin, le principal obstacle à la mise en place de méthodes de recyclage est sans équivoque le manque de technologie et d’expertise dans le domaine.
En règle générale, les eaux usées doivent être traitées en trois étapes pour éliminer les déchets et nutriments susceptibles de perturber le cycle de l'eau. Le pré-traitement comprend les procédés d'épuration physique et chimique, tandis que le traitement secondaire concerne l'épuration biologique des eaux usées. Après intervient le traitement tertiaire : les eaux usées sont converties en eau de bonne qualité qui peut être utilisée pour différentes finalités. Chacune de ces trois étapes requiert des technologies et des infrastructures bien précises, nécessitant des investissements financiers significatifs.
Face à ces barrières, les gouvernements ont leur rôle à jouer pour faciliter l’adoption de nouvelles pratiques. Offrir des incitations financières aux entreprises et municipalités, comme des subventions ou des financements à taux préférentiels, afin de leur permettre d’investir dans la réutilisation de l’eau, mettre en place des campagnes de sensibilisation pour informer le public sur les avantages du recyclage
des eaux usées et pour éliminer les préjugés ou les malentendus concernant son utilisation sont autant de leviers à exploiter.
La préservation de l’eau douce repose sur une combinaison de facteurs organisés autour des principes de l’économie circulaire : réduire, réutiliser, recycler. Toutefois, la réutilisation ou le recyclage des eaux usées, une solution d’adaptation efficace pour permettre de faire face aux déficits des ressources, ne résoudra pas à elle seule tous les problèmes d'eau auxquels nous serons confrontés dans les décennies à venir. Des méthodes d’utilisation optimisées pour réduire notre consommation en eau sont nécessaires. Le secteur de l’agriculture, représentant plus de 70 % des prélèvements d’eau dans le monde5, reste prioritaire. Aussi, la réduction de la pollution de l’eau est un objectif connexe à atteindre. La contamination des eaux ayant pour effet de perturber le cycle de l’eau, a un impact négatif sur les ressources disponibles.
Intégrer la circularité au cœur de l’action souveraine est un des seuls espoirs pour préserver nos ressources naturelles. Pour atteindre son objectif de tripler les volumes d’eau réutilisée d’ici 2025 (19 000 m3 par jour en 2019)6, la France a décidé d’appliquer ces différents principes au travers de son Plan Eau annoncé en mars 2023, qui contient près de 50 mesures7. L’objectif est de procurer des financements afin de pousser à la réutilisation et la sobriété hydrique. Une fois le cadre de soutien en place, il appartiendra aux consommateurs de faire le reste du chemin.
Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.
]]>Du côté du marché de la pierre-papier, la collecte des fonds immobiliers grand public a connu une baisse significative au 2e trimestre 2023 (source ASPIM). De plus, la dernière semaine de juillet a connu d’importantes annonces qui ont suscité des inquiétudes et questionnements. Dans ce contexte chahuté, il convient de rappeler que depuis quelques mois déjà, on ne parle plus du marché immobilier dans son ensemble, mais bien des marchés immobiliers. En effet, tous les segments ne réajustent pas au même moment ni avec la même ampleur. Certains secteurs immobiliers, certaines localisations voire certains immeubles par leur bonne santé locative, leur modernité et leur bons fondamentaux s’avèrent être plus défensifs que d’autres.
Placement long-terme par définition, la SCPI est un produit d’épargne qui offre un couple risque-rendement attractif et qui a su prouver sa résistance lors de nombreux cycles économiques. Exposée au marché de l’immobilier, elle présente des amortisseurs puissants qui viennent lisser les évolutions des prix du marché de l’immobilier : un patrimoine diversifié et moderne limitant le risque par rapport à la détention en direct et une construction singulière entre prix de part et valeur de reconstitution permettant d’absorber une partie des corrections du marché, pour autant que le prix de part soit en borne basse. Les sociétés de gestion n’ayant pas toutes les mêmes stratégies ni les mêmes fondamentaux, toutes les SCPI ne devraient pas réagir de la même manière.
Cette approche prudente et proactive que La Française prône prend aujourd’hui tout son sens : une politique d’investissement sélective, une politique d’arbitrage soutenue et une politique de gestion locative à l’écoute permanente de nos clients locataires.
Cet ADN Core se traduit par d’excellents indicateurs immobiliers (un montant à l’investissement sur le 1er semestre de près de 500 M€ et près de 330 M€ engagés ou sous promesse, des taux d’occupation des immeubles d’environ 90%, des taux d’encaissement des loyers proches des 100%, des cessions générant des plus-values satisfaisantes). À cela s’ajoutent des indicateurs financiers robustes (financement limité, réserves de plusieurs mois, prix de part bien positionné en borne basse par rapport à la valeur de reconstitution) qui soutiennent la distribution et la valorisation des prix de parts de nos SCPI.
Enfin, la politique ESG engagée depuis de nombreuses années et l’évolution de notre offre servicielle avec Wellcome by La Française sont des preuves complémentaires et tangibles du professionnalisme et de la capacité d’écoute permanente portés à nos locataires, nous permettant de les accompagner dans un environnement économique complexe et de faire évoluer notre patrimoine avec son temps.
Nous l’avons tous vu dernièrement, le monde des SCPI n’est aujourd’hui pas épargné et tend vers plus d’hétérogénéité. Les autorités de tutelles ont recommandé aux sociétés de gestion de faire preuve de transparence à la suite de l’analyse à mi-année de la valeur de patrimoine.
Pour sa part, La Française REM reste fidèle à son approche alliant prudence et gestion de bon père de famille et poursuit l’analyse relative à la valorisation du patrimoine de ses SCPI. Ce que nous pouvons vous dire à ce jour, c’est que nous restons confiants envers la qualité de nos patrimoines et le positionnement de nos SCPI. En effet, et comme évoqué précédemment, nous disposons de fondamentaux solides et nécessaires pour appréhender le contexte de manière sereine :
Pour conclure, il ne faut à nouveau pas perdre de vue les caractéristiques principales de la SCPI : un produit de rendement et un produit d’épargne long terme. Elle a su prouver par le passé sa résilience lors de nombreux cycles économiques. Investir dans l'immobilier, c'est investir dans le temps long, et la stabilité des loyers, voire les hausses remarquées sur certains actifs, viendront protéger la valeur des actifs durant cette transition.
Nous tenons à vous assurer de la mobilisation de l’ensemble de nos équipes. Tenir nos engagements auprès de nos porteurs de parts, répondre aux attentes de nos partenaires et être à l’écoute de nos locataires restent notre priorité.
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces, etc.) présente des risques : absence de rentabilité potentielle ou perte en capital, risque de variabilité des revenus, capital investi non garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI.
]]>Dans le cadre de cette opération, La Française REM a été conseillée par les Notaires du Trocadéro ainsi que par le Cabinet Jeantet. Le vendeur était conseillé par Lexfair Notaires. Les deux parties ont étéreprésentées par JLL dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Catella.
RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Antoine VINCKE, Directeur de l’ISR Immobilier de La Française REM précise « Participer au concours Cube Flex, c’est démontrer que les économies d’énergie liées à un usage plus sobre et une maintenance plus pointue du bâtiment peuvent être significatives. Nous avons choisi le CRISCO, un immeuble de bureaux construit dans les années 90, largement représentatif du parc immobilier tertiaire français. Son caractère multi-locataires présentait un défi supplémentaire à savoir maximiser les gains de consommation d’énergie tout en préservant un confort maximal pour tous nos utilisateurs. Par ailleurs, dans le cadre de notre adhésion à la Charte Ecowatt, nous voulions mener un test « en situation réelle » sur un de nos actifs avant de déployer la solution à grande échelle. Cette expérience est un succès et vient confirmer notre conviction que c’est en travaillant main dans la main avec nos locataires que nous parviendrons à réaliser des économies d’énergie significatives. »
Pour relever ce challenge, AVELTYS, partenaire expert en gestion énergétique de La Française REM, a mené auprès des locataires du CRISCO une enquête sur les modalités d’occupation de leurs locaux et l’appréhension par chacun des températures de consigne. Il en est ressorti que si la majorité souhaitait une température de chauffage à 20°C, près d’un quart d’entre eux acceptait 19°C. Concernant la climatisation, près d’un tiers des locataires s’est prononcé pour une température de 27°C, et les deux tiers étaient favorables à la suppression de l’eau chaude dans les sanitaires.
Grâce à une gestion très fine des systèmes techniques et aux efforts combinés de La Française REM (le bailleur), des locataires et d’AVELTYS, une réduction allant jusqu’à 43 % de la consommation d’électricité du CRISCO sur certaines heures de pointe a été réalisée.
« Optimiser les conditions d’exploitation d’un immeuble de bureaux pour réduire sa consommation énergétique participe à la hausse de ses performances. Cette démarche correspond à notre perception de la réflexion globale à engager vis-à-vis du parc tertiaire existant. Travailler avec des utilisateurs aux profils et modes de fonctionnement hétérogènes nous a dotés d’un retour d’expériences enrichissant pour mettre en œuvre l’ambitieux programme que La Française REM entend déployer afin de minimiser l’empreinte écologique de son patrimoine. » précise Guillaume PARISOT, directeur général d’AVELTYS.
Le CRISCO est détenu par trois Sociétés Civiles de Placement Immobilier de La Française REM : LF Grand Paris Patrimoine, Crédit Mutuel Pierre 1 et Sélectinvest 1.
Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Idéalement située à 10 minutes à pied du Vieux Port de Marseille, à quelques minutes du centre commercial Les Docks Village et à proximité immédiate du quartier historique du Panier, l’opération bénéficie d’une localisation privilégiée. Facilement accessible par les transports en commun (Métro Ligne 2 – arrêt Joliette, Tramway Lignes 2 et 3 – arrêt République Dames), l’actif mixte proposera un hôtel de 237 chambres sur 7 582 m2 et un espace de coworking de 945 m2 réparti sur trois étages ainsi qu’une pharmacie de 251 m2 , déjà existante et non modifiée par le projet*
L’hôtel, conçu par le groupement GENSLER / Claire FATOSME & Christian LEFEVRE Architectes Associés et entièrement restructuré par BNP Paribas Immobilier Promotion, proposera de nombreux services haut de gamme incluant notamment un rooftop et un bar lounge (R+9). La livraison est prévue pour la fin de l’année 2025. L’hôtel et l’espace de coworking seront exploités après la livraison par l’opérateur hôtelier Ruby Hotels. Créé en 2013, Ruby Hotels propose seize implantations existantes et vingt autres en cours de développement ou de construction. Son offre se base sur le concept du « Lean Luxury », ayant pour but de proposer à ses clients une expérience haut de gamme à un prix abordable.
L’ensemble immobilier sera certifié BREEAM Very Good et profitera d’un raccordement au réseau urbain de géothermie marine Thassalia. Le projet sera intégré au Booster du Réemploi afin de favoriser l’économie circulaire, et au moins 5 % des heures de chantier seront réservées à l’insertion de populations fragiles ou éloignées de l’emploi, ce qui en fera un projet exemplaire sur les aspects sociaux et environnementaux.
Leslie VILLATTE, Directrice Investissements et Développement Immobilier Institutionnels France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « L’actif bénéficie d’une localisation idéale et cohérente avec le positionnement du groupe Ruby, un locataire de premier rang. Il dispose de nombreux équipements haut de gamme et bénéficie d’une excellente accessibilité du fait de sa localisation au cœur du centre-ville de Marseille. De plus, cette opération renforce la diversification de notre portefeuille d’actifs de tourisme avec l’agrégation d’un opérateur de premier rang. »
]]>Nous vous informons que le Fonds maître sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le Fonds maître promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR.
Par conséquence, le prospectus du Fonds sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR.
Cette nouvelle catégorisation du Fonds n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.
Cette modification du Fonds ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 24 juillet 2023.
Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>Nous vous informons que le Fonds maître sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le Fonds maître promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR.
Par conséquence, le règlement du Fonds sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR.
Cette nouvelle catégorisation du Fonds n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.
Cette modification du Fonds ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 24 juillet 2023.
Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>Nous vous informons que le Fonds maître sera désormais catégorisé en article 8 conformément au Règlement européen (UE) 2019/2088 dit Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). En effet, en application de la politique d’exclusion du Groupe La Française, le Fonds maître promeut certaines caractéristiques environnementales et sociales au sens de l’article 8 du Règlement européen SFDR.
Par conséquence, le prospectus du Fonds sera modifié afin de préciser cette nouvelle catégorisation SFDR. Cette nouvelle catégorisation du Fonds n’a aucun impact sur l’objectif de gestion, la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.
Cette modification du Fonds ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 24 juillet 2023.
Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir
]]>PATRIMOINE Assurance à inscrire ou inscrites au nominatif pur au sein du Dispositif d’Enregistrement Electronique Partagé (DEEP) auprès d’IZNES.
La Française Real Estate Managers a informé le dépositaire de ces modifications et obtenu son accord sur la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté.
Dans la mesure où la modification du Prospectus relative à la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté (conservation du pourcentage de détention immobilier règlementaire uniquement) constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.
La modification du Prospectus sera effective à la date de l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.
De plus, dans la mesure où cette modification des objectifs et politique d’investissement de la Société s’inscrit dans le cadre d’une évolution absolue de l’exposition à une ou plusieurs typologies de risque strictement inférieure à 20% de l’actif net, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.
Le bâtiment qui développe 5 290 m² a été achevé fin 2022 et sera certifié LEED Gold. Il offre de bonnes performances énergétiques et environnementales avec notamment des panneaux solaires sur le toit, une connexion au système de chauffage urbain, une toiture végétalisée, 10 bornes de recharge pour véhicules électriques et un espace extérieur pour 55 vélos.
L'immeuble de bureaux est entièrement loué dans le cadre de baux à long terme à cinq locataires, dont deux entreprises spécialisées dans la cybersécurité et Landmarken AG.
Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre premier immeuble de bureaux à Bochum. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie visant à diversifier notre portefeuille immobilier allemand avec des biens très performants en termes de critères ESG, ainsi qu'à accroître notre présence dans des régions économiquement fortes et des centres urbains en dehors du « top 7 ». Nous sommes convaincus de l'attrait à long terme du nouveau quartier et de la durabilité du bien. »
La Française Real Estate Managers a été conseillée par Görg Partnerschaft von Rechtsanwälten mbB sur les aspects juridiques et par TA Europe GmbH sur la due-diligence technique. Cushman & Wakefield a géré la commercialisation du bien pour le compte du vendeur.
Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Cyril CARTERON, Directeur des actifs de diversification de La Française Real Estate Managers a commenté, « Les propriétés viticoles gérées par La Française Real Estate Managers se situent exclusivement dans des AOP prestigieuses françaises. Ces propriétés bénéficient ainsi de la rareté de l’offre, facteur de soutien de la valorisation du foncier. Cette revalorisation illustre parfaitement notre savoir-faire en matière de sélection et de création de valeur. »
Le portefeuille comprend 3 centres de soins médicaux et de réadaptation (SMR) et 2 cliniques spécialisées en médecine, chirurgie, obstétrique (MCO), intégralement louées à ELSAN dans le cadre de baux longs.
Acteur de référence de l’offre de soins en France, ELSAN est présent dans l’ensemble des métiers de l’hospitalisation et dans toutes les régions de l’Hexagone. Son utilité sociétale fait partie intégrante de sa mission d’offrir, à chacun et partout, des soins de qualité, innovants et humains.
La démarche de responsabilité sociétale d’ELSAN a pour objectif d’animer la mise en œuvre de ses valeurs (l’attention à l’autre, le lien social et l’esprit d’équipe), en lien avec ses objectifs stratégiques. Elle traduit ses efforts pour relever les défis sociétaux auxquels ils font face et pour répondre aux attentes de toutes ses parties prenantes, internes et externes. En tant qu’acteur majeur de la santé, responsable et engagé, le groupe participe pleinement aux missions de service public et contribue à l’enseignement des médecins, à la formation continue, à la recherche clinique et à l’innovation technologique. Agir et innover pour la santé de tous au cœur des territoires est sa raison d’être.
Dans le cadre de ce partenariat stratégique, La Française Real Estate Managers et ELSAN s’engagent à mettre en place un fonds de modernisation pour les établissements de santé, abondé conjointement par ELSAN (l’exploitant) et La Française REM (le bailleur). Ce fonds permettra de contribuer au financement des projets de modernisation et d’amélioration des conditions d’accueil, et aux travaux d’amélioration des performances énergétique et environnementale pour tous les établissements concernés.
Description des actifs :
Jérôme Valade, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu :
« L’acquisition de ce portefeuille de cinq cliniques marque le début d’un partenariat qui s’inscrira dans la durée avec ELSAN et nous comptons bien réitérer ce genre d’opération ensemble. En effet, la volonté partagée au travers du fonds de modernisation conjoint, d’accompagner ces actifs dans la transition climatique vers un meilleur positionnement énergétique et environnemental est gage d’une vision commune de la gestion saine et responsable des actifs immobiliers ».
Pour Simon Levy, Directeur général délégué au sein du groupe ELSAN : « Ce nouveau partenariat stratégique s’inscrit dans la volonté d’ELSAN de poursuivre le développement des activités de soins de ses établissements en s’associant avec un acteur majeur du secteur de l’immobilier de santé. Nous souhaitons également continuer à mener avec La Française REM les investissements de modernisation et d’amélioration des conditions d’accueil de nos patients tout en assurant la transition énergétique et environnementale de nos infrastructures ».
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l’étude ALLEZ & ASSOCIES pour l’audit notarial, par le cabinet Mayer Brown pour l’audit juridique, par ARTELIA pour l’audit technique et ESG, et par ADAMA Conseil et Transactions pour l’audit opérationnel.
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LF Avenir Santé est labellisée ISR.
Risques associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.
Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.
Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
Pourquoi l’économie pourrait être plus résiliente cette fois-ci ?
Il est vrai que le contexte inflationniste et les récents déboires bancaires aux États-Unis incitent à la prudence, néanmoins l’économie pourrait s’avérer être plus résiliente.
En effet, depuis la crise de la Covid-19 et la guerre en Ukraine les entreprises ont pris conscience qu’on peut faire plus avec moins. Les sociétés se sont rendues compte qu’il y a des dépenses non indispensables ou optimisables (voyages, utilisation de l’énergie et des matières premières, gestion de l’immobilier, etc.). Elles ont découvert ou redécouvert des façons de produire autrement, avec moins ou en valorisant plus efficacement leurs déchets/rebuts de production. Ainsi, la croissance, plus circulaire, apparait plus « qualitative ». Cette circularité peut être perçue comme l’un des facteurs explicatifs du maintien des marges des entreprises à un niveau élevé. D’après la Banque de France, et ce malgré le contexte inflationniste et le renchérissement des intrants, les sociétés non financières devraient limiter la baisse agrégée du taux de marge de deux points en 2022 pour revenir proche au niveau de 2018 (soit 31.5%). A titre de comparaison, après le premier choc pétrolier de 1973, le taux de marge agrégé des sociétés non financières en France a oscillé entre 29,5% et 26% entre 1974 et 1977.
Pourquoi la tectonique des plaques de la géopolitique pourrait favoriser le tissu des PME-ETI en France ?
Depuis la contestation du leadership économique mondial américain par la Chine, Trump puis Biden, à renfort de « Make America Great Again » ou « Make Trade Work for Workers », ont conduit une politique de repli sur soi des États-Unis. Cela s’est traduit par une limitation de l’accès des sociétés étrangères au marché américain (droits de douanes, exigences d’une présence locale ou d’un contenu américain minimum). Le principe de nondiscrimination de l’Organisation Mondiale du Commerce semble appartenir à un temps révolu. Les autres zones géographiques du monde, dans le sillage des États-Unis, prennent le chemin du protectionnisme. Du fait de ce phénomène, il apparait plus avantageux pour certaines sociétés françaises de produire en France qu’ailleurs (droits de douanes, hausse du coût de main d’œuvre des pays asiatiques, coût du fret et gain de productivité avec des usines 4.0 plus intelligentes). C’est le cas de Lectra par exemple, qui a un coût de revient inférieur pour produire ses machines en France plutôt qu’en Chine. Okwind a, elle, changé ses fournisseurs turcs et roumains pour un fournisseur français à isocoût.
Les ruptures de chaine de production à la suite de la Covid-19 et les tensions géopolitiques ont fait prendre conscience aux Etats ainsi qu’au secteur privé que les activités stratégiques doivent être produites localement. A titre d’exemple, Sanofi veut relocaliser d’ici 2025 la production du principe actif qu’est le paracétamol, ingrédient indispensable à la fabrication Doliprane jusqu’alors importé d’Inde, de Chine ou des États-Unis. Cette volonté de relocalisation de l’appareil productif devrait apporter un volume d’activité additionnel au tissu des PME-ETI françaises. C’est le cas de Séché Environnement qui s’occupe de recycler des solvants pour Sanofi. Par ailleurs, ces solvants recyclés compte tenu du recyclage et de l’empreinte locale des sous-traitants se révèlent moins chers que des solvants « vierges » asiatiques et environ 5 fois moins émetteurs en termes de CO2 par tonne (Source : RDV société avec Séché).
La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF OPSIS PATRIMOINE, vous informe de la modification du Prospectus de la Société, dont il est envisagé les changements suivants :
La Française Real Estate Managers a informé le dépositaire de ces modifications et obtenu son accord sur la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté.
Dans la mesure où la modification du Prospectus relative à la suppression du pourcentage maximum en immobilier non coté (conservation du pourcentage de détention immobilier règlementaire uniquement) constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.
La modification du Prospectus sera effective à la date de l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers.
De plus, dans la mesure où cette modification des objectifs et politique d’investissement de la Société s’inscrit dans le cadre d’une évolution absolue de l’exposition à une ou plusieurs typologies de risque strictement inférieure à 20% de l’actif net, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.
Le bâtiment répond à la charte de construction neuve de La Française REM. Il offre de nombreux services pensés pour les utilisateurs : conciergerie virtuelle, casiers, services connectés, douches, RIE, espace food connecté, lounge, terrasses détente, espaces de relaxation, salle modulable multi-activités et locaux vélos. Il vise la certification BREEAM Very Good ainsi que le label E+C- niveau E2C1, et atteint une performance énergétique de -40% par rapport à la RT2012.
L’immeuble est entièrement loué à L’Oréal, stratégiquement situé à proximité du siège monde du groupe industriel français de produits cosmétiques.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Cette transaction permet à LAZARD GROUP REAL ESTATE de finaliser la vente de son opération LINK-IT à Clichy, représentant au total 8.720 m2 sur 2 bâtiments.
Dans cette transaction, LAZARD GROUP REAL ESTATE et LA FRANÇAISE REAL ESTATE MANAGERS étaient respectivement représentés par Maître Charline FREULON de « R&D NOTAIRES » et Maître Pascal POTIER de « OUDOT NOTAIRES ».
]]>Nos principales anticipations :
En résumé, nous ne prévoyons pas de changement dans l'angle de communication de la BCE au cours de la prochaine réunion. L'approche restera dépendante des données, avec la possibilité de suspendre les hausses de taux après juillet, et les taux directeurs de la BCE devraient rester en territoire restrictif pendant une période plus longue. Nous pensons que ce comité aura un impact limité sur les marchés financiers.
]]>Implanté dans le secteur tertiaire de Ravezies et face à l’arrêt du Tram C (station Emile Counord), l’immeuble est à destination CINASPIC (constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif) et bureaux. La partie CINAPSIC est pré-louée, dans le cadre d’un bail de longue durée à l’ISG, la grande école de commerce avec son programme Luxury ainsi qu’à l’ESME, la grande école d’ingénieur du groupe IONIS Education, premier groupe d’enseignement supérieur privé en France.
Développée par Linkcity et conçue par l’atelier Pascal Gontier, l’opération porte sur une construction bois, d’une surface totale de 7 670 m² avec 61 emplacements en sous-sol, conformément au plan local d’urbanisme, et des espaces partagés, dont jardin et locaux vélos. L’actif, équipé de panneaux photovoltaïques en toiture et raccordé au réseau de chaleur urbain qui comprend 80 % d’énergie renouvelable, répond en tous points à la charte de construction neuve de La Française REM. Il vise la certification BREEAM Very Good et les labels Bâtiment Biosourcé niveau 3 et E+C- avec un niveau E3C2. La livraison de l’immeuble est prévue au 3ème trimestre 2024.
Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Cette opération est tout à fait remarquable sur les aspects Environnemental, Social et de Gouvernance. Elle offre des perspectives de performance énergétique excellentes. Nous saluons les efforts de Linkcity pour obtenir un projet environnemental aussi performant et répondant à la charte de construction neuve de La Française REM. »
La Française a été conseillée par L’Etude notariale Oudot et Associés et le cabinet Jones Day pour les aspectes locatifs. Linkcity était conseillée par l’Etude Notariale Rochelois.
RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
A propos de La Française
Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Identifier les moteurs du changement et comprendre la manière dont ils façonneront la croissance mondiale et, en définitive, influenceront la performance à long terme des actifs financiers et immobiliers est au cœur de la mission de La Française. C’est dans cet esprit que le gestionnaire d’actifs forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.
Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie centrée sur le client pour concevoir des solutions d’investissement faisant le lien entre performance et durabilité.
Organisé autour des 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », le groupe La Française est au service d’une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.
La Française gère plus de 49 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (31/12/2022)
La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), une banque membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, qui bénéficie des notations à long terme A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021), Moody’s (02/2022) et Fitch (05/2022).
Etant donné les caractéristiques du cycle actuel, il semble assez logique de penser que le délai sera plutôt proche des bornes hautes. Nous sortons en effet de dix ans de politiques monétaires extrêmement accommodantes qui ont permis à la grande majorité des acteurs du secteur privé d’aborder cette nouvelle phase avec des bilans sains et des coûts de financement très faibles. Les hausses de taux ont de ce fait un impact assez limité sur eux. Il nous faut aussi considérer que si les politiques monétaires sont devenues restrictives, ce n’est pas du tout le cas des politiques budgétaires qui ont été et sont toujours très généreuses : plus les gouvernements protègent leur économie en limitant les effets négatifs de l’inflation, plus cette inflation est difficile à éliminer, ce qui force les banques centrales à mener des politiques monétaires de plus en plus restrictives.
Prenant en compte l’ensemble de ces éléments, il est logique pour la BCE de penser que les effets de leur resserrement monétaire soient plus palpables en 2024 qu’en 2023.
Si on prend en compte la vigueur actuelle du marché de l’emploi, le manque de main d’œuvre disponible et la volonté pour les salariés de regagner tout ou parti du pouvoir d’achat perdu au cours des deux dernières années, il est probable que l’inflation salariale se poursuive dans les mois ou trimestres à venir. Et si les politiques budgétaires continuent à supporter les ménages et donc la consommation, qui constitue un peu plus de la moitié (51,6 % ; Source Eurostat) de la croissance en zone Euro, il est même possible de voir cette inflation salariale se poursuivre plus longtemps. Tant que l’inflation salariale restera autour de 4-5%, soit le rythme actuel, il sera extrêmement difficile de voir l’inflation « core » baisser de manière importante au sein de la zone Euro.
Les marchés anticipent une inflation autour de 3 % en fin d’année et une inflation « core » plus élevée, soit autour de 4%. (Source : Bloomberg) Il est intéressant de noter que la dispersion autour des prévisions sur l’inflation « core » est aujourd’hui assez élevée, ce qui n’est pas illogique étant donné les fortes incertitudes actuelles. Si on se place dans le scénario d’une inflation salariale qui perdure, il sera difficile de faire baisser de manière importante le rythme de l’inflation en zone Euro, ce qui entrainera une hausse des anticipations d’inflation. Aujourd’hui, le marché anticipe une baisse des taux d’intérêt d’environ 80bps de la part de la BCE en 2024. Toutefois dans le scénario d’une inflation qui perdure, ces baisses de taux n’auraient plus vraiment de raison d’être.
Tout dépendra in fine aussi de la capacité de résistance de l’économie européenne, dont la croissance est aujourd’hui au mieux proche de 0, et de la dynamique de l’offre et de la demande de crédit. Un évènement de crédit pourrait venir mettre à mal la stabilité financière si chère à la BCE, accélérant brutalement la vitesse de transmission monétaire, mais nous n’en sommes pas là actuellement.
]]>Pourquoi de grandes compagnies d’assurance ont-elles décidé de se retirer de la Net Zero Insurance Alliance ?
AXA, par exemple, a déclaré qu'elle partait pour « poursuivre son parcours individuel en matière de développement durable ». Bien que cette déclaration n'entre pas dans le détail, une lettre envoyée à l'Alliance le 16 mai apporte un éclairage sur la situation. Cette lettre, signée par 23 procureurs généraux américains, soulève des inquiétudes quant au fait que certaines ambitions liées au climat, décrites dans les objectifs de l'Alliance, pourraient constituer une infraction aux lois antitrust fédérales et des états. Ils ont pointé l’Alliance du doigt en lui reprochant de pousser les compagnies d’assurance et leurs clients à réduire rapidement leurs émissions, entraînant une hausse des coûts qui se répercute sur les consommateurs. Ces pressions à la fois politiques et juridiques aux États-Unis ont largement pesé sur l’initiative climatique.
Quatre des anciens signataires étant très actifs outre-Atlantique, cela a naturellement alimenté les débats politiques. Les exigences très strictes de l’Alliance sont l’une des autres raisons avancées pour expliquer ces départs en cascade. Selon les règles d’adhésion actuelles, tous les assureurs sont tenus d’atteindre au cours de leur première année d’engagement l’un des cinq objectifs prescrits, puis trois dans les trois années qui suivent l’engagement.
Pas plus tard que la semaine dernière, avant d’annoncer son départ, le PDG de Lloyd’s avait exprimé ses inquiétudes, soulignant que l’Alliance devait impérativement assouplir ses règles d’adhésion si elle voulait échapper au risque de démantèlement. L’implosion d’une telle alliance pourrait constituer un obstacle aux efforts de collaboration dans le domaine des assurances et être considérée comme un pas en arrière dans l’approche concertée pour fixer des objectifs communs.
Au cours des deux dernières années, l’Alliance a par ailleurs apporté un soutien précieux aux assureurs et aux non-membres dans le développement d’outils et de méthodologies pour mesurer et divulguer les émissions de GES associées aux portefeuilles de souscription.
Quelles conclusions faut-il en tirer pour l’initiative NZAM et les autres initiatives « zéro carbone » ?
L’initiative Net Zero Asset Managers (NZAM), la Net Zero Asset Owner Alliance (NZAOA) et la Net Zero Banking Alliance (NZBA) sont les autres grandes coalitions qui font toutes partie de la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ). Il est intéressant de noter qu’en dépit de leur départ de la NZIA, AXA et AXA Investment Managers sont toujours respectivement membres de l’alliance NZAO et de l’initiative NZAM. Malheureusement, des sénateurs républicains américains critiquent et accusent de plus en plus vivement la GFANZ, ses initiatives associées et leurs membres de ne pas respecter la législation antitrust. Le 19 octobre 2022, 19 procureurs généraux républicains ont adressé à six banques américaines des demandes d’enquête civile, en vue d’obtenir des informations sur leur participation à la NZBA et de soulever des questions relatives à la législation antitrust.
Fin mars dernier, 53 des plus grands gestionnaires d’actifs aux États-Unis ont reçu une lettre de 21 procureurs généraux les mettant en garde contre des initiatives environnementales et sociales qu’ils qualifiaient de « woke ». Cette lettre s’adressait notamment aux grands gestionnaires d’actifs tels que BlackRock, Franklin Templeton et Goldman Sachs, tous membres de l’initiative Net Zero Asset Managers. Par rapport à leurs homologues du monde des assurances, ces gestionnaires d’actifs exercent une forte influence dans le paysage politique américain ce qui les rend moins vulnérables et mieux armés pour traverser des périodes difficiles. C'est sans doute pour cette raison que nous n'avons pas assisté au même exode.
Il y a néanmoins eu des départs. En avril dernier, Green Century a quitté l'initiative NZAM, emboîtant le pas à Vanguard. Green Century, le gestionnaire de fonds sans énergies fossiles, a évoqué des problèmes de conformité pour justifier son départ. Vanguard, le deuxième gestionnaire d'actifs au monde, a en revanche évoqué un besoin d'indépendance et une volonté de clarifier ses perspectives d'investissement. Les différentes alliances réagissent déjà à cette problématique en assouplissant leurs règles pour retenir leurs membres. La GFANZ a modifié ses règles d’adhésion en abandonnant l'obligation de s’engager dans la campagne Race to Zero, sous l'égide de l’ONU, après que de grandes banques américaines aient envisagé de quitter le groupe. De même, la NZBA a refusé d’imposer à ses membres des limites sur le financement des énergies fossiles. Mais de tels compromis ont suscité les critiques de militants écologistes qui craignent une réduction excessive des objectifs de l'Alliance. Sur le plan réglementaire, la Commission européenne s’est également associée à l’effort commun et a assoupli ses directives antitrust pour les sociétés collaborant pour relever les défis climatiques.
L’objectif est d’aider les entreprises à s’engager dans une coopération légitime et authentique en matière de développement durable tout en créant un périmètre de sécurité pour éviter les poursuites. L'exode massif de la NZIA et les sorties échelonnées d'autres initiatives soulèvent des questions sur la crédibilité et l'efficacité des groupes de collaboration, y compris la GFANZ et au-delà. Dans de nombreux cas, il y a toujours lieu de se demander si les chefs de file de la lutte contre le changement climatique se retirent de ces alliances parce qu'ils se sentent menacés par d’éventuelles pertes sur le marchl'aé américain ou par un risque juridique réel. Il est essentiel de lutter pour que la législation antitrust ne serve pas de rempart contre l'action pour le climat et il reste crucial pour la communauté financière (assureurs, gestionnaires d’actifs et détenteurs d’actifs) de renforcer et de respecter ses engagements climatiques.
Cependant, des doutes persisteront quant à l’impact réel de leurs actions si les assureurs agissent de manière indépendante. L' Alliance devra nécessairement relever des défis d'ordre juridique, politique et opérationnel. Néanmoins, les efforts de collaboration peuvent s'avérer plus efficaces pour susciter des changements significatifs et répondre à l’urgence planétaire.
Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement.
L’actif est entièrement loué à Babilou, leader des crèches d’entreprises en France. Le gestionnaire de crèches assure une mission de service pour les familles en leur proposant un mode d’accueil de qualité, fiable et accessible.
Jérôme Valade, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « Ce premier investissement en crèche de la SCPI LF Avenir Santé remplit plusieurs critères du pilier Social du Label ISR dans lequel s’inscrit ce fonds avec notamment sa mission d’intérêt général qui vient combler un manque d’infrastructures adaptées. Ses jardins privatifs, choses rares à Paris intra-muros, et son emplacement central, devraient soutenir à la fois son taux d’occupation ainsi que la valorisation de l’actif dans la durée. »
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l’étude notariale 14-Pyramides, ainsi que le cabinet Jeantet pour l’audit juridique et la société Pro Actim pour l’audit technique et ESG.
]]>Risques associés :risque de perte en capital, de liquidité, de variabilité des revenus. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 9 ans.
La note d’information ayant reçu le visa de l’Autorité des Marchés Financiers, SCPI n°22-12 en date du 12 aout 2022 et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N°GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
]]>Les chiffres révisés du PIB indiquent une contraction de l'activité économique, le quatrième trimestre 2022 enregistrant également une baisse de -0,5 % en glissement trimestriel. Cela contraste avec la tendance positive observée depuis novembre dans les indicateurs de données subjectives tels que les indices des directeurs d'achat (PMI). Malgré ces chiffres négatifs, certains signes indiquent une reprise de la croissance au deuxième trimestre.
La ventilation des dépenses révèle des faiblesses dans la consommation privée et publique. Au premier trimestre 2023, la consommation des ménages s'est contractée de 1,2 % en glissement trimestriel, principalement sous la charge des prix élevés. Le revenu disponible réel des ménages a diminué au quatrième trimestre 2022 et au premier trimestre 2023. Les consommateurs ont hésité à dépenser dans différents secteurs, malgré le soutien du gouvernement face aux coûts de l'énergie.
Au premier trimestre 2023, la consommation publique a diminué de 4,9 % en glissement trimestriel, soit la plus forte baisse depuis 1970. Cette baisse reflète la normalisation de la consommation publique, les mesures de lutte contre la pandémie, telles que les vaccinations et les tests, ayant été progressivement abandonnées au cours du premier trimestre. Toutefois, cette baisse des dépenses publiques est ponctuelle et ne pèsera plus sur le PIB au deuxième trimestre.
D'autre part, l'investissement fixe a connu un fort rebond, sous l'impulsion des investissements privés. Cette reprise laisse présager une amélioration durable des investissements des entreprises, en particulier dans les machines et les équipements. En outre, le temps exceptionnellement chaud du mois de janvier a stimulé l'activité de construction au premier trimestre. Toutefois, ces effets météorologiques se sont inversés, ce qui a entraîné un report négatif pour la construction au deuxième trimestre.
Les exportations nettes ont contribué positivement à la croissance globale, avec un rebond des exportations de 0,4 % en glissement trimestriel et un recul des importations de -0,9 % en glissement trimestriel (T1 2023 vs T1 2022). La diminution des importations reflète en partie la baisse des importations d'énergie.
Les données relatives à la production s'écartent sensiblement de celles relatives aux dépenses, la valeur ajoutée brute augmentant de 0,8 % en glissement trimestriel, alors que l'on mesure une contraction des dépenses. Cet écart positif entre les mesures est sans précédent.
La construction et l'industrie ont enregistré les taux de croissance les plus élevés, probablement grâce à des conditions météorologiques favorables et à la baisse des prix de gros de l'énergie. Les services privés et publics ont connu une croissance plus lente.
En ce qui concerne la fin de l'année et l'année 2024, on anticipe une nouvelle période de fragilité économique due à la hausse des taux d'intérêt, à la réduction de l'épargne et au ralentissement de l'économie américaine.
Nous nous attendons à un resserrement budgétaire progressif, ainsi qu'à une focalisation continue sur la politique énergétique à court terme, à l'approche des élections de 2025. La combinaison de la hausse des prix de l'énergie et de la croissance des salaires représente un défi important pour le secteur manufacturier allemand orienté vers l'exportation, qui pourrait avoir besoin d'investissements accrus et d'une croissance modérée des salaires pour rester compétitif. Si ces questions ne sont pas traitées, il pourrait en résulter un déclin structurel, des pressions inflationnistes et un besoin de soutien de la part des pouvoirs publics. L'après-pandémie et l'évolution du paysage géopolitique suggèrent que le modèle traditionnel de l'Allemagne, caractérisé par des excédents élevés de la balance courante, pourrait subir des transformations.
Source : Bloomberg
Développé par PRD et livré en février 2022, l’entrepôt de classe A se situe dans le Parc Industriel de la Plaine de l’Ain, dans le marché logistique de l’agglomération de Lyon, le second marché français de la logistique. Le site bénéficie d’une excellente accessibilité aux autoroutes A42, A40 et A6, couvrant ainsi une large zone de chalandise. La plateforme, entièrement louée à trois locataires, développe 50 405 m2, dont 1 047 m2 de bureaux et offre 229 emplacements de stationnement, dont 15 pour poids lourds. S’agissant d’un actif neuf visant le label BREEAM Very Good, il répond aux derniers standards techniques (Grade A) et est résolument tourné vers les enjeux environnementaux avec sa toiture entièrement recouverte de panneaux photovoltaïques.
Leslie VILLATTE, Directeur des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – pôle Institutionnel, a conclu : « L’acquisition de cet entrepôt XXL s’inscrit dans le cadre du renouvellement de notre mandat. Il s’agit du premier entrepôt logistique du portefeuille immobilier que nous gérons pour l’ERAFP et nous remercions notre investisseur pour sa confiance renouvelée. Le marché lyonnais se caractérise par un stock très faible, bien en deçà de la demande placée sur les cinq dernières années. Cette raréfaction, ainsi que les qualités techniques et environnementales de l’actif, devraient soutenir dans la durée la valorisation de cet entrepôt logistique prime. »
]]>La SCPI à fonds de partage LF Avenir Santé, classifiée Article 8 selon le règlement Disclosure et distinguée avec le Label ISR, s’engage dans la lutte contre le manque d’infrastructures de santé ou médico-sociales et dans l’accompagnement de la prise en charge qualitative des patients. Au sein d’un secteur en pleine mutation, LF Avenir Santé sélectionne les actifs médico-sociaux en adéquation avec les nouveaux besoins générationnels, de la médecine de proximité en cœur de ville aux logements alternatifs.
Virginie WALLUT, Directrice de la recherche et de l'ISR Immobilier, La Française Real Estate Managers a résumé, « La classe d’actifs « santé » porte naturellement une thématique sociale. Notre engagement s’articule autour de trois dimensions : le bien-être des soignants, le confort du patient / sénior et la décarbonisation des actifs immobiliers. C’est dans cet esprit que nous avons souhaité faire de LF Avenir Santé un fonds de partage et manifester notre engagement auprès de la Fondation des Hôpitaux. » Jérôme VALADE, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « L'importance croissante accordée à la santé, au bien-être et à la qualité de vie des personnes âgées constitue un facteur de soutien des actifs immobiliers de santé, tout comme la pénurie structurelle accentuée par le vieillissement de la population. Lancé fin 2021, la capitalisation de la SCPI s’établit à plus de 105 millions d’euros à décembre 2022 ! Nous sommes confiants pour la collecte future et ravis de pouvoir soutenir la Fondation des Hôpitaux dans la durée. »
]]>Nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez en tant qu’actionnaire de la SICAV BEOBANK FUNDS gérée par le Groupe La Française.
Au regard des évolutions légales et règlementaires concernant l’investissement durable ainsi que la promotion des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le cadre des investissements, et suite à la revue de la gamme de produits gérés par le Groupe La Française, le conseil d’administration de la Société a décidé de modifier la politique d’investissement des compartiments, afin de prévoir qu’ils promeuvent les caractéristiques ESG à compter du 4 juillet 2023 (la « Date Effective »).
]]>Le conseil d'administration de la Société vous informe de sa décision de procéder à la fusion par absorption du compartiment Beobank Funds – La Française Core Fund (le « Compartiment Absorbé ») dans le compartiment Beobank Funds – Balanced Strategy Fund (le « Compartiment Absorbeur») (la « Fusion »), conformément à l'article 1 (20) a) et au chapitre 8 de la loi du 17 décembre 2010 relative aux organismes de placement collectif, telle que modifiée (la "Loi de 2010") et l’article 15 des statuts de la Société.
1. Contexte et motivation de la Fusion et changements à l’échelle du Compartiment Absorbeur
A) Contexte et motivation de la Fusion
Dans le cadre de la rationalisation des compartiments de la Société, le Conseil a pris la décision de fusionner le compartiment « La Française Core Fund » au sein du compartiment « Balanced Strategy Fund ».
Il en découle que la Fusion est dans l'intérêt d'une gestion efficiente des actifs sous gestion ainsi que dans l'intérêt des investisseurs.
Nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez en tant qu’actionnaire de la SICAV BEOBANK FUNDS gérée par le Groupe La Française.
Au regard des évolutions légales et règlementaires concernant l’investissement durable ainsi que la promotion des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le cadre des investissements, et suite à la revue de la gamme de produits gérés par le Groupe La Française, le conseil d’administration de la Société a décidé de modifier la politique d’investissement des compartiments, afin de prévoir qu’ils promeuvent les caractéristiques ESG à compter du 4 juillet 2023 (la « Date Effective »).
]]>Le conseil d'administration de la Société vous informe de sa décision de procéder à la fusion par absorption du compartiment Beobank Funds – La Française Core Fund (le « Compartiment Absorbé ») dans le compartiment Beobank Funds – Balanced Strategy Fund (le « Compartiment Absorbeur») (la « Fusion »), conformément à l'article 1 (20) a) et au chapitre 8 de la loi du 17 décembre 2010 relative aux organismes de placement collectif, telle que modifiée (la "Loi de 2010") et l’article 15 des statuts de la Société.
Développé par Covivio et livré en 2018, l'immeuble, signé PPA Architectures, est composé de 2 bâtiments reliés à partir du R+3. L’ensemble immobilier développe 11 500 m² de bureaux et près de 750 m2 de terrasses. Les volumes spacieux offrent une flexibilité d'aménagement ainsi qu'une divisibilité des plateaux à partir de 350 m².
L’actif propose un grand nombre de services pensés pour les utilisateurs avec un espace restauration, un business center et une créative room ainsi qu’une conciergerie. L’immeuble, intégralement loué à huit locataires, bénéficie du label Ready2Services (R2S), gage des meilleures pratiques en matière de bâtiment connecté, ainsi que des labels HQE Excellent et BREEAM Very Good. De plus et afin d’améliorer le positionnement ESG (Environnemental, Social et Gouvernance) de l’actif, la société de gestion prévoit la mise en place d’un plan d’action ambitieux (Led, panneaux solaires, bornes de recharge pour véhicules électriques).
Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu :
« Cet actif, de par son emplacement central dans le seul quartier d’affaires de Toulouse, la diversité de ses locataires-utilisateurs et la qualité des prestations offertes constitue un investissement de premier choix avec des fondamentaux qui devraient soutenir la valorisation de l’actif dans la durée. »
La Française a été conseillée par Allez & Associés Notaires et le cabinet Jeantet et Covivio par l’Étude Cheuvreux.
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Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP a donné son accord pour mettre fin à ses fonctions de société de gestion du FCP, et au transfert de la gestion à la société de gestion DNCA Finance, société de gestion agréée par l’Autorité de marchés financiers le 18 août 2000 sous le numéro GP 00-030 (ci-après « DNCA ») qui a accepté d'en reprendre la gestion à compter du 2 juin 2023.
La société de gestion DNCA souhaite en effet profiter de cette occasion pour modifier la stratégie d’investissement du FCP afin de mettre en place une stratégie gérée au travers d’une approche « multithématique » prenant en compte de critères environnementaux et/ou sociaux et/ou de gouvernance. Cette nouvelle stratégie, qui aura des impacts sur l’objectif de gestion ainsi que sur la dénomination du FCP, vise à offrir aux investisseurs une stratégie d’investissement plus étendue en élargissant les contraintes sectorielles, géographiques et de capitalisation, tout en intégrant une dimension extra-financière à la stratégie d’investissement.
Pour plus de détails sur les changements qui seront apportés au FCP, nous vous invitons à consulter la section « Quelles sont les principales différences entre le fonds dont vous détenez des parts actuellement et le futur fonds ? » ci-dessous.
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Qu'est-ce que la TNFD ?
La TNFD est une initiative mondiale de place qui vise à développer un cadre pour la gestion et le reporting des risques, opportunités, incidences et dépendances liés à la nature. Elle a été lancée en 2021 dans le but d'orienter les flux financiers vers des impacts positifs et de les détourner des impacts négatifs sur la nature grâce à des informations normalisées. Le groupe de travail compte actuellement plus de 40 membres, dont des entreprises et des institutions financières, représentant 20 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion. Un millier d'organisations dans le monde soutiennent également le forum de la TNFD, avec 18 partenaires représentant des organisations scientifiques, de conservation et d'élaboration de normes au niveau mondial.
Qu'est-ce qui a changé entre la v.0.3 et la v.0.4 ?
Bien que la structure et les éléments principaux du cadre soient similaires à ceux de la version précédente, la TNFD formule désormais 14 recommandations, dont 11 sont directement adaptées du cadre de la TCFD pour le climat qui est couramment utilisé. Les trois nouveaux ajouts concernent les piliers « Gestion des risques » et « Stratégie » ; ils mettent l'accent sur l'engagement des parties prenantes, la chaîne de valeur et la spécificité de l’environnement local - des sujets qui sont particulièrement importants dans le contexte de la nature. Il s'agit d'un changement important par rapport à la TCFD, qui n'avait pas précisé ces détails de manière aussi exhaustive.
C'est également la première version à inclure des recommandations sur les données et les indicateurs, ainsi que des cadres d'orientation sectoriels. La TNFD a fourni une première série de paramètres qui peuvent être utilisés pour les publications liées à la nature. Ceux-ci sont répartis selon trois catégories : de principaux indicateurs mondiaux qui s'appliquent à tous les secteurs, de principaux indicateurs sectoriels qui s'appliquent à certains secteurs et des indicateurs de transparence supplémentaire, recommandés mais non obligatoires. Voici quelques exemples d'indicateurs fondamentaux de divulgation au niveau mondial : l'étendue des changements d'utilisation des terres, des eaux douces et des océans par type d'écosystème et par activité commerciale ; le total des polluants rejetés dans le sol, répartis par type ; et le total des polluants atmosphériques autres que les gaz à effet de serre, répartis par type. Dans cette version, la TNFD a également fourni des indications sectorielles pour l'industrie agroalimentaire et les institutions financières, qui comprennent des projets d'orientations en matière de divulgation, ainsi que des conseils supplémentaires sur les biomes.
Qu'est-ce qui peut encore être amélioré ?
Nous pensons que certains aspects du projet de divulgation peuvent encore être améliorés. Par exemple, le champ d'application est potentiellement trop libre. Étant donné que les organisations disposent d'une grande marge de manœuvre pour déterminer l'importance et la portée de leur analyse, il est plausible que les entreprises d'un même secteur présentent des niveaux de transparence très différents.
Bien que la TNFD ait fourni une série d'outils, tels qu'ENCORE, qui facilitent grandement la publication d'informations, nous restons convaincus que l'ensemble des paramètres de base n’est pas applicable à tous les secteurs. Du point de vue d'une institution financière, il est peu probable qu'elle soit en mesure de rendre compte et de communiquer sur l'ensemble des 14 indicateurs fondamentaux à l'échelle mondiale, simplement en raison d'un manque de portée et de données reportées (pour le scope 3). Par exemple, la pollution des sols, qui doit être divulguée sous la forme d'un « Total des polluants dans le sol, répartis par type », n'est souvent pas un point de données facilement accessible et les entreprises des secteurs fortement exposés à la pollution des sols auront besoin de temps et de ressources pour commencer à la signaler. Un risque existe également que les institutions financières soient contraintes d'utiliser une seule méthodologie ou source de données particulière pour se conformer aux normes et aux réglementations jusqu'à ce qu'un consensus se dégage sur la meilleure façon de décrire les impacts et les dépendances.
La version finale sera publiée en septembre 2023. Néanmoins, nous pensons qu'il est important pour les acteurs du marché d'être proactifs et de commencer à intégrer le cadre TNFD dès maintenant. L'accent est de plus en plus mis sur une transition bénéfique à la nature, combinée à une transition zéro émission nette. Et là où commence à être mis l’accent, il est probable que la réglementation suivra.
Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
Les marchés du Crédit devraient continuer à se concentrer sur les actualités provenant du secteur bancaire américain. Et nous nous attendons toujours à ce que la volatilité sur les taux souverains reste un élément perturbateur.
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Nos principales prévisions :
En résumé, nous pensons que Christine Lagarde adoptera un ton plutôt hawkish pour compenser le passage d'une hausse de 50 bp à 25 bp et ne pas paraître trop accommodante étant donné une inflationencore très loin de l'objectif. Toutes choses égales par ailleurs, cela pourrait faire monter les taux courts européens et l'euro.
Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>En résumé, nous pensons que la Fed indiquera une pause en juin pour évaluer l'ampleur du resserrement de sa politique monétaire. Le président Powell ne devrait toutefois pas signaler que le cycle de resserrement de la Fed est terminé : la formulation exacte sera importante car la Fed ne veut pas envoyer de signaux accommodants de manière prématurée aux marchés. Les taux américains ne devraient pas trop évolués durant la conférence de presse, même si nous reconnaissons que trouver le bon équilibre pourrait s'avérer difficile pour M. Powell.
Ces informations sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>1/ Les résultats des banques européennes n'auront pas d'importance pour les détenteurs d'obligations bancaires.
Même si cela peut sembler audacieux de le prétendre alors que nous sommes encore en plein milieu de la saison des annonces de résultats, nous avons déjà suffisamment d'éléments pour affirmer que rien de considérable ne se passe en Europe.
Les actionnaires, les détenteurs d'obligations et les analystes de banques sont soumis à des modes passagères lorsqu'il s'agit d'évaluer la robustesse du bilan. Au cours des dernières années, nous nous sommes principalement concentrés sur les ratios de solvabilité et les tendances des prêts non performants, qui s'amélioraient considérablement. Tous les regards se tournent désormais vers les tendances des dépôts de clients, les ratios de liquidité et les expositions à l'immobilier commercial. Cela aussi finira par passer.
Santander a dévoilé ses résultats le 25 avril, avec une baisse trimestrielle de 5,6 % des dépôts de clients en Espagne, ce qui a entraîné une sous-performance importante de son cours de bourse par rapport à celui des autres banques ce jour-là (aussi en raison d’une rentabilité plus faible au Brésil). Cela pourrait-il être le signe d'une prochaine tension de liquidité ? Non, certainement pas. Voici pourquoi : (i) les dépôts de clients sur une base consolidée ont baissé de seulement 1 % en variation trimestrielle et ont augmenté de 4 % en glissement annuel, (ii) les dépôts de clients en Espagne ont augmenté de 7,9 % en glissement annuel, (iii) la direction a déclaré que la plupart de la baisse des dépôts espagnols en variation trimestrielle était due à des entreprises et à la CIB et ceci principalement en janvier, avant le début de la crise bancaire. Les dépôts des clients peuvent être et sont souvent volatils, ils sont soumis à des ajustements saisonniers et dépendent à la fois du type de prêts accordés aux clients et de leur répartition géographique. Il semble que les investisseurs aient oublié cette réalité.
Jusqu'à présent, les preuves anecdotiques provenant des résultats d'autres banques en Europe ont montré qu'il n'y avait rien de significatif à signaler ici.
En conclusion, les tendances à long terme des banques sont plus importantes que les chiffres trimestriels. Ne retenez pas votre souffle pour cette saison de résultats des banques européennes.
2/ La Commission européenne souhaite renforcer la préférence des déposants : C’est un coup d'épée dans l'eau.
La Commission européenne (CE) a publié le 18 avril une proposition pour ajuster le cadre de gestion de crise bancaire et d'assurance-dépôts existants de l'UE, en mettant l'accent sur les banques de taille moyenne et plus petites. Comme pour tous les sujets réglementaires, cela devient vraiment technique, nous ne vous embêterons donc pas avec des détails qui ne sont pertinents que pour les passionnés de banque, et nous le simplifierons autant que possible.
L'idée de base est de sanctuariser la préférence des déposants contre les détenteurs d'obligations non garanties seniors (et d'autres créances de même rang). Attendez, n'était-ce pas déjà le cas ? Plus ou moins. C'était déjà explicitement le cas dans plusieurs pays, tels que le Portugal ou l'Italie, mais c'était seulement implicite dans la plupart des autres pays. Comme toujours, c'est un choix que doit faire le régulateur (et le gouvernement) si une banque tombe en résolution (et, en Europe, les résolutions bancaires n'ont touché ni les déposants ni les obligations non garanties seniors au cours des sept dernières années).
]]>Les objectifs environnementaux sont le pilier de la taxonomie européenne, le fondement même de cette initiative qui vise à créer un langage commun autour de ce qui peut être considéré comme « durable ». Pour être définie comme telle, une activité économique doit avant tout contribuer de manière significative ou permettre à d'autres activités de contribuer de manière significative à au moins l'un de ces six objectifs. En outre, une activité poursuivant un ou plusieurs de ces objectifs doit satisfaire au principe consistant à ne pas causer de préjudice important (Do no significant harm – DNSH) à d'autres objectifs et aux garanties sociales minimales (Minimum Social Safeguards – MSS). Le 5 avril, la Commission européenne a lancé une consultation d'une durée de quatre semaines sur une nouvelle série de critères d’examen technique définissant les activités économiques qui contribuent de manière substantielle à un ou plusieurs des objectifs environnementaux non climatiques. Le délai de réponse est fixé au 3 mai et l'acte délégué pourrait être adopté dès cette année pour une mise en œuvre au 1er janvier 2024.
Taxo4 est le maillon manquant de l'acte délégué relatif au climat qui contribuera à assurer une mise en œuvre rapide du Pacte vert pour l'Europe. Comme pour les critères relatifs au changement climatique et à l'atténuation de celui-ci, les détails concernant les objectifs restants susciteront sans aucun doute des débats animés sur le marché. La définition de Taxo4 s'accompagne également d'un niveau de complexité supplémentaire : par opposition aux objectifs environnementaux axés sur le climat, Taxo4 ne peut pas s'appuyer sur des scénarios climatiques déjà établis et alignés sur l'Accord de Paris. La protection et la restauration de la biodiversité, en particulier, est une entreprise aux multiples facettes, qui englobe des questions relatives aux habitats naturels, à l'endémisme, à la coexistence des espèces et aux services écosystémiques qui en découlent. La contribution substantielle aux quatre objectifs non-climatiques ne peut se mesurer à l’aide d’un seul indicateur. L'interconnexion des objectifs environnementaux nous rappelle cependant que seule une approche holistique peut raisonnablement nous permettre d'atteindre le « Net Zero », ce qui résume précisément l'esprit de la taxonomie européenne.
Il est important de noter qu'une mise en œuvre de l'acte délégué début 2024 coïnciderait avec l'entrée en vigueur de la directive sur le reporting de durabilité des sociétés (CSRD), qui remplace la moins ambitieuse directive sur le reporting extra-financier (NFRD). L'application synchronisée de ces deux initiatives a des implications positives pour les gestionnaires d'actifs : les entreprises intégreront un plus grand nombre d'activités dans leur reporting de durabilité, ce qui permettra aux investisseurs de disposer d'une plus grande granularité et d'une meilleure visibilité quant à l'impact de leurs décisions d'investissement sur l'économie réelle.
Nous nous réjouissons de l'aboutissement de ce projet d'acte délégué et saluons les efforts significatifs qu'il a nécessités, notamment pour atteindre la granularité nécessaire sur des sujets tels que la conservation in situ, la cartographie écologique associée et la définition d'indicateurs de progrès. Les deux prochaines semaines de consultation promettent d'être des semaines d'examen et de délibération.
Ces informations sont données à titre d’information et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française. Les opinions peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Acquis en vente en état futur d’achèvement fin 2019 et livré en 2022, l’ensemble immobilier de 21 300 m² a été conçu par l’agence Chaix & Morel et se démarque par sa qualité architecturale, proposant deux corps de bâtiments reliés autour d’un jardin en cœur d’ilot. Avec près de 60 % de la surface de la parcelle végétalisée, Génération favorise la biodiversité et contribue au bien-être de ses utilisateurs qui pourront notamment bénéficier de terrasses sur trois de ses étages. Avec les certifications HQE Excellent et BREEAM Excellent ainsi que les labels BBC et R2S, l’immeuble répond aux meilleurs standards de durabilité, critère essentiel dans la démarche environnementale des preneurs.
Les locataires de Génération pourront apprécier l’offre de service haute gamme pensée pour les utilisateurs, dont un restaurant inter-entreprises donnant sur des espaces végétalisés, un espace café disposant d’un lounge reprenant les codes de l’hôtellerie, une tisanerie ouverte sur une large terrasse panoramique commune aux utilisateurs du site, une salle polyvalente (auditorium, travail collaboratif informel, évènementiel et cours collectifs), un espace de fitness et un local vélo équipé d’un atelier de réparation.
Situé au pied de la station La Plaine - Stade de France du RER B, le site sera d’autant plus renforcé dans sa centralité par l’arrivée de la ligne 15 du métro et du déploiement de la ligne tramway 8. En complément, l’immeuble dispose d’un parking vélos pour favoriser les mobilités douces.
« Nous nous réjouissons de ces trois signatures successives qui confirment l’attractivité de Génération, au niveau architectural, technique, serviciel et environnemental. Nous sommes heureux d’accompagner les entreprises de VINCI Energies dans leur développement et de leur mettre à disposition un immeuble de grande qualité adapté aux besoins d’utilisateurs exigeants » indique David Rendall, Directeur général adjoint de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel (France et international).
« L’arrivée prochaine de VINCI Energies Systèmes d’Information, VINCI Energies Oil & Gas et Cegelec Projets Espace & Hydrogène est une belle reconnaissance du travail conjoint des équipes de La Française REM et BauMont Real Estate Capital depuis la phase de construction de Génération jusqu’à sa commercialisation. Nous sommes ravis que des utilisateurs historiques de la Plaine Saint-Denis choisissent Génération comme nouvelle implantation, prouvant l’attractivité de cet actif dernier cri qui s’établit ainsi comme l’un des meilleurs immeubles de son marché. Nos trois nouveaux occupants trouveront en Génération un immeuble performant, qui répond aux aspirations de leurs collaborateurs » ajoute Eric Salmon, Associé de BauMont Real Estate Capital.
Dans le cadre de ces transactions BauMont Real Estate Capital et La Française Real Estate Managers ont été conseillés par JLL, CBRE et le cabinet Reed Smith.
À propos de BauMont Real Estate Capital
BauMont Real Estate Capital (BauMont) est une plateforme indépendante de gestion de fonds immobiliers avec à sa tête une équipe ayant plus de 25 ans d’expérience dans le secteur.
La stratégie d’investissement de BauMont couvre l’Europe de l’Ouest et cible des opportunités de bureau, commerce, logistique et résidentiel. BauMont s’inscrit dans une stratégie de création de valeur à travers la gestion active et/ou le repositionnement d’actifs immobiliers.
BauMont gère près d’1,5 milliard d’euros d’actifs.
À propos de La Française
Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.
Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.
Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.
La Française gère plus de 49 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour (31/12/2022).
La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022).
L’actif, livré fin février dernier et entièrement loué à un acteur clé du e-commerce sur la base d’un bail long terme, développe une surface totale d’environ 7 935 m², comprenant environ 5 756 m2 d’entrepôts et 2 179 m2 de bureaux, ainsi que 8 quais de livraison et 571 emplacements de stationnement (dont 448 pour van).
Situé dans la zone industrielle Espirito Santa, l’entrepôt bénéficie d’excellents accès autoroutiers (AP-9, AG-13, N-V1), permettant de couvrir une zone de chalandise très vaste. L’actif répond aux derniers standards techniques et environnementaux avec la certification BREEAM Very Good, grâce notamment à la présence de 400 m2 de panneaux photovoltaïques en toiture. Par ailleurs, la propriété répond favorablement aux principaux critères de durabilité de la charte d’investissement neuf, définie par La Française Real Estate Managers.
Thierry MOLTON, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle Grand Public, a conclu : « Idéalement situé sur la côte nord-ouest de la péninsule ibérique, cet entrepôt logistique permet de relier rapidement les principales villes de la Galice. L’actif présente des perspectives de valorisation favorables compte tenu notamment du rayonnement du locataire, de son emplacement stratégique et de la raréfaction des terrains disponibles. Cette acquisition s’inscrit dans la continuité du partenariat avec VECTURA, développé par le pôle institutionnel de La Française Real Estate Managers, représenté par Arthur Brizard, Directeur des Investissements adjoint. »
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Opportunité Immo (75%) et LF Europimmo (25%).
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par le cabinet Ashurst, ETYO et BNP Paribas Real Estate. Vectura était conseillée par Cuatrecasas.
Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
À propos de La Française
Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.
Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.
Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.
La Française gère plus de 49 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (31/12/2022)
La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022).
À propos de Vectura
VECTURA est la société holding de la famille CHICHE qui regroupe :
VECTURA
(50 collaborateurs) maîtrise l’ensemble de la chaîne de valeur logistique et immobilière : acquisition foncière, aménagements fonciers, constructions neuves, rénovations lourdes, financement, location, gestion locative et prestations logistiques.
]]>Sur le front de l’énergie, il y a peu de débat : si les prix de l’énergie restent autour des niveaux actuels, le pire est derrière nous. Le prix du gaz a retrouvé ses niveaux d’avant invasion de l’Ukraine et est même revenu sur des niveaux historiquement bas. Le prix du baril de pétrole reste lui significativement plus élevé qu’en 2020 ou 2021, mais là aussi assez loin des points hauts du mois de juin 2022. La décision surprise de l’OPEP+ de baisser sa production de plus d’un million de barils par jour à partir de début mai fait peser un risque de possible remontée des prix mais un certain nombre de facteurs devrait selon nous atténuer ce risque : faiblesse de la croissance mondiale, production russe très résiliente ou encore recours à l’utilisation des réserves stratégiques américaines. In fine, l’inflation (ou déflation dans le cas ici présent) de la composante énergétique américaine, aujourd’hui à -6.4% (contre 41.6% en juin), ne nous semble pas être un risque important même si petit à petit, les effets de base négatifs vont s’estomper ; à prix constant nous anticipons une inflation de la composante énergétique à nouveau positive autour de la fin d’année 2023.
L’inflation de la composante nourriture devrait de son côté poursuivre sa baisse lente et graduelle, elle qui est passée de 11.4% en août à 8.5% en mars. Les prix de la nourriture sont historiquement très liés à l’évolution des prix du gaz et des engrais et comme ceux-ci ont déjà fortement baissé, il nous semble très probable que l’inflation alimentaire poursuive sa baisse.
L’inflation des services est beaucoup plus problématique et logiquement ciblée par Jerome Powell, président de la Réserve fédérale (Fed), comme étant le principal problème actuel. La dynamique récente montre en effet une inflation des services qui reste proche de ses plus hauts à 7.1% en mars, principalement du fait de la composante immobilière en générale et de la composante « OER » (Owners’ Equivalent Rent) en particulier. Cette composante bouge cependant historiquement très lentement, et il est probable que cela prenne encore de nombreux mois avant de la voir baisser de manière franche ; les membres de la Fed ont d’ailleurs communiqué assez largement sur le fait qu’ils analysent l’inflation sans prendre en compte cette composante « OER » du fait de ce décalage. Au-delà de la problématique immobilière, d’autres éléments sont à surveiller comme le secteur des transports qui montre encore trop d’inflation (billets d’avion en particulier) mais ces risques devraient selon nous diminuer graduellement quand les pressions salariales s’estomperont. Sur ce point, crucial, le futur nous semble être à des revendications moindres pour plusieurs raisons :
L’inflation sur les biens ne pose elle a priori pas de soucis particuliers avec des variations de prix sur 12 mois de 1.5%. Après une hausse massive des prix liée à la rupture de différentes chaines d’approvisionnement (Covid, Ukraine), le rétablissement de ces dernières a donné lieu à des évolutions de prix beaucoup plus modérées. Pourtant, nous arrivons à la fin des effets de bases négatifs (un peu comme sur le marché du pétrole) ce qui entrainera au cours des prochains mois un chemin d’inflation des biens plus problématique pour la Fed. Le marché des voitures est particulièrement à surveiller pour plusieurs raisons :
Cela peut sembler anecdotique, pourtant les voitures représentent 7.6% du panier d’inflation, ce qui est loin d’être neutre.
Le futur de l’inflation américaine devrait donc voir se confronter d’un côté des effets désinflationnistes sur les services et la nourriture et d’un autre côté des effets plus inflationnistes sur les matières premières énergétiques et les biens. L’inflation des biens pourrait donc être la variable à surveiller durant le 2ème semestre même si aujourd’hui tous les yeux sont tournés vers les services.
Sources données : Bureau of Labor Statistics
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
![]() | Marie Lassegnore, CFA, Head of Sustainable Investment La Française AM : "Nous devons aller plus loin que la réglementation européenne. Il est de notre responsabilité d’agir pour limiter les risques liés au secteur de la chimie. Notre objectif est double : disposer d’une information plus transparente pour permettre de mieux appréhender l’exposition des positions financières dans les portefeuilles et plaider en faveur d’investissements en R&D dans le but de développer des alternatives plus sûres." |
Le groupe La Française s’engage par ailleurs en faveur de la décarbonation du secteur chimique en étendant sa collaboration avec l’ONG ShareAction . La chimie est un secteur qui n’a pas ou peu commencé ses efforts de décarbonation ; il est nécessaire d’agir avant qu’il ne soit trop tard pour pousser le secteur à être plus proactif et à se saisir du problème pour limiter la trajectoire actuelle du réchauffement climatique et contribuer à l’atteinte de l’objectif de l’Accord de Paris.
La Française AM mènera par le biais d’une action collective des dialogues avec plusieurs entreprises afin de les accompagner dans leur transition en les encourageant à se fixer des objectifs et à mettre en œuvre des stratégies de décarbonisation plus ambitieuses.
Dans la synthèse finale de son 6ème rapport, le GIEC soulignait : "Les années les plus chaudes que nous avons vécues jusqu'à présent seront parmi les plus fraîches d'ici une génération".
L’heure n’est plus aux discours mais à l’action.
Acteur responsable, La Française est convaincue que l'engagement à long terme contribue à améliorer la création de valeur. Les équipes d’investissement s’attachent à accompagner les émetteurs dans leurs transitions au travers de dialogues constructifs pour créer des solutions d’investissement alliant performance et durabilité.
En 2022, le groupe a renforcé et étendu ses engagements tant collectifs - Finance for Biodiversity Pledge, 30% Club France Investor Group, etc. - qu’individuels en portant une attention particulière aux thématiques suivantes : lutte contre le réchauffement climatique, capital naturel, capital social et gouvernance.
Enfin le groupe La Française a mené des dialogues suivis d’actions auprès de 52 entreprises (vs. 17 en 2021) par le biais d’une action directe ou en collaboration avec d’autres organisations et/ou groupes d’investisseurs.
Des banques régionales américainesSVB et Signature et le rachat en urgence de Credit Suisse par UBS n’ont pas entamé la confiance des marchés En effet, depuis le début de
la « crise » bancaire le 6 mars, l’indice S&P 500 est en hausse de 0 18 et l’ Eurostoxx 50 est lui en baisse de 0.52 %%(au 30 mars) Même constat sur la sphère crédit dans son ensemble avec des indices high Yield marginalement négatifs, aidés il est vrai par le fort mouvement de baisse de taux.
Les données macro économiques confirment d’ailleurs jusqu’ici qu’il ne s’est rien passé et que la trajectoire de révisions de croissance à la hausse que nous connaissons depuis le début de l‘année est toujours valable Nous n’allons pas nous lancer dans un long catalogue des chiffres parus, mais que l’on regarde les PMI, le ZEW, l’IFO, les chiffres d’emplois ou encore les enquête du Conference Board aux Etats Unis, la conclusion est la même à fin mars, il n’y a pas de dégradation de la conjoncture, avec des secteurs des services toujours très résilients.
Pourtant, un certain nombre de facteurs nous inquiète aujourd’hui à horizon 3-6 mois. Les problématiques du monde des banques régionales US ne nous semblent tout d’abord pas encore complètement réglées Le trésor US et la Fed sont intervenus très rapidement, à la fois via des lignes de crédit vers les banques (nouveau plan « Bank Term Funding Program »), en garantissant les dépôts de SVB et en communiquant plus généralement qu’ils avaient bien compris qu’ils avaient un problème de régulation le FDIC (« Federal Deposit Insurance Corp ») doit d’ailleurs publier ses conclusions quant aux modifications à apporter à la règlementation pour le 1 er mai Pour autant, les dépôts continuent de migrer vers les fonds de trésorerie, le prix des actions des banques régionales ne rebondit quasiment pas, et la concentration de certains bilans sur les actifs immobiliers pourrait donner envie aux marchés d’aller tester la résolution des autorités avant le 1 er mai De manière empirique, les « crises bancaires » restent rarement totalement circonscrites et même s’il est vrai que le financement des entreprises est de moins en moins dépendant des banques (surtout aux Etats Unis), il nous semble que ces évènements vont participer à durcir encore les conditions de crédit, surtout si on tient compte de la pression sur les marges qui pourraient se poursuivre
]]>L’actif, classé ERP- établissement recevant du public 3e catégorie de type U, est exploité par le groupe OC Santé, premier groupe de santé indépendant en Occitanie. Résolument engagés dans une démarche de qualité pour apporter le meilleur service possible aux patients, plus d’une centaine de médecins et chirurgiens exercent à la Clinique du Mont-Louis où chaque année environ 19 000 opérations sont pratiquées. Afin d’améliorer le positionnement ESG (Environnemental, Social et Gouvernance) de l’actif, la société de gestion prévoit la mise en place d’un plan d’action.
Jérôme Valade, Responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « Les cliniques MCO constituent la colonne vertébrale du dispositif global de soins en France aux côtés des CHU, et participent ainsi activement à la prise en charge médicale de la population, qui est au cœur de la stratégie d’investissement de la SCPI LF AVENIR SANTE. Sur le volet immobilier, le marché des MCO est un marché de niche. Par cette transaction, La Française REM illustre sa capacité à être acteur de ce marché restreint et réservé aux spécialistes. Cette clinique MCO, située en cœur de ville et exploitée par le premier groupe de santé indépendant en Occitanie, vient compléter le portefeuille existant de LF Avenir Santé, qui en l’espace d’un peu plus d’un an, s’est constituée un patrimoine composé de 8 actifs de santé, en France comme à l’international, et une participation dans un portefeuille de 14 résidences services séniors. Pour accompagner ce fort développement, nous renforçons nos équipes et accueillons Nicolas Monnier en tant qu’asset manager, spécialisé dans les actifs de santé. »
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par ADAMA Conseil & Transactions pour la due-diligence opérationnelle, ALLEZ & ASSOCIES pour la partie notariale, ARCHERS pour l’audit juridique et ARTELIA pour la partie technique et ESG.
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LF Avenir Santé est labellisée ISR.
Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.
Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.
Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
]]>1- Changement de Société de Gestion :
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement CONVICTION EQUILIBRE (ci-après le FCP) a donné son accord pour mettre fin à ses fonctions de société de gestion du FCP, et au transfert de la gestion à la société de gestion Meeschaert Asset Management, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 040-00025, qui a accepté d'en reprendre la gestion.
2- Changement de Dépositaire et de Centralisateur du FCP :
Nous vous informons par ailleurs que, dans le cadre de l’optimisation de ses moyens, la société de gestion Meeschaert Asset Management a décidé de transférer la fonction dépositaire de votre FCP actuellement assurée par BNP Paribas (siège social : 16 Boulevard des Italiens 75009 Paris) à CACEIS BANK (siège social :89-91 rue Gabriel Péri – 92120 Montrouge ) qui a accepté.
A compter de la date de prise d’effet précitée, CACEIS Bank sera également le nouvel établissement désigné (centralisateur) pour recevoir les souscriptions et les rachats de parts du FCP selon les modalités prévues dans le prospectus du FCP. Cette opération de changement de centralisateur n’est pas, conformément à la règlementation en vigueur, soumise à l’agrément préalable de l’AMF.
3- Changement de Délégataire comptable :
Concomitamment au changement de dépositaire, la fonction de valorisation actuellement déléguée à BNP Paribas (siège social : 16 Boulevard des Italiens 75009 Paris) sera transférée à CACEIS FUND ADMINISTRATION (siège social : 89-91 rue Gabriel Péri – 92120 Montrouge).L’ensemble de ces changements n’aura aucun impact sur la stratégie et le profil de risque de votre fonds : la stratégie, les caractéristiques de votre fonds et les coûts restent identiques.
L’HEURE DU CHOIX ET LE CHOIX DES RESPONSABILITES
Avec la croissance des activités économiques et des émissions de GES, la température à la surface du globe en 2020 était supérieure de près de 1,1 °C au niveau préindustriel de 1900, ce qui a entraîné des changements sans précédent dans l'histoire récente de l'humanité pour le climat de la Terre : les concentrations actuelles de dioxyde de carbone sont inégalées depuis au moins 2 millions d'années et les océans se réchauffent plus rapidement que jamais depuis la fin de la dernière période glaciaire. Face à ces dérèglements qui font boule de neige, le rapport de synthèse réaffirme la vérité dérangeante selon laquelle les communautés qui ont le moins contribué au changement climatique actuel sont touchées de manière disproportionnée. Il s'agit principalement des pays les moins avancés, des petits États insulaires et de l'Arctique. Près de la moitié de la population mondiale vit dans des zones géographiques très vulnérables au changement climatique, la hausse des températures favorisant déjà la prolifération des maladies d'origine alimentaire, hydrique (eau contaminée ou manque d'assainissement) et à transmission vectorielle (moustiques, puces, tiques…). Entre 2010 et 2020, le taux de mortalité due aux inondations, aux sécheresses et aux tempêtes était quinze fois plus élevé dans ces régions très vulnérables. Il est important de noter que chaque augmentation supplémentaire de 0,5 °C de la température mondiale entraîne une hausse perceptible de la fréquence et de la gravité des phénomènes météorologiques extrêmes, ce qui affaiblit encore davantage la résilience des personnes les plus vulnérables. Certaines incidences climatiques sont déjà tellement graves qu'il est tout simplement impossible de s'y adapter, ce qui entraîne des pertes et des dommages.
LES GAZ A EFFET DE SERRE DOIVENT COMMENCER A DECLINER MAINTENANT
Pour que le réchauffement de la planète ne dépasse pas sensiblement 1,5 °C, le GIEC estime que les émissions de GES doivent atteindre leur maximum immédiatement ou au plus tard avant 2025, et que les émissions nettes de CO2 devront être nulles au début des années 2050. Au vu de ces prévisions, un nouvel objectif intermédiaire de réduction de 60 % des niveaux d'émission d'ici à 2035 a été établi, qui, nous l'espérons, influencera les Contributions Déterminées au Niveau National (NDCs) de la COP28. La température à la surface du globe augmente de 0,45 °C pour chaque tranche de 1 000 GtCO2 émis par l'activité humaine. En outre, le GIEC constate qu'en 2019, environ 79 % des
émissions mondiales de GES provenaient du secteur énergétique, de l'industrie ainsi que des transports et des bâtiments, ce qui implique que des changements profonds à l'échelle du système sont plus que jamais nécessaires et ce de toute urgence. Ce contexte constitue la base sousjacente de la politique d'exclusion de La Francaise AM* en faveur de la transition énergétique. Nos fonds ne financent plus les entreprises qui consacrent des investissements à des plans d'expansion du charbon ou dont la capacité ou la production électrique provient encore du charbon à hauteur de plus de 10 % ou 20 %, selon la stratégie des fonds.
Vous êtes actuellement porteur de parts du fonds commun de placement PROFIL MODÉRÉ (ciaprès « le Fonds ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-après les informations relatives aux modifications qui vont intervenir dans votre Fonds le 04/04/2023.
I. Quels changements vont intervenir dans votre Fonds
Le Fonds créé en 2018 est actuellement géré par la société de gestion La Française Asset Management. Nous vous informons que La Française Asset Management a donné son accord pour renoncer à sa fonction de société de gestion du Fonds au profit de LAZARD FRERES GESTION SAS, société de gestion agréée par l’Autorité des marchés financiers sous le numéro GP 04000068, qui devient la nouvelle société de gestion du Fonds à compter du 04/04/2023. A l’occasion de ces changements, l’objectif de gestion et l’allocation cible du Fonds seront modifiés, notamment la fourchette d’investissement en obligations High Yield, l’utilisation des instruments dérivés et la fourchette de sensibilité seront élargis. De ce fait, les modifications impacteront de manière significative le profil rendement/risque du Fonds. Les modifications sont listées au point V de la présente lettre.
II. Quand cette opération interviendra-t-elle ?
Cette mutation a reçu l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers le 20/03/2023, elle sera
effective le 04/04/2023.
III. Quel est l’impact de cette modification sur le profil rendement/risque de votre investissement ?
IV. Quel est l’impact de cette opération sur votre fiscalité
Néant
Nos principales prévisions pour les décisions à venir de la Fed :
Comme la semaine dernière avant la réunion de la BCE, la décision de la FED est très incertaine. Notre analyse est que la FED (comme la BCE) espère que les mécanismes (BTFP, USD swap lines) mis en place dernièrement pour contenir les risques s'avèrent efficaces. A ce jour, si l'on exclut les banques régionales américaines et le marché AT1 en Europe, les marchés financiers ne montrent pas un niveau de stress élevé. Avec un niveau d'inflation toujours très élevé et un taux de chômage très bas, la Fed choisira à notre avis de procéder à un relèvement de 25 points de base.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Depuis plusieurs années, Credit Suisse a été impliquée dans plusieurs scandales médiatisés, soulevant des questions quant à sa gouvernance d'entreprise et sa gestion du risque globale. Par conséquent, nous avons exclu Credit Suisse de nos fonds ouverts ou dédiés en raison de son historique d'incidents opérationnels majeurs et de controverses commerciales, qui ont révélé des lacunes dans sa gestion des risques. Bien que ces incidents diffèrent par leur nature et leur impact, leur accumulation suggère que des problèmes structurels ont longtemps persisté au sein de l’entreprise.
Le 19 mars, tous ces éléments cités précédemment ainsi que le stress subi par la banque ces derniers jours, notamment suite à la faillite des banques régionales américaines, ont poussé la FINMA à donner son approbation à l'acquisition de Credit Suisse par UBS. Cette opération s'est soldée par l'achat de la banque pour 0,76 CHF par action, soit un montant total de 3 milliards CHF. Malheureusement, les détenteurs d'AT1 ont été durement touchés par cette décision, car la valeur de leurs titres est tombée à zéro.
Ce qui surprend ici et crée un précédent est le non-respect de la hiérarchie des créanciers. Contrairement aux actionnaires, les porteurs d'AT1 CoCos de Credit Suisse (15,8 milliards de francs) verront leurs titres totalement dépréciés. Les Cocos T2 quant à elles (1,5 milliard CHF) sont épargnés au même titre que les obligations senior de la HoldCo et de l'OpCo. Force est de constater que les instruments AT1 à "dépréciation permanente" offrent désormais une protection moindre que les obligations CoCos AT1 à "dépréciation temporaire" ou à "conversion en actions".
Credit Suisse a fait face à des difficultés qui ont débuté il y a plusieurs années et qui se sont aggravées ces derniers mois, notamment à la suite de l'effondrement de la SVB, qui a accéléré sa crise de liquidité. Afin d'éviter une défaillance du risque de contrepartie, la reprise de Credit Suisse par UBS est considérée comme la meilleure solution pour le système bancaire européen, car cela permet d'éliminer son maillon systémique le plus faible.
Cependant, cette crise nous rappelle qu'il y a encore des leçons à tirer. Le secteur bancaire a beaucoup évolué depuis la crise financière de 2008, avec des banques aujourd'hui beaucoup plus liquides et capitalisées qu'auparavant et des régulateurs plus réactifs en temps de crise. La pandémie de Covid-19 en est la preuve, car les gouvernements, les banques centrales et les régulateurs ont apporté des réponses appropriées pour soutenir le système bancaire et éviter une crise économique majeure.
Les banques sont désormais considérées comme une réponse à une crise plutôt que comme la cause de celle-ci.
Chaque résolution bancaire est différente et constitue en fin de compte une décision politique plutôt que financière. Les régulateurs ont la possibilité de contourner les textes de résolution si nécessaire (Les banques allemandes ont évité les renflouements ces dernières années pour HSH et NordLB, tandis que Monte dei Paschi a été nationalisée et recapitalisée une fois de plus). Dans le cas de Credit Suisse, elle a été vendue avec une possibilité de récupération pour les actionnaires, mais aucune pour les détenteurs d'AT1.
Enfin, comme nous l'avons souligné dans notre précédente note publiée la semaine dernière il est important de surveiller de près le secteur bancaire parallèle, également appelé "shadow banking". En cas de crise, les actifs illiquides et non cotés, tels que le capital-investissement et la dette privée, peuvent également avoir des impacts négatifs sur le marché. Il est donc crucial de prendre en compte ces actifs dans les évaluations des risques et les mesures de réglementation afin de maintenir la stabilité du secteur.
« Marc-Olivier PENIN aura accompagné La Française REM pendant plus de 20 ans dans l’expansion de son expertise en immobilier sur le pôle « grand public » et je tiens à le remercier pour son engagement tout au long de ces années. D’un trio opérationnel – Thierry, Guillaume et Marc-Olivier, ayant collaboré de longue date ensemble notamment sur les solutions immobilières novatrices comme les unités de compte – nous passerons, avec cette nouvelle gouvernance, à un tandem qui me rapportera en direct et qui a toute ma confiance pour assurer la continuité dans la qualité de l’offre immobilière à destination de la clientèle grand public. » souligne Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate Managers.
Leurs parcours
Nos principales anticipations :
La BCE augmentera ses taux d'intérêt directeurs de 50 points de base, portant le taux de dépôt à 3,0 %, en dépit des turbulences actuelles que traversent les banques régionales américaines.
Christine Lagarde devrait affirmer une nouvelle fois que la priorité du Conseil des gouverneurs (CG) est de ramener l'inflation à l'objectif de 2 %.
La « Forward Guidance » sera probablement aussi neutre que possible, toutes les options restant ouvertes, en particulier compte tenu des divisions visibles au sein du Conseil des gouverneurs et de la situation des banques régionales américaines.
Mme Lagarde devrait souligner que le conseil ajustera la trajectoire de sa politique en fonction des données entrantes sur l'inflation, de l'évolution des perspectives et de la répercussion de sa politique monétaire.
La BCE devrait opter pour des commentaires moins positifs quant à leur lecture du risque inflationniste suite aux derniers chiffres qui ont surpris à la hausse ("les risques qui pèsent sur les perspectives d'inflation sont également devenus plus équilibrés").
La BCE ne devrait pas modifier les paramètres du resserrement quantitatif
Projections macro-économiques :
La croissance devrait être revue à la hausse en 2023 (de 0,5 % à 0,7 %) mais à la baisse en 2024 (de 1,9 % à 1,5 %). Pour 2025, nous prévoyons que la croissance restera proche de la croissance potentielle, soit environ 1,8 %.
L’inflation devrait être revue globalement à la baisse en raison des mouvements sur l’Euro, sur le prix du pétrole et sur les taux. Les anticipations 2025 devrait être plus proche de la cible de la BCE à 2.1% vs 2.3% lors du dernier comité
L’inflation sous-jacente devrait être elle revue à la hausse en 2023 (de 4,2 % à 4,6 %) et restera globalement inchangée au cours des deux prochaines années, à 2,8 % en 2024 et 2,3 % en 2025.
À l'heure où nous écrivons ces lignes, le marché ne s'attend plus à une hausse de 50 points de base de la part de la BCE (33 points de base). Les débats devraient être tendus entre les partisans d’une politique monétaire agressive et ceux dont la lecture est plus neutre, en particulier après les évènements de crédit survenus autour de certaines banques régionales américaines. La BCE a le choix entre adopter une approche prudente en raison des risques financiers actuels (Credit Suisse par exemple) et ne monter les taux que de 25bps, ou considérer que ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis n’a que peu d’impact sur le système bancaire Européen et donc poursuivre son cycle de resserrement en montant les taux de 50bps en raison d’un risque inflationniste en augmentation depuis le dernier comité. Beaucoup d’incertitudes, beaucoup de volatilité à attendre. Il nous semble plus probable que la BCE monte les taux de 50bps, tout en optant pour une « Forward Guidance » la plus neutre possible.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Il semble que ces actifs n'aient pas été correctement couverts, mais nous ne disposons pas d'informations suffisantes à ce jour.
Le 9 mars 2023, les actions de SVB Financial ont plongé de plus de 62 % après que la société a proposé une vente d'actions pour consolider son bilan qui avait subi une fuite des dépôts et une perte réalisée de 1,8 milliard de dollars sur la vente de titres. Selon un document réglementaire publié vendredi, les investisseurs et déposants ont tenté de retirer 42 milliards de dollars de la SVB jeudi... Une bonne vieille « ruée bancaire ». Malgré la bonne situation financière de la banque avant jeudi, l'organisme de surveillance californien a déclaré que la ruée bancaire « a rendu la banque incapable de s'acquitter de ses obligations à leur échéance » et qu'elle est désormais insolvable. La banque a ensuite été fermée par le département californien de la protection financière et de l'innovation et placée sous séquestre par la FDIC, ce qui constitue la plus grande faillite d'une banque américaine depuis la crise financière.
Dimanche soir, une déclaration commune du Trésor américain, de la Fed et de la FDIC a annoncé qu'« aucune perte liée à la résolution de la défaillance de la Silicon Valley Bank ne sera supportée par le contribuable ». En d'autres termes, tous les dépôts (même ceux qui ne sont pas assurés par la FDIC au-delà de 250 000 dollars) seront garantis. Toute perte subie par le fonds d'assurance-dépôts pour soutenir les déposants non assurés sera récupérée par une cotisation spéciale imposée aux banques. Les détenteurs de dettes subordonnées et d'actions perdront très probablement l'intégralité de leur investissement, tandis que les créanciers de premier rang non garantis pourront récupérer une partie de leurs avoirs (les obligations s'échangeaient à environ 40 cents par dollar à la clôture de vendredi, mais ce n'est pas une indication fiable de leur récupération finale).
Afin de contenir les retombées de ces faillites bancaires, la Fed a déclaré qu'elle créerait un nouveau programme de prêt pour les banques : le programme de financement à terme des banques (Bank Term Funding Program, ou BTFP). Ce mécanisme permettra aux banques d'obtenir des avances de la Fed pour une durée maximale d'un an en donnant en garantie des bons du Trésor, des titres adossés à des créances hypothécaires et d'autres titres de créance. Le fait d'autoriser les banques à nantir leurs obligations leur permet de faire face aux retraits de leurs clients sans avoir à vendre leurs obligations à perte, comme l'avait fait la SVB la semaine dernière. Les banques peuvent emprunter des fonds à hauteur de la valeur nominale des garanties qu'elles apportent, ce qui signifie que la Fed n'examinera pas les pertes potentielles non réalisées sur les obligations.
Ce mécanisme, ainsi que la garantie que tous les déposants seront remboursés, sont des mesures très importantes pour assurer la sécurité du système bancaire américain.
L’hôtel de 105 chambres réparties sur 10 étages et 3 520 m2 est idéalement situé en face de l’entrée principale du Parc des Expositions. Il propose un concept hôtelier haut de gamme, imaginé par l’architecte d’intérieur Stéphanie Cayet, avec un bar à cocktail, un bar à manger et un spa avec piscine. L’immeuble répond aux derniers standards environnementaux avec sa façade en bois, son mur et son toit végétalisés, arrosés par les eaux pluviales et ses panneaux solaires qui fournissent 30 % de l’eau chaude de l’établissement. Autant de points forts qui lui ont valu la Certification BREEAM « Very Good ». Le Bellune Hotel & Spa est également en cours de certification par le label touristique Clef Verte / Green Key : le premier écolabel de tourisme durable international récompensant les établissements qui réduisent leur impact environnemental.
« Pour cette deuxième collaboration avec Suitcase Hospitality, après une première acquisition de murs hôteliers en 2017, le Bellune Hotel & Spa illustre parfaitement notre stratégie d’investissement et de diversification dans la classe d’actifs de loisirs. Cet actif hôtelier (murs) concentre l’ensemble de nos convictions immobilières, une situation géographique centrale et stratégique, les dernières normes en matière de construction et de consommations énergétiques et opéré par un exploitant de premier rang, facteurs de soutien de la valorisation de l’actif et des revenus locatifs à long terme. Nous sommes ravis de cette collaboration avec Mata Capital et remercions Suitcase Hospitality pour leur confiance renouvelée », détaille Thierry Molton, Directeur Actifs Immobilier Entreprise de La Française REM.
« L’ouverture du Bellune Hotel & Spa signe la fin d’une très belle opération initiée en 2017 par nos équipes avec l’acquisition d’un terrain vacant de 414 m². Ses excellents fondamentaux, en particulier son emplacement stratégique en face de l’entrée principale du Parc des Expositions de la Porte de Versailles, nous ont convaincus d'acquérir le foncier pour y développer un hôtel haut de gamme, calé sur les derniers standards environnementaux et lifestyle. Ce projet illustre la volonté de Mata Capital de se positionner sur des actifs à forte valeur ajoutée avec sa double expertise investisseur-promoteur. Nous sommes heureux d'avoir pu bénéficier de l'expertise de Suitcase Hospitality dans la conception de l'hôtel et de la qualité de sa signature afin de pouvoir céder les murs à La Française Real Estate Managers », déclare Jean-Baptiste Avierinos, Directeur de la stratégie Valeur-Ajoutée de Mata Capital.
« Le Bellune Hotel & Spa est notre 9ème adresse et rejoint notre collection de boutique-hôtels parisiens et a ouvert deux nouveaux hôtels lifestyle ces dernières semaines. Notre groupe hôtelier français connait un fort développement depuis 2015. Notre parc a tout simplement doublé ces derniers 11 mois avec 5 nouvelles ouvertures, avec notamment des partenariats investisseurs durables comme La Française REM, investisseur institutionnel de premier plan qui nous accompagne ponctuellement sur la partie Murs de certains actifs hôteliers, et avec de nouvelles collaborations de confiance comme avec Mata Capital. Ce nouvel hôtel dans Paris, qui associe des espaces privatifs et communs de grand confort, illustre notre capacité à développer des hôtels, en France et en Europe, avec leur propre concept, sans enseigne internationale. Le Bellune Hotel & Spa incarne également notre volonté de développer, dès la conception et en exploitation, des hôtels plus durables et plus performant ; la certification clé verte 2023 étant en cours », conclut Jean-Baptiste Martin, co-fondateur de Suitcase Hospitality.
Le conseil d'administration du Fonds (le « Conseil ») souhaite vous informer des changements envisagés dans le prospectus du Fonds (le « Prospectus »).
A. Définitions de « Jour ouvrable » et de « Jour d'évaluation »
« Jour ouvrable » est actuellement défini dans le Prospectus comme étant tout jour ouvrable où les banques sont normalement ouvertes au Luxembourg. Le Conseil a décidé de modifier la définition de « Jour ouvrable » comme suit : « tout jour ouvrable où les banques sont normalement ouvertes au Luxembourg et en France » avec effet à la date du présent avis. Suite à ce changement, la définition de « Jour d'évaluation » (actuellement chaque jour ouvrable au Luxembourg) sera également modifiée comme suit avec effet à la date du présent avis : « chaque Jour ouvrable au Luxembourg et en France ». Par conséquent, la négociation du Fonds ne sera possible que lorsque les banques seront ouvertes au Luxembourg et en France.
Ce changement n'aura aucune incidence sur la manière dont le Fonds est géré ni sur la stratégie d'investissement, l'allocation d'actifs ou le profil de risque.
B. Placements en dépôts à terme, titres de créance et instruments du marché monétaire
Le Prospectus a été mis à jour conformément aux dispositions relatives aux liquidités détenues à titre accessoire de la FAQ CSSF concernant la loi luxembourgeoise du 17 décembre 2010 relative aux organismes de placement collectif. Dans le cadre de cette mise à jour, il a été précisé que le Fonds peut investir jusqu'à 20 % de son actif net dans des dépôts à terme, dans des titres de créance et dans des instruments du marché monétaire à des fins de gestion de trésorerie ou pour atteindre ses
objectifs d'investissement. Ces changements et clarifications n'auront aucune incidence sur la manière dont le Fonds est géré ni sur la stratégie d'investissement, l'allocation d'actifs ou le profil de risque.
***
Le prospectus sera mis à jour pour refléter, entre autres, les changements décrits dans le présent avis. Un exemplaire du prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur simple demande auprès du siège social du Fonds.
Le Conseil
]]>Après la Grande Récession de 2008-2009, aux Etats-Unis, la baisse du taux de chômage n’a pas entraîné une accélération significative des salaires. Selon le Bureau of Labor Statistics (BLS), le taux de chômage est passé de 10% à moins de 4% avant la pandémie de Covid-19 tandis que le taux de croissance des salaires est resté stable, autour de 2% sur la période 2009-2015 avant de progresser vers 3% sur la période 2016-2019. Cette relation négative moins marquée entre chômage et salaires pourrait laisser supposer des surcapacités plus importantes que ne le laissaient entrevoir les taux de chômage. En mars 2018, en France, une étude de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) a indiqué que le coefficient de corrélation entre les évolutions salariales et le chômage aux Etats-Unis a même été positif entre 2011 et 2015. Cette analyse a conclu que le « chômage joue sur les fluctuations des salaires mais la productivité demeure un déterminant majeur à long terme ». La faiblesse persistante de la production par heure travaillée peut réduire la rentabilité des entreprises et, à terme, peser sur la croissance des salaires, les sociétés se montrant moins disposées à accorder des augmentations rapides des rémunérations. En septembre 2017, une recherche du Fonds Monétaire Internationale (FMI) a également indiqué que la progression du temps partiel subi (c’est-à-dire les personnes qui souhaiteraient travailler davantage) et un recours plus élevé au travail temporaire limitaient la progression des salaires. Les autres raisons fréquemment citées sont l’automatisation, la baisse des anticipations de croissance à moyen terme, la croissance du secteur des services et la hausse de l’offre de main-d’œuvre dans un contexte de mondialisation qui augmente la concurrence entre les entreprises, notamment depuis l’entrée de la Chine à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) dans les années 2000.
La pandémie de Covid-19 a par ailleurs modifié l’évolution des relations salariales au sein des entreprises étant donné les évolutions sous-jacentes de l’économie mondiale. La crise sanitaire, au travers des plans de relance massifs, a accéléré le déséquilibre entre l’offre et la demande sur le marché du travail. Actuellement, aux Etats-Unis, il y a 4,7 millions d’emplois disponibles de plus qu’il n’y a de personnes pour les combler (Bureau of Labor Statistics, 11/2022). Cet écart était de 1 million de personnes avant 2019. Le nombre croissant d’employeurs ayant de la difficulté à recruter résulte du déséquilibre grandissant entre les compétences, les intérêts et l’expérience des demandeurs d’emploi et les postes que les employeurs cherchent à pourvoir. Selon Lightcast (12/2022), plus de 2 millions d’américains ne sont plus sur le marché du travail étant donné la baisse de l’immigration, la retraite précoce de la génération des baby-boomers et le vieillissement de la population (selon le Census bureau, les Américains âgés de plus de 65 ans représenteront 21% de la population active d’ici 2035). Il faudra donc probablement du temps pour les remplacer ou les faire revenir sur le marché de l’emploi d’autant plus si l’on considère le transfert de richesse significatif de la génération des baby-boomers vers la Génération Y (millennials) estimée à 68 trillions de dollars par une étude réalisée en octobre 2019 par la société Coldwell Banker. Toutefois, la baisse substantielle de l’épargne excédentaire accumulée pendant la pandémie dont les deux tiers ont déjà été utilisés (une fois ajustée de l’inflation) selon les stratégistes d’Alpine Macro, devrait conduire les Américains à revenir sur le marché du travail. Ce sont par ailleurs les jeunes et les emplois les moins qualifiés qui sont à l’origine de la croissance des salaires et du maintien du taux de chômage à un niveau historiquement bas. Le taux de participation pour les 20-24 ans reste 1,7 point en dessous de son niveau prépandémie et les salaires chez les 16-24 ans ont bondi de plus de 12% selon le tracker des salaires de la Fed d’Atlanta (Janvier 2023), tandis que les salaires ont progressé de 6,3% au global. De plus, l’amélioration des conditions du marché du travail profite davantage aux salariés les moins bien rémunérés. Ayant moins d’alternatives que les salariés mieux rémunérés, leur pouvoir de négociation est renforcé. Le tracker des salaires de la Fed d’Atlanta indique que les rémunérations chez les salariés les moins bien qualifiés ont augmenté de 6,6% en janvier par rapport à l’année précédente tandis qu’il a progressé de 6,1% pour les salariés les mieux qualifiés.
Si la relation négative entre chômage et inflation n’est pas vérifié en tout point, la hausse agressive des taux d’intérêt, principal outil des banques centrales dans la lutte contre l’inflation, est-elle donc complètement justifiée puisqu’elle pourrait conduire l’économie mondiale en récession et à des pertes d’emplois inutiles ? Une spirale salaires-prix, tant redoutée par les banquiers centraux, est-elle susceptible de s’installer durablement ?
Dans son World Economic Outlook d’octobre 2022, l’analyse du FMI portant sur des situations analogues à celle de 2021, où l’inflation augmentait et la croissance des salaires était positive mais les salaires réels et le taux de chômage stagnaient ou reculaient a été rassurante : une accélération durable des salaires et des prix est peu probable. Selon le FMI, « trois facteurs se conjuguent pour maîtriser ce risque : les chocs sous-jacents sur l’inflation ne viennent pas du marché du travail, la baisse des salaires réels contribue à réduire les tensions sur les prix et les banques centrales mènent une politique agressive de resserrement de leur politique monétaire ». Le dernier rapport de l’International Labour Organization (ILO) a également indiqué que « l’écart constaté entre l’évolution des salaires et celle de la productivité du travail dans les pays à revenu élevé continue à se creuser, la productivité du travail ayant augmenté au premier semestre 2022 alors que les salaires réels ont, quant à eux, diminué. Dans de nombreux pays, il semblerait donc envisageable d’augmenter les salaires sans pour autant craindre de provoquer une spirale salaires-prix ». Cette étude précise qu’en 2022, l’écart entre la croissance de la productivité et celle des salaires a atteint son point le plus haut depuis le début du XXIe siècle, avec une croissance de la productivité supérieure de 12,6 points de pourcentage à celle des salaires. Enfin, des économistes soulignent que la baisse de la population active est un phénomène désinflationniste à long terme. La croissance des revenus étant plus faible, les dépenses de consommation devraient baisser et le marché du travail se rééquilibrer au travers d’un taux de chômage d’équilibre naturel plus bas (NAIRU, Non Accelerating Inflation Rate of Unemployment, c’est à dire le niveau minimal de chômage qui n’accélère pas l’inflation). Le NAIRU a baissé graduellement depuis la fin des années 1980, de 6,3% à 4,4% actuellement. Il devrait fléchir vers 4,25% d’ici 2032 selon le Congressional Budget Office.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. En fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Les locaux objets de la vente, comprenant également un commerce de santé de 101 m2 en pied d’immeuble et quatre emplacements de stationnement équipés de bornes de recharge pour véhicules électriques, répondront aux derniers standards environnementaux avec le RDC et le premier étage labellisés HQE Bâtiment Durable Tertiaire niveau Excellent et BREEAM International New Construction niveau Excellent et l’espace dédié en sous-sol certifié BREEAM niveau Very Good. Les parties communes de l’ensemble immobilier comprendront un local à vélo avec douches et casiers, des toitures végétalisées, des installations propices à la faune ainsi que 600 m2 d’espaces verts. La livraison est prévue au 31/12/2025.
Le pôle santé proposera un centre médical pluridisciplinaire (R+1) ainsi qu’un centre de sportsanté (R-2) offrant des séances de kinésithérapie professionnel, d’ostéopathie, de médecine de sport. Le tout sera loué à Vista Santé, marque d’usage du Groupe REALITES, dans le cadre d’un bail ferme de 12 ans. Vista Santé organise, avec des professionnels de santé tels que médecins du sport, cardiologues et kinésithérapeutes, des parcours santé personnalisés autour de la prévention par l'activité physique adaptée, la réathlétisation, la récupération après blessure, etc. REALITES est un groupe de développement territorial qui, résolument tourné vers l’humain, joue un rôle de passerelle entre des concepts d’usage innovants et des solutions immobilières.
]]>Cette nomination confirme les ambitions de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, annoncées en septembre 2022, d’accélérer la création d’une nouvelle ligne métier dédiée à l’Asset Management, qui regrouperait avec La Française, toutes les structures1 de gestion du groupe bancassureur au sein d’un modèle multiboutiques. Il constituerait ainsi un acteur majeur dans le paysage français de l’Asset Management, représentant 166Md€ sous gestion (au 31/12/2022), présent partout en Europe, actif en Asie et proposant une large gamme d’expertises complémentaires incluant les actifs côtés, les actifs réels et la gestion alternative.
Patrick Rivière, Président de Groupe La Française, déclare : « Je suis très heureux et très fier d’accueillir Guillaume dans l’équipe de direction, il nous apportera un regard neuf et complémentaire et nous fera bénéficier de sa très riche expérience dans les domaines public, industriel et financier. Pour moi, Guillaume possède tous les atouts nécessaires pour accompagner dans le temps ce projet puissant et ambitieux. »
Guillaume Cadiou, Directeur Général et membre du Directoire de Groupe La Française: « Je suis ravi de rejoindre La Française et prêt à relever ce nouveau challenge au sein de Crédit Mutuel Alliance Fédérale qui porte des valeurs qui me sont chères en ayant adopté le statut d’entreprise à mission. Ma priorité sera d’apporter ma contribution à la définition de l’organisation la plus efficace et d’assurer rapidement l’ascension de ce nouveau champion français de la gestion d’actifs, incluant les expertises reconnues des différentes maisons de gestion du groupe. »
]]>Développé et réalisé par Salini Immobilier d’après une conception AXiomE Architecture et livré en novembre 2022, l’ensemble immobilier, comprenant deux bâtiments, est entièrement loué à Discac (spécialiste de meubles design de cuisine et salle de bain) dans le cadre d’un bail de 9 ans ferme. L’actif développe 8 380 m², dont 580 m² de bureaux et 7 800 m² de locaux d’activités, dispose d’une bonne performance énergétique et est pourvu d’un éclairage LED. Il offre également environ 7 800 m2 d’espaces verts, gérés de manière durable.
Cette acquisition, pour environ 9,9 millions d’euros, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Opportunité Immo.
La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le Cabinet Jeantet sur les aspects juridiques. Salini Immobilier a été conseillé par l’étude notariale 137 Université. Les deux parties ont été assistées par EOL.
]]> o Atténuation du changement climatique ;
o Adaptation au changement climatique ;
o Utilisation durable et protection des ressources aquatiques et marines ;
o Transition vers une économie circulaire ;
o Contrôle de la pollution ;
o Protection et restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Aujourd'hui seuls les deux premiers objectifs ont été définis et quantifiés. Quasiment tous les secteurs d’activité seront à terme couverts par cette classification, sauf ceux incompatibles avec la sauvegarde l’environnement (comme la production de charbon par exemple) ou n’ayant pas d’impact (la plupart des activités de service).
Vous êtes porteur de parts du FCP Patrimoine Rendement Global, ci-après le « Fonds », nourricier du compartimentLa Française Rendement Global 2028 de la SICAV La Française, ci-après le « Fonds maître » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds et du Fonds maître, a pris la décision de permettre au Fonds maître d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.
Cette modification qui sera effective le 15 février 2023 n’est pas soumise à agrément AMF, n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.
Le prospectus et les DIC Priips des Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous êtes porteur de parts du FCP « Crédit Opportunité », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’utiliser des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net, ainsi que du change à terme.
Du fait d’introduire la possibilité de recourir à des options sur CDS, la méthode de calcul du risque global sera la méthode de la VaR absolue en lieu et place de la méthode de calcul de l’engagement : L’effet de levier indicatif (somme des nominaux des positions sur les contrats financiers utilisés) ne devrait pas dépasser 100 % de l’actif net du fonds.
Cependant, selon les circonstances, il est possible pour l’OPC d’atteindre un niveau de levier plus élevé.
Ces modifications qui seront effectives le 15 février 2023 ne sont pas soumises à agrément AMF, n’ont aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés. Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence.
Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous êtes porteur de parts du FCP « La Française Sub Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’investir dans des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.
Cette modification apportée à la documentation règlementaire du Fonds n’a aucun impact sur la méthode de gestion, les fourchettes maximales d’exposition en vigueur ainsi que sur la stratégie d’investissement et les frais du Fonds qui demeurent inchangés.
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 15 février 2023.
Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’informations clés pour l’investisseur du Fonds « La Française Sub Debt » disponible sur le site www.la-francaise.com.
]]>Vous êtes porteur de parts du FCP « La Française Sub Debt », ci-après le « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds a pris la décision de permettre au fonds d’investir dans des options sur CDS dans la limite de 15 % de l’actif net.
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Le prospectus et les DIC Priips du Fonds seront modifiés en conséquence. Les autres caractéristiques du Fonds demeurent inchangées.
Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés (« DIC») sont disponibles en français et néerlandais.
Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prix des parts du FCP est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
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]]>Vous êtes porteur d’actions des compartiments « La Française Rendement Global 2025 , La Française Rendement Global 2028, La Française Rendement Global 2028 plus » de la SICAV « La Française » , ci-après les « Fonds » et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
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Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles
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]]>Idéalement située à quelques minutes à pied de toutes les commodités de première nécessité et de la gare, la résidence est 100% pré louée à la société d’exploitation Happy Senior (Groupe Duval) dans le cadre d’un bail long terme.
Leslie VILLATTE, Directrice des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, a conclu : « Cette nouvelle résidence services seniors vient compléter le portefeuille de notre investisseur institutionnel de longue date. L’offre limitée en RSS couplée à la tarification compétitive viendront soutenir le taux d’occupation de la résidence et contribueront à la valorisation de l’actif. »
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Lexfair (Virginie Blanc), Reed Smith (Carole Steimlé) et Egis.
]]>« En tant que signataire et fervent supporter de la Workforce Disclosure Initiative, La Française AM cherche à engager les entreprises sur les enjeux clés qui impactent leur secteur et leurs effectifs, promouvant ainsi la transparence et améliorant la qualité des emplois. Les données recueillies par l'enquête annuelle de la WDI visent à combler les lacunes et le manque de données comparables des déclarations relatives au personnel ; elles permettent aux investisseurs d'aborder les problèmes collectivement et de manière systématique. Ces données sont également essentielles pour préparer les entreprises et les institutions financières à des réglementations de plus en plus strictes, telles que la taxonomie sociale dans l'UE. La WDI fournit aux entreprises des informations clés sur leurs propres pratiques et leur donne l'occasion unique de se comparer à leurs homologues. Elle leur permet ainsi d'identifier les lacunes en matière de données qu'elles n'avaient pas prises en compte auparavant. Cette analyse des lacunes et ce processus itératif utile constituent une préparation essentielle à toute forme de législation sur le personnel. Je suis ravie de jouer un rôle plus actif dans cette initiative et je remercie la WDI pour sa confiance », a conclu Deepshikha SINGH.
]]>Nos principales attentes :
La BCE devrait donc essayer de conserver un message restrictif, dur, en insistant sur la nécessité de poursuivre la hausse des taux dans le futur. Il nous semble cependant qu’il sera difficile pour Christine Lagarde de s’engager sur une nouvelle hausse de 50bp lors de la réunion de mars au regard de l’évolution des prix de l’énergie, de l’Euro et de la dernières enquêtes auprès des banques (« Bank Lending Survey »). Les taux devraient donc marginalement baisser selon nous.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>En résumé, La Fed devrait essayer de conserver autant de flexibilité que possible alors que sa politique monétaire passe à un niveau plus restrictif. Le message devrait in fine être pris de manière assez « dovish » par les investisseurs.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Ce portefeuille, totalisant 74 956 m² dont 33 026 m² de surface de vente, est composé d’implantations sélectionnées pour leur proximité (moins de 5 minutes) d’une « locomotive commerciale », soit une enseigne importante, qui permet ainsi d’augmenter l’achalandage de la zone.
Les 38 commerces, quasiment tous équipés d’éclairages LED et de systèmes de récupération d’énergie, bénéficient également d’une excellente desserte : la majorité des actifs se situent à moins d'un kilomètre d'une route nationale ou d'une autoroute.
Dans le cadre de la politique d’investissement durable de La Française REM, un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre est prévu incluant notamment l’installation d’ombrières photovoltaïques sur les 38 sites et l’application d’une peinture réflective blanche sur les toitures de la majorité d’entre eux.
Le concept de « Grand Frais » s’inspire de l’ambiance et de la configuration des halles et des marchés couverts. Les magasins réunissent sur un même lieu, cinq professionnels de l’alimentation : un Primeur, un Épicier d'Ici et d'Ailleurs, un Boucher-Charcutier, un Fromager et un Poissonnier, créant ainsi un lieu de partage à taille humaine. Grand Frais privilégie les producteurs et revendeurs locaux. En 2022, 50 % des exploitations partenaires étaient certifiés Haute valeur Environnementale (HVE). Cette démarche s'inscrit dans la tendance actuelle qui consiste à rapprocher le producteur du consommateur final, gage de produits de meilleure qualité et de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Épargne Foncière, Sélectinvest 1 et CM-CIC Pierre Investissement et d’un fonds de fonds accessible uniquement aux compagnies d’assurance.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’Etude Allez & Associés (Romuald Sachet), le cabinet Paul Hastings (Jean-Louis Martin et Quentin Jobard), le cabinet Arsene (Franck Llinas) et le bureau d’étude CEDIAT (sur les aspects techniques et environnementaux).
Abénex était conseillée par l’étude C&C (Bruno Casteran et Devrim Cetiner), le cabinet DLA Piper (Gabriel Dalarun), le cabinet Primexis (Daniel Wickers, Perrine Dessemond, Magalie Lory), le cabinet KPMG pour les aspects fiscalité et Transaction Services de KPMG (Jean-Etienne Chatelon et Jack Rupchandani) et le bureau d’étude Nerco (Jean-Marie Mussat et Nicolas Desjacquot).
L’acquéreur et le vendeur ont été assistés par Rothschild & Co (Benoit Thébault et Jennifer Lemarié) et par JLL (Jessica Jaoui).
]]>Être, plus que jamais, un partenaire professionnel, malin et agile grâce à :
Philippe Depoux, Président de La Française REM, fait le bilan de 2022 et évoque les priorités pour l’année à venir.
]]>Acteur responsable et engagé, La Française adhère à de nombreuses initiatives en lien avec ses convictions sur la durabilité et s’attache à accompagner les entreprises dans leurs transitions en assurant des dialogues réguliers et constructifs.
Ce nouvel engagement s’inscrit en lien avec la politique de vote de La Française AM qui prévoit notamment en matière de diversité de voter contre l’élection ou la réélection de membres masculins au sein de Conseil d’administration si ce dernier compte moins de 40% de femmes à l’issue du vote.
Marie Lassegnore, Head of Sustainable Investments : “Le groupe La Française poursuit son engagement actif pour accompagner les entreprises dans leurs transitions sociétales. En rejoignant le Club 30% France IG, nous contribuerons à promouvoir davantage de mixité et à favoriser une plus grande transparence entre entreprises et investisseurs".
La publication du second rapport annuel du Club 30% France Investor Group retrace la campagne d’engagement 2022 en mettant en exergue les bonnes pratiques en faveur de l’égalité professionnelle et financière pour les femmes dans les sociétés du SBF 120 ainsi qu’une étude du MEDEF sur les engagements en matière d’égalité dans ces entreprises tout en dénonçant par ailleurs les idées reçues autour de la diversité.
Pour plus d’informations sur les actions et engagements de la coalition Club 30% France IG téléchargez le rapport annuel 2022 ci-dessous.
Dans le cadre de sa politique RSE, le groupe La Française affirme ses ambitions et engagements dans son métier d’investisseur tout comme dans ses actions en tant qu’entreprise. Ainsi, en matière d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, le groupe a lancé fin 2020 le programme FurtHer, une initiative en faveur de l’égalité des chances avec pour objectif de promouvoir le leadership au féminin, accélérer l’ascension des talents féminins et favoriser la transversalité des métiers et la mixité à tous les niveaux de l’entreprise. Avec plusieurs conférences, ateliers, comités de partage d’expérience et un programme de mentoring mis en place dès 2021, ce programme contribue à l’objectif de parité visé au sein de La Française.
Depuis près de 15 ans le groupe La Française déploie une démarche d’investisseur responsable au travers de nouvelles initiatives et engagements contribuant ainsi à améliorer et promouvoir la prise en compte des facteurs ESG dans son activité de gestion pour compte de tiers.
Pour en savoir plus sur nos politique et rapport d’engagement groupe La Française ainsi que la politique de vote 2022 spécifique de La Française AM : https://www.la-francaise.com/fr/nous-connaitre/nos-expertises/linvestissement-durable/documentation-reglementaire/
]]>Au moment d’écrire une lettre de rentrée, il est toujours utile de se replonger dans ce que nous écrivions un an auparavant pour noter à quel point les données peuvent évoluer en l’espace de douze mois. En janvier de l’année dernière, les enjeux étaient de savoir si nous allions pouvoir sortir définitivement du risque Covid, si les perturbations des chaînes d’approvisionnement allaient se résorber rapidement et quelle serait l’ampleur des plans de relance américains. Un mois plus tard, l’invasion de l’Ukraine par la Russie changeait complètement la donne en exacerbant largement les pressions inflationnistes en raison de la hausse massive des prix des matières premières. Etant donné les incertitudes actuelles, il est bien possible que ce que nous percevons aujourd’hui comme des questions importantes soit balayé par un événement majeur dans les mois qui viennent. Pour paraphraser Keynes : « Quand les faits changent, je change d’avis. Et vous, que faites-vous ? ».
Après cet interlude « économico-philosophique », il nous faut toutefois essayer de répondre aux principales incertitudes actuelles : dirigeons-nous vers une récession et si oui, quand ? la désinflation va-t-elle s’accélérer et pour se stabiliser à quel niveau d’inflation ? Et le corollaire de tout ça, quelle sera la réaction des banquiers centraux dans les mois qui viennent ?
Nous avons déjà écrit à maintes reprises sur le risque de récession, aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis et nos conclusions n’ont pas changé : le support budgétaire très important décale le risque de voir la croissance économique s’effondrer. Néanmoins, le très fort durcissement des conditions financières devrait finir par avoir, comme ça a toujours été le cas historiquement, un impact très significatif sur la croissance économique.
]]>A compter du 31 décembre 2022, le prix de souscription de la SCPI LF Les Grands Palais augmente de 3,27 % et est composé de la manière suivante :
Valeur nominale : 700 €
Prime d'émission : 374 €
--------------------------
Prix de souscription : 1 074 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 1 074 €
dont 85,92 € HT, soit 103,10 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8 % HT, soit 9,6 % TTC au taux de TVA en vigueur).
Valeur de retrait : 988,08 €
Risques associés : risque de perte en capital, de liquidité, de concentration géographique. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. L’horizon de placement recommandé est de 20 ans.
La note d’information ayant reçu le visa de l’Autorité des Marchés Financiers, SCPI n°19-30 en date du 29 novembre 2019 et ses actualisations sont disponibles sur le site internet www.la-francaise.com.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N°GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFMdu 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
]]>L'immeuble est situé à Grote Weide 2 à Berchem, dans un quartier à usage mixte composé principalement d'installations résidentielles, éducatives et récréatives. La gare d'Anvers-Berchem est située à 2,7 km de l'établissement, elle est l'un des plus grands nœuds ferroviaires de Belgique offrant une connexion pratique à toutes les grandes villes belges ainsi qu'à l'aéroport de Bruxelles.
Construit en 2008, l'établissement se compose d'un bâtiment unique en forme de « L » avec 5 étages supérieurs. La conception de l'établissement reflète le style architectural flamand traditionnel, mais doté de caractéristiques modernes. L'établissement se déploie sur 7 251 m2 et est actuellement exploité avec une capacité de 160 lits. L'immeuble est exploité, dans le cadre d'un bail à long terme, par Vulpia, l’un des principaux exploitants indépendants de maisons de repos en Belgique avec plus de 2 800 employés, dirigeant 40 maisons de repos, soit une capacité de plus de 4 000 lits.
L'établissement est bien équipé avec des espaces de rencontre centraux, des balcons à chaque étage, un restaurant, une pharmacie, un coiffeur, des ascenseurs, des jardins, etc. L'actif affiche une bonne performance énergétique et est en grande partie équipé d'un éclairage LED. Des travaux de rénovation sont prévus, dont l'installation de panneaux solaires sur le toit.
Jérôme Valade, responsable de l'immobilier de santé au sein de La Française REM a conclu, « De Veldekens est l'une des rares maisons de repos privées de la région et est largement considérée comme un établissement de qualité compte tenu de la variété des équipements, du bon entretien de l'immeuble et de l'offre financière compétitive proposée par l’exploitant. Outre la qualité de l'opérateur et du bien lui-même, les restrictions relatives aux nouvelles ouvertures de maisons de repos qui sont soumises à autorisation en Flandre jusqu'en 2025 sont très positives du point de vue du positionnement de l’établissement sur le marché et devraient contribuer à assurer à long terme un taux d'occupation durablement élevé. Cette acquisition illustre parfaitement la stratégie européenne de LF Avenir Santé qui poursuit sa diversification géographique. »
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillée par l'équipe de JLL BeLux Capital Markets, Loyens & Loeff (juridique), PwC (aspects fiscaux et financiers), Arcadis (due diligence technique) et Your Care Consult (due diligence opérationnelle). Le vendeur a été conseillé par l'équipe de CBRE Bruxelles.
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LF Avenir Santé est labellisée ISR.
Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
Le Label ISR, créé par le Ministère de l’Economie et des Finances, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.
Le Label ISR est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.
Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
]]>Poussés par la hausse des taux sans risque, les taux de rendement immobiliers ont entamé un cycle de décompression dont l’ampleur varie en fonction de la qualité, la taille des actifs et le taux de vacance locale. Les actifs alternatifs décorrélés des cycles économiques, notamment l’immobilier de santé, offrent un couple rendement-risque compétitif et permettent de diversifier davantage les portefeuilles des investisseurs grâce à leur profil défensif.
Le marché locatif affiche une belle dynamique, qui cache toutefois un marché à deux vitesses marqué par une prime à la centralité. La plus grande sélectivité des utilisateurs se traduit par une polarisation importante des marchés entre d’un côté, la demande qui se concentre sur les localisations centrales et, de l’autre, l’offre qui tend à se développer en périphérie.
]]>La future résidence d’environ 5 000 m2, située dans le futur quartier des Jetées, bénéficie d’une localisation exceptionnelle, à la croisée de trois frontières (France, Suisse et Allemagne), au cœur de l’un des bassins d’emploi les plus importants du Grand-Est. Huningue, située entre le port fluvial et l’aéroport de Bâle-Mulhouse, fait partie de la Biovalley, cluster international tourné vers les sciences de la vie. L’actif est desservi par la ligne 8 du tramway, arrêt « Dreiländerbr », et fait la part belle aux mobilités douces grâce à un réseau dense de voies piétonnes et de pistes cyclables dans l’agglomération.
La résidence de coliving, dont la livraison est prévue en T4 2024, présente une nouvelle solution de logements citadins face notamment à la pénurie de l’offre. « The 226 » est confiée en exploitation à Colonies dans le cadre d’un bail long-terme. Le premier opérateur français de coliving avec 180 appartements et maisons proposera 200 unités d’hébergement sur 9 étages (R+9), allant du studio (17 m2) au deux pièces (27 m2), meublées, décorées et pourvues de plus de 300 m2 de services, dont salle de sport, salle de travail et laverie.
La résidence sera certifiée RT 2012-20% et NF Habitat HQE - Très performant.
David RENDALL, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, a conclu : « Partie intégrante d’un important projet d’aménagement porté par Constructa, idéalement située dans une zone transfrontalière enregistrant plus de 200 000 trajets par jour et exploitée par un opérateur de qualité, la résidence de coliving « The 226 » présente des perspectives de valorisation favorables. Par ailleurs, cette acquisition constitue un élément important de diversification, par la nature même de l’actif, du portefeuille de notre client investisseur. »
Josué JANNIN, Directeur adjoint promotion nationale de Constructa Les Editeurs Urbains, a ajouté : « Nous remercions La Française REM de leur confiance et de leur engagement aux côtés d’un projet d’aménagement urbain et architectural d’exception. Pour Les Editeurs Urbains, réunir La Française REM et Colonies, deux acteurs de référence, pour acquérir et exploiter le coliving « The 226 » confirme notre conviction de développeur et notre ambition pour ce territoire : celui de l’Europe du quart d’heure. Après les projets résidentiels Bogen et Link, livrés au printemps 2023, la signature de « The 226 » marque le début du 3ème acte des Jetées, soit plus de 30 000m2 d’extension de centre-ville en bord de Rhin au cœur du 3Land. »
François ROTH, cofondateur de Colonies a déclaré : "Nous nous réjouissons de l'ouverture prochaine de cette résidence au cœur de l'Eurodistrict Trinational. Un territoire au bassin économique dynamique que nous travaillons depuis les prémices de Colonies. Forte d'une identité architecturale iconique pensée par Nicolas Laisné Architectes ainsi que de son offre alliant design, convivialité et flexibilité, la résidence de coliving répondra ainsi à un besoin croissant de logements des jeunes actifs, étudiants et travailleurs transfrontaliers de la zone, et sera adaptée aux nouveaux usages de cette population."
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude Allez et Associés, le cabinet Jeantet ainsi que I2F.
À propos de Constructa Les Editeurs Urbains
Faire la ville est un métier d’intérêt général.
Entreprise familiale, Les Editeurs Urbains défendent une approche artisanale plutôt qu’industrialisée, convaincus que la promotion immobilière doit renouer avec ses lettres de noblesse et faire de la qualité – architecturale et d’usage - la priorité.
Les Editeurs Urbains maîtrisent trois métiers complémentaires à une conception et une production urbaines engagées : la Maîtrise d’Ouvrage avec la promotion immobilière, les Grands Projets d’aménagement et l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage pour le compte de ses clients.
Cette expertise nous permet d’accompagner ou de produire des objets immobiliers « marqueurs » de leurs territoires.
Des projets dont l’ambition et l’audace architecturales, l’exemplarité environnementale et la qualité d’usages incarnent leur vitalité : de La Marseillaise de Jean Nouvel à Marseille au Sofitel de Jean-Paul Viguier à Chicago, en passant par 1500 Ocean Drive de Michael Graves à Miami.
Avec les Editeurs Urbains, le projet immobilier et sa durabilité sont toujours en haut de la pyramide des valeurs.
À propos de Colonies
Fondée en 2017 par François Roth, Alexandre Martin et Amaury Courbon, Colonies, précurseur du coliving en Europe et opérateur de logements innovants, crée et gère des lieux de vie clés en main, conçus à partir des besoins des locataires à chaque moment de leur vie. Colonies réinvente l’expérience d’habitation dans les grandes villes grâce à plusieurs formes de locations meublées et entièrement équipées : coliving, colocation et habitat individuel, un ensemble de service inclus dans le loyer final (eau, électricité, chauffage, ménage, internet haut débit, …) et un parcours de réservation 100% en ligne.
Depuis sa création, Colonies s’emploie à construire la première plateforme de logements permettant à des investisseurs de renom (Ares Management, LBO France, CDC Habitat, In’li, etc.) de déployer simplement et massivement des capitaux immobiliers. Pour cela, Colonies se charge pour eux de sourcer, designer, rénover, meubler et opérer tout actif résidentiel en s’inscrivant dans une démarche à impact fort.
À ce jour, Colonies offre plus de 180 appartements et maisons à plus de 1 300 locataires, à Paris, Lille, Bordeaux, Marseille, Nantes, Fontainebleau, en Belgique à Bruxelles et en Allemagne à Berlin. Son équipe, basée à Paris, compte 100 collaborateurs.
Le conseil d'administration de la Société (le « Conseil ») vous informe par la présente que la classification du Compartiment dans le cadre du régime de divulgation de l'article 8 du Règlement 2019/2088 sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (le « SFDR ») changera à compter du 1er janvier 2023.
Le Compartiment poursuit actuellement un objectif d'investissement durable et est par conséquent classé sous le régime de divulgation de l'article 9 du SFDR. Le règlement délégué (UE) 2022/1288 de la Commission complétant le SFDR (le « CDR »), qui entrera en vigueur à partir du 1er janvier 2023, impose désormais aux fonds appartenant à ce régime de divulgation de ne réaliser que des investissements durables (à quelques exceptions près).
Le Compartiment ne pourra pas répondre aux caractéristiques requises par le CDR pour rester classé sous le régime de divulgation de l'article 9 du SFDR, à compter du 1er janvier 2023. Il a donc été décidé de reclasser le Compartiment sous le régime de divulgation de l'article 8 du SFDR, qui s'applique aux fonds promouvant des caractéristiques environnementales, sociales ou de gouvernance (ESG).
Le changement n'aura aucune incidence sur la manière dont le Compartiment est géré ni sur la stratégie d'investissement, l'allocation d'actifs ou le profil de risque.
Si vous n'approuvez pas les changements mentionnés ci-dessus, vous pouvez demander le rachat de vos actions jusqu'à 11 h 00 le 20 janvier 2023. Il est rappelé aux actionnaires que conformément au prospectus de la Société, aucun frais de rachat n'est exigible en cas de rachat d'actions.
La version mise à jour du prospectus intégrant notamment les changements ci-dessus sera disponible au siège de la Société dès qu’elle aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.
Avec nos meilleures salutations,
Au nom du Conseil d’administration
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Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>Philippe DEPOUX, Président de La Française Real Estate Managers fait le bilan, « La Française Real Estate Managers s’est distinguée en 2022 grâce à notre stratégie de fidélisation et d’acquisition de nouveaux clients locataires qui consiste à devancer leurs besoins de flexibilité contractuelle, de services, de maîtrise des consommations énergétiques et d’accompagnement dans la durée. Avec 345 000 m2 loués ou reloués en 2022, la qualité de notre « asset management » fait la différence, nous permettant de maintenir un taux d’occupation élevé de nos actifs et ainsi délivrer des performances en ligne avec les attentes de nos investisseurs, comme en témoignent le renouvellement et l’extension de notre principal mandat institutionnel français. Cela nous permet également de préserver la valorisation de notre parc immobilier. Nous remercions nos investisseurs pour leur confiance renouvelée dans ce contexte inédit. »
Collecte dynamique
La société de gestion annonce pour 2022 une collecte brute prévisionnelle de plus de 2,1 milliards d’euros auprès des investisseurs clients privés et institutionnels, portée notamment par l’engouement des investisseurs pour les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) et les unités de compte (UC) immobilières. A fin 2022, les encours sous gestion s’élèveront à près de 31 milliards d’euros, soit une progression de près de 5 % par rapport à 2021.
A l’instar de 2021, La Française REM réalise une collecte brute record sur ses fonds SCPI avec près de 1,5 milliard d’euros collectés en 2022, contre 1,4 milliard en 2021. Plus largement, la société de gestion se classe première sur le marché français à fin septembre en termes de collecte nette SCPI .
Transactions Immobilières
La Française REM a relevé le défi de la diversification géographique grâce à sa plate-forme immobilière (présence à Londres, Frankfort, Munich et Paris). A fin novembre, près de 10 % des actifs sous gestion se situent en dehors de la France : Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Royaume Uni, Luxembourg et Irlande. Face à la demande des investisseurs et afin d’assurer une meilleure couverture des marchés, la société de gestion a renforcé ses équipes dédiées aux marchés locaux.
La Française REM aura finalisé en 2022 près de 2,2 milliards d’euros en transactions immobilières. Elle a réalisé 1,4 milliards d’euros d’acquisitions, portant une attention particulière à la centralité des actifs ainsi qu’à leurs caractéristiques Environnemental, Social et de Gouvernance (ESG), et cédé l’équivalent de près de 800 millions d’euros. La majorité des acquisitions (58 %) porte sur des bureaux, suivi de la logistique (12 %) et du résidentiel (12 %). 67 % des actifs sont situés à Paris et en Ile-de-France, tandis que près de 13 % des acquisitions sont hors France, principalement en Allemagne mais également au Royaume-Uni, en Irlande et en Belgique. Une mention particulière pour les actifs de santé, nouveau secteur investit par La Française REM depuis le début d’année : 4 actifs de santé en France (portefeuille de trois actifs à Paris et un actif à Lyon), 1 en Irlande et 1 en Belgique.
Parmi les acquisitions les plus emblématiques et représentatives de sa stratégie d’investissement européenne :
Durabilité & Serviciel
En 2022, la société de gestion a poursuivi le déploiement de sa stratégie immobilière sur le patrimoine existant, axée notamment sur la durabilité et le serviciel, avec des actions telles que :
• L’accompagnement de ses locataires dans le cadre du dispositif éco-énergie,
• le développement de partenariats stratégiques en matière de consommation énergétique et
• le lancement de Wellcome by La Française, une nouvelle offre locative qui propose deux grandes innovations que sont la flexibilité contractuelle (avec le bail Agile - un bail commercial dont les dates de sortie fixes ont été remplacées par un préavis glissant de 6 mois) et un programme d’avantages exclusifs et à prix coutant sur toute une série de services à l’occupant au sein des immeubles.
Perspectives 2023
Nous anticipons encore une période d’inflation significative en 2023. Quand bien même l’inflation diminuerait, elle restera sans doute encore trop élevée pour permettre aux banques centrales d’assouplir leurs politiques monétaires, sauf à ce que la zone européenne ne s’enfonce dans une forte récession. Dans ce contexte, l’immobilier constitue un placement défensif dans la mesure où les loyers sont indexés à l’inflation. Dans cet environnement, la collecte devrait rester dynamique, de même que le programme d’investissement. Toutefois, une analyse croisée par typologie d’actifs et par secteur d’activité pour identifier les actifs offrant un meilleur potentiel de protection sera de mise. Dans ce contexte, La Française REM continuera à privilégier à l’acquisition les bureaux loués à des utilisateurs issus des secteurs d’activité en croissance (luxe, énergie, transports…), les actifs de santé ou le résidentiel géré peu impactés par les cycles économiques ainsi que les commerces de centre-ville avec des enseignes sur des secteurs en croissance. Le tout dans le cadre d’une politique de maîtrise ambitieuse des consommations d’énergies fossiles et de réduction des gaz à effet de serre (GES). La valorisation du patrimoine existant sera défendue par une gestion d’actifs vigoureuse, tournée vers la satisfaction du client utilisateur.
À propos de La Française
Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.
Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.
Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.
La Française gère plus de 50 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (30/06/2022)
La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022).
Pour plus d’information : www.la-francaise.com
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Publié par La Française AM Finance Services, filiale de La Française, dont le siège social est situé 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) sous le numéro 18673 X en qualité de prestataire de services d’investissement.
La Française Real Estate Managers, société agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro N GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Île-de-France sous le numéro CPI N 7501 2016000 006 443, portant les mentions Transactions sur immeubles et fonds de commerce et Gestion immobilière ; agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE du 24 juin 2014.
La Francaise Group UK Ltd – Enregistrée en Angleterre sous le numéro : 4253400. La Francaise Group UK Finance Ltd – Immatriculée en Angleterre sous le numéro 4717154, agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority (numéro FCA : 225360) – Siège social : 78 Brook Street, Londres, W1K 5EF. Ces entreprises opèrent individuellement et collectivement sous le nom de « La Française Real Estate Managers » ; LF Real Estate Managers Allemagne Deutsche Zweigniederlassung der La Francaise Group UK Ltd – Immatriculée en Allemagne sous le numéro : HRB 79216 est soumise à une réglementation limitée par le Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht – Siège social : Neue Mainzer Str. 80, 60311 Frankfurt am Main.
Nos principales anticipations :
En résumé, la BCE devrait confirmer son intention de poursuivre les hausses de taux d'intérêt en 2023, mais à un rythme plus lent, en raison du caractère déjà restrictif de sa politique monétaire. En dépit d’une communication que nous attendons plutôt "hawkish", le meeting ne devrait pas avoir d’influence très forte sur les marchés obligataires ; le meeting de la Réserve Fédéral américaine et les chiffres d’inflation américains devraient selon nous avoir un impact plus important.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement. en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Vous êtes porteurs de parts du fonds PREVALOR - FR0013366952 (ci-après « le Fonds ») dont la société de gestion de portefeuille est La Française Asset Management, 128 Bd Raspail, 75006 Paris.
1. Quels changements vont intervenir sur le fonds PREVALOR
L’opération consiste en un transfert du Fonds de la société de gestion « La Française Asset Management » vers la société de gestion « Hermitage Gestion Privée, 12 Avenue de la Grande Armée, 75017 Paris, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 90 105». Le fonds a été créé spécifiquement pour la clientèle du groupe Valoria. Ce dernier, après l’intégration de la société Hermitage gestion privée dans le groupe Valoria, souhaite que le fonds soit géré par cette dernière.
La nouvelle société de gestion, Hermitage Gestion Privée, souhaite modifier la stratégie d’investissement du fonds, le profil rendement/ risques.
Les fonctions de dépositaire et de centralisateur seront assurées par CREDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL ;Les fonctions de valorisateur seront assurées par Crédit Mutuel Asset Management
Le détail des modifications se trouve au point 5 : Quelles sont les principales différences apportées à votre investissement ?
Cette opération a été soumise à l'Autorité des Marchés Financiers qui l'a agréée en date du 18 novembre 2022. Elle sera effective le 16 janvier 2023 sur la VL du 16 janvier 2023 calculée le 17 janvier 2023.
]]>Vous êtes porteurs de parts du fonds AMPRIAM - FR0013258340 (ci-après « le Fonds ») dont la société de gestion de portefeuille est La Française Asset Management, 128 Bd Raspail, 75006 Paris.
1. Quels changements vont intervenir sur le fonds AMPRIAM
L’opération consiste en un transfert du Fonds de la société de gestion « La Française Asset Management » vers la société de gestion « Hermitage Gestion Privée, 12 Avenue de la Grande Armée, 75017 Paris, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 90 105». Le fonds a été créé spécifiquement pour la clientèle du groupe Valoria. Ce dernier, après l’intégration de la société Hermitage gestion privée dans le groupe Valoria, souhaite que le fonds soit géré par cette
dernière.
La nouvelle société de gestion, Hermitage Gestion Privée, souhaite modifier la stratégie d’investissement du fonds, le profil rendement/ risques. Les fonctions de dépositaire et de centralisateur seront assurées par CREDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL ; Les fonctions de valorisateur seront assurées par Crédit Mutuel Asset Management
Le détail des modifications se trouve au point 5 : Quelles sont les principales différences apportées à votre investissement ?
Cette opération a été soumise à l'Autorité des Marchés Financiers qui l'a agréée en date du 21 novembre 2022. Elle sera effective le 16 janvier 2023 sur la VL du 16 janvier 2023 calculée le 17 janvier 2023.
Bilan de notre SCPI de rendement avec Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de Santé.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>Conçu par Glaiman & Epstein et entièrement redéveloppé entre 2009 et 2011, l’immeuble de bureaux développe une superficie totale de 33 252 m2 répartis sur 22 étages supérieurs. Avec un restaurant privé, une cafétéria, une salle de conférence de 171 places, des salles de réunion et de réception, une terrasse accessible et une loge de concierge, il dispose de nombreux services.
L’immeuble à forte visibilité est situé au cœur du quartier Eiffel et à proximité des principaux pôles économiques parisiens (Paris, La Défense, Neuilly-sur-Seine, Saint-Denis). L’environnement commercial dynamique a attiré de nombreuses entreprises internationales et nationales. La propriété offre un bon accès aux transports en commun avec la ligne 3 du métro, la ligne SNCF L et la ligne C du RER, toutes accessibles à pied. So Ouest possède de solides références ESG (Environnement, Social et Gouvernance) avec une certification HQE et un label Bâtiment Basse Consommation Rénovation.
David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, a déclaré : « Nous sommes heureux d’avoir négocié avec succès une prolongation de bail à long terme avec SAP, le principal locataire de So Ouest, et nous souhaitons la bienvenue à Industrious. Ce faisant, nous avons assuré un taux d’occupation à long terme qui soutiendra la valeur de l’actif. Nous remercions SAP et Industrious de leur confiance. »
La presse professionnelle en parle :
Trophées Arseg : qui sont les lauréats de l'édition 20222 ? | Le « bail agile » de La Française Real Estate Management démarre en trombe | Dans la catégorie « nouveaux concepts de l’environnement de travail », le Lauréat est La Française pour le "bail agile". |
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(1) Association nationale des Directeurs de l’Environnement de Travail
]]>Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et sont considérées comme fondées ou exactes au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>On touche en effet à des notions comme la culture d’entreprise, la capacité à faire partager une vision et à exécuter une stratégie pour parvenir à l’accomplir, de même nature que le social trust dans l’univers politique, en fait on touche à la fabrication d’un mythe mobilisateur. Et pourtant, c’est sans doute le critère d’investissement à privilégier dans une démarche d’investissement car sans elle tout s’écroule : la finance, la valeur de la marque, le dynamisme de l’entreprise. Au niveau des états, la gouvernance est un indicateur directement relié à la création de richesse.
L’une des régions du monde où la gouvernance des entreprise et des états est reconnue comme exemplaire est l’Europe du Nord, c’est également l’une des zones économiques les plus dynamiques de la planète sur une longue période et ce n’est pas un hasard.
Les pays nordiques ont en effet réussi à créer un cocktail social particulier marqué par un niveau élevé d’individualisme et simultanément une grande confiance dans les institutions, qu’elles sont privées ou publiques. Les conditions de la réussite de ce cocktail sont comme on peut s’y attendre la transparence, l’intégrité et la responsabilité (accountability) à tous les niveaux. Les pays nordiques sont reconnus parmi les moins corrompus du monde et simultanément les plus ouverts sur le monde (les exportations y dépassent 50% de leur PIB). La bonne gouvernance leur donne une ossature qui leur permet d’assumer un choix délibéré de s’ouvrir « au vent glacial de la concurrence » comme le dit le Premier ministre suédois et en conséquence de bénéficier d’une excellente compétitivité, moteur de croissance à long terme.
Malheureusement rien ne garantit qu’un système de gouvernance, aussi performant soit-il, délivre toujours le résultat désiré. Si l’on prend le monde politique en exemple, les pères fondateurs de la constitution américaine ont pris toutes les précautions, y compris les recommandations de Montesquieu, pour empêcher qu’un populiste n’arrive au pouvoir: ce qui n’a pas empêché l’irruption du phénomène Donald Trump. Périclès à Athènes avait eu le même souci, ça n’a pas empêché Alcibiade d’arriver au pouvoir. Comme Marguerite Yourcenar le fait dire dans la bouche de l’empereur Hadrien: la bonne gouvernance de l’empire se voit à ce qu’un fou ne règne qu’une fois par siècle. Il me semble donc que la gouvernance fasse partie de ces risques extrêmes qui sont si difficiles à intégrer dans une gestion opérationnelle au jour le jour, mais si nécessaires à saisir pour éviter la faillite.
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L’immobilier est un actif à la dynamique de prix complexe. Il partage des caractéristiques avec les obligations : c’est un actif de rendement avec des flux de revenus prévisibles à long terme au travers des baux, mais aussi avec les actions : c’est un actif à revenu indexé sur l’inflation et, dans une certaine mesure, sur la croissance économique. La combinaison des deux caractéristiques ramène le problème du comportement de l’immobilier en cas de hausse des taux d’intérêt à celui plus fondamental de l’interaction entre taux d’intérêt, croissance économique et inflation avec tout de même la nécessaire prise en compte des particularités de l’économie immobilière.
De 1981 à 2016, le taux d’intérêt des emprunts d’état français à 10 ans a décru de 17,4% à 0,7%, soit trente-cinq ans de baisse quasi-ininterrompue des taux d’intérêt. Cette évolution monétaire reflète le changement drastique du niveau d’inflation qui est passé de 14,0% à 0,6% l’an alors que la croissance économique passait simultanément de 2,5% à 1,1% l’an. Sur cette période, l’immobilier d’entreprise s’est en moyenne très bien comporté, malgré deux crises majeures sans lien de cause à effet avec une remontée des taux, ce qui indique que l’influence positive des taux d’intérêt a été prédominante par rapport à celle négative de l’indexation des loyers.
Un peu plus loin dans le temps, de 1971 à 1981, le taux d’intérêt des emprunts d’état à 10 ans a progressé de 7,7% à 17,4% tandis que l’inflation montait de 5,8% à 14,0% et que la croissance économique s’effritait de 4,5% à 2,5%. Sur cette période, l’immobilier d’entreprise s’est également très bien comporté ce qui signifie que l’influence globalement positive de l’indexation des loyers a été prédominante par rapport à celle négative des taux d’intérêt. L’immobilier se comporterait-il donc bien dans toutes les configurations économiques et monétaires ?
Taux de capitalisation et taux d’intérêt
Sur la période relativement homogène en termes de politique monétaire qui débute avec l’adoption du traité de Maastricht en 1992, la relation observée entre le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA et celle du taux des OAT à 10 ans est assez étroite avec une corrélation qui dépasse 80%.
La relation est cependant plus complexe qu’il n’y paraît car le taux de capitalisation réagit avec un certain temps de réponse à la hausse des taux d’intérêt. Les trois périodes de hausse prononcée du taux des OAT sur les vingt-cinq dernières années initiées en décembre 1993, décembre 1998 et juin 2005 n’ont entraîné de hausse du taux de capitalisation qu’après un délai de réponse plus ou moins long car il a fallu attendre à chaque fois que le taux des OAT touche, voire excède, le taux de capitalisation. De plus les hausses du taux de capitalisation n’ont pas toujours été déclenchées par une baisse des prix : lorsque le taux de capitalisation augmente en décembre 1999, un an après la hausse des taux d’intérêt, le prix des bureaux a continué de progresser mais moins vite que les loyers qui flambaient dans le sillage de la bulle Internet.
Prix de l’immobilier et taux d’intérêt
Le décalage entre les mouvements de taux d’intérêt et ceux de l’immobilier sont une des sources de la capacité de diversification de l’immobilier dans un portefeuille obligataire, l’autre source provenant de l’interaction entre les taux d’intérêt et l’indexation des loyers. Sur la période considérée, le prix des bureaux Prime Paris QCA baisse en moyenne un an et demi après une hausse soutenue des taux d’intérêt avec un intervalle de confiance entre un et deux ans, c’est la durée du décalage entre le cycle obligataire et le cycle immobilier. Pour 100 points de base de hausse (respectivement baisse) du taux des OAT à 10 ans, le prix des bureaux Prime Paris QCA baisse (respectivement monte) en moyenne de 5% avec un intervalle de confiance élevé de plus ou moins 5%. La corrélation est en effet relativement faible à 25%, ce qui vient illustrer la complexité de la relation.
L’indexation des loyers
La capacité à dissocier l’évolution du taux de capitalisation de celle des prix de l’immobilier tient à la dynamique des loyers. Jusqu’en 2014, l’indice du coût de la construction ICC a été l’indice communément utilisé pour la révision des loyers des baux commerciaux. L’instabilité chronique de l’ICC, très sensible au coût des matières premières, a conduit à le remplacer par l’indice des loyers d’activité tertiaire ILAT. L’évolution de l’ILAT peut être modélisé à partir de l’inflation et de la croissance du PIB avec un niveau de corrélation de près de 80%, elle correspond à l’inflation auquel il faut rajouter 40% de la croissance économique. L’ILAT augmente donc un peu plus vite que l’inflation et capte une partie de la croissance. Historiquement, l’évolution des loyers suit en tendance celle de l’ILAT, mais avec des fluctuations cycliques importantes qui traduisent l’influence de la conjoncture économique sur l’économie immobilière, en particulier la demande placée des bureaux et l’absorption nette.
Le présent, le futur et l’accident
Avant d’envisager le futur, il est utile de s’interroger sur l’influence qu’a actuellement la politique monétaire accommodante de la BCE sur la valorisation du marché immobilier. Le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA a été récemment aspiré vers le bas et se situe bien en dessous de sa moyenne historique mais sa prime par rapport au taux des OAT a été simultanément poussée vers le haut et se situe bien au-dessus de sa moyenne historique. Un simple calcul de retour à la moyenne du taux de capitalisation toutes choses égales par ailleurs implique une baisse du prix des bureaux Prime Paris QCA équivalente à la hausse entraînée par le retour à la moyenne de la prime. Le marché immobilier a donc bien subi l’impact de la baisse forcée des taux d’intérêt mais avec une certaine modération, pas au-delà de la moitié de ce qu’il aurait pu subir.
La croissance économique et l’inflation en France induisent une tendance modeste de hausse de l’ILAT à 1,5% et la conjoncture immobilière, caractérisée par une demande placée et une absorption nette de bonne tenue, est équilibrée. Il n’y a donc pas de facteur permettant d’escompter une forte pression à court terme sur les loyers et l’impact de mouvements du taux de capitalisation se fera sentir directement sur le prix de l’immobilier.
Une nouvelle période s’ouvre au mieux de maintien de taux d’intérêt bas, au pire de hausse des taux d’intérêt. Il est en effet très probable que la BCE normalisera à partir de 2018 sa politique monétaire ce qui fera progressivement remonter le taux des OAT à 10 ans de 150 points de base vers son niveau naturel de l’ordre de 2,5% (taux de croissance potentiel du PIB nominal). Si l’on se réfère à l’analyse précédente, le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA devrait progresser de 75 points de base à 3,75% quelques mois après. Ce sera une période compliquée à gérer pour le marché immobilier, tout dépendra du degré de coordination entre la normalisation de la politique monétaire et la formation d’anticipations de hausse des revenus locatifs soutenue par un regain d’inflation et de croissance.
La tendance est que les politiques budgétaires expansives prennent le relai des politiques monétaires accommodantes un peu partout dans le monde développé, générant une certaine inflation accompagnée d’une hausse progressive des taux d’intérêt. Des forces modératrices sont cependant à l’œuvre : le vieillissement démographique, la baisse des gains de productivité et l’abondance d’épargne. Si La hausse des taux d’intérêt devait s’enclencher, le taux de capitalisation des bureaux Prime Paris QCA devrait continuer de progresser au-delà de 3,75% en ligne avec les taux d’intérêt. Mais dans cette hypothèse, une dynamique d’anticipation à la hausse des loyers devrait s’enclencher et venir modérer l’impact de la hausse du taux de capitalisation sur le prix de l’immobilier, voire l’inverser.
]]>Mais au final que retenir de ce sommet et des 12 engagements auxquels s’ajoutent les diverses annonces faites lors des événements labellisés One Planet Summit entre les 11 et 13 décembre 2017 ?
Si quelques engagements peuvent particulièrement retenir l’attention, le sentiment général est bien résumé par une ONG : le paquet d’annonces « comprend quelques initiatives intéressantes, beaucoup de choses recyclées et dénote une absence de volonté politique forte ».
On peut cependant noter que les annonces émanent de différentes catégories d’acteurs et vont dans le sens du président Macron qui souhaitait mettre en avant « une coalition des coalitions » entre les Etats, les collectivités locales, les philanthropes, les industriels ou encore les financiers, la réponse au réchauffement climatique ne pouvant en effet être crédible que si « tous les acteurs sont réunis ». Cet objectif-là est donc atteint. La question de l’additionalité des engagements et de leur réalité reste ouverte mais ne boudons pas notre plaisir, la mobilisation internationale et particulièrement française était au rendez-vous.
Vers la fin du financement des énergies fossiles
Le début de la fin du financement des énergies fossiles se confirme.
La Banque mondiale, qui s’est engagée à aligner ses pratiques sur les objectifs de l’Accord de Paris, a annoncé la fin de ses financements à tout projet d’exploration et d’exploitation de pétrole et de gaz après 2019. Ce n’est pas tant le volume qui est important que le symbole : les financements de la Banque mondiale vers l’industrie pétrolière et gazière ont représenté environ 1,6 milliard de dollars en 2016, à comparer aux plus de 400 milliards investis dans le secteur l’année passée.
Autre exemple, les banques françaises mettent les sables bitumineux sur le grill : BNP Paribas, Crédit Agricole, Société générale et Natixis ont annoncé qu’elles ne financeraient plus ces activités, ni pour certaines, les infrastructures de transport qui y sont associées. Le premier assureur mondial Axa a pris le même engagement tout en renforçant ses engagements précédents avec le « No new coal » soit ne plus financer les entreprises associées à tout nouveau projet de centrale à charbon, partout dans le monde.
Aligner les modèles de financement sur l’Accord de Paris
Second type d’engagements : la volonté d’aligner les modèles de financement sur l’Accord de Paris et sur les 2 °C maximum de réchauffement.
L’Agence Française de Développement a par exemple annoncé vouloir être maintenant « 100 % Accord de Paris ». C’est ainsi la première banque de développement au monde à déclarer vouloir s’aligner sur une trajectoire d’émissions de gaz à effet de serre compatible avec l’accord signé à Paris en 2015. Il faudra maintenant que d’autres banques de développement adoptent rapidement un tel engagement.
Côté grandes entreprises, plus de 320 entreprises sont engagées dans la définition de leur propre trajectoire 2 °C, autrement dit cherchent à traduire la recherche de la neutralité carbone dans leur propre modèle économique, leurs investissements, leurs produits, … Près de 100 ont déjà leur cible d’émissions validées par des tiers externes et 900 autres ont déclaré leur intention de rejoindre ce club dans les deux prochaines années !
Elles sont par ailleurs plus de 200 à s’être publiquement engagées à suivre les recommandations de la Task Force on Climate-related Financial Disclosure (TCFD). Il s’agit de recommandations volontaires sur les informations climatiques que les entreprises devraient rendre publiques pour aider les investisseurs, les organismes prêteurs, et autres acteurs à prendre de bonnes décisions financières.
Côté investisseurs, 225 grands investisseurs institutionnels représentant plus de 26 300 milliards de dollars d’actifs sous gestion (dont HSBC ou le plus gros fonds de pension public américain, CalPERS) se sont engagés à faire pression sur les 100 entreprises cotées les plus émettrices de gaz à effet de serre. Il s’agira d’abord d’aider les 100 entreprises visées par cette initiative, baptisée « ClimateAction 100 + », à mettre en place des stratégies de baisse des émissions et de reporting transparent sur le climat. Si elles jouent le jeu, elles pourront sortir de la liste. Dans le cas contraire, les investisseurs useront de leur pouvoir d’actionnaires pour sanctionner les récalcitrants.
Du coté des Etats enfin, l’OCDE a annoncé sa volonté de comparer les budgets nationaux avec ce qu’ils devraient être pour être alignés sur l’Accord de Paris. La France et le Mexique ont déjà donné leur accord pour être parmi les premiers à opérer cette comparaison. Dans quelques mois, nous saurons donc très précisément si le budget voté chaque année par l’Etat français est compatible ou non avec l’Accord de Paris. Si tel n’est pas le cas, il sera alors très difficile de justifier les actuelles subventions qui vont à l’encontre de la lutte contre le dérèglement climatique.
Quant aux fonds souverains, même si on est encore loin de l’alignement sur l’accord de Paris c’est bien la première fois qu’un engagement public est pris par ce type d’acteurs et le fait est notable. A l’initiative d’Emmanuel Macron, la Norvège, les Emirats Arabes Unis, l’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït et la Nouvelle-Zélande ont décidé de lancer une coalition inédite qui œuvrera pour diriger en priorité les financements vers l’action climatique. L’initiative sera pilotée par la France et la Norvège.
Changer les règles du jeu
Troisième type d’engagements : le changement des règles du jeu. L’enjeu n’est plus seulement d’accumuler les milliards d’investissements dans l’économie verte par les « bons élèves ». Il faut changer les règles qui régissent le fonctionnement de la totalité du système financier mondial en y intégrant le climat.
« Il est temps de déclencher un changement de comportement parmi les acteurs de la chaîne de valeur du secteur financier », explique l’exécutif européen dans le communiqué qu’il a publié à l’occasion du sommet. Au printemps 2018, il présentera un plan d’action global qui « devra stimuler le marché des produits financiers durables » en se basant sur les recommandations du groupe de haut niveau sur la finance durable pour une réforme du cadre financier de l’Union européenne. Avec pour objectif de réorienter les investissements vers des technologies et des entreprises plus durables.
Initier le changement : les engagements français
Cocorico, les grandes entreprises françaises mettent 300 milliards d’euros sur la table : 91 entreprises, représentant 1 500 milliards d’euros de chiffres d’affaires et plus de 6 millions d’emplois directs, ont lancé le French Business Climate Pledge. Ensemble, elles annoncent des investissements massifs pour passer à une société bas carbone. « De 2016 à 2020, nous prévoyons au moins 60 milliards d’euros d’investissements industriels et de R&D dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique et le déploiement d’autres énergies bas carbone », indiquent-elles. À cela, elles ajoutent 220 milliards d’euros de financements de projets contribuant à lutter contre le changement climatique, 15 milliards d’euros dans le nucléaire et 30 milliards d’euros dans le gaz.
Cocorico encore, le secteur public s’engage à travers la Charte des investisseurs publics français en faveur du climat, qui représentent 600Mds€ sous gestion, par laquelle ces institutions publiques françaises s’engagent à mettre en œuvre une approche cohérente avec les objectifs de l’Accord de Paris et déclinée en 6 principes, notamment d’intégrer le climat dans leurs décisions d’investissement.
]]>L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.
Son argumentaire repose sur les travaux des marginalistes autrichiens, tels que Friedrich Hayek, mais aussi sur les travaux de Frédéric Bastiat : en économie capitaliste de marché le profit se fait à la marge, que se passe-t-il donc si les coûts marginaux de production s’effondrent et tendent vers zéro ? Cette question est née de l’observation que la digitalisation permet la production et la distribution de nombreux biens et services à coût marginal quasi-nul dans de nombreux domaines qui relèvent de l’économie de la connaissance : édition, communication, divertissement, entre autres. L’Internet des objets ne fera que renforcer cette tendance. Sachant qu’à long terme le prix est égal au coût marginal, les profits disparaissent et les salaires par la même occasion. Et pourtant la demande de ces biens et services ne fait que croître, alors comment les produire ? Par les « communaux collaboratifs » répond Jeremy Rifkin, ceux ci sont des organisations qui regroupent des ressources communes et les utilisent collectivement en dehors de l’économie de marché. Utopie ? Peut-être mais des millions de ces communaux existent déjà : associations, fondations, clubs, coopératives, collectivités de toute sorte, qui sont finalement le pendant des Gafa, ces géants supranationaux de l’Internet, et se nourrissent du même terreau : la digitalisation. L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.
]]>Mais que dire lorsque ces signaux faibles, en général isolés ou provenant d’acteurs marginaux se transforment en signaux forts émanant des institutions les plus au cœur du système ? Lorsque ces signaux faibles se transforment en appel à agir sans tarder de la part d’acteurs aussi emblématiques que divers ?
Car c’est bien ce qui est en train de se passer pour la finance sur la question du climat. Les signaux faibles se sont multipliés entre 2000 et 2015, via diverses initiatives allant de coalitions (par exemple le CDP ; 2002), aux think tank (par ex Carbon Tracker Initiative ; 2011), aux ONG (par exemple 350.org et gofossilfree.org ; 2007) en passant par le politique (rapport Stern ; 2006) ou le scientifique (divers rapports du GIEC). Ils tentaient tous d’alerter les investisseurs sur le risque climatique. Cela semble être restés lettre morte la plupart du temps, mais ils ont malgré tout effectué leur travail d’alerte préparant peu à peu les uns et les autres par une lente diffusion du message et un élargissement du cercle des initiés, au fait que décidément le climat était bien un sujet pour les financiers.
Aujourd’hui cependant, et depuis quelques mois particulièrement, les signaux forts se multiplient, le message a peu évolué mais est désormais porté par des acteurs non pas connus pour leurs engagements philanthropiques ou activistes mais pour leurs réussites économiques et leur acceptation des règles du jeu du système économique et financier.
Ces signaux émanent ainsi :
Des politiques à divers niveaux :
Le G20 au travers des recommandations groupe de travail sur la transparence en matière de reporting climatique financier (TCFD) porté par le Conseil de Stabilité Financière (FSB)
L’Union Européenne au travers des recommandations du HLEG (Groupe d’experts de haut niveau) sur la finance durable particulièrement axée sur le climat pour bon nombre d’entre elles, et qui vont alimenter son plan d’action pour une finance durable
La Suède qui vient de se doter d’une loi climat particulièrement exigeante qui obligera le gouvernement à peser chaque décision budgétaire sous l’angle de son impact environnemental alors que le pays vise la neutralité carbone en 2045
La France à travers l’article 173 de la loi sur la transition énergétique et son obligation de reporting ESG et climatique sur le mode « comply or explain »
Du plus grand investisseur mondial, BlackRock dont le dirigeant Larry Flink a envoyé une lettre aux entreprises dont son groupe est actionnaire et qui a largement fait le tour de la planète. La lettre souligne (littéralement) que « Pour prospérer au fil du temps, toute entreprise doit non seulement produire des résultats financiers, mais également montrer comment elle apporte une contribution positive à la société ». Pour rappel, BlackRock pèse 6 000 milliards d’euros et est un actionnaire de référence des plus grandes entreprises mondiales.
Des entreprises puisque le dernier rapport sur les risques globaux (Global Risk Report) publié à l’occasion du Forum Economique Mondial de Davos a souligné que 3 des 5 principaux risques globaux relevaient désormais du changement climatique.
Des consultants à l’instar Mc Kinsey qui se demande aujourd’hui dans un article « From Why to Why not ? » pourquoi ne pas inverser la proposition en matière de finance durable et climatique et ne pas définir par défaut une offre de finance durable en laissant à ceux qui le veulent la possibilité de faire autrement (à l’ancienne ?) si ils le souhaitent mais renversant ainsi la nécessaire expression des choix.
Mc Kinsey, BlackRock, Forum Economique Mondial, G20, etc. : si les positions des plus grands acteurs mondiaux sont le reflet de ce qui sera la norme de demain alors il est temps pour tous les investisseurs de considérer le climat et plus largement l’impact de ses investissements comme un élément à part entière en même temps, selon la formule chère à notre Président, que les aspects financiers. Quant à nous, à La Française, nous sommes persuadés que ces éléments s’influencent mutuellement c’est pourquoi nous avons développé un modèle d’analyse stratégique qui nous permet de combiner un ensemble de critères extra-financiers et financiers qui nous donnent une meilleure probabilité d’identifier les points d’inflexion qu’une analyse financière traditionnelle ne pourrait révéler à elle toute seule.
Le Mix réunit un panel d’experts autour d’une même thématique et permet des échanges constructifs avec le public et les internautes. Ce nouveau concept innovant, inspiré des émissions télévisées dans sa configuration, permet la participation au débat de manière interactive, via l’utilisation d’une application mobile. Les invités pourront ainsi poser leurs questions et répondre aux sondages tout au long de l’évènement.
Le débat sera également accessible directement via la Blueroom grâce au streaming mis en place où les internautes pourront également bénéficier de toute l’interactivité du débat.
Pour sa première édition, “Le Mix” rassemble sur son plateau, différents points de vue et domaines d’expertise sur une thématique clé : L’Impact Carbone
Problématique écologique et sociétale, mais aussi d’investissement, les émissions carbones sont au cœur des enjeux de demain. La COP 21, qui s’est tenue à Paris il y a deux ans, a constitué une étape essentielle. La publication de la loi sur la transition énergétique s’appuie sur une même dynamique, elle permet de sensibiliser les acteurs financiers à la nécessité d’évaluer leur politique en matière d’ESG et de lutte contre le réchauffement climatique.
Depuis un an et les premiers travaux pour se mettre en conformité avec l’article 173, les entreprises comme l’ensemble de l’écosystème financier ont évolué. Il existe de plus en plus d’officines qui proposent des méthodologies, dialoguent avec les entreprises et les incitent à modifier leurs pratiques. Les méthodes et les mesures progressent.
Le dernier rapport de l’Autorité des marchés financiers (AMF) souligne bien le fait que l’ISR est «protéiforme et évolutif». Chacun peut ainsi posséder ses propres définitions et ses propres référentiels.
L’intégration des critères ESG et la problématique du climat doivent s’intégrer à toutes les classes d’actifs et à toutes les catégories d’investisseurs : des fonds souverains aux gérants s’adressant aux particuliers. Tout le monde doit prendre position dans un domaine où les pistes ne sont pas encore abouties et où de nombreuses étapes doivent encore être franchies avant de parvenir à une véritable normalisation qui permettrait de déboucher sur une labellisation des fonds à impact. La lutte contre le réchauffement climatique doit s’appliquer à l’ensemble des investissements réalisés dans le monde. Il s’agit de sujet complexes à appréhender qui ne se limitent pas à des solutions simples et univoques.
C’est ce dont débattront les invités du Mix le 28 mars à 18h.
Le Mix, un rendez-vous trimestriel à ne pas manquer. Restez connectés ! #LeMixLF
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Selon Arthur Fonck, gérant actions à La Française Inflection Point, les investisseurs sont de plus en plus nombreux à reconnaître que les entreprises qui appliquent des politiques internes pour faire face au changement climatique et réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre, améliorent leur positionnement stratégique, et cela commence à se ressentir au niveau de leurs performances financières.
À partir d’un univers composé d’entreprises mondiales, nous avons adopté une approche portefeuille pour analyser l’impact des indicateurs de l’empreinte carbone sur les performances financières de sociétés. Nous avons construit des portefeuilles modèles neutres sans biais sur le plan sectoriel et géographique, comprenant des entreprises avec une empreinte carbone allant de la plus faible à la plus élevée et les résultats des back tests ont démontré que les entreprises obtenant les meilleurs résultats en matière d’émissions de carbone ont historiquement surperformé. Les taux de rendement absolus et corrigés du risque, reflètent une surperformance annualisée1 de 2,3 % et un ratio de Sharpe de 1,2 depuis 2014. Il est encore plus frappant de constater que cette corrélation s’est accrue au cours des deux dernières années ; un nombre croissant d’investisseurs et d’entreprises considèrent que les émissions de carbone représentent aujourd’hui un enjeu stratégique (source : Étude La Française Inflection Point ; période considérée : trois ans à compter de 2014).
Comment expliquer ce résultat ?
Au-delà de l’aspect réglementaire, le changement climatique devient un enjeu d’entreprise ; certaines entreprises prennent désormais des initiatives pour atténuer les risques liés au changement climatique en prenant en compte le coût des émissions de carbone. De même qu’une entreprise aux capacités sous-utilisées est considérée improductive, les émissions excédentaires sont désormais jugées contreproductives au niveau opérationnel et représentent un risque potentiel.
Jusqu’à récemment, les investisseurs responsables estimaient que les entreprises avaient tendance à maximiser leurs bénéfices en respectant, au strict minimum, les exigences réglementaires. Ce type de vision à court terme est le résultat d’une application de la réglementation sur les émissions de carbone inefficace et insuffisante. Conscientes des risques induits par le changement climatique, certaines entreprises n’ont pas attendu que les régulateurs réagissent et selon les informations du CDP, plus de 1 000 entreprises appliquent déjà un prix interne du carbone ou se préparent à le faire en 2018.
La réduction des émissions de carbone soutiendrait la rentabilité à long terme
Lorsque le coût des émissions figure sur un compte de résultat, les investisseurs peuvent identifier les inefficacités et donc favoriser les entreprises qui tendent à réduire leurs émissions. En tant que telle, la stratégie d’investissement neutre en carbone de La Française tient compte de l’impact potentiel de la réduction des émissions de carbone sur la rentabilité à long terme. Dans la valorisation des entreprises, nous tenons compte des nouvelles réglementations qui établiront le prix d’une tonne d’émission carbone.
La question de la tarification du carbone a suscité l’intérêt du public comme moyen de réduire les émissions et d’allouer les investissements vers des solutions de remplacement « propres » et source d’économies d’énergie. Certaines entreprises ont déjà pris des mesures pour mettre en place un prix interne du carbone : LVMH a récemment relevé son prix interne du carbone à 30 € la tonne ; Adobe facture à chaque département les coûts liés à leur consommation d’énergie, afin de favoriser les projets efficaces en carbone, de réduire les coûts et d’atténuer les risques pour l’entreprise.
Associer l’efficacité et la transition carbone permettrait d’optimiser les rendements
Nous avons examiné dans quelle mesure l’évolution de l’empreinte carbone d’une entreprise peut être un indicateur prédictif des performances financières. À partir de la même méthodologie de construction de portefeuilles, nous avons constaté que les entreprises leaders dans la réduction de leur empreinte carbone d’une année sur l’autre, ont obtenu des performances nettement supérieures, avec un taux de rendement annualisé de 6,3 % et un ratio de Sharpe de 1,3 sur la même période.
La stratégie d’investissement neutre en carbone de La Française vise à identifier les entreprises qui font un effort de transition vers une économie décarbonée et qui, en raison de leur positionnement stratégique, seront en mesure de générer une surperformance financière à l’avenir.
Wal-Mart, entreprise avec une forte activité de logistique et de transport, cherche à réduire ses émissions afin d’atténuer l’impact négatif potentiel des coûts sur sa chaîne de valeur. En investissant dans la technologie pour réorganiser sa chaîne de valeur, Wal-Mart a lancé le « Projet Gigatonne » et a fixé un nouvel objectif de réduction des émissions d’une gigatonne d’ici à 2030. La société fait le pari stratégique de réduire ses émissions de telle manière que ses concurrents de plus petite taille ne pourront pas répliquer une telle initiative. Si Wal-Mart n’est pas le distributeur le plus efficace en carbone à l’heure actuelle, sa détermination à réduire ses propres émissions et celles de ses partenaires, en fait une entreprise leader de la transition énergétique.
De même, le commerce électronique et sa multitude de petites expéditions, doit trouver des solutions opérationnelles pour gérer le changement climatique. Les entreprises de logistique mettent en place des solutions de livraison plus efficaces, par l’adoption de véhicules propres et l’optimisation des trajets pour réduire les délais de transport. UPS, qui a réduit la distance parcourue par ses chauffeurs de 335 millions de kilomètres, a diminué de 210 000 tonnes ses émissions de carbone et a réalisé des économies de 400 millions USD par an (Source : 2016 UPS Corporate Sustainability Report).
Conclusion
À en juger par le succès du One Planet Summit, l’idée préconçue que les investisseurs ne tiennent pas compte des facteurs environnementaux dans leurs décisions d’investissement a été démentie. Ils commencent à réaliser que les entreprises qui ne réduisent pas leurs émissions feront face à un désavantage concurrentiel qui pourrait avoir un impact significatif sur leur valorisation.
Des initiatives pour faire évoluer la tarification du carbone telles que les « carbon pricing corridors » du CDP, servent déjà de références aux investisseurs qui cherchent à évaluer le risque climat sur la valeur de leurs actifs. Ces initiatives couplées à une plus grande transparence des entreprises se traduiront par des décisions d’investissement averties et devraient contribuer à générer de la surperformance pour les entreprises leaders en matière de réduction des émissions de carbone.
1 La simulation des performances passées n’est pas un indicateur fiable des résultats futurs. Il existe des risques associés aux investissements en actions qui peuvent comprendre notamment les risques de change, liés aux marchés actions, marchés émergents, fonds d’investissements, de gestion, de modèle de marché, de liquidité et opérationnels.
Rédigé par Arthur Fonck, gérant actions à La Française Inflection Point
Avertissement :
Document promotionnel à destination des investisseurs professionnels. Les informations contenues dans cette présentation ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d’être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d’autres professionnels de l’investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d’investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.
]]>Car c’est bien ce qui est en train de se passer pour la finance sur la question du climat. Les signaux faibles se sont multipliés entre 2000 et 2015, via diverses initiatives allant de coalitions (par ex le CDP ; 2002), aux think tank (par exemple Carbon Tracker Initiative ; 2011), aux ONG (par exemple 350.org et gofossilfree.org ; 2007) en passant par le politique (rapport Stern ; 2006) ou le scientifique (divers rapports du GIEC). Ils tentaient tous d’alerter les investisseurs sur le risque climatique. Ils sont restés lettre morte pour la plupart, ou plutôt ont effectué leur travail d’alerte préparant peu à peu les uns et les autres par une lente diffusion du message et un élargissement du cercle des initiés, au fait que décidément le climat était bien un sujet pour les financiers.
Aujourd’hui cependant et depuis quelques mois particulièrement, les signaux forts se multiplient, le message n’ayant que peu évolué mais étant désormais porté par des acteurs non pas connus pour leurs engagements philanthropiques ou activistes mais pour leurs réussites économiques et leur acceptation des règles du jeu du système économique et financier.
Ces signaux émanent ainsi :
Des politiques à divers niveaux :
Le G20 au travers des recommandations groupe de travail sur la
transparence en matière de reporting climatique financier (TCFD) porté
par le Conseil de Stabilité Financière (FSB).
L’Union Européenne au travers des recommandations du HLEG (Groupe
d’experts de haut niveau) sur la finance durable particulièrement axée sur
le climat pour bon nombre d’entre elles, et qui vont alimenter son plan
d’action pour une finance durable.
La Suède qui vient de se doter d’une loi climat particulièrement exigeante
qui obligera le gouvernement à peser chaque décision budgétaire sous
l’angle de son impact environnemental alors que le pays vise la neutralité
carbone en 2045.
La France à travers l’article 173 de la loi sur la transition énergétique et son
obligation de reporting ESG et climatique sur le mode « comply or explain ».
Du plus grand investisseur mondial, BlackRock dont le dirigeant Larry Flink a envoyé une lettre aux entreprises dont son groupe est actionnaire et qui a largement fait le tour de la planète. La lettre souligne (littéralement) que « Pour prospérer au fil du temps, toute entreprise doit non seulement produire des résultats financiers, mais également montrer comment elle apporte une contribution positive à la société ». Pour rappel, BlackRock pèse 6 000 milliards d’euros et est un actionnaire de référence des plus grandes entreprises mondiales.
Des entreprises puisque le dernier rapport sur les risques globaux (Global Risk Report) publié à l’occasion du Forum Economique Mondial de Davos a souligné que 3 des 5 principaux risques globaux relevaient désormais du changement climatique.
Des consultants, à l’instar de Mc Kinsey dans un article « From Why to Why not ? », se demandent aujourd’hui pourquoi ne pas inverser la proposition en matière de finance durable et climatique et ne pas définir par défaut une offre de finance durable en laissant à ceux qui le veulent la possibilité de faire autrement (à l’ancienne ?) si ils le souhaitent mais renversant ainsi la nécessaire expression des choix.
Mc Kinsey, BlackRock, Forum Economique Mondial, G20, etc. si les positions des plus grands acteurs mondiaux sont le reflet de ce que sera la norme demain alors il est temps pour tous les investisseurs de considérer le climat et plus largement l’impact de ses investissements comme un élément à part entière en même temps, selon la formule chère à notre Président, que les aspects financiers. Quant à nous, à La Française, nous sommes persuadés que ces éléments s’influencent mutuellement c’est pourquoi nous avons développé un modèle d’analyse stratégique qui nous permet de combiner un ensemble de critères extra-financiers et financiers qui nous donnent une meilleure probabilité d’identifier les points d’inflexion qu’une analyse financière traditionnelle ne pourrait révéler à elle toute seule.
]]>Les grands principes
Le décret n° 2015-1850 prévoit deux types d’informations sur lesquels les investisseurs doivent reporter annuellement :
Des informations relatives à la politique ESG de l’investisseur : démarche générale de prise en compte des critères ESG – contenu, fréquence et moyens utilisés pour informer les clients – liste des OPC concernés par la prise en compte des critères ESG – part de leurs encours dans ceux de la SGP – Adhésion de l’entité ou des OPC à des chartes, codes, initiatives et labels ESG…
Des informations relatives à la prise en compte par l’investisseur des critères ESG dans sa politique d’investissement : description de la nature des critères ESG pris en compte – informations utilisées pour l’analyse – méthodologie et résultats de l’analyse, hypothèses retenues, exposition au risque climat et compatibilité avec les objectifs globaux et nationaux.
Tous les investisseurs concernés n’ont pas les mêmes obligations. Pour les SGP, le seuil de 500 millions retenu s’apprécie individuellement au niveau de chaque fonds géré et pour les investisseurs institutionnels, ce seuil s’apprécie au niveau de leur bilan. Les investisseurs se situant en dessous de ce seuil bénéficient d’une déclaration allégée portant uniquement sur la prise en compte des critères ESG. Les autres ont pour obligation de reporter sur les deux types d’informations. En outre ils doivent également prendre en compte le risque climatique.
Un effet d’entraînement pour les gérants d’actifs immobiliers
La plupart des acteurs immobiliers qu’ils s’agissent de foncières ou de gérants de fonds immobiliers ne sont pas directement concernés par l’article 173 – VI. Néanmoins, pour que les investisseurs soient en mesure d’analyser les risques et opportunités ESG-Climat liés à leur stratégie d’investissement, il faut que les émetteurs ou les SGP avec lesquels ils travaillent soient en mesure de leur communiquer des informations adaptées à leurs besoins. Ainsi, même s’ils ne sont qu’indirectement concernés par l’article, et qu’ils n’ont pas l’obligation de fournir un reporting “article 173” à leurs clients investisseurs institutionnels, l’effet d’entrainement de ce texte de loi a un impact significatif sur les pratiques des acteurs immobiliers tels que les SGP dont la qualité de leur propre reporting devient cruciale pour attirer des investisseurs dont la politique d’investissement est de plus en plus orientée vers la prise en compte de l’ESG et du risque climatique.
Les acteurs immobiliers ont donc tout intérêt à s’équiper pour être en mesure d’intégrer la mise à disposition de ces informations dans leur offre commerciale.
Spécificités & enjeux
L’une des spécificités importantes des SGP en immobilier réside dans le fait que le gestionnaire gère à la fois des fonds d’investissement mais aussi le patrimoine constitutif du fond, c’est-à-dire les immeubles et les relations avec leurs parties prenantes (utilisateurs – prestataires – riverains). Aussi, contrairement aux valeurs mobilières, l’investissement en immobilier ne porte pas sur un émetteur dont on analyse la politique RSE au regard de critères ESG, mais sur un actif-bâtiment dont les caractéristiques pourront être améliorées par les pratiques du gérant. La politique de gestion ESG mise en œuvre par le gérant tout au long de la vie du portefeuille peut donc revêtir un enjeu au moins aussi important que celui de la politique d’investissement mise en œuvre lors de la phase d’acquisition.
Pour cette raison, il semble pertinent pour l’immobilier de valoriser davantage les progrès réalisés durant la période de détention plutôt que la seule performance initiale de l’actif à l’acquisition. On constate d’ailleurs qu’outre l’investissement classique dans des actifs neufs et performants, un certain nombre de fonds en immobilier font le choix d’investir dans des actifs existants présentant un potentiel d’amélioration intéressant tout en s’engageant à améliorer leurs performances au cours de leur période de détention. Cette démarche leur permet par ailleurs de contribuer à l’effort de rénovation du parc existant et aux objectifs de transition énergétique et écologique.
Des enjeux ESG spécifiques
Si l’analyse ESG en immobilier s’est longtemps focalisée sur la dimension environnementale, elle se structure progressivement et sûrement sur la dimension sociale/sociétale autour de critères relatifs à l’accessibilité, la mobilité, le confort, le bien-être et la santé des occupants, les services qui lui sont rendus ou encore la mixité sociale et fonctionnelle. Enfin, si les critères de gouvernance adressés par les acteurs immobiliers diffèrent encore d’une structure à l’autre, les modalités de gestion de la relation avec les parties prenantes constituent l’un des enjeux clés du secteur. D’autres critères sont fréquemment utilisés au niveau de la SGP, en particulier l’éthique des affaires (corruption, code de déontologie, politique de gestion des conflits d’intérêts, lutte contre le blanchiment d’argent, etc.), l’existence d’un dispositif de contrôle interne des risques ESG, la transparence du reporting transmis aux investisseurs, le respect des référentiels internationaux (adhésion aux PRI par exemple), etc.
La réponse de La Française REM
Certains acteurs immobiliers comme La Française REM intègrent des critères ESG à l’évaluation d’un actif dès la phase de due diligence. Pour La Française REM, cette évaluation est réalisée à partir des informations collectées lors de la réalisation d’un audit technique appelé DiagTech. Cet outil développé en interne et utilisé depuis de nombreuses années via Internet par des auditeurs qualifiés permet de mesurer un certain nombre de critères ESG retenus pour le calcul d’un indice ISR nécessaire pour évaluer l’éligibilité de l’actif à l’acquisition.
La mise à jour des données permet à La Française REM de s’engager sur une politique d’amélioration et de communiquer de manière transparente sur les résultats obtenus.
De cette manière, La Française REM peut répondre aux attentes de ses investisseurs en fournissant annuellement la plupart des indicateurs nécessaires à la réalisation de leur reporting.
Renforcer le dialogue
Des écarts importants peuvent être observés entre les questionnaires transmis par les investisseurs et les grilles utilisées notamment pour ce qui concerne la nature des critères utilisés ou les pondérations appliquées. Certains investisseurs utilisent par exemple la même grille de notation que pour les valeurs mobilières demandant ainsi aux SGP en immobilier des informations dont elles ne disposent pas ou non pertinentes pour leur activité. De même, si les indicateurs demandés sont souvent communs avec ceux suivis par les SGP, leur définition et méthode de calcul peuvent différer, nécessitant un retraitement de l’information pouvant se révéler consommateur de temps. C’est le cas par exemple de la mesure des émissions de gaz à effet de serre, qui bien que non imposée par le décret, apparait comme incontournable aujourd’hui pour les investisseurs.
Un renforcement du dialogue entre investisseurs et SGP apparaît donc nécessaire pour permettre d’ajuster la nature des critères demandés en s’appuyant sur une meilleure compréhension des enjeux spécifiques au secteur immobilier.
Dans un second temps, un effort de standardisation du reporting ESG à l’échelle du secteur permettrait d’homogénéiser les demandes des investisseurs et d’aligner les pratiques des SGP.
]]>La Française est un acteur responsable et bénéficie d’un centre de recherche qui est dédié à ces sujets, nourrissant ainsi un grand nombre de nos stratégies.
Cette approche est à la fois une évidence pour nous et une nécessité. Le réchauffement climatique concerne tous les secteurs – il est peut-être à l’origine d’une véritable révolution industrielle.
Quelles sont les caractéristiques clés de notre approche ?
Nous distinguons trois grandes catégories d’entreprises : les plus émettrices qui doivent réduire leurs émissions de CO2, celles qui apportent des solutions aux précédentes et enfin celles qui produisent de l’énergie verte. Notre stratégie consiste à combiner ces trois types d’entreprises afin de maximiser l’impact sur le climat de notre portefeuille.
À titre d’illustration, prenons l’exemple d’UPS, leader mondial du transport : en optimisant leur réseau de logistique, UPS a réduit ses émissions de CO2 de plus de 10% tout en baissant ses coûts de 400 millions de dollars par an. C’est l’exemple typique du facteur carbone où la réduction des émissions rime avec amélioration de la profitabilité !
Cette approche exige un travail d’analyse approfondie sur un univers qui est assez large, et c’est ici qu’intervient notre équipe d’analyse extra-financière, située à Londres. Nous travaillons main dans la main pour identifier les entreprises les plus pertinentes à travers un large spectre de critères : environnemental, social et de gouvernance, ainsi que l’analyse de leur empreinte & politique carbone.
Et quid de la performance financière ?
Nous sommes assez ambitieux – parce que nous avons une double exigence.
La première consiste à avoir un bon profil climatique – la deuxième, la performance financière… l’un n’allant pas sans l’autre.
Nos recherches démontrent clairement que les entreprises qui participent à la réduction du réchauffement climatique ont aussi une meilleure performance financière – c’est à dire de nouvelles opportunités de croissance et création de valeur pour les entreprises.
Notre stratégie, qui existe en version monde et en version zone euro, permet d’allier la participation à la transition énergétique et la recherche de performance financière. À ce titre, de nombreux investisseurs de renom nous ont fait confiance.
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La pression des investisseurs, la réduction des risques et l’amélioration de la réputation, associées à un environnement réglementaire plus strict et au besoin de programmes de réduction des coûts, vont continuer d’influencer les pratiques en matière de RSE dans le secteur, mais de nouveaux thèmes ESG émergent aux côtés de ceux existants qui, nous semble-t-il, nécessiteront des modèles de notation plus inclusifs, flexibles et liés aux ODD.
Parmi ces thèmes émergents, nous en avons identifiés certains qui nous paraissent essentiels et qui sont systématiquement inclus dans notre modèle d’évaluation :
ENVIRONNEMENT
Certifications et normes : au-delà des systèmes d’évaluation environnementale des bâtiments mis au point dans le monde entier (il en existerait plus de 600 différents du BREAM au LEED en passant par HQE en France) d’autres types de certifications apparaissent répondant à de nouveaux besoins. Ainsi en va-t-il de la norme et de la certification WELL étroitement liées à la santé et au bien-être. De même le nouveau phénomène de notation par la communauté apparaît comme une option et concerne non seulement les bâtiments, mais également des espaces publics tels que les places, parcs et rues.
Demande en énergie et changement climatique : avec des durées de vie moyenne de 50 à 100 ans, les bâtiments neufs engagent les émissions de CO2 sur des durées très longues. L’urbanisation au niveau mondial s’accroit considérablement, en Chine par exemple la consommation énergétique des bâtiments pourrait augmenter de 40 % au cours des 15 prochaines années. Selon le World Green Building Council, pour rester sur un objectif 2° C, il faut modifier considérablement notre niveau d’ambition afin d’avoir, d’ici à 2050, des bâtiments à zéro émission.
Utilisation de l’eau et gestion des déchets : le Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau a révélé que la demande mondiale en eau douce dépasserait de 40 % l’offre en 2030. Le changement climatique, la croissance démographique, les usages, vont entrainer des pénuries d’eau de plus en plus courantes aussi bien en milieux urbain que rural. Les grandes villes risquent réellement de manquer d’eau, notamment Tokyo et Londres, aussi surprenant soit-il. Faute de nouvelles ressources, il faut travailler sur une meilleure gestion de l’eau : ainsi les eaux usées provenant de la collecte des eaux de pluie, des tours de refroidissement, des douches et toilettes pourraient être collectées et traitées. Le problème des déchets est aussi crucial et les pressions réglementaires sont de plus en plus forte pour interdire notamment la mise en décharge des déchets de construction et de démolition et améliorer le recyclage.
SOCIAL
Santé et bien-être des occupants : afin de concurrencer les bâtiments à la pointe de la technologie, il est essentiel de répondre aux besoins des occupants, mais également des employeurs. Les entreprises qui font face à une pénurie de main-d’oeuvre qualifiée peuvent attirer les talents en partie grâce à des lieux de travail inspirants.
Urbanisme et Résilience : avec le changement climatique, le nombre de phénomènes météorologiques extrêmes a considérablement augmenté au cours des dernières années et va continuer de croître. Cela implique de prendre en compte prioritairement le facteur résilience dans les plans de conception et de construction des bâtiments. Les villes doivent mieux se préparer à de tels risques et à devenir plus résilientes dans tous les aspects du paysage urbain – physiquement, économiquement et socialement.
Sur un marché du logement concurrentiel, on assiste à une course aux armements pour de nouvelles commodités. Les salles de sport sophistiquées et les accès aux rooftops sont de plus en plus courants, les programmes disposent à présents de salle de cinéma, des jardins communaux et d’accès à un espace de travail collaboratif.
GOUVERNANCE
Gestion : il est nécessaire de redéfinir l’immobilier pour y inclure les services et les infrastructures. Les utilisateurs souhaitent aussi plus de flexibilité afin de pouvoir répondre aux besoins changeants des secteurs résidentiel et commercial. Cela nécessite une gestion des actifs et des investissements plus intensive.
Innovation et technologie : la disruption technologique est un phénomène à prendre en compte, bien que ce soit moins coutumier dans le monde de l’immobilier que dans d’autres secteurs. Pourtant la gestion de son image sur les réseaux sociaux par exemple est essentielle. L’adaptabilité et la réactivité face au nouvel ordre mondial doivent faire partie de l’arsenal ESG d’une entreprise.
Au final, il nous semble qu’une approche traditionnelle des questions ESG – centrée essentiellement sur l’énergie et les problèmes connexes liés au changement climatique, ne sera pas suffisante pour comprendre et analyser les performances futures des sociétés immobilières et les attentes en matière d’immobilier durable. Les investisseurs et les analystes du secteur immobilier doivent élargir leurs horizons et élaborer des métriques ESG qui prennent en compte l’ensemble des nouveaux défis.
L’étude intégrale rédigée par La Française Forum Securities (LFFS) et Global Property Research (GPR) est à retrouver en ligne.
]]>Se voulant un outil permettant aux autres investisseurs de mieux comprendre comment faire le lien entre risques financiers et climat, il fournit un état des lieux des méthodologies d’analyse de scénarios climatiques puis se concentre sur la méthodologie utilisée par le groupe de travail pilote et testée par les investisseurs afin d’évaluer l’impact du changement climatique sur leurs portefeuilles. Il détaille également certaines études de cas partagées par les 20 investisseurs pilotes et synthétise leurs retours d’expérience.
Pour La Française, participer à ce groupe de travail nous a permis de rester à l’avant-garde de la finance climatique. En tant qu’investisseurs, nous sommes exposés aux risques et opportunités climatiques dans nos portefeuilles car les entreprises dans lesquelles nous investissons doivent s’adapter dans cette période de transition vers une économie bas-carbone. Et mesurer la résilience de nos portefeuilles au changement climatique est un enjeu clé mais complexe, reposant sur de multiples hypothèses évaluant l’impact du changement climatique sur les différentes entreprises dans une vision dynamique et prospective. Un exercice jusque-là trop difficile et donc peu accessible, reposant de plus sur des méthodologies encore balbutiantes et destinées à évoluer.
C’est pourquoi s’associer avec d’autres grands investisseurs engagés au sein de ce groupe de travail pour partager nos questions et faire avancer la réflexion de manière structurée faisait sens. Lors de la période de tests du nouvel outil que représente la Climate Value-at-Risk (CVaR) développée par Carbon Delta, nous avons pu discuter des hypothèses faites par Carbon Delta et en tant que groupe les challenger. Puis nous avons analysé avec cet outil certains de nos portefeuilles à l’aune de divers scénarios climatiques. Même si les résultats doivent encore être améliorés, la Climate VaR nous apporte un nouvel éclairage sur les risques climatiques en prenant en compte les risques de transition comme les risques physiques, en incluant des éléments prospectifs via les brevets déposés par les entreprises et enfin en proposant un choix -essentiel nous semble-t-il- de divers scénarios climatiques basés sur des projections d’un monde à 1,5°, 2°ou 3°. C’est un outil innovant qui vient compléter nos propres analyses fondamentales et que nous pensons utiliser à terme dans la gestion de nos portefeuilles comme un des éléments d’analyse de la résilience des entreprises au changement climatique.
Nous aspirons à que le rapport « Changing Courses » permette de diffuser ce que nous avons appris à un public plus large d’investisseurs partageant les mêmes préoccupations et d’aider à une harmonisation relative des reporting climatiques des entreprises et donc des investisseurs.
(1) Addenda Capital, Afore Citibanamex, Aviva plc, Bentall Kennedy, CDPQ, CDL Group, City Developments Limited, Desjardins, DNB Asset Management, Investa, KLP Kapitalforvaltning, La Française Group, La Salle Investment Management, Link, M&G Prudential, Manulife Investment Management, Nordea Asset Management, Norges Bank Investment Management, Rockefeller Capital Management, Storebrand Asset Management, TD Asset Management,
(2) Recommandations de la TCFD, Task-force on Climate-related Financial Disclosures, www.fsb-tcfd.orgA
Kraft-Heinz résulte d’une fusion à l’époque soutenue par Berkshire Hathaway et 3G Capital. Le poste de CEO et les principales fonctions du CA ont alors échus aux représentants des acquéreurs avec pour objectif de mettre en place une stratégie agressive de réduction des coûts et de repérer de nouvelles cibles à acquérir. Une méthode plus centrée sur la profitabilité que sur la croissance, et qui pouvait se comprendre dans un contexte de ralentissement des perspectives de croissance dans les marchés émergents, de compétition de nouvelles marques indépendantes ou de marques distributeurs, de l’e-commerce et des discounters. Après l’échec de la tentative de rachat par Kraft-Heinz, Unilever a adopté un modèle similaire de réduction des coûts et doublé ses objectifs d’économies. Mais ces mesures ont été prises par une organisation qui avait déployé depuis longtemps une stratégie de croissance durable et sur le long-terme.
Le contraste entre les positionnements stratégiques d’Unilever et Kraft-Heinz peut s’analyser par le prisme des impacts environnementaux et sociaux :
Le management de Kraft-Heinz a peut-être eu le coup de semonce nécessaire pour revoir sa stratégie à long-terme. Lors de la conférence téléphonique présentant les résultats, puis par la suite, les analystes ont largement critiqué l’entreprise pour son décalage avec les modes de consommation. Une critique que l’on imagine mal s’appliquer à Unilever.
]]>Composé autrefois de pelouses sans intérêt et d’arbres ornementaux, cet espace était finalement peu attrayant et par conséquent peu fréquenté. « Quand on prend un projet, on voit l’état de l’existant, et le potentiel. Il n’y avait aucun usage sur les pelouses, une biodiversité réduite, pas de pédagogie avec les occupants et un entretien coûteux », a détaillé Antoine Guibourgé (Directeur de MUGO) lors de cette visite. « Le paysage se développe en ville, mais cela a un coût. Il faut que le projet soit réalisable et qu’il se maintienne dans le temps. Il fallait ici que l’entretien du nouveau site ne coûte pas plus cher que précédemment. Dans ces espaces urbains très minéraux, il s’agit dans un premier temps de créer un lieu propice au retour de la biodiversité, même de façon modeste, grâce à un jardin multifonctionnel dépassant la fonction ornementale ».
A Puteaux, les arbres au feuillage persistant ont été remplacés par des arbres au feuillage caduque et des fruitiers afin d’appuyer le retour de la microfaune du sol. Un arbre fruitier, en plus de donner des fruits comestibles, est mellifère (le pollen des fleurs est utilisé par les abeilles pour fabriquer du miel), sert de gîte pour les oiseaux, et constitue un lieu de rencontre pour les gourmands.
« Dès que l’on a pu remplacer les vivaces et les arbres ornementaux par des plantes comestibles en libre-service, on l’a fait », indique Antoine Guibourgé. Bourrache, sauge, thym, salades, framboisiers, groseillers et autres végétaux comestibles composent le jardin potager, dont une partie est entretenue de manière associative par les résidents qui souhaitent cultiver leurs propres plants. Le paillage de lin installé cet hiver pour protéger les jeunes plants du froid et maintenir l’humidité dans le sol a essaimé une multitude de graines qui donnent aujourd’hui de jolies plantes aux fleurs bleues, conservées parmi les autres plantes. La nature reprend ses droits ! Les 7 pensionnaires du poulailler font la joie, parmi les occupants du site, des amateurs d’oeufs bio qui apportent leurs boîtes à oeufs pour la distribution gratuite. Les poules sont nourries aux grains et aux
« déchets verts ». Enfin, un peu à l’écart de ce jardin de cocagne, six ruches assureront une production de miel estimée de 10 à 20 kg par an.
Tout a été pensé comme une expérimentation, avec pour objectif de prouver la faisabilité d’une agriculture urbaine à Paris. L’étude préalable des sols a démontré qu’ils étaient compatibles avec une activité agricole raisonnée, grâce à l’absence de métaux lourds et de particules d’hydrocarbure, même si le quai de Dion Bouton en contre-bas est fortement fréquenté par le trafic automobile.
L’approche est celle d’un jardin circulaire : rien ne rentre (pas d’intrants chimiques), rien ne sort. Les « déchets » verts alimentent le compost tandis que l’eau de pluie est récupérée pour un arrosage réduit. En règle générale, un maraîcher doit disposer de 1 à 2 hectares en pleine terre pour vivre de son activité, à faible marge. Ce n’est donc pas ici un modèle productif. Pour le « premier printemps » de ce potager, inauguré il y a quelques mois seulement, il n’y a pas d’engagement formel sur des objectifs quantitatifs de production. Les estimations par an sont de l’ordre de 1 tonne de légumes, 145 kg de petits fruits en libre-service (framboises, cassis, groseilles), 800kg de pommes et poires, plus de 3 000 plantes aromatiques pour la production de tisanes (séchoir à disposition) et 1 500 pots de miel. Une terrasse en bois est installée au milieu du potager pour y installer un mini marché (par semaine ou par quinzaine) qui pourra être l’occasion de distribuer aux résidents les produits récoltés.
Un des principaux objectifs de cette initiative est de favoriser le confort et le bien-être des occupants ainsi que le lien social au sein même du campus. La création de ces 2 000m² de jardins maraîchers a été ainsi très bien reçue par les occupants. Dans sa conception, le jardin accueille différents espaces : potager participatif et pédagogique (l’entretien d’une partie du site est assuré par des occupants volontaires, organisés en micro-association d’une quarantaine d’adhérents, formés par Mugo à raison de quatre sessions par an), terrain de pétanque, terrasses en bois pour les évènements des résidents en extérieurs, installation de mobilier sur les pelouses propices à l’échange, aux repas entre collègues ou à la contemplation. Par ailleurs, le RIE s’inscrit aussi volontairement dans cette démarche, en organisant des évènements de convivialité au moment des repas à l’extérieur pour profiter du jardin.
Quels enseignements pour le secteur de l’immobilier ?
Une telle initiative ne peut être réalisable sans la conviction et l’élan du propriétaire. Si l’annonce et la présentation du projet ont suscité un réel engouement de la part des occupants du Campus, l’expérimentation requiert néanmoins de la prudence quant à son maintien dans le temps. « Un projet d’agriculture urbaine est à prendre avec beaucoup d’humilité », indique prudemment Gérard Degli Esposti, Directeur de l’ISR immobilier – La Française REM, et Président de l’OID. Mais aujourd’hui l’engouement est tel qu’il promet de belles années à ce jardin maraîcher.
Au-delà de l’impact de la nature sur le confort et le bien-être des citoyens, le retour de la production maraîchère en ville et la biodiversité qui l’accompagne (oiseaux, fleurs, fruits) est également une manière de valoriser des espaces souvent délaissés et peu fréquentés, et un bel exemple d’engagement sur des problématiques centrales très actuelles.
Dépassant l’opération de marketing qui est souvent et à juste titre mise en avant, l’agriculture urbaine exerce un pouvoir attractif sur les occupants en ce sens qu’elle représente un espace de bien-être physique et moral, mais également un lieu d’expérimentation, de pédagogie et de participation citoyenne autour de la biodiversité et de l’alimentation.
A Puteaux -les visiteurs de l’Observatoire de l’Immobilier Durable ont pu le vérifier- le jardin d’agriculture urbaine participe au développement du bien-être et au renforcement du lien social. Mais on peut également constater son rôle dans l’intégration du Campus dans le territoire comme en témoigne les nombreuses questions posées par le voisinage sur une possible et prochaine ouverture au public. Grâce à la ré-introduction de la nature en ville, parler d’intégration et de mixité sociale et urbaine lorsqu’on évoque l’immobilier tertiaire socialement responsable prend tout son sens.
]]>Les conditions météorologiques de l’été ont été clairement anormales, tant en France avec 87 départements concernés par des restrictions d’eau, dont 41 en situation de crise, qu’à l’international avec la multiplication des incendies à des échelles encore jamais atteinte en Amazonie mais également en Afrique ou encore avec l’ouragan Dorian.
Les engagements de la COP 21, déjà insuffisamment ambitieux, ne sont pas, ou très peu, respectés par les Etats signataires et les mauvaises nouvelles s’invitent de plus en plus dans l’actualité. C’est le cas dans la presse quotidienne, à la radio et dans les journaux TV. Mais ce fut aussi le cas lorsque les grands de ce monde, réunis pour le G7 à Biarritz, ont mis sur la table les incendies en Amazonie et les dangers liés à la déforestation de ce poumon vert et sommé le Président Bolsonaro de réagir en proposant de l’aider à lutter contre ces incendies.
Les -mauvaises- nouvelles climatiques se sont également invitées à l’Assemblée Nationale où Valérie Masson-Delmotte a enfin pu présenter aux parlementaires le dernier rapport spécial du GIEC sur le climat datant d’octobre dernier grâce à… Greta Thunberg !
Enfin le climat s’est invité au Rassemblement des Entrepreneurs Français, l’ex-Université d’été du MEDEF : bon gré (car c’était en partie le thème : No(s) Future(s)) – mal gré (parce que de jeunes étudiants sont venus bousculer les entreprises avec leur Manifeste pour un Réveil Ecologique).
La Déclaration pour un Capitalisme des Parties Prenantes de la puissante Business Roundtable aux Etats-Unis, qui propose de mettre fin à la toute-puissance des actionnaires, nous prouve que ces mauvaises nouvelles peuvent aussi conduire à des prises de conscience et à des changements dans notre modèle de société. Changements que l’on appelle de nos voeux en France en général et à La Française en particulier.
C’est dans ce but que nous continuons à nous organiser pour rendre encore plus visible et efficace notre engagement, avec notamment la nomination de Laurent Jacquier-Laforge, au poste Global Head of Sustainable Investing. Il aura la responsabilité d’incarner et de porter en interne comme en externe l’engagement du Groupe La Française en matière d’investissement responsable sur l’ensemble de ses expertises. Il s’appuiera notamment sur Inflection Point by La Française, notre centre de recherche extra financière du groupe basé à Londres.
Le Groupe est pleinement conscient de la nécessité de faire de la pédagogie, car faire bouger les lignes n’est possible qu’avec la volonté du plus grand nombre. Ainsi, en cette rentrée, profitant des PRI* dont La Française est sponsor, nous avons mis en place un bel évènement suivi à la fois en présentiel et en streaming, sur le thème de l’impact investing. Avec notamment une introduction d’Eric Salobir, et la participation de Valérie Masson Delmotte (GIEC), la table ronde s’est construite autour de 3 sujets : Grand Paris – l’impact des métropoles ; Des trajectoires pour mesurer la transition ; Pédagogie pour l’impact.
]]>Ces réserves sont sans doute dues au fait que la nouvelle technologie numérique se fonde sur un modèle économique qui est le modèle du choix maximum et de la liberté maximum, mais aussi, en corollaire, du repère minimum et de la confiance minimum. On choisit, on compare, on saute de prestataire en prestataire et au fond il n’y a plus de lien, plus de fidélité. Et c’est avec une utilisation intensive du scoring que nous tentons de recréer de la confiance et de la sécurité. Il parait à présent naturel à chacun de noter son chauffeur VTC ou son service hôtelier ! Le numérique envahit maintenant le domaine régalien de la monnaie. Or toute monnaie repose sur la confiance car la monnaie fiduciaire n’a pas de valeur intrinsèque. Avec la crypto monnaie il n’y a finalement plus besoin de la confiance, la confiance est remplacée par des algorithmes, des Smart Contract. Et finalement, à partir de contingence financière, nous jetons les bases d’une certaine forme de société.
Follow the money, c’est réaliser que ceux qui ont le pouvoir de donner vie aux rêves ce sont ceux qui investissent dans ces rêves et qui les transforment en projet. Les investisseurs sont donc en première ligne.
S’il y a une éthique du business, l’éthique peut être aussi un business en soi et certains peuvent être tentés d’en faire profit en oubliant la finalité, comme ce fut le cas parfois avec l’écologie. Le cas de la voiture électrique vendue comme ne polluant pas, mais qui est rechargée avec une électricité produite au charbon est un bon exemple. Le greenwashing peut entrainer des pertes de confiance et il faut prendre gare à ce que le même phénomène ne se reproduise avec les technologies.
En fait Il faut changer de mentalité et arrêter de penser « profit » pour penser « valeur ». C’est toujours une donnée financière, mais le profit est au compte de résultat et la valeur est au bilan, ainsi on passe d’une vision court-termiste à une vision de long terme et on se questionne : qu’est-ce que je construis ? que vais-je léguer ?
La bonne attitude est donc de fonder la valeur sur des Valeurs. Avoir une volonté affichée en phase avec les valeurs, c’est ça au fond l’impact investing, utiliser des flux financiers pour quelque chose qui va bien au-delà du flux financier, pour transformer la société.
]]>L’IR en lien avec la sélection des investissements individuels
– L’intégration ESG permet d’accéder à plus d’informations afin de prendre des décisions d’investissement en intégrant des données non-financières. En général ces données sont classées par enjeux Environnementaux, Sociaux ou de Gouvernance (ESG). Cette approche peut être mise en œuvre via des règles (quant) ou être discrétionnaire (stock picking) ou en utilisant les deux à l’instar des gérants actifs de La Française qui profitent de nouvelles sources de données et cadres analytiques. L’intégration ESG traduit des facteurs risques- rendement non financiers en performance d’investissement.
– L’engagement actionnarial comprend le vote actif en assemblées générales et l’engagement auprès des sociétés détenues. L’engagement sur des facteurs ESG a été repris dans de nombreux Codes de Gouvernance dans le monde et fait partie de la panoplie des outils à la disposition de gérants actifs comme La Française. Il est promu par les PRI*.
– L’investissement thématique durable. L’investissement thématique ne date pas d’hier. Les stratégies de construction de portefeuille bâties autour d’un thème environnemental ou social sont considérées comme des investissements thématiques ESG ou durables.
– L’impact investing ou investissement à impact est une catégorie historiquement réservée au private equity et à la philanthropie. Dans ce cas la préservation du capital n’est pas toujours un pré-requis afin de pouvoir générer un impact social ou environnemental. Les ODD** ont ouvert
le débat pour élargir cette définition à des investissements permettant de générer également de la performance financière. Ce type d’investissement va plus loin que les deux précédents puisque les impacts sur l’environnement ou la société doivent être intentionnels et mesurés.
Ces catégories ne sont pas mutuellement exclusives. En fait, la plupart des produits d’Investissement Responsable incorporent plusieurs catégories à l’image de notre stratégie actions Carbon Impact. Les indications données par la politique d’investissement d’un produit permettent de déterminer à quelle catégorie(s) principale(s) d’IR se rattachent celui-ci.
« We need Hope ! » Tel était le message d’introduction de Brune Poirson, Secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire. Suivant une tendance qui se dessine depuis quelques mois, l’attention était portée sur les Océans, l’agriculture, la biodiversité. En effet on ne parle plus seulement Energie et Climat car comme l’a souligné Jennifer Morris, présidente de Conservation International « Le meilleur moyen de réduire nos émissions carbone, c’est la nature elle-même. Elle représente 30 % de la solution, mais ne reçoit que 2 % des investissements ». D’ailleurs, en conclusion de la journée, Brune Poirson a déroulé une feuille de route très claire pour tous les acteurs financiers et politiques présents : « D’ici l’année prochaine, nous devons faire émerger des projets liés à la nature ».
Pendant ce temps au Chili, en Equateur, au Liban, la colère gronde. Avec moins de violences peut-être, mais portant toujours sur la question du pouvoir d’achat, les manifestants en Irak, au Venezuela, en Espagne et encore toujours les gilets jaunes en France militent pour un changement en profondeur de nos sociétés. La transition écologique, financière, politique, sociétale doit être une transition juste qui emmène tout le monde, quel que soit le niveau social. Il ne faut pas perdre de vue que nous vivons sur une planète où, en 2018, les 26 milliardaires les plus riches possédaient autant que les 4 milliards d’humains les plus pauvres*
Des bonnes nouvelles ? il nous en vient quelques-unes du Sommet Climat de l’ONU qui a eu lieu à New-York le 23 septembre :
– Moscou a annoncé la signature d’une résolution gouvernementale consacrant l’adhésion définitive de la Russie à l’Accord de Paris sur le climat – Avec l’annonce de l’Autriche, du Chili, de l’Italie, du Japon et du Timor Oriental, ce sont désormais 66 pays qui se sont engagés dans la Carbon Neutrality Coalition
– Dix-neuf entreprises, parmi lesquelles des géants du secteur agroalimentaire, ont présenté une coalition visant à protéger la biodiversité – Même Amazon s’engage et nous annonce viser la neutralité Carbone pour 2040 !
De son coté au fil des mois La Française continue à s’engager avec ses partenaires. La nature était aussi un sujet central de la conférence que l’OID a tenue dans les locaux de La Française et qui fut introduite par Gérard Degli Esposti. Catherine LARRERE en tant que philosophe y a exploré les liens entre Homme et Nature. Nous vous en proposons un court résumé en page 2 de cette newsletter.
Coté nature toujours, Moniwan plateforme de distribution en ligne de La Française, répond aux préoccupations des uns et sensibilise les autres en plantant des arbres à chaque souscription de SCPI. Parce que les arbres sont un bon moyen de décarboner, parce que, 3 par 3, les petits arbres font de grandes forêts qui décarbonent longtemps, mais aussi parce que c’est un merveilleux moyen de favoriser la biodiversité et d’apporter un soutien économique aux populations locales, et tout cela va dans le bon sens ! Continuons donc, en veillant à réduire toujours plus notre empreinte carbone et plantons des arbres pour compenser l’incompressible !
* source Oxfam
]]>– Disposer d’un outil gratuit et utile à tous les investisseurs y compris les plus petits ;
– Être transparents sur les données, la méthodologie et les résultats ;
– N’utiliser que des données publiques ;
– Bâtir des méthodologies sectorielles robustes en partenariat avec une solide référence académique : la London School of Economics (LSE).
Début 2017, la TPI voit le jour. La méthodologie mise en place analyse les entreprises sur 2 axes :
1. Management Quality :
s’intéresse à la gouvernance, la stratégie, les objectifs, les structures mises en place par les entreprises ; cet axe repose sur 19 questions qui sont les mêmes pour tous les secteurs étudiés ;
2. Carbon Performance :
analyse une performance basée sur des mesures d’intensité carbone sectorielles en comparant de manière prospective les objectifs que se donne l’entreprise avec diverses trajectoires : celle de l’Accord de Paris, la trajectoire 2° et la trajectoire inférieure à 2°. Si l’entreprise ne publie pas d’objectif, alors la tendance actuelle des émissions de CO2 est projetée dans le futur.
Les résultats globaux de la performance carbone analysée sur 8 secteurs et 190 entreprises parmi les plus émettrices au monde montrent l’ampleur du chemin qu’il reste à parcourir… seules 16 % des entreprises analysées sont en ligne avec un réchauffement climatique de 2° ou moins, un chiffre qui monte à 30 % lorsque l’on inclut les entreprises alignées avec l’Accord de Paris dont on sait qu’il nous mène à un monde à environ 3°.
Les ambitions du TPI sont importantes avec la volonté de couvrir plus de secteurs (les transports aériens et maritimes dans les semaines à venir), une extension du nombre des entreprises analysées pour intégrer les plus petites capitalisations boursières et répondre aux besoins du crédit et enfin, évaluer la politique des états afin d’intégrer une évaluation des dettes souveraines.
A l’heure où nous comprenons véritablement que notre monde change, que le réchauffement climatique et ses conséquences, sociales, sur l’alimentation, en termes de flux migratoires et donc ses conséquences politiques exigent que nous produisions et consommions différemment, chacun doit pouvoir gérer son épargne avec d’autres critères que les seules références financières. Le besoin est réel de nouveaux référentiels à disposition de tous, pour inclure les questions climatiques et sociales dans les scénarios économiques et financiers. En ce sens, le TPI constitue ainsi un apport essentiel et de qualité également utilisé par la « Climate Action 100+ ».
Alors particulier ou investisseur, épargnant néophyte ou professionnel, l’outil est gratuit, le site reprend toutes les informations nécessaires à sa bonne compréhension (en anglais il est vrai), n’hésitez plus et allez vous renseigner sur un secteur, une ou des entreprises sur le site de la TPI !
* Nadine Viel Lamare a aussi pendant une dizaine d’année en charge de l’investissement responsable au sein du fonds de pension suédois AP1
]]>La conférence a été introduite par Laurent JACQUIER-LAFORGE, Global head of Sustainable Investing – La Française, et animée par Gérard DEGLI ESPOSTI, Directeur ISR Immobilier et Président de l’OID.
La première partie a vu intervenir Catherine LARRERE, Philosophe et professeure émérite – Université de Paris-La Sorbonne, qui a abordé ce sujet complexe sous l’angle de l’éthique environnementale, en citant un extrait de L’Esprit des Lois de Montesquieu (1689-1755).
Cette prise de recul nous permet de recadrer la question du rapport entre homme et nature. Catherine Larrere nous invite à y réfléchir. Aujourd’hui, le système Terre dans son ensemble est affecté par les sociétés industrielles parce que les ouvrages des hommes survivent aux hommes (Henning Mankell). Le changement climatique est au fond le résultat, non pas de ce que nous avons voulu, mais de ce que à quoi nous n’avons pas pensé !
La période durant laquelle l’homme a façonné très fortement la nature (anthropocène) aura des conséquences qui se produiront bien au-delà de l’extinction de l’humanité (ex : les déchets radioactifs, le changement climatique, l’érosion de la biodiversité etc.).
Habiter la terre autrement
Il ne suffit pas de savoir quoi faire mais de savoir comment faire, et en cela, le travailn philosophique peut être utile. Notre attitude a été longtemps de conquérir, dominer discipliner la nature dans une posture de pouvoir, d’exploitation, de destruction… mais faut-il pour autant totalement tourner le dos au passé ? Comment alors inclure la nature dans la moralité ?
Notre existence est confrontée à des temps courts (le temps humain, de l’économie, de la politique) et les temps longs de la nature.
La bonne durée est celle qui correspond à la fois à une durée humaine et à une durée naturelle ; et la bonne posture est de considérer l’homme comme partie de la nature, en cessant de parler de l’homme ET de la nature.
Il ne suffit pas de parler de nature avec respect, puisque les ouvrage des hommes s’imbriquent dans la nature et survivent aux hommes. La question est : quelle signature laissons-nous ?
L’éthique de la nature n’est pas séparée de l’éthique des hommes. Alors qu’il existe, du fait de son action, une vulnérabilité de l’Homme face à la nature, il devient nécessaire d’engager un rapport plus moral à la nature en développant les éthiques environnementales du soi et de l’attention : habiter la Terre autrement.
Cette introduction philosophique s’est poursuivie par une table ronde à laquelle participaient Jérôme DUVERNOY, (ONERC), Jérôme GATIER, (Plan Bâtiment Durable) et Stéphanie CHEVALLIER, (Nexity).
Le bilan des perspectives climatiques dressé par Jérôme DUVERNOY, +1,5°C en France depuis 1900, 50 % des forêts métropolitaines soumises à un risque élevé d’incendie en 2050, une sécheresse estimée en 2050 à un manque de 3Mds de m3 (d’eau ?), s’est poursuivi par la présentation d’un projet d’aménagement de ville innovant par la prise en compte de la nature et par des témoignages de bonnes pratiques.
Davantage tournée vers la modélisation climatique et les solutions d’adaptation, la seconde partie de la conférence a permis de mesurer les évolutions passées du climat, les tendances à venir, et la manière dont elles s’appliquent d’ores et déjà à la construction des bâtiments.
]]>Les risques climatiques sont désormais bien identifiés et de trois formes : risque physique, risque de transition et risque de responsabilité. Les outils d’analyse de ces risques sont quant à eux essentiellement de deux ordres :
A ce jour, alors que le risque de transition est de mieux en mieux compris, le risque de responsabilité représente encore un angle mort des risques climatiques tandis que le risque physique n’est souvent pas perçu comme une menace potentielle.
Mais l’élément clé de la finance climatique réside dans l’appropriation des métriques et des analyses en interne. Il est essentiel que le risque climat soit géré comme un risque financier classique et que l’expertise soit internalisée pour pouvoir comprendre et analyser les chiffres, affiner les méthodologies. Le risque climat doit donc prendre toute sa place au sein des organes de gouvernance, au sein de la gestion des risques classique et bien sûr dans la mise en place des stratégies d’entreprises. Le temps n’est plus à l’exercice de communication ni au traitement de ce risque par des experts isolés en dehors des systèmes d’information des acteurs financiers. La finance climat doit être au cœur de notre métier.
]]>Revenons au Contrat Naturel, de quoi s’agit-il ? Tout démarre avec le Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau publié en 1762. Dans cette oeuvre, Jean-Jacques Rousseau défend le principe d’un contrat social entre les hommes où chacun renonce à sa liberté « naturelle » pour gagner une liberté « civile », le tout au bénéfice de l’intérêt général, supérieur aux intérêts particuliers. Ce pacte social permet d’échapper à l’état de nature, « primitif, tyrannique et vain ». Michel Serres veut compléter ce pacte social par un pacte naturel constatant que « le bilan des dommages infligés à ce jour au monde équivaut à celui des ravages qu’aurait laissé derrière elle une guerre mondiale ». Il constate que l’emprise de l’Homme sur le Monde est telle que l’humanité existe maintenant physiquement : « Les architectures dures et chaudes des métropoles équivalent bien à maints déserts, … à des océans ou à une plaque tectonique rigide et mobile… La violence sans merci qui règne désormais entre l’Homme et le Monde fait qu’il y a une irruption du Monde comme acteur à part entière et majeur de l’Histoire. Il appelle donc à une réconciliation, à un nouveau contrat qui compléterait le contrat social de Rousseau : si le contrat social de Rousseau se fait d’Homme à Homme dans le monde, le contrat naturel de Michel Serres doit s’effectuer entre l’Homme et le Monde.
A sa sortie il y a trente ans, le livre s’est heurté à une levée de bouclier : vouloir sauver la planète était alors considéré comme une élucubration et même par certains comme une tentation de caractère fasciste. Aujourd’hui, le monde entier semble s’être emparé du sujet. Partout l’on entend qu’il est urgent d’agir. Ce que nous rappelait alors, et nous rappelle encore aujourd’hui Michel Serres, c’est qu’il avant tout urgent de réfléchir.
Un rapprochement aurait probablement fait sourire le facétieux Michel Serres, entre sa thèse du Contrat Naturel et l’une des thèses majeures de Georges R. R. Martin dans Games of Thrones : l’irruption du Monde comme acteur majeur de l’Histoire devrait induire les hommes à s’unir pour relever le défi écologique symbolisé chez Martin par les Marcheurs Blancs, plutôt que de s’entre-tuer pour conquérir un pouvoir illusoire. C’est ce qu’évoquent d’une part le tableau des duellistes de Goya en couverture du l’édition originale du livre de Michel Serres et d’autre part tous les combats et duels qui rythment la saga des saisons Game of Thrones. Dans les premières pages du Contrat Naturel, Michel Serres commente ainsi le tableau des duellistes de Goya, si brillamment que cela vaut une longue citation : « Un couple d’ennemis brandissant des bâtons se bat au beau milieu de sables mouvants. Attentif aux tactiques de l’autre, chacun répond coup pour coup et réplique contre esquive. Hors le cadre du tableau, nous autres spectateurs observons la symétrie des gestes au cours du temps : quel magnifique – et banal – spectacle ! Or le peintre – Goya – enfonça les duellistes jusqu’aux genoux dans la boue. A chaque mouvement, un trou visqueux les avale, de sorte qu’ils s’enterrent ensemble graduellement. A quel rythme ? Cela dépend de leur agressivité : à lutte plus chaude, mouvements plus vifs et secs, qui accélèrent l’enlisement. L’abîme où ils se précipitent, les belligérants ne le devinent pas : au contraire, de l’extérieur, nous le voyons bien. Qui va mourir, disons-nous ? Qui va gagner, pensent ils et dit-on le plus souvent ? Parions…. Mais en tierce position, extérieur à leur chamaille, nous repérons un troisième lieu, le marécage, où la lutte s’envase. Car ici, dans le même doute que les duellistes, les parieurs risquent de perdre tous ensemble, ainsi que les batailleurs, puisqu’il est plus que probable que la terre absorbe ces derniers avant qu’eux-mêmes et les joueurs n’aient liquidé leur compte. Chacun pour soi, voici le sujet pugnace ; voilà deuxièmement, la relation combattante si chaude qu’elle passionne le parterre, qui, fasciné, participe de ses cris et de ses louis. Et maintenant : n’oublions-nous pas le monde des choses elles-mêmes, la lise, l’eau, la boue, les roseaux du marécage ? Dans quels sables mouvants pataugeons-nous de concert, adversaires actifs et malsains voyeurs ? Et moi-même qui l’écris, dans la paix solitaire de l’aube ? »
]]>1. Vision : Le monde traverse une période de rupture marquée par des crises écologiques, sociales et plus récemment sanitaires. Cette rupture rend pour partie obsolètes les leviers de performances passés.
2. Mission : Contribuer à définir les bases de nouveaux référentiels et à activer de nouveaux leviers de performance qui doivent avoir un impact positif à la fois sur la rentabilité et sur leurs implications sociales et environnementales.
3. Promesse : Mettre en oeuvre notre capacité d’innovation pour créer de la valeur et faire de l’épargne un acte d’engagement utile sur le plan individuel par la rentabilité de l’investissement comme sur le plan collectif via son impact social et environnemental.
4. Message : Changer de regard, de point de vue, pour changer les choses.
Implication à l’égard du changement climatique
Le groupe La Française analyse les grandes tendances qui devraient structurer les marchés financiers à long terme dans les domaines :
a) Economique : une évolution de la mondialisation et l’accélération du progrès technologique
b) Monétaire : la persistance de taux d’intérêt bas
c) Démographique : la poursuite du développement de grandes métropoles
Le changement climatique et la nécessaire prise en compte des externalités environnementales générées par l’activité économique influenceront ces tendances. Les externalités environnementales sont de plusieurs ordres, elles impactent l’économie de façon multiple et doivent donc être intégrées et analysées de manière différenciée. A titre d’illustration, la constante de temps du changement climatique liée aux émissions de gaz à effet de serre, c’est-à-dire le temps nécessaire pour que les dommages associés se matérialisent pleinement, est de l’ordre de 80 ans. Il est donc impératif de déterminer un taux d’actualisation intergénérationnel pour déterminer la valeur actuelle des dommages. En ce qui concerne le changement dans la biodiversité et les écosystèmes liés à l’emprise physique de plus en plus forte des activités humaines sur les espaces naturels, origine probable de la pandémie du Covid-19 comme de la plupart des zoonoses, la constante de temps est très courte (de l’ordre du mois) mais c’est un événement répétitif dont la fréquence pourrait augmenter fortement (H1N1, SRAS, etc.).
Le groupe La Française a une sensibilité particulièrement forte aux effets du changement climatique sur les marchés financiers. Notre métier de gérant d’épargne couvre un large panel de classes d’actifs et permet au groupe d’occuper un poste d’observation privilégié du développement de la finance climatique. Une partie des actifs gérés par le groupe porte sur des compartiments de marché peu liquides avec des risques physiques et de transition particulièrement délicats à gérer car s’inscrivant dans des détentions de long terme. C’est pourquoi le groupe La Française a massivement investi dans des groupes de travail, des publications, des réflexions avec ses clients et des produits financiers autour
de ce thème central. Cette forte sensibilité au climat s’est traduite par des recherches approfondies sur le sujet et le développement d’approches et de gammes de produits d’investissement dédiés.
Stratégie durable
Plus généralement, le groupe La Française analyse que les facteurs Environnementaux, Sociétaux et de Gouvernance (ESG) affectent significativement les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie du groupe est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix s’effectue sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation (forward looking).
En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le groupe La Française porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être valorisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires associées au changement climatique et aux défis sociaux qu’elles impliquent.
Le présent rapport de synthèse vise à exposer les initiatives du groupe La Française en matière d’investissement durable. Il s’inscrit dans le respect les obligations d’information relatives au décret de « l’Article 173 VI ». Il est établi conformément aux recommandations du groupe de travail sur le reporting des risques financiers liés au climat (TCFD, pour Taskforce on Climate-related Financial Disclosures).
Il traite à la fois de notre philosophie liée à l’investissement durable, la manière dont elle est intégrée à nos processus d’investissement, des objectifs et indicateurs liés à cette stratégie.
Le TCFD qui cible essentiellement les risques et les opportunités liés au climat, fait de ce dernier le fil conducteur du présent rapport puisqu’il influence l’ensemble des classes d’actifs que nous gérons. La structure elle-même du rapport reprend les lignes directrices de la TCFD en quatre temps : Gouvernance, Stratégie, Gestion des risques et Indicateurs et objectifs.
]]>Nous savons ce qu’il faut faire. Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), pour atteindre zéro émission nette d’ici 2050, le monde doit investir chaque année 4 000 milliards de dollars dans les énergies propres. En 2021, au niveau mondial, seulement 775 milliards de dollars ont été investis dans les technologies d’énergies renouvelables1 .
On ne peut avoir un monde de l’énergie propre sans un secteur de l’électricité propre pour en assurer la production et la distribution. Les producteurs d’électricité représentent au total 40 % de toutes les émissions de carbone liées aux énergies fossiles (illustration 1) et les producteurs publics d’électricité en particulier ont un rôle clé dans la transition vers le zéro net : la part de l’électricité dans le mix énergétique mondial augmente dans chaque scénario de l’AIE. Selon les dernières perspectives énergétiques de l’AIE, pour atteindre le zéro net d’ici 2050, près de la moitié de l’énergie consommée doit être électrique. En termes absolus, cela signifie que la production d’électricité passera de 26 762 TWh en 2020 à plus de 71 000 TWh en 2050.
]]>Les enjeux sont donc relativement forts. Cette COP 26 s’annonce très certainement comme la plus importante depuis ses débuts. Les actions prises ou non prises seront en effet déterminantes pour se laisser une chance de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C et d’éviter une catastrophe climatique majeure.
Rares sont les pays qui ont respecté leurs promesses et les objectifs de l’Accord de Paris en 2015. Les politiques actuellement en place conduisent à un réchauffement climatique proche de 3°C. Même si un nombre important de pays s’est fixé un objectif de zéro émission nette de GES en 2050, les progrès restent très insuffisants.
Dans ce contexte, peut-on s’attendre à des avancées significatives ? Différentes questions doivent être abordées selon nous.
Premier point, la nécessité pour les Etats de renforcer leur engagement de réduction d’émissions de GES à horizon 2030 afin de limiter le réchauffement climatique à 1.5°C. Rattraper le retard est la priorité.
Selon Climate Action Tracker, presque tous les pays développés doivent renforcer leurs objectifs de réduction des émissions de GES le plus rapidement possible, et mettre en oeuvre des politiques nationales plus ambitieuses (CDN) pour atteindre leurs objectifs. Aujourd’hui, 68 pays représentant 61% des émissions mondiales de GES ont adopté un objectif de zéro émission nette mais seulement 80 pays représentant 36% des émissions mondiales de GES ont mis à jour leurs contributions nationales avec un objectif plus ambitieux selon ClimateWatch.
Si certains pays comme les Etats-Unis, le Canada, le Royaume Uni et l’Union Européenne ont revu et soumis officiellement des CDN plus ambitieux, certaines grandes économies, comme l’Australie, l’Indonésie, le Mexique, le Brésil, la Russie, n’ont pas, pour l’instant, améliorer leurs ambitions climatiques.
Les pays doivent s’engager sur plus de transparence au niveau de la définition des objectifs de long terme pour gagner en crédibilité.
]]>Ces marchés présentent traditionnellement un caractère défensif et des performances plus stables dans le temps. Le graphique ci-dessous représente un ratio de l’offre immédiate par rapport à la demande placée. Ce ratio est un indicateur de la tension des marchés. Un ratio faible indique un marché sous-offreur. Un ratio élevé est le signe d’un marché où la demande peut peiner à absorber l’offre.
Historiquement, les marchés des villes B sont plus équilibrés avec une production d’offre neuve mieux proportionnée à la demande, spécialement en période de crise. Cette situation est sans doute due à des conditions de financement plus restrictives sur les marchés régionaux et donc à une meilleure maitrise des lancements de projets spéculatifs. Les marchés immobiliers des villes B sont mieux positionnés pour faire face à un ralentissement de la demande et absorbent plus rapidement un éventuel excès d’offre dû au décalage qui existe entre le lancement d’un projet et sa livraison. En 2020, la demande placée a diminué de manière moins importante dans les villes B que dans les villes A, en raison du tissu économique des villes B. Il est composé de grosses PME et des PMI plus agiles et plus rapides dans leurs décisions immobilières que les grands groupes qui portent la demande placée des villes A. Par ailleurs, si l’offre a augmenté de manière relativement limitée, dans les villes B (+5% en un an), elle a augmenté de manière plus marquée dans les villes A, (+ 20% en un an). Ce graphique montre toutefois que les villes A cachent des situations géographiques hétérogènes avec des localisations en centre-ville qui présentent les mêmes caractéristiques défensives que les villes B et des périphéries qui présentent des situations beaucoup plus exposées aux crises. La maîtrise de l’offre tient sans doute dans les centres-villes des villes A à la rareté du foncier plutôt qu’à une éventuelle frilosité des banques.
Cependant, les indicateurs quantitatifs ne racontent pas toute l’histoire. La crise sanitaire a accéléré la polarisation des marchés bureaux. Le télétravail ne va pas provoquer un arrêt de la demande de bureaux mais va induire de nouveaux besoins qui ne pourront pas être accueillis sur l’ensemble du parc de bureaux actuels pour des raisons techniques. Nous anticipons d’un côté une accélération de l’obsolescence de certains actifs bureaux qui ne répondront rapidement plus aux demandes des utilisateurs. De l’autre côté, nous anticipons une concentration de la demande pour les bureaux répondant aux nouvelles attentes des utilisateurs (actifs flexibles, durables, connectés, avec une gamme de services élargie, une accessibilité renforcée, garantissant des conditions sanitaires satisfaisantes). Seuls les bureaux les plus modernes pourront répondre aux nouveaux modes de travail. Plus que jamais, la qualité des actifs est essentielle. Or les villes B sont confrontées à un manque d’offres de dernière génération. Fin 2020, seuls 16% des parcs de bureaux des villes B avaient été construits dans les 20 dernières années. Cela signifie que 84% des entreprises sont implantées sur des immeubles ayant été livrés il y a plus de 20 ans, immeubles sur lesquels des travaux importants sont nécessaires pour pouvoir déployer des organisations hybrides.
En conclusion… avec nos experts de terrain
Nous pensons que les marchés des villes B présentent des caractéristiques défensives particulièrement intéressantes dans la phase du cycle immobilier dans laquelle nous sommes. Pour autant, il est essentiel de bien évaluer les caractéristiques des actifs à l’aune des nouveaux usages afin de ne pas courir le risque de voir se matérialiser des pressions baissières sur les loyers et les valeurs vénales au fur et à mesure de la libération des surfaces par les locataires en place. Mark Wolter, Country Head – Allemagne et Directeur général de La Française Real Estate Managers – Allemagne, ajoute « La grande diversité du marché allemand est un atout dans ce contexte. Elle permet de mettre en lumière les atouts de nombreuses villes B prospères. » Sandra Metzger, Directrice générale adjointe de La Française Real Estate Managers – Allemagne, conclut « La qualité des bâtiments est essentielle dans un environnement en pleine évolution. Nous sommes tous les jours face à des utilisateurs qui recherchent activement des espaces de bureaux flexibles, modernes et durables. Or ce type de surfaces est encore trop rare dans la plupart des villes B allemandes, ce qui représente une opportunité intéressante de création de valeur. »
CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
]]>Notre invitée aujourd’hui est professeure à l’université Paris Dauphine, directrice scientifique de la chaire économie du climat et économie du gaz, c’est Anna Créti.
Bonjour, Anna, je suis très heureux de vous accueillir à La Française aujourd’hui. Vous êtes chercheuse à l’école polytechnique à l’université de Berkeley aux États-Unis, brillante spécialiste de l’économie de l’énergie et de la géopolitique des matières premières, vous êtes aussi l’auteure de très nombreuses publications scientifiques dans des revues internationales.
La thématique du climat est aujourd’hui au coeur de l’agenda politique et devient également une priorité pour les investisseurs. La prochaine conférence sur le climat, la COP26 qui se tiendra à Glasgow en novembre s’annonce probablement comme la plus importante depuis ses débuts. Rares sont les pays qui ont respectés leurs promesses et les objectifs de l’accord de Paris. Les politiques actuels conduisent à un réchauffement climatique nettement supérieur à deux degrés.
Quels sont selon vous les conditions nécessaires pour que les négociations internationales sur le climat puissent fonctionnées ?
Anna Créti :
Il est vrai que la COP26 est une COP décisive dans la mesure où il va y avoir l’étape de vérification des engagements pris par les différents pays depuis celle de 2015.
Aujourd’hui, sur 187 pays signataires de l’accord de Paris seulement 48 ont fait l’exercice prévu, c’est-à-dire de refaire leurs engagements vis-à-vis des politiques climatiques à long terme. Et donc une large partie des pays ne se sont pas prêtés à cet exercice. On part déjà sur une COP à deux vitesses.
Les pays qui ont pris au sérieux cette échéance, en particulier des pays européens, et les pays qui attendent probablement de voir ce que ces pays ambitieux vont proposer pour éventuellement se rallier à ce « club » des pays leaders dans la lutte contre le réchauffement climatique. Mais malgré cela, même en prenant en compte les nouveaux engagements qui vont plus loin par rapport à la première mouture suite à la COP21, nous sommes toujours loin du compte par rapport à ce qu’on appelle les emissions gap, c’est-à-dire, l’effort nécessaire pour garder une trajectoire de réchauffement climatique inférieur à 2 degrés pour ne pas parler de celui à 1,5.
Aujourd’hui déjà on calcule une empreinte des accords en l’état qui porterait à un réchauffement supérieur 3 degrés.
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FR : Philippe, vous êtes un ingénieur énergéticien internationalement reconnu, vous êtes professeur à Sciences Po, à l’ISEP, vous êtes également professeur aux Mines de Paris Tech. Vous venez de publier un ouvrage aux éditions Jacques Marie Laffont, L’utopie de la croissance verte, vous présentez une vision novatrice de la transition énergétique et vous abordez les différents leviers possibles.
Réduire l’intensité carbone et l’intensité énergétique sont pour vous les deux clés de la transition énergétique. Où les progrès seront-ils les plus efficaces, les plus rapides et moins couteux en termes d’investissements et changements de comportement ?
PC : Je pense qu’il faut d’abord bien redéfinir ce que sont l’intensité carbone et l’intensité énergétique. L’intensité énergétique rapporte la quantité d’énergie dépensée par un pays ou par une région à la production de richesse de cette région, donc cela va s’exprimer en kWh par dollar, c’est la quantité d’énergie requise pour produire une unité de richesse. Alors qu’au contraire, l’intensité carbone est le rapport entre la quantité d’énergie consommée et la quantité de carbone émise.
Bien évidemment, moins on va émettre de carbone et moins on va consommer d’énergie pour émettre la même quantité de richesse, mieux ce sera.
Ce sont donc effectivement les deux grands leviers pour arriver à réaliser la transition énergétique : c’est moins d’énergie et moins de carbone pour arriver à toujours produire la même quantité de richesse.
Parmi les deux, réduire l’intensité énergétique apparait plus simple que de réduire l’intensité carbone, puisque l’intensité énergétique on va simplement réduire la consommation énergétique mais avec des équipements qui finalement sont semblables ; on va simplement les rendre plus efficaces. C’est vraiment un indicateur d’efficacité énergétique. Alors qu’au contraire, l’intensité carbone si on a des équipements thermiques, pour réduire et pour annuler l’intensité carbone on va être obliger de remplacer les équipements.
Définitivement on peut réduire plus facilement l’intensité énergétique que l’intensité carbone.
En plus, l’intensité énergétique se réduit à la fois grâce à des efforts techniques mais aussi à des efforts comportementaux ; alors qu’au contraire l’intensité carbone demande un remplacement d’équipement, donc c’est essentiellement un effort technique.
Si je prends un exemple : on peut réduire l’intensité énergétique en améliorant l’efficacité des moteurs thermiques en consommant moins d’essence pour une même longueur de transport, mais on peut aussi par comportement télétravailler pour consommer moins. Au niveau de l’intensité carbone, on ne pourra pas l’annuler sans passer de la voiture thermique à la voiture électrique. C’est quand même plus compliqué de réduire l’intensité carbone que l’intensité énergétique, donc travaillons avant tout sur l’intensité énergétique.
FR : On parle beaucoup d’hydrogène vert : quel usage ?
Peut-on avoir de l’hydrogène vert décentralisé ? A votre avis, à quelle échéance peut-on s’attendre à son développement massif, avec une baisse significative des coûts de production et des coûts de distribution ?
PC : L’hydrogène vert est effectivement un vecteur clé de la future transition énergétique, sa principale application c’est la mobilité, les transports, puisque on utilise de l’hydrogène dans une voiture électrique. Globalement on va refabriquer à l’intérieur de la voiture de l’électricité avec de l’hydrogène, ce qui donne évidemment un avantage décisif par rapport à la voiture électrique classique, à la fois en termes de temps de charge et en termes d’autonomie ; puisque l’on va remplir sa voiture extrêmement rapidement, presque aussi rapidement qu’une voiture à essence, et on va pouvoir 500-600 km.
Deux problèmes, même trois, à l’hydrogène.
Le premier est qu’il faut le fabriquer et on fabrique donc l’hydrogène vert à partir d’une technique qui s’appelle l’électrolyse de l’eau. Pour faire simple : on injecte de l’électricité dans de l’eau, on va casser la molécule d’eau en une partie hydrogène et une partie oxygène, on va récupérer l’hydrogène. Cela veut dire que derrière la fabrication de l’hydrogène, on a besoin de beaucoup d’électricité.
Deuxième inconvénient de l’hydrogène : son coût. Il y a le coût de production, qui aujourd’hui est de l’ordre de 7 à 8 euros le kilo d’hydrogène, plus après son coût de distribution. Il faut savoir que l’hydrogène est comprimé, pour avoir des quantités suffisantes, à environ 700 ou 800 bars – ce qui fait 800 fois la pression atmosphérique, c’est absolument considérable – et donc cela veut dire que les « pompes à hydrogène », équivalente des pompes à essence, coûtent, de ce fait haute pression, beaucoup plus chère que les pompes à essence classique. Il y a pratiquement un facteur 10/1 : une pompe à essence coûtant de l’ordre de 100 000 euros, une « pompe » à hydrogène coûte près d’1 000 000 d’euros. Ce qui veut dire qu’avant d’avoir un réseau de distribution aussi maillé que le réseau de distribution d’essence aujourd’hui, il va se passer beaucoup de temps. C’est pour cela que les première application sont en mobilité de l’hydrogène sont essentiellement les grosses compagnies soit de bus, soit de camions, soit de même éventuellement de bateaux, voire pourquoi pas d’avions, qui effectivement vont pouvoir mutualiser leur distribution et même fabriquer leur hydrogène eux même.
Je vais prendre comme exemple la ville de Pau, qui a aujourd’hui une flotte de dix ou quinze bus marchant à l’hydrogène et qui fait sa propre production d’hydrogène.
Le dernier inconvénient est que l’hydrogène est un produit très explosif par rapport au gaz et très inflammable. Ceci demande donc de prendre un certain nombre de précautions, mais on possède toute les technologies pour se protéger et atténuer les risques.
Je crois donc beaucoup en l’hydrogène.
Vous me demandiez « à quelle échéance » : il est évident que dans la mobilité lourde on peut avancer relativement vite, pour la mobilité pour la mobilité plus « légère », c’est-à-dire essentiellement les voitures, très probablement cela ne commencera à représenter une part significative du parc qu’à l’horizon d’une bonne quinzaine d’années.
Mais je crois beaucoup à l’hydrogène pour la mobilité longue distance et aussi forte puissante, c’est-à-dire camions, bateaux et avions.
FR : Que pensez-vous du marché du carbone aux frontières ?
PC : Le marché du carbone au frontière est quelque chose d’absolument indispensable pour rendre l’économie verte plus rentable que l’ancienne économie brune basée sur notamment le pétrole, le gaz et le charbon.
Ce que je pense c’est que le marché du carbone doit impérativement être européen, on ne peut pas créer un marché du carbone purement français si nos voisons européens ne partagent pas ce marché du carbone, pour des raisons de compétitivités d’entreprise.
Le marché du carbone commence à fonctionner correctment, on est aujourd’hui à environ 60 euros par tonne. On sait que des technologies comme par exemple l’hydrogène, comme l’on vient d’en parler, ou bien le CCUS, c’est-à-dire la capture et la réinjection du carbone, deviennent rentables et plus rentables que les fossiles au-delà de 100 euros par tonnes.
Je pense que l’on est pas très loin aujourd’hui d’un marché du carbone qui va devenir efficace. Il a mis beaucoup de temps mais la réduction récente des quotas qui avait été imposée par l’union européenne en 2019 commence à porter leurs fruits et on devrait dans les années à venir avoir en Europe un marché efficace. La question du marché hors Europe est souvent posée, il faut quand même savoir que 75% du marché commercial européen est intra-européen, donc se passe entres européens, et donc le fait qu’aujourd’hui américains et chinois n’adhèrent pas au marché européen du carbone n’empêchera pas son développement. Ce marché européen du carbone commence et devrait dans les années à venir trouver son bon niveau d’efficacité.
FR : Une question d’actualité : la COP26 vient de se terminer, quel bilan peut-on en tirer ?
PC : Vous m’aviez déjà poser la question lors de notre dernière interview, je ne sais plus de quelle COP il s’agissait, mais je dirais que la COP26 est un « Couper-Coller » de ses 25 éditions précédentes. Avec donc ses rites, ses réunions interminables, ses manifestations de rue et enfin ses conclusions peu engageantes, si j’ose dire.
Je reste convaincu que la transition énergétique ne peut pas être une transition énergétique mondiale. C’est la raison pour laquelle on essaie de mettre autour de la table des pays qui finalement ont des histoires, des géographies et surtout des niveaux de développement extrêmement différents, mais c’est également la raison qui fait que l’on aboutit pas à des conclusions patentes.
Le deuxième point, c’est que l’on reste complètement enfermé dans des agendas inversés, c’est-à-dire que l’on donne un objectif à postériori et cet objectif ne peut pas être atteint mais on ne donne jamais les moyens à la fois financiers, humains et techniques pour y arriver. Je crois donc, à l’avenir, beaucoup plus en des COP régionales, juridiquement contraignantes, alors que la COP ne l’est pas puisque l’ONU n’a aucun pouvoir sur les différents pays pour imposer les objectifs signés. On a évolué sur des COP à la fois régionales et thématiques, on a par exemple une vingtaine de pays qui sont tombés d’accord pour sortir du charbon ; un certain nombre de pays qui sont également tombé d’accord pour réduire, première fois, leur consommation d’énergies fossiles ; également un groupe d’accord pour sortir de la voiture thermique à un horizon 2040.
Je crois donc que ces groupes thématiques voire régionaux devraient à l’avenir remplacer cette grande messe mondiale qui pour moi n’a plus aucun sens.
FR : Philippe Charlez, merci d’avoir été notre invité et à très bientôt.
]]>« Alors que les enjeux ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) pouvaient apparaître de (très) long terme à beaucoup d’acteurs il y a encore quelques années, ils s’inscrivent désormais dans un horizon compatible avec l’horizon de détention des actifs immobiliers. La résilience des actifs immobiliers doit s’anticiper. » précise Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier.
Suite à la signature de l’Accord de Paris, la France a défini une feuille de route pour lutter contre le réchauffement climatique dans la Stratégie Nationale Bas Carbone. La Francaise REM entend prendre sa part dans l’ambition nationale en se fixant un objectif de réduction des émissions de CO2 de son portefeuille compatible avec une trajectoire climatique 1.5°C. Ainsi, elle s’assure de répondre aux réglementations en vigueur et d’anticiper les réglementations à venir.
La stratégie adoptée est celle de l’ERC (Eviter, Réduire, Compenser). La meilleure façon de limiter les émissions de CO2 est de s’attacher, en premier lieu, à les éviter. Dès lors que les émissions de CO2 n’ont pu être pleinement évitées à un coût raisonnable, il convient de réduire le volume restant par des solutions de minimisation comme la mise en œuvre de travaux de rénovation énergétique, l’adaptation des systèmes énergétiques et le suivi de Plans Pluriannuel de Travaux (PPAT verts). En dernier recours, des mesures compensatoires seront engagées pour financer des pièges à carbone.
« S’employer à suivre une trajectoire, c’est œuvrer dès à présent pour la pérennité de la valeur de nos actifs à long terme » insiste Marc-Olivier Penin, Directeur général La Française REM qui ajoute « Le coût de l’inaction s’accroît de manière exponentielle. Si les actions d’amélioration des caractéristiques durables des actifs sont réalisées régulièrement en respectant leur cycle de vie, le coût additionnel demeure très marginal comparé à la perte de valorisation qu’encourent les actifs gérés sans prendre en compte les critères ESG. » Et Philippe Depoux, Président de La Française REM, de conclure « En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de ses investisseurs, La Française REM porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Nous sommes fiers de pouvoir annoncer que, fort de cet engagement, c’est aujourd’hui, la totalité de la gamme de Sociétés Civiles de Placement Immobilier d’immobilier d’entreprise gérées par La Française REM, société de gestion du Groupe La Française, qui est alignée avec l’article 9 du règlement Disclosure. »
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Lexique :
Règlement UE n°2019/2088 SFDR / Disclosure
Objectifs➔ Établir des règles de transparence harmonisées pour les acteurs des marchés financiers en matière de durabilité
Classification des fonds en fonction du degré de prise en compte des critères ESF :
> Les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « faisant la promotion de caractéristiques environnementales ou sociales, ou une combinaison de ces caractéristiques, pour autant que les sociétés dans lesquelles les investissements sont réalisés appliquent des pratiques de bonne gouvernance ». (article 8)
> Les fonds ou mandats de gestion discrétionnaire « ayant un objectif d’investissement
durable ». (article 9)
Comme l’immobilier continue d’offrir une prime de risque élevée, il devrait en toute logique continuer d’attirer les investisseurs dans un contexte de taux d’intérêt historiquement bas et de liquidités abondantes cherchant à être placées.
La recherche de sécurité devrait entraîner un repricing différencié selon la qualité intrinsèque des actifs. Ainsi les actifs core devraient voir des valeurs bien défendues quand les actifs secondaires connaîtront des ajustements à la baisse. Pour autant, les actifs à vraie création de valeur devraient continuer à attirer les acteurs en fonds propres, avec un repricing à la clé.
Le fly to quality se matérialise ici. À La Française, nous privilégions depuis longtemps une approche core, tant pour nos produits retail qu’institutionnels. Nous croyons et constatons que, quel que soit le cycle immobilier, les éléments de rareté sont des soutiens puissants à la valorisation des actifs. Nous continuerons donc à privilégier les localisations centrales, les coeurs de métropoles, tant en France qu’en Europe. L’équilibre offre/demande commande les évolutions de loyer, là aussi nous sommes convaincus de la résilience des loyers tertiaires dans les
secteurs de rareté.
Le manque de flexibilité des baux traditionnels pèse sur les utilisateurs en quête d’optimisation des coûts et faisant face à des besoins de trésorerie. Les propriétaires qui sauront proposer des solutions immobilières flexibles devraient tirer leur épingle du jeu. Il faut savoir comprendre les problèmes court terme de nos locataires et les gérer en privilégiant la valorisation long terme des actifs. La crise sanitaire devrait être suivie d’une crise économique qui pourrait induire une fragilité financière chez les utilisateurs des secteurs les plus touchés par la crise sanitaire. La Française porte une attention renforcée au risque crédit locataire sur son patrimoine et sur ses acquisitions ; la durée contractuelle du bail ne doit en effet pas nous aveugler sur les potentiels risques de défaillance financière des locataires les plus fragiles.
Les évolutions des usages imposent de réfléchir en amont à la convertibilité future des actifs. Lors des travaux de restructuration, La Française étudie des scénarios alternatifs de changements d’usage pour les actifs dont l’usage actuel est menacé. Le surcoût lié à ces conversions est largement compensé par la préservation de la valeur de l’actif à long terme Digitalisation et collaboration. Le développement et la pérennisation du télétravail au-delà de la crise sanitairebamènent tous les utilisateurs d’espaces tertiaires à repenser les modes de travail et d’organisation. La question de l’utilisation des locaux est au centre de ces réflexions. Recherche d’économie, d’efficacité, de sens. Le lieu physique est largement concurrencé par la technologie dans sa capacité à nous mettre en relation. La Française a la conviction qu’il continuera à y avoir une demande active pour l’immobilier conçu comme facilitateur de liens, de rencontres, de transmission ou encore de créativité par le collectif.
L’avenir de l’immobilier tertiaire dépendra de la faculté des bailleurs ET des occupants à intégrer dans l’actif une véritable approche de durabilité, de flexibilité d’usage et apport de services.
Les différentes périodes de confinement ont mis en lumière la complexité de chaînes d’approvisionnement à l’échelle mondiale et la forte dépendance à l’Asie pour un certain nombre de produits stratégiques. L’année 2021 devrait être marquée par un recul du phénomène de globalisation avec un probable phénomène de relocalisation des chaînes d’approvisionnement et de certaines industries, avec en conséquence immobilière une probable nouvelle vie d’actifs (stockage, transformation).
]]>Réunis par un engagement commun, plusieurs acteurs proposent au fil de ce document une trentaine de domaines d’innovations prioritaires (DIP), représentant autant de pistes pour l’avenir des territoires.
Extrait « La transformation industrielle majeure n’est [ …] pas l’automatisation des tâches, mais l’augmentation de la connectivité, créant des masses considérables de données qui sont la matière première des nouvelles chaînes de valeur et des leviers de performance, en particulier dans l’immobilier. »
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Elle est structurée en trois points :
Delphine HAMEZ, Directrice Asset Management à La Française REM, vous présente Gavroche : un immeuble serviciel, bohème et chic dans un quartier emblématique et inspirant.
Situé dans le quartier de Montmartre, découvrez Gavroche en 3 mots : startup-friendly, adaptable, végétal.
Pour découvrir l’immeuble, ça se passe en vidéo !
]]>
Chère Madame, cher Monsieur,
Vous êtes porteurs de parts du Fonds Commun de Placement (FCP) « UFF OBLIGATIONS 3-5 A », qui est un fonds nourricier du FCP maître « OBLIGATIONS 3-5 M », (ci-après le « Fonds » ou le « FCP ») et nous vous remercions de votre confiance.
Nous souhaitons vous informer de l’évolution de votre Fonds selon les termes et conditions de l’opération décrite ci-dessous.
A la demande de l’UNION FINANCIERE DE France BANQUE, commercialisateur de votre Fonds, LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT, actuelle société de gestion de votre Fonds, en accord avec la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION, a décidé de transférer la gestion financière, administrative et comptable de votre FCP à cette dernière. En conséquence, SCHELCHER PRINCE GESTION deviendra la société de gestion de votre FCP.
SCHELCHER PRINCE GESTION, dont le siège social est situé au 72 rue Pierre Charron – 75008 PARIS est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 01036.
Corrélativement, il a été décidé d’effectuer différentes modifications.
En particulier, la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION a décidé de faire évoluer les frais ainsi que la stratégie d’investissement du fonds maître, par l’intégration notamment de critères extra-financier (filtre normatif permettant d’exclure des émetteurs controversés), ce qui entraine une modification du profil de rendement/risque du FCP comme détaillé ci-dessous dans le tableau.
Les principales modifications apportées au fonds maître et sur votre Fonds nourricier sont détaillées ci-dessous avec les principales différences « avant » et « après ».
Vous êtes porteurs de parts du Fonds Commun de Placement (FCP) « UFF OBLIGATIONS 3-5 », qui est un fonds nourricier du FCP maître « OBLIGATIONS 3-5M », (ci-après le « Fonds » ou le « FCP ») et nous vous remercions de votre confiance.
Nous souhaitons vous informer de l’évolution de votre Fonds selon les termes et conditions de l’opération décrite ci-dessous.
A la demande de l’UNION FINANCIERE DE France BANQUE, commercialisateur de votre Fonds, LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT, actuelle société de gestion de votre Fonds, en accord avec la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION, a décidé de transférer la gestion financière, administrative et comptable de votre FCP à cette dernière. En conséquence, SCHELCHER PRINCE GESTION deviendra la société de gestion de votre FCP. SCHELCHER PRINCE GESTION, dont le siège social est situé au 72 rue Pierre Charron – 75008 PARIS est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 01036.
Corrélativement, il a été décidé d’effectuer différentes modifications.
En particulier, la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION a décidé de faire évoluer les frais ainsi que la stratégie d’investissement du fonds maître, par l’intégration notamment de critères extra-financier (filtre normatif permettant d’exclure des émetteurs controversés), ce qui entraine une modification du profil de rendement/risque du FCP comme détaillé ci-dessous dans le tableau.
Les principales modifications apportées au fonds maître et sur votre Fonds nourricier sont détaillées ci-dessous avec les principales différences « avant » et « après ».
Chère Madame, cher Monsieur,
Vous êtes porteurs de parts du Fonds Commun de Placement (FCP) « OBLIGATIONS 3-5 M » (ci-après le « Fonds » ou le « FCP ») et nous vous remercions de votre confiance.
Nous souhaitons vous informer de l’évolution de votre Fonds selon les termes et conditions de l’opération décrite ci-dessous.
A la demande de l’UNION FINANCIERE DE France BANQUE, commercialisateur de votre Fonds, LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT, actuelle société de gestion de votre Fonds, en accord avec la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION, a décidé de transférer la gestion financière, administrative et comptable de votre FCP à cette dernière. En conséquence, SCHELCHER PRINCE GESTION deviendra la société de gestion de votre FCP.
SCHELCHER PRINCE GESTION, dont le siège social est situé au 72 rue Pierre Charron – 75008 PARIS est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers sous le numéro GP 01036.
Corrélativement, il a été décidé d’effectuer différentes modifications.
En particulier, la société de gestion SCHELCHER PRINCE GESTION a décidé de faire évoluer les frais ainsi que la stratégie d’investissement, par l’intégration notamment de critères extra-financier (filtre normatif permettant d’exclure des émetteurs controversés), ce qui entraine une modification du profil de rendement/risque du FCP comme détaillé ci-dessous dans le tableau.
Les principales modifications sont détaillées ci-dessous avec les principales différences « avant » et « après ».
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact Floating Rates » disponible sur le site www.la-francaise.com
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La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
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Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, les statuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant.
Représentant en Suisse :
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich
Agent payeur en Suisse :
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 novembre 2022.
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Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.co
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Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées. Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com
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Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.fundinfo.com ou sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
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Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP PARIBAS située au 16 boulevard des Italiens, 75009 Paris et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles
]]>Depuis l'ouverture de ses bureaux de Londres et de Francfort en 2014 sous la direction de David Rendall, le groupe a développé avec succès son activité immobilière paneuropéenne. Plus de 24 % des actifs immobiliers sont gérés pour le compte d'investisseurs internationaux (hors France) et 10 % des actifs sont situés hors de France (Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Irlande, Royaume-Uni et Luxembourg).
David Rendall, Head of Institutional and International Real Estate de La Française Real Estate Managers, a déclaré : « En raison des défis actuels du marché mondial, nous pensons que le moment est venu de renforcer notre plateforme afin d'améliorer notre capacité à fournir des solutions d’actifs réels à nos clients tant au niveau local qu'international. Ces nouvelles recrues permettront de stimuler encore plus notre croissance ».
► Jonathan MANSIE, Directeur, Transactions paneuropéennes, La Française Real Estate Managers (Londres)
Jonathan a vingt-huit ans d'expérience dans le secteur immobilier paneuropéen. Il a débuté sa carrière chez Jones Lang Wootton/JLL, d'abord au Royaume-Uni puis en France, avant de rejoindre Constantine Land en 2004 en tant qu'expert en acquisitions et peu après Dunedin Property/Industrious Asset Management en tant que gestionnaire immobilier régional. En 2009, Jonathan a rejoint London & Regional Properties en tant que gestionnaire d'actifs senior responsable d'un important portefeuille à usage mixte situé dans tout le Royaume-Uni, comprenant des bureaux du centre de Londres, des propriétés résidentielles, commerciales, de loisirs, de santé et PFI (Private Finance Initiative). Avant de rejoindre La Française REM, Jonathan était directeur général, Origination & Acquisitions chez Europa Capital à Londres où il était responsable de la création d'opportunités immobilières en France et en Europe du Sud. Il est titulaire d'un Bachelor of Science en gestion foncière de l'Université De Montfort (Royaume-Uni). En tant que directeur, transactions paneuropéennes, Jonathan poursuivra les opportunités d'investissement à travers l'Europe.
► James HARMER, Asset Manager, La Française Real Estate Managers (Londres)
James travaille sur le marché immobilier londonien depuis 2016. Après avoir débuté chez GL Hearn, il a rejoint Knight Frank où il a passé deux ans et demi au sein du département Fund Valuation avant de rejoindre le département Asset Management de la société. James était un gestionnaire d'actifs du Pollen Estate, composé d’une partie importante d'East Mayfair, y compris Savile Row et New Bond Street, avec une expérience sectorielle couvrant principalement les bureaux et les commerces haut de gamme. Il est titulaire d'un Master of Science de la Royal Agricultural University. En tant qu’Asset Manager, James travaillera principalement sur le portefeuille du Royaume-Uni et de l'Irlande et assistera l'équipe sur les opportunités d'investissement en se concentrant sur les secteurs du West End of London et de l'industrie.
► Adil MESTAN, Investment Manager, La Française Real Estate Managers (Allemagne)
Avant de rejoindre La Française, Adil était associé chez Goldman Sachs où il a acquis une large expérience sur une variété de classes d'actifs, notamment les bureaux, les commerces et le résidentiel, à travers de multiples stratégies : Opportuniste, Value-Add et Core +. Il est titulaire d'un Master of Science en gestion et investissement immobilier de l'Université Napier d'Édimbourg. En tant qu’Investment Manager, Adil sourcera des opportunités d'investissement immobilier en Allemagne et aux Pays-Bas.
► Vanessa Mayer, Asset Manager, La Française Real Estate Managers (Allemagne)
Vanessa possède six ans d'expérience sur le marché immobilier allemand depuis ses débuts en tant qu'analyste en investissement chez Knight Frank en 2017, où elle a acquis une vaste expérience dans le conseil en transactions. En 2019, Vanessa a rejoint Deutsche Immobilien Opportunitaten AG et a été nommée Investment Asset Manager. Avant de rejoindre La Française REM, elle était Asset Manager chez publity AG. Vanessa est titulaire d'un Bachelor of Arts de l'Université des sciences appliquées TH Aschaffenburg. En tant qu’Asset Manager, elle sera responsable de la gestion d'un portefeuille allemand composé d'actifs de bureaux, de commerces et à usage mixte.
Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année. Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par l'Université de Hambourg après examen et évaluation indépendants.
La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :
La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Euro ont obtenu chacun trois étoiles sur les trois possibles, pour leur stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète, qui leur a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et de la constitution du portefeuille (sélection de titres, engagement et indicateurs clefs de performance).
Thomas DHAINAUT, Head of Equities – Small and Large Caps de La Française AM, a conclu : « 2022 marque une étape importante pour La Française AM. Notre stratégie « climate transition » lancé en 2015 avec La Française LUX-Inflection point Carbon Impact Global est récompensée pour la troisième année consécutive avec le Label FNG et pour la première fois elle remporte le sésame, trois étoiles ! Le fonds bénéficie aujourd’hui de trois labels en cours de validité (Label FNG-3 étoiles, Label ISR et Greenfin). Nos deux fonds, La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Euro, s’alignent avec les critères d’évaluation restrictifs imposés par le Label FNG. Les trois étoiles attribuées à chaque fonds signifient la poursuite de stratégies durables encore plus ambitieuses. »
La Française LUX – Inflection Point Carbon Impact Global : Le fonds vise à contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme.
]]>Au-delà des fluctuations de la croissance économique qui guident l’allocation tactique d’actifs, la question la plus fondamentale pour l’allocation stratégique est celle du régime d’inflation que connaîtra le monde développé dans les prochaines années. Pour de multiples raisons, il est possible que nous soyons à une bifurcation majeure et qu’un changement radical soit en cours.Pendant près de 25 ans, de 1960 à 1983, le monde a vécu les conséquences du dérèglement monétaire qui ont conduit à la fin des accords de Bretton Woods en 1973, qui instituaient un système de change fixe avec l’étalon de « change-or » fondé sur le dollar. Ce système ne pouvait fonctionner que grâce à un influx permanent de dollars dans l’économie internationale, ce qui induisait des politiques monétaires très accommodantes, condition nécessaire pour provoquer une déflagration sur les prix. Les chocs pétroliers de 1974 et 1979 ont agi comme les détonateurs du régime de la Grande inflation, qui a porté la hausse des prix à la consommation dans les pays développés d’environ 4 à 10%, l’indexation automatique des salaires sur les prix entretenant le brasier.
Puis, durant 40 ans, de 1983 à nos jours, les pays développés ont changé de régime d’inflation adoptant le régime de la Grande modération, c’est-à-dire une inflation entre 0 et 3 %. Le responsable en était le Président de la Federal Reserve System (FED) Paul Volcker qui a porté le taux directeur de la Fed à 20 % en 1981 et adopté une politique stricte de contrôle de la croissance de la masse monétaire, provoquant une lourde récession. Le manque de combustible monétaire
et l’arrêt des dispositifs d’indexation des salaires sur les prix ont brisé définitivement les anticipations inflationnistes. Puis est arrivée la globalisation avec la chute du mur de Berlin en 1989 et l’entrée de la Chine dans l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001. Les pressions déflationnistes persistantes provoquées par la systématisation des avantages comparatifs dans le monde libre-échangiste ont permis de modérer les revendications salariales tout en faisant progresser le pouvoir d’achat des ménages.
Mais depuis 15 ans, la globalisation connait d’importants vents contraires : la Crise financière globale de 2008, l’affrontement entre les Etats-Unis et la Chine à partir de 2018, la crise sanitaire en 2020 et la guerre en Ukraine en 2022. L’économie mondiale reste globalisée, mais fragmentation et segmentation sont ses nouvelles lignes directrices avec moins d’avantages compétitifs à la clef et moins d’effet réseau.
Côté banques centrales, tout a commencé avec les politiques monétaires ultra accommodantes mises en place en 2009 aux Etats-Unis et en 2015 en zone euro pour contrer les effets de la Crise financière globale avec pour corollaire la croissance des masses monétaires de plus de 20 % en rythme annuel sur une longue période. Le combustible était là. Le déclenchement de la crise Covid a ensuite embrasé l’inflation avec un choc de contrainte sur l’offre lié au confinement et un choc de stimulation excessive sur la demande liée aux mesures de soutien public.
En plus de cela, arrive l’impératif de la transition climatique. Le prix de l’externalité carbone, non pris en compte jusqu’à présent, mais seul instrument vraiment efficace pour assurer la transition climatique, va peser sur les prix de l’énergie, or l’activité économique n’est que de l’énergie transformée. Le prix du carbone va inexorablement monter, car il reflète la valeur présente de dommages climatiques prévus en grande partie après 2050, date qui se rapproche inéluctablement et dommages qui s’intensifient chaque jour.
]]>Le deuxième commerce, livré en 2021, offre 345 m2 de surface en R+2. L’actif est situé dans le 18ème arrondissement au 2 rue Lepic, à proximité immédiate de la Place Blanche (Ligne 2 de métro, station Blanche). Il est entièrement loué dans le cadre d’un bail long terme à une pâtisserie artisanale française. L’immeuble comprend un laboratoire qui permet l'approvisionnement de plusieurs implantations parisiennes, une surface de vente, un salon de thé et un local à vélos.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
La Française REM était conseillée par l’office notarial 14 Pyramides et les vendeurs par l’étude notariale Monassier & Associés. La cession a été organisée par Osae Partners dans le cadre de son mandat d’Asset Management de la société CPPJ, détentrice des 2 commerces, et acquise en 2018 par Immobilière Dassault. Les deux parties ont été conseillées par Arthur Loyd dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Knight Frank.
RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
A propos de La Française
Les changements majeurs liés aux défis environnementaux et sociétaux sont autant d’opportunités de considérer l’avenir. Les nouveaux leviers identifiés constitueront la croissance et la performance financière et immobilière de demain. C’est dans cet esprit que La Française, groupe de gestion, forge ses convictions d’investissement et conçoit sa mission.
Le groupe utilise sa capacité d’innovation et sa technologie au service de sa clientèle et pour concevoir ses solutions d’investissement alliant rendement et durabilité.
Organisé autour de 2 piliers que sont les « actifs financiers » et les « actifs immobiliers », La Française se développe auprès d'une clientèle institutionnelle et patrimoniale en France et à l’international.
La Française gère plus de 50 milliards d’euros d’actifs à travers ses implantations à Paris, Francfort, Hambourg, Londres, Luxembourg, Madrid, Milan, Séoul et Singapour. (30/06/2022)
La Française est une filiale de la Caisse Régionale du Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), membre du Crédit Mutuel Alliance Fédérale (Notations LT A+/Aa3/AA- de S&P (12/2021) / Moody’s (02/2022) / Fitch (05/2022).
C-Hive propose des plateaux réguliers et divisibles d'environ 555 m² autour d'un noyau central bénéficiant d'une bonne luminosité naturelle.
Dans le sous-sol de C-Hive, le bâtiment propose une salle de fitness, des douches et un espace d'archives. Il dispose en outre de places de stationnement pour vélos et de 13 bornes de recharge pour véhicules électriques. À l'entrée du bâtiment se trouve une station d'accueil « Velo » (service de location de vélos à Anvers).
Archimedes propose des plateaux allant de 560 m² à 690 m² ; l'immeuble est le siège social de CORES Development.
Le bâtiment a été entièrement redécoré par l'architecte d'intérieur Living Projects. Chaque pièce a son propre caractère créatif mais fonctionnel. La façade d'Archimedes a été construite dans le style néo-rococo et date de 1929.
Peter Balfour, Head of Real Estate UK for La Française Real Estate Managers, a déclaré : « Les deux propriétés, compte tenu de leur emplacement exceptionnel, de la qualité des rénovations et de la diversité de la composition des locataires, constituent des ajouts exceptionnels à notre portefeuille immobilier et offrent un potentiel de génération de revenus à long terme. »
Alexander Vanheukelen, Business Developer pour CORES Development, a conclu : « Nous sommes très satisfaits de cette transaction et nous nous réjouissons de poursuivre notre relation avec La Française en tant que locataire dans l'un des plus beaux immeubles de bureaux d'Anvers. »
La Française Real Estate Managers a été conseillée par Linklaters sur les aspects juridiques, Arcadis sur les due diligences techniques et environnementales et PwC sur les questions fiscales et financières. JLL a conseillé La Française REM dans le cadre de l'acquisition. Le vendeur était conseillé par CBRE et KPMG Law.
RISQUES ASSOCIES SCPI D’ENTREPRISE :
risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Cette acquisition s’intègre parfaitement dans leur stratégie d’investissement avec de nombreux atouts sur :
- La centralité
- L’efficience énergétique
- Un locataire de 1er rang
- Présentation en quelques minutes avec Guillaume Allard, Directeur Finances Fonds Retails à La Française REM.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>Quel changement en si peu de temps ! Après un mois de septembre marqué par des mouvements historiques sur les segments obligataires, les marchés ont traversé le mois d’octobre de manière beaucoup plus positive. Les raisons de ce revirement sont multiples :
Toutefois, si ces différents facteurs ont sans doute aidé à installer un climat plus positif, l’élément déterminant reste le changement de ton de la plupart des banques centrales et en particulier celui de la Réserve Fédérale Américaine (Fed).
Certains membres de la Fed ont en effet indiqué, autour de la mi-octobre qu’il n’était peut-être pas nécessaire d’aller plus loin que les prévisions actuelles en termes de hausse de taux. D’autres notent aussi qu’étant donné le caractère restrictif actuel de la politique monétaire, il pourrait s’avérer adéquat d’effectuer une « pause » courant 2023. Comme certains de ces propos viennent de M.Bullard, qui est à l’origine des hausses de taux massives de la Fed en début d’année, et qu’ils ont été repris dans le Wall Street Journal par la nouvelle boussole des marchés M.Timiraos (économiste en chef au WSJ), l’impact a été immédiat et positif pour les actifs risqués : le pivot tant attendu de la Fed est enfin là ! Le message est d’autant plus convaincant qu’il a été corroboré ensuite par la décision de la banque centrale canadienne d’une moindre hausse de taux qu’anticipée et d’une communication moins offensive qu’auparavant de la part de la BCE.
Il nous paraît cependant trop tôt pour crier victoire, aussi bien du côté de la Fed que du côté de la BCE, et que signaler un réel « pivot » serait prendre un risque trop élevé pour ces institutions dont la crédibilité demeure l’actif le plus important.
Malgré le contexte difficile de 2022, certains pays ont renforcé leurs engagements. C'est le cas de l'Australie (avec un objectif révisé de réduction des émissions, passant de 27 % à 43 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2005), de l'Inde (avec un objectif de réduction des émissions renforcé de 34 % à 45 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2005, et ‘net zéro’ d'ici 2070) et des États-Unis avec l'« Inflation Reduction Act », le plus grand investissement dans le climat et l'énergie de l'histoire américaine (avec un objectif de réduction des émissions de 50 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2005 et ‘net zéro’ d'ici 2050)
Parmi la vague d'initiatives sectorielles de décarbonation annoncées lors de la COP26, certaines ont avancé :
Après la gestion chaotique de la crise énergétique de 2022 à travers l'Europe, l’attention va particulièrement se porter sur la faisabilité et la crédibilité de la Déclaration mondiale sur la transition du charbon vers l'énergie propre. Par cette déclaration, les pays développés s'étaient engagés à éliminer l'énergie au charbon d'ici 2030, et les pays en développement, d'ici 2040.
Qu'est-ce qui constituerait un résultat positif pour la COP27 ? Le fait de progresser vers l'objectif de 100 milliards de dollars par an pour le financement climatique est primordial, ainsi que la définition d'un nouvel objectif pour l'après-2025. En 2020, selon les chiffres annoncés lors de la COP26, seulement 83 milliards de dollars ont été mobilisés pour le financement du climat, 98 % provenant de fonds publics et seulement 2 % du secteur privé, ce qui laisse une grande marge de progression. La Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ) a été créée dans ce but, pour combler le déficit de financement en matière de climat. Elle a mobilisé plus de 450 participants, représentant plus de 130 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion lors de son lancement en 2021. Bien que nous ayons vu de nombreux autres engagements depuis lors, le mouvement de dénigrement de l'ESG dans les états américains républicains, ces derniers mois, a commencé à soulever des inquiétudes quant au positionnement des banques en ce qui concerne l'atténuation du changement climatique. Le marché craint que l'alliance ne se fragilise si les banques américaines se retiraient, au motif que les engagements « net zéro » posent des risques de responsabilité qui pourraient être considérés comme trop élevés aujourd'hui
Cette division du marché pousse les acteurs financiers dans des directions opposées, elle est contre-productive pour la mobilisation du financement climatique. En effet, cela détourne l'attention de l'industrie financière alors que nous avons un défi pratique à relever à plus court terme : comment augmenter les dépenses sur un problème de fond, tout en tenant compte du fardeau de la récession économique qui se profile. Entreprises et gouvernements n'auront pas la même réponse à cette question.
En période de contraction économique, les entreprises réagissent en réduisant leurs plans de dépenses en investissements, en gelant les nouvelles embauches (voire en licenciant du personnel), pour préserver la continuité d'exploitation tout en optimisant leur efficacité. Cependant, les PDG, qui ont un mandat qui s'étend au-delà du cycle de récession, doivent apporter une vision de résilience et durabilité à travers les cycles. Cela ne peut être envisagé aujourd'hui sans prendre en compte les externalités sociales et environnementales. Notre expérience dans l'examen d'opportunités d'investissement au sein de nos approches d'atténuation
du changement climatique nous a appris que la qualité du management et l'efficacité de la gouvernance d'entreprise se reflètent dans la capacité des équipes de direction à voir au-delà des turbulences de court terme, en continuant à investir dans ce dont l'entreprise aura besoin lorsque le contexte sera plus porteur : en conservant les talents, en réorganisant l'entreprise, en modifiant la gamme de produits, etc.
Par ailleurs, on attend des gouvernements des grandes économies qu'ils apportent leur soutien dans les moments difficiles et qu'ils conçoivent et adoptent de nouvelles politiques susceptibles de transformer la morosité en opportunité. De plus, les gouvernements ne peuvent ignorer ce dont une vision à court terme les priverait : la cohésion sociale et la capacité à satisfaire les besoins fondamentaux des citoyens. Avec la pression croissante sur l'agriculture causée par les
phénomènes météorologiques extrêmes, les besoins d'adaptation sont au cœur de l'agenda social et pourraient ainsi recueillir davantage d'engagements financiers. Le financement de l'adaptation ainsi que les provisions pour pertes et dommages (pour les pays les plus vulnérables) figurent en bonne place sur la liste des priorités de la COP de cette année.
L'année 2022 a été marquée par le deuxième ouragan le plus destructeur et le plus coûteux aux États-Unis. L'ouragan Ian a causé des dommages estimés à plus de 100 milliards de dollars. Les inondations au Pakistan et en Australie, les sécheresses record (parmi les pires depuis 500 ans), les canicules et les incendies de forêt dans l'hémisphère nord sont autant de catastrophes climatiques qui devraient devenir 15 à 30 fois plus fréquentes dans le futur. Les implications directes ne sont pas seulement liées à la reconstruction, mais concernent aussi la sécurité alimentaire, c'est-à-dire la baisse du rendement des cultures (baisse de 30 % de la récolte de riz dans le nord de l'Italie l'été dernier) et donc aussi du fourrage pour animaux. Des effets à plus long terme sont également à prévoir sur la biodiversité et les écosystèmes, avec des conséquences encore plus lourdes.
La COP27 se réunira dans un contexte économique et géopolitique très morose. Bien que les attentes soient faibles, on ne peut exclure de bonnes surprises. Nous ne pouvons qu'espérer et plaider pour que nos dirigeants regardent au-delà de la récession imminente et des tensions géopolitiques avec la Russie et qu'ils promeuvent des plans climatiques plus ambitieux pour protéger notre planète.
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Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997
En conclusion, la Fed devrait maintenir sa politique restrictive jusqu'à ce que les pressions inflationnistes décélèrent clairement. Toutefois, nous nous attendons à ce que le président de la Fed, M. Powell, signale un rythme de resserrement plus progressif. L’équilibre sera potentiellement difficile à trouver entre d’un côté un rythme de hausse de taux plus faible et d’un autre côté un taux terminal qui pourrait être revu à la hausse dans les mois qui viennent étant donné la résistance de l’économie américaine Cette réunion pourrait entraîner une légère pentification de la courbe des taux d'intérêt américains.
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En conclusion, la BCE devrait rester très déterminée pour contrer l’inflation en dépit des risques de récession. La réunion du mois d’octobre ne devrait pas révéler de surprise. Toutefois elle pourrait pousser les écarts de rendement des obligations souveraines de l'Union économique et monétaire (UEM) à la hausse
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Ces prestations ont été négociées avec des partenaires de confiance à moindre coût, risque ou délai pour les clients de La Française REM et viennent compléter l’offre existante : Watt Design and Build, Welcome at Work et Hiptown (Nexity).
Jean-Marie Célérier, Directeur de la Cellule de Transformation de l’Offre Locative de La Française Real Estate Managers souligne « Nous constatons que le bail Agile répond à de multiples cas d’usage : des sociétés en croissance, à l’activité volatile et qui veulent limiter leur
dette IFRS 161, ou encore des grands groupes qui souhaitent prendre une partie de leur implantation en flexible. Par exemple, 4 000 m2 en bail traditionnel et 1 000 m2 en bail « Agile ». Couplé à l’offre d’avantages exclusifs, tout est fait pour faciliter le passage « d’un bail de location » à « une expérience de travail ». Avec « WELLCOME by La Française », notre objectif est de donner à nos locataires l’envie de retourner au bureau. »
]]>Taux résiduel estimé jusqu’à l’échéance | 0.3% |
Quand votre FCP sera liquidé ? La société de gestion a décidé de procéder à la dissolution (mise en liquidation) de votre FCP.
Cette opération est soumise à l’agrément de l’Autorité des marchés financiers qui a été obtenu le 11 octobre 2022. 2 Votre FCP sera dissous en date du 31/10/2022. L’échéance du FCP telle que prévue dans sa documentation légale est le 31/12/2022.
Celle-ci ne sera pas respectée. En effet, la société de gestion prévoit de clôturer les opérations de liquidation des lignes en portefeuille au 31/10/2022. Au 12/09/2022, le portefeuille est investi dans 16 obligations (13 d’émetteurs privés et 3 obligations gouvernementales).
« La stratégie de gestion du fonds LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION vise à identifier et financer les acteurs positionnés sur ces enjeux structurels de long terme liés aux Objectifs de Développement Durable pour sélectionner des modèles économiques responsables et porteurs de croissance. En tant qu’acteur engagé, nous avons souhaité utiliser les ODD qui nous fournissent un cadre de référence et un outil de sensibilisation fort, pour un avenir plus durable et plus juste. Par ailleurs, l’objectif est d’offrir aux investisseurs un portage obligataire intéressant à travers une exposition diversifiée de 80 à 100 émetteurs (rating émetteur cible moyen de BB-) et dont la notation est susceptible de s’améliorer. L’équipe de gestion, à travers sa gestion active du fonds, apporte une connaissance approfondie des émetteurs et accorde une vigilance toute particulière quant à leur qualité et l’évolution de leurs géographies et secteurs d’activité » résume Akram GHARBI, Head of High Yield Investment à La Française AM.
Avec la hausse des taux d’intérêt réels et la hausse de la prime de risque, le lancement de LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION s’inscrit dans un contexte propice à la constitution d’un portefeuille High Yield. « En effet, les émetteurs de qualité (BB-) avec un faible risque de défaut offrent des rendements entre 6 et 7 % sur des obligations de 5 à 6 ans, » déclare Akram GHARBI.
L’objectif de gestion de LA FRANÇAISE CREDIT INNOVATION est d'obtenir, sur la période de placement recommandée de 3 ans, une performance nette de frais, supérieure à celle de l’indice BofA BB Global High Yield en investissant dans un portefeuille d’émetteurs préalablement filtrés selon des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) et dont 60% au moins contribuent positivement et/ou ne présentent pas de contribution négative aux objectifs de développement durable (ODD). La performance du fonds n’est pas garantie.
L’analyse ESG est réalisée selon une méthodologie propriétaire développée par La Française Sustainable Investment Research et intégrée au cœur du processus de gestion.
Principaux risques associés : perte en capital, discrétionnaire (il existe un risque que le fonds ne soit pas investi à tout moment sur les marchés ou les actifs les plus performants), investissements ESG (le fonds utilise des critères ESG et peut être moins performant que le marché en général), de taux, de défaut, liquidité.
Les trois actifs sont loués dans le cadre de baux long terme à La Mutuelle Générale, qui, à travers ses Centres Médicaux, Dentaires et Radiologiques et conformément à ses valeurs d’entraide, de solidarité et de fraternité, a pour objectif d’offrir à tous un accès à des soins de qualité, innovants et au meilleur coût.
Les centres Jack Senet et Broca permettent de bénéficier de la plus large offre de soins possible en médecine, dentaire et imagerie médicale à Paris avec 43 spécialités dispensées par près de 130 professionnels. Les centres sont par ailleurs conventionnés en secteur 1 et pratiquent le tiers payant auprès de plus de 150 mutuelles conventionnées, sans avance de frais. 76 000 patients y sont suivis régulièrement et plus de 200 000 personnes y sont accueillies chaque année. Des actions de prévention autour de la santé, la nutrition, ou le soutien aux aidants, ainsi que des actions de dépistage y sont régulièrement organisées.
Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « A l’image des valeurs de La Mutuelle Générale, cette acquisition s’inscrit parfaitement dans la stratégie d’investissement de la SCPI LF Avenir Santé, compte-tenu d’une part des localisations centrales des immeubles et d’autre part de la satisfaction des critères extra-financiers de sa politique de sélection qui vise des actifs permettant de lutter contre le manque d’infrastructure de santé ou médicosociales tout en accompagnant la prise en charge qualitative des patients. »
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillé par Le Cabinet Jeantet pour la partie juridique, l’étude ALLEZ et Associés pour la partie notariale et la société Builders & Partners pour les audits techniques. La Direction de l’Immobilier et des Achats de La Mutuelle Générale a été conseillée par le cabinet LEFEBVRE et associés pour le juridique, par l’étude SCREEB pour la partie notariale et par SG Real Estate Advisory qui intervenait en tant que conseil immobilier dans le cadre d’un mandat exclusif de vente.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Avenir Santé (80 %) et LF Grand Paris Patrimoine (20 %).
LF Avenir Santé et LF Grand Paris Patrimoine sont labellisées ISR.
Risques Associés : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Pour retrouver des mouvements d’amplitude similaire, il faut se référer aux périodes les plus volatiles des dernières décennies comme par exemple le mois d’octobre 2008. Si les facteurs explicatifs sont nombreux, trois évènements nous semblent toutefois avoir eu un impact plus important que les autres.
Chronologiquement le premier, le chiffre d’inflation américain sorti le 13 septembre a douché les espoirs des marchés financiers de voir le risque inflationniste reculer. Les enquêtes de la Fed de New York avaient pourtant laissé espérer une accalmie avec des attentes d’inflation en recul, chiffres qui avaient été plutôt corroborés par les enquêtes de l’université du Michigan. De la même façon, les sous composantes de prix des indicateurs ISM et PMI montraient une pression moindre à la hausse. La sortie du chiffre d’inflation à 8.3% contre 8.1% (et une surprise équivalente sur l’inflation « core », source Bloomberg) est donc intervenue à contrecourant des attentes du marché : certes l’inflation sur les biens diminuent, mais l’inflation sur les services continuent d’accélérer, avec un risque inflationniste toujours aussi présent.
La Réserve Fédérale a ensuite renouvelé son discours tenu à Jackson Hole : l’institution va continuer à durcir ses conditions financières pour éviter que ne se forme une boucle prix – salaire qui entrainerait un désancrage des anticipations d’inflation. Pour se faire la Fed va continuer à mener une politique visant, in fine, à faire baisser les prix des actifs (immobilier surtout) et à faire remonter le taux de chômage. La publication des « dots » au-dessus des attentes de marché, avec un taux à fin 2023 attendu par les membres de la Fed à 4.625%, a aussi surpris le marché et participé à la baisse des marchés obligataires. Combiné au chiffre d’inflation sorti plus tôt dans le mois, l’impact sur les taux réels a été très violent.
La décision de la Banque du Japon est intervenue juste après que la Réserve fédérale (Fed) a relevé ses taux de 75 points de base (pbs), pour le troisième mois d’affilé, dans une fourchette de 3,00 %-3,25 %. La BoJ a gardé inchangé la trajectoire future de ses taux d’intérêt, son taux négatif de 0,1 % et ses achats illimités d’obligations d’Etat pour plafonner leurs rendements à 10 ans à 0,25 %. La semaine dernière, la banque centrale a dépensé environ 2 900 milliards de yens (20 milliards de dollars) pour défendre son taux plafond de 0,25%.
Depuis le début de l'année, le dollar s'est apprécié de 16 % par rapport aux principales devises des pays développés, tandis que le yen a chuté d'environ 26 % par rapport au billet vert. Le dollar a atteint un sommet depuis 24 ans, à 145,82 yens ce mois-ci.
La chute de la devise japonaise est multifactorielle. Elle est due en grande partie à la très forte divergence de politiques monétaires entre la Banque du Japon et la quasi-totalité des autres banques centrales du monde. Le solde du compte courant est une autre raison de la dépréciation du yen. Il a atteint 229 milliards de yens (1,6 milliards de dollars) en juillet, en baisse par rapport à un excédent de 1 715 milliards de yens (15,6 milliards de dollars) un an plus tôt, sous l'effet de la hausse des coûts des produits importés. Enfin, le dollar s’apprécie face à toutes les devises, considéré comme une valeur refuge dans un contexte d'incertitude économique et géopolitique.
Par conséquent, la forte dépréciation du yen est au centre des préoccupations des autorités japonaises. Une intervention sur le marché des changes est décidée par le ministère des finances et effectuée par la Banque du Japon. À plusieurs reprises en 1991-1992 et en 1997-1998, le ministère des finances est intervenu sur le marché des changes pour défendre la devise nipponne face au dollar. Depuis le début du mois de septembre, les responsables politiques ont mis en garde contre la volatilité du yen. Ils ont averti que le pays était prêt à prendre des mesures pour stopper la dépréciation du yen. La Banque du Japon a par ailleurs procédé à un examen du marché des changes, une mesure considérée comme un signe précurseur d'une intervention imminente pour protéger le yen. Le 22 septembre, juste après la fin de la conférence de presse du gouverneur Haruhiko Kuroda, contre toute attente, le gouvernement a annoncé être intervenu pour contrer les spéculateurs. A la fin de l'allocution de M. Kuroda, la devise japonaise s'est renforcée par rapport au dollar, à 142,48 contre 145,83 avant la conférence de presse.
Néanmoins, les interventions passées montrent qu’elles ont un effet temporaire sur le yen. En août 1998, la devise japonaise s'échangeait à près de 148 pour un dollar même après que les autorités américaines se sont jointes à la BoJ pour acheter du yen. De plus, dans un contexte d'incertitude économique, monétaire et géopolitique, le billet vert domine le marché des changes. Une intervention à l'achat sur le yen couplée à une normalisation de la politique monétaire de la BoJ pourrait stopper la dépréciation du yen face au dollar. Cependant, lors de la réunion des 21 et 22 septembre, le gouverneur Kuroda a indiqué que la banque centrale n'avait « pas besoin de changer d'orientation avant 2 ou 3 ans ». Par conséquent, la probabilité qu’il modifie significativement la politique monétaire de la BoJ avant la fin de son mandat en avril 2023 est faible. La croissance des salaires avec les négociations annuelles au printemps 2023 sera un élément essentiel pour une normalisation de la politique monétaire. Le gouverneur de la BoJ estime que les salaires doivent augmenter davantage pour atteindre durablement son objectif d'inflation de 2 %. Nous anticipons dans un premier temps que la BoJ ajuste sa politique de « Yield Curve Control » (YCC) du rendement à 10 ans au rendement à 5 ans au cours du premier semestre 2023, avant de revenir à une politique monétaire conventionnelle avec la fin des taux d’intérêt négatifs.
Le pivot de la Fed, c’est-à-dire cesser de relever encore les taux d’intérêt et éventuellement reconsidérer sa politique de resserrement, est primordial pour stabiliser le yen, mais il est prématuré à ce stade. Nous pensons que le dollar continuera de s’apprécier tant que les taux américains augmentent. Depuis Jackson Hole fin août, le président de la Fed Jerome Powell a averti que la Réserve fédérale continuerait à resserrer sa politique monétaire jusqu’à ce que « le job soit fait », c’est-à-dire jusqu’à ce que l’inflation revienne sur une trajectoire de 2 %. De plus, une étape importante consistera, pour le Premier ministre Kishida, à montrer que sa priorité politique se démarque de celle du défunt Premier ministre Shinzo Abe et de sa politique économique (« Abenomics »). L'intervention à l'achat sur le yen d'hier pourrait être un premier signe.
D'ici la fin de l'année, nous nous attendons à ce que le yen se déprécie davantage par rapport au dollar, la Fed conservant sa position très agressive et la BoJ maintenant résolument sa politique monétaire ultra-expansive. Le coût élevé du service de la dette (atteignant 250 % du PIB) limite également les marges de manœuvre de la BoJ. Le maintien d'un yen faible est par ailleurs positif pour l'économie puisqu'il stimule les exportations. À plus long terme (fin 2023), nous pensons que le yen s’appréciera grâce à une politique monétaire moins agressive de la Fed et à une normalisation de celle de la BoJ.
Avertissement
Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
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Cher Actionnaire,
La Française Real Estate Managers, agissant en qualité de société de gestion de LF IMMO GENERATIONS (la « Société»), vous informe de la modification du Prospectus de la Société consistant en une précision relative à la typologie d’actifs immobiliers pouvant composer le patrimoine de la Société en ajoutant, de manière accessoire, des surfaces de co-working et des locaux commerciaux.
Plus particulièrement, en conséquence de cette modification du Prospectus, le patrimoine principal de la Société pourra toujours être composé d’une sélection d’actifs immobiliers liés à la typologie des écoles, crèches, centres de formation, résidences étudiantes, co-living, résidences services seniors et centres médicaux/bien être, qui pourront comprendre de façon accessoire des surfaces de co-working et des locaux commerciaux.
Ainsi, il sera ajouté dans l’articles 3.1 « objectifs de gestion » et l’article 3.3.1 « Stratégie adoptée sur la poche immobilière » du Prospectus de la Société, que les actifs pouvant composer le patrimoine de la Société « peuvent comprendre de façon accessoire des surfaces de co-working et des locaux commerciaux ».
Dans la mesure où cette modification du Prospectus constitue une mutation, La Française Real Estate Managers sollicitera l’accord du dépositaire et l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers (l’« AMF »).
La modification du Prospectus sera effective à la date de l’agrément de l’AMF.
De plus, dans la mesure où cette modification des objectifs et politique d’investissement de la Société s’inscrit dans le cadre d’une évolution absolue de l’exposition à une ou plusieurs typologies de risque strictement inférieure à 20% de l’actif net, nous vous prions de bien vouloir noter l’absence de droits de sortie sans frais.
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Le prospectus de la Société sera mis à jour afin de refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire du prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur demande au siège social de la Société.
Le Conseil
]]>Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme deplacements collectifs et gestionnaire comptable par délégation du fonds précité.
La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France.
Lors de son entrée en vigueur, le prospectus mis à jour du fonds pourra être consulté sur le site internet de La Française : www.la-francaise.com.
Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, le règlement ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant.
Représentant en Suisse :
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich
Agent payeur en Suisse :
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zurich
Du fait de la fusion, BNP Paribas SA, en sa qualité de successeur universel de BNP Paribas Securities Services, deviendra à la date de la fusion Banque dépositaire et conservateur d’organisme de placements collectifs et gestionnaire comptable par délégation du fonds précité.
La fusion n’affectera pas les fonctions et opérations mises en place par la Société et réalisées par BNP Paribas SA. Le modèle opérationnel et de services déployé par BNP Paribas SA restera inchangé, tout comme les coordonnées du dépositaire en France.
Lors de son entrée en vigueur, le prospectus mis à jour du fonds pourra être consulté sur le site internet de La Française : www.la-francaise.com.
Le prospectus, les feuilles d'information de base resp. les informations clés pour l’investisseur, lesstatuts ainsi que les rapports annuels et semestriels peuvent être obtenus gratuitement auprès du représentant.
Représentant en Suisse :
ACOLIN Fund Services AG, Leutschenbachstrasse 50, CH-8050 Zurich
Agent payeur en Suisse :
NPB Neue Privat Bank AG, Limmatquai 1/am Bellevue, Case postale, CH-8024 Zuric
D'un point de vue pratique, cette Fusion n'aura aucun impact sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun coût supplémentaire. Elle n'affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients puisqu'ils sont intégralement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a quelques conséquences opérationnelles, que nous souhaitons partager avec vous:
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Le prospectus de la Société sera mis à jour afin de refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire du prospectus mis à jour sera disponible en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais gratuitement sur demande au siège social de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV dès qu’il aura été validée par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
Le Conseil
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La commercialisation serait portée par deux structures distinctes qui abriteraient les forces de vente et d’animation de l’ensemble des produits des sociétés de gestion du Groupe : Crédit Mutuel Investment Managers serait spécialisé sur la clientèle interne des réseaux du groupe ainsi que la clientèle Entreprises et Epargne Salariale/Retraite, tandis que La Française Finance Services serait, elle, tournée vers la clientèle externe en France, notamment institutionnelle, et à l’international.
Crédit Mutuel Alliance Fédérale a pour intention de continuer à s’appuyer sur la notoriété de la marque « La Française » qui, dans ce cadre, évoluerait pour intégrer davantage son appartenance au groupe Crédit Mutuel.Coté pôle de gestion, l’ambition est d’aller dans le sens d’une plus grande spécialisation des différentes maisons de gestion du groupe en bénéficiant de leurs expertises fortes et complémentaires. Une démarche orientée « développement » permettrait au Groupe de maximiser le « cross-selling », de renforcer sa visibilité et les moyens alloués à chaque spécialité.
Cette spécialisation intégrerait une stratégie d’investissement responsable et durable commune à l’ensemble des sociétés de gestion : stratégie définie comme l’axe majeur d’investissement et de développement du groupe, en parfaite cohérence avec les valeurs de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, premier groupe bancaire ayant opté pour le statut d’entreprise à mission.
L’idée est de constituer ainsi un acteur significatif dans le paysage français de l’Asset Management, 6e intervenant français avec 160 Md€ sous gestion, présent partout en Europe, actif en Asie et proposant une large gamme d’expertises complémentaires incluant les actifs cotés, les actifs réels et la gestion alternative
]]>D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :
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Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société.
Le Conseil
]]>Le conseil d’administration de la Société (le « Conseil ») souhaite vous informer du projet de fusion de BNP Paribas Securities Services S.C.A. (« BP2S ») et de BNP Paribas S.A. (« BNPP ») (la « Fusion »).
BP2S sera absorbée par BNPP. En conséquence de la Fusion, tous les actifs, passifs et activités de BP2S seront transférés à BNPP par voie de succession universelle, et BNPP assumera toutes les fonctions et tous les services confiés à BP2S et à ses succursales. Au Grand-Duché de Luxembourg, la Fusion sera matérialisée par l’absorption de BP2S – Succursale de Luxembourg par BNPP – Succursale de Luxembourg.
D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :
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Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société.
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D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :
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Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV, dès qu’il aura été validé par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles. Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
Le Conseil
D’un point de vue pratique, cette Fusion n’aura aucune incidence sur les flux opérationnels, organisationnels et commerciaux actuellement en place et ne vous occasionnera aucun surcoût. Elle n’affecte pas les engagements entre BP2S et ses clients, ceux-ci étant entièrement repris par BNPP. Cependant, cette Fusion a des conséquences pratiques, que nous souhaitons vous communiquer :
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Le prospectus de la Société sera mis à jour pour refléter, entre autres, le changement décrit dans le présent avis. Un exemplaire de chaque prospectus mis à jour sera disponible en français et en néerlandais, ainsi que les rapports annuel et semestriel, en anglais gratuitement sur simple demande auprès du siège social de la Société, sur le site : www.fundinfo.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV, dès qu’il aura été validé par la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
Le Conseil
]]>La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer la composante FTSE Eurozone Government Bond de l'indice de référence composite par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global.
Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs et son profil de risques. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds sera modifiée comme suit : 50% MSCI Europe dividendes nets réinvestis + 50% Bloomberg EuroAgg Treasury Global coupons réinvestis.
Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds.
Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance.
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
]]>La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer la composante Euro MTS global de l'indice de référence composite par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global.
Le remplacement de l’indice Euro MTS global par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs et son profil de risques. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds sera modifiée comme suit : 50% MSCI World 100% hedgé en euro dividendes nets réinvestis + 40% Bloomberg EuroAgg Treasury Global +10% €STR capitalisé.
Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds.
Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance.
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
]]>La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer la composante FTSE Eurozone Government Bond de l'indice de référence composite par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global.
Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury Global n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs et son profil de risques. La rédaction de l’indicateur de référence composite du Fonds sera modifiée comme suit : 50% Bloomberg EuroAgg Treasury Global coupons réinvestis + 35% €STR capitalisé + 0,085% + 15% MSCI Europe dividendes nets réinvestis.
Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds.
Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance.
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
]]>La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer l'indice de référence FTSE Eurozone Government Bond 7-10 ans par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury 7-10 ans.
Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond 7-10 par l’indice équivalent Bloomberg Bloomberg EuroAgg Treasury 7-10 n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs, son profil de risques.
La rédaction de l’indicateur de référence du Fonds sera modifiée comme suit : « FTSE Eurozone Government Bond 7-10 ans ».
Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds.
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Fonds disponible sur le site www.la-francaise.com
La Française Asset Management, société de gestion du Fonds (ci-après la « Société de Gestion »), a décidé de remplacer l'indice de référence FTSE Eurozone Government Bond 1-3 ans majoré de 3% par son indice Bloomberg équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury 1-3 ans majoré de 3%.
Le remplacement de l’indice FTSE Eurozone Government Bond 1-3 par l’indice équivalent Bloomberg EuroAgg Treasury 1-3 n’a aucun impact sur la manière dont le fonds est géré, son allocation des avoirs, son profil de risques.
La rédaction de l’indicateur de référence du Fonds sera modifiée comme suit : « Bloomberg EuroAgg Treasury 1-3 ans majoré de 3%. ».
Cette modification qui sera effective le 1er octobre 2022 n’a pas d’impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement actuelle du Fonds.
Par ailleurs, ce remplacement d’indice n’aura pas d’impact sur les frais, ni sur le calcul des commissions de performance.
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 1er octobre 2022.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
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]]>Le bâtiment a été achevé en 2020 et affiche de bonnes références en matière de performance énergétique, avec une certification DGNB Gold. Le bien dispose également d'un concept énergétique innovant et durable avec un système de stockage de glace pour le refroidissement et le chauffage.
L'immeuble de bureaux (R+5) est entièrement loué dans le cadre d'un à bail long terme à un locataire unique, Küchen Quelle Holding GmbH, une entreprise spécialisée dans la conception de cuisines.
Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre premier immeuble de bureaux à Nuremberg ; notre deuxième acquisition à Nuremberg en moins d'un mois. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie de diversification de notre portefeuille immobilier allemand avec des actifs performants au regard des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. Nous sommes convaincus de l'attractivité à long terme de l'immeuble et de son concept énergétique innovant. »
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier gérée par La Française REM, LF Europimmo.
La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Görg sur les aspects juridiques, de TA Europe GmbH sur la due-diligence technique et de CBRE GmbH sur les questions ESG. Stonedeal GmbH a conseillé le vendeur.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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L’Europe s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Pour y parvenir chaque Etat s’est fixé une feuille de route déclinée par secteur d’activité. En France la Stratégie Nationale Bas Carbone, demande au secteur du bâtiment de réduire de 60% ses consommations d’énergie d’ici 2050. Pour ce faire, elle s’est dotée d’un plan d’actions qui s’appuie sur deux réglementations phares :
Cette stratégie ambitieuse a nécessairement comme première étape la collecte de données pour dresser un état du parc existant. Ainsi, la loi ELAN impose aux propriétaires et aux locataires du secteur tertiaire, de déclarer les bâtiments qu’ils occupent/qu’ils gèrent sur la plateforme OPERAT (Observatoire de la Performance Energétique, de la Rénovation et des Actions du Tertiaire) de l’Ademe, au plus tard le 30 septembre 2022. (échéance décalée au 31 décembre 2022 le 20 septembre 2022).
La Française REM a rempli ses obligations, dans les délais initialement impartis, non seulement sur le parc dont elle assure la gestion, mais également sur l’ensemble des lots gérés par les locataires qui l’ont autorisée à le faire. Le périmètre concerné représente 478 immeubles en France et 1 457 baux pour une surface totale de plus de 2,4 millions de m². Thierry MOLTON, Directeur des actifs immobiliers d’entreprise de La Française REM, a précisé « Si la loi n’impose pas aux propriétaires de se substituer aux locataires, il nous a semblé important de prendre le relais de nos locataires dans cette démarche pour deux raisons. Premièrement, le propriétaire d’un bâtiment est le mieux placé pour coordonner les efforts nécessaires que devront faire bailleurs et utilisateurs pour atteindre les objectifs de réduction des consommations d’énergie fixés par la loi. Notre longue expertise dans le domaine nous a enseigné qu’un propriétaire qui ne s’associe pas aux occupants de son immeuble ne peut atteindre les objectifs de sobriété énergétique. Deuxièmement, cette démarche s’inscrit dans la stratégie globale d’accompagnement des locataires de La Française REM, et ce dans quelque domaine que ce soit. »
En résumé Jerome Powell devrait encore une fois réaffirmer son message « hawkish », comme il l’avait fait à Jackson Hole. Cela devrait encore une fois pousser les taux à la hausse et les courbes de taux à s’aplatir.
Disclaimer
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
L’inflation douche (encore) les marchés [Boucler la boucle – Saison 2 - Épisode 3]
Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>La période estivale avait été jusqu’ici favorable aux marchés financiers dans leur ensemble et ce malgré une situation macroéconomique toujours difficile. Plusieurs raisons peuvent l’expliquer. Tout d’abord une perception par les acteurs financiers d’un risque inflationniste moindre en lien avec une baisse des prix des matières premières et plus particulièrement du prix du baril de pétrole. Cela avait logiquement engendré une baisse généralisée des taux gouvernementaux, à la fois sur la partie nominale mais aussi, et surtout, sur la partie taux réels. De notre point de vue, ceci a joué un rôle essentiel dans la bonne tenue des actifs risqués jusqu’à récemment. De plus, le positionnement de marché, très pessimiste en juin, et une saison d’annonces de résultats jugée satisfaisante ont eux aussi sans doute participé à cette reprise de risque de la part des investisseurs.
La situation macroéconomique reste cependant à minima difficile, spécialement en Europe. La confiance des consommateurs est proche des plus bas dans la quasi-totalité des pays de la zone Euro, en lien avec la forte hausse des prix énergétiques depuis le début de l’année. En Europe, si le prix du baril de pétrole s’est replié durant l’été, il n’en a pas du tout été de même pour les prix du gaz, celui-ci bondissant de plus de 200% depuis début juin. En corolaire, les prix de l’électricité n’en finissent plus de progresser, avec des conséquences pour les particuliers et les entreprises aujourd’hui difficiles à évaluer en raison des différents plans de soutien gouvernementaux mis en place. Mais ce soutien budgétaire est-il pérenne ? Les dernières déclarations laissent à penser que si ce soutien ne va pas disparaitre, il va tout du moins diminuer, avec pour conséquences une hausse potentiellement significative des coûts énergétiques pour l’ensemble des acteurs économiques. Une reforme du marché de l’électricité en Europe pourrait également limiter le choc.
L’indépendance énergétique américaine ne fait pas peser les mêmes risques sur le consommateur américain. Si ce dernier est lui aussi touché par une forte inflation, il est aussi soutenu par une inflation salariale plus forte qu’en Europe et un marché de l’emploi toujours dynamique même si certains signes de fragilité commencent à apparaitre.
La Chine n’a elle de son côté aucun problème lié à l’inflation, mais cela ne rend pas sa situation plus rassurante. Les politiques mises en place en 2021, visant à rééquilibrer certains segments de son économie, continuent à avoir un impact profond sur l’économie en général et sur l’immobilier en particulier. Parallèlement, l’économie souffre aussi de la politique « zéro Covid » toujours appliquée par le gouvernement.
Dans ce contexte de croissance mondiale dont les estimations sont sans cesse revues à la baisse pour 2022 (4,40% en début d’année, 2,90% au 19 août ), les banques centrales n’ont pour autant aucune possibilité d’assouplir les conditions financières. Si le dernier chiffre d’inflation américain, sorti à 0 en rythme mensuel pour le mois de juillet, a pu rassurer à court terme, il nous semble beaucoup trop tôt pour que les banques centrales se satisfassent de la situation actuelle. Ces dernières ont d’ailleurs réaffirmé à Jackson Hole leur volonté de lutter contre l’inflation en se montrant moins accommodantes et en augmentant les taux réels.
Au-delà des risques géopolitiques dont le futur est par nature incertain, c’est sans doute ce dernier point qui nous rend le plus prudent pour les mois qui viennent. Le durcissement des conditions financières à venir aura du mal à se faire sans heurts dans un contexte de croissance dégradée. Il nous semble primordial de rester prudent dans nos allocations aux actifs risqués, spécialement en Europe.
Pour finir sur une note d’espoir, il est toutefois possible que la fin d’année apporte quelques bonnes nouvelles avec une inflation graduellement moins forte aux États-Unis et un impact positif des différents plans de relance chinois.
L’immeuble est très efficient sur le plan environnemental et a été bâti sur les derniers standards environnementaux. Il possède les meilleurs labels et certifications : NF HQE Exceptionnel, Effinergie +, Wiredscore Platinium, BREEAM niveau « Excellent », Well Silver et sa performance énergétique sera équivalente à la RT 2012 moins 40 %.
Le « Campus Cyber » est entièrement loué pour une durée de 10 ans à un preneur unique composé à 45% de l’Etat français et à 55% par de grands groupes privés.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de véhicules d’investissement gérés par La Française REM : quatre Sociétés Civiles de Placement Immobilier, LF Grand Paris Patrimoine, Epargne Foncière, Crédit Mutuel Pierre 1 et Sélectinvest 1, et deux sociétés civiles distribuées en unités de compte immobilières.
Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers déclare « A l’instar de la collecte record du marché de la SCPI enregistrée sur le premier semestre 2022, La Française REM signe avec le « Campus Cyber », sa plus importante acquisition pour compte de Sociétés Civiles de Placement Immobilier. Avec l’acquisition de « Campus Cyber » nous sommes fiers d’investir dans un immeuble iconique à bien des égards : par son architecture, son engagement responsable – c’est un des très rares actifs alignés à la Taxonomie – par ses technologies et services déployés, sans oublier la thématique de la cybersécurité, en ligne avec l’engagement durable de notre groupe, portée par les locataires présents dans l’immeuble. »
Adrien Blanc, Président d’Altarea Entreprise conclut « Nous sommes très fiers d’avoir conclu cette opération avec La Française Real Estate Managers qui confirme la capacité d’Altarea Entreprise à réaliser des ensembles d’envergure, pour des acteurs de premier plan. Cette opération répond aux exigences du bureau de demain : une localisation exceptionnelle, des espaces flexibles et réversibles et une offre servicielle sur-mesure, avec des performances environnementales répondant aux meilleurs standards internationaux. Nous nous réjouissons également qu’un acteur français prenne la suite auprès du Campus Cyber. »
Dans cette transaction, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Allez & Associés, le Cabinet Mayer Brown pour les aspects locatifs et le Cabinet Fairway pour le financement.
La Banque Européenne du Crédit Mutuel, conseillée par l’étude notariale Victoires Notaires et le Cabinet Archers, a financé une partie de cette acquisition.
Altarea Entreprise était conseillée par l’étude Thibierge Notaires.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1.
La Française REM était conseillée par l’office notarial Oudot & Associés et le Cabinet Jeantet sur les aspects juridiques. Le Groupe Artea était conseillé par l’étude notariale Les Notaires du Quai Voltaire.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti.
]]>Quelques liens utiles :
Volume d’investissement record pour le marché européen de l’immobilier d’entreprise
En Europe, le volume d’investissement en immobilier d’entreprise sur douze mois glissants totalisait près de 280 milliards d’euros fin juin 2022, un niveau record supérieur à celui enregistré en 2019. Cependant, l’activité a ralenti au deuxième trimestre, limitée par l’augmentation des coûts de financement et la plus grande sélectivité des banques, notamment en Europe du Sud. La demande des investisseurs se concentre sur les actifs les plus qualitatifs, en termes techniques et environnementaux. Les actifs de moindre qualité sont écartés par les investisseurs en raison de l’explosion des coûts des travaux de rénovation, à un moment où les exigences des utilisateurs en matière de durabilité se font plus pressantes.
Le marché des bureaux affiche une hausse de 9% sur douze mois glissants à fin juin 2022 comparé à décembre 2021. Le bureau reste de loin la classe d’actifs privilégiée par les investisseurs. Le secteur de la logistique et des locaux d’activité signe un volume d’investissement record avec plus de 67 milliards d’euros. L’intérêt des investisseurs pour cette classe d’actifs est porté par des prévisions de hausse de loyers résultant d’une faible vacance et d’une demande toujours forte dans la plupart des marchés européens.
Les taux de rendement des bureaux s’ajustent
Le deuxième trimestre 2022 a été marqué par une remontée rapide des taux longs, provoquant mécaniquement une baisse de la prime de risque immobilière. Dans ce contexte, les taux de rendement immobiliers ont commencé à évoluer. Les marchés français et allemands, où les taux de rendement immobiliers étaient les plus bas, ont enregistré une correction rapide mais modérée de leurs taux. Fin juin 2022, les taux de rendement prime de bureaux restaient cependant sous les 3% à Paris et dans les principales villes allemandes. La décompression devrait être plus marquée et probablement plus longue pour les actifs secondaires, notamment en Europe du Sud.
Tendances de la demande placée
Malgré des vents contraires, la demande placée* en Europe affiche une hausse de 46% sur un an (à fin juin 2022) et excède sa moyenne sur les dix dernières années de 3%. L’ensemble des principales villes européennes affichent des performances positives sur un an à l’exception d’Amsterdam qui voit sa demande légèrement reculer (-3%). Dublin, Londres et Lille ont, quant à elles, vu leur demande placée plus que doubler sur les douze derniers mois (à fin juin 2022).
L’offre immédiate dans les principales villes européennes reste stable sur un an, à un niveau cependant relativement élevé. La hausse rapide des coûts de construction et des coûts de financement devraient venir limiter l’offre future et pourrait contribuer à un reflux de la vacance à moyen terme.
Attention aux évolutions des loyers, les sous-marchés se comportent différemment
La crise sanitaire et le développement du télétravail ont entraîné une modification du fonctionnement des marchés. Alors qu’auparavant, une hausse globale de la vacance entraînait une baisse globale des loyers, la polarisation des marchés se traduit par des évolutions de loyers divergentes entre les actifs des localisations centrales permettant le déploiement du télétravail, qui connaissent des pressions haussières de leurs loyers et les autres actifs où les loyers sont orientés à la baisse.
Les mesures d’accompagnement atteignent des niveaux records sur les actifs secondaires, les utilisateurs étant enclins à libérer ces actifs pour des actifs de meilleure qualité.
La hausse des coûts de l'énergie et son corollaire, la hausse des charges locatives, attisent l’attention des utilisateurs sur la performance énergétique. Compte tenu du manque de bâtiments économes en énergie face à cette demande importante, les valeurs locatives pourraient être plus élevées pour ce type de biens.
La faiblesse de l’offre en Allemagne continue à exercer des pressions haussières sur les loyers allemands. Fin juin 2022, les loyers prime s’établissaient à 510€/m²/an à Berlin, 522€/m²/an à Munich et 546€/m²/an à Francfort, ce qui correspond à des hausses de 3 à 10% sur un an. Londres affiche la plus forte progression sur un an (+13%) avec un loyer qui s’établissait à 1 626€/m²/an pour les meilleurs actifs fin juin 2022.
Sources : CBRE, MBE, La Française REM Research
*demande placée dans les 12 principales villes européennes : Bruxelles, Lille, Lyon, Paris, Berlin, Francfort, Hambourg, Munich, Dublin, Milan, Amsterdam, Madrid
Les informations contenues dans ce document sont considérées comme exactes au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour de La Française Real Estate Managers. Elles n'ont pas de valeur contractuelle et peuvent différer des opinions d'autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR (« Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ») sous le n° 18673 en qualité d'entreprise d'investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l'agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l'agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M, fonds maître (ci-après le « FCP Maître ») de votre FCP UFF OBLICONTEXT 2023 A (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement, le profil rendement / risque ainsi que la dénomination du FCP concomitamment à son FCP Maître.
En effet, la diversification du portefeuille du FCP Maître est de plus en plus réduite en raison du faible univers d’investissement lié à la maturité des titres éligibles en portefeuille, d’obligations rappelées par leurs émetteurs et d’obligations arrivées à maturité. Par ailleurs, en raison de la maturité du fonds, l’absence de nouvelles opportunités sur le marché et/ou d’opportunités plus risquées amènent la société de gestion à modifier la stratégie d’investissement du FCP Maître ce qui a un impact sur votre FCP.
Le FCP Maître qui est actuellement un fonds à échéance au 31 décembre 2023 deviendra un fonds avec une durée de placement recommandée de trois (3) ans. La stratégie d’investissement du FCP Maître sera mise en œuvre par une gestion discrétionnaire flexible d’un portefeuille composé d’actions, d’obligations d’états et d’entreprises de pays membres de l’OCDE et/ou des pays émergents mais également d’OPCI.
Le nouvel objectif de gestion du FCP Maître sera d’obtenir sur la période de placement recommandée de trois (3) ans, une performance, nette de frais, supérieure à celle de l’indice composite 20 % MSCI World Total net Return (MXWOHEUR Index) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield (HW00 index) + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified Hedged EUR (JPGCHECP Index) en investissant dans des titres préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 % inférieure à celle de l'indice composite.
Enfin, le FCP Maître sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits promouvant les caractéristiques ESG) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication centrale).
Le FCP sera dénommé « UFF Multi Actifs Durables A ».
Le FCP Maître sera dénommé « Multi Actifs Durables ».
Nous attirons votre attention sur le fait que le FCP a actuellement pour objectif de gestion d’obtenir au travers de l'investissement dans le FCP Maître OBLICONTEXT 2023 M (part I), à échéance 2023, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations internationales à haut rendement d'échéance 2023.
La performance enregistrée du FCP sur l’année 2021 est de 3,25%.
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M, fonds maître (ci-après le « FCP Maître ») de votre FCP UFF OBLICONTEXT 2023 (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement, le profil rendement / risque ainsi que la dénomination du FCP concomitamment à son FCP Maître.
En effet, la diversification du portefeuille du FCP Maître est de plus en plus réduite en raison du faible univers d’investissement lié à la maturité des titres éligibles en portefeuille, d’obligations rappelées par leurs émetteurs et d’obligations arrivées à maturité. Par ailleurs, en raison de la maturité du fonds, l’absence de nouvelles opportunités sur le marché et/ou d’opportunités plus risquées amènent la société de gestion à modifier la stratégie d’investissement du FCP Maître ce qui a un impact sur votre FCP.
Le FCP Maître qui est actuellement un fonds à échéance au 31 décembre 2023 deviendra un fonds avec une durée de placement recommandée de trois (3) ans. La stratégie d’investissement du FCP Maître sera mise en œuvre par une gestion discrétionnaire flexible d’un portefeuille composé d’actions, d’obligations d’états et d’entreprises de pays membres de l’OCDE et/ou des pays émergents mais également d’OPCI.
Le nouvel objectif de gestion du FCP Maître sera d’obtenir sur la période de placement recommandée de trois (3) ans, une performance, nette de frais de gestion, supérieure à celle de l’indice composite 20 % MSCI World Total net Return (MXWOHEUR Index) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield (HW00 index) + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified Hedged EUR (JPGCHECP Index) en investissant dans des titres préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 % inférieure à celle de l'indice composite.
Enfin, le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits promouvant les caractéristiques ESG) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers(communication centrale).
Le FCP sera dénommé « UFF Multi Actifs Durables ».
Le FCP Maître sera dénommé « Multi Actifs Durables ».
Nous attirons votre attention sur le fait que le FCP a actuellement pour objectif de gestion d’obtenir au travers de l'investissement dans le FCP Maître OBLICONTEXT 2023 M (part I), à échéance 2023, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations internationales à haut rendement d'échéance 2023.
La performance enregistrée du FCP sur l’année 2021 est de 3,24% pour la part C (FR0013202652) et 3,81% pour la part P (FR0013202660).
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du Fonds Commun de Placement Oblicontext 2023 M (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement, le profil rendement / risque ainsi que la dénomination du FCP.
En effet, la diversification du portefeuille du FCP est de plus en plus réduite en raison du faible univers d’investissement lié à la maturité des titres éligibles en portefeuille, d’obligations rappelées par leurs émetteurs et d’obligations arrivées à maturité. Par ailleurs, en raison de la maturité du fonds, l’absence de nouvelles opportunités sur le marché et/ou d’opportunités plus risquées amènent la société de gestion à modifier la stratégie d’investissement du FCP.
Le FCP qui est actuellement un fonds à échéance au 31 décembre 2023 deviendra un fonds avec une durée de placement recommandée de trois (3) ans. La stratégie d’investissement du FCP sera mise en œuvre par une gestion discrétionnaire flexible d’un portefeuille composé d’actions, d’obligations d’états et d’entreprises de pays membres de l’OCDE et/ou des pays émergents mais également d’OPCI.
Le nouvel objectif de gestion du FCP sera d’obtenir sur la période de placement recommandée de trois (3) ans, une performance, nette de frais, supérieure à celle de l’indice composite 20 % MSCI World Total net Return (MXWOHEUR Index) + 40 % Indice ICE Bofa Global High Yield (HW00 index) + 40 % Indice JP EMBI Global Diversified Hedged EUR (JPGCHECP Index) en investissant dans des titres préalablement sélectionnés en fonction de critères d'investissement environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans le but d'atteindre une moyenne
pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi (intensité carbone) au moins 30 %
inférieure à celle de l'indice composite.
Enfin, le FCP sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits promouvant les caractéristiques ESG) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication centrale).Le FCP sera dénommé « Multi Actifs Durables ».
Nous attirons votre attention sur le fait que le FCP a actuellement pour objectif de gestion d’obtenir, à échéance 2023, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations internationales à haut rendement d'échéance 2023.
La performance enregistrée du FCP (part I) sur l’année 2021 est de 4,81%.
]]>Ce comité ne devrait pas avoir d’impact significatif sur les marchés de taux d’intérêt. Jerome Powell devrait confirmer que la politique monétaire de la FED demeurera dépendante des données économiques. Nous nous attendons à ce que la FED reste déterminée à rétablir la stabilité des prix mais avec un discours légèrement plus équilibré.
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DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière.
Il s’agit de la deuxième cession réalisée dans le cadre de l’activité de développement lancée par Batipart et ses partenaires ; un partenariat qui a initié 8 opérations depuis sa création en 2018. Pour cette opération de cession, Batipart accompagnera La Française REM jusqu’à la prise d’effet du bail du locataire principal.
La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides, Mayer Brown pour les aspects juridiques et le cabinet Fairways pour le financement contracté auprès de la Banque Européenne du Crédit Mutuel, elle-même conseillée par Archers et Victoires Notaires. Les vendeurs étaient conseillés par l’étude notariale Cheuvreux et le cabinet d’avocats Pardieu Brocas Maffei, et étaient accompagnés de CA-CIB pour le financement de cette opération, ainsi que d’Eiffage Construction Tertiaire et de Theop pour sa réalisation.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
"Laurent Jacquier Laforge, Global Head of Sustainability : « Nous sommes résolument déterminés à figurer parmi les acteurs actifs et influents, et à rendre compte de nos impacts auprès de nos parties prenantes."
Parce que nous visons les plus hauts standards ESG, nous faisons de l’investissement durable un des axes majeurs de notre développement. Notre conviction de l’investissement durable se fonde sur les travaux réalisés par le Groupe La Française dans l’exploration macro-financière des différents scénarios socio-économiques de long terme considérés comme possibles par la communauté économique et scientifique au travers du GIEC.
Dans ce cadre, le groupe La Française s’est interrogé sur les performances futures, selon divers scénarios, des actifs financiers et immobiliers avec l’objectif de réaliser en quelque sorte un stress test climatique au niveau macro-financier de sorte de faire rimer investissements durable et rentable.
L'ambition du Groupe La Française est aussi de respecter l'esprit de l'investissement durable. Ainsi, dans le domaine environnemental, verdir les investissements repose sur une double approche : exclure les actifs irrécupérables car nécessitant de trop profondes transformations, lesquels actifs finiront de toute façon par perdre leur valeur avec le statut de « stranded assets » , et adopter une approche best in progress de trajectoire climatique pour les autres, en intégrant un biais sur les actifs développant les technologies permettant justement l’activation de cette démarche à moindre coût.
Cette démarche peut être déployée avec les adaptations nécessaires sur toutes les classes d’actifs : de l’immobilier aux obligations d’entreprise, aux emprunts d’Etat et aux actions en tenant compte des spécificités de chacun.
De façon générale, plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie du Groupe La Française est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable.
En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le groupe La Française porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être valorisée.
Téléchargez notre rapport et découvrez en détail les initiatives et travaux menés en 2021 en matière de gouvernance, stratégie, gestion des risques, indicateurs et objectifs pour accélérer les transitions.
L’inflation est difficile à appréhender aujourd’hui. Il y a un an, le marché anticipait une inflation moyenne en 2022 de 1,6 % en zone Euro et 2,9 % aux Etats-Unis, avec un pic qui devait être atteint fin 2021 et un retour en 2023 à une inflation autour de 1.5 % en Europe et de 2 % aux Etats-Unis. (Bloomberg) Aujourd’hui, ces mêmes marchés anticipent pour 2022 une inflation à 8,2 % en zone Euro et aux Etats-Unis et une baisse, somme toute relative, de ces pressions inflationnistes pour 2023 puisque les hausses de prix atteindraient encore autour de 4-5 %. La guerre en Ukraine et les très fortes conséquences sur les marchés de matières premières expliquent évidemment uniquement une partie de ces erreurs d’estimation. Il faut donc garder en tête que si les estimations d’inflation ont pu être revues à la hausse de plus de 5 % (cf. Graphique 1) au cours des douze derniers mois, il est loin d’être impossible que ces erreurs d’estimation se reproduisent à nouveau, dans un sens comme dans l’autre.
Graphique 1 (Bloomberg) :
A court terme cela ne laisse que peu de choix aux banques centrales quant à la politique monétaire à mener ; celles-ci veulent en effet éviter un désencrage des anticipations d’inflation et vont donc continuer à durcir leurs politiques monétaires avec l’objectif plus ou moins assumé de réduire la demande.
La dynamique macro-économique
Les prévisions de croissance pour 2022 ont largement baissé depuis lé début de l’année, passant par exemple de 3,9 % à 2,1 % aux Etats-Unis, de 4,2 % à 2,7 % en Europe ou encore de 5,2 % à 4,1 % en Chine. Il nous semble pourtant que ces ajustements à la baisse ne sont pas terminés.
Les banques centrales vont continuer à rendre les conditions financières plus restrictives, ce qui devrait entraîner une baisse des indicateurs avancés et donc une baisse des prévisions de croissance. Le graphique ci-dessous illustre la forte dépendance des indicateurs PMI (purchasing manager’s index) à la croissance de la masse monétaire.
En résumé, le principal risque serait de voir la BCE ne pas répondre aux attentes du marché concernant le nouveau plan. La BCE a un exercice difficile en matière de communication, notamment en raison des nouvelles turbulences politiques en Italie. Dans l'attente de cette réunion, nous restons prudents sur les spreads des obligations périphériques, et nous voyons toujours un potentiel d’aplatissement des courbes européennes.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Nous attirons votre attention sur des sollicitations qui pourraient survenir :
sans vérification préalable lorsque vous êtes sollicités directement par e-mail, téléphone ou quelque moyen que ce soit sous la dénomination « la-francaise-gestion » et/ou avec les 2 extension de mail « la-francaise-gestion » .com ou .net
En toute circonstance, lorsque vous souhaitez souscrire, faites confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers en nous contactant directement à l’« adresse site contact ». Nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé.
Prenez connaissance des mises en garde, des listes noires de sociétés et sites non autorisés publiées par l’AMF ou de l’ACPR
MÉCANISME DES RAPPELS ANTICIPÉS DE DETTE (« CALL »)
L’univers High Yield est majoritairement (75%) composé d’obligations qui disposent d’une option de remboursement anticipé (« call ») au choix de l’émetteur. Ce dernier sera incité à exercer ce remboursement anticipé si le taux qu’il peut obtenir sur les marchés obligataires est inférieur au coupon de sa dette initiale (à l’instar d’un ménage qui refinance son crédit immobilier).
Ce faisant, les rappels anticipés augmentent (baissent) :
Le graphique ci-après compare le coupon moyen des dettes en circulation (courbe bleue) pour les émetteurs High Yield au rendement auquel ces mêmes émetteurs peuvent se refinancer sur le marché secondaire (courbe orange).
Le Président de la FED doit maintenir un discours agressif, surtout après les chiffres de l'inflation de la semaine dernière. Il devrait réaffirmer que la priorité numéro un de la FED est de ralentir l'inflation, et que celle-ci agira en conséquence, et plus vigoureusement si nécessaire. Cela devrait s’accompagner d’une courbe de taux toujours plus plate ; compte tenu de la situation actuelle, nous ne serions pas surpris de voir la courbe américaine s'inverser de manière significative dans les mois à venir. Les taux réels devraient eux continuer à se tendre pour refléter la volonté de la FED : des conditions financières moins accommodantes pour ralentir la demande.
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DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Ce durcissement généralisé des politiques monétaire entraine logiquement des conditions financières moins accommodantes avec des taux réels en forte augmentation au cours des dernier mois (voir ci-contre taux réels à 10 ans Euro et US).
Depuis 2008 nous avons vécu avec un risque inflationniste proche de zéro et des banques centrales très accommodantes, ce qui a permis aux taux réels de baisser et de favoriser les valorisations de l’ensemble des actifs financiers (immobilier, crédit, actions, etc..). Cette tendance est maintenant derrière nous, et cela devrait rester le cas tant que l’inflation restera le problème principal des banquiers centraux.
Une inflation en forte hausse, des prix de l’énergie au plus haut pour le consommateur et des conditions de crédit de plus en plus restrictive, tout cela a un impact négatif sur la croissance au sens large et plus particulièrement sur le consommateur. La consommation reste encore soutenue dans la plupart des économies développées, États-Unis en tête, grâce à l’épargne accumulée à la suite des différents plans de soutien, mais il est très probable qu’elle diminue graduellement dans les mois qui viennent. C’est d’ailleurs la volonté des banquiers centraux qui souhaitent que la demande s’effrite afin de freiner les pressions inflationnistes dont la source est pourtant principalement liée à des problématiques d’offre. Ce constat est surtout vrai en Europe avec une demande montrant déjà des signes tangibles de fort ralentissement. N’ayant aucun moyen d’agir sur l’offre, les banques centrales vont donc tenter d’atteindre un objectif difficile : ralentir l’économie sans pour autant provoquer une récession ; un équilibre historiquement difficile à atteindre.
Au vu de tous ces éléments, il nous semble très probable que les prévisions de croissance continuent à baisser à moyen terme, ce qui devrait entrainer une baisse des estimations de bénéfice des sociétés qui auront du mal à contrer un financement plus cher, des marges sous pression et une consommation dont l’élasticité prix devrait aller en s’accentuant. La baisse des actifs risqués reflète aujourd’hui le durcissement des conditions financières mais pas encore ces baisses de bénéfice, il nous semble donc trop tôt pour passer positifs sur les actifs crédit ou actions et ce malgré des baisses déjà prononcées. La baisse des pressions inflationnistes nous semble être la condition sine qua non pour que les marchés financiers se stabilisent, et il est aujourd’hui extrêmement difficile d’avoir une opinion éclairée à ce sujet étant donné les déterminants de cette inflation.
]]>Julien DAPSENS est titulaire d’un Master 203 Finance de Marchés de l’Université Paris Dauphine.
Odile CAMBLAIN-LE MOLLE, Responsable de la Gestion Diversifiée de La Française AM conclut, « L’expérience de Julien s’intègre très naturellement dans le pôle « diversifié » qui rassemble la gestion patrimoniale, la sélection de fonds et les cross asset. Sa connaissance profonde des sociétés de gestion européennes et internationales, et de leurs stratégies de gestion toutes classes d’actifs confondues, sera un atout pour l’équipe. »
Dr ČUMOVA apporte à La Française dix-huit ans d’expérience dans la gestion de portefeuille. Elle a débuté sa carrière en 2004 avec Berenger en tant que Gérant Actions and Musti-Asset. En 2008, elle est promue Head of Total Return Management en charge des stratégies Total Return et de Volatilité. Puis, en 2017, Dr ČUMOVA est nommé Head of Quantitative Research pour Berenger Bank Wealth & Asset Management où elle est responsable du développement des stratégies de gestion des risques et de l’investissements systématique pour les investisseurs institutionnels.
Dr ČUMOVA est titulaire d’un Doctorat en Economie avec une concentration en Gestion d’Actifs de l’Université de technologie de Chemnitz.
Dennis Jeske, Managing Director Portfolio Management de La Française Systematic Asset Management GmbH, a commenté : « Experte dans la recherche quantitative, le Dr Denisa ČUMOVA vient renforcer notre équipe de gestion de portefeuille en Allemagne et jouera un rôle central dans le développement de solutions de gestion des risques et des stratégies factorielles. »
Thierry Gortzounian, Chief Operating Officier de La Française AM Finance Services conclut « Accélérateur d’innovations et partie prenante depuis le lancement du projet en 2017, La Française poursuit sans relâche le déploiement de la solution IZNES sur sa gamme afin de servir au mieux ses clients. A fin juillet 2022, La Française vise plus d’une trentaine de véhicules disponibles sur la place de marché et œuvre d’ores et déjà pour le référencement d’un OPCI (Organisme de Placement Collectif en Immobilier). Nous offrons ainsi à nos partenaires assureurs un accès à des véhicules représentatifs de nos deux expertises que sont les actifs réels et les actifs financiers. A travers IZNES, les assureurs bénéficient d’un canal de souscription à parcours facilité et permettant de maitriser le risque opérationnel. »
IZNES est fière de la confiance renouvelée du Groupe La Française et se réjouit de l’adoption croissante d’IZNES par le marché. Christophe Lepitre confirme « notre solution permet aux investisseurs institutionnels et notamment aux assureurs en UC de souscrire de façon complètement automatisée et depuis le même carnet d’ordres, dans les fonds UCITS ou FIA domiciliés dans l’Union Européenne y compris dans les fonds d’actifs réels. Cela représente un atout majeur notamment pour la sécurisation des opérations ».
Pour Generali, pouvoir investir dans les fonds immobiliers de La Française via IZNES est non seulement un enjeu d’optimisation des processus mais également de valorisation des équipes par l’élimination des tâches sans valeur ajoutée. « Le développement de l’activité sur les fonds d’actifs réels renforce l’impérieux besoin d’éliminer les traitements manuels et papiers qui non seulement introduisent un risque opérationnel mais ne représentent aucun intérêt pour les équipes. Qui a encore envie aujourd’hui d’imprimer un bulletin de souscription, de le remplir, de le signer… ? IZNES permet d’instruire directement les opérations de souscription depuis notre carnet d’ordres jusqu’au registre du fonds sur la blockchain. Les éléments de confirmation et de position alimentent en retour automatiquement nos outils comptables. Sécurité, rapidité, digitalisation et innovation, tout y est ! La blockchain devient le modèle opérationnel privilégié pour ce type d’actifs distribué en unités de compte » rappelle Rémi Cuinat, Directeur des actifs en unités de compte chez Generali France.
]]>Conséquence directe de cette inflation, les banquiers centraux ont tous (ou presque tous) drastiquement changé de ton lors des derniers mois :
Ce durcissement généralisé des politiques monétaire entraine logiquement des conditions financières moins accommodantes avec des taux réels en forte augmentation au cours des dernier mois (voir ci-contre taux réels à 10 ans Euro et US).
Depuis 2008 nous avons vécu avec un risque inflationniste proche de zéro et des banques centrales très accommodantes, ce qui a permis aux taux réels de baisser et de favoriser les valorisations de l’ensemble des actifs financiers (immobilier, crédit, actions, etc..). Cette tendance est maintenant derrière nous, et cela devrait rester le cas tant que l’inflation restera le problème principal des banquiers centraux.
Une inflation en forte hausse, des prix de l’énergie au plus haut pour le consommateur et des conditions de crédit de plus en plus restrictive, tout cela a un impact négatif sur la croissance au sens large et plus particulièrement sur le consommateur. La consommation reste encore soutenue dans la plupart des économies développées, États-Unis en tête, grâce à l’épargne accumulée à la suite des différents plans de soutien, mais il est très probable qu’elle diminue graduellement dans les mois qui viennent. C’est d’ailleurs la volonté des banquiers centraux qui souhaitent que la demande s’effrite afin de freiner les pressions inflationnistes dont la source est pourtant principalement liée à des problématiques d’offre. Ce constat est surtout vrai en Europe avec une demande montrant déjà des signes tangibles de fort ralentissement. N’ayant aucun moyen d’agir sur l’offre, les banques centrales vont donc tenter d’atteindre un objectif difficile : ralentir l’économie sans pour autant provoquer une récession ; un équilibre historiquement difficile à atteindre.
Au vu de tous ces éléments, il nous semble très probable que les prévisions de croissance continuent à baisser à moyen terme, ce qui devrait entrainer une baisse des estimations de bénéfice des sociétés qui auront du mal à contrer un financement plus cher, des marges sous pression et une consommation dont l’élasticité prix devrait aller en s’accentuant. La baisse des actifs risqués reflète aujourd’hui le durcissement des conditions financières mais pas encore ces baisses de bénéfice, il nous semble donc trop tôt pour passer positifs sur les actifs crédit ou actions et ce malgré des baisses déjà prononcées. La baisse des pressions inflationnistes nous semble être la condition sine qua non pour que les marchés financiers se stabilisent, et il est aujourd’hui extrêmement difficile d’avoir une opinion éclairée à ce sujet étant donné les déterminants de cette inflation.
« (...) Le compartiment peut investir dans les placements suivants, ou y être exposé jusqu’à hauteur du pourcentage de l’actif net indiqué :
Le compartiment a des objectifs spécifiques en matière d’investissement durable (SFDR Article 9). La société de gestion s’appuie sur l’analyse du centre de recherche « La Française Sustainable Investment Research » (le « Centre de Recherche ») de l’entité « La Française Group UK Limited » spécialisée dans la détermination des critères d’investissement responsable. Il est précisé qu’il existe un risque de conflits d’intérêts quant à la fourniture des notes ESG par le Centre de Recherche.
Le processus d’investissement est basé sur l’intégration avec un engagement important dans la gestion et la thématique.
Les univers d’investissement initiaux sont construits à partir d’Eurostoxx TMI (Total Market Index). La possibilité de sélectionner des titres en dehors de l’univers d'investissement initial est limitée à 10 %.
L’objectif d’investissement du Compartiment sera modifié afin d’ajouter un objectif de surperformance de l’indice de référence MSCI All Country World (MSCI ACWI Daily Net Total Return) à l’objectif d’investissement actuel. À compter du 20 juillet 2022, l’objectif d’investissement sera libellé comme suit :
Objectif Contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme. Plus précisément, le compartiment cherche à surperformer (net de frais) l’indice de référence MSCI All Country World (MSCI ACWI Daily Net Total Return) sur une période minimum donnée de 5 ans.
Indice de référence
Le compartiment est géré de manière active et discrétionnaire. L’indice permet de définir l’univers d'investissement éligible dans un objectif de réduction de l’empreinte carbone. La stratégie de gestion consiste à suivre l’écart de niveau de risque du portefeuille par rapport à celui de l’indice. Un écart modéré par rapport au niveau de risque de l’indice de référence est prévu. »
2) Clarification de la stratégie et de la politique d’investissement
La politique d’investissement du Compartiment sera clarifiée afin de (i) décrire comment l’univers d’investissement initial est construit lors de l’application du filtre ESG et de (ii) insérer directement dans l’annexe du compartiment la description des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) appliqués par le gestionnaire d’investissement du Compartiment et divulgués précédemment dans la partie générale du prospectus et donc à libeller comme suit..
]]>L’objectif d’investissement du Compartiment sera modifié afin de refléter l’extension de la date d’échéance de son investissement. À compter du 20 juillet 2022 (la « Dated’entrée en vigueur »), l’objectif d'investissement sera libellé comme suit :
« Objectif Générer un revenu élevé sur une période d’investissement jusqu’au 31 décembre 2025 ».
En conséquence de ce changement, la dénomination du Compartiment sera modifiée en JKC Asia Bond 2025, la période de souscription a été prolongée jusqu’au 30 avril 2024 et la date limite jusqu’à laquelle certains investissements seront évalués à l’aide du cours vendeur a été prolongée jusqu’au 30 avril 2024.
2) Changement de la politique d’investissement
La politique d’investissement du Compartiment sera modifiée afin de (i) prévoir des investissements en obligations dont l’échéance estimée est décembre 2025 au plus tard et/ou en obligations avec une échéance plus longue, mais qui ont une option d’achat avant le 31 décembre 2025, (ii) prévoir l’augmentation de l’exposition aux actions de 10 % à 20 %, (iii) prévoir une exposition aux devises NOK et SEK et (iv) prévoir la possibilité d’investir dans des swaps sur défaut de crédit (credit default swaps) indiciels.
]]>La politique d’investissement du Compartiment sera mise à jour afin de (i) préciser que la société de gestion s’appuiera sur l’analyse du centre de recherche « La Française Sustainable Investment Research » de l’entité « La Française Group UK Limited » en ce qui concerne la détermination des critères ESG et de (ii) refléter l’augmentation du taux d’exposition nette (après couverture) aux devises autres que l’euro de 10 % à 50 % à compter du 20 juillet 2022 (la «Date d’entrée en vigueur»).
À compter de la Date d’entrée en vigueur, la politique d’investissement sera donc libellée de la façon suivante:
Le compartiment investit dans des obligations d’État et d’entreprises, dans des actions des pays de l’OCDE et/ou sur les marchés émergents.
Plus précisément, le compartiment peut investir dans des actions, dans des titres de créance à taux variable ou fixe, ainsi que dans des instruments du marché monétaire. Le compartiment peut investir jusqu’à 100 % dans des titres à revenu fixe dotés d’une notation inférieure à BBB- selon Standard & Poor’s ou considérés de manière équivalente par le gestionnaire d’investissement au moment de l’achat ou dans des obligations non notées. Le compartiment peut investir dans des obligations durables (telles que des obligations vertes et des obligations sociales) et des obligations liées à la durabilité.
Le compartiment peut investir dans les placements suivants, ou y être exposé jusqu’à hauteur du pourcentage de l’actif net indiqué :
Les grandes entreprises sont profondément encouragées à intensifier leurs efforts, mais l'action individuelle et les changements de comportement des consommateurs sont les clés d'une transition réussie, ordonnée et juste.
En tant que gestionnaires d'actifs, nous avons un double rôle à jouer : proposer aux investisseurs des produits qui orientent les flux financiers vers des entreprises actives dans la réduction de leurs émissions de carbone et des effets néfastes sur la biodiversité (entre autres), mais aussi utiliser le pouvoir collectif indirect de nos clients pour dialoguer avec les entreprises, les gouvernements et les régulateurs sur des sujets tels que la préservation de l'environnement.
L'élaboration du règlement européen sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (SFDR) vise à clarifier l'objectif durable des fonds d'investissement, permettant à chaque investisseur de différencier les stratégies adoptées et de cibler spécifiquement les objectifs durables qu'il/elle veut atteindre à travers son portefeuille d'investissement. Nous sommes encore loin d'un niveau d'information totalement comparable entre les gestionnaires d'actifs, mais le renforcement de la surveillance réglementaire devrait normaliser le paysage des produits d'investissement durable dans les mois/années à venir. De plus, à partir de 2024, les grandes entreprises seront tenues de rendre compte de leurs activités à impact environnemental et social sur l'année 2023, en application de la directive sur le reporting des entreprises en matière de durabilité (CSRD). Cette initiative apportera une plus grande transparence et contribuera à la comparabilité de la performance extra-financière des entreprises.
Notre secteur pourrait mener la course contre le réchauffement climatique et contre la montée des inégalités sociales plus rapidement, mais il ne peut le faire seul et a besoin du soutien de ses investisseurs, sans lesquels il perdrait toute capacité à promouvoir le changement. Nous suggérons aux investisseurs, quel que soit leur profil, de tenir compte des externalités positives et négatives de toute décision d'investissement. Pour cela, les gestionnaires d'actifs doivent donner aux investisseurs les outils pour quantifier ces externalités afin que toute décision d'investissement dépasse le simple profil rendement/risque et tienne compte des répercussions positives ou négatives connues des investissements sur les facteurs sociaux et environnementaux.
Nous avons choisi de répondre à cet objectif en développant une approche d'investissement liée à la transition climatique, incluant des processus de sélection spécifiques, en fonction de la classe d'actifs concernée, à savoir les emprunts d'État, le crédit aux entreprises, les actions et les actifs croisés. Ayant développé cette approche bien avant les nouvelles réglementations, nous avions déjà établi un standard élevé en « quantifiant » l'impact de réduction des émissions que nous visions (entre 30 % et 50 % de réduction de l'intensité carbone et/ou de l'empreinte par rapport à des références de marché comparables).
Nous avons une obligation fiduciaire envers nos clients d'intégrer tous les facteurs de risque pertinents dans notre processus d'investissement. Les risques environnementaux et sociaux croissants sont désormais intégrés au-delà de la simple prise de conscience de leurs horizons temporels plus longs (par rapport aux rendements financiers potentiels à court terme). La procuration par laquelle les droits de vote de nos clients nous sont délégués nous permet de faire peser nos recommandations et nos votes de manière importante, si l'on considère l'ensemble de nos actifs sous gestion. Cette capacité d'influence va au-delà de nos positions en actions et s'étend à nos positions en obligations de sociétés privées, dont nous pouvons représenter une part importante de leur financement sur les marchés.
C'est grâce aux initiatives et à la collaboration du secteur financier que nous avons le plus de pouvoir. Les gestionnaires d'actifs peuvent devenir des participants actifs aux initiatives d'engagement collaboratif et adapter les actions à des thèmes spécifiques. À titre d'illustration, citons deux initiatives sectorielles auxquelles La Française a participé.
Nous avons participé à la campagne de non-divulgation du Carbon Disclosure Project (CDP) pour la troisième année consécutive en 2021, appelant les entreprises à fort impact à utiliser les questionnaires du CDP pour communiquer des informations sur le changement climatique. Le CDP fournit au secteur financier la compilation la plus complète au monde de données environnementales autodéclarées par les entreprises, de manière uniforme et comparable, et qui est nécessaire dans le cadre de l’application des recommandations de la Task Force on Climate-Related Financial Disclosures (groupe de travail sur la publication d'informations financières relatives au climat, TCFD). Nous considérons de plus en plus que le reporting CDP constitue une exigence minimale pour toute entreprise qui souhaite démontrer son engagement à mesurer et à gérer son impact lié au climat.
Selon le CDP, la campagne NDC 2021 (Non-Disclosure Campaign) a vu une augmentation de 56 % du nombre d'institutions financières s'inscrivant à la campagne par rapport à 2020, conduisant à un total de 168 institutions financières, représentant plus de 17 000 milliards d'USD d'actifs sous gestion. Cette année, la campagne ciblait 1 317 entreprises distinctes représentant plus de 29 000 milliards d'USD de capitalisation boursière et plus de 4,9 milliards de tCO2e d’émissions de scopes 1 et 2 combinées. Le taux de divulgation des entreprises ciblées par les participants est passé de 21 % lors de la campagne de l'an dernier à 25 % cette année.
Nous faisons également partie de l'initiative Climate Action 100+, lancée en décembre 2017 et qui est la plus grande initiative d'engagement des investisseurs à l'égard du changement climatique (68 000 milliards d'USD d'actifs sous gestion à travers 700 signataires) qui coordonne l'engagement avec 167 des plus grands émetteurs d'entreprise cotés au monde. Grâce aux référentiels d'entreprise net zéro, nous pouvons mesurer les progrès des entreprises en matière de réduction des émissions de carbone, de gouvernance et de divulgation.
Au cours de la dernière décennie, nous avons soutenu divers groupes et organisations multilatéraux dans le développement et l'amélioration de méthodologies, la mise en œuvre de nouvelles règles et la sensibilisation accrue aux activités liées à l'investissement durable. Par exemple, nous avons fait partie du groupe de travail de l'initiative relative aux objectifs de réduction des émissions de CO2 fondés sur des données scientifiques (SBTi) afin de développer des conseils pour les investisseurs institutionnels et tester la méthodologie. Nous avons également fait partie des PRI EU Taxonomy Practitioners Groups - Étude de cas pour tester la mise en œuvre de la taxonomie de l'UE pour les activités durables.
Cet état d'esprit collaboratif est relativement récent dans un secteur historiquement mené par la maximisation des rendements financiers dans un marché hautement concurrentiel. Ce changement de mentalité prouve qu'un nombre toujours croissant de gestionnaires d'actifs souhaitent participer au façonnement de la finance durable au cours de la décennie à venir. Cependant, la COP26 a souligné le déficit de financement criant pour atteindre les objectifs de développement durable, estimé à environ 100 milliards d'USD par an à partir de 2020, lors des Accords de Paris. Nous avons besoin de davantage de flux de capitaux orientés vers l'atténuation et l'adaptation au changement climatique. Cela peut, encore une fois, être encouragé par une évolution plus rapide des préférences des clients des services bancaires et de gestion d'actifs en mettant clairement en évidence cet aspect comme étant fondamental dans la prise de décision finale.
La principale conclusion de la Journée mondiale de l'environnement est que nous ne pouvons pas continuer à attendre que les solutions à la dégradation de l'environnement viennent des autres. Nous devons assumer individuellement la responsabilité de nos actes et de nos choix.
Marie LASSEGNORE a débuté sa carrière en 2012 au Crédit Mutuel CIC AM en tant qu’analyste quantitatif de fonds de fonds. En 2013, elle rejoint Aberdeen Asset Management à Londres. Elle y occupe le poste d’analyste obligataire pendant près de deux années avant de devenir analyste de portefeuille au sein de l’équipe crédit global. Elle y développe les stratégies « low carbon » et devient une référence en matière de recherche sur les Green et Sustainability Linked Bonds. Marie rejoint La Française AM en septembre 2018 en tant que Gérant de portefeuille crédit.
Marie est titulaire d’une licence de mathématiques appliquées aux sciences sociales de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et d’un master en Management de l’EM Lyon Business School. Elle est également titulaire du CFA et de l’IMC (Investment Management Certificate).
Marie LASSEGNORE, Head of Sustainable Investments, La Française AM a commenté, « Pour maintenir notre avantage compétitif en matière de gestion durable, tout l’enjeu consiste à infuser en continu la recherche extra-financière dans les process de gestion afin que ces critères gagnent de plus en plus d'influence dans la sélection finale des valeurs. Cette intégration de la division recherche au sein du pôle d’investissement a pour objectif de nourrir nos approches, de développer l’interconnexion des compétences en matière d’investissement dans l’intérêt de nos investisseurs et d’assoir notre position en tant qu’acteur engagé. »
Jean-Luc HIVERT, Président de La Française AM a conclu, « La création d’alpha dépend de l’intégration prospective des critères ESG dans la valorisation de nos actifs. Le rôle de Marie sera clef dans ce dispositif car elle assurera la transition vers une gestion plus holistique. »
Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing, poursuit ses missions pour le compte du Groupe La Française, visant la promotion des initiatives autour de l’investissement durable.
Caroline Bernard est titulaire d’un DESS en Banque, Finance et Négoce International de l’Université de Bordeaux et d’un DU en Gestion du Patrimoine de l’AUREP.
Maryline PETITJEAN, Directrice Commerciale Comptes Stratégiques - France conclut, « Caroline apporte à La Française une solide connaissance des rouages des plateformes de distribution et de la gestion d’actifs. Son parcours professionnel, ponctué en 2022 par un diplôme de l’ESCP spécialisé dans le digital, illustre parfaitement son engagement et sa volonté d’appréhender l’ensemble des facettes de la distribution. Caroline sera pour La Française et nos partenaires un atout de choix. »
En résumé, l’enjeu pour la BCE est dorénavant de maintenir la crédibilité de son objectif en matière d’inflation dans un contexte inflationniste déjà élevé. Bien que les annonces du Conseil des gouverneurs à venir ne soient pas une surprise étant donné la communication proactive de la BCE, nous pensons que les risques sont du côté des « faucons », avec la possibilité de hausses de taux de 50 bps lors des prochaines réunions, la poussée des taux en territoire restrictif et les premières discussions autour du resserrement quantitatif. Par conséquent, nous prévoyons un certain aplatissement de la courbe des swaps en euros.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>L’immeuble est loué, dans le cadre d’un bail de 12 ans fermes, à BUREAU VERITAS EXPLOITATION pour son siège Hauts-de-France.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1.
Pour cette opération, La Française REM et Polygone étaient conseillés par Arrow Lille. Christel Audebert de l’Etude les Notaires du Trocadéro a conseillé La Française REM. Polygone a été conseillé par Benoît Coquet et Ahmed Halitim de Fontaine Roussel & Associés – Groupe Monassier.
L’immeuble, acquis en 2016, est en cours de restructuration et de remise aux normes. Il disposera d’un CVC (chauffage, ventilation, climatisation) complet et d’un capacitaire en hausse. Par ailleurs et dans le cadre de sa démarche environnementale, La Française REM anticipe les obligations du « dispositif éco-énergique tertiaire » avec notamment le renforcement de l’isolation thermique du bâtiment.
« Nous nous réjouissons de cette signature qui récompense nos efforts de repositionnement de cet immeuble. Nous sommes heureux d’accompagner IWG dans son développement et de lui livrer un ouvrage adapté à ses besoins » indique David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel.
Ballintaggart House profite d'un emplacement de choix à Clonskeagh, à seulement 5 km du centre-ville et 10 minutes en voiture de la M50, juste en face de l'University College Dublin. En outre, l’ensemble immobilier se trouve dans une zone principalement résidentielle, à proximité de plusieurs parcs de bureaux, notamment : Richview Office Park, Beech Hill et Belfield Office Park.
L'immeuble est loué, dans le cadre d’un bail ferme de près de onze ans, à Sims IVF, l'une des principales cliniques de fertilité en Irlande avec deux autres sites à Swords et Cork et trois satellites à Carlow, Dundalk et Limerick. Virtus Health, la société mère de Sims IVF, est l'un des cinq principaux fournisseurs de traitements de fertilité au monde, avec une forte implantation en Australie, à Singapour, au Royaume-Uni et au Danemark. Sims IVF compte plus de 140 employés en Irlande.
Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « Ballintaggart House est notre première acquisition en dehors du marché français pour le compte de la SCPI LF Avenir Santé et illustre parfaitement notre stratégie d’investissement qui vise à constituer un portefeuille d’actifs médico-sociaux à travers l’Europe en adéquation avec les besoins de médecine en cœur de ville. Cet actif propose, outre ses qualités immobilières et sa localisation de choix, des perspectives de valorisation à long-terme ainsi que des possibilités de reconversion. »
Pour cette acquisition, La Française REM a été conseillé par Colliers, Matheson sur les aspects juridique et Hollis sur les aspects techniques. Le vendeur a été conseillé par JLL.
La SCPI LF AVENIR SANTE, labellisée ISR, vise à constituer, directement ou indirectement, un patrimoine diversifié d’actifs immobiliers situés dans des Etats qui sont ou ont été membres de l’Union Européenne, en lien avec le secteur médico-social ou la santé de façon plus globale, et à titre accessoire dans d’autres locaux (bureaux, locaux d’entrepôts, commerces, parking etc.).
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, résidences gérées, EHPAD, cliniques, laboratoires, locaux commerciaux, locaux d’activités, entrepôts, etc.) présente des risques : risque de perte en capital, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur. La SCPI peut recourir à l’endettement. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le Label ISR ne garantit pas la performance financière du fonds.
Le Label ISR, créé et soutenu par le ministère des pouvoirs publics, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable.
Le Label ISR a été attribué à la SCPI LF Avenir Santé par AFNOR Certification, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Il est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.
]]>Ainsi nous avons lancé LF Immo Générations, notre fonds dédié aux investisseurs institutionnels, qui répond aux nouveaux besoins immobiliers d'une société pluri-générationnelle.
Dans cette dernière partie, zoom sur les enjeux ESG et notre politique durable avec Virginie Wallut, Directrice de la recherche et ISR Immobilier de La Française.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>L’acquisition porte sur plus de 90 logements répartis sur 3 bâtiments (5.800 m2 de surface habitable), allant du studio au cinq pièces. L’actif bénéficie d’une très bonne accessibilité par les transports en commun. En 2030, s’installera à 600 mètres de l’opération une station de la nouvelle ligne 15 du métro.
La livraison est prévue pour le troisième trimestre 2024.
David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, déclare, « Courbevoie est l’une des villes limitrophes de Paris les plus dynamiques avec une démographie grandissante. De nombreuses entreprises et familles s’y installent notamment pour bénéficier de sa proximité à la capitale et au centre d’affaires de La Défense. Dans un environnement de plus en plus compétitif, le secteur du résidentiel demeure un élément essentiel au besoin de diversification de PFA. Nous sommes heureux de démarrer ce mandat par un programme de grande qualité bénéficiant d’une localisation exceptionnelle et répondant aux derniers standards énergétiques. »
La Française REM a été conseillée par Virginie Blanc de Lexfair Notaires pour la partie notariale, ainsi que par Egis et Ginger Burgeap, respectivement pour les volets techniques et environnementaux.
Par ailleurs, la société de gestion a décidé d’étendre la période de souscription du Compartiment au 30 juin 2024en lieu et place du 31 mars 2023. Il sera précisé que la société de gestion se réservera la possibilité de réduire cette période en fonction des conditions du marché.
Cette modification sera effective à compter du 13 mai 2022.
Les autres caractéristiques du Compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du Compartiment disponible sur le site www.fundinfo.com ou sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le FondsLe prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (« DICI») sont disponibles en français et néerlandais.
Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais. Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services SCA, une filiale du groupe BNP PARIBAS SA située au 9, rue du Débarcadère 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Bank, Belgium Branch, 86 C B320 Avenue du Port, B1000 Bruxelles.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir
En conclusion, la FED devrait confirmer son virage plus restrictif. Cette réunion pourrait pousser les taux d'intérêt américains à la hausse.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>We expect the FED to maintain its hawkish tone despite ongoing risks (i.e., China’s strict Zero-Covid policy, the war in Ukraine). This meeting may push US interest rates higher.
Disclaimer
This commentary is intended for non-professional investors within the meaning of MiFID II. It is provided for informational and educational purposes only and is not intended to serve as a forecast, research product or investment advice and should not be construed as such. It may not constitute investment advice or an offer, invitation or recommendation to invest in particular investments or to adopt any investment strategy. Past performance is not indicative of future performance. The opinions expressed by La Française Group are based on current market conditions and are subject to change without notice. These opinions may differ from those of other investment professionals. Published by La Française AM Finance Services, head office located at 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, a company regulated by the Autorité de Contrôle Prudentiel as an investment services provider, no. 18673 X, a subsidiary of La Française. La Française Asset Management was approved by the AMF under no. GP97076 on 1 July 1997.
Tout d'abord, replaçons cette réponse dans son contexte et voyons comment elle pourrait éventuellement être transposée en loi. L'analyse de la Commission est vaste et englobe plusieurs sujets, parmi lesquels la manière dont les CoCos AT1 sont utilisées par les banques. La BCE agit en tant que conseiller sur ces questions, et d'autres organismes de réglementation feront également des recommandations (ABE, CERS), mais nous ne pouvons pas nier que l'avis de la BCE pèsera fortement dans ces ajustements macroprudentiels. La Commission devrait publier son rapport d'ici fin juin 2022. D'éventuelles propositions législatives d'ici fin décembre (ou plus tard) seraient suivies des versions du Parlement et du Conseil, avant que les modifications des règles ne soient finalisées, potentiellement en 2024 ou 2025. Il est important de souligner que (i) tous les changements proposés ici ne seront pas mis en œuvre, dans la mesure où ils seront très certainement édulcorés ou supprimés par les diverses parties prenantes qui rédigent et votent la loi (y compris les lobbies bancaires), (ii) le calendrier de tout changement est très incertain, mais nous n'attendons rien avant 2024 au plus tôt… pour une application au moins un an plus tard. Nous estimons que la plupart des propositions avancées ici seront mises en œuvre de manière rationnelle et progressive pour éviter toute perturbation du marché, comme c'est souvent le cas avec les propositions réglementaires.
]]>Il n’y a pas de définition partagée du concept de «finance durable», ce qui laisse une grande marge d’interprétation quand on parle d’investissements durables.
Les stratégies d’investissement durable peuvent ainsi :
Enfin la grande diversité du vocabulaire utilisé (cf.notre newsletter précédente) : durable, responsable, ISR, ESG, vert, climat, écologique, transition, etc. rend la compréhension des offres de produits d’investissement responsable délicate.
Des labels ont été élaborés pour répondre à ce manque de clarté et rendre les produits financiers durables plus faciles à comprendre.
Le label définit des critères via un référentiel public et délègue à des auditeurs le soin de vérifier que les « processus» de gestion des fonds respectent les critères définis par le label. En règle générale le fonds doit s’engager à exclure certaines activitéset/ou entreprises qui ne respectent pas certains critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG)hormis pour le label ISR. Concrètement, cela signifie que la plupart du temps des énergies fossiles sont exclues et que le processus d’investissement et les avoirs en portefeuille sont transparents. Bien entendu, les types d’énergie fossile, les seuils appliqués et les critères de sélection ESG varient.
Ci-dessous, voici un tableau comparatif des 4 principaux labels:
LABEL ISR | Towards Sustainability | FNG | LuxFlag ESG | |
Gouvernance | Publique | Associative | Associative | Agence de labellisation |
Type de label | Processus de gestion | Processus de gestion et exclusion | Processus de gestion et exclusion | Processus de gestion |
Couverture exigée | 90% et 20% de réduction de l'univers investissable | 100% | 100% | 100% |
Exclusions normatives | non | oui | oui | oui |
Exclusions énergies fossiles | non | oui - 10% max | oui - 5% max | non |
Barème à points | non | non | scoring + étoiles | non |
]]>
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]]>Si ces phénomènes ne sont pas nouveaux, ils se sont sophistiqués aussi nous appelons à être vigilant et vous sensibilisons à la multiplication des escroqueries en ligne.
Pour en savoir plus et identifier les bons réflexes pour vous protéger, téléchargez la communication.
En cas de question ou de doute concernant la société qui vous propose d’investir, contactez AMF Épargne Info Service au 01 53 45 62 00.
Et en cas de doute concernant une offre d’une SCPI La Française, contactez directement le service client au 01 53 62 40 60.
Quelques liens utiles :
La résidence se situe dans le centre-ville d’Alfortville, près de la capitale et des transports en commun (RER D, métro ligne 8 et bus). Tous les commerces de première nécessité sont accessibles à pied notamment une boulangerie, une pharmacie, une banque, un coiffeur ou encore un supermarché.
La livraison est prévue pour le deuxième trimestre 2024. L’actif est pré-loué (BEFA) au Groupe Réside Etudes, spécialiste français de la résidence urbaine avec services, dans le cadre d’un bail ferme de douze ans. Il s’agit de la troisième résidence exploitée par Réside Etudes pour le compte de PFA.
David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers - pôle institutionnel, déclare, « Au-delà de la localisation, les prestations en matière de services et la qualité de l’exploitant Réside Etudes, les tendances démographiques d’Alfortville constituent un facteur de soutien de la valorisation de l’actif. Nous remercions PFA pour leur confiance.. »
La Française REM a été conseillée par le cabinet d’avocats Reed Smith, Lexfair Notaires, ICF Environmental Consulting & Due Diligence et Egis.
]]>Disclaimer
This commentary is intended for non-professional investors within the meaning of MiFID II. It is provided for informational and educational purposes only. The opinions expressed by La Française Group are based on current market conditions and are subject to change without notice. These opinions may differ from those of other investment professionals. Published by La Française AM Finance Services, head office located at 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, a company regulated by the Autorité de Contrôle Prudentiel as an investment services provider, no. 18673 X, a subsidiary of La Française. La Française Asset Management was approved by the AMF under no. GP97076 on 1 July 1997.
Globalement, une BCE hawkish est une réelle possibilité. Les pressions inflationnistes sont très fortes et le marché du travail est extrêmement tendu, le taux de chômage étant à son plus bas niveau historique. La pièce manquante reste les salaires, pour lesquels les données récentes font malheureusement défaut.
disclaimer
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Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française, conclut, « Le Label ISR, accrédité par un organisme tiers, confirme l’alignement de la stratégie de gestion d’un fonds aux objectifs de développement durable. A ce titre, le Groupe La Française, qui propose une quinzaine de fonds labellisés ISR, vise une offre complète, allant des actions à l’immobilier en passant par le crédit ou encore les obligations gouvernementales, pour répondre à la demande croissante des investisseurs, particuliers et institutionnels, et aux objectifs qu’il s’est fixés en tant qu’acteur engagé. Ce renouvellement témoigne également de la qualité de la méthodologie, intégrée à la gestion des fonds et développée par notre centre de recherche extra-financière et ESG, La Française Sustainable Investment Research. »
Le label ISR distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ». (www.lelabelisr.fr)
Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :
Tout d’abord, le GIEC affirme pour la première fois que la responsabilité de l’Homme est certaine dans la cause du réchauffement climatique. Par les progrès de la climatologie et les données disponibles, le GIEC peut affirmer la responsabilité de l’Homme. Les facteurs naturels ont une contribution proche du néant dans le réchauffement du climat. On attribue aux activités humaines la hausse d’environ +1,1°C depuis 1850. D’après le GIEC nous sommes très proches d’atteindre un point de non-retour.
Le réchauffement climatique s’apprête à atteindre +1,5°C. Dans son dernier rapport, le GIEC présente un panel de cinq scénarios socio-économiques (SSP) distincts. Ainsi, hormis le scénario
le plus optimiste (SSP1), le seuil du réchauffement climatique pourrait être atteint d’ici 2030 soit 10 ans plus tôt que la précédente estimation du GIEC. Un dépassement de 1,5°C, même temporaire, engendrerait des impacts importants sur les écosystèmes tels que les glaciers ou les récifs coralliens.
Le niveau de la mer augmente en raison du changement climatique, notamment à la fonte des calottes glaciaires. D’ici 2050, un milliard de personnes pourraient vivre dans des zones côtières à risque. Ce chiffre pourrait doubler d’ici 2100 avec le scénario le plus pessimiste qui laisse penser à une hausse de plus d’un mètre. Depuis 1900, le niveau de la mer a augmenté de 20 cm et pourrait continuer d’augmenter de 20 cm supplémentaires d’ici 2050. Environ 900 millions de personnes vivent aujourd’hui à moins de 10 mètres au-dessus de la mer.
Les émissions de méthane augmentent de façon inquiétante. Ces émissions contribuent, avec le dioxyde de carbone (CO2), comme les principales causes du réchauffement du climat. Cependant, le potentiel néfaste des émissions de méthane est 84 fois supérieur à celui du CO2. Le rapport fait part d’une augmentation d’émission de méthane de 6% au cours des 10 dernières années. Par ailleurs, lors de la COP26, un accord a été trouvé pour baisser de 30% les émissions de méthane entre 2020 et 2030. A l’heure actuelle 111 pays sont signataires. L’Inde et la Chine manquent à l’appel malheureusement. Les principales sources d’émissions de méthane sont les décharges et incinérateurs, l’extraction et le transport de pétrole et gaz, les activités agricoles, les mines de charbon, etc.
Le GIEC alerte des impacts catastrophiques pour les Hommes. Les experts estiment que la moitié de la population mondiale, soit entre 3,3 et 3,6 milliards de personnes, sont déjà "très vulnérables"
aux conséquences du changement climatique. C’est l’un des dix chiffres chocs du deuxième volet du 6ème rapport d’évaluation du GIEC. Ainsi, la baisse de l’efficacité des puits de carbone, l’extinction des espèces, l’augmentation des maladies, les pertes agricoles sont, entre autres, les exemples des conséquences qui découleront du réchauffement du climat. Le GIEC appelle à l’adaptation totale pour répondre à l’urgence de la situation et à l’union de tous – gouvernements, secteur privé, société civile - pour y parvenir.
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]]>MESURER POUR COMPRENDRE
L’analyse des caractéristiques techniques des bâtiments permet d’estimer des consommations théoriques, qui doivent impérativement être validées par un suivi des consommations réelles du patrimoine. La réduction des consommations d’énergie et des émissions de CO2 est l’affaire de tous et ne peut se faire qu’en étroite collaboration entre propriétaires et locataires.
La réalisation d’un audit énergétique couplé à un suivi des consommations est un préalable indispensable à une gestion des énergies efficace. Cette gestion permet d’identifier les leviers d’amélioration énergétique, de constater l’impact des actions d’exploitation et d’ancrer la progression de l’efficience énergétique des bâtiments dans la durée.
En phase de sélection, La Française REM audite les caractéristiques durables de l’ensemble de ses investissements potentiels, en portant une attention particulière aux performances énergétique et environnementale. La réalisation de l’audit ESG avant la signature de la promesse d’achat est essentiel. Il est ainsi possible d’inclure le coût des éventuels capex nécessaires à la progression des caractéristiques durables des actifs dans les Business Plans et ainsi de refléter dans les prix proposés un « green premium » ou un « brown discount ».
En phase d’exploitation, La Française déploie des outils de suivi. Un premier partenariat a été noué avec des opérateurs pour pouvoir analyser des données factures. Ce type de solution permet d’identifier les bâtiments les plus consommateurs et de prioriser les actions. Pour les bâtiments plus importants ou plus consommateurs, sans que l’on puisse expliquer les consommations par les caractéristiques du bâti, La Française REM procède à l’instrumentation du bâtiment, qui permet de suivre les consommations en temps réel et d’identifier en temps réel les pics et les dérives de consommation.
Croiser différentes données, énergétiques et bâtimentaires ouvre une voie réaliste pour élaborer des plans d’actions compatibles avec l’atteinte d’objectifs. Ces objectifs doivent être clairs, et communiqués de manière transparente afin d’éviter tout risque de « greenwashing ».
AGIR EFFICACEMENT
La Française REM entend lutter contre le réchauffement climatique en fixant à la majorité des portefeuilles immobiliers qu’elle gère des objectifs de réduction des émissions de CO2 compatibles avec l’Accord de Paris. Pour cela, la société de gestion utilise la trajectoire de décarbonation développée par le CRREM (Carbon Risk Real Estate Monitor) pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°.
Les « budgets carbone » globaux utilisés par le CRREM ont été sélectionnés en accord avec les objectifs de la COP21, soit le scénario de Rockström et al. (2017) pour l’objectif 1,5°C (669 GtCO2e pour 2019- 2050). Sur ce scénario carbone ont ensuite été effectuées des réductions d’échelle en suivant le cadre méthodologique des Sectoral Decarbonaisation Approach (SDA) développé par l’initiative SBT. Dans l’ordre, c’est d’abord une réduction à l’échelle du secteur immobilier européen, puis de celui-ci à l’échelle de chaque pays de l’UE et enfin une réduction à l’échelle de chaque bâtiment en considérant leurs différents types. Ainsi, les efforts à fournir pour parvenir à atteindre l’objectif 1,5° varient en fonction du pays et de la typologie de l’actif concerné. Ils seront d’autant plus importants que le mix énergétique du pays est carboné et que la typologie d’actifs est énergivore. A titre d’exemple, les bureaux en Allemagne devront réduire leurs émissions moyennes de 86,3 kgeqCO2/m²/an en 2020 à 2,8 kgeqCO2/m²/an en 2050 alors que les actifs logistiques en France devront réduire leurs émissions moyennes de 12,8 kgeqCO2/m²/an en 2020 à 1,2 kgeqCO2/m²/an en 2050.
On considère qu'il y a une performance de la Valeur nette d'inventaire par action d'une classe du Compartiment si et seulement s'il y a une augmentation de la Valeur nette d'inventaire par action de cette classe par rapport à sa Valeur nette d'inventaire de référence au début de la période de calcul qui est la Valeur nette d'inventaire de fin de période la plus élevée jamais enregistrée (« Valeur nette d'inventaire de référence »). La première Valeur nette d'inventaire de référence du Compartiment correspond à la dernière Valeur nette d'inventaire de décembre 2013.
La période de référence pour la performance du fonds s'étend du premier jour de bourse de janvier au dernier jour de bourse de décembre, pour chaque année civile. Fréquence d'échantillonnage : La commission de performance est prélevée au profit du Gestionnaire d'investissement chaque année civile. En aucun cas la période de référence du Compartiment ne pourra être inférieure à un an.
En cas de rachat, la quote-part de la provision constituée, correspondant au nombre de parts rachetées, est définitivement acquise au Gestionnaire d'investissement.
]]>Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française a conclu « La Française est fière de figurer parmi les 89 institutions financières leaders qui s’engagent formellement à protéger, restaurer, et gérer de manière durable les ressources naturelles au travers d’une stratégie d’investissement responsable basée sur l’engagement et priorisant la biodiversité. En tant qu’investisseur responsable, notre objectif est de concevoir et de gérer des solutions d’investissements qui associent performance et durabilité. »
]]>Les CoCos AT1 sont des instruments réglementaires qui comptent comme des fonds propres tier 1 (d'où leur nom !), qui peuvent être remboursés sous réserve que le call soit approuvé par le régulateur de la banque. En principe, les obligations ne peuvent être remboursées que si elles ont déjà été refinancées à un coût inférieur ou similaire ou si la banque les a remplacées par un montant équivalent de capital de meilleure qualité (c'est-à-dire des fonds propres ordinaires dit Common Equity Tier 1). En tant que tel, il n'y a pas d'incitation directe pour l'émetteur à racheter l'obligation si elle n'a pas été remplacée par un instrument de capital similaire.
Les émetteurs s'efforcent généralement de refinancer leurs CoCos chaque fois qu'ils le peuvent, parfois jusqu'à 6 à 12 mois avant une prochaine date de rachat. Leur idée est de sécuriser leur financement avec une nouvelle obligation à un coût similaire ou inférieur à celui de l'instrument existant tout en rassurant les investisseurs quant à l'exercice du call sur leur CoCo existante. Santander n'avait pas réussi à refinancer l'une de ses CoCos au T1 2019 et a donc dû la prolonger (ils l'ont finalement remboursée par la suite lorsqu'ils ont pu la refinancer à moindre coût). Les non-rachats se produisent généralement quelque temps après ou pendant une période de tension sur le marché, lorsque les émetteurs ne peuvent pas accéder correctement aux marchés primaire à un coût décent. C'est ce qui s'est passé lors de la crise de la Covid-19, lorsque Deutsche Bank, Aareal Bank et Lloyds Banking Group ont décidé de ne pas exercer le call sur leurs CoCos AT1 respectives, au deuxième trimestre 2020. Afin d'éviter les frictions potentielles sur les prix lors d'un call à venir, plusieurs émetteurs ont inclus dans leur documentation la possibilité d'exercer le call sur une fenêtre de 6 mois plutôt qu'un jour précis. Il s'agit d'un ajustement de prospectus bienvenu, mais qui ne s'appliquera qu'aux souches dont les dates de remboursement sont lointaines, puisqu'il a été introduit pour la première fois en 2019.
Répartition des calls et des non-calls sur les AT1 des banques européennes
2018 | 2019 | 2020 | 2021 | 2022 | |
Number of bonds | 4 | 13 | 22 | 18 | 22 |
- called | 4 | 12 | 19 | 18 | 9 |
- not called | 0 | 1 | 2 | 0 | 0 |
% called | 100% | 92% | 100% | 41% | |
Total amount of AT1s called ($bn) | 6.475 | 15.2 | 23.8 | 24.3 | 7.7 |
A partir de maintenant, les directions prises par les marchés obligataires aux Etats-Unis et de la zone euro seront probablement déterminées par l’orientation des politiques monétaires et fiscales. Si les mesures de soutien se montrent décevantes, les indicateurs macro-économiques pourraient faire de même, encore plus du fait de coûts des matières premières globalement plus élevés impactant la demande. C’est d’ores et déjà ce que les principaux indicateurs commencent à montrer (indice de diffusion de l’OCDE, credit impulse…), mais cela pourrait prendre des mois avant que l’on ne constate le moindre effet négatif substantiel. La crise du Covid a engendré un soutien budgétaire sans précédent de la part des gouvernements. Ce soutien, à son tour, a conduit à un taux d’épargne élevé des ménages américains et européens, ce qui pourrait retarder les effets d’une politique monétaire restrictive et des prix élevés des matières premières.
Cet environnement n’est clairement pas le plus favorable pour les marchés obligataires. Les rendements élevés des obligations d’Etat ont un impact négatif sur toutes les classes d’actifs obligataires, ce qui signifie que les obligations Investment Grade, High Yield (spéculatifs) ou encore émergents souffrent de ce mouvement massif. Une des seules options a été le marché des TIPS (Treasury Inflation-Protected Securities) mais même là, le rendement depuis le début de l’année est négatif (22/03/2022, Bloomberg).
Par la suite, nous nous attendons à ce que les banques centrales continuent à accélérer la hausse des taux, ce qui devrait résulter en des courbes de taux toujours plus plates (ou inversées, selon le marché), plus spécialement aux Etats-Unis mais aussi en Europe. Une courbe des rendements plate est souvent associée avec une haute probabilité de récession, ce qui est logique théoriquement puisque cela annonce l’intention des banques centrales de resserrer les taux au-dessus de la neutralité, ce qui ferait pâtir la demande sur la durée. La question est combien de temps cela prendra-t-il ? Normalement, un cycle de resserrement des taux, dans les premiers stades, est plutôt « risk-on ». Ultérieurement, les marchés s’inquiètent que le resserrement de la politique monétaire entraîne un ralentissement de la croissance. Mais aujourd’hui, ce resserrement est urgent et les investisseurs ont déjà à l’esprit les perspectives de ralentissement de la croissance.
A court terme, et aussi longtemps que la Fed et les autres principales banques centrales continueront à durcir leurs politiques monétaires, nous trouvons difficile d’avoir une vision très constructive des marchés du crédit et des marchés émergents. Nous préférons les parties longues de la courbe par rapport aux parties courtes. Enfin, nous ne sommes pas confiants dans les anticipations d’inflation à long terme sachant que l’objectif de la Fed est de les baisser, mais ce mouvement pourrait prendre un peu de temps avant de se matérialiser.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Deux questions se posent, la Russie peut-elle faire face aux paiements dus sur ses emprunts (intérêts et principal) et le veut-elle ?
La dette publique russe s’élève à 18 % du PIB (Source : FMI WEO octobre 2021) du pays ce qui en fait un des pays les moins endettés dans le monde. Le pays est en excédent budgétaire. Par ailleurs, la Russie a accumulé d’importantes réserves de change depuis l’annexion de la Crimée en 2014 et se trouve à la tête de $643 Mds de réserves de change (Source : Bank of Russia, au 18/02/2022) et d’un fonds souverain (NWF) de $ 174.9 Mds. (Source : Ministère des Finances russe, au 01/02/2022).
Les importations de la Russie étaient en 2021 de $293 Mds (Source : Trade Map), au troisième trimestre 2021 les besoins à horizon deux ans pour le refinancement de l’ensemble de la dette en devises étrangères de la Russie (publique et privée) étaient de $129 Mds (Source : JP Morgan). Au regard de ses principaux besoins en devises étrangères, les réserves de change de la Russie sont largement suffisantes pour les couvrir.
Mais voilà, les sanctions changent la donne pour la Russie. En réponse à l’invasion de l’Ukraine, les occidentaux ont mis en place des sanctions pour asphyxier l’économie russe.
Le secteur financier russe est touché par des sanctions avec des restrictions sur l’accès aux marchés financiers internationaux, l’accès à la plateforme Swift pour procéder aux paiements internationaux et le gel d’une partie des réserves de la Banque centrale de Russie, environ $300 Mds selon Reuters. Les Etats-Unis autorisent la réception de paiements d’intérêts en provenance de la Banque Centrale et de l’Etat russe jusqu’au 25 mai, mais à partir cette date les ressortissants américains devront obtenir une licence spécifique pour continuer à recevoir de tels paiements.
Les exportations russes ($491 Mds en 2021, Trade Map) sont également concernées avec notamment la suspension des importations de pétrole et de gaz par les Etats-Unis. Mais le secteur énergétique qui représente la plus grande part des exportations russes (43 % en 2021 selon Trade Map) a pour le moment été relativement épargné par les restrictions. Les européens dépendent fortement des énergies fossiles russes (99 Mds d’euros d’importations par l’UE, Eurostat) et sont pour l’instant réticents à trop pénaliser leur fournisseur dans ce domaine.
Pour faire face à la pénurie de capitaux étrangers et à la baisse du rouble, la Banque centrale de la Russie est intervenue pour stabiliser la devise et a plus récemment suspendu la vente de devises étrangères jusqu’au 9 septembre.
Dans ces conditions, la Russie semble être encore en mesure de faire face à ses échéances de paiements à court terme mais plus les sanctions durent dans le temps et limitent l’accès aux entrées de capitaux et aux devises étrangères et plus le risque de défaut augmente pour la Russie.
Le 5 mars, Vladimir Poutine signait un décret menaçant de rembourser en roubles les créanciers des pays hostiles, détenteurs de dettes émises en devises étrangères, ce qui peut être considéré comme un défaut pour ce type de dette. Toutefois, parmi les émissions en devises étrangères en circulation, il en existe un certain nombre qui donnent la possibilité de rembourser les créanciers en roubles sous certaines conditions, ce qui ne déclencherait pas un défaut sur la dette russe. Il est donc difficile de savoir à quels emprunts le gouvernement russe fait référence.. En revanche, tout changement de devise de remboursement, s’il n’est pas mentionné dans le prospectus d’émission, entraine un défaut de paiement pour le pays.
Pour l’instant la Russie montre qu’elle souhaite honorer les paiements de sa dette. Le 16 mars dernier, la Russie a fait face à ses obligations de remboursement de coupons en dollars, pour $117 M sur deux émissions de maturité 2023 et 2045, évitant ainsi un défaut de paiement dans l’immédiat. Mais, il reste encore une vingtaine d’échéances à venir pour l’année 2022 dont $2 Mds le 4 avril prochain.
Compte tenu du niveau extrême de tension, nous pouvons difficilement connaitre les intentions futures du Kremlin sur un défaut volontaire. Si celui-ci avait lieu, la réputation du pays serait mise à mal et le défaut pèserait de manière durable sur le coût de financement futur de l’Etat russe auprès des investisseurs internationaux. Un défaut volontaire marquerait un renoncement, de la part du gouvernement russe, à une normalisation à brève échéance, des relations avec les occidentaux.
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Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française a conclu « La Française est fière de figurer parmi les 89 institutions financières leaders qui s’engagent formellement à protéger, restaurer, et gérer de manière durable les ressources naturelles au travers d’une stratégie d’investissement responsable basée sur l’engagement et priorisant la biodiversité. En tant qu’investisseur responsable, notre objectif est de concevoir et de gérer des solutions d’investissements qui associent performance et durabilité. »
Dans le sillage de la COP 26, 118 pays ont mis à jour leurs contributions déterminées au niveau national (CDN). On ne peut que s'en réjouir, car d'après l'évaluation du Climate Action Tracker d'avril 2021, les CDN telles qu'elles étaient à l'époque n'auraient limité le réchauffement qu'à environ 2,4 ⁰C au-dessus des niveaux préindustriels. Du côté positif, le sixième rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) montre qu'il est encore possible de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C d'ici la fin du siècle. Cela nécessite une réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) immédiate, rapide et dans toutes les activités économiques, ainsi que le développement des technologies de séquestration du carbone.
Nous savons ce qu'il faut faire. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), pour atteindre zéro émission nette d'ici 2050, le monde doit investir chaque année 4 000 milliards de dollars dans les énergies propres. En 2021, au niveau mondial, seulement 775 milliards de dollars ont été investis dans les technologies d'énergies renouvelables1 .
On ne peut avoir un monde de l'énergie propre sans un secteur de l'électricité propre pour en assurer la production et la distribution. Les producteurs d'électricité représentent au total 40 % de toutes les émissions de carbone liées aux énergies fossiles (illustration 1) et les producteurs publics d'électricité en particulier ont un rôle clé dans la transition vers le zéro net : la part de l'électricité dans le mix énergétique mondial augmente dans chaque scénario de l'AIE. Selon les dernières perspectives énergétiques de l'AIE, pour atteindre le zéro net d'ici 2050, près de la moitié de l'énergie consommée doit être électrique. En termes absolus, cela signifie que la production d'électricité passera de 26 762 TWh en 2020 à plus de 71 000 TWh en 2050 (illustration 2).
Le CO2 est utilisé dans un certain nombre de technologies, de la réfrigération aux boissons gazeuses. Cependant, la récupération assistée du pétrole constitue de loin le principal débouché pour le carbone capté. Il s'agit d'un processus par lequel le CO2 capté lors du processus de combustion dans les centrales électriques est ensuite réinjecté dans le sol pour faciliter et augmenter l’extraction de pétrole. Cela soulève un certain nombre de questions concernant la durabilité à long terme et les objectifs de zéro émission nette, car, bien que cela réduise en théorie les émissions de GES provenant de la production d'électricité, cela facilite ensuite une autre activité à forte émission. S'agissant de la technologie de captage elle-même, il existe une pléthore de méthodes utilisées, allant de la séparation physique à l'aide d'un solvant liquide tel que le Selexol, à la séparation par membrane basée sur des dispositifs inorganiques qui présentent une grande sélectivité du CO2.
Contrairement à la croyance populaire, le CCUS (« Carbon Capture, Utilisation & Storage ») existe depuis longtemps. Par exemple, l'usine d'engrais Enid dans l'Oklahoma capte le CO2 issu de ses activités depuis 1982, puis achemine ce CO2 vers des puits de pétrole à proximité pour une meilleure extraction du pétrole2 . Cependant, le CCUS utilisé pour stocker le CO2 de manière permanente est moins courant et a rencontré un succès mitigé :
Gorgon LNG, Australie Le projet CCUS le plus ambitieux actuellement est probablement le projet Gorgon LNG en Australie. Cette joint-venture entre Chevron (47 %), Shell (25 %) et ExxonMobil (25 %) a investi plus de 3 milliards de dollars dans le dispositif qui a capté 5,5 tonnes de CO2 depuis août 2019. Malgré ce succès, il n'a pas atteint son objectif global de captage de 80 % de CO2, atteignant tout juste 68 %. Cela a déclenché l'obligation de restitution de 5,3 millions de crédits carbone au gouvernement d'Australie-Occidentale3 . En effet, les émissions de GES issues de l'extraction, du traitement et de l'utilisation du gaz naturel de Gorgon LNG signifient que le projet CCUS ne capte que 2 % des émissions globales du projet.
Bioénergie avec captage et stockage du carbone de Drax (ou BECCS, pour « Bio Energy Carbon Capture and Storage ») Le groupe Drax adopte une approche différente lorsqu'il s'agit de réduire les émissions. Au lieu d'équiper les centrales à charbon existantes avec la technologie CCUS, il a converti d'anciennes centrales à charbon en centrales bioénergétiques (biomasse) pleinement fonctionnelles.
]]>L’actif est situé au pied d’un immeuble historique à caractère patrimonial à l’angle de la rue de Grassi et du cours de l’Intendance conférant une excellente visibilité à son occupant, l’enseigne Tommy Hilfiger. Tommy Hilfiger est une marque américaine de vêtements premium fondée dans les années 1980 et qui appartient au groupe PVH.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par Allez & Associés et le Cabinet Jeantet. La Financière Immobilière Bordelaise a été conseillée par Etudes MOREAU Notaires. Les deux parties ont été conseillées par CBRE.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Dans l'ensemble, la hausse de la Fed ne sera pas une surprise pour les acteurs du marché. Mais nous pensons que le ton restera globalement hawkish, avec un aplatissement de la courbe américaine.
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Romain Delval, Responsable du Fund Management, dresse le bilan de notre unité de compte LF Multimmo Durable et évoque ses perspectives 2022.
Outre les traditionnels critères financiers et immobiliers, ce fonds intègre des critères extra-financiers de type environnementaux, sociétaux et de gouvernance.
Cette unité de compte a reçu le Label ISR récompensant ainsi sa volonté de réduction des émissions de CO2 des actifs en portefeuille.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP La Française Actions Monde (ci-après le « FCP »), a pris la décision de modifier la stratégie d’investissement du FCP ainsi que sa dénomination. En effet, dans un contexte porteur pour les énergies vertes, il a été décidé d’ajuster la stratégie d’investissement du FCP afin de vous offrir une solution différenciée et de conviction en exposant le fonds aux entreprises de niche développant des technologies propres et innovantes.
Le FCP qui est actuellement éligible au PEA restera éligible au PEA. Toutefois, le FCP qui est investi actuellement jusqu’à 100% de son actif net en parts ou actions d’OPCVM/FIA qui investissent eux-mêmes en actions européennes ou internationales devra désormais investir au minimum 90% de son actif en direct en produits d’actions de la zone euro et jusqu’à 10% hors zone euro.
Par ailleurs, le FCP sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits ayant un objectif d’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (communication centrale).
Enfin, Le fonds vise à investir sur des valeurs de technologies vertes (assainissement de l’eau, énergies renouvelables, isolation…) en s’appuyant sur des critères financiers et extra-financiers et s'engage à contribuer positivement aux objectifs de développement durables (ODD) à hauteur minimum de 60% de l'actif net du FCP.
Enfin, le FCP sera désormais dénommé « La Française Green Tech Europe ».
Les formats d’obligations avec liens au développement durable aussi connu sous le nom de « SLB » pour Sustainability-Linked Bonds, sont relativement nouveaux. C’est à la fin de l’année 2019, que nous observons la première émission d’obligation liée au développement durable par ENEL Finance. La véritable innovation de ce format a été de regarder au-delà des aspects verts ou sociaux des projets financés par le “produit” de l’émission obligataire. L’engagement de l’émetteur se situe dès lors au niveau de l’entreprise qui doit intégrer des objectifs stratégiques obligatoires. Lorsque ces objectifs ne sont pas atteints, l’émetteur se soumet à une pénalité financière (appelée augmentation de coupon ou prime ; cette augmentation est prédéfinie). En pratique, avant d’émettre une SLB, l’entreprise définit des objectifs environnementaux ou sociaux (Sustainable Performance Targets - SPT), qui sont mesurés à l’aide d’indicateurs clés de performance (KPI) crédibles. Si l’entreprise n’atteint pas ses objectifs à la date prévue, elle devra payer une prime pour la durée de vie restante de l’obligation.
A titre d’illustration, considérons une obligation avec un coupon de 1 % et une date d’échéance au 31/12/2028.
Le format SLB est resté inutilisé l’année qui a suivi l’émission inaugurale d’ENEL. Il faut attendre la fin de l’année 2020 pour une large adoption et il est presque devenu la norme en 2021. Son adoption généralisée a été facilitée par la BCE, lorsqu’elle a déclaré que les SLBs constitueraient des garanties éligibles si les objectifs de durabilité étaient liés à des objectifs environnementaux.
L'aspect le plus intéressant de l'émergence du format SLB concerne la façon dont il a rapidement influencé le marché de la dette ESG, qui était dominé par les émissions d'obligations vertes jusqu'en 2020. Fin 2020 et hors obligations souveraines ou d'entités publiques, le marché de la dette ESG des entreprises était composé à 81 % d'obligations vertes, 7 % d'obligations sociales et 10 % d'obligations durables. En un an, la répartition a considérablement changé avec l'explosion des SLBs, qui ont représenté 23 % des émissions primaires en 2021. En janvier 2022, les obligations vertes ont représenté 70 % du mix et les SLBs sont passées de 0,1 % un an auparavant à 10,7 % du marché de la dette ESG d'entreprise. (Source : Bloomberg et La Française AM).
Les SLBs, compte tenu de leur flexibilité accrue, constituent une alternative intéressante. L'émetteur d'une SLB peut en utiliser le produit pour des projets verts ou non verts, ou même à des fins générales telles que les dépenses d'exploitation traditionnelles, etc. Il n'est plus question de taille des projets éligibles par rapport aux besoins de financement totaux. Le marché des obligations vertes scrute, à juste titre, les projets, mais aussi les entreprises qui tentent d'accéder à cette forme de financement. Il existe un risque prononcé de « greenwashing », qui pourrait évidemment entraîner un risque de réputation pour une entreprise opérant dans un secteur hautement polluant qui choisirait de se tourner vers le marché des obligations vertes. D'après nos discussions avec des émetteurs des secteurs du ciment et de l'énergie, le marché des obligations vertes présenterait plus de risques que d'opportunités. En allant au-delà des projets eux-mêmes, les SLBs, qui se concentrent quant à elles sur l'engagement à long terme de l'entreprise (réduction des émissions ou des inégalités sociales), soulignent les efforts de l'entreprise et assurent la transparence en matière de transition, sans courir le risque de « greenwashing ». Le greenwashing demeure un risque si ces ambitions sont jugées insuffisantes, mais un risque réduit, car les investisseurs dans les SLBs pourraient être moins attachés au format de l'obligation.
]]>L’année 2022 devait marquer le début d’une nouvelle ère pour les banques européennes : celle des premières hausses de taux avec des perspectives fructueuses de revenus. C’était sans compter sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
En effet, le conflit en Ukraine peut avoir de larges implications pour les banques européennes, notamment en raison de provisions pour perte sur prêts plus élevées, des pertes de trading ainsi qu’un cycle de hausses de taux retardé. Les actionnaires seront affectés en 2022, notamment si les banques européennes touchées par la crise ukrainienne décident de réduire et d’arrêter le versement de leurs dividendes. A ce stade et en l’absence d’informations sur la durée de la guerre ainsi que l’ampleur finale de celle-ci, il est difficile d’estimer l’ensemble de ces impacts.
Cependant, les principales banques européennes exposées à la Russie, l’Ukraine et la Biélorussie publient des communiqués de presse afin d’informer les investisseurs de leurs expositions ou non, avec plus ou moins de détails. Les banques européennes les plus exposées à la Russie et à l’Ukraine sont : Raiffeisen Bank International avec 13,7 % d'exposition (en % de l'exposition aux prêts), 1,9 % pour UniCredit, 1,8 % pour Société Générale, 1,2 % pour Intesa Sanpaolo et 0,6 % pour ING Groep.
Afin d’avoir une idée de la perte potentielle sur leur filiale russe/ukrainienne, nous avons testé les banques ci-dessus citées dans des scénarios de stress beaucoup plus sévères que les scénarios dits « d’expropriation » qui ont été publiés par certaines banques.
Nous supposons dans un premier stress test (i) une baisse de 10 % des revenus du groupe, (ii) des provisions pour pertes sur prêts de 10 % de prêts russe/ukrainien/biélorusse, (ii) la nationalisation de l'entité locale avec la perte subséquente des capitaux propres, (iv) la perte du financement intragroupe, (v) une baisse de 80 % des actifs pondérés par le risque des filiales russe/ukrainienne/biélorusse. Nous ajoutons tout de même un bouclier fiscal de 20 % sur les points (ii), (iii), (iv).
RBI | UniCredit | Société Générale | Intesa Sanpaolo | ING Groep | |
Perte en capital (mds) | 4.2 | 4.15 | 4.5 | 2.27 | 2.3 |
Baisse des RWAs (mds) | 13.7 | 7.52 | 5.6 | 2.08 | 1.04 |
Impact CET1 (en bps) | 310 | 99 | 144 | 54 | 68 |
Afin de tester un scénario du pire cas possible (selon nous), nous supposons dans un second stress test (i) une baisse de 10 % des revenus du groupe, (ii) des provisions pour pertes sur prêts de 25 % de prêts russe/ukrainien/biélorusse, (ii) la nationalisation de l'entité locale avec la perte subséquente des capitaux propres, (iv) la perte du financement intragroupe, (v) une baisse de 80 % des actifs pondérés par le risque des filiales russe/ukrainienne/biélorusse. Nous ajoutons tout de même un bouclier fiscal de 20 % sur les points (ii), (iii), (iv).
]]>DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>A ce stade et en se basant sur les informations à notre disposition, nous pouvons envisager 3 scénarios.
Scénario « Pessimiste », celui d’un enlisement du conflit en cours avec des pertes humaines de plus en plus importantes. Dans ce cas, les pays européens et leurs alliés imposeront de nouvelles sanctions économiques à la Russie et continueront à soutenir l’armée Ukrainienne. Le président Poutine riposte en déployant des forces militaires plus importantes et en menaçant d’autres pays limitrophes. Il n’est pas exclu que le président Poutine s’attaque économiquement aux pays européens allant jusqu’à couper les approvisionnements en gaz et autres matières premières aux principaux partenaires (ex. Allemagne).
Les impacts économiques et financiers de ce scénario seraient les suivants :
Scénario « Optimiste » celui de l’arrêt rapide du conflit par la voie diplomatique qui pourrait satisfaire les différentes parties du moins à court terme en attendant une solution plus durable. En contrepartie, les sanctions sur la Russie seraient allégées voire levées complètement.
]]>Pour ce faire, la Cellule de Transformation de l‘Offre Locative, sous la direction de Jean-Marie Célérier, avec l’appui des experts de La Française REM, a construit une nouvelle offre locative baptisée « WELLCOME by La Française ». Jean-Marie Célérier explique, « WELLCOME by La Française a pour objectif de satisfaire les besoins de flexibilité de notre client tout en lui apportant la meilleure expérience possible, depuis son emménagement dans un actif géré par La Française REM jusqu’à son utilisation quotidienne des espaces. »
WELLCOME by La Française offre deux grandes innovations axées sur la flexibilité contractuelle et un programme d’avantages exclusifs, négociés avec des partenaires de confiance à moindre coût, risque ou délai pour les clients de La Française REM.
Fort de l’enseignement de la crise sanitaire et à l’écoute des besoins de ses locataires, La Française REM a développé deux nouveaux baux flexibles en complément du bail traditionnel et du contrat de coworking :
Et pour rendre ses bureaux encore plus accessibles, La Française REM propose un ensemble de services à la carte, prénégociés à des tarifs préférentiels et permettant un gain de temps de réalisation pour son client. Cette offre sera enrichie dans le temps et les avantages sont entièrement au bénéfice du locataire. Trois partenariats ont été signés à ce jour :
WELLCOME by La Française est actuellement disponible sur douze actifs, localisés en France et gérés par La Française REM mais a pour vocation d’être étendu sur son parc immobilier, en France comme à l’international.
Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers conclut, « Dans une situation ’accélération des transformations des besoins des entreprises, La Française Real Estate Managers place l’offre locative au centre de ses priorités et souhaite offrir à ses clients une expérience différenciante. La performance de notre patrimoine dépend de la fidélisation des locataires et de l’attractivité de nos actifs dans leurs marchés respectifs. En plus de louer des bureaux bien situés et de bonne qualité, La Française Real Estate Managers répondra aux attentes de ses clients actuels et futurs avec des baux flexibles et un choix exclusif de services développés avec des partenaires, experts dans leurs domaines. »
Depuis quelques années, la société de gestion a entrepris d'importants travaux sur le portefeuille immobilier de la SCPI tels que la restructuration d'immeubles importants, mais aussi un plan d’arbitrage et de réinvestissement afin de renouveler le patrimoine. Ces travaux ont abouti dans un premier temps au redressement du résultat immobilier de la SCPI, puis dans un second temps à la valorisation immobilière du patrimoine, conduisant la société de gestion à augmenter le prix de part de SELECTINVEST 1.
Dans ce contexte, à compter du 1er mars 2022, le prix de souscription de la SCPI SELECTINVEST 1 augmente de 0,79 % et est composé de la manière suivante :
Valeur nominale : 153 €
Prime d'émission : 487 €
--------------------------
Prix de souscription : 640 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 640 €
dont 40,00 € HT, soit 48,00 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (6,25 % HT, soit 7,5 % TTC au taux de TVA en vigueur).
Valeur de retrait : 600 €
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
La note d’information de Sélectinvest 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-38 en date du 1er septembre 2017. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
]]>Dans ce contexte, à compter du 1er mars 2022, le prix de souscription de la SCPI EPARGNE FONCIERE augmente de 0,97 % et est composé de la manière suivante :
Valeur nominale : 153 €
Prime d'émission : 682 €
--------------------------
Prix de souscription : 835 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 835 €
dont 62,62 € HT, soit 75,15 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,50 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur).
Valeur de retrait : 772,38 €
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
La note d’information d’Épargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n° 21-03, en date du 16 mars 2021. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
]]>Dans ce contexte, à compter du 1er mars 2022, le prix de souscription de la SCPI LF OPPORTUNITE IMMO augmente de 1,50 % et est composé de la manière suivante :
Valeur nominale : 150 €
Prime d'émission : 53 €
--------------------------
Prix de souscription : 203 €
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de 203 €
dont 18,27 € HT, soit 21,92 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (9 % HT, soit 10,8 % TTC au taux de TVA en vigueur).
Valeur de retrait : 184,73 €
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
La note d'information de LF Opportunité Immo a reçu le visa AMF SCPI n°17 36 en date du 1er septembre 2017.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - (www.acpr.banque-france.fr) et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n° CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
]]>Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, détaille le partenariat, « La Française REM est une société de gestion responsable, visionnaire et résiliente. « Ville de Demain » a su regrouper dans une logique associative les principales parties prenantes nécessaires à la transformation durable du secteur immobilier. En qualité de membre de l’European Proptech Association, la portée de « Ville de Demain » s’étend à l’international. Nous souhaitons jouer un rôle clé et impulser cette dynamique d’innovation pour permettre au secteur immobilier de se transformer dans une approche d’industrialisation. Nous apporterons notre soutien en tant qu’expert et acteur historique en immobilier, au sein de la commission “ investissement et asset management ’’. »
Nicolas Regnier, Program Director de « Ville de Demain », conclut, « L'immobilier obéit à une logique de temps long. Cela peut contraster avec la dynamique des startups en créant des obstacles à leur développement. C’est d’ailleurs pour cela qu’il y a si peu de « licornes » dans ce secteur. Pouvoir intégrer dans « Ville de Demain » un acteur de premier plan tel que La Française Real Estate Managers, est par conséquent un signal fort pour le secteur. C’est également la preuve que la transformation digitale et environnementale est lancée et soutenue. »
]]>Cette SCPI traduit toutes nos convictions avec une approche patrimoniale et a conservé son dynamisme en renouvelant près de 50% de son patrimoine en quelques années.
Découvrez Épargne Foncière en quelques minutes avec Guillaume Allard, Directeur Finances Fonds Retails à La Française REM.
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Depuis le début de l’année, les marchés actions ont été impactés par les annonces de durcissement de politiques monétaires aux Etats Unis et en Europe ainsi que par la situation géopolitique entre la Russie et les pays occidentaux.
Encore aujourd’hui, les niveaux de volatilité sur les marchés actions restent élevés, principalement alimentés par des craintes géopolitiques. Parallèlement, la saison de publication des résultats reste globalement très positive et continue de soutenir les marchés. La croissance des revenus est supérieure aux attentes, grâce à une meilleure dynamique de l’activité commerciale au dernier trimestre.
La croissance des bénéfices par action a également dépassé les espérances, s’établissant respectivement à +28 % et +44 %1 sur un an aux États-Unis et en Europe.
A cette dichotomie entre la situation macro et micro, s’ajoutent des facteurs de soutien aux marchés actions. Les indicateurs avancés restent bien orientés, les niveaux de stocks se maintiennent sur des niveaux historiquement bas et le cycle d’investissement des entreprises devrait accélérer. De plus, les politiques de retours aux actionnaires ainsi que l’activité de fusions-acquisitions restent dynamiques.
En définitive, nous considérons qu’il y a toujours un potentiel de hausse sur les marchés actions. Cependant et au vu de l’environnement de marché actuel nous renforçons notre attention concernant la sélection des titres.
La Française REM possède une expertise historique dans les résidences gérées et les investissements résidentiels, avec respectivement 1 183 et 1 775 millions d'euros d'actifs sous gestion (31/12/2021).
David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Managers - Division institutionnelle, a déclaré : « La Française et PFA travaillent ensemble avec succès depuis plus de deux ans. PFA nous a confié un premier mandat de 100 millions d'euros en octobre 2019 pour l'acquisition et la gestion d'un portefeuille français de résidences services seniors. Après avoir investi ce capital, nous sommes ravis de renforcer notre partenariat et d'élargir notre champ d'action géographique à d'autres pays européens et d'étendre notre stratégie au secteur locatif privé. Nous serons certainement en mesure de tirer parti, au bénéfice de PFA, de notre plateforme internationale d'investissement immobilier qui comprend des équipes d'investissement dans toute l'Europe. Au nom de La Française REM, je tiens à remercier PFA pour sa confiance. »
« Nous avons travaillé fructueusement avec La Française pendant quelques années et renforçons maintenant notre relation pour développer davantage nos stratégies dans l'immobilier résidentiel et résidentiel géré en Europe », déclare Michael Bruhn, Directeur général de PFA.
Les immeubles récemment rénovés et entièrement loués dans le cadre de baux long terme offrent des locaux de qualité dans le cœur historique de Bristol, à moins de 15 minutes à pied de la gare de Bristol Temple Meads. Ils répondent à la demande du marché en proposant des locaux à vélos, des terrasses sur le toit, des équipements neufs ainsi qu’une belle hauteur sous plafond.
Corn Street, qui est historiquement le quartier bancaire de la ville, abrite aujourd'hui de nombreux restaurants et hôtels haut de gamme. Le cadre attractif et le bon niveau de services en font un quartier attrayant pour l'implantation de jeunes entreprises. Les bureaux sont entièrement loués à une société technologique active dans le secteur du e-commerce et les deux locaux commerciaux du rez-de-chaussée sont loués à des enseignes de loisirs.
Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Il y a un faible taux de vacance et une offre limitée de bureaux de catégorie A dans le centre de Bristol. Un nouveau dynamisme émerge avec de nombreux bureaux secondaires convertis en résidences, hôtels et équipements de loisirs, contribuant à en faire un lieu de vie et de travail attrayant. »
La Française REM a été conseillée par Joiner Cummings. IV Real Estate a été conseillé par Savills et Alder King.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>En phase d’acquisition et en fonction de la notation ESG attribuée à l’actif suite à un audit initial, la société de gestion, La Française REM, s’engage à maintenir a minima la notation ESG (Best-in-Class) de chaque actif ou à prendre l’engagement de définir un plan d’amélioration permettant d’atteindre une notation ESG cible (Best-in-Progress). Seulement deux mois après son lancement, la SCPI annonce sa première acquisition, alloué à la poche Best-In-Class. Il s’agit du Rockefeller, sis 60 D avenue Rockefeller à Lyon (69).
L’actif, bien desservi par le tram (T2 et T5) et le métro D, se trouve dans le 8e arrondissement de Lyon, au coeur du Bioparc, un pôle d’intelligence dédié aux entreprises innovantes dans les domaines de la santé et des technologies. Avec près de 100 000 emplois dans le secteur de la santé, la métropole de Lyon fait partie des dix plus grands marchés des biotechnologies et de la santé en Europe.
Le bâtiment, livré en 2019, répond largement aux dernières normes en matière de performance thermique. Le Rockefeller propose 5 971 m² de surface répartis sur un rez-de-chaussée et cinq étages permettant d’accueillir une centaine de cabinets de consultation médicaux et paramédicaux pluridisciplinaires, allant de la médecine générale à la psychologie en passant par la radiologie et l’oncologie ou bien encore la diététique. L’immeuble accueille également un centre de balnéothérapie, une crèche, des espaces de recherche et un restaurant. L’actif offre 159 places de parking et 6 places de parkings pour Personnes à Mobilité Réduite en sous-sol.
Le Rockefeller est entièrement loué dans le cadre d’un bail ferme de 12 ans à MEDICINA, un acteur de la santé très bien implanté dans son marché local et reconnu auprès de l’ensemble des parties prenantes du système de santé. Le projet médical du locataire a pour vocation d’améliorer la prise en charge et le parcours de soin des patients, en leur proposant une offre globale alliant la prévention, les soins et le bien-être.
Jérôme Valade, Responsable du pôle immobilier de santé conclut, « Le Rockefeller remplit de nombreux critères à savoir : un immeuble neuf et vertueux bénéficiant d’une localisation centrale dans une métropole régionale et loué pour 12 ans fermes à un locataire portant un projet médical de qualité. Ainsi, Le Rockefeller s’inscrit complètement dans l’univers d’investissement de LF Avenir Santé, en tant que réponse immobilière de proximité aux besoins en soins du quotidien, (couverts par l’ensemble des spécialités médicales et paramédicales), aux besoins de bien-être et de soins alternatifs avec la balnéothérapie, et enfin aux besoins générationnels avec la crèche. »
Pour cette acquisition, La Française Real Estate Managers a été conseillé par Etude 14 Pyramides (Louis Gourret) pour l’audit notarial, Cabinet Jeantet (Catherine Saint Geniest) pour l’audit juridique, Proactim et Delpha Conseil pour l’audit technique et CapTerre pour l’audit environnemental.
Le bâtiment moderne (en R+5) et répondant aux dernières normes offre environ 4 811 m2 de bureaux flexibles, des balcons à presque tous les étages et une terrasse avec vue sur le fleuve IJ au 6ème étage. Les étages ont un style industriel de type loft avec une configuration fonctionnelle et une excellente hauteur sous plafond.
Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre quatrième actif à Amsterdam. La classification énergétique A+ de l'immeuble illustre parfaitement notre stratégie d'investissement durable ».
La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Houthoff sur les aspects juridiques, de Savills Building & Project Consultancy sur le volet technique et de Cap Terre sur la due diligence en matière d'ESG.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
En conclusion, il est peu probable que le communiqué soit très différent de celui de décembre. Le consensus semble être celui d’une FED légèrement « hawkish », avec des marchés financiers déjà positionnés à la vente sur les bons du Trésor américain (parties courtes de la courbe). Dans ce contexte la courbe américaine pourrait légèrement se pentifier.
]]>Construit en 1928 par l'architecte Gaston Castel et primé au prix d'architecture de Rome, le Castel Héritage est un édifice art déco emblématique de Marseille puisqu’il a abrité jusqu'en 2013 le siège de la compagnie maritime de la SNCM après avoir été celui de la Compagnie Générale Transatlantique.
C’est un véritable Trophy Asset qui a été restructuré à neuf par Eiffage en 2018. Il est certifié NF HQE « Très bon » et dispose de 25 emplacements de stationnement et d'un rooftop avec vue sur mer.
Les bureaux accueillent la « Cité de l'Innovation et des Savoirs Aix-Marseille » (CISAM), espace dédié à la créativité entrepreneuriale sur le territoire Aix-Marseille.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Sélectinvest 1.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Oudot & Associés.
Groupama GAN REIM a été conseillé par l’office notarial Notaires Quai de la Tournelle.
Les deux parties ont été conseillées par CBRE.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Dans ce contexte, Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan 2021 et vous livre ses convictions pour cette nouvelle année.
]]>François Rimeu, Responsable de la Gestion Cross Asset & et Total Return, livre ses convictions pour cette nouvelle année.
]]>Hugo Bonnard, Responsable Adjoint de la Gestion Actions, livre nos convictions Actions.
]]>L'immeuble, loué à 12 locataires, offre plus de 10 000 m2 de bureaux, 3 000 m² de surface commerciale et 212 places de parking en sous-sol. La surface commerciale est louée à plusieurs enseignes alimentaires de renom, à un magasin de vêtements et à une chaîne de parapharmacie dans le cadre de baux fermes
Mark Wolter, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis notre troisième actif dans la région de Stuttgart. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie d'expansion de notre portefeuille immobilier allemand grâce à l’intégration d'un bien avec des solides perspectives de location dans un secteur dynamique. »
La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Baker Tilly sur les aspects juridiques, de TA Europe sur le volet technique de la diligence raisonnable et de Cap Terre sur les aspects ESG. Le vendeur a été conseillé par Jones Lang LaSalle SE.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCP
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 24 janvier 2022.
Chère Madame, Cher Monsieur,
Vous êtes porteur de part(s) du FCP La Française Séréni Flex et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Séréni Flex (ci-après le « FCP ») comme suit :
Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCP
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 24 janvier 2022.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 24 janvier 2022.
]]>La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du FCP La Française Séréni Flex, fonds maître de votre FCPE CMNE Participation Quiétude (ci-après le « FCPE »). Par conséquent, votre FCPE sera modifié comme suit :
Enfin, un risque de durabilité et un risque lié aux investissement ESG ont été rajoutés dans le profil de risque du FCPE.
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]]>Comment ? En regroupant les meilleures convictions de La Française AM sur les obligations à taux variables avec plus de 130 émetteurs en portefeuille et une allocation géographique globale.
Gabriel Crabos, Gérant – Analyste High Yield, vous présente notre fonds aux côtés de David Martin, Directeur Commercial Institutionnels France & Head of Business Development Switzerland.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance. Le label ISR ne garantit pas la performance du fonds.
]]>Ils font partie du projet « Les Jardins du Lou » qui comprend 6 bâtiments de bureaux pour une surface totale de 28 000 m², le « Matmut Stadium » (stade de Gerland), un "village" (brasserie, boutique, salles événementielles) et un centre d'entrainement du club du Lou Rugby. Le projet sera complété par un hôtel de 150 chambres, un centre médical et un centre aquatique.
Le programme de bureaux des « Jardins du Lou », qui a reçu le Grand Prix du SIMI 2020 dans la catégorie « parc de bureaux de plus de 10 000 m² », a été conçu par Constantin Albert Louis et l’Agence AIA Life Designers et laisse une large part aux espaces paysagers. Les bâtiments sont implantés au cœur d’un jardin privatif intégrant des circulations entre les immeubles. Les bâtiments disposent de terrasses orientées vers les jardins et de balcons offrant de larges vues sur le Matmut Stadium.
Le premier bâtiment, d'une surface totale de 9 100 m², est loué intégralement à un acteur français du nucléaire dans le cadre d'un bail d’une durée ferme de 9 ans. Le deuxième bâtiment, d'une surface totale de 7 800 m², est loué à deux utilisateurs : à 60 % au même utilisateur que le premier bâtiment et à 40 % à la filiale digitale d’un grand groupe audiovisuel français.
Le programme « Les Jardins du Lou » s’inscrit dans une démarche environnementale puisqu’il bénéficie des certifications suivantes :
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de plusieurs Sociétés Civiles de Placement Immobilier :
Dans cette transaction, La Française REM était conseillée par l’étude notariale Allez & Associés et par le Cabinet Jeantet. Les vendeurs étaient conseillés par l’Office Notarial Ginon & Associés.
CBRE était conseil exclusif du vendeur et de l’acquéreur.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>« City Garden » offre 9 054 m² de bureaux, 297 m² de locaux d'archives et 40 places de parking. À proximité du Parlement européen, l’actif est entièrement loué à une institution européenne jusqu'à la mi-juillet 2024.
Peter Balfour, Head of Real Estate de La Française Real Estate Managers au Royaume Uni, a déclaré : « Nous sommes ravis d'acquérir un immeuble à Bruxelles qui vient compléter le portefeuille existant de la joint-venture qui comprend un actif à Essen, en Allemagne. L’immeuble, qui présente de belles perspectives en matière d’asset management, bénéficie d’un emplacement stratégique au coeur du quartier européen. »
Suzy Denys, Country Manager and Director Transactions chez PATRIZIA BeLux AG, un partenaire de premier plan pour les biens immobiliers mondiaux, a déclaré : « Le quartier européen où City Garden est situé a le taux de vacance en matière de bureaux le plus faible de toute la ville. Nous avons profité de la demande actuelle de bureaux pour conclure cette vente conformément aux plans initiaux que nous avions pour ce bien. »
L'acquisition a été partiellement financée par MünchenerHyp.
La Française REM a été conseillée par PWC. Le vendeur a été conseillé par Savills et CBRE sur la cession.
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Vous êtes porteur de part(s) du fonds commun de placement La Française Convertibles Dynamique (ci-après le « FCP ») et nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez.
Quels changements vont intervenir sur votre FCP ?
Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé de dissoudre le FCP par anticipation.
Malgré l’attrait qu’il présente, le faible encours du FCP ne permettra pas à la société de gestion de continuer à le gérer de manière optimale pour les porteurs, notamment en raison des coûts fixes inhérents à tout véhicule d’investissement.
Informations importantes
Nous attirons votre attention sur le fait que votre FCP avait pour objectif de gestion d’obtenir, sur la période de placement recommandée de trois ans minimum, une performance, nette de frais, supérieure à celle de l’indice Exane ECI Europe coupons réinvestis, majorée de 1%.
Sa performance enregistrée pour l’exercice clos le 31 décembre 2020 est de +0,77% contre +5,01% pour l’indice de référence (Exane ECI Europe).
Ce résultat s'explique principalement par le faible encours du FCP et les coûts fixes inhérents à tout véhicule d’investissement.
Cette dissolution du Fonds a obtenu l’agrément de l’Autorité des marchés financiers en date du 17 décembre 2021.
Les souscriptions et rachats seront suspendus à compter de l’envoi de cette lettre et jusqu’à la dissolution du Fonds sur la valeur liquidative du 31 janvier 2022. Le règlement correspondant aura lieu dans les trois jours maximum après la dissolution effective du FCP, soit le 3 février 2022.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été
soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durabl et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe ditDNSH, « Do No Significant Harm »). Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.
Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.
Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’€STER, et est égal à l’€STER augmenté de 8,5 points de base.
La rédaction de l’indicateur de référence du FCP LA FRANCAISE TRESORERIE ISR est par conséquent modifié comme suit :
« €STR capitalisé »
Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé est assimilé à un changement d’indicateur de référence.
Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.
Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.
Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.
Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.
Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne.
Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens.
Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Des critères techniques de sélection ont récemment été élaborés pour certaines activités économiques qui peuvent contribuer grandement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement sur ces deux objectifs, sur la base des critères publiés de manière non définitive, tels que soumis aux colégislateurs européens.
Nous mettrons à jour ces informations en cas de modification de ces critères, de l’élaboration de nouveaux critères de révision pour ces deux objectifs, ainsi que de l’entrée en vigueur des critères pour les quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines, la transition vers une économie circulaire, la prévention et le contrôle de la pollution, ainsi que la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue de manière substantielle à un ou plusieurs des six objectifs environnementaux, sans nuire de manière significative à l’un des autres objectifs environnementaux (principe consistant à « ne pas causer de préjudice important », ou « principe DNSH »).
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne.
Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne.
Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens.
Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne.
Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique. Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens.
Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
Actuellement, des critères d’examen technique (Technical Screening Criteria) ont été développés pour certaines activités économiques à même de contribuer substantiellement à deux de ces objectifs : l’atténuation du changement climatique, et l’adaptation au changement climatique.
Ces critères sont actuellement en attente de publication au Journal Officiel de l’Union Européenne. Les données présentées ci-dessous ne reflètent donc que l’alignement à ces deux objectifs, sur la base des critères non-définitivement publiés, tels qu’ils ont été soumis aux colégislateurs européens. Nous mettrons à jour cette information en cas de changements apportés à ces critères, de développement de nouveaux critères d’examen relatifs à ces deux objectifs, ainsi que lors de l’entrée en application des critères relatifs aux quatre autres objectifs environnementaux : l’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ; la transition vers une économie circulaire ; la prévention et la réduction de la pollution ; la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
Pour être considérée comme durable, une activité économique doit démontrer qu’elle contribue substantiellement à l’atteinte de l’un des 6 objectifs, tout en ne nuisant pas à l’un des cinq autres (principe dit DNSH, « Do No Significant Harm »).
Pour qu’une activité soit considérée comme alignée à la Taxonomie européenne, elle doit également respecter les droits humains et sociaux garantis par le droit international.
L'accord inaugural du partenariat porte sur un portefeuille de six plateformes logistiques et de livraison du « dernier kilomètre » (totalisant plus de 40 000 m²), qui répondent toutes aux dernières normes en matière d'entrepôts logistiques et sont stratégiquement implantées dans toute la France : région parisienne, Toulouse, Belfort, Pau, Saint-Quentin et Calais.
Les actifs, allant de 5 000 à 10 000 m², sont entièrement loués, dans le cadre de baux longs, par des locataires de premier plan opérant dans les secteurs du e-commerce ou de la distribution. Le portefeuille a été acquis par La Française REM, agissant pour le compte d'un investisseur institutionnel sud-coréen.
David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, a conclu : « Les actifs logistiques du « dernier kilomètre » de qualité ont des perspectives de valorisation favorables pour diverses raisons, à savoir : (1) la croissance du e-commerce; (2) l'efficacité des réseaux, qui améliore la fiabilité des livraisons et in fine la satisfaction des clients et constitue un avantage concurrentiel ; (3) les objectifs de réduction des émissions de carbone qui nécessitent une présence généralisée, au plus près des consommateurs finaux ; et (4) à mesure que les terrains disponibles se raréfient et que les exigences des Plans Locaux d’Urbanisme des villes se renforcent, de tels projets de développement deviendront de plus en plus rares. Tous les emplacements ont été choisis sur la base de statistiques d'achat des consommateurs et cinq des actifs sont proches de pays limitrophes, ce qui soutiendra leurs opérations paneuropéennes. Il s'agit d'une parfaite illustration de l'expertise de VECTURA, et nous sommes convaincus que nous serons en mesure de capitaliser sur ce succès à l'avenir ».
Michel Chiche, Président de VECTURA, a ajouté : « Nous sommes investis depuis de nombreuses années dans le développement d’outils logistiques “last-mile” de dernière génération, pour de nombreux acteurs de la chaine logistique, mais aussi de nombreux utilisateurs finaux. Ce partenariat avec un acteur reconnu de l’investissement immobilier comme La Française Real Estate Managers récompense des années de travail et nous conforte dans la stratégie de développement que nous menons ».
La Française Real Estate Managers a été conseillée par Ashurst sur les aspects juridiques, Flusin sur les aspects notariaux et ETYO sur les aspects techniques. BNP Paribas Transaction France était le courtier. VECTURA a été conseillée par Ariel PASCUAL et Anne-Christelle BATTUT-ESCARPIT sur les aspects notariaux.
Inflation, Omicron : réponse des banques centrales [Boucler la boucle – Épisode 16]
Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
Le principal risque serait que la BCE décide de reporter les décisions sur le futur QE à février 2022, affirmant qu'il y a trop d'incertitude pour agir lors de la réunion actuelle, mais ce n'est pas notre scénario de base. Les marchés obligataires, notamment en Italie, en Espagne, au Portugal et surtout en Grèce, seraient vulnérables dans ce scénario.
Disclaimer
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Asset Management
L’attrait des solutions d’investissement proposées par La Française REM tient notamment de leur capacité à pouvoir efficacement traverser une période inédite, comme celle que nous venons de connaitre. Le patrimoine immobilier géré par La Française REM est constitué pour environ 65 % de bureaux, 10 % de commerces, 10 % de résidentiel / résidences gérées, 10 % de locaux d’activités et 5 % de produits de diversification (vignobles, hôtels, autre). L’approche d’encaissement des loyers adoptée par La Française REM, qui se résume en une politique d’accompagnement sélective et négociée ou en une conduite de fermeté vis-à-vis des locataires de taille importante, a permis de conserver un bon taux d’encaissement des loyers, à l’image des SCPI d’entreprise de La Française REM qui ont globalement recouverts à fin novembre 95% des loyers quittancés depuis le début de l’année.
Philippe DEPOUX, Président de La Française REM, ajoute : « La Française REM, c’est un ensemble de métiers qui crée de la valeur pour l’investisseur final. Aujourd’hui, les équipes d’asset management sont à l’honneur.
Chaque m2 est géré au mieux. Nous bâtissons notre stratégie d’asset management autour de trois grands axes, à savoir la durabilité (ESG), la flexibilité et le serviciel. La relation de proximité et le professionnalisme de nos équipes ainsi que la qualité de notre parc immobilier nous ont permis de traverser sereinement cette période inédite. Avec 300 000 m2 loués ou reloués en 2021, un taux d’occupation financier de près de 93% sur l’année, nous avons maintenu la performance de nos fonds immobiliers dans l’intérêt des investisseurs. Et demain, nous continuerons l’accompagnement des entreprises-locataires avec la Cellule de Transformation de l’Offre Locative, nouvellement créée. En 2022, nous déploierons ainsi progressivement une offre locative axée sur la flexibilité d’occupation et le serviciel. »
Nous vous informons que la société de gestion La Française Asset Management a décidé de changer l’OPCVM maître du FCP à compter du 13 janvier 2022.
➢ Modification faisant l’objet d’un agrément de l’Autorité des marchés financiers :
Actuellement, le FCP est nourricier du fonds La Française Convertibles Dynamique (part R). Toutefois, à compter du 13 janvier 2022, le FCP deviendra nourricier du compartiment La Française Rendement Global 2028 (catégorie d’action I C EUR : FR0013439478) de la SICAV de droit français « La Française ».
➢ Modification ne faisant pas l’objet d’un agrément de l’Autorité des marchés financiers :
Le FCP sera renommé « Patrimoine Rendement Global » en lieu et place de « Crystal Convertibles ».
Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année.
Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par un auditeur indépendant, l'Université de Hambourg.
La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :
La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a obtenu deux étoiles sur les trois possibles, pour sa stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète, qui leur a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et des stratégies en matière de sélection et de dialogue.
Nina LAGRON, CFA, Head of Large Cap Equites de La Française AM, a conclu : « Pour la deuxième année consécutive La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global est récompensé avec le label FNG. Ce compartiment, qui bénéficie de trois labels en cours de validité : ISR (français), Greenfin (français) & FNG, témoigne parfaitement de la qualité de sélectivité que nous nous efforçons de respecter afin de contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. »
]]>Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année.
Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par un auditeur indépendant, l'Université de Hambourg.
La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :
La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global et La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Euro ont obtenu chacun deux étoiles sur les trois possibles, pour leur stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète, qui leur a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et des stratégies en matière de sélection et de dialogue.
Nina LAGRON, CFA, Head of Large Cap Equites de La Française AM, a conclu : « Pour la deuxième année consécutive La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Global est récompensé avec le label FNG. Ce fonds, qui bénéficie de trois labels en cours de validité : ISR (français), Greenfin (français) & FNG, témoigne parfaitement de la qualité de sélectivité que nous nous efforçons de respecter afin de contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Pour La Française LUX-Inflection Point Carbon Impact Euro, qui déploie une stratégie identique mais sur un univers géographique plus concentré, il s’agit de notre première candidature au label. »
Les vaccins offriront-ils une protection suffisante pour les marchés ? [Boucler la boucle – Épisode 15]
Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
Avec cette solution innovante, l'investissement se fait désormais en montant, la souscription en nombre de parts étant toujours disponible. Pour cela, Agil'Immo propose deux options cumulables :
Choisir Agil’Immo, c'est faire le choix de démocratiser l'accès à l’épargne immobilière en SCPI, d'offrir plus de flexibilité et d'instaurer entre vous et vos clients une relation régulière.
Découvrez en plus en vidéo avec Claire ROUX, Responsable commerciale La Française AM Finance Services.
]]>Publication réservée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MiFID II.
Comment se porte le marché du Crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de décembre ?
Les performances du marché du crédit ont été négatives avec l’émergence du variant Omicron dans un marché très illiquide.
Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan et vous livre ses convictions mensuelles.
]]>L’actif sera entièrement loué à Grenoble Ecole de Management, grande école de commerce, qui installera son campus Parisien dans le cadre d'un bail de 12 ans fermes.
L’ensemble fera l’objet d’une labellisation BiodiverCity et E+/C-. Le label d’État « Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone » atteindra un niveau E3/C1 notamment par le recours à une structure en bois et à l’utilisation d’énergies renouvelables photovoltaïque et géothermique.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides. PRD Office a été conseillé par l’office notarial Oudot.
]]>Olivier BROUWERS (49 ans) débute sa carrière en 1996 avec Paribas Bank Belgium, dans la division banque privée. En 1998, il rejoint Invesco France et acquiert une première expérience dans la distribution de fonds vers le marché belge notamment. Ensuite, après trois ans, il participe à la mise en place de Invesco Asset Management en Belgique. C’est le début d’une carrière longue de dix-neuf années, d’abord en tant que Responsable Commercial et Services Clients, couvrant une clientèle institutionnelle et retail en Belgique et au Luxembourg, et au fil des promotions, Olivier voit ses responsabilités géographiques s’étendre pour comprendre le Benelux, la France et la Scandinavie. Dès 2013, Olivier est sensibilisé au rôle que doit prendre le secteur financier pour contribuer à une économie plus durable et devient en parallèle membre du Comité Produit Durable, une expertise qu’il continuera de développer.
Plus récemment et pendant plus d’un an, Olivier a exercé le poste de CEO ad-interim pour la filiale asset management du Groupe Belfius. Outre les aspects règlementaires et organisationnels, il a aussi expérimenté en interne les besoins toujours plus pointus des distributeurs vis-à-vis des sociétés de gestion.
Olivier BROUWERS détient un Bachelor en Economie avec une spécialisation en finance de l’Université libre de Bruxelles (ULB-Solvay). Il est également diplômé de l’Association Belge des Analystes Financiers.
Gerardo DUPLAT, Head of International Business Development conclut « Olivier, par son importante expérience multiculturelle, était le choix « évident » pour développer les marchés du Benelux et des pays nordiques. La distribution transfrontalière, le déploiement de stratégies de développement locaux, la gestion active versus passive et l’investissement durable… sont tous des domaines dans lesquels il excelle. »
]]>Le retour de l’inflation et l'environnement incertain complique vos choix d’allocation ?
Vous recherchez du rendement, vous avez besoin de diversification ?
Ça tombe bien : La Française vous permet désormais de simuler par profil et horizon une allocation mixant immobilier et actifs financiers : http://lfgrou.pe/RkKYyr
Dans cette vidéo, nous vous présentons nos convictions du 4ème trimestre. Rendez-vous début 2022 pour la mise à jour.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital.
]]>La COP26 nous a montré une fois de plus qu’il était urgent d’agir. La finance se doit de participer activement à la transition vers une économie bas carbone.
La Française Carbon Impact 2026 vise à investir dans la transition énergétique à long terme tout en minimisant notre impact carbone aujourd’hui.
Comment ? Notre fonds à échéance détecte les acteurs de demain, qui resteront compétitifs tout en étant proactifs dans la transformation d’un monde bas carbone.
Marie Lassegnore, Responsable ESG Fixed Income & Cross Asset, vous présente notre fonds à maturité aux côtés de Franck Rousseau, Directeur des Relations Institutionnelles France.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>Même si l’activité économique reste très dépendante de l’évolution sanitaire des différents pays, nous arrivons à voir des signaux positifs.
L’environnement de taux bas, qui est amené à perdurer ainsi que l’inflation sont des éléments favorables à l’immobilier.
De plus, nous avons la conviction que nous assistons à un nouveau cycle immobilier qui sera marqué par deux phénomènes majeurs : la polarisation des marchés et la prise en compte des critères ESG dans la valorisation des actifs.
Des éléments que nous avions déjà anticipés et sur lesquels nous sommes positionnés.
]]>Omicron et changement de ton de la Fed : cocktail explosif pour la fin d’année ou simple respiration ?
Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>Cette nouvelle communication incarnée et humanisée donne une nouvelle dimension à notre signature « Investing Together », qui se concrétise aujourd’hui par ce film présentant l’expertise et les convictions de La Francaise en immobilier.
L’immobilier, parce qu’il s’intéresse à des actifs physiques réels, a un rôle essentiel à jouer dans la transition vers une économie plus durable et un monde plus écologique.
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Extrait de la rentrée partenaires - Septembre 2021
]]>Les bourses plongent face au variant B1.1.529. Fausse alerte ou retour en arrière ? [Boucler la boucle – Épisode 13]
Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>Dans ce numéro au dossier consacré à « Quel avenir pour les bureaux ? », les réflexions de professionnels aux horizons divers sur les nouveaux usages des espaces de travail esquissent de nouvelles approches qui accompagneront les futures pratiques professionnelles et immobilières.
]]>Le nouveau record du CAC 40 menacé par le retour de la pandémie et la poursuite de l'inflation ? [Boucler la boucle – Épisode 12]
Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>Depuis plus de 50 ans, La Française fait rimer immobilier avec innovation.
Pour vous et vos clients, nous continuons de créer des services innovants et différenciants.
Cette année, nous avons lancé Agil’Immo : la souscription en SCPI en montant.
Un service flexible, qui s’adapte à chacun de vos clients et de leurs besoins.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
La SCPI LF AVENIR SANTE vise à constituer, directement ou indirectement, un patrimoine diversifié d’actifs immobiliers situés dans des Etats qui sont ou ont été membres de l’Union Européenne, en lien avec le secteur médico-social ou la santé de façon plus globale, et à titre accessoire dans d’autres locaux (bureaux, locaux d’entrepôts, commerces, parking etc.).
Pour assurer un flux d’investissements adapté et en assurer la gestion efficace, La Française REM a créé un pôle immobilier de santé au sein de la direction Actifs Immobilier Entreprise, sous la Direction de Thierry Molton. Jérôme Valade, spécialiste des actifs de santé avec une solide connaissance opérationnelle, technique, juridique et financière du secteur acquise depuis 2008, a été nommé responsable de ce pôle. D’ores et déjà, LF AVENIR SANTE a négocié en exclusivité sa première acquisition : un ensemble immobilier dédié à un pôle de santé pluridisciplinaire situé dans une grande métropole française.
En complément, la société de gestion, pour le compte de la SCPI LF AVENIR SANTE, s’engage à reverser un don annuel à La Fondation des Hôpitaux.
]]>Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>La COP 26 sera-t-elle une réunion de passage de plus, d’une COP à l’autre pour s’engager sur des ambitions réelles assorties de plan détaillés vers des émissions nettes zéro ? La COP26 sauve les meubles, permettant à chacun de rentrer chez lui la tête haute, états comme entreprises sans remettre véritablement en cause le ‘business as usual’. Cette COP 26 ne restera pas dans les livres d’histoire comme celle où le monde a réellement pris conscience du défi climatique au point de changer véritablement et de s’engager dans des plans d’actions. On ne pourra véritablement progresser (au-delà de chiffres records annoncés qui tournent à l'absurde : que veulent dire 130 000 milliards d’engagements ?) tant que la politique fiscale n'aura pas intégré un prix (ou une taxe) carbone mondial. Une politique fiscale est nécessaire puisque la politique monétaire est impuissante à forcer la transition. Elle serait à la charge des consommateurs puisque c'est la seule manière d’influencer les comportements, aussi difficile et douloureuse soit-elle.
Record historique pour le CAC 40, l’inflation n’inquiète toujours pas les banques centrales [Boucler la boucle – Épisode 10]
Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
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Comment se porte le marché du Crédit ? Quels émetteurs privilégions-nous pour le mois de novembre ?
Hormis l'effrondrement du High Yield Chinois en octobre, qui réalise l'une de ses pires performance de son histoire, le marché du crédit est resté stable.
Dans ce contexte, Paul Gurzal, Responsable de la Gestion Crédit, dresse le bilan et vous livre ses convictions pour le mois de novembre.
]]>Bonjour,
Nous vivons actuellement une période très particulière entre les SCPI où le monde de la SCPI et le monde de l'investissement. Je dirais même que nous vivons une période de lune de miel qui dure. Quand on regarde un petit peu le pourquoi, on peut constater qu'il y a véritablement un alignement de planètes.
Alors le premier acteur qui est le client avant tout. Le client s'intéresse aux produits SCPI et on le comprend pour ce client, parce que quand il regarde la performance du produit qui est quand même très intéressante et pas seulement sur l'année qui vient de s'écouler, mais quand on arrive à la regarder sur 10 ans, 20 ans, 30 ans, il y a un positionnement assez extraordinaire.
Deuxième point quand il regarde son univers d'investissement on sait que les contrats d'assurance devraient, en euros, finir aux alentours de 1 % et qu’un livret est autour de 0,50 % donc c'est normal.
Et puis deux points importants : l’un c’est que le couple entre le risque pris sur l'investissement SCPI et le rendement qui est donné, est un positionnement assez idoine, il y assez peu de placement qui permettent en fin de compte cet investissement. Et avec un point intéressant c'est un regard sur le produit, une connaissance en fin de compte sur le produit SCPI, de la part du client qui est plus mature aujourd'hui, il sait ce qu'il achète.
Deuxième point et 2ème planète très alignée, c'est le conseiller, le monde de l'investissement. Aujourd'hui les conseillers ont véritablement intégré dans leur allocation le produit SCPI. Il le regarde, l'analyse d'ailleurs de manière hypra professionnelle. On voit dans les questions qui nous sont posées tant sur le produit, sur les marchés, sur le fonctionnement, peu importe les taux de recouvrement, une maturité qui est très importante en fin de compte de la part des conseillers, c'est très bien. Avec une approche à la fois sur l'investissement en direct en nominatif, mais également sur l'assurance. Et c'est vrai que c'est la 3ème planète qui est véritablement alignée.
Aujourd'hui les assureurs font la part très belle aux produits SCPI, avec on aurait pu le penser une attitude peut être un petit peu plus contrainte, il y a encore 2 / 3 ans. Et aujourd'hui dans ces transferts euros - UC, l’UC immobilière est un des grands gagnants en fin de compte des transferts.
On le voit dans la nature des produits, dans leur analyse, dans le traitement même du produit à l'investissement et ses assureurs aujourd'hui opèrent même par ailleurs un 2ème virage. Ils ont absolument écarté, élargi les gammes et aujourd'hui on le voit sur la partie des SCI, qui prennent même un petit peu la primeur. Et il va se passer sur les SCI que l'on a connu sur les SCPI. Autrement dit nous avons été pendant des années sur des produits assez conventionnels (bureaux, commerces, Paris, province), on est passé à des produits « Europe », très spécifiques « santé ». Vous avez la même chose sur les SCI avec l'arrivée de produits santé mais également durable, ça c'est très très important notamment pour maintenir les locataires. Et un traitement et on le comprend qui est intéressant pour le client je rentre à une valeur, je sors à une valeur et j'ai une mutualisation parfaite encore plus importante que pour la partie SCPI. C'est vrai pour le client et c'est vrai pour l'assureur avec un match dans lequel on va s’inscrire très fortement au-delà des secteurs d'investissement. C'est le match prochain qui est le match de l'épargne-retraite parce qu'encore une fois sur ces UC, sur ces supports immobiliers, qu'est-ce qui peut rimer de mieux avec la retraite que l'immobilier ?
Donc là aussi il y aura un match d’arbitrage (l'assurance-vie) et un match de collecte de nouveaux flux (l'épargne-retraite) qui arrive très fortement chez vous Messieurs les conseillers, et nous serons présents.
Le S&P-500 et Dow Jones sur des records ! Quels catalyseurs pour aller plus loin ? [Boucler la boucle – Épisode 9]
Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>Ce sont 2 200 m² sur trois niveaux dans un esprit industriel avec des espaces ouverts, des ateliers en rez-de-jardin et un parking à vélo qui correspondent parfaitement aux besoins de son utilisateur, l’école SRATE Design.
SRATE Design est un établissement d’enseignement privé supérieur d’architecture et de design qui appartient au groupe Galileo Global Education.
La « Halle C4 » est située dans un environnement végétalisé, à proximité immédiate du projet appelé « Le Champ », futur « bois urbain » de 6ha qui occupera l’extrémité de la presqu’île. L’immeuble est par ailleurs très bien situé en termes de connectivité, à 350 m de la station du Tram 1 « Hôtel de Région - Montrochet ».
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par Allez & Associés et le Cabinet Jeantet.
6e Sens Immobilier et Cardinal ont été conseillés par l’étude Chaine et Associés Notaires.
]]>Le principal risque, plutôt « hawkish », serait des signes indiquant que Jerome Powell est moins convaincu qu'auparavant par le caractère temporaire de l'inflation. Cette réunion pourrait conduire à un aplatissement de la courbe des taux américains.
disclaimer
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Nous n'attendons pas beaucoup d'informations concernant sa politique après décembre 2021, c'est-à-dire le degré de flexibilité d'achat d'actifs que la BCE conservera après le PEPP dans le cadre de l'APP ou des opérations ciblées de refinancement à plus long terme (TLTRO).
Dans l'ensemble, cette réunion de la BCE devrait être un non-évènement. Pour le Conseil de décembre, en revanche, nous devrions disposer d'une mise à jour de ses projections macroéconomiques (avec les premières estimations pour 2024).
Nous pensons qu'une communication accommodante sur l’orientation future des taux pourrait pousser les taux d'intérêt court terme à la baisse.
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Si la Fed et la BCE se sont montrées prudentes, considérant les pressions inflationnistes comme « transitoires », elles préparent néanmoins les marchés à une baisse des achats d'actifs (le « tapering »). Nous pensons que le tapering pourrait entraîner un regain de volatilité sur les marchés. À notre avis, il ne constitue cependant pas un élément perturbateur pouvant entraîner un écartement important des spreads de crédit et une augmentation brutale des défauts. De plus, toute pentification de la courbe devrait profiter au secteur bancaire.
La Française AM croit en un scénario de reprise économique forte, à en juger par l'évolution positive des fondamentaux des entreprises et des taux de défaut contenus. Selon nous, les conséquences très redoutées de la fin des aides d'État en Europe et aux États-Unis sur la solvabilité des entreprises seront limitées.
]]>Il est donc probable que la Réserve Fédérale continuera à durcir progressivement sa politique monétaire dans les mois qui viennent. L’annonce du « tapering » en Novembre est maintenant quasi certaine et les prochains « dots » publiés en décembre devraient aller dans le sens de hausses de taux plus nombreuses que ce qui était indiqué lors de la dernière réunion de septembre. Dans ce contexte, nous devrions assister à une poursuite du mouvement enclenché depuis maintenant plusieurs mois, à savoir une hausse des parties courtes de courbe aux Etats-Unis. Il existe d’ailleurs un risque de voir la Réserve Fédérale Américaine paniquer en surprenant le marché avec un « tapering » et / ou un calendrier de hausses de taux plus rapides que prévus.
Corolaire de ce mouvement, les taux réels devraient eux aussi graduellement se normaliser (tout en restant historiquement bas) et l’ensemble de la sphère obligataire en dollar devrait continuer à afficher des performances au mieux étales à horizon fin d’année. Le dollar devrait lui logiquement rester soutenu même si ce mouvement d’appréciation est déjà entamé et le positionnement de marché déjà assez marqué.
La sphère émergente pourrait rester sous pression dans un contexte de normalisation monétaire et de hausse du dollar, même si les niveaux de valorisation, le positionnement des investisseurs assez faible et l’amélioration macro-économique (en lien avec des vaccinations qui accélèrent) devraient lui permettre de résister correctement.
L’impact sur les marchés actions dépendra de la vitesse de normalisation des taux réels. Toutefois, il nous semble qu’étant donné leur très faible niveau, les taux réels peuvent entamer leur hausse sans traumatiser les marchés actions.
disclaimer
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
[Boucler la boucle – Épisode 8] - Nouveau record sur les actions US et tension sur les taux
Cette semaine Jean Carlou prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
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Vous êtes en recherche de rendement dans un environnement de taux extrêmement bas ?
La Française Rendement Global 2028 a pour objectif de capter un potentiel supplément de rendement grâce à une exposition sur les obligations à Haut Rendement.
Akram Gharbi, Responsable Gestion Crédit High Yield chez La Française, vous présente le fonds en 5 points.
Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez-en connaissance.
]]>Carnet :
Jérôme VALADE, 37 ans, Responsable du Pôle Immobilier de santé de La Française Real Estate Managers, a 15 ans d'expérience dans l'immobilier. Il a débuté sa carrière en 2006 chez Cushman & Wakefield (anciennement DTZ) à Paris en expertise immobilière, prenant en charge de nombreuses missions d’évaluation d’actifs d’immobilier de santé. Il y est resté trois années avant de basculer pendant cinq ans sur des expériences de responsable de projets de développement en maîtrise d’ouvrage et en promotion immobilière d’abord chez RATP Real Estate puis chez Pitch Promotion. En 2014, Jérôme a rejoint les équipes d’asset et property management d’HSBC REIM.
En 2016, il a intégré les équipes d’Investissement de PRIMONIAL REIM spécialisées en Santé & Education où il a participé au développement des allocations sur cette classe d’actif réalisant une trentaine de transactions sur ce segment de marché.
Jérôme est titulaire d’un diplôme d’Ingénieur ETP.
]]>Cette fraude est réalisée par les mails/noms de domaine :
Nous attirons votre attention sur le danger de recourir à des bulletins de souscription, de partager vos données personnelles, sans vérification préalable lorsque vous êtes sollicités directement par e-mail, téléphone ou quelque moyen que ce soit.
Et lorsque vous souhaitez souscrire, faites confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers. Nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé.
Prenez connaissance des mises en garde, des listes noires de sociétés et sites non autorisés publiées par l’AMF.
Modification du barème des commissions de mouvement :
AVANT | APRES | ||
Commissions de mouvement | Prélèvement sur chaque transaction | Actions : 0.40% (avec minimum de 120€) Obligations convertibles < 5 ans: 0.06% Obligations convertibles > 5 ans: 0.24% Autres Obligations: 0.024% (avec minimum de 100€) Instruments monétaires : 0.012% (avec minimum de 100€) Swaps: 300€ Change à terme: 150€ Change comptant: 50€ OPCVM: 15€ Futures: 6€ / Options: 2.5€ | Actions : 0.10% (avec minimum de 120€) Obligations convertibles : 0.05% (avec un minimum de 100€) Autres Obligations: 0.035% (avec minimum de 100€) Instruments monétaires : 0.0120% (avec un minimum de 100€) Swaps: 0,010% (avec un minimum de 150€ et un maximum de 600€) Change à terme: 0,010% (avec un minimum de 75€ et un maximum de 300€) Change comptant: 0,010% (avec un minimum de 25€ et un maximum de 100€) OPC: 15€ Futures: 1€ Options: 1€ |
Le FCP aura désormais la possibilité d’effectuer des opérations d'acquisitions et cessions temporaires de titres. Le risque associé à ces opérations sera également ajouté au profil de risque du FCP ;
Ajout d’une information relative à la rémunération générée par les opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres comme suit :
"Information sur la rémunération générée par les opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres:
Le fonds a pour contrepartie dans le cadre des opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres un ou plusieurs établissements de crédit ou autres entités autorisés par la société de gestion et respectant les critères de forme juridique, pays et autres critères financiers énoncés dans le Code Monétaire et Financier. Les contreparties agiront de manière indépendante du fonds.
Aucune rémunération n’est acquise au dépositaire (dans le cadre de sa fonction dépositaire) ou à la société de gestion sur les opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres. Tous les revenus résultant des opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres, en ce inclus les revenus générés par le réinvestissement des garanties en espèces reçues dans le cadre de ces opérations, nets des coûts opérationnels directs et indirects sont restitués au fonds. Ces opérations engendrent des coûts opérationnels directs et indirects qui sont supportés par la société de gestion, la quotepart de ces coûts ne peut excéder 40% des revenus générés par ces opérations.
Par ailleurs la société de gestion ne perçoit aucune commission en nature.
Pour toute information complémentaire, le porteur de parts pourra se reporter au rapport annuel du fonds."
Ces modifications sont listées et détaillées en annexe 1 de ce présent avis. Elles entreront en vigueur à compter du
21 octobre 2021. La documentation règlementaire du FCP sera modifiée en conséquence.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Stratégies Obligataires » disponible sur le site www.lafrancaise.
com.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
]]>Xavier Barreyat, Directeur Asset & Fund Management, a déclaré : « Les investisseurs institutionnels se tournent de plus en plus vers l'immobilier et diversifient leurs stratégies d'investissement dans un large éventail de sous-secteurs. Sur le marché immobilier post COVID-19, les asset managers expérimentés sont plus que jamais indispensables. Adrien et Cédrick apporteront une expérience très précieuse à l'équipe française et joueront un rôle crucial dans le renforcement des performances financières des investissements de nos clients. »
Plus d'information :
Le Pôle Institutionnel de La Française REM, sous la direction de David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Managers – Pôle Institutionnel, est en charge des solutions d'investissement immobilier ad hoc dédiées aux investisseurs institutionnels, principalement sur des stratégies Core/Core+, mais aussi sur des stratégies Value Added et Opportuniste. Il s'appuie sur une équipe de professionnels de l'investissement qualifiés, qui ont étendu leur expertise au-delà des trois principaux marchés immobiliers européens (France, Allemagne et Royaume-Uni, Irlande comprise) pour inclure le Benelux. Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, intervient à la fois sur les pôles Institutionnels et Retail de la société de gestion d'actifs.
L'équipe française d’asset management :
Directeur Asset & Fund Management - France, Xavier Barreyat
Adrien Bérenger, 34 ans, Senior Asset Manager, spécialisé dans les stratégies d'investissement Value Added
Adrien a 12 ans d'expérience dans l'immobilier. Il a débuté chez Union Investment Real Estate à Paris en tant qu’asset manager junior. En 2016, il est nommé Directeur de l’Asset Management pour le bureau belge. Deux ans plus tard, il revient en France en tant que Senior Asset Manager avant de devenir en 2020 Directeur de l’Asset Management, en charge notamment des projets de redéveloppement.
Adrien est titulaire d'un master en gestion immobilière de l'ESSEC. Il est membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors.
Cédrick Becker, 37 ans, Senior Asset Manager
Cédrick a plus de 12 ans d'expérience dans l'immobilier. Il a débuté sa carrière en 2009 chez GE Real Estate en tant qu'analyste. Cédrick a rejoint le groupe Aerium au Luxembourg en 2010 en tant qu’Asset Manager et pour superviser le portefeuille d’actifs au Benelux. En 2012, il s'installe à Paris et devient Investment Manager, travaillant sur les acquisitions et cessions du portefeuille français. En 2015, il rejoint Allianz Real Estate en tant que Senior Asset Manager et devient responsable d’équipe. Pendant six ans, Cédrick a géré un portefeuille diversifié (bureaux, commerces & logistique) composé d'actifs situés en France et aux Pays-Bas.
Cédrick est titulaire d'une maîtrise en finance et d'un diplôme de premier cycle en économie de l'Université Paris-Dauphine. Il est également titulaire d'un master en finance d'entreprise de l'ESCP Business School.
]]>La Française Carbon Impact Global Government Bonds, co-géré par Hervé Chatot et Gaël Binot, est une solution d’investissement dont l’objectif central est de contribuer au financement de la transition énergétique. Investi principalement dans des emprunts d’Etats des pays membres de l’OCDE et des pays émergents ainsi que des émissions quasi-souveraines, le fonds peut investir dans le secteur privé à des fins de diversification. Pour renforcer le positionnement bas-carbone du fonds, les obligations à Impact (Green bonds) représentent une part importante de l’allocation (34 % au 31/08/2021), permettant ainsi de financer directement des projets en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique.
]]>Publication réservée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MiFID II.
Vous souhaitez vous constituer un patrimoine immobilier qui intègre pleinement les critères ESG ?
Romain Delval, Responsable du Fund Management, vous présente notre nouvelle unité de compte LF Multimmo Durable.
Outre les traditionnels critères financiers et immobiliers, ce fonds intègre des critères extra-financiers de type environnementaux, sociétaux et de gouvernance.
Cette unité de compte a reçu la Label ISR récompensant ainsi sa volonté de réduction des émissions de CO2 des actifs en portefeuille.
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Les marchés financiers vont-ils résister aux tensions inflationnistes ?
Cette semaine Gilles Mainard prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
Des chiffres encourageants
Les chiffres sont prometteurs. Après quatre trimestres de baisse continue (2020), le volume d’investissement des marchés immobiliers de bureaux en Europe a affiché une hausse durant les deux premiers trimestres de 2021, une croissance due en grande partie à des conditions de crédit favorables et des perspectives de valorisation toujours positives pour les actifs prime. Cette hausse du volume des investissements bien que plus nettement observable au Royaume-Uni qui a su tirer parti de l’avancement de sa campagne de vaccination, est un phénomène généralisé en Europe à l’exception de la France. Pour la France, le rebond est attendu pour le troisième trimestre de 2021. Bien entendu, la demande des investisseurs est concentrée sur les actifs prime assortis d’un bon profil ESG. Dans la même logique, les investisseurs restent frileux par rapport aux actifs les plus anciens, du fait des capex nécessaires à leur rénovation, ou à l’amélioration de leurs caractéristiques durables.
Evolution différenciée des taux des actifs prime et des taux des actifs secondaires
Les actifs prime de bureaux en Europe ont été particulièrement résilients et ont continué à offrir des taux de rendement toujours attractifs dans un environnement de taux bas. Toutefois, les investisseurs demandent un rendement supplémentaire significatif pour investir dans des actifs secondaires. Cette prime de risque est notamment fonction de la centralité et de la vacance du marché immobilier et des qualités techniques et environnementales des actifs.
Géré par Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, Hugo Bonnard, Apolline Brilland et Paul Troussard, LA FRANÇAISE LUX-INFLECTION POINT CARBON IMPACT GLOBAL est classifié « article 9 » selon la règlementation Disclosure.2 Le fonds a pour objectif de contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme. Avec plus de 315 millions d’euros d’actifs sous gestion, le fonds investit principalement dans des actions de sociétés mondiales, y compris celles de marchés émergents, engagées à réduire leurs émissions de carbone, à étendre leur stratégie visant à réduire les émissions de carbone et à remplacer les sources d'énergie fossile par des alternatives à faible émission carbone.
Nina Lagron, CFA, Head of Large Cap Equities, La Française AM a commenté, « Il s’agit là du premier fonds de la gamme bas carbone lancée par La Française AM en juin 2015, donc avant la COP21, à faire l’objet de trois labels distincts en cours de validité, en France comme en Allemagne. La qualité de la méthodologie que nous avons développée avec notre centre de recherche extra-financière La Française Sustainable Investment Research ainsi qu’une analyse financière rigoureuse font l’originalité du fonds. Avec La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global, nous favorisons la transition énergétique en alliant performance et durabilité ! »
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La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).
Par ailleurs, le compartiment pourra désormais investir dans des obligations et titres de créances négociables émis ou garantis par des États (dette publique) dans la limite de 50% de l’actif net.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment »). Ainsi, La Française Asset Management propose de faire évoluer le compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus afin de s’adapter à l’environnement actuel en tentant d’apporter des solutions dans un contexte de taux extrêmement bas. La performance du Compartiment pourrait être également impactée par d’autres facteurs tel que le coût de couverture et les défauts.
Le Compartiment pourra désormais investir dans des titres non-notés dans la limite de 30% maximum de l’actif net.
Par ailleurs, le Compartiment pourra investir dans des obligations contingentes convertibles (dites « cocos ») dans la limite de 20% maximum de l’actif net. Un risque a été ajouté dans la rubrique « profil de risque » du prospectus relatif à l’investissement dans des obligations contingentes convertibles.
Enfin, l’effet de levier financier sera limité à 150% de l’actif net du compartiment contre 120% actuellement.
Ces modifications entraineront une augmentation du profil rendement/risque du Compartiment. Toutefois, le SRRI (5) du Compartiment restera inchangé.
Ces modifications ont reçu un agrément de la part de l’AMF en date du 20 septembre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Floating Rates (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits qui ont pour objectif l’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).
Par ailleurs, la dénomination du compartiment sera modifiée comme suit : La Française Carbon Impact Floating Rates.
Le Compartiment pourra désormais avoir recours à des options (instruments dérivés) et investir dans des obligations vertes (green bonds).
Enfin, un risque de durabilité et un risque d’investissement ESG ont été ajouté dans le prospectus de votre FCP.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Coco (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous.
Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).
Par ailleurs, le compartiment pourra désormais investir dans des obligations et titres de créances négociables émis ou garantis par des États (dette publique) dans la limite de 50% de l’actif net.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 6 octobre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous. Le compartiment sera désormais classé en article 8 conformément au règlement SFDR (produits qui promeuvent des caractéristiques environnementales et/ou sociales) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective à compter du 6 octobre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment »). Ainsi, La Française Asset Management propose de faire évoluer le compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus afin de s’adapter à l’environnement actuel en tentant d’apporter des solutions dans un contexte de taux extrêmement bas.
a performance du Compartiment pourrait être également impactée par d’autres facteurs tel que le coût de couverture et les défauts.
Le Compartiment pourra désormais investir dans des titres non-notés dans la limite de 30% maximum de l’actif net. Par ailleurs, le Compartiment pourra investir dans des obligations contingentes convertibles (dites « cocos ») dans la limite de 20% maximum de l’actif net. Un risque a été ajouté dans la rubrique « profil de risque » du prospectus relatif à l’investissement dans des obligations contingentes convertibles.
Enfin, l’effet de levier financier sera limité à 150% de l’actif net du compartiment contre 120% actuellement.
Ces modifications entraineront une augmentation du profil rendement/risque du Compartiment. Toutefois, le SRRI (5) du Compartiment restera inchangé.
Ces modifications ont reçu un agrément de la part de l’AMF en date du 20 septembre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus (ci-après le « Compartiment »). Ainsi, La Française Asset Management propose de faire évoluer le compartiment La Française Rendement Global 2028 Plus afin de s’adapter à l’environnement actuel en tentant d’apporter des solutions dans un contexte de taux extrêmement bas. La performance du Compartiment pourrait être également impactée par d’autres facteurs tel que le coût de couverture et les défauts.
Le Compartiment pourra désormais investir dans des titres non-notés dans la limite de 30% maximum de l’actif net. Par ailleurs, le Compartiment pourra investir dans des obligations contingentes convertibles (dites « cocos ») dans la limite de 20% maximum de l’actif net. Un risque a été ajouté dans la rubrique « profil de risque » du prospectus relatif à l’investissement dans des obligations contingentes convertibles.
Enfin, l’effet de levier financier sera limité à 150% de l’actif net du compartiment contre 120% actuellement.
Ces modifications entraineront une augmentation du profil rendement/risque du Compartiment.
Toutefois, le SRRI (5) du Compartiment restera inchangé.Ces modifications ont reçu un agrément de la part de l’AMF en date du 20 septembre 2021.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Floating Rates (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous.
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Par ailleurs, la dénomination du compartiment sera modifiée comme suit : La Française Carbon Impact Floating Rates. Le Compartiment pourra désormais avoir recours à des options (instruments dérivés) et investir dans des obligations vertes (green bonds). Enfin, un risque de durabilité et un risque d’investissement ESG ont été ajouté dans le prospectus de votre FCP. Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021.
Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent courrier.
La société de gestion a décidé de modifier la documentation réglementaire du compartiment La Française Global Floating Rates (ci-après le « Compartiment ») afin, notamment, de prendre en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (dits critères « ESG ») dans la sélection des émetteurs de titres décrits-ci-dessous.
Le compartiment sera désormais classé en article 9 conformément au règlement SFDR (produits qui ont pour objectif l’investissement durable) et en catégorie 1 conformément à l’instruction 2020-03 de l’Autorité des marchés financiers (approche significativement engageante).
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Enfin, un risque de durabilité et un risque d’investissement ESG ont été ajouté dans le prospectus de votre FCP. Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives à compter du 6 octobre 2021. Les rubriques impactées et la nature des modifications sont listées en annexe 1 de ce présent courrier.
Ce deuxième partenariat signé en 2021 vient confirmer l’ambition de La Française REM d’accélérer son développement en matière de résidentiel locatif.
Les projets proposés devront répondre à un cahier des charges strict comprenant notamment les critères ci-dessous :
Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers a commenté, « Les actifs résidentiels s’inscrivent parfaitement dans une stratégie de diversification. Ils offrent une volatilité en règle générale moindre que le secteur du tertiaire et sont très résilients en matière de revenus locatifs, pouvant générer des rendements de nouveau attractifs dans notre univers de taux bas. Afin de satisfaire la demande croissante des investisseurs institutionnels pour cette classe d’actifs, nous nous sommes naturellement rapprochés d’ALTAREA, partenaire de longue date du Groupe La Francaise pour répondre aux enjeux de transformation des territoires. Ce protocole d’accord est un gage de qualité dans le temps et témoigne d’une confiance réciproque. »
Jacques Ehrmann, Directeur général du groupe ALTAREA explique, « Nous constatons le grand retour de l’immobilier résidentiel auprès des investisseurs institutionnels en France. C’est le signe de la confiance qu’ils ont dans cette classe d’actifs qui assure à la fois un bon couple rendement/récurrence tout en répondant à un marché et des besoins profonds. Ce partenariat avec La Française s’inscrit dans notre stratégie globale de vente de logements à des institutionnels, en leur proposant, à travers l’ensemble de nos marques de promotion résidentielle, des produits de qualité qui intègrent les exigences environnementales et les nouveaux usages en réponse aux attentes des Français ».
]]>Thierry Molton, Directeur des actifs Immobiliers d'entreprise, dévoile nos convictions immobilières de rentrée axées sur 4 thématiques majeures :
[Boucler la boucle – Épisode 4] - Votre rendez-vous hebdomadaire
Evergrande sera-t-il le Lehman Brothers chinois ?
Cette semaine Jean Carlou, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
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Cette vidéo a été tournée le 24 septembre 2021. Vidéo à caractère informatif, et non à caractère promotionnel, destinée aux clients professionnels au sens de la Directive MIF et aux partenaires distributeurs. Les informations contenues dans cette vidéo ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997.
Le résultat des élections fédérales Allemandes reste toutefois très incertain, car bien que 50% des électeurs aient déjà voté, un nombre significatif d’électeurs demeurent indécis. Ce qui semble clair cependant c’est que les Verts seront le deuxième parti le plus important du gouvernement à venir, et ce, quelque soit l’issue du scrutin.
Quelles conséquences pour les marchés financiers ?
Dans le cas « Jamaica », à priori très peu d’impact à prévoir. Une coalition menée par le CSU/CDU et privée du « crisis leadership » d’Angela Merkel serait cependant à la marge décevant en termes d’intégration Européenne (et donc pour les pays périphériques).
Dans le cas « Traffic Light », les taux allemands pourraient légèrement monter et les spreads sur les périphériques se resserrer, ne serait-ce que sur le court terme. Cette coalition pourrait déboucher sur une intégration européenne plus importante mais aussi une politique fiscale plus souple sous l’impulsion des Verts, ainsi que des politiques plus favorables aux entreprises sous l’égide du FDP.
Le cas d’une alliance « Red-Red-Green » peut ne pas paraître le plus probable mais ne peut être exclu, les Verts pouvant refuser de former une coalition avec le FDP. Les taux allemands pourraient grimper et les spreads sur les périphériques pourraient se resserrer de manière plus significative que dans le cas précédent. Cette coalition pourrait aussi être positive sur l’Euro, du fait de leur prise de position pour une intégration européenne plus importante, se traduisant en un risque moindre d’une fracture de l’Union Européenne.
Toutefois, si nous mettons de coté brièvement les effets sur les taux Européens, le résultat le plus important de l’élection fédérale Allemande, c’est que les Verts sont présents dans chacune des coalitions et vont donc jouer un rôle majeur dans le gouvernement à venir, ce qui pourrait avoir plusieurs conséquences :
L’exemple le plus parlant est celui du gazoduc Nord Stream 2, qui est au centre de la controverse. Ce projet, défendu par le gouvernement d’Angela Merkel doit relier la Russie à l’Allemagne en passant sous la mer Baltique. Les Verts font front commun contre ce projet en allant jusqu’a ouvertement offrir leur support à des groupes d’opposition basés en Russie, en Chine et au Belarus. Dans la conjoncture actuelle d’augmentation rapide des prix de l’énergie en Europe et de “Démondialisation”, cette prise de position politique pourrait conduire à un renouvellement des tensions au regard des prix du gaz à moyen-terme, et avoir des conséquences positives sur l’inflation. Les Verts pourraient aussi pousser l’Union Européenne à se montrer plus ferme envers des pays tels que la Hongrie ou la Pologne sur des sujets comme l’indépendance du pouvoir judiciaire, l’égalité des genres, ou tout simplement en termes d’application du droit communautaire. Enfin, ils pourraient adopter une ligne dure envers la Chine sur la question des Droits de l’Homme.
Toutes ces politiques seraient à priori positives à la fois pour la croissance et pour l’inflation mais vont nécessiter de lourds investissements et une politique fiscale très souple.
Ce dernier point est potentiellement l’un des points les plus importants à surveiller dans les mois qui viennent : Comment le prochain gouvernement fédéral Allemand va-il pouvoir mettre en place des politiques très souples (plus de dépenses, plus de déficit budgétaire) malgré la position actuelle du SPD, FDP, et CSU/CDU sur les réformes constitutionnelles ? Une échappatoire à ce dilemme pour éviter d’avoir à modifier la constitution Allemande serait de passer par une approche plus technique comme changer la formule utilisée pour calculer le volant contracyclique ou encore préalimenter les versements des fonds de réserves spéciaux. Toutefois, ils ne pourront pas éviter éternellement les débats autour du « Debt Brake » et de potentiels aménagements des règles constitutionnelles.
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DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Elle vise à leur fournir des informations complémentaires sur les caractéristiques des instruments financiers qu'ils peuvent être amenés à commercialiser. Ne constitue pas une offre, ni un conseil en investissement. Cette publication est technique et ne peut pas en l’état être relayée auprès d’une clientèle non pro. Les investissements en obligations subordonnées sont réputés comme inappropriés ou inadéquats à une clientèle non pro, ces derniers ne possédant pas l’expérience et la connaissance suffisante pour estimer les risques liés à un tel investissement. Investir comporte des risques :
Le High Yield correspond aux obligations et aux émetteurs (entreprises ou États) dits spéculatifs, c’est-à-dire dont la notation financière est inférieure à BBB- (agence S&P). L'Investment Grade correspond aux obligations et aux émetteurs (entreprises ou États), dont la notation financière est supérieur à BBB- (agence S&P).
En contrepartie du risque plus élevé, les rendements potentiels sont plus élevés et peuvent ainsi offrir des opportunités intéressantes dans le contexte de taux durablement bas. Informations non-contractuelles, considérées exactes à leur date de publication et susceptibles d’évoluer dans le temps. Codes de transparence disponibles sur www.la-francaise.com.
La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997. La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n°18673 (www.acpr.banque-france.fr) et enregistrée à l’ORIAS (www.orias.fr) sous le n°13007808 le 4 novembre 2016.
Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers déclare : « Le renouvellement de l’offre locative est vital aujourd’hui pour adresser les nouveaux besoins des entreprises. Avec la Cellule de Transformation de l’Offre Locative notre ambition est de bénéficier d’une nouvelle force transverse qui jouera un rôle essentiel dans la valorisation de nos actifs et la rentabilité de nos fonds immobiliers. Nous confions cette cellule aux mains expertes en transformations immobilières de Jean-Marie, qui accompagne depuis plus de dix ans les évolutions des bailleurs, opérateurs, promoteurs et prestataires de services de l’écosystème immobilier français et international. Jean-Marie pilotera le développement d’une offre de services différenciante. »
La Cellule de Transformation de l’Offre Locative aura pour mission de fédérer l’ensemble des compétences de La Française REM afin de répondre favorablement aux besoins de flexibilité et de services de ses locataires dans une conjoncture post-COVID. La création de cette cellule s’inscrit dans une stratégie de fidélisation, de diminution du risque de vacance et plus généralement de renforcement de la performance financière des actifs. La nouvelle cellule sera rattachée directement à la Présidence de La Française REM.
Biographie de Jean-Marie Célérier
40 ans, diplômé de l’ESTP (Bâtiment 2003) et de l’EM Lyon (Entreprendre 2005), Jean-Marie Célérier débute sa carrière en tant qu’expert immobilier et conseil à l’acquisition chez Icade Conseil (ex Arthur Andersen) puis Catella France.
Il rejoint en 2006 les équipes européennes d’Ivanhoé Cambridge, filiale immobilière de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec. Il intervient sur les grands projets d’investissement et de promotion principalement à Paris, Londres, Francfort, et Munich ainsi que sur les opérations stratégiques de la filiale.
Fondateur du cabinet de conseil en stratégie Stonup (2011) Jean-Marie Célérier a conseillé les directions générales de nombreux acteurs de l’industrie immobilière.
Il est par ailleurs le fondateur de Cowork.io, logiciel leader du Workplace Management (2013) et d’ACQER, première solution d’accession progressive pour les particuliers (2018).
Biographie de Esther Lahuerta Escolano
36 ans, Esther Lahuerta Escolano, architecte DPLG, est diplômée à l’école polytechnique de Madrid.
Elle débute sa carrière à Paris en 2009 dans de prestigieux cabinets d’architecture comme Lacatton&Vassal et Viguier Architecture et Urbanisme, en realisant des projets privés et publics.
En 2013, elle finalise son Master d’International Project Management à l’ESCP-Europe et rejoint ensuite le groupe Unibail-Rodamco-Westfield, le premier groupe coté de l'immobilier commercial au monde, en tant que Senior Design Manager pour intervenir sur des projets retails localisés à Londres, Vienne, Prague, Madrid, Barcelone, Hamburg et Düsseldorf.
En 2019, Esther Lahuerta Escolano intègre le Groupe La Française comme responsable de projets, notamment pour le développement de bureaux flex et du coworking.
]]>Comme ce fut le cas en juin, le « risque » principal réside dans un rythme de hausse plus agressif que montrerait le « dot plot », ce qui pourrait pousser les taux d'intérêt à la hausse, mais ce n'est pas notre scénario de base. A la marge, les évènements récents en Chine pourraient donner envie à certains membres de la Fed d’essayer de gagner un peu de temps avant toute décision.
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]]>[Boucler la boucle – Épisode 3] - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire
Cette semaine Gilles MAINARD, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
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Cette vidéo a été tournée le 17 septembre 2021. Vidéo à caractère informatif, et non à caractère promotionnel, destinée aux clients professionnels au sens de la Directive MIF et aux partenaires distributeurs. Les informations contenues dans cette vidéo ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF (www.amf-france.org) sous le n°GP 97-076 le 1er juillet 1997.
]]>David Martin bénéficie de vingt-huit ans d’expérience sur les marchés financiers qu’il met au service des Investisseurs pour la construction et la gestion de leurs allocations (valeurs mobilières et immobilier). Il a débuté sa carrière en 1993 à Londres en tant que courtier sur le marché obligataire, développant sur cette classe d’actifs la clientèle institutionnelle française de CPR (Groupe Crédit Agricole). De 1996 à 2002, David s’ouvre à la gestion pour compte de tiers et intègre le siège parisien de CPR AM Paris pour promouvoir l’ensemble des stratégies de valeurs mobilières développées sur mesure pour les Institutionnels français. En 2002, David rejoint La Française et participe activement depuis au développement du Groupe et de ses encours sur l’ensemble des stratégies phares (dont l’immobilier). Il est actuellement Directeur Commercial en charge des Investisseurs Institutionnels Français, champ d’action qu’il complète par sa récente nomination en tant que Responsable du Développement Commercial Suisse.
David Martin est diplômé de NEOMA Rouen en finance d’Entreprise et de Marché.
Gerardo DUPLAT, Head of International Business Development conclut « La Suisse est un marché clé dans l’asset management qui révèle un profil multifacette. David, par sa maitrise de la technicité des marchés financiers, jouera un rôle décisif dans le développement de La Française en Suisse. »
]]>Sous l’impulsion de David Rendall et au travers de sa plate-forme immobilière pan-européenne disposant de trois centres de gestion (en France, en Allemagne et au Royaume-Uni), La Française REM - Institutionnelle gère plus de 14 milliards d’euros d’actifs immobiliers pour le compte d’investisseurs institutionnels. Pour accompagner l’augmentation de l’appétence des investisseurs institutionnels sur la classe d’actifs immobiliers et notamment la logistique et le résidentiel géré, La Française REM a le plaisir d’annoncer plusieurs évolutions au sein de l’équipe investissements, dirigée par Leslie Villatte, Directeur des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France :
Leslie Villatte, Directeur des Investissements et Développement Immobilier Institutionnels – France, a commenté « L’engouement pour l’immobilier ne se dément pas auprès des investisseurs institutionnels, nous constatons une accélération des investissements, tous secteurs confondus mais principalement en résidentiel géré et logistique. Et pour accompagner cette forte demande, nous devons, pour nous différentier, constituer une équipe d’investissements expérimentée, où chacun apporte des compétences complémentaires. »
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[Boucler la boucle – Épisode 2] - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire
Cette semaine Jean Carlou, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
Actualités, faits marquants, chiffres clés, ou encore points de vigilance, découvrez en vidéo le décryptage de notre expert.
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[Boucler la boucle - Épisode 1] - Votre nouveau rendez-vous hebdomadaire
Chaque semaine Gilles MAINARD, prend la parole pour faire le point sur les marchés financiers.
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Ces informations ne constituent pas une offre ni un conseil en investissement. Elles sont considérées comme exactes au jour de leur établissement et n’ont pas de valeur contractuelle.
Risques SCPI : perte en capital, absence de rendement, faible liquidité à la revente ou en cas de retrait des parts. Comme tout investissement immobilier, la SCPI est un placement de long terme (9 ans en moyenne), à acquérir dans une optique de diversification.
La note d’information de LF Europimmo a reçu le visa AMF : SCPI n° 19-18, en date du 20 août 2019. Elle est disponible gratuitement auprès de la société de gestion. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org). La Française AM Finance Services - 128, boulevard Raspail, 75006 Paris -Société par actions simplifiée au capital de 800 000 € - 326 817 467 RCS Paris - N° TVA : FR 81 326 817 467 - Agrément ACPR n° 18673 - acpr.banque-france.fr - Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010 432 – Transactions Immobilières - Garantie Financière consentie par le CIC, 6 avenue de Provence 75009 Paris - Numéro ORIAS 13007808 - www.orias.fr
]]>La croissance de l’économie mondiale devrait s’établir à 6% en 2021 selon les dernières projections du FMI. Les perspectives ont été progressivement réhaussées pour les pays développés, et pour les pays émergents, elles demeurent globalement inchangées à 6,3%. Quant à la Chine, après avoir été le premier moteur de la relance mondiale, le pays fait face à un ralentissement de son activité sur fond de résurgence de l’épidémie et d’épuisement de l’effet de rattrapage.
Aux États-Unis, l’administration de Joe Biden a injecté près de 1 900 milliards de dollars (9% du PIB) en mars 2021 après 900 milliards de dollars en décembre 2020. Des mesures de relance budgétaire supplémentaires sont attendues au deuxième semestre 2021. Parallèlement, l’Union Européenne a commencé à distribuer les fonds de son plan de relance « Next Generation EU », de 750 milliards d’euros dont la majorité des montants sera engagée sur la période 2021-20231. Les pays bénéficiaires ont un programme de réformes et d’investissements en ligne avec les objectifs de l’Union Européenne en termes de transition climatique et numérique.
Du côté des banques centrales, la Fed et la BCE sont restées prudentes, considérant les pressions inflationnistes comme transitoires. Toutefois, la Fed opère une communication efficace et prépare les marchés à une diminution de ses achats d’actifs d’ici la fin de l’année comme l’ont déjà fait les banques centrales du Royaume-Uni, du Canada et de l’Australie. Quant aux pays émergents, ils sont parfois dans une situation plus complexe. Ainsi, les banques centrales du Brésil, de la Russie, de la Turquie, de la Hongrie, et du Chili ont augmenté leurs taux directeurs sous l’effet des pressions inflationnistes liées au rebond des matières premières, alors même que faute de vaccination massive, leurs économies continuent de souffrir des contraintes sanitaires.
La plus grande inquiétude des investisseurs à l’heure actuelle reste le risque sanitaire. La hausse du nombre de cas aux États-Unis, le retard pris dans la vaccination, la perte d’efficacité du vaccin face au variant delta sont des sujets qui alimentent cette inquiétude. La stratégie zéro COVID de certains pays (Asie, Japon, Australie, Nouvelle-Zélande) pourrait également se trouver en difficulté et perturber de nouveau les chaines de productions mondiales. Il faudra alors s’attendre à des révisions de croissance à la baisse, sur la Chine en premier lieu ainsi qu’aux États-Unis.
Dans ce contexte incertain, nous avons identifié des thématiques résilientes susceptibles de profiter de la reprise du cycle économique mondial :
source : L'AGEFI
1. L’opération
Afin d’éviter toute divergence d’intérêts entre le gestionnaire du Fonds et les investisseurs, et dans le cadre de la mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance ; la société de gestion a pris la décision de mettre en place sur les parts éligibles aux commissions de surperformance, un système de frais de gestion variables calculé en référence à la surperformance d’un indice de référence selon la nouvelle méthodologie de l’ESMA.
L’objectif de gestion et l’indicateur de référence du Fonds sont par conséquent modifiés et seront mis en cohérence avec le seuil de déclenchement des frais de gestion variables quand applicable.
Le nouvel indicateur de référence composite du Fonds sera le suivant : 50% Markit iBoxx EUR Contingent Convertible (IBXXC2CO Index) + 25% Markit iBoxx EUR Non-Financials Subordinated (I4BN Index) + 25% Markit Iboxx EUR Insurance Subordinated (IYHH Index).
Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur la stratégie d’investissement du Fonds qui demeure inchangée.
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 23 septembre 2021.
Si vous en acceptez les termes, ces modifications n’impliquent aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais dès le 23 août 2021, jusqu’au 23 septembre 2021.
1 Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération
1. L’opération
Afin d’éviter toute divergence d’intérêts entre le gestionnaire du Fonds et les investisseurs, et dans le cadre de la mise en conformité avec la nouvelle directive de l’ESMA concernant la méthode de calcul des commissions de surperformance ; la société de gestion a pris la décision de mettre en place sur les parts éligibles aux commissions de surperformance, un système de frais de gestion variables calculé en référence à la surperformance d’un indice de référence selon la nouvelle méthodologie de l’ESMA.
L’objectif de gestion et l’indicateur de référence du Fonds sont par conséquent modifiés et seront mis en cohérence avec le seuil de déclenchement des frais de gestion variables quand applicable.
Le nouvel indicateur de référence composite du Fonds sera le suivant : 50% Markit iBoxx EUR Contingent Convertible (IBXXC2CO Index) + 25% Markit iBoxx EUR Non-Financials Subordinated (I4BN Index) + 25% Markit Iboxx EUR Insurance Subordinated (IYHH Index).
Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur la stratégie d’investissement du Fonds qui demeure inchangée.
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et sera effective en date du 23 septembre 2021.
Si vous en acceptez les termes, ces modifications n’impliquent aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais dès le 23 août 2021, jusqu’au 23 septembre 2021.
1 Le montant des plus-values éventuellement réalisées du fait de ce rachat sera soumis à la fiscalité en vigueur à la date de l’opération
1. L’opération
Nous vous informons que La Française Asset Management, société de gestion du FCP La Française Rendement Global 2022, a pris la décision de fusionner le FCP La Française Rendement Global 2022 (ci-après le « Fonds Absorbé ») dans le compartiment « La Française Rendement Global 2028 » de la SICAV « La Française » (ci-après l’« OPC Absorbant »).
La Française Asset Management souhaite vous offrir la possibilité de vous positionner sur l’OPC Absorbant dont la gestion repose sur une stratégie similaire mais sur une échéance plus éloignée avec un univers d’investissement plus large. Les émissions ont une maturité supérieure ou égale à 5 ans et les refinancements à moins de 5 ans sont quasi inexistants. Le Fonds Absorbé a connu un nombre important de remboursements anticipés (« callables »), cependant de nouvelles acquisitions de titres en portefeuille sont rendues difficiles dans le contexte d’un marché primaire réduit et de conditions de réinvestissement qui ne permettent pas d’optimiser le rendement du fonds.
Par ailleurs, nous considérons qu’une stratégie classique de portage n’est pas dans l’intérêt des investisseurs dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d'ores et déjà captée, le rendement résiduel estimé est faible. Pour rappel, l’objectif du Fonds Absorbé est d’obtenir sur la période de placement recommandée de 8 ans à compter de sa date de création jusqu’au 31 décembre 2022, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2022 émises par l’Etat français libellées en EUR.
A titre d’exemple, le rendement estimé net de la part R au 2 juin 2021 jusqu’à l’échéance du Fonds Absorbé sera de 0% après déduction des frais courants (1,16%) et du coût de couverture estimés (0,43%). L’encours du Fonds Absorbé est au 2 juin 2021 de 126 493 115,12 euros.
De ce fait, l’opération de fusion-absorption dans l’OPC Absorbant vous permettrait de saisir de nouvelles opportunités de marché, et ce avant l’échéance 2022.
Toutefois, vous êtes actuellement porteur du Fonds Absorbé qui est actuellement exposé à une sensibilité aux taux dégressive dans le temps et qui est désormais faible, l’OPC Absorbant ayant une échéance plus lointaine a une exposition aux taux plus importante avec une sensibilité de 0 à 9.
Le Fonds Absorbé fera l’objet d’une fusion-absorption par l’OPC Absorbant dans les conditions suivantes :
]]>NEOBUY se prévaut, en toute illégalité, de l’appartenance au Groupe La Française et d’avoir levé des fonds pour contribuer au développement d’entreprises mexicaines.
Nous souhaitons attirer votre attention sur le danger de recourir à ce site qui ne bénéficie d’aucun accord de La Française pour utiliser son nom.
Nous vous invitons ainsi à prendre connaissance des mises en garde formulées par l'Autorité des Marchés Financiers, qui publie régulièrement la liste des acteurs figurant sur les listes noires ayant fait l’objet d’une mise en garde publiée par l'Autorité des marchés financiers et/ou usurpant un acteur régulé.
Si vous souhaitez faire confiance au Groupe La Française en matière d’investissements financiers, nous serons heureux de vous assister en vous proposant des solutions adaptées, dans un environnement régulé et sécurisé.
Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement du Fonds qui demeurent inchangés.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effective en date du 3 septembre 2021.
Si vous acceptez les termes de cette opération, cette opération n’implique aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais à tout moment, le Fonds n’appliquant pas de commission de rachat.
2. Les modifications entraînées par l’opération de mutation
Les principales évolutions de votre investissement sont décrites ci-dessous
Modification du profil rendement / risque : NON
Augmentation du profil rendement / risque : NON
Ces modifications apportées à la documentation juridique du Fonds n’ont aucun impact sur l’objectif de gestion et la stratégie d’investissement du Fonds qui demeurent inchangés.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et seront effectives en date du 3 septembre 2021.
Si vous acceptez les termes de cette opération, cette opération n’implique aucune démarche de votre part. Si toutefois les modifications ne sont pas conformes à vos souhaits, vous pouvez obtenir le rachat1 de vos parts sans frais à tout moment, le Fonds n’appliquant pas de commission de rachat.
En résumé, nous pensons que la FED maintiendra une approche prudente, qui n'aura pas d'impact significatif sur les marchés financiers.
Disclaimer
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Dans l'ensemble, la BCE devrait adopter un ton résolument accommodant, ce qui devrait, cela étant, peu surprendre les marchés étant donné les mouvements de taux des derniers jours.
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Avertissement
CE DOCUMENT EST DESTINÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS TELS QUE DÉFINIS PAR LA DIRECTIVE MIF II.
Il est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destiné à être utilisé comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.
Bien que ce soit la première fois que cette différence soit quantifiée de manière aussi nette, ces chiffres n'ont pas été une surprise. C'est par le biais des personnes, des entreprises et des activités qu'elles choisissent de financer que les institutions financières ont le plus grand impact et qu'elles sont les plus exposées aux risques et opportunités liés au changement climatique.
La difficulté de mesurer et de gérer ces émissions financées et les risques et opportunités qui en découlent sont au cœur de notre approche de l’analyse de l'impact carbone des institutions financières ; nous avons développé cette approche en tenant compte de nombreux sujets abordés dans ce rapport.
Le principal point à retenir, et que nous voudrions souligner, ne concerne pas ces chiffres eux-mêmes - aussi notables soient-ils - mais plutôt le message selon lequel « en plus de faire de la finance verte, le secteur financier doit devenir vert ». Comme les auteurs du rapport du CDP l'ont mis en exergue : « Si la plupart des institutions financières s'attachent à fournir des financements durables, elles sont moins enclines à s'assurer que l'ensemble de leurs activités s'alignent sur le principe du zéro émission nette ».1
Un constat qui sonne juste. Si 2020 était l'année de l'engagement pour le zéro émission nette, 2021 s'avère jusqu'à présent être l'année des engagements de financements verts à coup de milliards de dollars, avec certaines des plus grandes banques du monde bataillant pour obtenir une place sous le feu des projecteurs afin d'afficher leurs ambitions vertes. Les banques américaines Citi, JP Morgan et Bank of America sont toutes entrées dans la danse ces derniers mois, annonçant de nouveaux objectifs de financement durable à 10 ans égalant, voire dépassant, ceux de leurs homologues européennes au cours des dernières années.
Pourtant, en parallèle, le classement du financement des combustibles fossiles par les plus grandes banques mondiales, compilé chaque année par le Rainforest Action Network, illustre parfaitement cette déconnexion relevée par le CDP : ce classement a confirmé en mars que les banques mondiales ont fourni 750 milliards de dollars de financement aux industries du charbon, du pétrole et du gaz en 2020. Soit au total 3 800 milliards de dollars au cours des cinq années écoulées depuis l'Accord de Paris.3 Malgré l'impact de la pandémie, qui a réduit la demande mondiale et entraîné une réduction massive de 9 % du financement des combustibles fossiles, les 60 plus grandes banques du monde ont encore augmenté de plus de 10 % leurs financements à destination des 100 entreprises qui contribuent le plus à l'expansion des combustibles fossiles4. Ces chiffres contrastent de manière flagrante avec le nouveau point de vue présenté par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans sa « Feuille de route pour le secteur de l'énergie » publiée en mai 2021, et qui appelle à l'arrêt de tous les nouveaux projets d'exploration pétrolière et gazière à compter de cette année, si nous voulons atteindre l'objectif de « zéro émission nette » souhaité par l'Accord de Paris.5
De même, une analyse par Reclaim Finance et Urgewald des flux financiers à destination des 934 entreprises figurant sur la « Global Coal Exit List » a montré que les investisseurs institutionnels détenaient plus de 1 000 milliards de dollars dans les entreprises opérant dans la chaîne de valeur du charbon thermique. Le rapport a montré qu'au début de cette année, les deux plus grands investisseurs institutionnels du monde avaient à eux seuls une exposition combinée de 170 milliards de dollars à l'industrie du charbon, soit 17 % des investissements institutionnels dans le charbon mondial6.
En fin de compte, toutes les évaluations d'impact carbone des banques ou des gestionnaires d'actifs se résument à la simple question de savoir comment ils nettoient ou « verdissent » leurs portefeuilles. Or, comme ces chiffres le montrent clairement, la question devrait porter autant sur la réduction de leur exposition aux activités « brunes » que sur l'augmentation de leur exposition aux activités vertes. À notre avis, il importe avant tout d'agir pour changer les ordres de grandeur entre les deux, en accompagnant les clients dans leurs démarches de transition par tous les leviers qui s'offrent à eux : engagement actif, services de conseil, finance verte, produits liés au développement durable, pour n'en citer que quelques-uns. Dans ce rapport, nous examinons en détail comment cela prend forme dans la pratique.
Les chiffres présentant les extrêmes, d'un côté comme de l'autre, seront toujours ceux qui feront la une des journaux. Mais les institutions financières tout comme leurs investisseurs feraient bien de prendre du recul notamment vis-à-vis des définitions et des cadres d’analyse, et de soutenir tous les efforts visant à changer les ordres de grandeur des financements en vue de faciliter une réduction réelle des émissions mondiales.
Aussi positive que puisse être une politique charbon plus stricte ou une nouvelle promesse de financement vert, un engagement – aussi important soit-il – qui se limite à un seul côté de la balance, ne garantit pas que l'impact visé sera réellement atteint. Les institutions financières auxquelles nous attribuons les meilleures notes ne sont pas nécessairement celles qui présentent aujourd'hui la plus faible exposition aux combustibles fossiles, ou le plus grand objectif de financement vert. Ce sont plutôt celles qui affichent une stratégie de transition entièrement intégrée à travers toutes leurs opérations et activités, et qui ne se focalisent pas uniquement sur des domaines spécifiques.
(1) CDP ; 2021
(2) CDP, « The Time to Green Finance » ; avril 2021
(3) Rainforest Action Network, « Banking of Climate Chaos 2021 » ; mars 2021
(4) Rainforest Action Network ; mars 2021
(5) Agence internationale de l'énergie, « Net Zéro d'ici 2050 : Feuille de route pour le secteur mondial de l'énergie » ; mai 2021
(6) Reclaim Finance, « Groundbreaking Research Reveals the Financiers of the Coal Industry » ; février 2021
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Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.
La Française Sub Debt est un portefeuille diversifié d'environ 130 titres de dettes subordonnées avec une notation moyenne émetteur Investment Grade de A- (Source : La Française, au 31/05/2021), cogéré par Paul Gurzal, Head of Credit et Jérémie Boudinet, Gérant Crédit.
Classe d’actifs : Obligations et autres titres de créance libellés en euro
Fonds et Parts : La Française Sub Debt / Part C
Code ISIN : FR0010674978
Horizon : Supérieur à 10 ans
Profil de Risque et de Rendement sur échelle de 1 à 7 (7 représentant un risque plus élevé ainsi qu’un rendement potentiellement plus élevé) :
5 (Risques associés : Risque de perte en capital, risque de taux, risque de crédit, risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés, risque de contrepartie, risque lié à la détention d’obligations convertibles, risque lié aux obligations contingentes, risque de marché actions, risque de conflits d’intérêts potentiels, risque juridique)
L’AMF rappelle aux souscripteurs potentiels que l’objectif de performance annualisée supérieure à 7% indiqué dans la rubrique « Objectif de gestion », est fondé sur la réalisation d’hypothèses de marché arrêtées par la société de gestion et ne constitue en aucun cas une promesse de rendement ou de performance du fonds.
Classe d’actifs : Monétaire
Fonds et Parts : La Française Trésorerie ISR / Part I
Code ISIN : FR0010609115
Horizon : Plus de 3 mois
Profil de Risque et de Rendement sur échelle de 1 à 7 (7 représentant un risque plus élevé ainsi qu’un rendement potentiellement plus élevé) :
1 (risques associés : risque discrétionnaire, risque de taux, risque de crédit, risque de perte en capital, risque de contrepartie)
Au fil des années, La Française REM a construit des relations privilégiées avec des promoteurs et exploitants, acteurs incontournables dans leurs domaines respectifs, pour un « sourcing » diversifié et qualitatif et a lancé une quarantaine de véhicules de diversification (OPPCI, SICAV, FPS et mandats) dédiés aux investisseurs institutionnels.
Elle a créé ainsi le 1er OPCI dédié à l’investissement socialement responsable en 2009 ; fut pionnière en lançant la première offre institutionnelle sur la thématique du viager en 2014 ou encore en créant l’un des premiers fonds dédiés aux résidences seniors en 2016.
C’est ainsi que La Française REM est devenue un acteur engagé dans le financement des actifs immobiliers dits « socialement utiles » et le développement des territoires. Aujourd’hui, La Française REM gère plus de 14 milliards d’euros pour le compte d’investisseurs institutionnels.
Dans la continuité de cette démarche d’innovation et en réponse à la demande de ses clients investisseurs institutionnels, La Française REM annonce le lancement de l’OPPCI LF Immo Générations. Il constitue une nouvelle solution de diversification pour répondre au besoin de réallocation des investisseurs sur des actifs immobiliers décorrélés du cycle économique et pouvant profiter des grandes tendances sociétales émergentes.
L’OPPCI LF Immo Générations se positionne comme un fonds durable de diversification et est classé « Article 9 » au sens du règlement Disclosure (Sustainable Finance Disclosure Regulation - SFDR). En parallèle de son objectif de gestion qui est de proposer une performance à long terme et un rendement régulier, l’OPCI se fixe un objectif social de lutte contre le manque quantitatif et qualitatif d’offres immobilières adaptées aux jeunes enfants, étudiants, jeunes actifs, seniors et aux personnes malades en investissant dans une sélection d’actifs tels que des écoles, campus, crèches, co-living, résidences seniors et étudiantes, actifs de santé et centres de bien-être. LF Immo Générations vise la constitution d’un portefeuille de 250 millions d’euros comprenant une dizaine d’actifs, situés principalement en France et accessoirement en Europe.
David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers – pôle institutionnel, conclut « LF Immo Générations répond aux nouveaux besoins immobiliers d’une société pluri-générationnelle. Notre sélectivité des actifs, basée à la fois sur la qualité des exploitants, l’objectif social du fonds mais aussi sur les localisations et la valorisation immobilière, devrait nous permettre de capter les meilleurs actifs de chaque classe d’actifs et ainsi d’offrir de nouveau un produit qualitatif et diversifiant à nos clients investisseurs institutionnels. »
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Cependant, les derniers commentaires de certains membres du FOMC (Kaplan, Harker) suggèrent que la FED pourrait commencer des discussions sur la réduction des achats lors de la prochaine réunion. Lors de la conférence de presse, Jerome Powell ne devrait pas donner d’indications quant à la teneur exacte de ces discussions. Il faudra attendre les « minutes » de la réunion pour connaitre les détails. Il est probable que M. Powell insiste sur le fait que la réduction progressive des achats est prématurée puisque la Réserve fédérale est loin d'avoir réalisé de "nouveaux progrès substantiels", en particulier après les chiffres relativement décevants de création d’emploi en avril et en mai.
Afin d'équilibrer le ton de la Fed, M. Powell réaffirmera l'orientation "dovish" de la politique monétaire. Les « dots » médian ne devraient pas bouger en 2023, malgré les révisions positives sur la croissance et l’inflation.
En ce qui concerne ces projections économiques, le FOMC devrait rehausser la croissance et l'inflation en 2021 après la parution d’indicateurs économiques très rassurants depuis la réunion de mars. Pour 2022 et 2023, nous ne voyons pas de changement significatif notamment sur les projections d'inflation. Lors de la conférence de presse, nous pensons que le président de la FED, Jerome Powell, réitérera que l'inflation réalisée élevée reflète largement des facteurs transitoires.
En résumé, il nous semble que la Fed devrait maintenir une communication équilibrée en conservant une posture accommodante malgré les nouvelles discussions sur la réduction progressive des achats.
Dans ce scénario, logiquement peu de réactions à attendre de la part des marchés financiers si ce n’est peut-être des courbes de taux légèrement plus pentues.
disclaimer
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997
Risques associés aux SCPI d’entreprise et aux SCP : Risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts.
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Les SCPI peuvent également recourir à l’endettement.
La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le potentiel de développement du Grand Paris pourrait ne pas bénéficier dans sa globalité aux investisseurs.
Le marché de l’immobilier n’est pas en reste lui non plus, poussant les matériaux de construction à la hausse (bois en progression de 229% depuis fin 2019…) et certaines banques centrales comme la Nouvelle-Zélande ou le Canada à envisager des mesures pour limiter l’accès au crédit. La très forte demande de biens (compensant la fermeture d’une grande partie des services) a aussi provoqué une rupture dans les chaines d’approvisionnement des semi-conducteurs, avec des effets là aussi inflationnistes sur plusieurs catégories de biens (électronique, voitures d’occasion, etc..).
Seule l’énergie, finalement, ne montre pas de hausse spectaculaire sur cette période (+3,73%) en lien avec le très fort ralentissement des vols commerciaux depuis mars 2020.
L’effet sur nos économies
Conséquence directe de ces hausses de prix, les prix à la production s’envolent dans nos économies (PPI américain en hausse de 9,5% sur 12 mois, plus haut depuis juillet 2008) ce qui devrait se répercuter, au moins en partie, sur les prix à la consommation étant donné le très fort taux d’épargne actuel des ménages.
Les mesures monétaires et budgétaires entreprises par les banques centrales et les gouvernements depuis avril dernier sont bien évidemment les causes principales de ce mouvement inflationniste soudain : baisse de taux (pour les banques centrales ayant encore cette possibilité), augmentation de la taille des bilans et relances budgétaires d’une ampleur jamais vue depuis l’après deuxième guerre mondiale. Et même s’il est possible que les politiques monétaires deviennent graduellement moins accommodantes, ceci devrait se faire de manière très progressive afin de ne pas « endommager » la reprise, quitte à prendre le risque d’être un peu en retard.
Si on rajoute à tout cela des effets de base qui eux aussi ont et vont continuer à avoir en 2021 des effets positifs sur l‘inflation, la conclusion semble inéluctable : s’il n’y a pas d’inflation maintenant, alors il n’y en aura jamais, tout semblant en effet aligné pour que l’inflation rebondisse fortement. Est-ce que l’inflation va être en moyenne à des niveaux inconnus depuis 15 ans dans les principales économies développées ? nous penchons en ce sens.
L’inflation, un effet momentané ?
Pour autant, la question la plus importante à se poser aujourd’hui concerne le caractère transitoire ou non de cette inflation. Si on écoute le discours de la Réserve Fédérale Américaine et que l’on partage sa grille de lecture, alors oui, cette inflation est transitoire, et il est illusoire d’espérer avoir une inflation structurelle plus importante tant que le marché de l’emploi reste aussi loin du plein-emploi.
Il est en effet très probable, qu’une grande partie de l’inflation que nous connaissons actuellement soit transitoire. Le prix des voitures d’occasion se normalisera une fois les problématiques d’approvisionnement réglées, les effets de base vont naturellement se tarir et la relance budgétaire américaine pourrait avoir atteint ses limites ce qui limitera la poursuite de la hausse des matières premières. Du côté de l’immobilier, Le caractère passager de l’inflation maintiendrait les taux de rendement de ces actifs sous pression et soutiendrait leur valorisation.
Le graphique ci-dessous montre d’ailleurs que l’inflation actuelle provient en très grande majorité de secteurs touchés de plein fouet par la crise du Covid-19.
Source : CEIC. Biens et services liés au Covid-19 : Immobilier, voitures d’occasion, location véhicules, billets d’avion, télévisions, jouets, ordinateurs.
Pour autant, il nous semble que cette thématique de la reflation devrait encore perdurer dans les marchés actuels et guider les choix d’allocation des prochains mois, et ce pour deux raisons.
La première est purement psychologique, elle tient au fait que les chiffres d’inflation à venir vont être élevés, qu’ils vont très probablement le rester jusqu’en début d’année prochaine à minima, et que cela a historiquement un impact sur la psyché des investisseurs.
La deuxième raison concerne l’incertitude actuelle et le fait que personne ne sait avec précision comment vont évoluer les prix des services qui sont en cours de réouverture ni quelles seront exactement les conséquences de cette crise tant en ce qui concerne les choix de développements futurs des pays (transition écologique, infrastructure, digitalisation…) que leurs choix concernant la façon de les financer (nouvelles dettes, rééquilibrage fiscal, etc..). C’est cette incertitude, couplée aux forts chiffres d’inflation, qui devrait continuer à guider les marchés financiers pendant encore quelques mois à minima.
Les classes d’actifs à privilégier
L’environnement actuel devrait engendrer des changements d’allocations d’actifs au moins pendant un certain temps, et ce mouvement est déjà en cours.
Dans ce contexte, nous privilégions les entreprises qui bénéficieront d’un environnement inflationniste comme les banques, qui verront leurs marges de transformation progresser ou les entreprises bien positionnées dans leur secteur et plutôt cycliques (matières premières, énergie) qui pourront répercuter la hausse des prix à leurs clients. Concernant les supports, nous favorisons les actions, le High-Yield, les subordonnées financières et les dettes émergentes. Historiquement, le High-Yield et les dettes subordonnées affichent des performances largement positives dans les phases de reflation accompagnées d’une forte croissance. La bonne inflation est bonne pour les entreprises et les actifs à haut rendement.
Cette phase devrait par ailleurs rester très positive pour les actifs réels comme l’immobilier, la détention d’immobilier locatif permettant de bénéficier d’une revalorisation des loyers en période de hausse de l’inflation puisque ces derniers sont indexés sur des indices dont l’inflation est la composante principale. Cela concerne les actifs immobiliers détenus en direct, mais aussi indirectement pour l’immobilier détenu au travers de fonds, notamment des SCPI.
Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel du Groupe La Française. Les appréciations formulées n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer d’autres sociétés de gestion. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. Les performances passées ne préjugent pas des performances à venir.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
La Française Asset Management - Société par Actions Simplifiée au capital de 17 696 676 € - RCS PARIS B 314 024 019.
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432.
La BCE devrait reporter les décisions les plus difficiles à prendre (PEPP) à septembre et maintiendra toutes les options ouvertes. La réunion de jeudi ne devrait pas avoir d’impact important sur les marchés.
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DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.
Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.
Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
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Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site
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Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
]]>Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
Par ailleurs, il est précisé que l’ensemble des coûts opérationnels directs et indirects générés par ces opérations est supporté par la société de gestion, toutefois la quote-part de ces coûts ne pourra pas excéder 40% des revenus générés par ces mêmes opérations.
Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Global Floating Rates » disponible sur le site www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
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]]>Les opérations de cessions temporaires de titres (prêts de titres, mises en pension) pourront désormais être réalisées jusqu’à 60% maximum de l’actif net du compartiment en lieu et place de 50% maximum actuellement.
Dans le cadre de ces opérations, l’OPC pourra désormais recevoir/verser des garanties financières sous la forme de transfert de pleine propriété de titres et/ou d’espèces en lieu et place d’espèces uniquement.
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Enfin, la rédaction de ces rubriques a été revue pour plus de clarté.
Le compartiment aura désormais la possibilité d’investir dans des titres dont la maturité peut aller au-delà d’un an au plus par rapport à la date d’échéance du compartiment. Cependant la maturité moyenne du portefeuille n’excédera pas la date d’échéance du compartiment. Ainsi, il sera précisé ceci la documentation réglementaire :
« La stratégie d’investissement consiste à gérer de manière discrétionnaire un portefeuille d’obligations émises par des entités privées ou publiques. Le fonds pourra investir dans des titres dont la maturité peut aller jusqu’au 31 décembre 2026, soit un an au plus par rapport à l’échéance du fonds. Cependant, la maturité moyenne du portefeuille n’excédera pas le 31 décembre 2025. »
Cette modification ne nécessite pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entrera en vigueur à compter du 10 juin 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2025 » disponible sur le site www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Les DICI et le prospectus du SICAV sont disponibles gratuitement en français et néerlandais, les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais sur le site : www.fundinfo.com ou auprès de : LA FRANCAISE ASSET MANAGEMENT – Département Marketing -128 boulevard Raspail – 75006 PARIS –ou e-mail : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour la SICAV.
Le prix des actions de la SICAV est publié en Belgique sur www.fundinfo.com et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services S.C.A., 9 rue du Débarcadère, 93500 PANTIN et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
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]]>Evolution matières premières depuis décembre 2019
Source : Bloomberg. Evolution du prix des contrats futurs en dollar
Le marché de l’immobilier n’est pas en reste lui non plus, poussant les matériaux de construction à la hausse (bois en progression de 229% depuis fin 2019…) et certaines banques centrales comme la Nouvelle-Zélande ou le Canada à envisager des mesures pour limiter l’accès au crédit. La très forte demande de biens (compensant la fermeture d’une grande partie des services) a aussi provoqué une rupture dans les chaines d’approvisionnement des semi-conducteurs, avec des effets là aussi inflationnistes sur plusieurs catégories de biens (électronique, voitures d’occasion, etc..).
Seule l’énergie, finalement, ne montre pas de hausse spectaculaire sur cette période (+3,73%) en lien avec le très fort ralentissement des vols commerciaux depuis mars 2020.
Thierry Gortzounian, Chief Operating Officier de La Française AM Finance Services conclut « La Française place le client au centre de son dispositif. Après notamment le lancement de notre propre plateforme digitale de distribution de solutions d’investissement dédiée aux investisseurs particuliers, La Française poursuit sa démarche d’innovation au service de ses clients et intègre la plateforme IZNES. Nous offrons ainsi à nos clients institutionnels, français et internationaux, un canal de souscription additionnel par rapport aux circuits habituels. Nous accompagnons les mutations qui s’opèrent dans le secteur de la gestion d’actifs, et sommes fiers d’avoir participé au projet d’innovation IZNES. »
Classe d’actifs : Monétaire
Fonds et Parts : La Française Trésorerie ISR / Part I
Code ISIN : FR0010609115
Horizon : Plus de 3 mois
Profil de Risque et de Rendement sur échelle de 1 à 7 (7 représentant un risque plus élevé ainsi qu’un
rendement potentiellement plus élevé) :
1 (risques associés : risque discrétionnaire, risque de taux, risque de crédit, risque de perte en capital, risque de contrepartie)
Avertissement
Ce document est destinée aux investisseurs non professionnels au sens de la directive MiFID II. Elle est fournie à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destinée à être utilisée comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprétée comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
Ces marchés présentent traditionnellement un caractère défensif et des performances plus stables dans le temps. Le graphique ci-dessous représente un ratio de l’offre immédiate par rapport à la demande placée. Ce ratio est un indicateur de la tension des marchés. Un ratio faible indique un marché sous-offreur. Un ratio élevé est le signe d’un marché où la demande peut peiner à absorber l’offre.
Equilibre offre/demande dans une sélection de villes allemandes
Source : CBRE, PMA, La Française REM Research
Historiquement, les marchés des villes B sont plus équilibrés avec une production d’offre neuve mieux proportionnée à la demande, spécialement en période de crise. Cette situation est sans doute due à des conditions de financement plus restrictives sur les marchés régionaux et donc à une meilleure maitrise des lancements de projets spéculatifs. Les marchés immobiliers des villes B sont mieux positionnés pour faire face à un ralentissement de la demande et absorbent plus rapidement un éventuel excès d’offre dû au décalage qui existe entre le lancement d’un projet et sa livraison. En 2020, la demande placée a diminué de manière moins importante dans les villes B que dans les villes A, en raison du tissu économique des villes B. Il est composé de grosses PME et des PMI plus agiles et plus rapides dans leurs décisions immobilières que les grands groupes qui portent la demande placée des villes A. Par ailleurs, si l’offre a augmenté de manière relativement limitée, dans les villes B (+5% en un an), elle a augmenté de manière plus marquée dans les villes A, (+ 20% en un an). Ce graphique montre toutefois que les villes A cachent des situations géographiques hétérogènes avec des localisations en centre-ville qui présentent les mêmes caractéristiques défensives que les villes B et des périphéries qui présentent des situations beaucoup plus exposées aux crises. La maîtrise de l’offre tient sans doute dans les centres-villes des villes A à la rareté du foncier plutôt qu’à une éventuelle frilosité des banques.
Cependant, les indicateurs quantitatifs ne racontent pas toute l’histoire. La crise sanitaire a accéléré la polarisation des marchés bureaux. Le télétravail ne va pas provoquer un arrêt de la demande de bureaux mais va induire de nouveaux besoins qui ne pourront pas être accueillis sur l’ensemble du parc de bureaux actuels pour des raisons techniques. Nous anticipons d’un côté une accélération de l’obsolescence de certains actifs bureaux qui ne répondront rapidement plus aux demandes des utilisateurs. De l’autre côté, nous anticipons une concentration de la demande pour les bureaux répondant aux nouvelles attentes des utilisateurs (actifs flexibles, durables, connectés, avec une gamme de services élargie, une accessibilité renforcée, garantissant des conditions sanitaires satisfaisantes). Seuls les bureaux les plus modernes pourront répondre aux nouveaux modes de travail. Plus que jamais, la qualité des actifs est essentielle. Or les villes B sont confrontées à un manque d’offres de dernière génération. Fin 2020, seuls 16% des parcs de bureaux des villes B avaient été construits dans les 20 dernières années. Cela signifie que 84% des entreprises sont implantées sur des immeubles ayant été livrés il y a plus de 20 ans, immeubles sur lesquels des travaux importants sont nécessaires pour pouvoir déployer des organisations hybrides.
En conclusion… avec nos experts de terrain
Nous pensons que les marchés des villes B présentent des caractéristiques défensives particulièrement intéressantes dans la phase du cycle immobilier dans laquelle nous sommes. Pour autant, il est essentiel de bien évaluer les caractéristiques des actifs à l’aune des nouveaux usages afin de ne pas courir le risque de voir se matérialiser des pressions baissières sur les loyers et les valeurs vénales au fur et à mesure de la libération des surfaces par les locataires en place. Mark Wolter, Country Head - Allemagne et Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, ajoute « La grande diversité du marché allemand est un atout dans ce contexte. Elle permet de mettre en lumière les atouts de nombreuses villes B prospères. » Sandra Metzger, Directrice générale adjointe de La Française Real Estate Managers - Allemagne, conclut « La qualité des bâtiments est essentielle dans un environnement en pleine évolution. Nous sommes tous les jours face à des utilisateurs qui recherchent activement des espaces de bureaux flexibles, modernes et durables. Or ce type de surfaces est encore trop rare dans la plupart des villes B allemandes, ce qui représente une opportunité intéressante de création de valeur. »
CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
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« Nous cherchons à anticiper les variables macroéconomiques, sous contrainte de changement climatique » Laurent Jacquier-Laforge, global head of sustainable investing du groupe La Française
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Cela dit, la Réserve fédérale devrait conserver une posture très prudente, notamment en raison du niveau d'incertitude concernant la crise du Covid-19. Le président Powell devrait réaffirmer que les membres doivent noter des "progrès supplémentaires substantiels" en matière d'emploi et d'inflation avant de normaliser leur politique.
La FED ne devrait pas non plus modifier sa communication ou donner des indications quant au moment où elle réduira ses achats de titres du Trésor et de titres adossés à des créances hypothécaires (MBS). Cette annonce devrait se faire au second semestre de l'année (réunion de juin au plus tôt, très probablement lors du symposium de Jackson Hole en août). M. Powell soulignera également que l'achèvement du « Quantitative Easing » est une condition nécessaire avant que la Fed n'envisage une hausse des taux.
Dans l'ensemble, nous nous attendons à un ton plus optimiste, mais nous ne pensons pas que cela aura un impact significatif sur les marchés, sauf si M. Powell signale que le moment de réduire le montant des achats est arrivé. Mais là encore, nous ne pensons pas que cela se produira lors de cette réunion.
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Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine et Epargne Foncière.
Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers, souligne : « Cette acquisition illustre parfaitement notre stratégie d’investissement durable et notamment celle adoptée pour notre SCPI labellisée ISR LF Grand Paris Patrimoine et intégrée progressivement sur toute la gamme de SCPI immobilier d’entreprise gérées par La Française REM, dont Epargne Foncière. Nous souhaitons remercier AG2R LA MONDIALE ainsi que l’ensemble des intervenants à la transaction pour leur professionnalisme et disponibilité qui ont permis d’intégrer cet actif dans notre patrimoine dans les meilleures conditions. »
Isabelle Clerc, Directeur de l’immobilier de placement chez AG2R LA MONDIALE, indique que « la cession de ce bel immeuble dans un secteur tertiaire majeur où nous conservons une exposition immobilière correspond à notre stratégie de rotation dynamique des actifs. Nous sommes ravis de la concrétisation de cette transaction avec La Française Real Estate Managers. »
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associés ainsi que les Cabinets Jeantet et Fairway Avocats. AG2R LA MONDIALE était conseillé par l’office notarial Thibierge Notaires.
L’opération a été réalisée par le département Capital Markets de Knight Frank dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Savills.
Cette acquisition a été financée par la Banque Européenne du Crédit Mutuel conseillée par l’étude Victoires Notaires associés et le cabinet Archers.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Comme l’immobilier continue d’offrir une prime de risque élevée, il devrait en toute logique continuer d’attirer les investisseurs dans un contexte de taux d’intérêt historiquement bas et de liquidités abondantes cherchant à être placées.
La recherche de sécurité devrait entraîner un repricing différencié selon la qualité intrinsèque des actifs. Ainsi les actifs core devraient voir des valeurs bien défendues quand les actifs secondaires connaîtront des ajustements à la baisse. Pour autant, les actifs à vraie création de valeur devraient continuer à attirer les acteurs en fonds propres, avec un repricing à la clé.
Le fly to quality se matérialise ici. À La Française, nous privilégions depuis longtemps une approche core, tant pour nos produits retail qu’institutionnels. Nous croyons et constatons que, quel que soit le cycle immobilier, les éléments de rareté sont des soutiens puissants à la valorisation des actifs. Nous continuerons donc à privilégier les localisations centrales, les coeurs de métropoles, tant en France qu’en Europe. L’équilibre offre/demande commande les évolutions de loyer, là aussi nous sommes convaincus de la résilience des loyers tertiaires dans les secteurs de rareté.
Le manque de flexibilité des baux traditionnels pèse sur les utilisateurs en quête d’optimisation des coûts et faisant face à des besoins de trésorerie. Les propriétaires qui sauront proposer des solutions immobilières flexibles devraient tirer leur épingle du jeu. Il faut savoir comprendre les problèmes court terme de nos locataires et les gérer en privilégiant la valorisation long terme des actifs. La crise sanitaire devrait être suivie d’une crise économique qui pourrait induire une fragilité financière chez les utilisateurs des secteurs les plus touchés par la crise sanitaire. La Française porte une attention renforcée au risque crédit locataire sur son patrimoine et sur ses acquisitions ; la durée contractuelle du bail ne doit en effet pas nous aveugler sur les potentiels risques de défaillance financière des locataires les plus fragiles.
Les évolutions des usages imposent de réfléchir en amont à la convertibilité future des actifs. Lors des travaux de restructuration, La Française étudie des scénarios alternatifs de changements d’usage pour les actifs dont l’usage actuel est menacé. Le surcoût lié à ces conversions est largement compensé par la préservation de la valeur de l’actif à long terme Digitalisation et collaboration. Le développement et la pérennisation du télétravail au-delà de la crise sanitairebamènent tous les utilisateurs d’espaces tertiaires à repenser les modes de travail et d’organisation. La question de l’utilisation des locaux est au centre de ces réflexions. Recherche d’économie, d’efficacité, de sens. Le lieu physique est largement concurrencé par la technologie dans sa capacité à nous mettre en relation. La Française a la conviction qu’il continuera à y avoir une demande active pour l’immobilier conçu comme facilitateur de liens, de rencontres, de transmission ou encore de créativité par le collectif.
L’avenir de l’immobilier tertiaire dépendra de la faculté des bailleurs ET des occupants à intégrer dans l’actif une véritable approche de durabilité, de flexibilité d’usage et apport de services.
Les différentes périodes de confinement ont mis en lumière la complexité de chaînes d’approvisionnement à l’échelle mondiale et la forte dépendance à l’Asie pour un certain nombre de produits stratégiques. L’année 2021 devrait être marquée par un recul du phénomène de globalisation avec un probable phénomène de relocalisation des chaînes d’approvisionnement et de certaines industries, avec en conséquence immobilière une probable nouvelle vie d’actifs (stockage, transformation).
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DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
La première acquisition porte sur une parcelle de vigne d’environ 35 ares située dans la prestigieuse AOP Pomerol. L'exploitation a été confiée par bail à long terme à un exploitant de l’appellation, Romain Rivière, qui conduira la vigne suivant le cahier des charges de l’agriculture biologique. Le vin produit, issu des vignes de cette parcelle, sera commercialisé sous l’étiquette « Château La Croix Taillefer » (AOP Pomerol).
Château Saint-Pierre de Corbian, Saint-Estèphe :
Le second investissement est à Saint-Estèphe. Il s'agit d'une entité d'environ 4 hectares sur de beaux terroirs de cette appellation communale du Médoc.
C'est le prestigieux voisin, Château Le Boscq, Cru Bourgeois Exceptionnel, qui en assurera l'exploitation.
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de Gestion est de 20 ans. La SCPI ne garantit pas la revente des parts. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI. La sortie n'est possible que s'il existe une contrepartie à l'achat ou à la souscription. Risques associés : risque de marché, risque de contrepartie, risque lié à la concentration, risque lié à la gestion discrétionnaire, risque lié à la liquidité, risque lié à l’endettement (effet de levier), risque de perte en capital et de variabilité des distributions.
]]>Les sociétés de gestion s’appuient désormais sur de solides capacités d’analyse extra-financière internes. L’intégration des facteurs ESG se décline dans les portefeuilles d’émetteurs crédit et souverains. Historiquement focalisée sur les marchés actions, sur le comportement des entreprises cotées en Bourse, l’analyse ESG (environnement, social, gouvernance) n’en est pas moins particulièrement adaptée à l’approche des investisseurs obligataires : une analyse de la solvabilité des émetteurs, qui s’appuie sur l’ensemble des facteurs susceptibles d’affecter le modèle économique d’une entreprise ou l’équilibre budgétaire d’un Etat, sur un horizon moyen-long terme. « Nous intégrons dans notre analyse crédit, y compris dans les stratégies qui ne sont pas explicitement ISR (investissement socialement responsable), les facteurs qui nous paraissent « matériels » pour le risque », indique Nathalie Pistre, directrice recherche et ISR d’Ostrum Asset
Management.
La dette subordonnée bancaire AT1 CoCo enregistre une performance de 1,9%1. Les autres types de dettes subordonnées (assurance, entreprise, financière Tier 2) ont une performance proche de 0% ou sont en territoire négatif. Cette surperformance s’explique par une sensibilité moins importante des CoCo aux variations de taux.
1 : Source : La Française, données au 17 mars 2021.
Bilans bancaires
Les réglementations bancaires ont poussé les banques ces dernières années à augmenter leurs ratios de solvabilité et réduire leurs expositions aux créances douteuses (NPL). Le graphique ci-dessous montre que les ratios de fonds propres sont à un niveau record et les ratios de créances douteuses ont fortement baissé (passant de 6,2% en mars 2015 à 2,8% en septembre 2020). Ainsi les bilans des banques n’ont jamais été aussi robustes.
Source : European Banking Authority (EBA; données à fin septembre 2020).
Approche durable des dettes subordonnées par La Française
La philosophie historique de La Française Sub Debt (fonds commun de placement de droit français) se base sur 3 piliers :
Nous avons remarqué que l’approche en qualité dispose de grandes synergies avec une approche en sélectivité. Ainsi l’intégration des critères ESG dans La Française Sub Debt est une évolution logique et n’a entrainé de bouleversement ni dans le processus de gestion ni dans le portefeuille.
Concrètement, nous nous différencions aujourd’hui par notre analyse fondamentale où contribuent l’analyste crédit d’une part et l’analyste ESG de l’autre, sur ce que nous appelons les « fiches crédit rédigées à 4 mains ». Ces fiches permettent une analyse complète des dossiers de La Française Sub Debt.
2 : Source : La Française, données au 26 février 2021.
Une approche en qualité depuis l’origine…
Avant la labellisation du fonds, nous accordions déjà une importance aux facteurs extra financiers. A titre d’exemples, voici deux entreprises exclues de notre univers investissable avant l’intégration des critères ESG :
Consciente de sa responsabilité en tant que leader sur le marché des Sociétés Civiles de Placement Immobilier (Source IEIF au 31.12.2020 en termes de capitalisation), via notamment son parc immobilier de plus de 4.000.000 m², La Française REM est résolument engagée dans une démarche durable. La gestion active de son portefeuille existant et une politique d’investissement sélective visent à offrir à ses investisseurs performance financière et durabilité, synonyme de protection de la valeur des actifs dans le temps.
« Alors que les enjeux ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) pouvaient apparaître de (très) long terme à beaucoup d’acteurs il y a encore quelques années, ils s’inscrivent désormais dans un horizon compatible avec l’horizon de détention des actifs immobiliers. La résilience des actifs immobiliers doit s’anticiper. » précise Virginie Wallut, Directeur de la Recherche et de l’ISR Immobilier.
Suite à la signature de l’Accord de Paris, la France a défini une feuille de route pour lutter contre le réchauffement climatique dans la Stratégie Nationale Bas Carbone. La Francaise REM entend prendre sa part dans l’ambition nationale en se fixant un objectif de réduction des émissions de CO2 de son portefeuille compatible avec une trajectoire climatique 1.5°C. Ainsi, elle s’assure de répondre aux réglementations en vigueur et d’anticiper les réglementations à venir.
La stratégie adoptée est celle de l’ERC (Eviter, Réduire, Compenser). La meilleure façon de limiter les émissions de CO2 est de s’attacher, en premier lieu, à les éviter. Dès lors que les émissions de CO2 n'ont pu être pleinement évitées à un coût raisonnable, il convient de réduire le volume restant par des solutions de minimisation comme la mise en œuvre de travaux de rénovation énergétique, l’adaptation des systèmes énergétiques et le suivi de Plans Pluriannuel de Travaux (PPAT verts). En dernier recours, des mesures compensatoires seront engagées pour financer des pièges à carbone.
« S’employer à suivre une trajectoire, c’est œuvrer dès à présent pour la pérennité de la valeur de nos actifs à long terme » insiste Marc-Olivier Penin, Directeur général La Française REM qui ajoute « Le coût de l’inaction s’accroît de manière exponentielle. Si les actions d’amélioration des caractéristiques durables des actifs sont réalisées régulièrement en respectant leur cycle de vie, le coût additionnel demeure très marginal comparé à la perte de valorisation qu’encourent les actifs gérés sans prendre en compte les critères ESG. » Et Philippe Depoux, Président de La Française REM, de conclure « En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de ses investisseurs, La Française REM porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Nous sommes fiers de pouvoir annoncer que, fort de cet engagement, c’est aujourd’hui, la totalité de la gamme de Sociétés Civiles de Placement Immobilier d’immobilier d’entreprise gérées par La Française REM, société de gestion du Groupe La Française, qui est alignée avec l’article 9 du règlement Disclosure. »
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Lexique :
Règlement UE n°2019/2088 SFDR / Disclosure
durable ». (article 9)
]]>Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides, le Cabinet Jeantet ainsi que par Fairway Avocats et Covivio par l’office notarial Cheuvreux.
Les deux parties ont été assistées par CBRE.
L’acquisition a été partiellement financée par la banque BayernLB, conseillée par l’étude Rochelois et LPA-CGR Avocats.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Risques associés de l’OPCI : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risque de concentration, risques liés à l’endettement, risque de contrepartie, risques liés aux marchés financiers.
Cyril Carteron, Directeur des produits de diversification de La Française REM conclut, « Nous remercions notre client investisseur pour sa grande confiance et sommes ravis de l’aboutissement de près de neuf mois de travail avec la finalisation de cette acquisition rare. Seulement huit Grands Crus Classés du Médoc, dont le Château du Tertre, ont été vendus ces dix dernières années. Les mandats dédiés pour compte d’Institutionnels témoignent de notre savoir-faire en matière d’investissement viticole. »
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée notamment par l’Etude notariale 14 Pyramides, Paul Hastings sur les aspects juridiques et KPMG en matière de fiscalité.
]]>une forme insolente, la Réserve Fédérale (FED) n’a selon nous pas besoin de maintenir des conditions financières aussi accommodantes.
Source: La Française AM
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This commentary is intended for non-professional investors within the meaning of MiFID II. It is provided for informational and educational purposes only and is not intended to serve as a forecast, research product or investment advice and should not be construed as such. It may not constitute investment advice or an offer, invitation or recommendation to invest in particular investments or to adopt any investment strategy. Past performance is not indicative of future performance. The opinions expressed by La Française Group are based on current market conditions and are subject to change without notice. These opinions may differ from those of other investment professionals. Published by La Française AM Finance Services, head office located at 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, a company regulated by the Autorité de Contrôle Prudentiel as an investment services provider, no. 18673 X, a subsidiary of La Française. La Française Asset Management was approved by the AMF under no. GP97076 on 1 July 1997.
« Les Villages » ce sont 8 bâtiments construits dans les années 1980 offrant une succession de trois places dans un esprit village.
L’immeuble « Village 3 », d’une surface de 6.700 m² développée sur 9 étages, a été entièrement restructuré à neuf en 2016 et bénéficie des certifications NF HQE Rénovation niveau Excellent, BREEAM Conception Very Good et BREEAM In-Use Excellent for asset management and for building management, qui répondent aux exigences des fonds gérés par La Française REM.
Cet actif, qui a fait l’objet d’une évaluation ESG (Environnemental, Social et Gouvernance), donne la part belle au confort et à la qualité de vie des occupants par ses volumes spacieux, traversants et très lumineux, les finitions de très grande qualité, induisant pérennité et qualité d’usage et son implantation en périphérie de la dalle de La Défense qui permet un accès aux espaces verts voisins tout en bénéficiant des services et transports à proximité immédiate. Enfin, les énergies renouvelables sont utilisées, notamment par l’approvisionnement en énergie verte pour les parties communes et le recours à des réseaux de chaleur et de froid durables.
Il est loué intégralement à un opérateur français spécialisé dans la cyberdéfense pour une durée restante de sept ans et demi, qui a pris à bail dans ce secteur plus de 35.000 m² ces 5 dernières années et à deux commerces situés en rez-de-chaussée.
Le positionnement de cet opérateur s’inscrit dans le projet « Campus Cyberdéfense », dédié à la cybersécurité, prévu dans ce secteur.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine (60%) et des Sociétés Civiles LF Multimmo (20%) et Qualimmo (20%).
Pour cette opération, La Française REM était conseillée par Allez & Associés ainsi que Fairway Avocats et Unibail-Rodamco-Westfield par Ginisty & Associés.
Les deux parties étaient assistées par CBRE.
L’acquisition a été partiellement financée par la banque BayernLB, conseillé par l’étude Rochelois et LPA-CGR Avocats.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Lors de la conférence de presse, le président Jérôme Powell devrait également répéter que la FED n’est pas particulièrement inquiète de la hausse transitoire de l’inflation. Lors de cette réunion, le FOMC devrait également souligner que le ralentissement des achats d’actifs reste prématuré.
Du côté du " dot plot ", nous nous attendons à ce que la majorité des membres du comité positionne une hausse en 2023 contre aucune hausse en décembre. Cela ne devrait pas engendrer de réactions excessives de la part des marchés dans la mesure où les taux courts américains anticipent d’ores et déjà une normalisation monétaire courant 2023.
Dans l'ensemble, nous pensons que cette réunion confirmera le biais accommodant de la FED, ce qui pourrait être légèrement négatif pour les parties longues de la courbe américaine.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Nous n'attendons pas de nouvelles mesures ni d’augmentation de l'enveloppe du PEPP (Programme d'achat d'urgence en temps de pandémie de 1 850 milliards d'euros).
Mme Christine Lagarde devrait en revanche communiquer avec fermeté sur le nouveau mantra de la BCE, à savoir une approche "holistique et à multiples facettes" pour évaluer des conditions financières. Malgré le ralentissement récent des achats de PEPP, elle pourrait aussi signaler des mesures potentielles pour lutter contre la menace d'une forte hausse des rendements, toutes les options étant ici ouvertes. Il est probable qu'elle réaffirmera également l'importance de la flexibilité du PEPP.
En outre, la BCE actualisera ses projections macroéconomiques. Nous n'attendons pas de changements sur la croissance (+3,9 % en 2021, +4,2 % en 2022). L'inflation globale pourrait être révisée à la hausse en 2021 (+1%) en raison des récentes surprises positives en matière d'inflation et de la hausse du prix du pétrole. Nous ne prévoyons pas de révisions majeures du profil d'inflation “core” (1,4 % en 2023) étant donné l'opinion inchangée sur le degré actuel de ralentissement de l'économie.
]]>This document covers the Sub-funds “La Française JKC China Equity” and “La Française JKC Asia Equity”, two compartments of JKC Fund SICAV.
By promoting, among other characteristics, environmental and social characteristics, these sub-funds fall under the definition of Article 8 of regulation (EU) 2019/2088 mentioned above.
For more information about the two Sub-funds, the prospectus of JKC Fund can be accessed through the following link: https://jkcapitalmanagement.com/documentation/
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]]>Ce règlement impose aux investisseurs d’expliquer :
Le règlement Disclosure s’impose à la fois à La Française Real Estate Managers en sa qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatif (FIA) et en tant que gestionnaire de FIA, et à votre SCPI en tant que FIA.
L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés en trois catégories ci-après détaillées :
Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
Le risque en matière de durabilité (SR pour « Sustainability risks ») se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante sur la valeur de l’investissement produits financiers qui intègrent les risques en matière de durabilité dans les décisions d’investissement doivent le décrire.
La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités.
Ces risques se regroupent autour de cinq grandes familles :
1. Risques réputationnels
2. Risques de corruption et de blanchiment de capitaux
3. Risques de responsabilité liés au changement climatique
4. Risques physiques liés au changement climatique
5. Risques de transition liés au changement climatique
6. Risques liés à la biodiversité
Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion actuellement mis en œuvre dans votre SCPI, la classification applicable à votre SCPI et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 6*.
Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, à toutes fins utiles, le code de bonne conduite du Groupe La Française qui définit les engagements et les valeurs du Groupe, notamment en matière environnementale et en termes de gouvernance : Code de bonne conduite GLF - 2021 (calameo.com)
*Cette communication concerne les SCPI gérées suivantes :
- LF GRAND PARIS HABITATION
- LF LES GRANDS PALAIS
- LF RENOVIMMO
- MULTIHABITATION 10
- MULTIHABITATION 2
- MULTIHABITATION 3
- MULTIHABITATION 4
- MULTIHABITATION 5
- MULTIHABITATION 6
- MULTIHABITATION 7
- MULTIHABITATION 8
- MULTIHABITATION 9
- MULTIHABITATION
- UFG PIERRE & VACANCES CONSEIL IMMOBILIER MOSELLE
- UFG PIXEL 1
Ce règlement impose aux investisseurs d’expliquer :
Le règlement Disclosure s’impose à la fois à La Française Real Estate Managers en sa qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatif (FIA) et en tant que gestionnaire de FIA, et à votre OPCI en tant que FIA.
L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés en trois catégories ci-après détaillées :
Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
Le risque en matière de durabilité (SR pour « Sustainability risks ») se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante sur la valeur de l’investissement produits financiers qui intègrent les risques en matière de durabilité dans les décisions d’investissement doivent le décrire.
La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités.
Ces risques se regroupent autour de cinq grandes familles :
Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion actuellement mis en œuvre dans votre OPCI, la classification applicable à votre OPCI et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 6*.
Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, à toutes fins utiles, le code de bonne conduite du Groupe La Française qui définit les engagements et les valeurs du Groupe, notamment en matière environnementale et en termes de gouvernance : Code de bonne conduite GLF - 2021 (calameo.com)
*Cette communication concerne les OPCI suivants :
Ce règlement impose aux investisseurs d’expliquer :
Le règlement Disclosure s’impose à la fois à La Française Real Estate Managers en sa qualité de société de gestion de fonds d’investissement alternatif (FIA) et en tant que gestionnaire de FIA, et à votre SCPI en tant que FIA.
L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés en trois catégories ci-après détaillées :
Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
Le risque en matière de durabilité (SR pour « Sustainability risks ») se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait avoir une incidence négative importante sur la valeur de l’investissement produits financiers qui intègrent les risques en matière de durabilité dans les décisions d’investissement doivent le décrire.
La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités.
Ces risques se regroupent autour de cinq grandes familles :
Nous vous informons que nous avons identifié, pour votre SCPI, un objectif d’investissement durable, qui est celui de lutte contre le réchauffement climatique (développé dans la note d’information). Plus précisément, votre SCPI vise une faible exposition aux émissions de carbone en vue de la réalisation des objectifs de limitation du réchauffement planétaire à long terme fixés par l’accord de Paris.
Votre SCPI, entre de ce fait dans la classification de l’article 9 du règlement Disclosure*.
Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, à toutes fins utiles, le code de bonne conduite du Groupe La Française qui définit les engagements et les valeurs du Groupe, notamment en matière environnementale et en termes de gouvernance : Code de bonne conduite GLF - 2021 (calameo.com)
Nous restons à votre disposition pour tout complément d’informations,
Bien cordialement,
La Société de gestion
* Cette communication concerne les SCPI gérées suivantes :
Le règlement Disclosure s’impose à La Française Asset Management en sa qualité de société de gestion.
L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés par La Française Asset Management en trois catégories ci-après détaillées :
Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
Le risque en matière de durabilité se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait potentiellement ou effectivement avoir une incidence négative importante sur la valeur de l'investissement du produit financier.
La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités.
La société de gestion identifie ces risques autour de trois grandes familles :
1. Risques physiques liés au changement climatique
2. Risques de transition liés au changement climatique
3. Risques liés à la biodiversité
Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion mis en œuvre dans votre fonds, la classification applicable à votre fonds et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 9.
Par conséquent à la date du 10 mars 2021, votre fonds est géré selon un processus d'investissement intégrant les facteurs ESG, et a un objectif d'investissement durable spécifique.
Vous pourrez trouver ci-après, de plus amples informations concernant l'inclusion de critères ESG (environnementaux, sociaux et de qualité de la gouvernance) dans la politique d'investissement appliquée par la société de gestion, la charte sur l'investissement durable, le rapport de stratégie climatique et responsable, la politique d'engagement et d'exclusion : cliquer ici
Le règlement Disclosure s’impose à La Française Asset Management en sa qualité de société de gestion.
L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés par La Française Asset Management en trois catégories ci-après détaillées :
Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
Le risque en matière de durabilité se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait potentiellement ou effectivement avoir une incidence négative importante sur la valeur de l'investissement du produit financier.
La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités.
La société de gestion identifie ces risques autour de trois grandes familles :
1. Risques physiques liés au changement climatique
2. Risques de transition liés au changement climatique
3. Risques liés à la biodiversité
Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion mis en œuvre dans votre fonds, la classification applicable à votre fonds et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 8.
Par conséquent à la date du 10 mars 2021, votre fonds est géré selon un processus d'investissement intégrant les facteurs ESG, et promeut les caractéristiques ESG.
Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après, de plus amples informations concernant l'inclusion de critères ESG (environnementaux, sociaux et de qualité de la gouvernance) dans la politique d'investissement appliquée par la société de gestion, la charte sur l'investissement durable, le rapport de stratégie climatique et responsable, la politique d'engagement et d'exclusion
]]>Le règlement Disclosure s’impose à La Française Asset Management en sa qualité de société de gestion.
L’application de ce règlement implique la classification des fonds gérés par La Française Asset Management en trois catégories ci-après détaillées :
Indépendamment de la classification retenue, la documentation précontractuelle des fonds doit comprendre une description des risques en matière de durabilité, ou expliquer de façon claire et concise en quoi leur application au fonds n’est pas pertinente.
Le risque en matière de durabilité se définit comme suit : événement ou situation dans le domaine environnemental, social ou de la gouvernance qui, s’il survient, pourrait potentiellement ou effectivement avoir une incidence négative importante sur la valeur de l'investissement du produit financier.
La société de gestion a identifié les risques en matière de durabilité ci-après, qu’elle gère de manière active, de telle sorte qu’elle peut vous confirmer que l’occurrence et l’impact financier si ces risques devaient survenir, sont limités.
La société de gestion identifie ces risques autour de trois grandes familles :
1. Risques physiques liés au changement climatique
2. Risques de transition liés au changement climatique
3. Risques liés à la biodiversité
Nous vous informons qu’en tenant compte du processus de gestion mis en œuvre dans votre fonds, la classification applicable à votre fonds et telle qu’arrêtée par la société de gestion, est la suivante : Article 6.
Par conséquent à la date du 10 mars 2021, votre fonds est géré selon un processus d'investissement intégrant les facteurs ESG, mais ne promeut pas les caractéristiques ESG, et n’a pas d'objectif d'investissement durable spécifique.
Vous pourrez trouver ci-après, de plus amples informations concernant l'inclusion de critères ESG (environnementaux, sociaux et de qualité de la gouvernance) dans la politique d'investissement appliquée par la société de gestion, la charte sur l'investissement durable, le rapport de stratégie climatique et responsable, la politique d'engagement et d'exclusion : cliquer ici
Dès le 10 mars 2021, les investisseurs de La Française AM auront accès à une communication renforcée en matière de durabilité, comme l’impose la Doctrine AMF et le Règlement Disclosure. Ces informations supplémentaires donneront aux clients qu’ils soient particuliers ou institutionnels des repères indispensables quant au caractère durable de chaque fonds d’investissement.
La Française AM s’est fixé comme objectif une gamme de fonds ouverts à la commercialisation 100% durable à fin 2022. Fort de cette première avancée, la société de gestion La Française AM poursuit le processus de transformation de ses fonds pour l’atteinte de cet objectif.
*Données au 28/02/2021
Lexique :
Doctrine AMF 2020-03 :
Règlement UE n°2019/2088 SFDR / Disclosure
Marc-Olivier Penin, Directeur général de La Française Real Estate Managers commente « Ce nouvel ensemble bénéficiera de la visibilité accrue d’Épargne Foncière sur le marché français voire sur les marchés européens et permettra d’attirer de nouveaux capitaux essentiels à la poursuite du renouvellement et de la régénération du patrimoine de la SCPI. Aujourd’hui plus que jamais, les SCPI à large capitalisation comme Epargne Foncière sont les mieux armées pour maintenir de bons fondamentaux immobiliers, afficher des niveaux de performance en phase avec le marché et poursuivre une dynamique positive, des atouts nécessaires à la bonne gestion de liquidité du fonds. »
Cette opération de fusion répond à une logique de recherche de taille et de surface financière importante pour pouvoir mettre en œuvre des projets d’investissements ambitieux. L’enjeu du rapprochement s’articule autour de quatre grands axes étroitement liés, créant ainsi un cercle vertueux :
Le 15 janvier, les associés se sont réunis en Assemblée Générale Extraordinaire et ont voté en faveur de la fusion absorption de Multimmobilier 2, Eurofoncière 2 et Pierre Privilège par la SCPI Épargne Foncière. Cette opération de fusion, à effet rétroactif au 1er janvier 2021, est soumise à l’obtention du Visa de l’Autorité des Marchés Financiers.
Marc-Olivier Penin, Directeur général de La Française Real Estate Managers commente « Ce nouvel ensemble bénéficiera de la visibilité accrue d’Épargne Foncière sur le marché français voire sur les marchés européens et permettra d’attirer de nouveaux capitaux essentiels à la poursuite du renouvellement et de la régénération du patrimoine de la SCPI. Aujourd’hui plus que jamais, les SCPI à large capitalisation comme Epargne Foncière sont les mieux armées pour maintenir de bons fondamentaux immobiliers, afficher des niveaux de performance en phase avec le marché et poursuivre une dynamique positive, des atouts nécessaires à la bonne gestion de liquidité du fonds. »
Cette opération de fusion répond à une logique de recherche de taille et de surface financière importante pour pouvoir mettre en œuvre des projets d’investissements ambitieux. L’enjeu du rapprochement s’articule autour de quatre grands axes étroitement liés, créant ainsi un cercle vertueux :
La taille d’une SCPI est un paramètre primordial pour traverser les cycles financiers et immobiliers. Plus une SCPI revêt une taille importante, plus elle offre une diversification et une mutualisation des risques importante et plus elle est en mesure de mettre en œuvre des projets d’investissements ambitieux pour rénover, rajeunir et renouveler son patrimoine. Avec une capitalisation de 4,3 milliards d’euros, la SCPI Epargne Foncière aura, après fusion, un patrimoine immobilier composé d’environ 440 actifs et présentera la répartition suivante :
Maintenir une dynamique de collecte permet de renouveler le patrimoine de la SCPI, afin d’éviter l’obsolescence technique et locative des actifs. Pour les SCPI absorbées, il s’agit de bénéficier de la réputation d’Epargne Foncière et ainsi d’une dynamique commerciale accrue.
La performance reste l’un des principaux critères de sélection pour l’épargnant et la taille d’Epargne Foncière devrait permettre à la SCPI de maintenir son niveau de distribution sur valeur de marché, qui est supérieur à la moyenne du marché depuis 2011. (Source : IEIF)
Epargne Foncière, grâce à sa taille et sa dynamique de collecte, sera en mesure de renouveler son patrimoine immobilier afin de répondre au mieux à la demande actuelle des locataires utilisateurs. Elle assurera ainsi un taux d’occupation financier élevé et minimisera le coût des travaux de rénovation, deux facteurs qui soutiendront son niveau de distribution.
Un dernier facteur déterminant pour une SCPI est la fluidité de son marché des parts. Les demandes de retrait, généralement entre 1% et 2% de la capitalisation chaque année, sont naturelles dans la vie d’une SCPI et se gèrent aisément avec une collecte régulière. Epargne Foncière est une SCPI à large capitalisation qui bénéficie d’une forte notoriété et d’une excellente dynamique commerciale, autant de caractéristiques qui contribuent à sa bonne liquidité.
Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers conclut, « Cette opération de fusion au caractère inédit, par son ampleur et la taille du nouvel ensemble, représente pour chacune des SCPI concernées de véritables opportunités. Elle est le fruit d’une longue réflexion et d’un travail commun des équipes de La Française REM avec les membres des conseils de surveillance de chaque SCPI. Le vote favorable en première convocation des assemblées générales représentant 60 000 associés est une marque de confiance en l’avenir et un nouvel élan pour cette grande SCPI. »
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site www.la-francaise.com
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
« Les actions « H » couvertes contre la devise de référence du compartiment peuvent être sur ou sous-couvertes durant certaines périodes, ce qui peut maintenir une part résiduelle de risque de change pour ces actions par rapport à la devise de référence du compartiment. Cette couverture sera généralement assurée au moyen de contrats à terme de gré à gré, Fx forward, Fx swaps, mais peut également inclure des options sur devises ou des contrats à terme standardisés. »
Vous trouverez le détail de ces modifications en annexe 1 de ce présent avis.
Ces modifications ne nécessitent pas d’agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers et entreront en vigueur à compter du 10 mars 2021. La documentation règlementaire sera modifiée en conséquence.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Carbon Impact 2026 » disponible sur le site www.la-francaise.com
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du compartiment « La Française Rendement Global 2028 Plus » disponible sur le site www.la-francaise.com
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Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur des OPC disponible.
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]]>Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur des OPC disponible sur ce site
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]]>Les classes d’actifs obligataires seront donc de nouveau guidées par la recherche de rendement qui domine depuis plusieurs années. Les obligations subordonnées et les obligations à haut rendement font logiquement partie de nos choix d’allocation pour 2021. Ces deux classes d’actifs offrent en effet des rendements attractifs et resteront des solutions d’investissement à considérer pour de nombreux investisseurs.
Du côté des actions, sauf dérapage du scénario sanitaire, nous restons dans une vision constructive des indices, avec une préférence pour les zones américaines et émergentes. Nous privilégions les secteurs plutôt cycliques, capables de profiter du rebond, en restant à l’écart des valeurs les plus affectées par la crise comme l’aérien ou l’hôtellerie.
Enfin, La Française Asset Management réaffirme sa forte conviction sur l’investissement ESG et notamment sur la thématique du carbone. Au-delà de notre engagement qui nous amènera à une gamme de fonds ouverts 100% ESG dans les deux années à venir, nous croyons à la poursuite de la surperformance de ces thématiques en 2021 et au-delà.
Jean-Luc HIVERT
Président de La Française Asset Management
Cela a commencé en novembre 2008, lorsque la Réserve fédérale américaine a introduit le premier assouplissement quantitatif (« Quantitative easing »). Depuis, les banques centrales du monde entier (Banque centrale européenne, Banque d'Angleterre, Banque du Japon, etc.) ont lancé une série de politiques d'assouplissement quantitatives de différentes tailles (QE 2, QE 3...) sur une variété d'actifs financiers (obligations d'État, obligations d'entreprises, actions...). Sans le soutien monétaire offert par les banques centrales, il est très difficile de savoir comment les crises de 2008 ou 2011 auraient évolué. L'assouplissement quantitatif a certes des défauts, mais il a permis à certains pays d'enregistrer des déficits budgétaires considérables sans craindre une flambée de leurs taux d'intérêt à long terme.
Il est clair depuis un certain temps que la politique monétaire a accompli tout ce qu'elle pouvait avec un impact marginal de chaque nouvelle mesure d’assouplissement de plus en plus faible. La Banque centrale européenne le confirme depuis des années et, plus récemment, la Réserve fédérale américaine aussi.
L'heure est venue d'intervenir sur le plan budgétaire. En vérité, c'était déjà le cas avant la crise du Covid-19, et ça l’est à fortiori encore plus après.
Dans les années à venir, le scénario le plus probable est le maintien de politiques monétaires extrêmement accommodantes et des politiques budgétaires expansionnistes. Le maintien des politiques monétaires accommodantes n’est pas une option étant donné les besoins de relance budgétaire et le faible risque inflationniste à long terme (au-delà des effets de bases très positifs en 2021). Avant la crise du Covid-19, les gouvernements étaient, pour la plupart, quelque peu réticents à l'idée d'afficher des déficits budgétaires très importants, craignant un risque inflationniste, une incapacité potentielle à rembourser leur dette ou toute autre conséquence négative potentielle. Ces raisons semblent avoir perdu de leur substance au cours des douze derniers mois et font pâle figure au regard de la crise traversée par une grande majorité des pays développés.
Plus important encore, dans le contexte actuel, ce serait un suicide politique pour tout parti de promettre une réduction des dépenses budgétaires. Le chômage est élevé et continue à se dégrader, les entreprises de services sont toujours fortement touchées par la pandémie et l'incertitude reste très élevée. Le rythme de vaccination prévue permet de formuler quelques espoirs sur la deuxième moitié de l’année, mais cela sera trop tard pour nombres d’entreprises. Ce n’est cependant certainement pas le moment de réduire les dépenses budgétaires, la population ne le comprendrait pas avec pour conséquence de probables troubles sociaux qui seraient très difficiles à gérer dans la situation actuelle.
À l'heure actuelle, personne ne sait quelle est la limite à cette relance budgétaire. L’inflation ? la perte de crédibilité des banques centrales ? Une confiance des investisseurs qui s’érode envers certains pays ? Beaucoup de possibilité et peu de certitudes hormis le fait que la relance budgétaire devrait rester très importante dans les années qui viennent. Jusqu’à ce que la limite apparaisse…
Avertissement :
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Le Groupe La Française gère plus de 10 milliards d'euros (au 31/12/2020) d'investissements durables, toutes classes d'actifs confondues. En tant que Head of ESG & Sustainable Investment Research, Roland Rott continuera à travailler en étroite collaboration avec Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing pour le Groupe La Française, afin de définir et mettre en œuvre la stratégie ESG du groupe.
Roland dirige les activités de recherche et d'engagement en investissement durable avec une équipe de cinq analystes ESG. En outre, il est responsable des données et des méthodologies ESG, du pilotage des projets ESG et est impliqué dans le développement de produits ESG et leur marketing avec les équipes d'investissement et de distribution de l’ensemble des entités du groupe.
Roland a rejoint le Groupe La Française en 2016 et a été promu Managing Director du centre de recherche ESG en 2018. Sous sa direction, La Française Sustainable Investment Research, située à Londres, est devenue le centre d'expertise du groupe en investissement durable, couvrant toutes les classes d'actifs : actions, obligations et immobilier coté.
Roland Rott, Head of ESG & Sustainable Investment Research pour le Groupe La Française, a déclaré : « Pour répondre à nos ambitions, je concentrerai notre recherche sur l’investissement durable et sur la stratégie d'investissement durable pour les sociétés de gestion du Groupe La Française. Au cours des deux dernières années, l'équipe LF SIR a joué un rôle déterminant dans la conception de solutions d'investissement ESG et a développé une palette d’outils exclusifs ESG et de gestion des risques climatiques, que nous continuerons d'étendre à toutes les classes d'actifs. »
Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing pour le Groupe La Française, a conclu : « La nomination de Roland au poste de Head of ESG & Sustainable Investment Research pour le Groupe La Française permet une cohérence dans la qualité de la recherche fournie à nos équipes de gestion. En outre, la contribution de Roland permettra de transformer avec succès les fonds ouverts de La Française AM en une gamme de produits 100 % durable d'ici la fin de 2022. »
L'immeuble de bureaux de cinq étages (R+5), achevé en 2003 et récemment rénové par le locataire, dispose de 9 324 m2, de 55 places de stationnement intérieur (en sous-sol) et de 52 places de stationnement extérieur. Le bâtiment et ses équipements intègrent pleinement les exigences en matière de durabilité : bâtiment labellisé A-energy, parking pour les vélos largement dimensionné, points de recharge électrique et ruche sur le toit.
Cet immeuble de bureaux de grand standing est entièrement loué à la FMO, la banque néerlandaise de développement des entreprises qui y a installé son siège social.
Jens Goettler, Directeur général de La Française Real Estate Managers - Allemagne, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir une quatrième propriété au Randstad, le poumon économique des Pays-Bas. Cette acquisition s'inscrit parfaitement dans notre stratégie d'investissement, qui combine critères financiers et critères ESG. Situé dans une ville réputée pour l'abondance de ses espaces verts, classée parmi les premières villes des Pays-Bas en matière d’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, nous sommes convaincus que cet immeuble restera attractif sur le long terme. En outre, le quartier de Beatrixkwartier se développe en zone à usage mixte avec des bureaux, des crèches, un club de remise en forme, un centre de conférence, etc. et attire diverses organisations internationales et de grandes entreprises. »
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de trois Sociétés Civiles de Placement Immobilier : LF Europimmo, Epargne Foncière et Multimmobilier 2.
La Française Real Estate Managers a été conseillée par DLA Piper Netherlands sur les aspects juridiques et par Savills Netherlands sur l’audit technique préalable et comme conseiller à l’achat.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de SCI LF MULTIMMO INVEST.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Graf Notaires. La SCI du Pont de l’Abbaye a été conseillée par l’office notarial Arsenal Notaires Associés à Lille. Cette transaction a été réalisée par l’intermédiaire du cabinet conseil BEAUMARIS à Lille dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP RE.
Cet actif, livré en août 2020, développe 4 109 m² sur 6 niveaux et possède une terrasse de 380 m² au 5ème étage ainsi que de nombreuses terrasses donnant sur le cœur d’ilot qui abrite le jardin de l’hôtel. Ces arguments ont séduit la société Pick Up Services, filiale du groupe La Poste, qui a pris à bail la totalité de l'opération plus de 18 mois avant sa livraison, en vue d'y installer son nouveau siège social.
L’immeuble est labellisé BREEAM Very Good et WELL Silver, une certification visant le bien-être des occupants. Outre ses parois végétalisées, l’actif présente de remarquables qualités environnementales, notamment grâce à ses systèmes énergétiques très performants et la gestion de son éclairage particulièrement étudiée (fractionnement spatial et crépusculaire, détection de présence) qui participe également au confort de travail pour l’utilisateur.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le Cabinet Jeantet. Keys REIM a été conseillée par l’office notarial Alcaix & Associés. Les deux parties ont été assistées par Jones Lang Lasalle.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital & de variabilité des distributions, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Dans l'ensemble, nous n'attendons pas de réaction significative du marché lors de cette réunion de la BCE.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Construit en 1965 et entièrement réaménagé au deuxième semestre 2020, cet immeuble de trois étages (R+2) offre 30 mètres de devanture, 2 824 m2 de surface commerciale, 790 m2 de bureaux, 482 m2 d'espaces de stockage et 63 places de stationnement (en sous-sol).
Le bien est entièrement loué à trois locataires : un enseigne de la grande distribution (Rewe Markt GmbH), une pharmacie (DM-Drogerie Markt GmbH + Co. KG) et un espace de coworking (Unicorn Workspaces).
Jens Goettler, Directeur général de La Française Real Estate Managers – Allemagne, a déclaré : « Situé dans un quartier très animé et densément peuplé de la ville de Cologne, cet immeuble commercial devrait, compte tenu de sa visibilité unique et du trafic piétonnier, offrir au fonds des revenus stables et sûrs, tout en bénéficiant de l'évolution démographique de la zone. »
La Française Real Estate Managers a bénéficié des conseils de Clifford Chance Deutschland LLP pour les aspects juridiques et de TA Europe Real Estate GmbH pour les aspects techniques de la due diligence. L'actif a été introduit par JLL.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
À tout moment, La Française Actions France PME, dont l’objectif est de réaliser une performance nette de frais supérieure à celle de l'indice Enternext PEA PME 150 dividendes non réinvestis, est exposé à hauteur de 75% minimum de son actif en valeurs françaises de petites et moyennes tailles (PME) et de tailles intermédiaires (ETI). Depuis le changement de gestion intervenu en février 2014, le fonds, qui pèse plus de 77 millions d’euros en capitalisation, a surperformé son indice de référence : 99,95 % contre 56 % au 31/12/2020.
Jérôme Fauvel, gérant senior du fonds depuis 2014, déclare « Ce label vient reconnaitre notre accompagnement sur le long terme des PME et ETI françaises et témoigne de notre confiance dans leur robustesse. »
Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments et Président de La Française AM conclut, « Il est de notre devoir, en qualité de société de gestion responsable, d’orienter les capitaux des investisseurs vers des solutions d’investissement qui collectivement pourront contribuer à soutenir la relance, tout en proposant une solution de diversification de leur épargne. »
Performance part C : 24,68 % vs 14,42 % en 2020 ; 25,16 % vs 14,25 % en 2019 ; -26,9 % vs -27,92 % en 2018 ; 19,26 % vs 23,8 % en 2017 ; 18,85 % vs 9,08 % en 2016 ; 31,32 % vs 20,09 % en 2015
]]>
Ont été nommés en qualité de membres du Conseil de Surveillance de LF CERENICIMO+ pour une durée de trois ans.
]]>Toutefois, une nouvelle perception des risques liée à la détention des actifs immobiliers se fait jour et devrait entraîner une reconstitution de la prime de risque de manière spécifique à chaque actif. Il ne sera alors plus possible de parler de marché immobilier unifié. Des divergences de trajectoires significatives devraient apparaitre entre classes d’actifs immobilières et à l’intérieur de chaque classe d’actifs. Alors que jusqu’en 2019, le rendement additionnel des actifs secondaires s’amenuisait au fur et à mesure que convergeaient les taux de rendement des actifs core et secondaires
(Graphique 1), la crise sanitaire devrait entraîner dans son sillage une nouvelle hiérarchie des taux, soulignant la polarisation des marchés entre actifs core et actifs secondaires. A la fin du troisième trimestre 2020, le rendement additionnel offert par les actifs secondaires restait à un niveau plancher de 50 pbs, vs une moyenne long-terme de 145 pbs.
(1) Q3 2020 data, PMA
]]>Cette modification n’est pas soumise à agrément de l’AMF étant donné que les fourchettes maximales d’exposition en vigueur restent identiques.
Par ailleurs, dans le cadre de la mise en conformité avec le règlement (UE) 2016/1011 « BMR », la société de gestion a décidé d’utiliser à compter du 1er janvier 2021 le nouvel indice sur le marché monétaire de la zone euro qui a vocation à remplacer totalement l’EONIA. En effet, depuis octobre 2019, l’EONIA est indexé sur le cours de l’Ester, et est égal à l’Ester augmenté de 8,5 points de base.
La rédaction de l’indicateur de référence composite du fonds La Française PEA Flex est par conséquent modifiée comme suit :
« 50% Stoxx Europe 600 euro (dividendes réinvestis) + 50% €STR capitalisé + 0,085 % »
Le remplacement de l’EONIA par l’€STR capitalisé + 0,085 % n’aura pas d’impact sur le calcul des commissions de performance et n’est pas assimilé à un changement d’indicateur de référence.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française PEA Flex »
Marc-Olivier Penin, Directeur général de La Française Real Estate Managers, confirme et souligne « La gestion immobilière de LF Grand Paris Patrimoine est une gestion prospective et a pour objectif d’investir aujourd’hui dans les bureaux et les localisations de demain. Sa
stratégie d’investissement repose sur une double approche : identifier les potentiels de création de valeur liés au développement du projet Grand Paris et accompagner la transition de ses actifs dans le sens d’une amélioration de leur positionnement durable pour mieux répondre à la demande des utilisateurs, des investisseurs et des futures régulations ».
La Française REM est un acteur engagé. Plutôt que d’exclure les actifs les plus compromis sur le plan ESG, la philosophie d’investissement de LF Grand Paris Patrimoine est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Philippe Depoux, Président de La Française Real Estate Managers précise « Une politique reposant sur l’investissement dans des immeubles neufs peut être intéressante mais aura peu d’impact. L'enjeu principal est bien celui de l'amélioration du parc existant pour atteindre les objectifs climatiques et écologiques et pour réduire véritablement les externalités négatives du secteur immobilier. A ce titre, nous travaillons déjà à une nouvelle labellisation pour un autre véhicule immobilier ».
Le Label ISR, créé et soutenu par les pouvoirs publics, constitue un repère unique pour les épargnants voulant participer à une économie durable. Il occupe la première place en Europe en nombre de fonds labellisés (Novethic, 31/03/2020).
Le Label ISR a été attribué à la SCPI LF Grand Paris Patrimoine par AFNOR Certification, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC. Il est décerné pour une période de trois ans et les fonds labellisés sont contrôlés sur une base annuelle. L’attribution du label permet de confirmer le niveau élevé d’engagement et de transparence de la société de gestion La Française Real Estate Managers et de sa SCPI.
Le Label ISR est un outil pour choisir des placements responsables et durables. (www.lelabelisr.fr)
Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :
- les objectifs recherchés par le fonds,
- la méthodologie d’analyse et de notation des actifs immobiliers mise en oeuvre par la société de gestion de portefeuille,
- la prise en compte des critères ESG dans la construction et la vie du portefeuille,
- la politique d’engagement ESG vis-à-vis des parties prenantes clés,
- la transparence renforcé,
- et enfin la mesure des impacts de la gestion ESG.
Risques associés aux SCPI d’entreprise : Risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts.
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Les SCPI peuvent également recourir à l’endettement.
Le capital investi n’est pas garanti.
La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le potentiel de développement du Grand Paris pourrait ne pas bénéficier dans sa globalité aux investisseurs.
Réunis par un engagement commun, plusieurs acteurs proposent au fil de ce document une trentaine de domaines d’innovations prioritaires (DIP), représentant autant de pistes pour l’avenir des territoires.
Extrait « La transformation industrielle majeure n’est [ …] pas l’automatisation des tâches, mais l’augmentation de la connectivité, créant des masses considérables de données qui sont la matière première des nouvelles chaînes de valeur et des leviers de performance, en particulier dans l’immobilier. »
Nous vous invitons à télécharger le livre blanc ici
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Les annonces du PEPP et du TLTRO sont largement attendues par le marché, il sera donc difficile de surprendre sur l’aspect dovish. Nous pourrions voir des taux légèrement plus élevés.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Il dispose d’un restaurant inter-entreprises, d'une cafétéria ainsi que d'un large patio ouvert aux occupants.
Il est labellisé HQE Rénovation, BREEAM et BBC-Effinergie Rénovation et est entièrement loué à 13 locataires.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier suivantes : Epargne Foncière, Eurofoncière 2, Multimmobilier 2 et Pierre Privilège.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le Cabinet Jeantet. Covivio a été conseillé par l’office notarial Cheuvreux.
Les deux parties ont été assistées par CBRE Lyon.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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1) L’associé peut opter pour des versements réguliers à un rythme adapté (mensuel, bimestriel, trimestriel ou semestriel) avec un engagement d’un an minimum ;
A titre d’illustration, un épargnant souhaite mettre en place une épargne immobilière au travers d’une SCPI qui privilégie les investissements franciliens. La mise en place de ce service requiert un versement initial d’environ 300 € minimum et un versement mensuel programmé dès 30 €.
2) L’associé peut également opter pour le réinvestissement de tout ou partie de la distribution des futurs acomptes trimestriels en fonction de ses besoins.
Ces deux options pourront être adaptées dans le temps. De plus, dans le cadre des versements réguliers et du réinvestissement de la distribution, la totalité de l’épargne versée est rémunérée, ce qui permet d’accélérer la constitution du patrimoine immobilier.
Marc-Olivier PENIN, Directeur général de La Française Real Estate Managers conclut, « L’innovation est dans l’ADN de La Française. Nous avons créé la première SCPI viticole, la première plateforme de souscription 100 % dématérialisée de SCPI et avons mis en place dès 2018 le bulletin de souscription à exécution successive qui a permis de souscrire en nombre de parts par versements programmés. Agil’Immo, c’est une nouvelle avancée. Avec Agil’Immo, nous continuons d’innover en rendant plus que jamais l’épargne immobilière accessible à tous ! »
Agil’Immo sera disponible sur toute la gamme de SCPI gérées par La Française Real Estate Managers à partir du premier trimestre 2021.
Risques associés aux SCPI d’entreprise : Risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts.
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Les SCPI peuvent également recourir à l’endettement.
Le capital investi n’est pas garanti.
La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le label FNG est la norme de qualité reconnue pour les investissements durables sur les marchés financiers germanophones : Allemagne, Autriche, Liechtenstein et Suisse. Il a été lancé en 2015 après un processus de développement de trois ans impliquant des acteurs clés. La certification de développement durable doit être renouvelée chaque année.
Les fonds certifiés adoptent une approche rigoureuse et transparente du développement durable, dont l'application a été vérifiée par l'auditeur indépendant, l'Université de Hambourg.
La norme de qualité comprend les exigences minimales suivantes :
La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a obtenu deux étoiles sur les trois possibles, pour sa stratégie de développement durable particulièrement ambitieuse et complète qui lui a valu des points supplémentaires dans les domaines de la crédibilité institutionnelle, des normes de produits et des stratégies en matière de sélection et de dialogue.
La Française LUX – Inflection Point Carbon Impact Global : Le fonds vise à contribuer à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone tout en réalisant une croissance du capital à long terme.
Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing à La Française, a conclu : « Le label FNG est, à notre avis, l'un des plus sélectifs qui existe aujourd'hui et nous sommes fiers que notre approche en matière d'investissement ait été récompensée par le label 2 étoiles. Le label FNG et le label ISR français, également attribué au fonds, attestent de la qualité de la stratégie de développement durable du fonds et permettent de guider l’investisseur dans sa recherche de fonds durables, gérés avec professionnalisme. »
Le label FNG et le label français ISR ne peuvent en aucun cas être interprétés comme une garantie de performance ou de sécurité ou une invitation à investir dans le fonds.
Avertissement
Le label FNG et le label français ISR ne peuvent en aucun cas être interprétés comme une garantie de performance ou de sécurité ou une invitation à investir dans le fonds
DOCUMENT À CARACTÈRE PROMOTIONNEL RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS NONPROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF II.
Les informations contenues dans ce communiqué ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution www.acpr.banque-france.fr, Autorité
des Marchés Financiers www.amf-france.org, Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF) www.cssf.lu.
La valeur des investissements et de tout revenu fluctuera (cela peut être en partie le résultat des fluctuations des taux de change) et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant total investi. Si le Groupe La Française émet des opinions, celles-ci sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions ne sont pas contraignantes et peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. La Française Asset Management, agréée par l'Autorité des Marchés Financiers sous N GP97076 le 1er juillet 1997.
La politique d'investissement responsable du groupe est disponible ici : https://www.lafrancaise.com/fileadmin/docs/CharteInvestissementDurableLaFrancaiseFR.pdf
Le code de transparence du groupe est disponible sur :
•https://www.lafrancaise.com/fileadmin/docs/Actualites_reglementaires/AFG_Code_de_transparence_Expertise_Actions.pdf
Le prospectus de La Française LUX a été approuvé par la CSSF le 9 mars 2020. La SICAV Lux a été constituée le 28/10/1998 (sous la dénomination « global strategy »). Le compartiment La Française Lux-Inflection Point Carbon Impact Global a été créé en 2015.
Pour des informations plus détaillées concernant le fonds d'investissement, veuillez-vous référer au prospectus et au document d'information clé pour l'investisseur (KIID), qui doivent être lus avant tout investissement. Le dernier prospectus, le document d'information clé pour l'investisseur et les rapports annuels et semestriels sont disponibles sur demande à La Française AM, 128 boulevard Raspail, 75006 Paris – France :
contactvaleurmobilieresnull@nulllafrançaise-group.com ou au www.la-francaise.com.
A La Française, une vraie conviction et des actions concrètes
Nos convictions en matière ESG (Environnement, Social et Gouvernance) sont fortes et ancrées depuis longue date. Elles sont portées par l’ensemble des entités du Groupe La Française au niveau du directoire et des directions générales. Elles sont déclinées selon les différentes classes d’actifs et nourries par des centres de recherche et d’expertise qui échangent sur les meilleures pratiques propres à chaque classe d’actifs. Les actifs immobiliers jouissent d’une position particulière. Une gestion active de ces actifs réels permet à la société de gestion d’avoir un impact réel et quantifiable. En 2019, les différentes actions mises en place ont permis à La Française Real Estate Managers de réduire les émissions de GES de son patrimoine de 2,5% après une réduction de 4,8% en 2018.
L’horizon temporel se resserre. Les impacts du changement climatique s’accélèrent - multiplication des feux de forêt, des épisodes de canicule, des phénomènes de sécheresse et d’inondation, hausse des effets néfastes sur la santé, érosion de la biodiversité. Alors que ces enjeux pouvaient apparaître de (très) long terme à beaucoup d’acteurs il y a encore quelques années, ils s’inscrivent désormais dans un horizon compatible avec l’horizon de détention des actifs immobiliers. La résilience des actifs immobiliers doit s’anticiper. La philosophie d’investissement de La Française est d’accompagner la transition de ses actifs sous gestion dans le sens d’une amélioration continue de leur positionnement responsable. Cette politique a certes un coût, mais si les actions sont réalisées progressivement aux moments opportuns pour chacun des actifs, ce coût reste très marginal comparé à la perte de valorisation qu’encourent les actifs gérés sans prendre en compte les critères ESG. Le resserrement progressif des réglementations nationales et européennes favorise l’émergence d’une valeur verte et plus certainement encore d’une décote des actifs non durables, qui seront étiquetés impropres à leur usage actuel par le plus grand nombre (locataires et investisseurs).
La nécessaire évolution de tous les métiers de la chaîne immobilière
Le manque de données ESG en matière immobilière, et plus particulièrement pour le tertiaire, est criante comparé aux données disponibles pour les actifs financiers. Conscient de son positionnement comme acteur incontournable des marchés immobiliers français au regard de l’importance de son patrimoine sous gestion, La Française Real Estate Managers collabore avec de nombreux organismes de place français et européens dans un triple but : (i) faire reconnaître les spécificités des actifs immobiliers par rapport aux valeurs mobilières (ii) harmoniser les différentes démarches réglementaires nationales et européennes afin que la gestion ESG ne rime pas uniquement avec reporting de données et (iii) établir des indicateurs communs afin de permettre une comparaison aisée des démarches des différentes sociétés de gestion. A ce titre et après trois années de réflexion intense au sein du groupe de travail de l’ASPIM, nous saluons la parution du décret étendant le label ISR aux fonds immobiliers.
Concrètement, depuis 2009, La Française Real Estate Managers procède à des audits environnementaux en parallèle des audits techniques. La société de gestion s’appuie en interne sur une équipe de trois personnes réunies au sein de la Direction de la Recherche & de l’ISR Immobilier. Cette équipe travaille en étroite collaboration avec la Direction des Investissements qui prend en compte les critères ESG dès la phase de pré-évaluation des actifs. La phase d’évaluation ESG définitive est analysée et validée par la Direction de la Recherche & de l’ISR Immobilier.
La phase d’évaluation ESG définitive est confiée à des Bureaux d’Etudes Techniques (BET) spécialisés et formés à l’utilisation d’un outil développé en interne par l’IT. Cet outil unique permet d’évaluer les caractéristiques durables d’un actif et sa capacité à répondre à la demande de demain. Les BET définissent des axes d’amélioration dans le cadre de la politique de gestion ESG déployée et quand c’est le cas, en vue de l’obtention d’un label ISR. Les équipes d’asset management, quand elles prennent ensuite le relais sont responsables de l’amélioration des taux d’occupation des actifs mais également du déploiement des leviers d’amélioration identifiés sur chaque actif au moment de la phase d’acquisition. Les évaluations ESG ainsi que les plans d’amélioration sont accessibles à l’ensemble des collaborateurs via la plateforme interne IT de La Française.
La « durabilité », c’est l’affaire de tous
La Française Real Estate Managers porte une attention particulière au rôle central qui est le sien pour fédérer l’ensemble des parties prenantes (externes et internes) autour de sa démarche ESG. Nous déployons des efforts notables de pédagogie auprès des acteurs intervenant sur nos actifs afin de démultiplier les effets bénéfiques de notre démarche. Parce que l’utilisation des actifs peut représenter jusqu’à 30% des consommations énergétiques/ émissions de GES, il est primordial d’impliquer les locataires dans la poursuite de nos objectifs. A cet effet, La Française Real Estate Managers a mis en place un outil de collecte et de reporting des données de consommations énergétiques qui bénéficiera à nous propriétaire mais également à nos locataires en leur permettant de répondre aux obligations du dispositif éco-énergie tertiaire (ex. décret tertiaire). Autre exemple, après avoir modifié ses contrats de fourniture d’électricité pour sécuriser un approvisionnement 100% renouvelable des consommations énergétiques des parties communes des actifs d’une Société Civile de Placement Immobilier du groupe, La Française Real Estate Managers va proposer à ses locataires d’étendre aux parties privatives le recours aux énergies renouvelables. Une réflexion spécifique est menée pour les actifs résidentiels que la multiplication des occupants et leur caractère non professionnel rendent toutefois plus difficile à atteindre.
Afin de fédérer nos fournisseurs autour de notre démarche et les inciter à adopter une démarche durable, nous mettons en place des critères ESG qui serviront de base à la sélection de nos prestataires. Nous avons expliqué notre démarche environnementale, structurée autour de trois axes forts - réduction des émissions de GES, réintroduction de la nature dans la ville et participation à une ville plus inclusive - à l’ensemble de nos Property Managers pour qu’ils adaptent la gestion quotidienne de nos actifs et qu’ils concourent avec nous à l’atteinte de ces objectifs.
En interne, l‘idée d’une formation élargie à un large éventail de collaborateurs se traduira par un plan inédit de formation programmé sur une année et embarquera plus de 200 collaborateurs issus de 18 services différents (de l’Asset Management aux Ressources Humaines en passant par l’IT). Ce plan sera adapté à chacun. Autre innovation, cette formation sera assurée grâce à l’expertise développée en interne.
Paru dans "Immoweek Le Magazine", septembre/octobre 2020
COMMENTAIRE A DESTINATION DES INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF II.
Publié par la société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers qui a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org).
Quels impacts pour les marchés ?
« Peut-on s’attendre à une réaction des marchés de crédit similaire à celle de mars avec un écartement des spreads d’environ 550pb ? »
La configuration actuelle est différente du mois de mars 2020 sur plusieurs points.
Tout d’abord, au niveau sanitaire :
Puis économique :
Par conséquent, nous estimons que ces faibles montants de maturités à horizon 2 ans (<15% des encours aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis) viennent limiter le risque de refinancement pour les émetteurs et par conséquent le risque de défaut prospectif sur le marché du High Yield européen et américain. En effet, malgré l’impact de la pandémie COVID-19 sur les ratios de crédit de la plupart des émetteurs High Yield, nous estimons qu’ils seront en mesure de se redresser opérationnellement au cours des deux prochaines années afin de pouvoir se refinancer sur le marché dans de meilleures conditions.
« Qu’en est-il des défauts d’entreprises ? Ces nouvelles mesures sanitaires vont-elles impacter à la hausse les anticipations de défauts et, ce faisant, les spreads à court-moyen terme (à horizon 3-6 mois) ?»
L’impact des nouvelles mesures sanitaires dépendra de deux paramètres : la généralisation de ces nouvelles mesures à d’autres régions/pays dans le monde et leur durée.
En résumé, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives sur l’impact des nouvelles mesures sanitaires en Europe. L’incertitude sur l’évolution de l’épidémie reste importante.
Les conséquences sanitaires d’une 2ème vague seront probablement plus faibles que la 1ère, grâce aux avancées médicales et la capacité de la population et de la communauté médicale à mieux appréhender la pandémie.
Sur le plan économique et la solvabilité des entreprises, les conséquences sur la marché du crédit ne devraient pas être similaires à la 1ère vague (+550pb) en raison des soutiens déjà mis en place par les banques centrales, de la situation actuelle de liquidité des entreprises qui ont largement couverts leurs besoins de trésorerie pour la fin d’année et le T1 2021 et, enfin, du choix des gouvernements de mieux cibler les mesures sanitaires.
Nos convictions
A ce stade, il convient d’être attentif à l’exposition sectorielle, la qualité des émetteurs et la structure du capital pour être en mesure d’absorber les deux scénarios mentionnés plus haut.
Ainsi, nous restons très prudents dans notre allocation sur les secteurs qui sont les plus impactés par cette épidémie, notamment : le retail hors alimentaire, la restauration, l’hôtellerie, l’immobilier commercial et tertiaire (bureaux, commerce), les loisirs (voyage, jeux, sport, cinéma, théâtre, parc d’attraction), transport aérien et tous les secteurs qui sont liés (location, services aéroportuaires…).
Nous sommes également très vigilants quant à la qualité des émetteurs et à notre position dans la structure de capital des émetteurs opérants dans ces secteurs.
Sur les secteurs que nous considérons comme sensibles, nous sommes majoritairement exposés à des émetteurs Investment Grade/Fallen Angel ou « BB ».
Notre exposition sur des émetteurs purs High Yield porte sur des obligations Senior/Secured.
1 Source : Bloomberg, indices Eurostoxx 50 et S&P 500.
2 Source : Bloomberg, BofAML, indice global (HW00), euro (HE00), US (H0A0), 30/10/2020.
3 Source : Bloomberg, 30/10/2020.
4 Sources : Bloomberg, 30/10/2020.
5 Sources : Bloomberg, 30/10/2020.
AVERTISSEMENT
Publication exclusivement destinée aux investisseurs professionnels au sens de la directive MIF II.
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.
Ce document est destiné uniquement à l’information de la personne à laquelle il a été remis par le Groupe La Française.
Cette présentation est réalisée par La Française Asset Management, société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997 ; La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 et enregistrée à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org, Registre des Intermédiaires en Assurance (ORIAS) www.orias.fr
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La dette subordonnée et les obligations contingentes convertibles conviennent aux investisseurs professionnels tels que définis ci-dessous. Les services de simple exécution d'ordres ou « execution only » sont réservés aux investisseurs professionnels. Les investisseurs de détail sont exclus du marché cible positif.
Les investisseurs professionnels présentent les caractéristiques suivantes :
La dette subordonnée et les obligations contingentes convertibles ne conviennent pas aux investisseurs de détail à moins qu'ils ne disposent de conseils en placement professionnels ET que l'investissement soit effectué à des fins de diversification uniquement ou qu'ils aient signé un mandat de portefeuille discrétionnaire.
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CE DOCUMENT EST RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIFID II. Il est fourni exclusivement à des fins d'information et d'éducation, n'est pas destiné à être utilisé comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (www.acpr.banque-france.fr) en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF (www.amf-france.org) sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
]]>L’ensemble immobilier qui développera au total 14 802 m² comprendra un immeuble de bureaux et un établissement d’enseignement supérieur. Les deux immeubles sont entièrement loués dans le cadre de deux baux de 10 et 11,5 ans fermes. L’opération, qui sera certifiée BREEAM Very Good, sera livrée à la fin du 3T 2021.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides et le Cabinet Jeantet.
Sogelym Dixence a été conseillé par l’office notarial Alcaix et Associés.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Cette répartition sectorielle contredit les prévisions, nourries au début de la présidence de D.Trump :
Ces quatre premiers points peuvent s’expliquer relativement simplement en citant l’ancien président Bill Clinton « C’est l’économie, imbécile ! », ce qui signifie que les tendances globales fondamentales à long terme ne peuvent pas être modifiées. Néanmoins, le dernier point concernant l’énergie mérite une analyse plus approfondie, en particulier du point de vue de l’investissement durable :
Les énergies fossiles ne sont certainement pas la chasse gardée des Républicains. Durant les années Obama, la production américaine de pétrole a augmenté de plus de 75 %, car la fracturation hydraulique et le forage horizontal permettaient d’extraire les hydrocarbures efficacement des roches. C’est également le président
B.Obama, qui, non seulement, signa un projet de loi mettant fin à 40 ans d’embargo sur les exportations de pétrole brut, mais permit également au projet d’oléoduc Keystone, vivement critiqué, d’avancer.
Malgré les grandes promesses de campagne du candidat D.Trump, la production d’électricité au charbon chuta de près de 25 % durant sa présidence, en raison du prix bon marché de l’essence et de la baisse des prix des énergies renouvelables. En 2016, le charbon américain a produit deux fois plus d’électricité que les énergies
renouvelables. En 2020, l’électricité renouvelable est sur le point d’atteindre le niveau de production d’électricité au charbon, selon les dernières prévisions du gouvernement.
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« Flygskam » ou « Flight shaming » est un mouvement d'origine suédoise qui appelle à des restrictions du transport aérien en raison de son impact environnemental. Et le mouvement gagne du terrain. Selon l'opérateur aéroportuaire public suédois Swedavia, le nombre de passagers qui voyagent en avion en transitant par les aéroports suédois a chuté de 4 % en 2019 en raison d'une baisse notable du trafic intérieur. Ce mouvement, qui s'est étendu à l'ensemble de l'Europe dans le sillage du mouvement Friday for Future (vendredis pour l'avenir), pourrait être considéré comme anecdotique, mais il met en évidence l'impact du comportement des consommateurs sur le réchauffement climatique mondial. Les consommateurs sont de plus en plus soucieux du climat et nous pensons que le développement durable jouera un rôle croissant dans le comportement des utilisateurs.
Alors qu'à l'échelle mondiale, les transports de toutes sortes, y compris routier, contribuent à hauteur d'environ un cinquième de toutes les émissions, l'industrie aéronautique représente au total 1 Gt d'émissions de CO2, soit l'équivalent d'environ 3 % des émissions mondiales totales de CO2 issues de la combustion d'énergies fossiles.1. Cependant, en raison de l'évolution des habitudes de consommation et de l'augmentation de la mobilité intercontinentale, les émissions provenant du transport aérien ont augmenté rapidement au cours des dernières décennies.
Actuellement, les voyageurs soucieux du climat n'ont que deux choix possibles : voler ou ne pas voler (et utiliser un autre moyen de transport). Il y a toutefois eu des initiatives intéressantes dans l'industrie de la construction aéronautique au cours des dix dernières années qui ont conduit aux premiers développements d'avions électriques, visant principalement des transporteurs relativement petits mais ne permettant jusqu'à présent de parcourir que de très courtes distances.
Le programme Seaplane to e-Plane de Harbour Air a effectué son premier vol commercial en décembre dernier. Équipé d'un système de propulsion entièrement électrique magniX de 750 chevaux, ce Havilland Beaver prévu pour 6 passagers marque le début d'une nouvelle ère dans l'aviation : celle de l'électricité. Néanmoins, à cause du poids des batteries et de leur temps de charge, les avions électriques ne sont pas adaptés aux vols plus longs ou de plus de dix passagers.
]]>Les stratégies d’investissement durable peuvent ainsi être basées sur des thèmes environnementaux ou sociaux comme le changement climatique ou le capital humain, reposer sur des exclusions, viser à être les meilleures de leur catégorie, afficher les progrès les plus importants, ou laisser augurer de futurs progrès…
Les objectifs des investissements durables peuvent également varier de façon considérable tout comme leur mise en musique. Enfin la grande diversité du vocabulaire utilisé (durable, responsable, ISR, ESG, vert, climat, éco, transition), rend la lecture des offres de produits d’investissement responsable, qui par ailleurs se multiplient, délicate pour la plupart des investisseurs.
Des labels ont été élaborés pour répondre à ce manque de clarté et rendre les produits financiers durables plus faciles à comprendre. Ils attestent de la qualité du processus.
Mais les labels ne peuvent pas rationaliser ce qui est à l’origine fragmenté. Ils sont de plus considérés comme un outil visant à influencer les normes, les réglementations et éventuellement un futur écolabel européen. Aujourd’hui, de nombreux pays de l’UE se disputent le devant de la scène pour imposer leur vision des investissements responsables ou verts et participer à la définition de la norme.
Nous avons répertorié en Europe pas moins de neuf labels différents et 800 fonds labellisés, pour un total de 60 000 fonds (au 31 décembre 2019). Bien que cela ne représente que 1 % du marché total, le nombre de fonds labellisés a doublé en un an.
Sur les neuf labels, cinq peuvent être qualifiés d’ESG (Environnement, Social et Gouvernance) et quatre de « verts ». Cependant, la frontière entre le label ESG et le label vert est floue. Par exemple, les labels ESG comportent la lettre « E » pour l’environnement et prennent donc également en compte les critères verts, tandis que les labels verts imposent un minimum de critères/normes ESG. Entre les deux types de labels, il s’agit d’une question de proportion et de priorité plutôt que d’une distinction fondamentale dans l’approche, comme l’illustre le tableau ci-dessous.
Dans la jungle des labels, deux d’entre eux, à savoir le « label ISR » français et le label belge « Towards Sustainability », font la course en tête, avec environ 300 fonds labellisés chacun, soit près des trois quarts du nombre total de fonds labellisés et 90 % du total des actifs gérés par des fonds labellisés.
La joint-venture, représentée par La Française Real Estate Managers, a acquis un immeuble de bureaux entièrement loué dans la ville d'Essen. L'accord porte sur une transaction de cession-bail avec RWE, qui est l'un des plus grands fournisseurs d'énergie en Allemagne. La durée du bail est de 17,5 ans.
L’actif est situé Altenessener Str. 27 dans le nord du centre-ville d'Essen et fait partie du Campus RWE, qui comprend plusieurs immeubles de bureaux appartenant ou loués à RWE.
L'immeuble de bureaux de six étages, achevé en 2009, offre des espaces de bureaux modernes et de qualité. Les surfaces disposent d'un plafond avec un système de refroidissement intégré et un chauffage avec récupération de chaleur. Outre la surface de bureaux de 11 754 m², l'immeuble comprend également une salle de marché de 2 949 m² qui abrite les activités de trading d’énergie de RWE. Les plans des étages de l'immeuble permettent également une utilisation multilocataires. Chaque étage peut être divisé pour aménager jusqu'à quatre unités de bureaux différentes.
David Rendall, Directeur général de La Française Real Estate Managers, a déclaré : « Il s'agit d'une nouvelle stratégie qui vise à diversifier l'exposition des investisseurs coréens à des immeubles de bureaux modernes et bien loués tant dans les principales villes européennes que dans les villes de second rang (tier 2). Le plan d'affaires de la joint-venture permettra d'examiner les possibilités de gestion des actifs du portefeuille sur une période de détention pouvant aller jusqu'à 8 ans. D'autres acquisitions sont prévues au cours des 12 prochains mois. » Shawna Yang, Directrice Relations Investisseurs Asie, a ajouté : « La Française continue d'attirer les capitaux sud-coréens sur le marché immobilier européen, qui montre des signes positifs à la fois en termes de valorisation que de valeur locative. »
Avertissement
Les stratégies d’investissement Sub Debt sont disponibles uniquement pour les investisseurs professionnels comme défini ci-après. Les services d’exécution ne peuvent être fournis qu’aux investisseurs professionnels. La clientèle non-professionnelle est hors scope (cible négative).
Les investisseurs professionnels ont les caractéristiques suivantes :
Ces stratégies ne sont pas disponibles aux investisseurs non-professionnels à moins qu’ils reçoivent des conseils en investissement de professionnels ET que l’investissement dans la stratégie soit pour un objectif de diversification uniquement ou qu’ils aient signés un mandat.
CE DOCUMENT EST DESTINE AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIFID II. Il est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement, n'est pas destinée à être utilisée comme une prévision, un document de recherche ou de conseil en investissement et ne doit pas être interprétée comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, une invitation ou une recommandation pour investir dans des placements individuels ou pour adopter une quelconque stratégie d'investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur des performances futures. Les opinions exprimées par le Groupe La Française sont fondées sur les conditions actuelles du marché et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.
]]>Replay Lundi 21 septembre | Replay Mardi 22 septembre |
Crédit Mutuel Pierre 1 Sélectinvest 1 LF Grand Paris Patrimoine LF Opportunité Immo LF Europimmo | Epargne Foncière |
Avertissement : CECI EST UN DOCUMENT PROMOTIONNEL A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF2. Les informations contenues dans ces vidéos ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Elles sont considérées comme exactes au jour de leur établissement, n’ont pas de valeur contractuelle et sont sujettes à modification. Publiées par La Française AM Finance Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Real Estate Managers, société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016000 006 443 – Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce et Gestion Immobilière.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) www.acpr.banque-france.fr, Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org
Crédit Mutuel Pierre 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-32 en date du 1er septembre 2017 /Sélectinvest 1 a reçu le visa AMF SCPI n°17-38 en date du 1er septembre 2017 / LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n°18-25 en date du 21/08/2018 / LF Opportunité Immo a reçu le visa AMF SCPI n°17-36 en date du 1er septembre 2017 / LF Europimmo a reçu le visa AMF : SCPI n°19-18 en date du 20 août 2019 / Épargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n°17-33 en date du 1er septembre 2017 / Multimmobilier 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-08 en date du 28 mars 2017 / Eurofoncière 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-34 en date du 1er septembre 2017 /Pierre Privilège a reçu le visa AMF SCPI n°17-37 en date du 1er septembre 2017.
]]>Achevé en 2018, cet immeuble de bureaux de six étages offre 6 812 m2 de surface et 55 places de parking (dont 49 places couvertes). Il est entièrement loué à cinq locataires : une agence de publicité, un distributeur d'horlogerie, un fabricant et distributeur d'appareils photo instantanés, un fournisseur d'espaces de coworking et une société de production.
Jens Goettler, Directeur Général, La Française Real Estate Managers - Allemagne a déclaré : « Nous sommes ravis d'acquérir une troisième propriété à Amsterdam avec un espace de bureau aussi performant et flexible. Houthavens, dont la majeure partie des actifs existants est déjà louée, est l'un des rares quartiers d'affaires d'Amsterdam où de nouveaux projets sont encore possibles. Cet investissement s'inscrit parfaitement dans notre stratégie immobilière ESG qui privilégie les acquisitions dans des programmes à usage mixte.»
La Française Real Estate Managers a été conseillée par Houthoff sur les aspects juridiques et par Savills Pays-Bas sur les aspects techniques de la due diligence.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>En parallèle de ces innovations, La Française déroule sa gamme de fonds durables et annonce l’obtention pour deux fonds additionnels, La Française Obligations Carbon Impact et La Française Trésorerie, du Label ISR (Investissement Socialement Responsable), soutenu par les pouvoirs publics et décerné par EY France le 27/07/2020, accrédité en qualité de « labellisateur » par le COFRAC.
La Française Obligations Carbon Impact a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée supérieure à 3 ans, une performance nette de frais supérieure à l'indice Barclays Capital Euro Aggregate Corporate coupons réinvestis, en investissant dans un portefeuille d'émetteurs Investment Grade filtrés préalablement selon des critères ESG et analysés sous l’angle de leur compatibilité avec la transition énergétique selon une méthodologie définie par la société de gestion. Le Fonds s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investis (scopes 1 et 2) au moins 50% inférieure à celle de l’univers d’investissement comparable représenté par l’indicateur de référence.
La Française Trésorerie a pour objectif de rechercher les opportunités de marché sur des maturités à court terme, dans le but d’offrir une performance égale à l’EONIA capitalisé, après déduction des frais de gestion.
Ainsi, six fonds gérés par La Française AM figurent parmi la liste officielle du ministère des finances des fonds labellisés ISR (www.lelabelisr.fr) :
Laurent Jacquier-Laforge, Global Head of Sustainable Investing du Groupe La Française, conclut, « En parallèle à l’innovation méthodologique constante du groupe, La Française élargit sa gamme de solutions durables en réponse à la demande croissante des investisseurs particuliers et institutionnels. »
Le label ISR distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ». (www.lelabelisr.fr)
Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :
Le secteur du bâtiment, qui représente 26 % des émissions de GES du pays1, est un enjeu clef pour l’atteinte des objectifs ambitieux de neutralité carbone fixés par la France à horizon 2050. Dans le cadre de la mise en œuvre de sa stratégie ESG immobilière, et plus particulièrement la candidature d’une de ses Société Civiles de Placement Immobilier à la labélisation ISR, La Française REM vient de contractualiser l’achat d’énergie renouvelable avec la société ENALP.
Cette énergie est 100 % renouvelable, d’origine hydraulique. Elle est produite par la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), 1er producteur français d’électricité exclusivement renouvelable et concessionnaire du Rhône et s’accompagne de garanties d’origine et de certifications de l’organisme européen TÜV SÜD.
Dans un premier temps, cet engagement porte sur les parties communes de 17 actifs de bureaux, gérées par La Française REM, et correspond à une consommation de 16 000 MWh/an (ce qui représente, à titre de comparaison, l’approvisionnement de près de 1 500 habitations).
En termes d’empreinte carbone, ce choix d’énergie permet d’éviter, chaque année, le rejet de près de 47g de CO2 par kWh utilisés2 par rapport à l’utilisation du bouquet énergétique français.
A titre de comparaison, la quantité d’émissions évitée, grâce à la signature du contrat avec ENALP, équivaut à la quantité de CO2 émise en une année pour le chauffage de près de 900 habitations.3
Au cours des prochains trimestres, La Française REM prévoit de déployer progressivement cet engagement vers d’autres actifs en y associant de plus en plus ses locataires-utilisateurs.
En faisant le choix de l’énergie renouvelable d’origine française, La Française REM, pionnière en matière de développement durable avec le lancement dès 2009 du premier OPCI dédié à l’immobilier ISR, confirme son positionnement d’acteur actif et engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique.
1 Source : OID
2 Source : ADEME : mix France = 53 g de CO2 par kWh – hydraulique = 6 g de CO2 par kWh (en production)
3 Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr
La BCE se trouve dans une situation très difficile : inflation core très faible, inflation globale négative, appréciation de l'euro... Historiquement, ces développements auraient conduit à une réponse très ferme et immédiate de la BCE. Le problème ici est que la BCE est presque à court d'options : elle pourrait réduire le taux de dépôt, mais quel serait l'impact d'un passage de -0,5% à -0,6% ? Elle peut augmenter la taille des programmes, et elle le fera à un moment donné, mais là encore, les répercussions sur l'inflation et l'euro ne sont pas évidentes. La BCE peut s'inquiéter de l'appréciation de l'euro et de la très faible inflation, mais cela ne signifie pas qu'elle peut faire grand-chose à ce sujet.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Diplômé de l’Institut de science fnancière et d’assurances (ISFA), Patrick Rivière commence sa carrière en 1983, chez Cholet-Dupont, avant de rejoindre Fimagest en 1985. Après le rachat en 1996 de cette entité par Générale de Banque, il est nommé à la tête de Générale de Banque Asset Management.
Dans le cadre de l’acquisition de cet établissement par Fortis, il devient ensuite CEO de Fortis Investment Management. Fin 1999, il arrive chez Invesco pour diriger Invesco Continental Europe. C’est en 2008 qu’il entre à l’UFG avant le rapprochement de celle-ci avec La Française des Placements, dont il est nommé directeur général jusqu’à sa nomination à la présidence du directoire du groupe La Française, le 11 mai 2020.
"J'aime anticiper les tendances produits"
Créée en 1975, La Française s’est imposée au fl des ans comme un acteur qui compte dans le paysage de la gestion d’actifs, non seulement dans le domaine de l’immobilier, mais aussi dans celui des valeurs mobilières. Depuis une dizaine d’années, le groupe s’est organisé autour de ces deux piliers pour conquérir de nouveaux segments de clientèle, en France comme à l’étranger,
avec un modèle multi-boutique et des expertises ESG. Nous avons rencontré Patrick Rivière, son nouveau président du directoire, depuis mai 2020, qui s’explique sur ses ambitions
Dans quelles circonstances avez-vous été nommé président du directoire de La Française ?
Ma nomination est intervenue dans des circonstances singulières, en période de confnement, mais c’est un hasard de calendrier car le départ de Xavier Lépine, d’un commun accord avec l’actionnaire majoritaire, le Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE), avait déjà été programmé depuis un certain temps. J’avais rejoint Invesco quelques mois avant l’éclatement de la bulle des technos et été nommé numéro deux de l’UFG [laquelle a ensuite fusionnée avec l’ex-La Française des Placements, ndlr] quelques jours avant la faillite de Lehman Brothers. J’ai toujours eu le sens du timing ! Plus sérieusement, ma nomination à ce poste traduit avant tout une logique de continuité dans le management du groupe.
Quelle gouvernance a été mise en place ?
Je suis entouré d’une équipe qui se compose de Pascale Auclair, membre du directoire depuis mai 2018, et de deux nouveaux membres, Marc Bertrand et Philippe Lecomte. Pascale Auclair est secrétaire générale du groupe, qu’elle représente auprès des associations professionnelles et des instances de place. Elle en est le porte-parole. Elle est aussi responsable de la recherche et de l’investissement socialement responsable.
Bénéficiant d’une expérience d’une vingtaine d’années au sein du groupe, Marc Bertrand pilote l’ensemble des activités immobilières, qui incluent la plateforme « innovation » digitale. Cette plateforme fédère les activités identifées comme des « business clés » pour le futur. Il représente La Française auprès des instances immobilières de place. Philippe Lecomte, qui a rejoint le groupe en 2012, prend la responsabilité du développement, en France et à l’international. Il conserve la responsabilité de la plateforme de distribution transversale. Il est également en charge des participations. Enfn, il pilote l’offre « produits » du groupe et la communication externe.
Quelles sont vos spécialités ?
La fusion de début 2009 a permis d’élargir l’offre de produits (immobilier, fxed income, fonds diversifés, actions…) et d’élargir la base de clientèle (retail, institutionnels, indépendants du patrimoine…). Nos activités reposent depuis l’origine sur deux piliers : immobilier et actifs fnanciers. Nous avons aussi accru nos efforts à l’international. En 2019, La Française a fnalisé l’acquisition du groupe allemand Veritas. Les expertises apportées par les équipes de gestion, basées à Hambourg et à Francfort, sont venues compléter celles de nos propres équipes, basées à Paris, avec un accent mis sur la gestion du risque (suivant la méthode Risk@Work). Nous y cultivons une approche quantitative, en complément d’une approche fondée sur des convictions profondes.
Propos recueillis par Michel Lemosof
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Clientèle Retail
Marc-Olivier Penin, Directeur Général de La Française Real Estate Managers, a la responsabilité du pôle immobilier dédié à la clientèle Retail en France et à l’international et notamment de la gestion de la gamme SCPI du groupe. Il renouvelle la structure managériale de son pôle : Thierry Molton, succède ainsi à Eric Allard, à la suite de son départ en retraite, et est nommé Directeur des Actifs Immobilier Entreprise.
Forte d’une expérience de plus de 40 ans dans la création et la gestion de fonds collectifs en immobilier (SCPI), La Française s’impose toujours comme une référence auprès de la clientèle de particuliers.
La gamme de SCPI du Groupe – gérées ou commercialisées – en direct ou via les contrats d’assurance vie, a collecté 670 millions d’euros auprès des investisseurs particuliers français ces 6 premiers mois de l’année (au 30/06/2020). En janvier 2020, La Française a innové en lançant sur ce segment la 1ère SCPI viticole.
Clientèle Institutionnelle
David Rendall, prochainement nommé Directeur Général de La Française Real Estate Managers, prend la responsabilité de la plateforme immobilière en France et à l’International dédiée aux investisseurs institutionnels. Depuis l’intégration de Cushman & Wakefield Investors en 2014 par La
Française, David Rendall a contribué au succès du développement de l’expertise immobilière du Groupe à l’international notamment en Asie où La Française dispose d’un bureau à Séoul.
Son équipe est renforcée par l’arrivée de Leslie Villatte, Directeur Investissements et Développement Business Immobilier Institutionnels – France.
L’appétence sur la classe d’actif Immobilier des investisseurs institutionnels français et étrangers ne se dément pas sur ce 1er semestre 2020. La Française, dispose de trois centres de gestion, en France, en Allemagne et au Royaume Uni et d’une équipe de développement et de levée de fonds couvrant les marchés de l’Europe, l’Asie et du Canada.
La Française, engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique et souhaitant accompagner la demande croissante pour des solutions d’investissement immobilières responsables, a également mis en place une direction transverse « Recherche et ISR - Immobilier » sous la responsabilité de Virginie Wallut.
Raison d’être
1- Vision : Le monde traverse une période de rupture marquée par des crises écologiques, sociales et plus récemment sanitaires. Cette rupture rend pour partie obsolètes les leviers de performances passés.
2- Mission : Contribuer à définir les bases de nouveaux référentiels et à activer de nouveaux leviers de performance qui doivent avoir un impact positif à la fois sur la rentabilité et sur leurs implications sociales et environnementales.
3- Promesse : Mettre en oeuvre notre capacité d’innovation pour créer de la valeur et faire de l’épargne un acte d’engagement utile sur le plan individuel par la rentabilité de l’investissement comme sur le plan collectif via son impact social et environnemental.
4- Message : Changer de regard, de point de vue, pour changer les choses.
Implication à l’égard du changement climatique
Le groupe La Française analyse les grandes tendances qui devraient structurer les marchés financiers à long terme dans les domaines :
a) Economique : une évolution de la mondialisation et l’accélération du progrès technologique.
b) Monétaire : la persistance de taux d’intérêt bas.
c) Démographique : la poursuite du développement de grandes métropoles.
Les externalités environnementales sont de plusieurs ordres, elles impactent l’économie de façon multiple et doivent donc être intégrées et analysées de manière différenciée. A titre d’illustration, la constante de temps du changement climatique liée aux émissions de gaz à effet de serre, c’est-à-dire le temps nécessaire pour que les dommages associés se matérialisent pleinement, est de l’ordre de 80 ans. Il est donc impératif de déterminer un taux d’actualisation intergénérationnel pour déterminer la valeur actuelle des dommages. En ce qui concerne le changement dans la biodiversité et les écosystèmes liés à l’emprise physique de plus en plus forte des activités humaines sur les espaces naturels, origine probable de la pandémie du Covid-19 comme de la plupart des zoonoses, la constante de temps est très courte (de l’ordre du mois) mais c’est un événement répétitif dont la fréquence pourrait augmenter fortement (H1N1, SRAS, etc.).
Le groupe La Française a une sensibilité particulièrement forte aux effets du changement climatique sur les marchés financiers. Notre métier de gérant d’épargne couvre un large panel de classes d’actifs et permet au groupe d’occuper un poste d’observation privilégié du développement de la finance climatique. Une partie des actifs gérés par le groupe porte sur des compartiments de marché peu liquides avec des risques physiques et de transition particulièrement délicats à gérer car s’inscrivant dans des détentions de long terme. C’est pourquoi le groupe La Française a massivement investi dans des groupes de travail, des publications, des réflexions avec ses clients et des produits financiers autour de ce thème central. Cette forte sensibilité au climat s’est traduite par des recherches approfondies sur le sujet et le développement d’approches et de gammes de produits d’investissement dédiés.
Stratégie durable
Plus généralement, le groupe La Française analyse que les facteurs Environnementaux, Sociétaux et de Gouvernance (ESG) affectent significativement les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie du groupe est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix s’effectue sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation (forward looking).
En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le groupe La Française porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être valorisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires associées au changement climatique et aux défis sociaux qu’elles impliquent.
Le présent rapport de synthèse vise à exposer les initiatives du groupe La Française en matière d’investissement durable. Il s’inscrit dans le respect les obligations d’information relatives au décret de « l’Article 173 VI ». Il est établi conformément aux recommandations du groupe de travail sur le reporting des risques financiers liés au climat (TCFD, pour Taskforce on Climate-related Financial Disclosures).
Il traite à la fois de notre philosophie liée à l’investissement durable, la manière dont elle est intégrée à nos processus d’investissement, des objectifs et indicateurs liés à cette stratégie.
Le TCFD qui cible essentiellement les risques et les opportunités liés au climat, fait de ce dernier le fil conducteur du présent rapport puisqu’il influence l’ensemble des classes d’actifs que nous gérons. La structure elle-même du rapport reprend les lignes directrices de la TCFD en quatre temps : Gouvernance, Stratégie, Gestion des risques et Indicateurs et objectifs.
L’ensemble des rapports, codes de transparence, politique de vote et d’engagement, charte de l’investissement durable, rapports méthodologiques et indicateurs du groupe la Française sont publiés ici
]]>(1) Sauf indication contraire, les termes suivants sont utilisés comme synonymes : émissions de carbone, émissions de GES et émissions de CO2e. Tous ces termes incluent les gaz à effet de serre suivants : dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4), oxyde nitreux (N2O) et gaz fluorés (HFC, PFC, SF6, NF3).
]]>Les résultats des entreprises, très déprimés en termes absolus, ont également surpris positivement au cours de l’été :
Après les avoir suspendues durant la crise, les entreprises communiquent de nouveau sur les perspectives de leur activité, ce qui constitue un facteur de soutien.
La prudence demeure cependant avec la crainte de voir la reprise s’essouffler au-delà du rebond initial de l’activité. Les taux de chômage pénaliseront en effet la reprise de la consommation sur le moyen terme (variation du taux de chômage aux Etats-Unis de +10,2% sur un an), en particulier dans les secteurs les plus exposés aux contraintes sanitaires comme le tourisme, la restauration ou les loisirs. Bien que le pire de la crise semble derrière nous, le calendrier est sensible à court terme, avec la reprise possible de la pandémie, les élections américaines, la reprise des tensions entre la Chine et les Etats-Unis (Ouighours, tensions sur les valeurs technologiques, Hong Kong…), les tensions en méditerranée entre la Turquie et certains pays européens. A plus long terme, il faudra également gérer les stocks de dette accumulés notamment par les Etats suite aux différents plans de relance, mais aussi par certaines entreprises.
B. DES MARCHES TOUJOURS FAVORABLEMENT ORIENTES
Pour l’heure, les marchés demeurent insensibles à ces risques et poursuivent la tendance débutée mi-mars.
- Sur les marchés d’actions américains,
- Sur les marchés d’actions européens,
- Sur les marchés des taux,
Sur les marchés du crédit,
C. QUELLES OPPORTUNITES DANS « LE MONDE D’APRES » ?
Appréhender la totalité des changements induits par la crise sanitaire inédite semble prématuré. Cependant, certaines transformations sont d’ores et déjà visibles :
A plus court terme, nous considérons qu’avec les plans de relance des banques centrales et les meilleures perspectives économiques qu’anticipées initialement par les prévisionnistes (taux de défaut plus faibles qu’anticipés, saison des résultats meilleure qu’attendue, croissance des Etats revue en hausse), les actifs risqués demeureront particulièrement attractifs, bien que certains épisodes de volatilité seront à gérer d’ici la fin de l’année.
La recherche de rendement par les investisseurs sera confortée par l’annonce historique du changement de « philosophie » de la Fed, annoncée par J. Powell lors du Jackson Hole symposium fin août, privilégiant la reprise économique à la maitrise de l’inflation et actant ainsi le maintien des taux bas.
1 Sources : Bloomberg, août 2020
2 Sources : Bloomberg, S&P500, 31/08/2020
3 Sources : Bloomberg, Stoxx Europe 600, 31/08/2020
4 Sources : Bloomberg, BofAML, indices IG € (ER00), IG US (C0A0)
5 Sources : Bloomberg, BofAML, indices HY € (HE00), global (HW00), US (H0A0), Emergent (EMUH)
6 Sources : Bloomberg, Crédit Suisse, indices AT1 (CCEUTOBS index), Hybrides (ECHITOBS index), subordonnées d’assurance
(CICITOBS index)
Recentrée autour de deux activités que sont l’immobilier et les actifs financiers, La Française place l’immobilier, qui représente aujourd’hui 50% des encours totaux gérés, au cœur de sa stratégie de développement. Au cours des dix dernières années, les encours en immobilier du Groupe ont en effet plus que quadruplé pour atteindre 25 milliards d’euros, grâce à un leadership reconnu en France et une expansion à l’international. La Française ambitionne de poursuivre et d’accélérer ce développement sur une classe d’actifs devenue incontournable pour l’ensemble des investisseurs dans le contexte actuel de taux durablement bas, et qui, à la suite de la pandémie du COVID-19, devra faire face à de nouveaux enjeux.
Âgé de 58 ans et diplômé de Sup de Co Rouen (NEOMA), Philippe Depoux a effectué depuis 1986 l’’essentiel de sa carrière au sein du monde de l’immobilier institutionnel français et international. D’abord en charge des activités acquisitions, ventes et expertises chez GAN Immobilier, GROUPAMA Immobilier, puis Global Head of Transactions chez Axa REIM, il prend à partir de 2006 la Direction Générale de la Société Foncière Lyonnaise, puis de GENERALI Immobilier France en 2009 et de Gecina en 2013. Depuis 2017 il était le Directeur Général de la Compagnie Lebon. Administrateur de l’IEIF, du Club de l’Immobilier et de l’ONG PUI, Philippe Depoux s’est vu décerner 4 Pierres d’Or au cours de sa carrière.
En rejoignant La Française, Philippe Depoux poursuivra la croissance et la diversification de l’offre immobilière du groupe sous une seule et même marque « La Française Real Estate Managers » en France et à l’international. Il pilotera l’ensemble des activités de la ligne métier immobilier ainsi que la plateforme innovation du Groupe et représentera La Française dans les instances de place immobilières.
« Je suis très honoré de rejoindre La Française. Ce groupe à belle notoriété a su développer une activité immobilière tournée vers l’excellence et la solidité, sous l’impulsion de Marc Bertrand, un ami dont je salue ici le travail. Je suis impatient de mettre à profit mon expérience au service de La Française et de son actionnaire, afin de poursuivre et d’accélérer son développement en matière immobilière » précise Philippe Depoux.
Dans le cadre de cette nouvelle gouvernance, Philippe Depoux, sera entouré d’une équipe de direction expérimentée :
« Marc Bertrand aura accompagné pendant plus de 20 ans le Groupe dans l’expansion de son expertise en immobilier : il a apporté notamment son sérieux et son pragmatisme à ce développement et je tenais personnellement à le remercier pour son engagement tout au long de ces années. L’arrivée de Philippe Depoux est un évènement important pour notre Groupe. Je suis convaincu que sa connaissance des différents secteurs de l’immobilier et son expérience à l’international, nous permettront d’écrire avec succès le Tome II de La Française en immobilier, » souligne Patrick Rivière, Président du Directoire du Groupe La Française.
Des stratégies d'investissement perdantes :
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Il s’agit de la première cession réalisée dans la cadre de l’activité de fonds de développement lancée en 2018 par Batipart et ses partenaires. Pour cette opération de cession, Batipart accompagnera La Française Real Estate Managers jusqu’à la livraison finale de l’immeuble.
La transaction a été réalisée par l’intermédiaire de Knight Frank Capital Markets. Dans cette opération, La Française REM était conseillée par le cabinet d’avocats Jones Day sur les aspects juridiques, l’étude notariale Allez et Associés sur les aspects notariaux, le cabinet d’avocats KPMG sur les aspects fiscaux, Denjean & Associés sur les aspects comptables, le cabinet d’avocats Archers sur le financement, Artelia sur l’audit technique. Les vendeurs étaient conseillés par le cabinet d’avocats De Pardieu Brocas Maffei et l’étude notariale Cheuvreux.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Ainsi, sur l’intégralité de la gamme de SCPI de La Française, ce sont près de 75 à 80 % des loyers qui ont pu être encaissés sur le deuxième trimestre. Ce résultat se situe dans la fourchette haute des scénarios qui ont pu être réalisés durant le confinement. Le parc de bureaux a, sans surprise, affiché une plus grande résilience que des secteurs comme les commerces ou l’hôtellerie. Ces derniers ne représentent qu’environ 15% du parc immobilier global géré par La Française et 50% d’entre eux opèrent dans le secteur de l’alimentaire et n’ont pas été impactés par le confinement.
Après intégration de l’effet des charges sur les loyers, les distributions du 2e trimestre seront maintenues à hauteur des distributions du 1er trimestre pour deux importantes SCPI du Groupe. Pour la majeure partie des autres SCPI gérées par La Française, ce sont 65 à 70 % des acomptes habituels qui seront distribués fin juillet au titre du deuxième trimestre. Et pour une dernière SCPI, plus orientée PME, l’acompte distribué sera à hauteur de 50% de l’acompte initialement prévu. La société de gestion a volontairement décidé de répercuter la baisse conjoncturelle des revenus sur les distributions de ce trimestre, sans avoir recours à ce stade aux réserves des SCPI, et privilégie une stratégie de retour aux acomptes habituels sur le second semestre 2020.
Document informatif à destination des investisseurs non-professionnels au sens de la directive MIFID II.
Les investissements réalisés ne préjugent pas des investissements à venir. Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
Risques SCPI : risque de perte en capital, risque de liquidité, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur, risque lié au recours à l’endettement de la SCPI. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification du patrimoine. La durée de placement minimale recommandée est de 10 ans. Avant toute souscription, prenez connaissance des statuts et caractéristiques principales disponibles auprès de la Société de gestion.
Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement et reflètent le sentiment à ce jour de l’auteur. Ils n’ont pas de valeur contractuelle.
La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26/06/2007 et a reçu l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61UE en date du 24/06/2014 - www.amf-france.org
Publié par La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 - www.acpr.banque-france.fr ; et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce.
Dans l'ensemble, il devrait s'agir d'un non-événement pour les marchés financiers.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMENTAIRE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Pour créer de la valeur utile et durable, La Française privilégie trois axes pour sa stratégie ISR en matière d’immobilier :
La philosophie d’investissement du Groupe La Française est d’accompagner la transition des actifs les plus compromis sur le plan ESG dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base de l’évaluation de leur capacité d’adaptation et d’innovation.
Alors que la majorité de la population mondiale se confinait chez elle, nous avons été spectateurs de nouvelles catastrophiques liées à la pandémie. Mais nous avons également été témoins des impacts positifs du confinement sur l’environnement à savoir un air plus pur et un ciel dégagé grâce à la baisse des niveaux de particules en suspension dans l'air au sein des grandes villes.
Selon l’Agence internationale de l’énergie, nous prévoyons une baisse de la demande énergétique mondiale de 6 % en 2020, ce qui représente sept fois ce que nous avons vécu après la crise de 2008. Cette baisse de la demande énergétique et la prise de conscience mondiale sur la qualité de l'air (et de l'amélioration de la santé qui en découle) sont deux facteurs motivant la fin de l'économie et de l'industrie du charbon.
En effet, durant le confinement, la consommation de charbon a chuté suite à une diminution de la demande en électricité ; certains pays n'avaient plus besoin d'allumer leurs centrales à charbon pour disposer d'une capacité d’énergie de secours. Il s’agit de la plus importante baisse de la demande de charbon depuis la Seconde Guerre Mondiale (AIE, Global Energy Review, 30/04/2020). Le Royaume-Uni n’a pas fait usage de charbon pendant deux mois, entre le 11 avril et le 15 juin (ce qui est la plus longue période jamais enregistrée, selon le National GRID ESO). Les Etats-Unis ont eu recours à davantage d’énergies renouvelables. A titre de comparaison, il y a 10 ans, 50 % de l’électricité produite venait du charbon (Bloomberg New Energy Finance).
Cette tendance devrait se poursuivre avec la baisse des coûts d’exploitation des énergies renouvelables.
Comment la règlementation pourra-t-elle influencer la production des émissions carbone ?
Les gouvernements des 50 plus grandes économies du monde ont engagé plus de 12.000 Mds de dollars pour l’aide à la crise sanitaire. Pour l'instant, seuls 54 Mds de dollars ont été consacrés aux priorités de l'économie post-carbone, ce qui reste modéré mais représente un signe positif. (Bloomberg New Energy Finance).
En France par exemple, l’aide de 7 Mds d’euros dédiée à Air France est assortie de conditions écologiques dont la réduction du nombre de vols intérieurs, pouvant être remplacés par le train. Le développement du secteur aéronautique devra s’inscrire dans le cadre d’une consommation grandissante de carburants alternatifs pour atteindre la neutralité carbone.
Autre exemple au Canada où le gouvernement a annoncé la création de 10,000 emplois dans son industrie pétrolière pour mener des opérations de nettoyage des puits inactifs et ainsi soutenir leurs objectifs environnementaux : Le Canada a également mis en place, pour les grandes entreprises, des facilités de prêts en contrepartie d’un plan de transition énergétique.
En Chine, le plan de relance de 800 Mds de dollars financera en grande partie de nouvelles infrastructures telles que des stations de recharge électrique, la 5G ainsi que des systèmes ferroviaires. Cette relance inclut un plan de 1,4 Md de dollars pour promouvoir les véhicules électriques.
Plus près de nous et face à la crise de la COVID, la Commission Européenne a adopté un plan d’aide de 750 Mds d’euros appelé «Next Generation EU » qui vient en complément du budget pluriannuel (2021-2027) de plus de 1 000 Mds d’euros. Ce plan comprend des subventions visant à aider particulièrement les pays et les entreprises les plus impactés. Les subventions seront accordées pour des projets spécifiques et à condition que les investissements ne nuisent pas aux objectifs climatiques et environnementaux fixés dans le Green Deal. Si le plan est ratifié par le Parlement Européen, 30 % de l’aide, soit plus de 500 Mds d’euros, seront alloués pour la lutte contre de réchauffement climatique et l’atteinte des objectifs de transition énergétique. Il s'agit d'une dynamique très positive pour le déploiement futur des actifs verts en Europe. Actuellement, le « Green Deal » représente environ 25 % du budget de l'UE, permettant de financer les transports propres, la rénovation des bâtiments, le développement des énergies renouvelables.
DOCUMENT PROMOTIONNEL. CE DOCUMENT EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour de l’auteur sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Par ailleurs, la Covid a changé l’équilibre du télétravail. Alors qu’auparavant l’employé était à l’origine de la demande, il semblerait que certaines entreprises veulent désormais imposer le télétravail à leurs salariés. Il nous semble possible voire probable que la jurisprudence ou la législation française imposerait alors aux employeurs une forme de compensation à l’égard de leurs salariés. En l’état actuel de la législation, il n’est pas possible pour une entreprise d’imposer le télétravail. Si le salarié refuse, il faudra l’indemniser. La diminution des coûts due à une réduction des surfaces louées en bureau serait (partiellement) annulée par les indemnisations liées au télétravail.
Nous anticipons une multiplication des entreprises mettant en place un système hybride permettant de mixer présence des salariés aux bureaux et possibilité de télétravailler. Plusieurs éléments joueront alors un rôle clé dans l’attractivité des actifs bureaux. Les bureaux devront donner envie aux salariés/clients d’y venir et donc :
Les actifs de bureaux devront également permettre le télétravail, c’est-à-dire :
L’attractivité des métropoles en matière d’opportunités économiques, de connections et de relations sociales restera ainsi un élément clé de la demande sur le long terme, et ce, en dépit des craintes actuelles concernant la distanciation. Les mouvements de fond déjà à l’œuvre dans la transformation des villes avant la COVID continueront de porter les changements avec notamment une attention particulière portée à la qualité de vie et aux caractéristiques soutenables des villes et des bâtiments.
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Dans l'ensemble, cette réunion de la BCE devrait être un "non-événement". Les chiffres macroéconomiques et d'inflation ont rebondi un peu plus vite que prévu, mais il est bien trop tôt pour que la BCE resserre ses conditions financières.
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Le bâtiment de style entrepôt a fait l'objet d'une rénovation de façade et d'une extension en 2018 et offre maintenant environ 1.021 m2 de bureaux sur six étages (R+3). L’immeuble est entièrement loué à quatre locataires.
Le prix net vendeur s’élève à £15.56 millions et le taux de rendement initial ressort à 4,22 %. La Française Real Estate Partners International a été conseillée par Crossland Otter Hunt, tandis que le Vendeur a été conseillé par Cyril Leonard.
David Rendall, CEO de La Française Real Estate Partners International déclare : « Nous sommes ravis de signer une deuxième propriété au Royaume-Uni si rapidement après l'acquisition du 90 Bartholomew Close en avril 2020. »
Peter Balfour, Directeur des investissements de La Française Real Estate Partners International - UK, ajoute : « L’acquisition du 17-18 Haywards Place est dans la lignée de nos derniers investissements visant à se concentrer sur des bâtiments attractifs et adaptés aux besoins actuels de nos locataires et bénéficiant des améliorations de l'infrastructure des transports à Londres. »
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>Il faut aussi noter qu’en cas de victoire de Biden, il y aurait sans doute moins de tensions politiques à travers le monde, ce qui serait à priori positif.
Si le programme de Biden contient donc des points à positifs pour les actifs risqués, certains points sont de nature à faire potentiellement peur aux investisseurs, le sujet principal étantl'augmentation des impôts sur les sociétés qui pourrait avoir, selon les estimations de marché, un impact de -20% sur les actions américaines pendant son mandat en raison de la baisse des bénéfices. (Source : JPM)
Cependant, pour que Biden puisse faire adopter son programme après son élection, il devra obtenir une nette majorité au Congrès, sinon les républicains le bloqueront très probablement. Et à l'heure actuelle, si on en croit les sondages, le scénario le plus probable – et celui que les marchés anticipent actuellement – est une victoire de Biden sans majorité. Ce scénario ne serait à priori pas négatif pour les marchés actions, il serait globalement neutre et laisserait à Biden une très faible marge de manœuvre.
Même si les démocrates remportent l'élection présidentielle américaine, il resterait d’ailleurs à voir dans quelle mesure ces hausses d'impôt sur les sociétés seraient mis en œuvre : le programme de M. Biden a été structuré avant le Covid-19 et, compte tenu du contexte économique actuel, la reprise des entreprises et la croissance de l'emploi seraient probablement prioritaires et limiterait donc les hausses d’impôts possibles.
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]]>Source chiffres : Bloomberg
Document informatif pour les investisseurs non professionnels tels que définis par la MIFID II. Les informations contenues dans ce document sont publiées par JK Capital Management Limited. Les informations et les documents fournis aux présentes ne sauraient en aucun cas représenter un conseil, offre, sollicitation ou une recommandation d'investissement dans des placements particuliers. La valeur des investissements et les revenus qu'ils procurent sont fluctuants (ce qui peut être dû en partie aux fluctuations des taux de change) et les investisseurs ne sont pas assurés de récupérer la totalité de leur capital. JK Capital Management Limited considère que, à sa connaissance, les informations contenues dans le présent document sont exactes à la date de leur publication. Toutefois, aucune garantie n'est donnée quant à l'exactitude, l'adéquation ou l'exhaustivité des informations. Les opinions exprimées par l’autheur n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Ni JK Capital Management Limited, ni ses sociétés affiliées, directeurs ou employés n'assument de responsabilité (y compris de responsabilité civile) quant aux erreurs ou omissions dans ce rapport. JK Capital Management Ltd est une limited company régulée par la SFC de Hong Kong, dont le siège social est situé à Rm 1101 Chinachem Tower, 34-37 Connaught Road Central, Hong Kong.
]]>Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds OBLICONTEXT 2021 M.
]]>Les agences ont en effet évalué l’impact de la crise sur les fondamentaux des entreprises avant que ne soient annoncées les mesures de soutien des banques centrales et des Etats.
De ce fait, les agences, et une partie du marché, prévoyaient un nombre de défauts à venir extrêmement important. Par exemple, en mars,S&P Global Ratings a déclaré que le taux de défaut pour les obligations High Yield se dirigeait vers 10% pour les 12 prochains mois, plus du triple du taux de 3,1% qui a clôturé 2019. Ou encore une prévision à 17% pour le secteur de l’énergie US selon Fitch Ratings1.
Or depuis un mois, les marchés ont pu affiner cette analyse et s’apercevoir que l’image avait fondamentalement changé. Cette situation exceptionnelle a eu une réponse tout aussi exceptionnelle, jamais reçue lors des crises précédentes :
1Source : Bloomberg, mars 2020
Les premières couronnes c’est-à-dire la banlieue proche de Paris, qui ont connu une hausse modérée de leurs loyers au cours des dernières années, devraient bénéficier d’un effet report plus accentué de la part de sociétés parisiennes en recherche d’économies, susceptibles de s’intéresser à des actifs bien desservis, aux portes de Paris et capables de répondre à des mouvements de consolidation. Dans ces marchés, nous anticipons un regain d’intérêt des utilisateurs pour le capacitaire des immeubles, c’est-à-dire le nombre de personnes que peut accueillir un immeuble, notamment dans un contexte où les mesures de distanciation sociales semblent appeler à durer.
Dans les localisations plus excentrées, qui sont souvent des marchés offreurs tel que la Boucle Nord en Ile-de-France ou les périphéries de villes de Madrid ou Milan, nous anticipons une baisse des valeurs locatives. Le repositionnement de leurs valeurs locatives souvent amorcé avant la crise sanitaire devrait se poursuivre avant que ces marchés puissent retrouver une réelle attractivité.
Dans les marchés où l’offre est actuellement faible et où le volume des projets en construction est limité, les fondamentaux de marché devraient soutenir les performances des actifs bureaux. Les localisations centrales du Grand Paris ou des marchés régionaux français tels que Lyon, Bordeaux, Rennes ou Nantes par exemple, présentent donc des fondamentaux solides et une situation de départ favorable pour absorber une baisse ponctuelle de la demande. Qu’en est-il de la demande ?
Dans leur grande majorité, pendant le confinement, les utilisateurs ont ajourné leur décisions et remis à plus tard la concrétisation de leurs projets immobiliers. A court et moyen terme, on ne s’attend cependant pas à un arrêt de la demande locative (même en période de crise, les entreprises continuent à effectuer des déménagements ne serait-ce que pour rationaliser les coûts). On s’attend donc à une évolution de la structure de la demande avec l’apparition de nouveaux moteurs qui illustreraient un changement dans la stratégie des utilisateurs.
Deux forces contraires devraient s’opposer : la hausse du télétravail d’un côté qui entraînerait une baisse du volume transactionnel global et de l’autre côté de nouveaux impératifs sanitaires qui entraîneraient une hausse de la surface par employé. Nous nous attendons à ce que la baisse induite par une expansion du télétravail soit compensée par un arrêt, et même un reflux du phénomène de densification à outrance que certaines entreprises avaient mis en place ces dernières années. En ce qui concerne le développement du télétravail, si certaines voix se font fortes pour anticiper un monde où l’entreprise serait durablement virtuelle ; d’autres voix au moins aussi nombreuses sont là pour rappeler que l’entreprise n’est pas pur esprit et qu’elle doit s’incarner. Le bureau constitue l’élément central du projet d’entreprise nécessairement collectif et du sentiment d’appartenance des collaborateurs.
Un dernier mot sur les premières leçons du télétravail qu’on a pu tirer suite au déconfinement : le télétravail semble fonctionner pour tout ce qui est formel, organisé, prévu, transactionnel et bien sûr pour le travail individuel mais il ne semble pas donner de bons résultats pour l’informel, l’innovant, le collectif, le développement de nouvelles relations. Avec le télétravail l’exploitation qui est l’optimisation du court terme gagne en productivité mais l’exploration qui est l’invention de l’avenir devient plus difficile. Nous sommes assez confiants sur le fait que les entreprises sauront garder un biais long-terme dans la gestion de leur politique immobilière.
Après plusieurs années de hausse de la demande, nous nous attendons donc à un recentrage de la demande. Alors qu’avant les projets immobiliers répondaient souvent à un fort enjeu de captation/rétention des talents et de stratégie d’expansion, les décisions immobilières devraient être désormais davantage partagées entre les directions des ressources humaines, les directions financières et de la RSE, c’est-à-dire de la Responsabilité Sociale des Entreprises. Les demandes devraient se concentrer sur des actifs permettant d’accueillir les nouvelles organisations des entreprises dont les maîtres mots devraient être santé des employés, connectivité et modularité/flexibilité.
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Le fonds « LF REVA » dispose d’une capacité globale d’investissement de 300 Millions d’euros. Il a déjà engagé six opérations en Ile-de-France et à Lyon. Ces projets portent principalement sur des bureaux et logements mais comprennent également une résidence service seniors. Les prochains mois devraient offrir à « LF REVA » de nouvelles opportunités d’acquisition de fonciers ou d’actifs à restructurer.
L’acquisition et la gestion des actifs du fonds sont confiées par la société de gestion La Française Real Estate Managers à La Française Real Estate Partners, conseiller du fonds et filiale du groupe dédiée aux investisseurs institutionnels. Demathieu Bard Immobilier intervient notamment en qualité de promoteur dans l’ensemble des opérations immobilières qui sont mises en œuvre au niveau du fonds.
Risques associés : risques liés aux investissements d’une manière générale, absence d'antécédents d'exploitation, risques liés au marché immobilier visé dans la stratégie d’investissement, risques de contrepartie, risques liés au contrat de promotion immobilière, risques liés à la gestion (gestion discrétionnaire de la société de gestion, risques liés au recours à l’endettement, risque de taux), risques fiscaux, risque d’illiquidité, porteurs défaillants, défaut de répondre à un appel de fonds, dilution lors des closings successifs, conflits d'intérêts potentiels, risque de perte en capital.
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À y regarder de plus près, le tableau tend néanmoins à se complexifier, avec différentes problématiques afférentes aux structures subordonnées : suspensions ou non des paiements de coupons, exercices ou non des options de remboursement anticipé (« calls ») ou encore changements des réglementations et législations bancaires.
Nous faisons ici un point sur les valorisations actuelles du marché, les problématiques spécifiques aux obligations subordonnées et les tendances fondamentales des émetteurs.
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Comme on peut le constater sur le graphique ci-dessus, les performances des classes d’actifs de dettes subordonnées ont été rapidement et lourdement affectées par la propagation et les conséquences du Covid-19. Les dettes bancaires Additional Tier 1 (AT1, aussi appelées CoCos) ont subi un recul sans précédent de 29% entre le 21 février et le 19 mars, contre -16% pour les dettes subordonnées d’assurance, -15% pour les dettes non-financières Hybrides Corporates et -11% pour les dettes bancaires Tier 2 sur la même période (indices iBoxx € pris en référence). La sous-performance importante des AT1€ vient de plusieurs facteurs, dont un caractère plus « High Beta » par rapport aux autres segments, des pondérations plus importantes sur des émetteurs italiens et espagnols et un « repricing » massif des souches en fonction des probabilités de calls des titres. Nous avons cependant constaté une fois de plus durant cette période combien les CoCos demeuraient plus liquides dans les moments de stress que d’autres segments de dettes subordonnées, voire même plus liquides que certains pans du segment Investment Grade, en dépit de leur caractère pourtant potentiellement plus volatil.
]]>Toutefois, le gigantisme des plans de soutien à l’économie et les interventions de banques centrales ont soutenu les marchés et permis un rebond important sur l’ensemble des actifs risqués. Les principaux indices d’actions affichent désormais sur l’année 2020 des baisses qui n’ont plus rien à voir avec la baisse due à une crise économique majeure et historique. Cette reprise est évidemment portée par l’afflux de nouvelles liquidités, mais aussi par la baisse massive des taux d’intérêt aux Etats-Unis et par le sentiment que les banques centrales et les Etats n’ont plus de limite d’intervention face à la situation actuelle et à de possibles rechutes à venir.
Cette vision « macro » va désormais devoir être validée par la réalité des entreprises et constitue selon nous une nouvelle phase du volet financier de l’étourdissante crise Covid-19.
Morphologie d’une crise historique – phases I à III
La violence de la chute du marché action a été la plus importante jamais observée avec plus de 33,8% de baisse sur le MSCI World Net TR € entre le 19/02/2020 et le 23/03/20201.
Les interventions significatives des banques centrales ont permis de stabiliser le marché qui a rebondi fortement (rebond le plus fort historiquement, + 43,5% sur le MSCI World Net TR € entre le 23/03/2020 et le 08/06/2020) une fois que les investisseurs étaient persuadés que les plans de soutien gouvernementaux suffiraient pour permettre à l’économie d’être sauvée.
Nous avons le sentiment que les attentes des marchés sont peut-être un peu trop élevées sur cet événement et nous ne serions pas surpris d'assister à une réaction de marché négative sur les taux américains (taux plus élevés) pendant et après la réunion.
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Au cours du récent repli du marché des actions, les sociétés ESG solides ont surperformé leurs pairs sur les marchés baissiers et haussiers. Certes, l'horizon considéré est court, et il convient d’être prudent. Il sera intéressant d’analyser ces performances dans leur globalité à la fin de l’année 2020.
Nous pourrions imaginer que des facteurs principalement techniques tels que les biais sectoriels aient joué un rôle dans la surperformance depuis le début de l’année 2020. Cependant, même lorsque ceux-ci sont neutralisés, les entreprises ESG compétitives surperforment dans la plupart des secteurs.
Sur le plan régional, la surperformance est plus prononcée en dehors de l'Europe, notamment aux États-Unis, où la prise en compte des facteurs extra-financiers est plus récente et donc moins courante. Les différences de réglementations sociales et environnementales entre l'Europe et les États-Unis peuvent également conduire à des différences plus marquées entre les entreprises ayant des normes ESG supérieures à la moyenne.
Sur les marchés baissiers, c’est surtout, selon nous, la force des facteurs sociaux et de gouvernance qui a conduit à cette résilience relative : la forte gestion du capital humain a permis une protection sans faille des employés et un processus de réorganisation qui ont largement minimisé les perturbations. Les investisseurs estimaient ainsi que ces entreprises pouvaient reprendre leurs activités plus rapidement que leurs homologues.
Simultanément, une gouvernance forte a conduit à une communication transparente avec les investisseurs et à une prise de conscience, de la part des entreprises, de leurs responsabilités vis-à-vis de leurs parties prenantes. Les investisseurs ont été rassurés et ont eu une plus grande visibilité.
De nombreux observateurs ont été surpris lorsque les sociétés ESG à haut score ont surperformé leurs groupes de pairs sur les marchés haussiers - d’autant plus que les actions cycliques ont surperformé les actions défensives.
Au creux du marché, une fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour les actions ESG et les investisseurs ont profité de la baisse des cours des actions pour rediriger les flux vers les investissements ESG dont ils n’avaient initialement pas profité, expliquant en partie la force du rebond par la suite. Il pourrait être utopique de croire que le monde d’après la crise sera radicalement plus écologique que le monde d’avant. Toutefois, si une proportion importante des mesures de relance gouvernementales sont orientées vers des infrastructures durables et une mobilité électronique, cette hypothèse est plausible. La crise climatique n’a pas été suspendue par la pandémie actuelle. Au contraire, celle-ci est maintenant considérée comme une menace encore plus importante pour l’Humanité.
]]>Plutôt que d’exclure les actifs les plus compromis sur le plan ESG, la philosophie d’investissement du Groupe La Française est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement re-sponsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation.
DOCUMENT PROMOTIONNEL. CE DOCUMENT EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Real Estate Managers est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP07000038 le 26 juin 2007, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016000 006 443 – Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce et Gestion Immobilière
]]>À la suite des discours de M. Villeroy et de Mme Lagarde, les attentes des marchés ont considérablement augmenté au cours des dix derniers jours, de sorte qu'il pourrait s'agir d'un événement de banque centrale "buy the rumors sell the facts", mais le positionnement semble toujours être modeste, de sorte que nous pencherions vers une réponse modérément haussière des marchés.
DOCUMENT INFORMATIF. CE COMMUNIQUE DE PRESSE EST A DESTINATION DES INVESTISSEURS NON-PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides, Vinci Immobilier a été conseillé par l’Etude Valentin Schott, les deux parties ont été conseillées par Blue Bear.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le bâtiment A a été livré au 3T 2018 et les bâtiments B et C ont été livrés au 1T 2020. Ensemble, ils développent 8 004 m² de bureaux et disposent de 199 emplacements de parking. Mata Capital avait déjà acquis par l’intermédiaire de Tourny Meyer en blanc cet actif en décembre 2016 et a loué 94 % des surfaces de l’immeuble à 5 locataires avec une durée d’engagement ferme résiduelle d’environ 5,5 ans.
Certifié RT 2012 – 20 %, l’Atrium dispose de bornes pour voitures électriques et d’un système de chauffage DRV (à débit de réfrigérant variable) avec récupération d’énergie, ce qui en fait un immeuble vertueux qui participe pleinement à l’objectif de La Francaise REM de réduire ses émissions de gaz à effet de serre.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Graf Notaires et le cabinet Jeantet ; Mata Capital a été conseillé par l’étude Allez & Associés. Les deux parties ont été conseillées par TOURNY MEYER.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Depuis l’acquisition, des synergies en matière de gestion intergroupe ont fait surface. La méthodologie Risk@Work a été intégrée à la gestion multi asset discrétionnaire de deux fonds gérés par La Française AM. A compter du 10 février 2020, les objectifs de deux fonds ont ainsi été modifiés en ajoutant la dimension liée au modèle Risk@Work :
Suite à l’intégration du modèle, la perte maximum pour l’année 2020 est ainsi calibrée pour chacun des fonds à -7 % (La Française Patrimoine Flexible) et -4 % (La Française Séréni Flex) de la valeur liquidative des fonds au 01/01/2020. Cette perte maximum, respectée à ce jour (11/05/2020) en dépit de la baisse des marchés provoquée par la pandémie coronavirus, n’est toutefois pas garantie et est redéfinie chaque année.
Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, a conclu « Dans le contexte actuel, le modèle Risk@Work, combiné à la gestion discrétionnaire, prend tout son sens. Nous donnons accès aux investisseurs particuliers à une expertise en matière de gestion des risques jusqu’alors largement réservée aux institutionnels et permettant de contenir la perte maximale. »
Le Conseil de Surveillance a par ailleurs adopté une nouvelle gouvernance avec la nomination de deux nouveaux membres du Directoire. Marc Bertrand et Philippe Lecomte rejoignent à cette occasion le Directoire du Groupe La Française au côté de Pascale Auclair.
Dans le cadre de cette nouvelle gouvernance, Patrick Rivière, qui occupait jusqu’alors la fonction de Directeur Général, s’est entouré d’une équipe de direction solide et plus que jamais engagée au service de la réussite du Groupe.
Ces nominations sont effectives depuis le 11 mai 2020.
Cette nouvelle organisation intervient après une année 2019 marquée par une croissance forte avec une collecte de 5,6 milliards d’euros. Elle est ainsi adaptée à la poursuite de développement du Groupe et de son modèle multi-boutiques, désormais structuré autour de deux piliers métiers « core », que sont l’Immobilier et les actifs financiers, et d’une plateforme de distribution transversale.
Malgré le contexte de forte turbulence lié à la crise sanitaire, Le Groupe La Française entend poursuivre en cette année 2020 un développement ambitieux. L’ensemble des équipes de gestion et des équipes commerciales du Groupe sont mobilisées afin de continuer à offrir à ses clients et partenaires un haut niveau de qualité de service.
Eric Charpentier, Directeur Général du CMNE, déclare : « Je souhaite remercier Xavier Lépine pour la qualité de notre coopération pendant toutes ces années, sa forte contribution au développement du Groupe et son enthousiasme de bâtisseur. Je me félicite de la nomination de Patrick Rivière et de la nouvelle équipe de direction, qui sauront parfaitement répondre aux évolutions en cours et poursuivre avec succès le développement du Groupe La Française. »
Patrick Rivière déclare : « Ensemble depuis plus de 12 ans, nous avons œuvré avec Xavier Lépine pour permettre au Groupe d’être parmi les leaders européens sur des expertises différenciantes à forte valeur ajoutée. C’est une nouvelle page qui se tourne pour le Groupe, qui plus est dans l’environnement de crise que nous connaissons. Avec cette nouvelle gouvernance et le recentrage du Groupe opéré depuis plus de 2 ans, je suis convaincu que nos expertises de rendement, d’actifs réels, de crédit obligataire, de gestion systématique avec le model Risk@Work ou encore d’investissement durable ainsi que l’implication sans faille de nos équipes, auront plus que jamais leur place pour répondre aux besoins de nos clients et partenaires. Un défi que Pascale, Marc, Philippe et moi-même sommes prêts à relever à l’aune de ce contexte inédit ».
Marc Bertrand : diplômé de l’EDHEC en 1992, Marc débute sa carrière en 1994 comme contrôleur de gestion à la Direction Immobilière des assurances GAN. Il rejoint l’UFG en 1999 comme responsable du contrôle de gestion. Marc a ensuite rapidement exercé des responsabilités tant fonctionnelles qu’opérationnelles, alternant entre les fonctions de DAF du groupe et de Directeur Financier immobilier. D’abord en binôme, puis seul depuis 2014, Marc dirige les activités immobilières du Groupe La Française. Fin 2019 le pilier immobilier de La Française totalise plus de 23 milliards d’euros et compte environ 140 collaborateurs.
Philippe Lecomte : diplômé d’un DESS de l’Université de Sciences Economiques de Caen en 1991, il entame sa carrière au lancement d’INVESCO en Europe comme Head clientèle institutionnelle. Après avoir eu la charge du développement de l’Europe de l’Ouest chez INVESCO, il prend la Direction Générale de SCHRODERS en France en décembre 2003. Deux ans après, il est nommé Head of Global Financial Institution à Londres et rejoint le Comex Europe de SCHRODERS. En 2012, il rejoint Le Groupe La Française en charge du développement commercial du groupe.
Pascale Auclair : diplômée de l'Institut de sciences financières et d'assurance de Lyon, elle débute sa carrière en 1983 à la Société Générale en tant que gérante d’OPCVM obligataires puis exerce chez BAFIP, Cheuvreux de Virieu. En 1992, elle rejoint Groupama où elle prend la responsabilité de la gestion de taux, puis est associée en 1994 à la création de la filiale dédiée à la gestion d’actifs du groupe et au développement vers une clientèle externe. En 1998, Pascale Auclair prend la responsabilité des équipes de gestion obligataire et diversifiée et devient en 1999 Membre du Directoire de Groupama Asset Management puis Directeur général adjoint. En 2006, elle rejoint LFP Investissements en qualité de Directeur de la Gestion puis, lors de la fusion avec le Groupe UFG en 2010, est nommée Directeur de la Gestion et Directeur général de LFP, société de gestion dédiée à la gestion des valeurs mobilières au sein du Groupe UFG-LFP, devenu Groupe La Française. Pascale Auclair a été nommé Secrétaire général du Groupe La Française en 2018.
Patrick Rivière : diplômé de l'Institut de Science Financière et d'Assurances, il débute sa carrière en 1983 chez Cholet Dupont avant de rejoindre Fimagest en 1985. A la suite du rachat de Fimagest par la Générale de Banque en 1996, Patrick est nommé Président Directeur Général de Générale de banque asset management. Par la suite, dans le cadre de l’acquisition de Générale de Banque par Fortis, Patrick est devenu CEO de Fortis I.M. (1998-1999). Fin 1999, Patrick débute une carrière de neuf ans chez Invesco, en tant que Chief Regional Officer pour Invesco Continental Europe, Président du Directoire d'Invesco AM SA et CEO d'Invesco AM SA. Patrick a rejoint La Française en 2008 en tant que Directeur Général du Groupe.
Pour accéder au support : lfgrou.pe/P5u22F
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De toute évidence, les gens restent très méfiants compte tenu du risque d'une deuxième vague d'infection, ce qui est bien naturelle : la province du Heilongjiang a vu une soudaine résurgence de l'épidémie en avril qui a fait frissonner le pays. Les usines sont toutes à l'œuvre et produisent selon les directives du gouvernement central qui a donné la priorité à la réouverture de l'économie, mais les carnets de commandes ne sont pas pleins car les clients étrangers restent bloqués. En conséquence, nous constatons des signes d'accumulation d’inventaire. Les propriétaires de centres commerciaux ont renoncé aux loyers lorsque les villes étaient fermées, mais c'est maintenant terminé même si la circulation piétonne reste clairsemée. De même, le gouvernement central a supprimé toutes les demandes de paiements de sécurité sociale durant la période de confinement, et les autorités locales ont supprimé l’essentiel des impôts tout en accordant des subventions aux entreprises qui ne pouvaient pas fonctionner pendant la fermeture, mais ces mesures ont également atteint leur terme.
C’est pourquoi nous pensons que les résultats des sociétés cotées pour le deuxième trimestre pourraient être presque aussi mauvais qu'ils l'étaient pour le premier trimestre, même si la Chine a rouvert ses portes. Pour se remettre sur pied, la Chine a besoin que la pandémie soit résolument sous contrôle dans le monde entier et que les économies étrangères rouvrent. Avant que ces deux conditions ne soient remplies, nous pensons que le gouvernement central n'annoncera aucun puissant stimulus fiscal ni aucune baisse agressive des taux d'intérêt. Ce serait gaspiller des munitions.
Jusqu'à présent, les mesures fiscales n’ont été qu’un amalgame de mesures isolées qui ne représentent, en cumulé, que 3 % du PIB. Le soi-disant « helicopter money » était limité à certaines villes et strictement axé sur la consommation, comme la ville de Nanjing offrant USD 45m de coupons à utiliser dans les restaurants à ses 8.8m d’habitants (soit moins d’USD 6 par personne). Par conséquent, il est essentiel pour la Chine que l'Europe et les États-Unis rouvrent dès que possible pour relancer la demande de produits chinois. C'est à ce moment que la Chine décidera très probablement d'agir avec force sur les fronts monétaire et fiscal, avec l'impact positif que l'on peut attendre sur les marchés boursiers.
La bonne nouvelle est que cette réouverture devrait avoir lieu en mai, sans doute par phases. La mauvaise nouvelle est que les millions de personnes qui ont déjà été licenciées (comme dans le cas des États-Unis) ou qui sont sur le point de perdre leur emploi à la fin du confinement (comme dans le cas de l'Europe) ne vont pas dépenser d'argent en biens discrétionnaires. La reprise risque donc de prendre beaucoup de temps. Il est également probable que de nombreuses entreprises réexamineront les chaînes d'approvisionnement car l'épidémie leur a fait réaliser que leur dépendance à l'égard de la Chine est trop importante. Mais cela ne se fera pas du jour au lendemain, car des pays comme Taïwan, le Vietnam ou le Cambodge n'ont tout simplement pas la main-d'œuvre nécessaire pour remplacer la main-d'œuvre chinoise, tandis que l'Inde ne dispose pas des infrastructures nécessaires. Tout changement dans les chaînes d'approvisionnement centrées sur la Chine sera très probablement à la marge, selon nous, en particulier pour les biens de consommation électroniques.
Dans l'intervalle, nous nous en tenons à notre opinion exprimée au début de cette année selon laquelle nous finirons 2020 avec des indices boursiers chinois supérieurs à ce qu'ils étaient au début de l'année. Les actions chinoises ont surperformé tous les marchés développés l'année dernière et surperforment à nouveau cette année. Nous pensons qu'une partie importante de la masse monétaire créée par le biais de l'assouplissement quantitatif de la Fed et de la BCE sera investie dans des actions et des obligations chinoises. Le pays offre une liquidité de marché abondante, une politique monétaire saine avec des taux d'intérêt réels positifs, une monnaie stable soutenue par une balance courante a l’équilibre et d'importantes réserves de change, une pondération des indices MSCI qui continue de croître, une économie qui peut résister à l'agitation actuelle grâce à la demande de sa classe moyenne croissante et, surtout, une grande stabilité politique.
Si l’on s’éloigne de la Chine, on peut distinguer deux Asie très différentes entre celle du sud et celle du nord qui comprend la Corée du Sud et Taïwan. Du point de vue de la pandémie, ces deux pays ont remarquablement bien maîtrisé la propagation du virus. Ils sont souvent cités comme modèles. Taïwan (23m d'habitants) n'a eu que six morts, même s'il n'y a jamais eu de confinement, seulement des mesures drastiques nécessitant un sens élevé de la discipline individuelle. Pour mémoire, Hong Kong, où nous sommes basés, se trouve dans une situation très similaire avec 7m d’habitants et quatre morts seulement, sans confinement mais avec des frontières fermées et des mesures de distanciation sociale strictes qui sont appliquées avec un remarquable sens de l'autodiscipline.
D'un point de vue commercial, Taïwan et la Corée se portent plutôt bien: leur secteur technologique tout puissant mené par TSMC, Samsung Electronics et SK Hynix, ne montre pas beaucoup de signes de ralentissement. Ces trois sociétés ont annoncé leurs chiffres du premier trimestre et leurs perspectives pour l'année 2020 et ont surpris les analystes de manière très positive. Ces trois sociétés étant des forces dominantes dans le secteur des microprocesseurs et des mémoires (DRAM et NAND), elles sont un baromètre essentiel pour l'ensemble de l'industrie technologique. Notre exposition à la Corée et à Taiwan est importante et nous sommes confiants quant à sa robustesse. Il n'est pas surprenant pour nous que ces marchés aient surperformé les marchés émergents depuis le début de l'année aux côtés de la Chine.
En Asie du Sud, la situation est très différente. L'Inde est dans une situation préoccupante. Le déficit budgétaire de l'administration centrale était déjà de 3,7 % du PIB l'an dernier, et de 7 % du PIB si l’on consolide les déficits fiscaux de tous les États. Le groupe de réflexion du gouvernement fait pression pour qu’un plan de relance fiscale égal à 5 % du PIB soit lancé, mais il ne semble pas avoir gain de cause. Jusqu'à présent, le seul programme de secours fourni par le gouvernement a été d’USD 23mds de dollars, soit 1 % du PIB, ce qui n’est vraiment qu’une goutte d’eau dans l'océan. L'opinion des économistes est que le gouvernement Modi est très en retard pour tout ce qui est de prendre des mesures décisives. La Reserve Bank of India semble paralysée et cela depuis deux ans déjà, c’est-à-dire depuis le début de la crise des sociétés financières non bancaires (ou NBFC) qui avait été déclenchée par la faillite d'IL&FS. L'épidémie de coronavirus n'a fait qu'exacerber cette observation.
En Asie du Sud-Est, nous voudrions souligner les différences que nous constatons entre deux pays qui, de loin, peuvent se ressembler : la Thaïlande et l'Indonésie.
La Thaïlande souffre déjà largement du coronavirus car le tourisme s'est évaporé. Le tourisme représentait 11,5 % du PIB de la Thaïlande en 2019 mais avait des ramifications dans de nombreux autres secteurs de l'économie. Trois plans de relance budgétaire équivalant à 13% du PIB ont été annoncés récemment, s'ajoutant au déficit budgétaire de 2,6 % que le gouvernement avait déjà budgété avant ces mesures de stimulation. Il n'est pas surprenant que le baht thaïlandais se soit déprécié de 7,1 % par rapport à l'USD depuis le début de l'année. Mais ce qui nous préoccupe le plus à propos de la Thaïlande, c'est l'impact à long terme du coronavirus sur l'industrie du transport aérien, et plus précisément la disparition en cours des compagnies aériennes du type « low cost » que la pandémie a déclenchée et dont l'industrie touristique de la Thaïlande a grandement bénéficié. Sans les compagnies aériennes à bas prix qui acheminent des cohortes de touristes, les centres de vacances en Thaïlande pourraient bien être très différents à l'avenir.
En Indonésie, environ la moitié du pays est confiné. Cependant, la version indonésienne du confinement n'est pas drastique : les gens peuvent vivre une vie normale dans leur village mais l’accès au village est restreint pour les étrangers. Bank Indonesia, la banque centrale, a réussi à rassurer les investisseurs étrangers qui sont d'une importance cruciale puisqu'ils contrôlent 32 % de la dette souveraine du pays. La banque centrale a entamé un exercice d'assouplissement quantitatif égal à 3 % de son PIB, a réduit son ratio de réserves obligatoires pour les banques et, surtout, a conclu un accord de swap d’USD 60mds avec la Fed américaine. Cela a suffi pour que la roupie s'apprécie de 10 % en avril après s'être dépréciée de 17 % au premier trimestre de l'année. Ce sont des mesures fortes qui nous donnent confiance dans la trajectoire à long terme de l'économie indonésienne.
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]]>Gianni Pauwels détient une maîtrise et une licence en Sciences Economiques Appliquées de l’Université de Hasselt. Gianni est trilingue : Néerlandais, Anglais, Français.
Analyse macroéconomique par région
Aux Etats-Unis, la contraction du PIB du second trimestre est ainsi attendue à -35% en rythme annuel, les ventes au détail et la production industrielle de mars ayant enregistré leur pire mois depuis 1992. Les derniers chiffres des enquêtes PMI, parus le 23/04, font état d’une crise dont l’ampleur immédiate est supérieure à celle de 2008. Le PMI composite est en effet sorti à 27,4, soit le plus bas chiffre depuis que ces indicateurs sont calculés. La croissance 2020 devrait s’établir autour de -6% et rebondir à près de 5% en 2021.
En ce qui concerne l’inflation américaine, une baisse de respectivement 100 et 200 points de base de l’inflation core et headline en 2020 est probable. L’amplitude est importante ,et tient notamment à la forte corrélation de cet indice au prix du pétrole, en chute libre ; elle provient également, en mars, de la chute des prix des billets d’avion (coût d’arrêt sur le transport aérien). Néanmoins, cette baisse brutale de l’inflation sera très probablement suivie d’un rebond prononcé grâce à la reprise des prix de ces mêmes secteurs.
Au sein de la Zone Euro, les enquêtes d’activité PMI ont enregistré la chute la plus brutale de leur histoire en mars et sont attendues sur un niveau plus bas encore au mois d’avril : l’Italie est le pays le plus touché, puis l’Espagne, la France et dans une moindre mesure l’Allemagne et l’Irlande. Le choc devrait être beaucoup plus fort qu’en 2008. La croissance du PIB est estimée autour de -7% pour l’année 2020 (rebond de 5% en 2021), ce qui nous semble cohérent avec les indicateurs avancés et, en raison de biais sectoriels tels que le poids des services dans le PIB plus important, la zone Euro sera finalement plus impactée que les Etats-Unis.
Dans cette période de confinement, le panier du consommateur a été totalement transformé, au profit de l’alimentaire et au détriment des loisirs par exemple. Toutefois, l’institut européen Eurostat recommande aux instituts nationaux de maintenir toute l’année les mêmes poids des différents biens et services dans ce panier et de conserver comme priorité d’obtenir un prix pour chaque produit, quel que soit le canal d’information. L’inflation core devrait progressivement reculer à 0,5%, en raison de la baisse de l’indice des prix dans le secteur des services, qui ne sera que partiellement compensée par l’inflation alimentaire, tandis que nous estimons que l’inflation headline passera en territoire négatif à partir du mois prochain, pour une durée d’un an. A partir d’avril 2021, l’inflation devrait retrouver ses niveaux pré-crise.
La situation est sensiblement différente en Chine puisque le confinement fut levé dès le mois de mars (à l’exception de Hubei et Wuhan, épicentre de l’épidémie). La contraction du PIB du premier trimestre ressort ainsi à -6,8% sur un an glissant, chiffre qui nous inspire un certain scepticisme puisque difficilement réconciliable avec les données macroéconomiques dont nous disposons. Le déconfinement dans cette région, avant celui des pays développés, nous enseigne que la reprise sera longue et très progressive. Ainsi, les ventes au détail ont baissé de 16% en YTD (à fin mars 2020), mettant en exergue la difficulté des consommateurs chinois à reprendre une vie normale. De plus, l’effondrement de la demande mondiale freinera pendant plusieurs mois la reprise de l’activité industrielle chinoise.
Les pays émergents sont particulièrement affectés puisqu’à la crise sanitaire et au ralentissement du commerce mondial, s’ajoute la chute historique des cours des matières premières.
Durant les questions-réponses, M. Powell continuera probablement à rejeter la perspective de taux négatifs. Nous devons admettre que selon notre expérience en Europe, l'impact des taux négatifs sur le secteur bancaire est loin d'être positif !
Disclaimer
Les informations contenues dans ce document sont données à titre d’information et ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leurs évolutions. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer des opinions d’autres professionnels de la gestion. Il est rappelé, par ailleurs, que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps Publié par La Française AM FINANCE Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
]]>La sélection des titres est basée sur un processus d'investissement systématique développé par La Française Asset Management GmbH, lequel se fonde sur un modèle mathématique qui retient notamment des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Il s’agit d’un système de points purement systématique, sans prévisions, basé sur des classements, dans lesquels des critères de qualité, de valorisation, de volatilité, de risque et de durabilité, dont la gouvernance de l'entreprise sont pris en compte. Le processus de sélection est mis en œuvre trimestriellement, avec l’objectif d’aboutir à un portefeuille d'au moins 30 actions équipondérées. Une limite maximale de pondération est appliquée afin d'éviter une concentration des risques dans un pays donné.
Christian Riemann, Directeur de la Gestion de La Française Asset Management GmbH, conclut, « Ve-RI Listed Infrastructure est un outil de diversification pour l’investisseur qui lui donne accès au marché mondial des actions des sociétés actives dans le secteur des infrastructures et dont la performance est peu corrélée aux principaux indices de marché grâce à sa stratégie de gestion systématique. »
* La gestion systématique est un concept de gestion piloté à partir de modèles mathématiques mis en œuvre en vue d'obtenir des niveaux de performance et de risque optimaux.
]]>QUEL POURRAIT-ÊTRE LE COÛT ECONOMIQUE DE CETTE CRISE SANITAIRE ?
L’exercice est rendu encore plus difficile par la nature du choc inédit ainsi que le calendrier et les modalités de sortie du confinement. A mesure que le confinement s’étend, les prévisions concernant l’importance de la récession s’aggravent. Pour 2020, le FMI anticipe une récession de plus de 7,5% pour l’Europe, de 5,9% pour les Etats-Unis et de 3% au niveau mondial. Pour 2021, ce dernier prévoit une croissance de +4,7% pour l’Europe et les Etats-Unis et de 5,8% au niveau mondial.
Une chose est sure, le monde sera en récession profonde. Selon les systèmes sociaux nationaux et l’ampleur des politiques de soutien, les dettes publiques amortiront plus ou moins le choc mais les ménages et les entreprises ne seront pas épargnés.
QU’EN EST-IL DES BANQUES CENTRALES ?
Les banques centrales sont allées au-delà des actions prises lors des précédentes crises. Des mesures spectaculaires ont notamment été initiées par la Fed qui a augmenté son programme d’achat sur le marché secondaire (« secondary market corporate credit facility »). L’investissement initial de 20 milliards de dollars sur les programmes primaires et secondaires a été ainsi augmenté à 75 milliards de dollars1.
- Les obligations notées BBB-/Baa3 au 22 mars 2020 et dont les notations se sont dégradées à BB-/Ba3 sont désormais éligibles aux achats de la Fed.
- Les ETFs High Yield, initialement exclus, sont désormais éligibles si l’objectif du fonds est d’avoir une exposition aux marchés des obligations High Yield américaines. Cette annonce, bien qu’elle n’élimine pas les risques de défaut des sociétés américaines fragiles (B et CCC) reste très positive pour le marché du crédit en éliminant le risque majeur de dégradation des émetteurs BBB (« fallen angels ») et cantonnera une hausse généralisée des taux de défaut.
UN MARCHE HIGH YIELD SOUS TENSION
Les actifs risqués sont fortement pénalisés par la crise actuelle et en particulier le marché du High Yield très dépendant des données macroéconomiques et du niveau de solvabilité des émetteurs. Les spreads sur l’indice High Yield Global se sont écartés de plus de 400 pbs depuis début février. Les marchés émergents et américains ont été plus significativement impactés avec un écartement des spreads de l’ordre de 430 pbs et 550 pbs respectivement. Par ailleurs, les émetteurs les moins bien notés (B et inférieur) ont été naturellement plus touchés avec notamment un écartement des spreads de plus de 500 pbs pour le « B » contre 380 pbs pour le « BB ».
L’inversion des courbes, avec la hausse anticipée des taux de défaut, a également accentué la sous-performance des obligations court-terme par rapport aux émissions plus longues. Cette inversion des courbes s’applique également aux émetteurs BB et Investment Grade.
Récemment, l’annonce de la banque centrale américaine de procéder à des achats de dettes High Yield a provoqué un rebond significatif des valorisations.
1 Source : FMI, avril 2020
]]>2. Informations pratiques
Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.
Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 2 %. Le niveau du swing pricing est fixé à 5%.
L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus
nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.
Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.
Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (Key Investor Information Documents, « KIID ») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais.
Tous les documents sont mis à disposition gratuitement, sur simple demande au siège du Fonds et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles, agissant en qualité de prestataire de services financiers en Belgique pour le Fonds.
Le prix des actions est publié en Belgique dans L’Echo et De Tijd et peut être obtenu sur demande écrite auprès de BNP Paribas Securities Services Luxembourg, 60 Avenue J.F. Kennedy, L- 1855 Luxembourg et en Belgique auprès de CACEIS Belgium SA Limited Company, 86 C B320 Avenue du Port, B-1000 Bruxelles.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
2. Informations pratiques
Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.
Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 2 %. Le niveau du swing pricing est fixé à 5%.
L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus
nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.
Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.
Le prospectus en vigueur, les documents d’informations clés pour l’investisseur (Key Investor Information Documents, « KIID ») sont disponibles en français et néerlandais. Les rapports annuels et les rapports semestriels sont quant à eux disponibles en anglais.
Les documents d’informations clés pour l'investisseur doivent être lus avant de prendre la décision d’investir.
2. Informations pratiques
Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.
Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 3 %. Le seuil de swing swing est fixé à 5%.
L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.
Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.
2. Informations pratiques
Le swing pricing vise à protéger les actionnaires existants ou restants du Compartiment contre les effets de dilution qu'ils pourraient subir du fait de souscriptions, rachats et/ou conversions d'actions dans le Compartiment ou en dehors. De plus amples informations sur le mécanisme de swing pricing sont disponibles dans la section « TARIFICATION DES ACTIONS » du Prospectus.
Le facteur d'ajustement (swing factor) applicable (exprimé en pourcentage de la valeur liquidative) ne doit pas dépasser 5%. Le seuil de swing swing est fixé à 1%.
L'application du swing pricing sera constamment révisée et sera levée dès qu'elle ne sera plus nécessaire, en tenant compte du meilleur intérêt des actionnaires du Compartiment. Les actionnaires seront informés de la levée de l'application du swing pricing via un avis séparé.
Pour tout complément d'information, n'hésitez pas à contacter La Française Asset Management ou votre conseiller financier.
A bien des égards, la situation du marché de l’immobilier d’entreprise en général, et des SCPI plus précisément, était particulièrement favorable en ce mois de mars 2020.
L’immobilier, en tant que classe d’actifs, offre une prime de risque élevée par rapport au taux sans risque, et surtout en contrepartie d’une volatilité des prix très modérée. A ce jour, le taux de rendement des bureaux Paris QCA est de 3% pour une OAT 10 ans proche de 0%. La prime de risque de près de 300 points de base est donc supérieure d’environ 100 points de base à sa moyenne historique de 200 points de base, permettant le cas échéant de pouvoir amortir une variation des taux longs.
Précisément, pour cette prime de risque attractive, mais aussi pour sa capacité à produire des distributions régulières de revenus, l’immobilier est particulièrement recherché par l’ensemble des investisseurs, petits et grands, français et étrangers. Le premier trimestre 2020 a confirmé cet engouement, qui s’était traduit par une collecte brute record de 9,7 milliards d’euros sur les SCPI en 2019.
Dans un contexte de taux d’intérêts qui n’auront d’autre choix que de rester bas dans les prochaines années, il y a lieu de penser que cette originalité de l’investissement immobilier va perdurer. Aussi, si le deuxième trimestre devrait vivre un rythme de collecte différent, nous pensons que la collecte SCPI se rétablira progressivement sur les trimestres suivants.
Dans cette période de forte collecte, le marché de l’investissement a logiquement été très actif. Les taux de rendement immobiliers étaient orientés à la baisse mais sans remettre en cause la notion fondamentale de prime de risque. Aussi, les expertises du patrimoine ont progressé, mais de manière relativement mesurée dans les SCPI (entre 1% et 4% en moyenne en 2019). Dans une démarche prudente, nous avons répercuté, en ce début d’année 2020, cette hausse dans les prix de souscription en valorisant la moitié de nos SCPI d’environ 2%.
En termes locatifs, le marché des bureaux présente des fondamentaux sains en ce début d’année. La demande locative est ferme, plébiscitant les locaux neufs en localisation centrale. L’offre neuve est en progression, mais reste sous contrôle et cohérente avec l’évolution qualitative de la demande. La vacance locative a logiquement reculé et les taux d’occupation physiques de nos SCPI ont progressé en 2019 de +1,9 point pour atteindre 92,5% en fin d’année.
La forte diversification des localisations, des secteurs et des locataires est une caractéristique majeure de l’investissement SCPI et de nos portefeuilles en particulier. Nous avons en outre choisi de recentrer nos investissements Bureaux sur des bureaux neufs ou très récents situés dans les plus grandes métropoles et les centres villes. Nous avons accéléré fortement et depuis plusieurs années les arbitrages pour alléger les portefeuilles sur les immeubles anciens et les localisations périphériques. Nous avons également fortement accru notre sélectivité sur le secteur des commerces en diminuant légèrement l’exposition globale, aujourd’hui autour de 15% et concentrée sur des actifs de qualité. À ce jour, nos véhicules bénéficient d’une exposition diversifiée aux différents secteurs immobiliers, reflétant bien la composition du marché français et européen.
L’analyse complète de notre base de locataires, effectuée par nos équipes, confirme son importante diversification et sa majorité de grands utilisateurs, avec une proportion de TPE/PME contenue à 30% environ.
Le recours à l’effet de levier, nécessaire pour conserver un niveau de performance correct dans un environnement de taux très bas, est resté modéré avec un taux moyen d’endettement sur les SCPI de l’ordre de 20% (sauf politique d’investissement spécifique de la SCPI).
Les taux de distribution des SCPI de La Française se situent entre 4% et 5% en ayant constitué, avec des niveaux variables entre les SCPI, des réserves distribuables notamment grâce aux plus-values de cessions dégagées.
La crise du Covid-19 oblige à beaucoup de modestie sur les prévisions que nous pourrions établir pour les prochains trimestres. Pour autant, il est raisonnable de conclure que le marché immobilier dans son ensemble et les SCPI en particulier abordent cette période perturbée avec une situation de départ saine.
Durant ces dernières années, la politique suivie par La Française REM a visé à développer les SCPI en recentrant les portefeuilles sur les localisations et les immeubles les plus « core ». Sans préjuger de l’avenir, nous pensons que cette stratégie basée sur la recherche d’un couple rendement/risque prudent est un facteur supplémentaire de résilience de nos SCPI.
Nous tenions tout d’abord à vous remercier de vos partenariats fidèles, certains depuis 3 décennies et vous formuler deux souhaits : que vous et votre entourage soyez préservés et que cette pause imposée soit la plus courte possible. Soyez assuré de notre engagement à vos côtés, tant dans la meilleure gestion des produits que par la disponibilité de l’intégralité de nos équipes.
ÉTAT DES LIEUX DU COVID-19
A ce jour, la situation sanitaire évolue sans grande surprise. Même si le doute est permis sur le réel bilan de l’épidémie en Chine, il semble que l’Europe, Italie et Espagne en tête, répliquent correctement ce que l’on connait de l’expérience chinoise. Les Etats-Unis se préparent désormais avec plus de réalisme à subir le pic de l’épidémie dans les deux prochaines semaines.
QUEL POURRAIT ÊTRE LE COÛT ECONOMIQUE DE CETTE CRISE SANITAIRE ?
Pour les économistes, le temps est venu de l’évaluation du coût de la crise, de ses impacts sur le bilan des banques et celui des entreprises, secteur par secteur, et bien entendu sur les déficits publics. Ces estimations, ainsi que l’impact sur les ménages via le taux de chômage, sont à modéliser en fonction des stimulus budgétaires déjà annoncés ainsi que des amortisseurs sociaux qui varient énormément d’un pays à l’autre. Les scénarios convergent vers une récession mondiale en 2020 malgré un rebond économique vigoureux entre avril et juillet, selon la levée du confinement de chaque pays. Les prévisions s’établissent entre -2,7% et -4,5% pour la zone Euro, -2% et -6,4% pour les US, entre +1,5% et 0% pour la Chine ce qui nous amène à une croissance négative mondiale en 2020 de l’ordre de -2,5% en moyenne.1
D’un point de vue politique en zone Euro, la rapidité des engagements budgétaires a été salutaire mais on peut regretter la nouvelle occasion manquée de la zone Euro d’afficher une véritable cohésion. Nous prévoyons que les programmes de relance aillent au-delà des annonces récentes et nous ne pouvons qu’espérer une action conjointe d’envergure qui puisse marquer un tournant dans la coordination européenne.
QU’EN EST-IL DES BANQUES CENTRALES ?
L’intervention des Banques Centrales aura été efficace pour éviter la dislocation totale des marchés. Ils demeurent évidemment fragiles et la liquidité reste très faible sur la majorité des classes d’actifs, de celles réputées les moins liquides jusqu’à certains marchés de dette gouvernementale, comme la dette italienne ou espagnole sur lesquelles des transactions de quelques millions d’euros se révèlent encore difficiles à exécuter.
QUEL POSITIONNEMENT ADOPTER ?
Après le choc, la période qui s’ouvre sera tournée sur la valorisation de chaque classe d’actifs en fonction des conséquences spécifiques de la crise. Il nous semble aujourd’hui que le rebond des marchés d’actions, qui aux Etats-Unis a largement dépassé les points bas de décembre 2018, est exagéré. Nous continuons d’être également prudents sur les pays émergents sur qui de nombreux facteurs négatifs continueront de peser. Nous privilégions sur le marché du crédit, le segment de la dette subordonnée bancaire ainsi que l’Investment Grade sur lequel le marché primaire se réouvre et offre de réelles opportunités, comme cela s’était produit en janvier 2009 lors de la sortie de la crise financière.
Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 1er Avril 2020
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier suivantes : Epargne Foncière, Eurofoncière 2, Multimmobilier 2 et LF Grand Paris Patrimoine.
Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Oudot et Associés et le Cabinet Jeantet.
SCOR Investment Partners a été conseillé par l’office notarial Etude LEXFAIR. Les deux parties ont été assistées par Stratégies & Corp.
La Banque Européenne du Crédit Mutuel qui a financée l’acquisition, a été conseillée par l’office notarial Victoires Notaires Associés et le Cabinet Archers.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Aucune vaccination ou médicament efficace à un stade précoce n'est en vue. Le marché a réagi avec une rapidité historique en raison de l'ampleur de la crise sanitaire ainsi que du manque de visibilité concernant sa durée. La réponse des banques centrales et des gouvernements a également été sans précédent : des moyens littéralement illimités sont mis en œuvre pour soutenir tous les leviers des économies de la planète. Les niveaux des taux d'intérêt ont été poussés encore plus bas et ont donc renforcé l'attractivité à long terme du marché des actions. Malgré la gravité de la crise et le manque de visibilité concernant sa durée, nous pensons avoir identifié certains secteurs qui pourraient bénéficier de la crise actuelle et du monde post-Covid-19.
Le graphique ci-dessous illustre la surperformance relative des entreprises écologiquement viables pendant la récession
Les sociétés à forte intensité carbone sous-performent à l’échelle mondiale (en excluant le secteur de l’énergie)
Source: Inflection Point by La Française. 23 Mars 2020. Le facteur carbone est défini comme l'intensité carbone = émissions de carbone Scope 1 & 2 en tCO2e divisé par les revenus en euros. Dans chaque super-secteur ’’ ICB’’, nous prenons les sociétés dont l'intensité carbone se situe dans le top 10% et les comparons au reste du marché. MSCI ACWI hors secteur pétrole & gaz.
Bien que nous ne puissions pas encore être sûrs de l'impact de la crise sur la performance à long terme, cette première constatation est encourageante et corrobore nos conclusions selon lesquelles la durabilité et la prise de conscience des enjeux climatiques jouent un rôle important en influençant les valorisations des actions.
Achevé de rédiger par Nina Lagron, CFA, Responsable de la gestion actions, le 26 mars 2020
1 Source: The New York Times, March 26,2020. 2 Source: Forbes, March 26,2020. 3 Source: BBC, March 27, 2020
]]>Ainsi, quatre fonds gérés par La Française AM et intégrant les capacités de recherche extra-financière de son centre « Inflection Point by La Française », figurent parmi la liste officielle du ministère des finances des 362 fonds labellisés ISR (données disponibles au 31/01/2020, www.lelabelisr.fr) :
Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, conclut, « L’obtention de ces labels démontre une nouvelle fois, l’engagement de La Française à participer aux efforts qui visent à diriger des capitaux vers le financement de la transition énergétique. Avec Inflection Point by La Française, nous nous sommes donnés les moyens de concevoir une méthodologie d’analyse ESG innovante et adaptée à chaque classe d’actifs afin de proposer à nos investisseurs institutionnels et particuliers, une gamme diversifiée de solutions réellement pertinentes. »
Le label ISR distingue les « placements qui visent à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité ».
Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :
. Quelles conséquences aura la nouvelle réglementation européenne applicable aux sociétés de gestion et aux investisseurs ?
La nouvelle réglementation, si elle s’applique à tous les pays de l’Union européenne (UE), harmonisera les règles du jeu entre les différents acteurs et garantira une acception commune des concepts de finance durable, d’activités vertes et de fonds d’investissement socialement responsable (ISR). Toutefois, de nombreux pays essaient d’imposer des définitions nationales pour influencer la réglementation applicable à l’échelle de l’UE. Il est à espérer que la définition finale permettra de clarifier les choses et de définir une approche harmonisée, mais ce n’est pas ce que nous constatons actuellement. Nous convenons de la nécessité d’harmoniser les règles au niveau de l’UE, mais nous sommes conscients des conséquences indésirables que cela pourrait avoir. En effet, cela pourrait freiner l’innovation et alourdir le fardeau réglementaire qui pèse sur les sociétés de gestion et les investisseurs.
. Les sociétés de gestion seront-elles tenues d’investir une partie de leur encours dans des investissements ESG ?
Les sociétés de gestion ne seront pas obligées d’investir une partie de leur encours sur la base de critères ESG, mais il y a fort à parier que leurs clients les exhorteront à agir en ce sens et que les autorités réglementaires leur demanderont de rendre des comptes si elles décident de ne pas prendre en compte les critères ESG.
. Quel sera l’impact de l’investissement socialement responsable sur l’univers de l’investissement au cours des cinq prochaines années ?
L’investissement responsable peut avoir un impact fondamental en ce qu’il réorientera les capitaux vers les secteurs nécessaires au fonctionnement d’une économie bas carbone, au détriment des secteurs à forte intensité de carbone. Le changement climatique est le sujet crucial sur lequel l’investissement socialement responsable pourra avoir un impact quantifiable. Prendre en compte les critères ESG dans les décisions d’investissement et leur accorder une grande importance favorisera la transition dont nous avons besoin. Par conséquent, nous pensons que le secteur de l’investissement adoptera massivement l’investissement responsable pour rester utile à la société. La crise sanitaire actuelle est un point d’inflexion important et immédiat qui aura des conséquences à l’échelle mondiale. L’investissement responsable permet de mieux évaluer l’impact future des externalités négatives qui doivent être prises en compte lorsque l’on évalue la stratégie d’une entreprise.
Avertissement
Ce commentaire s’adresse aux investisseurs non professionnels au seul sens de la directive MIF II. Il n’est fourni qu’à titre informatif et instructif. Il ne constitue en aucun cas une prévision, une étude scientifique ou un conseil d’investissement, et ne saurait être interprété comme tel. Il ne s’agit en aucun cas d’un conseil d’investissement, d’une invitation ou d’une recommandation incitant à investir dans un produit ou instrument particulier ou à adopter une stratégie d’investissement spécifique. Les performances passées ne présagent pas des résultats futurs. Les avis exprimés par La Française reposent sur la configuration actuelle des marchés et sont susceptibles d'être modifiés sans préavis. Ces avis peuvent être différents de ceux d'autres professionnels de l'investissement. Ce document a été publié par La Française AM Finance Services, une filiale de La Française, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006, Paris, et opérant en tant que prestataire de services d'investissement sous la supervision de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, sous le numéro d'immatriculation 18673 X. Inflection Point de La Française Ltd, une société de droit anglais immatriculée sous le numéro 08773186.
Marc Bertrand,
Président de La Française REM
La date d’entrée en vigueur de cette modification est le 30 mars 2020.
Les autres caractéristiques du fonds demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « Conservateur Rendement 2022 »
Cette crise majeure nous fait vivre en accéléré le scénario que nous pensions voir se réaliser sur les 15 prochaines années. Rappelons-le, lorsque les climatologues nous interpellaient dans les années 2000 sur les conséquences du réchauffement climatique en 2100, la sensibilité des décideurs politiques et économiques était proche de zéro, la préférence pour le présent étant "humainement, économiquement et politiquement" dominante ; une valeur actuelle, pour parler mathématique, proche de 0 : (1 + 3 %)ˆ-100 = 5 % [3 % étant le taux de rendement nominal de très long terme]. Depuis la COP21, les climatologues ont réussi à convaincre les politiques de l’urgence climatique en évoquant 2030, soit une valeur actuelle qui passe de 5 % à 65 % soit (1 + 3 %)^-15. De cette accélération brutale de la valeur actuelle, soit par prise de conscience "éthique", soit par simple anticipation de nouvelles règles du jeu en cours d’élaboration, les acteurs économiques (dans une majorité de plus en plus importante) intègrent ces paramètres dans leur stratégie : transition énergétique et transition écologique (relocalisation, circuits courts etc.) deviennent incontournables. Rappelons-le, le coût de cette transition, au-moins dans sa dimension carbone, est estimé par le GIEC à 50 € la tonne de CO2, soit 2 000 Mrds € d’investissements par an, équivalent à 2 % du PIB mondial ! Ce qui nous a fait dire que, pour permettre ce financement, les taux d’intérêt longs seraient administrés pour rester bas pendant un minimum de 5 ans et plus probablement pendant une durée proche de 10 ans, le temps que les premiers investissements commencent à être rentables et que l’inflation pointe son nez (la mondialisation ayant eu comme effet bénéfique de réduire très fortement le concept de Price maker). Dans le même esprit, dans les pays développés le désordre social engendré par la mondialisation questionne de plus en plus les démocraties et les actions "S" de l’ISR et de l’ESG paraissent bien timides pour résoudre les inégalités devenues parfois insupportables (en 40 ans les prix à la consommation ont augmenté de x 3,5, le SMIC x 4… mais l’immobilier résidentiel x 10 dans les zones tendues et le MSCI total x 33).
Dans une logique d’arbitrage entre le rendement économique à court terme dans un environnement compétitif donné et la durabilité, les deux problématiques majeures pour les entreprises sont l’organisation d’une nouvelle supply chain partiellement "déglobalisée" et plus largement une complexité à définir un nouveau cadre à la notion de productivité et d’efficience du capital dès lors que la finalité de l’Entreprise n’est plus uniquement le profit.
Si ce n’est sa soudaineté et son universalité, la crise sanitaire s’inscrit dans la même logique d’externalité qui dans le cas présent n’avait jamais été prise en considération dans les raisonnements économiques, dans les équilibres financiers comme dans les agendas politiques…. Et sa valeur actuelle est de 100 !
Le scénario du pire doit être envisagé, ne serait-ce que parce qu’en tant qu’hypothèse, il sera pris en compte dans les décisions gouvernementales pour l’éviter. Concrètement, sur les deux premiers trimestres de 2020, la production mondiale va s’effondrer de 30 à 40 % et si les 3e et 4e trimestre se reprennent, la production mondiale sera en baisse de 20 % sur l’ensemble de l’année.
Quelle que soit la durée et l’ampleur de cette crise sanitaire, on peut sans grand risque affirmer que "quoi qu’il en coûte" non seulement les Etats et les Banques Centrales joueront leur rôle pour soutenir leurs populations et leurs économies mais également que les modèles économiques et sociaux seront revus en profondeur. De l’urgence climatique qui engendrait des arbitrages complexes entre l’urgence "relative", son coût, la perte de compétitivité entre concurrents nationaux comme internationaux plus ou moins sensibles à cette nécessité (de par leur règlementation nationale, cf. les climato-sceptiques et autres Trump), il parait désormais certain que la prise en compte des externalités sanitaires sera d’une toute autre ampleur et remettra en cause les modèles "de l’ancien monde".
J’ai peur de la table rase, mais aussi de son contraire : que la peur passe en vain sans laisser de trace derrière elle. " Paolo Giordano (Contagions)
S’il est très probable que les mesures pour assurer la liquidité seront efficaces, la question de la solvabilité se posera ensuite : quid des commandes et des fonds propres des entreprises alors que, paradoxalement, les efforts généralisés de soutien peuvent bénéficier à des passagers clandestins, i.e. notamment des entreprises ou secteurs qui n’auraient plus de sens dans ce nouveau monde entrainant une forte inflation et in fine une crise sociale et politique majeure.
Les réponses sont massives tant de la part des Banques Centrales que des Etats mais la question fondamentale qui se pose est de savoir jusqu’où nos économies s’organiseront différemment à la sortie de cette crise ?
Accepterons-nous l’idée, qu’une fois la crise sanitaire passée, nous changerons d’ère et que nous entrerons dans une économie de guerre où comme au début des années 40 aux Etats-Unis l’appareil productif doit être structurellement réorienté : l’augmentation des dépenses de santé qui était considérée comme une mauvaise nouvelle et celle de l’augmentation des ventes de voiture une bonne ne serait plus la bonne équation ? alors que les soldats qui sont au front sont ceux qui ont la valeur ajoutée la plus importante ?
Le "S" de l’ESG intègre désormais le Sanitaire : si nous avions souvent du mal à quantifier mathématiquement le S de l’ESG, il est clair que désormais ce critère sera prépondérant dans l’approche au même titre que l’Environnement.
Cependant si cette crise sanitaire crée une chute instantanée et mondiale tant de la demande que de l’offre et s’il est probable que l’organisation mondiale de la surconsommation ne sera pas reproduite, la question essentielle qui se pose est de savoir par quoi elle sera remplacée.
Si aujourd’hui tous les gouvernements (et les Banques Centrales) adoptent une politique de soutien de leurs économies par le biais de politiques budgétaires et/ou monétaires hors normes, tous les pays ne sont pas durablement en situation de le faire, notamment à l’intérieur de l’Europe où de nombreux Etats, et non des moindres, étaient déjà en surendettement.
Cette nouvelle économie privilégiera le Sanitaire : la santé, les services qui vont autour, l’alimentation, l’hygiène, l’éducation, l’intelligence artificielle et d’une manière plus générale le nomadisme virtuel (plus que physique)… ce qui suppose de convertir lorsque cela est possible, comme en économie de guerre, une partie des industries… et en revalorisant le modèle social aux bénéfices de ces populations.
La question du S pour Solidaire devient la question primordiale !
Dans une vision optimiste, même si elle est souhaitée par le secrétaire général de l’OCDE et de nombreux économistes, on peut espérer que les Etats mettent en place un Green New Deal et un Plan Marshall mondial dans une logique de solidarité pour la mise en place du nouveau monde "de relocalisation et de décarbonation" et même si aujourd’hui nous sommes incapables de chiffrer le coût de cette adaptation (y compris la socialisation des conséquences financières de la crise), il existe deux différences fondamentales par rapport aux crises précédentes : il n’y a pas eu de destructions physiques et, la crise n’étant pas d’origine financière ou économique, si la crise sanitaire ne dure pas trop longtemps, la majorité des Etats aura réussi à limiter la casse en terme de faillites d’entreprises. Le coût de la relance serait important mais ponctuel, resterait celui, colossal, de la transformation des modèles économiques et sociaux.
Dans une approche à ce stade malheureusement plus réaliste, on peut raisonnablement penser que post crise sanitaire, les plans de relance seront très nationalistes avec une très forte priorité au court terme, considérant, largement à tort, que le problème du réchauffement climatique est partiellement réglé du fait de la chute de la consommation, des modifications de comportements des acteurs et des relocalisations qui auront lieu. La démondialisation, déjà questionnée, va forcément s’accélérer, mais les réponses seront souvent nationales pour soutenir les économies locales (y compris nationalisation des compagnies aériennes et autres secteurs clés pour l’emploi, selon les pays). De nombreux Etats déjà surendettés, vont utiliser dans les mois qui viennent leurs dernières cartouches pour soutenir leur population à court terme, globalement le "système" sortira encore plus épuisé. En Europe, la position "nationaliste" de l’Allemagne qui annonce son plan de relance et refuse, jusqu’à présent, la mise en place d’un plan Marshall / New Deal à l’échelle de l’Europe en est l’illustration.
Il est vrai que les différences de systèmes sociaux selon les pays ne peuvent qu’inciter, au moins dans un premier temps, à des traitements différenciés : la France a un système de protection fort (chômage y compris chômage partiel), alors qu’à l’autre extrême des pays développés, le chômage aux USA va passer de 3 à 20 % de la population active avec une faible protection… et une forte augmentation des ventes d’armes car il faut bien se nourrir…
Il est bien évidemment trop tôt pour savoir entre l’utopie et la dystopie de quel côté va pencher la balance. Dans le meilleur des cas, le choc de la crise sanitaire crée un effet d’entrainement salutaire sur le long terme avec une forte réorientation de nos économies dans une logique où les externalités négatives (sanitaire, environnementales et sociales) sont prises en compte dans l’organisation du fonctionnement de l’économie mondiale (relocalisation, décarbonation) ; dans le pire des cas, l’égoïsme national l’emporte, l’Europe et sa monnaie unique éclatent, les taux d’intérêt longs montent fortement faute d’investisseurs de long terme, le court-termisme a épuisé les ressources financières et la planète continue de se réchauffer, certes plus lentement du fait d’une récession (plus ou moins) mondiale durable qui résulte de l’ensemble de ces paramètres, mais inexorablement.
Entre ces deux extrêmes, ce qui reste le plus probable, il faut espérer que la transition économique qui va avoir lieu ait suffisamment d’impacts pour que le retard que l’on prendra dans la transition environnementale soit supportable car en cas de crise environnementale… nous n’avons ni Etats, ni Banque Centrale… ni Planète B.
La réponse est donc largement dans les mains des Etats, des Banques Centrales (mais aussi des populations) et singulièrement de leur capacité à adopter une forme de solidarité qui est dans un premier temps apparemment moins optimum pour l’Etat qui soutient les autres ; autrement dit de leur capacité ensemble à investir sur le moyen terme. Les exemples ont historiquement existés sur des problématiques de long terme mais rarement sur celles de court terme (y compris récemment sur l’achat des masques de protection…).
CRISE HISTORIQUE … PLANS DE RELANCE HISTORIQUES
L’économie mondiale est à l’arrêt et nul ne sait combien de temps cette situation perdurera. Les économistes tentent actuellement d’adapter leurs prévisions de croissance à ce nouvel environnement hautement incertain, et le choc qui se profile aujourd’hui parait inédit. Certaines banques d’investissement prévoient pour le deuxième trimestre une contraction de -25 à -30% de l’économie américaine en rythme annualisé1, une baisse deux à trois fois supérieure à la pire baisse enregistrée dans toute l’histoire américaine. On peut tout à fait imaginer que l’Europe connaisse un choc équivalent de l’ordre de 20%. Ces chiffres sont impressionnants, avec des effets sans doute encore plus importants dans les industries les plus touchées comme le sport (-80%), les hôtels (-75%) ou encore le transport aérien (-44%, source IATA). La récession mondiale n’est aujourd’hui plus une possibilité, mais une quasi- certitude.
Les autorités, d’abord mesurées dans leurs réponses, ont, depuis la semaine dernière, semblé prendre la mesure de l’enjeu qui se trouve devant nous. Quelles sont ces réponses ?
Les banques centrales ont mis en place des mesures qui nous rappellent les moments les plus difficiles de 2008 :
De manière générale, après une période de flottement, ces annonces montrent que les autorités monétaires feront tout pour que le système parvienne à survivre : apport de liquidités et assouplissement des conditions de financement, pour les banques, les Etats et indirectement les entreprises.
Les gouvernements ont annoncé des mesures budgétaires jamais vues auparavant ; si on peut regretter l’absence d’une réponse européenne coordonnée, tous les pays européens ont cependant dit être prêts à tout pour soutenir leur économie et accorder de multiples aides aux entreprises pour qu’elles survivent. Et ce constat est le même de l’autre côté de l’Atlantique ou de la Manche. Si ces annonces ne sont pas encore finalisées ou définitives, elles paraissent tout du moins montrer que les gouvernements ont saisi l’ampleur du défi touchant nos économies. Revenons sur certaines de ces annonces :
Il est probable que d’autres plans de relance voient le jour dans les semaines qui viennent, avec un mantra qui semble partagé par la grande majorité de nos gouvernements : « quoi qu’il en coûte ».
Il nous est impossible de savoir quel sera le futur de cette crise, mais ces différentes actions auront des impacts à long terme pour l’ensemble des marchés financiers, impacts qu’il nous faut avoir en tête afin de pouvoir analyser correctement l’état actuel de ces marchés.
1 Source : Bureau of Economic Analysis, mars 2020 ex: Goldman Sachs -24%, BofAML -25%, Morgan Stanley -30%
2 OMT : Opérations Monétaires sur Titres
3 Source BCE, mars 2020
4 Source Fed, mars 2020
5 Source Bloomberg, mars 2020
6 Source Bloomberg, mars 2020
7 Source Bloomberg, mars 2020
Nous pensons que l'effet le plus important se fera sentir dans le secteur de la technologie, car la digitalisation va jouer un rôle majeur dans le monde de l'après-Covid-19.
Nous pensons que les hyperscalers, les opérateurs de centres de données, les concepteurs de logiciels d'infrastructure de communication, les entreprises spécialisées dans la cybersécurité, les fournisseurs de jeux en ligne et autres fournisseurs de divertissements en streaming, l'apprentissage en ligne ainsi que les entreprises proposant de reproduire des activités de plein air en intérieur seront les principaux bénéficiaires de la période de confinement actuelle.
La crise sanitaire actuelle aura des conséquences durables sur l’organisation du travail. Dans la période de confinement actuelle, les entreprises sont obligées de mener leurs activités en recourant presque exclusivement au télétravail. Jusqu’à récemment, dans de nombreux pays, le télétravail restait une pratique marginale.
Dans un contexte marqué par le prolongement de la période de confinement, il conviendra de développer des infrastructures de logicielles plus intégrées et plus personnalisées pour faciliter la communication et la collaboration au sein des entreprises.
Nous pensons que la sortie du confinement se fera de manière très lente et progressive et que les entreprises continueront à recourir au télétravail pendant plusieurs mois après la fin de la période de confinement. Si ce mode de fonctionnement parvient à prouver sa résilience en période de crise, les entreprises autoriseront peut-être les salariés ayant demandé à travailler de chez eux à continuer à télétravailler.
Les concepteurs de logiciels permettant le travail collaboratif enregistreront une croissance forte, qui devrait être durable.
Le télétravail devenant la nouvelle norme, la demande pour de l’espace de stockage « cloud » va augmenter, ce qui devrait profiter aux hyperscalers et aux opérateurs de centres de données.
La cybersécurité deviendra de plus en plus importante dans cette configuration de travail à domicile, dans la mesure où la totalité des échanges d’informations à lieu par le biais d’applications en ligne.
Les amateurs de jeux vidéo découvrent actuellement les jeux en streaming et il y a fort à parier que la transition vers le streaming et les jeux en ligne va s’accélérer, et que ce secteur enregistrera une forte croissance à moyen terme.
L’adoption des applications numériques s’accélère également dans le secteur du divertissement : les livres, podcasts, livres audio téléchargeables et évidemment le streaming vidéo profitent d’une conjoncture particulièrement porteuse. Nous pensons que la plupart des personnes ayant souscrit un abonnement à un site de streaming pendant la crise le conserveront par la suite, par souci de confort et après une expérience utilisateur concluante.
Avertissement
DOCUMENT A CARACTERE PROMOTIONNEL DESTINE AUX CLIENTS NON PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF. Les informations contenues dans ce communiqué ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leur évolution. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer d’autres sociétés de gestion. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997.
Certains marchés ont des airs de capitulation : Les valorisations des dettes Additional Tier 1 (CoCos) nous semblent ainsi particulièrement faibles au regard des fondamentaux.
Sans sous-estimer les impacts économiques majeurs de cette crise, les programmes de relance annoncés par les gouvernements et les dispositifs mis en place par la Banque centrale européenne sont de nature à rassurer. Les annonces de la BCE le 18 mars en sont une preuve supplémentaire. Le temps n’est plus à la main invisible, mais bien à l’interventionnisme pour relancer au plus vite l’économie et le secteur bancaire est clairement l’axe de transmission vers l’économie réelle qu’il nous faudra préserver à tout prix.
Les banques européennes ont la particularité d’évoluer depuis plus d’une décennie dans un contexte réglementaire hautement prudentiel, qui a massivement privilégié la solidité des bilans au détriment des actionnaires. Fortes de fonds propres gigantesques, elles présentent également une gestion du risque nettement plus prudente qui ne laissera aucune place au fameux « hasard moral », si les institutions devaient renforcer les mesures de soutien.
La classe d’actifs des dettes subordonnées bancaires est ainsi clairement notre conviction sur le marché du crédit en raison de leurs valorisations et d’un risque de crédit extrêmement faible sur le secteur.
Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 18 mars 2020
]]>Conformément à nos obligations et à nos normes professionnelles, La Française dispose d'un Plan de Continuité d'Activité qui a fait l’objet de mises à jour et de tests réguliers. De plus, tous les employés de La Française bénéficient aujourd’hui de l’équipement nécessaire pour travailler depuis leurs domiciles dans les meilleures conditions possibles.
Ainsi depuis ce jour, tous les employés du Groupe travaillent à distance.
Grâce à une organisation informatique et cybersécurité en permanence upgradée, nous sommes aujourd’hui en mesure d'assurer la continuité de nos activités de gestion d'actifs en dépit de conditions actuelles de marché troublées.
Pendant cette période singulière, les méthodes de communication à distance restent la seule option. Tous vos interlocuteurs La Française restent à votre disposition pour toute information. Les numéros de téléphone restent inchangés et en fonction.
Soyez assurés que la Française est plus que jamais mobilisée et continuera à prendre toutes les mesures nécessaires à la poursuite de ses activités.
Nous vous adressons, ainsi qu'à vos proches, nos meilleures salutations, et vous souhaitons, en ces temps agités, santé et sérénité.
Le service client se tient à votre disposition au 01 44 56 10 53. En vous remerciant de votre compréhension.
]]>EN TERRITOIRE INCONNU…
Les gouvernements et les citoyens occidentaux sont clairement entrés en territoire inconnu. L’Europe a mis quelques semaines à réaliser qu’elle allait vivre l’expérience inédite d’un confinement sévère, à l’échelle d’une grande partie de sa population. La bataille sanitaire pour maitriser la diffusion du virus et contenir le bilan humain n’a pas d’autre alternative.
QUELLES RÉPERCUSSIONS ?
Les marchés financiers encaissent un choc à la hauteur des incertitudes économiques actuelles. L’économie sera quasiment à l’arrêt pendant des semaines et les impacts sur la croissance, sur les ménages et sur les entreprises sont extrêmement difficiles à estimer.
SOMMES-NOUS DANS UNE CRISE SIMILAIRE A CELLE DE 2008 ?
Cette crise est radicalement différente mais elle entrainera elle aussi une récession mondiale. Les réponses politiques et financières de la semaine passée et de ce week-end ne nous permettent pas d’affiner nos chiffres sur ce point, mais nous pouvons en revanche avoir confirmation de l’engagement des États et des banques centrales dans la gestion de cette crise économique. Ces dernières, parfois tâtonnantes sur la forme, rappelleront rapidement que leurs interventions n’ont pas de limite en termes de taille.
D’autres part, les mesures de soutien à l’économie annoncées par les grands pays européens sont déjà importantes, d’autres viendront et nous savons d’ores et déjà que les budgets nationaux vont être massivement mis à contribution pour compenser les effets récessifs de cette crise.
Comme dans toute situation inédite, les incertitudes sont majeures pour l’économie. Les marchés financiers doivent en tenir compte et il en résulte une volatilité très importante. Mais les marchés se préoccupent également du risque de liquidité, qui peut parfois être plus dangereux que le risque économique lui-même. La combinaison de ces deux risques implique une visibilité très faible sur les marchés financiers, quelles que soient les classes d’actifs considérées.
Pour notre part, au-delà de l’objectif immuable de protéger la performance de nos fonds, nous portons aujourd’hui une attention toute particulière, sur l’ensemble de notre gamme, à ce risque de liquidité.
Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 16 mars 2020
]]>Quelles dispositions a pris La Française pour assurer la poursuite de son activité pendant toute la durée de la crise ?
Au cours des dernières années, La Française a largement développé le télétravail de ses collaborateurs et dématérialisé ses principaux processus de souscription et de gestion. Le Groupe a ainsi été le premier à proposer une souscription 100% dématérialisée. Disposant du socle technologique et humain pour rester opérationnel et adaptable, La Française a graduellement augmenté son niveau de précautions sanitaires en encourageant le travail à distance et réduisant drastiquement les déplacements. Ce fonctionnement distant nécessite d’adapter certaines habitudes de travail mais l’ensemble des fonctions de gestion des SCPI et OPCI est assuré de manière normale et sécurisée.
Quel impact aura cette épidémie sur l’immobilier et notamment sur les fonds gérés par La Française ?
Le fonctionnement proprement dit des fonds n’est pas impacté par cette crise. La comptabilité, la distribution trimestrielle, la fiscalité annuelle, les assemblées générales… tous ces processus vont se poursuivre de manière quasi normale.
Il est prévisible que les montants de collecte vont se contracter, mais nous vous confirmons que les souscriptions et demandes de retrait, lorsqu’elles seront transmises par voie digitale, seront enregistrées et traitées normalement.
Concernant les investissements et les arbitrages, nous prévoyons que la situation actuelle va ralentir le rythme des transactions immobilières et leur signature, sans toutefois les stopper. Les SCPI et OPCI gérés par La Française ayant globalement investi la totalité de leur collecte 2019, ce ralentissement simultané de la collecte et des investissements ne devrait donc pas peser significativement sur la performance.
Les transactions locatives vont certainement être ralenties, à la fois dans le rythme des locations mais aussi celui des congés. Les travaux de remise en état vont également être retardés. Ces phénomènes restent cependant peu volumineux et ne vont pas significativement impacter les résultats de l’année 2020.
Les propriétaires d’immobilier commercial continueront à être protégés par des baux de long terme. La majorité des actifs détenus par le Groupe La Française, et notamment par ses SCPI, sont des immeubles de taille significative loués à des entreprises de taille importante. Bien entendu, certaines entreprises de plus petite taille pourraient rencontrer des difficultés suite au ralentissement économique observé. Les mesures massives de soutien annoncées par le gouvernement devraient permettre de soutenir l’économie en général et ces petites entreprises en particulier.
Nous avons normalement et régulièrement encaissé le premier trimestre de loyers. L’encaissement du deuxième trimestre de loyers commencera début avril. Dans cette phase délicate pour les entreprises, nous pensons primordial d’adopter une démarche responsable vis-à-vis des clients que sont les locataires. Nous rechercherons ainsi l’équilibre entre l’exigence contractuelle découlant du bail et l’accompagnement individualisé de la situation des locataires sous forme, par exemple, de délais de paiements. A cet égard, la mesure gouvernementale annoncée le 16 mars visant « La suspension des factures d’eau, de gaz, d’électricité et de loyers pour les petites entreprises les plus en difficulté… » nous paraît justifiée sur le principe. Nous préférons néanmoins que la liberté de négociation commerciale entre bailleur et locataire soit respectée et convenir de modalités d’application adaptées à chaque situation.
Ainsi, nos véhicules d’investissements immobiliers pourraient être provisoirement impactés en cas de support à apporter aux locataires, de légers décalages dans les programmes d’investissements ou de relocations. Mais la politique de gestion de la Société, notamment la constitution de réserves sur la majorité de nos SCPI, pourra venir soutenir la distribution en 2020.
Quel impact aura cette crise sur le secteur immobilier ? À plus long-terme ?
Il est évident que l’épidémie de COVID-19 n’a pas qu’un impact sanitaire sur nos concitoyens et notre pays. Les conséquences sont également visibles sur l’économie et spécialement sur les marchés financiers qui ont réagi lourdement au rapide développement de l’épidémie dans les pays occidentaux. Les prévisions de croissance mondiale ont ainsi été revues fortement à la baisse mais il reste difficile de mesurer l’ampleur des conséquences sur l’économie.
Face à cette réalité, il est important de rappeler que l’immobilier reste un investissement de long terme, dont l’horizon de placement est au moins de 10 ans. A cette échelle, si l’on se fie à l’exemple chinois où l’épidémie a atteint son pic au bout de 3 mois et où le nombre de nouveaux cas diminue quotidiennement, l’immobilier ne devrait être que peu touché à long terme. Il est important de rappeler que lors des dernières crises financières (à commencer par celle de 2008), les taux de distribution des SCPI n’avaient pas été impactés par ces phénomènes financiers.
Nous pouvons en revanche sans trop de risque d’erreur affirmer que ces difficultés économiques anticipées vont conduire les États à assouplir encore leur politique budgétaire et maintenir, voire accentuer ou a minima prolonger, leur politique de taux bas. Ce contexte de taux bas reste un facteur positif pour la valorisation de l’immobilier qui devrait donc, par un couple risque/rendement équilibré, maintenir son attractivité comparativement aux autres classes d’actifs.
La crise que nous connaissons est de nature et d’ampleur inédite. La gestion et la résolution de cette crise repose sur un comportement collectif responsable et solidaire, tant du point de vue de la gestion sanitaire que des impacts économiques.
C’est dans cet esprit que les équipes de La Française s’organisent et adaptent leurs actions pour assurer la continuité de gestion et de services aux distributeurs, investisseurs mais aussi aux quelque 6 000 locataires qui occupent les 4 millions de m² de notre patrimoine.
Nos équipes, intégralement organisées en télétravail pour la période à venir, ont à cœur de maintenir le même niveau de service et restent bien évidemment à votre disposition.
Marc Bertrand,
Président de La Française REM
Selon les données, les innovations s'accélèrent dans de nombreux pans de l’économie. En conséquence, de nouveaux produits et services font leur apparition dans la société à vitesse grand V et chamboulent les entreprises à un rythme plus soutenu. Les entreprises qui investissent le plus dans la recherche et le développement parviennent à surperformer.
Les marchés financiers sont restés calmes tant que l’épidémie a été contenue sur le territoire chinois et ont brusquement décroché lorsque la dissémination mondiale est apparue inévitable. Au-delà du risque sanitaire, la réaction des marchés traduit les anticipations de baisse de la croissance mondiale et un ajustement massif des bénéfices d’entreprise.
La nature de cette crise et son caractère inédit rendent compliquées les projections économiques et financières.
Au-delà des développements d’ordre sanitaire, il existe aujourd’hui peu d’éléments économiques concrets sur lesquels s’appuyer :
Les conséquences politiques de moyen terme pourraient être fortes, chaque gouvernement devra répondre de sa gestion de la crise et cette défense sera délicate quelle que soit sa qualité. Certains aspects politiques nous paraissent particulièrement impactants pour les marchés financiers :
Perspectives. La Chine est aujourd’hui très probablement en récession et il existe des scénarios crédibles de ralentissement mondial marqué ainsi que des incertitudes fortes sur la durée de ce ralentissement. Le scénario de croissance en forme de « U » avec une incertitude sur la dynamique de redémarrage est déjà projeté par certains industriels, comme BASF pour qui le ralentissement s’inscrit déjà dans le second trimestre 2020.
Il nous semble que les marchés d’actions, et dans une moindre mesure les marchés obligataires, n’ont aujourd’hui valorisé qu’en partie seulement les dommages économiques et humains de la situation et qu’ils ne pourront obtenir de visibilité sur l’évolution de la situation avant plusieurs jours, voire plusieurs semaines.
Dans l’intervalle, nous devons probablement nous attendre à des informations négatives, que ce soit à propos de la diffusion du virus ou bien de la tendance économique et cela ne devrait pas permettre aux marchés de rebondir durablement. Il convient donc probablement de rester prudent sur les actifs à risque.
Il convient également de privilégier les actifs et les couvertures liquides. En effet, les rebonds de marchés baissiers sont souvent très violents et les annonces politiques pourront demander des ajustements rapides des expositions.
Achevé de rédiger par Jean-Luc Hivert, Directeur Général de LFAM, le 02 mars 2020
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Marc-Olivier PENIN, Directeur Général de La Française Real Estate Managers :
« L’année 2019 a été riche en activité pour nos SCPI avec 1,2 Md€ de collecte, 1,5 Md€ en investissements et 330 M€ de cessions. La revalorisation des patrimoines de nos SCPI reflète avant tout la qualité de notre gestion, qui comprend la sélection des investissements bien entendu, mais également la gestion et la rénovation du parc immobilier existant pour répondre aux nouveaux enjeux de transition énergétique et d’usages des locataires utilisateurs. »
SCPI d’entreprise :
Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la Société de gestion est de 9 ans. La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. L’attention des investisseurs est attirée sur le fait que la SCPI peut recourir à l’endettement. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI.
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Certifié HQE Excellent, le Skyline vise une consommation énergétique de 97,67 kWhEP/m².an et des émissions de GES de 3 kgéqCO2/m², ce qui en fait un immeuble vertueux et participe pleinement à l’objectif de La Française REM de réduire les émissions de gaz à effet de serre produites par son parc immobilier.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1.
Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Graf Notaires. Keys REIM a été conseillé par 1768 Notaires. Enfin les deux parties ont été conseillées par CBRE.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le constat est clair, depuis maintenant plusieurs années et cela devrait perdurer, nous évoluons dans un environnement de taux bas avec près de 20% des actifs obligataires qui offrent un rendement négatif. N’oublions pas les banques centrales qui maintiennent inexorablement un discours accommodant et se tiennent prêtes à tout pour soutenir l’économie comme en attestent les trois baisses de taux successives de la Réserve fédérale américaine aux USA ou encore le nouveau programme d’achats d’actifs de la BCE pour près de 20milliards par mois. Pour pouvoir offrir du rendement, une prise de risque supplémentaire est nécessaire notamment au travers de classes d’actifs telles que les obligations dites spéculatives ou les subordonnées bancaires, ces titres offrant des rendements potentiellement plus attractifs.
Comment évoluent les fonds flexibles dans ce contexte ?
Ces solutions ont été pénalisées depuis de nombreuses années, les performances ne sont plus au rendez-vous en raison :
Dans cette situation, investir sur les marchés High Yield et d’actions aurait été bien plus rémunérateur. A La Française, nous estimons que cet environnement devrait perdurer, c’est pourquoi dans une logique de besoins clients et de visibilité, nous avons lancé La Française Rendement Global 2028 PLUS, une nouvelle solution d’investissement combinant marchés obligataires et d’actions.
Comment cela fonctionne t'il?
Le fonds investi dans des obligations émises par des entités privées ou publiques qui génèrent des coupons. Ces derniers sont capitalisés sous forme d’enveloppe qui est ensuite investie de manière systématique, c’est-à-dire sans convictions gérant, sur les marchés actions mondiaux via des produits dérivés.
L’enveloppe investie sur les marchés actions est calibrée et elle est limitée aux seuls coupons attendus des titres détenus en portefeuille. La somme des coupons diminuant au cours de la vie du produit, l’exposition aux marchés d’actions sera logiquement dégressive.
Dans une logique de préservation du capital, l’exposition aux marchés d’actions sera ajustée de manière trimestrielle et couplée à un mécanisme de prise de profits au-delà d’un certain niveau de performances des marchés actions.
Qu'attendre d'une telle solution en matière de performances ?
3 scenarii sont possibles à l’échéance du fonds (décembre 2028)
Pourquoi choisir La Française Asset Management ?
Nous sommes précurseurs dans les fonds à échéance et disposons de près de 20 ans d’expérience. Nous avons même été primés pour l’innovation que cela représentait lors du lancement de notre premier millésime**. Depuis, nous avons lancé près de 30 fonds et nous gérons près de 2 milliards d’euros d’encours sur ce type de stratégie.
* La perte sur les marchés actions pourrait être compensée par le portage obligataire et les prix des titres qui tendraient vers leur valeur de remboursement
**Les références à des classements et récompenses passés ne préjugent pas des classements ou des récompenses à venir. En fonction de la date d'édition, les informations présentées peuvent être différentes des données actualisées. ** Grand Prix de la Créativité – Le Journal de Finances 2002
La Française Rendement Global 2028 PLUS est un compartiment d’une Société d’Investissement à Capital Variable agréée le 14/08/2018 de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le compartiment a été agréé par l’AMF sous forme de SICAV le 30 août 2019.
Société de gestion : La Française Asset Management – France – Agrément AMF GP 97-76 le 1er juillet 1997
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org. ACPR www.acpr.banque-france.fr
Commercialisateurs : La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par l’ACPR sous le n° 18673 et enregistré à l’ORIAS sous le n° 13007808 le 4 novembre 2016, Carte Professionnelle délivrée par la CCI Paris Ile-de-France sous le n°CPI 7501 2016 000 010432 - Transaction sur Immeubles et Fonds de commerce
Dans le contexte global de fortes mutations liées aux défis environnementaux et sociétaux, La Française a réaffirmé en 2019 son positionnement d’acteur responsable en structurant sa démarche autour de la création d’une direction transversale dédiée, preuve de son engagement à participer aux efforts internationaux qui visent à diriger des capitaux vers le financement de la transition énergétique et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. En qualité d’asset manager responsable, La Française est convaincue qu’il est indispensable d’intégrer ces changements majeurs. Ceux-ci sont autant d’opportunités de reconsidérer l’avenir, en identifiant de nouveaux leviers de performance, pour que l’épargne soit un moyen d’agir. C’est toute la démarche du Groupe La Française, rendue possible grâce à son centre de recherche extra-financière Inflection Point by La Française.
Un ensemble cohérent d’expertises complémentaires : le modèle multi-boutiques
Le Groupe débute 2020 avec une structure rationalisée, organisée autour de 2 piliers, l’immobilier et les actifs financiers. Il poursuit ainsi un développement ambitieux, grâce à une stratégie multi-boutiques assurant expertises complémentaires et solidité au Groupe, le tout leveragé par une plateforme innovation, qui vient fédérer les nouvelles activités identifiées comme des business clés de demain. Ainsi La Française, continuera à développer des solutions d’investissement sur ses expertises phares adaptées aux enjeux, et ses initiatives entrepreneuriales et innovantes telles que le développement de sa plateforme BtoC Moniwan ou encore Newtown Square et son concept d’eco-working.
Xavier Lépine, Président du Directoire du Groupe La Française, conclut « L’année 2019 a été marquée par bon nombre de succès pour le Groupe La Française. Nous poursuivrons notre stratégie de développement en 2020, année qui s’annonce abondante en défis. Le contexte de taux bas, la réforme des retraites et la prise de conscience de la société civile des enjeux climatiques vont modifier fondamentalement l’industrie de la gestion d’actifs. La force de notre modèle, notre engagement ainsi que celui de nos collaborateurs en matière de responsabilité sociale et environnementale placent le Groupe La Française en bonne position pour répondre favorablement aux nouveaux enjeux.»
Zoom sur les résultats du Groupe
Une année record pour le pilier Immobilier
Le pilier « immobilier » de La Française a collecté 3,7 milliards d’euros bruts en 2019, soit 16 % de plus qu’en 2018, portant ainsi le total de ses encours immobiliers à 23,6 milliards d’euros au 31/12/2019. 32 % de la collecte 2019 en immobilier proviennent d’investisseurs étrangers et principalement d’Asie.
Le contexte de taux bas a agi en faveur des placements en immobilier. Le marché européen continue d’attirer les investisseurs institutionnels comme en témoigne la coacquisition de Crystal Park à Neuilly-sur-Seine avec Samsung Securities, la signature du joint-venture avec le CMNE et CPPIB (Canada Pension Plan Investment Board) pour le développement de la Foncière du Grand Paris ou encore le co-investissement dans D-Square au Luxembourg aux côtés d’investisseurs Sud-Coréens. Xavier Lépine souligne « Preuve de l’installation de La Française comme acteur incontournable pour les investisseurs étrangers : la Corée du Sud qui a été en 2019, le 2ème investisseur en France, a confié près de la moitié de ses transactions au Groupe ». Les mandats signés en 2019 représentent près de 2 milliards d’euros de collecte pour La Française et les premières semaines de 2020 confirment la poursuite de cette tendance avec la signature notamment d’un mandat avec PFA, fonds de pension Danois.
Les particuliers ont plébiscité les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) en 2019, et La Française a très largement profité de cet engouement grâce à une gamme complète et diversifiée permettant d’atteindre un plus haut historique de collecte brute avec plus de 1,1 milliard d’euros. L’attrait pour les unités de compte au sein des contrats d’assurance-vie, laisse entrevoir de belles perspectives pour La Française et son offre immobilière en 2020.
La Française, grâce à sa plateforme européenne d’investissement avec des centres de gestion à Paris, Francfort et Londres, a réalisé 4 milliards d’euros d’acquisitions pour le compte de fonds retail et mandats et a cédé 330 millions d’euros, dans un marché européen dynamique, notamment en France avec une hausse du volume des transactions en immobilier d’entreprise atteignant 38,6Md€ (Source : CBRE). Parmi les acquisitions les plus emblématiques :
Un pilier Actifs financiers porté par un fort développement à l’international.
Le pilier « actifs financiers » de La Française a collecté près de 2 milliards d’euros nets portant ainsi ses actifs en valeurs mobilières sous gestion à près de 46 milliards d’euros, dont 34 % pour le compte d’investisseurs étrangers.
Avec l’intégration de Veritas, l’Allemagne est devenue le deuxième marché de La Française et représente plus de 12 % des encours du groupe. Désormais, le modèle multi-asset quantitative Risk@Work développé par Veritas, est intégré dans le process de gestion de plusieurs fonds français. Des synergies en matière de gestion font surface et la stratégie d’investissement « carbon » développé par La Française AM avec le centre de recherche extra-financière Inflection Point by La Française, s’intègre dans les fonds quantitatifs, gérés par sa filiale allemande, La Française AM GmbH.
Deux fonds crédit du Groupe ont dépassé la barre symbolique de 1 milliard d’USD sous gestion au 31/12/2019, confirmant ainsi l’attrait des investisseurs pour les solutions obligataires de La Française AM. Au cours de l’année 2019, La Française a lancé trois nouveaux fonds à échéance dont un avec une stratégie crédit dit « low carbon ». Le groupe propose désormais aux investisseurs une gamme de solutions leur permettant de se positionner sur des créneaux porteurs liés à la limitation de la hausse du réchauffement climatique.
Les encours de LFIS ont augmenté de 6% en 2019 pour atteindre 14 milliards d’euros. Cette croissance s’explique par la performance robuste des fonds sur l’ensemble de la gamme, ainsi que par la collecte nette positive enregistrée sur la gamme de fonds Premia sur un type de clientèle plus large, notamment en provenance d’Australie et du Canada. L’année 2019 a été également marquée par la dynamique positive sur l’approche multi-actifs « Perspective » de LFIS et par le lancement de plusieurs nouvelles stratégies qui pourraient être les futurs moteurs de croissance de LFIS.
Spécialisée dans la détection et l’investissement dans des sociétés de gestion et des startups technologiques pour le compte d’institutionnels français et internationaux, NewAlpha a enregistré une collecte nette supérieure à 200 millions d’euros portant ainsi son encours géré à 2,2 milliards d’euros.
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La Française Global Coco est un portefeuille diversifié de 108 titres (84,49 % de Cocos) de 71 émetteurs globaux dont la note moyenne est A. Au 31/01/2020, son actif sous gestion est de 61 millions d'euros. Le fonds a un horizon de placement recommandé supérieur à 5 ans et affiche une performance nette cumulée depuis sa création (18/01/2017) de 27,45 % (Part I, au 31/01/2020), dépassant celle de l'indice ICE BofA Merrill Lynch Contingent Capital EUR Hedged Total Return Index (24,06 %). Au cours des trois dernières périodes de 12 mois calendaires, la part I du fonds et l'indice ont enregistré respectivement les performances nettes suivantes : 16,66 % contre 15,31 % (2019), -6,08 % contre -5,44 % (2018), 14,22 % contre 12,07 % (2017).
Jérémie Boudinet, gérant du fonds, a déclaré : « Le marché des Cocos a connu une croissance rapide grâce à la normalisation des conditions d'émission et à la mise en œuvre progressive du cadre de Bâle III dans de nombreux pays hors de l'Europe. Les Cocos sont surtout associés aux émissions de banques européennes, mais des opportunités qui existent désormais dans d’autres parties du monde nous offrent des possibilités de diversification et d'arbitrage de rendement. Nous pensons que le secteur bancaire peut profiter des tendances fondamentales positives, car la réglementation incite à renforcer les bilans et à réduire les passifs ; de même, cela signifie une réduction considérable du risque systémique. Selon nous, les valorisations et les rendements des Cocos sont intéressants dans le contexte actuel de taux bas qui devrait perdurer, notamment par rapport à d'autres classes d'actifs dites « high beta ».
]]>De nombreux phénomènes sociétaux, économiques et financiers conduisent à une tendance structurellement haussière des prix de l’immobilier dans les zones tendues et singulièrement à Paris qui, dans les faits, font que sur un horizon de temps de plusieurs années, même si les prix peuvent temporairement baisser, ce phénomène de hausse ne pourra être endigué.
Tout d’abord la métropolisation, ce processus de renforcement de la puissance des grandes métropoles par l’accroissement de la population, de la densité des réseaux de communication, de la concentration d’organismes de commandement dans tous les domaines (production, recherche et culture) n’est pas prête de s’arrêter, spécialement dans un pays aussi centralisé que la France. On peut peut-être le regretter mais la réalité est bien qu’elle oriente le développement mondial vers une économie d'archipel où les échanges se font moins entre nations qu'entre métropoles et la région parisienne représente 30 % du PIB national pour 23 % de la population.
Paris est, de fait, parmi les capitales où la densité de la population est la plus élevée avec 21 000 habitants au km2 (à comparer par exemple à Séoul avec 16 000) et il est illusoire d’espérer densifier beaucoup plus en construisant des tours résidentielles. Paris se vit dans le même espace depuis 150 ans, le Grand Paris Express, avec ses 68 gares et ses 200 km de voies ferrées, permettra de créer un espace urbain connecté, désengorgera donc Paris (la densité actuelle sur le Grand Paris n’est que de 1 000 habitants par km2) et sera LA RÉPONSE institutionnelle qui permettra de stopper cette hausse de prix… mais dans 10 ans, sous réserve que les infrastructures et les programmes immobiliers résidentiels soient réalisés et financièrement abordables (paradoxalement le nombre de permis de construire et de mises en chantiers baisse…).
Les facteurs de hausse sont bien là et aucun choc de l’offre ne peut à horizon visible s’opposer aux réalités d’aujourd’hui qu’il faut donc adresser maintenant et pas dans 10 ans. Ce phénomène de hausse n’est pas uniquement lié à la métropolisation mais tout concourt à la hausse.
Citons, l’allongement de la durée de la vie qui fait que non seulement l’héritage se réalise beaucoup plus tard mais également que les "parents" restent beaucoup plus longtemps dans leur bien, créant ainsi un double effet négatif sur l’offre et sur la demande solvable ; l’éclatement des cellules familiales qui génère un besoin supplémentaire de logements ; la mondialisation qui crée un marché du pied-à-terre, spécialement dans les quartiers huppés où les pied-à-terre logeaient auparavant des familles entières, entrainant une gentrification progressive de tout Paris ; enfin, facteur beaucoup plus puissant, la baisse des taux d’intérêt.
La baisse des taux d’intérêt, parfois 1 % à 25 ans, a un double effet inflationniste sur les prix de l’immobilier : d’abord elle diminue le montant à rembourser et facilite une première augmentation des prix, ensuite, comme seul le capital à rembourser devient la contrainte financière (la charge d’intérêt étant quasi-nulle) cela favorise l’allongement de la durée des crédits.
La réalité économique est que, depuis le choc pétrolier de 1973 et singulièrement l’accélération de la mondialisation avec l’entrée de la Chine dans l’OMC en 2001, la réponse univoque des pays occidentaux pour en limiter l’impact sur leurs économies a été la création monétaire et une économie de l’endettement. L’excès de création monétaire, largement supérieure à la création de richesse, s’est reporté sur les actifs financiers comme immobiliers d’où la hausse généralisée des prix des actifs !
La croissance reste faible et le restera durablement selon le FMI ; il faut de surcroît financer la transition énergétique ce qui va conduire à une augmentation globale de l’endettement de plusieurs dizaines de pourcent de PIB dans les années à venir. Tout concourt à ce que la BCE maintienne durablement une politique de taux d’intérêt bas… avec les mêmes effets.
Ne pouvant résoudre à un horizon visible le choc de l’offre, il n’y a pas d’autres solutions que d’aider à solvabiliser la demande, en utilisant tous les outils possibles et en l’encadrant pour en limiter les effets de bords, ce qui n’a pas été fait jusqu’à présent.
Ainsi, il est malheureusement clair que dans un univers où la construction de logements supplémentaires dans Paris est contrainte par la rareté du foncier, une politique trop expansive de logements sociaux se traduirait forcément par la sortie de logements privés du parc disponible et donc une inflation, tant des loyers que des prix de vente du parc privé.
De la même manière, une foncière qui achèterait pour 20 Mds € de logements aurait incontestablement un effet bénéfique pour les locataires qui pourraient accéder à ces logements et un effet désastreux pour les autres sous le double effet de l’impact inflationniste sur les prix de vente, initiés par un tel volume d’acquisitions comme par la sortie du parc de logements privés de ce même volume de logements.
Cette démarche renforcerait un "Paris à deux vitesses" : des logements sociaux d’un côté, des ultra-riches de l’autre… et les classes moyennes ? ailleurs !
Alors face à cette situation, il n’y a pas de réponse unique mais un ensemble de démarches possibles auxquelles il faut avoir recours. Les actions pour créer une demande solvable reposent toutes sur une réalité - un environnement de taux bas – et un mécanisme - la séparation de la propriété dans le temps ou dans l’espace - autrement dit une "propriété réduite"… qui est mieux que pas de propriété du tout surtout si cette "propriété réduite" est d’un coût comparable à un loyer (un parc locatif abordable peut et doit aussi être créé sur ces bases).
Le système idéal n’existe pas et chaque dispositif répond à des objectifs et des typologies de situations différentes : recherche de flexibilité, de transmission, de préparation de la retraite, de capacité financière… C’est la richesse de la panoplie qui permettra de résoudre, au moins partiellement, cette problématique qui créera la véritable ville durable du XXIe siècle ; celle qui sera inclusive !
Prenons l’exemple des banques hollandaises, suédoises ou suisses qui prêtent en même temps à la personne et au bien. La personne rembourse sur 20 ans la moitié du crédit (les intérêts étant à sa charge) et l’autre moitié, reste attachée au bien : cela réduit de 40 % la charge de remboursement du prêt qui devient ainsi comparable à un loyer. Pour limiter l’impact inflationniste, l’Etat régule (lors de la mise à disposition du prêt) la quotité de remboursement annuel de l’emprunteur. L’acquéreur, sauf s’il peut et souhaite rembourser la totalité de l’emprunt, conserve toujours une quotité d’endettement sur son bien dont la charge est limitée aux seuls intérêts ; charge qui est bien inférieure à un loyer et il conserve la plus-value lors de la cession du bien.
L’Angleterre pratique la séparation entre foncier et bâti mais dans un système aujourd’hui archaïque et surtout inapproprié au contexte français. Le Bail Réel Solidaire mis en place par le gouvernement actuel repose sur ce principe et permet de réduire également de 40 % le coût. Pour éviter l’effet d’aubaine et l’impact inflationniste, les transactions ne peuvent avoir lieu qu’entres acquéreurs sous conditions de ressources "sociales" ; autrement dit, ne pouvant contrôler le prix de l’actif c’est par le passif que la maîtrise des prix se réalise. Une version pour le marché privé serait évidemment bienvenue ! La séparation des biens dans l’espace peut se faire également entre les parties privatives qui seraient détenues par des personnes privées et les parties communes qui pourraient être détenues par des personnes morales qui les entretiendraient et percevraient un loyer. Mais aussi, comme le propose Benjamin Griveaux, et comme d’autres acteurs publics ou privés dans le monde, sous forme de co-détention d’un appartement.
Les Hospices Civils de Lyon et plus récemment La Française (dans les Hauts-de-France avec son actionnaire le CMNE) ont un système très flexible d’emphytéose qui permet de réduire le prix de 30 % et donc conduit à une charge d’acquisition du logement comparable à un loyer. Le système permet à l’acquéreur de se constituer de façon certaine un capital alors qu’un loyer est "perdu" ; cependant il ne bénéficie pas de la hausse (ou de la baisse) du prix ; il ne pousse donc pas significativement à la hausse des prix.
Dans un autre registre, Singapour offre la possibilité à sa population senior d’apporter leur logement en viager à un fonds de pension qui leur verse une rente, un beau complément de revenu pour les petites pensions !
Beaucoup plus proche de la proposition de Benjamin Griveaux, depuis 1929 la Ville d’Oslo, via une coopérative, a mis en place un système de co-investissement avec les personnes privées. Une fraction importante de la plus-value va à la coopérative ce qui permet de réduire la démarche inflationniste. La Ville de Toronto a la même démarche mais à une échelle beaucoup plus petite et orientée vers le logement social.
Les acteurs publics ne sont pas les seuls, des sociétés privées comme Virgil ou Acqer développent ce concept en France, le fonds d’investissement de l’université (40 Mds $ qui financent ainsi une bonne partie du fonctionnement de l’Université) développe ce concept pour augmenter le logement locatif étudiant avec une participation allant jusqu’à 100 000 $ par appartement… et il y a même des études faites par des cabinets d’audit qui quantifient les impacts du co-investissement dans le secteur du logement ! Bref, ce n'est pas aussi novateur que cela et surtout c'est une approche logique à la taille d’une des 5 villes mondes avec les conséquences que cela implique sur la cherté du logement.
Alors, Benjamin Griveaux, propose un système où la Ville de Paris co-investit sous forme de prêt mezzanine jusqu’à 100 000 € aux classes moyennes sans autre rémunération que le partage de la plus-value sur la vente. C’est un système, sous conditions de plafonds de ressources, qui s’adresse véritablement à cette catégorie d’acquéreurs de plus en plus exclue de la Ville de Paris que ce soit comme locataire ou comme propriétaire.
Le seul partage de la plus-value en fonction des apports respectifs est possible car les taux d’intérêts sont bas et donc le portage même sans rémunération est peu coûteux pour la Ville de Paris et ses contribuables. Il ne s’agit ni d’un don qui serait à la charge de la collectivité, ni d’une spoliation de l’acquéreur, car ce dernier concrètement ne bénéficie pas non plus d’un effet d’aubaine en prenant une plus-value sur un financement qu’il n’aurait pas payé. C’est donc fondamentalement un dispositif sain et équilibré où les parties ont des intérêts équilibrés.
Ce dispositif est-il inflationniste ? Comme tout système qui solvabilise la demande il est potentiellement inflationniste. Mis en place par un acteur public qui gère aussi bien les conditions d’attributions (plafonds de ressources et acceptation des dossiers pour éviter la surenchère ; autrement dit maintenir l’aléa moral pour l’acquéreur comme pour le vendeur pendant la phase d’acquisition), l’impact serait contrôlé et maitrisé. On ne peut nier son impact inflationniste, mais on peut dire qu’il sera marginal compte tenu des garde-fous et qu’en tout cas il permet de rééquilibrer "le jeu entre les plus riches et les moins riches", un objectif louable qui peut être ciblé et maitrisé.
Mais ce dispositif doit bien évidemment s’analyser dans un cadre plus large : la modification des PLU pour augmenter l’offre (surévaluation, changement de destination…), un encadrement très strict (et financièrement dissuasif pour le fraudeur) de l’application de la règlementation des B&B pour faciliter le retour dans le parc locatif privé de logements qui en sont sortis (un complément de revenu oui, un parc d’appartements pour faire du business non) des logements temporaires d’urgence dans les bureaux qui sont en attente de travaux… Il n’y a pas de solution unique mais une démarche et la mesure proposée en fait partie !
Prenons conscience que le niveau très bas des taux d’intérêt autorise des innovations financières et que ces dernières ont pour vocation d’avoir des impacts sociaux forts qui réduisent les inégalités. En l’espèce les classes moyennes, comme les bénéficiaires de logements sociaux, doivent bénéficier de ces impacts. Ces dispositifs doivent être encadrés et sous contrôle de la Ville de Paris, c’est une évidence. Les spécialistes du "mais" doivent proposer des alternatives crédibles plutôt que de vouloir proroger ou étendre exclusivement des systèmes qui ont montré leur efficacité à exclure de la Ville de Paris ses classes moyennes.
« Objectif de gestion :
Le fonds a pour objectif d'obtenir, sur la période de placement recommandée supérieure à 3 ans, une performance nette de frais supérieure à celle de son indicateur de référence en investissant dans un portefeuille d'émetteurs filtré préalablement selon des critères ESG et analysés sous l’angle de leur compatibilité avec la transition énergétique selon une méthodologie définie par la société de gestion. Le fonds s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investis (scopes 1 et 2) au moins 50% inférieure à celle de l’univers d’investissement comparable représenté par l’indicateur de référence. »
« Stratégie d’investissement :
1. Stratégie utilisée
ETAPE 1 : FILTRAGES QUANTITATIFS […]
ETAPE 2 : ANALYSES CARBONE ET FINANCIERE […]
ETAPE 3 : MESURE DE L’EMPREINTE CARBONE […]. »
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Crédit Mutuel Pierre 1 et Sélectinvest 1 et auprès d’un fonds géré par Keys REIM. Pour cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial 14 Pyramides et le cabinet Jeantet ; Keys Asset Management a été accompagné par B&C France dans cette opération de revalorisation et conseillé par l’office notarial Notaridge. La transaction a été réalisée par SOROVIM dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Real Estate.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>En synthèse :
Des taux d'intérêt faibles peuvent avoir un grand impact sur les valorisations. Une façon de prendre en considération les taux d'intérêt consiste à définir le rendement exigé par les investisseurs au-delà du taux sans risque, autrement dit la prime de risque. Comme on le voit ci-dessus, plus la prime de risque demandée par les investisseurs est élevée, plus les actions sont bon marché.
L’actif offrira de nombreux services mutualisés à ses clients et résidents tels qu’un espace de coworking, un fitness ou encore des emplacements de stationnement pour les vélos.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Lexfair et le cabinet Jeantet ; le vendeur était conseillé par l’office notarial Dutour et Associés. Les deux parties étaient conseillées par Tourny Meyer.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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L’acquisition de cet actif s’inscrit dans la volonté de La Française de contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Le Galaxia est certifié BREEAM In-Use Good. Il présente des consommations énergétiques et des émissions de GES inférieures à la moyenne du benchmark de l’OID. Par ailleurs, il offre une gamme de services étendue à ses utilisateurs avec notamment un restaurant inter-entreprise, une cafétéria et une conciergerie.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Oudot & Associés et le cabinet Jeantet ; Batipart était conseillé par l’office notarial Cheuvreux. Les deux parties étaient conseillées par BNP Paribas Real Estate.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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Achevé de rédiger le 05 février 2020
Bilan 2019 et perspectives 2020
Même si au final l’économie mondiale reste sur une dynamique satisfaisante, proche de son potentiel de long terme, l’année 2019 s’est illustrée par un contexte politique chargé.
Les guerres commerciales et le Brexit ont provoqué un ralentissement au 3ieme et 4ieme trimestre, 2019
Et pourtant, cet environnement volatil n’a pas empêché les marchés d’actions d’inscrire une année record en termes de performances, avec des banques centrales prêtes à tout pour éviter le risque d’une entrée en récession.
Quelles perspective économiques en 2020 ?
Dans les pays développés, le ralentissement voire la récession industrielle est toujours à l’œuvre tandis que la consommation des ménages continue de soutenir le secteur des services et la croissance dans son ensemble.
Aux Etats-Unis et en Europe, au moins pour les premiers mois de l’année, les indicateurs montrent que la consommation maintiendra l’économie sur son rythme de croissance actuel.
Au-delà de ces quelques mois, l’évolution du marché de l’emploi restera la clef pour évaluer la croissance économique et le risque de contagion de la faiblesse industrielle vers le secteur des services.
Dans les pays émergents, nous avons d’un côté le ralentissement piloté de l’économie chinoise qui va se poursuivre et d’un autre côté de nombreux pays qui enregistreront un rebond de leur croissance économique au premier semestre 2020.
Au-dessus de cette trame économique plane la question du Coronavirus, de son impact humain mais aussi économique. C’est évidemment très difficile à prévoir. Ce que l’on doit rappeler c’est que la Chine représente aujourd’hui 20% de la croissance économique mondiale. Il est donc évident que si les mesures de confinement durent des semaines, ou des mois, l’impact sur l’économie mondiale sera significatif. Et nous devrons alors en sortie de cette crise sanitaire, estimer ce qui sera rattrapable et ce qui ne le sera pas.
Au-delà de ces tendances, le possible relais pour la croissance se situe au niveau budgétaire. Des plans de relance ou des plans d’investissements sont effectivement discutés ici et là mais les barrières politiques seront une nouvelle fois extrêmement difficiles à lever.
Dans les pays développés les banques centrales ont accompagné le ralentissement par des mesures de soutien, avec des baisses des taux aux Etats-Unis et en Europe et des relances de leur programme d’achats d’actifs.
Ces banques centrales restent vigilantes et en cas de ralentissement supplémentaires, elles n’hésiteront pas à agir.
Sur les marché émergents, les assouplissements monétaires ont déjà produit leur effet et sont en grande majorité derrière nous.
Nos convictions de gestion
Côté obligataire, l’environnement actuel plaide encore et toujours pour des taux d’intérêt durablement bas. Les perspectives d’inflation restent très en deçà des objectifs et les banques centrales resteront prudentes à remonter leur taux. Si la croissance se maintient ou se renforce, nous pourrons avoir une remontée limitée des taux d’intérêt long qui resteraient néanmoins sur des niveaux très bas et par conséquent très problématiques pour les épargnants.
A court terme, les obligations des états développés ne présentent pas de risques importants mais pas non plus d’intérêt majeur. Il nous semble préférable de s’y investir via des fonds de performance absolue capables de capter de petits mouvements tout au long de l’année.
Nous continuons de privilégier les obligations crédit avec de nouveau une préférence pour les subordonnées bancaires et un retour sur les obligations à haut rendement qui ont connu une année 2019 difficile mais qui retrouvent aujourd’hui de meilleures perspectives et restent attractives en termes de rendement.
Enfin, nous restons positifs sur les obligations émergentes de bonne qualité et les obligations d’état dits périphériques à l’exception toutefois de l’Italie à court terme en raison du retour du risque politique.
Sur les marchés actions notre positionnement est plus positif. La saison de publications de résultats du troisième trimestre 2019 a montré une stabilisation des prévisions de croissance de résultats en Europe. Les fondamentaux tendant à se stabiliser, les taux d’intérêt devant rester bas, nous pensons que les actifs risqués devraient continuer de progresser.
En ce début d’année, il nous semble opportun de rajouter progressivement des actions dans nos allocations en privilégiant la zone émergente, les secteurs liés à la croissance économique (industrie, technologie, consommation) et le secteur financier qui pourrait profiter d’une légère remontée des taux d’intérêts à long terme et de l’amélioration de l’environnement économique.
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De plus, les associés de la SCPI se verront la possibilité de devenir membre du Club des Propriétaires de Grand Crus et bénéficier, moyennant conditions, d’une faculté d’achat de vin à un tarif préférentiel de différents domaines gérés par La Française Real Estate Managers.
La SCPI LF Les Grands Palais vise à constituer un patrimoine foncier agricole composé de différentes propriétés viticoles, détenues de manière directe ou indirecte, qui seront louées par bail rural à long terme (25 ans) à des exploitants. La société de gestion, La Française Real Estate Managers, ciblera les zones géographiques situées en France et bénéficiant d’un fort potentiel économique en termes de rareté des actifs (Appellations d’Origine Protégée - AOP, secteur géographiquement délimité et droits à produire contingentés).
La performance de LF Les Grand Palais est fonction des distributions potentielles versées aux associés voire des éventuelles plus-values. Le patrimoine agricole à vocation viticole présente un rendement récurrent moindre par rapport à d’autres classes d’actifs immobiliers, mais devrait présenter des perspectives de valorisation à long terme selon l’analyse de la société de gestion. Forte de son expérience, la valeur ajoutée de La Française Real Estate Managers consistera en la sélection de terroirs recherchés, de différentes régions, afin de profiter de la diversité et de la qualité du terroir national.
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF Les Grand Palais, conclut : « Depuis quarante ans, La Française propose à ses clients d’investir dans des domaines viticoles ciblés (Bordeaux, Bourgogne, Vallée du Rhône, …). Cette nouvelle solution d’investissement, qui repose sur deux expertises phares du groupe, allie prestige, performance et création de valeur potentielles, moyennant une prise de risque. »
1 La SCPI pourra ne pas être diversifiée à son lancement puis très concentrée par la suite.
]]>Dans les pays développés, le ralentissement voire la récession industrielle est toujours à l’oeuvre et l’évolution du marché de l’emploi restera la clef pour monitorer le risque de contagion au secteur des services : une convergence vers la croissance potentielle des différents pays est attendue en 2020 avec une balance des risques qui reste négative. La remontée des taux d’épargne des ménages, parallèlement à la bonne tenue de la consommation est une alerte à prendre au sérieux : si elle s’avère être réellement une épargne de précaution (taux négatifs, réforme des retraites), elle ne constitue pas un réservoir de consommation future.
Le protectionnisme va rester un sujet important avant les élections américaines, même si ces dernières semaines ont montré des signes relatifs d’apaisement et continuera de peser sur la croissance, les perspectives d’investissement et la volatilité des marchés. Cette menace demeurera omniprésente dans la balance des risques des Banques Centrales.
Du point de vue des politiques monétaires durablement accommodantes dans le temps, deux camps s’opposent dans le marché :
Nous pensons que la politique monétaire a effectivement ses limites : les membres de la BCE se sont largement exprimés en ce sens. Le relais doit être pris par la politique fiscale, d’autant que le message de M. Draghi, en relançant le programme d’achats d’actifs pour une durée illimitée, était bien de créer des conditions durables de refinancement à bas coût pour les Etats. Toutefois, il faudra du temps. Des espoirs de relance budgétaire, suscités par le nouveau leadership du SPD en Allemagne et un gros point d’interrogation sur la capacité des US à livrer un nouveau plan fiscal avant les élections de novembre, constituent, s’ils se matérialisent des facteurs de tensions sur les taux. Le Brexit continuera d’alimenter les incertitudes et en 2020, le focus portera sur la relance fiscale, probablement bien plus qu’en zone Euro. Le Japon a d’ores et déjà annoncé un plan de relance. Les Banques Centrales et en particulier la FED, qui, depuis septembre, a réinitié des opérations de refinancement comme la BCE (qui n’a jamais cessé de le faire), conserveront un biais accommodant et continueront d’abonder les marchés de liquidités.
Il y a eu un avant et un après été 2019 pour la plupart des compagnies d’assurance : la forte baisse des taux a fortement impacté leur solvabilité que les régulateurs tiennent à stabiliser voire faire remonter. Elle pousse les assureurs vers un allongement de leurs achats, le crédit IG, les dettes périphériques, ainsi que les banques, pour couvrir leur gap de duration actif/passif. Ces flux, massifs limitent toute tension majeure sur les taux, européens en particulier, et la compression des primes de risque périphériques ou de crédit IG. La recherche de rendement reste d’actualité, y compris sur des actifs plus risqués.
Fin 2019, les indicateurs semblent montrer que la croissance économique des pays émergents a passé le point bas. Les prévisions économiques suggèrent une croissance 2020 proche de celle de 2019 ; le rythme trimestriel ne montre pas de rebond important. La croissance de la Chine montre un léger ralentissement entre 2019 et 2020. Cette stabilisation de la croissance reste néanmoins soumise aux tensions géopolitiques, à des progrès sur la résolution de la guerre tarifaire entre la Chine et les Etats-Unis et au maintien des politiques accommodantes des Banques Centrales. La pause récente de la FED dans la réduction de son taux directeur ne devrait pas infléchir mais atténuer les baisses de taux des principales banques centrales des pays émergents, nombreuses en 2019. Celles-ci disposent encore d’une marge de manoeuvre au regard de l’évolution actuelle de leur inflation qui reste, en général, à l’intérieur de l’inflation cible des Banques Centrales. L’environnement actuel, avec un dollar et un prix du pétrole stable devrait rester peu inflationniste en 2020. Le résultat des élections législatives, présidentielle et locale en Argentine, en Inde, en Ukraine, en Afrique du Sud, en Turquie, en Roumanie… ont pu modifier les anticipations des futures politiques économiques, comme en Argentine avec la défaite de M. Macri et le retour des péronistes au pouvoir et en Ukraine avec l’élection de V. Zelinsky et l’arrivée d’un gouvernement pro-réforme.
Les fortes tensions sociales de ces derniers mois, en réponse aux inégalités économiques, à l’austérité budgétaire, à la corruption et aux privations des libertés ont augmenté la pression sur les gouvernements et les répercussions sur les politiques économiques et budgétaires se matérialiseront sur certains pays en 2020. Les relances budgétaires peuvent également jouer un rôle dans la reprise de la croissance économique mais elles restent limitées au pays ayant une solide base financière (endettement peu élevé, des déficits maitrisés, un large refinancement domestique). Nous demeurons enfin positifs sur la dette émergente IG HC.
On peut aujourd’hui légitimement se poser la question de l’impact des grèves actuelles. Les deux épisodes partagent, il est vrai, un certain nombre de similarités : la région parisienne paye un lourd tribut. Les secteurs de la restauration, du tourisme ou encore du commerce de détail sont à nouveau les plus touchés. La comparaison s’arrête là ; 2020 n’est pas 1995. Le commerce en ligne a permis de limiter la casse sur la consommation des ménages notamment autour de la période cruciale des fêtes de Noël. Les difficultés des salariés dans les transports sont certes quotidiennes, pour autant télétravail et covoiturage se sont très largement développés, réduisant de fait l’impact des grèves sur les entreprises… à tel point que les dernières enquêtes de conjoncture se maintiennent, notamment en comparaison avec notre voisin Allemand. Les données économiques françaises n'indiquent pas de ralentissement majeur du secteur industriel malgré le coup de frein de l'industrie manufacturière mondiale. Signe que les choses ont bien changé, le dernier baromètre industriel d'Ernst & Young place a même placé la France comme le pays le plus attractif d'Europe pour les investissements étrangers.
Récemment Bruno Le Maire déclarait que les grèves dans les transports n'auraient qu’un impact limité sur la croissance et l'emploi. Nous partageons cette analyse. Nos prévisions font aujourd’hui état d’une croissance de +0,3% au 4ème trimestre 2019. Un compromis entre le gouvernement français et les syndicats réformistes semble se dessiner. Ce dernier développement permet d’envisager une sortie du conflit et un impact minime sur le premier trimestre de cette année. Toutefois, la marge de négociation reste limitée. Si les deux parties ne parvenaient pas à s’entendre, la croissance pourrait être orientée à la baisse.
« Nous sommes heureux d'investir dans une catégorie d'actifs stratégique qui offre l'avantage de biens résidentiels avec un profil « risque-rendement » intéressant et un fort impact sociétal. Avec la Francaise, nous avons trouvé un partenaire idéal qui dispose d'une expérience solide pour déployer notre vision de l’investissement immobilier à long terme », nous explique Michael Bruhn, directeur général de PFA.
« Ce partenariat avec un acteur institutionnel de premier plan tel que PFA, permet à La Française d'accélérer son positionnement stratégique dans le secteur des résidences seniors en plein essor, répondant non seulement à une demande sociétale structurelle, mais aussi à notre démarche d'investissement durable », a déclaré Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.
]]>1 Le compartiment est issu de la fusion absorption du FCP La Française Rendement Global 2025 créé le 30 août 2017, de stratégie identique et absorbé le 05/12/2018.
2 Après déduction des frais courants et des frais de couverture.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’Organisme de Placement Collectif Immobilier LF OPSIS Patrimoine.
Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial GRAF et le cabinet JEANTET ; AVENTIM était conseillée par l’office notarial TSD Notaires. Les deux parties étaient conseillées par le Cabinet TOSTAIN et LAFFINEUR.
Risques associés OPCI LF OPSIS Patrimoine : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risque de concentration, risques liés à l’endettement, risque de contrepartie, risques liés aux marchés financiers.
Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associés, le cabinet Jeantet et Archers ; le vendeur était conseillé par l’office notarial Victoires, Racine Avocats et par Crédit Foncier Immobilier (Groupe BPCE) dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Strategies & Corp.
Cette acquisition a été partiellement financée par la banque Helaba assistée de LPA-CGR avocats.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Construire un bâtiment de bureaux de 30 000 m2 en seulement 19 mois : un pari ambitieux mais tenu par Linkcity Nord-Est et Bouygues Bâtiment Nord-Est. Les équipes du projet sont même parvenues à anticiper d’une semaine la livraison prévue initialement le 27 décembre.
« Le Biotope est né de l’ambition d’implanter un bâtiment de dimension européenne, au coeur du 3ème quartier d’affaires de France. Le succès du projet témoigne de sa parfaite cohérence avec son marché et du dynamisme de la métropole en matière d’immobilier tertiaire. Il sera pour longtemps une référence majeure du territoire. »
Laurent Mourey,
Directeur général adjoint de Linkcity France
« Le Biotope est un projet hors-norme à plusieurs titres. Il s’agit à la fois d’un symbole du territoire, d’un emblème architectural et d’une référence environnementale. L’ensemble a été construit dans un délai record, sans concession sur la qualité de réalisation. Un tel challenge n’aurait pu être relevé sans la collaboration exemplaire qui s’est nouée entre les acteurs. Nous avons su nous fédérer autour d’une ambition commune : la réussite totale du projet. »
Philippe Jouy,
Président de Bouygues Bâtiment Nord-Est
« Le respect des attentes et du délai s’est joué en grande partie avant même le début des travaux. L’anticipation des études nous a permis de déterminer très en amont les modes constructifs et les solutions techniques qui nous ont fait gagner du temps par la suite. Au lancement du chantier, la partition était complète et précise. L’enjeu était ensuite de la jouer sans fausse note et en harmonie avec les équipes des investisseurs, de la MEL et des architectes »
Philippe Poustoly,
Directeur Grands Projets chez Bouygues Bâtiment Nord-Est et responsable du projet
« Après 19 mois de travaux, le quartier d’affaires Euralille va désormais accueillir les 2 700 agents de la MEL dans un ensemble de 30 000 m² répondant à des standards environnementaux d’excellence. Il s’agit du plus grand bâtiment de bureaux construit depuis ces 10 dernières années dans la métropole lilloise. Ce nouvel investissement du Crédit Mutuel Nord Europe, par l’intermédiaire de La Française, démontre notre engagement à soutenir des projets d’urbanisme responsables. »
Eric Charpentier,
Directeur Général du Crédit Mutuel Nord Europe
« La MEL reçoit aujourd’hui les clés du Biotope. Elle va mettre à profit les prochaines semaines pour préparer son déménagement qui interviendra courant mars. Ce bâtiment, en plus d’être exemplaire d’un point de vue environnemental, végétalisé, et avec une haute performance énergétique, favorisera la mise en place de nouvelles méthodes de travail et contribuera à faire de notre métropole une institution du XXIe siècle. »
Alain Bezirard
Vice-président de la Métropole Européenne de Lille en charge du patrimoine métropolitain
Les risques climatiques sont désormais bien identifiés et de trois formes : risque physique, risque de transition et risque de responsabilité. Les outils d’analyse de ces risques sont quant à eux essentiellement de deux ordres :
financiers, les indicateurs d’alignement à une trajectoire 2° ou encore les scores d’exposition au risque.
A ce jour, alors que le risque de transition est de mieux en mieux compris, le risque de responsabilité représente encore un angle mort des risques climatiques tandis que le risque physique n’est souvent pas perçu comme une menace potentielle.
Mais l’élément clé de la finance climatique réside dans l’appropriation des métriques et des analyses en interne. Il est essentiel que le risque climat soit géré comme un risque financier classique et que l’expertise soit internalisée pour pouvoir comprendre et analyser les chiffres, affiner les méthodologies. Le risque climat doit donc prendre toute sa place au sein des organes de gouvernance, au sein de la gestion des risques classique et bien sûr dans la mise en place des stratégies d’entreprises. Le temps n’est plus à l’exercice de communication ni au traitement de ce risque par des experts isolés en dehors des systèmes d’information des acteurs financiers. La finance climat doit être au cœur de notre métier.
]]>« Oui il y a la diplomatie et les Etats pour faire avancer la négociation climatique internationale. Mais tout cela ne peut fonctionner si deux acteurs fondamentaux ne sont pas au rendez-vous, à savoir les villes d’une part et les entreprises d’autre part. Nous sommes en situation de responsabilité dès lors que nous travaillons pour, dans, et avec les villes. Comment pouvons-nous tous collectivement travailler ensemble à construire cette ville de demain, cette ville zéro carbone pour tous ? », souligne Cécile Maisonneuve, Présidente de La Fabrique de la Cité.
« Nous avons à exercer ensemble une responsabilité. Cet exercice de la responsabilité ne peut se faire qu’avec des regards et des horizons différents. Avec La Fabrique de la Cité, qui travaille sur la ville et le futur, et la Fondation Palladio, qui réunit aujourd’hui tous les acteurs qui concourent à la construction de la ville, nous proposons avec cette Université de la Ville de Demain un mode inédit de collaboration et de coproduction pour que les villes et les lieux de vie soient les plus humains, vivables, durables, inclusifs et créateurs de valeur », ajoute Bertrand de Feydeau, Président de la Fondation Palladio.
La Fondation Palladio et La Fabrique de la Cité ont nommé Axel Nevers pour mener à bien ce projet ambitieux et mobilisent d’ores et déjà l’ensemble des acteurs concernés autour de travaux préparatoires qui s’organiseront jusqu’à l’automne.
]]>Il dispose ainsi d’appartements en coliving, d’appartements individuels, d’espaces de coworking et de salles de réunions, ainsi que d’un restaurant au rez-de-chaussée. Il bénéficie également d’un espace fitness et d’une salle de projection.
L’immeuble est intégralement loué à l’enseigne THE BABEL COMMUNITY, leader français du marché du coliving, pour une durée ferme de 12 ans.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés, le cabinet KPMG ; Axis a été conseillé par l’office notarial Feraud - Voglimacci.
Les deux parties étaient conseillées par CBRE.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Le track record de Paul Gurzal, gérant du fonds depuis sa création en 2008, et de Jérémie Boudinet attire l'attention des investisseurs professionnels en Europe. Depuis janvier dernier, le fonds a enregistré une collecte nette de 230 millions d'euros (30/11/2019). L'horizon de placement recommandé du fonds est supérieur à 10 ans et sa performance nette cumulée s'élève à 124 % (30/11/2019) depuis sa création (20/10/2008), dépassant l'objectif de performance de 112%. Pour cette période, le rendement annualisé du fonds a affiché 7,54 %, comparé à son objectif annuel de 7 %.
Paul Gurzal, qui reste optimiste par rapport aux perspectives de la dette subordonnée, fait remarquer : " Les dettes subordonnées représentent une alternative aux obligations High Yield, dites spéculatives. Elles permettent aux investisseurs de s'exposer à des sociétés financières et non financières qui, dans notre processus de sélection, sont pour la plupart notées Investment Grade. Les obligations subordonnées comportent des risques structurels mais peuvent ajouter un meilleur carry aux portefeuilles obligataires, car leurs rendements moyens restent largement positifs".
Paul Gurzal détient la notation Citywire "AAA" pour sa performance ajustée au risque sur trois ans, pour la période du 30/11/2016 au 30/11/2019 (Source & copyright : Citywire).
La part C du fonds a connu une performance nette cumulée YTD de 13,88 % au 30/11/2019 et sur les dix dernières périodes calendaires de 12 mois de : -6,45% (2018), +13,42% (2017), +5,8% (2016), -0,60% (2015), +9,11% (2014), +11,2% (2013), +35,33% (2012), -24,99% (2011), +4,89% (2010), +28,87% (2009). (Source : La Française AM) Il convient de noter qu'un investissement dans le fFonds comporte certains risques dont le risque de perte en capital, le risque de taux d'intérêt, le risque lié aux impacts de techniques telles que des produits dérivés, etc.
]]>La conférence a été introduite par Laurent JACQUIER-LAFORGE, Global head of Sustainable Investing – La Française, et animée par Gérard DEGLI ESPOSTI, Directeur ISR Immobilier et Président de l’OID.
La première partie a vu intervenir Catherine LARRERE, Philosophe et professeure émérite – Université de Paris-La Sorbonne, qui a abordé ce sujet complexe sous l’angle de l’éthique environnementale, en citant un extrait de L’Esprit des Lois de Montesquieu (1689-1755).
Cette prise de recul nous permet de recadrer la question du rapport entre homme et nature. Catherine Larrere nous invite à y réfléchir. Aujourd’hui, le système Terre dans son ensemble est affecté par les sociétés industrielles parce que les ouvrages des hommes survivent aux hommes (Henning Mankell). Le changement climatique est au fond le résultat, non pas de ce que nous avons voulu, mais de ce que à quoi nous n’avons pas pensé !
La période durant laquelle l’homme a façonné très fortement la nature (anthropocène) aura des conséquences qui se produiront bien au-delà de l’extinction de l’humanité (ex : les déchets radioactifs, le changement climatique, l’érosion de la biodiversité etc.).
Il ne suffit pas de savoir quoi faire mais de savoir comment faire, et en cela, le travailn philosophique peut être utile. Notre attitude a été longtemps de conquérir, dominer discipliner la nature dans une posture de pouvoir, d’exploitation, de destruction… mais faut-il pour autant totalement tourner le dos au passé ? Comment alors inclure la nature dans la moralité ?
Notre existence est confrontée à des temps courts (le temps humain, de l’économie, de la politique) et les temps longs de la nature.
La bonne durée est celle qui correspond à la fois à une durée humaine et à une durée naturelle ; et la bonne posture est de considérer l’homme comme partie de la nature, en cessant de parler de l’homme ET de la nature.
Il ne suffit pas de parler de nature avec respect, puisque les ouvrage des hommes s’imbriquent dans la nature et survivent aux hommes. La question est : quelle signature laissons-nous ?
L’éthique de la nature n’est pas séparée de l’éthique des hommes. Alors qu’il existe, du fait de son action, une vulnérabilité de l’Homme face à la nature, il devient nécessaire d’engager un rapport plus moral à la nature en développant les éthiques environnementales du soi et de l’attention : habiter la Terre autrement.
Cette introduction philosophique s’est poursuivie par une table ronde à laquelle participaient Jérôme DUVERNOY, (ONERC), Jérôme GATIER, (Plan Bâtiment Durable) et Stéphanie CHEVALLIER, (Nexity).
Le bilan des perspectives climatiques dressé par Jérôme DUVERNOY, +1,5°C en France depuis 1900, 50 % des forêts métropolitaines soumises à un risque élevé d’incendie en 2050, une sécheresse estimée en 2050 à un manque de 3Mds de m3 (d’eau ?), s’est poursuivi par la présentation d’un projet d’aménagement de ville innovant par la prise en compte de la nature et par des témoignages de bonnes pratiques.
Davantage tournée vers la modélisation climatique et les solutions d’adaptation, la seconde partie de la conférence a permis de mesurer les évolutions passées du climat, les tendances à venir, et la manière dont elles s’appliquent d’ores et déjà à la construction des bâtiments.
Retrouvez les vidéos de la conférence sur la chaîne YouTube de l’OID.
]]>Début 2017, la TPI voit le jour. La méthodologie mise en place analyse les entreprises sur 2 axes :
1. Management Quality :
s’intéresse à la gouvernance, la stratégie, les objectifs, les structures mises en place par les entreprises ; cet axe repose sur 19 questions qui sont les mêmes pour tous les secteurs étudiés ;
2. Carbon Performance :
analyse une performance basée sur des mesures d’intensité carbone sectorielles en comparant de manière prospective les objectifs que se donne l’entreprise avec diverses trajectoires : celle de l’Accord de Paris, la trajectoire 2° et la trajectoire inférieure à 2°. Si l’entreprise ne publie pas d’objectif, alors la tendance actuelle des émissions de CO2 est projetée dans le futur.
Les résultats globaux de la performance carbone analysée sur 8 secteurs et 190 entreprises parmi les plus émettrices au monde montrent l’ampleur du chemin qu’il reste à parcourir… seules 16 % des entreprises analysées sont en ligne avec un réchauffement climatique de 2° ou moins, un chiffre qui monte à 30 % lorsque l’on inclut les entreprises alignées avec l’Accord de Paris dont on sait qu’il nous mène à un monde à environ 3°.
Les ambitions du TPI sont importantes avec la volonté de couvrir plus de secteurs (les transports aériens et maritimes dans les semaines à venir), une extension du nombre des entreprises analysées pour intégrer les plus petites capitalisations boursières et répondre aux besoins du crédit et enfin, évaluer la politique des états afin d’intégrer une évaluation des dettes souveraines.
A l’heure où nous comprenons véritablement que notre monde change, que le réchauffement climatique et ses conséquences, sociales, sur l’alimentation, en termes de flux migratoires et donc ses conséquences politiques exigent que nous produisions et consommions différemment, chacun doit pouvoir gérer son épargne avec d’autres critères que les seules références financières. Le besoin est réel de nouveaux référentiels à disposition de tous, pour inclure les questions climatiques et sociales dans les scénarios économiques et financiers. En ce sens, le TPI constitue ainsi un apport essentiel et de qualité également utilisé par la « Climate Action 100+ ».
Alors particulier ou investisseur, épargnant néophyte ou professionnel, l’outil est gratuit, le site reprend toutes les informations nécessaires à sa bonne compréhension (en anglais il est vrai), n’hésitez plus et allez vous renseigner sur un secteur, une ou des entreprises sur le site de la TPI !
* Nadine Viel Lamare a aussi pendant une dizaine d’année en charge de l’investissement responsable au sein du fonds de pension suédois AP1
]]>Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Convertibles 2020 »
]]>En conséquence, la dernière distribution trimestrielle interviendra au titre du 4e trimestre 2019, soit en janvier 2020. La distribution suivante aura lieu en janvier 2021 au titre de 2020. Cette modification n’aura aucune incidence sur la performance du fonds.
Concernant le traitement en assurance vie, cette évolution n’a pas d’impact pour vos assurés. Elle permet également d’alléger le processus de réinvestissement des distributions pour les assureurs.
En compte titres, seul le rythme des distributions se voit modifié.
Pour tout complément d'information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur privilégié.
Nous vous souhaitons de très bonnes fêtes de fin d’année.
RISQUES
Risques en capital : la SPPICAV n’offrant aucune garantie de protection en capital, la valeur liquidative peut être inférieure au prix de souscription. Risques liés à la gestion discrétionnaire : la SPPICAV peut ne pas être investie à tout moment sur les marchés ou les immeubles les plus performants et sa valeur liquidative peut avoir une performance négative. Risques liés au marché immobilier : les investissements réalisés par la SPPICAV seront soumis aux risques inhérents à la détention et à la gestion d’actifs immobiliers. Risque de concentration : la poche immobilière, constituée progressivement, pourra être investie sur un nombre limité d’actifs immobiliers ne permettant pas une dispersion des risques optimale ; de ce fait, la SPPICAV sera potentiellement exposée à un risque de concentration.
Risques liés à l’endettement : l’endettement a pour effet d’augmenter la capacité d’investissement de la SPPICAV mais également les risques de perte. Risque de contrepartie : le défaut de paiement d’une contrepartie peut entraîner une baisse de la valeur liquidative.
Risques liés aux marchés financiers : les investissements réalisés par la SPPICAV seront soumis aux risques inhérents à la détention et à la gestion d’actifs financiers, tels les risques action, de taux, de change, de crédit ou encore liés aux pays émergents. Le détail de ces risques est explicité dans la note détaillée de la SPPICAV.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Elles ne sont pas constantes dans le temps
AGREMENTS
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE - www.amf-france.org. La société de gestion de portefeuille La Française AM a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-97076 du 1er juillet 1997. www.amf-france.org. La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par le CECEI sous le numéro 18673 X, Carte Professionnelle délivrée par la Préfecture de Police de Paris - Transaction Immobilière n° T11960. www.acpr.banque-france.fr. Avant toute souscription l’investisseur doit avoir pris connaissance du prospectus, des risques liés et des documents légaux. Les conditions liées à la liquidité sont décrites dans le prospectus de l’OPCI. Le prospectus est disponible gratuitement sur simple demande auprès de la Société de Gestion ou sur le site internet www.la-francaise.com. La SPPICAV LF OPSIS Patrimoine a reçu le Visa n°SPI20090012 en date du 22 septembre 2009 délivré par l’AMF
Cette communication est destinée aux seuls Distributeurs, et a pour objet de leur apporter un complément d’information sur les caractéristiques des instruments financiers qu’ils peuvent être amenés à conseiller.
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Il bénéficie des labels HQE, BREEAM Very Good et BBC Effinergie.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière et LF Grand Paris Patrimoine.
Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez & Associé et le Cabinet GIDE, et Union Investment était conseillé par l’office notarial C&C ; JLL a assisté les deux parties.
Cette acquisition a été partiellement financée par la banque Helaba.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’OPCI Grand Public, LF OPSIS Patrimoine.
Dans cette opération, La Française REM a été conseillé par l’office notarial Allez et Associés et le cabinet Jeantet ; le groupe BMG a été conseillé par l’office notarial de l’Estuaire et CBRE Bordeaux.
L'acquisition a été partiellement financée par la banque Palatine.
Risques associés OPCI LF OPSIS Patrimoine : risque de perte en capital, risques liés à la gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risque de concentration, risques liés à l’endettement, risque de contrepartie, risques liés aux marchés financiers.
CE DOCUMENT EST RESERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF II
Publication destinée à un public professionnel. Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et sont susceptibles d’évoluer ultérieurement. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La partie bureaux est louée, dans le cadre de deux baux fermes de 6 ans chacun, à Biocoop pour 4 744 m² et à Action Logement (via sa filiale Solendi Expansion) pour 921 m². L’immeuble vise la certification HQE.
Cette acquisition a été signée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Multimmobilier 2.
La Française REM était assistée par l’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES. Le Groupe Giboire était assisté par l’Office Notarial du Guesclin.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
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Considérations sur le calibrage des allocations d'actifs de long terme
L'approche traditionnelle de l'allocation stratégique repose sur l'analyse du comportement des actifs en partant des fondements établis par la littérature académique :
1 - En économie classique, le client ou la production marginale a coût marginal croissant, c’est la loi des rendements décroissants, alors qu’en économie numérique ou d’intelligence artificielle, c’est l’information fournie par le client lui-même qui crée de la valeur (et n’engendre donc pas un coût). Lorsqu’Uber par exemple attire un nouvel utilisateur, cela se fait à un coût marginal nul pour le réseau et avec un profit marginal important car la valeur d’un réseau augmente comme le carré du nombre d’utilisateurs (cf. Rifkin, "La nouvelle société du coût marginal zéro").
]]>Face au changement climatique, La Française reste convaincue que les entreprises ayant une stratégie de transformation carbone seront mieux protégées contre les risques croissants de non-conformité réglementaires et climatiques impactant leur secteur et seront plébiscitées par les investisseurs conscients des enjeux climatiques. La stratégie de La Française Carbon Impact 2026 vise à financer les acteurs économiques ayant une réelle ambition quant à leur transition énergétique, avec un objectif de réduction de leurs émissions carbone afin de lutter contre le réchauffement climatique.
La Française Carbon Impact 2026 a pour objectif de générer, sur la période de placement recommandée de 7 ans, une performance nette de frais supérieure à celle des obligations à échéance 2026 émises par l’Etat français. Le fonds investira dans un portefeuille cible de 120 à 200 titres (non contractuel), dont les émetteurs seront filtrés préalablement selon des critères ESG (Environnement-Social-Gouvernance, méthodologie développée par Inflection Point by La Française) puis soumis à une deuxième étape d’intégration thématique qui allie une analyse carbone à l’analyse financière. La Française Carbon Impact 2026 s’engage à avoir une moyenne pondérée des émissions de gaz à effet de serre du portefeuille par euro investi au moins 50% inférieure à celle d’un univers d’investissement comparable1.
La stratégie de gestion du fonds est discrétionnaire. La Française Carbon Impact 2026 peut investir jusqu’à 100% de son actif net dans des obligations émises par des entreprises du secteur privé et ou semi public (dont des Green Bonds) de maturité inférieure ou égale au 31 décembre 2026, notées Investment Grade2 (jusqu’à 100%) ou High Yield3, dites spéculatives, (jusqu’à 70%). L’allocation géographique peut aller jusqu’à 100% dans des émetteurs de l’OCDE et jusqu’à 10% dans des émetteurs de pays hors OCDE4.
La Française Carbon Impact Global 2026 n’est pas un fonds garanti et présente un risque de perte en capital.
Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, conclut : « Nous avons associé deux expertises historiques du groupe, à savoir la gestion de fonds à échéance et l’investissement durable, avec le savoir-faire en matière d’analyse ESG développé par notre centre de recherche extra-financière, Inflection Point by La Française, pour créer La Française Carbon Impact 2026. Pour les investisseurs souhaitant allier potentiel de performance et approche durable, La Française Carbon Impact 2026 est une solution d’investissement pertinente. Elle privilégiera les entreprises qui ont d’ores et déjà entamé leur transition énergétique afin de réduire leur impact carbone à long-terme. En qualité d’acteur engagé dans la transition climatique, nous contribuons avec les investisseurs à l’effort collectif qui vise à limiter la hausse du réchauffement climatique. »
1 Composite 30% Bloomberg Barclays Global aggregate Corporate Index 70%ICE BofAML BB-B Global High Yield Index.
2 notation supérieure ou égale à BBB- chez Standard & Poor’s ou Baa3 chez Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion.
3 notation supérieure ou égale à B- selon Standard & Poor’s ou B3 selon Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion.
4 Pour plus d’information sur la stratégie d’investissement, consultez le prospectus du fonds. Devises de libellé des titres dans lesquelles le fonds est investi : EUR, USD, BGP, NOK, SEK, CHF Risque de change limité à 10% maximum de l’actif net ; Le fonds peut investir jusqu’à 10% de son actif dans des parts ou actions d’OPCVM de droit français ou étranger et/ou dans des parts ou actions d’OPC et/ou de fonds d’investissement répondant aux 4 critères de l’article R214-13 du Code Monétaire et Financier.
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COMMENT ALIGNER VOTRE PORTEFEUILLE SUR LE SCÉNARIO D'UN RÉCHAUFFEMENT LIMITÉ À 2°C ?
Un budget carbone 2°C :
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a estimé un budget carbone global, correspondant aux émissions de carbone cumulées pouvant être produites entre 2014 et 2100 tout en maintenant le réchauffement climatique en-dessous de 2°C. Ce budget carbone est ensuite alloué aux secteurs de l’économie (agriculture, bâtiment, industrie, transport, énergie et autres). Chaque secteur connaît ainsi la voie à suivre pour réduire ses émissions et éviter le dépassement de ces 2°C, selon certaines hypothèses fondées sur la technologie.
La couverture :
La Française a développé ses propres trajectoires bas-carbone (alignées sur les 2°C) pour huit secteurs déjà(2) et trois autres(3) seront prêtes d'ici la fin de l'année.
Le couloir de confiance :
Nous analysons les objectifs, la stratégie, les investissements et autres initiatives des entreprises pour établir un couloir de confiance, qui indique la trajectoire carbone que nous estimons que les entreprises vont suivre. Cela nous permet de prévoir la performance des entreprises par rapport à la trajectoire des 2°C.
Alignement du portefeuille :
Nous additionnons ensuite la performance de chaque position et la comparons à la trajectoire bas-carbone pour les secteurs respectifs afin d’évaluer où se situent nos portefeuilles dans la transition vers les 2°C et déterminer comment les gérants de portefeuille pourraient investir dans chaque secteur pour soutenir une économie à faibles émissions de carbone.
PRÉSENTATION DES ODD ET DE LEUR APPLICATION À LA GESTION D’ACTIFS
Un projet commun pour la paix et la prospérité des populations et de la planète :
L'Agenda 2030 des Nations Unies en faveur du développement durable devient d’autant plus pertinent pour les gérants d'actifs à mesure que le secteur s’engage dans l'investissement durable. Les objectifs de développement durable (ODD) sont au coeur de l'Agenda 2030. Ils définissent clairement les objectifs globaux de la société. Leur ambition sous-jacente est de proposer un plan commun en faveur de la paix et de la prospérité pour les populations et la planète. Il s'agit d'un plan d'investissement durable. Sur la base de ce constat, les Principes pour l'investissement responsable ont placé les ODD au coeur de leur stratégie.
Les 17 ODD comportent un total de 169 objectifs et de 232 indicateurs pour évaluer le progrès. Les objectifs - environnementaux, sociaux et économiques
- sont globaux et visent à relever les enjeux mondiaux les plus cruciaux : pauvreté, inégalités, changement climatique, dégradation de l'environnement, prospérité, paix et justice. Les ODD se concentrent principalement sur les pays en développement et les groupes à faibles revenus. Toutefois, après avoir évalué les objectifs des ODD, nous pensons que les entreprises d’envergure mondiale disposent de nombreuses opportunités d'atteindre ces objectifs à travers leurs produits et services.
Le rôle du secteur privé :
Les ODD ont remplacé les Objectifs du millénaire pour le développement en 2015 lorsqu'ils ont été adoptés lors d'un sommet historique des Nations Unies à New York. L’ensemble des 193 États membres a ratifié les ODD lors de l'Assemblée générale des Nations Unies. La réalisation de ces objectifs nécessitera une mobilisation considérable de capitaux. D’après les estimations, entre 3 300 et 4 500 milliards de dollars seront nécessaires chaque année pour atteindre ces objectifs, avec un déficit de financement de 2 500 milliards de dollars dans les pays en développement.(1) Le secteur privé a un rôle majeur à jouer dans la réalisation de ces objectifs. Cette situation doit toutefois être considérée davantage comme une opportunité que comme un devoir.
Opportunités de croissance durable :
Les ODD sont le cadre de durabilité ayant été accepté à l'échelle mondiale. Ils représentent également des risques macroéconomiques et des opportunités de croissance durables auxquels les investisseurs institutionnels doivent être attentifs. Les ODD pourraient par exemple donner accès à des opportunités de marché de l’ordre de 12 000 milliards de dollars d'ici 2030 rien qu’au niveau de l'alimentation et de l'agriculture, des villes, de l'énergie et des matériaux, de la santé et du bien-être, amenant potentiellement à la création de 380 millions de nouveaux emplois.(2)
Le fait d'envisager les ODD sous l'angle d'une croissance axée sur le développement durable est un moyen efficace de s'assurer que les gérants d'actifs s'alignent sur l'agenda mondial actuel en faveur du développement durable.
(1) Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (2014)
(2) Commission des entreprises et du développement durable (2017)
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Si vous avez des idées, le Prix Concorde est à vous!
Vous êtes intéressés, mais pas encore prêts à vous lancer : Pas de panique, les équipes de la Française et le Club Finance de Dauphine sont là pour vous accompagner tout au long de la compétition pour mûrir ensemble la réflexion, et organiser des rencontres entre experts, professionnels et étudiants passionnés par le sujet. Parce que compétition rime aussi avec collaboration, l’inscription au Challenge Concorde donne accès à une série de conférences, de rencontres, et d’échanges jusqu’au 15 mars date de remise du premier projet.
Un seul lien pour s’inscrire d’ici le 1er Janvier 2020: https://forms.gle/rZC7orpHUwkh1pdR8
L’ISR a déjà 15 ans. Si le chemin parcouru est remarquable, les montants investis dans la finance verte ne sont pas encore à la hauteur des enjeux de l’urgence climatique. Les stratégies doivent désormais s’adapter au changement de paradigme d’un monde bas carbone et gérer la montée des risques liés au dérèglement climatique, et aux conflits géopolitiques.
Quelle est la méthodologie optimale de la gestion d’actifs face au défi climatique ? Comment convaincre les épargnants et les institutions financières d’aller vers l’ISR ? Quel est le nouveau modèle macro, les nouveaux indicateurs de performance à prendre en compte ? Comment investir dans un monde en mutation ? Comment s’appuyer sur les nouvelles technologies pour proposer de nouvelles solutions pour une finance au service d’une croissance inclusive et durable ?
Somme toute : Comment réinventer l’ISR ?
Le prix Concorde viendra récompenser les solutions les plus innovantes. Les projets entrepreneuriaux proposés pourront être basés sur des solutions marketing, des robot-advisers, de nouveaux modèles d’allocation, de nouvelles variables à intégrer, de nouveaux indicateurs de performance, de nouveaux facteurs de risque à prendre en compte, de nouveaux modèles macroéconomiques, de nouvelles solutions d’investissement.
Attendu : Un projet entrepreneurial innovant qui vient renouveler et dépasser la vision traditionnelle de l’ISR.
Tous les étudiants participant au prix pourront suivre une série de 3 conférences/ateliers donnés sur le thème de l’ISR par des experts de la Française sur les mois de janvier et février. Ces conférences seront données à l’Université Paris Dauphine- PSL, et seront disponibles sur le site de la House of Finance ainsi que sur la page facebook du Club Finance Dauphine. Les afterworks organisés à la fin de ces conférences seront l’occasion pour les étudiants de se rencontrer, d’échanger leurs idées et d’accueillir dans leurs équipes des compétences complémentaires.
Au 15 mars, les étudiants participants à la compétition devront remettre un projet synthétique présentant leur idée ou concept en deux pages.
Les projets sélectionnés à l’issue de cette première phase seront accompagnés par des professionnels de la Française pour la seconde phase du concours qui visera à approfondir les projets (business model, financement, étude du marché, etc). Les étudiants devront défendre leur projet devant un jury prestigieux présidé par Xavier Lepine, Président du Directoire de La Française, à l’été 2020.
Le premier prix est doté d’un montant de 5000 euros. Le coup de cœur du jury se verra de plus proposer une expérience d’intrapreneuriat avec une incubation de 6 mois dans les locaux de La Française et le bénéfice des conseils et de l’expertise des équipes de la Française.
La compétition ouverte à tous les étudiants des universités, des écoles de commerce ou d'ingénieur. Les équipes pluridisciplinaires sont encouragées. Des speed dating seront organisés pour faciliter la rencontre entre les participants de différentes écoles.
Les équipes peuvent compter jusqu’à 5 membres.
Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds "Crystal Convertibles" et du fonds maître "La Française Convertibles Dynamique".
]]>Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Sub Debt »
]]>Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2022 ».
]]>Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Obligations LT »
]]>Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Convertibles Dynamique ».
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Dans le cadre de cette opération financée par la banque Helaba, Amundi Immobilier, La Française et la Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens ont été conseillées par les cabinets Gide et De Pardieu Brocas Maffei, l’étude notariale Thibierge, KPMG et Essor. Les vendeurs ont été conseillés par Strategies and Corp dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Jones Lang LaSalle.
]]>La Française Gobal Floating Rates n’est pas un fonds garanti et présente un risque de perte en capital.
Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, précise : « La Française Global Floating Rates offre une solution de court-terme aux investisseurs désireux de capter de la performance au-delà des taux sans risque, tout en veillant à la qualité des émetteurs et en se protégeant de la volatilité des taux d’intérêt. »
* notation supérieure ou égale à BBB- chez Standard & Poor’s ou Baa3 chez Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion.
** notation entre BB+ et B- inclus selon Standard & Poor’s ou entre Ba1 et B3 inclus selon Moody’s ou équivalent selon l’analyse de la société de gestion.
Pour réussir cette mission, Newtown Square s’est engagé sur un programme en plusieurs étapes afin de construire ses espaces de travail sur des bases solides et durables.
Le premier objectif est un engagement environnemental. Bannir la consommation de plastique et de papier au quotidien est très ambitieux. Il y aura toujours le contenant d’une salade de fruit d’un déjeuner acheté dans le supermarché du quartier ou l’emballage d’un colis livré à son poste de travail que nous ne pourrons pas éviter, mais au quotidien nous pouvons repenser un certain nombre de choses. Chez Newtown Square, cela commence le matin, lorsque l’on arrive dans l’espace cuisine à partager. On choisit alors le format de sa tasse ou son mug pour préparer un thé éco-responsable et sans pesticides ou un café issu également d’une production respectant les mêmes process. On peut éviter d’imprimer plus que de besoin en contrôlant son nombre de crédit mensuel attribué par poste de travail. Le badge en plastique qui vous permet d’entrer le matin a disparu au profit d’une application gratuite développée par une jeune start up française "Filtdesk", que chaque membre peut avoir sur son téléphone portable.
Le second point fort concerne la qualité de vie et le bien-être : rendre l’espace de travail beau, chaleureux et convivial. Ce second objectif a amené les équipes de ce projet à concevoir des espaces qui soient responsables en limitant les impacts environnementaux. Près de 100 % des éclairages utilisent la technologie LED, nécessitant des interrupteurs "comme à la maison" afin d’être libre d’actionner ou non l’éclairage en fonction de son besoin de lumière - ce qui est aussi une façon de responsabiliser l’individu sur la consommation d’énergie. Favorisant l’économie circulaire, le mobilier confortable et esthétique est issu de la filière de "seconde main". Toutes les plantes qui sont chez Newtown Square ont déjà connu une première vie dans des hôtels, restaurants ou entreprise. Nous les avons adoptés et en prenons soin chaque jour.
De nombreux services sont également "engagés" dans une démarche socialement responsable. Comme proposer de faire travailler les commerçants du quartier ou opter pour des partenaires qui respectent des engagements éthiques. Les équipes en charge de l’entretien des espaces, sont tous des salariés en contrat à durée indéterminée de notre partenaire, ils n’utilisent que des produits 100 % naturels dans leur ouvrage au quotidien.
Une partie du chemin est parcouru par ces projets menés à bien avec différentes dimensions "impact". Newtown Square et ses membres se sont engagés à accomplir un changement dans "le cadre de travail" qui se veut le plus sain. D’autres projets verront le jour, le plus emblématique sera de compenser l’émission carbone d’un poste de travail en coworking en plantant des arbres en Ile de France afin de neutraliser ses émissions. Nous poursuivrons ainsi notre chemin vers la transition.
]]>Accepter la dématérialisation c'est faire le choix :
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
Dans cette opération, La Française REM a été conseillée par l’office notarial Allez & Associés et le cabinet KPMG ; Kaufman & Broad a été conseillé par l’étude du Boulevard Leclerc.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Partenaire d'engagement, nous restons à vos côtés et à l'écoute de vos besoins. Nos nombreux experts ont eu plaisir à vous présenter nos solutions de rentrée et notre positionnement durable.
Rendez-vous l'an prochain !
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1 Callan, Rapport actif vs. passif, deuxième trimestre 2019. Gérants spécialisés dans les grandes capitalisations vs. gérants spécialisés dans les petites capitalisations et l’indice Russell 1000 vs. indice Russell 2000.
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La Française Rendement Global 2028 offre une capacité de diversification (géographique, obligations d’Etats et obligations d’entreprises, investment grade ou high-yield) et peut investir1:
La stratégie d’investissement1 est identique à celle de La Française Rendement Global 2028 moyennant le fait que le fonds pourra investir jusqu’à 40% sur les marchés actions via des instruments dérivés (futures) portant sur des indices représentatifs des marchés boursiers mondiaux (MSCI World €). Le gérant pilotera le niveau d’exposition aux marchés actions, décroissant dans le temps, en fonction du montant cumulé des coupons à percevoir par la poche obligataire. L’exposition aux actions sera inférieure ou égale au portage attendu sur la poche obligataire pour que la potentielle perte maximale soit compensée par les coupons de la poche obligataire (hors défauts).
La Française Rendement Global 2028 et La Française Rendement Global 2028 Plus ne sont pas garantis et présentent un risque de perte en capital.
La rentabilité de ces fonds à échéance sera le fruit à la fois de la valorisation des coupons des obligations présentes en portefeuille et des variations de capital dues à la fluctuation des taux d’intérêt et/ou des spreads de crédit. Le nouveau fonds La Française Rendement Global 2028 Plus devra permettre aux investisseurs de bénéficier d’un surplus de performance à échéance en cas de hausse des actions.
Jean-Luc Hivert, Global Head of Investments de La Française AM, précise : « Dans le cadre du fonds à échéance, la date de maturité des émissions étant connue et fixe, l’investisseur bénéficie d’une visibilité quant à la performance du fonds au fur et à mesure que l’on approche de sa maturité. Pionnière sur ce savoir-faire, La Française déploie cette expertise de gestion depuis plus de 20 ans maintenant. Aujourd’hui, nous innovons et allons encore plus loin avec La Française Rendement Global 2028 Plus en y intégrant un moteur de performance potentiel supplémentaire. »
La période de commercialisation des fonds prendra fin, au plus tard, le 31 mars 2023.
Marc-Olivier Penin, Directeur Général de La Française REM, et Virginie Wallut, Directeur Recherche & Analyses Immobilières, participeront au débat d’experts « Investissement en entreprises : immobilier d’entreprises, un marché d’investissement » qui se tiendra vendredi 27 septembre à 11h30 en Salle Saint Clair 3 et en présence de BNP Paribas REIM.
La date d’entrée en vigueur de ces modifications est le 19 septembre 2019.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Rendement Global 2025 » disponibles sur le site www.la-francaise.com.
Suite au changement de véhicule le 7 décembre 2018, la description du mécanisme n’apparaissait plus alors que les porteurs du FCP « La Française Global Coco » ont été informés que le transfert d’une structure de copropriété de valeurs mobilières (FCP) vers une structure sociétale (SICAV) n’avait aucun impact sur la stratégie d’investissement.
La date d’entrée en vigueur de ces modifications est le 19 septembre 2019.
Les autres caractéristiques du compartiment demeurent inchangées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds « La Française Global Coco » disponible sur le site www.la-francaise.com.
Situé dans une région d'Allemagne prospère sur le plan économique et au centre du réseau logistique européen, le bien se compose d'installations logistiques sur 3 étages, de bureaux, d'un centre de formation et de cantines, d'un parking privatif de plus de 1 000 places et de 180 zones de stationnement pour remorques. La construction a été achevée en juillet 2019.
L'immeuble a été acquis auprès du promoteur Ixocon Immobilien GmbH & Co. KG dans le cadre d'une opération off-market. Cette acquisition représente le premier investissement en logistique réalisé par La Française pour le compte d'investisseurs sud-coréens. Pour Samsung Securities, il s'agit de la troisième opération avec La Française depuis l'acquisition du siège d'un important fournisseur d'énergies renouvelables à Bruxelles (actifs North Light et Pole Star) et depuis l'acquisition récemment annoncée pour 691 M€ du bureau Crystal Park à Paris.
Nimit Oberoi, Directeur des investissements européens, a déclaré : « Cette acquisition démontre bien la capacité de notre réseau de sourcing à capter les rares opportunités d'investissement des promoteurs locaux et d’adapter leurs intérêts à ceux de nos clients. Nous remercions nos partenaires sud-coréens pour leur soutien permanent. »
Jens Goettler, Directeur Général pour l'Allemagne de La Française Real Estate Partners International conclut : « Pour La Française, il s'agit d'une transaction marquante pour le compte d’investisseurs sud-coréens souhaitant diversifier leurs portefeuilles dans des thèmes d'investissement liés au e-commerce. Alors que le développement du e-commerce s'intensifie, le marché allemand de l'immobilier logistique continue à afficher des perspectives prometteuses tant en termes de valorisation que de valeur locative et nous allons continuer à rechercher des actifs de qualité pour nos clients. »
Samsung et KB Securities ont été conseillés par Shinhan Alternative Investment Management Inc. et Bae, Kim & Lee Inc en Corée. La Française Real Estate Partners International a été conseillée par Clifford Chance pour les aspects fiscaux et juridiques, Drees et Sommer pour la due diligence technique et Hamdon Properties pour les services consultatifs de transaction. Le financement de cette opération a été assuré par DekaBank Deutsche Girozentrale.
]]>LF Grand Paris Habitation permet aux souscripteurs, en contrepartie d’un engagement de détention des parts de la SCPI sur une période estimée à 17 ans au total, de bénéficier d’une réduction d’impôt, au même titre qu’un investissement en direct, soit :
De plus, l’investissement en parts de SCPI permet l’application immédiate de la réduction d’impôt, au titre de l’année de souscription, sans délai ni calcul de prorata temporis.
La SCPI investira à Paris et en région parisienne, dans un patrimoine immobilier constitué d’immeubles d’habitation neufs, ou en état futur d’achèvement, ou encore ayant fait l’objet de travaux de réhabilitation leur permettant d’acquérir les performances techniques proches de celles d’un immeuble neuf, et répondant au niveau de performance énergétique fixé par décret en fonction du type de logement.
Dans les secteurs géographiques (définis par décret) présentant un déséquilibre entre l’offre et la demande de logements, la SCPI LF Grand Paris Habitation déploiera une stratégie d’investissement visant la sélection d’opérations :
LF Grand Paris Habitation est ouverte à la souscription à compter du 16 septembre 2019 jusqu’au 15 septembre 2020, sauf clôture anticipée en cas de souscription intégrale avant cette date.
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF Grand Paris Habitation, conclut : « Notre patrimoine immobilier de 3 millions de m2, majoritairement francilien, nous confère une profonde connaissance du marché du Grand Paris. Forte de son expérience et de sa connaissance du marché et plus spécifiquement des projets de développement du Grand Paris, La Française analysera les opportunités d’investissements à saisir dès à présent et pouvant bénéficier d’un fort potentiel de création de valeur dans les années à venir. »
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Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>1 - LE FEUILLETON SINO-AMÉRICAIN TOUJOURS À LA UNE
Malgré les discussions menées les jours précédents, M. Trump annonce le 1er août de nouvelles taxes de 10% à partir du 1er septembre sur 300 mds USD d’exportations chinoises vers les US. Un nouvel épisode d’escalade importante dans la guerre commerciale sino-américaine est à l’oeuvre. Un délai de quelques semaines dans la mise en oeuvre de ces nouvelles taxes est cependant décidé. Sans doute pour en atténuer l’impact sur le consommateur américain alors que les USA sont entrés en période de pré campagne présidentielle. A noter également, le placement sur liste noire de plusieurs groupes nucléaires chinois ; ces derniers n’auront plus accès aux technologies nucléaires américaines.
La réponse chinoise est arrivée quelques jours plus tard avec de nouvelles taxes sur un panier de 75 mds USD de produits américains, de + 5 % sur le soja à + 25 % sur les voitures américaines. Le 4 août, le Dollar casse le seuil des 7 Yuans, alimentant les spéculations de nouvelles interventions de la Banque Centrale chinoise. La réponse des autorités américaines est immédiate : le Trésor américain accuse la Chine de manipulation de sa devise. Les marchés actions américains connaît leur pire journée de l’année et le taux 10 ans américain tombe à 1,7 %, connaissant sa plus forte baisse hebdomadaire depuis 2011.
Nous continuons de penser qu’il est de l’intérêt économique et politique des 2 parties de trouver une issue favorable et le scénario central reste que nous aurons des avancées positives dans les négociations à horizon 6 mois.
2 - DE NOUVEAUX REBONDISSEMENTS AU SEIN DU FEUILLETON EUROPE-US
Le Parlement français a définitivement adopté la taxe GAFA qui vise à imposer de 3 % le chiffre d’affaires des géants du numérique. Lors du G7 de Biarritz, le France s’est néanmoins engagée à la démanteler dès qu’un accord multilatéral sera finalisé. L’administration américaine décidera quant à elle au plus tard en novembre de possibles nouvelles taxes de 25 % sur l’automobile européenne...
Jean-Luc sera par ailleurs épaulé dans ses nouvelles fonctions par Joel Konop qui prend la responsabilité de COO (Chief Operating Officer).
Patrick Rivière, Directeur Général de La Française conclut, « Les compétences cross-asset couplées au professionnalisme de Jean-Luc permettront d’optimiser les synergies au sein de la gestion de La Française AM et de poursuivre le développement de solutions innovantes à hautes valeurs ajoutées pour le bénéfice de nos clients.»
Jean-Luc a débuté sa carrière en 1997 chez Vega Finance puis chez Cyril Finance comme Gérant d’Obligations Convertibles. Il a rejoint La Française des Placements en 2001. En qualité de Co-Responsable Gestion Obligataire, Jean-Luc a innové et contribué au lancement du concept de fonds à échéance, l’un des « key differentiation factors » de La Française encore
à ce jour.
Il est titulaire d’un DESS « Finance » de l’Université Paris VI (1996), un MIAGE - « Méthodes Informatiques appliqués à la Gestion d’Entreprise » (1995) ainsi qu’un MASS « Mathématiques
appliquées et sciences sociales » de l’Université Paris XII (1993).
L’atteinte des objectifs de développement du Groupe à moyen terme relève à la fois de son ancrage sur le marché européen mais également de sa capacité à proposer des solutions rentables et durables, toutes expertises confondues, qui réconcilient la création de valeur avec l’engagement sociétal, environnemental et à impact positif.
« Au-delà de ses engagements corporate, La Française a fait le choix d’intégrer dans ses expertises les conséquences des urgences climatiques, écologiques et démographiques. Pour ce faire, nous nous appuyons sur notre centre de recherche extra financière, sur le développement de solutions à impact et sur l’intégration de la mesure de l’impact dans nos scénarios économiques. Notre objectif est d’offrir des solutions d’investissement en adéquation avec les aspirations des épargnants souhaitant participer à une économie plus durable », explique Laurent Jacquier-Laforge.
« La prise en compte des enjeux environnementaux et sociétaux est cruciale. La nomination de Laurent Jacquier-Laforge et la création d’une équipe dédiée est un gage supplémentaire de notre volonté de devenir un asset manager engagé dans un monde en profonde mutation. Il est vital de favoriser une gestion à Impact afin de faire converger les attentes de la Société civile et des investisseurs. C’est notre conviction et le rôle clé que nous nous devons d’avoir. » souligne Xavier Lépine, Président de La Française.
Laurent Jacquier Laforge a débuté sa carrière en 1985 en tant que Responsable de la Recherche Actions au CCF puis de Svenska Handelsbanken Markets. Après plusieurs expériences au sein de sociétés de gestion telles que CDC Ixis Asset Management ou encore Fortis Investments, Laurent est nommé en 2008 Head of Equities chez Scor Global Investments. Il y passera quatre ans avant d’être nommé Head of Equities à La Banque Postale Asset Management. Laurent a rejoint La Francaise en 2014 puis a été nommé CIO Equities Global de La Française AM en 2017. Depuis son intégration au sein de La Française, il a transformé la gamme de fonds actions en y intégrant une dimension responsable, selon une méthodologie développée par Inflection Point by La Française, société de recherche extra-financière du groupe.
Laurent Jacquier Laforge est diplômé DESS-DEA en Economie de l’Université Paris X Nanterre. Laurent est un membre de la SFAF.
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Et le Groupe est allé encore plus loin dans l’égalité et la qualité de vie au travail avec le nouvel accord quadriennal conclu avec les partenaires sociaux pour la période 2019-2022. Des actions et des solutions pratiques, concrètes et adaptées sont prévues dans les domaines suivants : conciliation entre responsabilités familiales et vie professionnelle, recrutement, formation et promotion professionnelle, conditions de travail…
Car c’est un engagement dans la durée que nous allons poursuivre !
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La prime de risque obligataire n’intègre pas ou peu aujourd’hui les risques climatiques. Ce risque s’explique différemment en fonction des industries. Pour le secteur pétrolier par exemple, un gros risque est celui des « stranded assets ». En effet, une étude de Carbon Tracker analyse les CAPEX de 72 explorateurs et producteurs pétroliers et démontre que dans un monde aligné avec la demande d’un scénario de + 1,75°C , $1,6 trilliards de dollars d’actifs(4) pourraient ne pas être exploités. Ceci détruirait ainsi leur valeur sur les bilans des entreprises qui les détiennent.
Devant la nécessité d’accélérer le financement de la transition, nous avons vu le marché des obligations vertes naitre. Ce marché a grossi de manière exponentielle ces quatre dernières années suite à l’adoption du concept par des émetteurs industriels et financiers. Ces obligations sont émises en lien avec des projets d’investissement dans les énergies renouvelables, l’immobilier à haute qualité environnementale ou bien encore le financement de prêts « verts » à travers les banques.
Tous les secteurs d’industrie n’ont néanmoins pas émis sur ce marché. En effet, quand l’activité principale est structurellement très consommatrice en énergie fossile, l’accès à ce marché est plus difficile. Ce n’est pas pour autant que l’on devrait exclure ces secteurs de la transition car ils forment la pierre angulaire d’une révolution énergétique et économique profonde et efficace. Ce sont les acteurs de la transition et nous cherchons à identifier ces entreprises qui investissent dans leur transformation pour les financer par le biais du marché obligataire.
(1) Rapport AR5 du GIEC, 2014
(2) Bade de données EM DAT
(3) https://www.unisdr.org/2016/iddr/IDDR2018_Economic%20Losses.pdf
Pour s’inscrire dans l’engagement pris par la France de diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990 et 2050, l’industrie immobilière, l’industrie la plus consommatrice d’énergie et l’une des plus grosses émettrices de GES, s’est saisie du pilier environnemental depuis plusieurs années, principalement, à travers l’obtention de certifications et de labélisations. Mais, une stratégie ISR ne peut se contenter d’être uniquement environnementale parce qu’il appartient à cette industrie de dessiner la société de demain en remodelant les villes et en créant des lieux de vie, d’échange et d’accueil. La Française a adopté, depuis 2009, une approche systémique en lançant le premier OPCI ISR en immobilier. Outre des performances remarquables en matière environnementale avec des consommations énergétiques et des rejets de GES inférieurs de 35 % et 30 % aux moyennes de marché, les fonds responsables en immobilier de La Française plébiscitent le confort, le bien-être et la santé de ses occupants et vise à embarquer l’ensemble des acteurs de la chaîne d’approvisionnement dans une démarche vertueuse. A titre d’exemple, La Française a développé un jardin d’agriculture urbaine de plus de 2 000 m² à l’ombre des tours de La Défense. Elle a ainsi créé de la valeur pour l’actif en le rendant plus liquide en pérennisant ses cash-flows, tout en participant à l’échelle du territoire à la conservation de la biodiversité, à la consolidation du lien social et à la réduction de l’empreinte carbone.
Depuis 2014, elle a renforcé sa stratégie en développant des produits avec une approche d’utilité sociale ambitieuse. La Française a choisi de faire du logement un axe fort, conscient de son rôle fondamental comme facteur d’intégration sociale. Innovant en permanence au travers d’une offre de produits et de services sans cesse renouvelée, elle a développé des fonds thématiques à impact notamment sur le viager mais aussi la Flexipropriété qui permet de solvabiliser les ménages aux revenus intermédiaires ainsi qu’un fonds de résidences gérées. Elle mène également des opérations spécifiques de reconversion de bureaux en logements et a noué un partenariat avec des associations qui créent des lieux d’hébergement temporaire en période de vacance des actifs de bureaux.
Sachant que l’offre neuve représente chaque année moins de 2 % du parc de bureau en Ile-de-France, La Française va encore plus loin en déployant ses efforts d’amélioration sur le parc existant. Depuis 2016, l’acquisition de tout actif, neuf ou de seconde main, fait l’objet d’un plan pluriannuel de travaux et d’un plan d’optimisation de la performance énergétique qui inclut un montant de travaux ainsi qu’un temps de retour. Cet engagement illustre les exigences de gestion de La Française qui combine performances financières et extra-financières. Elle mène également régulièrement des campagnes d’évaluation de ses portefeuilles existants sur ce même principe.
CONCLUSION
Grâce à son positionnement sur l’ensemble des problématiques inhérentes à la vie d’un immeuble, La Française, qui se donne pour objectif de créer de la valeur sur les actifs qu’elle gère, se positionne comme force de proposition et caisse de résonances des réflexions de place et des meilleures pratiques déployées en matière d’investissement responsable.
• 70 % des ménages aux États-Unis disposent d’un abonnement streaming, et 40 % des habitations ont recours à plusieurs abonnements. En moyenne, les ménages américains utilisent trois services de streaming, pour une consommation mensuelle totale de 54 heures. Les quatre principaux prestataires de streaming du moment sont : Netflix, Google, Amazon et Hulu.
• L'émergence de cette nouvelle technologie, qui vient perturber l'écosystème des médias traditionnels, est pourtant incroyablement intéressante pour le consommateur. Contrairement à la télévision classique, qui impose bien souvent aux spectateurs un calendrier hebdomadaire régulier, les plateformes de streaming permettent au consommateur de regarder le contenu qu'ils veulent, quand ils le veulent et sur l'appareil de leur choix. Nombreux sont les ménages qui mettent pour cette raison un terme à leur abonnement câble ou de télévision traditionnel.
• L'avenir semble prometteur pour les grands prestataires de streaming et leurs partenaires en infrastructure (fournisseurs internet et sociétés de télécommunications, qui peuvent offrir des opportunités d'investissement intéressantes).
C’est dans ce contexte que La Française a lancé en collaboration avec la société MUGO une étude visant à évaluer, sur un certain nombre d’actifs qu’elle gère pour le compte de ces SCPI, le potentiel de développement de la biodiversité à travers, entre autres, la mise en oeuvre de jardins d’agriculture urbaine.
Avec cette opération d’envergure, La Française souhaite réintroduire la nature en ville, dans le but de préserver la biodiversité et de faire en sorte que les villes soient à la fois vivables, pédagogiques et nourricières, et cela grâce au végétal.
La première l’opération pilote située à Puteaux sur le Campus AVISO (un ensemble immobilier de 18 000 m² de bureaux occupés par plus de 850 salariés) a récemment reçu la visite des membres de l’Observatoire de l’Immobilier Durable dont La Française REM est membre fondateur et à la Présidence depuis 2015.
Le site de Puteaux a été retenu grâce à une situation géographique favorable, à proximité de l’ile de Puteaux et du bois de Boulogne, et surtout grâce à la présence d’une surface de toiture déjà végétalisée sur un substrat de 70 cm de terre végétale.
Composé autrefois de pelouses sans intérêt et d’arbres ornementaux, cet espace était finalement peu attrayant et par conséquent peu fréquenté. « Quand on prend un projet, on voit l’état de l’existant, et le potentiel. Il n’y avait aucun usage sur les pelouses, une biodiversité réduite, pas de pédagogie avec les occupants et un entretien coûteux », a détaillé Antoine Guibourgé (Directeur de MUGO) lors de cette visite. « Le paysage se développe en ville, mais cela a un coût. Il faut que le projet soit réalisable et qu’il se maintienne dans le temps. Il fallait ici que l’entretien du nouveau site ne coûte pas plus cher que précédemment. Dans ces espaces urbains très minéraux, il s’agit dans un premier temps de créer un lieu propice au retour de la biodiversité, même de façon modeste, grâce à un jardin multifonctionnel dépassant la fonction ornementale ».
A Puteaux, les arbres au feuillage persistant ont été remplacés par des arbres au feuillage caduque et des fruitiers afin d’appuyer le retour de la microfaune du sol. Un arbre fruitier, en plus de donner des fruits comestibles, est mellifère (le pollen des fleurs est utilisé par les abeilles pour fabriquer du miel), sert de gîte pour les oiseaux, et constitue un lieu de rencontre pour les gourmands.
« Dès que l’on a pu remplacer les vivaces et les arbres ornementaux par des plantes comestibles en libre-service, on l’a fait », indique Antoine Guibourgé. Bourrache, sauge, thym, salades, framboisiers, groseillers et autres végétaux comestibles composent le jardin potager, dont une partie est entretenue de manière associative par les résidents qui souhaitent cultiver leurs propres plants. Le paillage de lin installé cet hiver pour protéger les jeunes plants du froid et maintenir l’humidité dans le sol a essaimé une multitude de graines qui donnent aujourd’hui de jolies plantes aux fleurs bleues, conservées parmi les autres plantes. La nature reprend ses droits ! Les 7 pensionnaires du poulailler font la joie, parmi les occupants du site, des amateurs d’oeufs bio qui apportent leurs boîtes à oeufs pour la distribution gratuite. Les poules sont nourries aux grains et aux « déchets verts ». Enfin, un peu à l’écart de ce jardin de cocagne, six ruches assureront une production de miel estimée de 10 à 20 kg par an.
Tout a été pensé comme une expérimentation, avec pour objectif de prouver la faisabilité d’une agriculture urbaine à Paris. L’étude préalable des sols a démontré qu’ils étaient compatibles avec une activité agricole raisonnée, grâce à l’absence de métaux lourds et de particules d’hydrocarbure, même si le quai de Dion Bouton en contre-bas est fortement fréquenté par le trafic automobile.
L’approche est celle d’un jardin circulaire : rien ne rentre (pas d’intrants chimiques), rien ne sort. Les « déchets » verts alimentent le compost tandis que l’eau de pluie est récupérée pour un arrosage réduit. En règle générale, un maraîcher doit disposer de 1 à 2 hectares en pleine terre pour vivre de son activité, à faible marge. Ce n’est donc pas ici un modèle productif. Pour le « premier printemps » de ce potager, inauguré il y a quelques mois seulement, il n’y a pas d’engagement formel sur des objectifs quantitatifs de production. Les estimations par an sont de l’ordre de 1 tonne de légumes, 145 kg de petits fruits en libre-service (framboises, cassis, groseilles), 800kg de pommes et poires, plus de 3 000 plantes aromatiques pour la production de tisanes (séchoir à disposition) et 1 500 pots de miel. Une terrasse en bois est installée au milieu du potager pour y installer un mini marché (par semaine ou par quinzaine) qui pourra être l’occasion de distribuer aux résidents les produits récoltés.
Un des principaux objectifs de cette initiative est de favoriser le confort et le bien-être des occupants ainsi que le lien social au sein même du campus. La création de ces 2 000m² de jardins maraîchers a été ainsi très bien reçue par les occupants. Dans sa conception, le jardin accueille différents espaces : potager participatif et pédagogique (l’entretien d’une partie du site est assuré par des occupants volontaires, organisés en micro-association d’une quarantaine d’adhérents, formés par Mugo à raison de quatre sessions par an), terrain de pétanque, terrasses en bois pour les évènements des résidents en extérieurs, installation de mobilier sur les pelouses propices à l’échange, aux repas entre collègues ou à la contemplation. Par ailleurs, le RIE s’inscrit aussi volontairement dans cette démarche, en organisant des évènements de convivialité au moment des repas à l’extérieur pour profiter du jardin.
Quels enseignements pour le secteur de l’immobilier ?
Une telle initiative ne peut être réalisable sans la conviction et l’élan du propriétaire. Si l’annonce et la présentation du projet ont suscité un réel engouement de la part des occupants du Campus, l’expérimentation requiert néanmoins de la prudence quant à son maintien dans le temps. « Un projet d’agriculture urbaine est à prendre avec beaucoup d’humilité », indique prudemment Gérard Degli Esposti, Directeur de l’ISR immobilier – La Française REM, et Président de l’OID. Mais aujourd’hui l’engouement est tel qu’il promet de belles années à ce jardin maraîcher.
Au-delà de l’impact de la nature sur le confort et le bien-être des citoyens, le retour de la production maraîchère en ville et la biodiversité qui l’accompagne (oiseaux, fleurs, fruits) est également une manière de valoriser des espaces souvent délaissés et peu fréquentés, et un bel exemple d’engagement sur des problématiques centrales très actuelles.
Dépassant l’opération de marketing qui est souvent et à juste titre mise en avant, l’agriculture urbaine exerce un pouvoir attractif sur les occupants en ce sens qu’elle représente un espace de bien-être physique et moral, mais également un lieu d’expérimentation, de pédagogie et de participation citoyenne autour de la biodiversité et de l’alimentation.
A Puteaux -les visiteurs de l’Observatoire de l’Immobilier Durable ont pu le vérifier- le jardin d’agriculture urbaine participe au développement du bien-être et au renforcement du lien social. Mais on peut également constater son rôle dans l’intégration du Campus dans le territoire comme en témoigne les nombreuses questions posées par le voisinage sur une possible et prochaine ouverture au public. Grâce à la ré-introduction de la nature en ville, parler d’intégration et de mixité sociale et urbaine lorsqu’on évoque l’immobilier tertiaire socialement responsable prend tout son sens.
]]>Ces modifications entreront en vigueur à compter du 29 juillet 2019.
Les autres caractéristiques du FCP et des autres catégories de parts du FCP demeurent inchangées.
La documentation juridique de ce FCP, décrivant l’ensemble de ses caractéristiques, est disponible auprès de LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT et sur le site www.la-francaise.com .
Elle peut vous être adressée dans un délai de huit jours ouvrés, sur simple demande écrite, auprès de :
· LA FRANÇAISE ASSET MANAGEMENT
Département Marketing
128 boulevard Raspail
75006 Paris
· ou par e-mail adressé à : contact-valeursmobilieres@la-francaise.com
La TCFD est un groupe de travail nommé par le Conseil de stabilité financière avec le soutien du G20 lors de la COP21 en décembre 2015 pour définir des recommandations concernant la transparence financière des entreprises en matière de climat. Il répond au discours de Mark Carney, Gouverneur de la Banque d’Angleterre, prononcé à la Lloyd’s en septembre de la même année identifiant le climat comme un risque systémique pour la stabilité du système financier mondial. Le rapport de la TCFD publié en juin 2017 précise la structure de rapport climat attendue dans les documents de référence des entreprises. Cette structure est organisée autour de quatre piliers : gouvernance, stratégie, gestion des risques, indicateurs et métriques utilisés.
La composition de ce groupe de travail présidé par Michael Bloomberg est éclectique : 32 membres issus du secteur financier et nonfinancier (gestionnaires d’actifs, fonds de pension, sociétés privés, entreprises d’audit et de consulting, agences de notation). Son objectif est de placer les risques et les opportunités climatiques au coeur de la stratégie des entreprises financières et non-financières, d’augmenter la transparence entre entreprises et investisseurs afin de réduire les risques d’investissement et de réconcilier le temps court des décisions financières avec le temps long des conséquences du changement climatique.
L’analyse de scénarios est l’outil de base pour évaluer l’impact des changements climatiques à la fois en termes de risques de transition et d’opportunités (changement de réglementation, de tendances de consommation, apparition de technologies de rupture, etc.) et en termes de risques physiques (augmentation de fréquence d’événements météorologiques extrêmes, hausse du niveau des mers, raréfaction de l’eau potable, etc.).
Le format de rapport préconisé par la TCFD est de fait totalement compatible avec l’article 173 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte d’août 2015 et son décret d’application de décembre 2015 sauf en ce qui concerne la gouvernance où il est innovant. L’article 173 demande un reporting climatique mais également sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
La Française reconnait l’importance des tendances environnementales et sociétales qui façonnent le monde ainsi que le rôle croissant que ces facteurs ont sur nos industries et dans l’esprit de nos clients. En tant que gestionnaire d’actifs, nous souhaitons favoriser des changement positifs dans les politiques publiques et mobiliser nos capacités internes en vue d’apporter des solutions novatrices d’investissement responsable.
Nous voulons faire de ces sujets la pierre angulaire de notre philosophie, au coeur de notre activité.
Xavier Lépine - Président du Directoire La Française
Le Groupe La Française a la conviction que les grandes tendances qui devraient structurer les marchés financiers sur le long terme sont :
Une société de gestion a un positionnement particulièrement sensible à l’impact des changements climatiques sur les marchés financiers et, du fait de son métier de gérant sur un large panel de classes d’actifs, le Groupe la Française occupe un poste d’observation privilégiée sur le développement de la finance climatique. Une partie des actifs gérés par le Groupe porte en effet sur des compartiments de marché peu liquides, voire illiquides avec des risques physiques et de transition particulièrement délicats à gérer car s’inscrivant dans des détentions de long terme. C’est pourquoi le Groupe a particulièrement investi dans des groupes de travail, des publications, des réflexions avec ses clients et des produits financiers autour de ce thème essentiel.
Le Groupe La Française a la conviction que les facteurs ESG affectent de façon importante les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Plutôt que d’exclure les entreprises les moins responsables ou les actifs les plus compromis sur ce plan, la philosophie d’investissement du Groupe La Française est d’accompagner la transition de ces investissements dans le sens d’une amélioration de leur positionnement responsable. Le choix est celui de l’engagement sur la base du jugement de leur capacité d’adaptation et d’innovation.
En tant que gérant d’épargne sur le long terme pour le compte de nos clients, le Groupe porte une attention particulière aux conséquences que ses investissements auront sur la société de demain et donc sur les conditions dans lesquelles cette épargne pourra être utilisée. Sa responsabilité est non seulement de faire fructifier cette épargne mais également de créer les conditions du vivre ensemble de demain notamment au regard des transitions nécessaires du fait du changement climatique et des défis sociaux.
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Se voulant un outil permettant aux autres investisseurs de mieux comprendre comment faire le lien entre risques financiers et climat, il fournit un état des lieux des méthodologies d’analyse de scénarios climatiques puis se concentre sur la méthodologie utilisée par le groupe de travail pilote et testée par les investisseurs afin d’évaluer l’impact du changement climatique sur leurs portefeuilles. Il détaille également certaines études de cas partagées par les 20 investisseurs pilotes et synthétise leurs retours d’expérience.
Pour La Française, participer à ce groupe de travail nous a permis de rester à l’avant-garde de la finance climatique. En tant qu’investisseurs, nous sommes exposés aux risques et opportunités climatiques dans nos portefeuilles car les entreprises dans lesquelles nous investissons doivent s’adapter dans cette période de transition vers une économie bas-carbone. Et mesurer la résilience de nos portefeuilles au changement climatique est un enjeu clé mais complexe, reposant sur de multiples hypothèses évaluant l’impact du changement climatique sur les différentes entreprises dans une vision dynamique et prospective. Un exercice jusque-là trop difficile et donc peu accessible, reposant de plus sur des méthodologies encore balbutiantes et destinées à évoluer.
C’est pourquoi s’associer avec d’autres grands investisseurs engagés au sein de ce groupe de travail pour partager nos questions et faire avancer la réflexion de manière structurée faisait sens. Lors de la période de tests du nouvel outil que représente la Climate Value-at-Risk (CVaR) développée par Carbon Delta, nous avons pu discuter des hypothèses faites par Carbon Delta et en tant que groupe les challenger. Puis nous avons analysé avec cet outil certains de nos portefeuilles à l’aune de divers scénarios climatiques. Même si les résultats doivent encore être améliorés, la Climate VaR nous apporte un nouvel éclairage sur les risques climatiques en prenant en compte les risques de transition comme les risques physiques, en incluant des éléments prospectifs via les brevets déposés par les entreprises et enfin en proposant un choix -essentiel nous semble-t-il- de divers scénarios climatiques basés sur des projections d’un monde à 1,5°, 2°ou 3°. C’est un outil innovant qui vient compléter nos propres analyses fondamentales et que nous pensons utiliser à terme dans la gestion de nos portefeuilles comme un des éléments d’analyse de la résilience des entreprises au changement climatique.
Nous aspirons à que le rapport "Changing Courses" permette de diffuser ce que nous avons appris à un public plus large d’investisseurs partageant les mêmes préoccupations et d’aider à une harmonisation relative des reporting climatiques des entreprises et donc des investisseurs.
(1) Addenda Capital, Afore Citibanamex, Aviva plc, Bentall Kennedy, CDPQ, CDL Group, City Developments Limited, Desjardins, DNB Asset Management, Investa, KLP Kapitalforvaltning, La Française Group, La Salle Investment Management, Link, M&G Prudential, Manulife Investment Management, Nordea Asset Management, Norges Bank Investment Management, Rockefeller Capital Management, Storebrand Asset Management, TD Asset Management,
(2) Recommandations de la TCFD, Task-force on Climate-related Financial Disclosures, www.fsb-tcfd.org
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La réflexion autour des low tech se nourrit d’un constat sans appel : l’épuisement des ressources entraine une surconsommation énergétique et ce cercle vicieux n’est pas tenable sur la durée. Les mines d’accès facile sont épuisées, celles ouvertes actuellement démontrent des taux de concentration en ressources beaucoup plus faibles, exigeant pour leur exploitation des investissements technologiques et des besoins énergétiques toujours plus importants, comme en atteste le gaz de schiste.
Les énergies renouvelables, inépuisables apparaissent comme une réponse aux besoins énergétiques croissants. Mais le paradoxe est que, pour produire, stocker, transformer en quantité de plus en plus importante cette énergie, il faut une technologie elle-même très consommatrice de ressources, notamment de métaux rares.
En parallèle, les matériaux ou objets produits et utilisés aujourd’hui démontrent très peu de "circularité". Ces ressources ont des usages dits "dispersifs", c’est le cas du plastique, recyclable un nombre limité de fois, mais également, pour des raisons d’usage, des métaux. Les objets "high tech", sont faits de nombreux composants qu’il est impossible de séparer en fin de vie. Pour des objets les plus communs, le problème vient du nombre d’alliages différents utilisés. Enfin leur utilisation sous forme micro ou nano les rend impropres à la récupération, comme avec le titane, utilisé à 95 % sous forme chimique (peinture, maquillage, crème, etc.).
Le développement de solutions techniques "simples", dites "low tech", représente une opportunité pour faire face à la consommation énergétique accrue des usages numériques. Recyclage, modularité, réparabilité, simplicité et sobriété sont les maîtres-mots des low tech. Cela rend possible l’implication et l’autonomie des individus, et permet également le développement de communautés d’intérêt et de savoirs. Les principes de l’innovation frugale, de la résilience et de l’économie circulaire s’y retrouvent. Nous parlons là d’un bouleversement sociétal et non seulement d’une question technologique.
Aujourd’hui le secteur immobilier, grand consommateur de ressources à travers l’utilisation de matériaux et les besoins en énergie, doit se poser les bonnes questions. Pour réduire son impact, faire du low tech intelligent, il y a des pistes intéressantes et disruptives comme par exemple :
- Mutualiser l’utilisation des bâtiments. Car le bâtiment ayant le moins d’impact est celui que l’on ne construit pas et les bureaux ne sont utilisés globalement que 30 % du temps. Or, du bâti non utilisé, c’est aussi un gâchis environnemental, du fait des matières premières, de l’empreinte carbone et des effets néfastes de l’artificialisation des surfaces.
- Construire en tenant compte du démantèlement futur. Il est nécessaire de prendre en compte les notions de réutilisation, réemploi, recyclage, économie circulaire, stockage, et valorisation des matériaux, dès la conception d’un bâtiment et en cohérence avec le contexte local.
- Construire local. C’est-à-dire sortir de la dépendance au climat géopolitique en cessant de s’approvisionner auprès des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique. Utiliser le travail humain durable et disponible sur place plutôt que la machine consommatrice de ressources et non durable.
- Travailler la question de la résilience pour assurer la durabilité des constructions face aux aléas climatiques de plus un plus prégnants.
Comme on peut le constater, le mouvement low tech ne se résume pas à un raisonnement purement technique, mais bien socio-technique, organisationnel et culturel.
* Auteur de L’âge des low tech : vers une civilisation technologiquement soutenable
• Nissa CHARA, Responsable du Développement de Newtown Square, qui bénéficie de plus de quinze années d’expérience dans l’hôtellerie et l’évènementiel en qualité notamment de Responsable Commerciale Evènementiel pour le Musée du Quai Branly ou encore Directrice Commerciale des Parcs des Expositions ;
• Esther LAHUERTA ESCOLANO, Architecte et Chef de Projet – Espaces Coworking de Newtown Square, qui bénéficie d’une dizaine d’années d’expérience dans l’architecture, le design, et le suivi de projets de construction en France comme à l’international pour notamment Unibail-Rodamco-Westfield.
« Grâce à l’équipe Newtown Square et à son réseau de partenaires, je suis confiant en notre capacité à répondre aux besoins de flexibilité et à la problématique de surcharge des entrepreneurs / managers. Nos espaces associés à notre palette de services d’Éco-working permettront aux entrepreneurs et intrapreneurs de mener à bien leurs projets », conclut Grégory Neulat, Directeur Général de Newtown Square.
L’acquéreur a été conseillé par Clifford Chance LLP sur les aspects juridiques et fiscaux et par TA Europe GmbH sur la Due Diligence technique.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
]]>L'actif immobilier, au design emblématique, fait partie d'un projet d'aménagement à usage mixte. Situé dans le quartier Cloche d'Or, l’immeuble bénéficie de l’accès direct aux liaisons autoroutières avec la Belgique, l'Allemagne et la France. Le projet d'aménagement prévoit la création d’un centre commercial, d’une école internationale, d’appartements résidentiels, d’espaces verts et d’un stade. La construction d'une ligne de tramway et d'une nouvelle ligne ferroviaire améliorera davantage la connexion avec tous les principaux quartiers de bureaux et des banlieues.
L’édifice de seize étages, qui comprend environ 29 900 m2 de bureaux, environ 1 400 m2 d'archives, 235 emplacements de parking, des restaurants d'entreprise, des salles de formation et un auditorium, est l’œuvre de deux grands architectes luxembourgeois. Construit pour répondre aux exigences de catégorie A et destiné à obtenir la mention « very good » au label BREEAM, l’immeuble de bureaux est entièrement loué, dans le cadre d'un bail à long terme de quinze ans, à un locataire unique qui figure parmi les quatre premiers cabinets d'audit et de conseil au monde.
David Rendall, Directeur Général de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « C'est le huitième investissement immobilier réalisé pour le compte d'investisseurs sud-coréens en Europe et le premier au Luxembourg. Grâce à notre plateforme d'investissement dont les centres de gestion se trouvent à Paris, Francfort et Londres et nos experts en développement basés à Séoul, La Française a investi plus de 2 milliards d'euros dans cinq pays européens (le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, la Belgique et le Luxembourg) ».
Shawna Yang, Directrice des Relations avec les Investisseurs Immobiliers pour l’Asie, a tiré la conclusion : « La Française établit des ponts, rapprochant les investisseurs asiatiques et le marché immobilier européen. Notre mission consiste à trouver des actifs de qualité qui répondent aux exigences de diversification des investisseurs locaux, voire les dépassent. Dans le cas de D. Square, nos partenaires sud-coréens visent la croissance prospective, en termes de loyers et gains en capital anticipés, du marché immobilier luxembourgeois. »
La Française et les investisseurs sud-coréens ont bénéficié des conseils de PwC et de Dentons. Le financement de la transaction a été arrangé par la Landesbank Hessen-Thüringen (Helaba), qui est intervenue en tant que prêteur et Facility et Security agent
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Epargne Foncière, Crédit Mutuel Pierre 1, Sélectinvest 1, Pierre Privilège, Eurofoncière 2, LF Grand Paris Patrimoine, et LF Europimmo.
La transaction a été réalisée par Strategies & Corp dans le cadre d’un mandat exclusif de vente. Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’office notarial Allez et Associés, le cabinet Jeantet et par David Colin de chez Reed Smith LLP ; 6ème Sens Immobilier était conseillé par l’office notarial Lexfair et par William Stemmer du cabinet TAJ.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Newtown Square est née d’une volonté forte du Groupe La Française de répondre aux enjeux d’évolution des modes de travail et aux demandes émanant de ses utilisateurs avec deux éléments majeurs : le besoin de flexibilité et la nécessité de réponse à la problématique de « surcharge », phénomène de plus en plus répandu chez les entrepreneurs.
Filiale de La Française, Newtown Square bénéficiera d’un accès au patrimoine immobilier de La Française Real Estate Managers, première société de gestion de Sociétés Civiles de Placement Immobilier en termes de capitalisation (IEIF, 12/2018).
Xavier Lépine, Président du Groupe La Française, déclare : « L’avantage compétitif de Newtown Square repose sur un accès à un riche patrimoine immobilier, celui de La Française Real Estate Managers (REM). Être ainsi très en amont de la chaine de valeurs, lui permettra de se positionner sur des actifs stratégiques par leur emplacement et/ou leur potentiel de transformation. Newtown Square bénéficiera de l’ensemble des expertises intragroupe. »
Libérer l’entrepreneuriat : l’Éco-working Newtown Square
Si la majorité des entrepreneurs se déclarent « utiles et heureux » dans leur travail, ils sont également « durement impactés par le stress et la surcharge de travail »1. La mise en place d’une approche permettant d’alléger leur quotidien devient alors un facteur facilitant la réussite du projet. Cette démarche de dépollution du quotidien des entrepreneurs permettant de les libérer de ce qui les freinent ou les empêchent se traduit par la création d’un concept : l’Éco-working. Celui-ci repose sur le principe d’écologie de la personne, c’est-à-dire la capacité à connaître
ses besoins et à gérer son énergie afin de préserver son équilibre.
Plus qu’un lieu de travail, Newtown Square propose ainsi un environnement permettant aux porteurs de projet de se décharger pour mieux se recharger en énergie. « Nous pensons que
cette approche permet de remplir toutes les conditions d’efficacité nécessaires à la réussite d’un projet entrepreneurial et à la mise en place d’un management dit « durable » » déclare Gregory Neulat, Directeur Général de Newtown Square.
En premier lieu, Newtown Square a souhaité apporter de la flexibilité sur les baux mais également une solution pour des utilisateurs, soucieux de réduire leurs espaces locatifs de
longue durée en disposant d’espaces flexibles de proximité, un service hautement attractif dans une logique d’optimisation des charges pour les entreprises.
Clé de voute du concept d’Éco-working, Newtown Square propose une large gamme de services associés, dont une application mobile qui permet de faciliter l’accès et la gestion du quotidien dans les lieux, un service de conciergerie privée, la mise à disposition d’un assistant à l’heure ou à la journée pour soulager le porteur de projet de ses tâches et démarches administratives, le partage d’un carnet d’adresses de prestations de conseils incontournables (juridique, design, informatique, etc.), la mise en place de conférences « open source » pour favoriser l’innovation et l’acculturation, le tri sélectif, le snacking bien-être, mais également des services plus exclusifs, dits « high-end », tel l’aménagement personnalisé ou encore l’organisation d’événements.
Les dirigeants de PME, les travailleurs indépendants ou encore les équipes des grandes entreprises détachées dans le cadre de projets « intrapreneuriaux » pourront ainsi opter pour une offre packagée en coworking ou Flex Office.
Pour son lancement, Newtown Square privilégie la Rive Gauche de Paris et inaugure son premier espace situé 104 boulevard du Montparnasse. Idéalement situés à proximité de la gare du même nom, des lignes de métro 4, 6 et 12 et de ses nombreux commerces et lieux touristiques et culturels. Les trois derniers étages de l’immeuble exploités par Newtown Square ont été entièrement rénovés par les artisans du Compagnonnage avec une attention particulière portée sur la flexibilité et la modularité des espaces, l’éclairage et l’utilisation de matériaux nobles favorisant le confort des utilisateurs.
Gregory Neulat, Directeur Général de Newtown Square, commente : « Nos espaces associés à notre palette de services d’Éco-working permettent aux entrepreneurs et intrapreneurs de mener à bien leurs projets en se délestant des éléments potentiellement toxiques pour l’accomplissement de leur mission. Aujourd’hui, nous inaugurons 400 postes de travail Rive Gauche, mais nous avons d’ores et déjà identifié d’autres espaces sur la Rive Droite de Paris pour un second déploiement début 2020. »
Pour tout savoir sur Newtown Square : www.newtownsquare.fr
1 Source : Baromètre 2019 sur la forme des dirigeants de la fondation MMA des entrepreneurs du futur.
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"Legacy", ou l’héritage que nous laissons à nos enfants, fait état de notre planète depuis les premières photographies prises au Kenya en montgolfière, celles des Bestiaux où les propriétaires posent avec leurs animaux, les portraits des Français, et son grand projet « la Terre vue du ciel ». Un état des lieux en images et en mots pour prendre conscience que nous sommes tous responsables de l'avenir de notre Terre.
Avec ses photographies, ses films et la Fondation GoodPlanet, Yann Arthus Bertrand œuvre à la sensibilisation du public et à l’élaboration de solutions concrètes en faveur d’un mode de vie plus responsable, plus respectueux de la planète et de ses habitants.
Informations pratiques
"LEGACY", Retrospective de Yann Arthus Bertrand
Du 28/06/2019 au 01/12/2019
Toit de la Grand Arche
1 parvis de la Défense
92800 Puteaux
Tous les jours de 10h à 19h
Plus d’infos https://www.lagrandearche.fr/actualites/yann-arthus-bertrand
L'écosystème d'un campus : 3 bâtiments indépendants, un RIE, un auditorium, des salles de réunion ultra-connectées, des espaces de repos, de détente et évènementiels de plus de 200 m², une cafétéria,un terrain de pétanque, une conciergerie, un campus manager, des terrasses et un jardin participatif à destination des occupants.
]]>Le SMART’UP est un immeuble de bureaux certifié HQE (Haute Qualité Environnementale), BREEAM (niveau « Very Good ») et labellisé BBC. L’immeuble bénéficie de nombreux services : restaurant d’entreprise, cafétéria, salle de fitness, business center, conciergerie, patios paysagers, balcons et vaste terrasse aménagée le tout dans un cadre paisible aux portes de Paris.
]]>Cet ensemble immobilier est situé aux 163-204 avenue du Maréchal Juin et 83 rue de Sèvres, à proximité du Pont de Sèvres, au sein du quartier « Silly-Gallieni ». L’actif comprendra 82 logements, dont 27 logements sociaux, avec emplacements de stationnement. La commercialisation de ces appartements de standing au sein d’un environnement résidentiel dynamique sera lancée au troisième trimestre 2019, pour une livraison prévue pour le quatrième trimestre 2021. Le projet architectural est mené par l’agence MP-A.
L’acquisition et la gestion des actifs du fonds sont confiées par la société de gestion La Française Real Estate Managers à La Française Real Estate Partners, conseiller du fonds et filiale du groupe dédiée aux investisseurs institutionnels. Demathieu Bard Immobilier intervient notamment en qualité de promoteur dans l’ensemble des opérations immobilières qui seront mises en œuvre au niveau du fonds.
Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Cette acquisition menée conjointement par nos équipes et celles de Demathieu Bard Immobilier représente une excellente première opportunité pour notre fonds LF REVA, regroupant tous les fondamentaux essentiels à la création de valeur dans la chaîne immobilière. Plusieurs nouveaux projets d’investissement sont d’ores et déjà à l’étude. Cela démontre ainsi la capacité de sourcing du fonds qui dispose de 300 M€ pour déployer sa stratégie. »
Philippe Jung, Directeur Général de Demathieu Bard Immobilier, ajoute « Cette acquisition permet de confirmer la forte complémentarité des équipes de La Francaise Real Estate Partners et de Demathieu Bard Immobilier ainsi que la capacité à s’engager sur des projets complexes avec changement d’usage. L’expérience et le savoir-faire de Demathieu Bard Immobilier permettront de livrer des appartements de standing dans un environnement de très grande qualité. »
Pour cette opération, le fonds LF REVA était conseillé par le cabinet 14 Pyramides sur les aspects notariaux et par DLA Piper sur les aspects juridiques.
Risques associés : risques liés aux investissements d’une manière générale, absence d'antécédents d'exploitation, risques liés au marché immobilier visé dans la stratégie d’investissement, risques de contrepartie, risques liés au contrat de promotion immobilière, risques liés à la gestion (gestion discrétionnaire de la société de gestion, risques liés au recours à l’endettement, risque de taux), risques fiscaux, risque d’illiquidité, porteurs défaillants, défaut de répondre à un appel de fonds, dilution lors des closings successifs, conflits d'intérêts potentiels, risque de perte en capital.
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Risque de perte en capital et absence de garantie de revenus. Risque lié à la gestion discrétionnaire et le risque lié au marché immobilier. Risque lié à l’endettement. Risque lié à la détention d’actifs financiers (actions, produits de taux, risque de crédit).
Durée de placement recommandée de 8 ans. En cas de demande de rachats (remboursement de vos actions), votre argent pourrait ne vous être versé que dans un délai de 12 mois.
La SPPICAV LF OPSIS Epargne Immobilière a reçu l’agrément n°SPI 20180025 en date du 24/07/2018 délivré par l’AMF.
La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-07000038 du 26/06/2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE - La Française AM a reçu l’agrément de l’AMF N° GP-97076 du 01/07/1997. www.amf-france.org- La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par le CECEI sous le numéro 18673 X - Carte professionnelle : Carte Transactions sur immeubles et fonds de commerce délivrée par la CCI de Paris Ile de France le 29/07/2016 sous le numéro CPI 7501 2016 000 010 432
D’après Gartner, il existait 11,2 milliards d’appareils connectés en 2018, et ce nombre devrait atteindre 20,4 milliards en 2020.
• Un objet connecté à Internet peut envoyer et/ou recevoir des informations. Cela ne signifie pas qu’il dispose d’un gigantesque espace de stockage ou d’un super-ordinateur ; en revanche, il peut se connecter à de tels dispositifs.
• Pour collecter et envoyer des informations, les appareils doivent être équipés de capteurs (par exemple, des capteurs de température et d’humidité, ou encore de qualité de l’air et de lumière). Ces capteurs permettent d’obtenir des données à partir de l’environnement et de prendre de meilleures décisions.
Les avantages peuvent être visibles dans tous les domaines. En agriculture, par exemple, on utilise des capteurs pour mesurer l’humidité des sols et tenir compte des prévisions de précipitations afin d’apporter aux cultures l’irrigation nécessaire, et éviter ainsi des conséquences coûteuses en cas d’arrosage excessif ou insuffisant.
• Avec l’IdO, les entreprises peuvent analyser et contrôler des objets et des environnements qui, jusqu’à présent, demeuraient hors de portée d’Internet. Pour les fournisseurs de ces appareils, de puces et de logiciels, ces perspectives offrent des opportunités de croissance des ventes ; quant aux utilisateurs de l’IdO, ils pourraient bénéficier d’une rentabilité accrue, mais ceux qui ne s’adapteront pas risquent une baisse de leurs bénéfices.
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Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier LF Grand Paris Patrimoine, Épargne Foncière, Crédit Mutuel Pierre 1, Sélectinvest 1, Pierre Privilège et Eurofoncière 2.
La transaction a été réalisée par Cushman & Wakefield. Dans cette opération, La Française REM était conseillée par l’étude 14 Pyramide, le cabinet Jeantet, le cabinet Saint-Honoré Partenaires ainsi que le cabinet Fairway pour le financement. Celui-ci a été structuré par la Banque Européenne du Crédit Mutuel, assistée par l’étude Victoires Notaires associés et par le cabinet Archers. Tishman Speyer était conseillé par l’office notarial Wargny Katz et le cabinet De Pardieu Brocas Maffei.
Risques associés SCPI d’entreprise : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement. Le capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.
Cette Société Professionnelle de Placement à Prépondérance Immobilière à Capital Variable (SPPPICAV), gérée par La Française Real Estate Managers, a pour objectif de proposer aux investisseurs professionnels une performance à long terme, en recherchant un rendement régulier à travers une participation dans un patrimoine immobilier composé de quatre typologies d’actifs :
et plus généralement tout actif faisant l’objet d’un bail commercial, situés principalement en France, dans des régions à forte attractivité touristique acquis majoritairement en état futur d’achèvement. LF IMMO TOURISME pourra également prendre des participations dans des sociétés à prépondérance immobilière non cotées. Il est à noter que la SPPPICAV pourra s'endetter à hauteur de 40 % maximum de la valeur des actifs immobiliers.
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF IMMO TOURISME, précise : « La Française est reconnue pour son expertise en immobilier d’entreprise et sa capacité à innover sur le marché. Avec LF IMMO TOURISME, la stratégie d’investissement portant sur quatre typologies d’actifs complémentaires vise à optimiser la stabilité de la performance potentielle du fonds. La création du fonds, en pleine phase de constitution du secteur, devrait permettre de participer au développement du tourisme en France et d’accompagner la restructuration et la montée en gamme de l’offre prévue notamment par le plan Fabius. »
Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, conclut : « Nous avons développé une expertise en matière de résidences gérées que nous allons désormais déployer au secteur du tourisme. Nous sommes confiants sur le fait que notre sélectivité, basée à la fois sur la qualité des exploitants mais aussi sur les localisations et la valorisation immobilière, fera de nouveau la différence auprès des investisseurs. »
La SPPICAV est géré par La Française Real Estate Managers. La Française Real Estate Partners, filiale de La Française Real Estate Managers, exerce une mission de conseil en investissement immobilier et assiste La Française Real Estate Managers dans l’exécution de missions, dont le sourcing, l’acquisition et la gestion immobilière des actifs, réalisées dans le cadre de la gestion des actifs détenus par la SPPICAV.
Caractéristiques principales de LF IMMO TOURISME
Code ISIN | FR0013403631 |
Agrément | 08/03/2019 |
Forme juridique | Société Professionnelle de Placement à Prépondérance Immobilière à Capital Variable (SPPPICAV) |
Durée de vie du véhicule | 15 ans |
Lock-up | 10 ans |
Profil Investisseur | Clients professionnels |
Durée de placement recommandée | 15 ans minimum |
Société de gestion | La Française Real Estate Managers |
Mission de conseil à l’investissement immobilier dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie d’investissement de la SPPPICAV. | La Française Real Estate Partners |
Fréquence Valorisation | 31/03/2019 - 30/09/2019 : mensuelle |
Souscription minimale | 1.000.000 € pour la première souscription, aucun minimum pour les souscriptions ultérieurs |
Commission de souscription acquise | 8% maximum |
Commission de souscription non acquise | 2% maximum |
Frais de fonctionnement et de gestion (en % de l’actif net) | Jusqu’au 31 décembre 2021: 3% * maximum TTC dont commission de gestion : 2.70 % maximum TTC A partir du 1er janvier 2022 : 1,50 % maximum TTC dont commission de gestion : 1 % maximum TTC |
Pour le détail des frais se référer au prospectus.
*Sources : BANQUE MONDIALE - IMMOBILIER DE TOURISME : DÉCRYPTAGE, MARS 2019
Risques associés : risques de perte en capital, liés à la gestion discrétionnaire, liées au marché immobilier, liées à l’effet de levier, de contrepartie, locatifs, climatiques, de taux, de crédit, liés à l’acquisition en l’état futur d’achèvement et à la détention de participations non contrôlées. Après la période d’interdiction des rachats d’une durée de dix (10) ans, en cas de demande de rachat (remboursement) de vos Actions, votre capital pourrait ne vous être versé que dans un délai de cinq (5) ans.
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La 22ème édition du 4L Trophy s’est tenue du 21 février au 3 mars 2019. Ce rallye d’orientation, plus gros événement sportif et solidaire d’Europe dédié au 18/28 ans, permet aux participants de traverser la France, l’Espagne et le Maroc. Il donne également l’occasion aux participants d’apporter des fournitures scolaires, médicales et informatiques ainsi que des vêtements de sport dans des régions reculées du Maroc. Cette course solidaire a permis la scolarisation de plusieurs centaines d’écoliers marocains.
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Paris: 9 mai 2019 – LFIS (La Française Investment Solutions), le gérant quantitatif parisien au 11,5 milliards d’euros d’actifs sous gestion(1) a annoncé aujourd’hui le financement de deux nouveaux projets de recherche portant sur les thèmes importants de l’investissement quantitatif et de la gestion d’actifs, une nouvelle étape dans le cadre de son partenariat de long-terme avec Quantitative Management Institute (QMI).
Ces projets étudieront de nouvelles méthodologies dans l'investissement quantitatif et seront dirigés par des chercheurs académiques, experts dans ce domaine. Le premier, dirigé par Hugues Langlois, professeur assistant en finance à HEC Paris, vise à développer une approche novatrice d'optimisation des portefeuilles. Cela correspond à la volonté de QMI de relever les défis de mise en œuvre dans le monde réel des stratégies quantitatives. Le deuxième projet, dirigé par Costas Xiouros, professeur associé à la BI Norwegian Business School, remet en question le modèle du CAPM. Ce projet s’aligne sur les travaux de QMI en matière de construction de portefeuille et de gestion des risques. Les résultats de la recherche seront présentés lors du Sommet Quant Vision 2020 de LFIS et QMI à Paris au début de l’année prochaine.
Guillaume Garchery, responsable de la recherche et du développement quantitatif chez LFIS, a commenté: « Nous assistons à la poursuite de la croissance mondiale de l’investissement quantitatif et de l’appétit croissant des investisseurs pour ces types de stratégies, qui ne feront que continuer de se développer. Donner à la recherche les moyens dont elle a besoin aidera à relever les défis que nous anticipons et à mettre en lumière de nouvelles approches pour délivrer de la performance et faire progresser l’industrie. ».
LFIS et QMI ont annoncé leur partenariat pluriannuel en mai 2018, portant sur l’alliance des mondes académiques et professionnels pour couvrir les trois grands axes de l'investissement quantitatif: l'intelligence artificielle et la génération de signaux, la construction de portefeuille et la gestion des risques, ainsi que les défis de mise en œuvre des stratégies.
Gaëlle Le Fol, directrice scientifique de QMI, a déclaré: « Nous sommes ravis de nous associer à LFIS pour financer ces projets de recherche d'actualité. Ces projets sont parfaitement en ligne avec l’engagement de QMI à relever les défis majeurs de l’investissement quantitatif par le biais de la recherche. Nous sommes impatients de travailler avec Hugues, Costas et LFIS pour donner vie à cette recherche. »
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L'indice S&P 500 est un indice pondéré par la capitalisation boursière des 500 plus grandes entreprises cotées des États-Unis.
Le HAGI TOP (Historic Automobile Group International) est l’indice global permettant de suivre les ventes des véhicules historiques exceptionnels.
Développé par Art Market Research, l'indice AMR All Art mesure le sentiment de marché selon un large éventail de ventes aux enchères d'œuvres d'art, objets antiques et de collection depuis 1975.
L’indice Liv-Ex Fine Wine 100 (Liv-Ex) réplique les fluctuations de prix des 100 vins les plus recherchés sur le marché secondaire.
Keeneland est un hippodrome de renommée internationale ainsi que la première maison de ventes aux enchères de l'industrie du pur-sang.
L’indice S&P/Case-Shiller New York Home Price mesure la variation moyenne de la valeur des biens immobiliers résidentiels à New York selon un niveau de qualité constant.
Les indices présentés ci-dessus sont une représentation de leurs secteurs respectifs. Veuillez noter que la comparaison avec d'autres indices pourrait donner des résultats significativement différents de ceux présentés.
Les opinions exprimées sont celles de Fred Alger Management, Inc. à fin avril 2019. Ces opinions sont sujettes à modification à tout moment et ne garantissent pas la performance future des marchés, de tout titre ou fonds géré par Fred Alger Management, Inc. Ces opinions ne visent pas à fournir des conseils en investissement et ne sauraient être considérées comme une recommandation à acheter ou vendre des titres.
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A l’inverse, la génération précédente est à 70 % propriétaire de son logement, mais l’allongement de la durée de la vie a globalement fait baisser les retraites, ce qui conduit à une contradiction flagrante pour nombre de seniors « riche en patrimoine et pauvre au quotidien ».
Tout l’enjeu de l’urbanisation, et donc de notre croissance de demain, est de faire coïncider les cash
flows disponibles avec les besoins, ceux des juniors pour se loger comme ceux des seniors pour vivre
décemment et le cas échéant financer leur dépendance.
Conséquence de la globalisation et de la réalité des villes-monde, la demande devient mondiale car les
salaires des personnes à forte valeur ajoutée s’alignent mondialement (cf. étude FMI Global Housing Watch), la demande est donc inclusive au niveau mondial mais exclusive au niveau national. Tout l’enjeu est donc de la rendre inclusive au niveau national.
Les idées qui sont développées dans cette lettre doivent donc être adressées exclusivement à la demande non effective, c’est-à-dire, actuellement « les exclus de la hausse des prix » avec comme objectif corollaire de ralentir ce phénomène infini de hausse des prix sans pour autant prendre le risque de rentrer dans une spirale déflationniste dont les impacts seraient potentiellement pires que l’inflation. Concrètement la majorité des mécanismes décrits devraient ainsi s’appliquer sous conditions de plafonds adaptés de ressources afin d’éviter que la demande actuellement solvable qui autrement en bénéficierait ne fasse qu’entrainer encore plus haut les prix actuels.
Les problèmes que nous avons et pouvons résoudre en même temps sont ainsi :
Créer des mécanismes pour solvabiliser l’acquisition de logements financièrement abordables pour les
« classes moyennes » et familles (sachant qu’il faut prendre en compte l’instabilité de la famille tant sur
le plan professionnel que dans sa composition, phénomène particulièrement important dans les zones
tendues). Vive la civilisation de l’usage versus la propriété !
Associer les compagnies d’assurance à la production de logements locatifs intermédiaires et sociaux pour
répondre à la problématique des « classes moins aisées ».
Contexte :
Les inconnues sont très nombreuses quant à l’évolution du mode de vie des urbains : télétravail, coliving,
coworking, besoins de plus ou de moins de bureaux, nomadisme professionnel subi ou choisi, nomadisme
familial (séparation, recomposition de familles, famille monoparentale, rester chez soi le plus longtemps possible les seniors, etc.). C’est pourtant à ce niveau précis que se situe le succès ou l’échec de notre société, la difficulté étant de gérer un environnement complexe, mouvant et très incertain, dans le domaine fondamental qu'est le bâtiment, tant dans ses fonctions de logement que de lieu de travail, et cela alors même que l’intensité capitalistique très élevée nécessite à l’inverse une stabilité des paramètres. Cette quadrature du cercle nous n’avons déjà pas su collectivement bien la résoudre depuis plusieurs décennies et seule une action volontariste et disruptive des process antérieurs permettra de réussir le défi du XXIe siècle : le vivre ensemble.
Les urbanistes, les ingénieurs et d’une manière générale les fabricants de la ville de demain peuvent nous construire une « smart city durable » où la technologie nous permettra de réduire drastiquement nos émissions de CO2 (l’immobilier étant le deuxième émetteur de C02 avec 20 % des émissions) avec des bâtiments basse consommation construits dans une logique de durabilité, un smart grid qui réduira la consommation d’énergie (10 % des émissions de CO2), une multimodalité des transports (29 % des émissions actuelles), le BIM (Building Information Modelling) qui nous permettra de construire à coût marginal faible des immeubles à fonctionnalité bureaux-logements réversible, des services démultipliés grâce aux évolutions technologiques… Mais ne soyons pas naïfs, cette ville intelligente ne coutera pas beaucoup moins cher et la question fondamentale est donc de savoir qui va financer et qui pourra habiter cette ville que nous pouvons techniquement bâtir. La ville de demain sera inclusive ou ne sera pas !
Par ailleurs, sachant que le logement est un bien qui ne connaît que très peu de gains de productivité (les Sumériens vivaient avec le même espace de vie que nous-mêmes) et que l’OCDE a constaté que le prix des services, dont le logement, augmente d’autant plus que celui des biens industriels, sensibles aux gains de productivité, diminue, d'où la nécessité de trouver des solutions adressant de façon chirurgicale le problème.
Il n’y aura pas d’actif sans passif et les Français l’ont bien compris lorsque dès le lendemain du drame de Notre-Dame les dons ont afflué pour financer la reconstruction !
Et en même temps…
Mon analyse est que seule une approche holistique reposant sur l’impact sociétal permettra de construire notre avenir et que toutes les parties que sont les pouvoirs publics, les élus locaux, les législateurs, les banques, les assurances, les investisseurs financiers, les asset managers, les promoteurs doivent en même temps définir les nouvelles règles du jeu de notre complexité. La bonne nouvelle est que tout le monde peut y gagner et qu’à l’inverse, si nous ne le faisons pas, tout le monde perdra et la perte ne se limitera pas à la problématique du logement !
Je centrerai ma réflexion sur le Grand Paris, sachant qu’elle peut s’appliquer à toutes les zones tendues.
Conséquence de la globalisation et des évolutions technologiques, la Ville-Monde est en train de remplacer le concept de l’Etat-Nation qui prévalait au XXe siècle. Heureuse conséquence du Colbertisme, Paris est ainsi une des 5 Villes-Monde et la seule dans l’espace communautaire européen continental. La réalisation du Grand Paris Express avec ses 200 km de métro et ses 68 gares double le réseau actuel et désenclave beaucoup de territoires de l’Ile-de-France.
L’urbanisation accrue et une gestion, in fine, malthusienne du foncier a entrainé un déséquilibre entre l’offre et la demande et par voie de conséquence des prix de logements inabordables pour les générations montantes et 1 million de personnes mal logées en région parisienne (18 % de la population vit en Ile-de-France et produit 31 % du PIB). La charge locative représente en moyenne 25 % du revenu des foyers alors qu’une acquisition (sans apport) atteindrait plus de 50 % du revenu brut.
Il n’en demeure pas moins que, du fait de la hausse de l’immobilier qui en moyenne a doublé en 20 ans,
le patrimoine des ménages français qui est composé au 2/3 d’immobilier atteint ainsi 14.700 Mds € soit
6,5 fois le PIB ou 8,5 fois le revenu brut des ménages et que le patrimoine immobilier détenu par les ménages est de 9.700 Mds €. Si l’on fait une estimation, grossière à ce stade, en se basant sur l’étude de l’Insee sur la répartition du patrimoine immobilier des ménages par tranche d’âge et en partant du principe que l’immobilier francilien vaut en moyenne le double de celui du reste de la France, on arrive ainsi à un patrimoine immobilier des propriétaires franciliens âgés de plus de 60 ans de l’ordre de 300.000 € (70 % des ménages de plus de 60 ans sont propriétaires de leur logement).
Par ailleurs, l’allongement de la durée de la vie a créé une baisse de revenus difficilement supportable pour
nombre de retraités qui vivent d’autant plus mal au quotidien qu’ils s’inquiètent de leur capacité à se payer leur éventuelle dépendance et voient leurs revenus encore baisser lorsque l’un des deux conjoints décède. Les retraites représentent aujourd’hui 14 % du PIB soit 320 Mds € et la charge actuelle pour l’Etat et la société rend difficilement envisageable un « geste pour tous significatif » ; et cela d’autant plus que la démographie n’est pas en faveur d’une amélioration de cette situation. Accessoirement, si je puis dire, l’allongement de la durée de la vie a retardé de quasiment une génération la transmission du patrimoine et, de fait, 85 % des personnes qui héritent ont désormais plus de 55 ans et vendent dans 80 % des cas le bien immobilier dont ils héritent.
LES SOLUTIONS ? Il faut en même temps :
Pour les juniors des classes moyennes :
a) Le dispositif que nous avons créé à La Française et qui connait un très bon démarrage, la propriété
à vie (50 ans minimum, plus si la personne vit plus longtemps, et rachat à prix connu à tout moment) ou
Flexipropriété permet de réduire de 30 % le coût d’acquisition d’un logement et donc de le situer dans
un taux d’effort des propriétaires plus proche d’un loyer que d’une propriété et également de préparer la
retraite dans les mêmes conditions qu’un propriétaire classique. Sur le plan juridique le dispositif repose sur l’emphytéose complétée par des dispositifs correspondant à la vie des familles : flexibilité sans incertitude financière lorsque le logement est remis à la vente – besoin de s’agrandir, divorce, changement de lieu de travail, amélioration de la situation financière (travail ou héritage), décès prématuré, ou à l’inverse l’achat du « solde de la propriété » si l’amélioration de sa situation financière le permet. Dispositif attractif également pour les investisseurs de long terme qui peuvent légitiment en attendre un rendement bien supérieur au rendement locatif résidentiel classique.
Je n’élaborerai pas plus en détails notre dispositif… le plaisir de l’exclusivité !
Obstacles : aucun sur le plan législatif, un accueil très favorable des acquéreurs qui comprennent
parfaitement qu’ils ne transmettront pas un capital immobilier à leurs enfants, un accueil favorable des
municipalités (logements familiaux abordables assurant une mixité sociale plus harmonieuse), un accueil
réservé des investisseurs institutionnels français peu enclins à prendre des risques sur l’innovation alors que ce dispositif est plus facilement audible par des investisseurs étrangers plus familiarisés à la complexité des montages de financement liés au logement.
b) Le prêt partiellement perpétuel : pourquoi financer sur 20 ans (ou 25 ans) un bien dont la durée de vie est de plus de 100 ans ? Les banques de nombreux pays européens, notamment en Scandinavie et en Suisse, soumises aux mêmes contraintes règlementaires que les banques françaises, prêtent en même temps à la personne et au bien.
Un exemple avec un bien de valeur 100 :
L’emprunteur, personne physique, emprunte sur 20 ans à 2 %.
Obstacles : sur le plan législatif, probablement pas (l’hypothèque est valable sur 50 ans en France). Sur
le plan règlementaire, des banques européennes soumises aux mêmes règlementation et conditions
de refinancement le pratiquent et l’on voit même des assureurs français acquérir des titres de créances
hypothécaires émis par des banques hollandaises reposant sur ce dispositif.
c) Faciliter le retour des compagnies d’assurance sur le logement locatif : tout le monde n’a ni l’envie
ni les moyens de devenir propriétaire, mais la construction de logements locatifs a été désertée par les
compagnies d’assurance depuis des années et l’Etat a parallèlement mis en place des dispositifs fiscaux
pour inciter les épargnants à investir dans la « pierre locative ». Ces dispositifs fiscaux, le dernier en date
étant le Pinel, outre la difficulté à analyser le rapport coût/bénéfice pour la société, est manifestement
insuffisant pour produire suffisamment de logements locatifs. Si les compagnies d’assurance n’investissent
pas dans le logement alors que dans beaucoup de pays occidentaux il existe des foncières de logements
dont la performance financière attire manifestement les investisseurs, c’est à l’évidence parce que le
rendement locatif est trop bas, ou, plus exactement, que le prix de revient du bien immobilier est trop élevé pour pouvoir supporter un loyer compatible avec la capacité de paiement des loyers par les locataires. Inverser cette situation qui résulte d’une maitrise insuffisante du prix du foncier ne pourra se résoudre en quelques années si toutefois elle était même souhaitable, la déflation de la valeur des actifs ayant un effet dévastateur encore pire que l’inflation !
Dès lors, il s’agit d’interpeller la réalité des assureurs plutôt que de les accabler : les compagnies d’assurance sont des tiers de confiance. Les souscripteurs de contrat d’assurance-vie ont déposé leur argent avec l’engagement de l’assureur de lui rendre le capital, à tout moment (même si dans les faits elle sait statistiquement que son passif ne sera jamais réclamé en même temps et qu’elle estime donc sa duration à plus de 8 ans), majoré des profits acquis. Elle gère ainsi avec un triptyque bien connu : Rendement, Risque, Règlementation (comptabilité des assureurs et Solvabilité 2) et les règles du jeu sont très claires :
Exemple : une compagnie d’assurance investit en T0 dans un fonds de 100 millions d’euros composé de 400 logements.
Obstacles : sur le plan financier, le risque de voir baisser l’immobilier résidentiel de plus de 10 % sur une période de 15-20 ans est très faible. Historiquement, il ne s’est manifesté que pendant les deux guerres mondiales. Au pire, s’il se manifestait, alors que le dispositif est renouvelé chaque année, en moyenne entre les mauvaises et les bonnes années, il est peu vraisemblable qu’une perte significative soit réalisée et en tout état de cause, la CDC aurait les mêmes pertes que dans la situation actuelle. La principale difficulté, outre la nouveauté, est qu’il s’agit d’un engagement hors bilan d’une entité de l’Etat ce qui rentre dans les critères d’endettement de Maastricht… et qu’il faut donc définir des règles spécifiques sur ce type d’engagement (faire par exemple admettre que l’endettement virtuel dans 15-20 ans ne porte dans les faits que sur un risque de différentiel de prix entre le prix de la garantie soit 90 et le prix de marché dans 15-20 ans d’un bien immobilier qui vaut 100, de même que pour les assurances avec solvabilité 2).
Pour les seniors propriétaires de leur logement
Vivre « dans et de son logement », en activant et modifiant si nécessaire le principe de l’hypothèque rechargeable créée en 2006 (reverse mortgage) : on le sait la structure de l’épargne des Français c’est la pierre et on a coutume de dire que le logement c’est le fonds de pension des Français. Cette génération a épargné dans la pierre et leur épargne financière est souvent quasi nulle. Il se trouve que l’immobilier a vu son prix multiplié par deux en vingt ans, tant mieux !
Faisons de leur logement un fonds de pension individuel. Le mécanisme est très simple :
- Un propriétaire consent une hypothèque sur son logement à une banque ;
- Cette dernière lui fait tous les mois un prêt d’une somme X :
Un exemple simple :
Après toutes les subtilités sont possibles : un versement initial important qui peut ainsi aisément être transmis en avance sur héritage à sa succession permettant ainsi à son héritier d’avoir un apport lorsqu’il en a besoin, une variabilité du montant en cas de décès de l’un des deux bénéficiaires, une augmentation en cas de départen EHPAD, la refixation du taux d’intérêt capitalisé en fonction du niveau des taux, etc.
La banque au départ fait une évaluation du bien et calcule le montant à verser mensuellement en fonction de la valeur du bien et de la table de mortalité.
Cette démarche est moins traumatisante et spéculative qu’un viager puisqu’il n’y a pas de transmission du bien et que, dans l’hypothèse d’un décès peu après la mise en place du dispositif, la dette est très faible. Sur le viager, on constate par ailleurs que 40 % des prescripteurs sont les enfants qui bien souvent touchent ainsi le bouquet et sont certains que leurs parents pourront se payer un EHPAD en cas de besoin (les enfants sont bien souvent eux-mêmes à la retraite à ce moment-là).
Sur le plan macroéconomique cette conversion d’un capital immobilier sera réinjectée directement mensuellement en consommation. Sur le plan social, elle réduit d’autant la pression sur la collectivité à aider des personnes qui objectivement n’ont pas les moyens de vivre « bien » alors qu’elles disposent d’un capital illiquide par ailleurs.
Obstacles et rôles des parties prenantes :
Un fonds de garantie spécifique pourrait venir compléter le risque de généralisation du cas Jeanne Calment où
l’allongement de la durée de la vie entrainerait une dette supérieure à la valeur du bien immobilier. Reste à faire
le premier pas de l’innovation bancaire !
Augmenter la production de logements intermédiaires, mais pas seulement : le rôle du législateur et des collectivités locales
Le pêle-mêle des interactions positives qui peuvent s’avérer de véritables « game changers » et de déclencheurs de l’intégralité du dispositif :
Un point-clé est également à analyser : comment maitriser la hausse des prix de l’immobilier ?
Outre, comme expliqué au tout début de cette lettre, de mettre des conditions aux plafonds progressifs de
ressources pour éviter la création d’une spirale inflationniste supplémentaire, il faut aussi comprendre et
contraindre les autres facteurs de hausse des prix.
L’explication de la hausse des prix de l’immobilier (beaucoup plus rapide que celle des biens à la consommation) généralement fournie est sur deux axes :
Les deux arguments ne sont que partiels et une analyse précise des bilans de construction en zone tendue devrait être faite pour déterminer sur les autres facteurs de hausse de prix et ceci afin de mettre des dispositifs efficaces :
Une fois évalué le poids des différents facteurs expliquant la hausse des prix qui parait sans fin, le pacte social, qui pourrait être passé entre les différents acteurs, pourrait être un engagement de mission où chaque partie s’engage à jouer le jeu. Il ne s’agirait évidemment pas d’éliminer les facteurs de hausse mais de les réguler. Si les propriétaires des fonciers se voient contraints sur leur prix de vente et si les banques comme les autres parties prenantes décrites plus haut mettent en place les propositions ci-dessus alors les promoteurs peuvent produire beaucoup plus, mais l’accroissement de leur profitabilité doit être lié à la hausse des volumes et non pas de la marge unitaire (avec un IS majoré sur la fraction excédentaire de la marge unitaire) facilitée par l’accroissement de la solvabilité des ménages ; un dispositif comparable pourrait être mis en place pour les investisseurs au-delà d’un TRI qui ne doit cependant pas être fixé à un niveau trop bas, ce qui dissuaderait tout investisseur, national comme international. Ainsi, combinés aux mécanismes d’accession encadrés qui permettront aux ménages actuellement exclus d’accéder à un logement abordable, en location comme en acquisition, nous réunirions les conditions d’une forte croissance du logement sans dérives supplémentaires des prix.
Nous sommes parfaitement dans l'esprit de la loi Pacte qui prône l'Entreprise à mission : la ville construite pour ses habitants est une mission essentielle, qui doit être portée par toutes les parties.
La conjonction de ces évolutions par la solvabilité introduite des différents acteurs, les juniors, les seniors,
les personnes à revenus modestes avec une implication concrète de toutes les parties prenantes créerait ce fameux choc de l’offre provoqué par cette demande inclusive et l’on verrait éclore la foultitude des projets urbains nécessaires à la vie en société au XXIe siècle. Dans cet esprit toute contrainte ou opportunité créée par la loi devrait avoir une portée limitée dans le temps. L’évolution de la Société est très rapide alors même que l’intensité capitalistique et la durabilité de la ville sont des temps très longs ; les effets de bords introduits par toutes ces lois peuvent ainsi devenir très néfastes dans le temps et les lois régissant la création de la ville devraient donc avoir des clauses de rendez-vous.
Les informations contenues dans ce document ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de son auteur à la date de publication et sont susceptibles d’évoluer ultérieurement. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
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La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
LF Grand Paris Patrimoine a reçu le visa AMF SCPI n°18-25 en date du 21/08/2018.
Une notice a été publiée au BALO n°105 du 31/08/2018.
On pourrait aussi mentionner le système de "tiering" évoqué par M. Draghi depuis la réunion qui, s’il était mis en place, pourrait permettre à la BCE de baisser à nouveaux ses taux directeurs.
La réserve fédérale a, de son côté, été encore plus accommodante que la BCE relativement aux attentes de marché :
Ces décisions de la Fed sont surprenantes au regard de la situation économique américaine actuelle ; celle-ci a en effet peu évolué depuis le mois de septembre alors que le message de la Fed a, lui, radicalement changé.
Ces décisions sont en revanche beaucoup moins surprenantes quand on analyse l’évolution des conditions financières (et des marchés actions) durant cette période. Il est cependant légitime de se demander s’il était nécessaire d’aller aussi loin lors de la dernière réunion, alors que les conditions financières s’étaient déjà largement améliorées depuis le début de l’année.
L’environnement macroéconomique a, lui, eu plutôt tendance à s’améliorer au cours des dernières semaines avec des chiffres rassurants en provenance de Chine, ce qui est cohérent avec la forte relance fiscale, budgétaire et monétaire mise en place depuis plusieurs mois ; cette amélioration n’est sans doute pas terminée. La zone Euro semble, elle, se stabiliser, et ce même si
le secteur automobile allemand continue de peser sur la zone dans son ensemble ; nous pensons toutefois que les révisions négatives sur la croissance Euro sont maintenant derrière nous.
Que faire dans ce contexte ? Avec une dynamique de croissance qui se stabilise, un risque inflationniste faible et des banques centrales extrêmement accommodantes, nous avons ici un cocktail a priori très favorable aux actifs de rendement dans leur ensemble. Cette situation est d’ailleurs également favorable aux actifs actions tant que les risques exogènes restent contenus. Enfin, étant donné la très forte baisse des rendements des actifs sans risque et une situation macroéconomique en amélioration, ceux-ci pourraient remonter légèrement dans les semaines qui viennent.
Isabelle Lagrange, Directrice Générale d’EPARGNE ACTUELLE commente, « Cette signature s’inscrit pleinement dans le cadre du développement de notre offre « Patrimoniale ». Nous sommes désormais en ordre de marche, aux côtés d’un leader du marché immobilier, pour transformer commercialement notre nouveau positionnement et nous affirmer comme un interlocuteur incontournable de la gestion de patrimoine. »
« Nous sommes ravis qu’EPARGNE ACTUELLE ait sélectionné l’expertise immobilière de La Française pour étendre son offre auprès de sa clientèle patrimoniale. Ses exigences en matière de produits et de services d’accompagnement sont connues du marché et rendent ce partenariat d’autant plus valorisant pour La Française, » conclut Thierry Sevoumians, Président de La Française AM Finance Services.
L’accord de distribution porte sur quatre SCPI et permet de proposer aux clients patrimoniaux d’EPARGNE ACTUELLE une alternative aux supports actions et fonds euros. Ils bénéficient ainsi d’une réelle opportunité de diversification à travers la sélection de SCPI ci-après :
1 Le multiple cours/bénéfice permet d’évaluer une entreprise en mesurant son cours actuel par rapport à son bénéfice par action.
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GOUVERNANCE
Au final, il nous semble qu’une approche traditionnelle des questions ESG - centrée essentiellement sur l’énergie et les problèmes connexes liés au changement climatique, ne sera pas suffisante pour comprendre et analyser les performances futures des sociétés immobilières et les attentes en matière d’immobilier durable. Les investisseurs et les analystes du secteur immobilier doivent élargir leurs horizons et élaborer des métriques ESG qui prennent en compte l’ensemble des nouveaux défis.
L’étude intégrale rédigée par La Française Forum Securities (LFFS) et Global Property Research (GPR) est à retrouver en ligne.
A ce titre, le secteur financier a un rôle majeur à jouer en canalisant les flux vers des activités compatibles avec le scénario climatique des Accords de Paris. Mais il n’y a pas à ce jour d’accord sur ce que représente une activité "compatible" ce qui freine le fléchage massif du capital vers ces activités. Une taxonomie de l’UE permettrait de combler ces lacunes en fournissant des informations claires et transparentes sur la durabilité environnementale aux investisseurs, aux institutions financières, aux entreprises et aux émetteurs, permettant ainsi une prise de décision en connaissance de cause. Elle s’appliquerait à définir des activités économiques, donc des produits, et ne s’attacherait donc pas aux secteurs.
Activités durablement vertes
La définition "d’activité durablement verte" vient du groupe d’experts sur la finance durable (HLEG) mis en place par la Commission Européenne qui avait rendu ses conclusions en mars 2018. Elle repose sur 4 conditions :
La taxonomie
La taxonomie que la commission européenne souhaite mettre en place se devra de refléter les technologies existantes et les politiques en place et devra à ce titre être mise à jour régulièrement.
Elle n’est pas un standard, ni une liste obligatoire dans laquelle investir. Alors même qu’elle ne comprendra que les activités définies comme vertes, elle ne prétend pas que : les autres activités doivent systématiquement être considérées comme brunes (mauvaises pour l’environnement). Au sein de ces autres activités, certaines peuvent contribuer positivement à l’environnement mais marginalement, d’autres être neutres, et d’autres enfin être "brunes".
Enfin, la taxonomie inclura des activités de secteurs ayant un impact négatif sur l’environnement dans la mesure où celles-ci réduisent substantiellement leurs impacts négatifs. Le but de la taxonomie étant de favoriser la transition vers des modes de fonctionnement plus verts, et non pas uniquement des activités déjà reconnues comme vertes, cela fait sens d’y inclure des secteurs qui doivent améliorer leurs pratiques.
Une première version de cette taxonomie verra le jour en juillet 2019 et prendra la forme d’une liste d’activités. Les investisseurs pourront s’en emparer pour évaluer la part de leur portefeuille et/ou leurs investissements à venir en ligne avec la taxomanie verte, et d’autres acteurs pourraient l’utiliser pour créer des labels. Tout reste à écrire mais il est certain que cette taxonomie servira de base à de nombreux outils encore à imaginer.
Il sera composé de la manière suivante :
- Valeur nominale : 500 €
- Prime d'émission : 340 €
- Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 840 €.
dont 75,6 € HT, soit 90,7 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (9 % HT, soit 10,8 % TTC au taux de TVA en vigueur)
- Valeur de retrait : 764,4 €
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
Pierre Privilège : la note d’information a reçu le visa SCPI n°17-37 en date du 01.09.2017. La notice a été publiée au BALO n°101 du 22.08.2014, n°84 du 13.07.2016, n°106 du 2.09.2016 et n°116 du 27.09.2017 La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org).
Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française, se félicite :
« Avec Finaveo Partenaires, dont nous connaissons très bien la direction et les actionnaires, nous avons trouvé le partenaire qui va permettre l’accélération des développements de la plateforme CD Partenaires, nous resterons proches de ce nouvel ensemble et continuerons à y apporter notre soutien.»
Bruno Narchal, Président du Groupe Crystal, déclare :
« Après l’acquisition de Finaveo & Associés, cette opération confortera davantage encore la position d’acteur de référence de Finaveo Partenaires sur le marché des services aux professionnels du conseil en investissement, avec un volume d’environ 5 milliards d’euros administrés ».
EY Corporate Finance est intervenu comme conseil du Groupe La Française dans le cadre de la transaction.
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La gamme de produits du groupe s'est enrichie de 11 nouveaux fonds de valeurs mobilières, et vient ainsi étoffer l'offre existante de La Française couvrant à la fois les valeurs mobilières et les investissements immobiliers.
"La Française dispose désormais de trois centres d'investissement en Allemagne. Les nouvelles expertises, apportées par les équipes de gestion basées à Hambourg et à Francfort, complètent ainsi la gamme existante de La Française avec des solutions quantitatives qui seront mises à disposition des investisseurs du monde entier", souligne Patrick Rivière.
La méthode Risk@Work, mise au point par l'équipe d'investissements de Hambourg, jouera un rôle particulièrement important auprès de la clientèle institutionnelle. Cet outil innovant de gestion des risques permet aux clients institutionnels de contrôler et de gérer plus efficacement les risques en période de baisse des marchés. « Nous constatons une demande croissante de la part de clients internationaux pour une gestion efficace et fiable du risque de portefeuille. La méthode Risk@Work nous permet désormais de proposer des solutions innovantes qui servent à réduire les exigences de fonds propres pour les investisseurs institutionnels partout en Europe », conclut Patrick Rivière, Directeur Général de La Française.
Par ailleurs, La Française, 21ème gestionnaire d'actifs immobiliers en Europe (Source : Institutional Real Estate, Inc, Global Investment Managers 2018, août 2018), offre une large gamme de solutions d'investissement immobilier aux investisseurs du monde entier. Disposant d'une équipe de 12 personnes basée à Francfort, La Française opère sur le marché immobilier allemand depuis 2015.
1 Le multiple cours/bénéfice permet d’évaluer une entreprise en mesurant son cours actuel par rapport à son bénéfice par action.
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Félicitations à toute l'équipe de gestion !
Les récompenses et classements passés ne préjugent pas des récompenses et classements futurs. La Française Multistratégies Obligataires a été agréée par l'AMF le 15/12/2000 et est gérée par La Française AM, société de gestion agréée par l'AMF le 01/07/1997 sous le n° GP 97-76.
Le Label ISR a été attribué après un audit portant sur six thématiques :
Aussi, deux fonds actions, gérés par La Française AM et intégrant les capacités de recherche ESG de son centre dédié « Inflection Point by La Française », figurent parmi la liste officielle du ministère des finances des 194 fonds labélisés ISR (données disponibles au 07/03/2019, www.lelabelisr.fr):
Avec l’obtention de ces labels, La Française démontre sa capacité à toujours aller plus loin dans son expertise en matière de gestion d’actifs durables. Le groupe propose aux investisseurs particuliers et institutionnels des solutions d’investissement en immobilier comme en valeurs mobilières, qui reflètent son engagement au développement d’une économie durable. « Au-delà de nos engagements corporate, La Française a fait le choix de promouvoir le développement durable via ses expertises de gestion. Nous y avons consacré des moyens significatifs : acquisition d’un centre de recherche ESG, « Inflection Point by La Française », transformation de notre gamme de fonds actions et développement de solutions à impact, renforcements des équipes avec des experts en ESG… afin d’offrir des solutions d’investissement en adéquation avec les aspirations des épargnants souhaitant à leur tour participer à une économie plus durable », explique Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equities et Directeur Général, La Française AM.
]]>Les chiffres chinois n’ont de leur côté pas rebondi mais ne se sont pas non plus détériorés. Les différents plans de relance annoncés par le gouvernement chinois commencent à porter leurs fruits (nouveaux prêts en hausse) mais les effets totaux devraient mettre un peu de temps à se concrétiser. Rassurés par une conjoncture macroéconomique en léger rebond, les marchés ont aussi salué les avancées positives concernant certaines des problématiques politiques actuelles. M. Trump a en effet annoncé qu’il décalait la mise en place de la hausse des droits de douane, sans pour autant donner plus d’information sur ce report. Des efforts significatifs « auraient » été faits sur la question des transferts de technologie et de la protection de la propriété intellectuelle. Info ou intox ? Le marché a choisi d’y croire et anticipe maintenant que les négociations aboutiront de manière positive avec comme conséquence une levée des différentes taxes mises en place. Le panorama anglais s’est lui aussi légèrement éclairci avec l’annonce d’un vote le 12 mars sur l’accord négocié par T. May, vote qui serait suivi en cas de non accord par un second vote le 13 mars sur un « No deal ». Celui-ci serait à son tour suivi d’un 3ème vote en cas de non accord afin de prolonger la période de négociations. Comme il y a très peu de chances que l’accord actuel ou que le « No Deal » soient votés, une extension de la période de négociations parait l’option la plus probable. Cette extension devrait toutefois être d’assez courte durée.
Enfin, et même si cela a aujourd’hui moins d’impact sur les marchés financiers, la situation politique italienne semble tourner en faveur de la Ligue après les résultats des élections en Sardaigne qui voient le mouvement 5 étoiles perdre beaucoup de terrain. Cette victoire de la droite suit de deux semaines une victoire semblable dans les Abruzzes. Il semble que la Ligue soit aujourd’hui très bien positionnée pour former un gouvernement, si l’actuel ne survivait pas aux prochains mois.
Cela serait selon toute vraisemblance une nouvelle positive pour les actifs italiens.
Dans ce contexte, nous maintenons notre préférence pour les actifs émergents, même si nous prenons des profits sur les actifs chinois qui ont très fortement progressé depuis le début de l’année. Nous restons aussi positifs sur l’Espagne, le Portugal, ainsi que sur les subordonnées financières. Les anticipations d’inflation européennes nous semblent aussi toujours trop faibles au regard des mouvements récents du pétrole.
Découvrez les réponses dans cette vidéo de moins de 2 minutes.
]]>• Au cours des dernières périodes, l'indice Morningstar Wide Moat a surperformé l'indice S&P 500 et l'indice correspondant pour les entreprises « ordinaires », c’est-à-dire sans avantage concurrentiel durable.
• Selon Morningstar, cinq facteurs sont à prendre en compte pour caractériser ce type d’avantage : les coûts de substitution (freins qui empêchent les clients de passer d'un produit à un autre), l'effet de réseau (la valeur du produit augmente avec le nombre de ses utilisateurs), les actifs incorporels (identité de marque, licences et brevets gouvernementaux), l’avantage en termes de coûts (produire des biens à un coût moindre par rapport à la concurrence) et l’efficience opérationnelle (baisse du coût unitaire moyen lorsque le volume de production augmente).
• Une longueur d’avance importante est toujours synonyme de rendements supérieurs. Mettez toutes les chances de votre côté en choisissant un gérant de fonds dont la stratégie d’investissement est axée sur la sélection d’entreprises possédant un avantage concurrentiel durable.
La version contemporaine des luddites interroge les inégalités sociales et fiscales alors même que le gouvernement, en cherchant à repositionner la France dans le jeu de la compétitivité mondiale, sans être totalement orthogonal à la question du pouvoir d’achat, s’en est fortement éloigné. Une forme particulière de réplique de 1995 lorsque Jacques Chirac avait été élu sur la base de l’ascenseur social… pour mener une politique de réformes inverse quelques mois plus tard, dont Alain Juppé fit les frais, laissant les réformes inachevées. Le paradoxe ici est qu’Emmanuel Macron avait annoncé les réformes qu’il mène, mais le ressenti d’une partie de la population est qu’on ne peut pas parler d’ascenseur social (revalorisation de la notion de travail) à une population qui se voit plutôt dans l’escalier et non pas dans un ascenseur, pas même dans un ascenseur à l’arrêt. A la fracture sociale des années 1990 s’est ajoutée depuis la fracture numérique.
Les statistiques fusent et les débats s’embrasent : le coût du travail est trop élevé en France, le déficit public ininterrompu depuis 1975 conduit à un endettement qui dépasse 100 % du PIB et pèsera sur les générations futures, les écarts entre les rémunérations augmentent (net d’impôt ?), les écarts de patrimoine augmentent sous la flambée des prix de l’immobilier… et en même temps, le coût moyen d’un collégien est de 8 710 € et pris en charge à 100 % par l’Etat, celui d’un étudiant dans le supérieur est de 11 670 € et pris à 95 % en charge, le billet SNCF est payé à 55 % par l’Etat et 45 % par le voyageur, les médicaments à 74 % par la sécurité sociale, l’hospitalisation à 91% et la garde des enfants de moins de trois ans à 62 %... le "reste à vivre", nouvelle expression à la mode, net des ponctions fiscales (directes comme indirectes) est donc d’autant plus faible que la solidarité est importante.
Sur ce dernier point, les inégalités de revenus, le coefficient de Gini(1), qui mesure les écarts de richesse à l’intérieur d’une population donnée, indique clairement que la France n’est ni plus ni moins égalitaire que les autres pays d’Europe. On ne peut donc pas démontrer que l’existence d’une classe plus riche se ferait au détriment de la plus pauvre. Plus le coefficient tend vers 100 plus la répartition de la richesse est en faveur d’une minorité de personnes. A titre d’illustration, la Suède a un coefficient de Gini de 29 tandis que le Brésil est à 51 (caractéristique des pays émergents).
(1) Source Banque Mondiale
]]>La résidence bénéficiera d’une bonne desserte en transports en commun grâce notamment à la proximité de la gare SCNF, la présence de nombreuses lignes de bus et la proximité de l’aéroport de Châlons-Vatry.
L’OPPCI est géré par La Française Real Estate Managers. La Française Real Estate Partners, filiale de La Française Real Estate Managers, exerce une mission de conseil en investissement immobilier et assiste La Française Real Estate Managers dans l’exécution de certaines missions réalisées dans le cadre de la gestion des actifs détenus par l’OPPCI.
« Cette nouvelle acquisition en centre-ville de Châlons-en-Champagne renforce davantage notre partenariat avec le groupe Aegide, au travers de la signature d’un bail de 20 ans fermes. Cela démontre également la capacité d’exécution de la Française Real Estate Partners qui conseille ici sa douzième acquisition pour le fonds. », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
« Nous sommes ravis de cette nouvelle acquisition de Résidence DOMITYS à Châlons-en- Champagne par l’OPPCI LF Résidences Seniors, sur les conseils de La Française Real Estate Partners, client très présent sur cette classe d’actifs qui a déjà fait confiance à notre Groupe à plusieurs reprises. C’est également le fruit d’une longue relation commerciale et de confiance avec Patrice Genre, grand professionnel bien connu qui a su très tôt s’intéresser à nos Résidences Services Seniors. L’année 2019 sera également l’occasion pour nous de continuer sur ce trend positif » conclut Arnaud FETY (Chartered Surveyor – FRICS), Directeur Grands Comptes et Institutionnels du Groupe Aegide.
La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Allez et Associés, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Egis sur les aspects techniques. Le financement a été assuré par les banques Triodos et Crédit Foncier de France.
Les vendeurs Aegide et Nacarat étaient conseillés par le Pôle Résidentiel du Département Investissement de JLL et par l’étude 14 Pyramides Notaires sur les aspects notariaux.
Risques associés à l’OPPCI LF Résidences Seniors : risques de perte en capital, risque de gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risques liés à l’effet de levier, risque de défaut de l’exploitant, risque de crédit, risque de taux, risques de contrepartie, risque locatif, risque lié à la détention de participations non contrôlées et capital non garanti.
]]>La Française, avec 19 milliards d’euros d’actifs immobiliers sous gestion et forte d’une expérience de plus de 40 ans en investissements, a saisi depuis plusieurs années l'opportunité à la fois immobilière et sociétale du projet du Grand Paris Express. La Française a pris des positions sur des emplacements stratégiques à proximité des hubs du Grand Paris pour en capter la valeur immobilière, avec pour objectif la régénération urbaine des sites clés de demain.
Bénéficiant de l’expertise et de la notoriété de La Française, la Société Foncière et Immobilière du Grand Paris, pilotée par Guillaume Pasquier, Directeur du Développement Foncières, et Anne Génot, CIO Grand Paris et European Real Estate Business Development Director, a d’ores et déjà sécurisé deux projets phares à Saint-Denis (93) et Villejuif (94).
"Ce nouveau partenariat en France avec un gestionnaire et investisseur immobilier de premier plan tel que La Francaise, et sa société mère CMNE, nous permettra d’investir dans un projet de développement stratégique au sein de Paris", déclare Andrea Orlandi, Directeur Général, Head of Europe, Real Estate Investments, OIRPC. "Grâce à ce partenariat, nous ciblerons des projets de régénération urbaine liés aux nouvelles infrastructures; nous sommes convaincus que le Grand Paris Express transformera considérablement la région parisienne au cours de la prochaine décennie et au-delà. Nous nous réjouissons à l’idée de développer la joint-venture, portée par la dynamique du projet Grand Paris Express."
La joint-venture cherchera à développer le partenariat par le biais de projets de développement supplémentaires s'inscrivant dans sa stratégie globale d'investissement au-delà de Saint-Denis-Pleyel et Villejuif-Gustave Roussy.
« Ce partenariat avec un acteur institutionnel international de premier plan permet à La Française avec le soutien de son actionnaire CMNE d’accélérer son développement en immobilier et de participer, aux côtés d’acteurs publiques et privés, à la construction de Paris en tant que « Ville Monde », dans le contexte du projet structurant que constitue le Grand Paris Express », conclut Xavier Lépine, Président du Groupe La Française.
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Il n’empêche que la communication extrêmement accommodante de M. Powell et de l’ensemble des représentants de la Fed, en particulier en ce qui concerne la réduction du bilan de celle-ci, a largement contribué à rassurer les marchés. Ces derniers peuvent reprendre leur marche en avant tranquillement, la prochaine hausse de taux n’interviendra pas avant la fin du premier semestre, au plus tôt.
Un autre paramètre à prendre en compte pour comprendre le comportement des marchés sur le mois de janvier est sans doute la "sur réaction" de ces derniers durant le quatrième trimestre de l’année dernière, en particulier en fin d’année, dans des marchés devenus peu liquides. Impact des stratégies systématiques qui amplifient les mouvements de marchés ? Capitulation des investisseurs institutionnels et particuliers après une hausse historiquement longue des actions américaines ? Quelles que soient la ou les raisons, les indicateurs que nous suivons montrent tous que les flux à destination des actifs non risqués (obligations Etat "core", monétaire) ont été historiquement très importants en fin d’année, ce qui explique en partie le rebond du mois de janvier.
D’autres facteurs, plus fondamentaux, ont par ailleurs permis à ce rebond de se poursuivre.
Les publications de résultats, maintenant bien engagées aux Etats-Unis, sont rassurantes avec des bénéfices se situant généralement à 70 % au-dessus des attentes des analystes, soit un chiffre proche des moyennes historiques. Ce chiffre est à relativiser étant donnée la forte baisse des attentes constatée auparavant, mais il est tout de même globalement rassurant, éloignant le spectre de l’effondrement des bénéfices, ce que certains redoutaient.
De la même façon, les indicateurs d’activité publiés aux Etats-Unis dernièrement ont contribué à rassurer les investisseurs quant à la faible probabilité d’une récession aux Etats-Unis à court terme.
Maintenant que les marchés semblent avoir corrigé leurs excès, quelle attitude adopter ? La situation nous semble toujours propice aux investissements dans les marchés émergents. Les primes de risque demeurent élevées, le positionnement des investisseurs assez faible et le risque de voir le dollar fortement s’apprécier semble assez faible compte tenu des dernières déclarations de la réserve fédérale. Nous conservons par ailleurs une vision positive sur le Portugal et l’Espagne, ainsi que sur les anticipations d’inflation américaine.
]]>Jean-Christophe a plus de 18 ans d’expérience professionnelle dans l’investissement immobilier paneuropéen. Il a débuté sa carrière chez SOFILO (filiale immobilière du groupe EDF) puis chez Aerium à Paris, avant de participer à l’ouverture du bureau d’Aerium Finance Ltd à Londres et de couvrir les investissements pan-européens pour le compte d’investisseurs institutionnels et de UHNWI. Par la suite et toujours depuis Londres, il a été en charge, pendant 5 ans, des investissements et des bureaux français (Head of France) pour le compte d’un REIT australien. Il a été Head of Fund Management chez ACOFI (OPCCI et FCPI) pendant 6 ans et a rejoint La Française REM en mars 2017.
Jean-Christophe est titulaire d’un Master Spécialisé de l’ESSEC (Finance, Immobilier et Management Urbain) et a étudié l’architecture à Paris et à Rome (DPLG). Il est membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors (MRICS) et il a également enseigné à l’Université de Cergy-Pontoise pendant 6 ans (Faculté de Droit) dans le Master 2 – Droit du financement et des investissements immobiliers.
]]>Mr Rivière is chief executive of La Française, wich owns 500 hectares of French vineyards and a wine production company..."
Rédigé par Chris Flood
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Cet ensemble immobilier de près 4 300 m² a fait l’objet d’une rénovation totale afin d’y accueillir en septembre 2018 un groupement d’écoles dans le cadre d’un bail de 12 ans fermes.
La Française REM était conseillée par Maître GOURRET de l’étude 14 Pyramides et le vendeur par Maître LEROY de l’étude BPLM Notaires. L’opération a été réalisée par Knight Frank dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec Jones Lang LaSalle ».
La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. L’attention des investisseurs est attirée sur le fait que la SCPI peut recourir à l’endettement. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution, à la hausse comme à la baisse, du marché de l’immobilier et du marché des parts de SCPI.
]]>• Près de 3 allocataires sur 4 prévoient d’augmenter leur exposition aux stratégies quantitatives ;
• L’élimination des biais comportementaux a été jugée comme l’avantage le plus important de l’investissement quantitatif ; et
• Le manque de transparence est perçu comme le défi le plus important du machine learning dans l’industrie de la gestion d’actifs.
Avec près des trois quarts des allocataires (70%) considérant les stratégies quantitatives comme un complément à leurs allocations actives existantes, les investisseurs favorisent de plus en plus les avantages des approches systématiques. Deux tiers des participants ont considéré l’élimination des biais comportementaux (38%) et l’accès à de nouvelles sources de performance (28%) comme les principaux bénéfices de ce style d’investissement.
Arnaud Sarfati, co-fondateur de LFIS, commente, « Il est clair que l’investissement quantitatif est de mieux en mieux compris. La part des gestions quantitatives augmente dans les portefeuilles des investisseurs et nous pensons que cela continuera de croître en 2019 et à l’avenir. L’industrie de la gestion d’actifs est confrontée à la nécessité de traiter des données de plus en plus nombreuses dans un environnement de marché toujours aussi complexe, mais peut s’appuyer pour cela sur les nouvelles technologies. La convergence des styles discrétionnaires et systématiques permettra au secteur de la finance quantitative (qui inclue académiciens, gérants d’actifs et investisseurs) de travailler collectivement à la promotion du partage des savoirs et des connaissances sur les approches quantitatives ainsi qu’à faire avancer l’industrie. »
Les données ont également confirmé la hausse continue des stratégies factorielles, qui sélectionnent les investissements sur la base de certaines caractéristiques définies, avec 60% des participants prévoyant d’augmenter leur allocation vers l’investissement factoriel contre seulement 1% prévoyant une réduction en 2019.
Il existe cependant plusieurs défis associés au machine learning dans la gestion d’actifs, et notamment le manque de transparence. 39% des participants ont mentionné ce point comme le principal défi, suivi par le manque de raisonnement et d’imagination (32%).
Selon Guillaume Garchery, directeur du pôle Recherche Quantitative & Développement, : « Avec des marchés devenant de plus en plus difficiles à anticiper, nous pensons que l’approche quantitative, qui permet de construire un processus de gestion reproductible, consistant et performant, servira au mieux les investisseurs. Au vue de l’augmentation des allocations vers les stratégies quantitatives et de la croissance du nombre de stratégies disponibles, il est important de rappeler que les gérants d’actifs doivent utiliser des modèles explicables, au-delà des aspects théoriques, et soient capables de présenter aux investisseurs un processus de construction de portefeuille compréhensible et viable. »
L’évènement Quant Vision Summit, organisé par LFIS en partenariat avec Quantitative Management Initiative (QMI), a rassemblé plus de 150 professionnels de la gestion quantitative venant d’Europe et d’autres continents afin d’ériger des liens solides entre les mondes professionnels et académiques et de faciliter un dialogue essentiel sur le futur de l’investissement quantitatif. Les défis associés à cette approche, les nouveaux domaines innovants de la gestion d‘actifs ainsi que les les capacités présentes en Europe sur ces sujets ont été au cœur des débats
FIN
Pour plus d’informations veuillez contacter :
Notes aux éditeurs
LFIS a conduit une étude propriétaire sur les participants du Quant Vision Summit en octobre 2018 à Paris. Les pourcentages sont basés sur 79 participants.
A propos de La Française Investment Solutions
Lancé en 2013, La Française Investment Solutions compte plus de 11 milliards d’actifs sous gestion au 31 décembre 2018 (1). La mise en place innovante de LFIS allie expertise en gestion et des capacités quantitatives spécialisées pour offrir des solutions performantes sur le long terme. Ce mélange unique de compétences offre un large choix d’investissements avec une valeur ajoutée comprenant rendement absolu, fonds de résultats d’investissements et des fonds d’investissement sur mesure qui sont adaptés aux besoins des investisseurs d’aujourd’hui.
LFIS fait partie du groupe La Française et son esprit entrepreneurial est soutenu par son actionnaire majoritaire le Crédit Mutuel Nord Europe. Au cours des 40 dernières années, avec plus de 605 employés et 71 milliards d’euros d’encours au 31 octobre 2018, le Groupe La Française a développé ses compétences en gestion d’actifs pour compte de tiers à travers quatre pôles principaux : les valeurs mobilières, l’immobilier, les Solutions d’Investissements et le Financement Direct de l’Économie (au 30 septembre 2018).
1. Source: Données LFIS non auditées au 31 décembre 2018, excluant certains actifs sous gestion recueillis durant l’année en cours et prévus à maturité au cours de l’année 2018.
2. Source: Données de La Française Group non auditées.
1/ Collecte 2018
Clientèle Institutionnelle
Dans le contexte actuel, l’immobilier, décorrélé des marchés financiers, représente toujours une véritable solution de diversification aux investisseurs à la recherche d’un potentiel de rendement. Avec les incertitudes liées au Brexit et devant la dynamique créée autour du développement du Grand Paris, les investisseurs institutionnels français et étrangers ont témoigné un fort intérêt pour l’immobilier et notamment l’immobilier français.
La Française, disposant de trois centres de gestion pouvant sourcer des actifs à travers l’Europe et d’une équipe de développement et de levée de fonds couvrant les marchés de l’Europe, l’Asie et du Canada, s’est montrée particulièrement active sur ce segment et a ainsi collecté près de 2 milliards d’euros auprès de grands institutionnels dans le cadre de mandats et de gestion de fonds immobiliers, dont près de 40% auprès d’investisseurs étrangers (hors France).
Parmi les acquisitions les plus emblématiques réalisées dans le cadre d’un mandat pour investisseurs coréens, La Française a acquis « Le Balthazar », un immeuble de bureaux de huit étages situé Place des Droits de l’Homme à Saint Denis (93), à proximité du Stade de France.
Clientèle de particuliers
La Française, forte d’une expérience de plus de 40 ans dans la création et la gestion de fonds collectifs en immobilier (SCPI), s’impose toujours comme une référence auprès de la clientèle de particuliers. Sa gamme de SCPI – gérées ou commercialisées – et plus particulièrement thématique, investissant dans l’immobilier européen, la santé ou encore sur le Grand Paris a collecté 700 millions d’euros auprès des investisseurs particuliers français. Les unités de compte immobilières dans le cadre de l’assurance-vie n’ont pas été laissées pour compte. A fin 2018, La Française gère près de 500 millions d’euros d’actifs supplémentaires sur ces véhicules.
2/ Transactions
La Française, grâce à sa plateforme européenne d’investissement, enregistre 2,5 milliards d’euros en transactions, dont 2,1 milliards d’euros d’acquisitions et 410 millions d’euros en arbitrages. En 2018, le Groupe a par ailleurs poursuivi sa stratégie de régénération du patrimoine permettant ainsi de soutenir les performances de sa gamme de SCPI.
Les acquisitions conclues en 2018 sont réparties pour 88 % sur des actifs de bureaux, 5 % sur des locaux commerciaux et 7 % sur d’autres actifs, dont les résidences gérées (seniors et tourisme), les locaux d’activités ou encore l’habitation. Parmi les acquisitions les plus emblématiques :
• un actif de bureaux « L’Open » de 9 158 m2 à Issy-les-Moulineaux (92),
• des surfaces de bureaux (5 645 m2) sis 100-104 Boulevard de Montparnasse à Paris (14e),
• un commerce de 5 469 m2 à Nice (06),
• une résidence étudiante de 4 137 m2 à Gif-Sur-Yvette (92),
• une résidence de tourisme (32 appartements pour une surface de 1 975 m2) à Deauville (14),
• ou encore des acquisitions à l’étranger : à Amsterdam et en Allemagne (Essen, Bamberg, Francfort).
« La Française est une société de gestion d’actifs … mais pas que ! Notre métier consiste à devancer les besoins des investisseurs et des locataires pour réaliser des investissements pérennes et créer ainsi des solutions d’épargne à nos clients offrant un potentiel de rendement. La Française met tout en œuvre pour atteindre cet objectif. Sa plateforme immobilière européenne en témoigne ainsi que son engagement en matière d’innovation. Sa nouvelle solution d’épargne immobilière en compte titres en est l’exemple le plus récent. Et prochainement, pour les investisseurs à la quête de diversification, un fonds collectif investi sur la thématique du viticole verra le jour », conclut Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.
Découvrez le !
]]>Il sera composé de la manière suivante :
- Valeur nominale : 153 €
- Prime d'émission : 657 €
- Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 810 € dont 60,75 € HT, soit 72,90 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,50 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur)
- Valeur de retrait : 749,25 €
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
Épargne Foncière VISA AMF : la note d’information a reçu le visa SCPI n°17-33 en date du 01.09.2017. La notice a été publiée au BALO n°12 du 26.01.2018 et n°6 du 14.01.2019. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
- Valeur de retrait : 947,60 €
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
LF Europimmo VISA AMF : la note d’information a reçu le visa SCPI N°14-26 en date du 29.08.2014. La notice a été publiée au BALO n°144 du 01.12.2017 et n°6 du 14.01.2019. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
]]>C’est au Grand Hôtel Intercontinental de Paris que s’est déroulée le 14 janvier 2019, la remise des prix décernée par les Professionnels de la Gestion de Patrimoine.
Baromètre exhaustif de la profession, ce palmarès offre une vision à la fois quantitative sur le métier reprenant les entités le plus fréquemment citées par les Conseillers en Gestion de Patrimoine interrogés, et qualitative en appelant les professionnels à se prononcer sur de plusieurs critères.
A cette occasion, La Française, représentée par Christophe Inizan, Directeur Commercial Développement France, a été récompensée dans deux catégories :
Avec 18 milliards d’encours sous gestion dans l’immobilier, La Française est le leader du marché des SCPI (en terme de capitalisation source IEIF au 31/12/2018).
Reconnue pour son expérience en immobilier d’entreprise et résidentiel, La Française a démontré sa capacité à innover sur les marchés comme l’illustre ses SCPI sur les thèmes du Grand Paris, de la santé ou encore l’Europe qu’elle propose à ses partenaires.
Au cours des dix dernières années, le nombre d’utilisateurs chinois sur internet a quadruplé avec l'utilisation des smartphones, permettant ainsi aux entreprises chinoises d'accumuler d'importants flux de revenus pour soutenir la recherche et l’inventivité dans l'univers de l’internet. Les politiques gouvernementales et l’absence d’infrastructure « hors ligne », telles que les magasins de proximité et un écosystème bien établi pour la publicité télévisée, ont également favorisé le développement rapide d’internet.
• Auparavant connues pour imiter leurs homologues aux États-Unis, les entreprises chinoises sont aujourd’hui pionnières dans l’univers internet grâce aux nombreuses offres exclusives qu’elles proposent.
• La société chinoise Meituan offre sous sa « super application » des services tels que la réservation de produits liés à la restauration, ou encore la possibilité d’y laisser des avis, de réserver des voyages et de se faire livrer. Les plateformes de paiement mobile évolutives Alipay et WeChat Pay approchent chacune Les 1 milliard d’utilisateurs, pour un volume de paiements de plusieurs trilliards de dollars américains. De son côté, Alibaba a développé des supermarchés intelligents en combinant le commerce hors ligne et en ligne et en se démarquant des détaillants américains.
• Malgré les inquiétudes qui planent autour de l’économie chinoise et de la guerre commerciale qui oppose le pays aux États-Unis, les investisseurs qui s'intéressent aux technologies innovantes pourraient bien trouver les perspectives à long terme de la Chine particulièrement attrayantes.
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De manière générale, nous ne sommes pas fondamentalement inquiets en ce qui concerne la conjoncture mondiale et américaine pour 2019. Un ralentissement va avoir lieu, c’est très probable, mais pas un effondrement. La très forte baisse du pétrole depuis trois mois devrait d’ailleurs se faire sentir positivement dans les chiffres de consommation à horizon mi 2019.
Certains risques politiques restent, eux, bien présents sur le marché : le Brexit en premier lieu, avec le vote à la Chambre des communes durant la semaine du 14 janvier, et les négociations commerciales sino-américaines. Nous ne croyons toujours pas à un "hard Brexit" en ce qui concerne le premier, et il nous semble que le ton est un peu plus constructif en ce qui concerne le deuxième.
Ce qui se passe depuis dans les pays occidentaux (Brexit, D. Trump, Chine, Italie, Allemagne…) et singulièrement en France depuis 2 mois sont autant de signaux, de moins en moins faibles, des difficultés à modifier en profondeur le système ; pour ne pas dire de signes annonciateurs d’une nouvelle grande crise ; de quelque côté que l’on se tourne, 2019 se présente sous des auspices difficiles.
Les déséquilibres accumulés, au premier desquels l’endettement, touchent d’une manière différente chaque acteur et chaque individu et laissent peu d’espoir à un quelconque équilibre mondial. On assiste, impuissant, à la fin du multi-latéralisme, les états nations/gouvernements sortent d’un système/gouvernance mis en place depuis 1945. L’ordre mondial est chamboulé au profit d’actions individuelles des états nations… Et en même temps, les mouvements sociétaux font le chemin inverse, alors que de leur côté les états se divisent, les individus se rassemblent derrière une notion de « société consciente » – l’essor des mouvements citoyens sur le climat ou les « gilets jaunes », - où les individus deviennent solidaires parce que chacun se rebelle contre son propre sort, avec une rébellion ultime, celle contre l’ordre établi et les inégalités qui sont réputées issues de cet ordre.
Les « gilets jaunes », tels les sans-culottes et les bonnets phrygiens incitent à danser la Carmagnole « que les riches payent et répudions la dette publique », telle la banqueroute des deux tiers de 1797. Emmanuel Macron n’est que le bouc émissaire, celui dont la fonction permet d’unir une communauté qui est en train de se créer. La haine, étymologiquement venant de la chasse, entraine une volonté de curée où on forme un groupe pour défendre son identité et détruire l’autre. L’incitation à la haine se manifeste lorsque la haine est suffisamment profonde. Ce que vit la France en ce moment est clairement dangereux, le symptôme même du populisme est non seulement lorsque les intellectuels sont dévalués mais également rendus responsables de tous les problèmes du pays. Michel Foucault disait « ce n’est pas difficile, l’intellectuel c’est celui qui est coupable. Coupable d’un peu tout : de parler, de se taire, de ne rien faire, de se mêler de tout. Bref, l’intellectuel, c’est la matière première à verdict, à sentence, à condamnation, à exclusion ». Fort de l’idée que les institutions ne font plus leur travail, il existerait une sorte de justice naturelle, populaire, qui serait plus juste que les institutions. Pour compléter ce tableau, n’oublions pas l’aspect humain et en l’espèce le côté sadique du spectateur qui se réjouit qu’une personne célèbre soit mise à mal : « ton malheur est mon bonheur » Vladimir Jankélévitch ; collectivement, on aime ça.
Les Etats-Unis et la Chine s’affrontent sur les droits de douane et la circulation maritime (de la mer de Chine à la route de la soie), les tensions autour de la Russie et du Moyen Orient (y compris l’Iran) sont loin de s’apaiser. A 100 jours du Brexit, les tensions montent en Irlande comme en Ecosse sans compter les revendications
espagnoles sur Gibraltar. L’arrivée au pouvoir de Jair Bolsonaro met l’extrême droite à la tête de la 8e puissance mondiale (au même niveau de PIB que la France et l’Inde).
En 1969, après l’augmentation de 35 % du SMIC, la France est rentrée dans une politique de dévaluation par rapport au Mark pour regagner une partie de la compétitivité qu’elle avait perdue. L’abandon de la convertibilité du Dollar en or dès 1971 puis la crise pétrolière n’ont cependant par permis d’enrayer ce déclin relatif et surtout la désindustrialisation qui s’est accélérée avec la globalisation. En 2019, avec l’Euro, il n’y a plus qu’à espérer que l’Allemagne emboite le pas sur l’Espagne et la France en matière de hausses salariales… et que le Dollar s’apprécie !
Si la manifestation de la crise de 2008 fut financière, il s’agissait, rappelons-le, structurellement d’une crise de la demande. Comme pour la crise de 1929, la concrétisation fut financière mais la création puis l’explosion d’une bulle financière eut pour origine la stagnation du pouvoir d’achat (la célèbre formule d’Henry Ford, les gens peuvent choisir n’importe quelle couleur pour la Ford T du moment que c’est noir). La stagnation du pouvoir d’achat des ménages américains depuis le début des années 80 avait poussé le Président Clinton dès 1995 à soutenir la consommation des ménages par la mise en place de l’hypothèque rechargeable : la valeur de l’immobilier augmentant, les banques ont industrialisé le financement supplémentaire et la finance de marché, par le biais de la titrisation et du tranchage, a fait le reste. La mise à quasi zéro des taux courts après le 11 Septembre a accéléré le mouvement et la remontée des taux courts en 2006 a été le déclencheur de l’insolvabilité des ménages et s’est répercutée sur le secteur financier… on connait la suite.
Néanmoins, de nombreux risques politiques subsistent. En Europe, la situation semble se détendre quelque peu en Italie, le gouvernement de M. Salvini étant prêt à faire des concessions pour que son budget soit approuvé par la Commission Européenne. Le principal risque reste le Brexit, un vote décisif aura lieu le 11 décembre au sein du Parlement britannique pour valider l’accord négocié avec Bruxelles. Si celui-ci n’était pas accepté, le Royaume-Uni pourrait s’engager sur un territoire inconnu ; au risque d’aller vers un "Hard Brexit".
Enfin, si ce délai supplémentaire accordé par l’administration américaine pour négocier avec la Chine est crucial, il ne suffit pas en soi. Un accord de long terme est nécessaire pour éviter une chute brutale des investissements aux Etats-Unis. Une reprise de la guerre commerciale pèserait fortement sur l’économie mondiale et les marchés financiers. L’ombre des risques politiques qui a tant marqué 2018 reste présente en 2019 et pourrait constituer la raison d’un niveau de volatilité élevée sur les marchés actions...
]]>Pour les raisons évoquées cidessus, nous sommes confiants sur la capacité du groupe à se désendetter sur les court et moyen termes et conséquemment, la réaction de marché nous semble exagérée et reflète davantage le climat obligataire plus tendu de ces derniers mois.
]]>• La technologie sans-fil évolue par « génération », où chaque génération est plus rapide et puissante que la précédente. Comme pour de nombreuses autres technologies, le sans-fil a gagné en vitesse au fil du temps. La génération à venir est en effet près de 5 millions de fois plus rapide que la toute première (voir l'article d’Alger The Enduring Force of Innovation).
• La 5G sera peu à peu déployée en 2019. Cette nouvelle génération permettra la création d'un réseau universel dont la vitesse égalera celle d’un ordinateur et avec une capacité de traitement et de transfert des données plus importante et plus rapide. Elle contribuera en outre à l’Internet des Objets, qui permet la communication entre les différents appareils, et fera du suivi à distance des patients, de la conduite autonome et du contrôle des infrastructures sans-fil des villes intelligentes une réalité.
• L'évolution de la 5G devrait entraîner de profonds changements. Certains estiment que la technologie permettra de créer 275 milliards de dollars dans de nouveaux investissements et 3 millions de nouveaux emplois. De nouvelles opportunités d’investissement émergeront, notamment dans des entreprises dont les produits serviront à créer les nouvelles infrastructures nécessaires à la 5G, à savoir les fabricants de semi-conducteurs et d'équipements pour semiconducteurs, ou encore les prestataires de réseau sans-fil et d'infrastructures pour bande passante. Si certains effets de la 5G peuvent être anticipés, son impact plus global sur les consommateurs, les entreprises et l'économie pourrait bien révolutionner nos vies cette fois encore.
Le dernier sujet d’importance est le revirement de M. Powell : après avoir dit le 3 octobre que la politique monétaire était encore loin du taux d’équilibre (Hawkish), il a déclaré que celle-ci en était finalement assez proche. Ce changement de ton a largement contribué à apaiser les marchés financiers.
Un rallye de fin d’année est donc finalement envisageable, surtout sur la zone émergente (devises, taux et actions), principale bénéficiaire des évolutions récentes et zone ayant le plus souffert cette année. Un rallye en Europe est aussi envisageable mais il dépendra de la résolution ou non des problématiques politiques.
Le parc se situe dans une zone bien établie et en plein développement dans la région urbaine d'Essen (en Allemagne). Il fait partie du quartier résidentiel d'Altenessen et du nouveau projet d’aménagement de Wohnen am Krupp-Gürtel et devrait donc bénéficier d'une clientèle croissante à proximité immédiate.
Le pôle commercial a été achevé en 2018 et 100 % des surfaces sont louées à six locataires avec des baux à long terme.
Le complexe offre 12 125 m2 de surfaces commerciales et hôtelières et de nombreux parkings extérieurs (environ 200) et souterrains (environ 60). QuartierWEST est idéalement situé à proximité immédiate du tramway (à 850 m seulement). De plus, l'arrêt de tramway Kronenberg (lignes 101, 103, 105 et 109) se trouve en face de l’ensemble immobilier.
QuartierWEST est un centre commercial de deux niveaux comprenant des espaces de vente de 460 à 4 500 m2 au rez-de-chaussée, ainsi que des locaux pour le personnel et des établissements hôteliers aux deux étages supérieurs.
Jens Göttler, Directeur Général pour l’Allemagne de La Française Real Estate Partners International a déclaré : « Nous sommes convaincus que le pôle QuartierWEST constituera un investissement de qualité à long terme pour nos SCPI. L’emplacement privilégié du bien et l'activité économique et résidentielle environnante devraient contribuer à maintenir le taux d'occupation à 100%. »
La Française Real Estate Partners International a été conseillée par le cabinet d'avocats Clifford Chance et le consultant technique TA Europe.
1Il s'agit d'un exemple de placement détenu dans le portefeuille. Il n'est pas indicatif des investissements futurs et ne reflète pas complètement la composition des fonds.
Risques associés aux SCPI : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces) présente des risques, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur, qui peuvent toutefois être atténués par la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI ; cet objectif n’étant pas garanti. La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. Les SCPI peuvent recourir à l’endettement.
La Française Real Estate Managers (REM), société de gestion, crée une Direction Grands Comptes dont les missions consisteront notamment à dynamiser la gestion et la commercialisation des grands ensembles immobiliers et à accroître la valorisation des actifs qu’elle gère :
• Le développement d’une offre de services complète pour répondre aux nouvelles exigences d’usage des locataires dans une optique de fidélisation.
Le lieu de travail est désormais revendiqué comme un lieu de vie. L’offre immobilière évolue et doit comprendre une large palette de services à valeur ajoutée pour les locataires tels que conciergerie, espaces d’animation et de partage, prestations de bien-être, food experience, potagers urbains... Au-delà de la gestion de l’actif, La Française accompagne les utilisateurs locataires dans cette mouvance de bien-être au travail, avec par exemple l’installation d’une ferme urbaine sur l’immeuble Campus Aviso (Puteaux, 92) ou encore la transformation des espaces communs en lieux de partage innovants sur Le Carillon (Nanterre, 92) et Front Office (Asnières-sur-Seine, 92).
• La transformation d’actifs immobiliers pour valoriser les patrimoines immobiliers des SCPI et trouver des réponses, en qualité d’acteur responsable, aux pénuries de logements dans les grandes agglomérations. Pour ce faire, La Française REM identifie les actifs éligibles aux changements d’usage (espaces de co-living, hébergements étudiants ou résidences seniors), participe à la mixité des usages des immeubles et développe des partenariats avec des acteurs externes pour accélérer la transformation.
Cette direction Grands Comptes est intégrée au département Asset Management Immobilier d’Entreprise dirigé par Thierry Molton : « La mission sera transversale et devra répondre aux défis des assets managers d’apporter des services à haute valeur ajoutée à l’immeuble pour en faciliter la gestion, améliorer ses performances énergétiques et veiller au bien être des utilisateurs ».
Delphine Hamez, Directeur Asset Management Grands Comptes à La Française REM, conclut : « Le métier de la gestion d’actifs évolue. Nous devons intégrer ce mouvement et anticiper les besoins des utilisateurs pour fidéliser nos locataires et soutenir les performances de nos SCPI. »
L’acquisition porte sur près de 12 000 m² de surface utile disposant d’un restaurant interentreprises au 1er étage avec accès direct sur une terrasse, 512 m² de terrasses privatives (une à tous les étages) et 118 places de stationnement.
L’ensemble immobilier se situe dans la ZAC des Girondins, au sein du quartier de Gerland, une zone en plein développement qui attire aussi bien les grands comptes que les PME innovantes.
« L’acquisition de ce futur immeuble s’inscrit dans la continuité du développement d’un portefeuille diversifié de qualité et pérenne pour le compte de l’ERAFP et participe également à l’évolution de cette zone en plein essor, où les valeurs locatives ont un potentiel de croissance », souligne Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude notariale Lexfair, le cabinet Herbert Smith Freehills sur les aspects juridiques et fiscaux, Siena sur les audits et énergétiques et Burgeap sur les aspects environnementaux. Les vendeurs étaient conseillés par CBRE et BNP Paribas Real Estate.
Le premier élément de contexte intéressant : sans ce travail, l’Accord de Paris n’aurait pu se réaliser. En effet, les pays les plus exposés aux changements climatiques, notamment les pays insulaires n’ont accepté de signer l’Accord qu’à la condition que le GIEC s’engage à faire un rapport spécifique sur les conséquences d’un réchauffement de 1,5°C.
Ce sixième rapport repose sur 6 000 publications dont les ¾ n’étaient pas inclus dans le dernier rapport du GIEC. La communauté scientifique a donc répondu présente pour étudier ce sujet crucial pour les petits pays insulaires mais également pour l’ensemble des 195 pays signataires.
Les principaux enseignements de ce rapport sont les suivants :
Nous sommes finalement face à 3 grands risques :
1 - Le risque climatique.
2 - Le risque de tarder, en faisant reposer sur des générations futures et des développements technologiques la capture de CO².
3 - Le risque financier, la pérennité de certains secteurs découlant de la mise en place d’une transition délibérée, rapide et volontaire.
En conclusion, chaque demi degré compte. Chaque année compte. Chaque choix individuel ou collectif compte. Et les financiers ont, en tout état de cause, un rôle important à jouer.
* Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, chercheuse au Commissariat à l’Énergie Atomique et plus précisément au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, co-présidente du groupe de travail no 1 du GIEC (bases physiques du climat)
Nous assistons à une dynamique sans précédent de transition vers une « nouvelle économie climatique », pourtant, le rythme de ces transformations n’est pas assez soutenu, l’urgence est réelle. Or l’engagement vers une économie bas carbone recèle de nombreuses opportunités et l’inaction présente des risques dont les coûts sont maintenant mesurables. « L’année dernière, les catastrophes liées au climat ont causé des milliers de morts et des pertes de 320 milliards de dollars », d’après le Secrétaire Général de l’ONU.
Le rapport, dans une estimation qualifiée de prudente, affirme qu’une action ambitieuse en faveur du climat pourrait générer 26 000 milliards de dollars de gains économiques cumulés d’ici 2030, année butoir fixée par les Etats membres de l’ONU pour réaliser les Objectifs de Développement Durable.
Des mesures ambitieuses dans les principaux secteurs de l’économie pourraient :
La Commission préconise de se concentrer sur quatre fronts au cours des trois prochaines années :
1 - Accélérer les efforts sur la tarification du carbone et rendre obligatoire la publication des risques financiers liés au climat :
- Un prix du carbone d’au moins 40 à 80 $ d’ici 2020. La suppression progressive d’ici 2025, des subventions et allégements fiscaux sur les énergies fossiles et les exploitations agricoles polluantes.
- Obligation de communiquer sur les risques financiers liés au climat conformément aux recommandations de la TCFD.
2 - Accélérer l’investissement dans les infrastructures durables :
- Faire des infrastructures une catégorie d’actifs à part entière.
- L’objectif : investir au moins 100 milliards de dollars par an d’ici 2020.
3 - Mobiliser le secteur privé et libérer l’innovation :
- Pour toutes les entreprises du classement Fortune 500, des objectifs conformes à l’Accord de Paris.
- Engager au moins 50 milliards de dollars de capitaux supplémentaires pour relever les défis climatiques allant au-delà du secteur de l’énergie.
4 - Construire une approche axée sur les besoins des citoyens, qui partage équitablement les gains et assure une transition juste :
- Établir des plans de transition énergétique avec les entreprises, syndicats et la société civile pour une transition juste pour les travailleurs et les communautés.
- Intégrer les femmes dans cette transformation pour augmenter le PIB mondial de 28 000 milliards de dollars par an en 2025. (McKinsey).
- Mettre davantage l’accent sur la résilience et l’adaptation de l’ensemble des politiques et des efforts.
Dans ce cadre, la Société est une personne morale qui détient le projet d’Entreprise. Elle n’est pas détenue au même titre qu’une personne physique n’est pas détenue. L’Entreprise est une structure de relations (nexus of contracts) entre parties prenantes : actionnaires, prêteurs, salariés, fournisseurs, clients, état, collectivités locales, etc. chacun avec ses droits et ses devoirs. Cette structure de relations traduit un équilibre entre des positions et des intérêts contradictoires. C’est là où la gouvernance est utile pour générer cet équilibre avec le minimum de frictions.
La gouvernance d’une Entreprise peut être construite sur l’internalisation au sein du conseil d’administration des parties prenantes : salariés, ONG, etc. C’est le modèle de network governance, en vigueur dans les coopératives, les mutualistes, etc. dont un des exemples les plus aboutis et les plus réussis est la coopérative basque Mondragón.
Il est également possible de donner à l’entreprise des objectifs multiples au travers des statuts, dont des objectifs en matière ESG, selon le modèle des US Benefit Corporations créées en 2010 qui intègrent la recherche d’un impact positif sur la société civile, les employés et l’environnement en sus de la recherche de profit. Sur ce modèle, la loi Pacte a prévu la création d’entreprises à mission, sociétés à objet social étendu dans le domaine social et environnemental.
L’intérêt des parties prenantes peut également faire l’objet d’une quantification des externalités négatives, par exemple par un mécanisme de marché sur le prix du carbone pour tenir compte de l’impact environnemental de l’activité. Le Prix Nobel d’économie attribué cette année à William Nordhaus vient couronner les travaux de cet économiste dans ce domaine.
Quel que soit le modèle choisi, la façon dont les profits et les risques sont partagés définit les conditions de l’équilibre. Le manque de gouvernance conduit à des déséquilibres qui obèrent la croissance économique à long terme. La répartition des profits entre les actionnaires et les salariés est un exemple parmi d’autres. Actuellement la rentabilité des capitaux propres apportés par les actionnaires aux sociétés cotées est de l’ordre de 10 % en France, soit une prime de risque de 9 % par rapport aux OAT 10 ans, le double d’il y a dix ans, ceci alors que les salaires n’augmentent que très peu et que les salariés prennent une part de plus en plus grande du risque entrepreneurial au travers de la flexibilité des conditions de travail. Il en résulte des distorsions préjudiciables à l’obtention d’un optimum de croissance.
La Française REM, à travers son département dédié à la gestion de commerces en France, a pour objectif, outre la gestion du parc immobilier, d’accompagner les enseignes locataires dans leurs plans de développement. Cet accompagnement ainsi que la qualité des emplacements des actifs se reflètent dans la qualité des signatures des entreprises locataires et le faible taux de vacance du parc, inférieur à 4 % (au 30/09/2018).
Sostrene Grene, société créée en 1973 au Danemark et spécialisée dans la décoration d’intérieur tendance, a sélectionné un local commercial situé rue du Faubourg Saint Antoine dans le 11e arrondissement de Paris, appartenant à la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière de La Française Real Estate Managers, pour installer sa quatrième boutique parisienne. La société, en pleine expansion, occupera dans le cadre d’un bail commercial de 10 ans, un local commercial de 273 m2. La boutique est idéalement située à quelques minutes à pieds seulement de la Place de la Bastille, du métro Ledru Rollin sur la ligne 8 et du quartier très commerçant de la rue de Charonne.
« Tout est affaire de sélection. L’emplacement attractif de ce local commercial ainsi que sa grande surface exploitable, nous ont permis d’assurer son occupation physique et financière quasi ininterrompues depuis son acquisition », conclut Loic Jardin, Directeur Asset Management – Commerces.
Risques associés d’Epargne Foncière : Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement minimale recommandée par la société de gestion est de 9 ans. Comme tout investissement, l’immobilier physique (bureaux, locaux d’activités, entrepôts, commerces) présente des risques, absence de rentabilité potentielle ou perte de valeur, qui peuvent toutefois être atténués par la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI ; cet objectif n’étant pas garanti. La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti. Les SCPI peuvent recourir à l’endettement.
A cette occasion, Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française, a été élu "Professionnel de l'année" pour le lancement par La Française, du dispositif inédit dans le logement : l'accession à la propriété à vie.
Cette remise de prix a permis de partager et revenir sur l'ensemble des initiatives envisageables en matière de logement, par tous les acteurs publics et privés du secteur.
]]>En cette fin d’octobre et à la veille des élections américaines de mi-mandat nous croyons qu’il est opportun de maintenir une exposition actions significative. Les principales motivations sont :
Nous pensons également que la plupart des risques politiques qui hantent les marchés depuis cet été, principalement : la guerre commerciale Chine-Etats Unis, un prix du baril qui a tangenté les USD80 par baril, un risque politique européen élevé (Brexit, déficit italien etc.) sont identifiés et largement intégrés par une prime de risque ‘actions’ revenue sur ses plus hauts niveaux historiques, alors que le marché des taux souverains est resté relativement immunisé. Si la correction de février avait suivi une forte hausse des taux US, ce n’a pas été le cas ce mois d’octobre. Compte tenu de la croissance des résultats constatée, la hausse des taux actuelle ne doit pas être un prétexte pour quitter le navire actions au niveau de valorisation actuelle.
Plus qu’une reprise de signes macro positifs, un relâchement de la pression politique pourrait être à l’origine d’un rebond des marchés actions, notamment post élections de mi-mandat. Une détente de l’USD serait favorable à la fois à la reprise du marché américain et à la performance des émergents.
Dans une phase de reprise des marchés, la technologie, les industrielles, les matières premières et les biens de consommations devraient afficher les meilleures performances.
* "Acheter les points bas (du marché)"
Le numérique transforme profondément et fondamentalement la société et les individus, le rythme de ce changement s'accélère et ouvre de nouvelles perspectives de croissance. Nous devons comprendre les visions existantes, en débattre et agir pour aider les personnes, les organisations et les entreprises à s'adapter.
Le programme de Day One cherche à répondre à une problématique : Comment construire un âge digital juste et inclusif ? Pour y répondre, les sessions de débats, interventions et keynotes exploreront les thématiques suivantes :
- Le futur de l’emploi
- Assurer l’accès à la santé à l’ère digitale
- Data et confiance
- La mise en place d’un système alimentaire universel et durable
- Les villes et territoires du futur
- L’état des lieux de l’énergie à l’ère du digital
Pour plus d’information, consultez le site de l’événement One Day
]]>Le mois d’octobre a été un mois particulièrement difficile pour les marchés d’actifs risqués et particulièrement pour les actions. Dans le même temps, les rendements obligataires dits sans risque n’ont pratiquement pas bougé, ne réagissant que très peu à l’aversion au risque en cours. En effet du 3 au 31 octobre, le S&P 500 a baissé de - 7,31 % alors que le taux à 10 ans américain passait, lui, de 3,18 % à 3,14 %. Même phénomène en zone Euro entre le 2 octobre et le 1er novembre avec une baisse de l’Eurostoxx 50 de -5,45 % quand le taux à 10 ans allemand passait de 0,42 % à 0,40 %.
Ce comportement marque une rupture avec les phases de correction des dernières années, comme cela avait déjà été le cas en février cette année. Le début d’année 2016 avait vu les taux fortement refluer, le mois d’août 2015 aussi, sans parler de la période 2011-2012. Ce comportement est, selon nous, voué à continuer tant que la conjoncture macroéconomique ne montrera pas de signes de retournement important, ce que nous n’anticipons pas à l’heure actuelle. Et cela s’explique par les raisons suivantes :
Les taux cœur devraient donc continuer à progresser, poursuivant ainsi leur normalisation, et cela même en cas de marchés actions chahutés. Sauf à ce que la conjoncture ne se retourne violemment mais, encore une fois, ce n’est pas notre scénario.
Les sujets d’inquiétude (potentiels ou réels) sont en effet nombreux aujourd’hui : la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine, le Brexit, l’Italie, les élections de mi-mandat aux Etats-Unis, la saison des résultats, le ralentissement chinois et européen…avec comme catalyseur une communication que nous jugeons maladroite de la part de la réserve fédérale américaine. Comme en février, la hausse rapide des taux américains semble en effet avoir été le déclencheur de cette correction.
Certains de ces risques apparaissent aujourd’hui comme réels : la croissance européenne et chinoise ou encore le devenir des problématiques politiques actuelles. Le marché a-t-il donc raison de s’inquiéter ? Oui, mais en partie uniquement.
Tout d’abord parce qu’il faut, selon nous, tempérer certaines de ces inquiétudes.
Une partie du ralentissement observé en Europe est en effet lié au secteur automobile allemand, ce qui ne devrait être que transitoire. La zone européenne va sans doute croitre à 1,8 % en 2018 ; c’est moins qu’attendu en début d’année mais cela reste au-dessus de sa croissance potentielle (estimée autour de 1,5 - 1,6 %).
La Chine ralentit, mais les autorités en sont pleinement conscientes et mettent en place depuis maintenant plusieurs mois des politiques d’assouplissement afin de soutenir la croissance, sur un schéma qui a des similitudes avec 2015-2016. Le "hard landing" chinois est une crainte récurrente des marchés depuis une dizaine d’années, à tort jusqu’ici. Est-ce pour cette fois-ci ? Nous n’en sommes pas convaincus.
Ensuite parce que le mois d’octobre a aussi vu quelques nouvelles positives :
Les fortes baisses constatées au mois d’octobre proviennent aussi en partie d’un fort "deleveraging" de l’industrie, en particulier de l’industrie des fonds systématiques. Nous avons déjà écrit à ce sujet en février de cette année, le phénomène montre aujourd’hui certaines similarités.
La forte baisse de certains marchés nous semble donc aujourd’hui trop importante au regard de leurs fondamentaux. C’est le cas des actions américaines dont les valorisations sont aujourd’hui assez attractives ; c’est le cas aussi des points morts d’inflation qui ont souffert de la forte baisse du pétrole sur le mois.
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L’ensemble immobilier sera composé de 58 logements meublés allant du T1 au T3 et développera une surface de 2 395 m² habitables et 250 m² d’espaces communs et de services. Il disposera également de 19 places de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au deuxième trimestre 2020.
L’actif se situe à 5 km à l’ouest du centre-ville historique de Cannes, au sein de La Bocca, quartier résidentiel disposant de toutes les commodités.
L’immeuble bénéficiera d’une excellente desserte en transports en commun grâce notamment à la présence de nombreuses lignes de bus, d’une gare TER et à la proximité de l’aéroport de Cannes.
L’OPPCI LF Résidences Seniors est géré par La Française Real Estate Managers. Le sourcing, l’acquisition ainsi que la gestion immobilière des actifs sont assurés par La Française Real Estate Partners, Conseil en investissement immobilier dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie d’investissement du fonds et filiale de La Française dédiée aux investisseurs institutionnels.
« L’acquisition d’une seconde résidence pour seniors Sénioriales nous permet de renforcer notre partenariat avec cet exploitant et le groupe Pierre & Vacances Center Parcs et également de consolider notre positionnement géographique dans la région PACA », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
« Nous sommes heureux que La Française Real Estate Partners renouvelle sa confiance auprès de Senioriales. Notre modèle de résidences en ville, qui correspond aux attentes des séniors autonomes souhaitant conjuguer convivialité et sécurité, se confirme être un investissement d’avenir et ce, sur un marché où la demande locative est en forte croissance », souligne Benjamin Misery, directeur général de Senioriales.
« La réalisation de cette résidence service pour seniors illustre le savoir-faire de PITCH PROMOTION dans le domaine des résidences gérées sociales ou médico-sociales, après la réalisation de plusieurs EHPAD, établissements médicaux ou maisons de santé. Nous sommes particulièrement heureux de la confiance que nous témoigne La Française Real Estate Partners pour la réalisation de cette opération », ajoute Christian TERRASSOUX, Président Fondateur de PITCH PROMOTION.
La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et SLS Ingénierie sur les aspects techniques.
Le vendeur était conseillé par la SCP Catherine Giraud Dimeglio et Vincent Vialatte, notaires associés.
Risques associés à l’OPPCI LF Résidences Seniors : perte en capital, risque de gestion discrétionnaire, risques liés au marché immobilier, risques liés à l’effet de levier, défaut de l’exploitant, crédit et taux.
• Chez Alger, nous apprécions tout particulièrement la remarque de Benjamin Graham : « À court terme, le marché est une machine à voter, mais à long terme, c’est une balance ». Le graphique ci-dessus indique que le marché boursier américain soupèse clairement les bénéfices car sa valeur a augmenté parallèlement à celle des bénéfices par action (BPA) au cours des 100 dernières années.
• Le S&P 500 a progressé d’environ 10 % chaque année au cours du siècle écoulé. Un investissement de 1 000 dollars début 1918 vaudrait à fin 2017 plus de 20 000 000 dollars. La question que se posent aujourd'hui les investisseurs est « quelles perspectives pour les mois à venir ? ». Selon Alger, le PER de départ est le premier indicateur de la performance des marchés boursiers (voir Alger On the Money « The Single Greatest Predictor of Future Stock Market Returns »), et si les corrélations historiques entre les valorisations de départ et les performances à 10 ans se poursuivent dans le temps, la progression annuelle du S&P 500 au cours des dix prochaines années devrait être selon nous de 7 % environ.
• Merci de prendre le temps de lire notre commentaire hebdomadaire. Nous espérons qu’il vous sera utile. En espérant que les 100 prochaines années révèlent d'aussi solides bénéfices et de nouvelles éditions passionnantes d’Alger On the Money.
]]>Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 1er novembre 2018 | Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 1er novembre 2018 |
Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6e mois qui suit le mois de souscription | Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4e mois qui suit le mois de souscription |
Nous vous invitons, pour tout complément d’information, à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.
La note d’information de LF Opportunité Immo a reçu le visa AMF : SCPI n° 17-36, en date du 1er septembre 2017. Elle est disponible gratuitement auprès de la société de gestion.
La notice a été publiée au BALO n°105 du 31.08.2012, n°101 du 22.08.2014, n°84 du 13.07.2016, n°37 du 27.03.2017, n°116 du 27.09.2017 et n°128 du 24.10.2018. La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément de l’AMF n° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE.
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L’analyse des performances boursières montre une claire polarisation géographique et sectorielle comme la résultante des annonces et situations politiques. Autrement dit, la prime de risque appliquée aux marchés européens, et plus particulièrement de la zone euro, reste élevée. Les flux de capitaux montrent également une défiance des investisseurs internationaux à l’égard de la zone euro, alors que les ‘fondamentaux’ militeraient pour une performance positive en 2018. Les 3 raisons ‘politiques’ que nous avions déjà soulignées restent des éléments bloquants :
Après des mois de menaces, de récriminations, de négociations, l’Alena a disparu au bénéfice de son proche cousin, l’USMCA pour "Accord Etats-Unis-Mexique-Canada". Le Canada a rejoint le Mexique le 30 septembre dans un accord, qui ne devrait pas bouleverser la nature des échanges entre les trois pays. Cette nouvelle positive pour les échanges internationaux a été éclipsée par une nouvelle annonce du président Trump visant la mise à exécution de sa menace de taxer 200 Mds$ supplémentaires d’importations chinoises au taux de 10 % dès septembre, puis 25 % au 1er janvier 2019. La Chine réagit en annonçant de nouveaux droits de douane allant de 5 % à 10 % sur 60 Mds$ de biens américains dès ce mois d’octobre. Les US ont déjà annoncé qu’en cas de riposte, ils taxeraient la quasi-totalité des importations chinoises. Cette escalade d’annonces a accru une nouvelle fois la pression et les inquiétudes quant aux conséquences à venir de cette opposition.
Le risque de non-accord est substantiel et devra attendre, au mieux, le sommet de décembre. Il n’y a aucune garantie qu’un accord soit trouvé avant le 29 mars à minuit, date programmée du Brexit. Le ministre britannique du Commerce, Liam Fox, estimait à 60 % la probabilité d’un "no deal". Le gouverneur Mark Carney a informé le gouvernement des risques économiques et financiers associés au Brexit.
Malgré la pression exercée par Luigi Di Maio, leader du Mouvement 5 Etoiles de ne pas voter le budget italien 2019 si toutes ses promesses (instauration d’un revenu citoyen, abaissement de l’âge de départ à la retraite et hausse des pensions) n’y étaient pas retenues, le ministre des Finances Giovanni Tria a tenté de maintenir le déficit à 1.6 % du PIB. Finalement, un accord entre le Mouvement 5 étoiles et la Ligue vise un déficit public à 2,4 % du produit intérieur brut entre 2019 et 2021, loin des 0,8 % espérés par Bruxelles dès l’an prochain. Cette nouvelle source de conflit avec Bruxelles maintient une tension élevée au sein de la zone euro.
Pour le deuxième tour, le candidat du PT doit changer de stratégie pour capturer les voix du centre. Il souffre d’un retard important sur Bolsonaro. Le premier sondage de l’entre-deux tours donne 16 points d’avance au candidat Bolsonaro avec 58% des voix vs 42% pour Haddad (Source : Datafolha). Au parlement, le parti de Bolsonaro fait une percée importante dans les deux chambres, il obtient 52 députés à l’Assemblée contre 8 auparavant et devient le deuxième parti avec 10% des sièges derrière le PT qui perd 5 députés (56 sièges). Au Sénat, où il n’était pas représenté jusque-là, il obtient 4 sièges sur 81. Les 2 chambres restent très fragmentées (30 partis à l’Assemblée et 21 au Sénat), et quel que soit le candidat victorieux, il devra composer avec de nombreux partis pour constituer une majorité. Il n'est donc pas certain que l'un ou l'autre candidat soit en mesure de réussir les réformes nécessaires, notamment la réforme des retraites qui est en stand-by depuis plus de 2 ans.
Les propositions économiques du candidat Bolsonaro, poussées par son conseiller économique Paulo Guesdes, ont une orientation clairement libérale. Elles favorisent, notamment, un désengagement de l’Etat dans les compagnies étatiques qui permettrait de réduire l’endettement public, la mise en place d’un régime parallèle de retraite par capitalisation, une baisse des taxes. Les propositions du candidat du PT sont nettement moins libérales. Elles sont favorables à la suspension de la politique de privatisation des entreprises stratégiques pour le développement national, et s’opposent à la réforme du code du travail, votée en 2017, qui visait à renforcer la compétitivité des entreprises et au plafonnement des dépenses budgétaires. Haddad est cependant perçu comme étant économiquement plus centriste que son parti. En cas de victoire de Bolsonaro, le secteur privé bénéficierait d’une plus grande ouverture à la concurrence notamment dans le secteur énergétique.
Le marché brésilien intègre en grande partie la victoire de Bolsonaro, les investisseurs se sont positionnés en faveur de ce scénario. Depuis la fin du mois d’août le réal a été la devise émergente la plus performante face au dollar, s’appréciant de +10%. Dans le même temps, les devises émergentes ne bougeaient pas face au dollar (ref. tableau 1). Les taux locaux ont également intégré partiellement une victoire du candidat du PSL, en révisant à la baisse les anticipations de hausse du taux directeur de +40 pb sur les trois prochains mois contre +100 pb, à fin août. Enfin, la prime de risque de la dette brésilienne à 10 ans en dollar s’est réduite de 98 pb, en passant de 329 pb à 231 pb (Source : Bloomberg).
Les conséquences des élections brésiliennes sur les marchés émergents devraient être faibles. En effet, si depuis le début du mois de septembre les anticipations d’une victoire de J. Bolsonaro ont eu un impact positif sur les actifs brésiliens (la bourse, les taux locaux, la devise et la dette externe), cela n’a pas été le cas pour les autres marchés émergents (ref. tableau 1). Les pays les plus susceptibles d’être touchés par la santé économique brésilienne seraient les pays membres du marché commun Sud-Américain (MERCOSUR), la Bolivie, le Paraguay, l’Argentine et l’Uruguay. Ils ont parmi leurs principaux clients, le Brésil (ref. tableau 2).
]]>Retrouvez l'intégralité du replay ci-dessous.
]]>Commençons par l’Italie. Malgré la bonne volonté de M. Tria et ses annonces d’un déficit budgétaire inférieur à 2 % du PIB, ce sont MM. Salvini et Di Maio qui ont eu gain de cause in fine, avec un déficit 2019 prévu à 2,4 %. Le chiffre en lui-même n’est pas si alarmant que cela, surtout au regard des déficits français ou espagnol, mais il est extrêmement fragile (hypothèses de croissance sans doute trop élevées) et ne permettra pas une stabilisation de la dette italienne.
Il est probable que la commission européenne s’offusque de ce dérapage, mais elle n’a finalement que peu de pouvoirs de sanctions réellement applicables. Le Président Mattarela, que l’on n’a pas entendu cet été, pourrait lui aussi s’inviter dans les discussions et s’appuyer sur les articles 81 et 97 (sur la soutenabilité de la dette) pour infléchir certaines positions mais cela semble difficile. Tous ces développements ne changent pas notre positionnement sur l’Italie : nous restons à l’écart tant que la situation politique ne sera pas éclaircie.
M. Trump a, lui, de son côté, renégocié les accords de l’Aléna (USMCA) sans que ceux-ci soient modifiés de manière substantielle, mais cela pourrait lui valoir quelques suffrages en vue des élections de mi-mandat. Ses menaces vis-à-vis de la Chine ont été mises en application avec une taxe de 10 % sur 200 milliards de dollars de produits chinois importés ; le marché craignait un taux de 25 % de taxe (qui n’interviendra qu’en 2019) et les représailles chinoises sont pour le moment contenues (taxe sur 60 millards de dollars d’importations), raisons pour lesquelles les marchés n’ont quasiment pas réagi.
Les négociations concernant le Brexit restent difficiles, avec le rejet du plan "chequers" de la part des Européens. Il reste peu d’options viables pour Theresa May, même si elle arrive à trouver un accord avec les Européens (au prix d’importantes concessions), celui-ci aura en effet beaucoup de difficultés à être voté au Parlement. La piste d’un nouveau referendum, écartée il y a encore quelques semaines, ne semble plus si improbable aujourd’hui étant donné l’impasse politique actuelle.
Le monde émergent va, lui, en revanche un peu mieux, avec une banque centrale turque qui a enfin augmenté ses taux et une Argentine qui a obtenu suffisamment de garanties du FMI (50 mds + 7 mds) pour rassurer le marché. Tous les problèmes ne sont pas réglés, mais la situation s’est stabilisée.
Dans ce contexte hautement incertain et dominé ce mois-ci encore par des problématiques politiques, nous maintenons des paris limités : pas d’exposition à l’Italie, peu de positions vendeuses de taux "core" ou sur la sphère financière et expositions actions proches des indices. Nous maintenons un avis légèrement positif (mais sélectif) sur les émergents.
Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income & Cross Asset, a passé en revue l'environnement macroéconomique global, qui reste bien orienté en particulier aux Etats-Unis même si des risques politiques sont à surveiller.
Les investisseurs ont ensuite pu échanger avec nos gérants experts sur des segments clés du marché obligataire :
Maud Minuit, Responsable de la gestion Obligataire et Performance absolue, a abordé le sujet des risques inflationnistes aux Etats-Unis mais aussi en Europe. Elle a ensuite illustré la nécessité d’une approche sélective au sein des pays périphériques et a rappelé le cycle vertueux actuellement en place au Portugal.
Tout en soulignant le potentiel de performance élevé des marchés émergents, Georges Farré, Responsable Emergents, a fourni un éclairage de contexte sur les différentes crises récentes dans cette zone - toutes ayant des raisons individuelles et spécifiques.
Les dettes subordonnées, et plus particulièrement bancaires, sont une des spécialités de La Française depuis plus de 10 ans au sein de l’équipe Crédit de Paul Gurzal, Responsable Crédit. Ce dernier a rappelé leurs fondamentaux solides qui devraient leur permettre d’absorber des chocs bien plus importants que ceux connus ces derniers mois. La hausse des taux attendue devrait en outre bénéficier aux banques dont la qualité des actifs s’améliore.
Comme confirmé par Akram Gharbi, Gérant High Yield, cette classe d’actifs demeure une de nos convictions principales. Des taux de défaut globalement faibles, des facteurs techniques favorables, une classe d’actifs bénéficiant des fondamentaux économiques et non forcément corrélée à la hausse des taux en font selon nos analyses un segment attractif. Notre préférence se porte sur le HY européen, le HY US affichant des valorisations élevées et un coût de couverture dissuasif et le HY émergent au momentum incertain malgré des valorisations attractives.
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L’ensemble est pré-loué à 60% à Loft One (société d’administration de biens).
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Multimmobilier 2 et Pierre Privilège.
La Française REM était assistée par le cabinet notarial Montré, Cartier, l'Herminier, et Bouton-Hugues ; le vendeur, quant à lui, était assisté par l’étude Leclerc.
]]>Quel a été l’impact de la crise turque et de la crise italienne sur le segment des dettes subordonnées ?
Le mois d’août a été un mois difficile pour la classe d’actifs, du fait notamment des pays émergents et de l’Italie.
Cependant, l’impact de la crise turque sur les fondamentaux des banques est moins important qu’il n’y parait. Leurs expositions ne mettent pas, à notre avis, en danger leur profil de crédit. Nous estimons que dans le cas où la valeur de leurs filiales turques serait réduite à zéro, les fonds propres des banques resteraient solides par rapport aux exigences règlementaires.
Pour ce qui est de l’Italie : les banques et les compagnies d’assurances détiennent de la dette publique locale, ce qui les lie financièrement à la performance de cette dernière. La volatilité de la dette publique Italienne n’est pas franchement un problème pour les banques si on exclut la restructuration de cette dernière. En effet, une partie importante de la dette publique détenue n’est pas valorisée. La solvabilité de banques italiennes telles qu’UniCredit et Intesa Sanpaolo, pourrait, à notre avis, absorber des pertes dues à la volatilité du BTP, sans que cela ne vienne remettre en cause sa conformité avec les exigences réglementaires de la BCE, ou les paiements de coupons sur les dettes Additional Tier 1 CoCos.
Concomitamment à la fragilisation du secteur par l’actualité macroéconomique et politique, un certain nombre de fonds importants de cette classe d’actifs ont subi de la décollecte depuis 6 mois, ce qui induit mécaniquement des pressions vendeuses, notamment sur les CoCo’s et les Legacy Tier 1. Ces outflows se sont accentués pendant la période estivale, période où la liquidité est toujours moindre.
Cela nous conforte dans l’idée qu’un positionnement sur la partie liquide du segment, avec une diversification sectorielle (banque, assurances et émetteurs non financiers) est primordial.
Le newsflow sur la classe d’actif est-il uniquement négatif ?
Non, bien au contraire.
Du point de vue des risques, la tendance actuelle est bonne : le risque bancaire est en train de diminuer fortement.
La période de résultats a été positive dans l’ensemble pour le secteur bancaire. La solvabilité des banques reste solide au regard des exigences du régulateur. (Source : Credit Suisse – ”Attractive Relative Value – Taking profits on low backend AT1 shorts” – 23 August 2018)
La réduction des créances douteuses dans les bilans est positive pour la qualité de crédit des banques périphériques.
Nous avons constaté une forte diminution des encours de Non Performing Loan au T2 des banques espagnoles et italiennes, avec l’accélération des cessions d’une partie de leurs portefeuilles de prêts douteux.
Les banques ont donc, à notre avis, une trajectoire positive quant à l’amélioration de la qualité de leurs actifs et de leur solvabilité…. Reste la question de la rentabilité. La classe d’actif est-t-elle attractive selon vous ?
Nous pensons qu’en comparaison avec d’autres segments de la classe d’actifs crédit, les dettes subordonnées restent en effet attractives.
L’écartement des spreads a été plus important sur les subordonnées que sur le High Yield et les subordonnées bancaires et d’assurances sont aujourd’hui nettement décotées, avec des émetteurs mieux notés.
La liquidité est bel et bien revenue sur ce segment : l’appétit des investisseurs pour les CoCo’s s’est traduit lors des émissions récentes de Rabobank, Crédit Suisse ou Bankia, qui ont été largement sursouscrites. La bonne tenue du marché témoigne de la confiance du marché vis-à-vis de la classe d’actifs.
Enfin, dans un contexte où la première hausse de taux de la BCE ne devrait pas se matérialiser avant le mois d’octobre de l’année prochaine, la classe d’actif reste une solution potentielle.
Suite au récent repricing, on peut attendre un rendement en euro de l’ordre de 4%, ce qui peut être intéressant pour des investisseurs en mal de rendement.
Avertissement :
Ce document s’adresse aux investisseurs professionnels au sens de la Directive MIF II. Il est fourni exclusivement à titre informatif et éducatif et n’est pas destiné à tenir lieu de prévision, de produit de recherche ou de conseil en investissement, et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, invitation ou recommandation d’investir dans des placements particuliers ou d’adopter une quelconque stratégie d’investissement. Les avis exprimés par le Groupe La Française reposent sur la configuration actuelle des marchés et sont susceptibles d’être modifiés sans préavis. Ces avis peuvent être différents de ceux d’autres professionnels de l’investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d’investissement sous le numéro d’immatriculation 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est une société de gestion agréée par l’AMF sous le n° GP97076 le 1er juillet 1997
- Introduction de la possibilité d’investir non plus seulement sur des sociétés ayant déjà atteint une efficacité carbone supérieure à des sociétés comparables mais également celles qui démontrent une réduction significative de leurs émissions de CO2 ou qui fournissent des moyens de réduire l’empreinte carbone
- La sélection des actions s’opèrera selon un processus d‘investissement qui est composé en 3 phases :
- Un filtre E.S.G. appliqué à l’univers d’investissement
- Une évaluation environnementale, financière et stratégique de chaque entreprise appartenant à l'univers après filtrage E.S.G.
- Une construction rigoureuse et itérative d’un portefeuille qui minimise l’empreinte carbone
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds CMNE Participations Actions Monde disponible sur le site.
Le coefficient de détermination, noté « R² », dépeint le degré de mouvement d'une variable pouvant être attribué à une autre. Dans le cas présent, quasiment 80 % de la performance à 10 ans de l’indice Russell 1000 Growth s’explique par le niveau de départ du ratio cours/bénéfices (PER).
• Les valorisations des valeurs de croissance sont supérieures à celles du marché dans son ensemble mesuré par l’indice S&P 500. Et il y a de bonnes raisons à cela. Les valeurs de croissance présentent de meilleurs taux de croissance et de rendement du capital, ainsi qu’un endettement moins élevé (voir p. 23 de la Présentation des marchés à l'été 2018).
• Considéré de manière absolue, le niveau de valorisation des valeurs de croissance peut être une source d’inquiétude. Toutefois, au regard des chiffres historiques, le PER de 21x de l’indice Russell 1000 Growth (au 31 juillet 2018) est corrélé au fort taux de performance annualisé sur 10 ans, d’environ 7 %, apparaissant dans la régression ci-dessus.
]]>Avec Corinne Lepage (Ancienne Ministre de l’environnement, Députée européenne 2009-2014, Avocate, co-présidente du mouvement des entrepreneurs pour la nouvelle économie) et Laurent Jacquier Laforge, Chief Investment Officer Equity, Directeur de La Française AM sur le thème :
Transition énergétique, transition écologique, quel rôle pour les acteurs de la finance ?
Le mardi 2 octobre à 17h45, sur inscription auprès de communicationISRnull@nullla-francaise.com
LF OPSIS Epargne Immobilière bénéficie des dernières évolutions fiscales et réglementaires qui, depuis le 1er janvier 2018 et l’entrée en vigueur du Prélèvement Forfaitaire Unique (ou Flat Tax), prévoient un taux d’imposition total désormais plafonné à 30% pour les OPCI.
Cette nouvelle solution d’épargne permet aux investisseurs particuliers d’accéder simplement, via leur compte-titres, au marché de l’immobilier d’entreprise. Avec un versement initial minimum de 100 €, ils pourront ainsi se constituer un capital immobilier adapté à leur capacité d’épargne et opter pour des versements ponctuels ou réguliers. Ils bénéficieront, par ailleurs, des avantages des OPCI, qui offrent une mutualisation des risques immobiliers liée à la diversification des actifs sélectionnés, mais également un potentiel complément de revenus et de potentielles plus-values.
LF OPSIS Epargne Immobilière est un OPCI principalement investi en immobilier d’entreprise. Sa principale innovation réside en l’allocation de la poche immobilière qui peut atteindre jusqu’à 85% de l’actif (les OPCI distribués à la fois en Assurance-Vie et en compte-titres proposent généralement une allocation de 60% maximum en immobilier). La poche immobilière de l’OPCI sera composée d’actifs immobiliers physiques (bureaux, commerces, locaux d’activités...), détenus directement ou indirectement au travers de véhicules intermédiaires, de type SCI ou SAS, et de titres de foncières cotées française et paneuropéennes (à hauteur de 9% maximum de la valeur des actifs gérés). Une poche financière, qui représentera 10% minimum au total, contiendra des parts ou des actions d’OPCVM/FIA de droits français ou européens, des actions et obligations ainsi que des titres à sous-jacents immobiliers. Enfin, une poche de liquidité viendra compléter l’allocation globale à hauteur de 5% minimum.
LF OPSIS Epargne Immobilière a pour objectif d’offrir une distribution régulière de dividendes et une revalorisation de la valeur des actions sur un horizon de détention à long terme (8 ans).
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF OPSIS Epargne Immobilière, conclut : « La Française est reconnue pour son expérience en immobilier d’entreprise et sa capacité à innover sur le marché. Les évolutions réglementaires et fiscales nous ont incités à trouver de nouvelles solutions d’épargne immobilière. Notre volonté étant de continuer à innover pour toujours mieux répondre aux nouvelles demandes des épargnants, LF OPSIS Epargne Immobilière est notre nouvelle solution permettant d’associer épargne régulière et immobilier ».
]]>- Compte tenu de la situation politique à Washington D.C., l’on pourrait s'attendre à ce que la possibilité d’un changement de parti majoritaire lors des élections de mi-mandat pénalise le marché boursier.
- Historiquement, les marchés américains ont néanmoins tendance à accueillir favorablement la période de clarté qui suit les élections, affichant en moyenne depuis 1986 une solide performance de 6 % dans les trois mois qui suivent les élections de mi-mandat. Sur cette même période, la performance moyenne s'élève même à 13 % dans les 12 mois suivant les élections. Ainsi, si l’on se fie aux passé, le marché pourrait trouver un certain confort dans le déroulement de ces élections cette année aussi.
Au niveau macro-économique, les indicateurs ont continué de se détériorer dans la plupart des régions du globe. Particulièrement en Europe, la France a dû abaisser ses prévisions de croissance du PIB de 0.3pt en 2018 et 0.2pt en 2019 et l’Allemagne a vu ses commandes à l’industrie se réduire.
Le 1er round de la guerre commerciale est désormais acté suite à la seconde portion de 50 milliards d’importations venant tout juste de prendre effet. Cela porte le total d’échanges bilatéraux taxés à 190 milliards de dollars. Le 2nd round pourrait être bien plus important avec 260 milliards de biens concernés. Enfin, même si le spectre d’une taxation des biens automobiles semble s’éloigner, celle-ci pourrait concerner 360 milliards de dollars d’importations américaines. Ce bras de fer entre les Etats-Unis et ses partenaires commerciaux a des impacts sur la confiance des entreprises, et l’investissement de celles-ci s’est sensiblement réduit depuis le début de cette guerre commerciale.
L’Italie reste la première source d’inquiétude de la BCE. Au-delà des problèmes structurels de l’économie italienne, l’accession au pouvoir d’une coalition eurosceptique contribue à déstabiliser la zone euro. Alors que la 1ère version du budget européen 2019 doit être rendue pour le 27 septembre, M. Salvini milite pour plus de largesses budgétaires dans le but d’accroître les dépenses sociales, de réduire les impôts et de financer de grands projets d’infrastructure. Ces revendications mettent sous pression la dette italienne, voire celle de l’ensemble de la zone euro.
Malgré une appréciation du dollar depuis le début de l’année, le S&P500 a surperformé le Stoxx Europe 600 de plus de 13 points (exprimé en EUR). La comparaison est encore plus criante contre les marchés émergents. Le marché américain, aujourd’hui plus que jamais, semble être un refuge pour les investisseurs.
L’Europe reste attractive avec une valorisation à 13,7x les bénéfices des 12 prochains mois contre une moyenne 5 ans à 14,5x. Les Etats-Unis sont à 17x contre une moyenne historique à 16,4x.
L’Italie sera sous haute surveillance ce trimestre dans l’attente des propositions concernant son budget 2019. Cacophonie politique entre les leaders M. Salvini et M. Di Maio d’un côté et M. Tria et M. Conte de l’autre, fortes incertitudes sur le budget, révision à la baisse de la croissance et risque à terme de nouvelles élections : même si le marché semble aujourd’hui intégrer une certaine prime de risque, nous restons toujours à l’écart de l’Italie.
Sur le front protectionniste, M. Trump conserve un ton toujours aussi agressif vis-à-vis de la Chine. Le 5 septembre se termine la consultation publique concernant les taxes sur 200 Mds$ de produits importés, et peu de doutes demeurent quant au résultat de cette consultation. Comme il est probable que les Chinois annoncent des représailles, la situation ne devrait pas se stabiliser à court terme. Des incertitudes demeurent aussi du côté de l’ALENA, avec des discussions houleuses entre Etats-Unis et Canada ; tensions que l’on retrouve d’ailleurs entre Washington et Bruxelles alors que des ouvertures pouvaient laisser espérer une issue positive il y a quelques semaines.
Pas plus de clarté du côté du Brexit alors que les délais pour trouver un accord se réduisent à vue d’oeil. Michel Barnier a pourtant eu des propos rassurants en rappelant qu’il était prêt à proposer un accord avec un niveau de collaboration dont aucun pays tiers n’avait pu bénéficier. Mais les positions des deux camps semblent encore très éloignées sur les sujets les plus sensibles (frontière irlandaise, libre circulation des personnes, etc…) et la position de Theresa May au sein de son propre parti toujours aussi inconfortable.
L’actualité sera aussi émergente avec une situation qui ne cesse de se dégrader en Argentine et en Turquie. Si dans le cas de l’Argentine cela devrait se stabiliser grâce au FMI, l ’évolution de la Turquie dépendra en grande partie de la volonté de ses institutions ; l’inflation galopante et une devise en chute libre demandent une très forte réaction de la banque centrale et donc que M. Erdogan accepte enfin un peu plus d’orthodoxie monétaire.
Dans ce contexte très incertain, nous conservons aujourd’hui des convictions très modérées : exposition actions proche des indices de référence, sous-sensibilité sur les taux "core" réduite et paris émergents très spécifiques. Nous maintenons en revanche notre vue positive sur les points morts d’inflation, ceux-ci n’ayant pas réagi à la hausse des perspectives d’inflation depuis le début de l’année.
L’Italie sera sous haute surveillance ce trimestre dans l’attente des propositions concernant son budget 2019. Cacophonie politique entre les leaders M. Salvini et M. Di Maio d’un côté et M. Tria et M. Conte de l’autre, fortes incertitudes sur le budget, révision à la baisse de la croissance et risque à terme de nouvelles élections : même si le marché semble aujourd’hui intégrer une certaine prime de risque, nous restons toujours à l’écart de l’Italie.
Sur le front protectionniste, M. Trump conserve un ton toujours aussi agressif vis-à-vis de la Chine. Le 5 septembre se termine la consultation publique concernant les taxes sur 200 Mds$ de produits importés, et peu de doutes demeurent quant au résultat de cette consultation. Comme il est probable que les Chinois annoncent des représailles, la situation ne devrait pas se stabiliser à court terme. Des incertitudes demeurent aussi du côté de l’ALENA, avec des discussions houleuses entre Etats-Unis et Canada ; tensions que l’on retrouve d’ailleurs entre Washington et Bruxelles alors que des ouvertures pouvaient laisser espérer une issue positive il y a quelques semaines.
Pas plus de clarté du côté du Brexit alors que les délais pour trouver un accord se réduisent à vue d’oeil. Michel Barnier a pourtant eu des propos rassurants en rappelant qu’il était prêt à proposer un accord avec un niveau de collaboration dont aucun pays tiers n’avait pu bénéficier. Mais les positions des deux camps semblent encore très éloignées sur les sujets les plus sensibles (frontière irlandaise, libre circulation des personnes, etc…) et la position de Theresa May au sein de son propre parti toujours aussi inconfortable.
L’actualité sera aussi émergente avec une situation qui ne cesse de se dégrader en Argentine et en Turquie. Si dans le cas de l’Argentine cela devrait se stabiliser grâce au FMI, l ’évolution de la Turquie dépendra en grande partie de la volonté de ses institutions ; l’inflation galopante et une devise en chute libre demandent une très forte réaction de la banque centrale et donc que M. Erdogan accepte enfin un peu plus d’orthodoxie monétaire.
Dans ce contexte très incertain, nous conservons aujourd’hui des convictions très modérées : exposition actions proche des indices de référence, sous-sensibilité sur les taux "core" réduite et paris émergents très spécifiques. Nous maintenons en revanche notre vue positive sur les points morts d’inflation, ceux-ci n’ayant pas réagi à la hausse des perspectives d’inflation depuis le début de l’année.
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- Nouvel indicateur de référence : Lyxor Bund Daily (-1x) Inverse UCITS ETF – Acc (code Bloomberg : BUNS FP)
Ce changement intervient suite à la modification de l’indicateur de référence du fonds maître La Française LUX – Protectaux.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Protectaux disponible sur le site www.la-francaise.com.
Le groupe Veritas, présent en Allemagne depuis 1991 et opérant d’abord depuis Francfort puis plus récemment depuis Hambourg, gère plus de 7 milliards d’euros d’actifs pour le compte d’investisseurs institutionnels et particuliers. Ce groupe déploie une approche innovante de la gestion de risques à ses investissements multi-asset.
Cette acquisition représente une étape importante dans la stratégie de développement à l’international de La Française et souligne l’importance du marché allemand pour l’acteur français. Ainsi, La Française verra ses encours gérés en Allemagne atteindre 8 milliards d’euros d’actifs et disposera d’une force de frappe locale de quarante-huit professionnels, répartis sur deux sites : Hambourg et Francfort.
En Europe continentale, La Française disposera désormais, au côté de son bureau historique parisien, de 2 centres de gestion à Francfort et Hambourg couvrant les expertises valeurs mobilières et immobilières et renforçant sa plateforme de distribution internationale.
Avec cette acquisition, La Française atteint deux objectifs qu’elle s’est fixée dans son plan à moyen terme-2020 : dépasser la barre des 70 milliards d’euros d’actifs sous gestion, dont 25% pour compte d’investisseurs internationaux.
“Cette acquisition est l’aboutissement de dix-huit mois de recherche d’opportunité de croissance externe. Dans notre stratégie de développement, l’Allemagne a été rapidement identifiée comme étant un marché prioritaire. Cette acquisition nous permet d’assoir notre positionnement comme un acteur local majeur, avec une expertise en valeurs mobilières et en immobilier. Par ailleurs, l’approche risque propriétaire de Veritas, Risk@Work, reconnue sur le marché allemand ainsi que son expertise en gestion multi-asset quantitative, complètent parfaitement nos propres compétences.” commente Patrick Rivière, Directeur Général de La Française.
“Avec La Française, nous avons trouvé le partenaire idéal, qui reconnait notre expertise et valorise notre connaissance du marché. Ensemble, nous allons pouvoir nous développer sur notre marché local et à l’international. De plus, nous bénéficierions de la solidité de l’actionnariat du groupe La Française, à savoir le Crédit Mutuel Nord Europe.” conclut Dr. Dirk Rogowski, Directeur Général de Veritas Investment GmbH et de Veritas Institutional GmbH, soulignant ainsi l’importance de la fusion.
“La Française is gaining traction on the German market. Tina, along with our Head of Sales for Germany, Kay Scherf, will continue to introduce our investment expertise, namely fixed income, absolute return and sustainable equities, to the German institutional and retail markets. As a senior business development specialist, Tina is a valuable addition to our team,” says Philippe Lecomte, CEO of La Française AM International.
Tina Künnen has fifteen years of experience in the finance industry. She began her career in 2003 with Reuters AG as a fund analyst, an experience which certainly proved valuable to her career development thereafter. In 2008, Tina joined AXA Investment Managers Deutschland as a sales manager, before moving on to Natixis Investment Managers in 2010, acting as Sales Director and later Head of Business and Client Development.
Tina Künnen holds a degree in Business Administration, with a specialization in Finance and Business Informatics, from Johann Wolfgang Goethe University.
Tina Künnen - Sales Director
La Francaise AM International – Niederlassung Deutschland
Tel. +49 69 29724 - 3802
Neue Mainzer Str. 80 | 60311 Frankfurt am Main
Email: tkuennen@la-francaise.com
Le projet, sis 59 rue de Saint-Cyr, est situé au nord-ouest de Lyon, au cœur du quartier de Vaise, qui constitue le troisième pôle tertiaire lyonnais. L’immeuble sera à 550 mètres de l’arrêt de Métro « Gare de Vaise » qui permet de rejoindre la Gare Part-Dieu en 20 minutes.
Le bâtiment sera labélisé BREEAM « Very Good » et RT 2012. La livraison est prévue au 2nd trimestre 2021.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
La Française REM était assistée de l’étude notariale Montré, Cartier, l'Herminier, et Bouton-Hugues : le vendeur par l’étude Leufflen.
D’ici le 31 décembre 2021, la SCPI ramènera à 10% maximum la part des actifs immobiliers situés en régions, via une politique d’arbitrage déjà ciblée.
La typologie des actifs inclura principalement, à hauteur de 75% au moins, des bureaux et commerces, et, pour 25% au plus, des locaux logistiques, hôtels et résidence de services gérées (immeubles neufs, récents ou en restructuration / transformation).
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers, société de gestion de LF Grand Paris Patrimoine, conclut : « La Française investit depuis plus de cinquante ans dans l’immobilier francilien. C’est un marché que nous connaissons bien et où La Française est très bien positionnée. Nous avons nos propres convictions sur les secteurs géographiques ou les typologie d’actifs à privilégier pour bénéficier au mieux du développement du projet Grand Paris. C’est cette expertise que nous partagerons avec les associés de LF Grand Paris Patrimoine. »
1 Source : La Française REM – Janvier 2018
2 Source : Société du Grand Paris – Janvier 2018
3 La SCPI investira à Paris et dans sa région. Néanmoins, le potentiel de développement du Grand Paris pourrait ne pas bénéficier dans sa globalité aux investisseurs de la SCPI.
4 Source : La Française REM, au 31 mars 2018, répartition du patrimoine immobilier en valeur vénale.
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- Aux États-Unis, la dette des ménages et des entreprises non financières a grimpé, atteignant près de 30 000 milliards de dollars à fin 2017. Rapporté en pourcentage du PIB, le taux est également élevé, à 152 % (contre 127 % à la fin des années 90), mais il reste cependant inférieur au pic atteint juste avant la crise financière mondiale de 2008 (169%).
- Néanmoins, par rapport à la moyenne historique, les ratios du service de la dette aux États-Unis sont relativement faibles. Juste avant les deux dernières récessions, ces ratios s'élevaient respectivement à 18,4 % et 17,3 %. Des taux supérieurs aux 14,9 % observés actuellement.
- Le scénario est sensiblement le même dans le reste du monde. Dans des pays tels que l’Allemagne, le Japon et le Royaume-Uni, les ratios du service de la dette sont proches de leurs niveaux les plus bas de ces dix dernières années.
- La faiblesse des ratios du service de la dette révèle que les paiements liés à la dette ne constituent pas un poids pour les particuliers et les entreprises emprunteurs. Ce qui signifie que les niveaux de la dette sont gérables et qu'ils ne représentent pas un frein pour l’économie.
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Les arguments de ces populistes qui s’approprient la nation sont malheureusement nombreux… mais inexacts.
La globalisation des marchés s’est effectivement réalisée sans état de droit ; la globalisation de la démocratie n’existe pas et il est vrai que le fonctionnement de marchés sans état de droit introduit deux biais : le courttermisme et le chacun pour soi. Mais la réponse n’est pas le nationalisme et le refus des marchés.
La mondialisation a changé profondément la structure même de l’organisation sociale de l’humanité où l’habitant de la planète Terre vit une forme d’errance, sous une forme concrète ou virtuelle. On ne peut plus parler de tiers monde ou des prolétaires que l’on exploitait « gentiment » dans la deuxième partie du XIXe siècle et une grande partie du XXe mais plutôt de nomades pauvres qui se déplacent en fonction du travail, du climat, des guerres… c’est parfois plus simplement le travail qui est nomade et ces personnes produisent pour et à la place des habitants de l’autre côté de la planète ; globalement 5-6 Mds de personnes. Les nomades riches quant à eux bénéficient de la globalisation et utilisent la planète comme un terrain de jeux ; une cinquantaine de millions de personnes qui sont aussi les dirigeants économiques et politiques. Les nomades « virtuels », pour simplifier la classe moyenne occidentale, soit moins d’un milliard de personnes, ne se déplacent pas à l’autre bout de la planète voire même à quelques dizaines de kilomètres de leur lieu de naissance pour trouver du travail, ils envient les nomades riches mais surtout, et c’est là le problème fondamental, ils craignent de devenir des nomades pauvres.
Face à la globalisation des entreprises et des marchés et à la technologie, la réponse politique des Etats démocratiques est forcément très complexe et, en tout état de cause, insuffisante en ce qui concerne les Etats européens.
L’Etat américain, profitant de sa position de leader mondial, impose politiquement et économiquement au monde entier ses décisions. Le politique s’implique très fortement dans l’économie et va jusqu’à une interférence dans les relations entre économies/états tiers : les sanctions en Iran (interdiction à ceux qui commercent avec l’Iran de travailler avec une entreprise américaine) et en Turquie, les droits de douane pour la Chine et l’Europe. A ma connaissance, cela n’a pas entrainé de fortes réactions des entreprises américaines, partant peut-être du principe que D. Trump ayant été élu démocratiquement il bénéficierait d’une sorte de blanc-seing ?
Les petits Etats (Suède, Suisse…) arrivent à trouver dans le jeu de la spécialisation internationale et/ou grâce à leur dotation en richesses naturelles les moyens de conserver une croissance compatible avec le maintien de leur modèle social.
L’Europe est dans une situation très différente. Comme toujours dans le cas de la naissance d’un pays, et encore plus d’une Union, elle s’est créée dans des circonstances de guerre, dans le cas présent, le « plus jamais cela » post deuxième guerre mondiale. Cette union s’est limitée pendant longtemps à des accords commerciaux – un marché unique – et, rappelons-le, la création de la monnaie unique ne devait être qu’une étape vers une intégration plus forte qui jusqu’à présent n’a pas eu lieu, la Constitution Européenne n’ayant pas été ratifiée par les populations, à commencer par les Français. Une Europe sans constitution, c’est comme jouer de la musique sans les instruments ou comme une diplomatie sans les armes.
Concrètement, la mondialisation de l’économie s’est réalisée avant que l’Union Européenne ne soit réellement intégrée sur le plan social, fiscal et politique sur un modèle démocratique qui aurait pu être comparable à celui des régions en Allemagne. Une erreur fondamentale a peut-être été également d’élargir l’Europe à 28 pays plutôt que de doter préalablement l’Europe des 6 de l’ensemble des outils juridiques et techniques.
La résultante est que l’Europe est de moins en moins considérée comme un partenaire mais de plus en plus comme une proie par les Etats-Unis et la Chine. Ce sentiment d’insécurité pousse les nomades virtuels européens à se réfugier dans le populisme rebaptisé nationalisme. L’Histoire nous a enseigné à maintes fois que le populisme menait au national-socialisme.
Si l’on veut éviter une nouvelle dérive de l’Histoire, les démocrates européens doivent donc relever le défi de revaloriser la nation comme fondement de la culture, de la sécurité, de la santé et de l’éducation et rejeter ainsi son appropriation par les nationalistes.
L’enjeu est de taille. La droite, souvent extrême, s’est appropriée le drapeau tricolore ; comment amener l’ensemble de la population à se le réapproprier en dehors d’une fois tous les 20 ans lorsque la France gagne la coupe du monde de football ?
Sans tomber dans le nationalisme on peut dire que cette question centrale de la Nation est d’autant plus complexe à mettre en oeuvre en Europe qu’aujourd’hui un Portugais, un Grec, un Allemand ou un Italien installé en France a les mêmes droits qu’un Français à l’exception près, une fois tous les 5 ans, des élections nationales.
Le nationalisme n’est pas la réponse car outre le repli sur soi, c’est une vision court-termiste. Instaurer le concept de nation européenne est d’autant plus difficile que « malheureusement » nous n’avons plus d’ennemi commun qui souderait les européens ; D’où d’ailleurs la tentation de faire « de l’autre », aujourd’hui les musulmans, assimilés à l’extrémisme intégriste, cet ennemi commun face à un occident chrétien.
« Difficile est le chemin » ; l’un des moyens, me semble-t-il, est de focaliser les énergies démocratiques dans un chemin qui ne soit pas de plein fouet celui de la concurrence mondiale mais celui de l’économie responsable, durable où l’intérêt de la planète converge avec celui de ceux qui l’habitent.
Sur le plan sociétal, le positionnement de l’Europe face à l’absence de démocratie en Chine et aux Etats-Unisimpérialistes et ultra-libéraux de D. Trump devrait être un modèle social basé sur la protection et articulé autour de la solidarité intergénérationnelle, intra-communautaire, entre classes sociales des différents nomades. D’une part il est vain d’espérer gagner le combat de la compétitivité à tout prix face à un modèle totalitaire comme face au modèle sociétal américain qui repose largement sur une absence de solidarité. La force de l’Europe c’est finalement une aspiration commune de la très grande majorité de la population à un certain art de vivre : une filière agro-alimentaire responsable des hommes et de la planète, le développement des énergies renouvelables, de l’économie circulaire… Si WallMart est effectivement une réussite financière, la « malbouffe » qui en a résulté et la disparition de tous les petits commerces, de plusieurs dizaines de milliers d’employés et une prolétarisation des ex-petits commerçants franchisés WallMart à la protection sociale quasi-inexistante est-il le modèle idéal pour l’Europe ? Bien sûr il serait préférable que Facebook, ses 25 000 employés et leurs quelques millionnaires salariés soient européens, mais n’est-il pas préférable que Sodexo et ses 420 000 salariés dans le monde soit une société française ? Le modèle américain n’est à l’évidence pas celui souhaité par la très grande majorité des Européens.
A l’heure où la planète est menacée de survie et où la technologie remet en cause une grande majorité des process de production et de consommation, l’ère de la chrématistique, de la production maximum de biens de consommation sans se préoccuper de leur utilité, n’est-elle pas révolue ? Ne serait-ce d’ailleurs que parce que la main d’oeuvre est de moins en moins nécessaire pour produire et de fait la nécessité même du cercle vertueux du producteur-consommateur permettra de moins en moins le plein emploi.
Certes un modèle sociétal et social commun unificateur de l’Europe est d’autant moins facile à réaliser (qu’une union sacrée autour d’un ennemi étranger bien identifié) qu’au sein même de l’Europe les écarts sont déjà très grands et qu’une convergence impose également des réformes perçues à l’origine comme des régressions dans les pays les plus protecteurs socialement. C’est pourquoi si l’on veut éviter la tragédie qui se dessine, ce modèle nécessite en parallèle un projet massif d’investissements reposant sur l’économie durable : décarbonation, transition énergétique et énergies renouvelables, transition écologique, digitalisation et d’une manière plus générale les projets sociétaux reposant sur l’économie de l’usage plus que de la propriété.
Les dirigeants pro-européens vont-ils réussir à convaincre leurs élus et à se mettre d’accord entre eux sur ce plan Marshall bâti sur l’impact de la mondialisation et des risques d’effondrement qui en résultent ? C’est évidemment loin d’être acquis, mais il est clair que cette orientation existe et que la seule question qui se pose est celle de sa magnitude et de sa temporalité.
Pour nous, Groupe La Française, notre conviction d’investisseur est qu’en terme de risque-rendement la situation est asymétrique : il nous parait évident que le modèle classique est en voie de forte réduction et que si notre réflexion s’avère inexacte ce sera parce que le protectionnisme et le nationalisme l’auront emporté, ce qui se fera forcément au détriment de l’économie et donc de la valorisation de tous les types d’actifs. A l’inverse, si notre prospective se réalise, les actifs/sociétés investis sur ces stratégies surperformeront largement les autres. C’est l’enjeu de notre fonds Carbon Impact en valeurs mobilières ou encore d’Emploi Durable mais c’est aussi celui des fonds de transition énergétique de notre filiale Acofi, les enjeux sociétaux étant également abordés dans nos fonds immobiliers, notamment autour du concept de la Propriété à Vie.
Nous vous présentons ci-dessous l’opération de fusion par voie d’absorption de votre fonds La Française Rendement Global 2020 par le fonds La Française Rendement Global 2025, un fonds commun de placement de droit français.
La Française Asset Management souhaite vous offrir la possibilité de vous positionner sur un fonds dont la gestion repose sur une stratégie similaire mais sur une échéance plus éloignée avec un univers d’investissements plus conséquent.
La maturité moyenne des nouvelles émissions sur le marché est d’environ 5 ans, et les refinancements à moins de 5 ans sont quasi inexistants. Par ailleurs, la société de gestion considère qu’une stratégie classique de portage n’est pas dans l’intérêt des investisseurs dans la mesure où une large part de la performance attendue sur la durée de placement recommandée est d'ores et déjà captée.
A titre d’exemple, le rendement estimé de la part I* au lancement le 23 septembre 2013 était de 5,81% contre seulement 2,19% de rendement instantané au 25 mai 2018. Cela représente une performance cumulée de la part I* de 25,73% sur la même période, soit un TRA de 5,04% :
* cette part ne fait pas l’objet d’une offre publique en Belgique
- Comme l'indique le graphique ci-dessus, les taxes douanières collectées en pourcentage des importations sont en baisse (4 % en 1987 contre moins de 2 % en 2017), ce qui prouve la volonté des gouvernements de privilégier le libre-échange.
• Pourtant, les dommages peuvent être accrus avant que des ententes mutuellement acceptables ne parviennent à être conclues. Avec la montée des craintes liées aux droits de douane, les segments boursiers potentiellement les moins exposés à ce risque devraient susciter l’intérêt des investisseurs. Les petites capitalisations, par exemple, surperforment les grandes capitalisations de plusieurs centaines de points de base depuis le début de l’année. Cette surperformance s’explique vraisemblablement par leur axe davantage « domestique » (la part des revenus étrangers des sociétés représentées dans l’indice Russell 2000 n’est que de 21 %, tandis qu’elle est de près du double pour le S&P 500, avec 39 %).
• En outre, certaines industries pourraient être moins sensibles que d'autres face à ces enjeux commerciaux. Les valeurs internet américaines, par exemple, sont d'ores et déjà largement exclues de certains marchés tels que la Chine, et pourraient par conséquent être moins impactées par des problématiques commerciales, tandis que les gouvernements du reste du monde pourraient davantage cibler les entreprises agricoles. Ce contexte pourrait engendrer des opportunités attrayantes pour les sociétés de gestion qui adoptent une approche active en sélectionnant minutieusement leurs investissements pour distinguer les gagnants des perdants.
]]>- En 1900, la cuisinière avait atteint un taux de pénétration de 10 % au sein des ménages américains ; il faudra 60 années avant qu’elle n’atteigne un taux de 100 %. Les innovations technologiques plus récentes, à l’image d’Internet, des smartphones et des médias sociaux, ont été adoptées par une majorité de la population en beaucoup de moins de temps.
- Comme nous l'avons écrit dans l’article intitulé The Enduring Force of Innovation, les progrès technologiques surviennent à un rythme exponentiel, ce qui signifie que le rythme du changement s’accélère. Dans ce contexte, les innovations les plus récentes sont développées plus rapidement et adoptées plus vite par la société.
- Cette tendance de l'innovation à croître de façon exponentielle devrait inspirer confiance dans sa capacité à générer de la croissance de manière générale, indépendamment de la nature de la prochaine invention ou des fluctuations des cycles économiques.
- En raison de l'augmentation du rythme des innovations, les valeurs décotées, si elles semblent bon marché, pourraient se retrouver victimes des évolutions en cours, alors que les valeurs de croissance, à l'origine de ces changements, pourraient en bénéficier.
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Le Groupe Pierre & Vacances-Center Parcs est le leader européen du tourisme de proximité. Aujourd’hui, avec ses marques touristiques complémentaires, le groupe exploite un parc touristique de plus de 44 000 appartements et maisons à travers l’Europe (277 sites).
Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Multimmobilier 2 et Eurofoncière 2.
La Française REM était assistée de l’étude Allez & Associés ; Pierre & Vacances Développement par l’étude Haussmann Notaires.
Il s’agit d’un immeuble à construire dont la livraison est prévue en Novembre 2018. L’ensemble sera bâti autour de deux patios intérieurs, pour une surface totale d’environ 8 200 m². Il offrira des plateaux de plus de 2 000 m² divisibles en 4 lots indépendants.
L’immeuble est loué en intégralité à Legendre XP, filiale de Legendre Immobilier spécialisée dans l’exploitation, dans le cadre d’un BEFA (bail commercial en état futur d’achèvement) de 6 ans fermes.
« Cette acquisition en VEFA (vente en état futur d’achèvement) s’inscrit dans la continuité du développement d’un portefeuille de qualité, sécurisé et pérenne pour le compte de l’UMR. L’immeuble bénéficie d’un emplacement exceptionnel en face de la cité du Vin, dans une ville très attractive où les opportunités d’investissement de qualité sont devenues très rares » précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude notariale Alexandre Dechin Devriendt et Hoang, le cabinet Herbert Smith sur les aspects juridiques et fiscaux, Egis sur les audits techniques, Sinteo sur les aspects énergétiques, et ICF Environnement sur les aspects environnementaux.
Le groupe Legendre était conseillé par Maître Grégory DANDIEU, notaire associé à Bordeaux.
Cushman & Wakefield est intervenu en tant que conseil du vendeur.
Le Ray, imaginé par l’architecte Edouard François, a été pensé pour une parfaite intégration à son environnement, avec des façades à la végétation méditerranéenne abondante et des toitures dotées de grandes jardinières pour un effet de crête végétale et de luxuriance.
Une attention particulière a été portée à la conception des bâtiments tant pour la qualité des matériaux utilisés que pour leur végétalisation. Le Ray intègre ainsi les normes de qualité et de confort les plus exigeantes, telles que la certification NF Habitat et le label BiodiverCity ®, premier label international à prendre en compte la biodiversité dans les projets immobiliers de construction et de rénovation.
Cet investissement a été réalisé pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
La Française REM était assistée par Maître Louis Gourret, Etude Pyramides 14 à Paris ; VINCI Immobilier, par Maître Amélie Dogliani, à Nice.
1,2,3 Greenwich Associates. « The Power of Focus: Looking for Alpha in a Sea of Beta », 2017.
]]>Ayant constaté la forte progression des actions chinoises en 2017, la question qui nous a été le plus souvent posée par les investisseurs que nous avons rencontrés lors d’un de nos derniers roadshows européens était de savoir : « quelle est la prochaine étape ? » Le marché se dirige-t-il vers un dur retour à la moyenne, ou est-ce au contraire le début d’une nouvelle ère ? Pour notre part, nous pensons que les mouvements de l’année dernière ne sont que les prémices d’une réévaluation globale des actions chinoises, alimentée par différents facteurs et qui devrait s’étaler sur plusieurs années. Le changement structurel que connaît le modèle de croissance économique chinois en est la principale raison.
La forte croissance des quarante dernières années a en effet laissé place à un modèle économique plus mesuré, qui privilégie la qualité et la durabilité. En d’autres termes, l’économie chinoise réalise une transition progressive d’un modèle favorisant la croissance au détriment de la qualité, à un modèle plus qualitatif et moins volontariste. Ce processus sera l’occasion pour le pays de remédier progressivement aux nombreuses faiblesses structurelles caractéristiques de l’ancien modèle, telles que son endettement important, les déséquilibres sur le marché immobilier, les surcapacités, l’épuisement des ressources et la destruction de l’environnement. Parallèlement, la Chine continuera de favoriser l’innovation et la R&D pour améliorer sa compétitivité à l’échelle mondiale. Nous pensons que les investisseurs vont progressivement prendre conscience du fait que les arguments classiques des pessimistes ne tiennent pas face à la réalité de plus en plus évidente d’une Chine performante et durable. Ce changement de perception à l’égard du pays va entraîner une réévaluation de la prime de risque associée aux actions chinoises de la part des observateurs mondiaux, amorçant une revalorisation durable de cet univers d’investissement.
L’inclusion des actions de la Chine continentale (appelées « actions A ») dans les indices mondiaux et émergents de MSCI soutiendra également cette dynamique. Les indices MSCI sont mondialement reconnus et plébiscités par les investisseurs. En décidant d’intégrer les actions A, MSCI fait savoir au monde entier que ce marché ne doit non seulement pas être ignoré (puisqu’il est le deuxième marché boursier mondial), mais qu’il est aussi totalement accessible aux investisseurs étrangers via la plateforme Stock Connect ou dans le cadre des quotas du programme QFII. L’intégration des actions A signifie toutefois que les investisseurs utilisant les produits de MSCI comme indices de référence devront acheter des actions chinoises pour éviter tout écart de suivi. MSCI a enclenché le processus en juin 2018 avec un facteur d’inclusion initial de 2,5% ; au bout du compte, les actions cotées en Chine continentale devraient représenter environ 20 % de l’indice MSCI Emerging Markets. Une fois leur intégration achevée, probablement dans cinq à six ans, le poids de l’ensemble des actions chinoises (y compris les titres cotés à Hong Kong et les ADR) dans l’indice MSCI Emerging Markets devrait avoisiner 40%. Nous pensons donc que les titres chinois onshore et offshore vont gagner en visibilité et que ces derniers seront progressivement considérés comme une classe d’actifs accessible et prometteuse par un nombre croissant d’investisseurs.
Malgré la volatilité récente, nous restons optimistes à l’égard des perspectives des actions chinoises à moyen et long terme. En tant qu’adeptes de la sélection des valeurs bottom-up et spécialistes des stratégies concentrées, nous pensons que le meilleur moyen de s’exposer aux opportunités offertes par la prochaine phase de croissance de la Chine est d’analyser les principaux moteurs de cette évolution et d’identifier les sociétés les mieux gérées et les plus compétitives qui seront en mesure de produire des performances régulières à long terme. Le thème de l’innovation technologique, qui se veut la force motrice du développement économique chinois pour les années à venir, devrait être avantageux. La Chine ambitionne de devenir un leader mondial dans l’innovation d’ici 2035, sachant que le pays est déjà le deuxième plus grand investisseur au monde dans la R&D et le premier déposant mondial de brevets. Cela n’aura pas échappé aux États-Unis, qui ont bien détecté la menace et cherchent maintenant à enrayer voire à stopper cette progression, qui nous semble (malheureusement pour eux) assez inexorable. Le thème de la consommation est également attractif. Les entreprises qui offrent des produits et services de qualité destinés à la classe moyenne croissante et plus exigeante en matière de confort et de qualité de vie devraient surperformer à long terme. Nous jouons également le thème de la production manufacturière de pointe. La Chine est en effet entrée dans une phase de « substitution à l’importation », à l’instar de la Corée du Sud dans les années 90. Dans cette optique, le plan stratégique « Made in China 2025 » vise clairement à augmenter la part du contenu chinois en composants et matériaux de base, notamment en ce qui concerne les composants électroniques, mémoires et logiciels avancés, qui sont actuellement fournis par des sociétés étrangères.
On se souvient que le livre « The Coming Collapse of China » de Gordon G. Chang, publié en 2001, avait fait grand bruit en prévoyant la chute de l’économie et du système politique chinois avant 2006, et au plus tard avant 2011. Dix-sept ans plus tard, la puissance de la Chine est de toute évidence plus fermement ancrée qu’elle ne l’était en 2001 et de nombreux pays développés pourraient lui envier sa stabilité politique, quoi qu’en disent les critiques. À contre-courant de la théorie faiblissante de « l’effondrement imminent » de la Chine, nous pensons que l’économie du pays dispose de la marge de manoeuvre et des ressources suffisantes pour résoudre ses problèmes structurels, ce qui devrait ouvrir la voie à de formidables opportunités pour les investisseurs qui ont déjà compris que la deuxième économie mondiale connaît un bouleversement positif. Oded Shenkar aurait-il eu raison de prédire que la Chine sera la superpuissance du XXIe siècle dans son best-seller intitulé « Chinese Century », en affirmant que le pays dépassera les États-Unis pour devenir la première économie mondiale d’ici 2026 ? Ce scénario nous semble en tout cas plus probable.
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Les indicateurs conjoncturels montrent un ralentissement de la croissance, mais restent toutefois compatibles avec un rythme de croissance de la zone euro supérieur à 2 %. Cette phase de ralentissement nous conduit à maintenir notre attitude prudente. Au-delà de la ponction sur la consommation liée à la hausse du prix du pétrole, deux facteurs plus fondamentaux justifient cette prudence :
Cette combinaison pourrait entrainer une croissance de la zone euro sensiblement plus faible que celle attendue et par là même une potentielle déception affectant la croissance des résultats des sociétés.
Le président des Etats-Unis a multiplié les annonces protectionnistes au cours des derniers mois. Nous sommes désormais entrés dans la phase de leur mise en oeuvre : depuis le 1er juin les importations d’acier et d’aluminium provenant de l’UE, du Mexique et du Canada sont taxées à respectivement 25 % et 10 % et ont entrainé des réponses graduées. Les taxes sur les produits chinois effectives depuis le 6 juillet portent sur environ 35 Mds $ et Pékin a promis de répliquer immédiatement par des mesures similaires. Les Etats-Unis ne devraient pas en rester là puisque M. Trump menace de porter au total à 450 Mds $ la valeur des produits chinois taxés (soit la grande majorité des importations venues du géant asiatique et 200 Mds $ de plus qu’anticipé).
Le risque majeur est évidemment celui d’une escalade et d’un passage vers une guerre commerciale avec des effets négatifs sur les échanges internationaux et la croissance mondiale. Le risque est également élevé pour l’économie américaine. Des états qui ont voté Trump en 2016 sont vulnérables aux mesures protectionnistes. Ainsi, l’intensité et la durée des tensions commerciales pourraient être influencées par les électeurs.
D’ores et déjà, les marchés anticipent les effets de ce virage protectionniste des Etats-Unis et les risques de guerre commerciale sont aujourd’hui au sommet de la liste des inquiétudes des investisseurs après plus de vingt ans de « certitudes » autour de l’expansion du commerce mondial. Les marchés européens ont sensiblement corrigé le mois dernier et particulièrement ceux les plus exposés au commerce mondial comme l’Allemagne ou la Suède. Il en va de même pour les secteurs les plus exposés au commerce international qui ressortent dans le rouge, à l’instar des matériaux de base, la technologie, les titres industriels ou l’automobile. Concernant le secteur automobile, dernière cible désignée par le président Trump, les incertitudes devraient persister même si l’ambassadeur américain en Allemagne, a déclaré que Donald Trump pourrait suspendre sa menace d’appliquer un tarif de 25 % sur les importations.
Notre prudence avant la publication des résultats du 1er semestre ce mois de juillet tient moins aux niveaux des résultats, qui devraient être plutôt bons, qu’aux commentaires des dirigeants des entreprises concernant les effets de la hausse des tarifs douaniers et de leurs impacts sur le rythme des investissements. En juin, Daimler a abaissé ses perspectives de résultats attendus pour 2018 pour refléter l’impact des tensions commerciales. ABB a également commenté ces tensions pendant qu’Assa Abloy accélère ses amortissements en Chine en raison d’un ralentissement d’activité. La guerre commerciale est prise en compte par les investisseurs. Ses développements influenceront leurs positionnements.
L’inflation française accélère elle aussi et devrait bénéficier de la hausse des prix règlementés (+7,45 % sur le gaz au 1er juillet, plus forte hausse depuis six ans). De plus, dans le cadre du projet du Gouvernement de baisser les dépenses d’aides aux entreprises de 5 milliards d’euros, le bénéfice de taux réduits de TVA pour certains secteurs d’activité s’arrêterait. Nous estimons l’impact potentiel de ces mesures de 0,25 % sur l’inflation française. Par ailleurs, les changements de règles de calcul du rendement de l’épargne règlementée en France ces dernières années ont engendré une moindre demande des banques françaises pour l’inflation domestique, qui a nettement sous-performé l’inflation européenne sur le marché des swaps inflation : le spread est au plus bas depuis 10 ans. Deux bonnes raisons d’être positionné en faveur des anticipations sur l’inflation française.
]]>Sans rentrer dans les détails du plan de développement visant à renforcer l’écosystème français et européen de l’intelligence artificielle, il recommande de concentrer l’effort sur quatre secteurs prioritaires : santé, transports-mobilités, défense-sécurité et environnement. Si on voit bien les apports de l’intelligence artificielle dans les trois premiers domaines, dont certains tenaient de la science-fiction il n’y a pas si longtemps, cet accent porté sur l’environnement est extrêmement intéressant car il commence par un inventaire des impacts environnementaux négatifs provoqués par la révolution des usages et services numériques et se poursuit par les retombées bénéfiques que l’on peut en attendre. Toute l’ambiguïté de cette nouvelle ère est condensée dans ce rapport.
C’est ainsi que l’association américaine des industriels du semi-conducteur prévoyait déjà en 2016 que les besoins en espace de stockage au niveau mondial en 2040, fondamentalement corrélés au développement du numérique et de l’intelligence artificielle, excéderaient la production disponible globale de silicium. La production d’équipements numériques est également fortement consommatrice de métaux rares, critiques, faiblement recyclables et dont les réserves accessibles sont limitées (15 ans pour l’Indium, dont la consommation a été multipliée par 7 en 10 ans). D’autant plus que certains de ces métaux sont également utilisés pour la production d’équipements nécessaires pour les énergies renouvelables (éolien, solaire). Au-delà du pic énergétique et pétrolier, il est ainsi à craindre un pic de l’utilisation des métaux, alimentant le pic énergétique et pétrolier, puisque toujours moins concentrés, ils nécessiteront plus d’énergie pour leur extraction. D’autre part, ces métaux sont source de pollution des sols lors de leur extraction et en fin de vie des équipements lorsque la filière de traitement n’est pas adaptée.
Par ailleurs, d’ici 2040, l’énergie requise pour les besoins en calcul devrait dépasser la production énergétique mondiale. Les progrès de la blockchain pourraient également faire exploser les besoins énergétiques.
Si le développement de l’intelligence artificielle va ainsi poser des défis gigantesques de gestion des ressources naturelles, il ouvre aussi des perspectives radicalement nouvelles pour la compréhension et la préservation de l’environnement. Que ce soit en termes d’identification et préservation de la biodiversité, de réparation des dommages environnementaux, de modélisation de l’impact des actions en faveur de l’environnement, d’optimisation de l’utilisation des ressources, de mise en valeur des énergies renouvelables ou bien comme outil facilitant les services partagés, l’intelligence artificielle peut contribuer à diminuer toutes les consommations et à amplifier toutes les actions en faveur du respect et de la restauration des écosystèmes régionaux et globaux. De la reforestation par les drones, en passant par la cartographie des espèces vivantes via les nouvelles possibilités fournies par la reconnaissance d’image, l’intelligence artificielle fournit des outils toujours plus nombreux et puissants pour réellement entrer dans la transition écologique.
Pour terminer, voici un message de bon sens du Président de la Banque Mondiale d’origine coréenne Jim Yong Kim délivré ce printemps. Il constate que le monde est de plus en plus riche de capital productif mais que le capital naturel et le capital humain sont devenus déterminants : "S’ils renforcent et valorisent leur capital humain et leur capital naturel, tous les pays pourront s’enrichir et progresser, il ne peut y avoir de développement soutenu et solide si l’on ne considère pas le capital humain comme la composante principale de la richesse des nations".
Ce numéro de Stratégies et Durabilité offre, comme il est d’usage, un condensé de l’actualité sur l’investissement responsable qui a retenu notre attention et décrit les développements du Groupe La Française dans ce domaine. Beaucoup de nouvelles initiatives ont été prises au cours du premier semestre de cette année par le Groupe comme vous vous en rendrez compte à la lecture.
L’actif est situé dans le centre commercial Avignon Cap Sud à environ 3 km du centre-ville d’Avignon. L’hypermarché développe une surface totale de 11 419 m² dont 5 797 m² de surface de vente. Le groupe Casino a signé un bail d’une durée ferme de 9 ans.
Géant Casino est une enseigne du groupe Casino. Le groupe est un des leaders du commerce alimentaire avec plus de 12 200 magasins dans le monde, implantés en France, en Amérique Latine et dans l’Océan Indien. Il fait partie des 4 principales enseignes de la grande distribution en France.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de l’organisme de placement collectif immobilier Multimarket. La Française REM était assistée de BNP Paribas Real Estate pour la transaction et de l’étude Montré Cartier L'Herminier Bouton-HuguesLe vendeur, quant à lui, a été conseillé par l’étude LBMB.
L’enseigne Grand Frais créée en 1992, compte désormais près de 200 magasins partout en France. Leader incontestable sur le marché des produits frais et de l’épicerie d’ici et d’ailleurs, l’enseigne possède un concept architectural fort et élégant qui s’inspire des halles du XIXème siècle. Véritable marché à taille humaine, Grand Frais propose sur ses étals une offre incomparable, expression des savoir-faire de ses 5 univers alimentaires que sont les fruits & légumes, la fromagerie, la boucherie, l’épicerie d’ici et d’ailleurs ainsi que la poissonnerie.
Propriété d’Epargne Foncière, société civile de placement immobilier (SCPI) gérée par La Française Real Estate Managers (REM), ce bâtiment dispose d’une très bonne visibilité et d’un parking de plus de 220 places permettant d’accueillir un nombre important de consommateurs. Le département Retail de La Française REM, première société de gestion de SCPI en termes de capitalisation (IEIF au 31/12/2017), gère un patrimoine composé de 460 actifs, soit plus de 800 000 m², répartis sur toute la France et accompagne les enseignes locataires dans leurs plans de développement.
Cette prise à bail fait suite à de nombreux échanges avec notamment, en 2015 et 2016, l’acquisition par La Française REM pour le compte de plusieurs SCPI, d’un portefeuille composé de 8 supermarchés Grand Frais. Fort de ce partenariat, les équipes Asset Management Retail de La Française REM en étroite collaboration avec les équipes du développement de l’enseigne Grand Frais ainsi que le département activité de Colliers International de Nancy ont combiné leurs efforts pour permettre l’installation de ce magasin qui doit ouvrir ses portes au public le 22 août 2018.
Zoom ce mois-ci sur Le CRISCO, un immeuble rénové de grand standing à Sèvres :
Le CRISCO est un immeuble convivial et connecté. Situé entre les quartiers business de La Défense, d'Issy-les-Moulineaux, et de Boulogne-Billancourt, il est à proximité de nombreux transports en commun.
> Télécharger le dernier numéro de La Française a des Immeubles Durables
L’accord trouvé est finalement assez proche de ce que prônait l’Arabie saoudite, avec une hausse d’un million de barils par jour. Cette augmentation n’est d’ailleurs que théorique puisque certains pays ne pourront pas utiliser leurs quotas, limitant la hausse réelle de production à environ 700 000 barils.
Ce chiffre est aussi à relativiser étant donné les chocs d’offre successifs que le marché du pétrole connait depuis plusieurs mois. Le Venezuela, la Lybie et bientôt l’Iran souffrent de problématiques spécifiques limitant leur offre de pétrole. On estime que ces trois pays ont contribué ou contribueront à diminuer la production de pétrole d’environ 1,3M de barils en 2018. A cela il faut toutefois ajouter la forte augmentation de la production de pétrole de schiste américain mais qui est compensée par la hausse de la consommation mondiale.
Au final, le marché du pétrole souffre toujours aujourd’hui d’un déficit d’offre et si l’accord trouvé le 22 juin réduit ce dernier, il ne le comble pas totalement. Hormis choc de croissance très négatif, ce qui réduirait la demande de pétrole, il nous semble donc difficile d’imaginer le prix du baril de pétrole refluer significativement depuis ses niveaux actuels. Nous ne croyons pas non plus que la demande faite par M. Trump à l’Arabie saoudite pour qu’elle augmente sa production soit couronnée de succès : celle-ci a tout intérêt à maintenir un prix du baril élevé en prévision de l’IPO d’Aramco prévue en 2019.
Ce prix du baril élevé est une bonne chose pour l’une de nos principales thématiques, les points morts d’inflation, avec des effets de base qui vont rester positifs dans les mois qui viennent. Ce n’est en revanche, à terme, pas une bonne nouvelle pour la croissance des pays importateurs comme ceux de l’Europe ou le Japon.
Hormis notre forte conviction sur l’inflation, nos paris sont aujourd’hui assez limités au regard des incertitudes actuelles touchant le commerce mondial. La période estivale pourrait en effet s’avérer assez volatile…
- Modification du sous délégataire
LA FRANCAISE FORUM SECURITIES (SG) PTE LIMITED, société de droit singapourien, ayant son siège social sis 8 Wilkie Road #03-01 Wilkie Edge 228095 SINGAPORE
- Modification Valeur Liquidative :
La Valeur Liquidative est bimensuelle. Elle est établie le 15 de chaque mois, à l’exception des samedis, dimanches et jours fériés légaux ainsi que les jours de fermeture de bourse en France. Dans ces cas la Valeur Liquidative est établie le jour ouvré strictement précédent, et le dernier jour ouvré de chaque mois. Par exception, la Valeur Liquidative, à la fin du mois de décembre sera établie le dernier jour calendaire dudit mois, soit le 31 décembre de chaque année, que ce jour soit un jour ouvré ou un samedi ou un dimanche ou un jour férié légal en France (la « Date d’Etablissement de la Valeur Liquidative »).,.
Chacun sait que le XXe siècle fut traversé de guerres et de massacres à une échelle jusqu’alors inconnue dans l’histoire de l’Humain. Or ces guerres se trouvent liées à la civilisation elle-même et effondrent l’idée que la culture apporte la paix.
Le grand espoir était là : du siècle des Lumières à celui des sciences, des arts et des techniques, le monde accéderait à un progrès humain, moral, social et politique. Plus les hommes devenaient savants, plus ils seraient civilisés ; plus cultivés, ils deviendraient pacifiés. Les sciences conquièrent sans cesse de nouveaux domaines, les techniques élaborent en permanence de nouveaux pouvoirs… mais les totalitarismes et les massacres de masse ont ruiné le politique et l’éthique.
L’optimisme étant consubstantiel à l’Homme, on espérait que le XXIe siècle, dans un monde raisonné par les contraintes du réchauffement climatique, serait celui de la connaissance, facilitée par l’effondrement de l’Union Soviétique.
Premier constat : la démographie mondiale et le réchauffement climatique
En premier lieu, et nous en avons une prise de conscience accélérée, dans un monde globalisé et victime du réchauffement climatique, les évolutions démographiques ne sont plus à l’échelle d’une nation, ni même d’un continent, mais bien de la planète. Impossible de se contenter de l’idée rassurante d’une planète stabilisée en nombre d’habitants d’ici 30 ans, car la répartition de la population se modifie profondément, les populations occidentales et chinoises vieillissent et diminuent alors que la population Africaine est en forte croissance… dans une région du monde où le dérèglement climatique va entraîner d’importants déplacements de population.
Certes la technologie nous laisse penser que demain le travail « humain » sera une denrée encore plus rare, mais il pourrait ne plus être une valeur en soi : l’Homme « occidental » rentre dans l’ère des aménités de la vie. Dans les faits, si les robots feront une part de plus en plus importante des travaux pénibles, et l’intelligence artificielle une grande partie des travaux répétitifs ou qui nécessitent aujourd’hui pléthore de personnes, le partage géographique de la planète sera très compliqué et l’on peut, malheureusement, raisonnablement penser qu’une part importante de la technologie devra être consacrée aux besoins de protection physique des pays occidentaux. Il faut s’attendre à des conflits issus de la problématique du partage de la planète d’une nature identique à celles qui poussent les populations à faire la guerre pour des raisons de survie : les robots, les drones, la maîtrise des technologies de l’information (le seul système GPS au monde appartient à l’armée américaine), contre des populations frappant aux portes de l’occident… perspective peu réjouissante.
La seule réponse pacifique possible consiste à former les populations africaines pour qu’elles puissent, grâce à la technologie, gérer les conséquences du réchauffement climatique et éviter l’exode massif. Comme l’a dit Emmanuel Macron, le problème de l’Afrique c’est aussi, si ce n’est avant tout, le problème de l’Europe. Cette démarche est à l’évidence politique avant d’être technologique et l’on voit bien les difficultés à faire accepter à l’Europe, et plus généralement aux pays riches, l’idée de financer massivement le développement de l’éducation en Afrique alors que nous connaissons déjà le problème de son financement chez nous.
Deuxième constat : les limites de la démocratie occidentale.
La Chine est en bien meilleure posture que l’Occident pour gérer les conséquences des évolutions technologiques, climatiques ou démographiques : lorsqu’elle décide de fermer ou de déplacer des usines avec les millions de personnes « qui vont avec », le parti communiste chinois l’impose. De fait, on sent clairement les limites de nos modèles démocratiques. Lorsque l’on veut réformer le statut des cheminots ou limiter les revendications des salariés d’Air France, le pays est à la limite du blocage… et sans polémiquer davantage sur la difficulté de réformer en occident, et singulièrement en France, on pourrait prendre une foultitude d’exemples dans les relations entre membres de l’UE à commencer par la réforme de la constitution européenne qui a été rejetée par les populations et qui s’auto-bloque dans les règles actuelles de majorité à 28 membres.
La situation politique Italienne est encore plus illustratrice des difficultés de la démocratie… et de l’Europe. L’Italie va-t-elle faire défaut sur sa dette publique ? La réponse est « très probablement » non, mais ce « très probablement » créé l’incertitude et la régulation notamment bancaire va encore plus inciter les banques à vendre les obligations italiennes (BTP) qu’elles détiennent, entropie oblige, et provoquer ainsi la crise.
La charte est structurée en quatre chapitres : concept et démarche d’investissement, déclinaison concernant chaque classe d’actifs, mise en oeuvre dans les processus d’investissement et pilotage de la démarche d’investissement.
Le Groupe La Française est convaincu que les facteurs ESG affectent de façon importante les performances financières des actifs d’investissement, aussi bien en termes de rentabilité que de risque et que cette influence ne cesse de se renforcer. Cette conviction est étayée par les travaux académiques de plus en plus nombreux qui traitent de cette question et qui viennent la confirmer. L’antagonisme opposant la performance économique et la rentabilité financière à la durabilité et à la responsabilité sociale n’est plus de mise. Les comportements responsables pour une finance durable sont en effet synonymes de flexibilité, de réactivité, d’innovation et donc de performance et de rentabilité. De fait la question n’est pas pourquoi intégrer les facteurs ESG dans les processus d’investissement, mais plutôt quelle raison invoquer pour les ignorer.
Notre Groupe est également convaincu que le changement climatique est un élément structurant de l’avenir économique et social et que la société de demain sera basée sur une économie bas-carbone. A ce titre, il est important et urgent de prendre en compte le climat dans les décisions d’investissement. Les risques et opportunités associés au changement climatique, risques et opportunités de transition ou risques physiques, sont de nature à affecter toutes les activités et les performances financières des actifs, quels que soient les secteurs et les classes d’actifs. Non seulement il n’y a pas d’antagonisme entre performance climat et performance financière, mais de plus, des études scientifiques de plus en plus nombreuses montrent l’émergence d’un facteur carbone influençant les marchés financiers.
La méthodologie traditionnelle appliquée dans l’Investissement Socialement Responsable (ISR) est l’exclusion des actifs non conformes. Cette méthode est mise en oeuvre par le Groupe La Française au même titre que sont également exclus les actifs sans perspectives financières. L’exclusion de secteurs économiques entiers n’apparait pas cohérente dans la mesure où les interconnections entre secteurs peuvent être fortes et les liens étroits entre secteurs exclus et secteurs inclus. Mais le Groupe ne se cantonne pas à cette méthodologie, il a l’ambition d’intégrer dans son processus d’investissement les facteurs ESG de façon aussi rigoureuse et systématique que les facteurs financiers traditionnels. Pour ce faire, le Groupe a recours à l’analyse stratégique en particulier par la mesure de la capacité d’adaptation et d’innovation propre à chaque entreprise. Ces capacités sont clefs pour faire face aux changements profonds qui régissent l’économie mondiale lesquels rendent particulièrement pertinents l’intégration des facteurs ESG.
En pratique, le Groupe La Française a développé une version propriétaire de l’IR, dénommée Stratégie Avancée d’Investissement (SAI), qui tire son origine d’un partenariat capitalistique noué en 2014 avec la société d’étude et de recherche Inflection Point by La Française1. Cette approche combine à tous les niveaux de la gestion des actifs et sans hiérarchie, des facteurs financiers, stratégiques et ESG.
1 Présentation en annexe
EuroRennes constitue le nouveau quartier d’affaire de Rennes construit autour de la gare multimodale. Depuis l’été 2017 la ligne LGV permet de rejoindre Paris en 1h25. Début 2020, les 2 lignes de métro de Rennes se croiseront à la Gare confortant la place du quartier dans le centre-ville.
Identity 2, second immeuble d’un ensemble de 3 bâtiments dont la coordination architecturale a été confiée à l’architecte Jean-Paul Viguier, a été conçu par le cabinet d’architecture Blanchard Marsault Pondevie.
Il développera une surface utile de 7 890m² dont 188m² de commerces et bénéficiera de 70 parkings. L’immeuble, qui vise la certification HQE, sera livré au second trimestre 2019.
Cette promesse a été signée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Multimmobilier2.
La Française REM était assistée par l’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES. Le Groupe Giboire était assisté par l’Office Notarial du Guesclin.
La commercialisation locative d’Identity 2 a été confiée en exclusivité à Giboire Entreprise et Commerce, filiale du Groupe Giboire.
- Depuis presque 50 ans, on distingue l’alternance très nette de cycles de performance relative favorables soit à la gestion active, soit à la gestion passive. Après une longue période de surperformance du style passif, nous avons vraiment le sentiment que la gestion active reprend des couleurs (cf. Alger On the Money « Tout ce qui descend doit remonter »).
- Les gérants actifs sont des adeptes de la sélection des valeurs qui ont tendance à enregistrer de meilleures performances quand les corrélations entre actions sont faibles. Même si les corrélations dans l’indice S&P 500 sont en hausse cette année, leur tendance est globalement baissière et leur niveau est nettement inférieur à la moyenne de ces dix dernières années. Dans ce contexte, les gérants actifs dotés d’importantes capacités de recherche ont davantage de ressources pour identifier les actions à même de surperformer le marché.
- Certains facteurs, tels que la performance des petites capitalisations américaines et la hausse des taux aux États-Unis, ont tendance à bénéficier à la gestion active vs. passive, et pourraient bien contribuer encore plus au succès des « stock pickers » (cf. Capital Markets « Party Without the Punch? », page 15).
>Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
]]>Car Xavier Lépine représente ce nouveau type de patron qui n’oublie certes pas qu’il a obtenu un DEA d’économie monétaire et de finances internationales à Dauphine (ses analyses toujours percutantes et souvent originales – que l’on retrouve régulièrement dans « Immoweek Le 13 heures » – sur les enjeux actuels en sont la preuve), mais qui pratique un management beaucoup plus « cool » que dans d’autres lieux (… que nous ne citerons pas !). Il aime, en tout cas, à convaincre son auditoire en insistant toujours sur les lignes de force, les innovations et même sur la nécessaire (et parfois anxiogène) disruption. « Pierre d’Or du Professionnel de l’Année 2015 », notre homme s’est peu à peu imposé dans un sérail qui ne l’attendait pas forcément là. Car la matière immobilière le passionne : il suffit de l’entendre parler geek et millenials, transformation de bureaux en logements, nouveautés juridiques ou techniques, pour comprendre que le président du directoire de La Française est un homme qui ne rate rien de l’actualité, réfléchit. Beaucoup. Et voit loin. A la tête de la bagatelle de 70 milliards d’euros d’actifs sous gestion, il préfère parler de l’avenir, de ce qui bouge. Bref, un « institutionnel » qui n’a ni l’allure ni le discours traditionnels. Et qu’il n’est (vraiment) pas inutile d’écouter et de lire…
[...]
> Retrouvez l'intégralité de l'interview parue dans Immoweek mai-juin 2018 en cliquant ici
]]>- Nouvel indicateur de référence : Enternext PEA PME 150 (ENPME)
Cet indice est plus représentatif de la composition du fonds La Française Actions France PME.
Le fonds nourricier de La Française Actions France PME, CMNE Participation PME France est également concerné par ce changement.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Actions France PME disponibles sur le site www.la-francaise.com.
Dans le cadre du déploiement de sa politique d'Investissement Socialement Responsable, La Française a initié une réflexion sur une démarche d'aménagement des sites composant les patrimoines immobiliers de ses fonds et offrant de réelles perspectives de conservation de la biodiversité et de développement de l'agriculture urbaine.
Pour le groupe, le rôle de la ville et des bâtiments dans la constitution du lien homme/nature est un enjeu stratégique. A l’instar des changements qu'engendre la révolution digitale dans de nombreux secteurs dont celui de l'immobilier, la biodiversité associée à l'immobilier est une source d'innovations techniques, sociales et sociétales.
Ainsi, l'agriculture urbaine est un moyen pour améliorer le cadre de vie des clients-locataires de La Française. C’est aussi créer de la valeur en participant à l'échelle du territoire à la conservation de la biodiversité, en renforçant le lien social et en contribuant à la réduction de l'empreinte carbone.
Cette première opération, menée avec l'entreprise MUGO, entreprise leader spécialisée dans l'expertise paysagère et horticole, porte sur l'aménagement de plus de 2 000 m² de terrasse sur le Campus AVISO (92), ensemble immobilier détenu par plusieurs fonds immobiliers collectifs (SCPI et OPCI) du groupe et pour lequel La Française Real Estate Managers assure la gestion.
Les SCPI et l'Europe |
Retrouvez la fiche produit de la SCPI Eurofoncière 2
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La stratégie d'investissement en Europe des SCPI La Française |
Retrouvez la fiche produit de la SCPI Eurofoncière 2 |
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Si les marchés actions n’aiment pas l’incertitude, la politique italienne de ces derniers jours a été une source d’agitation. Le rendement à 10 ans italien s’est ainsi tendu de 98bps à 3,44 %, la Bourse de Milan a perdu jusqu’à près de 6 % et les bancaires italiennes, qui portent une part importante de la dette publique italienne (plus de 600Mds €), ont été particulièrement malmenées. Le 30 mai le calme est revenu sur les marchés dès lors que le MoVimento 5 Stelle (M5S) et la Lega Nord (LN) ont pu former un gouvernement adoubé par le Président italien. Il a fallu cet épisode politique inédit pour que les marchés prennent à nouveau en compte la dimension politique et ajoutent un nouveau pic de risque autour du sujet de la cohésion de la zone Euro. Pour violent qu’il ait été, cet épisode est resté relativement cantonné pour les actions et n’a pas eu d’effet significatif sur l’Euro, alors qu’en parallèle, le Premier Ministre espagnol perdait la confiance de son parlement. Les marchés européens ont finalement rebondi, l’Euro s’est repris face au Dollar à 1,16 et les rendements obligataires se sont détendus.
Cette capacité d’absorption de l’événement par les marchés dans l’ombre bienveillante de la BCE ne signifie pas que le risque ait disparu. Le coeur du sujet concernant l’Italie est celui de la faiblesse de sa croissance couplée à une dette publique importante (132 % du PIB). L’Italie n’est pas la Grèce de 2012, mais l’association dans un même gouvernement de deux partis extrêmes et de convictions opposées ne sont de nature à apporter ni stabilité, ni espoir de changements face à des faiblesses identifiées parmi lesquelles la capacité du pays à engager des réformes. La mise en oeuvre du "programme commun" italien proposé pèserait 6 à 7 % du PIB et si l’excédent budgétaire primaire (1,7 % du PIB) donne une marge de manoeuvre, les possibilités d’une relance par une baisse de la fiscalité sont limitées. Les rigidités de l’économie italienne pèsent sur sa productivité, son système bancaire est convalescent et peu de sociétés familiales ont été capables d’atteindre une taille critique motivant les investisseurs.
Les actions italiennes représentent environ 7 % de l’Eurostoxx300. Elles sont marquées par le poids des banques et par la présence de sociétés tournées vers les marchés internationaux. Ces deux compartiments ont été corrélés lors de la phase de croissance retrouvée de la zone Euro dans la hausse du début d’année. A ce stade, et même si l’on peut envisager des rebonds techniques nous restons prudents à l’égard des banques italiennes qui souffriront de tout nouvel épisode de crise politique. Nous gardons une vue constructive s’agissant des sociétés ayant une exposition internationale. Elles bénéficient de la baisse de leur valorisation et de la parité Euro-Dollar. Les sociétés italiennes de taille moyenne devraient être soutenues par le PIR (plan individuel d’épargne).
Pour la zone Euro, la prime de risque politique devrait perdurer. Bien que la croissance des résultats des entreprises continue de nous inciter à acheter sur faiblesse dans une perspective de fin d’année, la mauvaise tenue des dernières statistiques concernant la zone Euro associée au risque politique nous rend plus circonspects pour les semaines à venir à l’égard de ce marché.
Cette construction HQE, développée par Richard Meier et Atelier 2/3/4, a été livrée en 2009. Elle offre environ 32 600 m² de surface utile sur huit étages et se compose de deux bâtiments reliés par un atrium. Un grand parking de 430 places occupe également les deux niveaux de sous-sol. Les surfaces à usage de bureaux sont intégralement louées à un grand groupe de télécommunications dans le cadre d’un bail de long terme, tandis que les deux locaux commerciaux (d’une superficie totale de 590 m²) accueillent une offre de restauration. En amont de la cession, AEW a achevé la rénovation de l’actif et conclu un nouveau bail de 9 ans avec le locataire.
Cette opération illustre parfaitement l’efficacité de la plateforme immobilière de La Française à l’international.
La Française Real Estate Partners, la plateforme dédiée aux investisseurs institutionnels et à l’immobilier commercial direct français, s’est encore une fois démarquée en sourçant cet actif de qualité, tandis que l’équipe de développement commercial de La Française Real Estate Partners International basée à Séoul a fédéré plusieurs investisseurs coréens autour de cette transaction.
Patrice Genre, président de La Française Real Estate Partners, a déclaré : « Nous sommes ravis d’avoir pu assister une nouvelle fois nos clients et amis coréens. Pour eux, il est crucial de choisir le gestionnaire adéquat pour garantir le bon déroulement d’une transaction transfrontalière aussi complexe. »
Shawna Yang, Directrice des relations investisseurs Immobiliers pour l’Asie, a ajouté : « La Française renforce sa présence sur le marché asiatique. Les investisseurs coréens apprécient le fait que La Française soit capable d’identifier des actifs de qualité grâce à ses équipes d’investissement chevronnées sur le terrain. Notre track record solide (sept ans, 1,5 milliard d’euros investis dans quatre pays européens) prouve que nous sommes en mesure d’identifier des actifs répondant pleinement à leurs attentes. »
La Française a été conseillée par le département Capital Markets de Cushman & Wakefield, par le cabinet Ashurst pour les questions juridiques et par l’étude Flusin, Miralles et Esteve concernant les aspects notariaux ; PwC a fourni une assistance sur les enjeux fiscaux, Theop sur la due diligence technique et ERM sur la due diligence environnementale.
Le financement de la transaction a été arrangé par la Landesbank Hessen-Thüringen (Helaba), qui est intervenue en tant que prêteur et Facility et Security agent ; la banque a été conseillée par l’étude Allez & Associés et le cabinet Archers.
AEW a été assistée par le cabinet Clifford Chance, l’étude Thiberge, le cabinet Fidal et Mazars.
Télécharger le communiqué de presse
Avec plus de 35 milliards d’euros investis, 200km de lignes de métro et 68 nouvelles gares, la construction du Grand Paris est LE projet européen de ce siècle. En tant que société de gestion, La Française tient positivement compte de la métropolisation en intégrant dans sa politique d’investissement cette nouvelle dynamique économique et les opportunités nouvelles apportées par le développement du réseau de transport via de nouveaux véhicules d’investissement. Par sa présence accrue en amont des projets de construction, La Française pourra également capter de la valeur.
Plus de 130 personnes était présentes sur le toit de La Grande Arche jeudi 7 juin pour suivre en direct le débat autour de trois thématiques clés :
L’intégralité des débats est aujourd’hui disponible grâce au replay de l’évènement, comme si vous y étiez ! L’accessibilité par chapitre vous permet une lecture facilitée du Mix Grand Paris.
Les intervenants
Pierre Veltz, ingénieur de première formation, chercheur en sciences humaines, Pierre Veltz a été, en 2009, délégué ministériel pour la mise en œuvre du cluster de Saclay, l’un des projets du Grand Paris. Il reçoit en 2017, le grand prix de l’urbanismes décerné par le ministère du logement français.
François Bertière, ancien élève de l’Ecole Polytechnique, intègre le groupe Bouygues en 1985 en tant que Directeur général adjoint de Française de Constructions et devient en 2001, le Président directeur général de Bouygues Immobilier.
Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française. Homme de réflexion, son sens de l’observation macroéconomique et son intuition lui permettent d’anticiper le changement de paradigme des pays et les mutations sociales et économiques. Il porte depuis plus de 5 ans le projet du Grand Paris en France et à l’International. Il fonde en 2016 avec Remi Babinet le fonds de dotation du Grand Paris Express qui vise à accompagner le volet culturel du Grand Paris.
Guillaume Pasquier, débute sa carrière chez Procter&Gamble avant de devenir Attaché parlementaire du Député Christian Blanc. A partir de 2009, il dirige la mission de préfiguration du futur Etablissement Public Paris-Saclay, dont il devient le premier Directeur général délégué en 2011. Il est aujourd’hui Responsable Développement Foncières chez La Française.
]]>Pour à la mode que soit ce terme de disruption, Clay Christensen qui a théorisé la disruption et collaboré depuis 10 ans à la mise en place des concepts de compte épargne santé aux Etats-Unis (100 Mrds $ en collectés en 8 ans) a défini les concepts par rapport aux innovations d’efficience ou d’amélioration des produits.
- Les innovations d’efficience existent depuis la nuit des temps et consistent, par le biais du progrès technologique, à baisser les coûts de production et engendrer une croissance des profits par une amélioration du taux de marge ; c’est, lorsqu’il s’agit d’une innovation liée à la digitalisation, ce qui fait la fortune des cabinets de conseils en organisation.
- Les innovations d’améliorations des produits sont les deuxièmes les plus répandues : les produits sont plus sophistiqués, plus chers et à plus forte marge et d’ailleurs parfois tellement complexes qu’ils ne répondent plus forcément à la demande des clients.
Ces deux premiers types d’innovation reposent sur la résilience de l’Entreprise alors que l’innovation disruptive nécessite une radicalité essentielle qui est très difficilement compatible avec les process et la culture des entreprises établies et focalisées sur leur résilience ; ce qui évidemment n’est pas un problème pour les entrepreneurs du digital qui n’ont pas à gérer la structure historique.
- Les innovations disruptives sont liées, comme les deux précédentes formes d’innovation, à la technologie. Mais leur nature disruptive relève de deux raisons : elles modifient le business model lui-même en ré-enchantant l’expérience client et en même temps elles bénéficient d’un rendement croissant.
- Le plus souvent elles s’adressent aux produits et services à faible marge, ceux auxquelles les baleines ne s’intéressent généralement pas car ils sont insuffisamment rentables (ex : les taxis, Airbnb avec l’hébergement à domicile…), même si dans un deuxième temps la baleine s’adapte… et l’entrepreneur s’intéresse alors à une autre activité. Le business modèle est structurellement différent des deux premières innovations car à l’inverse de celles-ci, qui sont à rendement décroissant, une innovation disruptive est caractérisée par un rendement croissant ; chaque client rapporte plus car son coût d’acquisition décroît, notamment du fait de la viralité du processus de vente, ce qui est très rare dans les modèles classiques.
Ce qui caractérise les dix dernières années, c’est l’accélération des modèles disruptifs qui sont rendus possibles par la technologie. Force également de constater qu’aucune grande entreprise n’a jusqu’à présent réussi à créer une innovation disruptive car cette dernière arrive toujours par le bas, les produits ou les services low-cost. Les grandes entreprises sont dans les faits, incapables de faire et d’assumer les changements radicaux internes qu’elle implique. En conséquence elles collaborent massivement avec des start-up (incubateurs, accélérateurs, corporate fund) mais il y aura une grande majorité de déceptions, car la baleine n’apprend pas du plancton et en l’espèce le plancton ne cherche pas à apprendre de la baleine mais simplement à lui prendre ses clients et à grandir ! Voire à valoriser son initiative en espérant une opération de rachat par la baleine à un prix élevé…
Dans ce contexte d’accélération des modèles de disruption, le seul modèle que nous voyons possiblement fonctionner pour les entreprises est celui de l’intrapreunariat qui permet de rendre compatible la multitude des individus versus la centralité, les hommes versus les machines (Intelligence Artificielle), les plateformes versus les applications.
Pour un acteur bien établi, il est de toutes façons indispensable de poursuivre a minima les innovations d’efficience et d’améliorations de produits. Les bouleversements actuels liés aux innovations disruptives sont néanmoins à la portée de beaucoup d’entreprises établies si elles sont à même de mettre en place les modes d’organisation nécessaires, notamment sur la dimension entrepreneuriale/intrapreunariale indispensable au succès de ce type de démarche.
L’analyse Five Factors développée par notre Centre de Recherche à Londres (Inflection Point by La Française) s’inscrit dans cette logique et vise à analyser le potentiel d’adaptation des entreprises cotées et bien établies. Elle repose sur un processus d’intégration qui combine à tous les niveaux de la sélection des entreprises les facteurs de l’Investissement Responsable (Environnement, Sociétaux et Gouvernance), approche ISR désormais bien établie, avec des analyses financières et stratégiques.
*****
Cette approche permet d’évaluer les risques propres à chaque entreprise par la sélection des plus performantes en termes opérationnels et financiers, et montrant la meilleure résilience grâce à la gestion de leur capital humain et organisationnel. Elle permet de cerner au mieux les risques d’exécution des stratégies, en considérant la capacité de ce microcosme que constitue l’entreprise à prendre en compte les grands défis économiques, sociétaux et environnementaux.
Les capacités à innover et à s’adapter sont au centre de notre analyse stratégique. Cette capacité d’adaptation est contextualisée par un suivi des grands enjeux mondiaux et de leurs conséquences, ainsi que par l’identification d’éventuels points de rupture imposés par les évolutions techniques.
L’intégration de toutes ces dimensions se fait sans hiérarchie a priori, en considérant les éventuelles boucles de rétroactions entre ces éléments et leurs différentes temporalités. Leurs interactions influencent le futur des entreprises que nous étudions et sélectionnons, l’objectif poursuivi est d’identifier dans quelle mesure leurs effets se traduiront par la récurrence de leurs flux financiers. En résumé, identifier les entreprises qui sont aujourd’hui « leaders » et ont la capacité de le rester, et celles qui ont le potentiel de le devenir.
Par sa conception, ce processus intégré nous permet de quantifier des éléments immatériels, les hiérarchiser et suivre leur évolution dans le temps. L’analyse systématique de cet ensemble de critères permet au modèle d’apprendre et d’évoluer, enrichi par nos expériences.
L’intégration de cet ensemble de critères extra-financiers et financiers à tous les stades de la sélection des entreprises nous donne une meilleure probabilité d’identifier les points d’inflexion qu’une analyse financière traditionnelle ne pourrait révéler. Le caractère systématique de cette analyse nous permet d’enrichir le modèle et de valider ou modifier les indicateurs clés et l’ensemble de la méthodologie.
Le constat de l’accélération provoquée par la mutation digitale est une évidence quotidienne et concerne tous les secteurs économiques. Nulle place pour se cacher de cette vague digitale : distribution, automobile, industrie, services financiers, services à la personne… Ce phénomène tend à promouvoir l’intrapreneuriat qui doit permettre à des individus « inspirés » de créer de nouvelles organisations en association avec l’entreprise à laquelle ils appartiennent. Cette démarche permet d’introduire une gestion entrepreneuriale des idées et projets au sein d’une organisation en développant autonomie et responsabilité. L’intrapreneuriat doit permettre à une entreprise existante de mieux saisir les opportunités que son inertie naturelle laisserait facilement passer.
Ces combinaisons d’initiatives individuelles au sein d’organisations en place peuvent potentiellement constituer des moyens d’intégrer la disruption et d’assurer la résilience des corps constitués. Elles n’excluent évidemment pas des ruptures internes et doivent être considérées comme des indicateurs et des accélérateurs du changement.
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Nous étions positionnés sur les dettes périphériques courtes que nous avons conservées dans l’épisode de stress : nous souhaitons rester mobiles sur l’Italie au gré des phases d’inquiétude et d’apaisement à venir notamment dues aux difficultés que le gouvernement rencontrera dans la mise en oeuvre de son programme.
Le taux 10 ans allemand a perdu jusqu’à 30 bps depuis le point haut de mi-mai et a traité à 0,20 %, bénéficiant d’un mouvement de fuite vers la qualité en zone Euro. Il parait effectivement logique de valoriser aujourd’hui plus bas la référence que sont les taux allemands en raison d’un effet possible, quoique limité, sur la croissance de la zone Euro et en raison d’un possible décalage de communication de la BCE sur la sortie de Quantitative Easing. Mais dans un scénario qui exclut une situation systémique en Italie, la trajectoire économique de la zone Euro et par ricochet la politique monétaire de la BCE n’ont pas de raison d’être fortement déviées. Ironie de l’histoire, un jour après la forte chute du rendement 10 ans allemand à 0,20 %, l’inflation allemande a été publiée mercredi à 2,2 % en glissement annuel, largement supérieure au 1,8 % attendu. Le niveau des taux coeur nous semble résolument trop bas.
Même après sa correction récente, le pétrole en EUR a progressé depuis début 2018 de 13 %, impliquant des effets de base positifs sur l’ensemble de l’année (si les prix se stabilisent). L’anticipation d’inflation à 5 ans est actuellement de 1,45 % en zone Euro : l’inflation totale devrait se maintenir proche de 2 % d’ici l’été, ce qui n’est que très partiellement anticipé par les marchés. Aux Etats-Unis, des éléments spécifiques (guerre des prix dans les télécoms, baisse des prix des médicaments) ont impacté négativement l’inflation au deuxième trimestre 2017 et ont créé des effets de base positifs pour 2018. Au cours de l’été, les glissements annuels d’inflation américaine dans un contexte de guerre commerciale US versus le reste du monde et de tensions sur le marché du travail vont remonter vers 3 % et impacteront à la hausse les anticipations d’inflation, actuellement à 2,1 % sur la maturité 10 ans. Nous restons positifs sur les points morts d’inflation américaine et européenne.
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• Un nouveau partenariat basé sur le développement de projets innovants dans le domaine de la recherche quantitative et de leurs applications à la gestion d’actifs.
• Un effort de collaboration entre LFIS et les principaux établissements parisiens de gestion quantitative et instituts académiques.
QMI, lancé en 2012, fait partie de la Fondation du Risque et est soutenu par l’Institut Louis Bachelier. Les projets de recherche sont effectués par des équipes provenant d’universités de premier plan telles que Paris-Dauphine et ENSAE (Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique). Cette initiative vise à produire des recherches avec des applications pratiques en encourageant la collaboration entre les professionnels de la gestion quantitative et les chercheurs universitaires. L’initiative s’appuie sur le riche patrimoine français en matière de gestion quantitative ainsi que sur un grand nombre de talents en recherche et en gestion quantitative, et cherche ainsi à promouvoir cette puissante combinaison sur une plateforme globale.
Le partenariat entre LFIS and QMI couvrira les trois principaux axes de l’investissement quantitatif que sont l’intelligence artificielle et la génération de signaux, la construction de portefeuille et la gestion des risques, et enfin les défis de la mise en application. Un appel à projet à l’échelle mondiale sur ces thèmes sera prochainement lancé. Les projets proposés seront étudiés par un comité composé de représentants de l’université Paris-Dauphine, la Fondation du Risque, LFIS et d’autres sociétés de gestion quantitative. Le soutien de LFIS contribuera à financer les projets de recherche sélectionnés, dont les résultats seront présentés lors d’une conférence de clôture. L’initiative de LFIS sera menée par le Directeur du Pôle la Recherche Quantitative & Développement, Guilaume Garchery, et le Directeur du Pôle Factor Investing, Luc Dumontier.
Sofiene Haj-Taieb, CIO de LFIS, a déclaré : « L’approche quantitative est une partie essentielle de l’ADN de LFIS et s’observe à travers nos stratégies premia et crédit. Nous considérons cette approche comme l’une des tendances majeures de l’industrie de la gestion d’actifs. Ce partenariat avec QMI amplifie nos efforts de recherche interne avec l’accès à un réseau de gérants et d’académiciens de talent. Nous espérons que ce partenariat soutiendra et entretiendra la future génération de talents dans l’investissement quantitatif.
Mais avant tout, nous avons l’intention d’exploiter les résultats de ces recherches afin de permettre à nos clients d’aller au-delà des approches traditionnelles de la gestion d’actifs et de bénéficier d’un processus d’investissement reproductible, consistant et performant. »
Gaëlle Le Fol, professeur à Dauphine et Directeur Scientifique de QMI, a déclaré : « Nous sommes ravis d’accueillir LFIS en tant que partenaire de cette initiative. Leur forte compétence dans le domaine de la recherche quantitative est une source précieuse d’idées et d’inspiration pour notre recherche. A travers ce partenariat, nous cherchons à bâtir et renforcer la collaboration entre les chercheurs et les professionnels de la gestion quantitative et à faire vivre la recherche de QMI. »
(1) Source : LFIS. Données non auditées au 31 mars 2018, excluant certains actifs sous gestion collectés durant l’année et arrivant à maturité au cours de l’année 2018.
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]]>Pour toutes ces raisons, nous excluons un scénario de sortie de la zone Euro de l’Italie. Une fois cette conviction acquise, il ne faut toutefois pas oublier que le programme économique du gouvernement devrait mener, de façon quasi certaine, à des discussions difficiles avec les autorités européennes au cours des prochains mois. Pas de risque systémique donc, mais pas non plus d’appétit pour les titres longs italiens qui devraient rester volatils.
Cette crise souveraine européenne se produit par ailleurs dans un environnement de croissance qui, bien que moins dynamique qu’en fin d’année 2017, reste bien orienté dans la plupart des pays développés. La force de la croissance américaine est d’ailleurs ici à noter. Dans ce contexte porteur, il va être intéressant d’observer le comportement des banques centrales alors que l’inflation se reprend, impactée par les effets de base positifs liés aux matières premières ainsi que par les tensions sur le marché du travail dans certains pays. Les trois banques centrales principales se réunissent en juin pour leurs comités respectifs, et elles auront par ailleurs l’occasion de se parler à nouveau à Sintra le 18 juin.
Il nous faut aussi, encore une fois, mentionner la guerre commerciale larvée et toujours en cours entre les Etats-Unis et le reste du monde. Au-delà de leur mise en scène systématique, les déclarations de M. Trump ont de moins en moins d’impact sur les marchés financiers, mais cela ne signifie pas que cet état de fait perdurera à moyen terme. Cela explique notre positionnement assez prudent sur les marchés actions qui ont par ailleurs fait montre d’une résistance étonnante durant le mois de mai.
Enfin, nous pensons qu’il faut profiter de l’épisode volatil du mois de mai pour réaffirmer certaines de nos convictions principales. Nous augmentons ainsi nos positions sur les points morts d’inflation et sur les positions vendeuses de taux "core". Nos positions sur les subordonnées bancaires ont elles aussi été légèrement augmentées, principalement sur des titres courts.
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- Stratégie d’investissement : La possibilité d’investir jusqu’à 10% de l’actif net dans des obligations contingentes convertibles (« Cocos ») et la possibilité d’investir dans Credit-Linked Notes (CLN).
Les « CoCos » sont des titres hybrides, dont l’objectif est principalement de permettre une recapitalisation de la banque ou société financière émettrice, en cas de crise financière. Ces titres disposent en effet de mécanismes d’absorption des pertes, décrits dans leurs prospectus d’émission, qui s’actionnent en général si le ratio de capital de l’émetteur passe en deçà d’un certain seuil de déclenchement ou « trigger ».
Ces changements interviennent suite aux modifications intervenues sur le fonds maitre La Française LUX – Absolute Emerging Debt.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Absolute Emerging Debt disponibles sur le site www.la-francaise.com.
La Française Absolute Emerging Debt : Part I
La Française Absolute Emerging Debt : Part R
]]>Penser l'immobilier responsable. Six ans après sa création, l'OID poursuit sa mission avec une nouvelle équipe. Le Conseil d'administration réunit désormais aux côtés de La Française REM, Amundi Immobilier, AG2R La Mondiale, ARSEG, Perial Asset Management, Poste Immo, Nexity, Société de la Tour Eiffel, Bouygues Bâtiment Île-de-France, Didier Kechemair Consultant.
Le bureau nouvellement élu par les membres du conseil d'administration s'est réuni pour la première fois ce lundi 4 juin et a désigné le président en la personne de Gérard Degli-Esposti, suppléé par Eric Allard, La Française Real Estate Managers ; le vice-président : Cédric Nicard, suppléé par Benjamin Mercuriali, Perial Asset Management ; la trésorière : Odile Batsère, suppléée par Eric Berlizon, Société de la Tour Eiffel ; la secrétaire : Sandrine Lafon-Ceyral, suppléée par Caroline Tesio, Amundi Immobilier
Gérard DEGLI ESPOSTI entame ainsi un deuxième mandat et voit une nouvelle fois reconnu le travail réalisé au nom de La Française en matière de développement durable et d'Investissement Socialement Responsable.
Pour la nouvelle équipe, l'actualité de l'OID reste chargée en cette fin de premier semestre. De la publication d'un outil open source de due diligence responsable aux réflexions prospectives sur le l'impact des millennials sur l'immobilier, de la la préparation de l'édition 2018 du Baromètre de la performance énergétique et environnementale des bâtiments aux grandes thématiques portées sur l'économie circulaire, sur l'atténuation et l'adaptation au changement climatique, sur la finance responsable, ainsi que sur le confort et le bien-être, autant de sujets s'inscrivent pleinement dans les objectifs de l'OID. Offrir un espace d'échange indépendant, susciter le débat et proposer des outils d'analyse open source.
• Selon les estimations, l’amélioration de l’efficience énergétique et l’adoption de sources d'énergie renouvelables et issues du gaz naturel, moins polluantes, devraient réduire de 75 % la croissance annuelle des émissions de CO2 au cours des 20 prochaines années comparées aux 2 dernières décennies.
• Il est difficile de réduire les émissions de CO2 dans la mesure où la croissance économique mondiale est soutenue ; toutefois, l’intensité énergétique, ou volume d'énergie utilisé par unité d’activité économique, est en train de diminuer sensiblement.1
• Tous ces changements sont dictés par l’innovation. Les nouvelles technologies et les gains d’efficacité qu’elles engendrent aident à réduire les coûts des énergies renouvelables. En effet, d’ici quelques années, le coût de l’énergie éolienne et solaire par kilowatt devrait être plus ou moins égal à celui des combustibles fossiles comme le charbon ou le gaz.2
• Les stratégies de gestion ESG investissent la plupart du temps dans des entreprises qui permettent de générer ces gains d’efficacité d’une manière plus respectueuse de l’environnement. D’après les recherches, la présence d'investissements ESG serait aussi bénéfique à votre portefeuille qu’à Dame Nature (cf. Alger On the Money, « A New Way to Lower Risk? »).
1 Agence américaine d'information sur l’énergie, « International Energy Outlook 2017. »
2 Nextera Energy, Présentation investisseurs février/mars 2018.
>Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
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Créée en 1972 autour de quelques entreprises de l’industrie chimique, la zone industrielle Mitry-Compans s'est ensuite développée dans différents secteurs d'activité : la métallurgie, l'agro-alimentaire, le bâtiment, le transport, la logistique et les technologies. Elle accueille aujourd’hui plus de 250 entreprises.
Le parc « Stone Hedge » est développé par Voltaire Développements. Il sera réalisé en 3 tranches et développera une surface totale de 8 960m². Les deux premières tranches quant à elles développeront une surface totale de 5 988 m2. La livraison est prévue au premier trimestre 2019 pour la première tranche et troisième trimestre 2018 pour la deuxième qui est d’ores et déjà pré-louée. La recherche de locataires a été réalisée par EOL.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement LF Opportunité Immo.
La Française REM était assistée de Sorovim (Pôle Investissement) et de l’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES. Voltaire Développements était assisté de l’étude BELAIRE, DECOENE & JACQUELIN.
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Avec plus de 3 milliards d’euros d’encours (au 30/03/2018), plus de trente SCPI pouvant être souscrites de manière 100% digitale, un panel de 1 500 fonds référencés, une grande variété de solutions en assurance-vie, un large choix d’actifs non-cotés… CD Partenaires, plateforme en architecture ouverte, offre aux conseillers financiers un éventail complet de solutions d’investissement.
La plateforme a, également, complété son offre de services avec l’intégration d’une cellule d’ingénierie patrimoniale qui aura pour objectif notamment d’assurer une veille réglementaire constante et de proposer son expertise aux conseillers qui le souhaitent. Après le développement de l’outil « So SCPI », et convaincu de l’apport d’outils digitaux, CD Partenaires, intègre aujourd’hui l’arbitrage en ligne sur le contrat d’assurance-vie phare de la plateforme, Diade Evolution ; demain ce service sera élargi à l’ensemble des contrats proposés par la plateforme. Toujours dans l’optique d’améliorer son offre de services, CD Partenaires travaille à l’implémentation des diligences en ligne (B to B to C), afin de proposer aux conseillers un processus normé et générateur de gain de temps substantiel pour le conseiller.
Par ailleurs, pour répondre aux fortes ambitions de la plateforme, CD Partenaires renforce sa gouvernance avec la nomination de Christophe Descohand en tant que Directeur Général et l’arrivée de Jacques Bellamy-Brown dans quelques mois au poste de Secrétaire Général. L’équipe ainsi constituée permettra à CD Partenaires d’accélérer son développement et d’enrichir sa gamme avec des services à haute valeur ajoutée et des solutions d’investissement adaptées tant à l’environnement conjoncturel que structurel.
Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française, explique : « Nous souhaitons fortement accélérer notre croissance sur le segment retail et dans ce cadre la plateforme CD Partenaires constitue l’un de nos axes de développement prioritaires. Nous sommes en effet convaincus de la force de l’intermédiation et souhaitons continuer à offrir à nos partenaires des solutions d’investissement compétitives et complémentaires. Nous sommes ravis que Christophe ait accepté ce défi. »
Christophe Descohand, Directeur Général de CD Partenaires, conclut : « Nous opérons dans un environnement en pleine mutation, aussi bien règlementaire que technologique. Nous serons omniprésents pour veiller au respect des engagements que nous avons pris vis-à-vis de nos partenaires. »
La SCPI en 2018 : le marché , le contexte et l'actualité des SCPI La Française - Partie 1 |
Ainsi au 29 mai, les marges de crédit des indices Markit « iBoxx EUR Financials Italy » et « Germany » se sont tendus respectivement de 102 bps et de 20bps depuis le début du mois. La marge moyenne de l’indice « Iboxx Contingent Convertible Developed Market » (indice de référence correspondant aux dettes CoCos Additional Tier 1) est quant à elle passée de 335bps à 472bps pour une performance de -4,9% pour l’indice sur la période.
La contagion entre le risque pays et le secteur financier se joue à plusieurs niveaux.
Tout d’abord, les agences de notations évaluent la qualité de crédit d’une institution financière en se basant, en partie, sur le risque pays. Moody’s vient justement de placer la notation de l’Italie sous surveillance négative, ce qui pourrait avoir un impact sur la notation de certaines institutions financières en cas de dégradation de la note de l’Etat.
Par ailleurs, les banques et les compagnies d’assurances détiennent généralement de la dette publique locale, ce qui les lie financièrement à la performance de cette dernière. Ainsi, UniCredit détient environ 51mds€ de titres d’Etat italien pour une base de fonds propres CET1 (Common Equity Tier 1) de 47mds€. Ce qui donne au groupe UniCredit un coussin de fonds propres de 13,9mds€ par rapport aux exigences de son régulateur. Autrement dit, la banque pourrait théoriquement subir une perte nette de plus de 13mds€ (soit une perte de 27% sur les 51mds€ détenus) sans que cela ne vienne remettre en cause sa conformité avec les exigences réglementaires de la BCE et remettre en cause les paiements de coupons sur les dettes Additional Tier 1 CoCos.
De manière analogue, Intesa Sanpaolo détenait à fin mars 29,9mds€ de titres souverains italiens (hors titres détenus dans les activités de sa filiale d’assurance), et un coussin de fonds propres de 14,6mds€ au-delà des exigences règlementaires. Les émetteurs italiens sur lesquels nous sommes positionnés sont donc suffisamment capitalisés pour absorber un choc bien plus important sur la dette d’Etat italienne que celui que l’on vient de connaitre.
Aujourd’hui, les coussins de fonds propres constitués par les principales banques et les compagnies d’assurances italiennes sont significatifs, notamment au regard des exigences réglementaires et des précédentes crises. En effet, en excluant le scénario d’une restructuration de la dette publique Italienne, ces coussins sont largement suffisants pour absorber une baisse importante des valorisations des titres souverains du pays. De plus, les dernières publications des résultats sont rassurantes et s’affichent depuis plusieurs trimestres sur une tendance opérationnelle positive pour les banques (cessions d’actifs non–performants et une rentabilité en amélioration), tandis que Generali poursuit l’amélioration de sa marge de solvabilité (211% à fin mars 2018). Enfin, une part significative de ces encours de dettes publiques est comptabilisée en « Held to maturity » dans les portefeuilles des banques et n’affecte donc pas leur compte de résultat ni leurs fonds propres. La volatilité des titres souverains italiens peut donc peser sur la rentabilité des banques, dans la mesure où cela a un impact sur leurs coûts de financement, et donc sur leur marge nette d’intérêts, mais cela n’est pas aujourd’hui de nature à produire un effet bilanciel significatif.
Achevé de rédiger le 29 mai 2018
Avertissement :
Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.
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Rappel du Contexte politique
M. Conte, nommé chef du gouvernement il y a quelques jours, renonce ce week-end à être Président du Conseil : le point d’achoppement avec le président Sergio Mattarella est le futur Ministre des Finances, le très Eurosceptique M. Paolo Savona. Le Président de la République a mis son veto et a maintenant les mains libres pour nommer un technocrate, sans avoir l’accord des partis arrivés en tête des élections législatives : il propose ce matin comme candidat au poste de nouveau président du Conseil, l’ancien chef des affaires fiscales au FMI, M. Carlo Cottarelli. Toutefois, M5S et la Ligue ont d’ores et déjà annoncé qu’ils ne voteraient pas la confiance dans les deux Chambres : de nouvelles élections devraient donc être annoncées, mais ne pourront se tenir avant septembre.
Plusieurs interrogations se posent, nous semble-t-il, si un tel scénario politique se matérialisait :
Quelle réaction des électeurs, dans la mesure où le Président de la République fait fi du résultat des législatives du 4 mars dernier ? Le score de la coalition de droite confirmera-t-il dans les urnes, la forte remontée de celle-ci, prégnante dans les sondages aujourd’hui ?
Le point est crucial mais il est bien difficile d’y répondre. A court terme, Messieurs Di Maio et Salvini campent sur leurs positions et martèlent leur volonté de gouverner. Toute nouvelle déclaration est de nature à alimenter fortement la volatilité à très court terme, d’autant que les volumes traités sur le future BTP 10 ans viennent très largement de la communauté des Hedge Funds, ce qui appelle à la prudence dans les prochains jours.
Un gouvernement technique sera nommé pour gérer les affaires courantes avant les prochaines élections qui devraient se tenir après l’été : il ne se passera donc rien du point de vue des réformes mais cela évite la mise en place de mesures budgétaires peu orthodoxes. Le Président de la République fait aujourd’hui barrage à l’application d’une politique ouvertement sceptique envers la zone Euro et M. Berlusconi, attaché à l’ancrage européen de son pays, s’est rangé dimanche derrière M. Mattarella, ce qui augure de futures difficultés pour la coalition de droite et probablement d’une campagne électorale plus centrée sur le projet européen pour l’Italie. L’Italie devrait donc rester dans un flou politique jusqu’à l’automne, ce qui n’implique pas forcement de très grand désordre sur les marchés financiers.
La dette italienne sous surveillance par Moody’s
Dans ce contexte, l’agence de notation Moody’s a placé la note Baa2 de l’Italie sous surveillance et s’inquiète notamment du potentiel retour en arrière sur la réforme des retraites et des projections budgétaires du nouveau gouvernement.
Quid de la BCE ?
Ses marges de manœuvre sont étroites sur la dette italienne (respect de la clef de répartition du PIB dans son programme d’achat de dettes publiques). Les événements en Italie rendent sa tâche d’autant plus difficile que la zone Euro connaît une période de croissance plus modérée, l’inflation headline devrait accélérer sur des niveaux proches de 1.8% cet été et la balance des risques se dégrade. Elle pourrait revoir légèrement à la baisse ses prévisions de croissance, qu’elle communiquera lors de la réunion du 14 juin : pour mémoire, elle l’avait revue à la hausse de 1/10ème à 2.4% pour 2018 le 8 mars dernier.
NOS CONVICTIONS
Le mois de mai a connu un retour violent de l’aversion au risque. Alors qu’ils n’avaient que peu émus les marchés, les résultats des élections italiennes ont finalement généré un repricing de nombreux actifs, principalement dans la sphère obligataire. Il nous semble opportun aujourd’hui d’offrir un regard factuel sur ces mouvements de marchés et d’en analyser la justification, l’ampleur et la cohérence afin d’identifier, s’il y a lieu, certaines opportunités une fois le sujet italien refermé :
- Cette situation a logiquement généré une hausse de la prime de risque italienne depuis début mai, mais les niveaux atteints et l’aplatissement de la courbe traduisent désormais la crainte d’un risque systémique. Le rendement du BTP 2 ans est supérieur à 2.2% avec un spread de 270 bps contre Allemagne, proche du spread de 263 bps sur le 10 ans. Il est toujours particulièrement délicat de s’exprimer dans une configuration comme celle-ci mais il nous semble que la faible liquidité de ces derniers jours a joué un rôle important dans ce mouvement, avec des écartements notables des fourchettes de cotation. Plus fondamentalement, l’enjeu de moyen terme ne nous semble pas être la sortie de l’Italie de la zone Euro mais plutôt une gouvernance européenne largement compliquée par un gouvernement italien possiblement Eurosceptique. En effet, si l’on en croit les sondages, la volonté populaire italienne n’a jamais été de sortir de la zone Euro et les partis fraichement élus n’en font d’ailleurs plus une proposition. Enfin, la Constitution n’autorise pas la tenue d’un référendum à ce sujet. Ainsi il nous semble que dans l’hypothèse de nouvelles élections italiennes à l’automne 2018, les marchés pourraient, durant l’été, se focaliser de nouveau sur des fondamentaux économiques plus globaux et que les niveaux actuels pourraient être des opportunités. Nous restons positifs sur le 2 ans qui est notre position la plus longue sur les taux italiens. Ce sujet redeviendra d’actualité dès septembre avec d’autant plus de sérénité pour les investisseurs que les sondages afficheront une sortie de cette impasse politique avec par exemple, la victoire d’une coalition de droite.
- Le taux 10 ans allemand a perdu plus de 30 bps depuis le point haut de mi-mai et a traité à moins de 0.30%, bénéficiant d’un mouvement de fuite vers la qualité en zone Euro. Le 2 ans allemand retrouve les plus bas de décembre 2017 à -0.7% et les attentes sur la hausse du taux de dépôt en 2019 de la BCE sont désormais inférieures à 15 bps contre 40 bps au plus haut cette année. Il parait effectivement logique de valoriser aujourd’hui plus bas la référence que sont les taux allemands en raison d’un effet possible, quoique limité, sur la croissance de la zone Euro et en raison d’un possible décalage de communication de la BCE sur la sortie du Quantitative Easing. Mais dans un scénario qui exclut une situation systémique en Italie, il semble que la situation n’est pas de nature à déformer de façon aussi importante la trajectoire économique de la zone Euro et par ricochet la politique monétaire de la BCE. Le niveau des taux Core nous semble résolument trop bas.
- Après le chiffre d’inflation sous-jacente européenne décevant du mois dernier, nous attendons un retour sur des niveaux proches de 1% ce mois-ci. Même après sa correction récente, le pétrole en euros a progressé depuis début 2018 de plus de 22%, impliquant des effets de base positifs sur l’ensemble de l’année (si les prix se stabilisent). L’anticipation d’inflation à 5 ans est actuellement de 1.19% alors qu’au cours de l’été, l’inflation totale devrait remonter au-dessus de 1.8%. Cette remontée n’est donc que très partiellement anticipée par les marchés. Nous renforçons les positions acheteuses de points morts d’inflation 5 ans en zone Euro via l’Allemagne. Aux Etats-Unis, la situation est un peu différente. Des éléments spécifiques (guerre des prix dans les télécoms, baisse des prix des médicaments) ont impacté négativement l’inflation au deuxième trimestre 2017 et ont créé des effets de base positifs pour 2018. Au cours de l’été, les glissements annuels d’inflation américaine vont remonter vers 3% et impacteront à la hausse les anticipations d’inflation qui ne sont aujourd’hui qu’à 2.1%. Nous restons positifs sur les points morts d’inflation américains.
Achevé de rédiger le 29 mai 2018
Avertissement :
Document promotionnel à destination des investisseurs professionnels. Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.
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- Les administrations d’États et les collectivités locales sont responsables des infrastructures publiques dans la mesure où elles détiennent plus de 90 % des actifs en infrastructures publiques non liées à la défense2. Malheureusement, leurs dépenses dans le domaine sont à leur plus bas depuis plus de cinquante ans.3
- En début d'année, le gouvernement de Donald Trump a proposé un plan d’investissement en infrastructures à hauteur de 1 500 mds USD.
- Néanmoins, les législateurs sont aujourd'hui en pleines discussions pour déterminer comment financer cette éventuelle législation et aucun plan définitif n'a encore été concrétisé.
- Les éventuels bénéficiaires d’un vaste programme de dépenses en infrastructures pourraient être les entreprises de matériaux, en particulier celles qui fabriquent des matériaux de construction tels que le granulat et le ciment, ainsi que les entreprises industrielles, notamment impliquées dans la fabrication de machines.
1 ASCE, « Rapport d’infrastructures 2017 »
2 Calculs du Center on Budget and Policy Priorities à partir des données du Bureau d'analyse économique des États-Unis sur les immobilisations, 2015
3 Sur la base des investissements bruts des administrations d’États et des collectivités locales, en pourcentage du PIB en 2016, à partir des données du Bureau d'analyse économique des États-Unis.
>Télécharger Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
]]>Anne Génot rejoint La Française après avoir occupé la fonction de Président de SCAPRIM Asset Management, où elle était responsable d’une équipe d’environ 40 professionnels et chargée de développer les activités de gestion d’actifs et de conseil en investissement, tout en supervisant les acquisitions.
Elle a démarré sa carrière à DTZ Asset Management France en tant qu’analyste financier, puis a fait un passage chez GEMCO, une filiale du Crédit Foncier. De 2005 à 2012, Anne Génot a été Vice-présidente chez RREEF (Deutsche Bank), passant plusieurs années à Londres avant de retourner à Paris. En 2012, elle a été nommée Responsable des acquisitions pour la France et la Belgique chez Allianz Real Estate, puis a rejoint SCAPRIM en 2014. Anne est titulaire d’un mastère en Management Urbain, Environnement et Services de l’ESSEC Business School, d’un diplôme d’ingénieur obtenu à l’INSA Lyon, ainsi que d’un master en Urbanisme et Aménagement de l’Institut d’Urbanisme de Lyon.
Anne Génot sera chargée de développer l’activité auprès des investisseurs institutionnels européens, sous la responsabilité directe de David Rendall, Head of Global Real Estate Business Development. Elle sera basée à Paris et collaborera étroitement avec les deux autres centres européens de La Française dédiés à l’investissement immobilier, situés à Londres et Francfort.
Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International et Directeur du développement pour La Française, a déclaré : « La Française a atteint un seuil critique dans son évolution. Pour passer la prochaine étape, nous avions besoin d’un spécialiste des produits d’investissement immobiliers capable d’amener son expérience concrète des marchés. Ainsi, grâce à ses relations privilégiées avec les acteurs du marché français et à son expérience internationale, Anne jouera un rôle clé dans l’expansion de nos activités avec les investisseurs institutionnels en Europe ».
Lire le communiqué de presse, cliquer ici
Faut-il craindre une remontée des taux ? Comment se positionne La Française dans ce marché (les derniers investissements, la gamme) ? Quelle est l’actualité des SCPI La Française ?
Retrouvez Thierry SEVOUMIANS, Directeur Général La Française AM Finance Services.
La SCPI en 2018 : le marché , le contexte et l'actualité des SCPI La Française - Partie 2 |
Cette levée de fonds, réalisée auprès d’investisseurs institutionnels de premier plan, a permis de déployer concomitamment un volume d’investissement de plus de 200 M€ dette comprise.
Au 31 mars 2018, neuf résidences étaient déjà en patrimoine, deux sous promesse et deux en cours d’acquisition. L’OPPCI comptera ainsi treize résidences réparties sur toute la France. Deux résidences ont déjà été livrées permettant de générer les premiers loyers.
Dans une optique résolument tournée vers le sous-jacent immobilier, une attention particulière a été portée à la diversification géographique en région parisienne et dans de grandes métropoles. Ces acquisitions ont été identifiées et sélectionnées avec une stratégie axée sur des résidences neuves, urbaines, aux emplacements de qualités, visant à protéger la valeur du capital.
L’exploitation de ces résidences a été confiée à six exploitants de premier plan après validation de leurs business models.
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers souligne : « LF Résidences Seniors est une illustration de notre capacité à proposer à notre clientèle institutionnelle une diversification sectorielle en matière de gestion immobilière. Nous avons aujourd’hui la capacité de proposer à notre clientèle une gamme complète en investissement immobilier, couvrant l’ensemble des stratégies, allant du core au value-added, et en matière de diversification géographique et sectorielle. »
Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Le fort succès de cette levée de fonds démontre l’intérêt des investisseurs pour une alternative attractive à l’investissement en logement classique ; les résidences services seniors, qui répond en outre à une tendance démographique lourde de nos sociétés occidentales. Notre sélection des dossiers, basée à la fois sur la qualité des exploitants mais aussi sur les localisations et la valorisation immobilière, ont fait la différence auprès des investisseurs. »
Fort du développement de cette expertise et de sa capacité à déployer rapidement les capitaux confiés, La Française est aujourd’hui un acteur incontournable du marché de l’investissement en résidences services seniors. Cette capacité de sourcing et d’exécution conduit aujourd’hui d’autres investisseurs à solliciter directement La Francaise pour développer de nouveaux fonds dédiés sur cette thématique sociétale.
Le sourcing, l’acquisition ainsi que la gestion immobilière des actifs sont assurés par La Francaise Real Estate Partners, Conseil en investissement immobilier dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie d’investissement du fonds et filiale de La Francaise dédiée aux investisseurs institutionnels.
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En 2017, le secteur de la distribution en Europe a affiché une sous-performance de plus de 13 % par rapport au Stoxx Europe 600. La dichotomie des performances boursières illustrée ci-dessous est avant tout liée à l’inquiétude croissante des investisseurs quant à la capacité des acteurs historiques à maintenir des niveaux de marges et de génération de flux de trésorerie satisfaisants. A titre d’exemple, la marge opérationnelle de H&M est passée de 18 % en 2012 à 9 % attendu cette année.
Les distributeurs historiques sont pris en tenaille entre :
1) Préserver la rentabilité de leurs points de ventes physiques malgré une baisse continue de la fréquentation de leurs magasins ;
2) Essayer de faire croître leur part de marché en ligne tout en essayant de contrôler leur distribution (en minimisant les partenaires externes comme Amazon, Zalando, Asos…)
Pour le moment, les acteurs historiques ne parviennent pas à rassurer les investisseurs sur leurs capacités à inverser cette tendance. Cependant aux Etats-Unis, certains distributeurs comme Walmart ont fini par s’adapter et parviennent aujourd’hui à concurrencer Amazon sur internet.
La tyrannie des plateformes
L’émergence de plateformes internet dans différents secteurs a souvent débouché sur un quasi-monopole. Celles-ci proposent le meilleur choix de produits et regroupent le plus grand nombre de clients. Nous investissons dans ces plateformes car il nous semble qu’elles continueront à gagner des parts de marchés. Elles peuvent également être les cibles de multinationales souhaitant acquérir une présence en ligne. Récemment, le groupe de luxe Richemont a acquis Yoox – Net à Porter pour développer son canal e-commerce.
Néanmoins nous restons très attentifs à leur valorisation qui peut atteindre rapidement des niveaux stratosphériques. En Europe, nous sommes positifs sur Asos et Zalando dans l’habillement et Just Eat dans la restauration.
L’acte de consommation a évolué
Celui-ci est de plus en plus digital, le "online" fait désormais intégralement partie du processus d’achat. Le consommateur s’informe, s’inspire et compare en ligne avant de réaliser un achat en magasin. Tous les secteurs de la consommation au sens large sont concernés, de la distribution aux voyages et loisirs en passant par les télécoms et les médias.
De nombreux acteurs du luxe nous ont confirmé que plus de 80 % de leurs clients qui achètent au sein de leurs magasins ont précédemment consulté le ou les produits qui les intéressaient en ligne.
Partant de ce postulat, nous avons développé une expertise à l’aide d’outils d’analyse de données nous permettant d’obtenir le trafic estimé et différents indicateurs. Cela nous aide à estimer les dynamiques commerciales des différentes marques.
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Le secteur de la distribution traditionnelle fait actuellement face à un important changement de paradigme avec l’émergence d’acteurs spécialisés dans le « online » tels qu’Amazon, Alibaba ou Zalando. Dans ce contexte, de nombreux fleurons du secteur connaissent d’importantes difficultés opérationnelles et les annonces de mise sous la protection des faillites se succèdent de part et d’autre du globe. L’exemple le plus retentissant est celui de Toys R Us, un symbole mondial de la distribution de jouets, qui présentait un niveau d’endettement particulièrement élevé depuis plusieurs années avant de subir les effets d’internet et du changement des modes de consommation. Les porteurs d’obligations Toys R Us 2018 ont ainsi subi une perte sèche de près de 85 % depuis début septembre 2017 (source : Bloomberg). Les histoires similaires ne manquent pas, avec par exemple Sears, une chaîne de magasins symbole de la société de consommation dans l’après-guerre, ou Radio-Shack, le spécialiste de la vente de produits électroniques aux Etats-Unis, mais également, plus proche de nous, Vivarte, le propriétaire entre autres de La Halle. Nous estimons que cette tendance devrait perdurer au cours des prochaines années, en impactant plus précisément les sociétés les plus endettées, comme nous le montre l’évolution du taux de défaut aux Etats-Unis des sociétés en catégorie Haut-Rendement présentes dans le secteur qui s’établit désormais à près de 11,5 %.
… mais qui est également source d’opportunités d’investissement
Le secteur de la distribution ou retail, est devenu le secteur qui offre le plus gros rendement (aux US le gisement offre un YTM moyen de 8,3 %). Ce surcroit de rendement parait attractif, cependant les taux de défaut sont en hausse. Il convient donc de faire une distinction assez fine afin d’éliminer les noms les plus exposés à la montée en puissance de la distribution "online" :
1) Géographiquement : les pressions du "online" sont beaucoup plus importantes aux US qu’en Europe. Qui plus est les sociétés américaines ont tendance à restructurer leur dette bien plus vite. Une surpondération européenne fait donc sens, à l’exception du retail au UK.
2) Sectoriellement : l’univers retail sur le High Yield peut se diviser en deux sous-segments, alimentaire et non alimentaire. Il est clair que les acteurs de l’alimentaire souffrent beaucoup moins. Idem au sein du secteur non alimentaire, il apparait que certains sous-segments sont moins exposés à la concurrence d’internet (instruments de musique, outils…).
3) Positionnement : les sociétés qui ont le plus souffert de la montée d’internet sont les acteurs milieu de gamme.
4) Cibles potentielles : le stress que rencontre le secteur va pousser à une accélération de la concentration, il convient donc d’identifier quelles sont les cibles potentielles.
5) Structure actionnariale : de nombreux émetteurs vont avoir besoin d’argent frais pour respecter leurs covenants bancaires et pour investir. Il conviendra donc de privilégier les actifs détenus par des actionnaires ayant le plus de capacité à faire face à ce besoin.
C’est donc pour cela que nous aimons tout particulièrement des noms comme Burger King, Casino, Picard, SMCP ou Supervalu (supermarchés US), et que nous sommes à l’inverse bien plus prudents sur des noms comme House of Fraser (grands magasins UK), Fresh Markets (supermarchés en concurrence frontale avec Amazon/Wholefood et détenus par un fonds agressif), New Look (vêtements bas de gamme détenus par un fonds déstabilisé par la chute de Steinhoff)…
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- D’une part l’Arabie Saoudite allait continuer à jouer le jeu d’une réduction de la production pour soutenir les prix en anticipation de l’introduction en bourse d’Aramco prévue à horizon 12-18 mois.
- Et d’autre part, toute hausse significative du prix du baril allait amener une augmentation de l’offre de pétrole de schiste américain, ce qui limiterait de facto le potentiel d’appréciation du baril.
Pourtant, le prix du baril de pétrole est en hausse continue depuis le début de l’année avec une progression de 20 % et un Brent qui dépasse les $77, soit un niveau bien supérieur aux prévisions de début d’année. Nous voyons plusieurs explications à cela. En premier lieu, il faut noter les révisions positives de la croissance mondiale depuis le début de l’année, ce qui a pour conséquence de faire remonter les prévisions de demande de pétrole. Il faut aussi noter que l’offre de pétrole de schiste américain est une offre de pétrole léger à faible densité, ce qui limite sa faculté à se substituer à une baisse de l’offre de pétrole en provenance de l’OPEC ; il est en effet plus cher à raffiner, demande plus d’investissements et offre un moins bon rendement que les pétroles plus lourds. Enfin, certains évènements spécifiques ont impacté des pays producteurs comme le Venezuela ou l’Angola, limitant l’offre de pétrole.
Ces raisons vont-elles disparaitre à court terme ? Nous serions tentés de répondre non et donc de penser que le prix du baril ne devrait pas refluer significativement à horizon quelques mois. Quelles sont les conséquences de ce prix du baril élevé ? La première est évidente avec une inflation attendue en hausse dans les mois qui viennent, ce qui conforte notre vue positive sur les points morts d’inflation. L’inflation américaine pourrait ainsi atteindre 3 % au cours du mois de juillet de cette année, ce qui serait une première depuis 2011. Une autre conséquence, moins immédiate, sera un effet négatif, à terme, sur la croissance mondiale, soit l’inverse de ce que nous avons connu après la forte baisse des prix de 2014 à 2016. Cela n’est toutefois pas immédiat et concerne, au plus tôt, l’année 2019.
Nous jugeons par ailleurs rassurante la stabilisation des indicateurs avancés macroéconomiques, ce qui confirme notre scénario d’une croissance mondiale proche des 4 %. Nous réduisons toutefois nos expositions actions après la hausse significative des marchés depuis 6 semaines. Nous conservons une vue haussière sur les taux européens et une vue positive sur les points morts d’inflation.
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À la fin du troisième trimestre 2018, la norme GICS (Global Industry Classification Standard), qui est utilisée par les indices S&P Dow Jones et MSCI, ainsi que par de nombreuses sociétés d’investissement, subira de profondes modifications.
1 La version finale de la nouvelle classification n'a pas encore été dévoilée.
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]]>Xavier Lépine, Président du Groupe La Française commente, « Nous sommes ravis que Pascale ait accepté cette nouvelle mission et sommes certains que son expérience de nos métiers et ses qualités relationnelles et techniques seront des atouts précieux dans ses nouvelles responsabilités. Pierre nous a beaucoup apporté au cours de ces années à nos côtés au Directoire et il continuera en tant que Conseiller du Président, plus particulièrement sur le pole La Française Global Investment Solutions où il assume le rôle de Président du Conseil de Surveillance »
« C’est une magnifique opportunité qui m’est offerte et un challenge dynamisant que de rejoindre le Directoire du Groupe La Française, groupe auquel je suis très attachée depuis de nombreuses années, et pour lesquelles mes missions précédentes seront un appui certain dans l’exercice de mes nouvelles responsabilités » commente Pascale Auclair.
Les responsabilités de Pascale Auclair, en tant que Président du Directoire de La Française Asset Management, seront assurées par Patrick Rivière avec l’appui de Jean-Luc Hivert et Laurent Jacquier-Laforge, qui seront nommés Directeurs Généraux.
- Jean-Luc Hivert, Directeur Général, CIO Fixed Income & Cross Asset
- Laurent Jacquier-Laforge, Directeur Général, CIO Actions
Pascale Auclair bénéficie de près de trente-cinq ans d’expérience dans la finance. Elle a débuté sa carrière en 1983 à la Société Générale en tant que gérante d’OPCVM obligataires puis a exercé chez BAFIP, Cheuvreux de Virieu. En 1992, elle rejoint Groupama où elle prend la responsabilité de la gestion de taux, puis est associée en 1994 à la création de la filiale dédiée à la gestion d’actifs du Groupe et au développement vers une clientèle externe. En 1998, Pascale Auclair prend la responsabilité des équipes de gestion obligataire et diversifiée et devient en 1999 Membre du Directoire de Groupama Asset Management puis Directeur Général Adjoint.
En 2006, Pascale Auclair rejoint LFP Investissements en qualité de Directeur de la Gestion puis, lors de la fusion avec le Groupe UFG en 2010, est nommée Directeur de la Gestion et Directeur Général de LFP, société de gestion dédiée à la gestion des valeurs mobilières au sein du Groupe UFG-LFP, devenu Le Groupe La Française.
Pascale Auclair est actuaire, diplômée de l’Institut des sciences financières et d’assurance de Lyon.
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Lancée en janvier 2014 par Euryale Asset Management, Pierval Santé est la première SCPI à fonds de partage. Elle a pour ambition de répondre à un enjeu de santé publique en rapprochant des investisseurs privés (épargnants) et des exploitants associatifs publics ou privés. En tant que fonds de partage, elle participe à l’œuvre de la Fondation ICM à hauteur de 0.01% de sa collecte annuelle et invite distributeurs et investisseurs à œuvrer pour cette même cause.
Dans cet esprit, le CMNE (Crédit Mutuel Nord Europe) et La Française ont souhaité renforcer leur soutien à la recherche médicale en apportant leur contribution :
- Le CMNE fait un don à l’ICM représentant 0,50 % de la collecte annuelle de la SCPI Pierval Santé
- La Française, quant à elle, abonde à hauteur de 0,20 % cette même collecte.
C’est à l’occasion de son Assemblée Générale Fédérale et devant l’ensemble de ses administrateurs, dans un lieu emblématique symbole de son ancrage territorial, le Louvre Lens, que le CMNE a choisi de remettre ce don, au profit de la recherche médicale. Le chèque de 168 266 € remis le 26 avril à l’ICM se rapporte à la collecte réalisée en 2017 sur la SCPI Pierval Santé, dont près d’un tiers au sein du réseau Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE).
En 1 an, la capitalisation de Pierval Santé a augmenté de près de 120% pour atteindre, au 1er trimestre 2018, 330 millions d’euros avec 7 600 associés. La SCPI compte aujourd’hui 42 actifs dans les secteurs de la santé (médico-social, sanitaire et soins de ville, etc.) en France et en Allemagne.
La progression de ces chiffres illustre la pertinence de la stratégie de Pierval Santé et l’intérêt avéré des investisseurs à diversifier leur épargne sur le secteur de l’immobilier de santé.
La puissance de distribution du CMNE alliée au savoir-faire de La Française et l’expertise d’Euryale AM participent au succès de Pierval santé.
Eric Charpentier, Directeur général de Crédit Mutuel Nord Europe, souligne : « Nous sommes fiers de cette réussite, le montant du don a presque doublé en un an et donne plus de sens encore à cette action. C’est par notre implication envers notre territoire, auprès de grandes causes, que nous témoignons de notre engagement mutualiste. Les clients y sont sensibles et s’associent à cette démarche, symbole de cohésion et d’unité. »
Xavier Lépine, Président du directoire de La Française, commente : « L’un des défis d’aujourd’hui est l’allongement de la durée de la vie. Dans une société en profonde mutation, il convient de repenser les solutions que nous pouvons apporter à nos clients. A l’innovation d’ICM, nous sommes fiers d’allier l’innovation financière en soutenant la recherche médicale menée par l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière grâce à notre engagement auprès de la SCPI à Fonds de partage Pierval Santé.»
Jean-Jacques Olivié, Président d’Euryale Asset Management, rappelle : « Face aux grandes mutations de notre époque, nous pouvons jouer un rôle important dans la stabilité et la pérennisation de nos modes de vie pour peu que nous sachions nous montrer inventifs et persévérants. En répondant à ces enjeux de premier ordre que sont la santé et la recherche médicale, la SCPI Pierval Santé s’inscrit parfaitement dans cette philosophie d’incidence sociétale. Des convictions que nous sommes fiers de partager avec nos partenaires depuis maintenant 3 ans et à laquelle les investisseurs ne sont pas insensibles … »
La note d’information de Pierval Santé a reçu le visa AMF, SCPI n°13-36 en date du 6 décembre 2013. Une notice a été publiée au BALO n°151 du 18 décembre 2013. La Société de gestion Euryale Asset Management a reçu l’agrément n° GP 14000027 du 22/07/2014. Depuis janvier 2014, Next AM, filiale d’incubation du Groupe La Française détient 21,5 % du capital d’Euryale AM.
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Les Grands Prix du magazine Mieux Vivre Votre Argent récompensent les meilleurs produits du marché avec un focus cette année sur la SCPI. La SCPI Eurofoncière 2 de La Française Real Estate a reçu le prix de la meilleure SCPI à capital variable de bureaux.
De gauche à droite Christophe Inizan, Directeur Commercial La Française et Arnaud Christol Responsable Commercial La Française
La SCPI comporte un risque de perte en capital et le montant du capital investi n’est pas garanti.
Les référencements à des classements et récompenses passés ne préjugent pas des classements ou des récompenses à venir.
Eurofoncière 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-34 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°101 du 22 août 2014, n°116 du 27 septembre 2017 et n° 39 du 30 mars 2018.
La Française Real Estate Managers - 399 922 699 RCS PARIS La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a obtenu l'agrément AMF, n°GP-07000038 du 26 juin 2007 et ayant reçu l'agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE en date du 24 juin 2014.
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]]>La Française étend son expertise aux opérations immobilières Value Added avec la création d’un fonds dédié à cette stratégie. Ce fonds a pour objectif de proposer, sur un horizon de placement à long-terme, une exposition aux marchés immobiliers et à la création de valeur à travers diverses opérations immobilières. Doté de 45 millions d’euros de fonds propres à l’issue du premier closing du 31 mars 2018, l’objectif est d’atteindre une levée globale de fonds au 30 juin 2018 de 100 millions d’euros.
La stratégie d’investissement du fonds LF REVA cible les opérations de constructions de logements, de restructurations ou rénovations de bureaux ainsi que leurs reconversions, notamment en résidences gérées ou en logements. La gestion des opérations immobilières sera confiée par la société de gestion La Française Real Estate Managers à La Française Real Estate Partners, conseiller du fonds et filiale du groupe dédiée aux investisseurs institutionnels.
Pour répondre à l’objectif de création de valeur, le fonds dispose d’un accès à un sourcing par ses co-fondateurs ainsi qu’une grande réactivité dans la prise de décision. Il s’appuie également sur une maîtrise de l’exécution assurée par Demathieu Bard Immobilier (filiale de promotion immobilière du Groupe Demathieu Bard, partenaire du fonds).
Avec une capacité d’investissement pouvant atteindre 250 M€, le fonds devrait réaliser 8 à 10 opérations pour une durée maximale d’investissement de 3 ans, principalement en Ile-de-France (Grand Paris).
Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, déclare : « Le lancement de ce fonds avec un promoteur très expérimenté démontre la volonté du Groupe La Française de développer des stratégies Value Added. Ce fonds répond à une double attente des investisseurs institutionnels : tendre à augmenter le rendement des fonds investis et répondre aux nouveaux besoins immobiliers et sociétaux en créant le « core » de demain ».
Philippe Jung, Directeur Général de Demathieu Bard Immobilier, ajoute « Ce fonds, développé entre deux partenaires complémentaires qui se connaissent bien, permettra de développer des stratégies originales, et de saisir des opportunités, en particulier sur des projets de rénovation ou de changement d’usage de taille moyenne ».
Le fonds a été créé avec la collaboration du cabinet Jones Day pour les aspects juridique et fiscaux.
Caractéristiques principales de LF REVA
Forme juridique | FPS (Fonds Professionnel Spécialisé) |
Société de gestion | La Française Real Estate Managers |
Objet | L'objectif du fonds est de proposer à des investisseurs professionnels, sur un horizon de détention à long terme, une exposition sur les marchés immobiliers et la création de valeur à travers la construction, la restructuration, la rénovation et la reconversion d'actifs immobiliers |
Code ISIN | FR0013317153 |
Première souscription minimum | 5.000.000 € |
Frais de gestion Financière | 3% TTC max de l'actif net annuel moyen |
Commissions de superformance | 18 % TTC au-delà d'un TRI de 12 % |
Durée de placement | 8 ans (prorogeable deux fois un an) : l'attention des investisseurs est attirée sur le fait qu'ils ne peuvent exiger, pendant toute la durée du fonds, le rachat de leurs parts. |
Période de souscription | 1er closing 31/03/2018 - 2ème closing 30/06/2018 |
Risques associés : risques liés aux investissements d’une manière générale, absence d'antécédents d'exploitation, risques liés au marché immobilier visé dans la stratégie d’investissement, risques de contrepartie, risques liés au contrat de promotion immobilière, risques liés à la gestion (gestion discrétionnaire de la société de gestion, risques liés au recours à l’endettement, risque de taux), risques fiscaux, risque d’illiquidité, porteurs défaillants, défaut de répondre à un appel de fonds, dilution lors des closings successifs, conflits d'intérêts potentiels, risque de perte en capital*
a. C’est une promesse de campagne, directement adressée à ses électeurs. Les mesures prises (aluminium, acier, etc..) visent à avantager directement des états qui ont voté pour lui et qui constituent sa base électorale.
b. Les élections de mi-mandat sont dans 6 mois, le calendrier est donc parfait pour essayer de remporter une victoire politique qui renforcerait son image de « deal maker ».
c. De manière empirique, les barrières protectionnistes ne réduisent pas de manière substantielle les déficits commerciaux.
2. Les mesures annoncées remettent elles en cause le scénario de croissance mondiale ? Pour le moment, la réponse est non.
a. L’acier et l’aluminium ne représentent que 2% des importations américaines, l’impact sera donc marginal.
b. Les taxes annoncées par les Etats-Unis et la Chine sur $50 Mds d’importation représentent environ 0.1% de leur PIB respectif. On peut estimer l’impact sur les bénéfices des sociétés à environ 1%.
3. Historiquement, quel a été l’impact de ces tensions commerciales et quel en a été le dénouement ?
a. 1981 : Les Etats-Unis imposent une baisse « volontaire » des exportations japonaises de voiture. Le prix moyen des véhicules vendus augmente mais les ventes baissent et les salaires n’augmentent pas (cf Brookings Institution, 1987). Au final, l’impact sera marginalement baissier sur la croissance et l’inflation jusqu’à ce que les quotas soient retirés. Aucun gain de productivité ou de compétitivité ne sera constaté sur l’industrie automobile américaine.
b. 2002 : Les Etats-Unis imposent une taxe de 30% sur les importations d’acier. L’impact sur les prix à la production sera bref mais significatif, ce qui peut s’expliquer par le fait qu’il n’y avait pas d’exemption à cette époque. Ces taxes seront rapidement annulées par craintes de représailles de l’union européenne. L’impact sur la croissance sera là aussi marginal.
4. Comment les marchés réagissent-ils de manière empirique ?
Les craintes protectionnistes ont, la plupart du temps, un impact « risk off » sur les marchés, tout du moins au départ, avec une faible visibilité et des anticipations de croissance en baisse. Ces craintes se dissipent ensuite en général, au gré des négociations et des estimations qui montrent un impact souvent plus faible que ce qui était craint par les marchés. Si l’impact sur les marchés est, in fine, le plus souvent assez faible, la phase de volatilité peut-elle durer un certain temps, de quelques semaines à plusieurs mois.
Nous n’avons évidemment pas de certitudes quant aux développements futurs des relations entre les Etats-Unis et la Chine, mais si on se base sur ce qu’il s’est passé historiquement, le scénario le plus probable nous semble être celui d’une phase de négociation volatile, qui devrait se terminer quand les buts politiques recherchés auront été atteints, ce qui devrait permettre aux marchés de reprendre leur vie « normale », si tant est qu’elle existe… !
Avertissement :
Document promotionnel à destination des investisseurs professionnels. Les informations contenues dans ce document ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les opinions exprimées par La Française se fondent sur les conditions de marché actuelles et sont susceptibles d'être modifiées sans avertissement. Ces opinions peuvent diverger de celles d'autres professionnels de l'investissement. Document publié par La Française AM Finance Services, siège social 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France, agréée par l'Autorité de Contrôle Prudentiel en qualité de prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française.
• La croissance annuelle des BPA des valeurs de l’indice Russell 1000 Growth (6,3 %) a en effet dépassé celle de l’indice Russell 1000 Value (2,6 %) au cours des dix dernières années.
• Cette différence de presque quatre points de pourcentage se reflète dans l'écart de performance entre les 11,6 % de l’indice Russell 1000 Growth et les 7,9 % de l’indice Russell 1000 Value sur la période de 10 ans close le 28 février 2018. Entre temps, il est arrivé que la performance des actions à court terme ait fluctué, selon la réaction des investisseurs à l’actualité et aux annonces des entreprises ; mais sur le long terme, la performance des titres reproduit la croissance des bénéfices.
• Les fondamentaux sous-jacents des valeurs de croissance américaines restent solides, comme en témoigne la hausse estimée des chiffres d’affaires de l’indice Russell 1000 Growth pour les deux prochaines années (8 %), soit deux fois plus que pour l’indice Russell 1000 Value (4 %)** Un écart qui semble de bon augure pour la performance à long terme des valeurs de croissance.
* Performance des indices Russell 1000 Growth et Russell 1000 Value.
** La croissance des chiffres d’affaires est celle des estimations du consensus FactSet. Les taux de croissance qui seront réellement enregistrés peuvent différer sensiblement de ces prévisions.
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]]>Le président américain Donald Trump a tout d’abord annoncé des taxes sur les importations d’acier et d’aluminium, de respectivement 25% et 10%. Ces mesures ressemblent beaucoup à celles mises en place en 2002, à la différence que cette fois-ci, la plupart des pays ont été exemptés a posteriori. Au final, moins de 30% de ces importations américaines verront leurs taxes augmenter, principalement celles provenant de Chine et de Russie. L’acier et l’aluminium ne représentant que 2% des importations américaines, l’impact sera au pire marginal.
Le président américain a ensuite annoncé des taxes de 25% sur $50 mds d’importations chinoises, ce à quoi l’Empire du Milieu a répliqué par des mesures similaires sur les importations américaines. Il faut noter que ces annonces constituent la base de négociations qui devraient durer 2 mois environ.
Quelle lecture faisons-nous de cette résurgence de protectionnisme ?
Ces annonces ont une vocation purement politique avec les élections de mi-mandat qui se profilent en fin d’année aux Etats-Unis. En l’état, ces mesures ne devraient pas avoir d’impact significatif sur la croissance mondiale : elles représentent $12,5 mds de taxes effectives, soit environ 0,1% des PIB respectifs chinois et américain.
Si les marchés peuvent rester volatils pendant encore plusieurs semaines, la croissance mondiale demeure bien orientée, et ce, en dépit de ces tensions géopolitiques (Syrie, Russie…).
Ces facteurs, tels que les craintes inflationnistes aux Etats-Unis puis, dans un second temps, du risque de guerre commerciale entre les Etats-Unis et ses principaux partenaires, au premier rang desquels la Chine, ont cependant soutenu
la baisse des taux des dettes souveraines, contrariant à court terme notre scénario de reconnexion du niveau des taux cœur aux fondamentaux économiques.
Des valeurs technologiques en difficulté sans risque systémique
Après des années de hausse quasi ininterrompue, les valeurs technologiques américaines sont depuis plusieurs semaines sous pression. Les problématiques sont multiples et en général spécifiques aux sociétés incriminées (Amazon, Facebook, Tesla…). Plusieurs questions se posent :
Les valeurs technologiques sont-elles chères ? Elles le sont sans doute un peu en première lecture avec des PER autour de 25-30, mais ces valorisations s’expliquent par des taux de croissance très importants. Nous ne sommes pas du tout dans une situation similaire à celle des années 1999-2000, la majorité de ces sociétés étant devenues aujourd’hui extrêmement rentables.
Certaines sociétés sont-elles en risque ? Il faut distinguer les business models établis, rentables (Amazon, Google, etc..) de ceux qui ne le sont pas encore (Tesla, Netflix, …) et dont les capitalisations boursières ne laissent que peu le droit à l’erreur.
Dans son ensemble, le secteur technologique américain ne nous semble pas survalorisé mais certaines sociétés pourraient continuer à souffrir dans les mois qui viennent. Pour autant, nous pensons que cela ne devrait pas remettre en cause la progression des indices boursiers.
Le rythme de croissance en zone Euro et aux Etats-Unis avait clairement connu une phase d’accélération les derniers mois de 2017. Toutefois, les enquêtes de confiance, auprès des entreprises en particulier, et les chiffres d’activité publiés sur le T1 2018 (ventes au détail, production industrielle) ont été mitigés aux Etats-Unis et en dessous des attentes en Zone Euro après les pics atteints à la fin de l’année 2017. Les derniers chiffres d’inflation publiés dans ces deux zones sont ressortis comme attendu, à l’exception de l’inflation sous-jacente en zone Euro qui a légèrement déçu, sur un niveau de 1% en rythme annuel.
Nous demeurons néanmoins en ligne avec le consensus sur la croissance de 2,4% en zone Euro en 2018 et légèrement en deçà des attentes du consensus sur la croissance américaine qui se situe à 2,8%. Notre conviction reste inchangée sur le fait que l’inflation américaine nous surprendra à la hausse dans les prochains mois.
L’économie au Royaume-Uni continue de bien résister au contexte politique du Brexit : seul le commerce extérieur la pénalise. Comme le Japon, la croissance dans ces deux pays devrait évoluer sur un rythme annuel de 1,4 à 1,5%.
Le premier comité de M. Powell comme Président de la Réserve fédérale américaine s’est déroulé comme nous l’attendions : hausse des taux de 25bp et relèvement des projections de taux Fed Funds jusqu’en 2020, en réponse à des perspectives économiques en amélioration. Tout ajustement futur de la politique monétaire dépendra des données économiques et notamment des prochains chiffres d’inflation.
Le renouvellement de deux gouverneurs à la BoJ a clairement renforcé le caractère accommodant de la BoJ de ces dernières semaines.
Enfin, les dernières projections économiques de la BCE sont désormais alignées avec le consensus sur 2018 mais l’inflation a été révisée en baisse en 2019, confirmant que la BCE ne prend aucun risque sur son scénario d’inflation. Elle a retiré son biais à toute augmentation de son programme d’achats, une étape que nous attendions.
Notre scénario économique sur les pays émergents se confirme. Les perspectives de croissance pour l’année 2018 viennent renforcer celles de 2017 qui étaient un bon cru : 4,8% de croissance sur l’univers EM.
La reprise observée en Amérique latine depuis 2 ans continue principalement en Argentine, au Brésil, en Colombie et devrait permettre de délivrer une croissance proche des 3% cette année sur le continent sud-américain.
En Europe émergente ainsi qu’en Asie, l’activité bénéficie de la bonne reprise du commerce mondial ainsi que des politiques monétaires (Europe et Japon) toujours accommodantes. Cette reprise, observée depuis deux ans maintenant, se fait dans des conditions rarement vues dans les pays émergents. Le niveau d’endettement est très contenu en absolu (inférieur à 50% du PIB) ainsi qu’en relatif par rapport aux pays développés, les comptes extérieurs sont en moyenne positifs et les niveaux de réserves sont au plus haut (2500 milliards USD hors Chine). L’inflation, en moyenne à 3,3% en 2017 dans les pays émergents, n’a jamais été aussi basse et les banques centrales pourraient, s’il était besoin, assouplir encore leurs conditions monétaires.
Malgré des perspectives très positives pour les marchés obligataires émergents, la remise en cause d’accords commerciaux tels que l’ALENA (Accord de libre-échange Nord-Américain), les craintes de guerre commerciale via les mesures / menaces protectionnistes en provenance des Etats Unis, ainsi que des anticipations de normalisation plus rapides de la FED ont bout à bout contribué à fragiliser les perspectives initiales depuis mi-février.
La normalisation de la politique monétaire US devrait continuer sur un rythme en ligne avec les attentes du marché, sans occasionner de choc sur les marchés émergents.
L’urgence est un facteur primordial. Nous faisons face aux conséquences catastrophiques du changement climatique et des actions immédiates sont nécessaires pour s’adapter à ces nouvelles réalités.
L’Agence Internationale de l’Energie estimait en 2014 qu’il fallait investir USD 53 trillions d’ici 2035 pour atteindre les objectifs fixés par la COP21 qui donnent une chance d’éviter le pire en termes de réchauffement global. Il est inconcevable de mobiliser un tel montant de capitaux sans le soutien de l’épargne des ménages. Le rôle de la finance dans la lutte contre le dérèglement climatique est d’orienter l’épargne vers des entreprises participant à la réduction des émissions carbones afin de cantonner le réchauffement à moins de deux degrés (limite du réchauffement fixée par la COP21). Or la trajectoire estimée des indices boursiers implique actuellement un réchauffement d’au moins quatre degrés.
Pour éviter le pire, nous ne devons pas seulement ralentir les émissions de dioxyde de carbone, mais réduire les émissions actuelles de l’ordre de 60 % d’ici 2050.
Nous considérons que cet objectif est parfaitement compatible avec notre devoir fiduciaire de gérant : protéger l’épargne qui nous est confiée et limiter les coûts associés aux risques liés au changement climatique.
Il est d’autant plus compatible que notre analyse stratégique des entreprises fondée sur la mesure d’innovation et la capacité d’adaptation et de réactivité a décelé d’étonnantes opportunités de génération de valeur autour des thèmes d’investissements tels que l’électrification, l’optimisation de l’allocation des ressources et la Cleantech.
C’est pour ces raisons qu’il y a trois ans nous avons initié le fonds monde « Zero Carbon ». Ce fonds thématique maintient une empreinte carbone neutre tout en investissant dans les sociétés qui créent de la valeur grâce à la transition énergétique. Les entreprises qui fournissent des solutions énergétiques qui génèrent de la croissance supplémentaire grâce à leurs technologies, rendant possible la transition vers le bas carbone, sont au coeur de notre stratégie d’investissement. On y retrouve les thèmes clés de la digitalisation, l’automatisation et les renouvelables. Le fonds investit également dans des sociétés qui, grâce à la réduction de leur empreinte carbone, obtiennent un avantage compétitif de coût et de productivité.
Le caractère « Impact » de ce fonds tient à la combinaison de l’intention affichée de réduire les émissions de carbone du capital investi et à la possibilité de le mesurer. Notre objectif : associer une performance
environnementale à une performance financière et ainsi démontrer que mobiliser l’épargne pour la lutte contre le dérèglement climatique peut être source de performance financière.
Pour en savoir plus, téléchargez la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie
L'édition 2018 a récompensé LF Europimmo par le prix de la Meilleure SCPI internationale.
Créée en 2014, LF Europimmo est la première SPCI d’entreprise de la gamme européenne La Française. LF Europimmo investit majoritairement dans des immeubles de bureaux situés dans des marchés locatifs profonds.
De gauche à droite :P. Delhotel Directeur Commercial La Française, Thierry Sevoumians Directeur Général La Française AM Finance Service et C. Inizan Directeur Commercial La Française.
Les référencements à des classements et récompenses passés ne préjugent pas des classements ou des récompenses à venir.
Suite à la création en 2012 par le groupe La Française d’un premier OPCI conforme à la charia à destination des investisseurs institutionnels, La Française Forum Securities, société du groupe spécialisée sur l’immobilier coté, a lancé son premier mandat dédié en immobilier coté compatible avec les préceptes de la finance islamique, pour le compte d’un fournisseur de services bancaires et d’investissement basé au Koweït.
La Française Forum Securities est l’un des seuls spécialistes de l’immobilier coté à être en mesure d’offrir une solution d’investissement conjuguant son expertise éprouvée au fil des cycles et les capacités d’IdealRatings en matière de sélection des sociétés immobilières conformes à la charia.
Fondé en 2006, IdealRatings Inc. (www.idealratings.com) est un leader des marchés de capitaux islamiques et des solutions d’investissement responsable. L’entreprise couvre plus de 40 000 sociétés cotées, dont approximativement 2 000 foncières, provenant de plus de 150 pays. La solution offerte par IdealRatings permet de sélectionner les titres cotés en fonction de leur respect des lois coraniques, quels que soient les critères visés.
La Française Forum Securities contribue à la définition des contours de l’univers global des sociétés immobilières cotées éligibles, en sélectionnant celles qui affichent un rendement total corrigé du risque supérieur à la moyenne à partir d’un panier de 150 titres compatibles avec la charia. Le portefeuille est concentré autour de 30 à 50 valeurs uniquement.
Jana Sehnalova, Directeur Général de La Française Forum Securities et gérante de portefeuille, a déclaré : « Après plusieurs années de travail, nous sommes fiers de pouvoir lancer cette stratégie d’investissement unique auprès de la clientèle institutionnelle axée sur la finance islamique, que ce soit au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est ou ailleurs ; nous leur offrons ainsi un moyen de diversifier leur allocation d’actifs en investissant dans des sociétés foncières respectant la charia. La classe d’actifs commence à redevenir intéressante en termes de valorisation, puisqu'elle affiche une décote à deux chiffres par rapport aux actifs nets, et les investisseurs peuvent tirer parti de notre capacité à identifier et à exploiter les anomalies de prix entre les marchés immobiliers privés et publics à l’échelle mondiale. Tablant sur l’intérêt que cette stratégie pourrait susciter, nous étudions également la viabilité d’un projet de fonds avec Groupe La Française, qui s’inscrirait dans le cadre de la gamme de produits existants gérés par le Groupe. »
Mohamma Donia, PDG d’IdealRatings, a ajouté : « Nous sommes ravis de nous associer à un leader mondial tel que La Française, qui a œuvré à nos côtés pour s'affranchir des barrières et créer un nouveau produit innovant, adapté au secteur de la gestion d’actifs et aux marchés de capitaux islamiques. »
Après trois années d’ajustement (2013-mars 2016), les économies émergentes ont repris des couleurs en termes, d’activité, d’équilibre des comptes, internes et externes, et d’accumulation de réserves.
Les perspectives macro pour l’année 2018 sont positives. La croissance sera vraisemblablement plus forte qu’en 2017 pour l’ensemble des pays émergents (selon JPMorgan 5 % en 2018 / 4,8 % en 2017). L’Amérique Latine étant la région, dont le rebond par rapport à 2017 devrait être le plus notable (de 1,7 % à 2,8 %). L’inflation sur l’ensemble des pays émergents est contenue (3,3 % d’inflation moyenne EM en 2017, dont 2,9 %, au Brésil, 2,5 % en Russie). Enfin les niveaux d’endettement public restent très bas relativement aux pays développés.
Notre scenario macro sur cette classe d’actifs est positif.
Malgré des perspectives fort prometteuses pour le fixed income émergent, la remise en cause d’accords commerciaux tels que l’ALENA, les craintes de guerre commerciale via les mesures/menaces protectionnistes en provenance des Etats unis, ainsi que des anticipations de normalisation plus rapides de la Fed ont, bout à bout, contribué à fragiliser les perspectives initiales, ces dernières semaines.
Aujourd’hui, nous pensons que ces inquiétudes ont été intégrées dans les marchés et qu’elles ne sont pas de nature à changer fondamentalement notre scénario central.
Nos stratégies d’investissement portent sur la dette en devises fortes (Euro et Dollar US) ainsi que sur les taux locaux avec ou sans risque de change, selon les cas.
La prime de risque sur la dette externe en Dollar US est actuellement autour de 3 % selon l’indice JPMorgan Global diversified. La moyenne historique de 2004 à nos jours est de 3,25 % avec un plus bas à 1,67 % en juin 2007. Cette prime de risque représente aujourd’hui 53 % du rendement de cette classe d’actifs. Dans un contexte de taux core bas, les obligations en devises fortes offrent un surplus de rendement sur du risque pays, avec de bons fondamentaux.
La dette locale souveraine est encore plus intéressante ! C’est un marché en forte expansion dans tous les pays émergents. En termes réels2, les taux locaux sont majoritairement positifs de 1 % à 5 %. Les courbes de taux sont souvent pentues, offrant davantage d’opportunités sur les parties intermédiaires et longues. Ces stratégies peuvent être couvertes sur le risque de change, dans ce cas elles bénéficieront exclusivement du risque de sensibilité. Ou bien, elles peuvent être accompagnées du risque de change et profiteront en plus, d’un portage nominal très attractif.
Les devises des marchés émergents ont été les variables d’ajustement pour les économies émergentes, au cours des années 2013-2016. Beaucoup d’entre elles sont aujourd’hui sous évaluées en taux de change effectif réel, elles présentent, par conséquent, un réel potentiel de performance, eu égard aux bons résultats économiques de ces pays.
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Celui-ci a tout d’abord annoncé des taxes sur l’aluminium et l’acier (10 % et 25 % respectivement) pour ensuite cibler la Chine en imposant une taxe de 25 % sur une enveloppe de 60 milliards de dollars d’importations chinoises.
L’impact sur les marchés a été significatif : baisse marquée des actions, baisse des taux et écartement des spreads de crédit. La volatilité devrait rester élevée à court terme avec les précisions attendues sur les produits ciblés et les mesures de représailles en provenance de la Chine.
Ces nouvelles remettent-elles en cause le scénario positif sur la croissance mondiale ? Sommes nous au début d’une guerre commerciale ou seulement devant un jeu politique américain en préparation des élections de mi-mandat ?
- Les mesures décidées sur l’aluminium et l’acier n’auront pas d’impacts significatifs sur la croissance, les importations combinées de ces deux matières premières ne représentant que 0,5 % du PIB américain. Les seuls secteurs potentiellement impactés pourraient être l’automobile et la construction.
- Les taxes imposées aux produits chinois ne devraient pas non plus remettre en question la tendance sur la croissance américaine ou chinoise. 25% sur $60 Mds d’importations, cela représente $15 Mds de taxes effectives sur des importations chinoises vers les Etats-Unis qui représentent environ $450 Mds, soit environ 3% de taxes. Différentes études estiment l’impact à environ 1 % sur les profits des entreprises américaines.
- La Chine n’a tout d’abord pas réagi aux premières annonces, mais a finalement décidé des représailles pour des montants équivalents.
- M. Trump peut-il aller au-delà ? Il est probable qu’il se heurterait en ce cas à des pressions politiques de la part des lobbies et du Congrès, dans l’ensemble plus favorables au libre échange. On ne peut pourtant pas totalement exclure ce scénario même si une guerre commerciale ouverte avec la Chine semble peu rationnelle.
Etonnamment, les anticipations d’inflation n’ont pas profité de ces nouvelles. Le marché semble craindre davantage une récession qu’une période de stagflation, qui serait pourtant la conséquence logique d’une guerre commerciale.
A ce stade, l’impact sur la croissance mondiale nous parait donc mesuré. Les récentes déceptions du côté des chiffres d’activité ne sont pas non plus de nature à remettre en cause notre scénario, ces chiffres étant toujours largement compatibles avec une croissance mondiale autour de 4 %.
Nous conservons donc à moyen terme une vue positive sur les marchés actions, aujourd’hui relativement peu chers vis à vis des autres classes d’actifs ; nous restons, également légèrement haussiers sur les taux et sur les points morts d’inflation.
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Pour toute souscription à compter du 6 avril 2018, une annexe au bulletin de souscription, spécifiant ces modifications du délai de jouissance, devra être remise au souscripteur.
Les notes d’information des SCPI porteront également cette actualisation.
Pour tout complément d’information, nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
Eurofoncière 2 a reçu le visa AMF SCPI n°17-34 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°101 du 22 août 2014, n°116 du 27 septembre 2017 et n° 39 du 30 mars 2018.
Pierre Privilège a reçu le visa AMF SCPI n°17-37 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°101 du 22 août 2014, n°116 du 27 septembre 2017 et n° 39 du 30 mars 2018.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014
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Les équipes de La Française étaient présentes pour vous recevoir sur le stand n°C20, CD Partenaires sur le stand n°19.
A cette occasion,Lionel Lemarié, Responsable Commercial Pôle OPCVM à La Française, est intervenu sur le plateau de CLUB Patrimoine, interviewé par Bogdan Kowal.
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Dans le même temps, l’évolution constructive des relations entre les acteurs établis et les start-ups de l’industrie financière démocratise les innovations Fintech et offre des opportunités de développement attractives pour tous.
Fort de ces constats, la société de gestion NewAlpha Asset Management, la start-up INVYO et le cabinet Exton Consulting ont associé leurs expertises et leurs complémentarités afin de proposer une cartographie des Fintech françaises et entrepreneuriales identifiées à fin décembre 2017.
Structurellement positionnées sur le secteur Fintech, en relation directe avec les entrepreneurs et les institutionnels du secteur, NewAlpha, INVYO et Exton Consulting ont consolidé leurs travaux d’identification et de classification. Avec près de 300 fintech analysées, cette cartographie est la plus complète réalisée à ce jour sur le marché français.
Ces sociétés impactent les métiers de la Banque, de l’Assurance et de l’Asset Management en proposant de nouveaux produits financiers ou en proposant des services transverses qui permettent à l’industrie financière d’optimiser ses processus de gestion et de commercialisation.
La cartographie proposée par les trois partenaires positionne les sociétés par domaine d’activités et par ancienneté. Cette visualisation croisée permet d’analyser la dynamique de création Fintech en France et d’anticiper les évolutions du secteur. L’analyse et la cartographie sont téléchargeables sur https://fintech-insights.com/mapping/fintech-france/
Ce qu’il faut retenir :
« De nombreuses opérations significatives de financement et d’acquisition ont été observées en France au cours des deux dernières années. Cela illustre la place prépondérante prise par les Fintech au sein de notre industrie financière. Au vu de la richesse de l’écosystème français, nous sommes persuadés que cette dynamique se poursuivra. » indique Lior Derhy, Managing Partner chez NewAlpha AM.
« La DSP2 récemment entrée en vigueur va intensifier la dynamique de création de Fintech en France en permettant à certaines sociétés offrant des prestations de paiement ou d’information sur comptes de bénéficier d’un statut régulé et d’élargir leurs offres. Cette réglementation européenne ouvre également la voie à l’open-banking et la saine coopétition entre start-ups et acteurs traditionnels de l’industrie qui devront s’allier pour encore mieux servir leurs clients. » se félicite Sophie Zellmeyer, directrice Fintech & Innovation chez Exton Consulting.
« Le grand défi que doit désormais relever la France est celui de faire de ses champions nationaux des leaders Européens voire mondiaux, comme le font l'Allemagne ou l'Angleterre dans les secteurs des paiements ou de la néo-banque. En témoignent les annonces successives de N26 ou Revolut sur leur expansion internationale », ajoute Alexandre Velut, fondateur et CEO de INVYO.
> Cliquez ici pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse
L’immeuble, construit dans les années 70, a été totalement rénové en 2017. Il offre des plateaux moyens de plus de 350 m² et dispose d’un grand hall d’accueil et d’un jardin privatif d’environ 600 m².
L’immeuble est loué en intégralité à BDO, un cabinet d’audit, d’expertise comptable et de conseil, dans le cadre d’un bail de 9 ans fermes.
« Cet immeuble offre un cadre exceptionnel, un vrai havre de tranquillité permettant à notre locataire de travailler dans le calme et au milieu d’espaces verts en plein centre de Paris. Cette nouvelle acquisition pour le compte de l’UMR permet de renforcer notre partenariat avec cet institutionnel français » précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude Flusin sur les aspects notariaux, Ashurst sur le juridique et fiscal, Nox sur les audits techniques, Sinteo sur les aspects énergétiques, et Burgeap sur les aspects environnementaux.
Groupe Idec Invest était conseillé par l’étude Bonnart, Adler, Lavisse & Maître et le cabinet King Spalding (Aurélia De Viry).
Le 16 mars dernier, Yan Qingmin, directeur adjoint de la CSRC (l’autorité chinoise de régulation des marchés financiers), a annoncé le lancement « imminent » de certificats de dépôt chinois (China Depository Receipts ou CDR) qui devraient faire leur entrée d’ici la fin de l’année selon les informations de Reuters. La Chine ne s’y serait pas prise autrement pour couper l’herbe sous le pied de la bourse de Hong Kong.
Retour en arrière : en 2014, alors que la bourse de Hong Kong cherchait à remporter la cotation d’Alibaba, le caractère jugé trop rigide de la règle immuable « une action, une voix » a conduit son fondateur Jack Ma à établir une holding offshore fonctionnant sous la forme d’une entité à détenteurs de droits variables, et à réaliser son introduction à la cote américaine par le biais d’American Depository Receipts (ADR). Depuis, de nombreuses entreprises chinoises principalement issues de l’Internet lui ont emboîté le pas, et avec brio, au grand dam de la place hongkongaise. À elles toutes, elles représentent une capitalisation boursière de 4 000 milliards de dollars. Après trois années d’intense remise en question, la bourse de Hong Kong est enfin revenue sur ses principes et a complètement changé de posture, annonçant fin 2017 le lancement prochain d’un document de consultation portant sur l’autorisation des actions à droits de votes multiples, en dépit donc du sacrosaint principe « une action, une voix ». L’objectif est non seulement d’attirer les « licornes » (les startups valorisées à plus d’un milliard USD) et les géants comme le fabricant de smartphones Xiaomi, mais surtout de convaincre Alibaba et les autres sociétés cotées par ADR de revenir à Hong Kong.
Les autorités chinoises n’ont pas tardé à réagir face à la menace venant de Hong Kong, s’appuyant sur la vision à 25 ans du pays partagée par Xi Jinping qui mise fortement sur les technologies : ainsi, les sociétés technologiques pourront bientôt émettre des CDR sur le marché des actions A. La réforme devrait être mise en œuvre dans les plus brefs délais. Elle permettra enfin aux investisseurs individuels chinois de contribuer à la croissance de leurs porte-drapeaux nationaux actuellement cotés à New York, sans avoir à recourir à des méthodes compliquées pour contourner le système de contrôle des changes en vigueur. Tencent, la cinquième plus grosse entreprise mondiale cotée à Hong Kong, donnera ainsi accès à ses 900 millions de clients particuliers qui n’auront plus besoin d’utiliser la plateforme Stock-Connect reliant les marchés continentaux à ceux de Hong Kong.
Coïncidence (ou pas ?), le lancement du système de CDR interviendra peu de temps après l’inclusion d’actions « A » chinoises dans l’indice des marchés émergents de MSCI, prévue pour mai 2018.
Peu après que les propos de Yan Qingmin aient été rapportés, Alibaba et son concurrent direct JD.com se sont déclarés prêts à sauter le pas, sachant que les deux sociétés représentent une capitalisation combinée de 500 milliards de dollars sur la base des ADR existants.
L’année 2018 marquera donc un tournant pour le marché des actions A chinoises, mais n’est pour l’instant pas très tendre avec la place de Hong Kong.
Mentions légales :
Ce document s’adresse uniquement aux professionnels concernés et aux investisseurs qualifiés, et n’est pas destiné aux particuliers.
Il est fourni exclusivement à titre informatif et éducatif et n’est pas destiné à tenir lieu de prévision, de produit de recherche ou de conseil en investissement, et ne doit pas être interprété comme tel. Il ne saurait constituer un conseil en investissement ni une offre, invitation ou recommandation d’investir dans des placements particuliers ou d’adopter une quelconque stratégie d’investissement. Les avis exprimés par le Groupe La Française reposent sur la configuration actuelle des marchés et sont susceptibles d’être modifiés sans préavis. Ces avis peuvent être différents de ceux d’autres professionnels de l’investissement. Publié en dehors de Hong Kong par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel en tant que prestataire de services d’investissement sous le numéro d’immatriculation 18673 X, société affiliée de La Française. Publié à Hong Kong par JK Capital Management Ltd., une société affiliée du Groupe La Française, agréée et réglementée par la Securities and Futures Commission de Hong Kong.
Par Fabrice Jacob, CEO de JK Capital Management Ltd., une société affiliée du Groupe La Française
La menace d’une guerre commerciale amorcée par les États-Unis contre, pour ainsi dire, l’ensemble de ses partenaires commerciaux ou presque fait craindre une chute des marchés financiers internationaux. Sans être explicitement désignée, la Chine semble être la cible principale de l’administration américaine. Le pays a exporté pour 506 milliards USD de marchandises aux États-Unis en 2017, affichant un excédent net de 375 milliards USD. Suite à la mise en place de droits de douane sur les panneaux solaires, les machines à laver, l’aluminium et l’acier (qui ne représentent que 6 milliards de dollars dans les exportations vers les États-Unis), la Maison-Blanche envisage un nouveau train de mesures pouvant porter sur 60 milliards de dollars de biens importés. Le président Donald Trump a déjà affirmé vouloir s’attaquer aux équipements de télécommunication, touchant donc potentiellement les ordinateurs portables et les smartphones.
La Chine va-t-elle riposter ? Oui, à sa façon. Elle en a en tout cas les moyens si l’on se rappelle des événements récents avec la Corée du Sud et le Japon. Le gouvernement chinois pourrait tout simplement inciter les industriels et les consommateurs à boycotter les produits américains, en tirant parti de son redoutable appareil de propagande et du patriotisme marqué de la population. Néanmoins, la Chine fera certainement preuve de tact dans la résolution de cette situation, tout simplement parce que les États-Unis ne jouent pas dans la même cour que le Japon ou la Corée. Nous nous attendons donc à une riposte. Même si nous ne savons pas ce qui se tramera en coulisses, il est certain que le gouvernement chinois ouvrira des discussions avec Trump pour éviter une véritable guerre commerciale.
Ce risque est-il de mauvais augure pour les actions chinoises ? Il semble en effet judicieux de se détourner des grandes sociétés chinoises exportant vers les États-Unis à court terme, même s’il vaut mieux attendre de nouvelles annonces avant de tirer des conclusions. Entretemps, les secteurs technologiques tournés vers la demande intérieure pourraient constituer de bons paris. Même chose pour les entreprises du secteur de la consommation cyclique qui devraient tirer parti de la hausse des salaires, les acteurs du e-commerce ou encore les compagnies d’assurance profitant de la faible pénétration des produits d’épargne, entre autres. À moyen et long terme toutefois, il ne faut pas perdre de vue le tableau qui se dessine : à savoir la réévaluation d’un marché qui a souffert pendant des années d’une décote liée aux risques structurels affectant l’économie (fort endettement des entreprises publiques, surcapacités dans le secteur des matières premières, bulle immobilière, etc.). Étant donné que la Chine a commencé à lutter contre ces risques au cours des dernières années et qu’elle continuera sur cette voie dans un futur proche, nous anticipons une réévaluation fondamentale portée par l’amélioration du sentiment des investisseurs eu égard aux perspectives de la croissance chinoise, qui se veut de meilleure qualité tout en restant pérenne.
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]]>L'acquisition d’IPCM reflète la volonté de La Française, en tant que gestionnaire européen de premier plan, de renforcer sa capacité d’innovation dans l’investissement socialement responsable (ISR). IPCM a déployé avec succès l'approche Stratégie Avancée d’Investissement (SAI) sur l’ensemble des portefeuilles actions et certains produits de taux de La Française. Cette approche SAI irrigue toute la stratégie d’investissement responsable du Groupe. Elle associe l’analyse des critères ESG (environnement, social et gouvernance) à des mesures stratégiques de la capacité d’adaptation et d’innovation, croisées avec l'analyse financière et la recherche thématique.
La recherche à IPCM est dirigée par Roland Rott, PhD, CFA, qui possède 15 ans d’expérience en investissement et recherche actions. Une équipe d’analystes se consacre à des secteurs et thématiques durables spécifiques dans le cadre d’une approche globale comprenant notamment l’évaluation des risques ESG, l’identification des opportunités de transition énergétique et l’analyse de portefeuille. L’équipe collabore étroitement avec les gérants de fonds dans la sélection des entreprises. Les analystes justifient en moyenne de plus de cinq ans d’expérience dans des fonctions de recherche diverses.
L’expertise d’IPCM en matière de développement durable est intégrée au processus d’investissement actions du Groupe via une plateforme de recherche interne propriétaire, et conduit au développement d’idées et de solutions d’investissement issues de la collaboration étroite entre les analystes, les gérants et les spécialistes produits.
L’acquisition, qui porte sur une surface de 4 100 m² et dont la livraison est prévue au 3ème trimestre 2018, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier LF Opportunité Immo.
L’actif est situé à Conflans-Sainte-Honorine, au sein de la zone Les Boutries. Cette zone, située le long de la Francilienne, accueille de nombreuses entreprises ainsi qu’une variété de restaurants. Plusieurs enseignes commerciales de renom sont en cours d’implantation. Le parc développera à terme une surface totale de 7 635 m2.
La Française REM était assistée par l’Etude Allez et Associés et par GL Conseils ; Atland par l’Etude Cheuvreux.
Organisée par la Chaire « Transitions démographiques, Transitions économiques », la Caisse des Dépôts, La Française AM, l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière, Primonial et Associés en Finance
Le Jeudi 29 mars 2018 de 17h à 19h30 à la Caisse des Dépôts, 56 rue de Lille, 75007 Paris
La montée des prix des logements dans les zones très tendues et le recul de l’âge auquel l’héritage est transmis conduisent à se réinterroger sur les alternatives à la détention-transmission traditionnelle.
Aussi, la Chaire TDTE a recensé les différents modèles de propriété existant au sein de l’OCDE et a étudié un nouveau modèle de « propriété à vie » (propriété sans transmission).
La Chaire s’est aussi penchée sur un autre dispositif, qui consiste en la liquéfaction du patrimoine immobilier des seniors. Ils seraient encouragés à céder leur logement à un investisseur institutionnel pour dégager des liquidités tout en garantissant leur maintien dans les lieux ; une partie de ces liquidités serait transmise aux générations suivantes.
Ces nouveaux dispositifs concernant les différents âges de la vie feront l’objet de débats avec des spécialistes et des personnalités marquantes.
Pour consulter le programme de la conférence, cliquer ici.
Jennifer Choi apporte à La Française sa vaste expérience de la gestion et de l’évaluation d’actifs dans l’immobilier commercial et l’hôtellerie. Avant de rejoindre le Groupe, Jennifer était Senior Manager de l’équipe d’investissement en immobilier étranger de KIM (Korea Investment Management), en charge du sourcing et de l’analyse financière des actifs, des levées de fonds et des relations investisseurs. Elle avait au préalable travaillé près de neuf ans au sein du groupe Évaluation de Cushman & Wakefield, dont trois en étant basée à Los Angeles (Californie), où elle s’est spécialisée dans l’évaluation d’établissements hôteliers. À son retour en Corée, Jennifer Choi a été nommée Responsable Évaluation pour un large éventail d’actifs : hôtels, bureaux, commerces et industrie.
Jennifer est titulaire d’une licence en gestion hôtelière de Pennsylvania State University.
Basée à Séoul, Jennifer Choi sera directement rattachée au Directeur des Relations Investisseurs Asie, Shawna Yang.
Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International, a déclaré : « 2017 a marqué un nouveau tournant pour La Française. La signature d’une transaction majeure à Bruxelles pour le compte d’un club d’investisseurs coréens et français a porté les actifs gérés au nom d’investisseurs asiatiques à plus d’un milliard d’euros. Sachant que nous avons inauguré notre premier bureau coréen en 2016, cette croissance est exceptionnelle ! L’arrivée de Jennifer Choi est un véritable atout pour l’équipe et je suis persuadé qu’elle jouera un rôle clé dans le développement de notre expertise immobilière. »
En présence de :
Line BEAUCHAMP, Ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs au Canada (2007-2011), Déléguée générale du Québec en France.
Gilles VERMOT DESROCHES, Directeur Développement Durable, Schneider Electric France.
Michel CAZAUGADE, Président, Groupe pasteur Mutualité.
Christian DE PERTHUIS, Professeur d'économie à l'université Paris-Dauphine et fondateur de la chaire d'économie du climat.
Laurent JACQUIER LAFORGE, CIO Equity, Groupe La Française.
Live Point - Mercredi 28 mars 2018
29, rue des Sablons - 75016 Paris
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1 Bank of America Merrill Lynch (2017) « Two for Two: Asia/EM Equities likely to double in two years. » The Inquirer
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Retrouvez la version écrite de la vidéo sur les fonds de rendement RG2025 et MAI |
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Akram Gharbi, gérant du fonds, La Française Rendement Global 2025 | François Rimeu, gérant du fonds, La Française Lux Multi-Asset Income |
o La Française Rendement Global 2025 est un fonds à échéance fixe, et constitue le 4ème millésime de la gamme Rendement Global. Le fonds a été ouvert à la commercialisation en octobre dernier et déjà atteint près de 200M€ d’encours. o Son objectif de gestion : obtenir une performance nette de frais supérieure à celle des obligations émises par l'Etat français libellées en EUR à échéance 2025, sur la période de placement recommandée de 8 ans à compter de la date de création du fonds jusqu'au 31/12/2025. o Comme son nom l’indique, le fonds dispose d’un univers d’investissement global (Europe / US / Emergents), ce qui lui permet de diversifier le risque de crédit et de liquidité des émetteurs. o Les titres peuvent être libellés en euro ou en devises étrangères fortes (c’est-à-dire dollar, livre sterling, franc suisse et couronne norvégienne), intégrant une couverture systématique du risque de change.
| o MAI a été créé en août 2015, dans un contexte de taux bas qui prévaut encore aujourd’hui. Son objectif est de générer une croissance régulière du revenu et du capital (rendement total) à moyen et à long terme. o MAI regroupe 4 stratégies dans un même fonds, qui ont été choisies pour leur potentiel de rendement élevé et reflètent tous une des expertises clés de La Française :
Nous pilotons l’allocation entre ces 4 poches de façon dynamique, selon nos convictions et les niveaux de risque, et pouvons également couvrir le fonds en cas de stress sur les marchés, afin d’encore réduire le risque du portefeuille.
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Akram Gharbi, gérant du fonds, La Française Rendement Global 2025 | François Rimeu, gérant du fonds, La Française Lux Multi-Asset Income |
o Nous sommes présents sur toutes les zones géographiques, et privilégions actuellement le segment des obligations à haut rendement, aussi appelé « High Yield ». o Le High Yield présente un potentiel de rendement plus fort que les obligations Investment Grade, mais aussi un risque de défaut plus élevé. Cependant, les taux de défaut devraient rester faibles à court / moyen terme grâce à une macroéconomie mondiale bien orientée. Par ailleurs, le High Yield est moins sensible aux variations des taux d’intérêts. o Le portefeuille est aujourd’hui diversifié sur plus de 130 lignes ; notre objectif est de le diversifier à plus de 160 lignes. Environ la moitié du fonds est aujourd’hui investie sur l’Europe, 40% sur l’Amérique du Nord et le reste dans les pays émergents.
| o MAI est aujourd’hui positionné sur 4 moteurs de performance, qui sont faiblement corrélées entre eux. Ainsi, en cas de forte tension sur les marchés, le fonds cherche à offrir un comportement robuste, surtout face aux fonds qui ne reposent que sur une seule classe d’actifs. o Le portefeuille affiche aujourd’hui plus de 100 lignes, à travers toutes les zones géographiques : Amérique du Nord, Amérique Latine ainsi que l’Europe, l’Afrique, les pays émergents et l’Australie. o Lors d’épisodes de stress récents, comme le Brexit en 2016 ou encore la baisse de l’Eurostoxx en 2017, nous avons fait usage de la couverture tactique, permettant à MAI de rester relativement stable malgré la baisse sur les marchés. |
Akram Gharbi, gérant du fonds, La Française Rendement Global 2025 | François Rimeu, gérant du fonds, La Française Lux Multi-Asset Income |
o L’équipe crédit se compose de 9 gérants analystes, dont 5 spécialisés sur le segment du High Yield qui dispose d’une forte expérience sur ce segment. o Nous choisissons les valeurs qui nous semblent les plus robustes en nous appuyant sur des fournisseurs indépendants de recherche de premier plan comme par exemple CreditSights ou Lucror Analytics. o Nous disposons également de ressources d’analyse conséquentes en interne avec des équipes spécialisées, par exemple sur les pays émergents. o Notre discipline de gestion se traduit dans nos résultats ; à titre d’exemple, le prédécesseur Rendement Global 2022, qui poursuit comme Rendement Global 2025 une stratégie à échéance globale avec un focus sur le High Yield, affiche une performance annualisée nette de 4,73% sur 3 ans1 et se place au 1er décile de sa catégorie sur 3 ans (source : Morningstar, à fin février). Le niveau de risque de RG 2025, en termes de SRRO, est de 32. |
Notre équipe de 3 gérants analyse régulièrement les 4 classes d’actifs en fonction de la performance espérée et de la volatilité attendue. Cela nous permet de définir les poids alloués à chacune d’entre elles. o Ensuite, nous confions la sélection des titres sousjacents aux équipes internes spécialisées, une pour chaque classe d’actifs. o Comme déjà évoqué, en cas de stress important sur les marchés, nous pouvons faire appel à notre outil de couverture tactique pour chercher à réduire l’impact d’un choc de marché sur le fonds. o Nous sommes satisfaits des résultats de MAI ; la part R (créée en août 2015) affiche une performance nette de +8,32% en 2016 et +6,72% en 20173. Le niveau de risque du fonds, en termes de SRRI, est de 4.4 |
1 Performance de la part R du fonds La Française Rendement Global 2022, à fin février 2018, sur 3 ans glissants. Conformément à la réglementation en vigueur, les performances de Rendement Global 2025 ne pourront être affichées qu’après 12 mois d’existence révolus. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.2 SRRI = « synthetic risk reward indicator » / indicateur synthétique risque / rendement; de 1 = peu risqué à 7 = très risqué. 3 Performance de la part R à fin février. Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. 4 SRRI = voir note n. 2
Vous l’aurez compris, dans la recherche de rémunérations intéressantes, il est désormais nécessaire de prendre plus de risque et s’orienter vers des produits ciblant des classes d’actifs à rendement potentiel plus important. RG 2025 propose une stratégie globale obligataire, à échéance fixe 2025 ; tandis que MAI repose sur une allocation dynamique entre 4 classes d’actifs différentes. Si ces produits ont retenu votre attention, rapprochez-vous de votre interlocuteur habituel pour mieux apprécier les caractéristiques du fonds en fonction de votre pays de domiciliation et de votre profil de risque.
Avertissements
Risques RG 2025 : Risque de perte en capital : l'investisseur est averti que son capital n'est pas garanti et peut donc ne pas lui être restitué. Les risques spécifiques suivants peuvent entrainer une baisse de la valeur liquidative du fonds :
Risques MAI :
Risque de perte en capital : l'investisseur est averti que son capital n'est pas garanti et peut donc ne pas lui être restitué. Les risques spécifiques suivants peuvent entrainer une baisse de la valeur liquidative du fonds :
Les informations présentées dans ce support ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de l’établissement du support en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du groupe La Française sur les marchés et leur évolution. Elles n’ont pas de valeur contractuelle et sont sujettes à modification. Il est rappelé par ailleurs que les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Compte tenu des risques d’ordre économique et boursier, il ne peut être donné aucune assurance que le produit présenté atteigne son objectif. Pour tout complément d’information et avant toute souscription, veuillez prendre connaissance pour le produit présenté de la documentation règlementaire, des frais et des risques associés qui peuvent avoir un impact à la baisse sur la valeur liquidative du produit. Équipes de gestion actuelles, susceptibles d’évoluer dans le temps.
]]>En novembre 2008, la Federal Reserve des Etats-Unis initie une politique massive d’assouplissement quantitatif sous la forme d’achats d’obligations qui prend fin en 2017, lorsque l’Institution monétaire annonce qu’elle va diminuer son bilan en ne réinvestissant plus le produit des remboursements de ses actifs en portefeuille, entretemps son bilan est passé de moins de 10% à plus de 30% du PIB des Etats-Unis. En mars 2015 la Banque Centrale Européenne initie la même politique avec les mêmes effets, et n’a toujours pas annoncé quand elle entend diminuer son bilan. Les effets de ces interventions se sont traduits par une forte compression mécanique des taux d’intérêt à long terme alors que les taux directeurs à court terme étaient maintenus à zéro, voire en dessous. Les actifs les plus liquides, actions et obligations, ont subi à des degrés divers la contagion de cette valorisation forcée.
A la recherche de performance soutenable sur le long terme, les investisseurs se sont logiquement tournés vers les actifs illiquides, a priori moins directement influencés par les interventions des banques centrales. Ils ont jeté leur dévolu vers l’immobilier, mais aussi sur la dette privée (Private Debt) et le capital-investissement (Private Equity), équivalents non cotés des actions (Public Equity) et des obligations (Public Debt). Les fondations des universités américaines de l’Ivy League, dont Harvard, Yale et Princeton, réputées pour la qualité de leur allocation d’actifs, ont depuis longtemps investi plus de la moitié de leurs patrimoines en actifs illiquides. Les particuliers très fortunés (Very High net Worth Individuals) ont aussi la particularité d’avoir une majorité de leur patrimoine investis dans de tels actifs. En fait tout investisseur qui a un passif très long désire capturer dans sa performance les primes censées rémunérer l’illiquidité de ces placements.
"Ils sont 16 millions en France, 2,3 milliards dans le monde et en 2030 ils représenteront 75 % de la population active... les millennials vont peu à peu imposer leurs valeurs et leurs modes de vie, autant bien les connaître pour mieux les servir. Caractérisés par une très faible attache et une folle capacité de zapping, ils ne se sentent liés à aucun produit ou service et leurs critères sont la facilité, l’efficacité et la rapidité. YOLO (You Only Live Once) et FOMO (Fear Of Missing Out) sont leurs règles de vie.
Dans le domaine de l’épargne immobilière qui reste au centre des préoccupations car quoiqu’il advienne se loger reste une nécessité incontournable, le millennial est mobile, a de moins en moins la capacité d’acheter en pleine propriété (l’urbanisation et la rareté du foncier ont augmenté les prix) et sa vie n’a pas la linéarité des générations précédentes. En effet, sa fonction d’utilité est toute à creuser dans la mesure où elle devient clairement une juxtaposition d’utilités marginales : aucune composante n’est prépondérante pour le millennial si ce n’est sa liberté, la qualité du service, sa capacité à le customiser à sa guise et son intransigeance quant à la maîtrise de son destin. Ses besoins immobiliers, comme sa capacité financière, changent régulièrement. De plus en plus, il sera attaché aux services qui seront liés à son logement : wifi, conciergerie, garde d’enfants, équipements sportifs ou de loisirs, co-working, co-living à la carte, menus travaux…"
Pour rappel, l'objectif du fonds est de surperfonner l'OAT 4.25% octobre 2018 sur horizon de 4 ans renouvelables. La stratégie d'investissement consiste à gérer dynamiquement un portefeuille diversifié d'obligations ayant une échéance proche de la période d'investissement fixée jusqu'en octobre 2018. Le fonds cherche à optimiser le taux de rendement actuariel moyen du portefeuille à l'échéance de la période d'investissement.
Nous vous informons que l'échéance du fonds octobre 2018 ne sera pas renouvelée, l'actif restant du fonds ne permettant plus de mettre en oeuvre de manière optimale la stratégie de gestion. Ainsi, la société de gestion La Française Asset Management a pris la décision de liquider le fonds.
IPSO FACTO, opération neuve, livrée en mai 2017 par Bouygues Immobilier, développe 14 000 m² de bureaux et de services.
L’identité architecturale, signée Brenac & Gonzalez & Associés, repose sur la lecture de strates superposées, chaque niveau de l’immeuble se proposant comme libre de mouvement par rapport aux autres. Des variations ainsi créées, est née une galerie couverte jalonnée de majestueux poteaux en V, desservant les halls et les espaces de restauration, ainsi que des terrasses, des patios et des loggias en double hauteur.
Les équipes de la Croix-Rouge française devraient s’installer dans l’immeuble à l’achèvement des travaux d’aménagement, en juillet prochain.
« Nous sommes très heureux d’accueillir la Croix-Rouge française dans IPSO FACTO. Cette prise à bail démontre toute la pertinence de son emplacement, de ses performances techniques et environnementales, répondant aux exigences de la Croix-Rouge française en termes de flexibilité, d’efficacité et de qualité de vie au travail » explique Thierry Molton, Directeur de l'Asset management immobilier d'entreprise de La Française REM.
Dans cette transaction, La Française REM, assistée par B&C France, était conseillée par BNP Paribas Real Estate et Maître Ronite Nika Cohen ; la Croix-Rouge française était conseillée par la société Flabeau et Maître André Jacquin.
]]>Jusqu’au 26 janvier les marchés actions affichaient des hausses soutenues et traitaient les hausses de taux et de la parité euro-dollar avec une certaine négligence. L’état d’esprit a significativement changé à cette date avec une correction de l’ordre de 10 % des marchés Actions. Si les taux européens sont restés inchangés (1,01 % sur l’AOT 10 ans fin février), le discours de Jérôme Powell, nouveau président de la FED, laissant anticiper des hausses de taux récurrentes en 2018 et la hausse du dix ans américain (T-Bonds US +0,15pt sur 1 mois à 2,87 % pour le 10 ans) a focalisé l’attention. Les marchés ont souligné ce changement de régime par une hausse violente de la volatilité, amplifiée par des éléments techniques. La combinaison de taux en hausse et de la reprise de la volatilité ont logiquement abouti à des taux d’actualisation plus élevés des bénéfices futurs et donc à une correction.
Ce changement de régime semble aujourd’hui absorbé par les marchés, mais malgré une légère reprise depuis la fin de la première semaine de février, les investisseurs restent circonspects. Il est vrai que les tensions sur les taux d’intérêt restent présentes, tout comme les inquiétudes portant sur une possible accélération de l’inflation. Il est également vrai que les indicateurs avancés de la croissance économique plafonnent depuis quelques jours. Mais ces indicateurs plafonnent à un niveau élevé, cohérent avec une croissance mondiale toujours supérieure à 4 % pour l’ensemble de l’année et les publications des résultats 2017 sont sur une tendance positive. A la clôture du 1er mars, 76 % des sociétés du Stoxx 600 et 97 % du S&P500 avaient publié leurs résultats. Les chiffres d’affaires sont majoritairement au-dessus des attentes, comme les résultats nets des deux côtés de l’Atlantique. En Europe, après un début de saison en demi-teinte, les publications se sont améliorées pour atteindre un niveau de surprises positives équivalent au Q4-2016. En revanche, les attentes communiquées par les entreprises sont inférieures aux cibles indiquées les trimestres passés (30 % plus faibles que les attentes vs. 11 % au Q2-2017 par exemple). Dans ce contexte de craintes de tensions inflationnistes et d’un flux dense de publications de résultats, les secteurs sensibles aux taux (à duration longue) ont enregistré une baisse en février.
La circonspection des investisseurs est également largement entretenue par une reprise des tensions politiques, notamment celles générées par le Président Trump affirmant une hausse à venir des barrières tarifaires pouvant peser sur le commerce mondial. Nous avions soulevé ce risque portant sur les traités commerciaux, il est devenu d’actualité. Les mesures annoncées ne devraient concerner que les importations d’acier et d’aluminium (avec des exceptions) et pourraient être mises en place dès la fin mars. Mais les propos du Président Trump combinés à la récente démission de son conseiller économique à la Maison Blanche Gary Cohn, laissent anticiper un possible durcissement des conditions commerciales concernant les échanges avec les Etats-Unis et de manière à peine voilée la relation commerciale, financière et de concurrence avec la Chine. Cette démission pèsera sur le risque générant une pression sur les marchés actions, le dollar US et donc sur le Yen et enfin sur les actions en Asie.
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En effet, dans le dernier mouvement de hausse des taux nominaux core qui a démarré début décembre, la hausse des taux réels bien plus que la hausse des anticipations d’inflation a soutenu ce mouvement. Les taux réels ont suivi les révisions à la hausse des perspectives de croissance. Les valorisations demeurent donc attractives sur les points morts d’inflation et leur rebond viendra de surprises à la hausse sur la publication des chiffres d’inflation, ce dont nous sommes convaincus cette année, aux Etats-Unis : en particulier, l’inflation sous-jacente, sur laquelle les attentes restent timides, devrait être tirée par le cycle économique. La courbe des points morts d’inflation demeure plate sur ces deux zones et la prime sur les maturités les plus longues nous semble toujours très faible au regard de la dynamique du cycle économique à l’oeuvre. Nous sommes donc positifs sur les points morts d’inflation US et euros et privilégions les maturités longues.
Le nouveau directeur de la Réserve fédérale américaine est entré en fonction et a d’ores et déjà affiché sa confiance sur le rythme d’inflation à venir. Des membres du Board de la FED, de plus en plus nombreux, évoquent ouvertement la nécessité d’un resserrement monétaire plus important. Et nous y croyons : la réforme fiscale votée en décembre s’est accompagnée de nouvelles mesures de dépenses budgétaires depuis le début de l’année et ces deux éléments, à intégrer par la FED, devraient soutenir la révision à la hausse de leur perspective de croissance du PIB pour 2018 ; l’inflation devrait accélérer tout comme l’inflation salariale au regard des tensions sur le marché du travail, autant de raisons pour normaliser un peu plus rapidement la politique monétaire. Les taux courts américains devraient donc continuer de se tendre. Toutefois, la FED, comme les autres banques centrales des principaux pays développés, sera attentive à toute remontée trop brutale des taux, susceptible de fragiliser la dynamique de croissance.
En zone euro, les taux réels demeurent très bas versus le reste du monde et au regard de la conjoncture : comme aux US, leur normalisation accompagnera la fin du QE de la BCE. Leur bas niveau les rend vulnérables à toute communication en ce sens de la BCE et aux évènements Outre-Atlantique.
La reconnexion des taux des pays coeur aux fondamentaux économiques demeure notre scénario central mais ne se fera pas en ligne droite !
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Ce n’est sans doute pas une bonne nouvelle mais elle est légitime dans le contexte de croissance mondiale et de normalisation monétaire qui prévaut… et il est tout de même difficile d’imaginer qu’une hausse de 50 points de base des taux, en supposant que l’amplitude du mouvement reste modérée, puisse avoir un impact très négatif sur les bénéfices. Cette hausse ne nous semble pas de nature à remettre en cause la bonne santé des secteurs immobiliers ni avoir un impact potentiel conséquent sur le refinancement des sociétés américaines.
La relation entre l’inflation et les bénéfices des entreprises n’est pas simple à analyser. Les actions étant des actifs réels, elles doivent profiter de l’inflation via une hausse de leurs bénéfices. Mais ce constat ne reste vrai que jusqu’à un certain niveau, une inflation trop importante augmentant l’incertitude et donc les primes de risque. Historiquement, les valorisations des marchés sont à leur maximum pour une inflation entre 3 % et 3.5 %, or l’inflation, même en redressement, est encore loin de ce standard et ne constitue donc pas une menace.
Il faut garder en tête que de manière globale, les bilans des banques centrales sont encore en augmentation et que cela va rester vrai a minima jusqu’en fin d’année. Nous n’anticipons pas de retrait brutal des liquidités excédentaires à court ou moyen terme.
Il faut prendre un peu de recul face aux récentes annonces : même si elles entraient en vigueur, elles n’impacteraient que modestement la croissance via le commerce mondial, et n’ont que rarement donné lieu, historiquement, à une escalade des mesures protectionnistes. Cela reste toutefois un point de vigilance si ces mesures étaient appliquées à des secteurs clefs.
Pour toutes ces raisons, nous restons positifs sur les marchés actions à moyen terme et considérons l’ajustement significatif des valorisations comme une opportunité. Nous conservons par ailleurs un biais légèrement haussier sur les points morts d’inflation, et les taux de manière générale.
Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie
]]>- Nouvel indicateur de référence : 70% Barclays Euro Aggregate Bond Index 3-5 Total Return Index Value Unhedged EUR + 30% Stoxx Europe 600
- Objectif de gestion : Fonds flexible, le fonds a pour objectif de valoriser le capital ou de maximiser la performance sur l’horizon de placement recommandé (3 ans)
- Stratégie d’investissement: une prépondérance pour les grandes capitalisations dans les critères de sélection des actifs est apportée. Par ailleurs, la fourchette de sensibilité du portefeuille est ajustée à [-3 ; 5] et la fourchette de volatilité-cible à 3-9% (hors circonstances exceptionnels de marché)
Les fonds nourriciers de La Française Patrimoine Flexible, CMNE Participation Flexible, Patrimoine Croissance et Erès La Française Patrimoine Flexible seront également concernés par ce changement.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Patrimoine Flexible disponibles sur le site www.la-francaise.com.
Pour en savoir plus :
- Nouvel indicateur de référence : 50% Barclays Euro Aggregate Bond Index 3-5 Total Return Index Value Unhedged EUR + 35% EONIA capitalisé + 15% Stoxx Europe 600.
- Objectif de gestion : surperformer l'indice composite 50% Barclays Euro Aggregate Bond Index 3-5 Total Return Index Value Unhedged EUR + 35% EONIA capitalisé + 15% STOXX Europe 600 dividendes réinvestis en optimisant sa performance au moyen d'une gestion discrétionnaire combinant une diversification des investissements entre les marchés de taux, obligataires et/ou monétaires et les marchés actions dans diverses zones géographiques dans le respect des fourchettes d'expositions prédéterminées.
- Stratégie d’investissement: une prépondérance pour les marchés actions de l’Union Européenne est apportée. Par ailleurs, la fourchette de sensibilité du portefeuille est ajustée à [-1 ; 6].
Le fonds nourricier de La Française Séréni Flex, CMNE Participation Quiétude est également concerné par ces changements.
Nous attirons votre attention sur la nécessité et l’importance de prendre connaissance du document d’information clé pour l’investisseur du fonds La Française Séréni Flex disponibles sur le site www.la-francaise.com.
]]>« La Française continue son avancée sur les marchés asiatiques. Nous sommes fiers d’accueillir des collaborateurs passionnés et dynamiques comme Kelly pour soutenir nos efforts de développement commercial sur ces marchés », a commenté Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International.
Kelly Choi justifie d’une expérience de 5 ans dans la gestion d’actifs, ayant assumé des fonctions de développement des ventes (en se concentrant sur la région de la Grande Chine) pour plusieurs entreprises du secteur, dont PineBridge Investments Asia et Baring Asset Management.
Elle est titulaire d’une licence de droit de l’université du Kent et d’un Master en comptabilité et finance de la London School of Economics.
L’actif, situé au 17 rue de Milan, est à proximité de la gare Saint-Lazare et de nombreuses lignes de métro. L’environnement est mixte avec des immeubles de bureaux de grandes entreprises internationales, des logements et plusieurs lieux touristiques et salles de spectacles majeurs (Pigalle, Montmartre, le Casino de Paris, La Grande Comédie, Le Moulin Rouge, …).
Il s’agit d’un hôtel 4 étoiles (ancienne clinique réhabilitée à neuf), d’une surface utile de 1 922 m² et de 56 chambres réparties sur 7 niveaux et un niveau de sous-sol. Au dernier étage, des chambres supérieures offrent une vue imprenable sur les toits de Paris et le Sacré Cœur, dans un esprit loft avec terrasse. Il est également doté d’un spa avec piscine, hammam et sauna, d’un bar-lounge, et d’un salon privatisable donnant sur un patio végétalisé. La livraison a eu lieu en novembre 2017.
Un bail de douze ans ferme a été signé avec Suitcase Hospitality, groupe hôtelier, qui reste détenteur du fonds de commerce et exploitant de l’hôtel.
« Le développement de notre parc hôtelier est actuellement très dynamique sur le Grand Paris et dans de grandes métropoles françaises comme Bordeaux. Nous sommes très satisfaits de collaborer en toute confiance avec La Française REM, le leader des Asset Managers, pour nous accompagner sur la partie Murs de certains de nos hôtels en exploitation », précise Jean-Baptiste Martin, co-fondateur de Suitcase Hospitality.
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
La Française REM était conseillée par la société Tourny Meyer (Benoit Joncoux) et l’étude Oudot & Associés.
Suitcase Hospitality a été conseillé notamment par Vanessa Lemetayer (notaire), René-Pierre Andlauer (Avocat associé du cabinet Cornet Vincent Segurel), Frasson Gorret Avocats, French Hôtel (AMO-coordinateur FF&E), ACPH (AMO) et In Extenso (Olivier Petit et Samuel Couteleau).
Présentée par Marc Fiorentino et Aïcha Hmissi, journalistes à BFM Business reviennent sur ce qu'i ne fallait pas oublier cette semaine...
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1 McKinsey.
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]]>En 2012, La Française, à travers sa filiale de gestion La Française Real Estate Managers (REM), a créé un département dédié à la gestion de commerces en France sous l’impulsion de Thierry Molton, Directeur de l’Asset management immobilier d’entreprise. Six experts, répartis par zone géographique et sous la direction de Loïc Jardin, Directeur Asset Management – Commerces, gèrent près de 1,7 milliard d’euros d’actifs, représentant près de 460 actifs, plus de 800 000 m2, près de 680 baux et 98 000 000 euros en loyers annuels.
Le patrimoine immobilier géré par La Française REM s’étend sur la France entière (50% à Paris et en région parisienne et 50% dans les grandes métropoles de province) et regroupe trois principales catégories d’actifs : les commerces en pieds d’immeubles (42%), les retail parcs (27%) et les supermarchés (29%). Le complément, à savoir 2%, est investi en centres commerciaux.
« La Française REM a pour objectif, outre la gestion du parc immobilier, d’accompagner les enseignes locataires dans leurs plans de développement. Cet accompagnement ainsi que la qualité des emplacements des actifs se reflètent dans la qualité des signatures des entreprises locataires et le faible taux de vacance du parc, inférieur à 4%. » déclare Loic Jardin, Directeur Asset Management – Commerces.
La Française REM traite avec les plus grandes enseignes de l’équipement de maison, du prêt-à-porter et de la grande distribution. Au cours du dernier trimestre, La Française REM a réalisé trois belles signatures dans la catégorie des actifs « pieds d’immeubles » situées dans le marché très concurrentiel de Paris :
En plus de ces 1,7 milliards d’euros, La Française gère également 800 millions d’euros d’actifs immobiliers de commerces à travers ses filiales La Française Real Estate Partners (entité dédiée à l’acquisition et la gestion immobilière notamment dans le cadre de mandats pour les clients institutionnels) et La Française Real Estate Partners International (entité dédiée à la gestion des actifs immobiliers situés hors de France).
L’actif est situé à 250 mètres du tramway qui permet de rejoindre la Gare Lille-Flandres en 14 minutes.
Les bâtiments A à E, livrés en janvier 2017, sont entièrement loués, le bâtiment F sera livré courant 2018. Cette acquisition a été réalisée pour le compte des Sociétés Civiles de Placement Immobilier Eurofoncière 2 et Crédit Mutuel Pierre 1.
La Française REM, TMC Property et SCI Agicha ont été conseillés par TOSTAIN ET LAFFINEUR. L’étude MONTRE-CARTIER-L'HERMINIER-BOUTON HUGUES a représenté l’acquéreur dans le cadre de cette acquisition et l’étude Philippe DELATTRE, Arnaud VERMUNT, Juliette BONDUELLE-HAIRE, Pierre-Elie MARTIN et David BENVENISTE, les vendeurs.
Nous conservons une vue positive sur les indices boursiers, d’autant que la saison des résultats qui s’achève aux États-Unis a de nouveau été satisfaisante (78% de surprise positive sur les résultats, 76% sur les chiffres d’affaires).
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
Les marchés pourraient poursuivre leur révision d’anticipations d’inflation à la hausse de manière modérée, mais nous n’attendons pas de remontée violente des points morts d’inflation. Les facteurs désinflationnistes de long terme comme la démographie vont continuer de peser sur les attentes pendant encore longtemps.
Les taux nominaux pourraient continuer de monter légèrement, mais nous pensons que les prix approchent maintenant de niveaux de valorisation plus raisonnables.
Dans notre scenario, la Fed monte ses taux de manière ordonnée, ce qui permet une poursuite de la hausse des indices boursiers, ces derniers étant aidés par une forte croissance des résultats et des valorisations pas encore trop chères.
Nous pensons que les actions Euro devraient également afficher de belles performances dans cet environnement, mais cette performance pourrait toutefois être pénalisée par la force de l’Euro.
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La Française REM a ainsi reconstitué la pleine propriété du volume composé des bureaux donnant sur le boulevard du Montparnasse. L’immeuble, situé au 100-104 boulevard du Montparnasse, au pied du métro Vavin, abrite également le célèbre restaurant La Coupole au sein d’un volume séparé.
Cet investissement a été réalisé pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier Epargne Foncière.
L’immeuble, qui développe une surface utile de 5 645 m² répartis sur 9 étages, comporte également un commerce en rez-de-chaussée et 75 places de parking.
La Française REM était assistée par l’étude Allez et Associés, le premier vendeur par Maître Jérôme ADER et le second vendeur par l’étude BOUVAT-MARTIN, BENICHOU & ESCARGUEIL-VANDERHEYDEN.
La Française Real Estate Partners International a acquis, pour le compte d’un Organisme de Placement Collectif en Immobilier réservé aux institutionnels de La Française, un immeuble de bureaux situé au Muiderstraat 1 dans le centre d’Amsterdam.
Le bâtiment de 5 étages, rénové en 2012/2013, offre 2 731 m² de surface utile à usage de bureaux et centre d’affaires et est intégralement loué.
Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Nous réalisons ainsi notre deuxième acquisition aux Pays-Bas. L’offre limitée d’espaces de bureaux modernes à Amsterdam et la demande actuellement forte devraient avoir un impact positif sur la valorisation de l’actif et les niveaux de loyer. Nous continuons de rechercher des opportunités d’investissement similaires en termes de qualité et de profil. »
La Française Real Estate Partners International a été assistée par le cabinet Houthoff Buruma et par CBRE Netherlands.
1 Exemple d’investissement détenu dans le portefeuille. Celui-ci n’est pas représentatif des investissements futurs et ne saurait refléter entièrement la composition du fonds.
La direction aura tout de même été assez claire, en tout cas en ce qui concerne les indices actions avec une semaine de rebond marquée : +4% pour le S&P 500, +3% pour les actions euro ou encore +5% pour les actions des marchés émergents.
Comportement moins linéaire pour les marchés obligataires et pas forcément facile à lire : les taux américains se sont tendus assez fortement suite aux chiffres d’inflation largement au-dessus des attentes mercredi dernier. Ils sont ainsi passés en une journée de 2,82% à 2,94%, la hausse se faisant principalement via la composante inflation, ce qui semble assez logique. Depuis, le marché revient, le 10 ans étant actuellement à 2,86%, soit très proche des niveaux pré chiffres d’inflation.
Enfin, le dollar continue de baisser, ce qui nous semble logique étant donné les annonces de déficits fiscaux abyssaux que nous prépare l’administration Trump. On pourrait approcher des déficits fiscaux comparables à ceux de 2008, mais sans crise économique…
Les évènements à retenir de la semaine dernière :
Le marché n’est pas toujours facile à lire en ce moment, la journée où l’inflation est tombée étant par exemple « spéciale » (baisse massive des indices actions pour remonter très fortement ensuite...). Nous conservons toutefois une vision positive action à moyen terme : la croissance est très bonne, les résultats des entreprises sont très bien orientés et les valorisations ne sont pas excessives. L’inflation remonte, oui, mais les points morts d’inflation sont déjà sur des niveaux assez élevés et les taux réels se sont déjà bien tendus. Nous jugeons toujours le potentiel de hausse de taux à court terme assez faible étant donné les niveaux actuels.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
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]]>Livré en avril 2017, l’immeuble certifié HQE niveau « très bon », développe une surface de 13 624 m² en R+4 et offre 157 emplacements de parking.
La Française REM était assistée par l’étude Allez et Associés et par Cap Performance.
Sogelym Dixence était assisté par Alcaix et Associés.
L’actif est à proximité de la station de métro « Gorge de Loup » située à six arrêts de la Gare de Lyon Part-Dieu.
L’immeuble, Cap 9, développe une surface utile de 7 175 m² dont 6 011 m² de bureaux et 1 164 m² d’activités en R+5. Il offre 56 parkings dont 12 places extérieures et 44 en sous-sol. L’actif est d’ores et déjà loué auprès de 6 locataires de qualité.
La Française REM et la Foncière du Rhône étaient conseillées par Jones Long Lasalle et respectivement par l’étude 14 Pyramides & Associés et l’étude Salichon & Associés.
]]>De fait, dans le monde digital qui nous irrigue un peu plus chaque jour, la relation client ne repose plus sur l’historique de la relation physique entre le client et son vendeur mais sur les données que l’on détient sur lui et le data mining que l’on en extrait. Les vendeurs expérimentés en produits technologiques de la Fnac sont largement remplacés par les informations trouvées sur internet, y compris, et peut être avant tout, par les commentaires de la communauté sur le produit convoité que lui aura automatiquement proposé son système d’informations.
De ce produit acheté sur le net une offre de produits complémentaires vient immédiatement se proposer à nous, tel le bon vendeur de livres d’autrefois avec la mention "ont aussi acheté"… sans compter que dans les jours qui suivent, les offres multiples de produits et services informatiquement reconnus comme susceptibles de nous intéresser viennent nous solliciter.
C’est ainsi qu’en une décennie, c’est le détenteur des données qui devient leader dans la chaine de création de valeur grâce à la connaissance du client par le big data et data mining qui permet de savoir quoi lui proposer. Une approche holistique du client prend alors le dessus sur une approche instantanée.
De cette première étape, le détenteur des données remonte ensuite la chaîne de valeur en intégrant verticalement les produits ou les services : c’est Google qui va vendre demain de l’immobilier, c’est aujourd’hui Amazon qui disrupte UPS et Fedex en intégrant la chaine du dernier kilomètre (le livreur Amazon via une reconnaissance visuelle et un code entre chez le client pour le livrer en son absence), c’est Orange qui rachète Groupama Banque. C’est demain Nespresso qui proposera du café équitable aux clients dont ils sauront par d’autres sources de données qu’ils ont une fibre "générosité impact investing".
Les millennials, un nouvel acteur économique à part entière regroupant les natifs de 1980 à 2000, baignent dans cette culture et représentent aujourd’hui un vrai challenge pour les activités "traditionnelles" y compris les 2.0 d’entre elles. La malheureuse expérience de Pepsi avec le bad buzz qui a suivi sa campagne publicitaire démontre la complexité de s’adresser à cette cible. 16 millions en France, 2,3 milliards dans le monde, les millennials représenteront, en 2030, 75 % de la population active… autant bien les connaître pour mieux les servir !
> Cliquez ici pour lire l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine
- Accélération de la croissance économique au niveau mondial, ce qui devrait se traduire, outre la hausse des volumes des crédits aux entreprises et aux particuliers, par la poursuite de la réduction des stimuli monétaires et devrait par conséquent favoriser la remontée des taux. C’est en substance ce que nous observons depuis le début de l’année. Les banques étant très sensibles à la hausse des taux, elles sont donc bien positionnées pour en profiter. Les prix des obligations subordonnées « CoCos » ont aussi tendance à réagir favorablement aux mouvements de hausse de taux (hors épisodes de volatilité importants, comme ce fut le cas ces derniers jours), ce qui est unique dans l’univers obligataire actuel, grâce notamment à leur corrélation partielle avec le comportement des actions bancaires européennes.
- Les activités non bancaires et génératrices de commissions (Asset Management, Banque privée et assurance) connaissent un développement important et permettent aux banques de compenser dans une certaine mesure la pression sur les revenus nets d’intérêts. Cette tendance, devrait se poursuivre sur les prochains trimestres et contribuer à l’amélioration de la profitabilité du secteur bancaire. Les banques les mieux positionnées pour en profiter sont Crédit Agricole (CASA), Intesa Sanpaolo, Caixabank et, dans une moindre mesure, UniCredit et ING.
- Au niveau de la solvabilité, la finalisation des accords de Bâle 3 (surnommés « Bâle 4 ») a finalement accouché d’une souris. Globalement, la règlementation contraignante est derrière nous. Les banques européennes sont dans leur grande majorité restructurées, assainies et avec des niveaux de capital suffisants. Les banques sont donc dans une situation plus favorable pour améliorer le retour de capital à l’actionnaire, financer la croissance organique additionnelle et/ou financer la croissance externe. A titre d’illustration, UBS vient d’annoncer un plan de rachat d’actions de CHF2bn, ABN fera le point sur sa solvabilité au premier trimestre 2018, idem pour ING Group. Il faudra s’attendre à d’autres mises à jour dans les prochains mois/trimestres, donc de potentielles bonnes nouvelles pour la classe d’actifs actions en termes de distribution de dividendes. Pour les obligations bancaires, les réglementations actuelles et à venir obligeront les banques à maintenir des ratios de solvabilité confortables, ce qui est également positif, tout en leur laissant le temps de se préparer à cette dernière vague règlementaire. Les établissements de crédit doivent en effet maintenir des niveaux de solvabilité supérieurs à leurs exigences afin de pouvoir payer les coupons des dettes subordonnées Additional Tier 1 (CoCos).
- Les mesures de l’UE et de la BCE en vue de réduire le poids des créances douteuses dans le bilan des banques seront aussi une bonne nouvelle. En effet, en plus de libérer de la capacité de financement, le nettoyage du bilan, notamment des banques italiennes, devrait se traduire par une amélioration de la rentabilité, par une meilleure croissance du PNB et une plus forte baisse du coût du risque. Des bilans assainis de ce point de vue permettront aux banques de faire progresser leur Return on Equity grâce à la diminution des provisions et devraient favoriser des rehaussements de notations auprès des agences S&P, Moody’s et Fitch.
- La réduction des coûts reste une priorité pour le secteur bancaire. Si un meilleur contrôle des coûts est nécessaire pour des raisons de rentabilité, c’est aussi une nécessité face à la montée en puissance des « Fintech » qui sont capables de proposer certains services à des coûts plus attractifs. Il faut donc s’attendre à la poursuite de la baisse des coefficients d’exploitation.
- Le retour à terme de la consolidation. Si nous ne croyons pas à des opérations significatives en 2018, nous estimons néanmoins que des discussions et appels à la consolidation resteront au coeur de l’actualité à moyen terme. De manière assez simple, dans un environnement de pression sur la croissance du PNB, la réduction des coûts est indispensable. Or, pour des banques ayant une présence dans plusieurs pays de la zone euro, procéder à une croissance externe dans l’un des pays de présence est le meilleur moyen d’afficher des gains de productivité importants. Toutefois, les obstacles réglementaires, notamment sur les surcharges de solvabilité imposées aux grands établissements systémiques, constituent pour le moment un frein à cette tendance.
- Malgré une très belle performance boursière réalisée par le secteur depuis la mi-2016 (+65 %), la valorisation des actions bancaires reste attractive, à 0,95 fois l’actif net, compte tenu de la croissance bénéficiaire attendue et des perspectives d’augmentation des dividendes au cours des prochains trimestres. Au 7 février 2018, les obligations subordonnées CoCos offrent en moyenne des rendements de 2,9 % (rendements aux premières dates de calls), ce qui demeure attractif dans l’environnement obligataire actuel.
Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie
L’adoption de la réforme fiscale et la remontée des prix du pétrole avaient amené de nouvelles raisons de revoir à la hausse les prévisions de bénéfices, ce que confirme d’ailleurs pour le moment la saison des résultats des entreprises avec de très bons résultats outre-Atlantique et des résultats solides en Europe, même si les chiffres d’affaires sont impactés par la hausse de l’Euro sur le 4e trimestre.
Mais la question que tout le monde se pose actuellement concerne la direction des taux, leur potentiel de hausse et si ces mouvements peuvent impacter les marchés actions, comme c’est le cas depuis quelques jours. A l’heure où nous écrivons ces lignes, le 10 ans américain est à 2,8 % et le 10 ans allemand à 0,73 %, soit des hausses respectives de 0,4 % et 0,32 % depuis le début de l’année. Si d’aventure ce mouvement de hausse s’amplifiait, cela pourrait être de nature à remettre en cause le scénario de « Goldilocks » que connaissent les marchés financiers depuis environ un an. Penchons-nous donc sur ce qu’anticipent les marchés obligataires à l’heure actuelle :
- Aux Etats-Unis, le marché anticipe des taux courts à fin 2019 à 2,41 %, soit entre 4 et 5 hausses de taux, 3 cette année et entre 1 et 2 en 2019. Ces anticipations nous semblent cohérentes.
- En zone euro, le marché anticipe 0,5 % de hausse de taux à horizon fin 2019. La BCE nous a laissé entendre jusqu’ici une fin de QE en fin d’année et une 1ère hausse de taux environ 6 mois plus tard. 0,5 % de hausse de taux sur le 2e semestre, cela nous semble là aussi correctement valorisé.
Sur les parties longues de la courbe, les taux réels restent bas, surtout en zone euro, et une hausse supplémentaire est toujours possible. Il faut toutefois garder en tête que l’inflation reste aujourd’hui contenue et que sans accélération de cette dernière, nous serons toujours en dessous des cibles de la BCE fin 2019.
Nous conservons une vue haussière sur les taux, principalement sur les parties longues allemandes, mais avec un budget de risque réduit après le fort mouvement que nous venons de connaitre. La croissance soutenue et les bons résultats des sociétés devraient par ailleurs permettre aux marchés actions de poursuivre leur hausse à moyen terme, sauf forte accélération des tensions obligataires.
Pour en savoir plus, télécharger la dernière lettre mensuelle Orientations et Stratégie
Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 9 février 2018 | Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 9 février 2018 |
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Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du mois qui suit le mois de souscription | Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4e mois qui suit le mois de souscription |
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Durant cette visite, Margot Morgiève, chercheuse en sciences sociales de la santé mentale à l'ICM, a également pu présenter une application concrète des dons que l'ICM reçoit. Elle a ainsi présenté une solution alliant à la fois intelligence artificielle et nouvelles technologies permettant d’améliorer la vie quotidienne des personnes souffrant de Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC). Cette application permet de mettre en lumière l’avancée technologique de l'ICM dans la recherche médicale.
L’ICM est un centre de recherche à dimension internationale, réunissant malades, médecins et chercheurs dans le but de mettre en place rapidement des traitements contre les lésions du système nerveux afin de les appliquer sur les patients. Un enjeu à la fois scientifique et médical.
La SCPI Pierval Santé, commercialisée par La Française et gérée par Euryale Asset Management, s'engage à reverser annuellement une quote-part des frais de collecte au profit de l'ICM.
N’oubliez pas que chaque don à titre privé / personnel permet, au-delà de notre partenariat avec l’ICM, de faire avancer rapidement la recherche et accélérer la découverte de traitements innovants mis au service des patients.
]]>Le 10 ans américain n’en finit plus de monter : 2,65% à fin janvier et 2,85% vendredi dernier, le plus haut depuis 2014. Le 10 ans allemand suit le mouvement et passe de 0,63% à 0,75%, le plus haut depuis 2015. Les raisons de ce mouvement ?
Les marchés actions, qui avaient été jusque-là relativement insensibles à la hausse des rendements obligataires, ont nettement corrigé la semaine dernière. A priori rien à voir avec les annonces de résultats, toujours très bien orientées (+15% de croissance des résultats sur 12 mois en zone euro par exemple).
Donc l’interrogation est de savoir où s’arrêteront les taux ?
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
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Les équipes de la Gestion Privée du Groupe La Française ont convié leurs clients à partager leurs perspectives pour 2018.
Au programme :
La Française remercie ses invités pour ce gage d’intérêt pour les thématiques abordées.
Lundi, le S&P 500 a baissé de -4.1%, ce qui est sa pire performance quotidienne depuis le 18 aout 2011. Tous les indicateurs montrent que cette baisse est liée à un excès de positionnement, dans la foulée de la baisse de la semaine dernière. En effet, les fondamentaux restent robustes tant sur le plan macroéconomique (l’ISM américain et le PMI européen étaient très forts) que microéconomique avec des résultats des entreprises qui surprennent positivement les attentes des investisseurs. Toutes les zones géographiques ont été impactées avec des baisses des indices boursiers d’ampleurs similaires ce matin. La hausse des rendements obligataires a pu également contribuer à fragiliser certaines stratégies systématiques.
La hausse de l’indice de volatilité VIX a été exacerbée par rapport aux autres actifs financiers à cause d’ajustements de stratégies systématiques vendeuses de futures sur le VIX. Ce dernier a connu la hausse la plus importante de son histoire (+20 points). Le niveau actuel du VIX implique une variation quotidienne moyenne de 2% du S&P 500, ce qui représenterait un changement radical par rapport à l’environnement de faible volatilité qui prévalait jusque-là. A titre de comparaison, la baisse du S&P de vendredi était la première supérieure à 2% depuis 2016. La volatilité réalisée en 2018, quoique élevée à 18%, ne justifie pas le niveau actuel du VIX.
La question actuelle est de savoir si la hausse de la volatilité de lundi a nettoyé les positions vendeuses de volatilité ou si il en reste à déboucler.
Les stratégies systématiques (volatilité ciblée, risk parity, CTA…) pourraient contribuer à plus de ventes dans les prochains jours. Ceci dit, et même si à très court terme la volatilité devrait rester élevée, il y a une divergence importante entre les fondamentaux, tous très bons, et les prix des actions au cours des derniers jours. Nous pensons donc que la correction de marché est une opportunité d’achat à moyen terme.
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A compter du 2 février 2018, le prix de souscription de la SCPI Epargne Foncière augmente de 1,91 % et composé de la manière suivante :
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 800 €
dont 60,00 € HT, soit 72,00 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (7,50 % HT, soit 9 % TTC au taux de TVA en vigueur)
Nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur commercial pour tout complément d’information.
Risques associés : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine.
Epargne Foncière a reçu le visa AMF SCPI n°17-33 en date du 1er septembre 2017. Une notice a été publiée au BALO n°116 du 27 septembre 2017 et n°12 du 26 janvier 2018.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM au titre de la directive 2011/61/UE, du 24/06/2014 (www.amf-france.org)
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]]>« Le problème de l’accès à l’information se pose aux gérants dans tous les domaines. Les entreprises peuvent tout autant nous tromper sur leurs engagements en matière d’évolution de cash-flows (flux de trésorerie) que de lutte en matière de réchauffement climatique. Nous avons l’habitude en tant que gérant de traiter ce type de sujets, de retravailler les données. Par ailleurs, depuis un an et les premiers travaux pour se mettre en conformité avec l’article 173, les entreprises comme l’ensemble de l’écosystème financier ont évolué. Il existe de plus en plus d’officines qui proposent des méthodologies, dialoguent avec les entreprises et les incitent à modifier leurs pratiques. Les méthodes et les mesures progressent. A terme, des normes vont émerger. En attendant, nous pouvons déjà évaluer les choix faits en matière de transition énergétique par les entreprises : critiquer certains process, privilégier d’autres. De nombreuses études démontrent maintenant que les sociétés qui sont bien gérées du point de vue des critères extra-financiers, et pas seulement financiers, enregistrent une meilleure performance boursière. D’un point de vue statistique, nous pouvons par exemple démontrer que depuis 2014, les entreprises qui émettent le moins de carbone ont enregistré une meilleure performance boursière que la moyenne. Les flux de capitaux vont s’orienter en priorité vers ces sociétés, elles auront plus de facilité à se financer que leurs homologues, une meilleure rentabilité et des cash-flows plus conséquents, ce qui incitera les autres à améliorer leurs pratiques et à diffuser des informations plus précises. »
Pour retrouvez l’ensemble des prises de parole de Laurent Jacquier Laforge, Responsable de la gestion actions de La Française dans le Grand Débat Impact Investing paru lundi 29 janvier dans Option Finance, cliquez ici
L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.
Son argumentaire repose sur les travaux des marginalistes autrichiens, tels que Friedrich Hayek, mais aussi sur les travaux de Frédéric Bastiat : en économie capitaliste de marché le profit se fait à la marge, que se passe-t-il donc si les coûts marginaux de production s’effondrent et tendent vers zéro ? Cette question est née de l’observation que la digitalisation permet la production et la distribution de nombreux biens et services à coût marginal quasi-nul dans de nombreux domaines qui relèvent de l’économie de la connaissance : édition, communication, divertissement, entre autres. L’Internet des objets ne fera que renforcer cette tendance. Sachant qu’à long terme le prix est égal au coût marginal, les profits disparaissent et les salaires par la même occasion. Et pourtant la demande de ces biens et services ne fait que croître, alors comment les produire ? Par les « communaux collaboratifs » répond Jeremy Rifkin, ceux ci sont des organisations qui regroupent des ressources communes et les utilisent collectivement en dehors de l’économie de marché. Utopie ? Peut-être mais des millions de ces communaux existent déjà : associations, fondations, clubs, coopératives, collectivités de toute sorte, qui sont finalement le pendant des Gafa, ces géants supranationaux de l’Internet, et se nourrissent du même terreau : la digitalisation. L’originalité de la réflexion n’est pas tant de se raccrocher à un voeu pieux d’empathie généralisée comme fondement du lien social, laquelle favoriserait un tiers-secteur non marchand susceptible d’employer les laissés pour compte de l’économie de la connaissance, mais de décortiquer le processus économique sous-tendant ce changement.
Dans cette vision optimiste, l’économie ne se résumera plus au dilemme entre le marché et l’Etat et les craintes de l’économiste hongrois Karl Polanyi que le marché autorégulateur conduise à un désencastrement de l’économique et du social propice à un réflexe protectionniste dans la société resteront lettre morte.
L’avenir du capital social serait donc brillant, il n’en est finalement pas de même pour l’environnemental qui pourtant fait tellement parler de lui. Anne-Caroline Prévot, Directrice de recherche CNRS au Centre d’Ecologie du Museum d’Histoire Naturelle, apporte un éclairage dérangeant mais explicatif des revirements sur les Accords de Paris. Il s’agit de l’amnésie environnementale prédominante dans nos sociétés sans que nous en ayons pleinement conscience. Ce concept repose sur l’hypothèse suivante : l’environnement naturel dans lequel nous grandissons constitue pour chacun d’entre nous la référence d’une nature « normale » et c’est à partir de ce niveau que nous mesurons les évolutions de la nature plus tard dans nos vies. L’engrenage est en place : de génération en génération l’urbanisation et les dégradations de l’environnement augmentent mais chaque nouvelle génération considère le niveau dégradé de cette nature comme un niveau « normal ». Cette extinction de l’expérience de nature rend difficile l’appréhension des impératifs de préservation, tels que la biodiversité par exemple. Anne-Caroline Prévot illustre le propos par un exemple amusant : en étudiant les dessins animés Disney depuis 1937, révélateurs de ce que nos sociétés occidentales ressentent de la nature, elle a observé que plus on avance dans le temps plus le nombre et la durée de scènes dans des paysages naturels diminuent, plus le nombre d’espèces animales s’atrophie. A partir des années 1980 la végétation a même complètement disparu !
Ce numéro de Stratégies et Durabilité offre, comme il est d’usage, un condensé de l’actualité sur l’investissement socialement responsable qui a retenu notre attention et décrit les développements du Groupe La Française dans ce domaine. Le « One Planet Summit » est le point d’orgue de ce dernier semestre riche de nouvelles initiatives, dont beaucoup sont à mettre au crédit du Groupe La Française comme vous vous en rendrez compte au fil des pages.
En savoir plus, téléchargez le dernier numéro de Stratégies et Durabilité.
Les tendances en place restent toutefois les mêmes :
Côté macroéconomie, pas énormément de chiffres à commenter :
Dernier point, la saison des résultats est lancée aux États-Unis et pour le moment, c’est tout bon !
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>L’année 2017 s’est terminée sur un rythme de croissance supérieur à celui anticipé en début d’année du fait d’une accélération en Zone Euro, au Japon et en Chine.
Il ne nous semble pas y avoir de raisons pour que l’année 2018 ne soit pas elle aussi bien orientée :
Les indicateurs avancés des principales zones sont sur des niveaux élevés et indiquent une croissance mondiale de l’ordre de 4% pour les prochains trimestres, soit le rythme le plus important depuis 2010.
Cette croissance apparait aujourd’hui beaucoup plus synchrone que lors des années précédentes. Sur les 25 principales économies mondiales, 24 sont aujourd’hui en territoire d’expansion.
Les perspectives des zones émergentes sont bonnes, et ce malgré le fléchissement anticipé de l’activité chinoise.
Les pressions inflationnistes restent elles très faibles, que ce soit en zone Euro, aux Etats-Unis ou dans le monde émergent. Les facteurs soutenant cette tendance seront encore là en 2018 mais certains aspects militent pour une accélération :
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La Française, groupe international et multi-spécialiste de gestion d’actifs avec plus de 65 milliards d’euros sous gestion, et Fred Alger Management, Inc. (« Alger »), société de gestion d'actifs new-yorkaise leader dans l’investissement sur les valeurs de croissance, sont fiers d’annoncer que les encours de la stratégie Alger Small Cap Focus ont dépassé les 650 millions USD et que la SICAV-Alger Small Cap Focus Fund, (le « Fonds ») a atteint 52,3 millions USD d'actifs gérés.
Le fonds est caractérisé par un portefeuille ciblé comptant généralement moins de 50 valeurs à forte conviction. La philosophie du gérant, Amy Zhang, est étayée par la performance solide qu’a enregistré le fonds depuis son lancement. Au 31 décembre 2017, ce dernier avait en effet surperformé son indice de référence (le Russell 2000 Growth) de plus de 450 pb depuis sa création et de plus de 700 pb depuis le début de l’année. La durée de placement recommandée pour le fonds Alger SICAV—Alger Small Cap Focus est de plus de cinq ans.
Amy Y. Zhang, CFA, Senior Vice President de Fred Alger Management, Inc., (le gestionnaire de portefeuille délégué de la SICAV Alger) possède 22 années d’expérience de l’investissement et est une spécialiste des actions de croissance de petite capitalisation. Elle se focalise sur des petites entreprises qu’elle juge exceptionnelles, et qui ont le potentiel de devenir de grandes entreprises tout en conservant leurs atouts uniques.
« Nous recherchons des sociétés à la pointe de l’innovation, qui sont susceptibles de transformer leur secteur et de bousculer l’ordre établi », affirme Amy Zhang. Elle ajoute : « Notre objectif est d’identifier des opportunités dans les secteurs de croissance, tels que les technologies et la santé. » Amy est appuyée par une équipe dédiée de quatre analystes (et peut compter sur les ressources de l’équipe d’investissement d’Alger comptant plus de 50 collaborateurs), qui fournissent une recherche bottom-up, fondamentale et originale afin de dénicher des opportunités à haute conviction parmi les sociétés de petite capitalisation. Tous les membres de l'équipe d’investissement suivent la philosophie d'investissement d’Alger mise en œuvre depuis plus de 50 ans consistant à investir dans les sociétés qui connaissent un « changement dynamique positif ».
Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International, a déclaré : « La stratégie d’Amy Zhang de miser sur un portefeuille ciblant les « meilleures idées » se démarque clairement des autres fonds axés sur les petites capitalisations, ce qui la rend particulièrement attractive pour les investisseurs européens. »
La Française et Alger collaborent depuis 2015 sur le plan de la distribution de fonds, du développement de marché et de la diversification de produit.
Alger SICAV, véhicule OPCVM de droit luxembourgeois, permet aux investisseurs résidant en dehors des États-Unis d’accéder au Fonds sur des classes libellées en dollar et en euro (couvert). Alger s’est associé à La Française dans le cadre de la distribution des compartiments d’Alger SICAV en Europe continentale.
Avertissement
Ceci est un document promotionnel. Ce communiqué de presse s’adresse à la clientèle professionnelle au Royaume-Uni et dans la CE uniquement. Les informations contenues dans ce communiqué ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. La valeur des investissements et des revenus peuvent fluctuer (cela peut en partie être le résultat des fluctuations des taux de change) et les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant total des capitaux investis. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leur évolution. Ils n’ont pas de valeur contractuelle, sont sujets à modification et peuvent différer d’autres sociétés de gestion. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est sis 128, boulevard Raspail, 75006 Paris, France et agréée par l’ACPR sous le n° 18673 en qualité d’entreprise d’investissement. La Française AM International a conclu un accord avec Alger Management Ltd l’autorisant à distribuer les produits de Fred Alger Management Inc. en Europe
La résidence sera exploitée par Cogedim Résidences Services sous la marque « Cogedim Club » dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois. La livraison est prévue au quatrième trimestre 2019. Cette acquisition est réalisée dans le cadre d’un mandat pour le compte de l’Erafp.
L’ensemble immobilier sera composé de 75 logements meublés (du T1 au T3) et développera près de 4 120 m² sur 5 niveaux dont plus de 400 m² d’espaces communs. Il disposera également de 19 emplacements de stationnement.
Idéalement située au cœur de Puteaux, la résidence profitera à tous les seniors du bassin de population de l’ouest parisien où la demande est forte. «Nous sommes très heureux de l’acquisition de cette résidence senior située dans un endroit stratégique de la région parisienne qui facilitera le rapprochement familial des seniors.» précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Pierre MICHEL (PMI) sur les aspects techniques. Les vendeurs étaient conseillés par l’Etude ALEXANDRE DECHIN DEVRIENDT et HOANG sur les aspects notariaux et par le cabinet Blatter, Seynaeve & associés pour les aspects juridiques et fiscaux.
A compter de 2018, un nouveau dégrèvement est mis en place progressivement, en fonction du revenu fiscal de référence du contribuable. Pour 2018, le dégrèvement sera de 30 %, puis de 65 % en 2019, pour être totalement supprimée en 2020.
Réduction des cotisations
Les cotisations salariales maladie et chômage prélevées sur les salaires sont supprimées. La cotisation maladie de 0,75 % est supprimée dès janvier, alors que la cotisation chômage sera abaissée en deux temps, de 1,45 point en janvier et de 0,95 point en octobre.
Hausse de la contribution sociale généralisée (CSG)
La CSG augmente de 1,7 point. Cette hausse concerne tous les salaires, mais aussi les revenus du patrimoine ou encore les produits de placements.
Prélèvement forfaitaire unique
Les revenus mobiliers et les plus-values de cessions de titres des particuliers sont soumis désormais à un prélèvement forfaitaire unique (PFU). Le PFU, aussi appelé « flat tax », consiste en une imposition à l’impôt sur le revenu à un taux forfaitaire unique de 12,8 % auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux de 17,2 %, soit une taxation globale à 30 %.
Les contribuables pourront toutefois renoncer à cette modalité de taxation et opter sur l’ensemble de leurs revenus au barème progressif.
Déductibilité des prélèvements sociaux
Les prélèvements sociaux sur les revenus du placement et les revenus du patrimoine sont portés de 15.5% à 17.2%.
La fraction de CSG déductible passe donc de 5.1% à 6.8% lors de la liquidation de l’impôt sur le revenu dû au titre de 2018.
La CSG appliquée aux revenus du placement et aux revenus du patrimoine n’est déductible de l’impôt sur le revenu qu’en cas d’option pour le barème.
Prélèvement forfaitaire unique et assurance vie
Il n’y aucun changement pour les produits afférents à des versements antérieurs au 27 septembre 2017, il est donc maintenue une imposition à l’impôt sur le revenu ou au prélèvement forfaitaire libératoire au taux de 35%, 15% ou 7.5%, auxquels s’ajoutent les prélèvements sociaux au taux de 17.2%.
En revanche, les produits issus des versements postérieurs au 27 septembre 2017 sont soumis à la flat tax de 30%.
Il existe une dérogation pour les contrats de plus de 8 ans : le taux forfaitaire dérogatoire de 7,5 % continuera de s’appliquer lorsque le montant total des encours, net des produits, détenus par l’assuré sur l’ensemble de ses contrats n’excède pas un seuil de 150 000 € pour une personne seule ou 300 000 € pour un couple.
Impôt sur la Fortune Immobilière
A compter de 2018, l’ISF est supprimé et remplacé par l’impôt sur la fortune immobilière (IFI), dont l’assiette est limitée aux actifs immobiliers détenus par le redevable au 1er janvier de l’année. Sont concernés tous les biens et droits immobiliers détenus directement par le redevable mais également les titres de sociétés (exemple : SCPI, OPCI) à hauteur de la valeur représentative de tels biens immobiliers, y compris lorsqu’ils sont détenus via un contrat d’assurance-vie.
Pour le reste, peu de changement : le seuil d’entrée reste fixé à 1 300 000 €, l’abattement de 30 % sur la résidence principale est maintenu, le barème reste inchangé et la réduction ISF-dons est conservée, de même que le dispositif de plafonnement. La réduction ISF-PME est en revanche supprimée. Toutefois, les versements éligibles effectués entre la date limite de déclaration 2017 et le 31 décembre 2017 peuvent être imputés sur l’IFI dû au titre de 2018.
Prélèvement à la source
Le Conseil constitutionnel a jugé conforme à la Constitution la loi de finances rectificative pour 2017 qui aménage la réforme du prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu. Les modalités d'imposition pour 2018 resteront donc inchangées par rapport à celles en vigueur en 2017, les dispositifs concernant l'année de transition étant simplement reportés d'un an.
L'impôt sur le revenu sera prélevé en 2018 sur les revenus de 2017 et en 2019 sur les revenus de 2019, mais il n'y aura pas de double prélèvement en 2019 sur les revenus 2018. Un crédit d'impôt spécifique applicable sur les revenus de 2018 sera calculé automatiquement par l'administration fiscale. Attention tout de même, les autorités ont mis en place un dispositif très strict afin d’éviter les abus. Les revenus considérés comme “exceptionnels” resteront en effet imposés, comme par exemple, les indemnités versées pour dédommager un changement de résidence ou de lieu de travail, les sommes liées à la participation et l’intéressement non placées sur un plan d’épargne salariale, les sorties en capital de produits d’épargne comme le Perp.
En conclusion, la tendance est généralement plus favorable mais chaque situation supposera une analyse plus précise pour déterminer le sort que réservent à chacun les réformes de 2018. Toutes ces évolutions sont l’occasion de revoir les opérations patrimoniales déjà réalisées pour les réajuster de façon cohérente. Nous nous tenons à votre disposition pour vous conseiller sur ces nouvelles opportunités.
Lara LEVESQUE
Responsable Ingénierie Patrimoniale
Groupe La Française
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]]>Après clôture de l’appel à candidature lancé en date du 4 octobre 2017
Ont été nommés en qualité de membres du Conseil de Surveillance de LF CERENICIMO+ pour une durée de trois ans.
L’acquisition, qui porte sur deux bâtiments et dont la livraison est prévue pour juillet 2018, a été réalisée pour le compte de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) LF Opportunité Immo et se situe à Genas, à proximité de l’A43-A46 et de l’aéroport et la gare Lyon Saint-Exupéry.
Conçu par Soho-Architectures, le parc d’activités « EVERLAND » est une opération mixte d’activités et de bureaux nouvelle génération et offre une surface totale de 2 440 m² et 34 emplacements de parking. Il se situe sur la zone d’activités everEst Parc, entre le pôle économique Mi-Plaine, le parc d’expositions Eurexpo Lyon et les divers sites économiques des communes voisines et profite ainsi du dynamisme du secteur. everEst Parc est certifié depuis mars 2013 HQE Aménagement.
La Française REM et Icade étaient assistés par l’étude MONTRE (Guillaume CARTIER), l’étude ALCAIX et associés (Maitre Amaury GASCHIGNARD) et SOROVIM.
La résidence sera exploitée par Réside Etudes Seniors sous sa marque La Girandière (Groupe Réside Etudes) dans le cadre d’un bail ferme de 11 ans et 11 mois.
L’ensemble immobilier sera composé de 58 logements meublés (du T1 au T3) et développera 2 545 m² habitables sur 5 niveaux et 720 m² d’espaces communs et commerces. Il disposera également de 24 emplacements de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au premier trimestre 2020.
La future résidence sera située au Nord-Ouest de la ville de Saint-Germain-en-Laye, au sein de l’éco-quartier Lisière Pereire, réaménagé par la ville de Saint-Germain-en-Laye, en lisière de forêt. Le projet de développement de l’éco-quartier comprend la réalisation de 5 000 m² de bureaux, 400 logements, une crèche, une résidence hôtelière, un EPHAD, 100 logements étudiants, des commerces ainsi que la résidence services seniors.
L’immeuble bénéficiera d’une bonne desserte en transports en commun grâce à la proximité immédiate de la gare « Saint-Germain-en-Laye Grande Ceinture » desservie par la ligne L et l’arrivée de la future ligne de Tram 13 en 2020.
« Nous sommes très fiers de cette première acquisition d’une résidence services pour seniors exploitée par Réside Etudes Seniors, qui représente également la première vente en bloc pour seniors du groupe Réside Etudes à un investisseur institutionnel », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et SLS Ingénierie sur les aspects techniques.
Les vendeurs étaient conseillés par l'étude Michelez Notaires.
L’actif bénéficiera d’une proximité immédiate avec la Gare de Nantes et sera accessible depuis le boulevard Stalingrad.
Le Vendôme développera une surface utile de 6 979 m² répartie en R+8, dont 6 716 m² de bureaux et 263 m² de commerces. Il offrira 56 places de stationnement dont 24 automatisées.
L’ensemble immobilier, dont la livraison est prévue en juillet 2019, vise une certification BREEAM Very Good.
La Française REM et le Groupe Lamotte étaient conseillés par Tourny Meyer et respectivement par l’étude Oudot & Associés et par l’étude Jean-Martial Nicolas.
La croissance mondiale synchronisée de l’ordre de 4 % supportera l’activité et les marges des sociétés. Les résultats par actions devraient ainsi croître d’environ 10 % et rester synchronisés entre les zones géographiques.
Au-delà d’une accélération de l’activité mondiale, les résultats par actions devraient progresser aux Etats-Unis grâce à la croissance du revenu disponible des ménages et à la réforme fiscale actuellement finalisée par les chambres. Cette progression des bénéfices devrait au moins partiellement compenser la normalisation de la politique monétaire américaine engagée par la Fed.
Les profits des sociétés européennes, et plus particulièrement ceux des entreprises de la zone euro, devraient progresser à un rythme supérieur à 10 % grâce à la fois à l’accélération de l’activité et à la sensibilité positive de la zone euro à la croissance des pays émergents.
Nous resterons néanmoins attentifs :
Nous pensons toujours que les secteurs de croissance devraient avoir la faveur des investisseurs même si nous pourrions enregistrer des rebonds ‘techniques’ et occasionnels des secteurs faiblement valorisés.
La progression visible de la production industrielle soutiendra avec le décalage habituel de l’ordre de 12 à 18 mois les investissements qui sont restés en deçà des attentes en 2017. C’est en cela que les différentiels de croissance entre les secteurs doivent être significatifs avec une préférence pour les valeurs technologiques et industrielles.
Nous privilégions les entreprises engagées dans une politique soutenue d’investissement avec une rentabilité significativement supérieure au coût du capital.
Quels sont les éléments auxquels nous restons attentifs dans ce scénario plutôt constructif à l’aube de cette année 2018 ?
Outre les tensions géopolitiques, les points d’attention sont ceux liés à la normalisation des politiques monétaires des principales banques centrales et notamment la diminution du flux des liquidités à partir de 2018. La hausse des taux va renchérir les conditions de crédit et probablement générer plus de volatilité dans les marchés. Ces tensions mettront évidemment en évidence la valorisation absolue historiquement élevée des classes d’actifs risqués. Dans les portefeuilles, nous serons également attentifs à contrôler les risques de change qui affectent significativement les performances relatives des marchés.
Il faut également garder en tête que les bilans combinés des banques centrales vont continuer à croitre en 2018 pour trouver un point d’équilibre en fin d’année, ce qui limite le potentiel de hausse, tout du moins lors du 1er semestre.
Ce contexte monétaire accommodant constitue un soutien pour les dettes périphériques en zone Euro et également une force de rappel dans un mouvement de forte tension sur les taux européens. La hausse des rendements gouvernementaux que nous prévoyons devrait ainsi rester contenue, ce qui est clef pour les autres classes d’actifs obligataires.
Après une année de performances très positives sur le crédit européen, les marges s’établissent à des niveaux historiquement faibles. Nous anticipons que la proportion de crédit IG acheté par la BCE augmentera par rapport aux autres classes d’actifs éligibles à son programme d’achat et limitera ainsi l’impact sur les valorisations.
Nous maintenons une forte conviction sur les subordonnées bancaires en raison de l’impact de la reflation anticipée sur les résultats des banques, de l’assainissement des bilans dans le sud de l’Europe et de la pression réglementation qui pourrait s’apaiser après la signature de l’accord Bale IV.
Du côté du High-Yield, les taux de défaut resteront très faibles et bien en dessous des moyennes historiques, mais les valorisations sont tendues et la liquidité un point de vigilance.
Les fondamentaux sont bons mais nous surveillerons :
Enfin, côté dettes émergentes, les flux d’investissement vont se poursuivre en 2018 car les primes de risque demeurent très attractives relativement aux marchés développés et relativement aux dettes Corporates.
Dans un contexte riche en élections, les marchés locaux, répondant aux spécificités domestiques devraient continuer de performer grâce à des niveaux de taux réels élevés.
- Les indicateurs avancés des principales zones sont sur des niveaux élevés et indiquent une croissance mondiale de l’ordre de 4 % pour les prochains trimestres, soit le rythme le plus important depuis 2010.
- Cette croissance apparait aujourd’hui beaucoup plus synchrone que lors des années précédentes. Sur les 25 principales économies mondiales, 24 sont aujourd’hui en territoire d’expansion.
- Les perspectives des zones émergentes sont bonnes, et ce malgré le fléchissement anticipé de l’activité chinoise.
Les pressions inflationnistes restent, elles, très faibles, que ce soit en zone Euro, aux Etats-Unis ou dans le monde émergent. Les facteurs soutenant cette tendance seront encore là en 2018 mais certains aspects militent pour une accélération :
- Le rebond des prix des matières premières, initié début 2016, va entrainer des effets de base positifs en 2018.
- L’amorce d’un cycle d’inflation salariale induite par les taux de chômage des pays industrialisés, proches désormais de leur niveau d’équilibre.
La Fed et son nouveau Président M. Powell devraient continuer à normaliser la politique monétaire américaine sur un rythme légèrement plus important que celui anticipé par le marché. Le chemin d’inflation aux US sera notamment déterminant pour la conduite de la future politique monétaire américaine.
Les achats d’actifs de la BCE vont, eux, assez fortement diminuer en 2018 et devraient s’arrêter en fin d’année.
Nous surveillons, par ailleurs, tout changement de cap de la Banque du Japon sur sa politique de contrôle de la courbe des taux...
Pour en savoir plus, télécharger la nouvelle formule d'Orientations et Stratégie
Les pressions inflationnistes restent, quant à elles, très faibles, que ce soit en zone euro, aux Etats-Unis ou dans le monde émergent. Les facteurs soutenant cette tendance seront encore là en 2018 mais certains aspects militent pour une accélération :
La Fed et son nouveau Président M. Powell devraient continuer à normaliser la politique monétaire américaine sur un rythme légèrement plus important que celui anticipé par le marché. Le chemin d’inflation aux Etats Unis sera notamment déterminant pour la conduite de la future politique monétaire de la Fed.
Les achats d’actifs de la BCE vont, quant à eux, assez fortement diminuer en 2018 et devraient s’arrêter en fin d’année.
Nous surveillerons par ailleurs tout changement de cap de la BoJ sur sa politique de contrôle de la courbe des taux.
Au regard de ces éléments, Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income & Cross Asset et Laurent Jacquier Laforge, CIO Equities partagent leurs convictions pour 2018.
« Une reconnexion des taux des pays cœur aux fondamentaux économiques prendra du temps : en effet, la dichotomie très claire entre la dynamique de croissance et celle décevante à ce stade, sur l’inflation, aura un effet modérateur sur tout mouvement haussier des taux. » déclare Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income et Cross Asset. « Il faut également garder en tête que les bilans combinés des banques centrales vont continuer à croitre en 2018 pour trouver un point d’équilibre en fin d’année, ce qui limite le potentiel de hausse, tout du moins lors du premier semestre. »
Si la normalisation des courbes obligataires se poursuit, le contexte monétaire accommodant constituera un soutien pour les dettes périphériques en zone euro et également une force de rappel dans un mouvement de forte tension sur les taux européens. La hausse des rendements gouvernementaux que nous prévoyons devrait ainsi rester contenue, ce qui est clef pour les autres classes d’actifs obligataires.
« Dans un contexte où les taux allemands et japonais demeurent sur de bas niveaux, toute remontée significative des taux sera considérée comme une opportunité pour investir les liquidités sur les emprunts d’Etat, américains en particulier », commente Jean-Luc Hivert.
Après une année de performances très positives sur le crédit Européen, les marges s’établissent à des niveaux historiquement faibles. Nous anticipons que la proportion de crédit Investment Grade acheté par la BCE augmentera par rapport aux autres classes d’actifs éligibles à son programme d’achat et limitera ainsi l’impact sur les valorisations.
Nous maintenons une forte conviction sur les subordonnées bancaires en raison
Du côté du High-Yield, les fondamentaux restent bons et les taux de défaut très faibles et bien en dessous des moyennes historiques mais les valorisations sont tendues et la liquidité est un point de vigilance. Nous surveillerons donc :
Les flux d’investissement vont se poursuivre en 2018 car les primes de risque demeurent très attractives par rapport aux marchés développés et aux dettes Corporate.
2018 sera une année chargée en élections dans de nombreux pays émergents, principalement en Amérique latine. Dans ce contexte, les marchés locaux, répondant aux spécificités domestiques devraient continuer de performer grâce à des niveaux de taux réels élevés.
« L’environnement macroéconomique anticipé pour 2018 constitue un soutien important pour les marchés actions mondiaux et laisse présager une nouvelle performance positive après une excellente année 2017, » déclare Laurent Jacquier-Laforge, CIO Equities.
La croissance mondiale synchronisée de l’ordre de 4 % soutiendra l’activité et les marges des sociétés. Les résultats par actions devraient ainsi croître d’environ 10% et rester synchronisés entre les zones géographiques.
Au-delà d’une accélération de l’activité mondiale, les résultats par action devraient progresser aux Etats-Unis grâce à la croissance du revenu disponible des ménages et à la réforme fiscale actuellement finalisée par les chambres.
Les profits des sociétés européennes, et plus particulièrement ceux des entreprises de la zone euro, devraient progresser à un rythme supérieur à 10 % grâce à la fois à l’accélération de l’activité et à la sensibilité positive de la zone euro à la croissance des pays émergents.
Il faudra néanmoins être très attentif :
Nous pensons toujours que les secteurs de croissance devraient avoir la faveur des investisseurs même si nous pourrions enregistrer des rebonds ‘techniques’ et occasionnels des secteurs faiblement valorisés.
La progression visible de la production industrielle soutiendra avec le décalage habituel de l’ordre de 12 à 18 mois les investissements qui sont restés en deçà des attentes en 2017. C’est en cela que les différentiels de croissance entre les secteurs doivent être significatifs avec une préférence pour les valeurs technologiques et industrielles.
« Nous privilégions les entreprises engagées dans une politique soutenue d’inves¬tissement avec une rentabilité significativement supérieure au coût du capital » précise Laurent Jacquier Laforge.
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Outre les tensions géopolitiques (Corée, Iran, politique internationale de Donald Trump...) les autres points d’attention sont ceux liés à la normalisation des politiques monétaires des principales banques centrales et notamment la diminution du flux des liquidités à partir de 2018. La hausse des taux va renchérir les conditions de crédit et probablement générer plus de volatilité dans les marchés. Ces tensions mettront en évidence la valorisation absolue historiquement élevée des classes d’actifs risquées.
Dans les portefeuilles, nous serons également attentifs à contrôler les risques de change qui affectent significativement les performances relatives des marchés.
L’ensemble immobilier sera composé de 121 logements meublés (du T1 au T3) et développera 5 948 m² habitables et 1 619 m² d’espaces communs et commerces. Il disposera également de 52 emplacements de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au premier trimestre 2020.
La future résidence sera située au centre-ville de Soisy-sous-Montmorency à la limite d’Enghien-les-Bains et au sein d’un environnement résidentiel bénéficiant de nombreux commerces, services et équipements publics.
Le site sera facilement accessible en transports en commun grâce à la proximité de la gare « Champs de Courses d’Enghien » du Transilien H, et à la présence de 2 lignes de bus en face de l’immeuble.
« Cette deuxième acquisition d’une résidence seniors gérée par les Essentielles permet d’une part, de renforcer notre partenariat avec cet exploitant, et d’autre part, de développer notre portefeuille de résidences services pour seniors en Ile-de-France», précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
La Française Real Estate Partners était conseillé par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridique et fiscaux et P.M.I. sur les aspects techniques.
Le vendeur était conseillé par l'étude Rochelois-Besins & Associés.
L’industrie financière n’est pas épargnée par cette accélération du changement : deux nouvelles réglementations européennes, dont nous présentons les grandes lignes en page 7, sont d’ores et déjà entrées en application le 3 janvier. Une nouvelle directive sur la commercialisation des produits d’assurance sera transposée en cours d’année et devrait s’appliquer à compter du second semestre. Ces différents textes ont un impact direct sur les modalités d’entrée en relation et sur la documentation que nous devons vous remettre à chaque étape de notre relation. Afin d’alléger les conséquences de cette inflation réglementaire, le groupe La Française s’est engagé dans un processus de digitalisation. Engagée depuis plus d’un an dans ce chantier, La Française a d’ailleurs eu le plaisir de voir l’une de ces réalisations récompensée.
Mais l’innovation ne se résume pas à l’évolution technologique. Elle réside aussi dans la capacité à offrir de nouvelles opportunités d’investissements : vous trouverez dans ce 27e numéro de votre lettre nos projets dans le cadre du Grand Paris. 2018 s’annonce donc comme une année de changement. Mais quelles que soient les évolutions, l’ensemble de l’équipe se tient à votre disposition pour décrypter notre nouvel environnement et vous souhaite une excellente année.
Pour en savoir plus, téléchargez le dernier numéro de la Lettre de La Gestion Privée " En Particulier"
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]]>L’activité commerciale de Bad Kreuznach est fortement concentrée dans cette zone, qui s’étend de la gare ferroviaire aux limites nord-est de la ville. La zone commerciale est facilement accessible depuis les autoroutes B428, BAB61 et BAB60. Éloignée de seulement 80 km environ de Francfort-sur-le-Main, la ville de Bad Kreuznach se situe également à environ 40 km de Mayence (capitale de la Rhénanie-Palatinat) et à 40 km de la capitale de la Hesse, Wiesbaden.
Le bâtiment, entièrement rénové de 15 400 m2 (constitué d’un rez-de-chaussée et d’un premier étage), offre des surfaces commerciales et des espaces de stockage et dispose de 560 places de parking en extérieur. L’actif est intégralement loué dans le cadre d’un bail de 13 ans ferme à un locataire unique : une chaîne d’hypermarchés.
Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne à La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « La Française cherche de plus en plus à diversifier le patrimoine de ses SCPI à la fois en termes de typologie d’actif et d’implantation géographique. La consommation des ménages augmente en Allemagne et nous avons bien l’intention de poursuivre notre stratégie de diversification en Allemagne en continuant à sourcer des actifs commerciaux de qualité. »
La Française Real Estate Partners International a été assistée par les cabinets Clifford Chance LLP et TA Europe.
A tout seigneur, tout honneur : la semaine dernière a eu lieu la conférence de la Fed, avec l’ultime « show » de Janet Yellen, avant le passage de bâton à Jerome Powell.
La Fed prend note de la bonne santé de l’économie sans être particulièrement perturbée par une éventuelle surchauffe. Le marché bouge globalement assez peu.
Jeudi dernier, nous avions la conférence de presse tenue par Mario Draghi pour la BCE :
Difficile d’avoir une lecture très rigide de la BCE. Les taux euro diminuent, tirés à la baisse par les taux réels. Les taux allemands reviennent sur des niveaux de cherté vus en mars dernier. A titre d’exemple, en achetant une obligation allemande 2026 indexée sur l’inflation, l’investisseur consent à une perte de pouvoir d’achat certaine de plus de 10% à l’échéance. A nos yeux, cette valorisation n’est pas cohérente avec une économie euro en très bonne santé.
Enfin, un mot sur la Suède. La devise est sous-évaluée, l’inflation atteint la cible de la banque centrale, la croissance est excellente… nous attendons donc un mouvement de resserrement de la Riksbank prochainement.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>A ce titre, il vous est possible de vous porter candidat au conseil de surveillance du FPI.
Le conseil de surveillance est l’organe qui contrôle la gestion effectuée par la société de gestion.
Participer au conseil de surveillance c’est l’occasion d’échanger directement avec la société de gestion sur les décisions stratégiques qu’elle entend mener et les résultats de votre FPI, c’est aussi l’occasion de rencontrer d’autres porteurs. Outre l’intérêt intellectuel, vous êtes ainsi au cœur du produit et suivez de près l’évolution de votre investissement. Le conseil de surveillance se réunit au minimum 2 fois par an.
Pour présenter votre candidature
Il vous suffit d’adresser le formulaire de candidature dûment complété (pour télécharger le formulaire, cliquez ici) par e-mail à l’adresse balscpnnull@nulllafrancaise-group.com ou par courrier postal à La Française Real Estate Managers, 128 boulevard Raspail - 75006 Paris avant le 31 décembre 2017.
Qui désignera les membres du conseil de surveillance
L’ensemble des porteurs de parts du FPI seront consultés par correspondance et désigneront les membres du conseil de surveillance, pour un mandat de 3 ans, parmi les candidats qui leur seront soumis (de 2 à 9). Toutefois, conformément à la règlementation, si le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir (9), les candidats seront nommés d'office membres du conseil de surveillance.
La direction de la clientèle est à votre écoute au 01 44 56 10 45 pour tout complément d’information.
Pour votre bonne information, vous trouverez ci-après un extrait du règlement de l’OPCI LF Cerenicimo + portant sur le conseil de surveillance du FPI.
ARTICLE 15. NOMINATION DESIGNATION - MODALITES DE L’ELECTION DES MEMBRES
15.1. Composition du Conseil de Surveillance
Les membres du Conseil de Surveillance sont élus par les Porteurs et parmi ceux-ci.
Le Conseil de Surveillance est composé de deux (2) membres au moins et de neuf (9) membres au plus, dont un président élu par les membres.
15.2. Election des membres du Conseil de Surveillance
En vue de l’élection des membres du Conseil de Surveillance, la Société de Gestion procède à un appel de candidature qu’elle publie sur son site internet ainsi que dans le document d’information périodique.
Les Porteurs répondent à cet appel à candidature sur le site internet de la Société de Gestion dans les trois (3) mois suivant sa publication. La candidature comporte les éléments permettant de justifier de l’indépendance du candidat à l’égard de la Société de Gestion des sociétés qui lui sont liées au sens de l’article R. 214-43 du Code monétaire et financier.
Une personne physique ou morale ne peut exercer simultanément plus de cinq (5) mandats en qualité de membre du conseil de surveillance d’un fonds de placement immobilier. L’exercice d’un mandat est incompatible avec l’exercice de toute autre fonction susceptible de créer un conflit d’intérêts.
Les Porteurs élisent directement les membres du Conseil de Surveillance en votant par correspondance ou à distance par voie électronique.
Le droit de vote de chaque Porteur est proportionnel au nombre de Parts qu’il détient.
Seront élus membres du Conseil de Surveillance, dans la limite des postes à pourvoir, ceux des candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix favorables à leur élection parmi les Porteurs s’étant exprimés. En cas de partage des voix, le candidat élu sera celui possédant le plus grand nombre de Parts ou, si les candidats en présence détiennent le même nombre de Parts, le candidat le plus âgé.
Les élections des membres du Conseil de Surveillance ont lieu au moins tous les trois (3) ans.
La durée du mandat de membre du Conseil de Surveillance est de trois (3) ans. Le mandat est renouvelable deux (2) fois.
Lorsque le nombre de candidatures ne dépasse pas le nombre de postes à pourvoir, les candidats sont nommés d’office membres du Conseil de Surveillance.
En cas de décès ou de démission d’un membre du Conseil de Surveillance conduisant à un nombre de membres inférieur au nombre prévu à l’article 15.1 ci-avant, le Conseil de Surveillance procède à une nomination à titre provisoire afin de remplacer le membre vacant jusqu’à l’échéance de son mandat. Cette nomination intervient dans un délai de trois (3) mois à compter du jour où se produit la vacance. Sont nommés les candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix à la précédente élection après ceux déjà nommés membres du Conseil de Surveillance.
Lors de la première réunion suivant l’élection ou la désignation des nouveaux membres, le Conseil de Surveillance élit son président à la majorité simple.
ARTICLE 16. REUNION DU CONSEIL DE SURVEILLANCE - CONVOCATIONS - DELIBERATIONS
16.1. Réunions du Conseil de Surveillance
Le Conseil de Surveillance se réunit en France au moins deux (2) fois par exercice sur convocation de son président ou sur demande motivée d’un tiers au moins de ses membres, soit au siège social de la Société de Gestion, soit en tout autre lieu indiqué dans l’avis de convocation.
Les réunions du Conseil de Surveillance peuvent avoir lieu par voie de visioconférence ou de téléconférence.
Si la réunion a lieu au siège social de la Société de Gestion, celle-ci met à la disposition du Conseil de Surveillance les locaux nécessaires à la tenue de la réunion, ainsi que le personnel et les moyens techniques permettant d’assurer le secrétariat du Conseil de Surveillance.
La Société de Gestion assiste aux réunions du Conseil de Surveillance.
Le président fixe l’ordre du jour de la séance qui peut être complété à la demande d’un membre jusqu’à la veille de la séance.
Il est tenu un registre de présence des membres du Conseil de Surveillance.
Les rapports du Conseil de Surveillance sont approuvés à la majorité simple de ses membres.
La première réunion du Conseil de Surveillance suivant la constitution du FPI se tient au plus tard dans les douze (12) mois de l’agrément du FPI.
16.2. Quorum et majorité
Le Conseil de Surveillance ne délibère valablement que si la moitié au moins de ses membres sont présents.
Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents ou représentés. Chaque membre est titulaire d’un droit de vote. En cas de partage des voix, celle du président est prépondérante.
Si le Conseil de Surveillance a lieu en visioconférence ou téléconférence, sont réputés présents pour le calcul du quorum et de la majorité, les membres du Conseil de Surveillance qui participent à la réunion par des moyens de visioconférence ou de téléconférence.
16.3. Mandats de représentation
Un membre du Conseil de Surveillance peut donner, même par lettre, télécopie ou courrier électronique, mandat à un autre membre de le représenter. Cette procuration, donnée par écrit au président, ne peut être valable que pour une séance du Conseil de Surveillance.
Chaque membre du Conseil de Surveillance ne peut disposer, au cours d’une même séance, de plus de deux procurations.
ARTICLE 17. PROCES-VERBAUX DES REUNIONS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE
Les délibérations du Conseil de Surveillance sont constatées dans un procès-verbal.
Les procès-verbaux sont dressés et les copies ou extraits des délibérations sont délivrés et certifiés conformément à la législation et à la réglementation applicables.
ARTICLE 18. POUVOIRS DU CONSEIL DE SURVEILLANCE
Le Conseil de Surveillance est chargé d’une mission de suivi de la gestion du FPI.
Le Conseil de Surveillance ne dispose d’aucun pouvoir de gestion et ne peut pas s’immiscer dans la gestion du FPI.
Les membres du Conseil de Surveillance sont tenus à la discrétion sur les informations présentant un caractère confidentiel et données comme telles par le président.
Chaque fois qu’il le juge nécessaire et au moins une fois par an, le Conseil de Surveillance établit un rapport rendant compte de sa mission.
A l’occasion de l’élaboration de ses rapports, le Conseil de Surveillance peut demander toute information complémentaire à la Société de Gestion, qui est tenue de répondre par écrit dans un délai de huit (8) jours ouvrés.
Les rapports du Conseil de Surveillance sont tenus à la disposition des Porteurs au siège de la Société de Gestion et sont disponibles sur le site internet de la Société de Gestion. Lorsqu’un Porteur demande à recevoir un rapport sous format papier, les frais liés à son expédition sont à sa charge.
Les membres du Conseil de Surveillance sont responsables des fautes personnelles commises dans l’exécution de leur mandat. Ils n’encourent aucune responsabilité à raison des actes de la gestion et de leur résultat.
4 ans après avoir lancé son site, Testamento a trouvé son public et collabore avec les banques, compagnies d’assurance et mutuelles pour démocratiser l’anticipation successorale. En effet, Testamento permet de réaliser en quelques clics un Kit Info Succession gratuit et personnalisé. Le Kit Info permet à l’individu de comprendre comment se passerait sa succession si elle n’était pas préparée, puis d’agir selon ses besoins. Un testament peut même être réalisé en ligne puis enregistré par un notaire, partenaire de Testamento.
Afin d’apporter une offre toujours plus complète à leurs clients respectifs, Moniwan et Testamento s’associent et partagent leurs savoir-faire complémentaires.
« Nos clients veulent être acteurs de leur épargne et de leur avenir. Les solutions de Testamento nous ont séduits car elles rendent un service utile et simple d’utilisation, en adéquation avec l’ADN de Moniwan. Il nous est apparu naturel de mettre les services de Testamento à disposition de nos clients, qui apprécient les démarches rapides et efficaces. » commente Christophe DESCOHAND, Directeur de Moniwan.
« La philosophie même de Moniwan, ‘Rendre le client maitre de son avenir’ est tout à fait compatible avec Testamento. Nos clients apprécient les approches axées sur la simplicité avec des parcours utilisateurs nouvelle génération. Nous sommes ravis de démarrer ce partenariat », ajoute Virgile DELPORTE, CEO de Testamento.
L’immeuble de huit étages, à la forme triangulaire, a fait l’objet d’une restructuration menée par le Studio Vincent Eschalier. Le parement en pierre a laissé place à une façade, faite de voiles en aluminium de couleur bleue nuit et la hauteur sous plafond a été augmentée de 50 cm par étage. L’ensemble est surplombé par un impressionnant dôme cuivré coiffant un rooftop accessible de 300m², faisant du Blackpearl un immeuble iconique dans le paysage de La Défense.
L’immeuble est loué en intégralité à Acensi, spécialiste du conseil en système d’information, dans le cadre d’un bail de 9 ans.
« Nous sommes très heureux que cette première collaboration avec l’UMR aboutisse à l’acquisition d’un immeuble emblématique doté d’une véritable signature architecturale,» précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude 14 Pyramides sur les aspects notariaux, Fidal sur le juridique et fiscal, Nox sur les audits technique, environnemental et énergétique.
6ème Sens Immobilier était conseillé par l’étude Alexandre Dechin Devriendt Hoang, le cabinet TAJ, et par Alex Bolton Partners dans le cadre d’un mandat exclusif de vente.
Tout arbitrage de parts du fonds vers les parts T bénéficiera du rescrit fiscal MIF 2 jusqu’au 31/12/2018 (courriers du 16 mars 2017 et du 31 octobre 2017 de la Direction de la Législation Fiscale qui confirme que ces opérations d’échange bénéficient du sursis d’imposition prévu à l’article 150-0 B du CGI), à condition que les souscriptions dans les parts T soient immédiatement précédées d’un rachat par un même porteur, pour un produit équivalent au nombre de parts rachetées et sur la même date de valeur liquidative.
Courrier du 16 mars 2017, cliquez ici
Courrier du 31 octobre 2017, cliquez ici
L’immeuble bénéficie d’un emplacement exceptionnel au pied de la station « Stade de France – Saint-Denis » sur la ligne D du RER et à seulement 350 mètres de la future gare du Grand Paris, le Hub Saint-Denis Pleyel, dont l’arrivée est prévue en 2025.
L'immeuble « Cap Lendit » développe environ 10 000 m² de surface utile, répartis sur 5 étages et 2 niveaux d’infrastructures et 169 places de parkings.
La partie bureaux est entièrement louée dans le cadre d’un bail de 6 ans fermes et le rez-de-chaussée est loué à cinq commerces dont une grande marque de la distribution urbaine, une brasserie et une pharmacie qui bénéficient d’un important flux de piétons.
La Française REM et Primonial REIM étaient assistés par l’étude Allez et Associés et par Strategies & Corp.
Zoom ce mois-ci sur Le HUB un immeuble neuf de haut standing à Levallois-Perret :
Le HUB est un immeuble agréable et moderne. Situé aux portes de Paris et à proximité des transports en commun et du centre-ville de Levallois-Perret, il bénéficie d’un emplacement privilégié.
La résidence Cogedim Club, d’une surface de plus de 5 000 m², prévoit la réhabilitation d’un cloître du 17ème siècle abritant 22 logements ainsi que la construction d’un bâtiment neuf de 60 logements.
L’ensemble immobilier se situe en plein cœur de l’hyper-centre de Vannes, au sein d’un environnement résidentiel regroupant tous les services et commerces de proximité. Il bénéficiera d’une bonne desserte grâce à la présence de la gare TGV.
« L’acquisition de cette future résidence services pour seniors en Bretagne renforce la diversification géographique du portefeuille détenu par l’Erafp, avec une stratégie ayant pour objectif de sécuriser les flux et d’apporter une protection du capital. De plus, le passage à 2h30 du trajet Paris-Vannes renforcera l’attractivité de la ville,» précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
Dans cette transaction, La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Pierre MICHEL (PMI) sur les aspects techniques. Les vendeurs étaient conseillés par l’Etude ALEXANDRE DECHIN DEVRIENDT et HOANG et par le cabinet Blatter Seynaeve & associés sur les aspects fiscaux. La construction sera réalisée par LINKCITY Grand Ouest.
Aux Etats-Unis, deux bonnes nouvelles :
Outre-Manche, la situation semble se débloquer avec un accord entre le Royaume-Uni et l’Union Européenne. Le montant de la facture semble être fixé, tout comme le dossier de la frontière irlandaise et le statut des européens résidents au Royaume-Uni. Enfin ! serions-nous tentés de dire tant cet accord a mis longtemps à accoucher. Les véritables discussions ne démarrent que maintenant, avec un accord à trouver sur les échanges commerciaux. La livre sterling s’est légèrement appréciée face à l’euro suite à cette nouvelle (+1,4%).
Du côté des chiffres macroéconomiques, nous noterons le rapport mensuel d’emploi américain. Le taux de chômage est inchangé à hauteur de 4,1%. Cependant, nous sommes à nouveau déçus par les salaires qui n’augmentent toujours pas (+2,5% sur 12 mois).
Cette semaine va être très chargée : Fed, Banxico, Banque d’Angleterre, BCE et la Banque nationale suisse... Rien que ça !
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Entre la consultation internationale de 2008 pour le Grand Paris et l'appel à projets de 2017 pour Inventons la Métropole du Grand Paris, de nombreuses étapes ont été franchies. Guillaume Pasquier les met en évidence. Surtout, le directeur du développement foncières de La Française fait valoir que si la première consultation va permettre de doter la région capitale d'une colonne vertébrale, la seconde recèle de nombreux facteurs qui permettent d'être optimiste quant à la réalisation des projets. Autant d'étapes qui lui font dire que le Grand Paris peut devenir "un processus de transformation permanente"...
A près de dix ans d'intervalle, les concepteurs de la ville ont été sollicités deux fois pour contribuer à la réflexion sur le Grand Paris. En 2017 comme en 2008, architectes, urbanistes, bureaux d'études, constructeurs ont ajouté à leur charge habituelle une somme exceptionnelle de travaux pour imaginer la métropole du 21ème siècle.
]]>Cette boutique, située à 150 mètres de la place Victor Hugo, a ouvert le 8 décembre. L’enseigne Figaret, contrôlée désormais par le holding d’investissement Experienced Capital Partners, développe son réseau retail sur les meilleurs emplacements.
« Nous nous réjouissons de cette signature qui est une nouvelle illustration de notre savoir-faire dans le secteur du commerce. Nous sommes heureux d’accompagner ainsi Figaret dans son développement et de lui livrer un ouvrage spécifiquement adapté à ses besoins » indique Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
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Paris est vue par beaucoup comme étant uniquement une ville touristique mais la réalité est que Paris est également une ville d’activités. Dans tous les secteurs d’activités vous trouvez un des 10 leaders mondiaux qui est installé à Paris, cela va de L’Oréal à Carrefour en passant par Bouygues, Axa ou encore BNP ce qui est quelque chose d’unique au monde. Développer Paris, c’est se donner la capacité de faire de Paris la capitale de l’Europe. C’est un projet très important, nous parlons d’une trentaine de milliards d’investissements publics, mais c’est aussi un projet d’aménagement du territoire puisqu’in fine sur les 15 ans à venir nous devrions avoir environ 75 milliards d’euros d’investissements de bureaux, de commerces et de logements bien évidemment. C’est également un projet de société, qui donne la capacité à 2 millions de personnes d’être transportées chaque jour. En comparaison le Grand Londres c’est 500 000 personnes, 500 000 voyageurs par jour tandis que pour Le Grand Paris ça sera 2 millions de personnes. Créer le Grand Paris c’est créer des hubs d’activité à l’échelle régionale, c’est-à-dire pour tout ce qui est autour de Saclay, l’innovation et la recherche, la santé autour de Villejuif, l’aéronautique autour du Bourget, ou encore les médias vers la Plaine Saint-Denis. C’est également créer des conditions d’une sérendipité optimale aussi bien pour les habitants que pour l’activité économique. C’est un enjeu qui est probablement unique au XXIème siècle pour lequel Paris s’est doté de moyens aussi bien financiers que politiques pour réussir ce projet.
Comment La Française s’inscrit-elle dans ce projet du Grand Paris ?
La Française est un acteur significatif de l’investissement immobilier. Nous avons déjà un patrimoine d’une quinzaine de milliards d’euros dont une grande partie en région parisienne avec plus de 550 immeubles qui sont essentiellement jusqu’à présent des immeubles de bureau mais également un peu d’immeuble d’habitation. Jusqu’à présent nous intervenions principalement pour ne pas dire uniquement par l’acquisition d’immeubles étant déjà construits ou en pleine construction avec la vocation d’être loués afin de délivrer des revenus récurrents aux investisseurs qu’ils soient des institutionnels ou des personnes privées. En l’espèce le projet du Grand Paris va être organisé différemment aussi bien par les pouvoirs publics qui ont décidé de fonctionner par appels à projet mais aussi pour nous La Française : il ne s’agit pas ici de développer ou d’acquérir un immeuble mais de développer des éco-quartiers. Cela permet à La Française de se positionner en tant qu’investisseur très en amont en ayant une activité de foncière. Concrètement pour La Française, il s’agit d’une part de créer une SCPI qui pourra investir ou investira et sera dédiée au Grand Paris mais surtout et cela de manière peut-être plus originale de participer à l’élaboration de ce Grand Paris en développant une foncière. Nous sommes dans une levée de fonds initiale de l’ordre de 200 millions d’euros qui a vocation à atteindre 1 milliards d’euros pour investir et participer à ce merveilleux projet.
Quelles solutions pour l’immobilier résidentiel ?
Il est évident que la problématique du Grand Paris repose avant tout sur la rareté du foncier et comment rendre compatible le revenu des ménages pour se loger que ce soit en location, ou en acquisition en même temps dans des bureaux qui eux, peuvent supporter des prix plus élevés. Il faut créer des quartiers, des centres de vie où les gens peuvent en même temps travailler car nous avons vu que les modalités de travail évoluent. Il faut créer des centres de loisirs et des centres d’habitations qui doivent tous pouvoir vivre ensemble. L’approche que nous avons retenu en ce qui concerne le logement qui est le premier poste de dépense des ménages a été de dire que nous allons créer un système de propriété à vie qui repose sur un concept qui est à mi-chemin entre le « leasehold » anglais et le système des Hospices de Lyon dans lequel la personne peut acquérir pour une durée prédéterminée la propriété et donc l’usage de son logement. Ceci permet de rendre compatible le revenu des personnes avec leur premier poste de dépense qui est le logement.
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2017 marque le début d’un nouveau positionnement pour La Française qui a remporté trois sites emblématiques de l’appel à projets « Inventons la Métropole du Grand Paris ». Désormais, La Française étoffe son métier originel en tant que spécialiste de l’investissement et de la gestion pour compte de tiers. Elle adopte une logique d’investissement visant la création de valeur autour des projets d’infrastructure du Grand Paris en procédant à l’achat de fonciers en développement ou en redéveloppement.
Dans le contexte actuel de taux d’intérêt stables et de croissance plus soutenue, l’immobilier offre une véritable solution de diversification aux investisseurs en recherche de rendement potentiel.
Institutionnel : La Française poursuit sa stratégie de développement en France et à l’international auprès de la clientèle institutionnelle et voit progresser sa collecte en immobilier qui atteint près de 1,2 milliard d’euros.
A l’international, la tendance amorcée en 2016 se poursuit : la clientèle asiatique, à la recherche de diversification, se distingue et compte pour plus de 16 % de la collecte. Les encours sous gestion pour cette clientèle représentent près de 900 millions d’euros d’actifs immobiliers en Europe. En effet, la plateforme immobilière internationale de La Française aux centres de gestion basés à Paris, Francfort et Londres, permet d’apporter des solutions d’investissements diversifiés, par zone géographique, stratégie et thématique aux investisseurs désireux d’accéder aux principaux marchés européens sous diverses formes (fonds ouverts, fonds dédiés, mandats et club deals).
En 2017, La Française a réalisé un nouveau co-investissement, représentant la plus importante transaction unitaire de son histoire, pour deux clients institutionnels coréens de premier plan. Cette récente acquisition immobilière, « North Light & Pole Star » à Bruxelles, illustre parfaitement cette capacité de sourcer des biens de qualité et de répondre aux besoins des investisseurs en matière de diversification et de rendement.
La levée de fonds de 1 milliard d’euros auprès d’une clientèle institutionnelle française et internationale illustre le savoir-faire de La Française en matière de solutions d’investissements dédiées.
Retail : La Française poursuit sa croissance auprès de la clientèle de particuliers et enregistre une progression de 25% pour atteindre une collecte de près de 1 milliard d’euros :
Outre la finalisation d’une opération de valorisation entamée depuis plus de 3 ans (IPSO FACTO à Montrouge - 92), l’année 2017 a été marquée par une forte activité avec près de 2,8 milliards d’euros de transactions, dont 2,3 milliards d’euros en investissements et plus de 400 millions d’euros en arbitrages.
Ces acquisitions sont réparties pour 68 % sur des actifs de bureaux, 13 % sur des locaux commerciaux et 19 % sur d’autres actifs, dont les résidences gérées (seniors et tourisme), les locaux d’activités, l’habitation et des actifs de diversification.
En France, La Française confirme son statut d’acteur immobilier incontournable avec 1,6 milliard d’euros d’acquisitions, dont les plus emblématiques : un actif de commerces à Paris (19e), un immeuble de bureaux «Le Hub » à Levallois Perret (92), le Cityscope à Montreuil (93), une résidence de tourisme à Cavalaire-sur-Mer (83)…
Avec près de 700 millions d’euros de nouvelles acquisitions, la dynamique d’acquisition en Europe se poursuit. Les SCPI du groupe ont ainsi investi notamment à Francfort, Stuttgart, Hambourg, Berlin et, pour la première fois, en Irlande.
« Notre gestion immobilière repose sur une équipe de 140 personnes dont 120 sont présentes en France, 15 en Allemagne, à Francfort, et 5 au Royaume-Uni. C’est grâce aux synergies créées avec l’ensemble des équipes que nous sommes en phase avec nos objectifs de développement et pouvons œuvrer avec succès lors de cette phase intense de diversification des investissements », conclut Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.
« La Française est un acteur significatif de l’investissement immobilier. L’organisation des métropoles telle que parfaitement illustrée par le projet du Grand Paris nous permet encore plus de capter une clientèle internationale. Leur organisation par les pouvoirs publics qui ont décidé de fonctionner par appel à projet induit également une nouvelle organisation de notre part : il ne s’agit pas ici de développer ou d’acquérir un immeuble mais de développer des éco-quartiers. Cela permet à La Française de se positionner en tant qu’investisseur très en amont en ayant une activité de foncière. » souligne Xavier Lépine, Président de La Française.
*projection basée sur la collecte déjà réalisée au 30/11/2017, chiffres non définitifs.
1 Goldman Sachs (2017) « Overseas Cash Repatriation Would Boost Shareholder Returns and Growth Investments ». Opinions sur les actions américaines.
> Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain
]]>A l’intérieur de la zone euro, la tendance au raffermissement de la croissance est encore plus forte avec des enquêtes de confiance des ménages au plus haut depuis 17 ans ! Comme dans le même temps, les nouvelles sont aussi positives en provenance du Japon et que les pays émergents ne montrent pas de signes de faiblesse, nous vivons aujourd’hui dans un monde de croissance forte et synchrone.
De façon logique, ce contexte se traduit par de fortes croissances des bénéfices des sociétés. En moyenne, sur l’année 2017, les bénéfices des sociétés ont cru de +12 %, les marchés émergents étant les plus dynamiques avec une hausse de 21 % de leurs bénéfices. Et pour la première fois depuis 2010, ces estimations seront restées stables tout au long de l’année. Dans ce contexte, la hausse des marchés actions européens cette année ne semble donc pas disproportionnée, l’Eurostoxx large étant en progression de +11,2 %. De plus, contrairement à la plupart des actifs obligataires dont les valorisations commencent à devenir excessives, les marchés actions ne semblent pas aujourd’hui particulièrement chers, à l’exclusion peut être des marchés américains, sur certains secteurs.
La dynamique de croissance étant forte aujourd’hui et l’"output gap" significatif, il nous semble que la croissance européenne devrait encore être dynamique l’an prochain, ce qui devrait induire des marchés actions porteurs en 2018. Au regard des fondamentaux, donc, aucune raison de ne pas allouer significativement nos budgets de risque en actions… avec toutefois quelques points de vigilance :
La très faible volatilité des actifs financiers incite à la prudence. Les volatilités implicites n’ont jamais été aussi basses, elles sont poussées à la baisse par des investisseurs à la recherche de rendement. Cela fragilise le marché, car si un choc d’importance survenait, la réaction des marchés pourrait surprendre par son ampleur.
Les risques politiques et géopolitiques restent très présents et, s’ils sont aujourd’hui largement ignorés par les marchés, ils n’en restent pas moins prégnants. La situation en Corée du Nord n’a ainsi eu aucun impact jusqu’ici, mais un dérapage ne peut être exclu. De même, les enquêtes visant M. Trump n’ont pas non plus beaucoup fait réagir les investisseurs… pour l’instant.
L’idée n’est pas d’être alarmiste, l’excellence des fondamentaux constituant une bonne force de rappel à moyen terme, mais de garder en tête que certains risques ne sont pas ou peu pris en compte par le marché. A cet égard, nous notons aussi que certains actifs comme le Franc Suisse ou le Yen semblent aujourd’hui constituer des protections intéressantes pour des portefeuilles surpondérés en actions. Juste au cas où…
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M. Powell a été confirmé par le Sénat et a donné son 1er discours officiel. Il n’y a rien de nouveau, c’est le même discours que Mme Yellen c’est-à-dire poursuite de la hausse graduelle des taux, surveillance de l’inflation, baisse du bilan programmé...
Première bonne nouvelle concernant le Royaume-Uni depuis longtemps : il semblerait que les autorités européennes et britanniques aient trouvé un accord concernant la somme que doit payer le Royaume-Uni. Elle serait autour de 50 milliards d’euros.
Nous rentrons dans une période très fournie en chiffres macroéconomiques et concernant les banques centrales. En effet, les 2 semaines qui viennent pourraient bouger un peu plus que celles que nous venons de vivre.
Peu de mouvements sur les marchés actions la semaine dernière, ni sur les marchés de taux d’ailleurs avec un Bund toujours proche de 0,30%, ce que nous trouvons encore beaucoup trop faible.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
L’ensemble, livré en septembre 2016, développe une surface utile de 5 225 m² dont 4 451 m² d’activités, 674 m² de bureaux et 57 emplacements de parking.
La Française REM était conseillée par l’étude Montre-Cartier-L’Herminier-Bouton Hugues ainsi que par le Département Industriel et Logistiques de Cushman & Wakefield et Opium par l’étude Michelez.
L’ensemble immobilier sera composé de 80 logements meublés (du T1 au T3) et développera 4 167 m² sur 4 niveaux dont plus de 670 m² d’espaces communs. Il disposera également de 37 places de stationnement. La livraison de l’immeuble est prévue au premier trimestre 2020.
La future résidence sera située à proximité du centre-ville de Lorient, au sein d’une zone d’habitation pavillonnaire et collective riche de nombreux commerces de proximité, à 1km du nouveau Centre Hospitalier Bretagne Sud et à proximité immédiate de la rive du Scorff.
Elle bénéficiera d’une bonne desserte en transports en commun avec l’arrivée de la ligne Grande Vitesse en 2017 et la présence de 13 lignes de bus desservant l’agglomération.
« Cette première acquisition d’une résidence seniors gérée par les Jardins d’Arcadie permet de porter à cinq le nombre d’exploitants sur le fonds LF Résidences Seniors et contribue à notre objectif de diversification au sein de l’OPPCI. Nous espérons que cette résidence sera la première d’un long partenariat avec les Jardins d’Arcadie.», précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
La Française Real Estate Partners était conseillé par l’étude Alliance Notaire Meudon sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaaux et par Builders & Partners sur les aspects techniques. Les vendeurs étaient conseillés par l'étude Thibierge.
L’ensemble se situe à proximité de l'aérodrome de Lognes, au croisement de l'autoroute A4 et de la Francilienne.
Le parc, dont la livraison est prévue pour septembre 2018, sera composé de trois bâtiments et proposera une vingtaine de lots d’environ 300 m² et 45 m² de surfaces de bureaux permettant d’accueillir des PME et des PMI.
Greestone Immobilier était conseillé par l’Etude Notariale Monassier et La Française REM par l’Etude notariale Pyramides 14. DBX Conseil a assisté le vendeur et l’acquéreur.
Son expérience significative lui permettra de répondre aux attentes des clients institutionnels en termes de sourcing d’opérations et de suivi des acquisitions d’immeubles bâtis ou à bâtir.
Dans un esprit entrepreneurial orienté clients et résultats, La Française Real Estate Partners déploie des stratégies d’investissement Core/Core+ mais aussi Value Added/Opportuniste pour une clientèle institutionnelle de premier rang, désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de sourcing, d’acquisition, d’asset management et de reporting.
La Française Real Estate Partners, en tant que filiale de La Française, bénéficie du réseau et de l’infrastructure du groupe. La Française gère plus de 64 milliards d’euros d’actifs, dont 15 milliards d’euros en immobilier.
Yann Dauloudet a près de 20 ans d’expérience en développement et investissement immobilier en France et en Grande-Bretagne. Il était depuis 2015 responsable du pôle technique au sein de CDC GPI, la structure dédiée à la gestion d’actifs de la Caisse des Dépôts et Consignations. Auparavant, il a occupé plusieurs positions en entreprise générale et promotion immobilière, notamment chez Canary Wharf Group à Londres.
Yann, diplômé de l’ESTP, est titulaire d'un MBA d’HEC et d’un Master of Science – GREM (Global Real Estate Master) de l’université de Wisconsin-Madison School of Business.
Hambourg est la plus grande ville du nord de l’Allemagne et bénéficie d’une économie florissante. De nombreuses entreprises de différents secteurs comme ceux de l’aéronautique, des énergies renouvelables ou des sciences y ont établi leur siège social.
L’immeuble de six étages a été construit en 1992 et offre environ 19 400 m2 de surface à usage de bureaux, auxquels viennent s’ajouter 293 places de parking. L’actif a été développé en vue d’accueillir des locataires multiples. Les quatre principaux locataires sont : une société ferroviaire allemande, un prestataire de services logistiques, un éditeur international de revues professionnelles et un fournisseur de solutions d’investissement en ligne.
Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « City Sud est un emplacement innovant et en constante évolution, mêlant actifs résidentiels et de bureaux dans l’optique de favoriser un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie familiale. L’activité de développement immobilier contenue et la demande stable du marché local devraient continuer à soutenir les niveaux des loyers. »
La Française Real Estate Partners International a été assistée par les cabinets Clifford Chance LLP et TA Europe GmbH.
*Exemple d’investissement détenu dans le portefeuille. Celui-ci n’est pas représentatif des investissements futurs et ne saurait refléter entièrement la composition du fonds.
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Il nous semble aujourd’hui que les taux allemands ont de moins en moins de raisons d’être à leurs niveaux actuels. Ils sont chers depuis très longtemps et il nous semble qu’il y ait une conjonction de facteurs qui pourraient les amener à monter dans les semaines et les mois qui viennent. Ces facteurs sont :
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
Au cours de ce Club différents sujets ont été abordés :
Réponse avec Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française AM dans le Club Expert Flexible de Club Patrimoine et Actusite. Interrogé par Jean-François Filiatre et George de La Taille, Gilles Mainard était entouré de Stanislas de Bailliencourt (Gérant associé chez Sycomore AM) et Malik Haddouk (Directeur de la Gestion Diversifiée chez CPR AM).
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La future résidence services pour seniors, composée de 115 appartements meublés (du T1 au T3), développera 5 400 m² sur 3 niveaux, dont plus de 900 m² d’espaces communs et disposera de 58 places de stationnement. La date de livraison de l’actif est prévue au T1 2020.
La résidence sera idéalement située proche du centre-ville, regroupant tous les services et commerces de proximité, et au sein d’un environnement résidentiel, entre la forêt de Sénart et la rivière l’Yerres. Elle sera facilement accessible en transports en commun depuis la Gare de Boussy-Saint Antoine (RER D et TER R) et desservie par 5 lignes de bus.
« Cette acquisition permet de renforcer la coopération avec le groupe Aegide Domitys et de consolider l’exposition à la région Ile-de-France du fonds LF Résidences Seniors », précise Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners.
La Française Real Estate Partners était conseillée par l’étude Allez et Associés sur les aspects notariaux, Fidal sur les aspects juridiques et fiscaux et Egis Conseil Bâtiment sur les aspects techniques.
Les vendeurs étaient conseillés par l'étude 14 Pyramides et par le Pôle Résidentiel du Département Investissement de Jones Lang Lasalle.
Cavalaire-sur-Mer se situe entre Le Lavandou et Saint-Tropez. La commune offre 4 kilomètres de plage et est accessible via la Gare de Hyères et l’Aéroport de Toulon-Hyères. Réalisé dans un esprit traditionnel provençal, le complexe hôtelier s’érigera au cœur d’une pinède, Chemin des Canissons. Il comprendra 95 appartements pouvant accueillir 2 à 6 personnes (494 lits), pour une surface habitable de 3 267 m² en R+4 et disposera d’une piscine extérieure, d’une salle de séminaire et d’un espace SPA détente avec piscine intérieure, sauna, hammam et salle de fitness.
La résidence, dont la livraison est prévue pour le 2ème trimestre 2019, sera conforme à la règlementation thermique 2012 et s'inscrira dans une démarche BDM (Bâtiment Durables Méditerranéens).
L’actif a été acquis par La Française REM pour le compte de la SCPI Epargne Foncière. La Française REM était assistée par l’Etude Allez et Associés et le Cabinet Fidal et Linkcity par l’Etude de la Tour Méditerranée à Marseille.
Depuis sa création en février 2013, LFIS a vu ses actifs sous gestion croître à $9.4 milliards (1). Nos deux stratégies Premia et Crédit ont été récompensées plusieurs fois par l’industrie et nos pairs pour leurs performances de premier plan sur leur marché. La base de client de LFIS s’étend désormais dehors de l’Europe, avec notamment des investisseurs d’Asie et du Canada.
Cette réussite atteste de la confiance de nos clients envers LFIS. Nous souhaitons particulièrement remercier nos investisseurs et nos partenaires pour leur soutien.
(1) Données non-auditées au 31 octobre 2017.
d’une meilleure rentabilité des fonds propres et de bilans moins risqués que l’indice Russell
1000 Value.
en croit l’histoire (voir Alger On the Money « Another Forecast from the Greatest Predictor »),
et ce malgré leurs valorisations plus élevées que celles de l’ensemble du marché.
croissance, et invite les investisseurs à considérer celle-ci comme une composante cruciale
de leurs portefeuilles.
> Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain
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La JNI mettra à l'honneur les initiatives souvent méconnues d'investisseurs et de leurs partenaires rendues possibles grâce à leur esprit visionnaire. Marc Bertrand participera le 30 novembre au panel intitulé "Evolution et transformation des grandes métropoles : quelle stratégie d'investissement en immobilier en France et à l'international ? Comment les investisseurs peuvent contribuer à la conception des villes "intelligentes" pour réinventer notre manière de produire, de stocker et d'utiliser l'énergie ?"
Quelques sujets qui seront abordés lors cette JNI 2017 :
JNI 2017
30 novembre 2017 - 9h00
Hôtel Salomon de Rotschild
11 rue Berryer - 75008 Paris
Sur les 64 milliards d’euros gérés par La Française, 15 milliards sont réalisés dans l’immobilier. Notre clientèle se compose pour moitié d’institutionnels (deux tiers français et un tiers étranger) et pour l’autre moitié, de particuliers français présents via les SCPI. Nous investissons essentiellement dans des bureaux (deux tiers des encours) mais aussi dans des actifs commerciaux (un quart) et pour le reste dans du résidentiel et dans les autres secteurs (logistique, hôtels…).
En France, nous sommes exposés à hauteur de 50% sur l’Ile-de-France et de 50 % sur la province. En 2017, nous avons investi 2 milliards d’euros en France et en zone Euro. Cette présence importante et durable signifie que nous sommes consultés pour tous les projets majeurs du marché.
Notre gestion de l’immobilier repose sur une équipe de 140 personnes dont 120 sont présentes en France, 15 en Allemagne, à Francfort, et 5 au Royaume-Uni.
Globalement, nos investissements sont à 80% français, les 20% restants étant essentiellement réalisés en Allemagne et au Benelux, et dans une moindre mesure au Royaume-Uni et en Irlande. Notre présence en Allemagne nous a permis notamment de lancer depuis trois ans des SCPI couvrant ce pays qui ont eu un réel succès auprès de la clientèle de particuliers français.
Aujourd’hui, nous observons que la gestion de fonds immobiliers est en train de vivre une intense phase de diversification des investissements. Cette diversification est notamment rendue nécessaire par l’augmentation des volumes de collecte. Investir dans la zone Euro ne modifie pas profondément les rentabilités car les taux de rendement dans les grandes villes d’Europe sont assez comparables, situés entre 3,70 et 4,50% environ. Cependant, cet élargissement permet de se situer sur des cycles économiques et des cycles des loyers qui peuvent être très différents d’un pays à l’autre. Ainsi, au Royaume-Uni, nous sommes en haut de cycle, en Allemagne, la croissance se poursuit, tandis qu’en France, les loyers restent bas mais avec des perspectives de croissance en net redressement.
Tout d’abord, il faut rappeler le contexte. Le marché londonien a redémarré relativement rapidement après la crise financière et affichait encore récemment des taux de rendement bas avec des loyers très hauts. Ce cycle haussier a déclenché une période de forte construction puis de livraisons d’immeubles neufs entre 2013 et 2016. Or, parallèlement, le Brexit a pour effet d’inciter certaines entreprises à quitter le pays faisant ainsi baisser la demande. Offre importante et demande hésitante ; nous sommes par conséquent dans une phase de retournement cyclique du marché Londonien. La nouveauté est que l’incertitude du Brexit incite les investisseurs à la prudence et ne facilite pas le rééquilibrage rapide du marché.
L’investisseur doit se demander quelles grandes villes françaises en dehors de Paris tirent leur épingle du jeu de la progression de l’activité économique, du développement des infrastructures, etc. Cela passe forcément par une analyse de la métropolisation. Lille est un exemple de réussite et dotée d’un joli potentiel. Située à une heure de Paris et à une heure et quart de Londres, elle a su tirer parti de sa géographie. Les projets urbains de rénovation y sont très prometteurs. De même, Bordeaux et Nantes, deux villes bien desservies par le TGV, offrent de belles opportunités en centre-ville. A l’inverse, Rouen et Orléans pourtant situées à une heure de Paris ont vu leur activité quelque peu aspirée par la région capitale.
L’analyse de ces différents marchés implique l’analyse de la politique menée par les villes. Plus précisément, il faut analyser l’équipe en charge du développement urbain au niveau de l’agglomération. Lyon, de ce point de vue, est modèle car la politique menée au niveau de la communauté urbaine lui donne aujourd’hui une place à part notamment en immobilier d’entreprises. Elle n’a rien à envier en termes de dynamisme à d’autres villes européennes comme Milan, Düsseldorf…
C’est un projet urbain de grande qualité et ambitieux qui prévoit un quasi doublement des infrastructures de transport. Certaines zones vont évidemment tirer parti de ces investissements massifs, comme par exemple Saint Denis Pleyel qui va bénéficier d’une gare géante, interconnexion à termes aussi importante que Paris St Lazare.
En revanche, nous estimons qu’il y a actuellement dans le Grand Paris une surpondération des projets en bureaux, singulièrement sur les gares d’importance secondaire. Sur ces zones, il nous semble que le logement doit être privilégié car la demande reste forte pour ce type de biens. Ce rééquilibrage est nécessaire mais reste dans les faits compliqué pour les municipalités pour qui la création de logement implique implacablement d’importants investissements en équipements publics, avec peu de ressources supplémentaires à mettre en face.
De nombreux choix sont offerts à l’investisseur. Ce dernier doit garder à l’esprit que ce sont les besoins sociaux et démographiques qui dictent l’évolution des nouveaux besoins en termes de bâtiments. Ainsi, nous notons des opportunités intéressantes dans les résidences étudiantes ou pour jeunes actifs, ou encore dans les résidences de tourisme, les résidences seniors non médicalisées pour une population encore autonome à la recherche de services de distraction, sans oublier les résidences pour la gestion de la dépendance type Ehpad. Tous ces biens n’offrent certes des taux de rendement pas très élevés mais des cash flows très visibles et très longs.
Il est clair qu’aujourd’hui un immeuble qui ne « connecte pas », c’est-à-dire un immeuble dans lequel le wifi ou les portables ne passent pas sera disqualifié à la location. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Les immeubles récents intègrent une gestion technique très sophistiquée des bâtiments (GTB). Je note avec un certain amusement qu’il il y a encore un écart très important entre le mode de construction des bâtiments et l’usage qui en est fait. Par exemple, un bureau d’étude pourra évaluer une consommation d’énergie pour un immeuble de bureaux qui sera très différente de celle constatée par la suite en occupation réelle. Il faut rester vigilant à ce que la technologie déployée reste à la portée des utilisateurs. A défaut de comprendre la technologie, l’humain passe au système D qui est généralement assez énergivore.
Nous observons également une évolution rapide des usages des espaces et des services dans les immeubles de bureau Ainsi, les restaurant d’entreprises ne sont plus des « cantines » mais sont devenus des lieux de vie occupés du matin au soir avec une décoration créative et conviviale propice aux nouveaux modes d’organisation et de travail des entreprises. Un même lieu peut ainsi avoir plusieurs usages, telle est la principale transformation observée. Au-delà de cette logique d’optimisation, de nouveaux lieux de convivialité apparaissent : un potager dans la cour d’un immeuble, une salle de sport au rez-de-chaussée, une salle de musique... Cet ajout de nouveaux services a un coût d’exploitation, et nous faisons le constat que seuls les immeubles de taille significative peuvent absorber ces nouveaux coûts. Rationaliser et développer ces services pour les « démocratiser » vers des immeubles de taille plus modeste est un enjeu fort pour les gestionnaires que nous sommes.
Plus l’investisseur est important, plus généralement il a une approche mature en matière d’ISR. La demande de reporting sur les critères ISR est en train de se renforcer, soutenue par les nouvelles règlementations. Aujourd’hui, pour un investisseur du Nord de l’Europe, il est impensable d’investir dans un actif ou un fonds non ISR. Chez les petits investisseurs, l’approche est différente. Ils ne sont certes pas opposés à l’ISR mais ils attendent que la démonstration de l’utilité économique soit faite . A nous de leur expliquer le cercle vertueux créé par la rénovation des immeubles en tenant compte des nouvelles normes. Une telle rénovation permet en effet de louer plus rapidement et parfois d’augmenter les loyers. La demande pour occuper des immeubles respectant les nouvelles normes fait d’ailleurs évoluer le marché de manière beaucoup plus rapide que la seule pression du législateur.
Marc Bertrand participera le 30 novembre, dans le cadre de la Journée Nationale des Investisseurs, au panel intitulé : « Evolution et transformation des grandes métropoles : quelle stratégie d’investissement en immobilier en France et à l'international ? Comment les investisseurs peuvent contribuer à la conception des villes "intelligentes" pour réinventer notre manière de produire, de stocker et d’utiliser l’énergie ? »
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Il n’est pas évident de savoir exactement d’où provient cette légère correction. Mais de notre point de vue cela est lié à :
L’inflation aux États-Unis est sortie légèrement au-dessus des attentes avec l’inflation core à 1,8% contre 1,7% alors que l’inflation headline passe à 2% comme attendu. Les ventes au détail sont en ligne et les chiffres immobiliers sont très bien orientés. Dans le même temps, la réforme fiscale américaine a passé la 1ère étape (la plus facile…) en étant validée en Chambre des Représentants. Ce fut plutôt une semaine constructive aux États-Unis.
En zone euro, les chiffres continuent eux aussi d’être bien orientés (Zew - niveau de confiance des investisseurs, production industrielle, croissance allemande…) avec une balance courante au plus haut et avec M. Draghi qui est de plus en plus confiant quant à la solidité de la croissance pour les années à venir.
En outre, c’est un peu moins bon en Chine avec des ventes au détail et une production industrielle en-dessous des attentes. La Chine est la seule grande zone où les surprises économiques sont négatives (chiffres qui sortent sous le consensus de marché).
La situation ne s’améliore pas en Turquie avec des déclarations (assez habituelles il est vrai) de M. Erdogan critiquant ouvertement sa banque centrale. Il est peu probable que celle-ci intervienne à court terme et cela serait pourtant selon nous le seul moyen pour lutter efficacement contre la défiance actuelle des marchés. La devise est peu chère mais le flux de nouvelles est négatif et devrait le rester à minima jusqu’aux prochains chiffres d’inflation début décembre. Nous avons donc coupé la position.
Le 5ème round de négociation Nafta a commencé la semaine dernière. Rien n’en ressort pour le moment, mais nul doute que cela aura un impact sur les actifs mexicains cette semaine.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
En effet, les crédirentiers ayant à ce jour cédé leur bien en viager à Certivia ont sensiblement amélioré leurs conditions de vie tout en se maintenant dans leur logement : en moyenne, ils ont reçu un bouquet de 80 000 € au moment de la vente et perçoivent une rente mensuelle de 1 000€, soit une augmentation de leurs revenus de plus de 50%.
L’impact social de cette action innovante est significatif comme en témoignent les motivations recueillies auprès des crédirentiers ayant fait confiance à Certivia : pour 45% des avis exprimés à Certivia, il s’agit de faire face à une situation de précarité actuelle ou à venir et/ou de protéger le conjoint ; pour 24% des crédirentiers, Certivia leur permet d’effectuer des donations de leur vivant à leurs proches et enfin, 25% des crédirentiers déclarent vendre à Certivia afin d’améliorer leur quotidien et profiter de leur retraite, tandis que 6% le font avec pour objectif d’adapter et de rénover leur logement.
Certivia confirme ainsi son implication à vocation sociale et accroit son ambition puisque le fonds vise désormais 450 biens d’ici septembre 2019, un objectif supérieur aux 400 acquisitions prévues initialement. Certivia démontre ainsi clairement la pertinence de son modèle novateur qui s’inscrit pleinement dans la mouvance de la finance responsable et solidaire.
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Le fonds obligataire à échéance par La Française, une approche combinant plusieurs caractéristiques clés qui en font une solution adaptée à la recherche de rendement tout en diversifiant ses placements.
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L’actif est idéalement situé dans le quartier Ouest des Affaires qui accueille plusieurs entreprises prestigieuses.
En cours de restructuration, l’immeuble développera 3 575 m², répartis en R+7. Les deux niveaux de sous-sol accueilleront 98 places de parking. La livraison est prévue en septembre 2018. Une certification BBC Effinergie Rénovation PEQA est visée.
La Française REM était assistée de l’étude 14 Pyramides.
Basée à Paris, l’équipe Fixed Income et Cross-Asset de La Française se compose de vingt-deux gérants répartis en trois pôles d’expertises couvrant l’ensemble des classes d’actifs obligataires. Elle représente près de 45% des encours gérés du groupe et est mise en œuvre au sein d’une gamme de fonds ouverts mais également de fonds dédiés et mandats pour une clientèle française et internationale.
Maud Minuit dispose d’une expérience de 18 ans dans la gestion de taux multi-classes d’actifs. Précédemment responsable de la gestion taux et change chez Groupama AM, elle a développé notamment une expertise sur les obligations indexées sur l’inflation via la gestion du fonds Euro puis du lancement d'un fonds Global en 2009. Maud a également développé une expertise en gestion total return avec le lancement en 2009 d’un des premiers fonds de performance absolue obligataire. A partir de 2012, Maud Minuit a dirigé l’équipe de gestion de taux et change composée de six personnes.
Au-delà de son expertise technique obligataire, Maud Minuit a acquis une expérience solide dans la relation clients (reporting, appel d’offres, road show, développement produit…) qui viendra en appui des équipes commerciales France et internationale.
Maud Minuit est titulaire d’un DESS en Stratégies Financières et Epargne Collective de l’Université de Poitiers.
Le profil et les compétences de Maud Minuit sont ainsi un atout pour la stratégie et la dynamique du groupe sur cette expertise : gestion de convictions, capacité technique et incarnation de l’expertise.
En qualité de Responsable de la gestion obligataire, Maud encadrera une équipe de gérants et dirigera les expertises de gestion monétaire, obligataire, Total Return Obligataire et Inflation. Son expérience contribuera à forger les convictions et le savoir-faire du groupe et se reflètera dans la prise de décision d’allocation.
Quel intérêt porte La Française pour le projet du Grand Paris ?
Le projet du Grand Paris est le plus grand projet d’infrastructures en Europe, visant à maintenir la place de Paris comme ville-monde.
La colonne vertébrale du Grand Paris est la construction du Grand Paris Express, un nouveau système de métro automatisé qui représente un investissement de 32 milliards d’euros. Dans les 10 prochaines années nous prévoyons une augmentation de deux fois la taille du réseau métropolitain actuel avec 200km de lignes de métro et 68 nouvelles stations. Ce projet, ainsi que le contexte post-Brexit et les JO 2024 viennent amplifier cette dynamique de reprise économique et renforce l’optimisme quant aux perspectives de croissance du Grand Paris.
Le Groupe La Française, via notre Président Xavier Lépine, est un fervent ambassadeur de ce projet de construction et d’évolution de la ville depuis plusieurs années. Nous avons la conviction que ce projet changera l’ampleur de Paris car il crée de nombreuses opportunités de développement. Il aura également un impact sur chaque classe d’actif des marchés immobiliers de la région.
Quelles étapes sont déjà enclenchées ?
Depuis 40 ans, La Française développe son expertise immobilière dans la région parisienne où nous gérons un portefeuille de plus de 750 acquisitions et plus de 1 millions de m². Notre expérience en tant qu’entreprise française, nous offre une position stratégique dans l’implémentation de stratégies d’investissement liées au projet Grand Paris. C’est pourquoi La Française lance un projet de foncière, avec une portée plus large que nos fonds collectifs traditionnels, exclusivement dédié au Grand Paris.
Nous avons déjà défini nos critères et stratégies d’investissement :
o Nous nous positionnerons en amont sur des projets, y compris l’achat de fonciers à développer ou redévelopper.
o Nous souhaitons investir dans des quartiers porteurs du Grand Paris avec un fort potentiel de création de valeur grâce à la proximité de futures gares.
o Notre stratégie vise la constitution d’un portefeuille diversifié incluant les bureaux, commerces et logements, commercialisés via un dispositif innovant.
La Française a participé à l’appel aux projets « Inventons la Métropole du Grand Paris », et a candidaté pour plusieurs opportunités de développement autour des nœuds clés du Grand Paris. En octobre 2017, nous avons remporté 3 sites emblématiques du Grand Paris qui représentent notre stratégie d’investissement. Ils sont au sein d’une stratégie de développement urbain et seront desservis par les nouvelles lignes de métro.
Quelles sont nos prochaines étapes ?
Nous allons poursuivre l’analyse d’autres sites liés aux projets du Grand Paris, avec un potentiel de développement de grande ampleur qui s’inscrit dans le temps. La Française continue à rechercher des investisseurs qui croient en notre stratégie et le potentiel de transformation du Grand Paris, avec une capacité d’investissement d’un milliard d’euros ou plus. Nous vous offrons la possibilité d’investir dans les quartiers de demain du Grand Paris, de contribuer à leur développement et d’en recueillir les fruits de long terme.
Le groupe ALDI est un des leaders européens de la grande distribution avec 8 000 points de vente. Il développera son nouveau concept adapté au centre-ville sur une surface totale de 980 m². Les clients bénéficieront de 95 places de stationnement directement reliées au local. L’ouverture est prévue le 22 novembre.
« Cette nouvelle signature pilotée en direct par l’équipe que j’anime illustre notre savoir-faire en matière de commerces » indique Patrice Genre, président de La Française Real Estate Partners. « De plus, les futurs locaux ont été restructurés en collaboration avec l’enseigne afin de livrer un ouvrage adapté à ses besoins ».
Les thématiques abordées, auxquelles participe La Française, permettront aux participants d'obtenir des réponses à leurs interrogations patrimoniales.
La Française participera à plusieurs tables rondes lors de cette convention: "Politique & économie les nouveaux défis"?
Lundi 27 novembre
10h00 Table ronde Les vertus de la croissance avec ou sans inflation, avec la participation de Pascale Auclair, Président de La Française AM
15h30 -16h30 Table ronde Immobilier, Remontée des Taux : Danger ou pas sur la Sécurité et le Rendement, avec la participation de Christophe Inizan, Directeur Commercial de La Française AM
Mardi 28 novembre
9h30 - 10h30 Table ronde PRIIP's et Architecture ouverte des Contrats d'Assurance Vie - Réglementation et Enjeux de la Digitalisation, avec la participation de Thierry Sevoumians Directeur Général de La Française Finance Services
Convention Actualis Associés
27 et 28 novembre 2017
locaux de l'APREP, 26 rue Montholon - 75009 Paris
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Cette journée sponsorisée par La Française permettra la rencontre entre nouvelles fintech labellisées et futurs partenaires.
Rencontres Fin&tech - 29 novembre 2017
FRENCHTECH Central Station F
55 boulevard vincent auriol, 5 parvis Allan Turing, 75013 Paris
L’impact sur le marché est pour le moment étonnant avec un dollar qui progresse mais très légèrement, et des taux américains qui montent, ce qui est assez contre intuitif. De façon assez logique, les actions corrigent même si ce mouvement avait commencé antérieurement à cette nouvelle : on a effacé toute la hausse post BCE.
La Commission Européenne a de son côté revu les prévisions de croissance européenne à la hausse : +2,2% vs +1,7% en 2017 et +2,1% vs +1,8% en 2018. Cela est logique étant donné le rythme actuel de croissance (autour de +2,5%) et confirme la bonne santé de l’économie européenne.
La semaine a aussi été marquée par les troubles au Moyen-Orient et la répression en Arabie Saoudite. La situation est globalement instable entre Iran, Liban, Arabie Saoudite et Yémen, ce qui pousse les prix du pétrole à la hausse.
Du côté macroéconomique, peu de chiffres cette semaine, qui restent toujours bien orientés ; rien à signaler de ce côté.
Les marchés bougent un peu depuis quelques jours : après avoir fortement baissé post BCE, les taux repartent à la hausse sans qu’il y ait d’évènement à noter. Dans le même temps, les actions baissent et le crédit souffre un peu, ce qui est très rare sur le passé récent. Un peu de volatilité aussi autour des spreads périphériques qui se sont resserrés de 9bps une journée pour faire le mouvement inverse le lendemain.
Nous avons augmenté nos positions vendeuses de sensibilité en début de semaine, ainsi que nos positions longues dollar vs Euro. Nous commençons aussi à acheter un peu d’actions européennes après la baisse des derniers jours, sachant que nous n’avions plus du tout d’exposition.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Créé en 2016, Moniwan est le premier projet digital récompensé. Ce prix a pour vocation à encourager et à valoriser une initiative digitale innovante. Il vise particulièrement à récompenser, le recours à une solution digitale, permettant ou ouvrant la voie à une modification du business model, une amélioration de l’efficacité opérationnelle et du capital humain à travers :
Le projet Moniwan a permis l’accélération significative de l’adoption de projets innovants au sein du modèle opérationnel du groupe La Française.
Tout d’abord, nous avons adopté une méthode organisationnelle agile et flexible :
Par la suite, nous avons mis en place une dynamique d’évolution du site pour assurer sa promotion et sa visibilité. Les optimisations continues des projets et processus ainsi que les actions marketing digitales sont réalisées en "test and learn". Toutes les actions sont objectivées et mesurées afin d’analyser leur efficacité et d’améliorer les prochaines campagnes.
"Nous sommes très fiers de recevoir ce prix de la part de la profession après avoir reçu l’adhésion de nos clients et du marché, ce n’est que le début de l’histoire, nous travaillons chaque jour à l’évolution de Moniwan pour toujours mieux accompagner les investisseurs dans les réponses à leur projet de vie."
Différents sujets ont été abordés au cours de ce Club :
Réponse avec Marc Bertrand, CEO de La Française Global REIM dans le Club Expert Immobilier de Club Patrimoine et Actusite.
Interrogé par Jean-François Filiatre et George de La Taille, Marc Bertrand était entouré de Jean-Marc Coly (Directeur Général Amundi Immobilier), Laurent Fléchet (Président de Primonial REIM) et Eric Cosserat (Président de Périal).
Emission enregistrée le 14/11/2017.
Bien que ce dernier ait nettement progressé depuis deux ans et alors que les banques centrales du monde développé cherchent une issue à leurs programmes de « quantitative easing », cette classe d’actif peut permettre de remplir au moins quatre des objectifs de tout investisseur : placer son argent dans un secteur en pleine croissance, profiter de fondamentaux économiques solides, obtenir un taux de rendement attractif et diversifier ses paris.
La profondeur du marché de la dette souveraine des pays dits émergents ne cesse de s’accroître et démontre qu’il est nécessaire de s’intéresser de près à cette classe d’actif. Le marché de cette dette libellée en devises fortes (USD, Euro et Yen) est en effet passé de 400 milliards de dollars en 2004 à 900 milliards aujourd’hui. De même, celui de la dette libellée en devises locales est passé de 1 600 milliards de dollar en 2004 à 7 500 milliards cette année.
Par ailleurs, les fondamentaux économiques solides des pays émergents suscitent, à juste titre, un intérêt toujours vif de la part des investisseurs. Au global, le différentiel de croissance continue de se creuser avec les pays développés : 2,3 points en 2016 (1,6% de croissance réelle dans les marchés développés contre 3,9% dans les EM) contre 2,4 points attendus cette année (2,1% dans les marchés développés contre 4,5% dans les marchés émergents). Ceci se réalise sans creusement du déficit budgétaire toujours autour de 3,5%. Le niveau d’endettement reste inférieur de moitié à celui des marchés développés à 47%. Par ailleurs, quatre ans après l’épisode du « taper tantrum », les comptes courants des principaux pays émergents se sont améliorés (Afrique du Sud, Brésil, Inde, Indonésie, Turquie). Enfin, l’inflation reste contenue autour de 3% attendus pour 2017, ce qui laisse des marges de manœuvre importantes aux banquiers centraux de ces pays.
Une approche sélective est bien sûr nécessaire pour aborder ce marché très diversifié qui compte plus de 60 pays répartis sur tous les continents et englobe toute l’échelle des notations, de « l’investment grade » au « high yield ». Une telle démarche est d’autant plus indiquée dans l’environnement global actuel caractérisé par la volonté des grandes banques centrales de sortir de leur programme de « Quantitative Easing ». Alors que la croissance des prix peine à remonter dans le monde développé, des stratégies de sortie « agressives » de la part de la FED ou de la BCE paraissent peu vraisemblables. D’autre part, une action synchronisée de ces dernières permettra de limiter l’impact sur les devises du G3 et donc la volatilité des devises émergentes.
Dans ce contexte, les rendements des dettes émergentes devraient continuer à susciter l’intérêt des investisseurs : 5,50% de rendement pour la dette en dollar (J.P. Morgan EMBI Global Diversified Composte) avec une notation moyenne à BB+ et 6% pour la dette locale (J.P. Morgan GBI-EM Global Diversified Unhedged).
![]() | Marine Marciano-Rimeu, Gérante Marchés Emergents La Française Asset Management Équipe de gestion actuelle, susceptible d’évoluer dans le temps. Information à jour disponible sur le portail web de La Française (www.la-francaise.com) |
Dans ce contexte, Global Property Research (GPR), fournisseur de services pour les grands établissements financiers spécialisé dans les indices de valeurs foncières sur mesure, et La Française, groupe de gestion expert en immobilier, sont fiers de vous annoncer le lancement d’un nouvel indice, dédié à l’immobilier coté international durable, pour la clientèle institutionnelle : le GPR IPCM LFFS Sustainable GRES Index, qui définit un nouveau standard en matière d’investissement responsable dans le secteur de l’immobilier coté.
Inflection Point Capital Management UK Ltd. (IPCM) et La Française Forum Securities (LFFS), sociétés du groupe La Française, vont collaborer avec GPR sur la conception et la mise à jour continue de ce nouvel indice qui comprendra jusqu’à 150 sociétés mondiales durables, sélectionnées en fonction de leurs activités dans l’immobilier, de leur performance ESG et de leur capitalisation boursière. GPR sera chargé de constituer et de gérer l’indice.
IPCM, société de conseil en investissement, spécialisée dans le développement durable, du groupe La Française, a recours à son propre modèle d’analyse ESG / développement durable pour mesurer la performance des entreprises au niveau de leur empreinte carbone, de leur utilisation de matières premières, d’une utilisation efficiente de l’eau et de l’électricité ainsi que de leur efficacité énergétique, mais également sur les questions de santé et sécurité, de gestion des ressources humaines et de gouvernance globale. Afin d’établir le score final et de parvenir au classement le plus juste, IPCM rassemble et synthétise les données, informations et analyses récoltées auprès d’une large palette de sources, dont celles de LFFS, qui évalue les démarches ESG des entreprises en se fondant sur sa recherche interne et les entretiens menés avec les dirigeants. GPR calcule la performance de l’indice au moyen d’une méthodologie interne en se focalisant sur les 150 premiers composants affichant la meilleure performance ESG, et effectue un rééquilibrage trimestriel.
Jeroen Vreeker, Responsable de l’équipe indicielle de GPR, a déclaré : "Le critère durabilité est de plus en plus pris en compte dans les indicateurs sous-tendant les investissements dans l’immobilier coté. L’indice GPR IPCM LFFS Sustainable GRES couvre plus de 60 % de la capitalisation boursière totale de l’indice élargi GPR General Quoted et reste hautement diversifié d’un point de vue sectoriel et géographique. Il représente un complément idéal à la gamme de solutions indicielles sur mesure de GPR."
Matthew Kiernan, Directeur Général d’IPCM, a ajouté : "La demande pour des solutions d’investissement plus durables dans l’immobilier croît de manière exponentielle dans le monde entier. Les sociétés immobilières de premier plan et qui possèdent une vision de long terme ont bien identifié cette tendance et apportent de réelles innovations. Ce nouvel indice offre justement aux investisseurs une occasion unique de repérer et de se positionner sur les sociétés d’avant-garde les mieux dirigées."
Jana Sehnalova, Directeur Général de LFFS, a commenté : "L’indice GPR IPCM LFFS Sustainable GRES définit un nouveau standard pour les investisseurs en immobilier coté qui sont sensibles aux changements climatiques. Dans un contexte de demande locative croissante pour les biens durables et de durcissement des contraintes réglementaires, les sociétés dont les sous-jacents présentent des caractéristiques environnementales supérieures et un engagement solide sur les questions sociales et de gouvernance devraient surperformer sur le plan financier."
> Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez-ici
1 En supposant que le revenu annuel du foyer s'accroît de 2% par an.
> Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain
]]>Au programme
16h à 17h L’investissement socialement responsable
Introduction : Amaury Goguel et Dhafer Saidane
Intervenants
- Nicolas Deconchon - SK 2006
- Jean-Philippe Marsan - Novethic
- Raphael Durand - Alumni FMI
- Pierre-Yves Le Stradic - EthiFinance
17h15 à 19h30 L’information extra-financière : source, normalisation et pertinence
17h15 - 17h30 - Pascale Viala Directrice Corporate Business Development - SKEMA Business School
17h30 - 18h00 - Etat de l'art en Finance durable au sein de l’OIFD de SKEMA
- Dhafer Saidane et Sabrina Roszak
- Amaury Goguel et Fédi Kalai
- Raluca Sandu, Anne Baraquier et Isabelle Buflier
- Baptiste Lepotier et Ali Kabbadj
18h00 – 18h15 – Introduction de la Table Ronde – Christian de Boissieu et Christophe Dispas
18h15 - 19h15 - Table Ronde
- Laurent Jacquier Laforge - La Française
- Philippe Desfossés – Erafp
- Patrick de Cambourg - Autorité des normes comptables
Les Rencontres de la finance durable
Mardi 14 novembre 2017
K Center - Campus de SKEMA
Pôle Léonard de Vinci La Défense
Les bons chiffres de croissance des derniers trimestres portent logiquement leurs fruits : les chiffres d’affaires sont en augmentation marquée (+5 % en Europe ; +7 % au Japon) et les résultats croissent entre +7 % aux Etats-Unis et +16 % en zone euro. Le taux de surprises positives apparaît toutefois plus élevé aux US qu’en Europe. Par ailleurs, les rendements obligataires restent à des niveaux historiquement bas (0,38 % pour une obligation allemande à dix ans) et la Banque Centrale Européenne a annoncé le 26 octobre qu’elle allait réduire ses montants d’achats mensuels tout en les prolongeant jusqu'en septembre.
L’investisseur est donc tenté d’adopter une allocation fortement surpondérée sur les actions – en particulier Japon et zone euro - et sous-sensible sur les marchés obligataires. Chacun de ces paris est très logique au regard des fondamentaux, pour autant la construction d’un portefeuille bien équilibré en termes de risque ne peut s’appréhender comme la simple somme de convictions fondamentales, dès lors qu’elles peuvent potentiellement être corrélées.
Ainsi, les actions japonaises et européennes bénéficient toutes deux d’un dollar fort par le truchement des marges d’exportations. Or, un dollar fort est souvent lié à une politique budgétaire plus expansive ou une politique monétaire plus restrictive, donc à des taux d’emprunts d’Etats plus élevés. On voit donc que détenir des actions japonaises et européennes d’une part, et être sous-sensible en duration de l’autre, n’offre pas toute la diversification nécessaire. Cette corrélation s’est notamment fait sentir début 2017 quand baisse des rendements obligataires, sous-performance des actions japonaises et européennes et baisse du dollar se sont conjuguées.
Au-delà de nos convictions de gestion, une partie cruciale de notre travail en allocation d’actifs consiste donc à identifier ces facteurs exogènes clefs qui vont conditionner le comportement des diverses classes d’actifs, enfin de construire une allocation équilibrée en risque par rapport à ces facteurs, dont la trajectoire est souvent difficile à anticiper.
Aujourd'hui, nous restons positifs sur les actions de la zone euro qui bénéficient d’une croissance forte. Nous conservons une diversification sur les actions japonaises, ces dernières sont poussées par la politique monétaire très accommodante de la banque du Japon et des profits en forte augmentation. La diversification sur les actions émergentes et la dette émergente reste pour nous pertinente, car l’activité poursuit son rebond et surtout ces classes d’actifs profitent d’un dollar plus faible, à l’inverse de nos paris sur les actions euro et japonaises.
Sur la poche obligataire des zones développées, nous restons négatifs sur les obligations allemandes dont le niveau ne reflète pas la nette amélioration du cycle économique en zone Euro. En revanche, nous trouvons la partie très longue de la courbe américaine attractive : d’une part elle permet d’amortir les éventuels chocs de marchés sur les actions, mais elle est aussi beaucoup moins chère que la courbe allemande au regard de ses fondamentaux.
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Les marchés ont globalement réagi avec une baisse des rendements obligataires (respectivement -6bps et -7bps pour les 10 ans américain et britannique). Les courbes périphériques ont elles aussi très bien performé : -16bps pour l’Italie sur la semaine.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
Un an après, elle enregistre une collecte de plus de 15 millions d’euros sur son offre SCPI (Société Civile de Placement Immobilier).
Moniwan atteint ainsi ses objectifs de lancement : démocratiser la pierre-papier et la positionner auprès d’une clientèle de jeunes actifs. 40% des souscriptions ont en effet été réalisées auprès d’investisseurs âgés de moins de 44 ans.
Le succès de la plateforme tient à son approche différenciante cumulant :
Une approche par les projets de vie et des contenus pédagogiques, qui permettent aux utilisateurs de devenir acteur de leur épargne et un service clients expérimenté et réactif.
Tels que Monigo, option privilégiée par la majorité des souscripteurs permettant de gommer tout ou partie du délai de jouissance (jusqu’à 5 mois comme prévu par la documentation règlementaire de la SCPI).
Pour Christophe Descohand, Directeur de Moniwan, « L’accueil du client est le seul critère objectif qui permet de juger de la pertinence de Moniwan. Et pour l’instant, les voyants sont au vert. Néanmoins, rien n’est acquis. Nous allons faire évoluer la plateforme pour répondre toujours mieux aux besoins des investisseurs ».
Concernant les devises des marchés émergents, plusieurs facteurs jouent actuellement en leur défaveur. De manière générale, la prochaine nomination à la tête de la Fed rend incertaine la politique monétaire américaine ce qui, couplée à des chiffres macro-économiques positifs aux Etats-Unis, a un impact haussier sur le dollar. De plus, un certain nombre de raisons spécifiques impactent certaines de nos positions (discussions ALENA pour le peso mexicain, tensions diplomatiques pour la livre turque). Où en sommes-nous ?
En termes de valorisation et de portage, ces positions restent aujourd’hui selon nous intéressantes relativement aux autres actifs de rendement. Il est possible que la situation actuelle perdure encore quelques temps, mais nous pensons que la « logique » de portage reviendra à moyen terme.
La BCE a tenu sa réunion la semaine dernière avec un résultat conforme aux anticipations du marché : extension à septembre 2018 et un rythme d’achat qui passe de 60 milliards à 30 milliards d'euros. C’est exactement ce que la majorité des banques publiaient avant la réunion et pourtant, cela a eu une réaction très prudente sur le marché avec une forte baisse des taux sur toutes les courbes (et surtout sur Espagne / Italie) et une forte baisse de l’euro qui passe de 1,18$ à 1,16$. Logiquement, cette baisse de l’euro a un impact très positif sur les actions européennes qui progressent de +2% environ.
Mis à part cela, la course à la tête de la Fed semble être entre Powell et Taylor, Politico a publié un article la semaine dernière stipulant que Yellen et Warsh n’étaient plus considérés. Par ailleurs, les républicains ont adopté le budget, point nécessaire à une possible réforme fiscale aux Etats-Unis.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
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1 L’indicateur LEI est un composite regroupant 10 aspects de l'économie tels que les heures de travail dans le secteur manufacturier et les attributions de permis de construire.
2 Evercore Group LLC (2017) « Special Economic Report. » Evercore ISI.
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]]>Créée à Paris en 2014 par Jérôme Lascombe et Raphaël Labbé, Wiztopic est l’éditeur SaaS de la solution logicielle de référence des communicants du secteur de la finance et des sociétés cotées. Wiztopic leur permet de gérer, référencer, diffuser par tous les canaux, notamment sociaux, et mesurer la performance de leurs informations, en conformité avec les contraintes de leur secteur.
Aux côtés de NewAlpha Asset Management interviennent aussi des business angels issus du secteur financier comme Pierre-Antoine Dusoulier (Saxo Bank, Ibanfirst), François Le Corno (3i), Gérard Augustin-Normand (Richelieu Finance) et Didier Rousseau (Weave).
« Notre ambition est d’être la page d’accueil et l’outil quotidien de tous les communicants de la finance en Europe et aux USA, indique Jérôme Lascombe, Président de Wiztopic. Nous cherchions des investisseurs capables d’accélérer notre croissance dans le secteur financier et à l’international. NewAlpha Asset Management s’est rapidement imposé comme une évidence. »
« En signant avec les acteurs leaders de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs, Wiztopic a déjà démontré des résultats impressionnants. Nous sommes heureux de contribuer au développement de la société » déclare Jonathan Cohen Sabban, Directeur de Participations chez NewAlpha Asset Management.
« Nous avons choisi dès le départ de concentrer nos efforts sur les clients les plus exigeants, ceux qui produisent des informations sensibles, contraintes ou réglementées, précise Raphaël Labbé, CEO de Wiztopic. Nous aidons ces grandes entreprises internationales, pour la plupart cotées, à digitaliser la gestion et la distribution de leurs informations avec une approche axée sur la data. Le volume de contenus gérés par les utilisateurs de Wiztopic double chaque trimestre. »
« Wiztopic aide les grands acteurs de la finance et les sociétés cotées à transformer une fonction clé: la communication et la gestion de l’information corporate et financière » ajoute Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha Asset Management.
*Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.
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Rien à signaler sur les actions, avec des marchés quasiment étales sur la semaine à l’exception du Japon qui progresse de +1,5%. Cela s’explique par les élections le week-end dernier et la victoire d'Abe (qui aurait la « super majorité »), gage de stabilité sur la politique monétaire japonaise.
La saison des résultats est maintenant en cours aux Etats-Unis, avec 78 résultats tombés sur le S&P 500 (78% au-dessus des attentes, 9% en ligne et 12% en dessous, pour un résultat global 1% au-dessus des estimés). Bref, c’est une bonne saison, comme attendu. Pour le moment, cela ne fait pas payer les actions américaines.
Quelques mots sur les négociations de l'ALENA entre le Mexique, le Canada et les Etats-Unis. Les négociations sont difficiles, les Etats-Unis veulent faire payer leur déficit commercial par leurs partenaires (sic !), ce qui est évidemment refusé par le Canada et le Mexique. Bref, on se reverra au prochain round de négociations dans un mois, nous ne croyons pas à une rupture de l'ALENA par les Etats-Unis.
Jeudi prochain aura lieu une réunion très importante de la BCE, avec une annonce de son plan de réduction de QE. Nous n’avons pas d’opinion forte sur l’annonce à proprement parler.
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Pour Les Lumières Pleyel, les opérateurs immobiliers du groupement : Europequipements, Crédit Agricole Immobilier, Engie Avenue, NFU (Nouvelles Fonctions Urbaines) et le groupe Arcade, ont constitué avec le mandataire Sogelym Dixence une équipe pluridisciplinaire regroupant plus de 50 partenaires (architectes, opérateurs immobiliers et investisseurs, acteurs culturels et start up innovantes, bureaux d’étude et constructeurs).
Les Lumières Pleyel sont situées au sein du quartier Pleyel, le long du faisceau ferroviaire Nord-Europe et de part et d’autre de la plus grande gare du Grand Paris Express, Saint-Denis Pleyel (nœud de correspondances entre les lignes 14, 15, 16 et 17 du Grand Paris Express, la ligne 13 du métro parisien et les lignes D et H du réseau Transilien, dès 2023).
Le projet représente un ensemble mixte de plus de 176 000 m2 de bureaux, logements, hôtel, résidence étudiante, commerces et équipements culturels et sportifs, avec une livraison envisagée entre 2023 et 2028. Il comprend un immeuble pont qui franchira le faisceau ferroviaire. Il entend faire de Pleyel à la fois une porte d’entrée du Grand Paris et un symbole architectural fort, véritable signal urbain à l’échelle de la Métropole. Un parc en pleine terre de 7 000 m² vient compléter l’ensemble.
A mi-chemin entre le Stade de France et les docks de Saint-Ouen, c’est l’émergence d’un nouveau quartier, à proximité immédiate du futur village olympique érigé pour Paris 2024.
Les Lumières Pleyel veulent incarner une nouvelle manière de co-construire la ville. Elles souhaitent ainsi inventer un nouveau modèle urbain pour Saint-Denis et la Métropole du Grand Paris avec plusieurs ambitions majeures :
« Le jury d’Inventons la Métropole du Grand Paris vient de retenir une proposition ambitieuse qui va doter le territoire d’une nouvelle figure urbaine remarquable, tant sur le plan architectural que sur le plan social et culturel. C’est la récompense du travail collectif du groupement d’entreprises que nous avons réunies et qui s’engagent avec enthousiasme pour ce projet et ce territoire dynamique », s’enthousiasme Christophe CONDAMIN, Directeur Général de Sogelym Dixence entouré de ses partenaires opérateurs, Olivier PELAT, Président d’Europequipements, Sylvie DAO, Présidente d’Engie Avenue, Marc OPPENHEIM, Directeur Général de Crédit Agricole Immobilier et Benjamin DELAUX, Président de NFU/HABX.
Le projet architectural
L’équipe architecturale, menée par l’agence norvégienne Snøhetta, architecte principal et paysagiste, compte dans ses rangs l’agence Baumschlager Eberle Architekten, architecte du bâtiment pont, et les agences Chaix & Morel et Associés, Ateliers 2/3/4/, Mars Architectes, Maud Caubet Architectes et Moreau Kusunoki.
« Nous sommes très fiers de faire partie de cet équipe d’architectes vigoureuse et internationale, et de pouvoir participer à un projet d’une telle ampleur pour la région parisienne. Ensemble, nous avons créé une proposition à la fois créative et interdisciplinaire qui met en valeur la diversité et l’innovation. Nous nous réjouissons de pouvoir continuer à travailler en collaboration avec Sogelym Dixence sur ce projet. » déclare le fondateur et architecte de Snøhetta Kjetil TRÆDAL THORSEN.
L’objectif des Lumières Pleyel est de développer un panorama urbain à l’identité forte, un nouveau skyline pour le territoire. Le quartier se dessine ainsi sur un mouvement doux et variable qui se propage comme une vague urbaine. Ce mouvement de liaison s’étend du Nord au Sud, avec comme point de démarrage la figure de la Tour Pleyel, traverse le faisceau de la gare de l’architecte Kengo Kuma et se développe en ondes bâties et paysagères.
La position centrale des Lumières Pleyel à l’échelle du territoire et sa vocation de « quartier pivot » entre les deux rives du faisceau ferroviaire appellent deux objectifs majeurs : faire œuvre de couture urbaine et inventer un lieu singulier où la densité urbaine et la nature participent à créer une expérience unique.
Emblématique des Lumières Pleyel, située à mi-hauteur des bâtiments, la ligne des jardins suspendus dessine une « vague verte » particulièrement frappante en termes d’innovation et de signature architecturale. Identitaire, inspirante, elle est l’un des éléments-clés qui ont participé à définir des règles du jeu pour les architectes des Lumières Pleyel. Visible depuis de nombreux horizons métropolitains, elle invite les Franciliens à animer une ville aussi minérale que végétale, une ville hybridée, vertueuse, qui invente un nouvel environnement urbain.
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Conférences au programme de ces rencontres :
"La rentrée économique" par Michel DIDIER , Président du Conseil d'Orientation Stratégique de La Française,
"Perspectives et convictions pour la fin de l'année 2017" animée par Odile CAMBLAIN, Responsable de la Gestion, Pôle Gestion Privée,
"LF Cérénicimmo + : un produit fiscalement attractif "
par Bertrand CROQUELOIS, Responsable du Pôle Marketing Immobilier.
La conclusion de la soirée a été apportée par Jacques BELLAMY-BROWN, Directeur Général La Française Gestion Privée.
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NewAlpha annonce aujourd’hui le lancement du Swave, le 1er incubateur de place entièrement dédié aux FinTech.
Soutenu par l’Etat et piloté par Paris&Co, cette plateforme d’innovation offrira un espace d’hébergement et d’accompagnement de 2500 m² au sein de la Grande Arche, en plein cœur du quartier de La Défense. L’objectif est de créer un écosystème favorable à l’innovation, créateur d’emplois, et de contribuer ainsi à l’attractivité internationale de la Défense pour les FinTech européennes.
Cette initiative, portée par les quatre membres fondateurs de l’incubateur, NewAlpha, Société Générale, Crédit Municipal de Paris et Exton Consulting, opèrera en lien étroit avec les acteurs de la recherche et de l’enseignement supérieur (Institut Louis Bachelier) ainsi que les instances territoriales.
« L’incubateur physique s’inscrit dans la continuité naturelle des actions d’accompagnement déjà mises en place par NewAlpha auprès de son écosystème. S’associer avec Paris&Co et les autres membres fondateurs nous a semblé idéal car le projet s’inscrit dans un véritable engagement public-privé de valorisation du secteur FinTech à l’international. » Lior Derhy, Directeur du Private Equity chez NewAlpha AM.
« Le positionnement historique de NewAlpha sur le financement de l’entrepreneuriat et sa volonté de créer des passerelles avec les institutionnels nous ont séduit dans notre quête du partenaire idoine pour Le Swave » Edouard Plus, Responsable du Swave.
Avec plus de 150 start-ups rencontrées sur les douze derniers mois, NewAlpha apportera son expertise d’analyse et de sélection dans le secteur des FinTech, ainsi qu’une capacité de financement potentiel à travers son fonds de Venture Capital NewAlpha FinTech*.
Plus d’une trentaine de jeunes entreprises innovantes seront sélectionnées pour constituer la première promotion de Swave autour des quatre axes d’innovation suivants :
L’appel à projet se terminera le 17 novembre et l’incubateur ouvrira ses portes le 8 décembre 2017.
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Cette 6e édition qui aura pour thème "logement - Vous avez dit choc d'offres" suite aux différentes réformes annoncées par le gouvernement et se déroulera à la Maison des Travaux Publics de Paris.
A cette occasion, Guillaume Pasquier, Responsable Développement Foncières du Groupe La Française, interviendra sur ce thème.
Forum économique du Grand Paris
27 octobre 2017 - 9h00
Maison des travaux Publics
3 rue de Berri - Paris 8e
Télécharger le programme, cliquez ici
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En participant à ces projets emblématiques de la Métropole du Grand Paris, La Française affirme son rôle d’acteur du développement du Grand Paris et s’engage en amont des projets de construction sur une durée très longue.
Le Grand Paris, le plus grand projet d’infrastructure européen du XXIe siècle qui affirmera Paris comme l’une des 5 métropoles mondiales, poursuit son développement porté par les appels à projets lancés par la Métropole Grand Paris et La Française est fière de participer à ce projet de Ville Inclusive.
Par ce nouveau positionnement, La Française étoffe son métier originel en tant que spécialiste de l’investissement et de la gestion pour compte de tiers. "La Française adopte une logique d’investissement visant à la création de valeur autour des projets d’infrastructure du Grand Paris en procédant à l’achat de fonciers en développement ou en redéveloppement. Ces 3 sites marquent ainsi une étape importante pour notre projet de Société de Foncière et Immobilière sur la thématique du Grand Paris." explique Xavier Lépine, Président de La Française.
La Française proposera ainsi un accès à des actifs emblématiques de la construction du Grand Paris. Les portefeuilles incluront des logements, des bureaux, des commerces et activité et favoriseront la création de quartiers "verts" en ligne avec les plus hauts standards environnementaux et sociétaux, philosophie d’investissement de La Française.
"Ces actifs permettent de donner corps à notre projet de foncière : nous offrons une réelle visibilité sur des sites clés de la construction du Grand Paris aux investisseurs institutionnels en France et à l’international qui souhaiteront participer à ce projet d’une envergure exceptionnelle. Nous poursuivons également la recherche d’autres opportunités foncières." souligne Guillaume Pasquier, Directeur du développement des Foncières de La Française.
Associée à des professionnels de l’aménagement et de l’immobilier (des groupes de BTP et de la promotion immobilière, des cabinets d’architecte, des urbanistes, des paysagistes, des bureaux d’études, des utilisateurs innovants, etc.), La Française est désormais positionnée sur des sites d’envergure de 30 000m² à 150 000m² sélectionnés en fonction des critères suivants :
D’autres opportunités du même type sont à l’étude, soit dans le cadre d’autres cessions publiques, soit via des échanges directs avec des propriétaires privés.
Les projets attribués aux groupements dont La Française est membre sont :
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« Cityscope » est idéalement localisé aux portes de Paris, dans la zone « cœur de ville » en face du centre commercial Grand Angle. L’immeuble de 40 000 m2 est réparti sur vingt-six étages et offre 386 emplacements de parking en sous-sol. L’ensemble immobilier est desservi par six lignes de bus et se situe à seulement 200 mètres de la station « Mairie de Montreuil » sur la ligne 9 du métro.
Montreuil est le premier pôle tertiaire à l’Est de Paris et la troisième ville la plus importante de la première couronne parisienne. Elle accueille près de 3 000 entreprises et plus de 30 000 salariés ; deux facteurs de soutien de la demande locative. L’immeuble, entièrement restructuré en 2009, offre aujourd’hui des espaces de travail modulables et lumineux et bénéficie de deux certifications environnementales : BREEAM In-Use Very Good et HQE Exploitation « Excellent ». Outre son architecture moderne, il propose un cadre de travail des plus agréables avec une conciergerie, un restaurant inter-entreprises, une terrasse, des espaces verts et de co-working.
L’immeuble est entièrement loué à une dizaine de locataires du secteur public et privé, dans le cadre de baux de 6 ou 9 ans fermes.
Marc Bertrand, Président de La Française REM, ajoute, « Cityscope est un bel atout pour nos SCPI. La qualité des prestations et les conditions de location compétitives rendent cet immeuble très attractif pour les utilisateurs, et son excellent taux d’occupation devrait venir conforter la performance de nos SCPI. »
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de 6 SCPI (La Française Pierre, Epargne Foncière, LF Europimmo, Multimmobilier 2, Sélectinvest 1 et Pierre Priviliège) gérées par La Française REM.
Les vendeurs étaient conseillés par Gide, l’Etude Lebreton, le cabinet Racine, BNP Paribas Real Estate et Savills.
L’acquéreur était assisté par l’Etude Allez et Associés, le Cabinet Jeantet et Stratégies and Corp.
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La conférence se déroulera dans les locaux de La Française et sera animée par Gérard Degli-Esposti, Directeur de l'ISR Immobilier à la Française Real Estate Managers, avec l'intervention de Philippe Clergeau, Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle et consultant en écologie urbaine.
La conférence sera suivie d'une table ronde d'experts à laquelle participera Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Managers.
Conférence OID et Plan Bâtiment Durable - Biodiversité : Vers un urbanisme inventif
Mercredi 18 octobre 2017 - 8h15
128 boulevard Raspail - Paris 6e
L'objectif de ce congrès est de récompenser les acteurs qui se sont illustrés pendant l'année.
En partenariat avec l'AFG, six prix ont été décernés le 12 octobre :
A cette occasion, Pascale Auclair, Président de La Française AM, s'est illustrée en remportant le prix du Meilleur directeur de gestion.
1 Callan (2017) « Historical Active Management Premiums by Asset Class and Style. » Quatrième trimestre 2016.
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]]>Cette décision vise à préserver l’intérêt des souscripteurs existants, la Société de gestion considérant que l’encours actuel constitue un niveau optimal pour gérer au mieux le portefeuille.
Comme indiqué dans le prospectus et toujours dans l’intérêt des porteurs, la méthode de valorisation du fonds changera à l’issue de la période de commercialisation. Le fonds sera valorisé au cours bid à compter du 2 novembre 2017.
Afin de satisfaire la demande continue des investisseurs pour cette stratégie et confiante dans sa pertinence au regard du contexte actuel, La Française a lancé, fin août 2017, un nouveau cru au sein de sa gamme de fonds obligataire à échéance : La Française Rendement Global 2025.
Nous savions que les ouragans auraient des effets difficiles à évaluer sur l’activité de septembre, nous sommes servis.
Le détail du rapport d’emploi montre une forte baisse du taux de chômage de 4,4% à 4,2%, avec en plus un taux de participation qui augmente, sauf que tout cela s’est fait avec des destructions d’emploi, ce qui manque pour le moins de cohérence. Du coup, il est assez compliqué d’accorder beaucoup de crédit à ce rapport, y compris à la composante inflation salariale en hausse à 2,9%. Malgré tout, couplé aux deux ISM (eux aussi affectés, le plus haut précédent en 2005 sur le non manufacturier était lié à Katrina), cela fait monter les taux américains et le dollar.
Autre sujet de la semaine et qui va nous occuper pour les prochaines semaines : la nomination du prochain président de la Fed. Quatre candidats semblent se détacher : Yellen, Powell (même ligne que Yellen), Warsh (rigide) et Cohn (plus compliqué à lire). En fonction du positionnement de chacun sur les différents sujets de la Fed, cela aura sans doute des conséquences sur les taux, le dollar et le secteur bancaire.
Enfin, il ne faut pas oublier la réforme fiscale qui « pourrait » voir le jour en fin d’année, mais qui là aussi est très incertaine.
Bref, la situation américaine n’est à l’heure actuelle pas évidente à déchiffrer, avec beaucoup de choses que nous ne maitrisons pas.
En Europe, nous avons eu les minutes de la BCE qui ne nous apprennent pas grand-chose et peu de chiffres macro d’importance (ventes au détail légèrement décevantes). L’actualité a été dominée par les velléités d’indépendance de la Catalogne, ce qui a brièvement fait souffrir l’Espagne (sur les taux et les actions). Nous sommes en attente, en espérant que le stress augmente pour pouvoir en profiter (sachant que la probabilité que la Catalogne devienne indépendante est d’environ 0%), mais cela a peu de chance d’arriver.
La semaine prochaine commence la saison des résultats aux Etats-Unis. Les attentes sont pour le moment à +5,5% de croissance des résultats sur les 12 derniers mois (ce qui est assez bas) et qui devrait donner lieu à des résultats au-dessus des attentes comme d’habitude.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
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]]>Dans ce contexte, Global Property Research (GPR), fournisseur de services pour les grands établissements financiers spécialisé dans les indices de valeurs foncières sur mesure, et La Française, groupe de gestion expert en immobilier, sont fiers de vous annoncer le lancement d’un nouvel indice, dédié à l’immobilier coté international durable, pour la clientèle institutionnelle : le GPR IPCM LFFS Sustainable GRES Index, qui définit un nouveau standard en matière d’investissement responsable dans le secteur de l’immobilier coté.
Inflection Point Capital Management UK Ltd. (IPCM) et La Française Forum Securities (LFFS), sociétés du groupe La Française, vont collaborer avec GPR sur la conception et la mise à jour continue de ce nouvel indice qui comprendra jusqu’à 150 sociétés mondiales durables, sélectionnées en fonction de leurs activités dans l’immobilier, de leur performance ESG et de leur capitalisation boursière. GPR sera chargé de constituer et de gérer l’indice.
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Stuttgart est l’un des premiers marchés de l’immobilier de bureaux en Allemagne et se démarque grâce à des taux d’occupation élevés et des loyers stables.
L’ensemble développe 30 270 m2 et se compose de deux bâtiments : le principal, construit en 1993, offre une surface utile de 22 960 m2 sur six étages, tandis que le secondaire, construit en 2001, développe 7 310 m2 sur cinq étages. Les deux bâtiments sont loués au constructeur automobile, Dr. Ing. h.c. F. Porsche AG, dans le cadre d’un bail de 9 ans et demi.
Jens Goettler, Managing Director pour l'Allemagne de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Il s'agit de notre deuxième acquisition pour des SCPI de La Française dans la ville de Stuttgart, où nous anticipons une hausse des loyers. En raison du faible rythme de construction et de la stabilité de la demande, les taux d’occupation pourraient rester élevés et contribueraient à générer des rendements à long terme. Cette vingtième acquisition effectuée en Allemagne, dont quatorze pour le compte de nos SCPI, porte les encours gérés dans le pays à plus de 800 millions d'euros. »
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Des équipes commerciales à la communication, en passant par nos gérants, les équipes de La Française étaient présentes cette année pour répondre à toutes vos questions. La qualité des différents échanges qui ont eu lieu et leur fructuosité ont grandement participé au succès de cette édition.
Immobilier, Valeurs Mobilières, Gestion Pilotée, Digitalisation... Les différentes expertises de La Française étaient bien représentées à la convention. Parmi les produits présentés sur notre stand, il était possible de retrouver :
De nombreuses animations étaient proposées sur notre nouveau stand. Nos partenaires pouvaient participer à un questionnaire portant sur les expertises de La Française, un tirage au sort a été effectué parmi les bonnes réponses et l'heureuse gagnante a remporté une caméra Giroptic Io pour smartphone. Chacun pouvait également repartir avec un souvenir de sa visite grâce à la borne photo qui permettait d'imprimer sa photo et de s'envoyer un gif par e-mail.
Sur les réseaux sociaux, La Française était également fortement présente avec plus de 70 tweets vus plus de 36 000 fois, aimés et retweetés plus 580 fois.
Merci à tous nos partenaires pour cette nouvelle édition riche en échanges !
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Nous pourrions évoquer la Corée du Nord, le referendum catalan ou encore les élections allemandes, mais in fine, avoir la bonne lecture des banques centrales reste crucial pour une allocation d’actifs pertinente.
Donc, que s’est-il passé de ce côté en septembre ? La banque d’Angleterre a surpris le marché en adoptant une posture beaucoup moins accommodante en raison d’une inflation toujours élevée, ce qui a logiquement provoqué une forte hausse des taux courts. Dans la même veine, la banque centrale canadienne a, elle, monté ses taux pour la 2e fois, là encore en surprenant le marché. Enfin, pour en finir avec les surprises, la réserve fédérale américaine n’a pas semblé très préoccupée par les chiffres décevants d’inflation en les qualifiant de "transitoires" et a réaffirmé ainsi qu’une hausse de taux en décembre était probable. Il n’y a finalement que la BCE qui ait délivré un message plutôt accommodant, même si on peut sans doute assez largement l’attribuer à la force de l’euro.
Si on ajoute à cela un début d’annonce de réforme fiscale aux Etats-Unis, la réduction du bilan de la Fed ou les rumeurs de nomination de Kevin Warsh à la tête de cette dernière, il n’est pas très étonnant de voir les taux monter de 30 bp environ sur le mois de septembre. Comme les chiffres macroéconomiques restent très bien orientés en Europe et aux Etats-Unis, il est légitime de se demander si les astres sont enfin alignés pour une hausse des taux plus significative qu’à l’accoutumée. A cette question, nous sommes tentés de répondre plutôt non…
En effet, l’inflation reste en dessous des objectifs des banques centrales et leurs glissements devraient être négatifs à horizon mars 2018. Cela n’est pas de nature à accélérer le rythme de hausse des taux des banquiers centraux à horizon 6 mois. "L’output gap" reste de plus élevé en Europe avec un taux de chômage encore loin de ses niveaux de 2007, ce qui donne du temps à la BCE pour graduellement réduire sa politique extrêmement accommodante. Enfin, la somme des bilans des banques centrales continue à augmenter (19 000 Mds…) et cette liquidité doit bien s’investir quelque part…
Bref, si nous n’avons toujours pas envie de détenir des obligations souveraines "core" qui restent chères, nous ne pensons pas que les conditions soient aujourd’hui réunies pour assister à un krach obligataire. Nous adoptons ainsi une posture moins agressive que le mois dernier en réduisant notre sous-sensibilité.
Concernant les actions, nous maintenons notre avis positif sur les actions européennes et les actions émergentes qui restent attractives relativement aux autres classes d’actifs. Cela nous semble être aussi le cas pour les obligations émergentes qui offrent un rendement ajusté du risque que nous jugeons plus intéressant que celui du crédit "corporate" dans son ensemble.
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L’actif se compose de deux bâtiments - North Light et Pole Star - situés dans le quartier de la Gare du Nord de Bruxelles. Construits en 2011 et 2014, les deux biens, d’une superficie de 77 000 m², forment un complexe de bureaux « verts » de grande qualité. L’actif est entièrement donné en location à ENGIE, la durée des baux non échus s'établissant à environ 13 ans. Les bâtiments présentent des caractéristiques de durabilité (énergie géothermique optimisée, système de chauffage et de refroidissement par géothermie, panneaux solaires et système sophistiqué de régulation de la climatisation, etc.) qui ont permis à la tour du complexe dernièrement construite (Pole Star) d’obtenir la note « Très bien » au classement BREEAM.
Avec la venue de nouveaux occupants publics et privés, tels que le Gouvernement flamand, Allianz, Beobank, Accenture et Publicis One, nous assistons à une véritable renaissance du quartier de la Gare du Nord. Celui-ci bénéficie non seulement de la consolidation de l’activité économique, où des bureaux de plus petite taille se transforment en nouvelles structures plus importantes, mais aussi du meilleur réseau de transports publics de la capitale belge. Les dernières transactions significatives font également affluer les investisseurs immobiliers dans ce quartier.
Pour mener à bien la transaction, La Française Real Estate Partners International a réuni deux investisseurs coréens - Samsung Securities et Hyundai Marine & Fire - et une société civile de placement immobilier géré par La Française REM. Hyundai Investments Asset Management représentait les investisseurs coréens.
David Rendall, Chief Executive Officer de La Française Real Estate Partners International, commente : « Cette transaction signe plusieurs accomplissements pour La Française : il s’agit de sa première transaction à Bruxelles pour le compte de deux nouveaux clients coréens, et de son premier co-investissement entre une société civile de placement immobilier et des investisseurs coréens. Elle constitue notre cinquième transaction pour le compte d’investisseurs coréens. Son volume total s’élève à plus de 1,3 milliard d’euros couvrant quatre marchés (Londres, Stuttgart, Paris et désormais Bruxelles). Cette transaction témoigne de notre capacité à apporter une réponse aux besoins des clients coréens, grâce à l’étroite collaboration entre notre bureau de Séoul et nos équipes sur le sol européen. Nous sommes ravis d’avoir acquis un bien d’une telle qualité, loué à un locataire de choix, et de pouvoir compter sur AG Real Estate en tant que partenaire local. »
Amaury de Crombrugghe, Chief Investment Officer d’AG Real Estate, ajoute : « AGRE est fière de pouvoir s’associer à des partenaires aussi précieux et d’une telle renommée, capables d’apprécier à sa juste valeur la qualité du bâtiment que nous avons conçu pour ENGIE il y a quelques années. Nous sommes convaincus qu’il s’agit de la première joint-venture parmi de nombreuses autres transactions majeures à venir avec La Française. »
Dirk Vanderschrick, Chief Executive Officer de Belfius insurance : « Nous sommes heureux d’avoir conclu un accord avec “La Française” et ses prestigieux investisseurs coréens. Belfius Insurance continuera à diversifier et à augmenter son portefeuille immobilier. »
Michel Kröger, Head of International Real Estate chez Helaba déclare : « Helaba se réjouit de cette transaction, qui marquera un nouveau renforcement de ses relations avec La Française. Ce contrat témoigne également de l’intérêt grandissant des investisseurs asiatiques pour l’Europe et, à proprement parler, pour nos marchés cibles.»
La Française a été conseillée par PwC, Linklaters et Cushman & Wakefield (expertise). La transaction a été financée par Helaba et assistée par JLL et DLA Piper.
AG Real Estate et Belfius ont été toutes deux assistées par le cabinet Loyens & Loeff.
En savoir plus, téléchargez le communiqué de presse
La semaine prochaine sera en revanche très chargée avec les ISM et les rapports d’emploi aux Etats-Unis, même si les chiffres seront brouillés par l’impact des ouragans en septembre.
A noter cette semaine :
• Les commandes de biens durables qui sortent bien aux Etats-Unis, au-dessus des attentes
• L'inflation en zone Euro qui sort légèrement sous les attentes
• Une annonce de plan fiscal de Monsieur Trump aux Etats-Unis. Cela a logiquement fait réagir les taux américains, mais pas de manière importante, le marché étant « lassé » des déconvenues liées au président. Au mieux, la réforme serait validée en fin d’année
• Un discours de Madame Yellen en milieu de semaine qui confirme le biais légèrement rigide du dernier FOMC (Federal Open Market Committee)
Bref, pas grand-chose, et pas beaucoup de mouvement sur les marchés non plus, mis à part quelques prises de profits sur les marchés émergents, mais là encore, pas de manière excessive. Le seul mouvement légèrement notable est la hausse du dollar qui passe de 1,195 à 1,18.
De manière générale, le mois de septembre a vu :
• Les taux monter de 20-25 bps
• Les banques centrales délivrer des messages globalement plutôt rigides
• Le dollar arrêter sa chute
Il faut maintenant s’interroger sur la suite de ce mouvement. L’asymétrie est clairement moins positive qu’elle ne l’était en début de mois et la poursuite du mouvement demandera une confirmation des chiffres macro et surtout d’inflation.
Comme les effets de base sont plutôt positifs pour le mois à venir, surtout après la hausse du pétrole des dernières semaines, il est probable que nous soyons rassurés mi-octobre lors de la parution du CPI (Consumer Price Index) américain, même si cela ne devrait être que transitoire.
N'oublions pas que les résultats micro commencent dans 15 jours, ce qui devrait comme d’habitude soutenir le marché actions.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
Code du travail, formation professionnelle, retraite, fiscalité du patrimoine… les sujets devraient se succéder à un rythme soutenu.
La fiscalité est bien sûr un thème qui nous tient particulièrement à coeur ; mais plutôt que de nous faire l’écho des différentes hypothèses plus ou moins fondées qui font la une des journaux, nous avons choisi de ne vous communiquer dans cette lettre que des informations certaines. Nous attendrons donc le vote de la prochaine loi de finances pour vous livrer l’ensemble des nouveautés en matière de fiscalité du patrimoine. Mais il ne fait aucun doute que notre prochain numéro Spécial Fiscalité sera particulièrement riche. En attendant, nous vous proposons d’examiner plus précisément le statut de Loueur en Meublé Non Professionnel, statut qui concerne la majorité des bailleurs, en vous présentant non seulement l’aspect fiscal mais aussi les domaines d’investissement immobilier auxquels il peut s’appliquer.
Et nous revenons plus en détail sur l’OPCI LF Cerenicimo+ dont nous vous avions annoncé la création en mai dernier.
Pour en savoir plus, téléchargez le dernier numéro de la Lettre de la Gestion privée "En Particulier"
Les marchés ont eu une réaction légèrement rigide, mais de très courte durée, nous sommes déjà quasiment revenus sur les niveaux pré-FOMC (Federal Open Market Committee). Bref, pour le moment, le marché n’y croit pas et hormis une hausse de la probabilité de hausse des taux en décembre (passage de 50% à 65%), le rythme de hausse sur 2018 / 2019 est toujours aussi éloigné des dots.
Les chiffres économiques européens restent toujours aussi forts avec les PMI sortis largement au-dessus des attentes à 56,7. Ces chiffres sont très forts en Allemagne et en France. Mais tout cela ne peut faire passer sous silence la "news" qui a fait plaisir à tout le monde ici, l’upgrade du Portugal par S&P !
Le mouvement a été rapide et violent avec une contraction du spread par rapport au Bund de presque 50bps sur la semaine. On attend avec impatience le même type de mouvement sur le Mexique !
Le mouvement ne nous semble pas encore terminé, avec comme objectif un rendement similaire à ce que l’on a sur l’Italie, soit encore 30bps de resserrement.
D’un point de vue plus général, il nous semble que les conditions ne sont pas très loin d’être réunies pour que les banques centrales accélèrent un peu leur rythme de resserrement monétaire :
Le problème reste évidemment l’inflation, mais il suffirait sans doute de chiffres un peu au-dessus des attentes pendant 2 mois pour que cette thèse prenne du volume.
Mediaspree, qui s’étend le long de la rivière Spree, constitue l’un des plus importants projets de développement de la capitale. Étant donné sa situation idéale, celui-ci a déjà attiré plusieurs entreprises des secteurs de la mode, de l’informatique, des communications et des médias.
L’actif (baptisé M-Eins) offre près de 13 300 m2 d’espace de bureaux ainsi qu’une terrasse sur le toit de 400 m2, disposant d’une vue imprenable. Il a été achevé au 2e trimestre 2017 et pourrait recevoir une certification DGNB de niveau Gold. Chacun des sept étages du bâtiment est potentiellement divisible en trois plateaux louables. L’actif est intégralement loué à Zalando dans le cadre d’un bail de long terme. Fondée en 2008, Zalando est la première plateforme européenne de vente d’articles de mode en ligne. Cet immeuble de bureaux moderne, délivré conjointement par OVG Real Estate GmbH et LBBW Immobilien, bénéficie d’un emplacement privilégié à proximité directe des transports en commun (stations Warschauer Strasse et Ostbahnhof).
Lire l'intégralité du communiqué, cliquez ici
Situé au cœur du quartier d’affaires de Dublin et surplombant le Grand Canal, cet immeuble « Grade A » (premium) offre 3 475 mètres carrés d’espaces de bureaux répartis sur 6 étages. De nombreuses multinationales sont implantées aux alentours, dont Zendesk, Google, Amazon, KPMG, Deloitte, MetLife et Accenture.
Le 21 Charlemont – conçu par Rohan Holdings – a été l’un des premiers immeubles de bureaux à Dublin développés dans une optique spéculative à être mis en chantier au cours du cycle actuel. Le projet a démarré en avril 2015 et devrait être achevé dans les jours à venir. Il avait été annoncé en juin dernier que l’immeuble a été intégralement loué dans le cadre d’un bail de prélocation à la société de communications ViaSat, au prix de 313 €/m².
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La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Les 28 et 29 septembre prochains, venez découvrir notre nouveau stand, emplacement H42, et rencontrez les équipes commerciales de La Française.
Nos gérants Valeurs mobilières seront également présents :
…Pour discuter avec vous de nos produits phare :
Mais aussi nos experts Immobilier pour revenir sur quelques-unes de nos SCPI :
Au programme :
Retrouvez Pierre SCHOEFFLER, Conseiller du président en charge de la RSE, à l’atelier :
« Les SCPI comme on ne vous en a jamais parlé »
L’atelier sera animé par Emmanuel BEGAT (MEBS) et avec la participation de Jean-Marc COLY (AMUNDI), Laurent FLECHET (PRIMONIAL REIM) et Jean-Christophe ANTOINE (VOISIN SAS), pour un décryptage des différentes évolutions des SCPI.
Rendez-vous dès maintenant sur twitter @FrancaiseGroup pour retrouver toutes les informations !
> Téléchargez Alger on the Money, Point de vue sur le marché américain
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Les marchés ont réagi avec une baisse marquée des taux d’emprunt des Etats. Les taux américains baissent de 14 bps cette semaine, alors que les taux allemands perdent 8 bps. Les anticipations monétaires en Zone Euro ont été poussées plus loin, avec seulement 34% de probabilité d’avoir une hausse de taux de la BCE d’ici décembre 2018.
Nous pensons que le repricing a été trop loin et avons profité du niveau très bas des taux pour vendre de la duration allemande.
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La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>En premier lieu, la politique de M. Trump et ses conséquences sont toujours aussi difficiles à analyser et à prévoir. Après 2 mois d’emballement général en fin d’année dernière, les marchés semblent maintenant n’accorder qu’un crédit limité à ses différentes déclarations. Dans ce contexte, une réforme fiscale, même de faible ampleur, serait vue comme une avancée très positive après des mois de cacophonie politique.
Les doutes que l’on pouvait avoir sur l’inflation sont toujours bien présents, que ce soit sur l’inflation globale ou l’inflation salariale, et cela ne devrait pas s’arranger avant la fin de l’année avec des effets de base attendus négatifs. Il est difficile de savoir ce qui pourrait accélérer l’inflation quand on voit l’exemple du Japon (et des Etats-Unis dans une moindre mesure) dont le taux de chômage n’en finit plus de baisser sans que cela ait le moindre impact sur les salaires. Question théorique qui doit animer les diners des banquiers centraux mais qui rend la trajectoire des taux difficile à prévoir même si ceux-ci restent fondamentalement très chers.
Les chiffres macroéconomiques restent, eux, de bonne, voire de très bonne, facture avec une croissance globale voisine de 4 % au 2e trimestre, soit le niveau le plus élevé depuis 2010. Cette dynamique protège les actifs financiers dits "risqués" dans un environnement toujours dominé par les liquidités offertes par les banques centrales et les très faibles rendements des actifs sans risque.
La seule nouveauté provient finalement de Corée du Nord qui force les Etats-Unis et la communauté internationale dans son ensemble à réagir. L’impact sur les marchés est pour le moment sporadique et minime, la volatilité étant déjà presque revenue sur ses plus bas après s’être légèrement tendue durant le mois d’août. Bref, comme disent nos voisins anglais : "more of the same".
La rentrée va donc être dominée comme à chaque début de trimestre par les banques centrales. Une annonce de tapering est attendue de la part de la BCE même si la hausse de l’euro devrait tempérer le discours de M. Draghi. Dans le même temps, la Fed devrait annoncer la baisse très progressive de son bilan accompagné sans doute d’un discours là aussi très prudent.
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Emergence, le fonds d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales de la Place de Paris, et NewAlpha Asset Management, gérant délégataire de la SICAV, annoncent la sélection de VIA AM(1), premier investissement réalisé par le compartiment Emergence Actions II lancé en juin 2017 avec un objectif de 300 millions d’euros.
Emergence Actions II apporte 50 millions d’euros au fonds VIA Smart Equity Europe(2), soit le plus important investissement réalisé par Emergence depuis sa création en 2012. Lancé en mars 2016, le fonds VIA Smart Equity a pour objectif de réaliser une performance long terme supérieure au MSCI Europe dividendes nets réinvestis, avec un profil de risque similaire.
Cet apport permet au fonds VIA Smart Equity Europe d’une part de dépasser le seuil des 150 millions d’euros et d’atteindre ainsi une taille critique pour renforcer sa présence auprès des investisseurs internationaux, et d’autre part de bénéficier du label Emergence décerné par le Comité d’Investissement de la SICAV composé des plus grands investisseurs institutionnels français.
VIA AM a développé des stratégies de gestion actions et de performance absolue systématiques fondées sur une technologie propriétaire qui analyse de manière systématique les informations économiques et comptables de 3 000 sociétés cotées dans le monde (dont 600 en Europe). Cette approche permet une analyse financière particulièrement objective et facilite les comparaisons entre sociétés.
(1) VIA AM est agréée par l’AMF sous le numéro GP-15000029
(2) Lancé en mars 2016, VIA Smart-Equity Europe (SI) a pour code ISIN LU1369528622
Pour en savoir plus, télécharger le communiqué de presse
Dans le cadre du fonds à échéance, la date de maturité des émissions étant connue et fixe, l’investisseur bénéficie d’une visibilité quant à la performance du fonds au fur et à mesure que l’on approche de sa maturité. La rentabilité du fonds sera le fruit à la fois de la valorisation des coupons des obligations présentes en portefeuille et des variations de capital dues à la fluctuation des taux d’intérêt et/ou des spreads de crédit.
La stratégie de gestion est discrétionnaire et porte sur un portefeuille d’obligations internationales de maturité maximale décembre 2025. La stratégie consiste à associer le portage des titres et leur arbitrage en cas de nouvelles opportunités de marché ou d’augmentation du risque de défaut d’un émetteur en portefeuille. Elle s’appuie ainsi sur la connaissance approfondie du bilan des entreprises et des fondamentaux des Etats sélectionnés.
La Française Rendement Global 2025 offre une capacité de diversification et pourra investir1:
La période de commercialisation du fonds prendra fin, au plus tard, le 31 mars 2020.
Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income de La Française, précise : « Dans la recherche de performance, le secteur du crédit et notamment les émissions notées BB ou B offre, selon nous, le meilleur rapport rendement / risque, d’autant que les taux de défauts restent relativement bas : le taux de défaut moyen long terme est de 4,3% (sur 20 ans à juin 2017)***. Le fonds sera positionné majoritairement sur le crédit Europe / US et la dette émergente, deux des expertises phares de La Française sur la gestion des taux.»
Pour en savoir plus sur ce nouveau produit, lisez le communiqué de presse.
Cette table ronde sera animée par Pierre Schoeffler, conseiller du Président en charge de la RSE, en présence de Xavier Lépine Président du Directoire La Française.
Avec la participation de :
Patrick Braouezec, Président de Plaine Commune
Alexis Masse, Secrétaire Confédéral CFDT en charge du numérique et de l'ISR
Sébastien Ricard, Directeur du Développement Durable et des Affaires Publiques - PAPREC GROUP
Marylène Vicari, Cofondatrice et Directrice du Liberté Living Lab
"Entre robot et homme, quels emplois pour le futur ?"
17h45 mercredi 4 octobre 2017 - 128 boulevard Raspail - 75006 Paris
Inscrivez-vous à l'adresse mail suivante : communicationISRnull@nulllafrancaise-group.com
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Mais rapidement, les données macroéconomiques du début de mois reprennent le dessus. Les chiffres d’activité sont très bons dans l’ensemble, confirmant ainsi la solidité de la reprise mondiale.
Aux Etats-Unis :
En Chine, les données macroéconomiques restent robustes. Le PMI manufacturier sort plus fort qu’attendu à 51,7 pour le mois d’août contre 51,4 en juillet. Les perspectives de croissance demeurent solides pour la deuxième partie de l'année.
En Europe, tous les signaux sont au vert avant la réunion de la BCE prévue la semaine prochaine, à l’exception de la hausse de l’euro qui risque de devenir un sujet de préoccupation pour les banquiers centraux, comme mentionné dans les minutes de la réunion précédente.
Le sentiment des investisseurs reste aujourd’hui très positif en Europe, mais la hausse de l’euro commence déjà à peser sur les actions européennes et pourrait mettre en danger la reprise économique avec des risques à la baisse sur l’inflation.
La semaine prochaine, l’élément central sera la réunion de politique monétaire de la BCE avec la mise à jour des prévisions économiques :
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]]>Depuis le 1er septembre, la fréquence de confrontation de la SCPI UFG PIERRE & VACANCES et la date de confrontation des SCPI de la GAMME MULTIHABITATION et LFP RENOVIMMO ont été modifiées :
La prochaine confrontation aura lieu le 20 septembre 2017.
La prochaine confrontation aura lieu le 20 septembre 2017.
Nous vous invitons à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel pour tout complément d’information.
La Française Real Estate Managers - 399 922 699 RCS PARIS - 128, boulevard Raspail 75006 PARIS. Agréments : AMF n° GP-07000038 du 26.06.2007 (www.amf-france.org), AIFM du 24.06.2014 au titre de la directive 2011/61/UE
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1 Au 30/06/2017
]]>Les cottages de la gamme « Country Premium », acquis en VEFA, seront livrés à la fin de l’été 2017 et seront répartis ainsi : 16 cottages T3 de 59 m² et 8 cottages T4 de 71 m² en moyenne. Ils bénéficieront de prestations de très grande qualité et disposeront notamment de terrasses d'environ 20 m², totalisant ainsi une surface habitable de 1 511 m². Chaque cottage, à l’ambiance chaleureuse et authentique entre palettes végétales et matières brutes, pourra accueillir jusqu’à 8 personnes.
Un BEFA de 12 ans ferme a été signé avec Villages Nature Tourisme, filiale à 50/50 des groupes Pierre & Vacances Center Parcs, leader des vacances en Europe et inventeur de la résidence de tourisme, et Eurodisney S.C.A, déjà bien implanté dans la région via notamment l’exploitation des Parc Disneyland® Paris et Walt Disney Studios® ainsi que sept hôtels à thème d’une capacité maximale de 5 800 chambres.
Destination de vacances inédites, basée sur la rencontre entre l’Homme et la Nature, Villages Nature® Paris constitue une innovation majeure en matière de tourisme familial durable.
La Française REM et Villages Nature® Paris étaient assistés par l’étude Monassier ainsi que Maître Robert Theret pour La Française REM.
Le thème cette année est « comment promouvoir une économie mondiale dynamique ». Les discussions devraient porter sur la stabilité financière et la croissance.
• Janet Yellen ouvre les hostilités aujourd’hui. Aucune surprise ! Le sujet reste centré sur la réglementation financière. Ce discours n’apporte rien de nouveau tant sur l’économie que la politique monétaire
• Mario Draghi parlera ce soir. Peu d’attente également car la BCE a déjà prévenu qu’il n’y aurait aucune annonce de changement de politique monétaire avant la réunion de septembre.
Nous conservons donc inchangée notre vision sur la politique monétaire aux Etats-Unis et continuons d’anticiper une hausse de taux supplémentaire d’ici la fin d’année avec le commencement de la réduction du bilan de la FED.
Les attentes du marché nous semblent toujours trop faibles avec une probabilité pour une hausse des taux sur décembre de 30% aujourd’hui.
Parallèlement, le risque politique aux Etats-Unis reste très présent. Donald Trump a brandi la menace d’un « shut-down » du gouvernement en amont des discussions sur le relèvement du plafond de la dette au Congrès.
Concernant la macro-économie, nous avons retenu deux chiffres :
• En Europe, les chiffres confirment l’embellie. Le secteur manufacturier reste très dynamique comme le montrent les enquêtes PMI, en hausse à 57,4 sur le mois d’août
• Aux Etats-Unis, les données restent plus mitigées. Le secteur de l’immobilier commence à montrer des signes de ralentissement. Les ventes de maisons neuves sont en baisse de 9,4% sur le mois de juillet, au plus bas depuis 7 mois.
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]]>Les indices actions sont en baisse suite à la montée des risques politiques aux Etats-Unis et à l’attaque terroriste à Barcelone.
Les marchés américains sont les plus impactés, sur fond de rumeur que le conseiller à la Maison Blanche, Gary Cohn et d'autres, abandonneraient l'administration, mettant ainsi en doute l’implémentation du programme pro-croissance.
Du côté microéconomique, la saison de publication des résultats se termine. Globalement cette saison a été satisfaisante (surtout aux Etats-Unis), ce soutien au marché est maintenant derrière nous.
Les minutes des réunions des Banques Centrales étaient publiées cette semaine et laissent apparaitre certaines inquiétudes:
• Côté FED, les discussions étaient sans surprise fortement axées sur l’inflation et montrent une plus forte inquiétude quant aux perspectives de rebond. Les membres du FOMC apparaissent également plus divisés par rapport à la faiblesse des derniers mois
• Côté BCE, des inquiétudes sont visibles sur la devise, quant au risque d’une trop forte appréciation de l’euro qui pourrait peser sur les conditions financières.
Les chiffres macroéconomiques publiés cette semaine sont satisfaisants:
• Aux Etats-Unis, les ventes au détail augmentent plus fortement que prévu à +0,6% sur le mois de juillet, ce qui devrait soutenir la croissance au 3ème trimestre
• En Europe, la croissance économique pour le 2ème trimestre s’est accélérée. La seconde estimation de la croissance du PIB ressort à +0,6% sur le trimestre
• Seule la Chine montre quelques signes de ralentissement sur les données d’activité du mois, avec un léger fléchissement de la production industrielle et des ventes au détail
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La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Certains pourraient y voir un péché d’orgueil alors qu’il s’agit en réalité d’une nécessité absolue pour concrétiser l’utopie économico-écologique (Cf. ma lettre de février 2017, la digicratie ou le populisme) et ne pas tomber dans la dystopie d’un monde en perdition fait de diktats sans dictature.
Des échecs des politiques économiques des pays occidentaux des 40 dernières années et singulièrement ceux de la France, le pouvoir de l’Etat est sorti affaibli alors même que les régulations n’ont fait qu’augmenter ; le principe de précaution l’emportant le plus souvent sur la créativité et la nécessaire protection des plus faibles créant un cercle vicieux d’appauvrissement à long terme. Pablo Picasso disait que l’ennemi principal de la créativité est le bon sens. On imagine aisément sa réaction s’il était confronté à la logorrhée administrative des dernières années ; excès de règles de tous genres qui d’ailleurs ont créé autant d’opportunités à des start-ups venant disrupter les rentes de “régulation”.
L’analyse, certes facile, du passé démontre aisément que la Destruction Créatrice énoncée en tant que principe économique par Schumpeter s’est souvent traduite en France, et d’une manière générale en Occident, par un mélange de manque de courage politique (y compris dans de nombreuses entreprises), de mandats politiques complexes (durée, processus), de règles administratives trop lourdes parce qu’il est plus “facile” (politiquement et économiquement) à court terme de protéger les industries en déclin que de soutenir une innovation consubstantiellement hasardeuse et moins populaire. L’Etat a d’ailleurs toujours recherché un équilibre par nature instable entre être un facilitateur de l’innovation, qui reste du domaine du secteur privé, et avoir une fonction de protecteur de ceux qui sont victimes de cette innovation (de la technologie comme de la mondialisation).
Par son approche pragmatique de droite et en même temps de gauche, Emmanuel Macron, en dirigeant par ordonnances et avec un pouvoir présidentiel fort, s’inscrit résolument dans une logique facilitant l’évolution Schumpétérienne, la seule réellement créatrice de richesses pour la collectivité.
La question centrale est ainsi déplacée vers quel type de création destructrice la Société évolue-t-elle et à partir de là quel est le rôle de l’Etat dans sa fonction de protection/d’accompagnement de la création en cours.
Parmi tous les changements liés à la globalisation et à la digitalisation, la relation au travail est, me semble-t-il, le plus important. L’Entreprise ne peut plus s’engager dans un plan de carrière pour ses collaborateurs car elle mute en permanence, l’obsolescence du “travailleur” est de plus en plus rapide : remplacé par un autre moins cher ailleurs, par une nouvelle technologie qui supprime son poste, par l’arrêt de certains produits ou services, au final une temporalité de plus en plus courte. Le droit du travail est de moins en moins adapté et peine à trouver les réponses : pour caricaturer, un chauffeur UBER est-il réellement auto-entrepreneur alors qu’il ne fixe pas le prix de la course, qu’il peut être sorti du système s’il est mal noté par les clients et qu’il ne se constitue aucun fonds de commerce qu’il puisse céder ? Le développement du statut d’auto-entrepreneur dans les métiers où la variabilité de la charge de travail est importante, y compris dans les métiers qualifiés, devient la règle pour les jeunes et se substitue partiellement à l’enchaînement des CDD.
On ressent ainsi que l’évolution de la Société se traduira nécessairement par plus de “précarité” quelle que soit la forme juridique à venir du Contrat de Travail, l’Etat accompagnant cette évolution économique par son encadrement juridique, la flexi-sécurité –pour prendre là également un terme à la mode– la précarité de l’emploi ne devant pas se traduire par une précarité sociale.
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]]>L’actif est situé au 53 Ferdinand-Happ-Strasse dans le quartier mixte du East End, l’un des plus dynamiques de la ville de Francfort-sur-le-Main. L’implantation récente de la Banque Centrale Européenne, qui y a pris ses quartiers en 2010, a attiré de nombreux autres grands locataires dont des fintechs et des prestataires de services.
L’immeuble, baptisé « Campus 53 », a été construit en 2011 dans un nouveau quartier mêlant bureaux, commerces et immeubles d’habitation (le Schwedler Carré) situé juste derrière la rue principale Hanauer Landstrasse et à seulement 500 mètres de la station ferroviaire Ostbahnhof.
Le bâtiment de 6 730 m2 est intégralement loué dans le cadre d’un bail de dix ans à un locataire unique : une agence publicitaire internationale.
« Campus 53 » bénéficie d’une grande entrée de style loft au rez-de-chaussée, d’espaces de bureaux modernes du 1er au 5ème étage et de plateaux de coworking (avec des salles de conférence, de détente et une cafétéria) au dernier étage. Les installations techniques sont très satisfaisantes et incluent un système de chauffage et de climatisation géothermique. Les espaces de bureaux sont aisément divisibles et peuvent donc s’adapter aux différents besoins des locataires. Un parking de 58 places s’étend également sur deux niveaux de sous-sol.
Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne au sein de La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Campus 53 constitue une réelle valeur ajoutée à notre portefeuille actuel. Le potentiel de performance à long terme de l’actif est attrayant puisqu’au regard des emplacements limités dans l’Ostend (East End), nous devrions assister à une augmentation des loyers à l’avenir, ce qui aurait un impact positif sur la rentabilité de notre investissement. »
* Exemple d’investissement détenu dans le portefeuille. Celui-ci n’est pas représentatif des investissements futurs et ne saurait refléter entièrement la composition du fonds.
La Française Real Estate Partners International a été assistée par les cabinets Ashurst LLP et TA Europe.
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Du côté économique, nous avons observé (avec un sourire en coin) le dollar remonter mardi après un rapport JOLTS américain (ouverture de postes au mois de juin) meilleur qu’attendu. Pourquoi étions-nous amusés ? Simplement car habituellement le marché ignore complètement ce chiffre, baromètre secondaire du marché de l’emploi. Les investisseurs étaient juste très positionnés acheteur EUR/USD et ont pris des profits, ce qui a fait baisser l’Euro – le chiffre était une simple excuse.
Le chiffre américain de la semaine était l’inflation, qui sort sous les attentes à +0,1% sur le mois contre +0,2% attendu. Etonnamment, le dollar n'a pas baissé tant que ça vendredi :
-0,15% face à l'Euro. Les membres de la Fed ont pourtant un discours très prudent : alors qu’il voyait auparavant deux hausses cette année, Monsieur Kaplan (membre votant de la Fed) trouve maintenant qu’il faut être « patient ».
Le marché anticipe maintenant moins de deux hausses d’ici fin 2019. Nous pensons que cet excès de pessimisme n’est pas justifié au regard d’un marché de l’emploi qui se tend et d’un dollar qui a baissé cette année.
Sur le front géopolitique, le « Fire and fury » de Monsieur Trump a bien sûr beaucoup pesé sur les actifs risqués, avec des actions qui terminent la semaine dans le rouge (Eurostoxx 50 et actions chinoises respectivement en baisse de -2,5% et -4,0%). Nous pensons que les bonnes nouvelles fondamentales macroéconomique et microéconomique finiront par prendre le dessus.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>Ces chiffres viennent conforter notre vue d’une économie américaine toujours en bonne santé. Nous continuons de penser que le marché n’anticipe pas assez de relèvement monétaire aux Etats-Unis.
A noter également la forte remontée des points morts d’inflation européens, aidée par le rebond du baril.
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La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>L’actif est composé de 2 bâtiments, entièrement loués à 6 locataires de qualité. Le principal locataire (22% de la surface) a confirmé sa volonté de renouveler son bail. L’actif, encore sous garantie décennale, développe une surface totale de 7 663 m² et bénéficie de 214 emplacements de parking, soit 1 place/36 m².
Cette acquisition a été réalisée pour le compte de 2 SCPI (Epargne Foncière et LF Europimmo) gérées par La Française REM.
Le vendeur et l’acquéreur étaient assistés par CBRE ; l’étude notariale de l’acquéreur a été réalisée par « Oudot et Associés » et celle du vendeur par « Me BERNECOLI ».
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Nos convictions restent globalement inchangées. Nous continuons de penser que les taux américains sont trop bas et que le marché anticipe trop peu de relèvement monétaire par la Fed. Nous restons donc positifs sur le dollar.
Nous pensons que les taux américains vont davantage monter que les taux Euro, et cela se matérialise : +6bps pour le 10 ans américain contre +2bps pour le Bund cette semaine.
Nous restons positifs sur les actions Euro et sur les marchés émergents. Ces deux zones affichent une bonne conjoncture macroéconomique et nous pensons que les flux positifs vont continuer.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
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]]>L’actif est acquis par La Française REM pour le compte des SCPI Epargne Foncière, LF Europimmo, Multimmobilier 2, Sélectinvest 1, La Française Pierre, Eurofoncière 2 et Pierre Privilège.
La Française REM était assistée par l’étude notariale « 14 Pyramides » et le Cabinet Jeantet sur les aspects locatifs. Standard Life Investments était assisté par l’étude notariale « Oudot et Associés » et par CBRE.
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Source : Bank of America Merrill Lynch (selon performance médiane du BPA sur la période 2005-2015)
1 Bank of America Merrill Lynch (2016) “ESG: good companies can make good stocks.” Equity Strategy Focus Point.
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Sur le plan politique d’abord, avec l’incontournable M. Trump, qui a de nouveau vécu une semaine chaotique : lundi, deux sénateurs républicains ont annoncé qu’ils ne soutenaient pas le texte de réforme de la santé. Le vote du « Better Care Reconciliation Act », connu sous le nom de Trumpcare, a été annulé dans la foulée. Avec littéralement aucune loi votée au congrès depuis son arrivée pour 42 projets de loi, le début de la présidence Trump est clairement un échec. La fin de semaine n’a pas été plus calme, avec l’annonce du FBI que les transactions immobilières de Trump avec des personnalités russes allaient faire l’objet d’un examen.
Ce contexte politique a un impact négatif sur le dollar et fait baisser les taux américains. Nous trouvons toujours que les taux américains sont trop bas et que le marché devrait anticiper davantage de hausses de taux de la part de la Fed.
Jeudi, Mario Draghi a fait son possible pour paraitre prudent. Les marchés obligataires ont bien entendu le message, mais étonnamment l’Euro a continué de monter après le discours. Cette divergence renforce notre conviction que l’Euro devrait baisser à nouveau, et nous avons renforcé ce pari en profitant de bons niveaux de marché.
La saison des résultats bat son plein, nous attendons la semaine prochaine plus de 40% de l'indice Stoxx 600. Nous pensons que les résultats devraient être bons étant donné la vigueur des chiffres macroéconomiques.
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]]>Il en existe une version en français et une en anglais ; vous ferez la différence aisément sur la couverture (la ligne du bas est en bleue sur la version française et en or pour la version anglaise).
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]]>Mais revenons à "Sapiens", le capitalisme y est décrit à l’origine comme une théorie à la fois descriptive et prescriptive du fonctionnement de l’économie. Peu à peu le capitalisme s’est doté d’une éthique fondée sur le dogme que la croissance économique est le bien suprême car tout le reste en dépend : la justice, la liberté, voire le bonheur. La liaison avec la science devient indispensable si l’on veut rendre ce message intelligible car la croyance en une croissance économique perpétuelle va à l’encontre de la connaissance que nous avons de l’univers physique. L’économie mondiale est exactement arrivée à ce point de rupture : l’endettement colossal accumulé depuis plus de trente ans rappelle "l’hiver" du cycle de Kondratieff et l’arrivée du "printemps" suppose soit une purge douloureuse de cet endettement par destruction créatrice, soit sa dilution dans une croissance apportée par la nouvelle ère technologique du digital, de l’intelligence artificielle, de l’Internet des objets, de la robotisation, des nano et des biotechnologies, des énergies renouvelables, etc. Bref dans une croissance durable car moins consommatrice de matières premières mais plus de matière grise.
Dans ce numéro de Stratégies & Durabilité, l’actualité du monde et de la France témoigne de ce nouveau monde en train d’émerger et de l’ancien monde qui n’en finit pas de s’éteindre. L’actualité de La Française témoigne elle du dynamisme et de l’engagement de notre société dans la croissance durable.
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Au global, les marchés obligataires ont consolidé leur baisse des dernières semaines à travers une baisse des taux réels. Les marchés actions affichent une performance intéressante (+1,7% sur l’Eurostoxx, +3,9% pour le MSCI EM notamment).
Le change émergent est en hausse (+1,3% pour la livre turque, +2,3% pour le réal brésilien, et +1,7% pour le peso mexicain). Nous conservons nos positions dans ces devises qui offrent un carry important dans un contexte d’inflation émergente en reflux. Nous sommes d’autant plus confiants dans ces positions que ces devises sont très peu chères en valorisation d’un point de vue historique.
Nous conservons également inchangée notre exposition en actions Euro (15%). La saison des résultats qui arrive devrait être un catalyseur positif pour ce thème. Nous attendons une croissance de 11% des bénéfices par action.
Cette semaine, le mouvement principal a été l’initiation d’un short dollar canadien face à la couronne norvégienne.
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]]>Les premières entreprises s’engagent pour un Grand Paris de la culture et de la création
Le Grand Paris Express présente une programmation culturelle comprenant des oeuvres originales dans les gares, des créations mobiles et du spectacle vivant, à l’échelle de l’ensemble du territoire métropolitain. Ce programme, dont la direction artistique a été confiée à José-Manuel Gonçalvès (directeur du Centquatre-Paris), a pour objectif de construire un patrimoine urbain sans équivalent : la première collection d’art public, d’architecture et d’innovation urbaine à l’échelle d’une métropole.
Les premiers mécènes de ce programme sont :
Présidé par Rémi Babinet, cofondateur de l’agence de publicité BETC, le Fonds de dotation amplifie son action et poursuit sa recherche de nouveaux partenaires pour associer le plus grand nombre d’acteurs à ce projet exceptionnel, d’intérêt national.
Un soutien concret aux projets artistiques dès 2017
Dès 2017 et jusqu’à l’ouverture des premières gares - formidable tremplin vers les Jeux Olympiques de 2024 et l’Exposition Universelle 2025 - le Fonds de dotation aura ainsi à cœur d’accompagner les projets de soutien à la jeune création, l’organisation d’événements fédérateurs sur les chantiers, ainsi que de nombreuses actions artistiques permettant de mobiliser la jeunesse des territoires. Grâce au Fonds de dotation, les entreprises pourront également soutenir la création des œuvres originales dans les gares
« Nous remercions chaleureusement les premiers mécènes qui se sont engagés à nos côtés. C’est un signe de confiance des entreprises qui vont contribuer à donner chair au nouveau Paris en accompagnant cette aventure extraordinaire, celle de la métamorphose de notre capitale. Le Grand Paris Express va être le moteur d’une transformation jamais vue depuis le XIXème siècle. Cette ambition, la puissance publique ne peut la conduire seule : il est primordial de faire comprendre cet enjeu, de le partager avec les entreprises et les acteurs économiques, pour que ce projet prenne toute sa dimension. »
Rémi Babinet, Président du Fonds de dotation du Grand Paris Express
La BCE continue de communiquer, avec un ton qui nous semble vouloir apaiser les tensions actuelles en mettant l’accent sur le caractère graduel du message, sur le fait que les mesures accommodantes sont toujours justifiées, mais pour le moment, avec un impact proche du néant.
Le pricing des taux courts euro implique aujourd’hui une 1ère remontée de taux en juin 2018 et 25bps de hausse au total sur l’année. Cela impliquerait un arrêt du QE assez brutal (passage de 60 milliards d'euros par mois jusqu’en décembre 2017 puis 0 à partir de juin 2018), Monsieur Draghi ayant toujours dit que les hausses de taux seraient postérieures à l’arrêt du QE. Ce n’est pas impossible, mais c’est un scénario qui nous semble déjà assez agressif. Etant donné la trajectoire d’inflation, nous ne pensons pas que le mouvement puisse aller beaucoup plus loin sur les taux courts allemands. Sur les taux longs, il reste un peu de place, les taux réels ne sont toujours pas très élevés mais là encore, la position ne nous semble plus très loin de ses objectifs et donc plus très asymétrique. A l’inverse nous trouvons qu’il reste de la place sur les taux courts américains.
Les chiffres macro-économiques Euro sont restés bien orientés avec des productions industrielles très fortes en Allemagne et en France. Du côté des États-Unis, notons le très bon chiffre d’ISM à 57,4 et les bons chiffres du chômage même si l’inflation salariale ne remonte toujours pas.
Les actions sont stables sur la semaine et restent collées sur les points post élection, autour de 3440 sur l’Eurostoxx. Nous avons toujours la même opinion : la macro-économie se porte bien, la micro-économie également avec des attentes de croissance autour de +15% sur l’année, le marché n’est en hausse que de +5% depuis le début de l'année et les valorisations sont proches de leur moyenne historique. Dans un monde où les liquidités excédentaires vont continuer à rester importantes et vont donc devoir être investies, il nous semble que les actions Euro restent intéressantes. Il est cependant possible que nous ayons un peu de volatilité si les tensions obligataires persistent.
Nous avons effectué des modifications cette semaine, principalement avec des prises de profit sur les banques Euro et taux Euro.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>L’objectif de la gestion factorielle en actions est en effet de surperformer les indices traditionnels tout en réduisant le risque du portefeuille. Le moyen d’y parvenir est de tirer profit d’anomalies de marché statistiquement identifiés et expliqués par des biais comportementaux ou réglementaires. Cinq facteurs principaux sont mis en avant aussi bien par le monde de la finance académique que par les praticiens: growth vs value, high vs low momentum, small vs big caps, low vs high volatility, high vs low quality. Typiquement on observe une surperformance de l’ordre de 2 % sur une base annuelle entre le portefeuille constitué du quart des sociétés présentant les valeurs les plus basses et le portefeuille constitué du quart des sociétés présentant les valeurs les plus hautes de chaque facteur.
La littérature académique ne reconnaissait pas jusqu’en 2014 l’existence d’un facteur low vs high carbon footprint sur les marchés d’actions significatif ou suffisamment stable en termes de rentabilité ajustée du risque. En revanche elle avait identifié la présence d’une prime de risque sur les rentabilités attendues des entreprises fortement émettrices de carbone et reconnaissait que la transparence de l’information sur les émissions de carbone bénéficiait à la valorisation et à la liquidité de ces entreprises. Un des arguments conceptuels mis en avant par les climato-sceptiques en finance était l’hétérogénéité des entreprises fortement émettrices de carbone en termes de sensibilité au prix de l’énergie ou de risque relatif au marché dans son ensemble.
Ces entreprises appartiennent en effet essentiellement à quatre secteurs : extraction de matières premières énergétiques, production d’électricité, matériaux de base et industrie ayant peu de points communs si ce n’est une forte intensité capitalistique. Ces secteurs représentent environ 25 % de la capitalisation de l’indice boursier MSCI ACWI et sont responsables de 90 % des émissions de carbone par les entreprises composant l’indice. Mais rien ne permet d’affirmer que cette hétérogénéité est plus forte que, par exemple, les valeurs jouissant d’un haut niveau de volatilité des cours ou les entreprises de qualité médiocre.
Sur la partie immobilière, et plus particulièrement en immobilier collectif, la première partie de l’année a démarré sur les chapeaux de roues en matière de collecte, ce qui placera sans nul doute l’année 2017 comme un grand millésime.
A ce jour, nous avons près d’1 milliard d’euros d’actifs en processus d’acquisition, ce qui nous permet d’augmenter nos enveloppes de collecte en direct ou en UC de plus de 250 M€ pour l’année 2017.
Il n’était pas question pour nous de collecter sans avoir des investissements de qualité en regard !
Il n’y aura pas de rupture dans la collecte de nos produits que vous avez plébiscités, à savoir : Epargne Foncière, Multimmobilier 2, Opportunité Immo, Europimmo, voire Multimmo.
Concernant le marché des OPCVM, nous sommes satisfaits du 1er semestre.
Notre choix de fonds phare a été piloté par le match Euro - UC avec donc des solutions recherchant un couple risques/rendement cohérent.
Parmi les produits que nous vous avons proposés, on peut noter le succès du fonds La Française Rendement Global 2022 et La Française Multistratégies Obligataires qui intègrent une approche de Performance Absolue avec une gestion flexible.
Nous bénéficions aussi d’une expertise en Performance Absolue avec le fonds LFIS Premia, un portefeuille de stratégies diversifiées, décorrélé des marchés.
Enfin nous n’oublions pas non plus la gestion sous mandat et la mise en place de fonds dédiés qui apportent un vrai plus en matière de service.
Pour le 2nd semestre, nous continuerons à vous proposer cette gamme de fonds phares, et travaillerons sur de nouvelles thématiques, avec La Française Multi-Asset Income, qui a un objectif de distribution revu annuellement et La Française Zero Carbon, un fonds Action axé sur les enjeux climatiques.
Ce rapport contient "les modalités de prise en compte dans la politique d'investissement des critères relatifs au respect d'objectifs sociaux, environnementaux et de qualité de gouvernance et sur les moyens mis en œuvre pour contribuer à la transition énergétique et écologique" comme prévu par la loi.
Dans ce premier rapport, l'accent est mis sur la philosophie d'investissement du Groupe la Française, la SAI, appliquée à toutes les classes d'actifs, qui combine une approche environnementale, sociétales et de gouvernance avec une analyse stratégique et l'analyse financière traditionnelle. Cette combinaison permet d'avoir une vision dynamique et intégrée des facteurs de performance et de risque attachés à chaque actif.
Le rapport contient une revue des portefeuilles actions, obligations d'entreprise et immobilier d'entreprise gérés par le Groupe, à la fois sous l'angle ESG et l'angle climat avec un focus sur les véhicules phares: Zero Carbon sur les actions, Obligations Europe SAI et Immo SR 1 pour l'immobilier.
Créé à Paris, à l’initiative des professeurs Gérard Saillant, Yves Agid et Olivier Lyon-Caen, l’ICM est la concrétisation d’un nouveau modèle en matière de recherche en neuroscience :
L’institut regroupe des moyens techniques exceptionnels : 3 IRM, un hôpital de jour, un centre de ressources biologiques, des plateformes technologiques mutualisées pour favoriser rencontres et échanges entre professionnels…
Lancée en janvier 2014 par Euryale AM, Pierval Santé est la première SCPI à fonds de partage. Elle a pour ambition de répondre à un enjeu de santé publique en rapprochant des investisseurs privés (épargnants) et des exploitants associatifs publics ou privés. En tant que fonds de partage, elle participe à l’œuvre de la Fondation ICM à hauteur de 0.01% de sa collecte annuelle et invite distributeurs et investisseurs à œuvrer pour cette même cause.
Dans cet esprit, le CMNE (Crédit Mutuel Nord Europe) et La Française ont souhaité renforcer leur soutien à la recherche médicale en apportant leur contribution :
Le chèque de 76 930€ remis le 4 juillet à l’ICM se rapporte à la collecte réalisée en 2016 sur la SCPI Pierval Santé, dont près d’un tiers au sein du réseau Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE).
En 1 an, la capitalisation de Pierval Santé a quasiment triplé pour atteindre à la fin du
1er trimestre 2017 près de 150 millions d’euros avec un nombre d’associés supérieur à 3 600. La SCPI compte aujourd’hui 27 acquisitions dans les secteurs de la santé (medico social, soins de ville, etc.) en France et en Allemagne.
La progression de ces chiffres illustre la pertinence de la stratégie de Pierval Santé et l’intérêt avéré des investisseurs à diversifier leur épargne sur le secteur de l’immobilier de santé.
La puissance de distribution du CMNE alliée au savoir-faire de La Française et l’expertise d’Euryale AM participent au succès de Pierval Santé.
Eric Charpentier, Directeur général de Crédit Mutuel Nord Europe, souligne : « Nous sommes très fiers de cette réussite. Nous assumons notre rôle d’acteur engagé sur nos territoires à travers des investissements porteurs de sens. Les clients y sont sensibles et d’année en année ils nous rejoignent dans cette démarche sociétale. Il est essentiel que chacun d’entre nous continue de s’y investir. »
Thierry Sévoumians, Directeur du développement France chez La Française, commente : « Les problématiques de dépendance spécifiques aux maladies neurodégénératives constituent un enjeu majeur pour les années à venir. En nous engageant auprès de Pierval Santé, nous sommes très fiers de contribuer à soutenir la recherche médicale menée par l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière en parfaite adéquation avec notre démarche sociétale. »
Jean-Jacques Olivié, Président d’Euryale Asset Management, rappelle : « Pour la 1ère fois une SCPI permet de lier finance et philanthropie. Pour consolider et approfondir cette démarche innovante, l’ICM participe également, dans un esprit public-privé-associatif, à notre comité scientifique afin de nous accompagner dans la vision de ce que sera la médecine de demain. Une vraie synergie s’est créée ».
De gauche à droite : M. Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française, Pr. Patrick Vermersch, vice-doyen de la faculté de médecine de Lille, Pr. Gérard Saillant, Président de l’ICM, M. Eric Charpentier, Directeur Général du CMNE
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Le discours de Mario Draghi a lancé les hostilités, celui de Mark Carney (gouverneur de la Banque d'Angleterre) a confirmé les dires d'Andy Haldane (économiste en chef de la Banque d'Angleterre), et Stephen Poloz (gouverneur de la Banque du Canada) a lui réitéré le changement de ton de la BoC. Avec une Fed qui avait été perçue comme rigide lors du dernier FOMC, cela fait maintenant quatre grandes banques centrales qui indiquent une volonté de réduire le biais très accommodant de leurs politiques.
De plus, l’inflation en zone euro est sortie légèrement au-dessus des attentes, l’impact sur les taux a été immédiat et conséquent : +22bps sur les taux européens et britanniques, +14bps sur les taux américains et +30bps sur les taux canadiens. Très logiquement, le dollar a baissé contre l'euro, la livre sterling et le dollar canadien, en lien avec la compression du spread de taux.
Dans le même temps, le pétrole reprend quelques couleurs, ce qui entretient évidemment le mouvement sur les taux.
Rien n’a changé du côté macroéconomique, et l’inflation, même si elle est un peu meilleure que prévu, ne montre pas non plus de signes d’amélioration notable.
Ce mouvement est aussi sans doute en partie lié au positionnement excessif des fonds systématiques (risk parity, minimum variance, etc) qui étaient tous très long de taux et d’actions. Ces positionnements agressifs sont probablement encore présents dans le marché, ce qui pourrait continuer à alimenter le mouvement la semaine prochaine. Il faut se rappeler de mai 2015 avec un mouvement de hausse de 100bps sur les taux allemands.
Les actions européennes reviennent en hausse de seulement +5% depuis le début de l'année malgré une très bonne dynamique micro-économique.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Pascale Auclair, Directeur général de La Française AM était face à Thibault Prébay, Directeur général adjoint de Financière Arbevel, le vendredi 30 juin dans Intégrale Placements sur BFM Business.
Ils ont débattu sur les thèmes suivants :
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> Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
]]>Le marché résidentiel est durablement soutenu par des facteurs structurels : une démographie toujours dynamique par rapport aux autres pays d’Europe de l’Ouest, un mouvement de décohabitation qui s’intensifie, la préparation de la retraite, et plus généralement le désir d’accéder à la propriété. De manière plus conjoncturelle, le bas niveau des taux de crédit, malgré la remontée amorcée en toute fin d’année dernière, a précipité les acquisitions depuis quelques trimestres. En effet, les taux d’emprunt toujours très bas ont nettement contribué à resolvabiliser les ménages.
De plus, la classe d’actif immobilier continue de représenter la valeur refuge, dans un contexte de forte volatilité persistante des marchés financiers. Ces nombreux facteurs de soutien assurent une activité régulière sur les marchés de l’acquisition de logements et leur conjonction a favorisé un redémarrage sensible des prix, en particulier en Ile-de-France.
En effet, cette forte demande des Français en matière de logements se concentre de plus en plus, à l’instar des populations, vers les métropoles, attirant une très grande part de l’activité économique. Les déséquilibres territoriaux se sont donc exacerbés au cours des dernières années, entraînant des trajectoires divergentes dans l’évolution des prix résidentiels : les grandes villes enregistrent des progressions parfois marquées des prix des logements, tandis que la demande pour les zones plus secondaires s’est considérablement ralentie, entrainant une baisse des valeurs...
L’exemple le plus criant est sans nul doute l’Ile-de-France. Malgré les crises successives observées depuis 2008, les prix n’y ont finalement que peu fléchi et sur une courte période. Ils ont largement rebondi depuis, puisque les estimations prévoient un nouveau record de prix dans Paris, en 8 800 €/m² en juillet 2017. La hausse des prix dans la Capitale aura, par ricochet, un impact haussier sur sa périphérie. Les enjeux sont gigantesques. La part des dépenses de logements n’a cessé d’augmenter de manière très nette au cours des dernières décennies, impactant considérablement le budget des ménages alloué à d’autres postes de dépenses. La consommation, par exemple, pâtit de cette réalité, et freine, au final, la croissance de l’économie dans toutes ses composantes. Ainsi les analystes constatent que la robustesse de l’économie allemande est notamment issue d’une meilleure répartition de l’activité et des lieux de résidence sur le territoire (malgré une densité nettement plus élevée qu’en France), car elle accroit la compétitivité des entreprises et la consommation des ménages, en maintenant les loyers des différentes villes à des niveaux raisonnables.
Le projet du Grand Paris a été conçu pour répondre à cette problématique. La construction de 200 km de voies de métro automatique, jalonnées de 68 nouvelles gares autour de Paris permettra une accessibilité accrue de certaines zones, aujourd’hui peu recherchées par les ménages. Elles contribueront à élargir les territoires susceptibles d’offrir des terrains à construire, afin d’agrandir le parc de logements. 70 000 nouveaux logements devraient ainsi être livrés chaque année pendant 25 ans, afin de répondre à la hausse de la population francilienne (13 millions d’habitants attendus en 2030 contre 12 millions recensés en 2014) et assurer une meilleure fluidité du marché immobilier résidentiel, en réduisant les inégalités.
Du point de vue de l’investisseur institutionnel, l’importante baisse des taux pour les bureaux et les commerces a rendu les rentabilités distribuées par les actifs de logements nettement plus attractives car plus proches de celles offertes par les investissements en immobilier d’entreprise. En outre, le faible taux de rémunération proposé par les taux d’emprunt d’état a mécaniquement restauré une prime de risque sensiblement plus favorable.
La ligne 15 du Grand Paris, la seule ligne de métro qui ne desservira aucune station située dans la capitale, reflète bien la volonté de dépasser le périphérique pour englober la proche périphérie.
La Française souhaite participer activement à la construction du Grand Paris. Nous étudions ainsi des dispositifs innovants qui permettraient de proposer aux ménages, un accès facilité car à moindre coût, aux logements neufs, y compris en région parisienne. Le projet du Grand Paris nous offre une occasion unique d’adoucir les frontières entre les territoires, en les rendant plus accessibles, afin d’accroitre l’offre globale de logements pour améliorer les conditions de vie d’un plus grand nombre.
Le pétrole reste le principal « driver » des marchés sur la semaine et pèse sur le sentiment global. Les prix du baril continuent de baisser et touchent de nouveaux points bas sur l’année, ce qui porte la performance depuis le début de cette année proche des -20%. Il s'agit de la plus forte baisse enregistrée sur un premier semestre depuis 1997.
Le pétrole est clairement un point de vigilance aujourd’hui. Si la baisse devait s’accentuer, les impacts potentiels pourraient être importants, sur les classes d’actifs et les banques centrales, avec des risques sur la croissance et les perspectives macro-économiques mondiales. Pour le moment, nous continuons de penser que cette baisse est transitoire.
Au Royaume-Uni, les négociations sur le Brexit avec l’Union Européenne ont commencé cette semaine. David Davis (ministre délégué au Brexit) a mis en avant les espoirs pour « un partenariat fort » avec l’Union Européenne, après le départ du Royaume-Uni. Cela est certainement une première étape dans une bonne direction, d’autant plus que Theresa May est actuellement marginalisée suite aux résultats des élections anticipées.
Nous pensons qu’il n’est pas improbable que le sentiment de marché s’oriente progressivement vers un scénario de « soft » Brexit dans les mois qui viennent, mais nous n’oublions pas que nous sommes seulement au début des négociations, ce qui laisse toujours la place aux incertitudes.
Du côté de la Chine, MSCI a annoncé l’inclusion des actions chinoises A dans l’indice MSCI Emerging Markets. Cela devrait se faire progressivement en deux étapes (mai puis août 2018) et représentera un poids de 0,7% de l’indice. Cette décision était très attendue. Nous n’attendons pas d’implications ou d’impacts importants sur les marchés.
En Europe, la publication des PMI sur juin ressort sous les attentes. Le PMI composite est en baisse à 55,7 vs 56,8 au mois précédent. La composante Services est en baisse à 54,7 mais l’activité manufacturière est en hausse à 57,3 soit le plus haut niveau depuis 6 ans.
Malgré cette baisse, l’activité reste robuste et affiche sa plus forte croissance sur le trimestre, soutenue par une reprise globale.
La Banque Centrale Européenne a également publié son bulletin économique, et confirme que l’inflation devrait rester proche de ses niveaux sur les prochains mois.
Aux Etats-Unis, la croissance des PMI ralentit également pour le mois de juin. Le PMI composite est en baisse à 53,0 contre 53,6 au mois précédent, mais les composantes emploi et nouvelles commandes restent solides.
Globalement, les marchés actions sont volatils sur la semaine avec une surperformance des marchés émergents. Les taux sont légèrement en baisse.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Souscrit par des investisseurs institutionnels français (banque, assurances, caisse de retraite), le fonds géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de participations dans des sociétés innovantes du secteur des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.
Prioritairement investi dans des startups françaises non cotées dans les différents secteurs FinTech, le fonds bénéficie d’un important deal flow européen grâce à l’écosystème unique constitué par NewAlpha avec ses actionnaires, investisseurs, sociétés de gestion partenaires et par son expertise dans le domaine de l’incubation et de l’accélération de sociétés entrepreneuriales en France et à l’international.
NewAlpha a été le fonds de Venture Capital français le plus actif en 2016 dans le secteur FinTech. Il fut notamment leader sur les levées de fonds des startups HEOH, iTrust, Unilend, Lydia, TrackInsight et très récemment Wikifolio, premier investissement européen du fonds.
Ces sociétés bénéficient du dispositif d’accompagnement et d’accélération que NewAlpha met en œuvre depuis plusieurs années dans le cadre de ses fonds d’incubation dédiés au secteur financier.
Le Fonds French Tech Accélération, créé dans le cadre de l’Initiative publique French Tech en 2014 et doté de 200 millions d’euros sur 5 ans est géré par Bpifrance. Il est financé par le Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), piloté par le Commissariat général à l'investissement (CGI) pour investir dans des structures d’accélération privées (accélérateurs, startup studios, fonds d’investissement d’accélération…). Près de 70M€ ont aujourd’hui été engagés par le FTA dans plus de 10 opérations
Lior Derhy, Directeur du Private Equity chez NewAlpha indique: « Avec ce fonds, nous avons souhaité allier notre expertise dans l’industrie financière aux meilleures pratiques du Venture Capital et de l’incubation. Plusieurs centaines de sociétés ont été rencontrées par l’équipe depuis fin 2015, ce qui conforte la profondeur et le dynamisme des opportunités FinTech en France et en Europe. L’évolution constructive des relations entre les acteurs établis et les start-ups de l’industrie devrait conduire à une forte démocratisation des innovations FinTech et offrir des opportunités d’investissement attractives. »
Pour Bpifrance « Nous sommes heureux d’accompagner l’équipe New Alpha dans la levée de leur fonds NewAlpha Fintech qui repose sur un modèle d’accompagnement opérationnel par immersion dans l'écosystème de partenaires de New Alpha dans l’industrie financière. »
Antoine Rolland, CEO de NewAlpha conclut: « La stratégie de développement de NewAlpha s’appuie sur l’élargissement de nos champs de compétences naturellement centrées sur l’innovation. Le positionnement, aujourd’hui reconnu, de notre fonds FinTech traduit notre expertise et notre capacité à proposer des solutions d’investissement créatrices de valeur à la fois pour les investisseurs institutionnels et pour les entrepreneurs. »
*Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.
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Evènement de référence dédié aux CGP/CGPI, banquiers privés, investisseurs institutionnels... ce rendez-vous unique est l'occasion de bénéficier de témoignages d'experts et de rencontrer les professionnels de la pierre-papier et de l'investissement immobilier.
Marc Bertrand, Président de La Française Real Estate Manager, interviendra lors de la conférence qui débutera à 9.15 sur le thème "investissements immobiliers : jusqu'où ?"
Cette journée sera également sera également ponctuée par la remise de prix pour deux catégories, les prix quantitatifs et le prix qualitatif.
Pour en savoir plus, téléchargez le programme
Assises de la Pierre-Papier et de l'Investissement Immobilier
lundi 26 juin 2017
Méridien Etoile
81 boulevard Gouvion Saint-Cyr
75017 Paris
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Intégrale Bourse, du mercredi 21 mai 2017, présenté par Vincent Touraine, sur BFM Business.
]]>A ce jour, la Société de gestion a d’ores et déjà identifié trois actifs situés dans les Hauts-de-Seine (92) et dans le Val de Marne (94) représentant 1 330 m² pour 25 logements.
Exemples d’investissement, ne constituent pas un engagement quant aux futures acquisitions
Zoom sur le dispositif Pinel :
En investissant dans des programmes d’habitation de qualité situés dans des zones géographiques dynamiques et respectant les plafonds de prix, de loyers et de ressources des locataires en vigueur, Multihabitation 10 offre à ses associés une réduction d’impôt sur le revenu attractive.
Cette réduction d’impôt de 18%, sur la base de 100% d’un montant souscrit dans la limite de 300 000 € et répartie de manière linéaire sur une période de 9 ans, représente un avantage fiscal total maximum de 54 000 € sur 9 ans.
L’investissement en part de SCPI Multihabitation 10 permet l’application immédiate de la réduction d’impôt annuelle de 2 %, au titre de l’année de souscription, sans délai ni calcul de prorata temporis.Le bénéfice de la réduction d’impôt est soumis à l’obligation pour l’associé de conserver ses parts pendant une durée de 9 années à compter de la mise en location du dernier logement composant le patrimoine de la SCPI et au maximum 17 ans, compte tenu de la période inhérente à la vente du patrimoine.
Votre conseil en investissement auprès de vos clients ne doit pas se baser sur les seuls avantages fiscaux procurés par ce produit et doit prendre en compte ses autres caractéristiques.
Vous remerciant une nouvelle fois pour votre confiance, nous vous invitons, pour tout complément d’information, à vous rapprocher de votre interlocuteur habituel.
Risques associés : Multihabitation 10 est une SCPI fiscale dont la réduction d’impôt entre dans le champ d’application du plafonnement global des avantages fiscaux à 10 000 euros du revenu imposable. Ce placement à long terme, dont la durée de détention des parts est estimée à 17 ans au total, ne bénéficie d’aucune garantie de rendement ni de protection du capital investi. L’avantage fiscal ne pouvant être transmis, sa liquidité s’en trouve limitée. Compte tenu de la constitution du patrimoine, les premiers revenus seront des revenus financiers et seront distribués au titre du 1er semestre 2019 (versement au 2nd semestre 2019), sous réserve des taux de placement.
La société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF N° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE (www.amf-france.org). Multihabitation 10 : visa AMF, SCPI n°16-23, en date du 26/08/2016. Une notice a été publiée au BALO n°109 du 09/09/2016 et n°148 du 09/12/2016.
La Française AM Finance Services, entreprise d’investissement agréée par le CECEI sous le numéro 18673 X, carte Professionnelle délivrée par la Préfecture de Police de Paris - Transaction Immobilière n° T11960 - www.acpr.banque-france.fr
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La FED a relevé ses taux de +25bps comme attendu. En dépit de chiffres d’inflation plus faible, la FED poursuit sa politique de normalisation monétaire, la plupart des membres du FOMC continue d’anticiper une hausse de taux supplémentaire d’ici la fin d’année.
Au niveau des projections économiques (SEP), la FED s’attend toujours à un marché de l’emploi plus robuste mais avec une inflation plus faible seulement pour l’année 2017. L’inflation devrait retourner progressivement vers les 2%, la faiblesse récente devrait être transitoire.
La question de la réduction du bilan de la FED devrait être évoquée au prochain meeting de septembre, et pourrait éventuellement commencer avant la fin de l’année à un rythme très graduel.
Le biais est donc plus rigide qu’attendu, si l’on regarde la réaction des marchés post meeting, avec un rebond des taux core et du dollar.
Cependant, la probabilité pour une hausse des taux en fin d’année est inférieure à 40%. Les marchés restent beaucoup plus prudents que la FED. Nous continuons de penser de notre côté, que les anticipations de marchés sont trop pessimistes sur l’économie. Nous maintenons notre biais vendeur de duration inchangé.
Par ailleurs, la banque du Japon a laissé sa politique monétaire identique.
macro-économique de la semaine dernière, les chiffres continuent de décevoir aux Etats-Unis. Les ventes au détail pour le mois de mai sont plus faibles que prévu (en baisse de -0,3% sur le mois) mais la révision du mois dernier est positive. L’inflation sort nettement sous les attentes. Le headline CPI ralentit à +1,9% sur l’année contre +2,2% au mois précédent. La partie core est plus faible également à +1,7%, en baisse pour le 3ème mois consécutif. Bref, nous constatons toujours très peu de pressions inflationnistes à ce stade...
En Europe, l’environnement macro-économique reste orienté positivement. La production industrielle continue de rebondir (avec une hausse de +0,5% par rapport à avril) tirée par le secteur de l’énergie. Sur l’inflation, le CPI final pour mai ressort comme attendu à +1,4%.
En Chine, les ventes au détail et la production industrielle (respectivement en hausse de +10,7% et +6,5% sur les 12 derniers mois) restent bien orientées.
Les marchés actions et les taux étaient en légère baisse sur la semaine. Le marché du pétrole reste sous pression, les prix continuent de baisser suite aux chiffres d’inventaire qui restent globalement élevés.
Cette semaine devrait être plus calme, les banques centrales étant derrière nous.
Nous avons effectué quelques changements sur le portefeuille:
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>L’immeuble SUD AFFAIRES a été détruit pour laisser place à IPSO FACTO, immeuble livré par Bouygues Immobilier en mai 2017 et détenu à 66 % par Sélectinvest 1 et à 34 % par Crédit Mutuel Pierre 1.
Cet immeuble dernière génération aux portes de Paris, situé rue de la Vanne à Montrouge (92) et accessible depuis le métro (ligne 4) et le RER B, développe une superficie de 14 000 m2 et 300 places de parkings. Conçu par l’Atelier d’Architecture Brenac & Gonzalez, IPSO FACTO, divisible verticalement et horizontalement, s’articule autour de deux halls lumineux et offre des patios arborés et des terrasses paysagées. Il proposera un espace de co-working, des tisaneries… et un restaurant à thème, de quoi répondre aux nouvelles exigences des utilisateurs.
Outre ses qualités architecturales et ses nombreux services, IPSO FACTO, certifié HQE Excellent et BREEAM Very Good, est en mesure de réaliser jusqu’à 40% d’économies d’énergie par rapport à la RT 2012, grâce notamment à la production de chaleur et de froid par la géothermie sur sondes.
Thierry Molton, Directeur de l’Asset Management Immobilier d’Entreprise de La Française REM, conclut, « Face à l’obsolescence de l’immeuble SUD AFFAIRES et convaincus par l’attrait croissant du secteur de Montrouge pour les utilisateurs, notamment avec l’avancement du projet Grand Paris, nous avons, avec cette valorisation de grande ampleur, simultanément créé de la valeur pour nos SCPI Sélectinvest 1 et Crédit Mutuel 1 et allongé la durée de vie de l’actif.»
Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici
1 U.S. SIF Foundation, « Report on Sustainable and Responsible Investing Trends in the United States », 2016
2 Étude U.S. Trust Insights on Wealth and Worth®, 2016. Parmi les investisseurs « millennials », 28 % possèdent des actifs ESG et 57 % envisagent d’en ajouter à leurs portefeuilles. Parmi ceux de la « génération X », 24 % possèdent des actifs ESG et 31 % envisagent d’en ajouter à leurs portefeuilles.
3 The Journal of Investing, « Can ESG Add Alpha », Zoltan Nagy, Altaf Kassam, Linda-Eling Lee, Été 2016.
> Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
]]>C’est à l’occasion de l’Assemblée Générale de la SCPI Pierval Santé qu’une visite privée est organisée pour les gestionnaires de patrimoine à l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.
L'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière est situé à l’hôpital de la Pitié Salpetrière à Paris.
En savoir plus sur l'ICM, cliquez ici
Mercredi 21 juin 2017 de 8.45 à 10.30
Institut du Cerveau et de la Moelle épinière
Hôpital Pitié Salpetrière
47, bd de l’Hôpital
75013 Paris
Vous y retrouverez nos rubriques habituelles sur la conjoncture, les marchés immobiliers, les marchés de valeurs mobilières ainsi que la présentation de plusieurs supports d’investissement. Mais une fois n’est pas coutume, nous avons souhaité consacrer notre page "Décryptage" à un sujet qui préoccupe un nombre de plus en plus important de nos concitoyens : la gestion des avoirs et des intérêts de personnes ne disposant plus de la capacité d’y pourvoir seules.
Après le mandat de protection future, entré en vigueur le 1er janvier 2009, permettant à chacun d’organiser son éventuelle dépendance à venir, le gouvernement a mis en place par l’ordonnance 2015-1288 du 15 octobre 2015 la procédure d’"habilitation familiale" visant à simplifier les démarches des proches d’une personne vulnérable.
Les participants à cette table ronde sont :
La Française fait dialoguer responsabilité et stratégie. Anticipant et décryptant les grandes tendances avec pragmatisme et engagement, La Française privilégie dans ses choix d’investissement une approche de long terme qui prend en compte aujourd’hui les défis de demain. Elle a pour cela développé l’ISR via une approche propriétaire, la SAI – stratégie avancée d’investissement – qui allie critères financiers et recherche stratégique. Cette méthode innovante de sélection de valeurs s’inscrit dans la durabilité en intégrant, en plus des facteurs ESG, les deux critères supplémentaires que sont la capacité d’innovation et la réactivité des entreprises. Aujourd’hui, l’ensemble de la gestion actions de La Française est ISR. Avec l’ISR, La Française répond à l’appétence de ses clients pour des produits responsables sur des thématiques clairement identifiées. Ainsi, le fonds Zero Carbon propose une solution à des investisseurs qui souhaitent profiter des opportunités liées à la transition énergétique, tout en gérant les risques d’investissement liés à ces changements.
L’article 173 de la loi sur la transition énergétique impose un reporting aux investisseurs institutionnels sur leur gestion des risques liés au climat, et plus largement sur l’intégration de paramètres environnementaux et sociaux dans leur politique d’investissement. Rien que sur l’assurance vie, les encours sous gestion concernés sont faramineux. Mais ce changement est aussi majeur car il introduit une véritable rupture. Les investisseurs institutionnels comme les gérants qui les servent sont en effet convaincus que la lutte contre le réchauffement climatique est « disruptive ». Elle ne concernera donc pas une part marginale des portefeuilles, mais s’invitera dans l’ensemble des portefeuilles institutionnels. Elle va ainsi conduire les spécialistes de l’investissement à revoir leur horizon d’investissement, à intégrer la notion d’impact et donc à ne plus privilégier une rentabilité financière à court terme. Tous les participants à la Table ronde bas carbone ont en effet souligné la nécessité de sortir du diktat des reportings annuels car une gestion ISR et a fortiori à bas carbone doit s’appréhender sur le long terme. Autre évolution indispensable : les investisseurs institutionnels, les gérants, mais aussi les agences de notation ou encore les fournisseurs d’indice doivent s’entendre sur des normes de places – idéalement européennes – qui puissent permettre une certaine comparabilité entre les politiques d’investissement mises en oeuvre et leurs impacts réels sur l’environnement.
Si cette étape de normalisation est indispensable, elle ne remet pour autant pas en cause la capacité d’innovation des gérants. Et dans ce domaine, la lutte contre le réchauffement climatique les inspire. Ils sont ainsi nombreux à avoir pu isoler un facteur carbone qui agit comme une prime de risque sur les actions. De leur côté, les investisseurs institutionnels aussi souhaitent utiliser les nouvelles technologies afin d’être plus vertueux en matière d’environnement, mais aussi plus efficaces. C’est notamment ce qui a été fait à travers l’initiative lancée par ERAFP avec amLeague et Cedrus Asset Management. Au lieu de lancer un appel d’offres classique, le fonds de pension a demandé aux sociétés de gestion de montrer leur expertise sur la gestion à bas carbone en gérant un mandat virtuel sur la plateforme en notionnel. Une méthode gagnant/gagnant pour l’institutionnel et les sociétés de gestion. Pour le premier, il s’agit en effet d’être plus efficace et de tester véritablement les capacités des gérants et pour les seconds de montrer à l’ensemble des investisseurs potentiels leur savoir-faire.
Si ce mandat concerne une gestion actions, toutes les classes d’actifs peuvent être concernées par la gestion bas carbone et plus particulièrement l’immobilier et l’obligataire. Les spécialistes de l’immobilier ont en effet pu constater que les immeubles avec des écolabels responsables se louaient plus facilement et à des niveaux de loyer supérieurs que les autres types d’immeuble. Ils affichent donc un meilleur rendement. De même, le marché des «green bonds» représentait à fin 2016 quelque 190 milliards d’euros, contre 90 milliards en 2015. S’il constitue encore un segment de niche, sa croissance est exponentielle. De même, sa dynamique est très intéressante car il ne cesse de s’élargir en termes d’émetteurs, de zones géographiques, de classes d’actifs ou encore de qualité de notation. Autre changement : si les économies occidentales mènent encore le marché, les pays émergents ont fait une énorme percée récemment. Des évolutions à suivre.
> Pour retrouver l'intégralité de la table ronde, cliquez ici
> Cette article est également consultable sur le site OPTION FINANCE en cliquant ici
]]>La BCE n’a pas surpris les marchés et laisse les taux inchangés. Comme attendu, elle a marginalement modifié sa " forward guidance " en supprimant le biais à la baisse sur les taux directeurs. Mais le message reste globalement prudent.
Les prévisions de croissance ont été revues à la hausse, les risques apparaissent désormais plus " équilibrés " mais les prévisions d’inflation sont, en revanche, revues à la baisse pour les trois prochaines années et notamment pour l’année prochaine de façon plus importante qu’attendu (principalement en raison de la baisse des prix de l’énergie), respectivement de -0,2% à +1,5%, -0,3% à +1,3 et -0,1% à +1,6% pour les années 2017, 2018 et 2019.
La vision reste donc prudente et Draghi a souligné la nécessité d’être patient du fait de la faiblesse de l’inflation. Pour le moment, il n'y a aucune discussion sur un calendrier de ralentissement du QE.
Au Royaume-Uni, le résultat de l’élection crée la surprise, le parti conservateur de Theresa May perd sa majorité absolue au Parlement. Le parti conservateur a gagné 315 sièges tandis que le parti travailliste de l'opposition, dirigé par Jeremy Corbyn, compte 261 sièges.
Après l’annonce des résultats, la livre baisse d’environ -2%, mais les autres marchés sont restés calmes sans risque de contagion.
Comme aucun parti n'a obtenu la majorité absolue, le Royaume-Uni est confronté à un parlement divisé. On devrait donc s’orienter vers la mise en place d’un gouvernement de coalition, ce qui pourrait potentiellement retarder les négociations de Brexit avec l'Union Européenne.
Nous pensons que l’incertitude politique va demeurer à moyen terme. Nous n’avons pas de fortes convictions aujourd’hui et maintenons notre biais long GBP, dans l’attente d’une réappréciation de la devise, et notre vision vendeuse sur les taux, avec des budgets de risque limités.
Du côté macro-économique, les principaux indicateurs de la semaine sont la publication de l’ISM des services aux Etats-Unis et la publication finale du PIB pour le premier trimestre en zone Euro.
L’ISM non manufacturier ressort très légèrement inférieur aux attentes à 56,9 contre 57,5 sur avril mais la décomposition est bonne, notamment avec le fort rebond de la composante sur l’emploi à 57,8 contre 51,4 le mois précédent. L’activité devrait rester robuste dans le secteur des services. Le PIB du premier trimestre en zone Euro est révisé en hausse à +0,6%. La demande interne reste le principal contributeur à la croissance.
Du côté des marchés, les actions sont restées plutôt calmes sur la semaine. Les taux sont légèrement en hausse et le pétrole poursuit sa baisse après une publication des stocks américains nettement supérieurs aux attentes.
Cette semaine, le point majeur sera le meeting du FOMC pour juin. La FED devrait augmenter ses taux de +25bps (ce qui est totalement attendu par les marchés), et publiera ses nouvelles prévisions économiques.
Peu de changements dans le portefeuille : nous avons légèrement renforcé notre exposition aux actions européennes et notre position vendeuse sur l’euro.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>En conséquence, le régulateur européen a déprécié intégralement la valeur des actions de la banque et de ses dettes Additional Tier 1 (CoCos) et de convertir les instruments de dettes Tier 2 en de nouvelles actions, qui ont été transférées à Banco Santander pour une valeur de 1 euro. La perte pour les porteurs des dettes subordonnées est totale (taux de recouvrement de 0%). La dette AT1 est présente dans les indices mais reste marginale (<0.3%). Les dettes seniors et les dépôts de la clientèle de Banco Popular sont sauvegardés et sont transférés à Banco Santander. Aucune aide d’Etat ne sera sollicitée lors de cette transaction.
De son côté, Santander reprend donc le bilan de Banco Popular pour 1 euro symbolique et lance une augmentation de capital de 7Mds€ afin de pouvoir effectuer un « nettoyage » du bilan de Banco Popular en augmentant significativement les provisions sur les actifs douteux et expositions immobilières, bien au-delà des niveaux moyens du secteur espagnol. Ainsi, l’acquisition de Banco Popular aura un impact neutre en termes de solvabilité pour Santander et lui permet d’augmenter significativement sa part de marché en Espagne.
Nous jugeons que l’impact pour le marché des dettes subordonnées est au final positif, notamment à en juger par la réaction du marché ces dernières semaines et suite à l’annonce de la résolution. Il n’y a pas eu d’effet de contagion sur les CoCos des autres banques espagnoles, qui ont pu d’ailleurs placer de nouvelles obligations CoCos sur le marché ces dernières semaines (CaixaBank et Banco Sabadell). D’autre part, les CoCos espagnoles réagissent favorablement à cette décision et se situent en hausse (au 7 juin à mi-journée) par rapport à la veille de la décision. Cela montre que le marché fait la part entre les problèmes spécifiques à une banque et le reste du secteur, dont la santé financière s’est nettement améliorée ces dernières années.
La Française, en raison des fondamentaux que nous jugions insuffisants et trop dégradés par rapport au positionnement « premium » de son fonds, qui se concentre sur des émetteurs européens de bonne qualité, n’a aucune souche subordonnée de Banco Popular dans son fonds La Française Sub Debt. La Française Sub Debt (Part C FR0010674978) a été créé le 20/10/2008 et affiche des encours au 31/05/2017 de 665 millions d’euros et une performance annualisé de 8.25% depuis sa création, par rapport à son objectif de gestion de 7% sur un horizon de placement recommandé supérieur à 10 ans (performance cumulée nette de frais sur 1 an de 13.02% contre 7% ; sur 5 ans de 65.32% contre 40.26% et depuis la création du fonds : 97.93% contre son objectif de 79.07%). Par ailleurs, nous n’avions pas de positions en dette subordonnée de Banco Popular sur les fonds de crédit gérés par La Française AM. L’expertise Obligataires de La Française pèse plus de 18 milliards d’euros (au 31/03/2017), dont plus de 11 milliards d’euros sur l’expertise Crédit.
Cet évènement de marché valide notre stratégie de sélection des émetteurs en fonction de leurs fondamentaux, et non uniquement en raison de leur attractivité potentielle en termes de rendements.
Risques Associés : Risque de perte en capital, risque de taux, risque de crédit, risque de contrepartie, risque lié à la détention d’obligations convertibles, risque de marché actions, risques de conflits d’intérêt potentiels.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Les informations contenues dans cette présentation ne constituent en aucun cas une offre ou une sollicitation d’investir, ni un conseil en investissement ou une recommandation sur des investissements spécifiques. Les éléments d’information, opinions et données chiffrées sont considérés comme fondés ou exacts au jour de leur établissement en fonction du contexte économique, financier et boursier du moment et reflètent le sentiment à ce jour du Groupe La Française sur les marchés et leur évolution.
Avant de rejoindre NewAlpha, Adrien Auric était en charge des Due Diligences Investissement chez Reinhold & Partners, société de conseil spécialisée travaillant pour des investisseurs institutionnels Top Tier. Adrien a également été Directeur Indépendant de fonds dans diverses juridictions (France, Irlande, et Luxembourg).
Adrien a travaillé 7 ans pour JP Morgan, initialement (2007 – 2009) en tant que Responsable des Due Diligences Investissement de J.P. Morgan Mansart Investissement (JPMMI), la société de gestion dédiée et régulée de la Banque d’Investissement. En 2009, il est nommé Directeur Général et Directeur des Opérations de JPMMI. Il y a notamment développé le business des fonds structurés et le lancement d’une nouvelle activité de plateformes de fonds alternatifs UCITS, en supervisant et coordonnant toutes les équipes de gestion des risques.
Auparavant, Adrien a passé 3 ans chez Olympia Capital Management en charge des équipes de Due Diligence Investissement, de Middle et Back offices, et 8 ans chez Ernst & Young où il a occupé diverses fonctions managériales au sein des départements Audit Bancaire, Assurance et Immobilier et Transactions Services.
M. Auric est diplômé de Sciences Po Paris (section Eco Fi) et a une maîtrise de droit des affaires et fiscalité de l’Université de droit Paris II Assas.
Antoine Rolland, CEO de NewAlpha Asset Management : « La mission de NewAlpha est de découvrir et soutenir le développement des meilleurs talents de la gestion d’actif de demain. Fort de 23 années d’expérience en finance, dont plus de 12 dans le secteur des hedge funds, Adrien vient compléter le savoir-faire de NewAlpha en terme de due diligence et renforcer la qualité et l’exhaustivité de nos processus. Adrien possède une expertise de longue date dans le secteur de la gestion alternative sur les aspects de contrôle des risques et des opérations, et de middle office. Son expérience antérieure en matière d’audit et de comptabilité sera un atout précieux pour comprendre et répondre aux besoins des clients. »
« Je suis très enthousiaste de rejoindre une organisation en plein développement qui a acquis une excellente réputation en terme de sourcing et de sélection de gérants entrepreneuriaux à travers le monde. Les investisseurs proactifs se tournent de plus en plus vers des sociétés de gestion plus petites et récentes afin de bénéficier de sources de performance diversifiées et innovantes. Un processus de due diligence efficace et rigoureux est nécessaire afin de capturer les meilleurs talents avant qu’ils ne deviennent des acteurs plus établis. » ajoute Adrien Auric.
En tant que Responsable des Due Diligences Opérationnelles, Adrien Auric reportera directement à Antoine Rolland Président de NewAlpha.
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]]>L’ISM Manufacturing, le PMI Chicago et l’ADP sont eux aussi bien sortis en milieu de semaine mais les chiffres de création d’emploi ont été en revanche très décevants vendredi, avec une inflation salariale qui ne progresse pas, toujours à +2,5% sur les 12 derniers mois. Ce début de semaine verra la suite des chiffres américains importants avec l’ISM non manufacturier et les commandes de biens durables.
Les chiffres d'emploi ont de nouveau fait baisser les taux et le dollar. Malgré cela, nous conservons nos positions avec l’analyse suivante :
L’asymétrie de ces thèmes semble de plus en plus en notre faveur (positionnement, indicateurs techniques, sentiment).
En Europe, les chiffres de PMI ont été publiés, toujours bien orientés. La croissance portugaise est sortie au-dessus des attentes et la croissance italienne a été revue à la hausse. En revanche, le risque politique italien est en hausse avec une possibilité d’élections anticipées en fin d’année. Les chiffres chinois sont eux en ligne et globalement plutôt rassurants.
Les marchés restent globalement très peu volatils, tant sur les actions, que sur les taux ou les devises. Jeudi prochain, la BCE pourrait nous amener un peu de volatilité avec un potentiel changement de ton même si les chiffres d’inflation que nous avons eus cette semaine (en dessous des attentes à 0,9% sur le core) devraient tempérer leurs ardeurs. Le même jour, le 08 juin, nous aurons les élections au Royaume-Uni avec des sondages qui semblent montrer un resserrement. Nous avons un peu étudié la question et il semblerait que si le taux de participation est élevé, cela risque d’être serré et qu’à l’inverse, s'il est faible, la victoire devrait être suffisamment large pour Theresa May.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>Jean-Luc Hivert revient sur la stratégie de LF Multi Asset Income et les objectifs de performance et de rendement du fonds.
]]>> Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
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wikifolio.com facilite l’accès aux investissements financiers. La plateforme permet à des particuliers et des gérants professionnels de publier leurs stratégies d’investissement en temps réel au travers de portefeuilles virtuels appelés wikifolios. Les portefeuilles les plus plébiscités sont répliqués par des certificats cotés sur la Bourse de Stuttgart (EUWAX). Grâce à ces certificats, les épargnants peuvent investir sur les wikifolios de leur choix et bénéficient de leur performance : la plateforme assure un suivi en temps réel et en transparence totale des ordres d’achat, de vente et des commentaires réalisés par les gérants.
Depuis son lancement en 2012, la société a connu une forte croissance : plus de 17,500 portefeuilles virtuels, 6,300 certificats wikifolios cotés et 12 milliards d’euros de transactions. Ces certificats font ainsi partie des produits les plus fréquemment échangés sur l’EUWAX. En 2017, wikifolio.com a déjà enregistré une augmentation de ses actifs sous gestion de plus de 40%.
NewAlpha est l’investisseur leader de cette levée de fonds. Elle inclut également des actionnaires historiques de wikifolio.com qui confirment ainsi leur volonté de soutenir la croissance de la société.
Andreas Kern, fondateur et PDG de wikifolio.com, se réjouit de l’arrivée de ce nouvel investisseur : « L’expertise internationale et l’expérience de NewAlpha sont autant d’atouts pour poursuivre notre stratégie de croissance internationale, notamment sur le marché français. »
« wikifolio.com a déjà obtenu des résultats impressionnants depuis sa création. Nous avons été séduits par son business model innovant qui démocratise la gestion d’actifs », commente Jonathan Cohen Sabban, Directeur de Participations chez NewAlpha.
« wikifolio.com est le premier investissement hors de France de notre fonds de Venture Capital dédié aux startups FinTech* et s’inscrit dans notre stratégie de développement international. Nous ambitionnons d’investir dans les sociétés FinTech les plus dynamiques d’Europe et sommes ravis de débuter avec wikifolio.com dont l’activité est en ligne avec notre expertise historique, la gestion d’actifs », ajoute Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha.
NewAlpha est le fonds FinTech VC le plus actif en France en 2016. Souscrit par des investisseurs institutionnels, notamment le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe (« CMNE »), le fonds géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de participations dans des sociétés innovantes du secteur des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.
*Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF.
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]]>La Française Investment Solutions a reçu l’Actif d’Or de l’Innovation pour le fonds LFIS Vision Ucits – PREMIA lors de la remise des prix organisée par l’Agefi le 30 mai 2017, place Valhubert dans le 13e arrondissement de Paris.
Arnaud Sarfati, Président Directeur Général de La Française Global Investment était accompagné d’Arthur David-Boyer, Responsable Offre Partenaires et de Luc Dumontier Directeur du Pôle Factor Investing, Gérant de portefeuille Senior, pour recevoir ce prix.
Les actions américaines affichent de nouveaux records suite à la publication des minutes du FOMC, les marchés émergents rebondissent fortement malgré la dégradation par Moody’s de la note de crédit de la Chine (passage de Aa3 à A1). Seuls les marchés européens terminent la semaine en légère baisse avec des taux core plus bas également.
Les points majeurs de la semaine étaient le meeting de l’OPEP et la publication des minutes du FOMC.
Comme attendu, les membres de l’OPEP ont décidé la prolongation du gel de production pour 9 mois de plus jusqu’en mars 2018, mais les marchés semblent déçus, le prix du baril glissant à nouveau sous les 50 dollars.
Les minutes du FOMC confirment que la situation actuelle justifie un resserrement des conditions monétaires très prochainement. La prochaine hausse des taux sur le mois de juin est d’actualité et reste largement anticipée par les marchés aujourd’hui.
En Europe, toutes les données macro continuent d’être très bonnes. Les enquêtes PMI indiquent que la croissance en zone Euro reste soutenue. Le PMI manufacturier ressort en hausse à 57,0 après 56,7 le mois précédent. De plus, l’indicateur de confiance des affaires, l’IFO, en Allemagne, atteint son plus haut niveau depuis 1991.
Aux Etats-Unis, les données macro publiées cette semaine restent mitigées. Le marché de l’immobilier reste faible sur le mois d’avril, les ventes de logements existants et de nouveaux logements sont en nette baisse.
Les PMI markit montrent pour leur part une légère amélioration de l’activité après la faiblesse du 1er trimestre. Le PMI composite est en hausse pour le deuxième mois consécutif à 53,9 sur mai.
Enfin, la croissance américaine du 1er trimestre est révisée en hausse à +1,2% contre +0,7%, la consommation et l’investissement contribuant plus fortement que prévu.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>Gilles Mainard, Responsable du pôle flexible de La Française, était dans le Club de la Bourse sur BFM Business, aux côtés de Vincent Lequertier, gérant senior et responsable de l'allocation d'actifs chez WeSave. Mikaël Jacoby, responsable trading Europe continentale chez Oddo BHF. Et Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York.
Intégrale Bourse, du vendredi 26 mai 2017, présenté par Vincent Touraine, sur BFM Business.
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La réaction du marché a été assez violente mardi et mercredi, avec un 10 ans américain qui perd 20bps, le yen qui prend 3% et les actions qui baissent de 3%. Cela revient un peu depuis, principalement à cause d’une vidéo montrant James Comey déclarant qu’on ne lui a jamais rien demandé de tel… Bref, le marché avait besoin d’une excuse pour corriger après ces quelques semaines d’euphorie. Cela ne change pas grand-chose selon nous à la dynamique en place, et la probabilité de voir Donald Trump destitué nous semble à ce stade très faible. La probabilité de le voir mener une réforme fiscale aussi d’ailleurs…
Le 2ème stress politique de la semaine est en provenance du Brésil avec le chef de l’Etat, Michel Temer, impliqué dans des scandales de corruption (il a été enregistré encourageant la corruption de deux juges et aurait touché des pots de vin d’une entreprise de 2010 à 2015). La réaction a été très importante puisque les actions brésiliennes perdent 8% et la devise 7%... La suite la plus probable est un départ de Michel Temer avec quelques millions de personne dans la rue et potentiellement de nouvelles élections à terme.
D'un point de vue macro-économique, pas grand-chose de marquant pour les marchés mais on peut quand même relever :
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>Christian Naumovic a rejoint le pôle Recherche Quantitative et Développement de LFIS en tant qu’analyste quantitatif senior. Un recrutement supplémentaire dans les prochains mois est également prévu, amenant ainsi les effectifs de l’équipe à 5 professionnels.
Christian possède plusieurs années d’expérience en tant qu’analyste quantitatif, exerçant précédemment chez Thomson Reuters mais également chez Deutsche Bank et Natixis Asset Management. Le recrutement de Christian devrait permettre d’accélérer le perfectionnement des processus de sélection, de construction de portefeuille et les modèles d’optimisation de portefeuilles. Son travail soutiendra l’offre de gestion alternative et de solutions dédiées de LFIS, notamment sur ses expertises phares que sont le crédit et l’investissement factoriel (« Risk Premia »). Christian exercera au siège parisien de LFIS sous la supervision du Directeur du Pôle Recherche Quantitative et Développement, Guillaume Garchery.
Sofiene Haj-Taieb, Directeur des investissements de LFIS, commente : « L’approche quantitative est un élément essentiel de l’ADN de LFIS. Nous sommes market-neutral, examinant et analysant l’ensemble des classes d’actifs et des instruments financiers afin d’identifier des opportunités concrètes pour réaliser des performances absolues. Nos processus d’investissement et de contrôle des risques utilisent également une approche quantitative, permettant de répondre aux attentes de nos clients en termes de performances robustes et régulières. Le recrutement de Christian renforce significativement notre capacité à déployer notre expertise quantitative sur l’ensemble de nos activités, en parallèle de notre croissance. »
Les chiffres du présent communiqué de presse n’ont pas été audités.
Pour lire l'intégralité du communiqué de presse, cliquez ici
Jérôme Fauvel, Responsable Small Caps de La Française, était dans C'est Votre Argent sur BFM Business, aux côtés de Michel Ruimy, économiste et professeur à l'Escp-Europe, Françoise Rochette, responsable de l'allocation d'actifs chez Mandarine Gestion et Christian Bito, président directeur général et fondateur de CBT Gestion. Ainsi que Pauline Tattevin, journaliste à BFM Business.
C'est votre argent, du vendredi 19 mai 2017, présenté par Marc Fiorentino, sur BFM Business.
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Le CMNE a été récompensé d’un Trophée D’Or par Le Revenu pour la Gamme Sicav et Fonds Obligations Europe sur Trois Ans dans la catégorie banques à réseau.
Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income, est allé chercher ce prix qui récompense la gestion.
> Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
]]>La saison des résultats continue et approche de son terme : c’est la meilleure saison depuis la crise de 2008 dans quasiment toutes les zones et les résultats sont particulièrement impressionnants en Europe et au Japon. Autre point positif, les estimations pour les années 2017 et 2018 ne sont pas revues à la baisse au contraire des cinq dernières années.
La banque d'Angleterre a délivré un message globalement prudent avec un vote 7-1 pour le maintien de la politique accommodante (le marché attendait 6-2 ou 5-3). Logiquement cela a fait baisser la livre sterling et les taux britanniques. Nous avons aussi eu les chiffres d’inflation au Japon, très mauvais, ce qui n’est pas surprenant étant donné les précédents chiffres d’inflation. Là encore, réaction logique avec un yen qui baisse. Enfin, les chiffres les plus attendus de la semaine sont parus vendredi après-midi aux Etats-Unis avec l’inflation, légèrement décevante, et les ventes au détail, elles aussi décevantes mais avec des révisions à la hausse ; au final, les chiffres ne sont pas très bons mais pas catastrophiques non plus. Les taux rallient fortement sur ces données.
Enfin, il faut noter que les matières premières sont à nouveau au cœur des discussions de marché : baisse du pétrole, baisse du minerai de fer et chiffres un peu décevants en Chine la semaine dernière. Ainsi le marché est gentiment en train de se refocaliser sur la combinaison Chine / Matières premières depuis une dizaine de jours. C’est selon nous assez classique du "stop and go" en Chine, avec beaucoup de stockage en début d’année et un dégonflement de positions spéculatives. Nous restons "Long" de ressources de base.
* Monetary Policy Committee (Bank of England)
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La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
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]]>La Française REM a réalisé cette acquisition pour le compte de son OPCI La Française IMMO SR2 et de deux de ses SCPI, Epargne Foncière et Multimmobilier 2. Ces deux acquisitions permettent ainsi aux fonds gérés par La Française REM d’être propriétaires de l’ensemble des actifs composant le site.
L’immeuble « Seven Seine », d’une surface d’environ 4 500 m2, a fait l’objet d’un programme de rénovation visant la certification « BREEAM Rénovation Very Good ». Le bâtiment C, d’une surface de 3 600 m², a quant à lui été rénové en 2010. Le site Aviso propose de nombreux services tels qu’un auditorium, des salles de réunion mutualisées, un restaurant d’entreprise entièrement rénové en 2011 ainsi qu’un jardin privatif.
La Française REM était représentée par Cushman & Wakefield dans le cadre d’un mandat de conseil à l’acquisition et par l’Etude Allez et Associés. Le vendeur, Weinberg Capital Partners, était conseillé par Ares Avocats et C&C Notaires.
Dans le sillage de cinq années de développement réussi en Europe et plus récemment en Asie avec l’ouverture d’un bureau local à Séoul (Corée du Sud) et près de 1 milliard d’euros d’actifs immobiliers sous gestion pour le compte de clients coréens, La Française a signé un accord de commercialisation avec Investeam Canada. L’objectif du partenariat est de promouvoir l'expertise immobilière de La Française en Europe auprès des investisseurs institutionnels canadiens.
S’appuyant sur plus de quarante ans d’expérience en matière de gestion d’actifs, La Française gère plus de 63 milliards d'euros d'encours, dont 15,3 milliards dans l’immobilier. Le groupe propose une gamme complète de solutions, directes et indirectes, en immobilier d’entreprises à une clientèle institutionnelle en Europe, en Asie, au Royaume-Uni et au Moyen-Orient. La Française propose des stratégies d’investissement Core/Core plus, Value Added et Opportuniste sur les marchés immobiliers français, allemands, britanniques et suédois. En outre, La Française est la première société de gestion de société civile de placements immobiliers en France1.
Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International et Directeur du développement international, a déclaré : « La stratégie d’expansion internationale de La Française est ambitieuse. C’est pourquoi, nous souhaitons étendre notre activité au Canada, quatrième plus grand marché de fonds de pension au monde, et sommes prêts à déployer les efforts nécessaires pour créer et entretenir des relations à long terme avec les investisseurs institutionnels locaux. Dans cette optique, nous avons choisi de nous associer à Investeam Canada. Son track record et la qualité et l'expertise de leurs équipes font, pour nous, toute la différence. »
Christophe Vandewiele, Managing Director d’Investeam Canada, a ajouté : « La Française est un nouvel entrant sur le marché canadien ; nous sommes convaincus que l’expertise immobilière de La Française et sa gestion reconnue sauront gagner la confiance des investisseurs institutionnels. »
1 Source : IEIF, au 31/12/2016, en termes de capitalisation ; Société Civile de Placement Immobilier.
> Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse
La baisse du pétrole avec un Brent qui passe sous les 50 dollars, au plus bas depuis novembre. Cette baisse s’effectue dans un contexte de hausse de taux, ce qui est assez rare. Toutefois, les points morts baissent donc le marché n’est pas non plus complètement illogique.
Les chiffres américains sont sortis globalement en ligne avec les attentes :
La Fed, justement, a publié un communiqué assez terne. Elle considère que la faiblesse du PIB du premier trimestre est purement transitoire. Le marché anticipe complètement une hausse de 25 bps à son rendez-vous de juin.
La forte compression sur les spreads des obligations périphériques : Portugal -25 bps, Italie -20 bps, Espagne -18 bps. Le risque politique Euro est revu nettement à la baisse.
Le joli rebond également des actions Euro, en particulier des banques.
La thématique Achat sur le marché des changes a également été constatée, avec un Yen en baisse marquée. Nous nous laissons porter sur ce thème initié la semaine dernière post élections.
Consultez notre présentation : "Capital Markets: Observations and Insights—Earnings Resurgence"
> Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
1 Baruch Lev et Suresh Radhakrishnan, "The Stock Market Valuation of R&D Leaders".
La Française est classée dans la catégorie des championnes de l'année pour son dynamisme, avec un développement à l'international qui lui a permis d'enregistrer une augmentation de 50 % de sa collecte à l'international pour atteindre 1.5 milliard d'euros en 2016, mais aussi sa politique de croissance externe et son positionnement vers le retail avec notamment Moniwan, fintech de distribution de SCPI en ligne destinée aux particuliers.
Pour retrouver le classement d'Option Finance des championnes de l'année, cliquez ici
]]>Marc Bertrand interviendra lors du débat « Infrastructure, immobilier, fonds de dette privée, private equity… quelle place des actifs réels dans les portefeuilles des investisseurs institutionnels ? », avec comme autres intervenants Vim Vermeir (AG Insurance) et Joël Prohin (Caisse des dépôts).
Pour en savoir plus, cliquez ici
]]>La collecte depuis le début de l’année est soutenue par un fort intérêt sur les expertises phares du Groupe :
La contribution à ce résultat de tous les piliers d’activité du groupe et de l’ensemble des segments de clientèle démontre et valide, une fois encore, la pertinence du business model de La Française.
La Française maintient ainsi sa forte croissance grâce à une activité au-dessus de ses objectifs et un effet de marché positif.
> Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse
Les marchés ont salué des résultats conformes aux sondages qui donnent, à priori, peu de chance au Front National d’accéder à la présidence. La réaction a été immédiate, dès l’ouverture, et assez violente :
Aujourd'hui, le marché semble valoriser un risque quasi nul de victoire du Front National.
Beaucoup de chiffres économiques ont été publiés la semaine dernière. L’inflation zone Euro a corrigé l’effet saisonnier de Pâques avec un print d’inflation au plus haut depuis 2013 sur l’inflation core à 1,2% alors que l’inflation globale est à 1,9%. Ce chiffre contrebalance le discours de la BCE la veille, plutôt dovish, avec un Mario Draghi qui met l’accent sur le fait que l’inflation reste basse et qu’elle va mettre du temps à revenir « inférieure mais proche de 2% ». De nombreux chiffres américains ont également été communiqués, avec surtout la publication du PIB au 1er trimestre. Celui-ci était attendu décevant, comme souvent lors des 1ers trimestres, ce qui a été vérifié avec une croissance de 0,7% au 1er trimestre (contre 1% attendu). Ce chiffre est à relativiser par le fort impact négatif des inventaires à -0,9% et par « l’employment cost index » (ECI), sorti lui à 0,8%, au plus haut depuis fin 2007. La Fed ayant déjà dit qu’il fallait regarder au-delà des effets transitoires sur le PIB, la combinaison de l’ECI + chiffres de PIB est selon nous sans doute légèrement positive pour le dollar et négative pour les taux américains.
La réforme fiscale par l’administration Trump a été annoncée la semaine dernière. Cette réforme, si appliquée tel quel, représenterait la réforme la plus importante jamais effectuée et couterait 20% du PIB sur 10 ans… Ce qui ferait évidemment bondir l’endettement américain. Il n’y a aucune chance qu’elle soit validée au Congrès en l’état, raison pour laquelle les marchés n’ont absolument pas réagi à l’annonce : après l’échec sur la réforme de la santé, les marchés vont maintenant attendre de voir les lois votées, ce qui devrait prendre un certain temps.
Pendant ce temps, la saison des résultats continue et elle est de très bonne facture en zone Euro : 75% de surprises positives sur le chiffre d’affaires, cela représente ce que nous avons connu de mieux depuis au moins 10 ans.
Il nous est difficile de remettre beaucoup de risque sur la zone Euro après ces élections dans la mesure où les marchés avaient déjà beaucoup réagi à l’ouverture. Les modifications que nous avons effectuées concernaient donc principalement le Japon et plus particulièrement le yen. Celui-ci a beaucoup payé contre dollar depuis le début de l’année, les actions japonaises sont négatives depuis le début de l’année, les résultats micro japonais sont très bons. Nous pensons qu’il y a un rattrapage à effectuer sur cette zone. Nous avons préféré vendre du yen plutôt que d’acheter des actions japonaises, même s'il s'agit du même trade.
Nous avons également vendu un peu de sensibilité sur les Etats-Unis et rajouté des points morts d’inflation là aussi aux Etats-Unis.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Pour le débrief de la séance du mercredi 26 avril 2017, Gilles Mainard était entouré de Didier Borowski, responsable de la macroéconomie chez Amundi. Kalil Djebali, analyste marchés chez XTB France. Et Sabrina Quagliozzi, correspondante BFM Business à New York et Sabrina Quagliozzi, correspondante de BFM Business à New York.
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- Après le 1er tour des élections présidentielles français, le risque s'est-il éloigné ?
- Que faire avec les taux européens ?
- Que faire avec les allocations d'actifs avant l'été ?
Outre Gilles Mainard, Malik Haddouk (CPR AM), Alexandre Taïeb (Sycomore AM) et Nadine Trémollières (Stamina AM) sont intervenus lors de cette émission.
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La volatilité a légèrement rebaissé et les taux euro se sont un peu tendus (+6bps sur 10 ans) après les déclarations de Benoit Coeuré évoquant que les risques de l’économie européenne n’étaient plus orientés à la baisse, en contradiction avec les propos de messieurs Draghi et Praet. Les chiffres chinois ont surpris à la hausse (vente aux détail / production industrielle / GDP), à l’inverse des ventes aux détails britanniques.
Point à noter : Theresa May a décidé de provoquer des élections anticipés en Grande-Bretagne le 8 juin pour tenter d’avoir une majorité plus franche, ce qu’elle devrait obtenir. Cette nouvelle est prise de manière positive par les marchés (GBP +2% vs EUR), et cela a provoqué quelques changements de vues sur le Gilt et la Livre de la part de certaines banques.
Les résultats d'entreprises aux États-Unis sont un peu mitigés pour le moment avec quelques loupés non anticipées comme GS ou IBM mais les résultats d’ensemble restent corrects (75% supérieurs aux attentes, c’est conforme à l’historique).
Enfin, aux États-Unis la réforme des impôts pourrait / devrait arriver avant la fin de l’année si on en croit le secrétaire du trésor américain et la « rumeur » dit que D. Trump pourrait refaire une tentative sur l’Obamacare.
Les résultats serrés lors du premier tour des élections …
Nous nous attendions à des scores relativement serrés lors de ce premier tour de scrutin, pour autant ces résultats sont relativement en ligne avec les récents sondages. Le second tour opposera donc Marine Le Pen à Emmanuel Macron. Compte tenu des reports de votes annoncés, nous gagnons en visibilité pour le second tour. Tout l’enjeu sera pour le candidat élu d’avoir une réelle majorité aux législatives de juin prochain. D’ici là, il sera possible de connaître quelques fluctuations sur les marchés financiers auxquelles nous serons bien entendu attentifs.
... ne modifient pas l’environnement général avant le second tour
Les séances boursières de la semaine dernière ont vu les indices d’actions françaises réaliser de meilleures performances que leurs homologues européens. L’écart sur le marché obligataire entre les taux d’intérêt à 10 ans allemand et français (Spread Bund/OAT) s'est à nouveau resserré. En outre, les taux français et périphériques devraient, en relatif, profiter de cette levée du risque politique.
Dans ce contexte, nous revenons à des positions plus en phase avec l’amélioration de la tendance économique depuis le début de l’année
En ce début de second trimestre 2017, les indicateurs économiques sont de bonne facture. Les résultats d’entreprises sont conformes voire supérieurs aux anticipations. La tendance à moyen terme est par ailleurs prometteuse. De ce fait, sauf évènement imprévisible, et dans l’hypothèse de l’élection d’Emmanuel Macron, candidat pro-européen, les marchés devraient lui réserver un accueil plutôt favorable.
Nous choisissons donc d’adopter un biais plus optimiste à court terme dans la mesure où les craintes majeures se sont dissipées. Notre stratégie d'investissement redevient largement guidée par les fondamentaux et moins empreinte du risque politique.
> Téléchargez Alger On The Money, Point de vue sur le marché américain
]]>Le spread entre les taux longs français et allemands s’est ainsi considérablement écarté pour atteindre plus de 80 points de base, avant de revenir autour de 64 points de base fin février. Ils ont toutefois été les seuls marchés à réellement prendre en compte ce « risque », les marchés d’actions ou de devises ne réagissant qu’à la marge.
Dans ce contexte, le mouvement le plus surprenant concerne sans doute les taux courts allemands qui ont baissé de manière très importante tout au long du mois, atteignant des points bas. Ces niveaux de taux sont difficilement explicables par les chiffres macro-économiques, qui montrent une accélération de la croissance européenne et ceux de l’inflation, qui surprennent à la hausse en zone euro.
Le stress engendré par les élections françaises explique sans aucun doute une partie du mouvement observé sur les taux allemands. Cette déconnexion entre fondamentaux économiques d’une part et niveaux de taux d’autre part durera sans doute tant que la BCE n’adoptera pas une posture moins accommodante. Si la trajectoire vertueuse des chiffres macro-économiques se confirme, cela devrait arriver durant l’année 2017, avec comme conséquence une remontée progressive des niveaux de taux allemands.
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C’est le début de la saison des résultats aux États-Unis ; saison qui démarre par les bancaires, avec de très bons résultats. Cela devrait rythmer les 3 prochaines semaines, et comme d’habitude, cela devrait soutenir le marché.
Mais ces chiffres sont totalement passés derrière les nouvelles géopolitiques avec M. Trump qui continue de faire l’exact opposé de ses promesses de campagne. Cette semaine, il a donc :
Bref, confusion sur les marchés : rally du Yen et des taux et légère baisse des actions. La situation continue donc d’être dominée par la politique au sens large puisque les élections françaises restent l’une des incertitudes majeures. À noter que les taux euro reviennent sur leur point bas de l’année et que les taux américains sont eux aussi sortis de leur fourchette 2.30/2.60.
Semaine sans beaucoup de volume à attendre la semaine prochaine, c'est Pâques !
]]>Avant de rejoindre La Française, Nina Lagron a occupé plusieurs fonctions dont notamment celle de gérante actions émergentes chez Amundi, pendant plus de sept ans, en charge des zones Europe, Moyen-Orient et Afrique. Elle était la première femme gérante d’un fonds actions investi exclusivement au Moyen-Orient, majoritairement en Arabie Saoudite. Par la suite, Nina a été co-gérante du fonds « GemEquity » chez Gemway Assets durant plus de deux ans.
Nina est diplômée d’une maîtrise en gestion et d’un diplôme troisième cycle en finance de l’Université Paris IX – Dauphine. Nina est également diplômée du CFA - Chartered Financial Analyst.
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]]>Au total, près d’une cinquantaine d’établissements ont été retenus pour répondre au Questionnaire des Coupoles Distrib Invest dont 18 ont ensuite été nommés :
La cérémonie de remise des prix aura lieu le 29 juin prochain à l’Hôtel Potocki – 27 Avenue de Friedland, 75008 Paris.
Pour plus d'informations sur les Coupoles de Distrib Invest, cliquez ici.
Cette journée sera ponctuée de débats et d'ateliers, Patrick Ribouton Directeur du développement des activités viticoles à La Française, participera à l'atelier n°2 "Diversification" "Personne physique, morale ou holding patrimonial, comment diversifier vos placements?"
Pour consulter le programme, cliquez ici
Grand Forum du Patrimoine 20 avril 2017
Grand Hôtel Intercontinental Opéra
L’ensemble développé par Kaufman & Broad sera certifié BREEAM Very Good.
Le vendeur et La Française REM ont été assistés par CBRE. Le vendeur et La Française ont été assistés respectivement par les études notariales Cheuvreux et OUDOT & Associés.
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]]>Les informations principales de la semaine étaient plutôt côté politique et banques centrales :
Il ne s’est rien passé sur les marchés actions cette semaine, mais joli rally obligataire avec des taux qui baissent d’environ 10bps à peu près partout.
![]() | François Rimeu, Gérant du fonds La Française Allocation Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management Équipe de gestion actuelle, susceptible d’évoluer dans le temps. |
Points clés
Objectif de gestion : obtenir, sur l’horizon de placement recommandé, une performance nette de frais supérieure à celle de l’Euribor 1 mois capitalisé majoré de 3.5%
Horizon de placement recommandé : 2 ans
Volatilité ex-post : 10% maximum (hors circonstances exceptionnelles de marché, le niveau de volatilité n’est toutefois pas garanti)
Profil de Risque/Rendement :
7 = risque le plus élevé
1 = risque le plus faible mais ne signifie pas « sans risque »
Niveau non garanti, qui pourra évoluer dans le temps.
Principales informations commerciales
* Les frais affichés correspondent à l’exercice clos le 31 décembre 2016 et peuvent varier d’un exercice à l’autre. Les frais courants incluent les frais de gestion propres à la société de gestion et externes (commissaires aux comptes, dépositaire, distribution…), les frais indirects liés à l’investissement dans des OPCVM ou fonds d’investissement et les commissions de mouvement.
La commission de surperformance est calculée dès lors que le fonds surperforme l’indice Euribor 1 mois majoré de 3.5%. Elle est fixée à 20% TTC maximum de cette surperformance et plafonnée à 2% TTC de l’actif net.
La Française AM Finance Services bénéficie d’une rétrocession sur les frais de gestion de ce produit au titre d’une convention de distribution passée avec La Française Asset Management.
Facteurs de risque - pour plus d’informations sur ces risques, consultez le prospectus du fonds
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation a retenu votre attention ?
Rapprochez-vous de votre conseiller pour analyser avec lui son adéquation à votre situation financière. Préalablement à toute souscription, prenez le temps de consulter le Document d’Informations Clés pour l’Investisseur (DICI) ainsi que le prospectus du fonds, notamment les sections détaillant l’ensemble des risques associés à cet investissement ainsi que ses frais sur www.la-francaise.com
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
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Au cours de cette soirée, organisée par Sciences Polémiques et le BDE Sciences Politiques, le prix d'éloquence sera décerné par un jury dont Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française et de personnalités dont Jean-Pierre Raffarin, Frédéric Beigbeder, Francis Szpiner, Fédéric Mion, Pierre Séguin...
Prix Philippe Seguin
5 avril 2017
27 rue Guillaume - Paris 6e
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L’ensemble, comprenant 2 bâtiments divisibles chacun en dix lots, développera une surface totale de 5 090 m² à usage d’activité et bureaux et bénéficiera de 60 emplacements de stationnement.
Les travaux ont débuté et la livraison de la première tranche est prévue au 2ème trimestre 2017.
Cet actif a été acquis par la SCPI LF Opportunité Immo auprès d’em2c Promotion Aménagement, filiale du Groupe em2c.
> Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse
]]>Au final, et même si les mouvements de la semaine ont été plutôt faibles, ces chiffres sont positifs pour le dollar et négatifs pour l’euro.
Il faut aussi mentionner les stocks de pétrole plus faibles qu’attendus, avec pour conséquence une remontée du prix du baril. Dans le même temps, il semblerait que les discussions entre les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole soient plutôt constructives ce qui laisserait penser que l’accord pourrait être prolongé.
Enfin, Theresa May a officiellement activé l’article 50. Commence maintenant une longue période de négociations, sans doute volatile pour certaines positions que nous avons en portefeuille mais sur lesquelles nous pensons être aujourd’hui très bien rémunérés pour le risque pris.
A la semaine prochaine.
]]>Ce partenariat unique offre la possibilité à chaque investisseur particulier d’accéder sur Bourse Direct de manière 100% dématérialisée à l’investissement immobilier collectif, grâce aux avantages de la plateforme Moniwan tout en bénéficiant de la qualité de son service client.
Six mois après son lancement, Moniwan a déjà reçu la confiance de nombreux clients. En les accompagnant dans leur apprentissage pas à pas, Moniwan leur permet d’accéder simplement à l’investissement immobilier collectif, dès 200€ investis, au travers de son approche 100% digitale.
Christophe Descohand, Directeur du développement de Moniwan, explique : « Nous sommes fiers de cette collaboration avec Bourse Direct, un des acteurs historiques de l’investissement financier en ligne. Ce premier partenariat en marque blanche illustre avec succès la pertinence de l’accès digital à la classe d’actifs de l’immobilier auprès des épargnants ! »
Elargissant son offre multi-classe d’actifs, Bourse Direct offre à sa base fidèle d’investisseurs particuliers une nouvelle solution d’investissement en leur donnant accès aux atouts de l’investissement immobilier collectif, essentiellement tertiaire (bureaux, commerces…).
Catherine Nini, Président du Directoire & Directeur général de Bourse Direct, commente : « L’accompagnement de nos investisseurs au quotidien est une priorité ; aujourd’hui nous nous réjouissons d’ajouter une nouvelle brique à notre offre en leur facilitant l’accès à une gamme encore plus large grâce à ce partenariat. »
Pour se faire, il suffit dès à présent à chaque client de Bourse Direct de se rendre sur le site pour accéder à l’ensemble de l’offre Moniwan : https://www.boursedirect.fr/fr/scpi/offre.
« L’attractivité des SCPI atteint un nouveau record historique en 2016 , confirmant sa place de placement financier privilégié des français. En tant que leader sur ce marché , démocratiser cet investissement à l’ensemble des épargnants est notre priorité ! » conclut Patrick Rivière, Directeur général de La Française.
Cet investissement s’inscrit dans la stratégie de l’OPCI qui vise à proposer un rendement régulier et à rechercher une appréciation à long terme de la valeur intrinsèque de ses actifs immobiliers.
Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’étude Wargny Katz pour les aspects notariaux, Baker&McKenzie pour le juridique et fiscal, Siena pour l’audit technique, Burgeap pour l’audit environnemental et Thermaviva pour l’audit énergétique.
Le vendeur était conseillé par Orfeo Développement pour les sujets techniques, l’étude Allez & Associés pour les aspects notariaux et Strategies and Corp pour la transaction.
> Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse
]]>A compter du lundi 3 avril 2017, la Société de gestion a pris deux décisions concernant ses paramètres de souscription :
Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 3 avril 2017 | Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 3 avril 2017 |
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Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4ème mois qui suit le mois de souscription | Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6ème mois qui suit le mois de souscription |
Nominal Prime d'émission | 800,00€ 215,00€ |
Prix de souscription | 1 015,00€ |
Soit un prix de souscription total net de tout autre frais de : 1 015 € dont 81,20 € HT, soit 97,44 € TTC correspondant à la commission de souscription, prélevée sur la prime d'émission (8% HT, soit 9,60% TTC au taux de TVA en vigueur).
La valeur de retrait, à partir du 3 avril 2017, s'établit comme suit :
Prix de souscription Commission de souscription | 1 015,00€ - 81,20€ |
Valeur de retrait | 933,80€ |
> Consulter la fiche de la SCPI LF Europimmo |
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A compter du lundi 3 avril 2017, la Société de gestion a pris la décision d’augmenter le délai de jouissance de la SCPI, afin de prendre le temps nécessaire pour acquérir le patrimoine immobilier, tout en restant très sélectif dans ce marché concurrentiel
Délai de jouissance applicable aux parts émises avant le 3 avril 2017 | Délai de jouissance applicable aux parts émises à compter du 3 avril 2017 |
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Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 4ème mois qui suit le mois de souscription | Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6ème mois qui suit le mois de souscription |
> Consulter la fiche de la SCPI LF Opportunité Immo |
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En bref, tout va toujours bien au UK. Notons que malgré ces chiffres (et les commentaires hawkish de la semaine dernière), la Livre Sterling (GBP) et le Gilt bougent peu. Certaines banques commencent à passer acheteuses de GBP (Morgan Stanley et Barclays par exemple) pour la première fois depuis le Brexit.
Les indices manufacturiers (PMI) de la zone euro sont aussi sortis très forts (56.7 pour le composite), plus haut depuis 2011. Là encore, peu de réaction du marché. Ce manque de réaction s’explique sans doute par le vote actuellement en cours concernant la réforme de la santé aux États-Unis. Vote prérequis pour que les réformes fiscales et dépenses d’infrastructure puisse être inscrites à l’agenda. Étant donné les très fortes attentes que ces réformes ont suscitées depuis l’élection de Trump, le marché craint une déception qui mettrait à mal la thématique « reflation ».
Bref, une semaine sans mouvements marquants mais qui, côté macroéconomie, confirme la dynamique récente.
Ces prix viennent récompenser la notoriété du Groupe, la qualité de nos produits, des équipes commerciales et du service apporté. C’est l’ensemble de la chaine qui est évaluée, alors Bravo à tous les collaborateurs pour cette réussite commune !
Thierry Sevoumians, Directeur Général de La Française AM Finance Services, a répondu aux questions de Jean-Denis Errard pour Gestion de Fortune à l’occasion de ces récompenses.
La classe d’actif immobilière dans son ensemble et les SCPI en particulier ont été des produits particulièrement phare en 2016 : à la fois très demandés, très préconisés et très courtisés. Nous avons ainsi dû faire face à plus de demandes que d’offres !
Cela a eu pour conséquence pour nous, la nécessité de gérer des enveloppes de collecte pour assurer une bonne gestion du produit et ne pas dénaturer/diluer sa performance. Qui plus est, le produit s’ouvre à de nouveaux acteurs : même au sein des CGP, il devient incontournable dans les préconisations. Et côté réseaux bancaires également, il revient au-devant des vitrines, de nombreux asset managers jusque-là absents s’intéressent aussi aux produits immobiliers. De sorte que le produit se retrouve aussi bien en direct qu’au travers de contrats d’assurance-vie, les assureurs aussi ayant libérés quelque peu leur commercialisation..
Dans ce contexte, La Française a collecté 720M€ en SCPI auprès du Retail (au 31/12/2016). Cette collecte, qui s’est accélérée dès le début 2016, constitue un record historique pour La Française. La fin de l’année n’a pas dérogé à cette tendance, ce qui est de bon augure pour 2017.
J’aime à dire qu’aujourd’hui le produit immobilier offre un « alignement des planètes » entre le distributeur, qu’il soit CGP ou assureur, et le client final. Qui plus est, le produit offre de véritables atouts et est particulièrement compétitif tant en terme de rendement que par la simplicité de son fonctionnement. Tout pour en faire un succès auprès des CGP !
L’offre La Française n’est pas en reste puisque nous continuons à enrichir notre palette produits. Au programme : diversification géographique, axe thématique ou sectoriel. Autant de leviers qui permettent au produit de s’émanciper et de devenir une classe d’actifs à part entière, ce qui explique l’appréciation en forte hausse des CGP qui trouve dans cette offre des réponses aux multiples besoins de leurs clients.
Dans un contexte de fortes demandes, notre rôle est d’accompagner le partenaire en lui apportant des services, en développant l’animation et la proximité et en simplifiant son quotidien grâce à la digitalisation.
Nous allons continuer à renouveler notre offre (LMNP, OPCI, démembrement…) et à pousser nos produits phare : SCPI d’entreprise (ex Epargne Foncière), SCPI thématiques (ex Pierval Santé) ou encore celle offrant diversification géographique (ex LF Europimmo et Europimmo Market).
Un événement qui rassemble des membres et invités issus des domaines bancaires, financiers et des assurances.
A cette occasion, La Française tiendra un stand pour présenter ses produits et services aux visiteurs. Les équipes vous accueilleront de 9h à 21h30 sur le stand A14.
Pour en savoir plus sur l’ANACOFI, cliquez ici.
Jeudi 16 mars de 9h à 21h30
Carrousel du Louvre
99 rue de Rivoli, 75001 Paris
Ces niveaux de taux sont difficilement explicables par les chiffres macro-économiques qui montrent une accélération de la croissance européenne depuis plusieurs mois et des indicateurs d’activité sur des niveaux très élevés (indice PMI euro zone au plus haut depuis 2011).
Ils ne s’expliquent pas non plus par les données d’inflation, puisque depuis 2 mois les chiffres d’inflation surprennent à la hausse en zone euro avec une inflation aujourd’hui à 2 % et ce même si l’inflation "core" reste, elle, il est vrai, à un niveau inférieur à celui ciblé par la BCE.
Le stress engendré par les élections françaises explique sans doute une partie du mouvement observé sur les taux allemands mais il faut plutôt se tourner vers les achats de la BCE en dessous du taux de dépôt pour expliquer la violence de ces mouvements.
Cette déconnexion, entre fondamentaux économiques d’une part, et niveaux de taux d’autre part, durera sans doute tant que la BCE n’adoptera pas une posture moins accommodante. Si la trajectoire vertueuse des chiffres macro-économiques se confirme, cela devrait arriver durant l’année 2017, avec comme conséquence une remontée progressive des niveaux de taux allemands.
La force des chiffres macro-économiques reste en revanche toujours un soutien pour les actifs actions
de manière générale, bien aidés par une saison de résultats de très bonne facture, que ce soit aux Etats-Unis, en Europe ou au Japon. Dans un schéma sans crise politique européenne, ce mouvement haussier devrait perdurer, notamment sur les actions européennes aujourd’hui peu détenues par les investisseurs.
> Pour téléchargez l'intégralité du dernier numéro d'Orientations & Stratégie, cliquez ici
Cette édition du Club Patrimoine était articulée autour de 3 questions :
Retrouvez son intervention ci-dessous.
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Découvrez l’équipe commerciale, la plateforme de gestion, les différents métiers de La Française Global REIM ainsi que sa capacité d’investissement dans la nouvelle plaquette 2017.
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]]>La BCE garde son programme de rachat d’actifs et ses taux inchangés, comme attendu, mais revoit à la hausse les perspectives de croissance et d’inflation pour 2017-2018, perspectives inchangées pour 2019.
L’institution européenne prend donc acte de l’amélioration de la situation économique et de la reprise cyclique en cours mais considère toujours les pressions inflationnistes trop faibles. Même si les risques ont diminué, il est encore trop tôt pour réduire le programme de rachat.
Nous commençons à penser que la BCE commence à aborder un ton très légèrement hawkish (favorable à une hausse des taux) afin de s’orienter très progressivement vers une politique monétaire moins accommodante. Néanmoins, la banque centrale demeurera très prudente tant que le risque politique en Europe ne sera pas dernière nous.
Côté macroéconomie, données mixtes publiées sur la semaine :
La semaine prochaine sera marquée par les meetings des banques centrales : le FOMC de la Fed sera le plus scruté suivi par les banques centrales d’Angleterre et du Japon.
A la semaine prochaine.
]]>Comment réagiraient les marchés si l’improbable arrivait et que la promesse de souveraineté
monétaire, législative, territoriale du Front National se mettait en oeuvre ?
Toutes les grandes maisons de gestion et les instituts économiques et politiques concluent unanimement que la situation inédite à laquelle nous aurions à faire face peut entrainer au mieux une paralysie du pays pendant la durée de son mandat et au pire un effondrement à travers un arbre de décisions :
Contrainte dès le premier jour de son mandat à une cohabitation qui ne ressemblera pas à grand-chose compte tenu du fractionnement entre les différentes tendances de la droite, de
la gauche, du centre et de "En Marche", une Union Nationale dirigée par Marine Le Pen n’aura
pas lieu et le référendum populaire sera le mode de fonctionnement "normal" d’une présidente populiste.
Clairement anti-Europe, Marine Le Pen pourrait soumettre un référendum (du fait de l’absence de majorité probable des 3/5 du Parlement réuni en Congrès) sur le "Frexit" soutenu par la pression de la rue et en s’appuyant sur l’article 11 de la constitution autorisant le Président de la République à faire un référendum sur l’organisation des pouvoirs publics. Supposons alors que le Conseil Constitutionnel n’invalide pas le référendum conduisant à une sortie de l’Euro...
> Cliquez ici pour télécharger l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine
Jean-Christophe Caron-Telders a plus récemment rejoint ACOFI Gestion en 2011 en qualité de directeur de fonds immobiliers (OPPCI et FCPI).
Jean-Christophe est titulaire d’un Master Spécialisé de l’ESSEC (MUES - Finance, immobilier et management urbain) et a étudié l’architecture à Paris et à Rome (DPLG). Il est membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors (MRICS) et également enseignant à l’Université de Cergy-Pontoise depuis 6 ans (Faculté de Droit) dans le Master 2 – Droit du financement et des investissements immobiliers.
> Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse
]]>Le marché veut voir Fillon, Juppé ou Macron comme président, et les sondages vont plutôt dans ce sens avec Le Pen qui semble plafonner. Bref, ce n’est quasiment plus un sujet aujourd’hui avec une prime de risque taux allemand (Bund) / taux français (OAT) revenue sous les 60bps.
Côté Fed, et à la suite de chiffres macroéconomiques toujours positifs (ISM Manufacturier à 57.7 et non-manufacturier à 57.6), tous les porte-paroles s’exprimaient avant la période de « black-out » qui précède sa réunion, et tous ont eu un discours favorable à une hausse des taux (hawkish) visant clairement à préparer le marché. Même les speakers habituellement dovish (c’est-à-dire favorable à une baisse des taux) ont adopté un ton hawkish. En un mot, hormis cataclysme dans les 10 jours qui viennent, la Fed continuera à monter ses taux.
Côté publications, nous avons aussi eu tous les chiffres d’inflation zone euro. Ces derniers montrent une inflation headlines qui continue de monter et atteint 2% pour la première fois depuis 2013. L’inflation core reste elle en revanche faible à 0.9%. La Banque centrale européenne (BCE) publiera ses nouvelles prévisions macroéconomiques lors de sa réunion du 9 mars, et s’il est probable qu’elle remonte ses prévisions 2017, la faiblesse de l’inflation core devrait les amener à conserver un discours assez neutre. Le core PCE est aussi sorti aux États-Unis (indicateur d’inflation important pour la Fed), stable à 1.7%. Enfin les chiffres d’activité chinois sont sortis légèrement au-dessus des attentes, ce qui continue de rassurer le marché.
La seule mini déception de la semaine concerne le volet politique, le président Trump n’ayant apporté aucune précision lors d’un discours pourtant attendu. Pour le moment, le marché continue à acheter les promesses mais viendra un moment ou l’adage « buy the rumors, sell the news » pourrait se vérifier.
Dans les deux prochaines semaines nous attendons des nouvelles de toutes les banques centrales:
A la semaine prochaine.
]]>Ainsi, la situation macroéconomique s’améliore, tout va dans le bon sens, et pourtant les taux allemands n’en finissent pas de baisser. Alors oui, l’inflation core reste à 0.9%, oui il y a un risque politique, mais cela nous apparait comme pris en compte de manière extrême sur les taux courts allemands alors que les autres marchés ne considèrent quasiment pas ce facteur dans les valorisations (Euro, Action, volatilité…).
Les 3 semaines qui viennent vont être très chargées en nouvelles macroéconomiques et politiques :
A la semaine prochaine.
]]>L’environnement de taux historiquement bas que l’on connaît depuis maintenant deux ans et la démocratisation des produits immobiliers collectifs font de la SCPI un produit très demandé.
Les SCPI ont beaucoup collecté ces dernières années, doit-on s’inquiéter d’un effondrement des valeurs ? Quelles stratégies peuvent être mises en place pour gérer les distributions ?
Pour quelle raison, la SCPI LF Europimmo fait désormais partie des SCPI phare de la gamme La Française ? Retrouvez toutes les réponses en vidéo.
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La globalisation a ainsi permis à plusieurs milliards de personnes d’accéder à un niveau de vie correct, mais elle s’est aussi traduite par la paupérisation des classes moyennes en Occident. La relance du pouvoir d’achat amorcée par l’administration Clinton en 1995 via la création de l’hypothèque rechargeable, après avoir fonctionné pendant 10 ans, s’est terminée par la crise des sub-primes, la crise mondiale que l’on connait… Et l’élection de Donald Trump en 2016.
La lutte des classes qui s’était toujours accompagnée (à l’exception de la crise de 1929) par une amélioration générale du niveau de vie (la naissance des classes moyennes) s’est traduite depuis plusieurs décennies par une augmentation inédite des écarts entre mondialisateurs et mondialisés mais surtout par une dégradation des niveaux de vie (perçus ou réels) des mondialisés.
La paupérisation des classes moyennes se traduit logiquement par la montée du populisme… de droite comme de gauche, le repli sur soi, la stigmatisation de "l’autre", du "nanti au chômeur profiteur d’un système perverti et injuste"… au mieux le retour en force de la doctrine Monroe (l’Amérique aux américains), au pire le national-socialisme.
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]]>Les commerces développent une surface de vente totale de 5 523 m² et sont exploités par le groupe Casino sous les enseignes « Franprix » et « Supermarché Casino ». Les actifs Franprix Bourdonnais (7e) et La Tour (16e) ont récemment été rénovés, le Casino Chemin Vert (11e) est à proximité immédiate de l'îlot Breguet, qui fait l'objet d'un vaste projet de rénovation urbaine et le Casino de Nanterre a, quant à lui, été livré fin 2015. La durée moyenne des baux est de 12 ans.
La Française REM était assistée par Guillaume Cartier. Le vendeur était assisté par Maître Anne MUZARD de l’étude LBMB.
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]]>Ils sont revenus sur les résultats de la séance du jour et sur les actualités du moment des marchés financiers.
Le Club de la Bourse est présenté par Grégoire Favet, sur BFM Business.
(Re)découvrez l'intégralité de l'émission :
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Logiquement, cela pèse sur les actions européennes et sur les banques, malgré des résultats microéconomiques de bonne facture. C’est sans doute ce qu’il y a de plus difficile à réconcilier à l’heure actuelle : les chiffres macro et micro économiques sont bons, mais on a une épée de Damoclès au-dessus de la tête.
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Cette collecte nécessite d’investir sur des niches de diversification (hôtels, résidences gérées…) et d’autres zones géographique, l’investissement est devenu européen.
Les loyers, toujours en bas de cycle, laissent entrevoir des perspectives de croissance.
En cas de remontée des taux, plusieurs scénarios sont possibles : scénario à la japonaise, c’est-à-dire des taux ainsi qu’une croissance molle ou le scénario à l’américaine, la remontée des taux entraînera la reprise de l’économie.
Pour Marc Bertrand, le scénario à l’américaine est le plus plausible.
Il conseille également de sélectionner ses SCPI en fonction du profil de l’investisseur et de diversifier son portefeuille de SCPI grâce à des SCPI thématiques (santé, européenne…)
En savoir plus, téléchargez le rapport de notation (en anglais)
]]>N'hésitez pas à le consulter !
Bonne lecture,
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]]>Réunissant plusieurs centaines de décideurs politiques et économiques de haut niveau, ce Forum a pour objectif de mobiliser les acteurs économiques majeurs et les investisseurs internationaux qui viendront présenter leurs contributions concrètes au projet du Grand Paris, et faire de la région capitale un modèle de métropole intelligente, performante et attractive.
Plusieurs thèmes seront abordés : les nouvelles tendances de la compétition internationale, les nouvelles approches des investisseurs, les nouvelles énergies du Grand Paris, les nouvelles donnes après le Brexit pour les Global Cities européennes… Xavier Lépine, Président du Directoire La Française, participera à la table ronde « les nouvelles approches des investisseurs » de 9h50 à 10h45.
Ce forum s’achèvera avec l’intervention de Bernard Cazeneuve, Premier Ministre.
IVe Forum Grand Paris, le 1er février 2017
27, Avenue de Friedland
Paris 8e
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Au Royaume-Uni, le PIB du T4 a surpris positivement. L’économie a progressé de 2.2% sur l’année 2016. Belle performance en cette année marquée par le Brexit ! D’ailleurs les investisseurs ont continué de déboucler leurs positions vendeuses sur la livre sterling, ce qui permet à cette dernière d’afficher un très beau +1.6% cette semaine contre Dollar et Euro.
L’économie de la Zone Euro continue sa trajectoire très encourageante, avec cette semaine les indicateurs avancés PMI : très beau chiffre sur le secteur manufacturier allemand, bonne tenue en France également avec la confiance du consommateur au plus haut depuis 2007.
A la semaine prochaine.
]]>A cette occasion, Immoweek a publié un portrait de Marc Bertrand.
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Le marché était inquiet d’un discours potentiellement très dur (la volatilité implicite était à son plus haut depuis cinq mois) mais finalement le ton était plutôt raisonné avec des mots tels que « Le 23 juin n'a pas été le moment où la Grande-Bretagne a choisi de se retirer du monde. Ce fut le moment où nous avons décidé de construire une Grande-Bretagne vraiment mondiale ». Soulagement donc pour les marchés, et la devise britannique reprend 3% face au dollar sur la journée. Nous restons convaincus que la Livre est sous-évaluée et que le positionnement du marché est trop vendeur.
L’autre événement majeur de la semaine était la réunion mensuelle de la Banque centrale européenne. Personne n’attendait un mouvement significatif de son Président, Mario Draghi… et nous n’avons pas été déçus. Discours très neutre et les réponses aux questions des journalistes n’ont pas apporté de couleur particulière sur une éventuelle réduction du programme de rachat d’actifs. Malgré tout, le mouvement de tension sur les taux d’intérêt amorcé mardi s’est poursuivi. Nous restons convaincus que le marché sous-anticipe le changement de ton de la BCE et que les taux allemands demeurent trop chers.
Le dernier événement important de la semaine se déroule alors que j’écris ces lignes. Le discours de D. Trump sera naturellement scruté de près.
À la semaine prochaine.
Vous retrouverez ci-dessous la rétrospective des 12 derniers dessins mensuels qui s'accompagne de tous nos meilleurs vœux pour 2017 !
Bonne (re)découverte donc et rendez-vous dans quelques semaines pour notre 8ème saison des "1 mois, 1 clin d'œil".
Pour redécouvrir la rétrospective 2016, cliquez ici
Avec cette nouvelle stratégie, dont la gestion sera assurée par l’équipe expérimentée de Laurent Jacquier Laforge, CIO Equities, La Française diversifie son offre en actions Européennes. Patrick Rivière, Directeur Général de La Française ajoute, « Les clients sont à la recherche de solutions d’investissement innovantes et nous sommes convaincus de l’intérêt de transformer la recherche amLeague en produits achetables. Notre objectif commun sera donc de générer de l’alpha en répliquant l’indice amLeague_Euro 45 et d’apporter une solution d’investissement performante et différenciante aux investisseurs institutionnels.»
L’objectif consiste donc à répliquer la stratégie propriétaire amLeague-Euro 45 Index, composé de 45 titres, représentatif de l’univers actions de la zone Euro. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures mais force est de constater les bons résultats de l’indice amLeague_Euro 45 : depuis sa création le 05/10/2010 : +71.36% contre +44.63 % pour l’Euro Stoxx 50 NR.
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]]>Les parts souscrites portent jouissances le 1er jour du 4ème mois qui suit le mois de souscription.
Les parts souscrites portent jouissance le 1er jour du 6ème mois qui suit le mois de souscription.
Risques SCPI : risque de perte en capital, absence de garantie de revente et de retrait des parts. Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de patrimoine. Elles peuvent également recourir à l’endettement.
Multimmobilier 2 : la note d’information a reçu le visa SCPI n°16-22 en date du 23.08.2016. La notice a été publiée au BALO n°101 du 22.08.2014, n°154 du 24.12.2014, n°42 du 8.04.2015, n°155 du 28.12.2015, n°55 du 6.05.2016, n°76 du 24.06.2016 et n°106 du 2.09.2016. La Société de gestion de portefeuille La Française Real Estate Managers a reçu l’agrément AMF n° GP-07000038 du 26 juin 2007 et l’agrément AIFM du 24/06/2014 au titre de la directive 2011/61/UE.
]]>C’est ainsi que sous la direction de Pascale Auclair, Global Head of Investments, Jean-Luc Hivert et Laurent Jacquier Laforge prennent en charge respectivement, l’expertise « Fixed Income et Cross Asset » et l’expertise « Equity ».
Laurent Jacquier Laforge, avec plus de trente ans d’expérience, devient CIO Equities Global, en charge de l’ensemble de la gamme Actions ISR proposée par La Française, la gestion small caps et le suivi des partenariats, au premier rang desquels IPCM société de recherche extra-financière, ou tels que ceux noués avec Alger ou JK Capital Management. En effet, La Française a engagé depuis plusieurs années des partenariats stratégiques avec des sociétés de gestion étrangères spécialisées. En qualité de CIO Equities Global du groupe et dans l’intérêt de l’investisseur, Laurent Jacquier Laforge identifiera ainsi les potentielles collaborations produits et synergies de recherche.
Jean-Luc Hivert, dix-neuf ans d’expérience de la gestion d’actifs, devient CIO Fixed Income & Cross Asset, responsable de plus de 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion et d’une équipe de vingt-six experts. A ce titre, il se voit confier la gestion Cross Asset ainsi que l’activité gestion sous mandat et gestion pilotée du groupe, dont la responsabilité opérationnelle revient à Odile Camblain-Le Mollé.
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Cette semaine, notons tout de même :
Les semaines qui viennent seront dominées par la continuation des annonces de résultats, que nous anticipons de bonne facture et qui devraient offrir un soutien aux actions, tout du moins les premières semaines. Nous aurons aussi la BCE jeudi, qui ne devrait rien annoncer. Possibilité toutefois de voir les intervenants questionner M Draghi, président de l’institution, sur les derniers chiffres d’inflation sortis au-dessus des attentes, spécialement en Allemagne.
]]>La Francaise Real Estate Partners s’adresse aux clients institutionnels Français et internationaux de premier rang désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de sourcing, d’acquisition, d’asset management et de reporting.
La Francaise Real Estate Partners, filiale du Groupe La Française, bénéficie du support de ce leader en Asset Management avec plus de 58 milliards d’euros d’actifs gérés, dont un patrimoine immobilier d’une valeur de plus de 14 milliards d’euros.
Benjamin Fanget a rejoint La Francaise Real Estate Partners en tant qu’Investment Manager au sein de l’équipe acquisition. Il viendra renforcer cette équipe et interviendra notamment sur l’acquisition de résidences gérées et plus généralement sur l’acquisition d’actifs tertiaires pour des clients institutionnels français et étrangers.
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]]>Emergence Performance Absolue apporte 20 millions d’euros au fonds Laffitte Dynamic Strategies. Lancé au dernier trimestre 2016, ce fonds a pour objectif de réaliser une performance absolue décorrélée à travers des stratégies discrétionnaires tendant à corriger les inefficiences des marchés actions. Cet apport permet à Laffitte CM d’ajouter à sa gamme de fonds un véhicule avec un objectif de rendement et volatilité plus élevé.
Créée fin 2007 par ses quatre associés toujours présents dans la société, Eric Robbe, Arnaud Yvinec, David Lenfant et Gabriel Teodorescu, Laffitte CM a développé une expertise approfondie sur les stratégies d’investissement décorrélées de l’évolution des marchés actions. Avec près 400 millions d’euros d’actifs gérés, Laffitte CM a doublé sa taille en 2016 grâce à des souscriptions significatives provenant d’une clientèle internationale qui représente aujourd’hui plus de 60% de ses encours.
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]]>Mais 2016 nous a aussi réservé, contre toute attente, de bonnes surprises sur les marchés financiers : après un début d’année pour le moins difficile, l’été, comme nous le signalions en septembre, a été des plus calmes et la fin d’année redonne des couleurs à nos portefeuilles.
Le Groupe La Française a poursuivi son développement et l’année écoulée devrait nous permettre d’afficher un total d’encours proche des 60 milliards d’euros. L’immobilier cette année encore a été un des moteurs de la croissance du groupe : il nous a donc semblé nécessaire de faire le point sur l’immobilier tertiaire.
Pour en savoir plus, téléchargez le dernier numéro de la Lettre de la Gestion Privée.
Le début d’année est aussi marqué par les dorénavant fameux tweets de M. Trump qui communique sur les Chinois, les Mexicains, General Motors… et fait annuler la construction d’une usine par Ford au Mexique. Il va falloir s’habituer à ce type de communication ; certains ont déjà développé des algorithmes basés sur ces tweets…
Du fait de la hausse du dollar et de flux de capitaux sortant, le marché monétaire chinois est sous forte pression en ce début d’année. Les autorités sont intervenus de manière massive pour « punir » les positions vendeuses sur la devise chinoise en faisant bondir les coûts d’emprunt sur des niveaux jamais vus. Le but est de limiter les sorties de capitaux et de ralentir le rythme de baisse du Yuan. On constate que cela fonctionne sur les deux derniers jours avec une devise chinoise qui rebondit, mais cela risque d’être difficile à tenir si le dollar continue de s’apprécier.
Maintenant que les principaux chiffres macroéconomiques du mois sont sortis, le marché va se focaliser sur :
En termes de vues de marché, tout cela renforce nos vue baissière sur les taux euro, qui est exprimé beaucoup plus franchement aujourd’hui dans notre portefeuille. Les marchés actions peuvent eux continuer de monter un peu, mais le parcours récent et les attentes assez élevées limitent le potentiel de court terme selon nous, et ce même si côté macroéconomie tout est bien orienté. Nous sommes toujours partagé sur le dollar qui reste cher et assez positionné.
A la semaine prochaine.
]]>Pour autant, la croissance mondiale semble connaître une accélération, modeste à ce stade, mais soutenue par des signaux positifs convergents :
Ainsi, l’expansion aux Etats-Unis s’accélère, toujours tirée par la consommation interne, tandis que la Chine montre à la fois une maîtrise du ralentissement attendu de sa croissance et un véritable rééquilibrage entre exportations et consommation au sein de son économie.
La zone euro reste sous la menace d’un évènement électoral négatif mais connaît néanmoins des signes d’amélioration tangible. La poursuite de la baisse du taux de chômage constituera un facteur de soutien important pour les revenus des ménages, assurant ainsi un socle de croissance par la consommation. Enfin, le Royaume-Uni est à ce jour étonnement résilient à la perspective du Brexit.
La Réserve Fédérale américaine est venue, le mois dernier, conforter ces attentes positives avec un rythme de normalisation des taux monétaires aux US prévu en accélération à partir de 2017.
La BCE, quant à elle, a annoncé un tournant majeur de sa politique monétaire. La réduction, certes prudente, du montant de ses achats d’actifs est un premier pas dans l’inflexion de son programme de Quantitative Easing qui devrait diminuer progressivement au cours des deux prochaines années.
Au regard de ces éléments, Jean-Luc Hivert, CIO Fixed Income & Cross Asset et Laurent Jacquier Laforge, CIO Equities partagent leurs convictions pour 2017.
> Cliquez ici pour découvrir l'intégralité de nos perspectives et convictions pour 2017.
Retrouvez l'interview de Pascale Auclair :
Les taux ont retracé une partie de leur mouvement (-7bps sur le 10 ans allemand et -4bps sur le taux US) alors que les indices boursiers ont peu évolué (+0.9% pour l’EuroStoxx 50, +0.2% sur le S&P 500 mais -1.8% pour l’indice MSCI Emerging Markets).
Peu de publications macroéconomiques. L’indicateur américain des services est venu confirmer la bonne tenue de la macroéconomie du pays. Vu dans leur globalité, les indicateurs restent positifs et battent le consensus. Pour chacune des principales zones du globe, on note une surprise économique positive ce qui signifie qu’en moyenne, les chiffres macroéconomiques de chaque zone battent le consensus.
Alors que certains marchés restent sur des niveaux extrêmes (actions euro et américaines surachetées, taux américains survendus), il est intéressant de noter le fort retour du 10 ans allemand dont le Relative Strength Index (indicateur d’analyse technique permettant de déterminer la puissance d’un mouvement ou si nous sommes face à une situation de sur-achat ou sur-vente) revient sur des niveaux médians.
Le contexte de marché global est à la reflation et à la reconstitution des primes de terme. Par ailleurs, les anticipations de politique monétaire semblent assez complaisantes aujourd’hui. Les économistes anticipent un glissement d’inflation à 2.5% à horizon début 2017, ce qui devrait faire perdurer l’engouement pour cette classe d’actifs l’année qui arrive.
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A l’occasion de ses vœux, La Française a souhaité rappeler l’engagement de ses collaborateurs auprès des associations soutenues : SOS Sahel, Le Carillon, Green Cross, Fondation Un pas avec toi, _blank, Solidarité sida, L214 et Crystal Kids.
]]>Le 50, route de la reine, immeuble de bureaux à l'architecture contemporaine avec une identité forte et aux espaces communs agréables participant au bien-être des utilisateurs, en plein cœur de Boulogne-Billancourt.
> Cliquez ici pour téléchargez le dernier numéro de la lettre La Française a des Immeubles Durables
]]>La majorité des indices progresse, à l’exception des marchés émergents : les actions américaines affichent de nouveaux records alors que les bourses européennes effacent les pertes de l’année. De leur côté, les taux core remontent fortement.
Cette semaine l'attention des marchés était portée sur la réunion de la Réserve fédérale américaine :
Du côté macroéconomie, les surprises continuent d'être positives et soutiennent le sentiment du marché :
Qu’en pensons nous ?
Une des question reste de savoir si ce rallye sur le thème de la reflation des actifs pourrait encore continuer plus longtemps ou s’il est exagéré à ce stade ?
Les travaux de l’immeuble, dessiné par l’architecte toulousain Serge ZILIO, débuteront au 2ème trimestre 2017, et la livraison est prévue au 3ème trimestre 2018.
Pour cette opération, l’acquéreur était conseillé par l’Etude 14 Pyramides Notaires à Paris, le vendeur était conseillé par l’Etude du Boulevard Leclerc à Toulouse, et le Preneur par BNP Paribas Real Estate.
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]]>Hollandia est intégralement loué à un locataire unique : TomTom International B.V. Dynamique et attrayante, l’île d’OosterDoksEiland (ODE) accueille de nombreuses entreprises, notamment du secteur technologique.
Jens Goettler, Managing Director pour l’Allemagne chez La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « il s’agit de notre première acquisition aux Pays-Bas pour le compte des SCPI de La Française. La position centrale du bâtiment, qui sera renforcée par l’ouverture d’une station de métro en 2018, ainsi que ses volumes flexibles permettront d’attirer et de fidéliser des locataires de qualité. Cette transaction s’intègre parfaitement à notre stratégie axée sur l’investissement dans les quartiers dynamiques des centres-villes. »
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]]>Dans le contexte actuel de taux d’intérêt bas et l’incertitude géopolitique qui s’est instaurée notamment à la suite du BREXIT et des élections présidentielles US, l’immobilier offre une véritable solution de diversification aux investisseurs en recherche de rendement potentiel.
Conformément à sa stratégie de développement en France et à l’international, La Française Global REIM voit son savoir-faire reconnu en expertise immobilière auprès des institutionnels ; en témoigne la collecte de plus de 1,2 milliard d’euros.
En 2016, la clientèle asiatique se distingue et compte pour plus de 25 % de la collecte. En effet, La Française Global REIM est en mesure d’apporter des solutions d’investissements diversifiés, par zone géographique, stratégie (Core/Core +, value added, opportuniste) et thématique (bureaux, commerces, immobilier géré) aux investisseurs désireux d’accéder aux principaux marchés européens sous diverses formes (fonds ouverts, fonds dédiés, mandats et club deals) :
La Française REM, dans un marché des particuliers très avide de cette classe d’actifs, poursuit sa croissance auprès de cette cible et enregistre une progression de plus de 30% pour atteindre une collecte de près de 800 millions d’euros :
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*projection basée sur la collecte déjà réalisée au 30/11/2016, chiffres non définitifs.
La réunion de la Banque centrale européenne constituait le second évènement de la semaine, avec une petite surprise à la clef. Le marché attendait une prolongation de six mois et un montant d’achat inchangé, finalement l’institution européenne a annoncé neuf mois de prolongation et des montants qui baissent de 80 Mds€ à 60 Mds€ à partir de mars. La BCE n’annonce pas non plus d’augmentation des obligations non CAC, mais une possibilité d’acheter en dessous du taux de dépôt. Cela a d’abord été compris comme un signal favorable à une hausse des taux par le marché, entrainant un mouvement vendeur d’obligations, ces dernières sont cependant revenues rapidement.
Depuis cette réunion, on observe plusieurs mouvements :
Bref, le marché est acheteur sur les actions, y compris les euro ce qui est nouveau, il demeure « tendu » sur les taux, et plus que jamais vendeur sur le dollar.
Qu’en pense-t-on ?
La semaine prochaine, notre attention sera portée sur la réunion de la Réserve fédérale américaine, avec une incertitude à peu près nulle. Le discours pourrait en revanche avoir un peu d’importance.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
L’organisation a annoncé diminuer sa production de 1.2 millions de barils (incluant les pays hors OPEP), ce qui n’était pas du tout anticipé par le marché. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’or noir progresse de +12% en 2 jours et revient sur ses points haut de l’année. Dans un contexte de marchés obligataires stressés, ces derniers sont également impactés avec une nouvelle hausse des taux, de l’ordre de 15bp en 2 jours. Le mouvement est toutefois plus mesuré sur la semaine.
Les chiffres américains continuent de sortir robustes : indicateurs manufacturiers, révision du produit intérieur brut, taux de chômage… Tous sortent au-dessus des attentes. Les seuls chiffres décevants sont les dépenses de consommation et l’inflation salariale mais sinon, tout est bon. De même en Chine avec des chiffres d’activité de bonne facture.
Bref, tout cela va toujours dans le sens des dernières semaines : reflation, taux plus hauts, actions américaines et dollar plus hauts, même si les mouvements sur la semaine sont finalement assez limités.
Les marchés sont restés focalisés sur deux évènements :
Nous pensons toujours que les marchés vont trop loin dans leur lecture reflationniste et pro croissance, et qu'ils seront déçus par la réalité du début 2017.
L’organisation a annoncé diminuer sa production de 1.2 millions de barils (incluant les pays hors OPEP), ce qui n’était pas du tout anticipé par le marché. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’or noir progresse de +12% en 2 jours et revient sur ses points haut de l’année. Dans un contexte de marchés obligataires stressés, ces derniers sont également impactés avec une nouvelle hausse des taux, de l’ordre de 15bp en 2 jours. Le mouvement est toutefois plus mesuré sur la semaine.
Les chiffres américains continuent de sortir robustes : indicateurs manufacturiers, révision du produit intérieur brut, taux de chômage… Tous sortent au-dessus des attentes. Les seuls chiffres décevants sont les dépenses de consommation et l’inflation salariale mais sinon, tout est bon. De même en Chine avec des chiffres d’activité de bonne facture.
Bref, tout cela va toujours dans le sens des dernières semaines : reflation, taux plus hauts, actions américaines et dollar plus hauts, même si les mouvements sur la semaine sont finalement assez limités.
Les marchés sont aussi focalisés sur les deux évènements de la semaine prochaine :
Quelques mouvements dans le portefeuille cette semaine :
Nous pensons toujours que les marchés vont trop loin dans leur lecture reflationniste et pro croissance, et qu'ils seront déçus par la réalité du début 2017. Il faut toutefois constater que les derniers évènements ne vont pas le sens de nos positions, surtout en ce qui concerne l’OPEP, ce qui amène des allégements de positions.
Les informations ci-dessus ne sauraient constituer un conseil en investissement, une proposition d’investissement ou une incitation quelconque à opérer sur les marchés financiers. Les appréciations formulées reflètent l’opinion de leurs auteurs à la date de publication et ne constituent pas un engagement contractuel de la société de gestion. Ces appréciations sont susceptibles d’évoluer sans préavis dans les limites du prospectus qui seul fait foi. Le Groupe La Française ne saurait être tenu responsable, de quelque façon que ce soit, de tout dommage direct ou indirect résultant de l’usage de la présente publication ou des informations qu’elle contient. La présente publication ne peut être reproduite, totalement ou partiellement, diffusée ou distribuée à des tiers, sans l’autorisation écrite préalable du Groupe La Française.
La Française Allocation est un OPCVM de droit français relevant de la directive 2009/65/CE. Le fonds a été agréé par l’AMF le 15 juillet 2003 et lancé le 31 juillet 2003. La stratégie a changé à partir du 19 juillet 2012. Société de gestion : La Française Asset Management – Paris – Agrément AMF GP97076 le 1er juillet 1997.
Coordonnées internet des autorités de tutelle : Autorité des Marchés Financiers (AMF) www.amf-france.org.
]]>Les termes de ce partenariat s’articulent autour d’un nouveau mode de coopération entre propriétaire et opérateur permettant à chacune des deux parties de bénéficier de la performance opérationnelle des centres Regus et affirmant ainsi une volonté forte de croître ensemble. Ce partenariat vient aussi répondre à la mutation des usages et des modes de travail plébiscités par les entrepreneurs en quête de solutions flexibles, segment de marché sur lequel La Française REM souhaite jouer un rôle important, au travers du réseau et de l’expertise Regus.
Christophe Burckart, Directeur Général de Regus, témoigne : « Ce partenariat unique dans son genre en France accélère encore plus le développement de Regus sur le territoire, pourtant déjà très dynamique avec 80% de croissance de notre présence durant les deux dernières années. Notre ambition d’être présents au plus près des entreprises de toute nature, avec une offre flexible adaptée à leur taille et à leurs besoins, se verra de ce fait facilitée grâce à ce rapprochement avec l’acteur majeur de l’Asset Management en immobilier : La Française REM ».
Thierry Molton, Directeur de l'Asset Management Immobilier d'Entreprise de La Française REM, se félicite : « Je suis très heureux de la signature de ce partenariat. Il est l’aboutissement d’une réflexion menée par La Française REM sur la flexibilité des immeubles et l’usage des locaux. La Française REM gère l’un des plus grands patrimoines tertiaires répartis sur l’ensemble du territoire français et l’expertise de Regus nous permettra d’offrir des solutions plus flexibles à nos utilisateurs. Cette couverture large du territoire permettra par ailleurs à Regus d’accélérer son développement en France ».
Dans le cadre de ce partenariat, BNP Paribas Real Estate a joué un rôle de conseil prépondérant dans la mise en place des dispositifs. Guillaume Delattre, Vice-Président de BNP Paribas Real Estate Advisory France, précise : « La capacité des grands investisseurs et Asset Managers à proposer à leurs clients utilisateurs de nouveaux usages et de la flexibilité dans leurs immeubles est devenue essentielle pour mieux les fidéliser ou pour les conquérir. Ce partenariat entre un leader de l’Asset Management français et le leader mondial des centres d’affaires et de coworking s’inscrit parfaitement dans cette logique ».
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Relance budgétaire via de lourds investissements dans les infrastructures, coupes dans les dépenses publiques, réductions d’impôts… le nouveau programme de Donald Trump met clairement le cap vers la croissance avec en corollaire un impact évident sur l’évolution des prix.
La politique devient ainsi plus que jamais un facteur clé dans l’analyse des tendances financières, le Referendum italien de ce week-end ne risque d’ailleurs pas de démentir ce constat.
Les résultats seront dévoilés lors de la Grande Soirée de Gala des "Pierres d'Or 2017" qui se déroulera le 25 janvier 2017.
En attendant, vous êtes invités à voter.
Attention, les votes seront clos le 7 décembre à minuit.
]]>- Comment peut on expliquer la décollecte sur l'assurance vie du mois d'octobre ?
- PMI et progression de l'activité dans la zone euro.
Intégrale Placement est présentée par Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur, sur BFM Business
(Re)découvrez l’intégralité de l'émission :
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L’acquisition porte sur 5 plateaux de bureaux, d’une surface utile totale de 1 256 m², et 4 emplacements de parking en sous-sol, loués à deux locataires dont la société d’exploitation de l’hôtel du Royal Monceau, situé en face de l’immeuble.
La Française REM était assistée de l’Etude Oudot et Associés.
> Cliquez ici pour lire l'intégralité du communiqué de presse
]]>L’ensemble immobilier, composé de deux bâtiments, développe une surface utile totale de 6 414 m². Le premier bâtiment, d’une surface utile de 4 655 m² répartis sur sept niveaux, est entièrement loué aux Nouveaux Constructeurs et dispose de 78 emplacements de parking. Le deuxième est loué à la société Esprit de Corp.
L’ensemble est certifié BREEAM Very Good, HQE conception et exploitation et BBC.
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]]>Lübeck, située dans le Land de Schleswig-Holstein, dispose du plus grand port de voyageurs d’Europe (ferries) ainsi que d’un réseau de transports publics très efficace.
Construit dans les années 1950 et entièrement rénové en 2002/2003, l’actif de quatre étages se compose de trois bâtiments adjacents et offre une surface utile de 6 005 m2 à usage commercial, résidentiel et de bureaux. Il est facilement accessible en transports publics et comprend trois locaux commerciaux loués à des entreprises de renom telles que H&M, Hallhuber et Roland Schuhe, qui se partagent plus de 45 mètres de vitrine. Les espaces résidentiels et de bureaux sont situés dans les étages supérieurs.
Jens Goettler, Managing Director pour l'Allemagne à La Française Real Estate Partners International, a déclaré : « Nous sommes ravis d'avoir acquis le 47-53 Breite Straße, qui constitue notre deuxième investissement à Lübeck. Le taux d’emploi ainsi que le pouvoir d’achat élevés dans la ville sont deux des facteurs qui font de cet emplacement une opportunité attractive pour nos SCPI françaises. »
La Française Real Estate Partners International était assistée par Hogan Lovells et TA Europe. JLL est intervenu en tant qu’agent. TRIUVA était assistée par JONES DAY (conseil juridique).
> Cliquez ici pour téléchargez l'intégralité du communiqué de presse
Comme parfois, les classes d’actifs ont réagi de manières très différenciées :
Les chiffres macroéconomiques n’ont pas présenté d’intérêt majeur et ne sont de toute façon pas un facteur d’influence du marché en ce moment.
Christophe Fleury a plus de 20 ans d’expérience en gestion d’actifs et en investissement immobilier aussi bien en bureaux qu’en commerces. Il a notamment travaillé 8 ans en tant qu'Asset et Acquisition manager chez Bail Investissement puis chez ING Real Estate avant de rejoindre, en 2007, Redevco France en tant que Directeur de portefeuille en charge de la valorisation des actifs.
Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Son expérience significative lui permettra de répondre aux attentes des clients institutionnels en termes de gestion de leurs actifs immobiliers. Son expertise en commerces permettra en outre de développer l’activité de La Française Real Estate Partners dans le secteur du commerce. »
Christophe est diplômé de l’Institut Supérieur de Gestion.
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]]>Les étudiants profitent des forums pour déposer leur CV et pour les entreprises, c’est l’occasion de peut-être rencontrer un futur stagiaire/ alternant/ junior (CDI).
Les forums sont également une bonne occasion pour rendre La Française visible auprès des étudiants. Ces forums permettent de nous faire connaitre auprès des jeunes en bac+4/5.
17 novembre : Forum école de commerce SKEMA à Lille.
Participants :
22 novembre : Forum école d’ingénieur ENSAI à Bruz, près de Rennes
Participants :
29 novembre : Forum inter-écoles à La Défense
Ecoles présentes :
Participants :
La lecture des marchés à la victoire de Trump semble être la suivante : il va faire de la relance budgétaire, couper les dépenses publiques (Obamacare), baisser les impôts et investir dans les infrastructures. Tout cela est bon pour la croissance et même si les déficits peuvent s’en trouver un peu creusés, ce n’est pas un souci. Ce scénario positif pour la croissance l’est aussi pour inflation, expliquant le très fort mouvement des 2 derniers jours. Mouvement que l’on peut également expliquer par le positionnement très prudent des investisseurs avant le vote.
Cette analyse du marché ne sera plus nécessairement d’actualité la semaine prochaine et il convient de demeurer très prudents. Les discours protectionnistes pourraient revenir sur le devant de la scène et modifier assez radicalement cette lecture.
Probablement encore beaucoup de volatilité à anticiper puisque globalement, personne ne sait à quoi s’attendre…
Essayons de prendre du recul et regarder les choses de manière objective :
Nous ne sommes pas inquiet sur les actions tant que les taux ne montent pas de manière trop importante : macroéconomie positive, micro-économie positive également, sous-positionnement des investisseurs. Nous ne pensons pas non plus que les taux puissent continuer leur mouvement haussier très longtemps : la croissance américaine reste orientée à la baisse depuis plusieurs années, et hormis le chiffre de croissance du troisième trimestre, le début d’année était assez calme. Le risque que le marché « overshoot » existe, mais ce n’est pas notre scénario central, surtout étant donné le positionnement déjà vendeur des investisseurs.
Enfin, les mouvements sur le dollar nous semblent surprenants. De notre point de vue la politique de Trump devrait être un facteur de baisse pour le dollar, mais ce dernier paye, même contre devises G3.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
A cette occasion, La Française est nommée dans deux catégories :
Les résultats seront dévoilés lors de la remise des Trophées 2016 du Forum de la Gestion d'Actifs le 6 octobre à 18h.
]]>Fort de plus de 15 ans d’expérience à l’interface des secteurs public et privé, il aura la responsabilité du développement et de la mise en œuvre des projets de foncières au sein du Groupe La Française.
Âgé de 40 ans, Guillaume Pasquier a obtenu son diplôme d’ingénieur aux Mines de Nancy en 2000, ainsi qu’un Master de Sciences Po Paris en 2004. Il débute sa carrière en tant qu’Analyste systèmes d’information chez Procter&Gamble avant de devenir Attaché Parlementaire du Député Christian Blanc. En 2007, il part aux Etats-Unis et travaille en qualité de Chargé de mission auprès du CEO d’une société de conseils spécialisée dans les questions environnementales. En 2008, il occupe le poste de Conseiller dans le Cabinet de Christian Blanc, Secrétaire d’État au développement de la région capitale. Il participe ainsi à la construction du projet pour le Grand Paris. A partir de 2009, il dirige la mission de préfiguration du futur Etablissement Public Paris-Saclay, dont il devient le premier Directeur général délégué en 2011. En plus de la création de l’établissement, Guillaume a assuré le pilotage d’un des projets d’aménagement emblématiques du Grand Paris.
A cette occasion, Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française interviendra à la table ronde : « Grand Paris : vers une mégapole du futur. Premières réalisations et nouvelles ambitions ».
Il sera aux côtés de François Bertière, Président de Bouygues Immobilier, Olivier Wigniolle, Directeur Général d’Icade ; FRICS et Philippe Yvin, Président du Directoire de la Société du Grand Paris.
Le colloque IEIF – Les nouvelles frontières de l’immobilier : nouvelles stratégies, nouveaux actifs, nouveaux territoires
Le 8 novembre 2016 8h30 – 17h30
Fédération Nationale du Crédit Agricole
48 rue La Boétie – 75008 Paris
Première plateforme de distribution digitale de solutions d’investissement et 100% orientée « expérience client », Moniwan permet aux particuliers d’investir en direct en immobilier collectif, au travers de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) dans un premier temps, et prochainement sur d’autres solutions d’épargne.
Au premier semestre 2016, la pierre papier affiche un nouveau record historique, représentant l’un des placements financiers privilégiés des français pour gérer leur épargne et préparer leur retraite.
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L’édition 2016 était organisée par La Française avec le soutien de Franklin, Gestion de Fortune, Harvest, Morningstar, H24 Finance, Club Patrimoine et BFM Business.Toute l’équipe du Trophée adresse ses félicitations aux gagnants et vous donne rendez-vous l’année prochaine pour la 21ème édition !
> Découvrez ci-dessous le live tweet de l'intervention d'Olivier Rozenfeld
"Les FinTechs : des laboratoires pour les établissements bancaires" @ORozenfeld au #TropheeGestionPatrimoine pic.twitter.com/6KCAkkQK57
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"Le #digital remet le client au cœur du dispositif" @ORozenfeld #TropheeGestionPatrimoine
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"Les professionnels doivent s'emparer du chantier #numerique où les #fintechs ne seront qu'un ingrédient des services du #CGP" @ORozenfeld
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]]>Nous assistons de fait à une dégradation de l’environnement sur la quasi-totalité des points macro-économiques et politiques, et observons concomitamment une anticipation de l’érosion de la profitabilité des entreprises, les chefs d’entreprises annonçant des perspectives modestes pour 2016. Stratégie de communication ou réalisme…
La perte de confiance dans les Banques Centrales : plus de la moitié des pays occidentaux ont des taux à moyen terme négatifs. De fait, ce ne sont plus des taux de marché mais des taux longs "administrés" par les Banques Centrales pour assurer la soutenabilité de la dette accumulée depuis 30 ans. La conséquence est connue, il n’y a plus de rémunération ni du risque ni du temps et de fait, ayant perdu largement les repères de valorisation, les marchés oscillent entre l’espoir et la peur d’une nouvelle action de la BCE ; la nouvelle perception de l’action des Banques Centrales, pompiers ultimes du système, indique aussi à quel point le système est aujourd’hui sous l’effet de soins palliatifs qui font migrer son fonctionnement du rationnel à l’irrationnel.
]]>Les marchés affrontent en ce début d’année des perspectives bien ternes, avec des banques centrales toujours aux commandes mais dont les politiques monétaires sont devenues divergentes de part et d’autre de l’Atlantique. Ce phénomène accroit le stress ambiant. En termes macro-économiques, l’infléchissement de la croissance mondiale se confirme. La zone euro, quant à elle, devrait connaître une croissance plus porteuse, d’autant qu’elle bénéficie toujours de la stimulation monétaire et de la hausse de la parité USD/EUR.
]]>Nietzsche, "Par-delà le bien et le mal" (1886)
> Retrouvez l'intégralité de la lettre de Xavier Lépine en cliquant ici
]]>Sur le plan économique, l’urbanisation croissante associée au vieillissement de la population en occident et aux progrès technologiques (« smart grid », véhicules 100 % électrique sans conducteur, etc.) se traduira par une forte croissance des actifs immobiliers.
Parallèlement, les taux d’intérêts auront été maintenus à des niveaux très bas sous le poids conjugué de multiples facteurs. Bien évidemment la dette accumulée par les Etats les aura incités à rendre le service de la dette supportable alors même que la globalisation et surtout les nouveaux modèles économiques (économie de la connaissance, digitalisation, économie circulaire…) auront consacré l’avènement de l’essence même du capitalisme : produire plus pour moins cher ; l’information sera le bien le plus échangé et son coût marginal de production est faible et décroissant.
]]>Le comportement de nos portefeuilles a été analysé dans divers scénarii de fort regain d’aversion au risque en retenant principalement deux d’entre eux :
> Cliquez ici pour retrouver l'intégralité du Flash Info
]]>Côté microéconomie, la saison des résultats se poursuit sur une tendance similaire : c’est positif, et largement au-dessus des attentes.
Mais le sujet n’est pas là : le marché ne bouge qu’en fonction des sondages sur les élections américaines. Trump remonte dans les sondages, la probabilité de le voir gagner est passée (si on en croit les instituts de sondage) de 13% fin octobre à 33% aujourd’hui, et les marchés stressent : baisse des actions, baisse du dollar vs devises G3, augmentation des primes de risques périphériques, etc… ce n’est pas encore très violent, mais c’est une lente baisse avec chose extrêmement rare : 8 séances consécutives de baisse pour le S&P 500.
Comme à l’approche du Brexit ou tout évènement politique, il est selon nous important de prendre du recul et d’analyser les choses froidement :
Donc, qu'est-ce que cela nous dit ?
1/ Tout d’abord que le marché est aujourd’hui très peu acheteur de risque. L’élection américaine est dans la tête des investisseurs depuis longtemps et ils ont tous en mémoire le choc du Brexit. Tout le monde s’est donc préparé, avec des positionnements prudents sur les actions etc…
2/ Ensuite que la toile de fonds macro et microéconomique est en amélioration, facteurs à priori favorable aux actifs risqués
3/ Que les marchés vont certainement baisser fortement si Trump est élu. Parce que les marchés sont comme ça, les prévisions deviennent auto-réalisatrices, et que cela sera constituera sans doute des points d’achat très attractif.
Donc le but est d’arriver sur l’évènement avec un portefeuille suffisamment allégé pour pouvoir profiter de niveaux de marchés très dégradés en cas de victoire de Trump, mais avec tout de même un peu de risque, la prise est de risque étant déjà aujourd’hui bien rémunérée.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
De même la quasi-totalité des opérateurs sur les marchés de capitaux le sont pour compte de tiers, y compris les banques pour compte propre car somme toute ce sont bien des salariés qui interviennent sur les marchés.
Il résulte de cette situation que les CEO des sociétés cotées, ainsi d’ailleurs que ceux des établissements financiers et d’assurance soumis à des régulations et des reportings de plus en plus pointilleux, ont les yeux rivés sur les résultats trimestriels de leur entité car leur mandat est clair : être en capacité de payer des prestations futures et/ou de rester solvable. Il ne s’agit pas uniquement de la pression court-termiste des résultats futurs mais également de la prise de risque qui par construction se doit globalement d’être limitée.
Sur la période 1990-2007, l’intégration des pays en voie de développement et de la Russie dans le monde capitaliste a créé les conditions d’une croissance mondiale forte et globalement déflationniste via les délocalisations, puis par les gains de productivité induits de la technologie. L’alpha et l’omega : il est plus aisé de se partager un gâteau qui grossit !
]]>Une semaine chargée qui se termine par un chiffre attendu par le marché tout entier : la croissance américaine du troisième trimestre.
Revenons tout d’abord sur le début de semaine, marqué par la poursuite du mouvement vendeur obligataire, provoqué au départ par un chiffre de croissance britannique meilleur qu’attendu. Ce mouvement a été ensuite entretenu par les commentaires du Président de la Banque centrale européenne (BCE) qui déclare que des taux négatifs pendant une période trop prolongée ne sont pas souhaitables. Au total les taux se tendent d’environ 15-20cts sur la semaine et presque 30cts depuis le début du mois d’octobre.
Les publications économiques de la semaine ont été de bonne facture : indicateur PMI euro bien orienté et PMI américain en accélération, permettant une croissance à 2.9% aux États-Unis vs 2.6% attendu. La décomposition de ce chiffre est de plus plutôt rassurante même si la contribution de la consommation décélère. Ces chiffres ont évidemment eux aussi contribué à entretenir le mouvement de correction obligataire.
Les résultats des sociétés américaines continuent également de tomber, jusqu’ici cela reste une bonne saison :
La question que tout le monde se pose maintenant est la suivante : où s’arrête cette correction obligataire ? Nous la pensons probablement proche de la fin, au moins pour les prochaines semaines :
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Résultat : les taux rebaissent, l’euro baisse, les actions remontent
On a donc absolument rien appris de la BCE cette semaine, et toutes les questions sont repoussées à décembre…
Pendant ce temps, les publications de résultats s’accélèrent ; pour le moment, les résultats sont bons et en agrégé 2%, au-dessus des attentes (principalement sur les valeurs bancaires). Cela a permis aux marchés de monter légèrement sur la semaine, sans excès.
Pas énormément de chiffres macroéconomiques cette semaine. Indice américain des prix à la consommation en ligne, avec des effets de base qui commencent à se faire sentir ; cela devrait continuer et dépasser 2% en fin d’année. En ligne aussi en zone euro, mais sur un niveau bien plus bas. Stock de pétrole en baisse mais cours stable sur la semaine. Vente aux détails en ligne aux États-Unis. Bref, rien qui ne vienne fondamentalement changer la donne.
Pas grand-chose non plus la semaine prochaine, mis à part les indices manufacturiers de la zone euro. Le marché est toujours focalisé sur l’élection présidentielle américaine du 8 novembre, la poursuite des résultats des sociétés et toujours la Réserve fédérale américaine en ligne de mire pour décembre.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Les taux ont toujours tendance à monter mais les mouvements sont finalement assez limités sur la semaine, à l’exception du taux britannique (Gilt). Les actions ne bougent pas non plus et restent cantonnées dans un canal assez étroit. Les devises bougent « un peu » plus, sans que cela soit très violent.
Que retenir de cette semaine ?
Cette semaine, nous avons la BCE jeudi. Le marché n’attend pas grand-chose mais espère quelques indications sur ce que la BCE pourrait annoncer en décembre. Il n’y a pas de notre point de vue de gros potentiel de déception et nous pourrions assister à une clarification quant au message de potentiel « tapering » (réduction du programme d’achats d’actifs) qui avait perturbé le marché il y a 2 semaines. Cela devrait donc être plutôt accommodant de notre point de vue.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Mardi, une nouvelle a en effet « légèrement » surpris le marché, une « source » de la BCE laissant fuiter que le « tapering » (réduction du programme d’achat ndlr) de la BCE se ferait en réduisant le rythme d’achat de 10 mds€ / mois. « Tapering ??? Quel tapering ??? » Voilà ce qu’ont dû se dire tous les intervenants devant leur écran quand la nouvelle est tombée. Cette rumeur a depuis été démentie, expliquée, et tout cela est sans doute orchestré par la BCE pour préparer le marché et juger de sa réaction, mais ça a tout de même donné lieu à un peu de volatilité et à une tendance pour la semaine, en tout cas en ce qui concerne les marchés obligataires.
Le lendemain, chiffre d’ISM Non-Manufacturier TRES fort aux États-Unis, après un chiffre d’ISM Manufacturier très correct en début de semaine. Cela efface complètement les mauvais chiffres du mois précédent qui avaient pesé lourd dans le choix de la Fed de ne pas monter les taux.
Concomitamment à cela, commentaires d’un des lieutenants de Carney à la Banque d’Angleterre (BoE) qui laisse entendre que oui, peut-être que la BoE s’est trompée sur ses prévisions économiques au Royaume-Uni post-Brexit, et que la situation est meilleure qu’attendue. C’est le type de nouvelle que nous attendions pour que nos positions vendeuses d’emprunt d’État britannique délivrent.
Enfin, vendredi, énorme mouvement sur la livre sterling, qui le matin perdait -6% pour remonter ensuite de +4%. La cause de ce mouvement est pour le moment nébuleuse (options à barrière qui tapent leurs strikes dans un marché avec peu de volume…) mais il n’empêche que le marché est aujourd’hui en train d’appuyer globalement sur le Royaume-Uni :
Bon, ça, c’est le scénario de la semaine, qui peut s’inverser si d’un seul coup T. May et A. Merkel deviennent les meilleures amies du monde, mais c’est compliqué à imaginer à court-terme.
Enfin, nous avons eu les chiffres de l’emploi non-agricole aux États-Unis vendredi, qui sont globalement en ligne et qui confirment une hausse de taux probable de la Fed en décembre.
Pas mal de mouvements dans le fonds cette semaine :
À noter que la présence de spreads dans le portefeuille créé une volatilité factice dans le fonds, les positions EUR et USD ne clôturant pas à la même heure. Quand il y a de la volatilité sur les taux, cet effet peut être significatif sur une journée.
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Le Forum de la Gestion d’Actifs, organisé par L’Agefi, a pour but de mettre en valeur les professionnels de la gestion d’actifs en France et de les récompenser par catégorie d’activité.
A cette occasion, Pascale Auclair arrive second « Meilleur directeur de gestion » et le Groupe La Française se classe en tant que 3ème « meilleure société de gestion ».
Arthur David-Boyet explique comment fonctionne la gestion diversifiée – décorélée et ses stratégies d’investissements.
Emission du 30 septembre 2016, présentée par Jean-Pierre Corbel sur Club Patrimoine TV
Retrouvez la participation d’Arthur David-Boyet sur Club Patrimoine TV ci-dessous :
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]]>Sous pression depuis de nombreux mois, « L’affaire DB » a connu de nouveaux épisodes depuis une dizaine de jours :
Le marché semble se reprendre un peu en fin de journée (grâce à l’amende qui serait de nouveau rabaissée…), mais nul doute que l’on assiste à de nouveaux épisodes dans les semaines qui viennent.
La banque respecte pourtant tous les ratios règlementaires et dispose de cash mobilisable de manière significative, alors d’où vient le problème ?
Le problème vient de la trop faible capitalisation de la banque, environ 14 Mds€ aujourd’hui, et du climat de défiance actuel qui ne leur permet pas de faire appel au marché obligataire pour se refinancer. Donc au moindre problème, le marché anticipe une augmentation de capital et une dilution des actionnaires, ce qui provoque l’effondrement des cours, et rend la recapitalisation encore plus difficile, le prix n’arrêtant pas de chuter. In fine, la problématique, c’est évidemment la confiance : tant que « le marché » estime que la Deutsche Bank est suffisamment solide pour passer cet épisode, tout finira par s’arranger. En revanche, si les autres acteurs financiers commencent à douter de la future existence de la banque, cela peut aller très vite.
Enfin, cette histoire présente également un aspect politique. En effet, cela fait plusieurs mois que les allemands se battent pour que les pays européens, Italie en tête, arrêtent de soutenir leur secteur bancaire avec de l’argent public, ce qui avait créé des tensions importantes entre les dirigeants des pays cet été. Il leur est donc très difficile pour eux de soutenir publiquement la Deutsche Bank.
Autre point d’importance, la réunion de l’OPEP aurait (notez l’utilisation du conditionnel) abouti à un consensus sur une réduction de la production en novembre la réduisant à 500K baril par jour. Reste à voir si cela se met réellement en place mais pour le moment, le pétrole paye et retourne proche des points hauts à 48-49$ le baril.
Et enfin, cette semaine a eu lieu le premier débat entre D. Trump et H. Clinton. Comme d’habitude, les marchés ont beaucoup de mal à évaluer les évènements politiques mais cela donne toujours lieu a un peu de volatilité. Clinton est finalement jugée gagnante,
Mis à part cela, les chiffres publiés sont corrects:
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Ce n’est pourtant pas compliqué, il suffit d’acheter à peu près n’importe quel actif ne comportant pas trop de risque spécifique, de préférence avec une composante rendement, et ça paye, encore et toujours plus.
Nous avons donc eu cette semaine les réunions de la Banque centrale japonaise (BoJ) et de la Réserve fédérale (Fed), notre lecture est la suivante :
Dans le même temps, l’institution a revu les perspectives de croissance et de taux d’équilibre à long terme à la baisse. Le marché conclu alors à une politique en faveur de taux bas. Résultat, les actions payent, et les taux baissent fortement.
À la suite de la réunion de la Banque centrale européenne, le marché semblait hésiter quant au chemin à prendre. La réponse ce jeudi été très clair : si la Fed est en faveur de taux bas, on achète du rendement, encore du rendement (y compris les actions pour les dividendes).
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Le marché semble être un peu perdu ce vendredi et hésite quant à la direction à prendre :
Bref, beaucoup de questions, et des signaux conflictuels, ce qui explique sans doute pourquoi les marchés ont passé la semaine à rebondir avant de rechuter.
Au menu de la semaine, nous avons eu :
Le marché nous parait toujours dangereux de manière générale, avec des positionnements très marqués de la part des investisseurs, des actifs globalement chers et des banques centrales qui selon nous arrivent en bout de course.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Le 19 octobre dernier, Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française participait au séminaire franco-chinois sur le Grand Paris. Ce séminaire permettait aux investisseurs chinois de rencontrer les acteurs français impliqués dans le projet du Grand Paris afin de présenter les opportunités d’investissement et l’environnement financier et juridique.
A cette occasion, Xavier Lépine est intervenu lors de la première session. Il s’est exprimé sur « Les projets immobilier et les Centres d’Affaire du Grand Paris » ainsi que sur une comparaison avec les principales métropoles européennes. Il est revenu sur l’évolution des frontières de la capitale, l’impact de la révolution de l’usage (“Uberisation”) sur le développement des métropoles.
Lors de son intervention, Xavier Lépine a déclaré « L’Ile-de-France, avec 150 000 personnes œuvrant dans la recherche et développement, constitue en outre la plus grande base de chercheurs au monde ».
Découvrez ci-dessous le film du Grand Paris :
Avec les interventions de :
Ghislain d’Alançon, Président Directeur-Général de HEOH
Thibault Couturier, Vice-Président de Finansol
Fabrice Vernay, Président Fondateur de HERB
Perrine Dutronc, Managing Director – IPCM
Cette réunion sera animée par Pierre Schoeffler, Global Asset Allocation and SRI Advisor Groupe La Française
A cette occasion une borne de don Heoh dédiée à Green Cross sera mise en place.
Lundi 26 septembre 2016 – 17h30
Inscription impérative par mail : communicationISRnull@nulllafrancaise-group.com
Xavier Lépine interviendra lors de la 5ème édition intitulée « La Société des urbains – Regards sur un écosystème ». A cette occasion Xavier Lépine prendra la parole à 11h15 sur le thème « De l’économique comme outil de mesure ». Il sera aux côtés d’Alain Bentejac, président d’Artelia, à propos des travaux des boursiers Palladio 2015 :
Alors profitons de ce répit pour tenter de comprendre ce qui se passe structurellement.
Plusieurs constats et réflexions viennent à l’esprit :
Le "temps de la formation de la crise" de l’euro, comme celle des sub-prime a été d’une douzaine d’années, de la formation de la bonne idée salvatrice à sa transformation en désastre.
La crise de l’euro fut résolue à grand renfort de discours "le temps des marchés doit s’adapter au temps politique" et d’interventions de la Banque Centrale Européenne qui s’est substituée au pouvoir politique via les multiples plans d’intervention pour soutenir les pays périphériques en rachetant leur dette.
En investissant 2,5 millions d’euros dans Unilend, le fonds réalise son troisième investissement sur un secteur très porteur et apporte à la société les moyens d’engager une nouvelle phase de son développement.
Aux côtés des fondateurs d’Unilend, NewAlpha rejoint ainsi un actionnariat solide et motivé composé de Ventech, Bpifrance et 360 Capital Partners.
Pionnier en France du crédit aux PME financé par des particuliers, Unilend propose aux emprunteurs d’accéder à une nouvelle forme de financement simple, direct, et sans garantie, via des prêts consentis par des investisseurs particuliers et institutionnels. Ceux-ci peuvent ainsi diversifier leurs placements en prêtant directement aux PME et contribuer à financer l’économie.
Grâce à une communauté de 10 600 prêteurs actifs en France, supérieure à celle de l’ensemble des autres plateformes réunies, Unilend a permis, en moins de trois ans, de financer plus de 270 projets français de tous secteurs économiques. En juillet 2016, Unilend a été la première plateforme de prêt à franchir les 20 millions d’euros exclusivement en financement participatif.
Les besoins de financement des TPE/PME françaises sont estimés à 90 milliards d’euros par an. Estimé à 200 millions d’euros en 2015, le marché français du financement participatif sous forme de prêt est en forte croissance en 2016 et dispose d’un potentiel de développement très important au vu des montants atteints au Royaume-Uni (4,5 milliards d’euros) ou aux Etats-Unis (15 milliards d’euros).
« La qualité d’une plateforme s’apprécie au regard de la qualité des dossiers mis en ligne, de sa capacité à traiter des volumes considérables d’opérations, tout en développant une relation proactive avec sa communauté de prêteurs et d’emprunteurs. Nous avons trouvé chez Unilend tous ces éléments ainsi qu’une équipe, des actionnaires et une technologie de nature à assurer son développement, notamment auprès des investisseurs institutionnels », précise Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha. Nicolas Lesur, directeur général et fondateur d’Unilend, ajoute : « L’entrée au capital d’un acteur de premier plan du monde de la finance est une reconnaissance du succès commercial et technologique d’Unilend et démontre la solidité de son modèle d’analyse de crédit. L’investissement de New Alpha confirme ainsi la validité des choix stratégiques d’Unilend et le potentiel de croissance de la plateforme auprès des investisseurs institutionnels ».
Jean Bourcereau, associé chez Ventech Captial et investisseur historique d’Unilend, ajoute : « Au-delà du montant investi, l’entrée de NewAlpha au capital d’Unilend est avant tout un partenariat stratégique et industriel qui va permettre à Unilend d’accélérer son développement en s’appuyant sur la très forte expertise de NewAlpha dans l’industrie financière entrepreneuriale et institutionnelle ».
« Nous créons des passerelles entre les entrepreneurs de l’industrie financière et les acteurs institutionnels », conclut Antoine Rolland, Président de NewAlpha.
Souscrit par des investisseurs institutionnels, notamment le Groupe Crédit Mutuel Nord Europe (« CMNE »), le fonds2 géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de participations dans des sociétés innovantes du secteur des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.
2 Ce fonds est réservé exclusivement aux clients professionnels au sens de la Directive MIF
D’abord avec la publication d’un indicateur de l’industrie Services aux États-Unis, sorti largement en dessous des attentes à 51.4 contre 54.9 attendu, soit le chiffre le plus faible depuis 2010. Logiquement, après un indicateur manufacturier déjà en dessous des attentes et une croissance américaine décevante au premier semestre, les anticipations de hausse de taux aux États-Unis ont largement diminué, et l’ensemble des taux a baissé.
L’évènement le plus attendu de la semaine a eu lieu jeudi : réunion de la Banque centrale européenne (BCE). Les marchés attendaient :
Ils n’ont rien eu du tout, monsieur Draghi (Président de la BCE) réitérant les messages de la dernière réunion et ne donnant pratiquement aucune indication quant à la prolongation de son programme. Il a aussi eu une communication moins alarmiste que prévu concernant les trajectoires de croissance et d’inflation, disant que l’ajustement était en cours et que la politique monétaire de la BCE fonctionnait très bien.
Quel résultat ? Le marché commence à se dire que l’institution européenne sera potentiellement moins accommodante que prévu… du coup, les taux montent d’environ 15-20bps et les actions baissent un peu, la bourse américaine affiche une baisse de 1% aujourd’hui, ce qui ne lui était plus arrivé depuis le Brexit.
Cela fait plusieurs semaines que nous communiquons sur le fait que ce marché est potentiellement dangereux :
Bref, les conditions sont réunies pour qu’une correction ait lieu, avec un marché de taux qui corrige, un marché actions qui baisse, une volatilité qui monte et potentiellement des modèles systématiques qui sont obligés de s’ajuster, ce qui aura pour effet d’amplifier le stress.
Cela ne va pas forcément se passer ainsi, on peut avoir une BCE au ton favorable à une nouvelle baisse des taux cette semaine, ce qui viendrait calmer tout cela, mais le scénario de baisse est selon nous le plus probable aujourd’hui.
Chose très étrange, les devises se comportent à l’envers de ce que nous aurions anticipé étant donné l’environnement. Une Réserve fédérale attentiste et une BCE moins accommodante que prévu, logiquement, cela aurait dû se traduire par une hausse de l’euro contre le dollar. Pourtant, c’est l’inverse qui se passe. Et même chose sur le Yen au Japon.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
This debate will be moderated by Adam Koniuszewski (CEO of Green Cross International).
Brice Lalonde (Special Advisor for Sustainable Development at the UN Global Compact), Bettina Laville (Committee Founder and Chairperson of the Committee 21 scientific Club France Sustainable Development) and Antoinette Guhl (Assistant to the Mayor of Paris in charge of the social economy, social innovation and circular economy) will also participate.
More specifically, Xavier Lépine’s discussion topic will cover: “Global warming demands immediate attention and action on behalf of world citizens. Since 2008, all eyes are focused on the world of finance. Now, asset managers have the opportunity to make a positive contribution, thereby creating a win-win situation for both investors and low carbon emitters. The creation of innovative “zero carbon” investment strategies simultaneously creates incentive for corporations and long term performance perspectives for investors. “Strategically aware investing” is no longer an option. It’s a requirement.”
La stratégie de développement déployée par La Française en France et à l’international, avec notamment la dynamique positive en Asie et en Europe, fait progresser de manière significative les encours du groupe de près de 9 % au 31/07/2016 par rapport au 31/12/2015.
Valeurs mobilières et solutions d’investissement
Dans un contexte de taux historiquement bas, les investisseurs sont à la recherche de performances et de rendement mais force est de constater que, post Brexit, ils demeurent attentistes et hésitent à s’exposer aux classes d’actifs davantage risqués.
Dans ce contexte, les fonds Fixed Income de dettes privées, High Yield ou multistratégie (« unconstrained »), les fonds à échéance ou encore les produits structurés du groupe La Française continuent de convaincre les investisseurs français et internationaux.
A leur côté, les fonds de performance absolue et les solutions dédiées d’investissement tels que ceux mis en œuvre par La Française Global Investment Solutions ont à eux seuls généré plus de de 2,2 milliards d’euros de collecte nette YTD au 31/07/2016.
Immobilier
Les fonds collectifs en immobilier, tout comme les investissements en immobilier direct, ont également rencontré un vif succès avec une collecte YTD au 31/07/2016 proche de 1,4 milliard d’euros :
“A fin juillet 2016, notre collecte nous permet une progression de nos encours significative qui dépasse déjà notre objectif de fin 2016, confortant la stratégie de développement multi-expertises mise en œuvre par La Française. La collecte en provenance de l’international reste significative et cette tendance devrait se prononcer d’ici la fin de l’année." commente Patrick Rivière, Directeur Général du Groupe La Française.
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Logiquement, les marchés actions sont donc en hausse et les taux montent. On peut noter que le yen a particulièrement réagi suite aux nouvelles japonaises avec une baisse de plus de 5% contre le dollar américain.
Ce mouvement de prises de risques peut continuer encore un peu la semaine prochaine dans la mesure où la saison des résultats américains ne fait que commencer et que le meeting de la Banque centrale européenne est jeudi prochain. Les chiffres macroéconomiques sont quand même très bons. Il ne faut toutefois pas devenir euphoriques non plus, la situation des banques européennes n’étant toujours pas bonne et les indicateurs de risque petit à petit moins bien orientés.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Rien n’était attendu de la Réserve Fédérale (Fed) qui publiait juste son compte rendu, pas de conférence de presse. Le communiqué note la bonne tenue du marché de l’emploi, mais le ton reste au global toujours plutôt favorable aux taux bas.La probabilité d’une hausse de taux cette année (septembre ou décembre) est restée inchangée autour de 50% après la publication. L’impact sur les marchés a été davantage observé sur le dollar, qui a baissé significativement.
De notre côté, nous continuons de penser que l’amélioration de l’emploi et la baisse des risques externes (Chine, Europe) devrait permettre à la Fed de monter son taux en septembre ou en décembre.
Situation complètement différente au Japon, où un assouplissement supplémentaire de la politique était fortement attendu. En effet, l’inflation reste très faible (-0.4% sur an an au global et +0.4% en excluant l’énergie et la nourriture) et le gouvernement avait fait savoir qu’il considérait qu’un geste monétaire était nécessaire pour accompagner le paquet fiscal en cours de bouclage. M. Kuroda, gouverneur de la Banque du Japon, a choisi de doubler son rythme d’achats d’actions mais a laissé inchangés ses autres leviers (taux d’intérêt, achats d’obligations). Au final le marché est déçu et le Yen reprend sa hausse face au dollar, aidé par des flux de rebalancement de fin de mois.
Notre analyse est que les achats d’actions ne vont pas changer la donne en termes macro (impact sur l’inflation japonaise probablement négligeable). Le cas du Nikkei est plus difficile à trancher (flux positifs mais macro négative).
Le PIB américain au 2ème trimestre est sorti largement sous les attentes (+1.2% annualisé contre +2.5% attendu). À nuancer toutefois, car l’impact des stocks est significatif. Nous pensons toutefois que le dollar devrait rester sous pression à court terme
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Le rapport d’emploi américain nous a également surpris par sa robustesse : 255 000 créations d’emplois contre 180 000 attendues par le consensus. Autre point intéressant, l’inflation salariale a dépassé les attentes à +0.3% sur le mois de juillet. Ce chiffre vient prendre le marché par surprise après le PIB décevant de la semaine dernière. Logiquement, les taux courts américains se sont tendus aujourd’hui. De notre côté, nous sommes convaincus que le marché est encore trop pessimiste sur les perspectives de montée de taux de la Réserve Fédérale. Nous conservons donc la position à la hausse des taux courts américains.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
]]>Le pétrole poursuit également son rebond sur fonds de rumeurs de gel de la production.
Côté macroéconomie, les points importants de la semaine ont été la publication des données d’activité en Chine et des chiffres de consommation décevants aux États-Unis.
En Chine, les chiffres d’activité pour juillet sont plutôt décevants et en-dessous des attentes :
L’activité reste donc très modérée en Chine. Le momentum de croissance montre des signes de ralentissement pour le début du troisième trimestre. Ce n'est pas une surprise, la question est plus de voir à quel rythme s’opère ce ralentissement. La politique monétaire devrait donc rester accommodante sur les prochains mois.
Aux États-Unis, la publication des ventes au détail de juillet est clairement décevante (inchangée vs +0.4% attendue). De plus, les prix à la production sont en baisse de -0.4%, soit la plus forte baisse sur un an.
En réaction à ces chiffres plutôt faibles, les taux des pays développés se détendent fortement et le dollar baisse contre toutes les devises du G10, du fait d’une absence de signe d’inflation. Les marchés sont déçus et la probabilité d’une hausse des taux américain pour la fin 2016 chute à 40%.
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
L’été a été calme, très calme, presque soporifique après la remonté des marchés post Brexit. On peut quand même noter le pétrole qui revient sur ses points hauts de l’année, et les actifs de rendement qui n’arrêtent pas de payer : tout a continué à se resserrer avec des investisseurs toujours à la recherche de rendement.
Quelques chiffres quand même cette semaine : PMI corrects en zone Euro, bons chiffres américains sur l’immobilier sur les commandes de biens durables, et révision du PIB du second trimestre, stable aux États-Unis (un peu décevant, le marché attendait un meilleur chiffre). Enfin, Janet Yellen, présidente de la Fed, parle ce vendredi à Jackson Hole et semble, pour une fois, légèrement plus favorable à une hausse des taux…
Quelle est la situation aujourd’hui ?
Cette situation peut perdurer encore un moment : tant que des signes d’inflation ne se font pas sentir, il y a peu de chances de voir les banques centrales modifier leurs postures, et donc la recherche de rendement restera un thème important.
Quels sont à priori les évènements à surveiller pour la fin d’année ?
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
Événement largement inattendu, le Brexit a bouleversé la sphère politique britannique, avec des effets secondaires substantiels pour les marchés financiers internationaux et de lourdes conséquences stratégiques à long terme. L'Union européenne sera amputée d'environ 13 % de sa population, 18 % de son PIB et d'un chantre du libre-échange.
Le climat d'incertitude aura un impact négatif perceptible sur la croissance du PIB du pays et de ses principaux partenaires commerciaux. Pourtant, l'assouplissement de la politique monétaire et budgétaire britannique devrait soutenir la demande.
La conséquence la plus notable du Brexit est l'effondrement généralisé des taux d'intérêt sur les emprunts d'État à 10 ans : 30 points de base dans la zone euro, 40 points de base aux États-Unis et 60 points de base au Royaume-Uni ; malgré des taux d'intérêt déjà négatifs, le Japon et la Suisse n'ont pas été épargnés. En conséquence, l'écart élargi des rendements des bureaux « prime » et la dépréciation de la livre sterling qui s'en est suivie devraient soutenir le marché britannique de l'investissement immobilier.
Le marché immobilier d'Europe continentale profite d'une hausse des primes de risque et d'une réorientation possible de la demande de la City de Londres vers les principales métropoles de l'UE.
Le Brexit n'est pas nécessairement un événement isolé. D'autres événements politiques importants sont prévus dans l'Union européenne au cours de l'année à venir : le référendum en Italie en novembre, les élections présidentielles en France et les élections fédérales en Allemagne en 2017. Les événements historiques fondamentaux expliquant le verdict, avancés par Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française, dans « La Lettre, Édition spéciale - 27 juin 2016 » continuent de façonner le paysage politique et pourraient engendrer un résultat semblable ailleurs en Europe.
> Cliquez ici pour télécharger l’intégralité de la lettre.
Pionnière de l’économie collaborative, Heoh entend collecter 60 millions d’euros pour le compte d’ONG dans les 5 ans à venir tout en offrant aux commerçants et aux acteurs du paiement un service solidaire innovant et complémentaire aux solutions existantes.
Ghislain d’Alançon, spécialiste des moyens de paiement, et Antoine Vaccaro, spécialiste de la philanthropie, ont créé Heoh en 2012 afin d’offrir aux consommateurs un moyen simple et direct de financer des mouvements caritatifs grâce à un nouveau circuit de collecte de fonds sur terminaux de paiement électronique et cartes bancaires. En 2013, Heoh a été labellisée "Entreprise Innovante en Finance Solidaire" par le pôle de compétitivité international Finance Innovation.
Pour assurer son développement, Heoh a noué des partenariats majeurs avec des leaders de l’industrie du paiement (Ingenico Group, AVEO Groupe, banques), de l’IT (IBM, Microsoft, Les Comptoirs, Astek…) et des grandes ONG.
Ses objectifs sont ainsi :
Heoh a levé 3,4 millions d’euros au cours des 12 derniers mois pour financer son innovation technologique et opérationnelle et proposer aujourd’hui sa ‘GoodTransaction’.
Cette proposition de valeur, exportable par ailleurs, s’inscrit dans un contexte propice au financement innovant. Le financement des ONG se trouve dans une situation critique (moins d’intervention gouvernementale, morosité économique …) alors que les besoins sociaux, culturels, humanitaires, écologiques et médicaux augmentent. Dans le même temps, les nouvelles aspirations de responsabilité sociale influent considérablement sur la consommation et provoquent de nouvelles exigences pour les enseignes. L’augmentation attendue du nombre de paiements par carte constitue un autre catalyseur du développement des ‘conso-donations’.
"Le champ d’applications et les évolutions possibles de la technologie développée sont très vastes et impactent l’ensemble des moyens de paiement, de facturation et de gestion pour compte de tiers. La qualité du management de Heoh, les pilotes réalisés en 2015, ainsi que les marques d’intérêt de nos investisseurs pour la valeur ajoutée d’Heoh dans leurs propres activités, nous paraissent très prometteurs", précise Lior Derhy, Managing Director en charge du Private Equity chez NewAlpha.
Ghislain d’Alançon, Président et fondateur de Heoh, ajoute "la renommée de New Alpha, la qualité de son écosystème constitué notamment de banques et de compagnies d’assurance, et les relations partenariales déjà tissées avec cette équipe, nous confortent dans nos moyens et notre ambition de développer à grande échelle nos solutions tout en améliorant la qualité de l’expérience client."
Souscrit par des investisseurs institutionnels, le fonds géré par NewAlpha a pour objectif de bâtir et valoriser un portefeuille diversifié de projets innovants et prometteurs dans les différents secteurs des Fintech et Assurtech. Il a également vocation à assurer une veille active sur l’évolution des services financiers (initiatives innovantes, nouveaux usages) et sur les changements technologiques qui impactent les métiers de la banque, de l’assurance et de la gestion d’actifs.
"L’investissement dans Heoh, un acteur innovant dans le monde des paiements, s’inscrit parfaitement dans la démarche socialement responsable que souhaite promouvoir NewAlpha au sein de l’industrie financière", conclut Antoine Rolland, Président de NewAlpha.
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Gonet La Française Advisors S.A. annonce également le recrutement de Bénédict Fatio comme Managing Director en charge du marché Suisse. Bénédict Fatio rejoint Gonet La Française Advisors S.A. en provenance de Lombard Odier, où il exerçait depuis plus de dix ans dans la promotion interne et externe des produits et des solutions d’investissements de Lombard Odier Investment Managers, à New York et à Genève.
Philippe Lecomte, CEO de La Française AM International, commente : « Nous nous réjouissons de profiter de la vaste expérience multi-produits de Bénédict Fatio, comme de sa profonde connaissance des besoins des investisseurs, pour accélérer notre développement et profiler notre gamme de produits sur le marché Suisse. »
Big Data et Stranded Assets, ces deux concepts récents nés l’un dans l’économie numérique, l’autre dans la finance climatique, trouvent toute leur pertinence dans le domaine de l’investissement en immobilier. Quel que soit leur positionnement dans la chaine de valeur, l’exploitation des données constitue aujourd’hui et plus que jamais pour les asset managers en immobilier, un enjeu crucial de gestion des risques et des opportunités.
De la vétusté…
Pendant longtemps le propriétaire a pensé que pour créer de la valeur il suffisait de maintenir l’actif en bon état de conservation en réalisant des travaux de grosses réparations suivant un cycle de rénovation défini sur le principe de vétusté.
Ce cycle long établi à partir de " l’indéfinissable " état d’usure se déclinait, en complément des actions de maintenance poussée jusqu’à l’analyse prédictive, en opérations programmées d’embellissement, de rénovation et de restructuration qui inauguraient in fine un nouveau cycle de création de valeur.
Par la mise en conformité et la prise en compte de l’innovation technologique, le propriétaire se donnait bonne conscience dans un marché évoluant essentiellement au gré des fluctuations économiques.
L’immobilier renforçait ainsi son caractère " immobile et pérenne ", et la question de l’arbitrage relevait le plus souvent de l’opportunité conjoncturelle.
Jusqu’à 2008 et l’une des pires crises économique à laquelle le monde ait été confronté.
… à l’obsolescence
Dans un environnement macroéconomique incertain entrainant une baisse prononcée de la demande, l’industrie immobilière doit faire face à la profonde mutation que connaissent avec la révolution technologie et plus particulièrement le développement du numérique les modes de production et de consommation.
L’apparition de nouveaux business model qui transforment la nature même des organisations et des espaces physiques dans lesquels ils créent de la valeur a pour conséquence un déséquilibre de plus en plus marqué entre l’offre et la demande.
Ce que le marché a qualifié d’obsolescence est un phénomène que de nombreux économistes associent à la destruction créatrice chère à Joseph Schumpeter(a). L’obsolescence apparaît lorsque l’offre n’est plus en mesure de répondre à la demande. Sous l’impulsion de la révolution digitale, l’entreprise se dématérialise et se laisse de plus en plus séduire par des modèles plus adaptés et moins contraignants en terme d’engagement contractuel créant ainsi les conditions d’apparition d’une obsolescence des modèles existants.
L’obsolescence qu’il ne faut pas confondre avec la vétusté n’est pas une nouveauté. Ce qui est nouveau, c’est son accélération. Désormais, l’obsolescence boostée par l’innovation s’installe plus vite que la vétusté et il n’est plus du tout rare de voir des actifs obsolescents mais pas vétustes.
De l’obsolescence…
Si l’asset manager en immobilier est désormais " bien armé " pour lutter contre la vétusté des actifs, il le doit en grande partie à l’utilisation par les property managers et les exploitants d’outils de gestion technique avérés et performants. Le développement de la gestion technique centralisée avec l’exploitation des données qu’elle produit permet une programmation " raisonnable " des travaux de conservation et d’amélioration. La masse et la grande variété de ces données stockées, actualisées et analysées en temps réel constituent un fantastique gisement de productivité et d’économie. Dans le contexte de rupture que nous subissons aujourd’hui, la connaissance de son patrimoine et le partage de cette connaissance est désormais plus qu’une nécessité.
Face à l’obsolescence, l’asset manager en immobilier apparaît plus désarmé. Du moins pour l’instant. Les facteurs d’obsolescence sont en effet multiples. Le professeur Jean Carassus(b) en distingue six: l’obsolescence territoriale liée à la position de l’actif dans son environnement, l’obsolescence architecturale liée à sa qualité intrinsèque, l’obsolescence économique liée à ses coûts d’exploitation, l’obsolescence sociologique liée au confort et au bien-être des occupants, l’obsolescence technique liée l’état de fonctionnement de ses équipements et enfin l’obsolescence réglementaire liée aux non conformités.
En complément de la vétusté, L’obsolescence introduit ainsi une nouvelle approche plus centré sur l’utilisateur par la prise en compte de la qualité de l’environnement intérieur et des aménagements des espaces de travail. Plus orientée finalement sur une approche de type ESG, c’est-à-dire intégrant de façon explicite les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance, qui constituent les trois piliers de l’analyse extra-financière.
Pour les propriétaires, l’immobilier devient un actif financier pour lequel l’élaboration de plans stratégiques obéit à une logique financière de rentabilité des investissements tenant compte de la création de valeur et de son maintien par la maîtrise des risques d’obsolescence.
… à l’investissement socialement responsable…
L’investissement socialement responsable (ISR) qui consiste à intégrer les critères ESG(c) dans les processus d’analyse et de choix d’investissements ne répond pas à une conception philanthropique de l’activité, mais à la conviction qu’une gestion efficace en termes de réglementation environnementale et sociale ne peut que s’avérer favorable à la performance sur le long terme.
L’investissement en immobilier occupe une place centrale au cœur de la problématique de l’ISR par sa dimension environnementale évidente (réduction de l’empreinte carbone – biodiversité – mobilité..), sociale (confort et bien être, politique servicielle…) et de gouvernance (politique d’achat, relation avec les locataires…). Alors que le monde des valeurs mobilières développe de multiples associations, instituts de recherche et coalitions d’investisseurs pour la promotion de l’ISR, le monde de l’immobilier n’est pas en reste, en témoigne l’importance gagné par le GRESB (Global Real Estate Sustainability Benchmark) qui regroupe plus de 700 membres de par le monde, investisseurs institutionnels comme gérants d’actifs. La mission du GRESB est explicitement de créer et de maintenir la valeur immobilière en évaluant et améliorant les meilleures pratiques de prise en compte des critères ESG. A l’opposé du concept de Stranded Assets qui désigne les actifs ayant subi une obsolescence accélérée et irrémédiable les transformant en quasi-passif, le GRESB oppose les Green Stars, actifs particulièrement performants dans la mesure, la gestion et le déploiement des critères ESG appliqué au patrimoine immobilier.
En effet, le processus d’intégration des critères ESG permet de prévenir efficacement les risques d’obsolescence, de perte de valeur et de mauvais positionnement par rapport à la demande des utilisateurs. En analysant des écarts entre l’offre et la demande, L’ISR permet in fine l’évaluation d’un indice d’obsolescence de référence. La démarche de type de celle développée à la Française dans les valeurs mobilières dénommée SAI pour Strategically Aware Investing qui intègre, en plus des critères ESG classiques de l’investissement ISR, des critères tirés de l’analyse stratégique des firmes tels que l’adaptabilité à l’environnement et la capacité d’innovation, apporte encore une dimension supplémentaire à l’asset management immobilier. De là à établir une correspondance entre l’ISR et l’obsolescence, il n’y a qu’un pas que certains asset managers immobilier n’hésitent plus à franchir.
… et au Big Data
Le développement de l’ISR en immobilier comme d’ailleurs sur toute classe d’actifs passe par la compilation et le croisement de multiples données, en complément des données financières traditionnelles.
La valeur d’un bien se déchiffre grâce à une analyse fine de son environnement. C’est pourquoi l’obtention d’une grande variété de données contextuelles sur un bâtiment est désormais indispensable à la compréhension de son fonctionnement et sa mise en valeur.
Cette évolution de fond impacte les 4 grandes dimensions immobilières. Premièrement, la vie dans l’immeuble avec des données comportementales de plus en plus fines. Ensuite l’immeuble en lui-même avec ses caractéristiques techniques, sa traçabilité, sa performance mais aussi ses services et sa gestion. Puis la vie autour de l’immeuble ou comment l’immeuble communique avec la ville. Et enfin le marché.
Cette connaissance permet aussi de mieux mesurer l’attractivité de l’immeuble dans son territoire. Cette attractivité se définit d’abord par l’accès à un certain nombre de services et de fonctions, aisés et faciles tant pour les salariés que pour les clients et les partenaires. L’accès aux biens, aux données et les prestations techniques offertes par le territoire vont également entrer en ligne de compte.
La somme des données produites par les hommes et par les machines, collectées et stockées sur des serveurs pour devenir rapidement et facilement utilisables constituent ce qu’on appelle aujourd’hui le Big Data. Si au cours de ces dernières années, les outils et la technologie ont permis d’accélérer les traitements et d’améliorer les analyses, il faut toutefois rester modeste au niveau des marchés immobiliers face au volume de dossiers traités. Les machines et les algorithmes sont encore loin de remplacer l’expertise humaine. Mais jusqu’à quand ?
Il va pourtant falloir se préparer à accumuler les données de plus en plus nombreuses en matière d’analyse prédictive, d’attractivité, d’expertise et de connaissance du marché. Savoir les analyser confèrera certainement à terme un avantage concurrentiel fondée sur une meilleure compréhension du comportement des nouveaux usages dans les différents lieux de vie, permettant ainsi de mieux cerner les opportunités commerciales de demain. L’analyse des données va offrir de formidables opportunités en matière de gestion des risques et d’aide à la décision en matière d’acquisition et d’arbitrage.
Parmi les outils développés, Le BIM(c) est en train de prendre pied dans les immeubles neufs. Il sera un jour possible de circuler dans son immeuble en réalité augmentée pour visualiser l’ensemble des équipements. Cela permettra d’affiner les coûts de maintenance, mais surtout les CAPEX, un immeuble produisant lui-même son Plan Pluri Annuel de Travaux. Cette base de données qui utilise les logiciels de CAO/DAO traite les composants techniques du bâtiment sous forme d’objet disposant d’une représentation graphique, d’attributs alphanumériques et d’un comportement prédéfini.
En attendant son développement encouragé par les pouvoirs publics, certains propriétaires ont d’ores et déjà développé des outils permettant de créer de la valeur par l’analyse croisée des données produites par l’exploitation immobilière, l’usage du bâtiment et les données externes.
La Française REM a, par exemple, adapté son outil DiagTech initialement développé pour constituer une base de données techniques et établir un plan pluriannuel de travaux, en y intégrant une critériologie liée à l’obsolescence. En croisant à partir de l’analyse de 80 critères la mesure de la vétusté à celle de l’obsolescence, le DiagTech devient un outil d’aide à la décision pour l’investissement et l’arbitrage. Utilisé dès la phase de due diligence il permet également de définir l’éligibilité de l’actif à l’ISR. L’importance du patrimoine géré grâce au DiagTech a permis à La Française REM de déterminer ses propres indices de référence et de pouvoir ainsi classer n’importe quel actif. Cette approche " hybride " et " multimodale " lui permet de tenir ses marges dans un monde en disruption permanente.
La révolution des données est bien en train de restructurer le secteur de l’immobilier en profondeur, tant dans les pratiques que dans la conception même des biens immobiliers.
La course à la " donnée-marché " est bel et bien enclenchée.
Article paru dans Immoweek, le 6 avril 2016.
(a) La « destruction créatrice » désigne le processus continuellement à l’œuvre dans les économies et qui voit se produire de façon simultanée la disparition de secteurs d’activité économique conjointement à la création de nouvelles activités économiques. L’expression est associée à l’économiste Joseph Schumpeter (1883-1950) qui en assure une large diffusion avec la parution de son livre Capitalisme, Socialisme et Démocratie publié en anglais aux États-Unis en 1942, traduit en français en 1951.
(b) L’immobilier et le bâtiment: valeur, développement durable et 3e révolution industrielle (Réflexions immobilières n 66 – 4e trimestre 2013) par Jean Carassus: professeur à l’Ecole des Ponts Paris Tech, directeur du Mastère Spécialisé « Immobilier, Bâtiment, Energie » – membre du Bureau du Plan Bâtiment Durable et au sein de ce Plan, membre du Groupe Réflexion Bâtiment Responsable 2020-2050
(c) BIM (Building Information Modeling): Le BIM consiste en des méthodes de travail et en une maquette numérique paramétrique 3D qui contient des données intelligentes et structurées. Le BIM est le partage d’informations fiables tout au long de la durée de vie d’un bâtiment ou d’infrastructures, de leur conception jusqu’à leur démolition. La maquette numérique quant à elle est une représentation digitale des caractéristiques physiques et fonctionnelles de ce bâtiment ou de ces infrastructures.
Les membres de la Fed continuent à tenir un discours accommodant. Yellen parle ce vendredi à Harvard mais n’y fera a priori pas mention de la politique monétaire. Le sujet sera en revanche abordé le 6 juin prochain lors d’un second discours.
Les évènements à venir sont les suivants :
Pas grand-chose à attendre de la BCE mais les autres chiffres pourraient avoir un impact significatif.
Nous ne comprenons en effet pas pourquoi les taux des pays dits « Cores » réagissent aussi peu (mis à part les banques centrales évidemment) :
Chaque semaine l'Essentiel Marchés vous propose une analyse des dernières actualités financières par François Rimeu, Responsable du Pôle Total Return La Française Asset Management.
L’actif développe une surface utile de 10 000 m² répartis sur 8 niveaux desservis par 4 ascenseurs et dispose de 255 emplacements de parking. La structure joue avec le béton brut nu à l'extérieur, et le verre laissant pénétrer la lumière naturelle et filtrer la lumière artificielle la nuit.
L’immeuble est entièrement loué à six locataires dont notamment le Groupe Legendre, dans le cadre d’un bail de 9 ans fermes, occupant 5 000 m² de ce bâtiment, ainsi que Envivo (sur 4 étages et près de 3000 m²) ou encore Adidas.
Cet actif a été acquis par deux véhicules SCPI (Epargne Foncière et Multimmobilier 2) gérés par La Française REM.
Le Groupe Legendre et la Française REM étaient assistés par Tourny Meyer ainsi que de l’Etude Oudot & Associés pour l’Acquéreur et l’Etude Mallèvre pour le Vendeur.
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Le local commercial accueillant Go Sport développe une surface utile de 3 144 m² ventilée sur 3 niveaux et bénéficie d’une très bonne visibilité sur la place de Bretagne avec un linéaire de façade de plus de 50 m.
Le quartier environnant est dynamique et jouit de la présence de nombreuses enseignes nationales et internationales à forte notoriété telles que H&M, Zara ou Monoprix.
La Française REM était assistée par l’Etude Cartier et par Knight Frank et AEW Europe était conseillé par l’étude Alexandre Dechin Devriendt et Hoang.
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Visa Europe et HEOH se mobilisent pour mettre le don sans contact au service de la préservation du Patrimoine.
A l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités locales, Visa soutient HEOH dans la collecte et le développement des dons sans contact.
Cela se traduit par l’installation de bornes physiques dans un certain nombre de monuments publics ; ces bornes permettront aux visiteurs de faire un don en utilisant leur carte Visa sans contact. Les dons ainsi collectés seront dédiés à la restauration des Monuments et à la préservation du Patrimoine.
Associant l’expertise d’HEOH en termes de solutions innovantes de collecte de dons et l’engagement de Visa dans la démocratisation des nouveaux moyens de paiement, cette initiative ouvre la voie à de nouveaux usages du sans contact, déjà présent dans le quotidien des Français.
Simple, rapide et sécurisé, le sans contact facilite le passage à l’action des visiteurs de ces monuments qui souhaitent apporter leur contribution à des projets d’intérêt public.
> Pour en savoir plus sur Heoh, consultez www.heoh.net ou téléchargez le communiqué de presse
Prêtons Ensemble, nouveau fonds conçu par Aviva France en partenariat avec Eiffel Investment Group, est destiné à financer l’économie réelle en s’appuyant sur les meilleures plateformes de prêts en ligne en Europe et plus particulièrement en France.
Le fonds Prêtons Ensemble souhaite fédérer plusieurs investisseurs et compte déjà pour son lancement Aviva France à hauteur de 50 millions d’€ et AG2R LA MONDIALE pour 20 millions d’€.
Le fonds a un objectif de 100 millions d’euros à 8 ans à destination majoritairement des PME et TPE.
Fabrice Dumonteil, Président Directeur Général d’Eiffel Investment Group : "Avec l’essor du crowdlending, les petites entreprises, qui forment le coeur de l’économie, ont enfin accès à un mode de financement alternatif. Eiffel a déjà financé, via des plateformes de prêts en ligne, 10 000 petites entreprises. Aujourd’hui elles sont principalement au Royaume-Uni. Prêtons Ensemble va maintenant permettre de financer des milliers de TPE-PME françaises, tout en contribuant à soutenir les plateformes de prêts en ligne les plus prometteuses."
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Ces cinq parcs éoliens, répartis dans plusieurs départements du Nord de la France, représentent une puissance cumulée d’environ 55 MWc. Leur production annuelle de 130 GWh correspond à la consommation électrique de 32 000 foyers français et 81 000 tonnes de CO2 économisées.
Ces projets ont été développés par Valorem, l'un des pionniers français des énergies renouvelables en France. Valemo, filiale de Valorem dédiée à l'exploitation et la maintenance des parcs, assure la maintenance de ces actifs ainsi que la supervision de leur exploitation. A travers cette opération, Valorem se donne les moyens de financer ses développements futurs tout en conservant et en rationalisant son portefeuille historique.
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Les financements apportés permettent aux acteurs du secteur des énergies renouvelables de rester propriétaires de leurs portefeuilles d’actifs et de conserver la gestion de leurs parcs tout en menant d’autres projets en France et à l’international.
Le fonds PREDIREC EnR 2030 met en place des prêts amortissables ou in fine d’une maturité de 15 ans maximum, dont le remboursement est adossé aux contrats d’achat d’énergie à long terme. Le dimensionnement de ces prêts dépend principalement de la LTV ratio (loan-to-value) (maximum 66 %). Pour les investisseurs l’encours initial des prêts et le rendement attendu sont strictement adossés aux seuls flux de revenus attachés aux contrats d’achat. Le rendement cible attendu est de 5%.
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Il s'accompagne d'une programmation artistique et culturelle confiée à Jérôme Sans (cofondateur du Palais de Tokyo) et José-Manuel Gonçalvès (directeur du CENTQUATREPARIS) sur l'ensemble du territoire métropolitain.
Le Fonds de dotation vise à recueillir des fonds privés pour accompagner le volet culturel du projet urbain le plus ambitieux d’Europe.
Dès le 4 juin 2016, la Société du Grand Paris organise les premières manifestations publiques de son programme artistique et culturel à l'occasion du démarrage des premiers travaux du métro. D'ici 2022, et l'ouverture des premières gares du réseau, formidable tremplin vers les Jeux Olympiques de 2024 et l'Exposition Universelle 2025, de nombreuses actions artistiques seront lancées le long du parcours du futur métro pour révéler la richesse et la diversité culturelle du Grand Paris et contribuer à incarner une nouvelle identité métropolitaine.
Pour mener à bien ce projet culturel d'une ampleur géographique et temporelle inédite, la Société du Grand Paris a créé le Fonds de dotation du Grand Paris Express, destiné à recueillir les contributions des partenaires qui partagent sa vision pour ce projet d'intérêt national. Toutes les entreprises impliquées dans la transformation et la vie de la métropole francilienne - constructeurs, transporteurs, promoteurs, commerçants, entreprises, mécènes -, et toutes celles qui se sentent concernées par ce projet d'avenir qu'est le Grand Paris Express sont invitées à soutenir la mise en œuvre d'une programmation culturelle exigeante, fédératrice et innovante.
Le Fonds de dotation est présidé par Rémi Babinet (BETC). Il est fondé par ce dernier avec Xavier Lépine (La Française).
Au Conseil d'administration siègent des acteurs variés de l'économie et de la culture, dont Mouloud Achour (Journaliste), François Barré (expert culturel auprès de la Société du Grand Paris), Jacques Bungert (Courrèges), Véronique Chatenay-Dolto (DRAC Île-de-France), Jean-Yves Le Bouillonnec (Député-Maire de Cachan, président du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris), Amandine Lepautre (La Société Anonyme), Lucie Maurel Aubert (Banque Martin Maurel), Catherine Perenet (Société du Grand Paris) et Philippe Yvin (président du directoire de la Société du Grand Paris).
"Nous allons avoir la chance de vivre une aventure extraordinaire qui est celle de la métamorphose de notre capitale. Nouvelle échelle, nouvelles circulations, dynamiques, projections, le futur métro Grand Paris Express va être le moteur d'une transformation jamais vue depuis le XIXème siècle. Il est primordial de faire comprendre cet enjeu, de le partager avec les habitants pour que le projet prenne toute sa dimension sociale. Grâce à la création nous pourrons jouer collectif, dialoguer, rayonner ; participer à faire émerger une culture "post-périph" et à construire le récit du Grand Paris." Rémi Babinet, Président de BETC et Président du Fonds de dotation du Grand Paris Express.
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Crédits : Société du Grand Paris - Les membres du Fonds de dotation du Grand Paris Express
Le financement bancaire a été arrangé par Natixis, en qualité d’Agent, aux côtés de Banque Européenne Crédit Mutuel, Banque Postale Crédit Entreprises et Banque Palatine.
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]]>Eric Donnet, Directeur général de Groupama Immobilier, indique : « Ces deux opérations sont emblématiques de la nouvelle stratégie menée par les équipes d’Asset Management Tertiaire. Celles-ci consistent en la restructuration et le repositionnement des actifs des compagnies d’assurance en actifs prime, pour en optimiser la valorisation ».
Patrice Genre, Président de La Française Real Estate Partners, précise : « Ces deux acquisitions d’immeubles restructurés et exceptionnellement situés s’inscrivent dans la continuité du développement d’un portefeuille de qualité, sécurisé et pérenne pour le compte de l’ERAFP ».
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]]>Emergence, fonds de Place d’incubation et d’accélération de sociétés de gestion entrepreneuriales, et NewAlpha Asset Management, gérant délégataire de la SICAV, annoncent la sélection de La Financière Responsable, sixième société retenue par le compartiment Emergence Actions, qui clôt ainsi son programme d’investissement de 200 millions d’euros.
Emergence Actions apporte 25 millions d’euros au fonds UCITS LFR Euro Développement Durable spécialisé sur les actions ISR de la zone Euro. Cet apport permet à La Financière Responsable d’accélérer le développement de son fonds phare, et vient s’ajouter aux 70 millions d’euros déjà sous gestion.
Il s’agit du seul fonds ISR sélectionné par le Comité d’Investissement d’Emergence composé de certains des plus grands investisseurs institutionnels de la Place de Paris. Ceci au moment où l’ouverture des investisseurs institutionnels, notamment des assureurs, pour la gestion ISR progresse fortement(1).
De surcroît, ce fonds permet en France aux investisseurs institutionnels de répondre aux obligations de reporting extra-financier prônées par la loi relative à la transition énergétique.
La Financière Responsable se démarque dans l’univers de l’ISR par une méthodologie originale, innovante et proche du terrain. Investisseur de conviction, La Financière Responsable sélectionne les entreprises sur la base de leurs fortes perspectives de croissance et donc de rendement, pour une durée moyenne d’investissement de 3 à 5 ans.
En complément de la stratégie et de la santé financière de l’entreprise, le processus d’investissement capte également les dimensions sociale, environnementale et de gouvernance par l’analyse de plus de 80 indicateurs extra-financiers comparés au secteur concerné, réunis au sein de l’Empreinte Ecosociale©. Cette méthode privilégie ainsi la diversité et la pertinence des facteurs contribuant à accroître la performance globale de l’entreprise.
Formalisée sous le terme ‘Gestion Intégrale IVA©’, cette approche permet à La Financière Responsable d’analyser finement la création de valeur de l’entreprise pour ses partenaires internes comme externes, et de renforcer considérablement la lisibilité sur son évolution.
La qualité de cette recherche extra-financière entièrement réalisée en interne a été récompensée chaque année de 2011 à 2014 par le statut de Jeune Entreprise Innovante attribué aux entreprises de moins de 8 ans par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Depuis sa création, La Financière Responsable a été la seule société de gestion à bénéficier du crédit impôt recherche au titre de l’ISR.
Depuis 6 ans, La Financière Responsable apporte à ses clients investisseurs institutionnels, organismes sans but lucratif et gérants d’épargne salariale, d’excellentes performances financières au travers de ses fonds et notamment du fonds LFR Euro Développement Durable. Depuis 1er janvier 2010, date de mise en place de la méthode, la performance du fonds s’élève à 48,42% contre 22,22% pour l’EuroStoxx 50(2),(3), avec un faible taux de rotation et une volatilité significativement plus faible que celle du marché.
Pour ce 6ème investissement d’Emergence Actions, comme pour les cinq précédents auprès de Focus Asset Managers, Financière Arbevel, Talence Gestion, Finaltis et Fideas Capital, le fonds d’incubation apporte à ses investisseurs la performance des fonds sélectionnés et une participation à leur développement via un mécanisme de partage de revenus.
La Financière Responsable est la onzième société incubée par Emergence au travers de ses deux compartiments Actions et Performance Absolue qui ont alloué un montant total de 350 millions d’euros depuis 2012. Emergence contribue à attirer des investisseurs internationaux vers la gestion entrepreneuriale française.
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(1) Enquête Novethic/Forum pour l’Investissement Responsable 2014
(2) Au 31 mars 2016 le FCP LFR Euro Développement Durable - Part M, FR0010649350 – Indice de référence EuroStoxx 50 Dividendes Nets Réinvestis.
(3) Les performances passées ne préjugent en rien des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.
La Française GREIM, en la personne de Gerard Degli-Esposti, est à la présidence de l’OID, il était donc naturel pour le groupe d’accueillir cet événement dans nos locaux.
La conférence a porté sur les nouvelles opportunités de création de valeur et de gestion des risques que la promotion de la santé et du bien-être offre pour les investisseurs, les sociétés de gestion et les foncières. Un regard pratique concernant les nouveaux outils (par exemple WELL et GRESB) a complété la perspective d'investisseurs institutionnels, de foncières et d'utilisateurs.
Marc Bertrand, Directeur général de La Française REM, et Loïs Moulas, Directeur général de l’OID, ont introduit l’événement.
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Shawna Yang apporte sa grande expérience de la collaboration avec des investisseurs institutionnels coréens, aussi bien sur son marché local qu’à l’international. Auparavant Responsable du département Capital Markets de Cushman & Wakefield (C&W) en Corée du Sud, elle avait pour mission d'assister les investisseurs coréens dans leurs investissements transfrontaliers, ainsi que les investisseurs étrangers souhaitant investir dans l’immobilier coréen. Avant de rejoindre C&W, Shawna Yang occupait le poste de gérante de fonds immobiliers chez Mirae Asset Global Investment, en charge des transactions d’investissement directes en Corée du Sud, en Inde et à Hong Kong. Alors qu'elle était basée à Hong Kong et à Singapour, elle a également fait partie de l’équipe relations investisseurs / collecte de fonds en contact avec des investisseurs coréens et étrangers.
Shawna Yang travaillera à Séoul sous la responsabilité directe de Philippe Lecomte, Directeur du développement international de La Française, et va tirer parti de son expertise dans la levée de fonds. Philippe Lecomte a déclaré : "Shawna Yang entretient un dialogue permanent avec les investisseurs institutionnels coréens et a joué un rôle essentiel dans plusieurs opérations d’investissement internationales de premier ordre. Sa nomination renforce la plateforme opérationnelle de La Française en Asie et souligne l’importance du marché coréen comme source d’investissements extérieurs et comme implantation où le groupe a déjà établi des relations avec les clients".
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]]>La transaction devrait être achevée au cours du premier trimestre 2016.
Forum Securities Limited (« Forum Securities ») est une société de conseil en investissements enregistrée auprès de la SEC qui gère les portefeuilles de placements privés d’institutions et de family offices, avec une approche axée sur le long-only et les stratégies sur les titres fonciers publics mondiaux couverts. L’entreprise a été fondée en 2009 et emploie sept collaborateurs à plein temps, dont six occupent des fonctions dans l’investissement, le conseil ou la recherche. Les collaborateurs sont de sept nationalités différentes et parlent une dizaine de langues à eux tous. Forum Securities est implantée à Greenwich, Connecticut (États-Unis), Singapour et Londres. L’équipe est reconnue pour son approche qui sort des sentiers battus.
La nouvelle plateforme rebaptisée La Française Forum Securities sera intégrée au Groupe La Française ce qui permettra de renforcer à la fois les capacités de reporting et de back-office de Forum Securities, ainsi que les fonctions de développement et de relation client. Par cette opération, La Française va continuer son développement international avec une présence élargie aux États-Unis et aux marchés asiatiques. Côte à côte, les deux sociétés vont étendre leur gamme de produits pour inclure notamment : des solutions autour des infrastructures/matières premières, un fond immobilier coté conforme à la Charia, des fonds immobiliers cotés durables, des fonds immobiliers cotés axés sur des secteurs spécifiques et d'autres stratégies personnalisées qui répondent aux besoins des investisseurs.
La gamme de produits existante sera toujours gérée par l’équipe de Forum Securities, qui se verra renforcée pour soutenir la croissance prévue de l’offre. Jana Sehnalova, actuellement gérante de portefeuille au sein de l’équipe de Forum Securities Limited, assumera les fonctions de Responsable Mondiale et Directrice Exécutive de La Française Forum Securities et sera placée sous la supervision de Pascale Auclair, Responsable Mondiale des Investissements de La Française Global Asset Management (GAM).
Au cours de cette entretien, le développement de NewAlpha, les spécificités du premier fonds Fintech et la place de la France dans ce domaine ont notamment été évoqués.
]]>C’est en compagnie de l’équipementier automobile Saint Jean Industries avec 15,8M€ déployés à l’occasion d’une opération de sale and leaseback (cession-bail), que Le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique vient de franchir la barre des 100M€ d’opérations financées.
Ce Fonds issu d’un partenariat conclu entre ACOFI et ChetWode a réuni en deux closing à l’été 2014 puis début 2015, plus de 200 millions d’euros auprès d’investisseurs institutionnels.
Quand l’outil de production se fait levier de croissance
Avec des opérations unitaires comprises entre 5 et 25M€, le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique, est dédié aux financements des actifs industriels des PME et ETI. La stratégie d’investissement permet d’apporter des financements aux sociétés faisant face à des situations souvent complexes, en valorisant et en rachetant leurs outils de production. En soutenant les projets de croissance et d’investissement des PME et ETI, le Fonds PREDIREC Leasing Stratégique intervient au cœur même du tissu économique et ouvre des perspectives à de nombreuses PME/ETI industrielles en Europe, leur permettant de faire de leur outil de production un véritable levier de croissance.
A propos d’ACOFI :
ACOFI construit des produits et solutions d’investissement répondant aux attentes des grands investisseurs et investisseurs institutionnels. Ses initiatives portent principalement sur les actifs réels et les prêts directs à l’économie et couvrent quatre grandes thématiques, l’immobilier d’entreprise, les infrastructures dans le secteur de l’énergie, le financement spécialisé des entreprises industrielles et le secteur public. ACOFI Gestion est une société de gestion AIFM, agréée par l’AMF depuis 1997 qui gère et conseille près de 2 Md€ en fonds de prêts et d’actifs réels. ACOFI a conclu fin 2014 un partenariat stratégique de long terme avec Groupe La Française (groupe Crédit Mutuel Nord Europe). Ce partenariat se concrétise par une prise de participation dans un premier temps de 20% de Groupe La Française dans le capital d’ACOFI Gestion participation qui sera portée à 55% en 2020. (www.acofi.com)
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Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI, a indiqué "Ce fonds crée de nouvelles opportunités en matière de création d’emplois, de croissance et d’innovation en France. Il s’agit du premier investissement du Groupe BEI dans un fonds de dettes diversifié en France : un nouvel instrument financier au service de l’innovation française. En continuant à enrichir sa palette d’instruments financiers, le FEI et la BEI accroissent le soutien européen aux entreprises innovantes françaises pour développer leur activité, investir et croître. Nous ciblerons notre action sur les moyennes et très petites entreprises, mais également les petites ETI afin de faciliter le financement de leurs programmes de recherche et d’innovation."
A propos d’ACOFI :
ACOFI construit des produits et solutions d’investissement répondant aux attentes des grands investisseurs et investisseurs institutionnels. Ses initiatives portent principalement sur les actifs réels et les prêts directs à l’économie et couvrent quatre grandes thématiques, l’immobilier d’entreprise, les infrastructures dans le secteur de l’énergie, le financement spécialisé des entreprises industrielles et le secteur public. ACOFI Gestion est une société de gestion AIFM, agréée par l’AMF depuis 1997 qui gère et conseille près de 2 Md€ en fonds de prêts et d’actifs réels. ACOFI a conclu fin 2014 un partenariat stratégique de long terme avec Groupe La Française (groupe Crédit Mutuel Nord Europe). Ce partenariat se concrétise par une prise de participation dans un premier temps de 20% de Groupe La Française dans le capital d’ACOFI Gestion participation qui sera portée à 55% en 2020. (www.acofi.com)
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]]>Créée il y a à peine 55 ans, la pierre-papier n’a pas encore atteint l’âge de la maturité. N’oublions pas la règle d’or, jeunisme oblige : la maturité est égale à la racine carrée de l’âge multipliée par 10, soit dans 25 ans pour la pierre-papier ! Cette maturité se présente sous les meilleurs auspices pour la pierre-papier quel que soit l’angle sous lequel on l’aborde.
Sur le plan économique, l’urbanisation croissante associée au vieillissement de la population en Occident et aux progrès technologiques (smart grids, véhicules 100 % électriques sans conducteurs, etc.) se traduira par une forte croissance des actifs immobiliers.
Parallèlement, les taux d’intérêt auront été maintenus à des niveaux très bas sous le poids conjugué de multiples facteurs. Bien évidemment, la dette accumulée par les États les aura incités à rendre le service de la dette supportable alors même que la globalisation et, surtout, les nouveaux modèles économiques (économie de la connaissance, digitalisation, économie circulaire…) auront consacré l’avènement de l’essence même du capitalisme : produire plus pour moins cher. L’information sera le bien le plus échangé et son coût marginal de production faible et décroissant.
Bouleversement des équilibres économiques
Pour éviter une explosion sociale liée au vieillissement de la population et la problématique de son financement, l’âge de la retraite aura été repoussé à 70 ans et les services à la personne considérablement développés. L’inflation n’aura été qu’une longue parenthèse du xxe siècle liée aux reconstructions et à
l’énergie fossile. Dans une population en croissance démographique quasi nulle, on comprend bien intuitivement que la richesse (nette de sa consommation) créée par un individu (voir graphique 1) doit couvrir les charges (éducation, santé, alimentation…) de ses phases d’inactivité (jeunesse et retraite).
> Pour découvrir l'intégralité de l'article paru dans Reflexions Immobilières n°77, cliquez ici
Lisez l'intégralité de l'interview réalisé par Isabelle Couet sur le site des Echos.
]]>C’est un constat qu’il va falloir désormais accepter : la vie ne sera jamais plus comme avant. C’est, en tous cas, ce que disent les plus "réalistes" des hommes. C’est une évidence : la crise économique que nous vivons a pour conséquence une profonde transformation de la société. Dans ces années de grande incertitude, les communautés s’organisent pour vivre à minima. Augmentation du chômage, du nombre d’allocataires des minimas sociaux, baisse des revenus les plus modestes et accroissement des inégalités sont source de défiance. L’accès à des droits fondamentaux tels que le droit au logement est de plus en plus compliqué pour des familles de plus en plus démunies. Il n’y a jamais eu autant de sans abris. On parle de précarité énergétique ; on réquisitionne des logements vacants et on encadre les loyers. La difficulté des gouvernants à réformer structurellement explique la réplique sociale orchestrée par un syndicalisme essoufflé.
Voici que l’économie se cherche une autre voie, plus solidaire. Un peu plus humaniste. C’est, en tous cas, ce que prédisent certains économistes : la construction d’une société mieux adaptée à la transformation donnera l’avantage à l’usage. L’économie de partage va désacraliser la propriété. Le capitalisme n’a qu’à bien se tenir !
L'exemple de Marius, Fanny et des autres…
Marius, lui, la crise il l’a connue ! Chômage, minima sociaux, petits boulots.
Bref, précarité. Mais depuis quelques mois, Marius a retrouvé le sourire, du travail et un logement suffisamment grand pour y installer confortablement sa petite famille, son épouse Fanny et sa petite fille Manon. Ils viennent d’emménager dans un quatre pièces de fonction que son nouvel employeur, Monsieur Panisse, a mis à sa disposition dans un immeuble moderne, qui vient d’être officiellement inauguré par le ministre de la Reconstruction. Monsieur Panisse y a aussi installé ses bureaux au 9ème étage.
> Retrouvez l'intégralité de l'article paru dans Immoweek mai-juin 2016 en cliquant ici
Au programme :
9h15 : Notre lecture de marchés et nos convictions pour démarrer 2016
par Pascale Auclair
9h45 : Au coeur de la gestion...
Echangez directement avec nos gérants sur les thématiques suivantes :
- Coeur de Portefeuille
- Rendement
- Actions
- Services Gestion Privée
11h00 : En direct de la gestion immobilière...
Les enjeux immobiliers et nos convictions pour l'année 2016
par Marc Bertrand
11h30 : Les solutions d'investissements par Thierry Sevoumians
mercredi 20 janvier de 9h à 13h
128 boulevard Raspail, Paris 6e
#MatinéesRaspail
Ce portefeuille s’élève à environ 1 milliard d’euros. La Française AM a été retenue afin d’élargir l’univers de placements et pour assurer un pilotage dynamique en s’adaptant aux conditions du marchés tout en remplissant les objectifs de gestion définis par le FGDR.
> Pour en savoir plus, cliquez ici.
Y sont repris les thèmes chers à Xavier Lépine qui sont des enjeux d’avenir : les territoires à défricher, les évolutions du travail, les risques sociétaux et surtout les vertus de l’agilité et de l’adaptabilité.
Retrouvez ces pages ici.
Retrouvez les publications d’où sont extraits ces textes : « ça va péter ? » et « vers une finance plus responsable »
Livré en avril 2006, le bâtiment développe une surface totale de 2724 m² à usage mixte activités/bureaux et dispose de 58 places de parking.
L’immeuble est entièrement loué à trois locataires.
La Française REM était assistée par l’étude l’Office Notarial « Gibert et Associés », les sociétés JERICHO & GCI par l’Etude Panhard et Associés. Pour en savoir plus, Cliquez ici pour accéder au communiqué de presse dans son intégralité.
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]]>Philipe MARINI
Philippe Marini est Maire de Compiègne, Président de l’Agglomération de la Région de Compiègne (ARC) et Président du SMVO (Syndicat Mixte de la Vallée de l’Oise). Il est également membre du Conseil de Surveillance de la société Gimar et Cie depuis 1999, il en est devenu le 8 janvier 2015 le Président du collège de Gérance.
Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, titulaire d'une licence en droit de l'université Paris II, ancien élève de l'ENA, Philippe Marini a été successivement Directeur adjoint (1979-1982) puis Directeur des services financiers du Commissariat à l'énergie atomique (1982-1989), et simultanément administrateur directeur financier de CEA industrie. Au sein du secteur financier privé, il devient ensuite membre du directoire de la Banque Arjil (1989-1994), puis vice-président du Conseil de surveillance de Kleinwort-Benson-Gimar et Cie, et avocat au barreau de Paris, président du comité permanent du centre Euroarbitrage spécialisé dans le règlement des litiges en opérations de marché. Philippe Marini a également été membre du conseil de surveillance de Guyenne et Gascogne S.A. jusqu’en avril 2010.
Sénateur de l’Oise de 1992 à 2015, Philippe Marini est Rapporteur Général de la Commission des Finances de 1998 à octobre 2011 et accède ensuite à la Présidence de la Commission des Finances qu’il exerce jusqu’en octobre 2014. Philippe Marini démissionne de son mandat de Sénateur le 7 janvier 2015.
Jean-Baptiste DE FRANSSU
Jean-Baptiste de Franssu est Président de INCIPIT, Cabinet de conseil en Fusions & Acquisitions qu’il crée en 2011. Il est administrateur d’ACOFI SCA, de Petercam S.A. et Tages LLP. Il est également Président du conseil de surveillance de l’Institut pour les Oeuvres de Religion (IOR) depuis juillet 2014.
Diplômé de l’ESC Reims et titulaire d’un DEUTS en actuariat de l’institut Pierre et Marie Curie, Jean-Baptiste de Franssu débute en tant que rédacteur financier au journal Investir. Il occupe dès 1987 la fonction de Directeur à TGF, filiale de La Caisse des Dépôts et Consignations. En 1990, il prend la direction d’Invesco Europe et devient membre du comité d’Invesco Worldwide Management en 2000, poste qu’il conserve jusqu’en octobre 2011.
En 2007, Jean-Baptiste de Franssu est élu Vice-Président de L’EFAMA (European Fund and Asset Management Association) dont il prend la présidence en 2009 jusqu’en 2011.
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]]>Il aura en effet suffi en octobre d’une annonce de Mario Draghi précisant une possible prolongation début décembre du Quantitative Easing de la BCE pour débloquer des marchés financiers grippés par un été compliqué.
Bonne nouvelle donc, même s’il serait préférable de voir des marchés entrainés par un stimulant plus naturel : une croissance économique diffuse et solide !
En tant que Conseiller du Président, Pierre Schoeffler sera en charge de la RSE Groupe. Il aura pour mission de veiller à l’orientation et l’intégration de la dimension RSE de La Française et de promouvoir l’engagement du Groupe dans ce domaine, tant au niveau corporate, qu’au niveau de l’asset allocation globale ISR. Il continuera ainsi à assurer son rôle de Senior Global Asset Allocation en y incluant désormais la dimension ISR.
« Depuis plus d’un an désormais je travaille pour La Française sur les sujets d’asset allocation. Tout naturellement il faisait sens d’intégrer dans cette mission l’investissement socialement responsable ou SAI, selon la démarche propre à La Française. Cette approche innovante s’inscrit pleinement dans la continuité de la recherche d’une performance de long terme asymétrique. Au-delà, il fait sens de porter, pour l’ensemble du groupe, son engagement RSE.» souligne Pierre Schoeffler
Pierre Schoeffler est ingénieur diplômé de l'Ecole Polytechnique ainsi que de l'Ecole Nationale de la Météorologie. Il a commencé une carrière de chercheur en Mécanique des Fluides avant de rentrer au Crédit Commercial de France comme stratégiste de portefeuille. Il est progressivement nommé responsable de la Gestion Actif-Passif de la banque et prend la direction du Département d'Etudes Economiques et d'Analyses Financières. En 1990 il quitte le CCF pour fonder la succursale parisienne de la banque suédoise Svenska Handelsbanken et lancer les activités de banque d'investissement en France. En 2004, il quitte Svenska Handelsbanken pour fonder S&Partners, société de conseil en allocation stratégique d’actifs financiers et alternatifs dont l’immobilier.pour servir une clientèle à la fois exigeante et spécifique.
Pierre Schoeffler est Président de S&Partners, et Senior Advisor de l'IEIF.
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]]>La plateforme immobilière européenne de La Française Global REIM, bâtie autour de La Française REM et de La Française REP, basées à Paris, ainsi que de La Française Forum REP (ex CWI), basée à Londres et Francfort, affiche des encours en hausse de 20% par rapport à 2013 atteignant son plus haut historique à 11,5 Mds €, 20% des transactions annuelles ayant été effectuées hors France.
Les équipes d’investissement France ont réalisé 500 M€ d’acquisitions sur le marché français pour le compte des fonds gérés en bureaux et commerces.
L’année 2014 s’illustre notamment par plusieurs opérations significatives :
- Le Jazz – Boulogne-Billancourt (92), conçu par l’architecte Carlos Ferrater, certifié HQE, d’une surface de 6 964m² – Prix d’acquisition : 70,7 M€ (Locataire Michelin)
- La Tour AVISO – Puteaux (92), rénovée en 2011 et labellisée HQE, d’une surface totale de 10 851m² – Prix d’acquisition : 88,8 M€ (Locataire Sony)
- Les Panorama Seine & Dockside – Issy-les-Moulineaux (92), conçus par les architectes Patrice Novarina et Atelier midi, d’une surface utile de 9 987m² de bureaux – Prix d’acquisition : 86,5 M€ (Locataire Sodexo)
De plus, dans le cadre des mandats confiés, La Française a acquis différents actifs de bureaux, commerces et tourismes en France à hauteur de 220 M€ pour plusieurs grands investisseurs institutionnels français.
L’année 2014 a confirmé la montée en puissance des bureaux de gestion de Londres et Francfort en termes d’investissement et de collecte avec plus de 200 M€ de collecte en fonds et mandats, investis principalement en Allemagne.
Le groupe a procédé au « closing » de PuRetail à hauteur de 160 M€ (hors effet de levier), vise 250M€ d’investissements dont 131M€ déjà investis en Allemagne, Suède et France. Par ailleurs La Française prépare au Royaume-Uni, le lancement tout début 2015 de UK Shopping Center, un fonds spécialisé sur le commerce.
Les investissements en immobilier d’habitation ont connu une évolution particulièrement positive par la montée en puissance d’investissements réalisés pour le compte d’institutionnels sur le marché français et ce au-delà des investissements réalisés pour le compte des SCPI à destination du « Retail ». Par ailleurs, 2014 marque un tournant avec le succès remporté dans la compétition pour le fonds viager institutionnel CERTIVIA. On assiste donc à une institutionnalisation de notre activité habitation. Les équipes d’investissement ont ainsi réalisé au global 60 M€ d’acquisition sur l’année sur le marché résidentiel neuf en France.
Le rythme de collecte en SCPI auprès des partenaires s’est maintenu avec près de 330 M€ brut collectés. La stratégie d’internationalisation des investissements des SCPI de la Française a démarré au sein de certaines des SCPI existantes (Epargne Foncière, Multimmobilier 2, Pierre Privilège) mais également au travers du lancement de nouveaux véhicules tels que la SCPI LFP Europimmo fin 2014. LFP Europimmo a ainsi collecté près de 10 M€ en quelques semaines et réalisé un premier investissement en début d’année en 1ère couronne de Francfort :
- Offenbach Harbor – Allemagne, d’une surface de 6 030m² – Prix d’acquisition : 20 M€ (Locataire Saint-Gobain)
Les OPCI professionnels représentent près de 3 Mds € pour le compte de clients français et européens.
Après plusieurs années de très bonnes performances, LFP OPSIS Patrimoine, 1er OPCI Grand Public lancé en 2009, est désormais référencé dans la plupart des plateformes et contrats d’assurance vie de la place. Sous forme d’unité de compte d’assurance vie, LFP OPSIS Patrimoine est une alternative au contrat en Euro.
L’offre immobilière du groupe s’est élargie au travers de son partenariat avec Forum Partners notamment sur la dette immobilière, le private equity immmobilier et la gestion de fonds immobiliers cotés.
Le fonds de foncières cotées géré en performance absolue, La Française-Forum Global Securities Real Estate Income, a collecté près de 80 M€ pour sa 1er année de lancement et vise un encours de 200 M€ sur l’année, notamment au travers de son référencement sur le marché français.
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* Classement IPE « Top 100 Investment Management Survey – Office Europe »
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]]>Les Pierres d’Or ont pour objectif de mettre en valeur l’action des professionnels de l’immobilier. Elles récompensent l’un d'entre eux, par catégorie d'activité, par l'intermédiaire du vote des seuls professionnels.
Un Grand merci à tous les votants.
Retrouvez le portrait de Xavier Lépine paru dans le guide des Pierres d’Or 2015 : cliquez ici
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]]>Construit dans les années 90 puis rénové en 2013, l’actif développe une surface locative totale de 4 448 m² répartie sur :
- huit niveaux à usage de bureaux, dont le dernier permettant d’accéder à 2 terrasses privatives ;
- et deux niveaux de sous-sol abritant des locaux d’archives ainsi que 69 emplacements de stationnement.
L’immeuble est entièrement loué à onze locataires.
La Française REM était assistée par l’étude 14 Pyramides Notaires. L’Immobilière Dassault était assistée de l’étude Monassier, de Catella et du Crédit Foncier Immobilier.
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]]>Lancée en juin 2014 et dirigée par Patrice GENRE, La Française Real Estate Partners, s’adresse aux clients institutionnels français et internationaux de premier rang désirant investir en France grâce à un service sur mesure qui répond à leurs exigences en matière de sourcing, d’acquisition, d’Asset Management et de reporting.
Xavier BARREYAT, 40 ans, rejoint La Française Real Estate Partners en tant que Directeur Financier, Directeur de l’Asset & Portfolio Management. Xavier Barreyat a la responsabilité des équipes d’Asset et de Portfolio Management. A ce titre, il assure l’ensemble de la gestion des immeubles et des sociétés gérés pour le compte d’investisseurs institutionnels.
Xavier Barreyat a plus de 18 ans d’expérience dans les secteurs de la finance et de l’Asset Management dont 10 ans comme Directeur Financier & Responsable du Portfolio Management de DTZ Asset Management. Il a débuté sa carrière chez Deloitte en tant qu’auditeur financier.
Xavier Barreyat est expert comptable diplômé et titulaire d’un Master en Audit de Paris Dauphine.
Thomas AUBERT, 31 ans, rejoint La Française Real Estate Partners en tant que Investment Manager.
Depuis 2007 au sein de La Française et après avoir travaillé dans l’équipe d’investissement immobilier, Thomas a été gérant d’un fonds de fonds immobilier puis gérant d’un fonds de dette immobilière. Son expérience significative lui permettra de répondre aux attentes des clients en termes de sourcing d’opérations et de suivi des acquisitions.
Thomas Aubert est diplômé de l’ESTP et titulaire d’un Master en Finance de l’Université Paris Dauphine.
Pour l’événement Xavier Lépine, président du Directoire de La Française, était accompagné de Marc Bertrand, Directeur général de La Française REM, Eric Allard, Directeur de l'Asset management Immobilier d'Entreprise et Céline Croquet, Chargée de mission Développement Durable.
Cette charte propose les critères de l’obligation de rénovation énergétique pour les bâtiments tertiaires publics et privés entre 2012 et 2020.
Avec près de 44% de la consommation d’énergie en France, le bâtiment est le secteur économique le plus énergivore et génère près du quart des émissions nationales de gaz à effet de serre. Les signataires s’engagent à réduire la consommation énergétique de leurs parcs en entreprenant des travaux de rénovation sur les équipements techniques, en améliorant l’exploitation et en sensibilisant les utilisateurs. Chacun des signataires fixe des objectifs chiffrés à atteindre et s’engage, à intervalles réguliers, à communiquer sur les résultats obtenus.
Les 30 signataires engagés volontaires souhaitent que cette charte éveille un mouvement d’ensemble quant à l’amélioration de l’efficacité énergétique, du bien-être des utilisateurs des locaux et de l’activité économique de la filière du bâtiment et de l’immobilier.
«La transparence de la démarche est remarquable, a souligné Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable. Nous saurons ce que les signataires, propriétaires comme utilisateurs, ont mis en place, les coûts engendrés, les difficultés qu’ils ont rencontré, la valorisation de leurs actifs…». «C’est un bon état d’esprit qu’ont ces «pionniers», a salué Cécile Duflot. Ils ont compris que le champ d’économies est vaste et qu’ils pouvaient améliorer la valeur verte de leur patrimoine. Il faut souhaiter qu’ils provoqueront un effet d’entraînement sur les autres acteurs de l’immobilier».
« Depuis 2010 La Française REM a élaboré dans le cadre de l’engagement ISR du groupe, un plan d’actions visant à prendre en compte l’amélioration de la performance énergétique des actifs qu’elle gère. Le travail de mesures qui a été engagé dès l’origine en collaboration avec l’ADEME a servi de base pour la rédaction et la publication fin 2011 des « enseignements de la cartographie énergétique d’un parc tertiaire ». Ces enseignements ont pendant longtemps servi de référence pour mettre en avant la soutenabilité du projet proposé par le Plan Bâtiment Durable.
Dans la continuité, La Française REM a développé des modes opératoires adaptés pour la réalisation de travaux et la mise en place des annexes environnementales. Enfin, en sa qualité de membre fondateur de l’Observatoire de l’Immobilier Durable, La Française REM est très investie dans la réflexion sur la problématique environnementale et met à disposition de nombreux groupes de réflexion ses retours d’expérience ainsi que ses analyses. Cette position de leader reconnue et son engagement justifient donc la décision de La Française REM de signer la charte. », Xavier Lépine, Président du Directoire du Groupe La Française.
]]>Cet immeuble est venu remplacer une église, détruite en 2003, mais réintégrée au rez-de-chaussée du nouveau bâtiment (division en volume).
Son architecture contemporaine en forme d’ellipse se distingue au sein de l’Arénas. Le bâtiment a par ailleurs remporté la Pyramide d’Or (prix de l’immobilier d’entreprise) en 2005.
L'ensemble est loué à 17 locataires et développe une surface utile d'environ 10 600 m² à usage principal de bureaux et offre de bonnes prestations : faux plafond, faux plancher, salles de réunions, double vitrage, chauffage / climatisation, hall d’accueil, patio intérieur.
L’acquisition a été faite pour le compte de quatre SCPI gérés par le groupe.
Dans cette transaction, l’Etude PYRAMIDE 14 (Maître Gourret) conseillait l’acquéreur et l’étude THIBIERGE (Maître MIARA) conseillait le vendeur. La transaction a été réalisée conjointement par CBRE et SAVILLS dans le cadre d’un mandat co-exclusif de vente.
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Plus moderne, fédérateur, dynamique, et visible, cette nouvelle identité exprime les valeurs du Groupe que sont la cohésion et la responsabilité, l’audace et la créativité, l’élégance et la finesse, le tout allié à l’expérience et au savoir-faire.
A cette occasion, le Groupe redessine son 4ème pilier, qui devient La Française Global Direct Financing, et renomme le pilier Asset Management en La Française Global Asset Management. Au sein de ce dernier, La Française des Placements prend le nom de La Française Asset Management.
Cette démarche s’inscrit dans la dynamique de cohésion entre les différentes expertises du groupe s’articulant autour de 4 piliers métiers :
- La Française Global AM (Asset Management) ;
- La Française Global IS (Investment Solutions) ;
- La Française Global REIM (Real Estate Investment Management) ;
- La Française Global Direct Financing ;
Xavier Lépine, Président du Directoire de La Française, a déclaré : « Symboliser au travers de notre identité visuelle les nouveaux contours du Groupe était primordial pour être en parfaite cohérence avec notre positionnement, nos valeurs et nos ambitions. La force de notre Groupe repose sur ses 4 pôles métiers et notre capacité à lier et croiser ces expertises pour encore plus d’innovation au service de nos clients : ces 4 boucles en sont le parfait symbole, comme les liens que nous tissons depuis de longue date avec nos clients. »
L’ensemble des logos sera mis à votre disposition à compter du 16 décembre 2014.
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]]>Ce vote, qui met fin à 43 années d’appartenance à l’Union européenne, aura des conséquences pour le Royaume-Uni et pour l’Union Européenne :
Ce choix des Britanniques ouvre donc une période d’incertitude, synonyme de volatilité à court terme pour les marchés financiers, au Royaume-Uni comme en Europe.
Le chemin sera long : calendrier incertain d’activation de l’article 50 qui permet la sortie d’un pays de l’Union européenne, ouverture de deux ans de négociations et approbation de l’accord à la majorité super-qualifiée (20 membres sur 27).
A cela vient s’ajouter un agenda politique 2016-2017 très chargé qui va mettre la pression sur les partenaires européens pour maintenir l’intégrité de la zone Euro :
Le thème de l’Europe « à la carte » pourrait trouver de plus en plus d’adeptes et fragiliser d’autant l’Union européenne. De quoi amplifier encore plus le niveau d’aversion des investisseurs étrangers envers la zone Euro.
Difficile de mesurer en amont les effets de ce Brexit sur la macroéconomie. Le risque parait clairement asymétrique et dépendra de la mobilisation politique à mettre rapidement en place de nouveaux accords commerciaux et à soutenir l’activité. Quelques pistes à ce stade :
Un seul point d’ancrage fort : la mobilisation des banques centrales. C’est à peu près la seule certitude et la réunion des six pays fondateurs de l’Union européenne ce week-end est également de bon augure. Qu’il s’agisse de la Banque d’Angleterre, de la BCE ou même de la Banque du Japon, les Banques centrales ont les moyens d’intervenir, de façon concertée si besoin, pour garantir l’accès à la liquidité et maintenir autant que possible une stabilité financière
On s’en doutait, les marchés réagissent forcément violemment à ce Brexit. On retiendra :
Nous avons profité de la hausse des actifs risqués depuis dix jours pour réduire nos expositions et aborder le référendum britannique avec une grande prudence, positionnement qui s’avère pertinent. Il est trop tôt pour considérer une modification majeure de cette stratégie.
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