Le pourcentage de gérants actifs surperformant le S&P 500 suit des cycles. Or la surperformance a récemment atteint un creux. Il y a lieu d’espérer une amélioration.
- La performance des stratégies de gestion actives par rapport à leurs homologues passives semble avoir atteint son point le plus bas et pourrait remonter la pente comme cela a déjà été le cas plusieurs fois dans le passé.
- Étant donné que le cycle conjoncturel se trouve à un stade de maturité avancée, les facteurs macroéconomiques pourraient laisser place à des moteurs de performance plus spécifiques aux actions.
- Cette évolution devrait réduire les corrélations entre les titres (cf. 15 mars 2017, Alger On the Money) et augmenter la dispersion des résultats, permettant aux spécialistes de la sélection de valeurs de faire mieux que leurs indices de référence passifs.
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